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En el año 1960, un avión DC-3 de la Misión Aérea de Sudán transportaba medicinas y alimentos a aldeas remotas cuando sufrió una falla en pleno vuelo. El piloto, Bill Cameron, misionero australiano, logró planear el avión y aterrizar de emergencia en una estrecha franja de tierra junto a un río. Ninguno de los pasajeros resultó herido y toda la carga llegó intacta. Lo sorprendente es que, horas después, lugareños contaron que habían orado esa mañana pidiendo ayuda urgente, pues la aldea estaba al borde de quedarse sin suministros. El aterrizaje forzoso fue la respuesta inesperada: el avión quedó justo en el lugar donde más lo necesitaban. Este hecho, registrado en los informes de la misión, sigue siendo un testimonio de que Dios puede usar incluso lo que parece un accidente para cumplir Su propósito. No siempre entendemos la ruta, pero podemos confiar en que el piloto de nuestra vida sabe dónde aterrizar. La Biblia dice en Romanos 8:28: “Y sabemos que a los que aman a Dios, todas las cosas les ayudan a bien…” (RV1960).
durée : 00:58:56 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Signé en 1953, l'armistice de Panmunjeom met fin à la guerre de Corée sans qu'un véritable accord de paix ne soit jamais conclu entre le Nord et le Sud. À l'heure du profond bouleversement des équilibres internationaux, quel avenir envisager pour les relations entre les deux nations ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Bruno Tertrais Directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne; François Godement Historien et sinologue, conseiller pour l'Asie à l'Institut Montaigne, membre associé du Carnegie Endowment for International Peace,
L'affaire de Kathleen Folbigg a bouleversé l'Australie depuis sa condamnation en 2003 pour le meurtre de ses quatre enfants. Après 20 ans en prison, de nouvelles preuves scientifiques ont conduit à sa grâce en 2023, soulevant des questions sur la justice et les erreurs judiciaires. Le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud vient de lui accorder une indemnisation de 2 millions de dollars, ce qu'elle estime être une « insulte ».
Cet été, re-découvrez deux épisodes qui sentent bon le soleil et les vacances !****************************Le récit des travaux d'un mas provençal entièrement rénové par Delphine et son compagnon !Delphine nous raconte la rénovation de son mas provençal situé entre Avignon et Saint-Rémy de Provence. On connaît tous les mas provençaux, ces belles maisons anciennes typiques de la région du Sud qui présentent certaines particularités, et j'ai pensé que ce serait intéressant d'avoir le retour d'expérience de quelqu'un qui en a rénové un de A à Z !Avec Delphine, on a parlé de l'histoire des mas provençaux, de rebondissements lors de l'achat d'une maison, de permis de construire, de démolition, de sol en granito, de baies vitrées en acier, de béton ciré et de cheminée en pierre, de fabriquer soi-même des meubles, de redonner une unité à une maison qui a été un peu dénaturée et dépareillée dans son style au fil des années, mais aussi de ses études d'architecte et de ce que ça change quand on est archi de rénover pour soi, plutôt que pour ses clients...Elle partage aussi avec vous ses bons contacts d'artisans (à noter si vous habitez dans le Sud !), ses bonnes adresses travaux et ses comptes Instagram préférés pour s'inspirer et échanger sur le sujet.Pendant que vous écoutez cet épisode, je vous invite à vous rendre sur lechantierpodcast.fr pour découvrir le Home tour photos de la maison ainsi que les photos avant/après des travaux, ainsi que sur notre compte Instagram @lechantierpodcast pour découvrir encore plus de photos et vidéos. Mais je ne vous en dis pas plus, et je laisse place à l'histoire de la rénovation de Delphine. Bonne écoute !*****NOTES DE L'ÉPISODE******- La visite du mas en photos : https://www.lechantierpodcast.fr/56-chez-delphine-lou-casteu- Le compte Instagram du podcast avec les Avant/après et les home tours vidéo : @lechantierpodcast- Le compte Instagram de Delphine : @lou.casteu- Merci à notre partenaire Idéal Rénovation qui soutient cet épisode ! Cette entreprise familiale basée dans le Sud fabrique et installe vos menuiseries extérieures (portes, fenêtres, verrières, vérandas...) en bois, alu, pvc ou acier, avec des produits de qualité pour un chantier serein... L'idéal ! La cerise sur le gâteau ? Ils vous offrent -10% avec le code LECHANTIER si vous venez de ma part
durée : 00:58:56 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Signé en 1953, l'armistice de Panmunjeom met fin à la guerre de Corée sans qu'un véritable accord de paix ne soit jamais conclu entre le Nord et le Sud. À l'heure du profond bouleversement des équilibres internationaux, quel avenir envisager pour les relations entre les deux nations ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Bruno Tertrais Directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne; François Godement Historien et sinologue, conseiller pour l'Asie à l'Institut Montaigne, membre associé du Carnegie Endowment for International Peace,
durée : 00:03:28 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Afrique du Sud tape du poing sur la table après un rapport américain sur les droits humains. Washington accuse Prétoria de déposséder les fermiers blancs de leurs terres agricoles. Une idée entretenue de longue date par le président américain mais qui aujourd'hui a valeur de position officielle ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
