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Grands récits de l'histoire de France.Récits d'épisodes-clés, portraits, synthèses sur des sujets d'histoire qui font l'actualité composent ce recueil, faisant revivre à travers eux la grande histoire de France. Sélectionnés avec soin parmi les chroniques enlevées et passionnantes que Guillaume Perrault publie dans Le Figaro, les textes ici retenus ont été attentivement retravaillés pour cette édition. En voici le sommaire : - Paris et ses ordures : des siècles de lutte pour la salubrité publique - Louis XIV, ce roi qui a lutté contre la maladie toute sa vie - L'incroyable faillite de la banque de John Law : histoire d'un traumatisme français - Pourquoi Louis XVI fut un grand roi - Marie-Antoinette et Axel de Fersen : jusqu'où ont été leurs amours ? - Guerre de Vendée. Ces vérités qui dérangent - Quand Napoléon Bonaparte était à Gaza : un épisode oublié de l'histoire - L'antisémitisme de gauche : une vieille histoire depuis deux cents ans - 8 janvier 1934 : l'affaire Stavisky, ce scandale qui va entraîner les émeutes du 6 février et ébranler la IIIe République - Émile Boutmy, l'homme qui a fondé Sciences Po - Il y a quatre-vingts ans : la création du Conseil national de la Résistance présidé par Jean Moulin - Les régimes spéciaux, un privilège injuste ? Leur histoire de Louis XIV à aujourd'hui - Georges Pompidou, ou les vertus qui manquent tant à nos gouvernants - Raymond Aron, quarante ans après sa mort : un maître pour comprendre les défis d'aujourd'hui - Quel roi pour la France ?Son auteur, Guillaume Perrault, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 26 mai 2025 : Trump : Poutine "est devenu complètement fou"Donald Trump a durci le ton contre le maître du Kremlin après un week-end d'attaques russes meurtrières en Ukraine malgré les pourparlers engagés pour arriver à un cessez-le-feu. Le président des États-Unis dit vouloir une fin rapide de la guerre mais, malgré son optimisme affiché lundi dernier après un appel de près de deux heures avec son homologue russe, les bombardements se sont intensifiés ces derniers jours. La nuit dernière, 355 drones ont été lancés sur l'Ukraine, un record depuis le début de l'invasion russe en février 2022.Un peu plus tôt dans la journée Donald Trump a fait part de son mécontentement vis-à-vis de Vladimir Poutine, qui "envoie des roquettes sur des villes et tue des gens" en Ukraine alors que "nous sommes en pleines discussions" pour parvenir à un éventuel cessez-le-feu. "J'ai toujours eu de très bonnes relations avec (le président) russe Vladimir Poutine mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU", a écrit Donald Trump sur le réseau social Truth Social. "J'ai toujours dit qu'il voulait TOUTE l'Ukraine, pas seulement une partie, et peut-être que cela se révèle juste mais s'il le fait, cela mènera à la chute de la Russie !", a-t-il ajouté.Ces attaques russes ont poussé Kiev et ses alliés européens à appeler à punir Moscou et à exercer une plus forte pression internationale sur la Russie, pour notamment limiter ses exportations de pétrole et le gaz, essentiels à son effort de guerre. Mais Donald Trump reste évasif sur toute action concrète visant la Russie alors que dans le même temps il multiplie les volte-face vis-à-vis de l'Union européenne. Ainsi après avoir menacé l'UE, vendredi, de lui imposer des droits de douane à hauteur de 50 % à partir du 1er juin, le président américain a rétropédalé, dimanche soir. Il a annoncé reculer cet ultimatum au 9 juillet prochain, soit plus ou moins un retour à la date initiale. Celle de la fin de la période de trois mois qu'il a laissé au monde entier, début avril, avant l'entrée en vigueur de ses "droits de douane réciproques".En déplacement en Asie du sud-est, Emmanuel Macron s'est dit ce lundi "confiant" au sujet des discussions commerciales entre l'Union européenne et les États-Unis. Il a, par ailleurs, estimé que "le président Trump réalise que lorsque le président Poutine lui a dit qu'il était prêt à la paix, il lui a menti". Lors de ce point presse, le chef d'État a également réagi aux images le montrant recevant dans le visage une main de son épouse dans l'avion, à leur arrivée à Hanoï dimanche soir et qui ont suscité de très nombreux commentaires sur les réseaux sociaux. "On se chamaillait, on plaisantait", a assuré le chef de l'Etat. "Nous sommes surpris de voir que ça devient une espèce de catastrophe planétaire. C'est un peu n'importe quoi, il faut que tout le monde se calme". Les vidéos sont vraies mais on fait dire aux vidéos beaucoup de bêtise", a ajouté Emmanuel Macron alors qu'une autre vidéo du chef de l'Etat dans un train pour Kiev, avait agité ces dernières semaines les milieux complotistes, le voyant cacher un mouchoir usagé, interprété comme étant un sachet de cocaïne.LES EXPERTS :- JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express
C dans l'air du 26 mai 2025 : Trump : Poutine "est devenu complètement fou"LES EXPERTS :- JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express
C dans l'air du 22 mai 2025 : Retailleau/Villepin : la guerre est déclarée !Il est depuis dimanche le nouveau chef de la droite française. Avec près de 74 % des suffrages des adhérents, Bruno Retailleau a été élu à la présidence du parti Les Républicains. Une large victoire pour le ministre de l'Intérieur, face à son rival Laurent Wauquiez (25,7%) saluée ces dernières heures dans son camp. Néanmoins dans le concert de louanges, une voix détonne : celle de Dominique de Villepin. L'ancien Premier ministre de Jacques Chirac a fustigé sur Franceinfo "une dérive tragique dans l'évolution de ce parti politique que l'on appelait la droite républicaine, qui est en fait une droite réactionnaire, ultraconservatrice, identitaire, qui fait la course avec le Rassemblement national. Quand j'entends Bruno Retailleau sur bon nombre de sujets, j'ai du mal à faire la différence avec le RN". Malgré le nom de la formation aujourd'hui présidée par Bruno Retailleau, l'ex-ministre des Affaires étrangères affirme "ne pas voir beaucoup de République" dans les idées défendues. Et d'enfoncer le clou : "J'attends toujours les premiers résultats de Bruno Retailleau au ministère de l'Intérieur. Je vois beaucoup de rodomontades, de déclarations, de 20 heures, mais je ne vois pas de résultats (…) M. le ministre, au boulot ! Au boulot pour les Français ! La politique, ça ne se fait pas dans les antichambres. Ça ne se fait pas avec des doubles casquettes. Ça se fait à plein temps. Pas en amateur. Et là, nous sommes devant des amateurs" a affirmé Dominique de Villepin.Ancien dauphin de Philippe de Villiers, soutien de François Fillon à la présidentielle de 2017, le ministre de l'Intérieur multiplie depuis son arrivée place Beauvau, les sorties médiatiques et les phrases chocs. Sur l'État de droit qu'il juge ni "intangible ni sacré", l'immigration et la lutte contre la drogue, ses thèmes favoris, il ne renie rien de son passé villieriste et souverainiste, dénonçant "l'ensauvagement", un "chaos migratoire" ou un processus de "décivilisation"- concept emprunté au théoricien d'extrême droite Renaud Camus - qui serait, selon lui, à l'œuvre dans la société française. Et ces derniers jours il a fait fuiter un rapport classé secret-défense sur "l'entrisme" des Frères musulmans dans Le Figaro, avant un Conseil de défense. Ce qui lui a valu un rappel à l'ordre du président de la République. Agacé, Emmanuel Macron a retoqué hier ses premières propositions et lui a demandé d'en proposer d'autres, plus efficaces, lors d'un prochain Conseil de défense début juin. Qu'à cela ne tienne, dans une longue interview dans les colonnes du Parisien-Aujourd'hui France, Bruno Retailleau a avancé ses propositions contre l'islamisme et prévenu que les ministres LR quitteront le gouvernement "si leurs convictions ne sont plus respectées".Alors quelles sont les ambitions de Bruno Retailleau ? Inconnu du grand public il n'y a pas si longtemps, que sait-on de lui, de sa pensée, de son projet ? Quelle est son idéologie ? Son élection à la tête des LR marque-t-elle un tournant pour la droite française ? Et que contient le rapport sur l'entrisme des Frères musulmans ? LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique, conseiller de la rédaction - Franc-Tireur - Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste au Point - Brice TEINTURIER - Directeur général délégué - Institut de sondages IpsosPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
