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L'antenne International Security and Defense (ISD) de SONU est ravie de vous présenter notre projet de l'année 2025 : un reportage sur la montée des extrêmes en Europe.Comment expliquer la montée des extrêmes en Europe ? Quels sont les enjeux que cette percée bouscule ? Pourquoi parler « d'extrêmes » ? Quel avenir pour la politique européenne ?Nous allons essayer de répondre à ces questions grâce à ce documentaire regroupant les avis et expertises de cinq spécialistes de milieux professionnels différents :Vincent Desportes est Général de division de la 2ème section de l'armée de terre française, conférencier et diplomate. Vincent Desportes est un ancien général de l'armée française et un expert en réflexion stratégique et en affaires internationales. Il a dirigé l'École de guerre et est spécialiste des affaires stratégiques et militaires. Il est également connu pour ses interventions en tant que conférencier et pour ses ouvrages sur le leadership et la stratégie militaire.Aurélien Duchêne est consultant en géopolitique et défense, chargé d'études à Euro Créative et enseignant à l'ILERI. Il est l'auteur de "Russie : la prochaine surprise stratégique ?" (2021) et "La Russie de Poutine contre l'Occident" (2024). Chroniqueur sur LCI, il intervient aussi sur France Culture et la Radio télévision suisse. Spécialiste des questions internationales, il publie dans Le Figaro, Le Point, Les Échos et tient un blog d'analyse géopolitique.Alexandre Negrus est un expert en géopolitique et relations internationales, enseignant à l'IEGA (Institut d'Études Géopolitiques et Internationales). Il est reconnu pour ses analyses approfondies sur les dynamiques géopolitiques contemporaines et ses interventions dans divers médias. Spécialiste des questions de sécurité et de stratégie internationale, il apporte une perspective éclairée sur les enjeux mondiaux actuels.Noam Titelman est économiste, diplômé de l'Université Pontificale Catholique du Chili, où il a présidé la Fédération étudiante. Il est également titulaire d'un master en méthodes de recherche sociale ainsi que d'un doctorat, tous deux obtenus à la London School of Economics and Political Science. Actuellement chercheur postdoctoral à Sciences Po, il apporte un regard comparatif sur les enjeux liés à la montée des extrêmes en Amérique Latine.Paulina Astroza Suárez est avocate, diplômée de l'Université de Concepción au Chili. Elle est également titulaire d'un diplôme en relations internationales et sciences politiques, d'un master en sciences politiques et relations internationales, ainsi que d'un doctorat en sciences politiques et sociales, obtenus à l'Université catholique de Louvain. Professeure de droit international public, de relations internationales et d'intégration politique européenne, elle est également fondatrice et directrice du Centre d'études européennes de l'Université de Concepción.L'équipe à l'origine de ce projet s'est organisée autour de principes journalistiques primordiaux : neutralité et compréhension zénithale du sujet. Ce projet a nourri notre année par les recherches et discussions passionnantes autour de l'organisation et des interviews que nous avons menées.Nous espérons que cette immersion dans ce sujet souvent très politisé et complexe enrichira votre compréhension de l'actualité européenne et internationale.Nous tenons à accorder une attention particulière au caméraman et monteur du reportage : David Roman est un membre actif très talentueux qui a permis l'existence du projet en passant des heures à « dérusher » et à travailler sur la forme du reportage. Il a notamment été responsable de toute la partie post-production en collaboration créative avec la chargée de projet, Louise Vandepoortaele.Merci également à tous les membres ayant participé au projet : Letizia Rault-Sampiero, Lisa Charbonnier, Elodie Constant, Emma Argaud, Emma Labens, Patricia remy et Mélissa Trellu.
Jurnaliștii europeni comentează întâlnirea dintre președintele chinez Xi Jinping și liderii europeni, care a avut loc recent la Beijing, în cadrul summitului UE–China. Președintele Consiliului European, António Costa, și președinta Comisiei Europene, Ursula von der Leyen, au fost întâmpinați de liderul chinez într-un moment în care relațiile dintre cele două părți sunt extrem de tensionate. Bruxellesul acuză Beijingul de practici comerciale neloiale și de sprijin militar indirect acordat Rusiei în războiul împotriva Ucrainei. Observatorii analizează relația complexă dintre cei doi parteneri inegali. Ziarul francez Le Figaro, abordează direct tema, susținând că Uniunea Europeană trebuie „să renunțe brusc”: „În realitate China finanțează eforturile de război ale Rusiei cumpărând petrolul acesteia și furnizându-i componentele „cu dublă utilizare” de care are nevoie pentru a-și fabrica armele. Dacă Beijingul va fi prins în flagrant, va răspunde cu șantajul pământurilor rare. Nu își va abandona niciodată „partenerul junior” rus. Germania, care depinde de exporturile din China, a anunțat acum că vrea să renunțe brusc. Și era și timpul! Dacă Europa s-a săturat de jocul dublu al Chinei, trebuie să se alăture Berlinului și să ia atitudine.” Süddeutsche Zeitung recomandă ca Europa să urmeze linia trasată de Ursula von der Leyen în relațiile cu China: „Asta înseamnă să nu se evite confruntările și restricțiile atunci când Beijingul nu respectă regulile. Pentru că, spre deosebire de conflictul comercial cu SUA, UE are o influență considerabilă asupra Chinei. În același timp, trebuie să folosească puținul spațiu de manevră de care dispune pentru cooperare. Declarația UE-China privind protecția climei, singurul rezultat concret al summitului, nu este suficientă. Cu toate acestea, este un acord oficial privind o problemă definitorie a secolului XXI. Și arată că China este încă dispusă să accepte reguli comune.” Publicația Turun Sanomat, din Finlanda, subliniază dilema Uniunii Europene în relațiile cu China: „China și Rusia cooperează în multe moduri practice. În loc de arme, China furnizează Rusiei componente importante pentru producția de armament, fără de care Rusia s-ar afla într-o situație foarte dificilă. ... Continuarea războiului din Ucraina servește intereselor Chinei. Războiul epuizează resursele Occidentului și provoacă diviziuni. ... UE se află într-o poziție dificilă. Relațiile economice cu China au devenit mai importante ca niciodată de când SUA a început războiul tarifar. Pe de altă parte, sprijinul acordat de China Rusiei trebuie condamnat și ar trebui să conducă la luarea de contramăsuri.” Pentru ca industria UE să supraviețuiască în competiția cu China, este nevoie de măsuri decisive, avertizează ziarul sloven Dnevnik: „În primul rând, accentul trebuie mutat de la actuala fantezie despre confruntare și reînarmare către dezvoltare. În al doilea rând, trebuie elaborată o strategie industrială și tehnologică coordonată, care să vizeze extinderea competențelor și a materialelor. În al treilea rând, reglementarea ajutoarelor de stat trebuie revizuită complet, iar fondurile europene trebuie canalizate în primul rând către proiecte industriale. În al patrulea rând, politica energetică trebuie reorientată cu scopul de a reduce prețurile la energia electrică pentru producătorii industriali. Și, în al cincilea rând, Europa trebuie să depună eforturi pentru instaurarea imediată a păcii în Ucraina și reluarea livrărilor de gaze rusești în condiții favorabile.” Grupaj realizat de Cezar Ionuț Ionescu, pentru RFI România