C'est une enquête de Jeune Afrique sur la vague d'arrestations de ces derniers jours qui a frappé plusieurs hauts-gradés. Une cinquantaine d'officiers, dont au moins deux généraux, ont été mis aux arrêts pour tentative de déstabilisation. Les autorités militaires du pays n'ont donné aucune explication. Silence radio total. Alors, s'interroge le site panafricain : « que se passe-t-il dans les rangs des Forces armées maliennes ? Une division interne secoue-t-elle l'équilibre des cinq colonels putschistes ? Ceux-là mêmes qui se sont toujours affichés soudés depuis le putsch du 18 août 2020 ? » En fait, affirme Jeune Afrique, tout serait parti d'une « réunion dans la nuit du 25 au 26 juillet au camp militaire de Kati entre une dizaine de hauts-gradés et le chef de la junte ». Contestations et récriminations… Réunion au cours de laquelle, « la générale de brigade Nema Sagara ainsi que le général Abass Dembélé, le colonel Famouké Camara, et d'autres officiers auraient contesté certains choix stratégiques pris par la junte. Ils se seraient plaints auprès d'Assimi Goïta du manque de reconnaissance envers les soldats tombés sur le champ de bataille qui ne reçoivent pas les honneurs nationaux, et dont la mort est passée sous silence. S'ils sont d'accord avec la guerre de communication menée par Bamako, précise encore Jeune Afrique, de plus en plus d'officiers estimeraient que les mensonges autour des pertes réelles de l'armée portent atteinte au moral des troupes, qui ont le sentiment de se sacrifier pour rien ». Le site panafricain poursuit : « après cette réunion, percevant un risque de mutinerie, le patron des renseignements, le général Modibo Koné, aurait suggéré au président Goïta d'étouffer dans l'œuf toute velléité contestataire, afin de ne pas laisser place à l'organisation d'un coup d'État. Le président, conscient du risque, aurait déclenché quelques jours plus tard une purge préventive dans les rangs des officiers critiques. En concentrant ses efforts sur l'entourage des généraux Nema Sagara et Abass Dembélé ». Lignes de fractures… Il faut dire aussi, rajoute Jeune Afrique, que « depuis plusieurs mois déjà, une certaine fébrilité parcourt les rangs de l'armée malienne. Promu président de la République par une loi qu'il a lui-même promulguée le 10 juillet, lui conférant un mandat de cinq ans renouvelable “autant de fois que nécessaire“ et sans élection, le chef de la junte malienne s'est offert un règne sans partage. De quoi échauder une partie de ses soutiens au sein des forces armées, qui voient dans cette décision une dérive autoritaire éloignant la transition de ses promesses ». Et « une ligne de fracture se dessine au sein de l'armée, pointe encore le site panafricain, entre les soutiens du chef de la junte, Assimi Goïta, et ceux du ministre de la Défense, Sadio Camara. Ces derniers mois, le fossé s'est considérablement creusé entre les deux hommes au point qu'ils ne se consultent presque plus. Alors que certains le surnommaient “le président bis“ ou bien “le cerveau de la transition“, le pouvoir de Sadio Camara s'est réduit à mesure que la transition avançait ». Eswatini : un règne sans partage… À lire également, cette fois dans Le Point Afrique, cette enquête sur le dernier monarque absolu du continent… Le roi Mswati III qui règne sans partage sur l'Eswatini, l'ex-Swaziland, petit pays enclavé en Afrique du Sud. « Les sujets ont pour ordre de vénérer leur roi, assimilé à un dieu vivant, écrit Le Point Afrique, et d'oublier leurs malheurs, pourtant accablants. 60 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, autrement dit avec moins de 2 dollars par jour. Le chômage des jeunes dépasse les 45 %, l'un des taux les plus élevés d'Afrique australe. Le sida frappe 27 % des adultes, le taux le plus élevé au monde ». Et pendant ce temps, le roi Mswati III mène grand train : « en poursuivant à sa guise la spoliation du pays, constate Le Point Afrique. La holding royale baptisée Tibiyo, indépendante du budget, contrôlerait 60 % de l'économie, dont l'essentiel des revenus issus de la production de cannes à sucre. Soit des centaines de millions de dollars destinés à financer le train de vie fastueux du monarque, propriétaire de 19 Rolls-Royce et de 120 BMW, ainsi que celui de ses 16 femmes et de ses 36 enfants ».
durée : 00:03:28 - Géopolitique - par : Pierre Haski - L'Afrique du Sud tape du poing sur la table après un rapport américain sur les droits humains. Washington accuse Prétoria de déposséder les fermiers blancs de leurs terres agricoles. Une idée entretenue de longue date par le président américain, mais qui aujourd'hui a valeur de position officielle ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Les châtiments corporels, bien que largement interdits dans de nombreux pays, continuent de susciter des débats et des controverses. En France, la loi de 2019 a marqué une avancée significative en interdisant les violences éducatives ordinaires dans tous les contextes, y compris les écoles publiques et privées. (Rediffusion) Cependant, des incidents isolés de violence continuent d'être rapportés, mettant en lumière les défis de l'application de la loi. Aux États-Unis, par exemple, environ 19 États autorisent encore les châtiments corporels dans les écoles, principalement dans le Sud. Les débats autour de cette question sont intenses, opposant les droits des parents et des enseignants à discipliner les enfants aux preuves des effets négatifs sur le bien-être des élèves. La persistance des châtiments corporels dans certains contextes soulève des questions sur les méthodes éducatives et les droits des enfants. Comment concilier discipline et respect de l'intégrité physique et psychologique des élèves ? Quels sont les impacts à long terme de ces pratiques sur le développement des enfants ? Autant de questions qui méritent une réflexion approfondie et une action concertée pour garantir un environnement éducatif sûr et respectueux pour tous les enfants. Cette émission est une rediffusion du 23 avril 2025. Avec : • Isabelle Poutrin, historienne, professeur des Universités en Histoire moderne, Université de Reims Champagne-Ardenne et co-autrice de Dictionnaire du fouet et de la fessée. Corriger et punir (Presses Universitaires de France) • Haddia Diarra, directrice et psychologue clinicienne, Terra psy – psychologues sans frontières. Un entretien avec Edward Maille, correspondant de RFI à Atlanta aux USA où les châtiments corporels, surtout les fessées, continuent d'exister dans certains États. En fin d'émission, Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Il répond à la question d'Oumar à Abidjan en Côte d'Ivoire. Programmation musicale : ► Rose Epine - Anna Majidson ► Mam Pe'ela Su'ure - Florence Adooni.
