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Chaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:19:38 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - En Ukraine, les Russes occupent la quasi-totalité du Donbass, à l'exception de 25% de l'oblast de Donetsk. Entre russification des territoires occupés et harcèlement aux drones dans les zones encore contrôlées par les Ukrainiens, les habitants de la région vivent dans la peur et sous la contrainte. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clara Marchaud Journaliste correspondante en Ukraine, travaille notamment pour Le Figaro, L'Express et Mediapart
durée : 00:58:24 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Clara Marchaud qui rentre d'Ukraine, puis table-ronde sur les difficultés de l'ONU, à l'occasion de la 80e Assemblée générale de l'organisation. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clara Marchaud Journaliste correspondante en Ukraine, travaille notamment pour Le Figaro, L'Express et Mediapart ; Chloé Maurel Historienne, spécialiste de l'ONU, chercheuse associée à la Sorbonne (UMR SIRICE); Alain Le Roy Ambassadeur de France et ancien Secrétaire général adjoint de l'ONU chargé des opérations de maintien de la paix.
#126 Musulman•es de France : le soupçon permanent ? En mai 2025, le rapport "Frères musulmans et islamisme politique en France" fait couler beaucoup d'encre. Présenté comme la preuve d'une inquiétante gangrène mais aussi critiqué pour son manque de rigueur, il semble comme tant de commentateurs, analyser les pratiques les plus anodines de l'islam comme des signaux de proximité avec des mouvements extrémistes.Parallèlement toute personnalité publique ouvertement musulmane et critique de l'islamophobie encourt le risque d'être accusée de proximité d'un islam dit « politique » dont on a du mal à dessiner les contours. C'est un régime de suspicion qui semble assimiler une frange de plus en plus large des musulman•es à un mouvement global qui menacerait les civilisations européennes. Qu'est ce qui constitue donc ce « problème musulman » ?Rokhaya Diallo et Grace Ly reçoivent Hamza Esmili, socio-anthropologue du religieux et chercheur à l'Université libre de Bruxelles (Belgique), auteur du livre « La cité des musulmans, une piété indésirable » paru aux éditions Amsterdam.Références citées dans l'épisode :«Djihad judiciaire»: l'inquiétante stratégie d'intimidation des islamistes - Le Figaro- février 2024Audition de Hakim El Karoui par la commission des lois du Sénat mars 2021https://www.youtube.com/watch?v=FJzGYMKm-8A Huffington Post, octobre 2019https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-yann-barthes/videos/a-bas-le-voile-le-discours-choc-de-bruno-retailleau-lors-du-meeting-pour-la-republique-contre-lislamisme-78466039.html Bruneau Retailleau sur Quotidien, mars 2025Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Blocages et perturbations sont annoncés dans tous les secteurs ce mercredi en France : transports, écoles, entreprises. Et ce ne sont pas les syndicats ou les partis politiques qui ont lancé le mouvement, ce sont des milliers et des milliers d'anonymes en colère qui se sont fédérés sur les réseaux sociaux au cours des dernières semaines. Et « c'est la grande incertitude, s'exclame Le Parisien. Sur les réseaux sociaux, les appels à manifester et bloquer massivement la France résonnent de plus en plus fort. Les premiers sympathisants du mouvement “Bloquons tout“ ont incontestablement fait des émules, grâce également aux propositions budgétaires impopulaires du gouvernement de François Bayrou. Pour autant, si la grogne sociale existe, impossible de mesurer précisément quelle sera l'ampleur des actions menées ce mercredi. » « Niveau inégalités le plus élevé depuis 30 ans » Le Monde nous explique les raisons de cette colère : c'est le ras-le-bol de « la France ric-rac », des « fins de mois difficiles » ; « nombreux sont ceux à dénoncer le budget de l'ex-Premier ministre François Bayrou, qui demandait beaucoup à ceux qui ont peu, prônant une austérité douloureuse. Nombreux sont ceux à décrier les salaires qui ne bougent pas, les budgets de plus en plus difficiles à tenir, les arbitrages impossibles au moment de remplir les chariots de courses, si éloignés des préoccupations du gouvernement. » Si l'on regarde les chiffres, poursuit Le Monde, « la baisse du chômage, aujourd'hui stabilisé à 7,5 % environ de la population active, n'a pas empêché une hausse du taux de pauvreté et du surendettement. La faute notamment à une précarisation croissante de l'emploi. (…) Au contraire des revenus salariaux, les revenus financiers, eux, ont augmenté de 7 % en moyenne, poussés par la hausse des taux d'intérêt. Et cela a profité aux ménages les plus aisés, ceux qui possèdent un patrimoine financier. » Résultat, constate le journal : « le niveau d'inégalités atteint en France est ainsi le plus élevé depuis trente ans. » Lecornu Premier ministre : « la droite comblée, la gauche exaspérée » C'est dans ce contexte tendu que le nouveau Premier ministre Sébastien Lecornu prend ses fonctions aujourd'hui. L'ex-ministre de la Défense est un très proche d'Emmanuel Macron. « On ne change pas une équipe qui perd », soupire Libération. « La droite comblée, la gauche exaspérée. (…) L'arrivée de Sébastien Lecornu à Matignon révèle qu'Emmanuel Macron manque décidément d'oxygène, s'exclame le quotidien de gauche. Face à la crise, il se recroqueville dans un espace politique qui, chaque jour, ressemble de plus en plus à une cabine téléphonique. Il a pourtant besoin d'espace. De se redonner des marges de manœuvre. Mais non. En nommant Sébastien Lecornu, le chef de l'État confirme qu'il lui est impossible de retirer l'énorme œillère qui l'empêche de regarder vers sa gauche. Peu importe ce qui se passe autour de lui. » Ligne claire ? À contrario, Le Figaro acquiesce. « À la veille d'une journée vampirisée par l'extrême gauche, la France a un premier ministre qui vient de la droite. Ministre depuis huit ans, il est, pour le grand public, neuf, intact. (…) Bien qu'à la tête d'une minorité de gouvernement, Sébastien Lecornu doit se faire le porte-voix de la majorité oubliée, invisible, abandonnée. Pression fiscale et normative désespérante, dépenses délirantes, immigration incontrôlée, insécurité galopante. Les inquiétudes qui réunissent plus de deux Français sur trois sont connues, affirme encore le quotidien de droite. (…) C'est cette ligne claire qu'il faut dessiner. (…) Le succès n'est pas garanti, mais l'autre choix, celui de la tambouille, mènerait à l'échec et au déshonneur. » L'extrême-droite en embuscade En tout cas, sur le plan politique, économique et social, la France va mal et pourrait bien finir par se jeter dans les bras de l'extrême-droite. Un vrai danger pour l'avenir de l'Europe et de ses valeurs, s'exclame La Repubblica à Rome : « nous sommes dangereusement proches du point de non-retour, affirme le quotidien italien. En Allemagne, les néonazis pro-Poutine de l'AfD, soutenus par Trump, aspirent à devenir le premier parti. En Grande-Bretagne, la droite anti-européenne de Farage nourrit les mêmes ambitions. En Italie, l'extrême droite est déjà au pouvoir. (…) Le seul espoir qui nous reste, estime La Repubblica, est que les électeurs et les responsables politiques français comprennent que le jeu dont ils sont les arbitres, au nom de 450 millions d'Européens, ne se résume pas à la suppression d'un ou deux jours de vacances ou au recul d'un an de l'âge de la retraite, mais à la survie même de l'Occident et de ses valeurs. »
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Președintele american Donald Trump a declarat din nou că este pregătit să treacă la o nouă fază de sancționare a Rusiei, după cele mai intense bombardamente ale Moscovei de la începutul războiului. Însă Moscova pare să-și extindă pretențiile teritoriale, observă comentatorii. După cum relatează Le Figaro, președintele SUA a amenințat că va viza țările care cumpără hidrocarburi din Rusia, pentru a submina finanțarea efortului de război al Moscovei. El a aplicat deja suprataxe vamale semnificative Indiei. BBC informează că ”Grupul OPEC+ al țărilor producătoare de petrol, care include și Rusia, a convenit din nou să crească producția, ceea ce va pune presiune în direcția scăderii prețurilor”. Secretarul Trezoreriei SUA, Scott Bessent, a declarat pentru emisiunea Meet the Press de la NBC că SUA solicită mai mult sprijin din partea UE pentru a impune tarife secundare țărilor care cumpără petrol rusesc. Bessent a spus că, dacă statele UE ar crește sancțiunile și tarifele secundare asupra țărilor care cumpără petrol rusesc, „economia rusă va fi într-un colaps total, iar acest lucru îl va aduce pe președintele Putin la masa negocierilor”. După cum relatează Deutsche Welle, Trump a declarat că intenționează să discute din nou cu Putin „foarte curând”, „în următoarele zile”. El a spus că „este nemulțumit de întreaga situație”. În același timp, și-a exprimat încrederea în posibilele soluții de pace spunând că „Vom rezolva asta”. Între timp, Rusia a anunțat retragerea sa din Convenția Europeană împotriva Torturii. Putin a înaintat Parlamentului un proiect de lege în acest sens, relatează agenția de știri de stat TASS. Statele părți la convenție se angajează să ia măsuri împotriva pedepselor sau tratamentelor inumane sau degradante. Ucraina acuză Rusia de torturarea prizonierilor de război. Rusia neagă acest lucru”. În acest context, Newsweek privește către situația de pe teren. ”Rusia controlează acum aproximativ o cincime din teritoriul Ucrainei. Un acord de pace pentru a pune capăt războiului depinde de două aspecte cheie: împărțirea teritoriului și arhitectura viitoare a securității ucrainene, ambele pline de complexități juridice și politice”. Iar The Conversation constată că ”Rusia a furnizat noi dovezi ale ambițiilor sale teritoriale în Ucraina”. Publicația amintește de harta observată pe fundal în timpul unui briefing susținut de șeful statului major general al Rusiei, Valeri Gherasimov, în august. ”De partea rusă se află nu doar cele cinci regiuni ale Ucrainei revendicate public ci și provinciile Odesa și Mikolaiv. Aceste zone, care îmbrățișează coasta Mării Negre, au o importanță geostrategică considerabilă. Controlul acestui teritoriu ar oferi Rusiei un coridor terestru către Transnistria, o regiune separatistă din estul Moldovei, cu puternice simpatii pro-ruse. Rusia are în prezent aproximativ 1.500 de soldați staționați acolo, iar teritoriul a fost văzut de mult timp în vest ca o posibilă platformă pentru o invazie rusă a Moldovei.
« Cette question est sur toutes les lèvres en France, s'exclame le New York Times, après que le gouvernement a perdu hier la confiance à l'Assemblée nationale, forçant le Premier ministre, François Bayrou, et son équipe, à démissionner. » Nommer bientôt un nouveau Premier ministre comme il l'a annoncé, mais qui ? Et avec quelle majorité à l'Assemblée ? Convoquer de nouvelles élections ? Emmanuel Macron l'a d'ores et déjà exclu. Une démission du président ? Niet, a aussi répondu l'intéressé. « Quoi qu'il en soit, soupire le New York Times, la route à venir s'annonce semée d'embûches. » Le nécessaire compromis Pour Le Temps à Genève, le président français n'a pas le choix : « dos au mur, Emmanuel Macron va devoir faire ce qu'il exige des autres. » À savoir : « renoncer à des points centraux de son programme pour faire avancer un compromis avec des forces opposées. Ce n'est qu'ensemble que ces partis centraux pourront sortir la France de son ornière. » En effet, renchérit Le Soir à Bruxelles, « s'entendre n'est plus une option. C'est un devoir. S'entendre, non pas forcément pour former un improbable gouvernement d'union nationale, mais s'entendre à tout le moins sur l'indispensable : l'adoption d'un budget pour faire tourner le pays en 2026. La France a décidément un problème avec le compromis. Il ne s'agit pas de couper une poire au milieu. Mais de sortir de ses dogmes pour faire du chemin vers les autres. » Pour Le Figaro à Paris, la balance doit pencher à droite. « Emmanuel Macron doit affronter un mélange de déception, d'impatience, d'exaspération qui prend des proportions préoccupantes. Il ne peut plus se permettre de procrastiner, ni de rejouer la même partie en dérivant un peu plus à gauche. Tout - l'opinion, les marchés, son intérêt - l'oblige à trancher dans le vif. Nomination éclair sur sa droite, s'exclame Le Figaro, pour repousser de quelques mois le coup de tonnerre d'une nouvelle dissolution : c'est la prévision la moins défavorable. » Un « homme de passerelles » En tout cas, affirme La Croix, « quelle que soit la personnalité retenue, il lui faudra trouver une méthode nouvelle. Peut-on imaginer un gouvernement de coalition qui irait d'une partie de la droite à la gauche ? » Pas sûr, répond le journal. « Une perspective d'autant plus incertaine que l'extrême droite et l'extrême gauche attendent des actes beaucoup plus radicaux. » Démission, dissolution avec le risque de l'arrivée de l'extrême-droite au pouvoir ? « Emmanuel Macron doit trouver le bon candidat pour éviter un tel scénario, estime La Croix. Un homme de passerelles comme Xavier Bertrand ou l'ex-socialiste Éric Lombard, à Bercy dans le gouvernement sortant, ou bien un technicien comme Jean Castex. Mais, prévient le journal, si un nouveau Premier ministre sitôt nommé était rejeté, pour la troisième fois en un an, l'impasse politique pourrait déboucher sur une crise de régime. » Justement, rebondit le Washington Post, « il est de plus en plus difficile de savoir si la Ve République pourra perdurer sans réformes majeures ». Du beurre et des armes Le Washington Post qui élargit le débat en affirmant que cette impasse politique en France est aussi une « mauvaise nouvelle pour l'Ukraine ». En effet, pointe le quotidien américain, dans les conditions actuelles, « atteindre pour l'Europe l'autonomie stratégique (en matière de défense), comme le souhaite Emmanuel Macron, ne sera pas facile. (…) La France consacre 2,1 % de son PIB à la défense, et Macron s'est engagé à doubler ce montant pour atteindre 75 milliards de dollars d'ici 2027. Mais le déficit budgétaire national atteint déjà environ 6 % du PIB et la dette publique s'élève à 114 % du PIB. » Bref, conclut le Washington Post, « on ne voit pas bien comment le président français pourrait offrir à ses concitoyens à la fois du beurre et des armes sans creuser encore le déficit ».
