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Day 1,380.Today, we report on revelations from a European leaders' conference call, exposing the level of anxiety over the US peace proposals, cover the military drones spotted approaching President Zelensky's plane as it neared Dublin, and examine the new US National Security Strategy, which has alarmed many. Later, we return to our regular updates on the occupied territories, and speak to a doctor about frontline medical provision for Ukrainian soldiers.ContributorsAdélie Pojzman-Pontay (Journalist and Producer). @adeliepjz on X.Dominic Nicholls (Associate Editor of Defence). @DomNicholls on X.Francis Dearnley (Executive Editor for Audio). @FrancisDearnley on X.Dr. Jade McGlynn (War Studies Department of King's College). @DrJadeMcGlynn on X.With thanks to Dr James Gough (Chief Executive of the David Nott Foundation). @NottFoundation on X.SIGN UP TO THE ‘UKRAINE: THE LATEST' WEEKLY NEWSLETTER:http://telegraph.co.uk/ukrainenewsletter Each week, Dom Nicholls and Francis Dearnley answer your questions, provide recommended reading, and give exclusive analysis and behind-the-scenes insights – plus maps of the frontlines and diagrams of weapons to complement our daily reporting. It's free for everyone, including non-subscribers.CONTENT REFERENCED:Learn more about the David Nott Foundation, which trains doctors in warzones:https://davidnottfoundation.com/ The Telegraph Christmas Charity Appeal 2025: how you can donate:https://tinyurl.com/4nnrt59sOur sister podcast Battle Lines: Why Ukraine's troops are facing an amputation crisishttps://tinyurl.com/bdzc7uknMilitary drones flew towards Zelensky's plane as it approached Dublin (The Telegraph):https://tinyurl.com/yj27tvve"We Must Not Leave Ukraine and Volodymyr Alone with These Guys" (Der Spiegel):https://tinyurl.com/mr358sdhTrump envoys press plan with Ukraine as sanctions eased on Russia (France 24):https://tinyurl.com/mrbxraywUS National Security Strategy (White House):https://tinyurl.com/muf78x72Les fusiliers marins ont tiré sur des drones au-dessus de la base navale de l'Île Longue, abri des sous-marins nucléaires français, (Le Figaro):https://tinyurl.com/yfcd8ckbExclusive: Woman suspected by France of spying has ties to Kremlin proxies, social media posts show (Reuters)https://tinyurl.com/nbvfsejbSubscribe: telegraph.co.uk/ukrainethelatestEmail: ukrainepod@telegraph.co.uk Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
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**Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.**[**Notre compte Instagram**](https://hugodecry.pt/IG-Pop)**DES LIENS POUR EN SAVOIR PLUS**Miss Univers : [](https://www.theguardian.com/technology/article/2024/aug/31/x-offline-brazil-elon-musk)[RTL](https://www.rtl.fr/actu/international/miss-univers-2025-les-proprietaires-du-concours-soupconnes-de-fraude-et-de-trafic-d-armes-7900571687), [Le Figaro](https://www.lefigaro.fr/international/miss-univers-les-proprietaires-du-concours-soupconnes-de-fraude-et-de-trafic-d-armes-20251127), [Le Parisien](https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/miss-france/fraude-trafic-de-drogues-et-darmes-manipulation-le-concours-de-miss-univers-dans-la-tourmente-27-11-2025-THCSVEJZERA2BK5OU5G22G2HPI.php), [Télé 7 jours](https://www.programme-television.org/news/tv/emissions-tele/miss-univers-les-proprietaires-du-concours-font-l-objet-d-une-enquete-pour-trafic-d-armes-et-de-drogue-4747909), [The Express Tribune](https://tribune.com.pk/story/2579511/miss-universe-co-owner-faces-arrest)[Ninho : Instagram @ninhosdt](https://www.instagram.com/p/DRmr2dKjd5C/) Musée du Louvre : [France Info](https://www.franceinfo.fr/culture/arts-expos/louvre/le-louvre-augmente-de-45-son-prix-d-entree-pour-les-visiteurs-extra-europeens_7643642.html), [Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2025/11/27/cinq-lieux-culturels-dont-le-louvre-et-versailles-sautent-le-pas-des-tarifs-differencies-a-partir-de-janvier-2026_6655123_3246.html), [BFMTV](https://www.bfmtv.com/paris/le-louvre-annonce-une-hausse-de-45-du-prix-du-billet-d-entree-pour-les-visiteurs-extra-europeens_AD-202511270873.html) Rock en Seine : [Le Figaro](https://www.lefigaro.fr/musique/the-black-keys-interpol-miki-rock-en-seine-annonce-de-nouveaux-visages-pour-sa-22e-edition-20251128), [Vanity Fair](https://www.vanityfair.fr/article/rock-en-seine-2026-nouveaux-noms-the-cure-tyler-the-creator-nick-cave), [Rolling Stone](https://www.rollingstone.fr/rock-en-seine-2026-14-nouveaux-noms/)Yoroï documentaire : [BFMTV](https://www.bfmtv.com/people/cinema/un-an-dans-l-armure-orelsan-devoile-les-coulisses-de-la-creation-de-yoroi-dans-un-documentaire_AN-202511280129.html), [Le Parisien](https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/series/le-projet-ou-jai-le-plus-taffe-orelsan-raconte-les-coulisses-de-yoroi-dans-le-nouveau-documentaire-de-son-frere-28-11-2025-TUW3VHTQARFP5II2GRKDCGJHGM.php), [Konbini](https://www.konbini.com/popculture/montre-jamais-cette-armure-a-personne-orelsan-revient-aussi-avec-un-documentaire/)Zootopie 2 : [Le Figaro](https://www.lefigaro.fr/cinema/zootopie-2-realise-le-deuxieme-meilleur-demarrage-de-l-annee-dans-les-salles-de-cinema-francaises-20251128), [Les Inrocks](https://www.lesinrocks.com/cinema/box-office-france-vie-privee-demarre-fort-loin-derriere-zootopie-2-685139-28-11-2025/), [BFMTV](https://www.bfmtv.com/people/cinema/zootopie-2-fait-vibrer-le-box-office-et-signe-le-deuxieme-meilleur-demarrage-de-l-annee-en-france_AN-202511280501.html)Festival BD : [France Info](https://www.franceinfo.fr/culture/bd/festival-de-bd-d-angouleme/festival-de-bd-d-angouleme-la-mise-a-l-arret-de-l-edition-2026-semble-actee_7643336.html), [Le Monde](https://www.lemonde.fr/culture/article/2025/11/27/le-festival-d-angouleme-mis-a-l-arret-par-son-organisateur_6655086_3246.html), [Le Figaro](https://www.lefigaro.fr/bd/le-festival-bd-d-angouleme-2026-pas-officiellement-annule-mais-mis-a-l-arret-20251127)**Écriture : Eden Ayach****Incarnation : Samy Rabbata** Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Premier épisode) 1996, des femmes sont attaquées dans Paris, en pleine rue ou bien dans des parkings. Elles sont frappées avec beaucoup de violence, parfois violées. Certaines en réchappent, d'autres non. L'enquête mène la police sur les traces d'un homme à l'enfance tourmentée. Lorsque celui-ci avoue les premiers faits, les enquêteurs décident de se pencher sur une liste d'affaires non-élucidées ayant eu lieu en région parisienne.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Grouzis, Anaïs Godard et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : France 2. Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité les ressources suivantes : “Au pays des ombres - Voyage au cœur de la folie” du Dr Laurent Layet ainsi que Le Figaro, L'Express, Libération et Le Monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) 1996, des femmes sont attaquées dans Paris, en pleine rue ou bien dans des parkings. Elles sont frappées avec beaucoup de violence, parfois violées. Certaines en réchappent, d'autres non. L'enquête mène la police sur les traces d'un homme à l'enfance tourmentée. Lorsque celui-ci avoue les premiers faits, les enquêteurs décident de se pencher sur une liste d'affaires non-élucidées ayant eu lieu en région parisienne.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Grouzis, Anaïs Godard et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : France 2. Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité les ressources suivantes : “Au pays des ombres - Voyage au cœur de la folie” du Dr Laurent Layet ainsi que Le Figaro, L'Express, Libération et Le Monde. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 28 novembre 2025 - Nos experts :- VINCENT HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de L'Ukraine se lève - MARYSE BURGOT - Grand reporter – France Télévisions- ALAIN PIROT - Journaliste, spécialiste des questions de défense
C dans l'air du 28 novembre 2025 - Plan de paix : Poutine a-t-il déjà gagné ? Encore une nuit de frappes sur l'Ukraine. Missiles et drones ne laissent que peu de répit aux habitants, alors que les discussions autour du plan de paix américain pour mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie se poursuivent. Jeudi, Vladimir Poutine a déclaré que les grandes lignes de ce plan pourraient servir de base à de « futurs accords » visant à mettre fin au conflit, tout en excluant de signer un document avec les autorités de Kiev, qu'il juge toujours « illégitimes ». Inflexible sur le fond, le président russe a réaffirmé que Moscou mettra fin à son offensive que si les forces ukrainiennes « se retirent des territoires qu'elles occupent » − sans préciser lesquels. « Dans le cas contraire, nous atteindrons nos objectifs militaires », a-t-il menacé.La cession par Kiev à Moscou des régions de Donetsk et de Lougansk figurait dans le plan originel en 28 points présenté la semaine dernière par les États-Unis, plan qui a été perçu par beaucoup à Kiev, en Europe mais aussi outre-Atlantique, comme une capitulation. Le texte a depuis été remanié après des consultations avec l'Ukraine et les Européens. Mais aux États-Unis, le débat sur l'origine réelle de ce plan se poursuit et a mis le feu au Parti républicain, depuis la révélation par le média Bloomberg de conversations entre Steve Witkoff et des proches de Vladimir Poutine, dans lesquelles l'envoyé spécial