« On a montré notre faiblesse face à la force brute » : commentaire désabusé d'un diplomate européen cité ce matin par Libération à Paris, après l'accord commercial conclu dimanche entre l'Union européenne et les États-Unis. « Politiquement, ce n'est pas glorieux, poursuit-il. On peut légitimement se demander à quoi sert une Union européenne incapable d'obtenir mieux que le Japon ou le Royaume-Uni, ce qui donnera des armes aux partis eurosceptiques », comme le souhaite Trump. Et à l'instar de ce diplomate, la presse européenne fait grise mine ce matin. « Droits de douane : l'Europe limite la casse à 15 %, mais la loi du plus fort l'a emporté », soupire Le Soir à Bruxelles. « Donald Trump menaçait depuis le 11 juillet d'infliger aux Européens une taxe douanière mortifère de 30 %, d'ici vendredi prochain, le 1er août. Et plus encore, si l'Europe devait avoir l'outrecuidance de riposter. Les exportateurs européens s'en sortent avec la moitié : 15 %, sauf exceptions. Mais le deal est inégal, souligne le quotidien belge : l'Union européenne ouvre grand ses marchés (aux exportations américaines), avec 0 % de droits de douane ». Coup dur pour les exportations européennes « Il n'y a guère lieu de se réjouir de l'accord conclu hier en Écosse entre l'Union européenne et les États-Unis, renchérit La Repubblica à Rome. Les droits de douane sont certes inférieurs aux 30 % que Trump avait menacé d'instaurer, mais le coup porté à l'économie européenne se fera sentir. (…) En fin de compte, les 530 milliards de dollars de biens européens (dont 65 milliards italiens) exportés chaque année vers les États-Unis seront soumis à une surtaxe sans précédent de 15 %. Ce sera un coup dur pour nos exportations, et il est inutile de le minimiser ». Die Welt à Berlin grimace également : « compte tenu du niveau des droits de douane américains sur les produits européens avant la seconde présidence de Trump, l'accord paraît peu encourageant : depuis l'an 2000, le taux moyen était d'environ 2 %. 15 % représentent donc une augmentation spectaculaire. Cela devrait couter à l'Allemagne 0,13 point de croissance annuelle ». Trop de divergences au sein de l'UE Finalement, relève Le Monde à Paris, « entre deux maux, les Vingt-Sept ont choisi celui qui leur semblait le moindre : un compromis déséquilibré au profit des États-Unis plutôt que le risque d'une guerre commerciale de grande ampleur dont nul ne pouvait prédire l'issue ». En fait, poursuit le quotidien français, « face aux bravades de Trump, les Vingt-Sept ont divergé sur la réponse à apporter. Quelques pays, dont la France, estimaient qu'il fallait engager le rapport de force. Mais de nombreux autres voulaient éviter l'affrontement. Certains pour des raisons économiques. (…) D'autres, notamment les plus proches géographiquement de la Russie, redoutaient qu'une dégradation des relations commerciales ne s'accompagne d'une accélération du désengagement sécuritaire des États-Unis ». Alors, « la suite ?, s'interroge Le Monde. “Si nous concluons un accord aujourd'hui, ce sera la fin, a promis Donald Trump hier. Il faudra attendre des années avant d'en rediscuter“. Mais les Européens restent sur leurs gardes. Car s'il y a un trait de caractère qu'ils croient avoir discerné chez le successeur de Joe Biden, c'est son imprévisibilité ». À l'Europe de s'adapter En tout cas, tempère Le Figaro, « les règles sont posées. Les entreprises vont donc s'organiser et avancer dans un paysage économique et commercial mondial qui s'éclaircit. D'un côté, une Amérique qui érige des barricades. De l'autre, une Chine qui pratique un dumping massif pour écouler ses excédents. Dans ce contexte, à l'Europe de s'adapter, de rebondir. Si elle veut rester fidèle au libre-échange, elle doit apprendre à se défendre. (…) Et, surtout, l'UE doit se libérer de ses propres blocages, s'exclame encore Le Figaro. Car, tant que ses entreprises seront freinées par une bureaucratie excessive, des normes absurdes et des lenteurs qui découragent l'initiative, elles ne pourront rivaliser. Dans un monde où les rapports de force s'assument, l'Europe n'a plus le luxe de palabrer, de promettre et de tergiverser, conclut Le Figaro. Pour ne pas s'effacer et s'appauvrir, les vieux pays d'un vieux continent doivent réapprendre les règles de la puissance pour résister aux États-Unis et à la Chine ».
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« C'est votre première présidence, c'est notre troisième révolution. » Ce slogan, rapporté par El Pais, résume bien l'ampleur de la colère contre le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Cela a commencé, d'abord, par « un message relayé sur les réseaux sociaux, retrace le Figaro. Puis un autre. Et encore un autre. » Et pour finir : « une foule de jeunes adolescents, d'activistes, de soldats, de vétérans et de blessés de guerre », réunis en plein cœur de Kiev et dans d'autres grandes villes du pays, pour le deuxième soir de suite. Ce sont, rapporte le Kyiv Independent, « les premières manifestations d'ampleur nationale depuis le début de l'invasion russe ». Et bien que ces dernières aient été « pacifiques », indique le Washington Post, mercredi soir « la foule frémissait de rage, celle d'une population qui a survécu à près de trois ans et demi d'une terrible guerre, à des attaques de drones quotidiennes, à la perte de proches, et qui doit maintenant affronter la crainte que leur pays abandonne les valeurs même pour lesquelles les soldats ukrainiens se battent, et perdent la vie ». En cause : la signature d'un texte controversé Comme le résume le Kyiv Independent, ce texte « réduit l'indépendance des principales institutions anti-corruption ukrainiennes ». Et le Washington Post développe : il s'agit d' « accorde[r] au procureur général le contrôle de ces agences anti-corruption. » Or, ce procureur est nommé par nul autre que le chef d'État. Et le président Volodymyr Zelensky a beau présenter cette évolution comme « une étape vers plus de justice et d'indépendance à l'égard des influences étrangères, particulièrement russe », toujours est-il, dénonce le Kyiv Independent, qu'il « n'a pas apporté la preuve d'interférences extérieures au sein de ces agences ». La population craint donc « un retour en arrière, par rapport aux réformes introduites à la suite de la révolution pro-démocratie, il y a plus de dix ans ». Cette réforme, abonde Le Figaro, « marque une rupture avec l'héritage de la révolution de Maïdan de 2014, qui avait placé la transparence et la séparation des pouvoirs au cœur du renouveau démocratique ukrainien. » Et de fait, insiste encore le Kyiv Independent, « nombreux sont ceux à avoir tiré des comparaisons avec Viktor Ianoukovitch, le président pro-russe chassé en 2014 après avoir violemment réprimé les manifestations » de Maïdan. Une chose est sûre pour le Washington Post, le président s'est « tiré une balle dans le pied », lui qui « a déjà acquis un immense pouvoir dans le bureau présidentiel » et « est accusé par l'opposition de virer vers l'autocratie ». Quant aux forces de l'ordre, face à cette éruption de colère inédite, elles « n'ont pas osé disperser la foule », relate Le Figaro. « Ce n'est qu'à la fin de la manifestation, après minuit, que les autorités se sont présentées pour demander aux gens de rentrer chez eux, car le couvre-feu était en vigueur », complète El Pais. Mais qu'elles n'aillent pas compter sur un essoufflement du mouvement. Dans les colonnes du Figaro, une manifestante prévient : « On les fera plier. » À lire aussiUkraine: tollé après l'adoption d'une loi qui supprime l'indépendance des agences anticorruption Des réactions à l'international aussi C'est d'ailleurs une « première » depuis le début de la guerre, souligne El Pais, qui cite notamment « les ambassadeurs du G7 », lesquels « ont déjà souligné dans un communiqué (…) leur grave préoccupation ». Plusieurs hauts cadres de l'Union européenne « ont exprimé de sérieuses inquiétudes », poursuit le Guardian. Et le sous-texte est clair, analyse le site britannique : « Les tentatives ukrainiennes de rejoindre l'UE pourraient être gravement entravées ». La Russie, elle aussi, y trouve son compte, pointe le Washington Post, elle qui a, « de longue date, amplifié le récit sur la corruption en Ukraine ». L'occasion n'était donc que trop belle d'affirmer que « les impôts des américains et des européens ont été pillés », en référence aux aides massives fournies par les partenaires de Kiev. Restent, en tout cas, plusieurs questions : d'abord, s'interroge le Guardian, « Zelensky va-t-il rétropédaler en réponse aux pressions des dirigeants occidentaux, ou va-t-il balayer les critiques domestiques et internationales » ? Et puis, il y a une autre source de malaise, soulignée cette fois par El Pais : « personne, en dehors de l'entourage du président, ne sait avec certitude pourquoi le président a pris une décision qui, pour la première fois, le met en porte-à-faux avec l'UE et la majorité de la société ». Mais, persifle le journal, « l'opposition souligne que les organes anti-corruption enquêtaient sur les proches de Zelensky ». À lire aussiL'Union Européenne «profondément préoccupée» par le «recul» de l'Ukraine dans la lutte contre la corruption
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durée : 00:19:14 - Lectures du soir - "Gide lisait du Bossuet en descendant le Congo, cette posture résume assez bien l'idéal de nos écrivains en vacances photographiés par Le Figaro. Joindre aux loisirs banals, le prestige d'une vocation que rien ne peut arrêter, ni dégrader."