Question posée hier par Donald Trump à Vladimir Poutine. Question à la Une du site du Süddeutsche Zeitung à Munich. Question sans réponse nette…« Tout ça pour ça », soupire Libération à Paris. « C'était le troisième entretien téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine, depuis le retour du républicain à la Maison Blanche. Objectif annoncé : “Mettre fin au bain de sang“ en Ukraine. Résultat : plus de deux heures d'une conversation jugée satisfaisante par les deux présidents. Une annonce tonitruante – et attendue – de négociations imminentes. Mais en réalité, déplore Libération, beaucoup de bruit pour rien, une fois de plus. »Certes, pointe Le Figaro, « Vladimir Poutine s'est dit prêt à travailler sur un mémorandum avec l'Ukraine. Une façon d'apaiser son homologue américain et de gagner du temps. Car le chef du Kremlin s'arc-boute toujours sur ses positions maximalistes. »En effet, souligne le Washington Post, « le problème le plus important est que Poutine n'a pas montré qu'il souhaitait la paix. Il veut toujours la victoire, en utilisant une fois de plus l'expression “éliminer les causes profondes de la crise“. Ce qui signifie que pour lui l'Ukraine ne peut pas être un pays européen, comme elle le souhaite, mais qu'elle doit rester sous l'hégémonie russe. »En fait, soupire Le Temps à Genève, « le premier (Trump) est pressé d'en finir et de passer à autre chose. Le second (Poutine) reste persuadé que le temps travaille pour lui. » La balle dans le camp des Européens ?Résultat, analyse Die Welt à Berlin : « Poutine peut considérer cette journée comme une victoire – et maintenant, c'est aux Européens de jouer. La pression s'accroît désormais sur eux. L'unité transatlantique récemment annoncée se termine plus vite qu'elle n'a commencé. Néanmoins, la menace européenne de durcir les sanctions demeure, même si elle aurait dû être mise à exécution lorsque Poutine a laissé expirer l'ultimatum pour un cessez-le-feu inconditionnel. Ce mardi, les ministres des Affaires étrangères de l'UE se réunissent à Bruxelles et doivent tenir leurs engagements. Mais sans pouvoir compter sur Donald Trump. »« Anxieuse, polarisée et terriblement imprévisible… »L'Europe justement, confrontée à la montée des nationalismes… Certes, relève le Guardian à Londres, on a assisté dimanche en Roumanie, « à un retournement de situation spectaculaire : Nicușor Dan, le maire centriste de Bucarest, a bénéficié du taux de participation le plus élevé depuis 30 ans pour remporter une large victoire à la présidentielle, face au candidat d'extrême-droite. » Certes, poursuit le quotidien britannique, « le centre a également tenu bon en Pologne, où le maire libéral de Varsovie, Rafał Trzaskowski, a remporté de justesse le premier tour d'une autre élection présidentielle cruciale, devant l'historien nationaliste Karol Nawrocki. »Mais, pointe le Guardian, « dans un contexte de crise persistante du coût de la vie et alors que les principaux partis se font l'écho des programmes d'extrême droite sur l'immigration, la politique européenne reste anxieuse, polarisée et terriblement imprévisible. »La montée des extrêmes…Et l'extrême-droite reste en embuscade… Exemple, au Portugal, où « le populisme progresse », s'alarme El Pais à Madrid. L'extrême droite, Chega, a en effet franchi un cap en dépassant dimanche la barre des 20% aux élections législatives, et se retrouve désormais en position de diriger l'opposition au gouvernement de droite modérée de Luis Montenegro, reconduit sans majorité stable après une année au pouvoir. « André Ventura, le leader de Chega, prendrait ainsi pour la première fois ce rôle au leader du Parti socialiste, relève le quotidien espagnol. (…) Il appartient désormais aux progressistes, poursuit El Pais, de s'engager dans une autocritique et d'analyser les raisons pour lesquelles le discours d'extrême droite a pénétré si profondément, et en si peu de temps, dans un pays, le Portugal, qui a mis fin à une dictature il y a un demi-siècle. »La France submergée par le « tsunami blanc »Enfin, c'est une enquête à lire dans La Croix : une grande enquête, en cinq volets, sur le trafic de drogue en France. « Les chiffres donnent le tournis, s'exclame le journal. En 2023, plus d'un million de personnes en France, toujours plus jeunes, avaient consommé de la cocaïne au moins une fois. Le double, comparé à 2022. Quant aux autorités, elles ont saisi 23 tonnes de cette poudre blanche, 15 fois plus que les chiffres constatés dans les années 1990. La drogue est devenue, au fil du temps, un problème majeur de la société française : le “tsunami blanc“, l'appellent désormais les spécialistes. »Premier volet donc de cette enquête à lire dans La Croix qui nous emmène « de la Colombie à Dubaï, pour savoir qui sont ceux qui produisent, consomment, pâtissent et profitent de la vente de la drogue. »
C dans l'air du 19 mai 2025 : Trump / Poutine : un coup de fil décisif ? LES EXPERTS :Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique pour Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis et éditorialiste à Ouest France Jean-Dominique GIULIANI - Président de la Fondation Robert Schuman, auteur de « Européen sans complexe » Paul GOGO – Journaliste, ancien correspondant à Moscou
C dans l'air du 19 mai 2025 : Trump / Poutine : un coup de fil décisif ? « Mettre fin au bain de sang ». Tel est l'enjeu, selon les mots de Trump, du coup de fil qu'il aura à seize heures (heure française) avec Poutine. Cet entretien aura lieu trois jours après l'échec, à Istanbul, des pourparlers entre Kiev et Moscou. Les premières discussions directes entre les deux pays depuis 2022 n'ont en effet pas abouti à un cessez-le-feu. Le président américain cherche donc à remettre la pression sur le chef du Kremlin pour arrêter cette guerre.Zelensky, lui, a été reçu hier en audience privée le pape Léon XIV. Dans sa messe inaugurale de son pontificat, celui-ci a évoqué une Ukraine « martyrisée » et en a appelé à une « paix juste et durable ». Plus de trois ans après le début de ce conflit, c'est donc toute la communauté internationale qui pousse aujourd'hui à la paix.Pendant ce temps, les Britanniques retendent la main aux Européens lors du sommet Royaume-Uni - UE qui se tient à Londres. Il s'agit du premier sommet de cet ordre depuis le Brexit. Il est destiné à poser les fondations d'une relation plus étroite, en particulier en matière de défense. La guerre en Ukraine, et l'instabilité engendrée par le retour de Trump, favorisent ce rapprochement.Cette défense européenne devra se concentrer sur les cyberattaques, notamment russes. De nombreuses administrations sont visées. En France, les cyberagressions russes sont quotidiennes selon un document confidentiel de la DGSI et de la DGSE qui, pour y contrer, recrutent dans la cybersécurité. Alors, sur quoi peut déboucher la discussion entre Trump et Poutine ? Quelles relations futures entre le Royaume-Uni et l'Europe ? Comment se protéger des cyberattaques ?LES EXPERTS :Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique pour Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-UnisÉditorialiste à Ouest France Jean-Dominique GIULIANI - Président de la Fondation Robert Schuman, auteur de « Européen sans complexe » Paul GOGO – Journaliste, ancien correspondant à MoscouPRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
L'offensive israélienne pourrait être déclenchée dans les heures qui viennent… « Gaza dans l'inconnu » titre L'Orient-le-Jour. « Des renforts israéliens se préparent à la frontière de Gaza, à ce qui devrait être une invasion brutale, ressemblant à un massacre », avertit sur X le journaliste palestinien Younis Tirawi, cité par le quotidien francophone libanais. Le journal d'opposition israélien Haaretz annonce de son côté « une opération élargie », alors que « les frappes israéliennes ont fait hier plus de 100 morts ». En Suisse, Le Temps tape du poing sur la table. Dans son éditorial, Madeleine von Holzen, s'indigne « que le droit humanitaire international soit piétiné par le gouvernement israélien à Gaza où la population meurt sous les bombardements et par la faim ». « Cette situation », nous dit-elle, « est intolérable ». En France, Mediapart fait aussi part de sa colère : « Génocide à Gaza, que fait le monde ? » interroge le site d'information, qui reprend les propos de Tom Fletcher, secrétaire général adjoint des Nations unies, il y a quelques jours : « que dirons-nous aux générations futures ? Que nous avons fait tout ce que nous pouvions ? Ce sont des mots vides de sens », a lancé Tom Fletcher.La cohabitation : stop ou encore A la Une de l'actualité également, le premier tour de l'élection présidentielle demain en Pologne. « Le camp libéral résistera-t-il aux conservateurs du Pis ? » interroge Courrier international qui a lu la presse polonaise… « Elle souligne, nous dit-il, l'enjeu de l'élection présidentielle (…) mettre fin à la cohabitation entre le camp national conservateur à la présidence et le gouvernement pro-européen du premier ministre Donald Tusk – ou la prolonger ». « Stop ou encore à la cohabitation », annonce ainsi l'hebdomadaire Polityka, qui cite le sociologue Andrzej Rychard, selon lequel « cette élection sera extrêmement importante pour la Pologne, aussi importante que celle de 1989 et 2023 ». Et le sociologue va plus loin : « Si le candidat de la coalition gouvernementale Rafal Trzaskowski l'emporte », assure-t-il, « nous avons une chance (…) de finaliser (…) la reconstruction de la démocratie libérale et le renforcement de la Pologne en Europe ».De son côté, Gazeta Wyborcza, estime que si le candidat de la coalition gouvernementale perd, « nous serons confrontés, jusqu'aux élections législatives, à deux années de divisions violentes (…) et à une cohabitation pleine de tensions ». Il y a aussi une inconnue : le score que fera le parti d'extrême droite Konfederacja. « Il pourrait bien s'imposer comme la troisième force politique du pays », estime Courrier international.Deux candidats pour un fauteuilLa presse française s'intéresse au duel entre Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez, qui vont se disputer ce week-end la tête de LR, Les Républicains. « Qui va expulser l'autre ? » titre ironiquement Libération, faisant implicitement allusion à l'un des sujets préférés des deux hommes : l'immigration. « Les adhérents LR votent ce week-end pour désigner leur président », explique le quotidien français. « Face à face, le ministre de l'Intérieur et le patron du groupe à l'Assemblée. Un avant-goût de la bataille interne pour 2027 ». Autrement dit, pour la prochaine élection présidentielle. Et à ce petit jeu, les deux hommes présentent quasiment le même programme, si l'on en croit Le Figaro. Pour le journal conservateur, « rarement deux rivaux auront été plus proches sur le fond (…) tous deux prônent une droite qui n'a pas peur de son ombre et qui, pour cela, entend tourner clairement la page du macronisme et érige La France Insoumise en menace absolue ».Libération présente la situation de manière plus caustique, estimant notamment que Laurent Wauquiez « a tenté de compenser de mauvais choix politiques, par des saillies plus navrantes les unes que les autres ». Cette élection à la tête de LR, intéresse aussi nos voisins belges, le quotidien le Soir s'amuse de cette « droite française », qui est « en quête d'un chef pour revenir au pouvoir ». « Cela fait près de 20 ans qu'elle n'a plus conquis l'Elysée », rappelle le journal belge.