de Donald Trump apparaît aligné sur la posture russe.Sur le continent, les dirigeants de l'Union européenne tentent de se dresser unis contre la Russie et défendent un plan de paix respectueux de la souveraineté ukrainienne. Pour autant, le Premier ministre hongrois détonne. Viktor Orbán a promis, lors d'une rencontre avec le président Vladimir Poutine ce vendredi au Kremlin, de poursuivre les importations d'hydrocarbures russes dont son pays continue de dépendre. Le président russe, de son côté, s'est dit « très heureux » de la poursuite des relations entre les deux pays, basées selon lui sur le « pragmatisme ».Parallèlement, les autorités anticorruption ukrainiennes ont mené ce vendredi des perquisitions au domicile d'Andriy Iermak, chef de cabinet du président Zelensky. Une nouvelle qui fragilise le président ukrainien, à un moment où il poursuit sa quête d'appuis financiers et militaires en Europe, et alors que Kiev mène des pourparlers très difficiles sur le plan de paix. Andriy Iermak est le négociateur clé dans ce processus.Que contient le plan de paix en discussion ? Que sait-on des perquisitions en cours et de l'affaire de corruption qui secoue l'Ukraine depuis des mois ? Enfin, comment les pays baltes se préparent-ils face à la menace russe ? Nos journalistes se sont rendus à la frontière entre la Lituanie et la Russie.Nos experts :- VINCENT HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste des enjeux internationaux- LAURE MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de L'Ukraine se lève - MARYSE BURGOT - Grand reporter – France Télévisions- ALAIN PIROT - Journaliste, spécialiste des questions de défense
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSRapports Louvre : RTL, Le Figaro, Le Monde,Rush Hour 4 : Variety, BFMTVSérie Traqués : HuffPost, Konbini, TéléramaFemmes réalisatrices : Libération, Sud Ouest, Le MondePrix Goncourt des lycéens : Le Figaro, Libération, Le MondeClassement Billboard : Les Inrocks, Vanity FairÉcriture : Eden AyachIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air du 27 novembre 2025 - Menaces russes : pourquoi la France mobilise ?Nos experts :- GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS - Ancien chef d'état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- MARIE JÉGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- ÉTIENNE GIRARD - Rédacteur en chef du service Société - L'Express
C dans l'air du 27 novembre 2025 - Menaces russes : pourquoi la France mobilise ?Emmanuel Macron a annoncé ce jeudi l'instauration d'un nouveau « service national » volontaire, en remplacement du service national universel (SNU). Il sera lancé progressivement à partir de l'été 2026. Ouvert aux jeunes de plus de 18 ans, il sera « purement militaire » et durera 10 mois (un mois de formation, neuf au sein de l'armée) pour « répondre aux besoins des armées ».« Dans ce monde incertain où la force prime sur le droit et la guerre se conjugue au présent, notre nation n'a le droit ni à la peur ni à la panique ni à l'impréparation ni à la division », a affirmé le président de la République. « La peur, au demeurant, n'évite jamais le danger. La seule façon de l'éviter, c'est de s'y préparer », a-t-il ajouté.Le chef de l'État a tenu à rassurer les Français en affirmant que ce nouveau service national se déroulerait « exclusivement sur le territoire national ». Il avait pris les devants, affirmant dès mardi sur RTL qu'il ne s'agit pas « d'envoyer nos jeunes en Ukraine ».Le lancement de ce nouveau dispositif survient au moment où plusieurs pays européens ont déjà relancé un service militaire, et ce alors qu'« on est monté d'un cran dans la conflictualité avec la Russie ces dernières années », a reconnu le chef de l'État mardi, admettant une « confrontation » sous la forme de « guerre hybride » menée en Europe, y compris en France.Depuis le début de la guerre en Ukraine, les actes de sabotage, de cyberattaques, de désinformation, d'ingérence dans des processus électoraux, de pressions économiques et d'espionnage s'intensifient sur le Continent européen. Dans l'Hexagone, ces derniers jours, quatre personnes ont été mises en examen dans le cadre d'une double affaire d'espionnage économique et d'ingérence au profit de la Russie. Parallèlement, les états-majors travaillent sur différents scénarios, notamment sur des points stratégiques vulnérables dans les pays baltes, où se multiplient depuis des semaines les incursions de drones et les violations de l'espace aérien. Le 6 novembre dernier, l'Institut Montaigne a rédigé une note indiquant que « la Russie cherchera dans les années à venir à tester la solidité de l'article 5 de l'OTAN et de l'architecture de la sécurité euro-atlantique, au moyen d'une agression à l'encontre des pays baltes — membres à la fois de l'OTAN et de l'UE ».Nos experts :- GÉNÉRAL JEAN-PAUL PALOMÉROS - Ancien chef d'état-major, ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- MARIE JÉGO - Journaliste - Le Monde, ancienne correspondante à Moscou- ÉTIENNE GIRARD - Rédacteur en chef du service Société - L'Express
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSChanson I Run TikTok : Complex, Billboard, India TimesDisneyland Paris : Le Parisien, Le Figaro, Le MondeMaroon 5 - Chambord : Château de Chambord, HuffPost, France InfoScarlett Johansson - L'Exorciste : Variety, Numéro Magazine, Vogue FranceSuperman No.1 enchères : Le Figaro, BFMTV, KonbiniSacem cérémonies Grands Prix : France Bleu, France InfoÉcriture : Eden AyachIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Jean-Christophe Buisson reçoit Dominique Bona, Étienne de Montety et Éric Neuhoff.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
TESTO DELL'ARTICOLO ➜ https://www.bastabugie.it/8360ESCALATION ILLIBERALE: DOPO SARKOZY VA IN PRIGIONE BOLSONARO di Luca Volontè In un crescendo di illiberalità senza precedenti da almeno 100 anni, la democrazia occidentale mostra, via via, segni di grave decomposizione e sfilacciamento ben chiari della tracotanza di un potere che arresta i nemici e possibili oppositori di ieri e di oggi. Dopo il caso clamoroso della grave condanna di Sarkozy perchè "non poteva non sapere" cosa tramassero alcuni dei suoi collaboratori, del successivo arresto e della recente disposizione del carcere ai domiciliari - tutti fatti successivi all'intervista dell'ex presidente francese in cui invitava il reuccio Macron a convocare elezioni o dimettersi - ora in Brasile siamo all'incarcerazione "preventiva" dell'ex presidente Jair Bolsonaro per evitare una possibile fuga. Fuga durante una veglia di preghiera: assurdo spirito anticristiano.L'ex presidente brasiliano è stato condannato recentemente a 27 anni di carcere, per aver "presumibilmente" complottato un colpo di Stato ai danni di Luiz Inácio Lula da Silva, vincitore delle elezioni del 2022. Lo scorso 21 novembre gli avvocati di Bolsonaro avevano chiesto al giudice della Corte Suprema Alexandre de Moraes di consentirgli di scontare la sua condanna agli arresti domiciliari, adducendo motivi di salute, visti i ricorrenti problemi intestinali dell'ex presidente settantenne, derivanti da un accoltellamento avvenuto nel 2018 durante la campagna elettorale, che renderebbero la detenzione pericolosa per la vita. «È certo che trattenere il ricorrente in un ambiente carcerario rappresenterebbe un rischio concreto e immediato per la sua integrità fisica e persino per la sua vita», si legge nella richiesta, che chiedeva gli arresti domiciliari per «motivi umanitari». Il tribunale non ha ancora ordinato l'inizio della pena, mentre sono in corso vari procedimenti legali e ricorsi. I sostenitori di Bolsonaro avevano in programma di organizzare una "veglia" sabato sera davanti all' appartamento dove si trovava da agosto agli arresti domiciliari, un'originale protesta che era stata annunciata da suo figlio, Flávio Bolsonaro, in un video pubblicato sui social media e che sarebbe all'origine del provvedimento di incarcerazione "preventiva" deciso da chi? Dal braccio armato giudiziario di Lula, ovvero il giudice della Corte Suprema Alexandre de Moraes. «Il tumulto causato da un raduno illegale dei sostenitori del condannato rischia fortemente di compromettere l'arresto domiciliare e altre misure cautelari, consentendo la sua eventuale fuga», aveva scritto Moraes nella sua decisione, visionata dalla Reuters.Bontà sua, Moraes ha ordinato che non venissero utilizzate manette, che non vi fosse alcuna esposizione mediatica forzata e che venisse riservato un trattamento rispettoso, consono alla dignità di un ex capo di Stato: un insolito mix di severità e deferenza che riflette quanto questo caso sia diventato delicato per gli stessi giustizialisti.Ovviamente anche quest'ultimo atto politicamente motivato a favore dell'attuale presidente Lula da Silva e contrario alle opposizioni, oltre che ad ogni interpretazione dello "Stato di diritto e separazione dei poteri" sta creando sconcerto nel campo dei conservatori. Ogni visita a Bolsonaro deve essere preventivamente approvata dal giudice della Corte Suprema Alexandre de Moraes e quest'ultimo, già durante i "domiciliari", impediva qualsiasi contatto diretto con il leader del Partito Liberale (conservatori) Valdemar Costa Neto; i figli di Bolsonaro si descrivono sempre più spesso come gli unici eredi legittimi degli elettori del padre, circa la possibile candidatura del governatore di San Paolo Tarcísio de Freitas. L'ottantenne Lula da Silva, che aveva