C dans l'air du 19 juillet 2025 - Budget 2026 : Bayrou déjà dans le durLe Premier ministre se donne "deux mois" pour mettre un point final à son plan de rigueur budgétaire présenté cette semaine, sur lequel les oppositions le menacent de censure. "Il y aura probablement toutes sortes de prises de parole pour préciser, affiner, répondre. On a deux mois devant nous pour que ce plan trouve son achèvement", a expliqué ce samedi le chef du gouvernement, sous le feu des critiques depuis qu'il a dévoilé son projet de budget 2026.Car si Emmanuel Macron estime que le budget présenté par François Bayrou a "la vertu du courage, de l'audace et de la lucidité", le Rassemblement national, La France insoumise, les écologistes et les socialistes demandent au Premier ministre de "revoir sa copie", sans quoi il sera censuré. Parmi les soutiens du gouvernement, les Républicains et Horizons en tête, entendent eux aussi faire bouger certains curseurs et peser sur les négociations à venir. Les syndicats, eux, entrent déjà en résistance. La CGT et Force ouvrière annoncent des mobilisations dès la rentrée, tandis que la CFDT juge certaines mesures " inacceptables".Dans un entretien accordé à nos journalistes, la secrétaire générale de la CFDT, Marylise Léon, réaffirme son soutien à la taxe Zucman, qui viserait à faire davantage contribuer les hauts revenus à l'effort national. Elle dénonce par ailleurs les propositions de François Bayrou, qualifiées de "profondément injustes et inéquitables".Parmi les mesures les plus controversées : l'instauration d'une "année blanche", la suppression de deux jours fériés, la transformation de l'abattement fiscal de 10 % sur les pensions de retraite en un abattement forfaitaire de 2 000 euros, ou encore la monétisation de la cinquième semaine de congés payés. Cette dernière, confirmée par la porte-parole du gouvernement, offrirait aux salariés la possibilité d'échanger une semaine de congé contre une rémunération supplémentaire — une idée qui passe mal auprès des syndicats.Ce plan de rigueur, censé réduire le déficit et contenir la dette, pourrait bien devenir un test politique majeur pour François Bayrou. D'autant que, selon un sondage Odoxa - Backbone Consulting pour Le Figaro, 87 % des Français estiment que ce budget nuira à leur pouvoir d'achat, et 78 % déclarent ne pas faire confiance au Premier ministre pour redresser les finances publiques.LES EXPERTS : - Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - France Info TV- Brice TEINTURIER - Directeur général d'IPSOS BVA- Christophe RAMAUX - Économiste maître de conférences à l'université Paris I- Anne de GUIGNÉ - Grand reporter économie - Le Figaro
C dans l'air du 14 juillet 2025 : Face à Poutine: la France se réarmePRÉSENTATION : Lorrain SÉNÉCHALDes avions, des blindés et des soldats en rangs serrés sur les Champs-Élysées : le défilé du 14-Juillet, qui a mis à l'honneur cette année des militaires prêts à partir en opération, avait des airs de démonstration de force. Avec en toile de fond, un climat géopolitique tendu, une Europe sous pression, et des discours qui sonnent comme des mises en garde. Emmanuel Macron, dans son allocution traditionnelle aux armées dimanche, n'a pas mâché ses mots. "Nous vivons un moment de bascule", a-t-il déclaré, évoquant un monde devenu "plus brutal". Selon lui, jamais la liberté n'a été aussi menacée depuis 1945. Et "jamais, à ce point, la paix sur notre continent n'a dépendu de nos décisions présentes".À la veille de la Fête nationale, le président a annoncé une augmentation inédite du budget de la Défense : 3,5 milliards d'euros supplémentaires en 2026, puis 3 milliards l'année suivante. L'effort financier vise à atteindre, d'ici 2027, un budget de près de 64 milliards d'euros, soit presque le double de celui d'il y a dix ans. Un tournant stratégique assumé dans un contexte où les certitudes d'hier s'effritent, y compris au sein des alliances occidentales. L'Europe est "mise en danger au moment où la guerre a été portée sur notre sol avec l'invasion de l'Ukraine, et que les États-Unis de Donald Trump ont ajouté une forme d'incertitude" quant à la pérennité de leur soutien, a ainsi affirmé Emmanuel Macron. "Face à un monde plus brutal, la Nation doit être plus forte", car "pour être libres dans ce monde, il faut être craints ; pour être craints, il faut être puissants", a insisté le président de la République. Quelques jours plus tôt, le général Thierry Burkhard, chef d'état-major des armées, avait brossé un sombre tableau des menaces, tant internes qu'externes, qui pèsent sur la France, et pointé "une nécessité de prise de conscience" : "La guerre en Europe est déjà là".Pendant ce temps, en Ukraine, les combats se poursuivent sans relâche. Moscou intensifie ses frappes, battant chaque semaine des records en nombre de missiles et de drones tirés. Face à cette escalade, Volodymyr Zelensky avait appelé ses alliés à envoyer « davantage que des signaux » pour stopper la Russie. Dimanche matin, Donald Trump annonçait finalement l'envoi de systèmes antiaériens Patriot, cruciaux pour la défense de Kiev. "Je suis déçu par la Russie. Je ferai une déclaration majeure lundi", lançait-il, sans en dire plus.Sur le terrain, l'armée ukrainienne tente de renforcer ses rangs. Nos journalistes ont suivi la formation des jeunes volontaires ukrainiens qui ont décidé de s'engager avant l'âge de la mobilisation obligatoire. Un programme pour les 18-24 ans lancé par l'armée ukrainienne pour tenter de pallier son manque récurrent de fantassins.De l'autre côté du front, la Russie continue de s'appuyer sur ses alliés, et notamment la Corée du Nord. Depuis la signature d'un pacte de défense mutuelle en octobre dernier, Pyongyang aurait fait parvenir à Moscou des millions d'obus, selon les services de renseignement sud-coréens. 13 000 soldats auraient également été envoyés sur le front pour aider l'armée russe à reconquérir la région de Koursk.LES EXPERTS : - Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- Élie TENENBAUM - Directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Laura KAYALI - Journaliste Défense – POLITICO