« Le gouvernement français est au bord du gouffre », s'exclame le Guardian à Londres. « Le Premier ministre, François Bayrou, a peut-être pensé qu'il était pertinent de convoquer un vote de confiance parlementaire envers son gouvernement minoritaire, avant une journée de protestation nationale prévue après-demain et le début d'une saison budgétaire parlementaire chargée. (…) Mais en fait, François Bayrou semble avoir choisi le hara-kiri politique, affirme le quotidien britannique. Son éviction quasi certaine par un Parlement sans majorité, ce lundi, risque de transformer une impasse politique latente en une crise de régime fulgurante. » Et attention, prévient le Guardian, « une crise politique prolongée ne fera qu'accroître le soutien de l'opinion à la droite nationaliste et anti-immigrés et discréditer davantage les partis traditionnels. Face aux résonances toxiques des réseaux sociaux et à la montée d'une extrême droite à l'américaine qui fustige la criminalité, l'immigration et l'islam, Marine Le Pen et son jeune protégé Jordan Bardella semblent de plus en plus proches de la conquête du pouvoir. » Le danger à droite… ou à gauche ? En effet, renchérit Le Monde à Paris, « de la colère qui sourd dans le pays, le Rassemblement national en apparaît aujourd'hui comme le principal bénéficiaire. Ni les ennuis judiciaires de Marine Le Pen, ni la juvénilité de Jordan Bardella, ni les virages à 180 degrés du parti qui oscille entre radicalité et quête de respectabilité, ni sa versatilité et son amateurisme sur les questions budgétaires n'entament la dynamique. Le moteur est ailleurs : il suffit à ses dirigeants d'exploiter les faiblesses et les renoncements de ceux qui prétendaient le combattre pour prospérer. » À contrario, pour Le Figaro, le danger est à gauche… Qui pour succéder à Bayrou ? « Un Premier ministre socialiste, ce serait plonger le pays dans un nouveau cauchemar, estime le quotidien de droite. D'autant plus que les Insoumis rôderaient alentour. La France est payée pour le savoir depuis François Mitterrand et la retraite à 60 ans, Lionel Jospin et les 35 heures, François Hollande et la "chasse aux riches". Elle ne s'est jamais vraiment remise de toutes ces politiques dépensières et inconséquentes. Un Premier ministre socialiste, ce ne serait certainement pas une façon de rebondir dans la crise que traverse notre pays. Ce serait plutôt l'assurance d'un enlisement, d'un effondrement garanti. » Rome regarde du haut de ses 20 ans de dépenses La Repubblica à Rome revient sur l'aspect économique. Comment la France en est-elle arrivée là ? « Nous, Italiens, avons une certaine expérience, ironise le journal. Nous avons vécu pendant des décennies avec des gouvernements instables et une dette publique dépassant 100 % du PIB, et nous sommes malheureusement habitués à dépenser des dizaines de milliards par an en intérêts sur cette dette. Mais pour la France, une dette de 115 % avec un coût d'intérêt annuel de plus de 60 milliards d'euros, c'est la découverte d'un nouveau monde. Un monde qui s'est construit au cours des 15 à 20 dernières années, sachant qu'il n'y a pas si longtemps, la dette publique française équivalait à celle de l'Allemagne : toutes deux atteignaient un peu moins de 60 % du PIB. » Quel a été le point de bascule ? : Réponse de La Repubblica : « les dépenses publiques, 57 % du PIB de la France, sont les plus élevées des économies avancées du monde et ont évidemment contribué à la hausse de la dette. Et cette hausse a été constante, inexorable, jamais stoppée par les excédents budgétaires primaires des vingt dernières années, alimentée par la longue période de taux d'intérêt proches de zéro, et accélérée par le Covid et les mesures ultérieures visant à protéger les consommateurs des pics d'inflation. La conjoncture politique a ensuite fait le reste, freinant l'élan réformateur de Macron et rendant difficile tout changement de cap. » Macron, premier responsable ? En tout cas, conclut Libération à Paris, « la France va s'enfoncer un peu plus ce lundi dans un épais brouillard. Et cela n'a rien de réjouissant. Les plus fragiles sont les premières victimes d'un pays à l'arrêt. Ils le seront davantage si la crise politique mute en crise de régime. Ce jour, tous les regards seront tournés vers François Bayrou. Normal, et à la fois injuste. Le premier responsable de la situation s'appelle Emmanuel Macron. Sa dissolution fut une faute. Son départ, en plus de rajouter de la crise à la crise, créerait un dangereux précédent. Le Président n'a pas toutes les clés en main pour dessiner les mois qui nous séparent de la prochaine présidentielle. Mais il en détient une, pointe Libération : répondre au sentiment profond d'injustice qui plombe le pays. »
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École alsacienne le 7 septembre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.David Djaïz, entrepreneur et essayiste.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.LA VALSE DES PANTINS : COMPORTEMENT DU PERSONNEL POLITIQUE À LA VEILLE DU 8 SEPTEMBREAprès sa présentation mi-juillet, le Premier ministre a de nouveau défendu, le 25 août, son plan de rigueur de 44 milliards d'euros pour le budget 2026, et annoncé qu'il « engagera(it) la responsabilité de son gouvernement[…] pour une clarification » lundi 8 septembre, avec un vote de confiance à l'Assemblée nationale convoquée en session extraordinaire. La France insoumise, le Parti communiste, les Ecologistes, le Rassemblement national et les Ciottistes ont annoncé leur volonté de faire tomber l'actuel gouvernement. Le Parti socialiste ne compte pas non plus voter la confiance. Depuis 1958, ce sont 41 Premiers ministres qui ont sollicité la confiance de l'Assemblée nationale, et qui ont obtenu à chaque fois la majorité absolue des suffrages exprimés.Si François Bayrou veut croire possible ce vote de confiance, le décompte des forces hostiles ne va guère dans son sens : en additionnant les voix du Rassemblement national (RN) et de ses alliés (138), de la gauche (192) et du groupe Libertés, indépendants et outre-mer (LIOT, 23), il existe une majorité de suffrages largement suffisante pour faire chuter le gouvernement. Un tel échec poussera-t-il Emmanuel Macron à demander, lui aussi, une « clarification », en opérant un retour aux urnes avec une nouvelle dissolution de l'Assemblée nationale, quatorze mois après la précédente ? C'est ce que réclame le Rassemblement national, tandis que LFI se prononce pour la destitution du président lequel appelle les siens à se mettre d'accord avec les socialistes et n'apparaît donc pas prêt ni à dissoudre ni à se démettre. On voit d'ailleurs que les candidats à la succession de François Bayrou ne manquent pas. L'échec de son Premier ministre placera Emmanuel Macron en première ligne, désormais dépourvu de paratonnerre. Les appels à sa démission pourraient se multiplier, en particulier lors du mouvement de blocage du 10 septembre.François Bayrou, qui veut éviter l'instabilité, risque-t-il de l'aggraver ? Cette hypothèse est partagée par 63 % des Français, selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro. Selon le baromètre de la confiance politique 2025 du Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof) publié en février dernier, 74 % des Français ne font pas confiance à la politique (+ 4 points par rapport à 2024).COMMENT LA CHINE TIRE PARTI DE L'INSTABILITÉ MONDIALE ET DES DIVISIONS OCCIDENTALESLe 25ème sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai (OCS) a réuni à l'invitation du président chinois plus de 20 chefs d'État et de gouvernement. Parmi eux : le Russe Vladimir Poutine, l'Indien Narendra Modi (pour sa première visite en Chine en sept ans), le Turc Recep Tayyip Erdogan, leprésident iranien, les Premiers ministres du Pakistan, de la Malaisie, du Cambodge et du Vietnam, ainsi que les dirigeants de toute l'Asie centrale. Soit les représentants de la moitié de la population terrestre et un quart de la richesse mondiale. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est aussi rendu à Pékin. Dans son discours d'ouverture, Xi a appelé les États membres à s'opposer à la mentalité de guerre froide, à l'hégémonisme, à la confrontation entre blocs et aux manœuvres d'intimidation, sans citer pour autant les États-Unis. Il a une nouvelle fois poussé en avant son « autre » modèle, censé refléter les nouveaux équilibres internationaux. Xi Jinping entend faire de la Chine un pôle de stabilité dans un contexte mondial instable, alors que les Occidentaux sont divisés. Les promesses militaires mal tenues faites à l'Ukraine par l'Union européenne ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. Les divisions entre les États-Unis de Trump et les pays européens, dont les valeurs et les visions de la politique s'éloignent, fournissent un nouveau levier à la Chine et à ses amis.Pour le trio Inde-Chine-Russie, les enjeux sont aussi économiques. En raison de la guerre commerciale menée par Trump et des sanctions occidentales visant la Russie, les trois pays ambitionnent de s'affranchir de l'Occident en approfondissant leurs échanges. L'Inde le fait déjà en continuant d'importer massivement du pétrole russe qu'elle paie en roupies et non en dollars. Donald Trump a imposé 50 % de droits de douane sur les produits indiens.La Chine s'affiche comme une puissance stable et raisonnable, garante d'un nouvel ordre mondial plus favorable aux émergents que celui construit par les Occidentaux il y a 80 ans, après la Seconde Guerre mondiale. Son « coup » diplomatique s'est prolongé le 3 septembre à Pékin avec une grande parade militaire à laquelle a assisté le chef suprême nord-coréen, Kim Jong-un. Parmi ceux que la Chine veut présenter au monde comme ses alliés stratégiques en faveur d'un ordre du monde alternatif sous son égide, se trouvaient également deux États de l'Union européenne et deux États de l'Otan : la Slovaquie, et la Hongrie. Deux pays qui blâment l'Occident pour le déclenchement et la poursuite de la guerre en Ukraine, critiquent les sanctions européennes contre la Russie et réclament la normalisation des relations avec Moscou.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est le Guardian à Londres, qui nous raconte son histoire et qui nous montre la dernière photo de Jana, petite fille de Gaza, souffrant de malnutrition sévère et d'acidose, une affection qui serait due à la malnutrition. « Sur les photos récentes, explique le Guardian, Jana Ayyad est recroquevillée en boule, le visage couvert de ses mains. Parfois cette fillette émaciée de 8 ans sanglote, réclamant son père, bloqué hors de Gaza depuis le début de la guerre, il y a 23 mois. Jana risque de mourir, poursuit le quotidien britannique. Son seul espoir est une évacuation médicale de Gaza pour pouvoir être soignée à l'étranger. » La mère de Jana, qui a perdu il y a deux mois son autre fille, témoigne : « Le médecin m'a dit sans détour : « Votre fille est dans un état critique. Vous pouvez la perdre à tout moment ». » Seulement voilà, « Israël contrôle les entrées et les sorties de Gaza ». « Les cas les plus critiques sont orientés vers l'étranger, poursuit le Guardian, mais les médecins et les autorités médicales affirment que la plupart des demandes sont retardées indéfiniment. » La mère de l'enfant, elle, supplie et interroge : « Pourquoi le cas de Jana est-il si compliqué ? Pourquoi personne au monde ne peut la faire sortir de Gaza ? » Retour à la case départ À la Une également, des dizaines de Russes victimes de la politique d'expulsions menée par Donald Trump. « Plusieurs dizaines de dissidents russes ont été expulsés des États-Unis et renvoyés de force en Russie », annonce le Times, qui a pu interroger « Vadim et Yuliya, un jeune couple qui pensait être enfin en sécurité, loin du régime répressif du président Vladimir Poutine. Mais qui aujourd'hui s'interroge (..) ils vivent dans la peur qu'on vienne frapper à leur porte, à Brooklyn. » Les autorités russes leur reprochent « d'avoir documenté la réalité de la guerre en Ukraine, sur une chaîne Telegram pacifiste ». Toutefois, ce n'est pas le FSB qui pourrait venir frapper à leur porte, mais bien les agents de l'immigration américains. C'est d'ailleurs ce qui est arrivé à des dizaines d'autres russes (dont des déserteurs), qui ont été expulsés des États-Unis, le 27 août dernier, « moins de deux semaines après le sommet entre le président Trump et Poutine, en Alaska », précise le Times. Un sommet qui a fortement déçu Vadim, le jeune dissident. « J'espérais en partie que [Vladimir] Poutine serait arrêté à son arrivée en Alaska, car c'est un criminel de guerre, dit-il, et pourtant Trump l'a accueilli comme un ami. » Les socialistes s'y voient déjà Enfin, en France, la classe politique est sur le pont, avant le vote de confiance, prévu la semaine prochaine à l'Assemblée nationale. « Face au spectre de la gauche à Matignon, la droite en ébullition », titre le Figaro, qui a interrogé le Numéro 2 des Républicains (LR) François-Xavier Bellamy, selon lequel « un gouvernement PS serait immédiatement censuré par sa famille politique ». « Alors que le vote de confiance, lundi, devrait précipiter la chute de François Bayrou », estime encore le quotidien français, « les socialistes s'y voient déjà, espérant placer leur premier secrétaire, Olivier Faure, à Matignon ». Situation qui fait grincer des dents le Figaro. « Reconnaissons-le, nous dit le quotidien conservateur, il fallait une bonne dose d'imagination, il y a quelques jours encore, pour envisager la nomination d'un socialiste à Matignon. Dans une France résolument de droite, au bord du gouffre, réclamant rigueur et autorité, c'est peu dire qu'Olivier Faure et ses amis ne présentent pas le meilleur profil pour succéder à François Bayrou ». Plus cruel encore, le journal compare le Parti socialiste à une grenouille : « Profitant de la confusion générale, la grenouille socialiste, se prenant soudainement pour un bœuf, se prépare à gouverner ». Le Figaro ne cache pas son agacement : « Envoyer un socialiste à Matignon serait le pire signe qui soit ».