annunciato la sua ricandidatura alla presidenza della Repubblica lo scorso 23 ottobre, non ha più nessuna remora nel combattere senza sosta e con sistematicità, grazie al controllo totale sulla magistratura suprema del Paese, contro ogni leader dei conservatori, in particolare Jair Bolsonaro ed i suoi famigliari ed alleati, rei di rappresentare un'alternativa cristiana di libertà e di ripresa economica credibile per il Paese. Le elezioni presidenziali in Brasile si celebreranno, a Dio piacendo e Lula consentendo, i prossimi 4 e 25 ottobre 2026, solo qualche mese prima di quelle francesi (se non si riuscirà a sfiduciare Emmanuel Macron). Saranno mesi intensi e ricchi di colpi di scena, purtroppo tutti eventi che molto probabilmente allontaneranno i due Paesi dai minimi standard democratici.Lula come Macron, due dei leader dei più importanti Paesi del G20, nel silenzio generale passano alle maniere forti e, dopo aver imbavagliato e intimidito le opposizioni, ora incarcerano i disturbatori e pericolosi dissenzienti. C'è da chiedersi dove siano i difensori della democrazia liberale e dove i cantori dei valori occidentali? Nota di BastaBugie: l'autore del precedente articolo, Luca Volontè, nell'articolo seguente dal titolo "Sarkozy condannato, anche le toghe francesi fanno politica" parla della condanna a 5 anni di reclusione per l'ex presidente ritenuto colpevole di associazione a delinquere per i rapporti con la Libia. Una pena senza precedenti per una figura politica di spicco, che apre le porte del carcere a uno scomodo avversario di Macron, in base al teorema ben noto anche in Italia del "non poteva non sapere".Ecco l'articolo completo pubblicato su La Nuova Bussola Quotidiana il 26 settembre 2025:L'ex presidente francese Nicolas Sarkozy sarà presto incarcerato, dopo essere stato condannato ieri, giovedì 25 settembre, a cinque anni di carcere da un tribunale di Parigi che lo ha ritenuto colpevole di associazione a delinquere per i rapporti con la Libia, una punizione senza precedenti per una figura politica francese di spicco. Il processo a suo carico era iniziato lo scorso 6 gennaio. La sentenza di ieri è stata più severa di quanto molti si aspettassero, una novità assoluta per la sua severità e gravità nella storia politica francese moderna. Uno scomodo avversario politico di Macron e dei suoi che viene chiuso in cella per il tempo necessario all'attuale presidente per proseguire con i suoi azzardi internazionali e bluff alla guida del Paese.Di certo Nicolas Sarkozy paga la franchezza delle sue opinioni sulla crisi politica francese e le responsabilità di Macron, rilasciate lo scorso 3 settembre al quotidiano Le Figaro. Meno di un mese fa l'ex presidente diceva: «...Ho avuto modo quest'estate di dire al presidente della Repubblica Macron che sono convinto che non ci sarà altra soluzione che lo scioglimento [del Parlamento]. Sarebbe strano, dopo aver scelto di scioglierlo ieri quando nulla lo richiedeva, rifiutarsi di farlo oggi che la decisione è necessaria! La politica deve rispettare il buon senso e obbedire a regole alle quali bisogna sottomettersi. Le elezioni legislative anticipate si terranno quindi senza dubbio entro poche settimane... il Rassemblement National di Marine Le Pen è un partito che ha il diritto di candidarsi alle elezioni. Può quindi anche vincerle se questa è la scelta del popolo francese! Ai miei occhi, appartengono all'arco repubblicano». Elezioni come unica soluzione alla crisi politica, voluta e innescata lo scorso anno dagli azzardi di Macron e piena legittimità della destra, come forza democratica e repubblicana, di poter vincere le elezioni e governare: due affermazioni che non sono passate inosservate nei circoli che governano oltralpe. Sarkozy, presidente dal 2007 al 2012, trascorrerà del tempo in carcere anche se ricorrerà in appello, come infatti si legge nella decisione del tribunale di ieri.Uscendo dall'aula, Sarkozy ha espresso la sua rabbia per la sentenza. «Quello che è successo oggi... è di estrema gravità per quanto riguarda lo Stato di diritto e la fiducia che si può avere nel sistema giudiziario», ha detto ai giornalisti, dichiarandosi innocente e aggiungendo che la scandalosa sentenza mette in discussione anche il voto dei francesi di allora e l'intero Stato di diritto del Paese.Sarkozy è stato riconosciuto colpevole di associazione a delinquere per i tentativi di alcuni suoi stretti collaboratori di ottenere fondi dalla Libia per la sua candidatura presidenziale del 2007, durante il governo del defunto dittatore Muammar Gheddafi. I fatti per i quali è stato dichiarato colpevole risalgono al periodo tra il 2005 e il 2007, dopo di che - ha aggiunto la corte - è diventato presidente ed è stato coperto dall'immunità presidenziale.Una condanna che si fonda sul teorema, sancito per decenni dalla magistratura italiana, che pur non essendoci alcuna prova certa del reato di cui era accusato, né un soldo era arrivato per la campagna elettorale, Sarkozy, che all'epoca era ministro degli Interni, "non poteva non sapere" cosa avevano trescato i suoi collaboratori con Gheddafi per favorirne l'elezione a presidente della Repubblica. Zero prove anche per quanto riguarda tutte le altre accuse, tra cui corruzione e ricezione di finanziamenti illeciti per la campagna elettorale. Il giudice ha affermato che non vi è alcuna prova che Sarkozy abbia stipulato un accordo con Gheddafi, né che il denaro inviato dalla Libia sia arrivato nelle casse della campagna elettorale di Sarkozy, anche se la tempistica era «compatibile» e i percorsi seguiti dal denaro erano «molto poco trasparenti», ma l'ex presidente è colpevole di associazione a delinquere per aver «permesso» ai suoi stretti collaboratori di mettersi in contatto con persone in Libia, nel tentativo di ottenere finanziamenti per la campagna elettorale. Sarkozy avrà qualche giorno di tempo per sistemare le sue cose e poi i procuratori lo faranno condurre in
Philippe Gélie reçoit Céline Marangé, Xavier Tytelman, Isabelle Lasserre et Patrick Saint-Paul.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Sébastien Lecornu a-t-il raison d'organiser un débat avec vote sur le budget de la Défense ? Le CEMA a-t-il eu raison de s'exprimer ainsi devant les maires ? Emmanuel Macron a-t-il raison de relancer le service militaire volontaire ? Retrouvez Le Club Le Figaro Politique présenté par Yves Thréard. Il reçoit Philippe Méchet, Vincent Trémolet de Villers, Paul Sugy et Célestine GentilhommeHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mirare și consternare în presa internațională, după apariția unor detalii legate de planul de pace în 28 de puncte al președintelui Trump pentru încetarea războiului din Ucraina. Și un duș rece pentru Kiev, mai spun comentatorii. După cum observă The New York Times, ”propunerea de înțelegere este similară cu cea prezentată de Rusia în discuțiile din 2022. Moscova a pierdut ulterior aproximativ jumătate din teritoriul pe care îl cucerise în invazia inițială, înainte de a recuceri o parte în lupte sângeroase și prelungite. Kievul afirmă că astfel de concesii ar recompensa agresiunea rusă și ar lăsa Ucraina slabă și vulnerabilă, argumentând că Rusia ar folosi o încetare a luptelor pentru a-și recăpăta puterile pentru o altă invazie în viitor”. „Un duș rece pentru Kiev, pentru că, încă o dată, țara simte că Trump și Putin îi decid viitorul fără ca ea să aibă vreun cuvânt de spus”, notează El País. Administrația Trump „încearcă aceeași abordare pe care a folosit-o pentru a asigura un armistițiu în Gaza”, analizează The Wall Street Journal. Această abordare implică „elaborarea unui plan cu mai multe puncte și apoi presarea părților beligerante să îl accepte”. O sursă din cadrul președinției ucrainene „a fost departe de a fi entuziasmată de acest potențial plan”, menționând că „Washingtonul pare să se îndrepte către un cadru care să respecte cerințele Moscovei”, observă Kyiv Independent. Potrivit cotidianului ucrainean, Kremlinul „și-a înăsprit condițiile maximaliste, văzând situația din ce în ce mai precară de pe front și profitând de consecințele unui vast scandal de corupție care a implicat persoane apropiate președintelui Volodimir Zelenski”. (Sursa: Courrier International) The Daily Telegraph constată că ”rareori a existat un contrast mai evident și mai cinic între cuvintele publice și acțiunile private. Chiar dacă Donald Trump își exprimase exasperarea față de Vladimir Putin și sancționa cele mai mari companii petroliere din Rusia, emisarii ambilor lideri continuau să negocieze viitorul Ucrainei.” (Sursa: Eurotopics). În ceea ce privește garanțiile de securitate oferite de Statele Unite, acestea rămân vagi, comentează Le Figaro. ”Kievul ar trebui să renunțe la anumite categorii de arme cheie și ar urma să înceteze orice ajutor militar străin, în special din partea Statelor Unite. În plus, nu se așteaptă ca trupe militare străine să fie staționate pe teritoriul ucrainean”. Surse citate de ziarul canadian The Globe &Mail au declarat că Ucraina caută să înțeleagă dacă Trump a susținut personal planul de 28 de puncte în forma sa actuală sau dacă documentul a fost doar un punct de plecare pentru o nouă rundă de negocieri. Potrivit aceluiași ziar, ”vor fi câștiguri cheie pentru Moscova, dacă propunerea ar deveni realitate. Acestea includ transformarea limbii ruse în limbă oficială a Ucrainei și anularea restricțiilor impuse Bisericii Ortodoxe Ruse de la începutul invaziei din februarie 2022”.