C dans l'air du 14 juillet 2025 : Face à Poutine: la France se réarme - L'intégrale -PRÉSENTATION : Lorrain SÉNÉCHALLES EXPERTS : - Général Patrick DUTARTRE - Général de l'armée de l'Air et de l'Espace, ancien pilote de chasse- Élie TENENBAUM - Directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Laura KAYALI - Journaliste Défense – POLITICO
Donald Trump a trimis sâmbătă o scrisoare către UE în care anunță un tarif de 30% pentru produsele UE importate în SUA, de la 1 august. Un nivel mult peste ceea ce anticipase Bruxelles-ul. Tarife separate pentru sectoare specifice – cum ar fi oțelul, aluminiul și automobilele – sunt deja în vigoare. UE se arată deschisă discuțiilor, dar pregătită să răspundă. Potrivit Euronews, ”Trump se află în mijlocul unui bombardament de anunțuri de noi bariere tarifare, atât cu aliații, cât și cu dușmanii, o piatră de temelie a campaniei sale din 2024. El a promis că această politică va pune bazele revitalizării economiei americane, despre care susține că a fost subminată de alte națiuni timp de decenii”. CNN transmite că administrația Trump a contestat în mod special taxele pe valoarea adăugată și taxele pe serviciile digitale, care sunt importante în mai multe țări membre ale UE: ”Țările care aplică aceste taxe ar putea impozita toate veniturile pe care le încasează marile companii online - chiar dacă afacerea este neprofitabilă. Aceasta poate include ceea ce încasează din vânzarea de date, publicitate, precum și plățile pe care le primesc pentru abonamente, software și alte tipuri de servicii online pentru care utilizatorii plătesc”. Cu toate acestea, președinta Comisiei Europene, Ursula von der Leyen, a declarat că blocul comunitar va „continua să lucreze” pentru un acord până la 1 august și rămâne pregătită să ia toate măsurile „necesare” pentru a proteja interesele UE, informează Deutsche Welle. ”După anunțul șocant al lui Trump privind tarifele vamale, Europa încă speră să negocieze”, titrează la rândul său Le Monde: ”Anunțul a părut o palmă peste față, deoarece timp de trei luni echipe europene negociaseră cu administrația americană un prag minim unic de 10% pentru o gamă largă de produse, similar acordului încheiat în mai de Regatul Unit cu Statele Unite. În ciuda rezervelor anumitor țări, inclusiv Franța, europenii păreau resemnați cu acest nivel de impozitare”. ”Prin urmare, executivul european continuă să-și pună toate speranțele în succesul negocierilor”, constată Le Figaro. ”O strategie care, până acum, nu a dat roade: în ultimele zile, oficialii Comisiei au crezut în iminența unui acord cu administrația americană. Dar ei au fost surprinși de declarația lui Donald Trump de la sfârșitul săptămânii, care vizează și multe alte țări”. După cum transmite Financial Times, ”pe lângă lista inițială de contratarife, Comisia Europeană are în vedere un pachet de tarife pentru importuri suplimentare de 95 de miliarde de euro, inclusiv aeronave, alcool și alimente, care ar necesita aprobarea statelor membre. Această sumă a fost deja redusă la 72 de miliarde de euro, potrivit unor diplomați, după ce guvernele au făcut lobby pentru eliminarea unor produse sensibile”. Iar ziarul german Handelsblat este convins: Donald Trump conduce SUA către o ruptură transatlantică. Oricine se așteaptă în continuare ca președintele SUA să evite escaladarea conflictului comercial acționează imprudent. Trump nu se va lăsa moderat.
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O dezvăluire dintr-o carte recent apărută în Statele Unite este comentată pe larg în presa internațională. Președintele Donald Trump le-ar fi spus donatorilor de campanie, în 2024, că l-ar fi amenințat pe Vladimir Putin cu bombardarea Moscovei dacă liderul rus ar invada Ucraina. Cartea se intitulează „2024: Cum a recucerit Trump Casa Albă și democrații au pierdut America”. Autorii sunt trei reporteri politici americani, Josh Dawsey, Tyler Pager și Isaac Arnsdorf. După cum transmite CNN, „înregistrarea audio prezintă o latură dezlănțuită a lui Trump, pe care acesta a fost dispus să o dezvăluie în spatele ușilor închise pentru a atrage donatori bogați. El a vorbit nu doar despre strategia sa de politică externă uneori agresivă, ci și despre deportarea studenților protestatari și despre opinia sa că «oamenii legați de asistența socială» vor vota întotdeauna cu democrații”. Fox News amintește că Donald Trump și-a exprimat recent frustrarea față de Putin, în timp ce încearcă să pună capăt războiului dintre Rusia și Ucraina. Marți, Trump a declarat în timpul unei ședințe de cabinet că s-a săturat de Putin și a spus că are în vedere posibilitatea impunerii de noi sancțiuni Rusiei. Potrivit Huffington Post, „remarcile fac ecoul afirmațiilor anterioare ale lui Trump, care a susținut că Putin nu ar fi îndrăznit să ordone invazia Ucrainei din 2022 dacă el ar fi rămas în funcție. Trump, însă, l-a lăudat pe Putin imediat după declanșarea războiului și a vorbit pozitiv despre el în public, deși în ultimele luni și-a exprimat frustrarea față de refuzul omologului său de a pune capăt războiului din Ucraina”. Le Figaro remarcă răspunsul prudent al Moscovei. Deși vocea lui Donald Trump este recognoscibilă pe înregistrare, autenticitatea documentului audio nu a fost confirmată. În această privință, [purtătorul de cuvânt al Kremlinului] Dmitri Peskov a afirmat că nu știe dacă „este un fals sau nu”, chiar dacă „există o mulțime de știri false în zilele noastre”. „Președintele Trump ar trebui să folosească imediat măsuri împotriva Rusiei pentru a pune capăt definitiv invaziei Ucrainei”, scrie Forbes, într-un articol de opinie. „Pentru a ajunge la o pace autentică, Washingtonul trebuie să furnizeze armele necesare - atât defensive, cât și ofensive. Europenii ar trebui să își sporească și ei asistența. Ucrainenii știu cum să lupte. Incredibil, dar administrația Biden a acționat cu frică, crezând că Putin s-ar putea înfuria cu adevărat și ar putea folosi arme nucleare. Putin s-a jucat sufletele timide ale acestor factori de decizie care fac America slabă. Nu avea de gând să treacă pragul nuclear. Dar astfel de amenințări și-au atins scopul, împiedicând Ucraina să obțină ceea ce avea nevoie pentru a câștiga conflictul. Când Donald Trump și-a început al doilea mandat, Vladimir Putin credea că Rusia era pe cale să câștige războiul.”