Hàng năm tại Pháp, có khoảng 240.000 cặp uyên ương tổ chức đám cưới. So với bốn thập niên về trước, con số này đã giảm đi gần một nửa. Nếu như đa số người Pháp vẫn gắn bó với giá trị truyền thống và biểu tượng của hôn nhân, thì ngược lại, các bạn trẻ ở độ tuổi 20-35 sống ở Pháp, càng tỏ ra ngần ngại khi nhắc đến chuyện làm đám cưới. Tờ báo Le Figaro trích dẫn một cuộc khảo sát do công ty tư vấn Ymanci thực hiện hồi đầu tháng 06/2025 cho thấy : 45% giới trẻ dưới 35 tuổi không muốn làm đám cưới vì phí tổn quá cao. Ngoài gánh nặng tài chính, các bạn trẻ cũng lo ngại về vấn đề ly hôn, vì thực tế cho thấy trong hai thập niên gần đây ở Pháp, khoảng một nửa các cặp thành hôn (44% theo số liệu của cơ quan nghiên cứu dân số INED) kết thúc bằng một vụ ly dị. Hiện nay tại Pháp, một cặp uyên ương phải chi trung bình gần 12.000 euro (tức khoảng 5 hoặc 6 tháng lương) để tổ chức đám cưới. Tại các nước Anh-Mỹ, chi phí này còn cao hơn gấp đôi : tính trung bình là 25.000 euro tại Vương quốc Anh hay 35.000 đô la để tổ chức đám cưới tại Hoa Kỳ. Ngoài chi phí tài chính và đôi khi áp lực từ phía gia đình, giới trẻ Pháp thời nay còn phải chịu áp lực vô hình trên các mạng xã hội. Trả lời phỏng vấn RFI ban tiếng Pháp, nhà xã hội học Florence Maillochon, làm việc tại Trung tâm Quốc gia nghiên cứu khoa học CNRS, đồng thời là tác giả quyển sách về hôn nhân tại Pháp ("La passion du mariage" Nhà xuất bản Presse Universitaire de France) đánh giá giới trẻ thời nay trước khi thành hôn phải tính đến chuyện chụp ảnh và thu hình video ngày cưới cho mạng xã hội. Florence Maillochon : "Quả thật là mạng xã hội là nơi mà người dùng thường thể hiện những khía cạnh tốt đẹp nhất của bản thân. Vì thế cho nên, các cặp làm đám cưới thường phải quan tâm đến mọi thứ, không thể nào bỏ sót bất cứ điều gì, kể cả những chi tiết nhỏ nhất. Về mặt tâm lý, ai ai cũng muốn ngày cưới của mình diễn ra một cách hoàn hảo. Điều này đã có từ lâu, nhưng lại phát triển rất mạnh kể từ khi có mạng xã hội. Việc tổ chức đám cưới thường đi đôi với số lượng khách mời. Con số nảy đã tăng đáng kể trong vài thập niên qua. Vào những năm 1980, mỗi đám cưới ở Pháp trung bình có khoảng 70 khách mời. Ngày nay, con số trung bình là khoảng 130. Trên số hàng trăm ngàn đám cưới mỗi năm, chỉ có khoảng 5% là đám cưới lớn, với từ 200 đến 300 khách. Càng có nhiều khách mời, chi phí lễ cưới càng cao. Trước kia, đám cưới ở các vùng nông thôn Pháp chỉ đơn thuần là những bữa ăn gia đình thịnh soạn hơn ngày thường, ngay sau lễ nhà thờ. Việc làm đám cưới, tiệc rượu hay bữa ăn tối, thường được tổ chức tại nhà, hay trong phòng lễ tân tại các huyện xã. Sự khác biệt lớn bây giờ là mọi thứ đều diễn ra ở bên ngoài. Vì vậy, mới sinh ra các nhà cung cấp dịch vụ đám cưới. Có thể nói, tổ chức đám cưới thời nay giống như tổ chức một sự kiện, khó thể bỏ qua cách trình bày, dàn dựng. Để tránh làm hỏng ngày cưới, các gia đình phải chịu đầu tư ngày càng nhiều. Trong một số trường hợp, để hạn chế chi phí, chúng ta có thể giảm bớt số khách mời, tiết kiệm một phần ngân sách, rồi chi nhiều hơn để có được một dịch vụ ăn uống tốt hơn. Dịch vụ ăn uống thường chiếm khoảng 50% chi phí của đám cưới." So với các thế hệ trước, giới trẻ ở Pháp thời nay đã thay đổi quan niệm về hôn nhân và gia đình. Hôn nhân không còn là điều bắt buộc khi giới trẻ có thể sống chung với nhau nhiều năm. Các bạn trẻ dưới 35 tuổi cũng được giáo dục theo nguyên tắc nam nữ bình quyền và họ cũng thường quan niệm rằng hôn thú không phải là minh chứng quan trọng nhất trong tình yêu và việc chi tiêu nhiều để làm đám cưới cũng không bảo đảm hôn nhân sẽ được bền lâu hơn. Tuy nhiên hôn nhân không chỉ đơn thuần là chuyện đời tư của từng cá nhân, mà còn phản ánh nhiều hình tượng khuôn mẫu trong xã hội thời nay. Đó là nhận xét của ông Stéphane Seban, nhà sáng lập Hội chợ Đám cưới Salon du Mariage, thường diễn ra tại Paris vào trung tuần tháng 9 và thu hút 40.000 lượt khách tham quan mỗi năm : Stéphane Seban : "Thực tế cho thấy trong số hàng ngàn khách tham quan Hội chợ Đám cưới tại Paris, cô dâu tương lai thường là người đóng vai trò quan trọng nhất. Cho dù giới trẻ thời nay có tôn trọng sự bình đẳng nam nữ cách mấy, thì trách nhiệm tổ chức ngày cưới vẫn được giao cho các cô. Dĩ nhiên, các chú rể tương lai vẫn được tham khảo vấn ý, nhưng quan niệm truyền thống vẫn dành cho cô dâu một vai trò quan trọng. Các cô dâu tương lai thường rủ mẹ hay nhóm bạn gái (phù dâu) đến thử áo cưới tại các gian hàng triển lãm, các anh chú rể tương lai khi có mặt, cũng không hào hứng nhiệt tình như các cô dâu. Tôi đồng ý với các nhà xã hội học về những khuôn mẫu trong xã hội. Giới trẻ khi đã quyết định thành hôn, thường có quan niệm rất truyền thống về cách thức tổ chức ngày cưới". Nỗi sợ ly hôn và lễ cưới quá tốn kém Mạng xã hội ảnh hưởng khá nhiều đến cách tổ chức đám cưới như dàn dựng một sự kiện. Và đôi khi cách dàn dựng của "ngày được xem như là hạnh phúc nhất trong đời" lại hơi bắt chước phim xinê hay serie truyền hình. Theo cô Florence Maillochon, tại Pháp trong những năm gần đây, đã xuất hiện trào lưu « Mỹ hóa » một phần do ảnh hưởng của phim ảnh : Florence Maillochon : "Vâng, đại khái có thể nói là tại Pháp gần đây bắt đầu xuất hiện dịch vụ « wedding planner », những người chuyên lên kế hoạch tổ chức tiệc cưới, được trả lương tùy theo gói dịch vụ cũng như chi phí chung của một đám cưới. Đây là một ngành nghề hẳn hoi. Tại Pháp, cần khoảng một trăm giờ làm việc để chuẩn bị chu đáo một đám cưới lớn. Một đám cưới trung bình với giá 12.000 euro có thể không cần đến wedding planner, nhưng một đám cưới lớn với mức giá từ 25.000 đến 30.000 euro trở lên, thì nên có thêm người lên kế hoạch lễ cưới. Lương của một wedding planner là từ 2.500 đến 4.000 euro cho mỗi tiệc cưới, tức khoảng 10% hoặc 15% tổng chi phí. Đây rõ ràng là một trào lưu đến từ Mỹ, cách dàn dựng sự kiện cần đến những người có trình độ chuyên môn cao hơn." Một cách tương tự, các buổi tiệc chia tay thời độc thân là một trào lưu đến từ Anh-Mỹ chứ không phải là của Pháp. Thực ra đó chỉ là một hiện tượng phát sinh trong những thập niên gần đây. Các bạn trẻ ở Pháp luôn ngạc nhiên khi họ nghe tôi nói vậy, nhưng thực ra các buổi « tiệc độc thân » trở nên thịnh hành chủ yếu là qua phim truyện. Ở đây, chúng ta không « chôn vùi » mà cũng không từ giã cuộc sống độc thân hiểu theo nghĩa đen. Chúng ta chỉ từ giã cuộc sống độc thân, hiểu theo nghĩa giấy tờ hành chính, bởi vì hầu hết các cặp đôi ở phương Tây thường sống chung với nhau một thời gian trước khi quyết định thành hôn. Quá trình chuyên nghiệp hóa cũng đã tác động đến nhiều dịch vụ khác, kể cả các nhà làm mai mối cũng như dịch vụ ngõ lời « cầu hôn » hầu tạo sự ngạc nhiên bất ngờ nơi cô dâu tương lai, nhưng cũng vì thế mà ngày càng giống như kịch bản những bộ phim tình cảm. Chi phí trung bình của một đám cưới tương đương với 5 tháng lương ở Pháp có thể làm cho giới trẻ mới vào đời bị mất hứng, nhưng so với độ tuổi trung niên có thể là một bước khởi đầu mới. Về điểm này, ông Stéphane Seban, giám đốc điều hành Hội chợ Đám cưới tại Paris nhận xét : Stéphane Seban : Quả thật là hôn nhân vẫn còn có nhiều ý nghĩa trong mắt những người chọn làm lễ cưới. Người Pháp kết hôn ngày càng muộn, khoảng 35 tuổi đối với phụ nữ và 39 tuổi đối với phái nam. Việc kết hôn muộn cũng có nhiều ưu điểm : đời sống kinh tế đã vững chải, cô dâu hay chú rể tương lai đều đã từng trải. Bên cạnh đó, những cuộc tái giá hay thành hôn lần thứ nhì cũng có một vị trí quan trọng không kém trong xã hội. Đó là trường hợp của những người kết hôn ở tuổi 45 hoặc 50, đã từng có một đời vợ hay một đời chồng. Tuy thất bại trong hôn nhân lần đầu, họ vẫn không mất niềm tin trong giá trị của hôn nhân. Trái với giới trẻ, thành phần « tái hôn » có thể có những nỗi lo khác, nhưng chi phí làm đám cưới không phải là một rào cản. Dù gì đi nữa, trong mọi trường hợp, các cặp muốn kết hôn cũng nên nhớ rằng, chi phí đám cưới thường hay vượt quá từ 20% đến 30% các dự tính ban đầu. Theo quan sát của tôi, một cặp muốn chi 10.000 euro cho đám cưới của mình, sẽ phải trả từ 12.000 đến 13.000 euro. Thực tế cho thấy, dù có tính toán cách mấy, vẫn có một số chi tiết mà ta không thể kiểm soát được. Những chi tiết bất chợt ấy thường xẩy ra trước ngày cưới và điều đó có thể làm tăng hóa đơn. Vì vậy, tôi thường khuyên các cặp sắp cưới nhau là nên tiết kiệm một khoản tiền để có thể ứng phó với những rủi ro ngoài dự kiến. Cho dù nhiều bạn trẻ không biết chắc rằng hôn nhân của họ có bền lâu hay chăng, nhưng khi đến ngày cưới, họ vẫn nhiệt tình tận tâm, như thể đời người chỉ có một lần.
Ngày 03/09/2025, tiếp đồng nhiệm Ukraina Volodymyr Zelensky, một ngày trước khi diễn ra hội nghị « Liên minh các nước tình nguyện », tổng thống Pháp Emmanuel Macron tuyên bố, châu Âu « sẵn sàng cung cấp các bảo đảm an ninh cho Ukraina và người dân Ukraina vào ngày mà thỏa thuận hòa bình sẽ được ký kết ». Đây cũng là những gì Kiev muốn đạt được trước khi bước vào một cuộc đàm phán hòa bình (nếu có) với Matxcơva. Chưa có lúc nào nỗi ám ảnh về thất bại Bị Vong Lục Budapest 1994 mạnh mẽ như lúc này đối với Kiev và người dân Ukraina. Ngược dòng thời gian, vào ngày 05/12/1994, ba năm sau khi tuyên bố độc lập và dưới áp lực mạnh ngoại giao, Kiev cùng với Liên bang Nga, Hoa Kỳ và Anh Quốc ký kết Bị Vong Lục tại Budapest, Hungary. Nỗi lo nguy cơ phổ biến hạt nhân hơn là an ninh Ukraina Theo đó, Ukraina chấp nhận chuyển giao toàn bộ kho vũ khí hạt nhân được cất trữ trên lãnh thổ cho Nga, bao gồm khoảng 1.900 đầu đạn chiến lược và 2.500 vũ khí chiến thuật tức chiếm đến gần 10% kho vũ khí Xô Viết. Đổi lại, các bên tham gia cam kết « tôn trọng nền độc lập, quyền chủ quyền và các đường biên giới hiện hữu của Ukraina » và « tránh sử dụng hành động dọa dẫm hay dùng vũ lực xâm hại toàn vẹn lãnh thổ hay nền độc lập chính trị của Ukraina ». Ngoài ra, theo các hình ảnh và bài báo tư liệu được Viện Nghe Nhìn Quốc Gia Pháp (INA) trích dẫn ngày 09/03/2025, ngoài việc tăng gấp đôi số tiền viện trợ 155 triệu đô la, Hoa Kỳ còn cam kết cung cấp « hỗ trợ đặc biệt để tăng cường an ninh cho các lò phản ứng hạt nhân dân sự, kiểu Tchernobyl », và nhất là « mở rộng cánh cửa "đối tác vì hòa bình" cho Ukraina, nói một cách khác, cho phép Kiev phát triển hợp tác quân sự với NATO ». Nhà nghiên cứu Marie Dumoulin, giám đốc chương trình Wider Europe, thuộc tổ chức tư vấn European Council on Foreign Relations, trong chương trình « Sự ra đời và cái chết của Bị Vong Lục Budapest » do đài phát thanh France Culture thực hiện trong tháng 7/2025, có lưu ý rằng sự kiện diễn ra trong bối cảnh Hoa Kỳ và Anh Quốc lo lắng cho mối họa phổ biến hạt nhân hơn là vấn đề an ninh của Kiev. Bởi vì, ngoài Ukraina, còn có hai nước thành viên Xô Viết khác cất trữ vũ khí hạt nhân là Belarus và Kazakhstan. « Có một cơ chế quốc tế quản lý các quốc gia sở hữu vũ khí hạt nhân : Hiệp ước Không phổ biến Vũ khí Hạt nhân TNP. Nhưng các quốc gia độc lập mới này sinh ra từ đống đổ nát của Liên Xô lại không tham gia vào hiệp ước này, bởi vì, cho đến lúc đó, những nước này chưa tồn tại. Do vậy, thách thức đầu tiên là phải bảo đảm rằng Ukraina, Belarus và Kazakhstan, ba quốc gia cùng với Nga có triển khai vũ khí hạt nhân trên lãnh thổ của mình, tuân thủ Hiệp ước TNP (…) Nhưng điều quan trọng cần hiểu là đối với các nhà đàm phán Mỹ và Anh Quốc, thách thức chính vào thời điểm đó, không hẳn là vấn đề an ninh và chủ quyền lãnh thổ của ba nước này, mà thực sự là vấn đề không phổ biến hạt nhân, đồng thời bảo đảm rằng chỉ có một quốc gia kiểm soát vũ khí hạt nhân được thừa hưởng từ thời kỳ Xô Viết. » Hạt nhân và chủ quyền : Ukraina không có chọn lựa nào khác Chính vì điều này, vào tháng 12/1991, vào thời điểm Liên Xô tan rã, Hoa Kỳ dưới thời chính quyền Bill Clinton đã nhìn nhận Nga như là một quốc gia hạt nhân, đồng thời tuyên bố sẵn sàng cung cấp hỗ trợ cho những nước khác xuất thân từ Liên Xô với điều kiện các nước này chấp nhận quy chế quốc gia không hạt nhân, theo như chuyên gia về Nga, bà Anne de Tinguy, giáo sư danh dự, Trung tâm Nghiên cứu Quốc tế CERI trường đại học Khoa học Chính trị Sciences Po từng giải thích với báo Libération (11/03/2022). Nhiều nhà quan sát tại Pháp đánh giá rằng với việc ký kết Bị Vong Lục Budapest, chính quyền Ukraina lúc bấy giờ đã chấp nhận từ bỏ vị thế « cường quốc hạt nhân đứng hàng thứ ba » trên thế giới (tính theo số lượng vũ khí hạt nhân). Đối với nhà ngoại giao Pierre Lévy, cựu đại sứ Pháp tại Nga (2020 – 2024), điều này là không hoàn toàn chính xác, do việc hệ thống kiểm soát và chỉ huy đều trú đóng tại Matxcơva. Vũ khí hạt nhân được bố trí tại Ukraina không đồng nghĩa với việc Kiev nắm giữ « nút bấm » hạt nhân. Chuyên gia Marie Dumoulin nhắc lại : « Việc từ bỏ kho vũ khí hạt nhân, trên thực tế, đó còn là một trong số các điều kiện cho quyền chủ quyền của Ukraina. Nếu như số