Organiser un référendum en France n'a rien d'anodin, ni sur le plan politique, ni sur le plan budgétaire. C'est ce qu'a rappelé récemment le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau, précisant que la tenue d'un référendum national coûte entre 100 et 200 millions d'euros, selon qu'il soit organisé de manière dématérialisée ou classique.200 millions pour un vote traditionnelLors de son intervention au Grand Jury RTL - Public Sénat - Le Figaro, Bruno Retailleau a estimé qu'un référendum non dématérialisé, c'est-à-dire se déroulant de manière traditionnelle avec bulletins papier, bureaux de vote, personnel électoral et matériel physique, coûtait environ 200 millions d'euros.Cette somme inclut :L'impression des bulletins de vote et des documents de propagande.La logistique nationale, avec des milliers de bureaux de vote à mettre en place partout sur le territoire.La rémunération du personnel mobilisé, notamment les agents municipaux.La sécurisation des opérations électorales.Le dépouillement et la transmission des résultats.Un tel dispositif nécessite la coopération de plus de 35 000 communes françaises, ce qui en fait une machine administrative lourde et coûteuse, d'autant plus si plusieurs questions sont posées simultanément.100 millions pour une version numérique... mais risquéeUne version entièrement dématérialisée du référendum, envisagée pour faire des économies, verrait son coût divisé par deux, soit environ 100 millions d'euros. Cette formule implique le développement d'une plateforme numérique sécurisée, l'hébergement des données, ainsi qu'une infrastructure technique garantissant la fiabilité du scrutin.Mais cette solution comporte des risques importants, comme l'a rappelé le ministre :Fracture numérique : des millions de Français, notamment les plus âgés ou vivant en zones rurales, pourraient se retrouver exclus ou en difficulté.Cyberattaques et contestation de la légitimité : la sécurité informatique et la transparence du vote seraient sous étroite surveillance.Un calendrier serré, des règles strictesRetailleau a aussi rappelé qu'un référendum ne s'improvise pas. Il faut prévoir une campagne officielle, la mise au point de la propagande électorale, la logistique, et le contrôle de la sincérité du scrutin. Résultat : aucun vote ne pourrait avoir lieu avant l'été, mais une organisation à l'automne est envisageable, y compris avec deux ou trois questions, à condition qu'elles soient formulées clairement et juridiquement solides. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSApple Siri : Le Parisien, La Dépêche, Le Figaro, Le HuffpostEmmanuel Macron : BFMTV, Europe 1Astérix & Obélix : Ouest-France, Le ParisienEmission MrBeast : BFMTV, VarietyThe Bear : BFMTV, Le HuffpostMylène Farmer : Le Figaro, BFMTVÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Lisa Impératrice Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C'est ce que l'on peut lire dans Le Djély pour parler de la condamnation, en appel, de l'ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz. « La descente aux enfers se poursuit » affirme le journal. Condamné en première instance à cinq ans de prison, sa peine a été alourdie hier : 15 ans pour corruption et enrichissement illégal notamment. Une sanction lourde qui nous pousse, selon le Djély qui « tire [son] chapeau aux autorités mauritaniennes », « à envisager ce verdict comme une première, susceptible d'inspirer d'autres pays ».Même constat pour le Quotidien de Nouakchott qui salue « une avancée majeure dans la lutte contre l'impunité au moment où la Mauritanie cherche à redorer son image sur la scène internationale » avant de conclure : « Reste à voir si cette décision apaisera les tensions politiques ou ravivera les clivages, dans un pays où l'équilibre entre justice et politique reste fragile ».« Une réponse immédiate, ferme et strictement proportionnée »C'est ce qu'affirme Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères qui a annoncé « le renvoi, en Algérie, de tous les agents titulaires de passeports diplomatiques qui n'auraient pas actuellement de visa ». Une nouvelle flambée de tensions qu'analyse TSA ce matin : « la crise franchit le seuil de l'inconnu » affirme le journal pour qui « les dernières lignes rouges ont peut-être été franchies ». « Les deux pays n'ont pas connu pareille escalade depuis 60 ans ».Mais pour le Matin d'Algérie, cette crise, c'est avant tout « une diversion permanente » d'Abdelmadjid Tebboune : « Plutôt que d'engager de véritables réformes structurelles, le pouvoir en place préfère agiter le spectre de l'ingérence étrangère, instrumentaliser la mémoire coloniale pour ressouder une légitimité inexistante » et pointe la situation alarmante des libertés publiques en prenant l'exemple de Boualem Sansal et des deux mandats d'arrêt émis il y a quelques jours contre Kamel Daoud, installé en France.L'écrivain, lauréat du Prix Goncourt l'année dernière, se confie par ailleurs dans Le Figaro ce matin et considère que « L'Algérie a été colonisée par la France. Mais en faire le pain quotidien, cela veut dire que nous n'arrivons pas à fabriquer du vrai pain »… Kamel Daoud qui regrette d'être vu comme un « traitre en Algérie, un "mauvais arabe" en France ».« Pourquoi la croissance de l'Afrique est synonyme d'échec pour sa population ? »Question posée ce matin par le Daily Nation qui consacre un dossier aux inégalités en Afrique subsaharienne. On y apprend qu'elles sont créées, entre autres, par le lieu de naissance, de résidence et, logiquement, que les revenus, l'accès à l'éducation et aux soins varient d'une population à l'autre.Mais pour le journal kényan, c'est bien le marché du travail qui reste « le principal facteur des inégalités ».On y apprend ainsi que sur le continent, seuls 15% des emplois sont déclarés, une proportion qui augmente ! Alors même que dans le secteur dit formel, les inégalités salariales en Afrique sont parmi les plus élevées au monde par exemple : « en Afrique du Sud, les travailleurs occupant des emplois hautement qualifiés gagnent près de cinq fois plus que ceux occupant des emplois peu qualifiés ».Une condamnation à présent…Celle de deux belges âgés de 19 ans. C'est Ivoire Matin qui revient sur cette histoire. Celle de deux jeunes hommes arrêtés le 5 avril dernier dans une maison d'hôtes de Naivasha, une ville touristique située à 90 kilomètres de Nairobi, la capitale kényane. Venus avec un visa touristique, ils auraient tenté « de faire passer en contrebande 5000 fourmis protégées » pour les vendre en Europe et en Asie. Valeur estimée du butin : 1,2 million de shillings soit environ 8100 euros.Si cela peut prêter à sourire, il s'agit, selon le Kenya Wildlife Service d'un tout nouveau business florissant : « les trafiquants délaissent les grands animaux pour des espèces plus petites mais essentielles à l'équilibre naturel », et ces deux belges ne sont pas les premiers à se faire attraper, un kényan et un vietnamien ont eux aussi été arrêtés à Nairobi avec 400 autres fourmis.
C'est ce que l'on peut lire dans Le Djély pour parler de la condamnation, en appel, de l'ancien président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz. « La descente aux enfers se poursuit » affirme le journal. Condamné en première instance à cinq ans de prison, sa peine a été alourdie hier : 15 ans pour corruption et enrichissement illégal notamment. Une sanction lourde qui nous pousse, selon le Djély qui « tire [son] chapeau aux autorités mauritaniennes », « à envisager ce verdict comme une première, susceptible d'inspirer d'autres pays ».Même constat pour le Quotidien de Nouakchott qui salue « une avancée majeure dans la lutte contre l'impunité au moment où la Mauritanie cherche à redorer son image sur la scène internationale » avant de conclure : « Reste à voir si cette décision apaisera les tensions politiques ou ravivera les clivages, dans un pays où l'équilibre entre justice et politique reste fragile ».« Une réponse immédiate, ferme et strictement proportionnée »C'est ce qu'affirme Jean-Noël Barrot, le ministre français des Affaires étrangères qui a annoncé « le renvoi, en Algérie, de tous les agents titulaires de passeports diplomatiques qui n'auraient pas actuellement de visa ». Une nouvelle flambée de tensions qu'analyse TSA ce matin : « la crise franchit le seuil de l'inconnu » affirme le journal pour qui « les dernières lignes rouges ont peut-être été franchies ». « Les deux pays n'ont pas connu pareille escalade depuis 60 ans ».Mais pour le Matin d'Algérie, cette crise, c'est avant tout « une diversion permanente » d'Abdelmadjid Tebboune : « Plutôt que d'engager de véritables réformes structurelles, le pouvoir en place préfère agiter le spectre de l'ingérence étrangère, instrumentaliser la mémoire coloniale pour ressouder une légitimité inexistante » et pointe la situation alarmante des libertés publiques en prenant l'exemple de Boualem Sansal et des deux mandats d'arrêt émis il y a quelques jours contre Kamel Daoud, installé en France.L'écrivain, lauréat du Prix Goncourt l'année dernière, se confie par ailleurs dans Le Figaro ce matin et considère que « L'Algérie a été colonisée par la France. Mais en faire le pain quotidien, cela veut dire que nous n'arrivons pas à fabriquer du vrai pain »… Kamel Daoud qui regrette d'être vu comme un « traitre en Algérie, un "mauvais arabe" en France ».« Pourquoi la croissance de l'Afrique est synonyme d'échec pour sa population ? »Question posée ce matin par le Daily Nation qui consacre un dossier aux inégalités en Afrique subsaharienne. On y apprend qu'elles sont créées, entre autres, par le lieu de naissance, de résidence et, logiquement, que les revenus, l'accès à l'éducation et aux soins varient d'une population à l'autre.Mais pour le journal kényan, c'est bien le marché du travail qui reste « le principal facteur des inégalités ».On y apprend ainsi que sur le continent, seuls 15% des emplois sont déclarés, une proportion qui augmente ! Alors même que dans le secteur dit formel, les inégalités salariales en Afrique sont parmi les plus élevées au monde par exemple : « en Afrique du Sud, les travailleurs occupant des emplois hautement qualifiés gagnent près de cinq fois plus que ceux occupant des emplois peu qualifiés ».Une condamnation à présent…Celle de deux belges âgés de 19 ans. C'est Ivoire Matin qui revient sur cette histoire. Celle de deux jeunes hommes arrêtés le 5 avril dernier dans une maison d'hôtes de Naivasha, une ville touristique située à 90 kilomètres de Nairobi, la capitale kényane. Venus avec un visa touristique, ils auraient tenté « de faire passer en contrebande 5000 fourmis protégées » pour les vendre en Europe et en Asie. Valeur estimée du butin : 1,2 million de shillings soit environ 8100 euros.Si cela peut prêter à sourire, il s'agit, selon le Kenya Wildlife Service d'un tout nouveau business florissant : « les trafiquants délaissent les grands animaux pour des espèces plus petites mais essentielles à l'équilibre naturel », et ces deux belges ne sont pas les premiers à se faire attraper, un kényan et un vietnamien ont eux aussi été arrêtés à Nairobi avec 400 autres fourmis.