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C dans l'air du 7 juillet 2025 : Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeanceIl a mis ses menaces à exécution. Quelques semaines après sa rupture fracassante avec Donald Trump, Elon Musk lance son parti politique, officiellement baptisé, samedi 5 juin, le Parti de l'Amérique, censé bousculer le duopole républicain-démocrate. L'annonce a été faite sur X, son propre réseau social, au lendemain de la fête nationale américaine et dans un climat politique déjà tendu.Cette initiative intervient dans la foulée de l'adoption par le Congrès du Big Beautiful Bill — surnom donné par Donald Trump à sa vaste loi budgétaire. Un texte controversé, qui devrait alourdir la dette publique de plus de 3 400 milliards de dollars d'ici 2034, et qui a ravivé les tensions entre les deux milliardaires.Sans dévoiler les grandes lignes de son programme, le patron de Tesla et SpaceX a affirmé vouloir offrir une "alternative crédible" aux électeurs lassés des deux partis traditionnels. Une sortie critiquée par Donald Trump : "C'est ridicule", a-t-il lancé à des journalistes. "Un troisième parti ne fait qu'ajouter à la confusion. La troisième voie n'a jamais fonctionné". Une remarque teintée d'expérience, lui qui avait lui-même tenté de s'imposer en dehors des grands partis dans les années 1990.L'initiative d'Elon Musk pourrait toutefois rebattre les cartes à l'approche des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Et ce alors que Donald Trump, en chute dans les sondages, fait face à une nouvelle tempête politique. Sa gestion des récentes inondations meurtrières au Texas suscite de vives critiques.Alors que l'État déplore plus de 80 morts, dont de nombreux enfants, des habitants ont dénoncé l'absence d'alertes suffisantes. La polémique rattrape l'administration Trump qui a imposé ces derniers mois des coupes budgétaires drastiques dans les services météorologiques, entraînant la suppression de centaines de postes. Sur place, les recherches se poursuivent, pour retrouver dizaines de personnes toujours portées disparues, notamment des enfants en camp d'été.Le président américain a annoncé avoir "signé une déclaration de catastrophe" et prévoit de se rendre sur place vendredi. Le gouverneur du Texas, de son côté, alerte sur de nouvelles précipitations attendues jusqu'à mardi, avec un risque accru d'inondations dans les zones déjà saturées.Quelles sont les ambitions politiques d'Elon Musk ? Peut-il être le trouble-fête des midterms de 2026 ? A-t-il un pouvoir de nuisance sur le président américain ? Jusqu'où ira leur bras de fer ? Donald Trump est-il fragilisé ?LES EXPERTS :- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - MARJORIE PAILLON - Journaliste - spécialiste de la politique américaine - AMY GREENE - Enseignante-chercheure à Sciences Po Paris, spécialiste de la vie politique et de la politique étrangère des Etats-Unis, autrice de L' Amérique face à ses fractures
C dans l'air du 7 juillet 2025 : Musk lance son parti, Trump prépare sa vengeanceIl a mis ses menaces à exécution. Quelques semaines après sa rupture fracassante avec Donald Trump, Elon Musk lance son parti politique, officiellement baptisé, samedi 5 juin, le Parti de l'Amérique, censé bousculer le duopole républicain-démocrate. L'annonce a été faite sur X, son propre réseau social, au lendemain de la fête nationale américaine et dans un climat politique déjà tendu.Cette initiative intervient dans la foulée de l'adoption par le Congrès du Big Beautiful Bill — surnom donné par Donald Trump à sa vaste loi budgétaire. Un texte controversé, qui devrait alourdir la dette publique de plus de 3 400 milliards de dollars d'ici 2034, et qui a ravivé les tensions entre les deux milliardaires.Sans dévoiler les grandes lignes de son programme, le patron de Tesla et SpaceX a affirmé vouloir offrir une "alternative crédible" aux électeurs lassés des deux partis traditionnels. Une sortie critiquée par Donald Trump : "C'est ridicule", a-t-il lancé à des journalistes. "Un troisième parti ne fait qu'ajouter à la confusion. La troisième voie n'a jamais fonctionné". Une remarque teintée d'expérience, lui qui avait lui-même tenté de s'imposer en dehors des grands partis dans les années 1990.L'initiative d'Elon Musk pourrait toutefois rebattre les cartes à l'approche des élections de mi-mandat, en novembre 2026. Et ce alors que Donald Trump, en chute dans les sondages, fait face à une nouvelle tempête politique. Sa gestion des récentes inondations meurtrières au Texas suscite de vives critiques.Alors que l'État déplore plus de 80 morts, dont de nombreux enfants, des habitants ont dénoncé l'absence d'alertes suffisantes. La polémique rattrape l'administration Trump qui a imposé ces derniers mois des coupes budgétaires drastiques dans les services météorologiques, entraînant la suppression de centaines de postes. Sur place, les recherches se poursuivent, pour retrouver dizaines de personnes toujours portées disparues, notamment des enfants en camp d'été.Le président américain a annoncé avoir "signé une déclaration de catastrophe" et prévoit de se rendre sur place vendredi. Le gouverneur du Texas, de son côté, alerte sur de nouvelles précipitations attendues jusqu'à mardi, avec un risque accru d'inondations dans les zones déjà saturées.Quelles sont les ambitions politiques d'Elon Musk ? Peut-il être le trouble-fête des midterms de 2026 ? A-t-il un pouvoir de nuisance sur le président américain ? Jusqu'où ira leur bras de fer ? Donald Trump est-il fragilisé ?LES EXPERTS :- GALLAGHER FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique - MARJORIE PAILLON - Journaliste - spécialiste de la politique américaine - AMY GREENE - Enseignante-chercheure à Sciences Po Paris, spécialiste de la vie politique et de la politique étrangère des Etats-Unis, autrice de L' Amérique face à ses fractures
La concurrence arrive à toute vitesse face à la SNCF : on nous promet la révolution et le toujours moins cher, mais fonce-t-on en plein dans une catastrophe industrielle▶ Le Média lance le plan "Riposte"
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1/ Dissolution : 1 An après, 2/ Peut-on échapper à une nouvelle dissolution ? 3/ Rentrée 2025 : le règne de l'imprévisible ? Retrouvez un nouveau numéro du Club Le Figaro Politique présenté par Vincent Roux. Il reçoit Jérôme Fourquet, Guillaume Tabard, Claire Conruyt et Louis Hausalter.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSRETOUR D'OASIS : Daily Mail, BBC, Le Figaro, Radio X, NMEMICHÈLE LAROQUE DANS “EMILY IN PARIS” : Huffpost, Netflix (Tudum)BANDE ANNONCE “L'ODYSSÉE” FUITE : Le Figaro, VarietyCHIFFRES MANGAS/ANIMES FRANCE : Le Monde, ArcomNOUVELLES ÉTOILES WALK OF FAME : Hollywood Reporter, Hollywood Chamber of CommercePOTENTIELLE SUITE AU FILM F1 : Variety, ScreenRant, GQÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSSAMUEL ETIENNE “QUESTIONS POUR UN CHAMPION” : Huffpost, Le ParisienSHREK COMÉDIE MUSICALE : Le Parisien“LILO & STITCH 2” : Le Figaro, PremiereRAPPEL À L'ORDRE “SECRET STORY” : Huffpost, Le ParisienMETA IA PELLICULE APPAREIL : TechCrunch, BFMTV TechCASTING POTENTIEL JAMES BOND : Variety, PremiereÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Morgan Prot Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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1/ François Bayrou peut-il échapper à la censure à l'occasion du budget ? 2/ Avec Retailleau la droite peut-elle gagner la présidentielle ? 3/ Macron arrive-t-il à exister avec la politique étrangère ? Retrouvez un nouveau numéro du Club Le Figaro Politique présenté par Yves Thréard. Il reçoit Arnaud Benedetti, Guillaume Roquette, Célestine Gentilhomme et Jim Jarassé.