Israel ha asesinado a 242 informadores desde octubre de 2023 según Naciones Unidas. Algunos, acusados de terroristas por el ejército israelí, otros, dicen que por estar en el sitio equivocado. Pero asesinar periodistas es un crimen de guerra, supone una grave violación del derecho internacional humanitario y un ataque a la libertad de prensa sobre todo en un lugar en el que se prohíbe el acceso a los medios internacionales. Según un informe del Instituto Watson de relaciones internacionales el año pasado el conflicto en Gaza ya era el más mortífero de la historia para los profesionales de la información. Y este año la cifra ha seguido subiendo. Hablamos con Alfonso Bauluz, presidente de RSF. Estaremos en Sudán, que sufre la peor crisis humanitaria del planeta.También en Ucrania porque los representantes de la Unión Europea insisten en la importancia de que el país forme parte de las conversaciones de paz sobre su guerra con Rusia. Vamos a conocer también un informe de Médicos sin Fronteras sobre el impacto de la política migratoria de Donald Trump. Analizaremos en una entrevista la reunión que se está produciendo en Ginebra con 179 países sobre los residuos plásticos y la vida de los océanos y además hablaremos de la UFC, la competición de las artes marciales mixtas, como estrategia política. Escuchar audio
La bataille de l'Unesco bat son plein. En octobre, lors d'un premier tour, trois candidats vont s'affronter pour succéder à la Française Audrey Azoulay au poste de Directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). En lice, la Mexicaine Gabriela Ramos, l'Égyptien Khaled el-Enany et le Congolais de Brazzaville Edouard-Firmin Matoko. La France soutient le candidat égyptien et le Premier ministre du Congo-Brazzaville n'hésite pas à regretter « l'ingratitude de la France à l'égard de son pays ». Anatole Collinet Makosso répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : En mars prochain, Monsieur le Premier Ministre, aura lieu l'élection présidentielle. Est-ce que le chef de l'État, Denis Sassou-Nguesso, qui cumule déjà plus de 40 ans de pouvoir, sera candidat à un nouveau mandat ? Anatole Collinet Makosso : Le président américain Franklin Roosevelt vous avez déjà donné un enseignement : que ce n'est pas au milieu du gué qu'on change de cheval, ou qu'un bon cavalier ne peut pas laisser sa cavalerie au milieu du gué. Donc, pour nous qui avons encore la chance d'avoir à la tête de nos États des hommes d'une certaine expérience qui ont connu l'Afrique dans tous ces états, nous ne voyons pas pourquoi nous devons nous priver de leur expérience et de leur sagesse. C'est pour cette raison que nous pensons que Denis Sassou-Nguesso reste justement le candidat idéal. Donc, vous nous annoncez qu'il sera candidat ? Je ne vous annonce rien. Il a la réquisition populaire sous réserve de ce qu'il dira lui-même. Mais jusqu'à preuve du contraire, son peuple le réclame comme candidat parce que son peuple estime qu'il n'a pas besoin de subir un saut dans l'inconnu. Depuis le lendemain de la présidentielle de 2016, deux des principaux adversaires politiques du chef de l'État, Jean-Marie Michel Mokoko et André Okombi Salissa, sont en prison. Ils ont été condamnés à 20 ans et beaucoup les considèrent comme des prisonniers politiques. Est-ce qu'une grâce présidentielle est envisageable d'ici le mois de mars prochain ? Lorsqu'on aura vu par exemple que dans certains pays, les hommes politiques ou coupables d'infractions qui auraient été jugés ont bénéficié comme ça d'une grâce présidentielle, peut-être que nous en tirerons les leçons et ça nous servira peut-être d'exemple. Autre opposant politique, Lassy Mbouity du parti Les Socialistes. Le 11 mai dernier, quelques jours après l'annonce de sa candidature, il a été enlevé chez lui par des hommes armés et encagoulés, puis tabassé pendant neuf jours avant d'être relâché. Est-ce que ce n'est pas le signe qu'il règne aujourd'hui à Brazzaville, une violente campagne d'intimidation contre certaines personnalités qui voudraient compétir l'année prochaine ? Si on me cite un seul établissement sanitaire qui avait reçu Monsieur Lassy Mbouity, même de passage, même en hospitalisation de jour, eh bien il faut donc qu'on me cite un seul établissement sanitaire par lequel Monsieur Lassy Mbouity est passé. S'il n'y a aucune information à ce sujet, je considère tout le reste comme étant une légende. En octobre prochain, l'Unesco va élire son prochain Directeur général. Il y a trois candidats : la Mexicaine Gabriela Ramos, l'Égyptien Khaled el-Enany et votre compatriote Edouard Firmin Matoko. Celui-ci ne s'est déclaré candidat qu'au mois de mars dernier, deux ans après son rival égyptien. Est-ce que ce n'est pas trop tard ? Est-ce que ce n'est pas un handicap ? Dans quel pays et dans quelle institution on présente la candidature deux ans avant la période de l'élection ? Notre compatriote a présenté sa candidature dans les délais. Le candidat égyptien Khaled el-Enany a un CV assez impressionnant puisqu'il a été ministre égyptien des Antiquités. Quels sont les atouts du candidat congolais Édouard Firmin Matoko face à ce candidat prestigieux ? Son expérience au sein de la maison. Près de 30 ans, cadre de l'Unesco et pour avoir préservé le patrimoine culturel partout dans le monde, y compris en Égypte. Et, au regard de tout son parcours, on pense qu'au moment où l'Unesco traverse une période de turbulences avec le désengagement de certains États - et pas des moindres -, nous pensons qu'il faut que ce soit quelqu'un de la maison qui puisse conduire ces réformes en douceur et en profondeur. Est-ce que le candidat égyptien n'est pas soutenu par plusieurs pays comme la France et aussi par l'Union africaine ? Soutenu par l'Union africaine, je ne sais pas. L'élection se passe à l'Unesco, donc ce n'est pas à l'Union africaine d'imposer un vote là où on requiert la volonté souveraine des États. Deuxièmement, cette candidature, qu'elle soit soutenue par la France, c'est un fait. Nous notons, ce n'est pas la première fois que la France voterait contre le Congo. Si la France peut être indifférente à la candidature portée par Brazzaville, capitale de la France libre d'hier, mais il y a des pays comme l'Angola qui ont le sens de la gratitude, qui ne peuvent pas oublier que, au moment où ils célèbrent aujourd'hui le 50ᵉ anniversaire de l'indépendance, Brazzaville et le Congo ont joué un rôle très important pour leur indépendance, que nous allons tous célébrer aujourd'hui. Les pays comme l'Afrique du Sud ne peuvent pas manquer de gratitude au moment où nous allons célébrer bientôt le 35ᵉ anniversaire de la fin de l'apartheid. Il se souviendra du symposium littéraire contre l'apartheid organisé à Brazzaville. Il y a des pays qui ont encore le sens de la mémoire, de la gratitude. Ce que la France oublie, les autres pays ne l'oublient pas.