Imaginez, votre tirelire ne pèse plus une tonne, elle tient uniquement dans douze petits mots. Autrement dit, votre code secret pour vos cryptomonnaies. Mais voilà, quelqu'un vous les a fait répéter sous la menace d'un couteau et tout votre patrimoine s'évapore. C'est le film d'horreur bien réel qui secoue la planète Crypto depuis début mai. En plein Paris, des ravisseurs ont sectionné le doigt d'un père pour débloquer le portefeuille numérique de son fils, raconte Le Figaro. Et, trois mois plus tôt, l'ex-fondateur de Ledger, une société spécialisée dans la conception et la commercialisation de portefeuilles physiques de cryptomonnaies, subissait exactement la même brutalité : agression, rançon et phalanges sacrifiées. Pourquoi cette montée de la violence? Un, parce que dans le monde de la crypto monnaie, la valeur est portable. Plus de lingots à charger, juste un mot de passe à soutirer. Deux, parce que le public s'élargit. Il semblerait que 18 % des Français détiennent déjà des crypto. En tous cas, d'après le consultant Gemini, c'est effectivement un bel annuaire, très tentant pour les apprentis bandits. Et puis, troisième raison, l'étalage permanent, comme des selfies devant une belle voiture de sport ou une grosse villa, ou d'autres maladresses sur les réseaux sociaux. Le paradoxe est cruel : la crypto vit de visibilité, notamment pour lever des fonds ou inspirer confiance, mais elle réclame maintenant la discrétion d'un coffre fort. Donc, concrètement, il y a au moins trois réflexes simples à adopter : parler le moins possible de ses gains et de ses adresses séparer les usages. Un petit compte de poche, si je puis dire, pour payer les petites dépenses, et un vrai coffre hors ligne pour le gros du pactole installer une double validation pour tout transfert important : deux personnes ou deux appareils doivent confirmer avant que les fonds ne bougent. Moralité, bien que vous possédiez quelques euros en cryptomonnaies, ou des montants plus conséquents, retenez qu'il faut accumuler les précautions autant que la monnaie virtuelle. Un portefeuille bien caché vaudra toujours mieux qu'un bandage flambant neuf, et vos dix doigts vous en seront reconnaissants. criminalité, bitcoin, cryptomonnaie, mot de passe, code secret, couteau, attaque, enlèvement, menace, patrimoine, envolé, vol, hacking, paris, agression, déblocage, portefeuille numérique, fils, père, mère, Ex-fondateur, Ledger, société spécialisée, conception, commercialisation, portefeuilles physiques, violence, brutalité, rançons, phalanges sacrifiées, coupées, Québec, modérateur, forum crypto, échappé, pinces coupantes, Ukraine, homme mort, meurtre, argentine, influenceur, démembré, richesse, kidnapping, recette, montée violence, valeur portable, lingots, large public, consultant Gemini, bandits, étalage permanent, réseaux sociaux, selfies, voiture de sport, villa, malfaiteurs, risque, investisseurs, Dubaï, Monaco, ravisseurs, proches, parents, conjoints, enfants, registres d'entreprises, données fiscales, photos de soirées, paradoxe, cruel, visibilité, fonds, inspirer confiance, discrétion coffre-fort, secteur, bling bling, investir, sobriété, invisible, réflexes, gains, compte, dépenses, pactole, double validation transfert, autorités, Europe, directive DAC 8, hors ligne, plateformes, mouvements suspects, police, technologie, bon sens, protection, information proches, vérification, serrures, doigts, phalanges, précautions, moralité, monnaie virtuelle --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oui ou non ? À vous de voter ! Donnez votre avis et découvrez celui des autres internautes en répondant à la question du jour. Les résultats sont publiés sur la première page de notre quotidien Le Figaro. Vous retrouverez également sur cette page les autres questions posées par la rédaction numérique du Figaro pour débattre de l'actualité avec les lecteurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le président russe se rendra-t-il en personne, jeudi 15 mai, à Istanbul pour négocier la paix avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky ? Pour l'instant pas de réponse claire du Kremlin… Et en attendant, le président ukrainien accentue la pression. Dans un entretien accordé à plusieurs quotidiens européens, dont le Guardian à Londres et Libération à Paris, Volodymyr Zelensky revient sur ses discussions avec ses alliés occidentaux et son espoir d'un cessez-le-feu prochain.« Je suis prêt à aller à Istanbul, affirme-t-il. Mais, je ne crois pas que Poutine soit capable de venir, il aura peur ». Toutefois, « si Trump se déplace, cela incitera Poutine à faire de même », estime Volodymyr Zelensky. « Trump peut donc être d'une grande aide, s'il venait. Dans ce cas, si Poutine ne venait pas, cela ressemblerait à une défaite totale pour lui. (…) Il faut que Trump comprenne que Poutine ment, poursuit le président ukrainien. Et nous, de notre côté, nous devons être intelligents, montrer que nous ne sommes pas ceux qui ralentissent les processus, même quand il s'agit de compromis, parfois inconfortables ».Commentaire de Libération : « en proposant à Vladimir Poutine une rencontre en Turquie demain, Volodymyr Zelensky a réussi à le mettre dos au mur, (…) à le désarçonner. Poutine depuis, ne pipe mot. (…) Un énième tour de force qui pourrait amadouer les États-Unis et peser lourd dans le bras de fer diplomatique. (…) Il est peu probable, estime encore Libération, que cette semaine marque la fin de la guerre en Ukraine mais, si Zelensky parvient à se prévaloir du soutien des Européens et de Donald Trump (qui a annoncé que Marco Rubio serait en Turquie demain) et à mettre Poutine dans l'embarras, alors elle marquera assurément un tournant ».L'improbable cessez-le-feu…En effet, relève aussi le Guardian, « un cessez-le-feu durable ne semble malheureusement pas imminent. La Russie pourrait accepter une trêve à court terme, mais il est peu probable qu'elle cesse définitivement les combats dans les mois à venir. Les alliés de l'Ukraine doivent donc être prêts à la soutenir tout au long de la guerre. Cela implique d'accroître le soutien militaire européen. (…) La sécurité européenne passe par Kiev. En comprenant cela, les dirigeants de la coalition des pays volontaires continueront de soutenir l'Ukraine. Ils savent que la Russie représente la plus grande menace pour l'Europe. »En tout cas, renchérit Le Temps à Genève, « le cessez-le-feu exigé par les Européens a peu de chances d'entrer en vigueur lundi ou un jour prochain. Et la perspective d'un sommet Poutine-Zelensky n'est pas beaucoup plus probable étant donné la défiance accumulée entre Kiev et Moscou après plus de trois ans de guerre ».Le Temps qui cite cette remarque de Volodymyr Fesenko, analyste ukrainien, directeur du centre d'études politiques Penta, à Kiev : « aujourd'hui, dit-il, les deux belligérants se détestent, ne se font pas confiance et leurs positions de négociation, notamment sur le statut des territoires ukrainiens occupés, se contredisent radicalement et ne sont pas compatibles pour parvenir à un compromis ».Macron à la télé : fatigue démocratique ?À la Une également, l'interview d'Emmanuel Macron hier soir à la télévision… Plus de trois heures de débat… mais les journaux restent sur leur faim…« Emmanuel Macron, président touche-à-tout confronté à son impossibilité à agir », s'exclame Le Monde. « Dans une émission au format inédit, destinée à lui permettre de reprendre la main, le chef de l'État s'est exprimé sur tous les sujets, de la sécurité à l'Ukraine. Attendu sur une proposition de référendum, il a préféré ne pas s'engager “trop précisément“, ni sur les sujets qui pourraient donner lieu à une consultation, ni sur la date ».« Nous espérions des annonces, il a fallu se contenter d'analyses, soupire pour sa part Le Figaro. On nous avait promis une projection vers l'avenir, ce fut un retour perpétuel vers le passé. On croyait retrouver le débatteur brillant et fantasque, nous avons assisté au calvaire d'un homme désarmé qui peinait à dissimuler son impatience. Au terme de cet exercice médiatique censé clore le désordre provoqué par la dissolution, le résultat est inverse, constate encore Le Figaro : la fatigue démocratique paraît plus profonde que jamais. Un chef de l'État que l'on croit omnipotent a exposé publiquement son impuissance. Un pays en proie à des tourments existentiels a vu le président de la République répéter sur chacun des sujets “qu'il n'a pas tout bien fait“ mais que “depuis huit ans“ il n'a pas à rougir de son bilan ».