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSPERSONNALITÉS TV SUR INTERNET : Le Figaro, France InfoDOCU SEB ET SOFYAN : BFMTV Tech, @anael_tw (Twitter)DENIS VILLENEUVE VA RÉALISER LE PROCHAIN JAMES BOND : Huffpost, Le MondeMALCOLM SUR W9 : Huffpost, Malcolm FranceCONDAMNATION KOBA LA D :PARTAGE DE COMPTE DISNEY+ : Journal du Geek, Le FigaroÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Valentine Hullin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La summitul de la Haga, statele membre NATO au convenit să-și suplimenteze bugetele pentru apărare la 5% din PIB. De asemenea, aliații și-au reafirmat angajamentul față de Articolul 5. Dar semnele de întrebare rămân, spun comentatorii. ”NATO își atenuează poziția față de Rusia”, observă The Telegraph. ”Summitul a fost considerabil mai scurt decât în mod normal, special pentru Donald Trump. Comunicatul pare mai slab în comparație cu anii precedenți”. Și Le Figaro relatează că ”la Haga s-a făcut tot posibilul pentru a evita supărarea imprevizibilului miliardar. Iar secretarul general al NATO, Mark Rutte, a încercat să calmeze îngrijorările legate de implicarea SUA în NATO. Membrii NATO și-au „reafirmat”, de asemenea, sprijinul pentru Ucraina, într-un scurt paragraf, negociat cu înverșunare cu Donald Trump, care ar fi preferat un comunicat final fără a-i menționa pe ruși”. ”Trump obține o victorie importantă în privința NATO - dar rămân întrebări cheie privind alianța”, transmite CNN. ”Liderii NATO i-au adus președintelui Donald Trump o victorie majoră prin creșterea obiectivelor de cheltuieli pentru apărare”. Dar rețeaua TV amintește despre faptul că liderul de la Casa Albă a pus în dubiu angajamentul față de Articolul 5. Business Standard remarcă faptul că prim-ministrul ungar Viktor Orban ”a diluat demonstrația de unitate atunci când le-a spus reporterilor că NATO nu trebuie să aibă legătură cu Ucraina și că Rusia nu este suficient de puternică pentru a reprezenta o amenințare reală la adresa aliaților. Kremlinul a acuzat NATO că se află pe o cale de militarizare rampantă și că prezintă Rusia ca un „demon al iadului” pentru a-și justifica creșterea semnificativă a cheltuielilor pentru apărare”. UN News & World Report precizează însă că ”NATO dedică o parte mult mai mică din PIB apărării decât Rusia, dar, luați împreună, aliații cheltuie semnificativ mai mulți bani decât Moscova. Cheltuielile militare ale Rusiei au crescut cu 38% în 2024, ajungând la aproximativ 149 de miliarde de dolari și 7,1% din PIB, potrivit Institutului Internațional de Cercetare a Păcii de la Stockholm”. Presa internațională nu neglijează nici situația din Orientul Mijlociu. Jurnaliștii își pun întrebări cu privire la eficacitatea atacurilor americane asupra siturilor militare iraniene. Potrivit The Independent, ”imaginile din satelit realizate după atacurile aeriene ale armatei americane arată daune semnificative - dar nu neapărat în măsura susținută de Donald Trump. Imaginile nu au dezvăluit dovezi definitive că instalațiile subterane puternic fortificate au fost distruse de bombardierele americane B-2”. ”Războiul frontal este suspendat” notează Le Monde. ”Dar cum va putea Israelul să verifice mâine dacă Iranul încearcă să-și reconstruiască programul nuclear bazându-se pe ceea ce armata a putut salva înainte de bombardamente, în special uraniu și centrifuge?” „Testul cheie pentru administrația SUA, presupunând că armistițiul se menține, va fi capacitatea sa de a promova un acord îmbunătățit cu Iranul, care să includă un mecanism eficient de monitorizare”, spune un expert consultat de ziarul francez. De aici și această întrebare suplimentară: „Dacă Iranul încalcă armistițiul, Israelul va trebui să ia o decizie. Riscă atunci fricțiuni cu administrația Trump?” – comentează un alt expert pentru Le Monde.
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1/ Dans la tourmente, François Bayrou peut-il tenir ? 2/ Marine Le Pen et Jordan Bardella sont-ils vraiment sur la même longueur d'onde ? 3/ La guerre au Moyen-Orient rend-t-elle les gauches encore plus irréconciliables ? Retrouvez Le Club Le Figaro Politique présenté par Yves Thréard. Il reçoit Alain Duhamel, Anne Fulda, Alexis Brézet et Richard Flurin.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:14:08 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Brûlot à charge le livre "La Face cachée du Monde" ? En février 2003, ses auteurs, Philippe Cohen et Pierre Péan, en débattent dans l'émission "Tout arrive" au lendemain de sa publication. Face à eux, notamment l'historien des médias Patrick Eveno et Alain-Gérard Slama du journal "Le Figaro". - réalisation : Emily Vallat - invités : Pierre Péan Journaliste et écrivain; Philippe Cohen; Michel Noblecourt Journaliste au journal "Le Monde"; Jacqueline Hénard Essayiste franco-allemande et directrice de CNC Paris; Alain-Gérard Slama Historien, essayiste, professeur à Sciences-Po; John Henley Correspondant aux affaires européennes du Guardian; Patrick Eveno Professeur émérite d'histoire contemporaine à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne, spécialiste de l'histoire des médias, président de l'Observatoire de la déontologie de l'information
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Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSHELLFEST : Mediapart, France Info, The Guardian, Le Parisien, Ouest-France, Le Figaro, LibérationTÉLÉPHONES CONCERT SABRINA CARPENTER : Rolling Stones, HuffpostMETEO DE L'EAU FRANCE TV : France info, Actu.frARTUS CYRANO : Allociné, Le FigaroBANDE ANNONCE FILM ORELSAN : OrelsanNOUVELLE XBOX EN PROJET : France Info, IGNÉcriture : Morgan ProtIncarnation : Valentine Hullin Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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C dans l'air du 17 juin 2025 - Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef, ancienne correspondante à Téhéran - France 24- Piotr SMOLAR (en duplex de Washington) - Correspondant aux Etats-Unis - Le Monde
C dans l'air du 17 juin 2025 - Iran : les États-Unis se préparent-ils à la guerre ?Les Iraniens sont prévenus. Donald Trump "n'est plus d'humeur à négocier" avec Téhéran, a-affirmé le président américain, qui a précipitamment quitté la réunion du G7 en Alberta, lundi, pour rentrer aux Etats-Unis. Personne ne semble en état de prédire ce que préparent les États-Unis, mais les mouvements de troupes américains ne laissent pas présager une accalmie. Le porte-avions américain Nimitz, qui croisait en mer de Chine méridionale, s'est dérouté en direction du Moyen-Orient, rejoignant les deux autres porte-avions présents dans la zone équipés de batteries anti-missiles. Dimanche, une trentaine d'avions ravitailleurs, principalement des KC-135 et des KC-46, ont quitté les États-Unis, pour se poser dans des bases européennes. Les États-Unis, que les Iraniens accusent déjà de participer à l'offensive israélienne, préparent-ils une attaque directe sur les sites nucléaires iraniens ? Difficile à dire. Les responsables américains restent évasifs : "Nous défendrons les intérêts américains" dans la région, a réaffirmé cette nuit Alex Pfeiffer, directeur de communication adjoint de la Maison Blanche. "Nous sommes en position défensive dans la région, pour être forts, dans la poursuite d'un accord de paix et nous espérons certainement que c'est ce qui se passera", a de son côté assuré le secrétaire à la défense américain, Pete Hegseth. Une chose est sûre, les bombardiers B-2, les seuls capables de transporter les bombes perforantes GBU-57, sont pour l'instant absents de la base américaine de Diego Garcia, dans l'océan indien.Pendant ce temps, l'Iran semble à la merci des frappes israéliennes. Alors que plusieurs fortes détonations ont été entendues à Téhéran ce mardi, le régime des mollahs constate avec horreur qu'une multitude d'agents du Mossad, le renseignement extérieur israélien, a préparé depuis des mois l'offensive en sabotant les batteries de missiles sol-sol, en mettant hors d'état de nuire les systèmes de défense anti-aériens, et en visant spécifiquement des scientifiques du programme nucléaire iranien. Ce mardi, l'agence de presse iranienne IRNA a par ailleurs rapporté sur sa chaîne Telegram qu'une cyberattaque avait eu lieu contre les infrastructures de la banque Sepah. Huit mois après déclenché simultanément et à distance des milliers d'explosions de bipeurs de responsables du Hezbollah au Liban, les services de renseignement israéliens prouvent une fois de plus leur maîtrise tactique. L'État-major israélien a qualifié l'opération "Lion dressé" de "plus grand succès dans la collaboration entre les services de renseignements et l'armée dans toute l'histoire du pays".