Confruntată cu amenințarea rusească, Uniunea Europeană caută modalități de intervenție rapidă a trupelor sale, în caz de criză. Așa a apărut ideea unui ”Spațiu Schengen Militar”. Miercuri, Comisia Europeană a făcut primii pași în această direcție. După cum arată o analiză a ziarului Le Figaro, sabotajul asupra liniei feroviare Varșovia-Lublin, pe care guvernul polonez îl pune pe seama Rusiei, ilustrează importanța strategică a infrastructurii în război. „Infanteria câștigă bătălii, dar logistica câștigă războaie”, a reamintit miercuri comisarul european pentru apărare, Andrius Kubilius, citând o frază a generalului american John Pershing din timpul Primului Război Mondial. Astfel că Uniunea Europeană intenționează să simplifice procedurile și să modernizeze infrastructurile cheie pentru ca trupele și echipamentele să ajungă repede acolo unde este nevoie, în caz de pericol. Asta își propune acest „Schengen militar”. Comisia vrea să reducă timpul de autorizare pentru deplasarea trupelor și echipamentelor pe continent de la 45 de zile în prezent la maximum 3 zile, pe timp de pace. Dar în cazul unei crize? Ei bine, dacă birocrația va putea fi simplificată de urgență, cu infrastructura e mult mai complicat. Le Figaro reamintește că atunci când armata franceză a vrut să trimită o duzină de tancuri Leclerc la baza NATO din România, în toamna anului 2022, s-a confruntat cu o mlaștină birocratică și logistică care a prelungit desfășurarea la... 45 de zile! Germania interzisese utilizarea rețelei sale rutiere, argumentând că transportul militar depășea sarcina maximă autorizată pe osie (12 tone). Transportul feroviar a întâmpinat și el probleme. Unele poduri feroviare nu puteau susține încărcătura. Anul acesta, în timpul exercițiului NATO Dacian Fall de luna trecută, convoiul a trebuit să călătorească pe mare de la Marsilia până la portul grecesc Alexandropolis, apoi înapoi pe șosea prin Grecia, Bulgaria și România. 500 de puncte nevralgice identificate Astfel, conform planului, autoritățile naționale și europene trebuie să își modernizeze infrastructura. Poduri, tuneluri, căi ferate, porturi… aproximativ 500 de puncte nevralgice au fost identificate în coordonare cu NATO de-a lungul a patru coridoare militare – Nord, Est, Centru-Sud și Centru-Nord – ale căror trasee exacte rămân confidențiale. Acestea urmează să fie consolidate până în 2030 Din punctul de vedere al organizării, în cazul unei crize majore, Comisia poate declara stare de urgență, aprobată de Consiliu în câteva ore, ocolind autorizațiile administrative. Planul include, de asemenea, stabilirea unui acces prioritar pentru echipamentele militare. Bruxelles-ul propune, de asemenea, punerea în comun a resurselor strategice între statele membre, prin intermediul unui portal digital unic. Vorbim despre trenuri de marfă, stocuri de muniții, combustibil și altele. Toate acestea, concomitent cu consolidarea industriei de apărare. Bugetul alocat mobilității militare va crește de zece ori în următorul buget multianual al UE (2028-2034), ajungând la 17,6 miliarde de euro. Așadar, nevoia de acțiune este urgentă, având în vedere că mai multe servicii de informații europene și șeful Statului Major al Apărării din Franța, Fabien Mandon, și-au exprimat îngrijorarea cu privire la riscul unei confruntări cu Rusia în termen de trei până la patru ani. Ascultați rubrica ”Eurocronica”, cu Ovidiu Nahoi, în fiecare zi, de luni până vineri, de la 8.45 și în reluare duminica, de la 15.00, numai la RFI România
POST FACE - Émission Littéraire présentée par Caroline Gutmann qui reçoit Etienne de Montety Rédac-Chef du Figaro littéraire pour « Pour mon fils » aux éditions Arthaud Les coups de cœur de Barbara Lambert : Yiyun Li« Mon amie de plume » chez Belfond Raphaël Sigal « Géographie de l'oubli » chez Robert Laffont. À propos du livre : « Pour mon fils » paru aux éditions Arthaud Ce récit de Raïssa Kessel est pour ainsi dire légendaire. Les amis de "Jef" racontent qu'il conserva toute sa vie les carnets manuscrits de sa mère et qu'il songea même à s'en servir pour écrire sa Promesse de l'aube. À la mort de Kessel, restait un paquet de feuilles, tapées à la machine, qui commencent par ces mots : "Mon fils me demande d'écrire mes souvenirs. Je le fais par amour pour lui." Longtemps considéré comme disparu, ce texte était devenu un mythe dont on savait seulement qu'il relatait la saga de la famille Kessel. Exhumés aujourd'hui, les souvenirs de Raïssa racontent l'histoire poignante d'une famille juive dans la Russie de la fin du XIX? siècle, confrontée aux pogroms et aux mesures discriminatoires. Partie d'Orenbourg pour étudier la pharmacie à Montpellier, Raïssa rencontre Samuel Kessel, un étudiant en médecine. Elle l'épouse et le couple s'installe dans une colonie juive d'Argentine, revient en Russie puis choisit la France. Raïssa ne cache ni ses difficultés ni ses combats, face à l'adversité, aux discriminations et aux problèmes de santé. Sa mémoire est précise ; elle ne se dérobe pas et reste en toutes circonstances, une femme admirable : debout. Étienne de Montety, écrivain et journaliste, directeur du Figaro littéraire a retrouvé ce manuscrit et en a rédigé la préface. Étienne de Montety dirige Le Figaro littéraire. Il est l'auteur de plusieurs biographies et d'un roman paru aux Éditions Gallimard, L'article de la mort (collection Blanche, 2009). À propos du livre " Mon amie de plume " paru aux éditions Belfond Salman Rushdie dit de Yiyun Li qu'elle est " l'une des plus grandes autrices de notre temps ". Elle le prouve avec son nouveau roman sur l'amitié féminine, entre admiration mutuelle et rancœur, n'est pas sans rappeler L'Amie prodigieuse, d'Elena Ferrante. Fabienne est morte. Cette nouvelle, Agnès l'apprend en Amérique, bien loin de la campagne française où toutes deux ont grandi et sont devenues inséparables, bien loin de ce lieu qu'Agnès a fui, avec l'aide de Fabienne. Fabienne est morte et Agnès est enfin libre de raconter son histoire. Agnès et Fabienne étaient les meilleures amies du monde, deux fillettes qui s'étaient créé une bulle pleine d'imagination, d'histoires, de rêves, pour mieux échapper à la rudesse de la vie dans la France d'après guerre. Deux fillettes qui voulaient vivre autrement, mieux ; deux fillettes qui avaient un plan. Et puis Fabienne a trahi Agnès. Le plan s'est écroulé, leurs trajectoires se sont séparées, la tragédie a frappé... Lauréat du prix PEN Faulkner Award dans la catégorie fiction. À propos du livre " Géographie de l'oubli " paru aux éditions Robert Laffont Comment écrire ce qui a été passé sous silence, comment raconter une mémoire qui se délite ? " Elle est là, assise dans le livre comme dans son canapé, pleine d'amour et d'oubli. Elle ne voit pas de quoi ça parle. Je me mets à reconstituer son enfance à partir des quelques lambeaux de son histoire dont j'ai hérité. Je me donne pour règle d'écrire strictement à partir de ce qui, de son histoire, a été déposé en moi. Je m'interdis toute forme de recherche ou d'enquête. Pas de questions non plus à mon père sur sa mère. C'est une manière, me dis-je, de respecter son silence. Ce qu'elle ne m'a jamais dit ne sera pas dit dans le livre. Comme elle oublie, le livre doit oublier aussi. " Enfant, la grand-mère de Raphaël Sigal a traversé la Shoah. À la fin de sa vie, alors qu'elle souffre de la maladie d'Alzheimer, son petit-fils entreprend d'écrire son histoire. Mais comment raconter une vie à partir d'indices épars ? Que faire des oublis et des silences qui se transmettent d'une génération à l'autre ?
Le président ukrainien doit face simultanément à deux fronts. C'est ce que relève Le Monde à Paris. D'abord, celui d'une guerre qui s'éternise : « un quatrième hiver en guerre s'annonce dans les pires conditions pour tous les Ukrainiens, pointe le journal. Sur le front, les soldats, exténués par ce conflit sans fin, plient sans rompre, comme à Pokrovsk, face à un agresseur russe qui mène son combat sans se soucier du coût pour ses propres hommes. (…) L'asymétrie des armées en présence, comme de leurs moyens, est de plus en plus criante en dépit de l'ingéniosité ukrainienne. La perspective d'un cessez-le-feu qui interromprait enfin ce qui devient, mois après mois, l'une des plus longues guerres conventionnelles livrées sur le sol européen, ne cesse de s'éloigner ». Et puis, constate encore Le Monde, il y a ce scandale de corruption qui a obligé Volodymyr Zelensky « à limoger deux ministres alors qu'un de ses proches, visé par des poursuites, est parvenu à fuir pour éviter de répondre de malversations criminelles. Cette corruption, pointe le journal, n'est pas seulement une insulte adressée à ceux qui se battent sur le front face à une armée supérieure en nombre. Elle renforce, parmi les pays européens, ceux qui se soucient d'abord de complaire au Kremlin. C'est le deuxième front du président ukrainien : l'intransigeance de Kiev face à la corruption est impérative, s'exclame Le Monde. Il y va de l'unité du pays comme du soutien de ses alliés ». Lâché par Trump… Et puis, autre cauchemar pour Volodymyr Zelensky, qui vient d'outre-Atlantique celui-là, note Le Figaro. « Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a récemment déclaré qu'il ne savait pas ce que les États-Unis pouvaient faire de plus pour pousser la Russie à accepter un cessez-le-feu. Tout se passe, pointe le journal, comme si le président Trump, après avoir pris des sanctions contre les deux principales sociétés russes d'exportation d'hydrocarbures, se lavait désormais les mains du conflit en Ukraine, et en confiait la gestion à ses alliés européens. L'important est évidemment que l'Amérique continue à faire bénéficier les Ukrainiens de son renseignement militaire, notamment satellitaire. Mais, s'interroge Le Figaro, cette aide cruciale continuera-t-elle éternellement ? La question, cauchemardesque pour Kiev, se pose ». Comment financer l'achat des Rafale ? C'est dans ce contexte délicat que le président ukrainien était à Paris hier. « Volodymyr Zelensky et Emmanuel Macron signent un accord d'armement "historique" », s'exclame Libération. À savoir « l'achat futur de 100 avions de combat français Rafale sur un horizon d'une dizaine d'années. (…) Un changement d'approche, qui vise à planifier le renforcement, à long terme, de la défense ukrainienne en vue d'une éventuelle issue au conflit. Mais les modalités restent encore floues ». En effet, « reste à voir qui financera ces nouvelles acquisitions, pointe la Repubblica à Rome. Le coût d'une centaine de Rafale est estimé à environ 12 milliards d'euros. Macron a expliqué son intention de recourir aux programmes européens. Malgré les réticences de Berlin à l'idée d'un prêt conjoint, le président français a relancé le projet d'obligations européennes de défense, précise le quotidien italien, qui garantirait à Kiev un soutien "prévisible et stable à long terme". Macron a ensuite ajouté que Kiev devra satisfaire à des critères rigoureux de transparence, de gouvernance et de réformes, notamment en vue d'une adhésion à l'UE. Allusion explicite au scandale de corruption qui secoue Kiev ». Les avoirs russes ? Il y a aussi les avoirs russes gelés à Bruxelles… Mais, souligne le New York Times, « le plan de prêt, par lequel l'Union européenne devait acheminer 140 milliards d'euros vers l'Ukraine, a été bloqué par la Belgique. Les autorités belges se disent inquiètes de devoir assumer une partie du fardeau si la Russie intente un procès ou réclame le remboursement des sommes versées ». Et désormais, pointe le quotidien américain, « le temps presse pour parvenir à un accord. Selon les estimations du FMI et de Bloomberg News, le déficit budgétaire de l'Ukraine s'élèverait à environ 65 milliards de dollars pour les années 2026 et 2027. Les dirigeants européens vont devoir s'engager dans des semaines de négociations acharnées pour tenter de faire aboutir le plan de transfert d'actifs – et ils s'exposent à de sérieux risques s'ils n'y parviennent pas ».