durée : 01:00:44 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - En 2021, alors que Netflix s'était déjà fait une place certaine parmi les plateformes de séries avec des œuvres telles que House of Cards ou Stranger Things, un programme venu de Corée du Sud a fait une entrée tonitruante dans le top 3 des programmes les plus regardées : Squid Game ! - invités : Ophélie Surcouf, Gilles Vervisch - Ophélie Surcouf : Journaliste et autrice, Gilles Vervisch : Philosophe et professeur - réalisé par : Charles De Cillia Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:03:02 - Blockbusters - par : Frédérick Sigrist - Tour d'horizon des k-dramas, ces séries produites en Corée du Sud, aux thèmes et intrigues variés, qui cartonnent dans le monde entier. - invités : Sylvie Octobre, Vincenzo CICCHELLI - Sylvie Octobre : Sociologue, chargée de recherche au Ministère de la Culture, Vincenzo Cicchelli : Sociologue, maître de conférences à l'université Paris Cité - réalisé par : Charles De Cillia Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Antoine chasse le crocodile au Zimbabwe, le sanglier en Roumanie, le buffle en Afrique du Sud et l'élan au Canada. Une pratique utile et bienfaitrice, explique-t-il au beau milieu de son impressionnante salle des trophées. A Graffham, dans le sud-ouest de l'Angleterre, il possède aussi une maison et gère un domaine où l'on chasse sur invitation. Il y a convié Maxime, ami de longue date, pour une chasse au daim. Reportages de Mathieu Truffer Réalisation: Jonathan Haslebacher Production: Raphaële Bouchet
C dans l'air l'invitée du 9 août 2025 avec Laëtitia Caron, directrice générale de PAP-Particulier à Particulier.Emission présentée par Salhia BrakhliaUne nouvelle vague de chaleur étouffante a débuté aujourd'hui en France et va s'étendre la semaine prochaine. 28 départements sont placés en vigilance orange canicule ce samedi et 40 seront concernés dimanche. C'est pratiquement toute la moitié Sud du pays qui sera touchée et des températures jusqu'à 41° sont attendues dans certains départements.Ces fortes chaleurs influencent le choix des destinations estivales. Certaines régions habituellement moins prisées l'été ont désormais la cote ! Selon une étude de Particulier à Particulier, les destinations près de la mer restent privilégiées mais la montagne, loin de se limiter aux vacances d'hiver, séduit davantage avec une hausse des réservations de 12,8% en moyenne. Le Massif Central tire particulièrement son épingle du jeu, avec une augmentation de plus de 23 % des demandes.Cette année les Français sont aussi particulièrement attentifs à leur porte-monnaie. Le prix des locations influence donc le choix des vacanciers. Dans ce contexte économique et climatique compliqué, on constate l'essor de nouvelles formules, par exemple la montée en gamme des prestations des campings. La combinaison mobil-home et piscine, offrant confort lors des canicules tout en restant accessible, a le vent en poupe.Quel est l'impact du réchauffement climatique sur le choix des destinations estivales ? Comment les Français adaptent-ils leurs habitudes de vacances face aux fortes chaleurs ? Laetitia Caron, directrice générale de PAP-Particulier à Particulier, reviendra sur la façon dont la canicule redessine la carte des vacances.