PRESS REVIEW – Wednesday, May 14: French papers are slightly unsure of what to make of President Emmanuel Macron's three-hour interview on national television. Also, a recent report on the risk of famine in Gaza continues to make front pages, as Israel's aid blockade continues. Next, Trump's visit to Saudi Arabia is scrutinised by American journalists and cartoonists alike. Finally, a maverick mallard has been caught by a speeding camera in Switzerland. Emmanuel Macron's Tuesday night TV address has left most of the French press a little confused. Le Figaro says that the president tried to defend his record. L'Opinion is also describing it as Macron on the defensive. The president had been relatively discreet in the French media recently. The paper says the interview was a very inconclusive end to Macron's media diet. La Provence is also unsure of what the president's message was. The paper says his interview was "without horizon nor solution". Aujourd'hui en France says that Macron seemed "powerless" after three hours spent defending his eight years in office, without providing much insight on the rest of his mandate.A UN-backed report published by experts on food security in Gaza has been widely covered in the press and features on front pages this Wednesday. Le Temps in Switzerland features a cartoon by Chapatte on its front page and reads: "In Gaza, children are also killed by hunger". The front page of L'Humanité is quite distressing and it accuses Israel of using hunger as a weapon of war. The BBC warns that the entire Gaza population is at critical risk of famine. The article says that aid groups have said the blockade could be a war crime and that it amounts to a policy of starvation. The New York Times, meanwhile, reveals that Israeli officers have privately admitted that Gaza is on the brink of starvation.Donald Trump is in Saudi Arabia on the first leg of his Middle East Tour. The Saudi paper Arab News is celebrating the "landmark visit" and highlighting Trump's promise to lift sanctions on Syria. The American press is unsurprisingly slightly more critical of his visit. The New York Times says that although Trump said he had secured $600 billion in Saudi deals, the details provided by the White House were vague and totalled less than half that number. Politico is looking at the star-studded cast in attendance during Trump's visit. It says that three dozen American business leaders were invited by the Saudis. Trump had said that the primary goal of his visit was to extend American business in the region. But the Guardian tells us that while the true value of Saudi investments in the US economy remain hazy, the Saudis' deals with the Trump family business are more obvious. A cartoon in The Telegraph illustrates Trump collecting deals for himself. The Times also has a cartoon that makes light of the apparent double purpose of Trump's trip. The Washington Post is similarly insinuating in its cartoon of the day that the US president is available for purchase.Finally, an unusual suspect is on the loose after breaking the speed limit for the second time in Switzerland. The Guardian is reporting on this piece of fowl play: a duck has been snapped flying at 52 km/h in a 30 km/h zone in Switzerland.You can catch our press review every morning on France 24 at 7:20am and 9:20am (Paris time), from Monday to Friday.
C dans l'air l'invitée du 12 mai 2025 avec le Dr. Valérie Mesnage, neurologue, cofondatrice du collectif "Pour un accompagnement soignant solidaire". Elle s'occupe de malades de Parkinson à l'hôpital Cochin, notamment en fin de vie. Elle est également chargée de mission au centre d'éthique clinique. Elle a cosigné une tribune dans Le Figaro intitulée "Médecins, nous ne contesterons pas la demande d'un patient à abréger sa vie".La proposition de loi sur la fin de vie, déposée par un député du MoDem, est de retour à l'Assemblée nationale, ce lundi. Un texte scindé en deux avec une partie sur l'aide à mourir et une autre sur les soins palliatifs. Des débats qui visent à ouvrir l'accès à l'aide à mourir, selon plusieurs critères, comme être majeur, de nationalité française ou résidant français, être atteint d'une affection grave et incurable qui engage le pronostic vital en phase avancée ou terminale, présenter une souffrance réfractaire au traitement ou insupportable, et être en capacité de manifester sa volonté de façon libre et éclairée. Un texte qui revient dans l'hémicycle, un an après avoir été abandonné à cause de la dissolution, et qui divise jusqu'au gouvernement. Hier dans le JDD, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau affirmait un texte "profondément déséquilibré" et qui "fait sauter tous les verrous". Au sein du gouvernement, c'est l'ex-LR Catherine Vautrin, qui portera le texte à l'Assemblée. Dans un entretien au Parisien aujourd'hui, elle rassure en affirmant que "l'aide à mourir sera strictement encadrée".
Le président ukrainien l'a dit sur les réseaux sociaux: il attend Vladimir Poutine lui-même, jeudi en Turquie. Et pour comprendre comment on en est arrivés à cette hypothèse « longtemps taboue », et désormais « sur la table », selon les mots du Monde, il faut remonter au début de ce week-end.C'est là que s'est jouée une séquence cruciale pour les européens : revêtant leurs costumes de 4 Fantastiques, « les dirigeants français Macron, britannique Starmer, polonais Tusk et allemand Merz » se sont rendus à Kiev, d'où « ils ont adressé un ultimatum à Moscou pour accepter un cessez-le-feu "complet et inconditionnel"», raconte Le Soir en Belgique.En « fin joueur d'échecs » qu'il est, analyse Le Figaro, « Poutine a vite vu qu'il n'y avait pas de bonne réponse » à cette offre : « soit il refusait le cessez-le-feu censé démarrer ce lundi et s'affichait dans le mauvais rôle, soit il renonçait à ses conditions (...) et paraissait céder au diktat de ses ennemis ». Par un habile tour de passe-passe, le président russe a donc « déplacé le curseur » et a proposé des négociations directes… tout en reprenant les frappes contre l'Ukraine.Volodymyr Zelensky contre-attaqueSa proposition est donc une façon habile, pour Volodymyr Zelensky, de « renvoyer la balle à son homologue russe », juge Le Soir. Puisqu'à présent, le président ukrainien « passe doublement pour celui étant le plus disposé à œuvrer à la paix », en se déplaçant en Turquie. Alors même que « la Russie ne respecte pas le cessez-le-feu de 30 jours à nouveau mis sur la table ce week-end ». Et, renchérit le Guardian, cette proposition « remet la pression sur le dirigeant russe, pour qu'il soit présent, ou bien qu'il fasse marche arrière ». Pour autant, Le Soir ne se berce pas d'illusions : « il ne faut pas s'attendre à un résultat ». Des négociations directes, il y en a déjà eu à Istanbul en 2022, et, commente sobrement le titre, « force est de constater qu'elles n'ont pas abouti ». Et si pour l'instant rien de concret ne bouge. Cette séquence diplomatique fait quand même un perdant et un gagnant. Carton plein pour le président turc Recep Tayyip Erdoğan. Cette séquence lui offre l'opportunité, note El Pais en Espagne, « d'agir comme un leader central pour parvenir à un accord ». Pour Le Monde, c'est simple : c'est « un moment que le dirigeant turc attendait depuis près de trois ans », lui qui a « cherché à jouer un rôle de médiateur entre Kiev et Moscou avant même le début du conflit ». En revanche, Donald Trump, lui, ressort affaibli de cet épisode. Alors même qu'il soutenait la demande européenne pour un cessez-le-feu de 30 jours, il s'est finalement « rangé avec la contre-proposition russe », retrace le Washington Post, dans une tentative de « saper les européens ». Sans même pouvoir se targuer des avancées côté Kremlin, puisque, dans les colonnes du Soir, une experte juge que ce sont plutôt « les discussions que Vladimir Poutine a eues avec [le président chinois] Xi Jinping qui ont porté leurs fruits ». Et tant pis pour la « grande ambition stratégique » de l'administration Trump, note Le Figaro, à savoir « arracher la Russie des bras de la Chine ». Donald Trump éclipséC'est le verdict sans appel du New York Times : « Trump n'est plus l'Américain le plus important ». Et cette fois, le quotidien ne fait pas référence à la situation en Ukraine, mais à l'élection du pape Léon XIV, devenu jeudi le premier pontife américain de l'histoire. Dans un pays où l'évangélisme est de plus en plus répandu, il est temps, juge l'auteur, d'apprendre du catholicisme. « Trop d'Américains évangéliques sont déconnectés » de l'histoire de la chrétienté, assène le journal, et appartiennent à des églises « qui mesurent leur existence en mois ou en années, et pas en siècles ou en millénaires ». Conclusion : un « manque de perspective » qui « exagère l'importance des politiques ». Or, prévient le titre, « quand on croit que le succès de sa religion dépend du succès de tel ou tel politicien, ce n'est qu'une question de temps avant que la politique ne devienne religion ». D'où ces questions qui ont pullulé tout le weekend sur les réseaux sociaux américains : « le nouveau pape est-il proche du mouvement MAGA [Make America Great Again, ou rendre sa grandeur à l'Amérique - NDLR] ? Où est-il woke ? Où se situe-t-il dans la guerre culturelle américaine ? ». Autant d'interrogations vaines, se réjouit le New York Times : « Si tout va bien, Léon XIV occupera la scène mondiale bien après que Donald Trump ait disparu de la vie publique ». Une perspective qui, conclut le journal, « ressemble presque à de l'espoir ».
C dans l'air l'invitée du 9 mai 2025 : Régis Genté, journaliste, correspondant notamment pour RFI et Le Figaro dans l'ancien espace soviétique, auteur de "Notre homme à Washington, Trump dans la main des Russes" (Grasset).Le président Vladimir Poutine a célébré vendredi le "courage" des soldats russes engagés en Ukraine, devant des milliers de militaires rassemblés sur la place Rouge et une vingtaine de dirigeants étrangers, qui ont fait le déplacement à Moscou pour assister aux commémorations des 80 ans de la victoire sur l'Allemagne nazie.Dans les tribunes se tenaient des vétérans et les dirigeants d'une vingtaine de nations, dont de nombreux alliés ou partenaires de la Russie comme la Chine, le Brésil, le Kazakhstan, le Bélarus, le Vietnam, l'Arménie, Cuba et le Venezuela. Malgré la politique d'isolement prônée par les Occidentaux, le Premier ministre slovaque Robert Fico - défiant les injonctions de l'Union européenne - était également sur place.Régis Genté, journaliste, correspondant notamment pour RFI et Le Figaro dans l'ancien espace soviétique, nous donnera son analyse de cette démonstration de force de la Russie, qui résonne comme un défi à l'Occident.
durée : 00:19:14 - Lectures du soir - "Gide lisait du Bossuet en descendant le Congo, cette posture résume assez bien l'idéal de nos écrivains en vacances photographiés par Le Figaro. Joindre aux loisirs banals, le prestige d'une vocation que rien ne peut arrêter, ni dégrader."