Hôm 14/11/2025, tổng thống Trump lùi bước, tự dỡ bỏ một số hàng rào quan thuế đánh vào một số thực phẩm mà ông đã dựng lên. Mười ngày trước, đời sống khó khăn tại Mỹ giúp nhiều ứng cử viên của đảng Dân Chủ thắng cử trong các cuộc bầu cử địa phương. Washington vừa ra khỏi tình trạng 43 ngày shutdown, vì không có ngân sách hoạt động. Sau nhiều tháng đàm phán, Mỹ vẫn chờ các đối tác đầu tư thêm hàng ngàn tỷ đô la đưa Hoa Kỳ trở lại « thời kỳ vàng son ». Theo thăm dò của trung tâm Navigator công bố hôm 12/11/2025, 16 % những người được hỏi bày tỏ « thất vọng » vì chính sách kinh tế của tổng thống Trump, 16 % khác « hối hận » đã bỏ phiếu ủng hộ ông hồi tháng 11/2024 và nhìn chung thì 59 % « không hài lòng » về những quyết định kinh tế của chủ nhân Nhà Trắng. « Quá ồn ào nhưng kết quả lại chẳng là bao nhiêu ». Garett Melson thuộc ngân hàng đầu tư Natixis IM của Pháp đã đánh giá như trên phần trang tài chính của báo Le Figaro. Sau nhiều màn đầy kịch tính làm khuấy động thị trường ở Mỹ và thế giới, các chỉ số kinh tế của bàn thân Hoa Kỳ đã « trở về với thời điểm đầu năm 2025 », cuối nhiệm kỳ Biden và khi tổng thống Donald Trump trở lại cầm quyền. Thị trường chứng khoán của Mỹ và các doanh nghiệp « có sức chịu đựng tốt hơn dự kiến ». Tổng sản phẩm nội địa của Hoa Kỳ cho năm 2025 dự trù tăng 1,6 % ; lạm phát dao động ở mức 3 %. Thị trường lao động được đánh giá là « vẫn ổn định », cho dù giám đốc cơ quan đặc trách thống kê lao động Mỹ đã bị cho thôi việc và do tình trạng Shutdown, báo cáo về tình trạng lao động tại Hoa Kỳ tháng 10/2025 đã không thể được công bố đúng hạn kỳ. Trong những tuần lễ gần đây tập đoàn Amazon loan báo kế hoạch sa thải 14.000 nhân viên, công ty vận tải UPS chuẩn bị cho 48.000 nhân viên nghỉ việc … Nghiên cứu hàng tháng do Đại học Michigan thực hiện về tâm trạng người tiêu dùng trong tháng 10/2025 cho thấy chỉ số này đã sụt giảm đến 6 % so với hồi tháng trước và giảm đến 30 % so với cùng thời kỳ năm ngoái. Riêng tầng lớp giàu có nhất thì không bị ảnh hướng : đó là những người nắm giữ nhiều cổ phiếu chứng khoán. Chỉ số S&P500 tại Wall Street tăng liên tiếp trong 6 tháng qua, chủ yếu là nhờ các tên tuổi lớn trong lĩnh vực thông minh nhân tạo. Trong phần phỏng vấn dành cho RFI Việt Ngữ, kinh tế gia Jean -François Boittin, đại diện Hiệp hội giới chủ doanh nghiệp Pháp MEDEF tại Washington đã nêu bật vấn đề này và phân tích kỹ hơn về « logic khó hiểu » trong chính sách kinh tế của tổng thống Donald Trump. RFI : Kính chào Jean-François Boittin, câu hỏi đầu tiên : So với thời điểm bầu cử tổng thống Mỹ cách nay một năm, đời sống tại Washington nơi ông cư ngụ hiện tại ra sao ? Jean-François Boittin : « Chi phí sinh hoạt tại Hoa Kỳ nói chung, chứ không chỉ riêng ở Washington, rõ ràng đã tăng lên mặc dù lạm phát đã có xu hướng giảm so với đỉnh điểm của hồi 2022. Khi đó lạm phát ở Mỹ bị đẩy lên tới 8%. Chỉ số giá cả tại Mỹ hiện tại là khoảng 2,5%, tức là vẫn còn cao hơn so với mục tiêu của Ngân hàng Trung ương Mỹ là 2%. Tuy nhiên thời gian gần đây chỉ số lạm có khuynh hướng nhích lên tới gần 3 % và quả thực đó chính là yếu tố quyết định dẫn tới thắng lợi của nhiều ứng cử viên đảng Dân Chủ trong các cuộc bầu cử địa phương cách nay hai tuần ở các bang Virginia, New Jersey và cả thành phố New York. Đời sống đắt đỏ là chủ đề mà các ứng viên đảng Dân Chủ đã đặc biệt quan tâm và là yếu tố giúp họ chinh phục cử tri ». RFI : Hai điểm nổi bật trong chính sách của tổng thống Mỹ thứ 47 được nhắc đến nhiều, đó là chính sách thương mại, ông Trump dùng đòn thuế quan để giải quyết tình trạng nhập siêu mà đây còn là một công cụ ngoại giao, để giải quyết các xung đột trên thế giới ; và bên cạnh đó là chính sách thuế đối với doanh nghiệp và tư nhân. Nhưng dường như cả hai cùng khó thuyết phục được một phần lớn cử tri Hoa Kỳ ? Jean-François Boittin : « Có hai đặc điểm hoàn toàn mâu thuẫn với đường lối kinh tế vốn được coi là kim chỉ nam trong chính sách của bên đảng Cộng Hòa. Thứ nhất là chính quyền Trump đã thông qua đạo luật One Big Beautiful Bill Act, triển hạn biện pháp giảm thuế cho doanh nghiệp và cá nhân. Hệ quả kèm theo là đẩy thâm hụt ngân sách cả chính quyền liên bang lên cao. Đạo luật này sẽ khiến thâm hụt ngân sách Mỹ tăng thêm từ 3.000 đến 3.500 tỷ đô la theo tính toán của các tổ chức trung lập. Yếu tố thứ hai, dĩ nhiên là thuế quan. Từ rất lâu Trump đã tự nhận là Tariff Man, chỉ tin vào công cụ này để giải quyết tất cả. Hôm 02/04/2025 ông đã công bố kế hoạch tăng thuế quan rất mạnh. Tuy nhiên, Donald Trump đã buộc phải giảm bớt tham vọng này vì thị trường tài chính đã lao dốc ngay sau đó. Sau nhiều tháng đàm phán, mức thuế quan trung bình hiện nay vẫn ở mức 17,5%, trong khi trước khi ông lên nắm quyền, mức trung bình chỉ là 2,5%. Đây là một gánh nặng đối với mỗi người tiêu dùng, tác động đến sinh hoạt hàng ngày của họ. Giá nhiều mặt hàng bị đẩy lên cao. Cuối cùng áp lực lớn đến nỗi, cuối tuần qua tổng thống Trump đã phải bãi bỏ thuế quan đánh vào một số mặt hàng thực phẩm phải nhập khẩu từ những nơi khác để phục vụ thị trường Mỹ. Rất khó để hiểu được cái logic của ông Trump ». RFI : Cũng dưới chính quyền Donald Trump Hoa Kỳ vừa trải qua giai đoạn nhiều cơ quan chính phủ liên bang phải đóng cửa vì không có ngân sách hoạt động. Shutdown ảnh hưởng thế nào đến tăng trưởng của Mỹ ? Jean-François Boittin : « Việc chính phủ liên bang phải đóng cửa vì không có ngân sách hoạt động, thực chất là do bên đảng Dân Chủ gây ra. Họ muốn lợi dụng thời điểm này để thúc đẩy Quốc Hội thông qua một đạo luật về trợ cấp y tế, thường được biết đến dưới tên gọi là ObamaCare. Họ dùng đòn này để gây sức ép. Vì các khoản chi tiêu của chính phủ liên bang phải được Quốc Hội phê duyệt, phe Dân Chủ, thiểu số tại cả Thượng và Hạ Viện, đã chặn quá trình này và tuyên bố họ chỉ bỏ phiếu gia hạn các khoản chi tiêu của chính quyền liên bang nếu Hạ Viện đồng ý tài trợ trở lại các chương trình trợ cấp y tế. (…) Điều rất kỳ lạ là mặc dù rõ ràng đảng Dân Chủ là bên chặn quá trình và cố gắng lợi dụng hoàn cảnh để thông qua việc gia hạn trợ cấp y tế, nhưng dư luận, qua các cuộc thăm dò, lại đổ lỗi cho đảng Cộng Hòa đã gây ra tình trạng shutdown. Về câu hỏi shutdown trong thời gian dài kỷ lục, 43 ngày có tác động đến kinh tế Mỹ hay không, thì câu trả lời là có : đầu tiên hết là một số công chức của chính phủ liên bang đã không được trả lương đúng hạn. Do mức tiết kiệm của người Mỹ nói chung rất thấp, họ nhanh chóng rơi vào khó khăn. Ngoài ra, rất nhiều chương trình hỗ trợ lương thực, liên quan đến 1 người Mỹ trên 8, (đặc biệt là trẻ em và thanh thiếu niên) đã phải ngừng hoạt động, hoặc hoạt động một cách nhỏ giọt tại nhiều bang. Điều này cũng đã gây ra thêm nhiều khó khăn nữa cho dân Mỹ thời gian vừa qua. Nhìn rộng ra hơn, tác động không quá lớn từ viện chính phủ không có ngân sách hoạt động đối với GDP của Hoa Kỳ cho cả năm. Nhưng đúng là tăng trưởng của 3 tháng cuối năm nay bị thiệt hại. Dù vậy kinh nghiệm quá khứ cho thấy, sự chậm trễ trong quý 4 sẽ chóng được xóa nhòa ngay từ đầu năm sau thôi ». RFI : Với tư cách đại diện của Hiệp hội các chủ doanh nghiệp Pháp, theo ông, với môi trường bất ổn như vậy, trước những hứa hẹn đầu tư hàng ngàn tỷ đô la vào Mỹ mà ông cho rằng chưa chắc là các bên liên quan sẽ giữ lời… Liệu rằng đây có phải là thời điểm thuận lợi để các công ty nước ngoài mạnh dạn đầu tư vào Mỹ hay không ? Jean-François Boittin : « Chính quyền, mà thực tế là chính tổng thống Trump liên tục gây áp lực để thu hút đầu tư vào Hoa Kỳ với mục tiêu xây dựng lại nền công nghiệp Mỹ giống thời kỳ vàng son của những năm 1950–1960. Không ai tin mục tiêu này sẽ đạt được. Mỗi lần đàm phán với một quốc gia, Donald Trump luôn đòi đối tác phải cam kết đầu tư để phát triển nền công nghiệp của Hoa Kỳ. Thí dụ mới nhất là với Thụy Sĩ. Trước đây nước này bị với mức thuế hải quan là 39 % nhưng vừa đàm phán, hàng Thụy Sĩ nhập vào Mỹ chỉ bị đánh thuế 15%. Đổi lại các tập đoàn Thụy Sĩ cam kết đầu tư 200 tỷ đô la vào Hoa Kỳ trong 3 năm tới. Như nhiều quốc gia khác từng đám phán với Washington, sẽ không ai thực hiện cam kết này. Về câu hỏi của chị có nhiều yếu tố như sau : Dĩ nhiên, ai cũng muốn đầu tư vào Hoa Kỳ, một quốc gia giàu có. Nhưng các quy định, luật lệ, đặc biệt là thuế quan thay đổi từ ngày này sang ngày khác tùy theo tâm trạng của Donald Trump… Chính điều đó tạo ra một môi trường bất ổn. Giới đầu tư nói chung rất sợ sự bất ổn, vì họ đầu tư cho dài hạn nên muốn và cần biết rõ môi trường mà họ sẽ hoạt động trong đó. Ngoài ra, tùy vào những lĩnh vực chúng ta muốn đầu tư. Đây có thể là thời điểm tốt để dấn thân vào thị trường Mỹ. Rõ ràng là vậy, vì nền kinh tế hiện nay là một nền kinh tế theo mô hình chữ K : Nghĩa là một phần dân số, 10% người giàu nhất, chi tiêu rất nhiều vì giá trị cổ phiếu họ nắm giữ đã tăng mạnh. Trái lại, phần còn lại của dân số, đặc biệt là càng xuống các nhóm thu nhập thấp, thì tình hình càng khó khăn từ khi ông Trump trở lại cầm quyền. Vì vậy nếu chúng ta nhắm tới tầng lớp 10 % dầu có nhất, thậm chí là 1 % những tài sản đồ sộ nhất ở Mỹ, thì hãy nên đầu tư vào Hoa Kỳ ». RFI : Chân thành cảm ơn Jean-François Boittin, đại diện MEDEF các doanh nhân Pháp tại thủ đô Washington.