vũ khí này vẫn còn được bố trí trên lãnh thổ Ukraina, điều đó cũng có nghĩa là Matxcơva có lẽ vẫn sẽ tiếp tục có một vai trò chủ đạo trong an ninh của Ukraina và do vậy, quyền tự quyết của Ukraina như chúng ta đã biết từ trước đến nay, có lẽ sẽ không thể được thực thi trong cùng những điều kiện. Đó chính là những gì đang diễn ra với Belarus, quốc gia đã chấp nhận để Nga bố trí vũ khí hạt nhân trên lãnh thổ của mình. Trên thực tế, ngoài ý nghĩa của động thái này đối với an ninh châu Âu, còn có những hậu quả tức thì cho quyền tự quyết của Belarus, hiển nhiên không còn giống như khi họ đã có thể từ chối quyền xem xét lại các quyết định của Matxcơva liên quan đến chủ quyền và an ninh của chính mình ». Bị Vong Lục Budapest : Những cam kết « ảo » ? Bất chấp những cam kết, hai mươi năm sau, năm 214, Matxcơva chiếm đoạt và cho sáp nhập bán đảo Crimée vào Nga, và thổi bùng cuộc xung đột ở Donbass. Không một bên ký kết Bị Vong Lục Budapest nào có những phản ứng thực sự. Đến năm 2022, Nga chính thức phát động « chiến dịch quân sự đặc biệt », xâm chiếm Ukraina. Ngày 04/03/2022, vào ngày thứ chín của cuộc chiến, tổng thống Ukraina Volodymyr Zelensky cay đắng chỉ trích NATO từ chối lập vùng cấm bay : « Tất cả những gì Liên minh Quân sự làm được đến hiện tại, là vận chuyển khoảng 50 tấn dầu diesel cho Ukraina thông qua hệ thống cung cấp của khối. Có lẽ là để chúng ta có thể đốt bỏ và thiêu rụi Bị Vong Lục Budapest. Nhưng đối với chúng ta, văn bản này đã bị đốt cháy, dưới hỏa lực của quân đội Nga ». Về điểm này, nhà nghiên cứu Marie Dumoulin, cũng trong chương trình « Sự ra đời và cái chết của Bị Vong Lục » trên đài France Culture, giải thích thêm như sau : « Bị Vong Lục Budapest bao gồm một danh sách các cam kết của các quốc gia bảo lãnh, tức là Nga, Hoa Kỳ và Vương quốc Anh, liên quan đến Ukraina, nhưng đây là những cam kết thụ động, nghĩa là các quốc gia này cam kết không làm một số điều nhất định liên quan đến Ukraina, không gây rắc rối về chủ quyền, độc lập và biên giới của Ukraina, không đe dọa sử dụng vũ lực, không gây áp lực kinh tế lên Ukraina và trong trường hợp Ukraina bị tấn công hạt nhân, họ cũng cam kết sẽ nhờ đến Hội Đồng Bảo An Liên Hợp Quốc. Không có cam kết chủ động nào, nghĩa là không có cam kết hành động nào khác ngoài cam kết tham vấn Hội đồng Bảo an nếu toàn vẹn lãnh thổ của Ukraina bị đe dọa. » Cam kết bị xâm phạm : Lỗi tại ai ? Ngày nay, phương Tây và Nga đổ lỗi cho nhau là không tôn trọng các cam kết đưa ra trong văn bản. Hoa Kỳ và Anh Quốc tuyên bố họ không vi phạm các cam kết, rằng họ không đe dọa tính toàn vẹn lãnh thổ Ukraina. Và quốc gia duy nhất đã vi phạm các cam kết đưa ra chính là Nga. Điều thú vị, theo nhà cựu đại sứ Pháp Pierre Levy khi giải thích với France Culture là những lập luận từ phía Nga. « Câu trả lời mà Vladimir Putin dành cho Reuters vào tháng 3/2024 mà ít ai nói đến, và theo tôi là rất thú vị, trong đó, ông ấy nói rằng "Nhìn xem, quý vị đã vi phạm các cam kết của mình đưa ra trong Bị Vong Lục Budapest. Ông ấy nói rõ là ông ấy không bị ràng buộc bằng những thỏa thuận quốc tế với một quốc gia vừa có một cuộc cách mạng bên trong. Thế nên, trong cách tiếp cận của Nga, đối diện với họ là một quốc gia mới. Tiếp theo, chúng ta thấy rõ sự nhất quán trong lập trường, bởi vì, đối với Nga, có một chính quyền quân sự cầm quyền ở Kiev đã thành công lập một chế độ mới với sự trợ giúp của phương Tây sau một cuộc đảo chính. Do vậy tất cả những điều này đều nằm trong lô-gic của Nga ». Năm 2014, quyết định sáp nhập bán đảo Crimée và cuộc chiến tại Donbass đã làm lộ rõ những điểm yếu của Bị Vong Lục, vốn chỉ là một bản ghi nhớ không phải là một hiệp ước và không mang tính chất ràng buộc. Các thỏa thuận Minks được ký kết, nhằm chấm dứt các cuộc giao tranh nhưng không bao hàm một bảo đảm an ninh nào cho Ukraina, cũng không cho phép giải quyết được vấn đề. Đảm bảo an ninh Ukraina : « Trò chơi chính trị » của phương Tây Ba mươi mốt năm sau ngày ký Bị Vong Lục, và với hai cuộc chiến xâm lược của Nga sau đó, chính quyền Kiev giờ đây muốn tránh bằng mọi giá rằng các cuộc đàm phán về bảo đảm hòa bình một lần nữa sẽ không là những « tờ giấy lộn ». Trước khi ký kết bất kỳ một thỏa thuận nào với Matxcơva, tổng thống Volodymyr Zelensky mong muốn có được những bảo đảm quân sự vững chắc từ phía các đối tác nhằm ngăn ngừa một cuộc chiến xâm lược mới. Tuy nhiên, bà Tatiana Stanovaya, chuyên gia về chính trị Nga và là nhà sáng lập nhóm nghiên cứu R. Politik, trả lời báo Pháp Le Figaro, nhắc lại lập trường của Nga đối với hòa bình cho Ukraina là rất rõ ràng, điện Kremlin, « không chấp nhận rằng các bảo đảm an ninh tập thể cho Ukraina để giải quyết khủng hoảng Ukraina được thông qua mà không có sự tham dự của Nga ». Nói một cách cụ thể : « Ukraina chỉ có thể được hưởng các bảo đảm về tôn trọng đường biên giới với điều kiện thực hiện một danh sách các cam kết do Nga đề ra ». Cũng theo nhà nghiên cứu về Nga, phương Tây khó thể bảo đảm an ninh cho Ukraina do phải đối mặt với hai thực tế : « Nga là một cường quốc hạt nhân và nước này đang chiến thắng trên chiến trường. Từ góc độ này, không nước nào, hoàn toàn không một nước nào, có thể đưa ra bất kỳ đảm bảo nào cho Ukraina. Điều gì sẽ thay đổi nếu cuộc xung đột đang bị đóng băng này lại bị Nga vi phạm trong tương lai ? Phương Tây có thể làm gì hơn hoặc khác đi ? Nga là một cường quốc hạt nhân, chỉ riêng câu trả lời này đã khép lại mọi cuộc tranh luận. Khi Emmanuel Macron nói về một "lực lượng tái bảo đảm" sẽ được triển khai tại Ukraina trong trường hợp hòa bình, thì vài nghìn quân có thể làm được gì để bảo vệ nước này khỏi sức mạnh quân sự của Nga ? Ý tưởng này là không nghiêm túc. » Trong bối cảnh này, các cuộc thảo luận xoay quanh những bảo đảm được nêu ra trong các cuộc đàm phán ngoại giao, đối với nhà khoa học chính trị Tatiana Stanovaya, điều đó chẳng khác gì một « trò chơi chính trị » !
C dans l'air du 3 septembre 2025 - Macron: et maintenant, cap à gauche ?À six jours du vote de confiance au Parlement, qui semble perdu d'avance pour François Bayrou – les oppositions promettant toujours sa chute –, un dernier Conseil des ministres s'est probablement tenu ce mercredi midi, alors que la suite se prépare au sein des formations politiques et à l'Élysée.Comme l'a révélé Le Figaro, le chef de l'État a reçu mardi, pour déjeuner, les chefs des quatre principaux partis du bloc central : Gabriel Attal pour Renaissance, François Bayrou pour le MoDem, Édouard Philippe pour Horizons et Bruno Retailleau pour Les Républicains (LR), afin d'évoquer l'après-8 septembre. Objectif : s'assurer de la mobilisation des troupes lors du vote de lundi prochain et les enjoindre à travailler avec le Parti socialiste (PS).Et en coulisses, plusieurs noms circulent : Éric Lombard, Sébastien Lecornu, Gérald Darmanin, Catherine Vautrin, Bernard Cazeneuve…Si les rumeurs sur le nom de son éventuel successeur courent déjà, François Bayrou continue ce mercredi ses consultations avec les partis politiques et sa tournée des médias, dans l'espoir de retourner la situation en sa faveur. Se disant « réaliste » mais refusant d'être « défaitiste », il a de nouveau appelé les députés à le maintenir à Matignon, mettant en garde contre « l'instabilité » : « Si vous êtes représentant du peuple, comme c'est la vocation d'un député (…) alors vous devez vous demander où est l'intérêt national. Est-ce que, oui ou non, cette situation dans le monde (…) est grave et urgente ? Ma réponse : elle est grave et urgente », a-t-il assuré.Sur les marchés, les experts évoquent une nervosité croissante des investisseurs face à la dette française, depuis que le chef du gouvernement a annoncé qu'il demanderait un vote de confiance sur le budget. Hier, le taux des obligations assimilables du Trésor (OAT) à 30 ans a ainsi bondi de sept points de base, atteignant 4,5 %. Il s'agit de son plus haut niveau depuis 2009, sous les effets de la grande crise financière.Alors, qui à Matignon ? Croissance, déficit, taux… quelles conséquences en cas de chute du gouvernement Bayrou ? Et quel budget pour réduire la dette ?Nos journalistes ont rencontré Jean-Louis Borloo. L'ancien ministre, président-fondateur de l'UDI et ancien maire de Valenciennes, plaide pour un grand plan de réorganisation de l'État, avec, à la clé selon lui, 150 milliards d'euros d'économies.LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique et conseiller de la rédaction de Franc-Tireur - Dominique SEUX - Éditorialiste aux Echos et à France Inter- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction du magazine Challenges - Soazig QUEMENER - rédactrice en chef à la Tribune Dimanche
Une belle brochette d'une quarantaine de dirigeants, tous alignés sur un tapis rouge, pour assister au grand défilé militaire organisé hier par les autorités chinoises sur la place Tiananmen à Pékin. La Repubblica à Rome zoome sur la photo officielle : « Xi Jinping au centre, Poutine à sa droite, Kim Jong-un à sa gauche ; autour d'eux : vingt-cinq autres présidents et chefs de gouvernement, dont l'Iranien Pezeshkian et le Biélorusse Loukachenko (…). Ce groupe de chefs d'États au centre de la tribune était autrefois appelé "l'Axe du Mal", rappelle le quotidien italien ; aujourd'hui, les analystes préfèrent le nommer "l'Alliance du Désordre" ou, soulignant le rôle de Téhéran, le "Quatuor du Chaos". Cette coalition cherche à construire un ordre mondial alternatif, pointe encore La Repubblica, qui place l'Asie en son centre et attire de nombreux groupes "non-alignés" ». Les Occidentaux trop divisés… Et de fait, l'Occident semble bien loin… « Il faut dire, pointe Le Figaro, que les divisions et les incohérences du camp occidental ont été du pain bénit pour le groupe des autocrates, qui ont comblé les vides, les silences, les hésitations et les changements de cap des États-Unis et de l'Europe. Les divisions de l'UE sur tous les sujets, de la guerre en Ukraine à la politique vis-à-vis de la Chine en passant par l'utilisation de la force, ont neutralisé sa voix sur la scène internationale. Ses reculs, comme les promesses militaires non tenues vis-à-vis de l'Ukraine, ont révélé ses faiblesses, quand certains pays de l'axe de la contestation, comme la Corée du Nord, ont, eux, joint le geste à la parole en envoyant des armes ou des troupes combattre aux côtés des Russes. » Pour les Européens, en effet, analyse le Times à Londres, cette démonstration de force « dissipe tout espoir de voir l'alliance sino-russe s'effriter, plus de trois ans après le début de la guerre en Ukraine. Pour les voisins est-asiatiques de la Chine, a contrario, elle témoigne d'une puissance écrasante, qu'ils sont obligés de suivre. Par exemple en acceptant les manœuvres expansionnistes illégales de Pékin en mer de Chine méridionale ». Prêts à en découdre face aux États-Unis… Toutefois, poursuit le Times, « le principal destinataire des images des nouveaux missiles hypersoniques, des chasseurs furtifs et des drones est Washington. La plupart des armes exposées hier sont destinées à empêcher l'armée américaine d'utiliser les siennes autour de Taïwan, si l'administration Trump ou son successeur envisageait de contester une invasion chinoise. Si Taïwan et ses 23 millions d'habitants tombent dans les mains de Xi Jinping comme des fruits mûrs uniquement par la coercition économique et politique, tant mieux. Mais sinon, comme le montre le défilé, l'Armée populaire de libération est prête ». Réponse immédiate de la Maison-Blanche. Donald Trump a dégainé son portable pour envoyer ce message sur son réseau social, message rapporté notamment par Die Welt à Berlin : « veuillez transmettre mes salutations les plus chaleureuses à Vladimir Poutine et Kim Jong-un pendant que vous conspirez contre les États-Unis d'Amérique ». La Belgique va reconnaître l'État de Palestine Enfin à la Une de la presse belge : la reconnaissance par Bruxelles de l'État palestinien. La Belgique qui emboîte ainsi le pas à la France, à l'Australie ou encore au Royaume-Uni. Ce sera le 22 septembre en marge de l'assemblée générale des Nations unies. Pour Le Soir, « la Belgique retrouve enfin le chemin du droit international. (…) Alors, oui, soupire le journal, tout cela représente si peu au regard de la montagne à renverser. Alors, oui, tout cela est très tardif et obtenu après des mois de débats de fond autant que de pinaillages indécents. (…) Mais l'obstination de notre ministre des Affaires étrangères a payé. À New York, conclut Le Soir, on retiendra que la Belgique était du côté de ceux qui affichent la volonté de reconnaître un Etat de Palestine. Le reste ne sera plus que de la gesticulation politicienne, inutile et contreproductive, à l'heure où la seule urgence demeure la fin du massacre à Gaza. Ou de ce qu'il en restera ».