durée : 00:58:56 - Ils ont changé le monde - par : Isabelle Lasserre - Signé en 1953, l'armistice de Panmunjeom met fin à la guerre de Corée sans qu'un véritable accord de paix ne soit jamais conclu entre le Nord et le Sud. À l'heure du profond bouleversement des équilibres internationaux, quel avenir envisager pour les relations entre les deux nations ? - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Bruno Tertrais Directeur adjoint de la Fondation pour la Recherche Stratégique et conseiller géopolitique à l'Institut Montaigne; François Godement Historien et sinologue, conseiller pour l'Asie à l'Institut Montaigne, membre associé du Carnegie Endowment for International Peace,
Le Vietnam et ses plus de 7% de croissance fait figure de locomotive de l'Asie du Sud-Est. Le pays à l'économie la plus dynamique de l'Asean est en pleine mutation économique avec d'immenses projets d'infrastructures, notamment de transports. Cette croissance rapide s'accompagne de transformation des villes, notamment Hanoï où se construisent des résidences pour les plus aisés. Des complexes, fermés et sécurisés, déjà répandus en Chine ou en Corée du Sud qui se développent rapidement dans la capitale vietnamienne. Si c'est un symbole des inégalités sociales, ces lieux pour ultra-riches racontent aussi les inégalités environnementales. Visite de Ciputra, l'une des premières résidences du genre à Hanoï. De notre envoyé spécial de retour d'Hanoï, Loin du trafic incessant et des klaxons permanents et centre-ville d'Hanoï, les quelques milliers d'habitants de la résidence de Ciputra vivent dans un petit havre de paix où des gardes contrôlent l'entrée de la résidence. Ici, on trouve tout, au presque. « On a un golf, des cafés, des grandes piscines, des salles de sports. J'adore à quel point il y a énormément de nature dans ce quartier, des arbres, des parcs. Dans le centre d'Hanoï, il y a des motos, des voitures et évidemment cela affecte la qualité de l'air. » Hanoï, nommée temporairement ville la plus polluée de la Terre cet hiver, a pour habitude d'être enveloppée plusieurs fois par an dans un large nuage de particules fines. Les plus fortunés espèrent échapper à cette pollution qui tue chaque année 60 000 personnes au Vietnam. Phan Huy Hùng, habite ici depuis cinq ans : « De façon générale, j'adore l'ambiance de ce quartier, il y a beaucoup de résidents étrangers, et puis on n'est pas les uns sur les autres. Les bâtiments sont séparés, il y a beaucoup de verdures, au printemps les plantes fleurissent. » Ce modèle de résidence ne cesse de se répliquer à l'image des chantiers qui entourent Ciputra. Avec la hausse des revenus, le nombre de Vietnamiens souhaitant accéder à ce luxe augmente et avec la pollution générée par des chantiers où le béton est roi. Inégalités sociales grandissantes À quelques centaines de mètres dedans un restaurant de rue, les chevilles ouvrières de ce rêve vietnamien partagent une bière et des cacahuètes, ils s'adonnent au passe-temps national : le karaoké. « J'adore mon travail d'ouvrier du bâtiment. Ça crée un revenu stable pour nous tous, nos familles ! Nous gagnons environ 450 000 à 500 000 dôngs par jour. Le logement et les repas sont pris en charge. » Un revenu deux fois supérieur au salaire minimum, ce qui a attiré cet ouvrier de la ville vers la campagne : « Je me sens extrêmement fier, car des bâtiments comme celui qu'on construit donnent une bonne image du Vietnam. » Comme le restaurateur qui leur amène des soupes et des cigarettes sur une table en plastique, ces ouvriers le savent que leur présence dans le quartier est temporaire : « Dans quelques années les chantiers seront terminés et les investisseurs et les habitants haut de gamme seront installés ici alors, il faudra s'adapter à cette clientèle haut de gamme pour répondre à leurs attentes. » Une adaptation impossible pour ce restaurateur populaire. Même la forte croissance a réduit les inégalités. Le grand écart social est visible à Hanoï, à quelques centaines de mètres de distance. À lire aussiVietnam: pour lutter contre la pollution, les motos bientôt interdites dans le centre-ville de Hanoï
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Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Nous visitons Beit Beyrouth ou la maison de Beyrouth, c'est le nom donné à un immeuble, l'un des rares vestiges de la guerre civile, conservée comme un lieu de mémoire. « À l'entrée du bâtiment, il n'y a pas de plafond, c'est assez exceptionnel. Cela a été voulu par l'architecte. Toutes les salles de Beit Beyrouth de l'immeuble Barakat sont liées à la ville, ce qui a permis aux snipers, entre autres, d'avoir une vue à 180° de la rue. » Delphine Abi-Rached, coordinatrice de l'exposition à Beit Beyrouth intitulé aussi la maison jaune qui se situe au cœur vibrant de la ville. D'un côté la rue de Damas qui borde Beyrouth ouest et les quartiers musulmans. De l'autre, la rue du Liban qui nous emmène au cœur d'Ashrafieh, le quartier chrétien bourgeois. Une position stratégique donc occupée par les francs-tireurs durant la guerre civile. L'immeuble est ouvert au public aujourd'hui après une longue lutte menée par la militante Mona Hallak pour le sauvegarder et en faire un lieu de mémoire. Youssef Haidar architecte l'a consolidé. « Je n'ai jamais considéré ce bâtiment-là comme un bâtiment. J'ai toujours considéré comme un être vivant. Pour moi, c'est un Libanais, c'est une personne qui a 90 ans d'âge. Et pour moi, il n'était pas du tout question de faire un lifting. C'est que d'un coup, on efface toutes les traces du temps et de la mémoire et que ça devienne une jeune personne. Non, c'est une vieille personne et qui garde dans son corps tous les stigmates du temps et de la guerre, toutes ses blessures qui étaient là. » L'exposition qui revisite la guerre civile À présent, Beit Beyrouth invite le visiteur à s'immerger dans le passé pour ne pas recommencer les mêmes erreurs ou simplement évacuer les traumatismes. « Donc ici vous allez vous apercevoir donc un mur qui a été construit par les snipers, un mur de brique et on aperçoit trois meurtrières. Et donc l'expérience des visiteurs, c'est de se mettre à la place des snipers et de voir les