Oui ou non ? À vous de voter ! Donnez votre avis et découvrez celui des autres internautes en répondant à la question du jour. Les résultats sont publiés sur la première page de notre quotidien Le Figaro. Vous retrouverez également sur cette page les autres questions posées par la rédaction numérique du Figaro pour débattre de l'actualité avec les lecteurs.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Jeff reçoit la découverte de la semaine en politique québécoise, voici Étienne-Alexandre Beauregard pour parler de son nouveau livre Anti-Civilisation. Livre disponible ici : https://bit.ly/4hZE2dd Formé en philosophie politique et en administration publique, Étienne-Alexandre Beauregard est un intellectuel de la nouvelle génération national-conservatrice québécoise. Ses écrits ont notamment été publiés dans Le Devoir, La Presse, Le Journal de Montréal et Le Figaro. Entre 2022 et 2025, il travaille comme rédacteur et conseiller à la planification stratégique au cabinet du premier ministre du Québec. Depuis août 2025, il est chercheur à l'Institut Cardus, un think tank canadien qui analyse les politiques publiques en vue de l'épanouissement de la société civile et du Bien commun. https://www.cardus.ca/homepage-fr/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
RadioPirate LIVE édition du 14 novembre 2025 avec Jeff Fillion 0min00 - Aujourd'hui dans le Warm Up, Jeff se questionne sur le Parti Conservateur du Québec et de son chef Éric Duhaime. 17min32- Gerry présente sa Boîte à Pizza, un podcast regroupant les nouvelles les plus éclatées de la semaine! Avec Jeff et MisterWhite aux réactions et commentaires. (Partie 2) 39min23 - Gerry présente sa Boîte à Pizza, un podcast regroupant les nouvelles les plus éclatées de la semaine! Avec Jeff et MisterWhite aux réactions et commentaires. (Partie 2) Substack de Gerry: https://gerrypizza.substack.com/ 58min12- Jeff reçoit la découverte de la semaine en politique québécoise, voici Étienne-Alexandre Beauregard pour parler de son nouveau livre Anti-Civilisation. Livre disponible ici : https://bit.ly/4hZE2dd Formé en philosophie politique et en administration publique, Étienne-Alexandre Beauregard est un intellectuel de la nouvelle génération national-conservatrice québécoise. Ses écrits ont notamment été publiés dans Le Devoir, La Presse, Le Journal de Montréal et Le Figaro. Entre 2022 et 2025, il travaille comme rédacteur et conseiller à la planification stratégique au cabinet du premier ministre du Québec. Depuis août 2025, il est chercheur à l'Institut Cardus, un think tank canadien qui analyse les politiques publiques en vue de l'épanouissement de la société civile et du Bien commun. https://www.cardus.ca/homepage-fr/ Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
« Je prends acte de ce geste d'humanité du président Tebboune et l'en remercie », a déclaré hier Emmanuel Macron, après la libération de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal par les autorités algériennes. « Avec l'Algérie, le bras de fer ne fonctionne pas », a ajouté l'un des conseillers du Président français. Est-ce à dire que le départ du gouvernement français de Bruno Retailleau, qui prônait la fermeté avec Alger, a facilité les choses ? L'écrivain franco-algérien Kamel Bencheikh, qui est l'un des membres fondateurs du comité de soutien à Boualem Sansal, témoigne au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Quelle est votre réaction à la libération de Boualem Sansal ? Kamel Bencheikh : Vous vous doutez que je saute au plafond, que c'est une joie incommensurable. Lorsque je l'ai appris, d'abord, je ne m'y attendais pas du tout. Parce qu'on s'est attendu à sa libération pendant l'Aïd el-Kébir, puis pour le 5 juillet, fête de la libération de l'Algérie. On a été déçus et chat échaudé craint l'eau froide. Je ne m'y attendais pas et je n'espérais plus rien. Tout de même, il y a quelques jours, sur France Inter, le patron de la DGSE, les services français de renseignement extérieurs, Nicolas Lerner, déclarait : « Il y a des signaux venant d'Alger en faveur d'une reprise du dialogue. J'espère qu'il y aura libération de nos deux compatriotes, Boualem Sansal et Christophe Gleizes. » Je l'ai écouté et nous espérions tous. Mais connaissant le pouvoir d'Alger et le régime d'Alger, je me suis dit que, à moins qu'il soit grièvement malade, ils ne le lâcheront pas. Je pense que ce n'est pas un geste de clémence. C'est parce qu'il est malade qu'ils voulaient se débarrasser de lui. Apparemment, l'Allemagne et son président Frank-Walter Steinmeier ont joué un grand rôle, non ? Certainement. Parce que, entre l'Allemagne et l'Algérie, il y a des relations fortes dans le domaine économique. Il ne faut pas se le cacher, le président Abdelmadjid Tebboune a l'habitude d'aller se faire soigner en Allemagne. Il l'a fait l'année dernière et il y a deux ans. Cette médiation allemande, en aviez-vous déjà eu connaissance ces derniers mois ? Non, pas du tout. C'est une surprise pour moi. Sans être une surprise, parce que Boualem Sansal est très connu en Allemagne. Il a eu le Grand Prix des libraires allemands pour l'ensemble de son œuvre. Il avait l'habitude d'aller faire des conférences pour les ambassadeurs allemands à l'étranger. C'est là-bas qu'il a écrit son livre Gouverner au nom d'Allah. Il a été reçu deux ou trois fois par l'ancienne chancelière allemande Angela Merkel. On peut donc imaginer qu'Emmanuel Macron a demandé à Frank-Walter Steinmeier de faire une démarche auprès d'Alger ? Je ne l'imagine pas et je n'imagine rien parce que maintenant que Boualem Sansal est arrivé à Berlin, tout le monde va dire : « C'est grâce à moi. » Moi, je ne le sais pas, je ne suis pas au courant. Tout ce que je sais, c'est qu'on a essayé de contacter la présidence française qui n'a jamais réagi. Que les deux filles de Boualem Sansal, Sabira et Naouel, ont écrit dans Le Figaro une lettre ouverte au président Macron à laquelle il n'a jamais répondu. Cela nous a déçu. Du côté des Français, on avait remarqué ces derniers mois qu'il y avait deux lignes sur la question algérienne : la ligne de fermeté, incarnée par le ministre de l'Intérieur de l'époque, Bruno Retailleau ; et la ligne modérée, incarnée par le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. Avez-vous senti la même chose ? Bien évidemment. On dirait que ce sont des ministres des deux gouvernements différents. Jean-Noël Barrot en est même arrivé à taper sur le comité de soutien et en particulier sur Xavier Driencourt, l'ancien ambassadeur de France en Algérie, en le traitant de tous les noms et en le traitant de militant d'extrême droite. Alors que Bruno Retailleau tenait la ligne dure vis-à-vis de l'Algérie et je pense que l'Algérie l'a humilié. Ne serait-ce qu'en n'acceptant pas les obligations de quitter le territoire français (OQTF). N'est-ce pas le départ du gouvernement de Bruno Retailleau qui a facilité l'issue favorable à Boualem Sansal ? Je n'y crois pas. D'abord, c'est parce que le président allemand l'a demandé et l'Allemagne est un partenaire important pour l'Algérie. Deuxièmement, je suis sûr – on le saura dans les prochaines heures, sinon dans les prochains jours –, que les examens de santé que demandait Boualem Sansal devaient être faits en Occident. Je pense qu'ils ne pouvaient pas le laisser mourir chez eux parce que le monde entier aurait réagi. Donc, pour vous, le moment de la libération de Boualem Sansal, c'est d'abord un moment médical ? Médical, oui. Une année, cela suffit. En gardant Boualem Sansal pendant une année, le pouvoir algérien, le régime algérien, a montré non seulement au monde qu'il était « souverain », mais surtout aux opposants que nul n'est à l'abri d'une arrestation. Boualem Sansal n'était-il pas l'otage d'une crise politique entre Alger et Paris ? Sa libération n'est-elle pas le signe que cela va mieux entre les deux pays ? Ce n'est pas ma lecture. Ma lecture, c'est que Boualem Sansal a été arrêté parce que les islamistes se sont sentis forts en Algérie. Ils lui en voulaient terriblement. Le jour où il a dérapé, dans le média Frontières, en parlant des frontières algéro-marocaines, c'était l'occasion ou jamais pour obliger le président et le pouvoir algérien à l'arrêter. Tout de même, le président Abdelmadjid Tebboune n'envoie-t-il pas un message d'apaisement à Paris par l'intermédiaire de cette grâce à l'égard de Boualem Sansal ? Cela aurait été le cas s'il avait été libéré à la demande de Paris. Ce n'est pas le cas. Mais le résultat est le même. Le résultat est le même et nous sommes heureux. Boualem Sansal arrive en Allemagne et d'ici à quelques jours, il sera probablement parmi les siens, y compris en France ? Bien sûr, nous l'attendons de pied ferme. Mais je ne suis pas sûr que c'est pour faire plaisir au gouvernement français qu'il a été libéré. C'est même l'inverse. Ils ont résisté à toutes les demandes françaises pendant une année. Il y a Boualem Sansal et puis il y a un autre ressortissant français, le journaliste Christophe Gleizes, qui a été condamné au mois de juin dernier à sept ans de prison. Comment voyez-vous sa situation aujourd'hui ? Il faut absolument qu'il en sorte. Mais au-delà de Boualem Sansal et de Christophe Gleizes, il y a des centaines de prisonniers politiques qui sont dans les prisons algériennes. Maintenant que nous avons eu le bonheur d'avoir le retour de Boualem Sansal, il faudrait que nous ne lâchions pas concernant Christophe Gleizes. Il faut absolument que l'on commente, que l'on se batte pour qu'il nous revienne. Son procès en appel est prévu dans quelques semaines, début décembre, à Alger. Êtes-vous optimiste ? Je ne suis ni optimiste ni pessimiste parce que les réactions algériennes sont très improbables. C'est là où l'on verra justement si le pouvoir algérien veut faire plaisir à la France, puisque cela ne passera pas par l'Allemagne, cette fois-ci. Ce que vous dites, c'est qu'avec le sort à venir de Christophe Gleizes, on saura si, oui ou non, il y a un apaisement entre Alger et Paris ? C'est exactement ce que je veux dire. Mais en tout cas, ce que vous souhaitez, c'est la libération de Christophe Gleizes également. Oui, qu'il revienne vers sa famille, vers son pays, à son métier. À lire aussiLibération de Boualem Sansal par l'Algérie: la diplomatie française en question