C dans l'air du 2 septembre 2025 - Xi Jinping, Poutine, Modi : ils font trembler l'Occident Ce sont des images qui en disent long sur l'évolution du monde. Vladimir Poutine, Xi Jinping et Narendra Modi se tenant par la main, tout sourire. Le sommet de Tianjin, près de Pékin, organisé par le président chinois, vient de s'achever, avec sur la photo officielle 26 chefs d'État ou de gouvernement. Parmi eux, les dirigeants russe, biélorusse, indien, iranien, turc, et une vingtaine de leaders eurasiatiques représentant presque la moitié de la population mondiale. Des dirigeants qui ne sont pas d'accord sur tout, mais qui entendent se tenir à distance de l'Occident, et en premier lieu de l'Amérique de Donald Trump.Un front du refus mis en scène avec un objectif : montrer, à l'heure des droits de douane américains et des tensions géostratégiques, qu'un autre modèle international est possible, avec la Chine en son centre.Un peu plus de deux semaines après avoir été reçu en grande pompe par Donald Trump en Alaska, Vladimir Poutine est présent en Chine. Il aura des discussions avec son hôte et grand allié chinois ce mardi à Pékin, après avoir parlé du conflit en Ukraine lundi à Tianjin avec son homologue turc, et du dossier nucléaire avec son homologue iranien. Une rencontre était également à l'agenda ce jour-là avec le Premier ministre indien. Car Narendra Modi, qui est loin d'être le meilleur ami du président chinois, était aussi présent. Il s'agissait en effet de la première visite en Chine du nationaliste hindou depuis 2018.Les deux dirigeants étaient en froid depuis l'affrontement, en 2020, de leurs soldats sur les hauteurs du Ladakh, une région himalayenne contestée, qui avait fait 20 morts du côté indien et un nombre indéterminé du côté chinois. Mais les tarifs douaniers de 50 % récemment imposés aux marchandises indiennes par le président américain ont semble-t-il convaincu le Premier ministre indien de faire baisser la tension avec Xi Jinping.Un dirigeant chinois qui a d'ailleurs débuté son discours inaugural par une charge à peine voilée contre les États-Unis, évoquant la nécessité de s'opposer à la "mentalité de guerre froide et de confrontation de blocs, ainsi qu'aux actes d'intimidation". Au-delà du discours politique, le défilé militaire qui aura lieu mercredi sur la place Tian'anmen, en présence du leader nord-coréen, s'annonce comme une nouvelle démonstration de force. La Chine, dont la flotte dépasse aujourd'hui en nombre celle des États-Unis, entend apparaître comme un rival crédible.Alors, pourquoi cette rencontre entre les dirigeants russe, chinois et indien est-elle si importante ? La politique de Donald Trump est-elle en train de renforcer la Chine ?LES EXPERTS :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Valérie NIQUET - Spécialiste de l'Asie - Fondation pour la Recherche Stratégique, auteure de L'Indo-Pacifique, nouveau centre du monde - Agatha KRATZ - Economiste, Spécialiste des relations Chine-Union Européenne et Chine- États Unis- Alain BAUER (en duplex des États-Unis) -Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pole Sécurité Défense Renseignement
C dans l'air du 2 septembre 2025 - Xi Jinping, Poutine, Modi : ils font trembler l'Occident LES EXPERTS :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Valérie NIQUET - Spécialiste de l'Asie - Fondation pour la Recherche Stratégique, auteure de L'Indo-Pacifique, nouveau centre du monde - Agatha KRATZ - Economiste, Spécialiste des relations Chine-Union Européenne et Chine- États Unis- Alain BAUER (en duplex des États-Unis) -Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pole Sécurité Défense Renseignement
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Sudul global strânge rândurile, pe măsură ce Statele Unite sub Donald Trump se îndepărtează de Europa. La reuniunea Organizației de Cooperare de la Shanghai (SCO) de la Tianjin, gazda Xi Jinping a cerut o mai mare unitate între membri și a anunțat un program cuprinzător de creditare. Printre participanți s-au numărat președintele rus Vladimir Putin. Presa internațională analizează situația. ”Beijingul se profilează ca un al doilea centru de putere globală”, observă ziarul italian Corriere della Sera, citat de Eurotopics, „Prezența lui Modi, Putin și a altora, precum președintele turc Erdoğan și președintele iranian Masoud Pezeshkian, i-a oferit lui Xi Jinping oportunitatea de a-și relansa ideea unei alternative la ordinea mondială occidentală. ... La cina de gală, președintele chinez a subliniat convergența intereselor dintre țările «Sudului global»,.” Însă contururile alianței sunt încă neclare, notează ziarul german Handelsblat, observând slăbiciunile grupului: „Diferențele dintre India și China, neîncrederea republicilor din Asia Centrală față de Kremlin, conflictul dintre Pakistan și India: Occidentul poate folosi toate acestea pentru a menține deschise liniile de falie din cadrul alianței. SCO este încă mai degrabă un mozaic fragil decât un bloc monolitic.” Iar Financial Times consideră că prezența lui Vladimir Putin „subminează imaginea pe care Beijingul dorește să o proiecteze ca mare campion al stabilității și multilateralismului”. ”Umilită de Donald Trump, India își relansează relațiile cu China”, titrează Le Monde. ”Încolțit de sancțiuni vamale americane luate brusc – penalități de 50% pentru produsele indiene, tarife motivate, potrivit președintelui Donald Trump, de importurile de petrol rusesc – prim-ministrul indian Narendra Modi a decis să se apropie de Beijing, rivalul și dușmanul său”. ”În mijlocul unui conflict comercial cu Washingtonul, strângerea de mână este încărcată de simbolism”, consideră Le Figaro. Dar ”deși tensiunile dintre cele două puteri nucleare s-au relaxat (...), punctele de dispută rămân. În 2020, cele două armate s-au ciocnit în apropierea regiunii indiene Ladakh, lăsând cel puțin 24 de morți pe câmpul de luptă. Iar anul trecut, India a înregistrat un deficit comercial de 99 de miliarde de dolari cu China” mai scrie ziarul francez. A fost „un summit prezentat pe scară largă ca o oportunitate unică pentru China de a-și etala aura geopolitică”, comentează ziarul japonez Nikkei Asia, preluat de Courrier International. Liderul de la Beijing a pledat pentru „o lume multipolară bazată pe egalitate și ordine”. „India este piatra de temelie a strategiei americane de a împiedica China să domine Asia” notează The Wall Street Journal. ”Cu toate acestea, relațiile cu India au devenit ”execrabile de la decizia republicanului de a impune tarife punitive de 50% din cauza achizițiilor masive de petrol din Rusia (...). Washingtonul nu dă nici cel mai mic semn de dorință de a-și schimba poziția și niciun prim-ministru al Indiei, cea mai mare democrație din lume, nu își poate permite să ignore opinia publică”. A fost un eveniment conceput, așa cum explică Foreign Policy, „atât pentru Statele Unite, Japonia, Taiwan și alte țări de la granițele maritime ale Chinei, cât și pentru spectatorii chinezi”, dar și ca o modalitate prin care Xi Jinping (...) a face mai mult loc Chinei”.
Surprise hier : le Premier ministre français annonce qu'il va engager la responsabilité de son gouvernement sur son plan d'économies budgétaires. Ce sera le 8 septembre devant l'Assemblée nationale réunie en session extraordinaire. Seulement voilà, l'opposition est vent debout contre ce projet et elle votera la censure… Résultat, pointe Libération, « Bayrou s'auto-dissout : vu le niveau de sa cote de popularité et l'ampleur des mouvements sociaux qui se préparent, foutu pour foutu, François Bayrou a donc choisi de faire tapis en sollicitant ce vote de confiance. Suicidaire ou courageux, il y a sans doute un peu des deux dans cette annonce qui, après un bref moment de sidération, a été prise au mot par tous les partis d'opposition qui ont assuré qu'ils ne voteraient pas la confiance. » « François Bayrou seul contre tous », renchérit Le Figaro. « Il pariait sur un quitte ou double. Vainqueur, il serait sorti plus fort de cet épisode. On sait déjà que le plus probable semble devoir être la chute de son gouvernement ». Et pourtant, soupire Le Figaro, « son constat était sombre, mais lucide. Sa leçon était sévère, mais juste. En rappelant qu'il était le seul à se battre contre la dette depuis vingt ans, François Bayrou s'est bien sûr donné le beau rôle, mais, dans l'instant présent, son initiative - courageuse - mettait en jeu sa survie à Matignon. Il restera donc seul contre tous ». « Lui ou le chaos… » « Durant tout l'été, rappelle Le Soir à Bruxelles, François Bayrou avait prêché dans le désert pour convaincre les Français de soutenir son projet de budget pour 2026. Son plan, esquissé mi-juillet, prévoit 44 milliards d'euros d'économies, notamment via une “année blanche“ (le gel des dépenses sociales au niveau de 2025), une réforme de l'assurance-chômage et de la Sécurité sociale, mais surtout la suppression de deux jours fériés. Un chiffon rouge, pour 84 % des Français, selon l'institut de sondages Odoxa. (…) C'est donc lui ou le chaos, s'exclame Le Soir. Lui ou la dette. Et ce sera à chaque parlementaire, de chaque parti, d'en décider en son âme et conscience. Un pari qu'il n'a, à vrai dire, quasiment aucune chance de gagner sauf énorme coup de théâtre ». Et après ? Alors si l'Assemblée vote la censure, que peut-il se passer ? Réponse du Guardian à Londres : « les dirigeants de l'opposition ont déclaré qu'en cas de chute du gouvernement, ils exigeraient la dissolution du Parlement et de nouvelles élections. Néanmoins, Emmanuel Macron, dont la décision surprise de dissoudre le Parlement en juin 2024 a produit une assemblée divisée en trois groupes opposés, Emmanuel Macron ne semble pas vouloir répéter l'expérience. Les analystes estiment qu'il tentera d'éviter de nouvelles élections anticipées, pointe encore le quotidien britannique, en cherchant plutôt à nommer un nouveau Premier ministre - bien que l'on puisse se demander qui pourrait être ce Premier ministre et comment il pourrait être plus efficace ». Gaza : encore un « crime de guerre » À la Une également, l'indignation après la nouvelle frappe israélienne hier à Gaza. Frappe sur l'hôpital Nasser de Khan Younès qui a fait plus de 20 morts dont 5 journalistes palestiniens. « Une caméra de Reuters a tout filmé, rapporte Le Monde. Face à la violence des images, l'armée israélienne a rapidement annoncé une enquête. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, est aussi intervenu dans la soirée en exprimant ses regrets. “Israël accorde de la valeur au travail des journalistes, du personnel médical et de tous les civils“, a écrit le chef du gouvernement alors même, fulmine Le Monde, que tous les actes de l'État hébreu depuis vingt-deux mois témoignent du contraire – à commencer par l'interdiction faite aux reporters internationaux de se rendre dans l'enclave palestinienne de manière indépendante ». Enfin, Haaretz, quotidien israélien d'opposition, ne cache sa colère : « nous avons été témoins d'un crime de guerre retransmis en direct. Comment justifier des attaques répétées contre un hôpital, surtout lorsque le système de santé de Gaza est pratiquement paralysé, au milieu d'une crise humanitaire et d'une famine sans précédent dont le monde entier parle ? Comment expliquer le nombre de journalistes tués (245 depuis le début de la guerre) ? (…) Cette guerre doit cesser immédiatement, s'exclame encore Haaretz. Israël doit prendre conscience de la réalité, renoncer à son projet scandaleux d'occuper la ville de Gaza et signer un accord prévoyant la libération des otages et le retrait de ses troupes de la bande de Gaza ».
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C dans l'air l'invité du 18 août 2025 avec Gael Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa.Le mouvement citoyen "bloquons tout", qui prend essor sur les réseaux sociaux, réunit des personnes d'horizons divers, qui appellent à "tout bloquer" en France le 10 septembre en se cristallisant autour des coupes budgétaires voulues par François Bayrou. Une initiative qui prend de l'ampleur sur les réseaux sociaux. Hier, dans la Tribune dimanche, le leader de la France insoumise, Jean-Luc Mélenchon, a publié une tribune appelant à soutenir ce blocage. Ce matin, le coordinateur du mouvement, Manuel Bompard, a appelé à participer au blocage pour "empêcher le plan Bayrou de s'appliquer". "Je ne crois pas du tout que les revendications qui émergent de ce mouvement soient positionnées à l'extrême droite. On a dit la même chose au moment des mobilisations des gilets jaunes et le mouvement des gilets jaunes s'est traduit par des revendications pour plus de démocratie, pour plus de justice fiscale, pour plus de justice sociale", a-t-il déclaré.Gaël Sliman, président et cofondateur de l'institut de sondages Odoxa, décryptera avec nous le mouvement "Bloquons tout", et en analysera les ressorts. Un appel à la mobilisation dès la rentrée, qui intervient alors que les mesures budgétaires annoncées en juillet par François Bayrou sont particulièrement impopulaires. Ainsi, 73% des Français sont opposés à la suppression de deux jours fériés, et 74% aux économies dans le secteur de la santé, selon un sondage Odoxa pour Le Figaro.L'exécutif s'attend donc à une rentrée sociale particulièrement mouvementée, avec également le risque d'une censure contre le gouvernement.
