Des textes originaux et des adaptations de grandes ouvres littéraires du patrimoine mondial. Du lundi au vendredi de 20h30 à 21h.
durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "Et dans mes petits poings sanglants d'où pendaient quatre ailes dorées, je haussais vers le ciel la gloire de mon père en face du soleil couchant"
durée : 00:28:41 - Le Feuilleton - "Mon père, enfant des villes, et prisonnier des écoles, n'avait jamais tué ni poil ni plume. Mais l'oncle Jules avait chassé depuis son enfance"
durée : 00:28:18 - Le Feuilleton - "Un grand oiseau noir, immobile, marquait le milieu du ciel, et de toutes parts, comme d'une mer de musique, montait la rumeur cuivrée des cigales"
durée : 00:28:45 - Le Feuilleton - "J'avais six ans, et j'allais à l'école dans la classe que dirigeait Mlle Guimard. Mlle Guimard était très grande, avec une jolie petite moustache brune"
durée : 00:28:34 - Le Feuilleton - Je suis né dans la ville d'Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers
durée : 00:24:28 - Le Feuilleton - Où l'on assiste au destin compliqué d'une ancienne idole des groupes rock qui tente de recroiser une forme d'amitié sur les bords de la mer du Nord.
durée : 00:25:26 - Le Feuilleton - Saint-Denis, Nanterre, Ivry, Choisy-le-Roi, les villes phares de la banlieue rouge, gorgées d'histoire ouvrière, se teintent de sépia.
durée : 00:25:05 - Le Feuilleton - Par désir de paraître, par lâcheté, quelquefois par désespoir ou générosité, des gens ordinaires empruntent ces Passages d'enfer générés par l'ordre social.
durée : 00:24:49 - Le Feuilleton - L'auteur zappe de chaîne en chaîne avec férocité et humour pour décrire les usages et les abus d'une télévision qui n'est que le reflet de notre société.
durée : 00:24:51 - Le Feuilleton - 17 octobre 1961: la manifestation organisée par le FLN pour protester contre le couvre-feu imposé aux Français musulmans est réprimée sauvagement par la police.
durée : 00:28:57 - Le Feuilleton - "Les défunts sont des égoïstes, ils s'arrangent pour que les vivants peinent à leur place et qu'en outre, ils soient torturés par le remords de mal s'y prendre."
durée : 00:28:46 - Le Feuilleton - "Cette conjugaison de chaleur, de dureté et de douceur qu'on ne trouve nulle part ailleurs que dans le corps humain, la meilleure et la plus dangereuse chose qui soit en ce monde"
durée : 00:28:42 - Le Feuilleton - "Jens qui ne craint aucune tempête et a traversé des landes périlleuses par des temps déchaînés sans jamais plier est figé dans l'effroi. La mer le paralyse."
durée : 00:28:29 - Le Feuilleton - "Les mots écrits peuvent avoir plus de profondeur que ceux qui sont dits, comme si le papier libérait des mondes inconnus, prisonniers d'un enchantement."
durée : 00:29:00 - Le Feuilleton - "Quelque part dans l'aveuglante tempête de neige et le froid, la nuit d'avril s'immisce entre les flocons qui s'accumulent sur l'homme et sur les deux chevaux."
durée : 00:25:34 - Le Feuilleton - "M'interdisant les mers et l'élan et l'envol, et rivant ma semelle à ce socle de terre, qu'avez-vous obtenu ? Éblouissant calcul : vous n'avez pas mis fin au remuement des lèvres."
durée : 00:25:27 - Le Feuilleton - Non, de personne jamais je ne fus le contemporain
durée : 00:25:40 - Le Feuilleton - "Ma mémoire abhorre tout ce qui est personnel. S'il ne tenait qu'à moi, je répondrais à l'évocation du passé par une simple grimace."
durée : 00:25:34 - Le Feuilleton - Le premier recueil de textes en prose d'Ossip Mandelstam, Le bruit du temps, a été écrit pendant l'été 1923. C'est un livre consacré aux souvenirs d'enfance et à l'air du temps d'une époque, les dernières années du XIXème siècle en Russie.
durée : 00:25:38 - Le Feuilleton - "Je n'ai pas envie de parler de moi, mais d'épier les pas du siècle, le bruit et la germination du temps."