C dans l'air du 8 mai 2025 : L'Amérique va-t-elle lâcher l'Ukraine ?Moscou se barricade. À la veille de la traditionnelle célébration du 9 mai sur la place rouge, un dispositif de sécurité XXL a été mis en place par le Kremlin, qui craint des attaques de drones ukrainiens. Vingt-neuf dirigeants étrangers, dont le chinois Xi Jinping et le brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, seront en tout cas parmi les invités. Vendredi s'annonce donc comme une grande démonstration de force militaire et diplomatique pour Poutine.Mais la situation en Ukraine patine, de l'aveu même des Américains qui voient s'éloigner la possibilité d'un accord de paix rapide. Le vice-président J.D Vance a exprimé ses inquiétudes concernant les exigences russes, donnant de fait raison à Volodymyr Zelensky. La crainte, à présent, est que la Maison Blanche lâche le dossier russo-ukrainien. Qu'en serait-il alors de son soutien militaire à l'Ukraine ?Pendant ce temps, Poutine est en pleine séquence de communication et de propagande. Pour acquérir le peuple à sa cause, se montrer plus proche de lui, et justifier cette guerre, il a récemment dévoilé son appartement privé à la télévision. Les chefs d'Etats invités demain seront aussi l'occasion pour lui de casser toute image d'isolement sur la scène internationale. Pendant ce temps, l'armée française s'inquiète des agissements russes dans l'espace. Entre attaques de satellites et hacking de communication, elle se prépare à toutes les possibilités pour se défendre. Alors, l'Amérique va-t-elle lâché le dossier ukrainien ? Quels sont les enjeux de la célébration de demain pour Poutine ? Faut-il redouter une guerre spatiale avec la Russie ?LES EXPERTS : Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse Régis GENTE - Journaliste, correspondant dans l'ancien espace soviétique pour RFI, auteur de « Notre homme à Washington. Trump dans la main des Russes » Laure MANDEVILLE - Grand reporter Le Figaro, auteure de « Qui est vraiment Donald Trump ? » Tatiana KASTOUEVA-JEAN - Directrice du Centre Russie-Eurasie à l'IFRI (Institut Français des Relations Internationales) Paul GOGO (en duplex de Moscou) - Journaliste, ancien correspondant en Russie
C dans l'air du 8 mai 2025 : L'Amérique va-t-elle lâcher l'Ukraine ?LES EXPERTS : Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse Régis GENTE - Journaliste, correspondant dans l'ancien espace soviétique pour RFI, auteur de « Notre homme à Washington. Trump dans la main des Russes » Laure MANDEVILLE - Grand reporter Le Figaro, auteure de « Qui est vraiment Donald Trump ? » Tatiana KASTOUEVA-JEAN - Directrice du Centre Russie-Eurasie à l'IFRI (Institut Français des Relations Internationales) Paul GOGO (en duplex de Moscou) - Journaliste, ancien correspondant en Russie
C dans l'air l'invitée du 7 mai 2025 : Blanche Leridon est directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles.Une récente étude Ifop pour l'observatoire Hexagone révélait que les intentions de vote pour la présidentielle 2027 montrent que le Rassemblement national reste puissant malgré la condamnation de sa cheffe de file. Le Rassemblement national confirme son leadership au premier tour quel que soit son représentant. Au second, Marine Le Pen et Jordan Bardella semblent, selon l'étude, très haut, au point d'être en mesure de l'emporter dans de nombreux scénarios. Sauf face à Edouard Philippe, qui ferait jeu égal avec Jordan Bardella, mais l'emporterait de peu face à Marine Le Pen.Un autre sondage, cette fois de l'institut Odoxa-Backbone consulting pour Le Figaro, analyse révèle les attentes à deux ans de l'élection présidentielle. Une majorité de Français (58%) n'ont toujours pas de candidat idéal. Un même pourcentage trouverait "une bonne idée" d'avoir des candidatures de personnalités hors des partis traditionnels. Des personnalités ont récemment émergé dans l'opinion, comme Michel-Edouard Leclerc, ou Cyril Hanouna. De quoi ces hypothèses "hors système" sont-elles le nom ? Notre invitée, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'institut Montaigne, spécialiste des questions démocratiques et institutionnelles, répondra à nos questions.
“Alemania se ha rendido. La victoria será proclamada hoy a las 15:00 en las capitales aliadas”. Ese fue el titular de portada del diario francés Le Figaro el 8 de mayo de 1945. Es el día que se considera como el fin de la Segunda Guerra Mundial en Europa. Justo 9 días después del suicidio de Adolf Hitler. Lejos del continente, todavía continuaría unos meses, hasta después del ataque nuclear de Estados Unidos a Japón en agosto de aquel año. Cada vez queda menos gente que pueda contarlo en primera persona, quien era adulto entonces hoy tiene que haber llegado a ser centenario. Es el inevitable paso del tiempo: cuando ya no queden testimonios directos, la memoria pasará a ser historia. Ocurre de la misma manera con la Guerra Civil española. Las sociedades del siglo XXI tienen el reto de que el recuerdo del gran conflicto del siglo XX y de los horrores del nazismo perviva en las generaciones que ya no podrán escucharlo de sus padres o abuelos. Entre los países que se enfrentan a ese desafío, hay dos que han marcado dos modelos distintos de mirar atrás para no olvidar —y no repetir— durante estas ocho décadas: Francia y Alemania. CRÉDITOS Realiza: Belén Remacha Con información de: Marc Bassets y Guillermo Altares Presenta: Ana Fuentes Dirige: Silvia Cruz Lapeña Edición: Ana Ribera Grabación en estudio: Nicolás Tsabertidis Diseño de sonido: Nacho Taboada Sintonía: Jorge Magaz Lecturas mencionadas: Beevor, La Segunda Guerra Mundial. (Editorial Pasado y Presente, 2025) Volker Ullrich, Ocho días de mayo. De la muerte de Hitler al final del Tercer Reich. (Taurus, 2023) Beevor. Berlín: La caída 1945. (Booket, 2005) Anónima, Una mujer en Berlín. Anotaciones de diario escritas entre el 20 de abril y el 22 de junio de 1945. (Anagrama, 2005) Kempowski, Winter 1945. (Taschenbuch, edición en alemán, 2004) Más información: 1215, 1789, 1945, 1989: las fechas que forjaron la libertad en Europa El discurso que no se pudo escuchar en el campo de concentración de Buchenwald Si tienes quejas, dudas o sugerencias, escribe a defensora@elpais.es o manda un audio a +34 649362138 (no atiende llamadas).
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Nous sommes à l'hôtel des sociétés savantes à Paris, au début du mois d'avril 1896. Marguerite Durand, comédienne et journaliste y est envoyée par le journal « Le Figaro ». La jeune femme est chargée de rédiger un article critique et moqueur sur l'événement. Cela ne la dérange pas tellement car elle considère, comme la majorité de l'époque, que le féminisme est un ramassis d'idées de détraquées. Mais, contre toute attente, ce début de printemps, pour elle, sera le temps de la bascule : en effet, la justesse des revendications débattues la marque profondément. Là voilà dès lors convaincue qu'il est de son "devoir social d'aider à leur triomphe". Marguerite conçoit le projet, fou, d'un grand journal féministe. Ce sera « La Fronde », un quotidien pensé, rédigé et fabriqué par des femmes uniquement. C'est inédit. La « Fronde » se mêlera de politique, d'économie, de faits de société, tout en intégrant des rubriques dédiées aux intérêts des femmes et des "enquêtes féministes". Ainsi, par exemple, le journal choisira-t-il son camps lors de l'Affaire Dreyfus qui va déchirer la France. Marguerite Durant et ses compagnes vont fédérer les luttes féministes, organiser des conférences, des expositions, des congrès, démontrant les capacités organisationnelles des femmes et faisant avancer les débats sur l'égalité des droits . Bien que non éligible, la journaliste participera aux élections législatives et municipales pour normaliser la présence des femmes en politique et rendre l'absence de droit de vote plus criante. Femme de pouvoir, son besoin de diriger sera, cependant, critiqué par les syndicats, tandis qu'une part des féministes lui reprochera d'être radicale et de desservir la cause. Durant la Première Guerre mondiale, son combat se poursuit puisqu'elle participe à l'organisation du transport des blessés, prouvant ainsi l'utilité des femmes, en dehors du foyer. A la fin de sa vie, c'est à la mémoire et à la transmission des luttes féministes qu'elle travaillera et à la mise en lumières de celles qui, comme les hommes, ont joué un rôle essentiel dans l'Histoire. Revenons, aujourd'hui, à Marguerite Durand… Avec les Lumières de Lucie Barette, enseignante-chercheuse en littérature, spécialiste de l'histoire de la presse féminine et féministe. « Marguerite Durand – Lutter par la presse » ; éd. Les Pérégrines, coll. Les Audacieuses. Sujets traités : Marguerite Durand, comédienne , journaliste, pionnière, féminisme , Figaro, Fronde Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un philosophe français discret, mort en 2015, peu connu en France, mais extrêmement aux États-Unis, éclaire aujourd'hui la Silicon Valley. En tout cas son mode de pensé est même le mode de pensée d'un des locataires de la Maison-Blanche. Son nom, c'est René Girard, un ancien prof de philosophie à Stanford. Il inspire des figures comme Peter Thiel, l'un des principaux investisseurs de la Silicon Valley, notamment de Facebook et d'Instagram. Et puis JD Vance, l'actuel Vice-Président américain. Mais pour bien comprendre l'influence de ce philosophe français sur la Silicon Valley et la Maison-Blanche, il faut garder à l'esprit que René Girard a formulé deux très grandes intuitions. Premièrement, le désir mimétique. Selon lui, nous ne désirons pas spontanément, nous imitons le désir des autres. Et sur les réseaux sociaux, ce mécanisme est démultiplié. Facebook, Instagram et Tiktok nourrissent cette imitation permanente et donc le mimétisme est devenu un véritable moteur économique. Deuxièmement, le mécanisme du bouc émissaire. Quand trop de rivalités éclatent, la société cherche à éviter l'explosion. Elle le fait en désignant un coupable unique sur lequel on reporte toute la faute. Cette mise à l'écart apaise temporairement les tensions, selon René Girard. Mais avec l'Évangile ce mécanisme est dévoilé : Jésus est sacrifié mais est reconnu innocent. A partir de là, dit le philosophe, plus personne ne peut croire naïvement que sacrifier une victime résout les conflits. Et donc comprendre René Girard aujourd'hui, c'est comprendre