Le grand retour des sandwichs ! Ils n'avaient jamais vraiment disparu, mais ils reviennent en force : les sandwichs font un véritable carton. Phénomène culinaire ou simple sursaut de consommation rapide ? Un peu des deux. Une chose est sûre : la pause déjeuner a changé de visage, et le sandwich en est devenu l'icône. Désormais, il ne s'agit plus seulement de pain et de jambon emballés à la va-vite. Le sandwich version 2025 est soigné, réfléchi, inspiré. Il raconte une histoire, celle du retour à une cuisine de rue gourmande, pratique et bien faite. Le Figaro ne s'y est pas trompé en consacrant un classement complet aux 100 meilleurs sandwichs du moment. Partout, les adresses se multiplient : food trucks, boulangeries créatives, petits comptoirs cachés ou même restaurants traditionnels… Tous surfent sur la vague. Même les cafés et bistrots s'y mettent, revisitant les classiques à leur sauce. Un exemple ? Le sandwich rillettes-cornichon servi en terrasse, aussi simple qu'efficace, et désormais revendiqué comme une vraie proposition culinaire. En 2025, le sandwich n'est plus un pis-aller. C'est un choix. Un art de vivre. Et surtout, une promesse de plaisir entre deux tranches de pain. Et si on variait les plaisirs ? Le sandwich a beau revenir sur le devant de la scène, il n'est pas question de se contenter d'un sempiternel jambon-beurre. C'est tout l'art de bien vivre, en version compacte. Alors, pour nourrir l'inspiration, voici quelques pistes à savourer. Commençons par un clin d'œil historique. Le sandwich nous vient d'Angleterre, et plus précisément du Comte John Montagu, quatrième du nom. La légende raconte qu'il aurait demandé à ce qu'on lui serve un morceau de viande coincé entre deux tranches de pain pendant une partie de cartes, afin de ne pas se salir les mains — ni interrompre le jeu. Il était comte… des îles Sandwich (dans le Pacifique), ce qui aurait donné son nom à cette invention qui allait faire le tour du monde. Aujourd'hui, cette idée toute simple est devenue un terrain de jeu pour les chefs comme les amateurs. Sonia Ezgulian, grande prêtresse de la cuisine intuitive, propose des créations pleines de goût et de fraîcheur : un pan bagnat revisité avec aubergines grillées, salade de tomates, olives, oignons, œuf poché et une touche d'estragon. Une ode à l'été, à manger avec les doigts. Envie d'un clin d'œil british ? Testez un sandwich œufs durs, mayo et cresson, une recette typique des tea rooms anglais, simple, délicate et savoureuse. Ce samedi, la table des bons vivants rend hommage à l'un des plus grands chefs et pâtissier de l'histoire de notre gastronomie : Marie-Antoine Carême dit Antonin Carême. A l'occasion de la sortie de la série Carême sur Apple TV + le mercredi 30 avril, Laurent Mariotte et toute sa bande retracent l'héritage de ce gastronome du XIXème siècle, à commencer par les recettes que nous lui devons : le diplomate, le croquembouche ou pièce montée et bien sûr le vol au vent, même si ce dernier fait encore l'objet de débat quant à sa paternité, les uns l'attribuant bien à Antonin Carême pour la finesse de la pâte feuilletée quand d'autres historiens signalent qu'il existait déjà avant lui une recette nommée vol en vent, une pâte haute en forme de losange et garnie de fromage. Au-delà de ses recettes qui ont traversé les deux siècles qui nous séparent du pâtissier, Antonin Carême a surtout oeuvré pour une cuisine plus digeste en allégeant les sauce alors très riche sous la mode de l'Ancien Régime, mais aussi pour respecter les produits de saison en cherchant à la cuisiner le mieux possible. Ainsi, il a toujours envisagé la cuisson rapide des légumes frais de printemps dans un bouillon plutôt que de les ajouter à des longs mijotés de viande et de perdre leur saveur. Antonin Carême est surtout connu pour son rôle de gastro-diplomate : il rentre au service de Talleyrand, ministre des affaires extérieures sous Napoléon alors premier consul. Son travail consiste à préparer et servir les repas diplomatiques, c'est-à-dire de faire rayonner la cuisine française auprès des représentants des pays étrangers mais aussi de créer le cadre le plus propice à l'échange entre les diplomates, quitte à ce que la cuisine puisse parfois faire pencher la balance lors de la signature de traité. Afin de donner à avoir toute la splendeur de la pâtisserie française par exemple, Antonin Carême dessine et conçoit plusieurs pièces montées de son invention, tour à tour en forme de temple grec ou de pyramide, visant toujours l'effet monumental dans ses créations sucrées : “Les Beaux-Arts sont au nombre de cinq, à savoir : la peinture, la sculpture, la poésie, la musique et l'architecture, laquelle a pour branche principale la pâtisserie” a-t-il écrit dans son Art de la cuisine française au XIXème siècle. Un sens du spectacle qui n'a pas échappé à Martin Bourboulon, réalisateur de la série Carême, ainsi qu'à Jérôme Raffaelli, pâtissier qui a été créateur et consultant culinaire, en charge de toutes les scènes de cuisine et des recettes filmés dans la série : “Il fallait qu'on serve le scénario de la série tout en restant fidèle à l'esprit de Carême, se souvient le pâtissier aujourd'hui installé à Marseille dans sa boutique Oh Faon !, c'est pour cette raison qu'on a réalisé une statue de Vénus en taille réelle conçue entièrement de crème glacée pour un dîner libertin présent dans l'histoire. La cuisine pour Antonin Carême c'était du spectacle.” Le plat du jour est signé Georgiana Viou, cheffe étoilée du restaurant Rouge à Nîmes au sein de l'Hôtel Margaret Chouleur. Il s'agit d'une polenta servie avec des œufs brouillés, des légumes de saison et une sauce cacahuètes. Une recette du Bénin que lui faisait sa mère. Pour la dernière partie de l'émission, Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la comédienne Michèle Bernier qui est autour de la table. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle nous raconte son goût pour les nems que son père lui préparait et les crêpes de sa mère. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À la machine à café ou entre deux portes, les ragots et autres commérages ont aussi leur place au bureau. Ils seraient même très appréciés. Selon un sondage Ifop en France datant de 2023, les potins liés à la vie de l'entreprise sont le sujet préféré de 69 % des salariés et 75 % des managers. Mieux vaut donc faire attention aux oreilles qui trainent. Les réorganisations, les déménagements des bureaux, les embauches... peuvent faire l'objet de bruits de couloirs. Les potins quand ils concernent certains employés peuvent néanmoins avoir des conséquences désastreuses sur les relations entre collègues. Comment faire la part des choses entre le besoin de communication et les rumeurs ? Faut-il éviter de se confier à ses collègues ? Cette émission est une rediffusion du 21 juin 2024. Avec : Quentin Perinel, journaliste et chroniqueur au journal Le Figaro et auteur de 60 nuances de collègues (Les presses de la cité, 2024) Aurélie Foucart, coach professionnel, experte en développement professionnel Et en fin d'émission, Portons la flamme, la chorégraphie qui voyage d'école en école pour les Jeux olympiques et plus de 800 000 vues sur YouTube. Quand elles ont lancé leur hymne olympique Portons la flamme, Peggy Rolland et Virginie Fraïoli ne s'attendaient pas à un tel succès. Ces deux artistes ont imaginé cette chanson et cette chorégraphie avec des enfants de leur ville, Colombes, une ville de la région parisienne qui va accueillir les épreuves de hockey sur gazon lors des JO qui démarreront fin juillet 2024 dans la capitale. La vidéo de leur choré s'est vite répandue jusqu'à Fosses notamment, une autre ville d'Île-de-France où on apprend cette danse en cours de sport au collège Stendhal. Un reportage de Charlie Dupiot. Programmation musicale : ► Make Friends – Hiatus Kaiyote ► Joy (Life Goes On) – Ezra Collective
À la machine à café ou entre deux portes, les ragots et autres commérages ont aussi leur place au bureau. Ils seraient même très appréciés. Selon un sondage Ifop en France datant de 2023, les potins liés à la vie de l'entreprise sont le sujet préféré de 69 % des salariés et 75 % des managers. Mieux vaut donc faire attention aux oreilles qui trainent. Les réorganisations, les déménagements des bureaux, les embauches... peuvent faire l'objet de bruits de couloirs. Les potins quand ils concernent certains employés peuvent néanmoins avoir des conséquences désastreuses sur les relations entre collègues. Comment faire la part des choses entre le besoin de communication et les rumeurs ? Faut-il éviter de se confier à ses collègues ? Cette émission est une rediffusion du 21 juin 2024. Avec : Quentin Perinel, journaliste et chroniqueur au journal Le Figaro et auteur de 60 nuances de collègues (Les presses de la cité, 2024) Aurélie Foucart, coach professionnel, experte en développement professionnel Et en fin d'émission, Portons la flamme, la chorégraphie qui voyage d'école en école pour les Jeux olympiques et plus de 800 000 vues sur YouTube. Quand elles ont lancé leur hymne olympique Portons la flamme, Peggy Rolland et Virginie Fraïoli ne s'attendaient pas à un tel succès. Ces deux artistes ont imaginé cette chanson et cette chorégraphie avec des enfants de leur ville, Colombes, une ville de la région parisienne qui va accueillir les épreuves de hockey sur gazon lors des JO qui démarreront fin juillet 2024 dans la capitale. La vidéo de leur choré s'est vite répandue jusqu'à Fosses notamment, une autre ville d'Île-de-France où on apprend cette danse en cours de sport au collège Stendhal. Un reportage de Charlie Dupiot. Programmation musicale : ► Make Friends – Hiatus Kaiyote ► Joy (Life Goes On) – Ezra Collective
« Longtemps précautionneux avec l'Algérie, Emmanuel Macron change de ton, constate Le Figaro à Paris. Dans une lettre qu'il a transmise hier au Premier ministre, (et qui a été publiée par Le Figaro), il charge le gouvernement de "prendre des décisions supplémentaires pour agir avec plus de fermeté et de détermination" ». « Parmi les mesures demandées au gouvernement, relève Le Monde, le chef de l'État appelle à suspendre "formellement" l'accord de 2013 avec Alger "concernant les exemptions de visa sur les passeports officiels et diplomatiques". (…) Pour justifier ce tour de vis, Emmanuel Macron mentionne en premier lieu les emprisonnements de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, condamné à cinq ans de prison ferme notamment pour "atteinte à l'unité nationale", et du journaliste français Christophe Gleizes, condamné à sept ans de prison en Algérie pour "apologie du terrorisme". Il fait également référence au "non-respect par l'Algérie de ses obligations" en matière migratoire, ainsi que "la cessation de la coopération des dix-huit consulats algériens présents sur notre sol avec les services de l'État" ». « Revers terrible » Commentaire du Figaro : c'est une « quasi-rupture diplomatique ». Et « pour un proche du sérail algérien, note le journal, cette lettre d'Emmanuel Macron sonne comme un "revers terrible" pour le président algérien. Depuis des mois, Abdelmadjid Tebboune s'évertue (en effet) à distinguer Emmanuel Macron de "la minorité extrémiste" française qu'il accuse de faire de l'Algérie "une obsession" ». Désormais, pointe Le Figaro, « cette lettre sera inévitablement lue comme un alignement d'Emmanuel Macron sur la ligne dure défendue par son ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, et le chef de l'État algérien pourrait y voir un reniement personnel ». Macron : « tête à claques » Dans la presse algérienne, les réactions sont vives. « Emmanuel Macron opte pour l'escalade », s'exclame le site TSA. « Visas officiels et diplomatiques : la France prend une décision radicale face à l'Algérie », soupire Observ'Algérie. Pour Le Matin d'Algérie, on observe « un durcissement de ton de la part d'Emmanuel Macron qui va ainsi dans le sens de Bruno Retailleau, tenant d'une ligne dure vis-à-vis d'Alger ». Le site Algérie Patriotique hausse le ton et traite le président français de « tête à claques » : « quelle "approche de plus grande fermeté" reste-t-il à ce bluffeur, écrit le site algérien, pour forcer l'Algérie à ressembler à son docile protectorat marocain ? Aucune, affirme Algérie Patriotique, sinon l'esbroufe d'un président battu par sa femme, la vitupération des "experts" sur les putrides plateaux de télévision français et les aboiements de Bruno Retailleau, Eric Ciotti, Eric Zemmour et autre Arnaud Benedetti ». Cameroun : vers une alliance au sein de l'opposition ? À la Une également, le Cameroun, avec des manœuvres en coulisses en vue de la prochaine présidentielle… Manœuvres dévoilées par Jeune Afrique : « l'exclusion définitive de Maurice Kamto de la course à la présidentielle fait désormais de Bello Bouba Maïgari, qui brigue la magistrature suprême sous la bannière de l'UNDP, l'un des candidats de poids au sein de l'opposition. Ces dernières semaines, il a multiplié les rencontres avec les représentants de ses différentes composantes. Mais aussi, de manière plus surprenante, avec des émissaires de la présidence ». Ceux-ci auraient « tenté, croit savoir Jeune Afrique, de convaincre le candidat de l'UNDP de lisser son discours et de s'abstenir de propos trop virulents à l'égard du chef de l'État sortant, Paul Biya, candidat à un huitième mandat ». Le mois dernier, précise encore le site panafricain, Bello Bouba Maïgari aurait donc rencontré également plusieurs leaders de l'opposition, dont Maurice Kamto, « d'autant plus courtisé au sein de l'opposition depuis l'exclusion définitive de sa candidature à la présidentielle ». Objectif, pointe Jeune Afrique : conclure « un éventuel accord politique au sein de l'opposition, dans la perspective d'une alliance avant la convocation du corps électoral. (…) Bello Bouba Maïgari et Maurice Kamto, doivent se rencontrer à nouveau d'ici à demain vendredi. L'UNDP a annoncé qu'une conférence de presse "importante" se tiendrait ce jour-là ». Pour annoncer quoi ? une alliance de l'opposition avec un candidat unique ? Pour l'instant, on n'en est pas là…
The Daily Quiz - Geography Today's Questions: Question 1: What is the capital city of New Zealand? Question 2: What is the largest island in the Indian Ocean? Question 3: In which country is the city of Plock? Question 4: What Mexican state is home to the city of Ciudad Juarez? Question 5: Which region of the world uses '.sk' at the end of its web addresses? Question 6: Bucharest is the capital city of which country? Question 7: What is the capital city of Latvia? Question 8: Where is Le Figaro published? This podcast is produced by Klassic Studios Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Presa internațională privește către București, unde au loc funeraliile fostului președinte Ion Iliescu. Un simbol al tensiunilor din tranziția postcomunistă a țării, spun comentatorii. The Irish News amintește că Ion Iliescu ”deținea autoritatea militară de facto în timpul revoltei anticomuniste și a preluat puterea după ce dictatorul comunist Nicolae Ceaușescu și soția sa, Elena, au fost executați pe 25 decembrie 1989”. Iată cum îl descrie pe fostul președinte al României RTBF, televiziunea publică francofonă belgiană: ”Admirat pentru integritatea sa, dar criticat pentru persistența unui sistem clientelar, Iliescu a fost urmărit penal fără condamnare pentru „crime împotriva umanității” legate de violențele din 1989 și 1990. El rămâne o figură la fel de criticată pe cât este de apreciată, un simbol al tensiunilor din tranziția postcomunistă a țării”. Fostul președinte al României, Ion Iliescu a fost considerat mult timp „tătucul” națiunii române, notează Le Figaro. ”Dar el a fost acuzat și de faptul că este responsabil pentru tranziția haotică a țării est-europene de la comunism la democrație”. Potrivit South China Morning Post, ziar care apare la Hong Kong, ”Iliescu a fost o figură controversată pentru națiunea de la Marea Neagră, deoarece a fost cândva protejatul lui Ceaușescu. Unii au spus că a contribuit la împiedicarea unei tranziții mai rapide către o piață liberă, în încercarea de a păstra puterea și de a menține un status quo care era în general corupt. El a recunoscut complexitățile tranziției. Iliescu a câștigat un al treilea mandat, din decembrie 2000 până în decembrie 2004, timp în care România a finalizat negocierile de aderare la Uniunea Europeană, o piatră de hotar atinsă în 2007. Aceasta rămâne cea mai importantă realizare politică a națiunii, de la căderea comunismului. România a aderat la NATO în ultimul său an de mandat”. Deutsche Welle punctează, la rândul său: ”Ca șef de stat, a transformat cu succes Frontul Salvării Naționale, care preluase conducerea după căderea lui Ceaușescu, într-un punct de întâlnire pentru foști funcționari ai Partidului Comunist, colaboratori ai serviciilor secrete, acoliți ai lui Ceaușescu și foști directori de întreprinderi. Cu toate acestea, Iliescu nu a putut împiedica societatea românească să se democratizeze lent, împotriva sa. La sfârșitul anului 1996, el și partidul său au fost înlăturați de la putere, prima schimbare de regim cu adevărat liberă și legitimată democratic din istoria României. Iliescu s-a resemnat cu inevitabilul și nu a mai apelat la violență. Mai târziu, în 2000, a revenit în forță și a salvat România de ideologul fascist al României Mari, Corneliu Vadim Tudor. Iliescu ar fi vrut să intre în istorie ca un simbol al acestei reconcilieri, dar nu s-a întâmplat. Morții de după fuga lui Ceaușescu precum și victimele mineriadelor instigate de Iliescu au umbrit orice contribuții pentru care l-ar fi putut onora”.