passants passer », explique Delphine Abi-Rached. Et malheureusement au Liban une guerre en chasse une autre. L'exposition qui revisite la guerre civile dans Beit Beyrouth se termine par un volet sur la dernière guerre entre Israël et le Hezbollah en octobre dernier. « Ici, on a le symbole de la clé qui est souvent en fait lié aux Palestiniens et à cette idée du droit du retour, de retourner dans leur maison. Les libanais du Sud et de la Bekaa cette fois-ci, quand ils sont partis de chez eux, ils ne savaient pas s'ils allaient pouvoir revenir. Donc le symbole de la clé a été très fort. Et ici, les clés qu'on voit, ce sont des clés de maison qui ont été démolies et détruites par les attaques israéliennes », raconte la coordinatrice de l'exposition. « Le lieu est ouvert comme un lieu public » Beit Beyrouth est aussi un lieu qui se veut vivant et non pas juste tourné vers le passé. « Ça, c'est un bon exemple de ce qu'on veut pour Beit Beyrouth. C'est un groupe de personnes qui trouve Beit Beyrouth maintenant comme un lieu de rassemblement parce que le lieu est ouvert comme un lieu public », souligne Delphine Abi-Rached. Ainsi, durant notre visite, un groupe de personnes constitué en association pour la paix s'était réuni. « Nous sommes un groupe de personnes qui travaillons sur la paix au Liban. Car après toutes les destructions et les drames que nous avons vécus, nous nous demandons quels changements nous pouvons apporter pour être plus constructifs », explique Soha Fleifel. Beit Beyrouth un lieu cathartique et citoyen unique au Liban, accueille le public gratuitement. À lire aussiLiban, la culture malgré tout: visite du Musée national de Beyrouth
Kristin is winding down her ADHD & addiction series for now with a discussion about the comorbidity rates of substance use disorder (SUD) for ADHDers. She's covering the potential for stimulant misuse, why treating the ADHD first is crucial for SUD recovery, and how to approach treatment with a focus on harm reduction. Plus, Kristin has a new enemy (it's always nice to have something to hate), Grace is a responsible planner for once (kinda), and we introduce a BOD that just may be the new autistic superhero of a generation. References: SAMHSA Advisory Challenges of Treating ADHD with Comorbid Substance Use Disorder: Considerations for the Clinician Stimulant treatment for attention-deficit hyperactivity disorder and risk of developing substance use disorder | The British Journal of Psychiatry | Cambridge Core Drug Scheduling The Complicated Relationship Between Attention Deficit/Hyperactivity Disorder and Substance Use Disorders - PMC Randomized Controlled Trial of Osmotic-Release Methylphenidate with CBT in Adolescents with ADHD and Substance Use Disorders - PMC Substance Abuse Treatment with Comorbid ADHD: A Clinician's Guide 14 Kakapo Facts - Fact Animal KAKAPO Adult male 'chinging' call to attract females
El Alto Comisionado pide a Israel detener la toma militar completa de Gaza. Gaza: Casi 1400 personas han muerto mientras buscaban comida. Sudán: La violencia pone al límite el sistema de salud, mientras que el cólera se extiende por todo el país. La Cumbre de Turkmenistán culmina con un ambicioso plan de acción.
À l'occasion du festival «Atlantide» qui se déroule actuellement, du 6 au 9 mars 2025, à Nantes où l'écrivaine Lucy Mushita est invitée. Rencontre avec l'autrice, née en Rhodésie du Sud, actuel Zimbabwe, pendant l'Apartheid, à l'occasion de son nouveau livre «Expat Blues», aux éditions Project'îles écrit directement en français. (Rediffusion) Lucy Mushita voit le jour dans un village traditionnel en Rhodésie du Sud (actuel Zimbabwe) pendant l'Apartheid. Elle arrive en France en 1986. Son premier roman Chinongwa est publié en Afrique du Sud en 2008, traduit en français par Actes Sud en 2012. En plus des essais, Lucy a participé à des anthologies : Ce Qu'ils Font Est Juste (Don Quichotte Éditions) et Penser et Écrire l'Afrique Aujourd'hui (Le Seuil) (2017). Son deuxième ouvrage Expat Blues, aux éditions Project'îles est écrit directement en français. "Expat blues est le récit fragmenté, féroce et hilarant d'une expatriée en quête de sens, en quête de mots. Dans la langue même qui l'accueille, la rejette ou la bouscule, Lucy Mushita interroge ce que l'on pourrait désigner comme le racisme ordinaire, des micro-agressions banales, qui finissent par gangrener la société dans laquelle évolue une narratrice qui ne possède pas assez la langue du pays où elle vit et dans lequel elle a planté ses rêves. Au fur et à mesure qu'elle apprend, elle se heurte successivement à la langue, aux stéréotypes et découvre petit à petit, comme en pelant l'oignon, à quel point les mots sécrètent autant de violence que de préjugés tenaces. Ce n'est pourtant pas une chronique larmoyante mais un grand éclat de rire qui affirme la possible guérison par la médiation du langage et le pouvoir de la représentation." (Présentation des éditions Project'îles) RETROUVEZ LE PROGRAMME DU FESTIVAL « ATLANTIDES » ICI
Cinq morts étranges dans le sillage d'une puissante famille d'avocats. Les Murdaugh...Une dynastie intouchable qui depuis un siècle règne sur un comté perdu des Etats-Unis, au fin fond de la Caroline-du-Sud. Ce feuilleton criminel, sur fond de silences, d'arrangements avec les autorités et de malhonnêtetés financières, passionnent les Américains.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Benjamin Netanyahu no esconde sus intenciones con respecto al futuro de Gaza. Horas antes de reunirse con su gabinete de seguridad para decidir los pasos a seguir en su operación militar allí, el primer ministro de Israel ha dicho en la cadena Fox que su intención es ocupar toda la Franja militarmente pero no quedarse allí como entidad gobernante.El Kremlin ha anunciado hoy que el presidente ruso Vladimir Putin mantendrá un encuentro con su homólogo estadounidense, Donald Trump, en los próximos días. Vamos a hablar de ello.Les vamos a hablar también de las tensiones entre Francia y Argelia. El presidente Emmanuel Macron ha pedido que se endurezcan los requisitos para obtener visados.Estaremos en Sudán porque el conflicto influye en otros países y no solo los cercanos, también en Colombia. Vamos a saber por qué.Vamos a hablar en una entrevista de la crisis política en Lituania que ha llevado al primer ministro a renunciar y estaremos en Pompeya porque una nueva investigación ha desvelado que fue ocupada de nuevo después de la erupción del Vesubio.Escuchar audio