plusieurs choses. Un, que nos réseaux sociaux nourrissent la rivalité et la frustration. Deux, que nos sociétés cherchent encore inconsciemment des boucs émissaires modernes. Trois, que notre économie numérique prospère sur l'imitation du désir. Mots clés : Philosophe, philosophie, français, France, décès, mort, Etats-Unis, Silicon Valley, mode, pensées, penser, René Girard, Maison-Blanche, ancien, professeur, stanford, inspiration, figures, Peter Thiel, investisseurs, investissement, facebook instagram, JD Vance, Vice-Président américain, Le Figaro, mettre en lumière, influence, influenceur, intuitions, désir mimétique, imitation, réseaux sociaux, mécanisme démultiplié, autres, mimétisme, moteur économique, bouc émissaire, rivalités, éclatement, éclater, éviter, explosion, conflit, coupable, désigner, individu, groupe, report, faute, mise à l'écart, apaiser, apaisement, tensions, évangile, mécanisme, dévoiler, sacrifice, jesus, innocent, reconnu, sacrifier, résoudre, résolution, conflits, sociétés modernes, vivre, tension grandissante, solution simple, idée, montée des tensions sociales, nécessité, restaurer, repères collectifs solides, foi, famille, tradition, gourous, analyse, apocalypse, multiplier, multiplication, accumulation, monde, Apparente normalité des frustrations, jalousies, rivalités, crise mineure, déclenchement, réaction, inattendue, collectif, collective, économie numérique, internet, désir, algorithmes, volatilité politique, mécanique anthropologique, ancien, ancienne, miroir, actuel Ce matin, Amid Faljaoui vous raconte --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Imaginea întâlnirii dintre președinții Trump și Zelenski, chiar în catedrala San Pietro din Roma, după funeraliile Papei Francisc, au făcut instantaneu înconjurul lumii. Să fie un punct de cotitură către pacea în Ucraina? – se întreabă comentatorii. „Ultimul act diplomatic al Papei Francisc„, titrează Politico.Publicația îl citează pe ultimul ambasador al Statelor Unite pe lângă Sfântul Scaun. Acesta și-a exprimat convingerea că ”Papa Francisc ar fi fost plin de speranță și ar fi dorit ca rezultatul acelei întâlniri să fie unul bun pentru Ucraina și pentru lume”.Kyiv Independent vede o „întâlnire importantă”, deoarece problema a fost întotdeauna lipsa „contactului direct” dintre Zelenski și Trump.”Trump și Zelenski nu s-au mai întâlnit personal de la confruntarea din februarie, desfășurată în Biroul Oval, unde Trump și vicepreședintele JD Vance l-au criticat pe Zelenski pentru ceea ce au numit o lipsă de recunoștință față de sprijinul SUA”.Le Monde notează că această discuție a avut loc într-un context de efervescență diplomatică în jurul războiului din Ucraina, pe care Donald Trump dorește să-l încheie cât mai repede posibil, punându-l pe omologul său, Volodimir Zelenski, sub o puternică presiune și în timp ce, pe front, Rusia își consolidează ascensiunea.Iar The New York Times apreciază că întâlnirea a crescut speranțele ucrainenilor.Aceasta, după ce ”Trump a încercat să forțeze Ucraina să adopte un plan de pace dezechilibrat. Dar speranța a apărut pentru prima dată în urma unui atac masiv cu rachete rusești asupra capitalei Ucrainei, joi dimineață, soldat cu 12 morți și aproape 90 de răniți. „Vladimir, STOP!”, a postat Trump pe Truth Social, într-o rară mustrare la adresa lui Putin.Și apoi, speranța a crescut sâmbătă, când Zelenski a reușit să discute aproximativ 15 minute cu Donald Trump la Roma.”Nu știm ce au spus cei doi președinți în scurta lor întâlnire” – comentează Sky News – ”dar liderul ucrainean va rămâne cu ideea pe care președintele Trump a expus-o săptămâna aceasta, spunând că America va sancționa Rusia în lipsa unui acord de pace.Aliații Ucrainei urmăresc cu atenție dacă Donald Trump va exercita măcar vreo presiune asupra lui Vladimir Putin, darămite să-l pedepsească pentru recentele atacuri sângeroase asupra Ucrainei.Sau dacă nu cumva pur și simplu va părăsi masa dacă propunerile sale eșuează, dând vina pe intransigența Ucrainei, înainte de a trece la o apropiere față de Moscova.În postările sale, după întâlnire, președintele SUA a fost critic la adresa lui Vladimir Putin.Dar planul de pace al lui Donald Trump pare din ce în ce mai predispus la eșec.Unii cred că a fost conceput tocmai ca să eșueze după ce SUA au cerut Ucrainei să cedeze suveranitatea Crimeii către Rusia, lucru pe care Zelenski nu îl poate face din punct de vedere politic și constituțional”.Potrivit analizei ziarului Le Figaro, ”Vladimir Putin consideră că a câștigat un atu și de data aceasta: chiar în ziua întâlnirii dintre Trump și Zelenski de la Roma, Moscova a anunțat că a recucerit tot teritoriul său din regiunea Kursk, unde ucrainenii lansaseră o ofensivă în august 2024”.
1/ Élections législatives : François Bayrou va-t-il introduire le scrutin proportionnel ? 2/ Énergie : Le RN peut-il censurer le gouvernement ? 3/ Impôts : Faut-il craindre le retour de la taxe d'habitation ? 4/ Les coups de cœur et coups de griffe de nos invités. Retrouvez Le Club Le Figaro Politique présenté par Yves Thréard.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSŒUVRES PERDUES : Le Parisien, Le Huffpost, Le Figaro, Le Monde, Radio France, UNESCOSOPHIE MARCEAU RADIO : Le Parisien, Le FigaroCONCERT JUL STREAM : Le Parisien, NumeramaNOTE “CLAIR OBSCUR EXPEDITION 33” : Huffpost, MediametricFILM ASGHAR FARHADI : Variety, HuffpostCASTING HUNGER GAMES : Variety, HuffpostÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
¿Cómo pasa a la historia el papado de Francisco? Lo analizamos en esta edición de #EnPrimeraPlana en la que además, buscamos las claves del próximo cónclave en El Vaticano. ¿Quiénes son los favoritos? ¿Seguirá el sucesor la línea de Francisco?. Y más allá de la película Cónclave que estos días todos tenemos en mente nos preguntamos cuánto de esa ficción se puede parecer a la realidad. Miles de fieles han dado su adiós a Francisco tras doce años de papado marcados por su sensibilidad social en temas como los migrantes o la ecología y por plantear reformas que fueron demasiado para sectores conservadores pero también criticadas en ocasiones por inacabadas por otros progresistas. ¿Cuál es el balance final de este papado? Hoy planteamos el futuro de la Iglesia con el próximo cónclave. ¿Habrá una línea continuista de Francisco? Buscamos algunas de las claves que puedan ayudarnos a entender cómo se celebra un cónclave en el Vaticano. Nos acompañan:-Francisca Salas Investigadora de lenguas y culturas hispánicas en AgroParisTech con investigaciones en asuntos como la jerarquía católica o la evolución de la Iglesia durante la Guerra Fría-Thierry Maire sociólogo, especialista en las relaciones entre religión y política en América Latina. -Patrick Bele, reportero internacional de Le Figaro, especializado en América Latina. -Ivonne Sánchez, de la redacción Latinoamérica de RFI. En Primera Plana también está en las redes sociales.Coordinación editorial: Florencia Valdés. Realización: Souheil Khedir, Yann Bordelas, Vanessa Loisseau
C dans l'air du 23 avril 2025 - Reculades en série...mais où va Trump ?Face à la panique mondiale sur les marchés financiers, Donald Trump a décidé de calmer le jeu avec le patron de la Réserve fédérale (Fed) qu'il a pourtant traité de "looser" avant-hier. Le président américain affirme désormais qu'il n'a "aucune intention de le renvoyer" avant la fin de son mandat, en 2026, et qu'il souhaite simplement obtenir de la banque centrale une ou deux baisses de taux. Lors de la même conférence de presse mardi, Donald Trump a également annoncé "baisser de façon substantielle" les surtaxes de 145 % sur les droits de douane envers la Chine, qu'il avait lui-même imposées. Quant à Elon Musk, il a annoncé qu'il allait prendre ses distances rapidement avec l'administration Trump. Le milliardaire a confié qu'il serait beaucoup moins présent dès le mois prochain au sein de Doge, le département de l'efficacité gouvernementale chargé de sabrer dans les dépenses et les effectifs, pour se concentrer sur la gestion de ses propres entreprises, en particulier de Tesla qui voit ses ventes s'effondrer et son bénéfice net chuter de 70 %.Autant de reculades pour rassurer les acteurs financiers et reconquérir les Américains, de plus en plus mécontents des premiers mois de la gouvernance Trump, selon les derniers sondages. Mais si ces récentes prises de parole ont provoqué une réaction positive des marchés, la méfiance demeure. Son image de négociateurs hors pair semble se fragmenter, entrainant dans sa chute sa côte de popularité, alors que le bilan des cent premiers jours de sa présidence, est très inquiétant sur le plan économique avec le spectre de la récession qui ressurgit aux États-Unis, et plus que mitigé sur le plan international.Malgré sa certitude de mettre fin à la guerre en Ukraine "en un jour", le conflit semble très loin de se terminer. Donald Trump a rompu avec la diplomatie de son prédécesseur Joe Biden en renouant le dialogue avec la Russie et en mettant la pression sur l'Ukraine pour accepter un accord sans réelles garanties de sécurité. Mais les négociations entre Kiev et Moscou patinent – une trêve de Pâques a été acceptée par le président Poutine le 19 avril, jugée "rompue" dès le lendemain par son homologue ukrainien après de nouveaux bombardements. En cas d'échec des discussions cette semaine, les États-Unis pourraient bientôt "passer à autre chose", a prévenu Donald Trump.Concernant la situation à Gaza et en Cisjordanie, le président américain continue de soutenir l'offensive israélienne. "Nous sommes sur la même ligne sur tous les sujets" a écrit Donald Trump sur son réseau Truth Social après s'être entretenu avec le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou, sur de nombreux dossiers tels que le commerce ou encore l'Iran. Depuis une dizaine de jours, Washington et Téhéran ont repris un dialogue autour du programme nucléaire iranien, avec des pourparlers d'abord à Oman puis à Rome, et devant se poursuivre cette semaine.Sur le plan intérieur, au-delà de la question de l'inflation qui est repartie à la hausse, l'administration Trump doit faire face à un nouveau Signal Gate. Le ministre américain de la Défense Pete Hegseth, mis en cause dans une faille de sécurité le mois dernier, aurait également partagé des informations sur une frappe au Yémen sur un autre groupe Signal, auquel participaient son épouse, son frère, son avocat, "ainsi qu'une dizaine de personnes de son entourage personnel et professionnel", ont rapporté, dimanche, plusieurs médias américains. L'attachée de presse de la Maison-Blanche a cependant déclaré lundi que le président avait toujours "une confiance absolue" en son secrétaire à la Défense.Alors après ces reculades en série où va Trump ? Économie, diplomatie… Quel est son bilan trois mois après son investiture ? Que pensent les Américains de sa politique ? Nous sommes allés à Nice, à la rencontre de ces Américains qui voyagent ou s'expatrient sur la Côte d'Azur.LES EXPERTS : - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang - SOLVEIG GODELUCK ( en duplex) - Correspondante à New York – Les Echos PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 23 avril 2025 - Reculades en série...mais où va Trump ?LES EXPERTS : - ANTHONY BELLANGER - Éditorialiste - Franceinfo TV, spécialiste des questions internationales- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, auteur de Volodymyr Zelensky : l'Ukraine dans le sang - SOLVEIG GODELUCK ( en duplex) - Correspondante à New York – Les Echos