durée : 00:24:22 - Le Feuilleton - "Je sens que nous sommes tout près, séparés seulement par un peu de cette terre dans laquelle on l'a couchée sans cercueil. Maintenant Aziyadé est vivante."
durée : 00:24:34 - Le Feuilleton - "Le souvenir d'elle, le regret qui vient d'elle, et le remords lourd, sont sur moi comme un oppressant manteau de deuil."
durée : 00:24:22 - Le Feuilleton - "Mon Dieu, on a tout changé. Je ne parviens plus à m'orienter. C'était bien là pourtant. Ma maison et les deux ou trois qui l'entouraient n'existent plus"
durée : 00:24:17 - Le Feuilleton - "Tout à coup, comme nous approchons de la terre, il nous arrive une senteur pénétrante, spéciale, exquise à mes sens : la senteur de la terre turque."
durée : 00:24:05 - Le Feuilleton - "Non, je ne sais plus rien d'elle. Les rares petites lettres qui m'arrivaient encore, ont cessé, depuis sept ans bientôt, de m'apporter leur plainte étouffée"
durée : 00:24:38 - Le Feuilleton - "Je luttais ; je désirais sincèrement, profondément, faire ce qui était bien, et cela seulement. "Montre-moi la voie ! " criai-je au Ciel. "
durée : 00:24:50 - Le Feuilleton - "Avec le temps, j'étais devenue populaire dans le village. Vivre ainsi parmi la bienveillance générale, c'est comme de s'asseoir au soleil... "
durée : 00:24:18 - Le Feuilleton - "Au bout de deux jours de route, le cocher me déposa dans un endroit appelé Whitcross. Je ne possédais plus un shilling. Je n'avais plus rien."
durée : 00:24:50 - Le Feuilleton - "Les mois de fiançailles touchaient à leur fin : quelques heures seulement me séparaient du grand jour, du jour des noces. "
durée : 00:24:59 - Le Feuilleton - "J'étais donc enfermée dans une des cellules mystérieuses de ce sinistre troisième étage ; et un spectacle sanglant s'offrait à mes yeux."
durée : 00:24:35 - Le Feuilleton - " Cela faisait maintenant huit semaines que Mr. Rochester était là. Il me semblait parfois trouver en lui un parent plutôt qu'un maître. Mais une nuit. "
durée : 00:24:23 - Le Feuilleton - "L'air était tranquille et ma route solitaire ; j'allai vite jusqu'à ce que je me fusse réchauffée. Un bruit soudain effaça le doux bruissement des eaux."
durée : 00:24:40 - Le Feuilleton - "Je ne connaissais de l'existence que les règlements de l'école, ses obligations, ses habitudes, ses visages, son uniforme. Tout cela ne me satisfaisait plus ! "
durée : 00:24:30 - Le Feuilleton - "Je m'appuyai contre un pilier et, serrant mon manteau gris autour de moi, j'essayai d'oublier le froid qui me transperçait et la faim qui me tenaillait."
durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - "Tout le monde répétait que j'étais méchante, et peut-être l'étais-je. Ne venais-je pas de penser à me laisser mourir de faim ?"
durée : 00:29:04 - Le Feuilleton - Attachés à un arbre, abandonnés sans armes ni vivres, le sort de Corentin, Camille et Christian est désormais aux mains de la forêt.
durée : 00:29:17 - Le Feuilleton - La caravane de Corentin sauvagement attaquée est sauvée par un groupe de soldats qui convoient des esclaves. Corentin tente de libérer les hommes enchaînés.
durée : 00:29:03 - Le Feuilleton - Après un naufrage qui provoque de lourdes pertes humaines, les Français font escale dans la cité de Lukoleta, un royaume opulent au cœur de l'Afrique.
durée : 00:29:06 - Le Feuilleton - Après une traversée pour le moins compliquée, Corentin Tréguier pose le pied sur le sol d'Afrique les yeux émerveillés.
durée : 00:29:03 - Le Feuilleton - 1872. L'Europe s'intéresse de près à l'Afrique. Le jeune capitaine Corentin Tréguier est envoyé sur les rives du Congo pour une mission très spéciale.
durée : 00:24:48 - Le Feuilleton - La plus grande partie du dénouement de cette histoire s'est perdue dans le brouillard...
durée : 00:24:37 - Le Feuilleton - Alors que Gemma tente de se consoler de sa rupture avec son amant et de remettre de l'ordre dans sa vie, Charlie décide de la quitter.