À l'étranger, la diaspora iranienne s'inquiète. Lundi, plusieurs personnalités iraniennes, dont les Prix Nobel de la paix Narges Mohammadi et Shirin Ebadi, ont appelé dans une tribune au Monde à l'arrêt des hostilités entre les deux pays, tout comme à l'arrêt du programme nucléaire iranien. "Le peuple iranien (…) ne doit pas être sacrifié au nom des ambitions nucléaires et géopolitiques d'un régime autoritaire", écrivent-ils. D'Iran, où Narges Mohammadi a été emprisonnée pendant des années, à Paris où son mari Taghi Rahmani et leurs deux enfants ont trouvé refuge, la famille ne cesse de dénoncer la dictature des mollahs et la répression des femmes en Iran. Aujourd'hui en sécurité à Paris, le journaliste et militant iranien a lui-même passé 14 ans de sa vie en prison et connu la torture et les conséquences de l'isolement prolongé. Depuis Paris, les trois membres de la famille soutiennent leur mère, dont le visage est désormais connu dans le monde entier.Que préparent les États-Unis en déplaçant leurs troupes ? Comment les agents du Mossad ont-ils permis la réussite de l'opération israélienne en Iran ? Et que pense la diaspora iranienne de ce nouveau conflit ?LES EXPERTS :- Général Dominique TRINQUAND - Ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur de D'un monde à l'autre- Alain BAUER - Professeur de criminologie - CNAM- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, ancienne correspondante en Russie- Mariam PIRZADEH - Rédactrice en chef, ancienne correspondante à Téhéran - France 24- Piotr SMOLAR (en duplex de Washington) - Correspondant aux Etats-Unis - Le Monde
En el Radar Empresarial de hoy analizamos la salida de Luca de Meo de Renault. El italiano deja el grupo francés después de cinco años. Lo deja de forma voluntaria y desempeñará el cargo hasta el próximo 15 de julio. De Meo asegura que “busca nuevos retos fuera del sector de la automoción". Y es que ante todo, el empresario siempre ha sido un amante del motor, con experiencia en marcas como Toyota, Fiat o Seat. Solo hace un mes presentó su libro Diccionario sentimental del automóvil. Esos nuevos retos podrían llevarle hasta Kering, según Le Figaro. La marca de lujo francesa, que engloba firmas de renombre como Gucci, Yves Saint Laurent o Balenciaga se ha fijado en el buen hacer del ejecutivo en Renault, donde cogió las riendas en un momento muy pero que muy difícil. El 1 de julio de 2020 asumió el cargo de CEO de Renault. El fabricante automovilístico registró una pérdida neta de más de 8 mil millones de euros ese mismo año. Sus ingresos cayeron entonces casi la mitad. Fue entonces cuando De Meo se puso manos a la obra y presentó el plan “Renaulution”: Resurrección, Renovación y Revolución. En la primera fase la marca pretendía hacer un plan de recortes ambicioso en tres años: ya en 2022, la compañía logró reducir estas pérdidas en más de 2.000 millones de euros. En las fases de Renovación y Revolución la marca iba a apostar por la innovación tecnológica, la reestructuración de la marca y la incorporación de nuevos modelos. En noviembre de 2022 la marca crea las marcas Ampere y Power para desarrollar hardware y así reducir su dependencia de China. Además, lanza al mercado los modelos Twingo eléctrico de 20.000 euros y el Renault 5 E-Tech. Otra de las misiones que tenía el ejecutivo italiano era cambiar la alianza con Nissan. De las múltiples tensiones que muchas veces amenazaron con romper dicha alianza se pasó a una relación más calmada. De hecho, la salida de De Meo ha provocado que la marca japonesa vaya a reducir su participación en Renault, como ha asegurado su CEO, Iván Espinosa. Hasta aquí llega la influencia de De Meo, que ahora tiene la difícil tarea de devolver los días de gloria a Kering, después de que sus acciones hayan perdido el 80% de su valor desde 2021. Sabemos que De Meo se va a Kering pero ¿quién le sustituirá en Renault? Parece que el mercado mira a dos muy posibles: Wayne Griffiths, que dejó el cargo de director ejecutivo de Seat en marzo y que ya negoció con el presidente de Stellantis, John Elkann, para ser el CEO del grupo y Josep Maria Recasens, actual CEO de Ampere, filial de coches eléctricos de Renault, división que le ha dado grandes resultados al fabricante automovilístico.
C dans l'air du 11 juin 2025 - Trump envoie les Marines, la contestation s'étend LES EXPERTS :- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de Qui est vraiment Donald Trump ? - Josephine STARON - Directrice des études et des relations internationales - Synopia- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin
C dans l'air du 11 juin 2025 - Trump envoie les Marines, la contestation s'étendFace à des manifestations contre la police fédérale de l'immigration (ICE) à Los Angeles, le président des Etats-Unis a décidé de miser sur le tout sécuritaire, et a opté pour une militarisation de la crise. Il a ordonné le déploiement de 2 100 membres de la Garde nationale, malgré l'opposition formelle du gouverneur de Californie — du jamais-vu depuis soixante ans.Mais Trump ne s'est pas arrêté là. Il a demandé l'envoi de deux mille membres supplémentaires de la Garde, auxquels s'ajoutent désormais 700 soldats du corps des Marines. Une décision rarissime dans l'histoire récente du pays, immédiatement perçue comme une provocation politique d'ampleur."Les Marines américains ont combattu pour défendre la démocratie. Ce sont des héros. Ils n'ont rien à faire face à leurs propres concitoyens pour satisfaire le fantasme autoritaire d'un président en roue libre", a dénoncé Gavin Newsom, gouverneur de Californie, sur le réseau X. Candidat putatif à la présidentielle de 2028, Newsom n'a pas mâché ses mots, qualifiant la manœuvre d'"attitude antiaméricaine". Il affirme d'ailleurs avoir été menacé d'arrestation par le président lui-même.À Los Angeles, la maire Karen Bass partage cette indignation. "Pourquoi déployer la Garde nationale ? Pourquoi des Marines ? Nous ne sommes pas un champ d'expérimentation militaire". L'élue démocrate fustige une opération disproportionnée, rappelant que les affrontements restent confinés à "quelques rues" du centre-ville — loin de l'image d'une ville à feu et à sang entretenue par Trump. Elle a néanmoins décrété à partir de mardi un couvre-feu et exigé que le président restitue le "pouvoir" aux autorités locales.Depuis vendredi dernier, la deuxième plus grande ville américaine, à forte population d'origine hispanique, est le théâtre de heurts entre protestataires dénonçant des raids de la police fédérale de l'immigration (ICE) et des forces de l'ordre en tenue anti-émeutes. Ces affrontements sont néanmoins restés sporadiques et très localisés.Qu'importe : Trump évoque une "invasion" d'"ennemis étrangers", et brandit désormais la menace de recourir à l'Insurrection Act, une loi d'exception permettant le déploiement des forces armées pour maintenir l'ordre intérieur. Une escalade verbale assumée par Stephen Miller, qui promettait ce week-end : "Nous reprendrons l'Amérique".Le chef adjoint de l'administration s'est imposé comme l'un des conseillers les plus influents du président américain. Proche dans sa jeunesse des nationalistes blancs, il est très marqué idéologiquement. Pourfendeur du "wokisme" et partisan d'un renforcement du pouvoir exécutif, il est l'architecte de la politique anti-immigration du président. C'est lui qui aurait mis ces dernières semaines sous pression les agents fédéraux de l'immigration (ICE) pour qu'ils passent de 600 arrestations par jour à 3000. Depuis, les rafles s'intensifient et les protestations gagnent du terrain.Après Los Angeles, des manifestations ont éclaté mardi à Chicago, Atlanta, Seattle, Denver, San Francisco et d'autres grandes villes. Au Texas, le gouverneur républicain Greg Abbott a annoncé le déploiement de réservistes de la Garde nationale, en anticipation de mobilisations attendues dans les jours à venir. LES EXPERTS :- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Laure MANDEVILLE - Grand reporter - Le Figaro, auteure de Qui est vraiment Donald Trump ? - Josephine STARON - Directrice des études et des relations internationales - Synopia- Lauric HENNETON - Spécialiste des États-Unis, maître de conférences à l'Université Versailles-Saint Quentin
Dans cet épisode nous recevons Aziliz Le Corre, journaliste et autrice de l'essai L'Enfant est l'avenir de l'homme, publié en 2024 chez Albin Michel. Aziliz Le Corre est passée par Le Figaro, et elle est aujourd'hui rédactrice en chef des pages opinions du Journal du Dimanche.