Este episodio forma parte de una selección para el verano de EL PAÍS Audio. Este episodio se emitió el 8 de mayo de 2025. “Alemania se ha rendido. La victoria será proclamada hoy a las 15:00 en las capitales aliadas”. Ese fue el titular de portada del diario francés Le Figaro el 8 de mayo de 1945. Es el día que se considera como el fin de la Segunda Guerra Mundial en Europa, justo 9 días después del suicidio de Adolf Hitler. Lejos del continente, todavía continuaría unos meses, hasta después del ataque nuclear de Estados Unidos a Japón. Hoy, 6 de agosto, se cumplen 80 años de ese momento, y por eso recuperamos este episodio. Cada vez queda menos gente que pueda contar la Segunda Guerra Mundial en primera persona, quien era adulto entonces hoy tiene que haber llegado a ser centenario. Es el inevitable paso del tiempo: cuando ya no queden testimonios directos, la memoria pasará a ser historia. Ocurre de la misma manera con la Guerra Civil española. Las sociedades del siglo XXI tienen el reto de que el recuerdo del gran conflicto del siglo XX y de los horrores del nazismo perviva en las generaciones que ya no podrán escucharlo de sus padres o abuelos. Entre los países que se enfrentan a ese desafío, hay dos que han marcado dos modelos distintos de mirar atrás para no olvidar —y no repetir— durante estas ocho décadas: Francia y Alemania. CRÉDITOS Realiza: Belén Remacha Con información de: Marc Bassets y Guillermo Altares Presenta: Ana Fuentes Dirige: Silvia Cruz Lapeña Edición: Ana Ribera Diseño de sonido: Nicolás Tsabertidis Sintonía: Jorge Magaz Lecturas mencionadas: Beevor, La Segunda Guerra Mundial. (Editorial Pasado y Presente, 2025) Volker Ullrich, Ocho días de mayo. De la muerte de Hitler al final del Tercer Reich. (Taurus, 2023) Beevor. Berlín: La caída 1945. (Booket, 2005) Anónima, Una mujer en Berlín. Anotaciones de diario escritas entre el 20 de abril y el 22 de junio de 1945. (Anagrama, 2005) Kempowski, Winter 1945. (Taschenbuch, edición en alemán, 2004)
Trong 6 tháng đầu năm 2025, Việt Nam đón hơn 10,6 triệu lượt du khách quốc tế, tăng 20,7% so với cùng kỳ năm 2024, tổng thu từ du lịch ước tính đạt 518 nghìn tỉ đồng (1). Việt Nam tích cực xây dựng hình ảnh với thế giới vì du lịch quốc tế là nguồn đóng góp trực tiếp quan trọng cho GDP, được kỳ vọng 6-8% năm 2025 với 980-1.050 tỉ đồng doanh thu. Bộ Văn Hóa Thể Thao và Du Lịch tổ chức nhiều hoạt động quảng bá du lịch Việt Nam tại nhiều hội chợ du lịch quốc tế và các nước châu Âu như Ý, Thụy Sĩ, Ba Lan, Séc, Đức, đặc biệt là tại Pháp thông qua các sự kiện điện ảnh lớn như Liên hoan phim Cannes 2025 và các hoạt động bên lề, quảng bá, xúc tiến du lịch tại Hội nghị thượng đỉnh Diễn đàn Đối tác vì tăng trưởng xanh và mục tiêu toàn cầu 2030 (P4G) lần thứ 4, giới thiệu Nhã nhạc cung đình Huế tại Quảng trường Trocadéro (Esplanade de Trocadéro), Paris tối 11/05… Tuy nhiên, chính những chuyến công du Việt Nam của các nhà lãnh đạo các nước lớn trên thế giới chính là một cách quảng cáo hữu hiệu cho du lịch Việt Nam. Ví dụ hình ảnh chuyến công du Hà Nội ngày 25-27/05/2025 của tổng thống Emmanuel Macron được truyền thông Pháp liên tục đưa tin. Đất nước thanh bình, an toàn Hình ảnh ông Macron cũng phu nhân thong dong đi dạo Hồ Gươm ngay trong đêm khi vừa mới đến Hà Nội được bình luận nhiều. Và đây cũng là cách “quảng bá hình ảnh của Việt Nam ra thế giới”, theo cảm nhận của bà Nguyễn Thị Lan chia sẻ với RFI Tiếng Việt khi đang cùng bạn chụp ảnh ở Hồ Gươm : “Tôi thấy những cuộc đi dạo phố Hà Nội của tổng thống Pháp rất ý nghĩa. Người ta là tổng thống nhưng hòa đồng với người dân Việt Nam, điều đó chứng tỏ người dân rất thân thiện. Cho nên, qua đó cũng quảng bá được hình ảnh người Việt Nam thân thiện, các di tích, danh lam thắng cảnh của Việt Nam sẽ được thế giới biết đến”. Anh Tiến, ngồi cùng nhóm bạn trong một quán cà phê đối diện Nhà Thờ Lớn, nơi tổng thống Pháp và phu nhân đến thăm hôm trước, chia sẻ : “Nhìn chung, mọi người đều có tâm trạng phấn khởi. Đối với một người dân Việt Nam như tôi, tôi cũng cảm thấy là có một chút gì đấy rất là hãnh diện, rất tự hào. Mình tự hào vì đất nước mình là một đất nước nhỏ, mình phát triển sau người ta cả một quãng rất là dài, còn người ta ở một nước phát triển hơn mà người ta sang và cảm nhận được cuộc sống của người Việt Nam, thì chắc người ta cũng rất ngưỡng mộ đấy. Chứ nếu mình mà là nước lớn thì chuyện lại khác. Đúng không?” “Việt Nam” cũng trở thành từ khóa được tìm kiếm nhiều sau khi xảy ra “sự cố” lúc mở cửa máy bay và bị đồn thổi là “tổng thống bị vợ tát”. Một yếu tố khác là tổng thống Macron phát biểu với báo chí, truyền thông chiều 26/05 ngay ngoài đường, đằng sau là một dãy xe máy. Tiếp theo là hình ảnh tổng thống và phu nhân được người dân Hà Nội đến chào và tặng quà khi rời khỏi nhà hàng Madame Hiền ở phố Hàng Bè. Anh Tiến cho rằng “phải cảm thấy thoái mái, cảm thấy đất nước thanh bình mà họ yên tâm” hòa vào đám đông. “Những hình ảnh đó mà được quảng bá lên thì khách du lịch nhìn vào đấy, người ta sẽ sang Việt Nam nhiều hơn. Mức độ tin tưởng hoặc là những phong cảnh của Việt Nam đẹp, cuộc sống rất là thanh bình, cho nên sẽ thu hút. Bởi vì bản thân tổng thống các nước đi sang Việt Nam, có cần phải có vệ sĩ đi đâu, không cần mà, người ta đi lại bình thường cũng như những người dân bình thường thôi mà. Người dân Việt Nam cũng rất là mến khách, điều đó ai cũng biết. Còn phong cảnh thì được ưu ái rất nhiều”. Nhiều công trình văn hóa, di tích lịch sử tại Hà Nội được đưa vào lịch trình tham quan và làm việc của tổng thống Pháp, như Phủ chủ tịch, lăng chủ tịch Hồ Chí Minh, Văn Miếu Quốc Tử Giám, Bảo tàng Mỹ thuật, Nhà thờ lớn, khu phố cổ, Hồ Gươm… Những công trình này mang phong cách kiến trúc đa dạng, từ truyền thống đến Đông Dương và hiện đại. Định vị thương hiệu du lịch qua ẩm thực Song song với việc đề cao di sản kiến trúc, danh lam thắng cảnh, Việt Nam cũng muốn “định vị thương hiệu du lịch qua ẩm thực”, theo báo Nhân Dân và “lan tỏa tinh hoa ẩm thực Việt Nam ra thế giới thông qua ngoại giao”. Tạp chí Thông tin & Truyền Thông viết : “Hình ảnh các nguyên thủ, lãnh đạo cấp cao các nước hay doanh nhân nước ngoài đi dạo, thưởng thức các món ăn đường phố tại Việt Nam dường như đã không còn quá xa lạ và dần trở thành một “đặc sản” để Việt Nam thông qua đó quảng bá ẩm thực, văn hóa, con người nước Nam với bạn bè quốc tế”. Tổng thống Barack Obama đi ăn bún chả, nhà sáng lập kiêm chủ tịch và giám đốc điều hành (CEO) Nvidia Hoàng Nhân Huân (Jensen Huang) đi uống bia ở phố Tạ Hiện, thủ tướng Úc Anthony Albanese uống bia, ăn bánh mì, CEO Apple Tim Cook uống cà phê trứng… Tổng thống Pháp Emmanuel Macron ăn nem rán, bún riêu tại nhà hàng Madame Hiền, nổi tiếng món dân dã Việt Nam nhưng do bếp trưởng người Pháp Didier Corlou điều hành. Chị Nguyễn Hoàng Yến, quản lý Nhà hàng Madame Hiền, giải thích với RFI Tiếng Việt là khi được biết là tổng thống Pháp sẽ đến ăn trưa làm việc với giới hoạt động văn hóa, nghệ thuật, bếp trưởng Didier Corlou “đã đưa ra một số thực đơn để họ thử và chọn, sau đó để điều chỉnh theo đúng gu”. “Nhà hàng Madame Hiền nổi tiếng về ẩm thực Việt Nam nhưng lại do bếp trưởng là người Pháp cho nên dùng toàn bộ sản phẩm thuần Việt và dùng các gia vị, rau thơm của Việt Nam. Thực đơn gửi đến đoàn của tổng thống Pháp gồm có nem rán, nem cuốn, có món bún riêu. Dù là những món ăn truyền thống nhưng hơi có phong cách của bếp trưởng. Điểm mạnh của ẩm thực Việt Nam nói chung và của Hà Nội nói riêng, theo tôi, đó là nhờ gia vị và “mùa nào thức đấy”, đặc biệt là rau thơm, rau củ quả đều tươi. Đấy cũng là điểm khiến bếp trưởng của nhà hàng Madame Hiền gắn bó với Việt Nam và quyết định mở nhà hàng về món ăn Việt Nam”. Kết hợp di sản kiến trúc với ẩm thực Ngoài ra, địa điểm cũng là thế mạnh của nhà hàng. Được xây từ năm 1928 theo thiết kế của kiến trúc người Pháp Lagisquet, căn biệt thự cổ vẫn giữ nguyên vẹn vẻ đẹp cổ kính theo kiến trúc Đông Dương. Theo chia sẻ của chị Hoàng Yến, đây là một trong năm biệt thự Pháp cổ được một thương gia người Pháp cải tạo, khai thác kinh doanh nhà hàng từ lâu. Những nét kiến trúc đặc trưng được bảo tồn cẩn thận để quảng bá tới du khách quốc tế khi đến Việt Nam. “Nhà hàng chọn khu biệt thự Pháp cổ, thường có quang cảnh và không gian mở để cho thực khách thưởng thức và có bầu không khí ấm cúng. Về không gian, nội thất, nhà hàng thử sử dụng như trong một gia đình Việt Nam, ấm cúng, không phải vào một nhà hàng sang trọng mà là vào một nhà hàng của gia đình Việt Nam. Món ăn bình dân nhưng vì bếp trưởng của nhà hàng từng làm trong khách sạn Métropole gần 20 năm, nên anh ấy sử dụng gia vị và rau thơm Việt Nam, nhưng thêm chút hương vị Pháp vào đó”. Thành phố Hà Nội đã lập danh sách những tòa biệt thự Pháp cổ còn lại ở Hà Nội, trong đó có rất nhiều công trình quan trọng sẽ được trùng tu để tạo thêm giá trị về kiến trúc, di sản, văn hóa. Theo Cơ quan hỗ trợ hợp tác quốc tế vùng Paris tại Việt Nam - PRX-Vietnam, hiện nhà tư vấn về bảo tồn di sản cho thành phố Hà Nội, nhiều biệt thự cổ sẽ được trùng tu để tạo thêm công năng mới như khách sạn, nhà hàng, quán cà phê, không gian triển lãm… Thực tế cần đúng với hình ảnh được quảng bá Tuy nhiên, đôi khi hình ảnh một Việt Nam thơ mộng bị phá vỡ bởi những thực tế kém hào nhoáng hơn. Trong bài “Điểm đến Việt Nam : những bất ngờ trong chuyến du lịch lớn đầu tiên đến châu Á” được đăng trên nhật báo Pháp Le Figaro ngày 14/07/2025, hai du khách trẻ người Pháp chia sẻ trải nghiệm, ngỡ ngàng cũng có và thất vọng cũng có : nắng nóng khắc nghiệt, ô nhiễm đô thị, và thậm chí là tình trạng quá tải ở một số địa điểm mang tính biểu tượng như Vịnh Hạ Long. Giao thông ở Hà Nội, đặc biệt là phố đường tàu, được coi là điểm đặc biệt nhưng nhanh chóng trở nên ngột ngạt, ồn ào, vì còi xe liên tục cùng với ô nhiễm không khí, khiến Agathe thấy hài lòng vì được đến với thiên nhiên Ninh Bình sau ba ngày ở Hà Nội. Tháng 07/2025, Việt Nam được tạp chí Time Out chọn là điểm du lịch kinh tế nhất và phong phú nhất ở Đông Nam Á. Ngoài giá vé máy bay thiếu cạnh tranh so với một số nước trong khu vực như Thái Lan, Singapore, chi phí ở Việt Nam không quá đắt, khuyến khích giới trẻ “xách ba lô lên và đi”. Ngoài ra, còn phải kể đến chính sách miễn thị thực. Việt Nam ký các hiệp định miễn thị thực song phương với nhiều quốc gia và đơn phương miễn thị thực cho công dân 13 nước (2), chủ yếu là các nước châu Âu, thời hạn tạm trú được nâng lên thành 45 ngày. Biện pháp có hiệu lực đến hết ngày 14/03/2028 và sẽ được xem xét gia hạn theo quy định của pháp luật Việt Nam. Trong 6 tháng đầu năm 2025, Bộ Văn Hóa, Thể Thao và Du Lịch đã xây dựng và triển khai Chương trình kích cầu phát triển du lịch năm 2025. Tuy nhiên, theo Báo Tuyên Quang ngày 28/07 (3), các nhà quản lý du lịch đều ý thức được rằng “để duy trì đà tăng trưởng và nâng cao chất lượng du lịch, Việt Nam cần tiếp tục đầu tư vào cơ sở hạ tầng, phát triển sản phẩm du lịch độc đáo, bền vững và đặc biệt là nâng cao chất lượng nguồn nhân lực”. (1) Theo báo cáo ngày 24/07/2025 của bộ Văn hóa, Thể Thao và Du lịch. (2) Đức, Pháp, Ý, Tây Ban Nha, Đan Mạch, Thụy Điển, Na Uy, Phần Lan, Anh và Bắc Ireland, Nga, Belarus, Nhật Bản, Hàn Quốc. (3) Báo Tuyên Quang, "Hơn 10 triệu lượt khách du lịch quốc tế đến Việt Nam trong 6 tháng đầu năm 2025".