En Corée du Sud, un nouveau groupe de K-pop fait ses débuts. Mais celui-ci n'est pas comme les autres. Deux de ces cinq membres de 1Verse ne sont pas sud-coréens, mais nord-coréen. Ces deux chanteurs du boys band ont quitté le régime de Kim Jong-un dans leur enfance et montent aujourd'hui sur scène devant des fans du monde entier. De notre correspondant à Séoul, La K-pop s'ouvre à tous et même aux Nord-Coréens. Yu Hyuk et Kim Seok, 25 ans, sont tous deux réfugiés du régime. Arrivés en Corée du Sud à 13 et 19 ans, ils ont réalisé le rêve de nombreux de leurs nouveaux compatriotes : être des stars de la K-pop, la musique pop coréenne au sein du groupe 1Verse. Pourtant, la Corée du Nord est un pays extrêmement fermé, où tout ce qui vient du Sud est interdit. Mais certains, comme Kim Seok, sont tout de même parvenus à découvrir la K-pop depuis le régime nord-coréen, malgré les risques de sanctions : « J'avais déjà entendu de la musique sud-coréenne quand je vivais en Corée du Nord, des chansons romantiques, au travers de clés USB entrées en contrebande depuis l'étranger. Quand je suis arrivé au Sud, j'ai continué à en écouter, car c'était ce que je préférais quand j'étais petit. Et aujourd'hui, c'est devenu mon métier. » Une passion qui est restée, comme pour son collègue Yu Hyuk, qui a découvert le hip-hop en Corée du Sud et n'a pas abandonné son rêve de pouvoir monter sur scène : « Après être arrivé au Sud et avoir fait mes études, je travaillais à l'usine, mais je n'avais pas lâché ma passion du chant. J'ai participé à un télé-crochet et c'est là que la manageuse du groupe a dû me repérer. Elle est venue me voir pour me proposer de la rejoindre. Au début, je pensais qu'elle voulait m'arnaquer, mais elle m'a offert des cours de chant tous les week-ends et petit à petit, j'ai compris que je pouvais vraiment devenir chanteur. » Un parcours exceptionnel dans une industrie musicale coréenne très exigeante. Aujourd'hui, le groupe compte déjà de nombreux fans, aussi bien en Corée du Sud qu'à l'étranger... et peut-être bientôt en Corée du Nord ? « Je n'y ai pas pensé, mais si on devient célèbre et que des connaissances en Corée du Nord me voient à la télé, je serais content qu'ils aient de mes nouvelles de cette façon », répond Kim Seok. « Personnellement, j'espère qu'ils ne me verront pas. Regarder des contenus sud-coréen en Corée du Nord est très dangereux et je ne voudrais pas être la cause de leurs problèmes », estime, quant à lui, Yu Hyok. En juillet, le groupe a officiellement fait ses débuts dans une industrie musicale sud-coréenne qui cherche à se diversifier et à se renouveler, en intégrant des profils toujours plus originaux. De quoi piquer la curiosité des nombreux fans du genre à travers le monde. À lire aussiDéfection d'un Nord-Coréen qui passe au Sud à la nage accroché à un morceau de polystyrène
L'entrée en vigueur de la plupart des nouveaux droits de douane imposés par les États-Unis à leurs partenaires commerciaux, c'est aujourd'hui, jeudi 7 août 2025. Quel est l'impact de ces surtaxes pour le continent africain ? Y a-t-il des pays qui risquent d'entrer en récession ? « Oui », répond l'économiste Lionel Zinsou, qui a été Premier ministre du Bénin. Aujourd'hui, avec le grand banquier rwandais Donald Kaberuka, Lionel Zinsou est le patron de « South Bridge », en français, « Le Pont du Sud », une société de conseil financier. Il livre son expertise au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Est-ce que ces surtaxes américaines risquent de ralentir la croissance du continent africain ? Lionel Zinsou : Très faiblement, en fait. En revanche, ça va impacter quelques pays et spectaculairement l'Afrique du Sud. Mais ça ne concerne pas tout le continent. 25 pays africains devraient être touchés par ces augmentations de taxes. Quelles sont à vos yeux les pays qui vont être le plus impactés ? L'Afrique du Sud d'abord, c'est ça ? Oui, L'Afrique du Sud… Certains pays qui avaient vraiment orienté leur commerce extérieur avec une grande confiance vers les États-Unis, comme le petit Lesotho. Au fond, tous ceux qui sont un peu plus industrialisés que les autres et qui avaient à exporter des produits d'une grande valeur, par exemple les exportations automobiles de l'Afrique du Sud, ça, ce sont des exportations à très forte valeur ajoutée, et c'est ça qui va être le plus impacté. Plus vous êtes industrialisé, plus vous allez en souffrir. On se souvient de la rencontre glaciale à la Maison Blanche entre Donald Trump et Cyril Ramaphosa. Est-ce que les mesures douanières contre l'Afrique du Sud n'ont pas un caractère politique ? Si, certainement. Derrière la sanction de 30 % de droits de douane, alors que pour les autres pays, c'est ou 10% ou 15%, il y a eu une fixation politique à l'évidence sur l'Afrique du Sud, très probablement liée à des sujets non-africains. Par exemple, le fait que l'Afrique du Sud ait traîné Israël devant la Cour pénale internationale avec un assez grand succès diplomatique. C'est probablement une rétorsion, un petit peu dans la même logique que pour le Brésil. Mais en Afrique du Sud, cela va avoir un impact. C'est un des pays qui ont malheureusement une croissance faible. Donc, ça risque effectivement de les mettre en récession. Cela étant, il y a des remèdes quand même à cette situation, parce que vous avez sans doute vu la réaction de la Chine. La Chine, aujourd'hui, elle importe surtout de l'Afrique, non pas des biens à forte valeur ajoutée et manufacturés, mais vraiment des matières premières. Et les Chinois ont une opportunité de commencer à acquérir des produits à valeur ajoutée venant d'Afrique. L'autre remède, c'est la zone de libre-échange continentale. On est en train de négocier, de faire tomber toutes les barrières douanières à l'intérieur du continent. Et donc les Africains commerçant avec les Africains, ça, ça va être à la fois un facteur de croissance significative