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramDES LIENS POUR EN SAVOIR PLUSClint Eastwood : Deadline, [Le Figaro](https://www.lefigaro.fr/cinema/l-histoire-de-la-vraie-fausse-interview-donnee-par-clint-eastwood-a-un-journal-autrichien-20250604#:~:text=Clint Eastwood dément avoir critiqué,de remakes et de franchises ».), Le Huffpost, Radio-Canada, Explications KurierSpotify : Les Numériques, BFMTVBekar : Trailer AlbaFilm Dupieux : Première, Le HuffpostPascal Praud : Le Monde, 20 MinutesMir Tankov : BFMTV, GamekultÉcriture : Julie BaheuxIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:01 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Deux ans avant l'élection présidentielle, les instituts de sondages ont coutume de publier leurs premières enquêtes. Mais d'après “Le Figaro”, le flou des candidatures a déréglé le système… On accueille une sondeuse de l'IFLOP…
durée : 00:03:01 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Deux ans avant l'élection présidentielle, les instituts de sondages ont coutume de publier leurs premières enquêtes. Mais d'après “Le Figaro”, le flou des candidatures a déréglé le système… On accueille une sondeuse de l'IFLOP…
Chaque jour, en quelques minutes, un résumé de l'actualité culturelle. Rapide, facile, accessible.Notre compte InstagramCommission TikTok : BFM Tech & Co, LCP, Libération, BFM Tech & CoLégendes Pokémon Z-A : L'Eclaireur Fnac, NumeramaWhatsapp Ipad : BFMTV, 01netMiley Cyrus : Le Parisien, VoiciBastien Vivès : Le Huffpost, BFMTVExposition universelle : Franceinfo, Le FigaroÉcriture : Lisa ImpératriceIncarnation : Blanche Vathonne Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Grands récits de l'histoire de France.Récits d'épisodes-clés, portraits, synthèses sur des sujets d'histoire qui font l'actualité composent ce recueil, faisant revivre à travers eux la grande histoire de France. Sélectionnés avec soin parmi les chroniques enlevées et passionnantes que Guillaume Perrault publie dans Le Figaro, les textes ici retenus ont été attentivement retravaillés pour cette édition. En voici le sommaire : - Paris et ses ordures : des siècles de lutte pour la salubrité publique - Louis XIV, ce roi qui a lutté contre la maladie toute sa vie - L'incroyable faillite de la banque de John Law : histoire d'un traumatisme français - Pourquoi Louis XVI fut un grand roi - Marie-Antoinette et Axel de Fersen : jusqu'où ont été leurs amours ? - Guerre de Vendée. Ces vérités qui dérangent - Quand Napoléon Bonaparte était à Gaza : un épisode oublié de l'histoire - L'antisémitisme de gauche : une vieille histoire depuis deux cents ans - 8 janvier 1934 : l'affaire Stavisky, ce scandale qui va entraîner les émeutes du 6 février et ébranler la IIIe République - Émile Boutmy, l'homme qui a fondé Sciences Po - Il y a quatre-vingts ans : la création du Conseil national de la Résistance présidé par Jean Moulin - Les régimes spéciaux, un privilège injuste ? Leur histoire de Louis XIV à aujourd'hui - Georges Pompidou, ou les vertus qui manquent tant à nos gouvernants - Raymond Aron, quarante ans après sa mort : un maître pour comprendre les défis d'aujourd'hui - Quel roi pour la France ?Son auteur, Guillaume Perrault, est notre invité en studioDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 26 mai 2025 : Trump : Poutine "est devenu complètement fou"LES EXPERTS :- JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express
C dans l'air du 26 mai 2025 : Trump : Poutine "est devenu complètement fou"Donald Trump a durci le ton contre le maître du Kremlin après un week-end d'attaques russes meurtrières en Ukraine malgré les pourparlers engagés pour arriver à un cessez-le-feu. Le président des États-Unis dit vouloir une fin rapide de la guerre mais, malgré son optimisme affiché lundi dernier après un appel de près de deux heures avec son homologue russe, les bombardements se sont intensifiés ces derniers jours. La nuit dernière, 355 drones ont été lancés sur l'Ukraine, un record depuis le début de l'invasion russe en février 2022.Un peu plus tôt dans la journée Donald Trump a fait part de son mécontentement vis-à-vis de Vladimir Poutine, qui "envoie des roquettes sur des villes et tue des gens" en Ukraine alors que "nous sommes en pleines discussions" pour parvenir à un éventuel cessez-le-feu. "J'ai toujours eu de très bonnes relations avec (le président) russe Vladimir Poutine mais quelque chose lui est arrivé. Il est devenu complètement FOU", a écrit Donald Trump sur le réseau social Truth Social. "J'ai toujours dit qu'il voulait TOUTE l'Ukraine, pas seulement une partie, et peut-être que cela se révèle juste mais s'il le fait, cela mènera à la chute de la Russie !", a-t-il ajouté.Ces attaques russes ont poussé Kiev et ses alliés européens à appeler à punir Moscou et à exercer une plus forte pression internationale sur la Russie, pour notamment limiter ses exportations de pétrole et le gaz, essentiels à son effort de guerre. Mais Donald Trump reste évasif sur toute action concrète visant la Russie alors que dans le même temps il multiplie les volte-face vis-à-vis de l'Union européenne. Ainsi après avoir menacé l'UE, vendredi, de lui imposer des droits de douane à hauteur de 50 % à partir du 1er juin, le président américain a rétropédalé, dimanche soir. Il a annoncé reculer cet ultimatum au 9 juillet prochain, soit plus ou moins un retour à la date initiale. Celle de la fin de la période de trois mois qu'il a laissé au monde entier, début avril, avant l'entrée en vigueur de ses "droits de douane réciproques".En déplacement en Asie du sud-est, Emmanuel Macron s'est dit ce lundi "confiant" au sujet des discussions commerciales entre l'Union européenne et les États-Unis. Il a, par ailleurs, estimé que "le président Trump réalise que lorsque le président Poutine lui a dit qu'il était prêt à la paix, il lui a menti". Lors de ce point presse, le chef d'État a également réagi aux images le montrant recevant dans le visage une main de son épouse dans l'avion, à leur arrivée à Hanoï dimanche soir et qui ont suscité de très nombreux commentaires sur les réseaux sociaux. "On se chamaillait, on plaisantait", a assuré le chef de l'Etat. "Nous sommes surpris de voir que ça devient une espèce de catastrophe planétaire. C'est un peu n'importe quoi, il faut que tout le monde se calme". Les vidéos sont vraies mais on fait dire aux vidéos beaucoup de bêtise", a ajouté Emmanuel Macron alors qu'une autre vidéo du chef de l'Etat dans un train pour Kiev, avait agité ces dernières semaines les milieux complotistes, le voyant cacher un mouchoir usagé, interprété comme étant un sachet de cocaïne.LES EXPERTS :- JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- ISABELLE LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès, chroniqueur à L'Express