Interview with Mélanie Gouby on conflict in the Democratic Republic of the Congo - 19:40 Read more about Tristen Naylor, Kelly's new co-host, on our website: https://isd.georgetown.edu/profile/tristen-naylor/ Kelly and Tristen break down the Trump administration's new tariffs, the revival of U.S.-Iran nuclear talks, and Ecuador's recent presidential election. Later, Kelly speaks with investigative journalist Mélanie Gouby about conflict in the DRC and stalled peace talks between the government and Rwandan-backed rebels. Mélanie is an investigative journalist, writer, and documentary filmmaker based in London. Her work focuses on the systemic root causes underpinning violence and conflict, and their impact on human rights, development and the environment. She was the East Africa correspondent for the French newspaper Le Figaro from 2014 to 2016, and has contributed to outlets including the Guardian, the New York Times, the Independent, National Geographic, Foreign Policy, France 24, BBC, Deutsche Welle, and Vice. In May 2012, Mélanie covered the early days of the M23 rebellion for the Associated Press. She was previously the bureau chief for the Institute for War & Peace Reporting in the eastern DRC. The opinions expressed in this conversation are strictly those of the participants and do not represent the views of Georgetown University or any government entity. Produced by Theo Malhotra and Freddie Mallinson. Recorded on April 15, 2025. Diplomatic Immunity, a podcast from the Institute for the Study of Diplomacy at Georgetown University, brings you frank and candid conversations with experts on the issues facing diplomats and national security decision-makers around the world. Funding support from the Carnegie Corporation of New York. For more, visit our website, and follow us on Linkedin, Twitter @GUDiplomacy, and Instagram @isd.georgetown
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, la lettre ouverte à destination d'Emmanuel Macron de la part des filles de Boualem Sensal, mais également sur les nombreuses attaques coordonnées envers les prisons françaises dans Le Figaro et la qualification du Paris Saint-Germain en demi-finale de Ligue des Champions dans l'Equipe.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSProcès Meta : Ouest-France, l'Humanité, Libération, Le HuffpostFestival du Livre : [Syndicat National de l'Edition](https://www.sne.fr/actu/114-000-visiteurs-pour-la-4e-edition-du-festival-du-livre-de-paris-de-retour-au-grand-palais/#:~:text=Communiqué partenaire-,114 000 visiteurs pour la 4e édition du Festival du,avaient moins de 25 ans.), FranceinfoEnchères JO 2024 : Ouest-France, BFMTVProchain album Lorde : Vogue, PitchforkMario Vargas Llosa : RTL, Radio FranceHausse prix PS5 : BFM Tech&Co, Le FigaroÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
1/40 milliards d'euros d'économie : le budget impossible ? 2/ Embouteillée, sous tension : l'Assemblée nationale fonctionne-t-elle encore ? 3/ Algérie : la méthode Macron en échec ? 4/ Les coups de cœur et coups de griffe de nos invités. Retrouvez Le Club Le Figaro Politique présenté par Jim Jarrassé.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bienvenue dans cette partie de Risk grandeur nature, où chacun a une mission bien précise à remplir, et où toutes les stratégies sont bonnes pour l'emporter. A gauche comme à droite, on se prépare déjà pour les élections municipales qui auront lieu dans un an. Et s'il y a bien un endroit qui attise toutes les convoitises, c'est Paris. Anne Hidalgo ne se représentera pas alors tous veulent tenter leur chance. D'autant que dans la capitale, enjeux locaux et nationaux se rencontrent. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, Studiocanal, France 5, Warner Bros France, Le Figaro, Le Parisien Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:26 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est une observation sociologique faite sur Spotify, le site de streaming. Figurez-vous que la chanson la plus écoutée en 2023, c'est Flowers de Miley Cyrus, m'apprend Le Figaro aujourd'hui. - réalisation : Félicie Faugère
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C dans l'air du 27 mars 2025 - Face à Poutine, l'Europe durcit le tonUn nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l'Ukraine" s'est tenu à Paris, ce jeudi, à l'initiative du président Emmanuel Macron, pour finaliser des "garanties de sécurité" pour Kiev dans le cadre d'un éventuel accord de paix avec la Russie. C'est la troisième fois qu'un tel sommet est organisé réunissant une trentaine de pays de l'UE et/ ou de l'Otan formant une "coalition des volontaires". Cette fois, il intervient après que les Américains ont annoncé avoir négocié en Arabie saoudite, une trêve entre Ukrainiens et Russes dans la mer Noire, aux contours encore bien flous.L'Europe en se retrouvant ainsi à Paris, en présence de Volodymyr Zelensky, entend montrer qu'il faudra compter avec elle, au moment où les États-Unis regardent ailleurs et semblent tout céder à Moscou. En préambule de ce rendez-vous très attendu, Emmanuel Macron s'est entretenu mercredi soir avec son homologue ukrainien à l'Elysée. Le président de la République a annoncé à cette occasion l'octroi d'une aide militaire supplémentaire de 2 milliards d'euros "en soutien immédiat à l'Ukraine". Ce soutien portera principalement sur de l'équipement militaire. Le président de la République a aussi affirmé qu'il était "beaucoup trop tôt" pour évoquer une levée des sanctions imposées à Moscou après l'invasion de l'Ukraine, expliquant que cela dépendrait "du choix de la Russie à se conformer au droit international". "Cela n'a aucun sens de mettre fin aux sanctions tant que la paix n'est pas réellement rétablie et nous en sommes malheureusement encore loin", a déclaré ce jeudi le chancelier allemand Olaf Scholz à l'issue du sommet. "Bien au contraire, ce dont nous avons discuté est de savoir comment nous pouvons accroître les sanctions", a quant à lui déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer."Nous avons acté de manière unanime que le temps n'était pas à la levée des sanctions, quelles qu'elles soient", a résumé Emmanuel Macron lors d'une conférence de presse. D'autre part pour maintenir la paix lorsqu'elle sera signée, il faudra "une armée ukrainienne forte et bien équipée". Il faudra aussi "des forces de réassurance" avec plusieurs pays qui se déploieront en Ukraine. "Les chefs d'État-major britannique et français vont se rendre dans le pays et les échanges avec les militaires ukrainiens vont définir" les détails de l'opération. Il y aura "plusieurs pays européens engagés" en cas de paix. Ce que fait l'Europe "s'appelle la sortie de l'état de minorité géopolitique", a assuré Emmanuel Macron."L'Europe peut se défendre. Nous devons le prouver", a affirmé le président ukrainien ce jeudi. Le veille Volodymyr Zelensky avait accordé une interview à quatre médias européens et diffusée sur France 2, au cours de laquelle il s'en est aussi pris au comportement de Vladimir Poutine qui "veut rester au pouvoir jusqu'à sa mort" et "avoir une influence telle qu'avait l'URSS sur les anciennes républiques soviétiques". Il a également évoqué l'affaiblissement des États-Unis de Donald Trump face à la Russie et a reproché à l'émissaire américain pour l'Ukraine, Steve Witkoff, de "citer assez souvent le narratif du Kremlin".Alors que faut retenir du sommet à Paris ? Quel est ce "narratif russe" qui, selon Volodymyr Zelensky, influence l'Amérique ? Comment l'industrie européenne de la défense va-t-elle monter en cadence ? Reportage ce soir dans l'usine KNDS de Bourges où sont assemblés les canons Caesar.Les experts :- Dominique MOÏSI - Géopolitologue - conseiller spécial de l'Institut Montaigne- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationaleUniversité Catholique de Lille - Marie JÉGO - Journaliste au Monde, ancienne correspondante à Moscou- Nicolas BACHARAN ( en duplex de New York) - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France PRÉSENTATION : Caroline Roux - Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L'AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/
C dans l'air du 27 mars 2025 - Face à Poutine, l'Europe durcit le tonLes experts :- Dominique MOÏSI - Géopolitologue - conseiller spécial de l'Institut Montaigne- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Pierre HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationaleUniversité Catholique de Lille - Marie JÉGO - Journaliste au Monde, ancienne correspondante à Moscou- Nicolas BACHARAN ( en duplex de New York) - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France
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durée : 00:22:31 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon - Entre fin janvier et début février, le groupe armé M23 s'est emparé des villes de Goma et de Bukavu, à l'est de la République démocratique du Congo. La journaliste Margaux Solinas s'est rendue dans les régions du Nord et Sud-Kivu pour couvrir les conflits et leurs répercussions sur les populations. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Margaux Solinas Journaliste indépendante, travaille notamment pour Le Figaro, Mediapart et Marianne