durée : 01:29:01 - Piotr Anderszewski, une personnalité riche et passionnée - par : Aurélie Moreau - Pour Piotr Anderszewski, pianiste célèbre pour ses interprétations de Chopin, Szymanowski, Beethoven, Mozart et Bach, « la musique demeure, à l'heure d'internet, le dernier bastion d'une géographie des sentiments qui nous dépasse ». (Le Figaro). Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Rubrique:documents Auteur: colette Lecture: Daniel LuttringerDurée: 08min Fichier: 6 Mo Résumé du livre audio: Récit de voyage paru dans Le Figaro littéraire du 10 février 1940. Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
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durée : 00:02:14 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - C'est Le Figaro qui nous apprend aujourd'hui qu'on aurait trouvé en Crimée un crayon vieux de plus de 40 000 ans : un morceau d'ocre taillé par des mains néandertaliennes. - réalisation : Félicie Faugère
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C dans l'air du 30 octobre 2025 : Trump / Poutine : la surenchère nucléaireLES EXPERTS :- GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Alain BAUER - Professeur émérite au pôle sécurité et défense - Conservatoire national des arts et métiers, auteur de Au commencement était la guerre
C dans l'air du 30 octobre 2025 : Trump / Poutine : la surenchère nucléaireC'est une annonce surprise et un changement majeur de stratégie pour les États-Unis, qui avaient mis fin à leurs essais nucléaires en 1992. Dans un message publié sur son réseau social Truth Social, Donald Trump a indiqué avoir ordonné au département de la Guerre — le nom qu'il donne désormais à son ministère de la Défense — de « commencer à tester les armes nucléaires des États-Unis ». Une décision qu'il justifie par les « programmes d'essais menés par d'autres pays », sans préciser lesquels.Cette annonce intervient dans un contexte hautement sensible : quelques minutes seulement avant sa rencontre très attendue avec son homologue chinois Xi Jinping, et peu après que le président russe Vladimir Poutine s'est félicité de la réussite de l'essai d'un nouveau missile à propulsion nucléaire, le Bourevestnik, d'une « portée illimitée » et capable, selon le Kremlin, de contourner les systèmes d'interception américains. Un engin qui, en théorie, pourrait frapper le territoire des États-Unis. « Poutine ferait mieux de mettre fin à la guerre en Ukraine », a d'ailleurs commenté le président américain.Si l'annonce de Moscou a été jugée « inappropriée » par Washington, le président russe est allé plus loin, annonçant le test d'un drone sous-marin à capacité nucléaire.Autant de déclarations qui ravivent une atmosphère rappelant celle de la Guerre froide, à quelques mois de l'expiration du traité de désarmement New START — prévu en février 2026 —, qui limite les arsenaux nucléaires de la Russie et des États-Unis. Une tension qui s'ajoute à la reprise de la course aux armements observée un peu partout sur la planète.Alors, que signifient ces annonces autour du nucléaire ? Que sait-on du missile russe Bourevestnik, présenté par Vladimir Poutine comme une arme « unique que personne d'autre dans le monde ne possède » ? Véritable prouesse technologique ou simple instrument de propagande ? Enfin, que se joue-t-il au Venezuela ?Alors que Caracas et Moscou ont renforcé leurs coopérations sur presque tous les plans au fil des années, rebattant ainsi les cartes dans la région, les pressions américaines s'accentuent.Depuis plusieurs semaines, l'administration américaine mène des opérations militaires en mer des Caraïbes au nom de la lutte contre le narcotrafic, revendiquant dix frappes qui auraient fait au moins 43 morts. Le président américain a autorisé la CIA à mener des opérations clandestines et étudie désormais la possibilité de frappes terrestres sur le sol vénézuélien.Jusqu'où ira l'escalade ?LES EXPERTS :- GÉNÉRAL PATRICK DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Alain BAUER - Professeur émérite au pôle sécurité et défense - Conservatoire national des arts et métiers, auteur de Au commencement était la guerre
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSLivre L'Empire - Rap français : RFI, Le Parisien, Le Figaro, Charente LibreAnyme tour du monde musical : InstagramStream for Humanity : Le Parisien, RMC SportPrix Goncourt et Renaudot : France Info, Le MondeQuentin Tarantino : BFMTV, 20 MinutesMarie s'infiltre France Inter : Libération, La dépêcheÉcriture : Eden AyachIncarnation : Julie Baheux Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, avocat, Chirinne Ardakani, avocate spécialisée dans la défense des droits humains, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C'est une histoire à dormir debout : les deux élus d'extrême gauche ont demandé à voir la cellule de Nicolas Sarkozy, la direction de la prison a dit non. Ils ont alors décidé de saisir la justice… Le Figaro raconte ce procès. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Presa internațională a reacționat imediat la aflarea veștii că Statele Unite își vor reduce o parte din trupele desfășurate pe flancul estic al Europei. România este afectată direct de această decizie, observă comentatorii. Ei amintesc faptul că administrația Trump a invocat în mai multe rânduri că își va muta atenția principală din Europa în Pacific. Trump a promis-o. Statele Unite își vor reduce treptat prezența militară în Europa, care a crescut semnificativ de la invazia Rusiei în Ucraina, pe 24 februarie 2022, sintetizează Le Figaro. BBC transmite că ”de la preluarea mandatului, în ianuarie, președintele american Donald Trump nu și-a ascuns dorința de a muta accentul angajamentului militar american de la Europa la regiunea indo-pacifică. El a îndemnat în repetate rânduri membrii europeni ai NATO să își asume o mai mare responsabilitate pentru apărarea continentului. Citeste siCongresul SUA se opune deciziei Pentagonului de retragere a trupelor americane din România Însă anunțul retragerii trupelor americane din România va fi îngrijorător pentru țările est-europene, multe dintre ele considerând că au motive să se teamă de un atac rusesc în viitor. Decizia a venit după ce drone rusești au intrat în spațiul aerian polonez, în cel mai grav incident de acest fel de la începutul războiului în februarie 2022. Câteva zile mai târziu, România a raportat că o dronă rusească i-a încălcat spațiul aerian, iar Estonia a declarat că avioanele de război rusești i-au încălcat și ele spațiul aerian”. Colonelul în retragere al armatei americane, Richard Williams, a declarat că nu există motive tactice clare pentru retragerea elementelor unei brigăzi NATO din România, potrivit Kyiv Post. Ziarul ucrainean reamintește, de asemenea, că președintele american Donald Trump l-a asigurat pe președintele Poloniei, Karol Nawrocki, că nivelurile trupelor americane din Polonia nu vor fi reduse, un mesaj care „într-o oarecare măsură” a liniștit Varșovia. Citeste siSUA retrage trupe militare din România | Decizia vulnerabilizează continentul european (Analist) Potrivit Associated Press, ”între 80.000 și100.000 de soldați americani sunt de obicei prezenți pe teritoriul european, în funcție de activități și exerciții. Aliații NATO și-au exprimat îngrijorarea că administrația Trump ar putea reduce drastic numărul acestora și ar putea lăsa un vid de securitate, pe măsură ce țările europene se confruntă cu o Rusie din ce în ce mai agresivă. The Irish News citează un oficial NATO care a spus că „ajustările la postura forțelor americane nu sunt neobișnuite”. Potrivit acestuia, chiar și cu această nouă ajustare, despre care NATO a fost informată în prealabil, „postura forțelor americane în Europa rămâne mai mare decât a fost în ultimii ani, cu mult mai multe forțe americane pe continent decât înainte de 2022”. Oficialul a minimalizat orice îngrijorări legate de securitate, spunând că NATO își păstrează capacitatea robustă de descurajare și apărare”. AFP a discutat cu George Scutaru, fost consilier pe probleme de securitate națională al președintelui României, care vede „un semnal prost transmis Rusiei” în ceea ce privește regiunea Mării Negre. „Rusia ar putea considera că Marea Neagră nu este atât de importantă pentru interesele americane în Europa”, a declarat el, adăugând că Rusia ar putea fi „încurajată să exercite mai multă presiune, în special asupra României, folosind drone și incursiuni în spațiul său aerian”.
Luis Herrero analiza con Rosa Belmonte, Emilia Landaluce, Yésica Sánchez y Esther Nieto la prensa rosa.