Jurnaliștii europeni comentează întâlnirea dintre președintele chinez Xi Jinping și liderii europeni, care a avut loc recent la Beijing, în cadrul summitului UE–China. Președintele Consiliului European, António Costa, și președinta Comisiei Europene, Ursula von der Leyen, au fost întâmpinați de liderul chinez într-un moment în care relațiile dintre cele două părți sunt extrem de tensionate. Bruxellesul acuză Beijingul de practici comerciale neloiale și de sprijin militar indirect acordat Rusiei în războiul împotriva Ucrainei. Observatorii analizează relația complexă dintre cei doi parteneri inegali. Ziarul francez Le Figaro, abordează direct tema, susținând că Uniunea Europeană trebuie „să renunțe brusc”: „În realitate China finanțează eforturile de război ale Rusiei cumpărând petrolul acesteia și furnizându-i componentele „cu dublă utilizare” de care are nevoie pentru a-și fabrica armele. Dacă Beijingul va fi prins în flagrant, va răspunde cu șantajul pământurilor rare. Nu își va abandona niciodată „partenerul junior” rus. Germania, care depinde de exporturile din China, a anunțat acum că vrea să renunțe brusc. Și era și timpul! Dacă Europa s-a săturat de jocul dublu al Chinei, trebuie să se alăture Berlinului și să ia atitudine.” Süddeutsche Zeitung recomandă ca Europa să urmeze linia trasată de Ursula von der Leyen în relațiile cu China: „Asta înseamnă să nu se evite confruntările și restricțiile atunci când Beijingul nu respectă regulile. Pentru că, spre deosebire de conflictul comercial cu SUA, UE are o influență considerabilă asupra Chinei. În același timp, trebuie să folosească puținul spațiu de manevră de care dispune pentru cooperare. Declarația UE-China privind protecția climei, singurul rezultat concret al summitului, nu este suficientă. Cu toate acestea, este un acord oficial privind o problemă definitorie a secolului XXI. Și arată că China este încă dispusă să accepte reguli comune.” Publicația Turun Sanomat, din Finlanda, subliniază dilema Uniunii Europene în relațiile cu China: „China și Rusia cooperează în multe moduri practice. În loc de arme, China furnizează Rusiei componente importante pentru producția de armament, fără de care Rusia s-ar afla într-o situație foarte dificilă. ... Continuarea războiului din Ucraina servește intereselor Chinei. Războiul epuizează resursele Occidentului și provoacă diviziuni. ... UE se află într-o poziție dificilă. Relațiile economice cu China au devenit mai importante ca niciodată de când SUA a început războiul tarifar. Pe de altă parte, sprijinul acordat de China Rusiei trebuie condamnat și ar trebui să conducă la luarea de contramăsuri.” Pentru ca industria UE să supraviețuiască în competiția cu China, este nevoie de măsuri decisive, avertizează ziarul sloven Dnevnik: „În primul rând, accentul trebuie mutat de la actuala fantezie despre confruntare și reînarmare către dezvoltare. În al doilea rând, trebuie elaborată o strategie industrială și tehnologică coordonată, care să vizeze extinderea competențelor și a materialelor. În al treilea rând, reglementarea ajutoarelor de stat trebuie revizuită complet, iar fondurile europene trebuie canalizate în primul rând către proiecte industriale. În al patrulea rând, politica energetică trebuie reorientată cu scopul de a reduce prețurile la energia electrică pentru producătorii industriali. Și, în al cincilea rând, Europa trebuie să depună eforturi pentru instaurarea imediată a păcii în Ucraina și reluarea livrărilor de gaze rusești în condiții favorabile.” Grupaj realizat de Cezar Ionuț Ionescu, pentru RFI România
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durée : 00:19:14 - Lectures du soir - "Gide lisait du Bossuet en descendant le Congo, cette posture résume assez bien l'idéal de nos écrivains en vacances photographiés par Le Figaro. Joindre aux loisirs banals, le prestige d'une vocation que rien ne peut arrêter, ni dégrader."
C dans l'air du 19 juillet 2025 - Budget 2026 : Bayrou déjà dans le durLe Premier ministre se donne "deux mois" pour mettre un point final à son plan de rigueur budgétaire présenté cette semaine, sur lequel les oppositions le menacent de censure. "Il y aura probablement toutes sortes de prises de parole pour préciser, affiner, répondre. On a deux mois devant nous pour que ce plan trouve son achèvement", a expliqué ce samedi le chef du gouvernement, sous le feu des critiques depuis qu'il a dévoilé son projet de budget 2026.Car si Emmanuel Macron estime que le budget présenté par François Bayrou a "la vertu du courage, de l'audace et de la lucidité", le Rassemblement national, La France insoumise, les écologistes et les socialistes demandent au Premier ministre de "revoir sa copie", sans quoi il sera censuré. Parmi les soutiens du gouvernement, les Républicains et Horizons en tête, entendent eux aussi faire bouger certains curseurs et peser sur les négociations à venir. Les syndicats, eux, entrent déjà en résistance. La CGT et Force ouvrière annoncent des mobilisations dès la rentrée, tandis que la CFDT juge certaines mesures " inacceptables".Dans un entretien accordé à nos journalistes, la secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon, réaffirme son soutien à la taxe Zucman, qui viserait à faire davantage contribuer les hauts revenus à l'effort national. Elle dénonce par ailleurs les propositions de François Bayrou, qualifiées de "profondément injustes et inéquitables".Parmi les mesures les plus controversées : l'instauration d'une "année blanche", la suppression de deux jours fériés, la transformation de l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraite en un abattement forfaitaire de 2 000 euros, ou encore la monétisation de la cinquième semaine de congés payés. Cette dernière, confirmée par la porte-parole du gouvernement, offrirait aux salariés la possibilité d'échanger une semaine de congé contre une rémunération supplémentaire — une idée qui passe mal auprès des syndicats.Ce plan de rigueur, censé réduire le déficit et contenir la dette, pourrait bien devenir un test politique majeur pour François Bayrou. D'autant que, selon un sondage Odoxa - Backbone Consulting pour Le Figaro, 87 % des Français estiment que ce budget nuira à leur pouvoir d'achat, et 78 % déclarent ne pas faire confiance au Premier ministre pour redresser les finances publiques.LES EXPERTS : - Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Info TV- Brice TEINTURIER - Directeur général d'IPSOS BVA- Christophe RAMAUX - Économiste maître de conférences à l'université Paris I- Anne de GUIGNÉ - Grand reporter économie - Le Figaro
C dans l'air du 14 juillet 2025 : Face à Poutine: la France se réarmePRÉSENTATION : Lorrain SÉNÉCHALDes avions, des blindés et des soldats en rangs serrés sur les Champs-Élysées : le défilé du 14-Juillet, qui a mis à l'honneur cette année des militaires prêts à partir en opération, avait des airs de démonstration de force. Avec en toile de fond, un climat géopolitique tendu, une Europe sous pression, et des discours qui sonnent comme des mises en garde. Emmanuel Macron, dans son allocution traditionnelle aux armées dimanche, n'a pas mâché ses mots. "Nous vivons un moment de bascule", a-t-il déclaré, évoquant un monde devenu "plus brutal". Selon lui, jamais la liberté n'a été aussi menacée depuis 1945. Et "jamais, à ce point, la paix sur notre continent n'a dépendu de nos décisions présentes".À la veille de la Fête nationale, le président a annoncé une augmentation inédite du budget de la Défense : 3,5 milliards d'euros supplémentaires en 2026, puis 3 milliards l'année suivante. L'effort financier vise à atteindre, d'ici 2027, un budget de près de 64 milliards d'euros, soit presque le double de celui d'il y a dix ans. Un tournant stratégique assumé dans un contexte où les certitudes d'hier s'effritent, y compris au sein des alliances occidentales. L'Europe est "mise en danger au moment où la guerre a été portée sur notre sol avec l'invasion de l'Ukraine, et que les États-Unis de Donald Trump ont ajouté une forme d'incertitude" quant à la pérennité de leur soutien, a ainsi affirmé Emmanuel Macron. "Face à un monde plus brutal, la Nation doit être plus forte", car "pour être libres dans ce monde, il faut être craints ; pour être craints, il faut être puissants", a insisté le président de la République. Quelques jours plus tôt, le général Thierry Burkhard, chef d'état-major des armées, avait brossé un sombre tableau des menaces, tant internes qu'externes, qui pèsent sur la France, et pointé "une nécessité de prise de conscience" : "La guerre en Europe est déjà là".Pendant ce temps, en Ukraine, les combats se poursuivent sans relâche. Moscou intensifie ses frappes, battant chaque semaine des records en nombre de missiles et de drones tirés. Face à cette escalade, Volodymyr Zelensky avait appelé ses alliés à envoyer « davantage que des signaux » pour stopper la Russie. Dimanche matin, Donald Trump annonçait finalement l'envoi de systèmes antiaériens Patriot, cruciaux pour la défense de Kiev. "Je suis déçu par la Russie. Je ferai une déclaration majeure lundi", lançait-il, sans en dire plus.Sur le terrain, l'armée ukrainienne tente de renforcer ses rangs. Nos journalistes ont suivi la formation des jeunes volontaires ukrainiens qui ont décidé de s'engager avant l'âge de la mobilisation obligatoire. Un programme pour les 18-24 ans lancé par l'armée ukrainienne pour tenter de pallier son manque récurrent de fantassins.De l'autre côté du front, la Russie continue de s'appuyer sur ses alliés, et notamment la Corée du Nord. Depuis la signature d'un pacte de défense mutuelle en octobre dernier, Pyongyang aurait fait parvenir à Moscou des millions d'obus, selon les services de renseignement sud-coréens. 13 000 soldats auraient également été envoyés sur le front pour aider l'armée russe à reconquérir la région de Koursk.LES EXPERTS : - Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- Élie TENENBAUM - Directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Laura KAYALI - Journaliste Défense – POLITICO
C dans l'air du 14 juillet 2025 : Face à Poutine: la France se réarme - L'intégrale -PRÉSENTATION : Lorrain SÉNÉCHALLES EXPERTS : - Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- Élie TENENBAUM - Directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Laura KAYALI - Journaliste Défense – POLITICO
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C dans l'air du 7 juillet 2025 : Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeanceIl a mis ses menaces à exécution. Quelques semaines après sa rupture fracassante avec Donald Trump, Elon Musk lance son parti politique, officiellement baptisé, samedi 5 juin, le Parti de l'Amérique, censé bousculer le duopole républicain-démocrate. L'annonce a été faite sur X, son propre réseau social, au lendemain de la fête nationale américaine et dans un climat politique déjà tendu.Cette initiative intervient dans la foulée de l'adoption par le Congrès du Big Beautiful Bill — surnom donné par Donald Trump à sa vaste loi budgétaire. Un texte controversé, qui devrait alourdir la dette publique de plus de 3 400 milliards de dollars d'ici 2034, et qui a ravivé les tensions entre les deux milliardaires.Sans dévoiler les grandes lignes de son programme, le patron de Tesla et SpaceX a affirmé vouloir offrir une "alternative crédible" aux électeurs lassés des deux partis traditionnels. Une sortie critiquée par Donald Trump : "C'est ridicule", a-t-il lancé à des journalistes. "Un troisième parti ne fait qu'ajouter à la confusion. La troisième voie n'a jamais fonctionné". Une remarque teintée d'expérience, lui qui avait lui-même tenté de s'imposer en dehors des grands partis dans les années 1990.L'initiative d'Elon Musk pourrait toutefois rebattre les cartes à l'approche des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Et ce alors que Donald Trump, en chute dans les sondages, fait face à une nouvelle tempête politique. Sa gestion des récentes inondations meurtrières au Texas suscite de vives critiques.Alors que l'État déplore plus de 80 morts, dont de nombreux enfants, des habitants ont dénoncé l'absence d'alertes suffisantes. La polémique rattrape l'administration Trump qui a imposé ces derniers mois des coupes budgétaires drastiques dans les services météorologiques, entraînant la suppression de centaines de postes. Sur place, les recherches se poursuivent, pour retrouver dizaines de personnes toujours portées disparues, notamment des enfants en camp d'été.Le président américain a annoncé avoir "signé une déclaration de catastrophe" et prévoit de se rendre sur place vendredi. Le gouverneur du Texas, de son côté, alerte sur de nouvelles précipitations attendues jusqu'à mardi, avec un risque accru d'inondations dans les zones déjà saturées.Quelles sont les ambitions politiques d'Elon Musk ? Peut-il être le trouble-fête des midterms de 2026 ? A-t-il un pouvoir de nuisance sur le président américain ? Jusqu'où ira leur bras de fer ? Donald Trump est-il fragilisé ?LES EXPERTS :- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - MARJORIE PAILLON - Journaliste - spécialiste de la politique américaine - AMY GREENE - Enseignante-chercheure à Sciences Po Paris, spécialiste de la vie politique et de la politique étrangère des Etats-Unis, autrice de L' Amérique face à ses fractures
C dans l'air du 7 juillet 2025 : Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeanceIl a mis ses menaces à exécution. Quelques semaines après sa rupture fracassante avec Donald Trump, Elon Musk lance son parti politique, officiellement baptisé, samedi 5 juin, le Parti de l'Amérique, censé bousculer le duopole républicain-démocrate. L'annonce a été faite sur X, son propre réseau social, au lendemain de la fête nationale américaine et dans un climat politique déjà tendu.Cette initiative intervient dans la foulée de l'adoption par le Congrès du Big Beautiful Bill — surnom donné par Donald Trump à sa vaste loi budgétaire. Un texte controversé, qui devrait alourdir la dette publique de plus de 3 400 milliards de dollars d'ici 2034, et qui a ravivé les tensions entre les deux milliardaires.Sans dévoiler les grandes lignes de son programme, le patron de Tesla et SpaceX a affirmé vouloir offrir une "alternative crédible" aux électeurs lassés des deux partis traditionnels. Une sortie critiquée par Donald Trump : "C'est ridicule", a-t-il lancé à des journalistes. "Un troisième parti ne fait qu'ajouter à la confusion. La troisième voie n'a jamais fonctionné". Une remarque teintée d'expérience, lui qui avait lui-même tenté de s'imposer en dehors des grands partis dans les années 1990.L'initiative d'Elon Musk pourrait toutefois rebattre les cartes à l'approche des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Et ce alors que Donald Trump, en chute dans les sondages, fait face à une nouvelle tempête politique. Sa gestion des récentes inondations meurtrières au Texas suscite de vives critiques.Alors que l'État déplore plus de 80 morts, dont de nombreux enfants, des habitants ont dénoncé l'absence d'alertes suffisantes. La polémique rattrape l'administration Trump qui a imposé ces derniers mois des coupes budgétaires drastiques dans les services météorologiques, entraînant la suppression de centaines de postes. Sur place, les recherches se poursuivent, pour retrouver dizaines de personnes toujours portées disparues, notamment des enfants en camp d'été.Le président américain a annoncé avoir "signé une déclaration de catastrophe" et prévoit de se rendre sur place vendredi. Le gouverneur du Texas, de son côté, alerte sur de nouvelles précipitations attendues jusqu'à mardi, avec un risque accru d'inondations dans les zones déjà saturées.Quelles sont les ambitions politiques d'Elon Musk ? Peut-il être le trouble-fête des midterms de 2026 ? A-t-il un pouvoir de nuisance sur le président américain ? Jusqu'où ira leur bras de fer ? Donald Trump est-il fragilisé ?LES EXPERTS :- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - MARJORIE PAILLON - Journaliste - spécialiste de la politique américaine - AMY GREENE - Enseignante-chercheure à Sciences Po Paris, spécialiste de la vie politique et de la politique étrangère des Etats-Unis, autrice de L' Amérique face à ses fractures
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