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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 24 octobre 2025.Avec cette semaine :- Nicolas Baverez, essayiste et avocat.- David Djaïz, entrepreneur et essayiste.- Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.- Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.LE VOL DU LOUVRE ET LA PROTECTION DU PATRIMOINEAu musée du Louvre, dimanche dernier, une série de bijoux datant du XIXe siècle ont été dérobés en quelques minutes par plusieurs malfaiteurs dans la galerie d'Apollon. Huit pièces manquent à l'appel. Le butin a été estimé à 88 millions d'euros par la conservatrice du musée, a annoncé mardi la procureure de Paris. La couronne de l'impératrice Eugénie, d'abord volée, a été retrouvée près du site, vraisemblablement égarée par les voleurs dans leur fuite. Très fréquenté, le musée a accueilli 8,7 millions de visiteurs en 2024. Il s'étend sur 73.000 mètres carrés et contient environ 35.000 œuvres issues de collections du monde entier. Le dernier vol recensé au Louvre a eu lieu en 1998 : une toile de Camille Corot, volée en pleine journée et jamais retrouvée.Lors de son audition mercredi au Sénat, la présidente du musée Laurence des Cars a indiqué qu'aucune caméra ne couvrait le balcon de la galerie d'Apollon, où sont passés les braqueurs, mais a réfuté tout « retard » dans la mise en œuvre du plan de sécurisation, contestant les observations de la Cour des comptes. Elle a confirmé avoir présenté sa démission, « refusée » par la ministre de la culture, et a notamment souhaité solliciter le ministère de l'intérieur pour étudier la possibilité d'installer un commissariat de police au sein du musée.Alors que le Louvre a rouvert ses portes mercredi matin, The Economist rappelle, étude scientifique à l'appui, que le vol d'œuvres dans les grands musées est presque une routine : on en recense 40 dans le monde depuis 1990 (majoritairement en Europe)… plus d'un par an. Dans quasiment un cas sur cinq, la valeur des objets dérobés dépasse les 100 millions d'euros avec un record à 450 millions d'euros pour le Van Gogh Museum d'Amsterdam en 1991. Moins d'une fois sur deux les œuvres volées ont finalement été récupérées.La portée symbolique de ce cambriolage n'est pas sans rappeler, pour Le Figaro, celui de l'incendie de Notre-Dame de Paris, en 2019, ou du vol de La Joconde en 1911. L'incendie de Notre-Dame avait mis en lumière la vulnérabilité d'autres édifices religieux. Un plan « sécurité » avait été lancé en 2020 pour les 87 cathédrales dépendant de l'État qui ont renforcé depuis leurs dispositifs de sécurité par des formations aux secours, des caméras thermiques, des porte coupe-feu… Selon la Direction nationale du renseignement territorial, 401 faits antichrétiens ont été recensés entre janvier et juin 2025, soit + 13 % par rapport à la même période en 2024. Une hausse significative qui intervient après deux ans de baisse. Mais pour l'Observatoire du patrimoine religieux, association indépendante qui effectue une veille en temps réel, ces chiffres sont « sous-estimés, parce qu'il n'y a pas toujours des plaintes ». Selon son vice-président, il y aurait aujourd'hui « trois à cinq fois plus de vandalisme touchant les édifices catholiques qu'il y a dix ans ».LE MOUVEMENT NO KINGSDe Washington à San Francisco, en passant par New York, Tampa ou Los Angeles, samedi 18 octobre dans 2.700 villes, près de sept millions d'Américains ont manifesté pacifiquement, contre Donald Trump et son usage autoritaire du pouvoir. Un mouvement lancé par un collectif de 300 associations regroupées derrière le slogan « No Kings » « pas de rois ». Ce collectif d'associations de défense des libertés civiles, dont certaines sont proches du Parti démocrate annonce la couleur sur la page d'accueil du site Internet qui coordonne les manifestations : « Pas de trônes, pas de couronnes, pas de rois : le pouvoir appartient au peuple. » Le mouvement qui dit vouloir s'opposer aux « abus de pouvoir », déplore « l'envoi d'agents militarisés » dans des villes démocrates et les « cadeaux aux milliardaires ». Il entend « défendre la démocratie » face à « la dictature ». Dans les cortèges, les manifestants qui revendiquent la défense des valeurs américaines, ont concentré leurs critiques sur les attaques contre la liberté de la presse, le droit de vote des minorités ou la séparation des pouvoirs. Le déploiement de la garde nationale dans plusieurs villes américaines, ainsi que les rafles opérées par la nouvelle police anti-immigration nourrissent l'indignation. Cette deuxième contestation d'ampleur, a été trois fois plus suivie qu'un événement similaire à la mi-juin.Né de la société civile, ce mouvement a reçu le soutien public de plusieurs personnalités politiques. Il a notamment été relayé par l'ancienne candidate démocrate Kamala Harris. Dans les cortèges, on a pu voir le leader de l'aile gauche démocrate Bernie Sanders, ou le sénateur de New York Chuck Schumer. Le mouvement a été également soutenu par des artistes comme Robert De Niro. Cette nouvelle journée de mobilisation survient par ailleurs en pleine paralysie budgétaire de l'État fédéral et alors que Donald Trump a déployé des militaires dans plusieurs fiefs démocrates pour, selon lui, lutter contre l'immigration illégale et la criminalité. La droite a fustigé un mouvement de « haine de l'Amérique », tandis que plusieurs membres de l'administration Trump ont accusé les manifestants d'être des « extrémistes ». Le président de la Chambre des représentants, Mike Johnson, a ainsi jugé que le mouvement était animé par « des partisans du Hamas et des antifas ». Un qualificatif qui pourrait ouvrir la voie à des poursuites, le président Donald Trump ayant récemment signé un décret qui classe le mouvement « antifa » comme étant une « organisation terroriste ». À ses yeux, ce mouvement serait une « entreprise militarisée et anarchiste qui appelle explicitement au renversement du gouvernement des États-Unis ». En réponse à ces manifestations, Donald Trump a publié sur les réseaux sociaux, depuis sa résidence de Mar-a-Lago en Floride, une vidéo réalisée grâce à l'intelligence artificielle. On y voit le président américain aux commandes d'un avion, la tête coiffée d'une couronne, en train de bombarder les cortèges de manifestants avec des excréments.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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(Premier épisode) 27 janvier 1983, à Paris, sur l'avenue Montaigne où les boutiques de luxe s'étalent sur 600 mètres. À 17h30, un braquage éclate dans la bijouterie Cartier. La directrice et ses deux vendeuses sont menottées puis un client, passant par là, est attaché avec ses lacets. En quinze minutes, les deux voleurs ressortent avec un magot d'une valeur de 3,5 millions d'euros. C'est le premier braquage d'une longue série pour Bruno Sulak, un homme né en 1955 en Algérie et originaire de Marseille. Enfant, il voulait être magicien. Adulte, il est devenu un braqueur insaisissable, connu pour ses hold-up à visage découvert et ses évasions spectaculaires. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Grouzis, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit par Anaïs Godard en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de France Soir, Le Figaro, Libération, Le Monde, Vanity Fair, L'Express, La Dépêche du Midi, Le Point, Le JDD ainsi que le livre « Sulak » de Philippe Jaenada, édité aux éditions du Points. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) 27 janvier 1983, à Paris, sur l'avenue Montaigne où les boutiques de luxe s'étalent sur 600 mètres. À 17h30, un braquage éclate dans la bijouterie Cartier. La directrice et ses deux vendeuses sont menottées puis un client, passant par là, est attaché avec ses lacets. En quinze minutes, les deux voleurs ressortent avec un magot d'une valeur de 3,5 millions d'euros.C'est le premier braquage d'une longue série pour Bruno Sulak, un homme né en 1955 en Algérie et originaire de Marseille. Enfant, il voulait être magicien. Adulte, il est devenu un braqueur insaisissable, connu pour ses hold-up à visage découvert et ses évasions spectaculaires. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette affaire avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Anaïs Godard, Clara Grouzis, Pénélope Gualchierotti - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été écrit par Anaïs Godard en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant de France Soir, Le Figaro, Libération, Le Monde, Vanity Fair, L'Express, La Dépêche du Midi, Le Point, Le JDD ainsi que le livre « Sulak » de Philippe Jaenada, édité aux éditions du Points. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 22 octobre 2025 avec Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la Culture et directrice des affaires culturelles de Paris.Cet après-midi à 16h30, la commission des affaires culturelles du Sénat auditionne la présidente-directrice du musée du Louvre, dont huit joyaux ont été dérobés dimanche matin lors d'un cambriolage spectaculaire. Le préjudice est estimé à 88 millions d'euros selon l'établissement, qui a rouvert ses portes ce matin, exception faite de la galerie Apollon où a eu lieu le vol. Alors qu'un pré-rapport de la Cour des comptes, dont la version complète doit être publiée début novembre, pointe des retards "considérables" et "persistants" dans la mise aux normes des installations techniques du musée le plus visité au monde, Emmanuel Macron a demandé ce mercredi en Conseil des ministres une "accélération" des "mesures de sécurisation" du Louvre. Quant au ministre de l'Intérieur Laurent Nuñez, il a assuré ce matin sur CNews et Europe 1 que l'enquête "progresse" et avoir "toute confiance, ça c'est sûr, dans le fait que nous retrouverons les auteurs". Reste la question de la responsabilité. Le Figaro a affirmé mardi que Laurence des Cars avait présenté sa démission après le vol, mais que cela lui avait été refusé et qu'elle avait reçu le soutien d'Emmanuel Macron. Rachida Dati, la ministre de la Culture, assure de son côté que "les dispositifs de sécurité ont fonctionné" et qu'"ils n'ont pas été défaillants".Une commission d'enquête sur la protection du patrimoine est envisagée par les députés, mais sa création a été reportée.Aurélie Filippetti est ancienne ministre de la Culture et directrice des affaires culturelles de Paris. Elle reviendra sur le cambriolage du Louvre et les questions de sécurité et de responsabilité que ce spectaculaire incident soulève.
Alors que la planète est traversée par de multiples conflits ces dernières années, que nos sociétés paraissent de plus en plus divisées, et que les innovations comme l'intelligence artificielle peuvent être sources d'inquiétude, L'Express a choisi de sortir de cette vision pessimiste. De la géopolitique à la science, en passant par l'éducation et la culture, nombreux sont les hommes et les femmes à révolutionner le monde de demain. Cette semaine, La Loupe brosse le portrait de quatre de ces visionnaires. Pour ce dernier épisode, on vous présente Blaise Metreweli, la première femme à diriger le prestigieux service de renseignement britannique, le MI6.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe :Écriture et présentation : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules KrotLecture et traductions : Ide Parenty Crédits : EON Productions, Le Figaro, TV5 Monde Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode) Le 19 juillet 1981, Marina Massié prend sa voiture direction Auriol, une commune provençale située dans le département des Bouches-du-Rhône. C'est là que se trouve la nouvelle maison de son frère, Jacques Massié, inspecteur de police à Marseille. Elle doit y retrouver son frère et son épouse, leur fils de sept ans et son propre compagnon. Pourtant, une fois arrivée, elle s'aperçoit qu'aucun d'eux ne s'y trouve. Elle découvre en revanche un début d'incendie et des traces de sang. S'en suit une enquête policière tortueuse dans laquelle l'entourage de son frère Jacques Massié, membre d'un groupuscule violent, est particulièrement suspecté.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Clara Grouzis, Pénélope Gualchierotti et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant des journaux Le Monde, Slate, et Le Figaro. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Premier épisode) Le 19 juillet 1981, Marina Massié prend sa voiture direction Auriol, une commune provençale située dans le département des Bouches-du-Rhône. C'est là que se trouve la nouvelle maison de son frère, Jacques Massié, inspecteur de police à Marseille. Elle doit y retrouver son frère et son épouse, leur fils de sept ans et son propre compagnon. Pourtant, une fois arrivée, elle s'aperçoit qu'aucun d'eux ne s'y trouve. Elle découvre en revanche un début d'incendie et des traces de sang. S'en suit une enquête policière tortueuse dans laquelle l'entourage de son frère Jacques Massié, membre d'un groupuscule violent, est particulièrement suspecté.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Thibault Lambert, Clara Grouzis, Pénélope Gualchierotti et Clémentine Spiler - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes. Nous avons aussi exploité des ressources provenant des journaux Le Monde, Slate, et Le Figaro. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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