et un remplacement pour les pays les plus industrialisés. Donc l'Afrique du Sud, qui est déjà un grand fournisseur du reste de l'Afrique, va l'être encore un peu plus. Parmi les pays les plus touchés par les mesures de Washington, il y a les producteurs d'acier et d'aluminium. Est-ce que l'Algérie et l'Égypte ne risquent pas d'être très impactées ? Alors, comme vous l'avez souligné, c'est quand même essentiellement un mouvement politique et vous savez que l'Égypte est un peu exonérée. Donc, avec l'Égypte, pour des raisons géopolitiques, c'est probablement plus confortable qu'avec l'Algérie. Mais si vous prenez un pays comme le mien qui va être taxé à 10 %... Le Bénin… Oui. Sur le textile. Alors c'est important parce que, après tout ce qui est produit de matières premières brutes, le textile, en fait, c'est ce qui avait fait le plus de progrès dans les échanges entre l'Afrique et les États-Unis. À raison de l'Éthiopie, mais aussi aujourd'hui de pays comme le Togo, le Bénin, qui ont de plus en plus de valeur ajoutée sur le textile. Mais vous voyez, quand vous achetez un polo de luxe à 100 € ou 100 $, il est sorti d'usine et monté sur un bateau à Cotonou à 10 $. Quand on va mettre 10 %, ça veut dire que ça va augmenter d'un dollar sur votre facture à vous, client, de 100 $. Parce que, en réalité, une très grande partie de la valeur ajoutée est faite dans le pays d'accueil. Et donc c'est aux États-Unis, les frais de marketing, les taxes américaines. Il y a aussi tous les intermédiaires, les transports, etc. Donc, il faut faire un tout petit peu attention. Ça ne va pas complètement désorganiser les marchés. Mais si vous exportez une voiture haut de gamme, japonaise ou allemande, qui vient des usines d'Afrique du Sud, c'est une tout autre affaire. Parce que là, pour le coup, la valeur ajoutée, elle vient d'Afrique. Ce ne sont pas les intermédiaires qui en prennent la plus grande partie. Et là, vous allez avoir un arrêt de la production, du chômage, etc. Mais il y a bien pire, évidemment. Le fait que les Américains, qu'ils aient supprimé l'aide alimentaire et sanitaire, ça, c'est encore plus grave. Parce que la fermeture de l'aide publique de l'USAID, notamment humanitaire, là, il y a mort d'homme. Ce qui est un peu différent des droits de douane. Et donc, politiquement, on voit bien qu'il va y avoir un coût politique pour les États-Unis.
Gaza: La cancelación israelí del registro de las ONG impediría su labor humanitaria. Más de un millón de desplazados han regresado a sus hogares en Sudán. Guterres recuerda a las víctimas de Hiroshima y pide un mundo libre de armas nucleares. Países sin litoral: Avaza ONU busca convertir la geografía en una oportunidad.
« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
Durant l'été, je vous propose une sélection des meilleurs épisodes de Vlan sur la dernière saison. L'occasion de découvrir ou redécouvrir des épisodes qui ont énormément plu. Christian Grataloup est géographe, il se décrit comme un géohistorien mais pour moi c'est sans doute le meilleur raconteur d'histoire ever. Le 1er épisode que nous avions fait ensemble il y a des années (le 113) avait eu un énorme succès et je peux vous assurer que vous allez ADORER celui là aussi. Vous allez apprendre qui a découvert l'Amérique (et évidemment ce n'est pas Christophe Colomb).Dans cet épisode, nous allons explorer les méandres de l'histoire humaine à travers les yeux de Christian qui nous amènera de l'unité économique et religieuse de la chrétienté latine à l'impérialisme de l'Empire chinois, éclairant les différences fondamentales de ces civilisations et leur influence sur le monde tel que nous le connaissons.Christian nous révélera comment l'Europe a marqué de son empreinte le reste de la planète, en insistant sur des vérités souvent oubliées, comme le rôle du pillage dans les conquêtes des conquistadors en Amérique, plutôt qu'une prétendue supériorité technique. Il nous parlera également des Vikings en tant que commerçants et de la vision commerciale chinoise, tout en abordant des sujets aussi variés que la physiologie humaine, l'évolution de nos sociétés et le rôle vital de la communication et des langues.Accompagnez-nous dans ce voyage passionnant qui remettra en question bon nombre de nos préconceptions sur l'histoire de l'humanité, et préparez-vous à être stupéfait par la profondeur des connaissances de Christian C'est une discussion que vous ne voudrez certainement pas manquer ! Les questions que l'on aborde : 1. Quelles comparaisons pouvez-vous faire entre la diversité politique européenne et l'unité politique de la Chine à différentes époques historiques, et quelles en sont les conséquences sur l'histoire mondiale?2. Comment l'histoire scientifique et industrielle de l'Europe a-t-elle contribué à son expansion à travers le monde, contrairement à d'autres régions?3. En quoi la conquête de l'Amérique met-elle en question l'idée de la supériorité technique des Européens et quelle était la véritable nature de leur échange avec les peuples autochtones?4. Comment les adaptations physiologiques humaines, comme la gestion de la grossesse et la prématuration des bébés, ont-elles contribué au succès de notre espèce malgré les difficultés?5. De quelle manière les langues et la communication ont-elles joué un rôle essentiel dans la survie et l'évolution de l'humanité?6. En évoquant la théorie de l'invention de la langue humaine par absorption de champignons, quelles sont les réflexions de Christian sur les origines de notre capacité à communiquer?7. Selon les discussions de l'épisode, quelle est l'importance de l'année 1537 dans notre reconnaissance de l'unité et de la diversité humaine?8. Comment l'histoire et la diffusion de l'humanité à travers toutes les terres émergées contrastent-elles avec les autres espèces et quelle influence cela a-t-il eu sur notre développement?9. Quel est le rôle des dynamiques géographiques et physiologiques dans l'évolution humaine, selon l'analyse de Christian sur les différents environnements et leurs influences?10. Comment la cartographie et les représentations du monde ont-elles influencé notre compréhension de la taille et de l'importance des différents continents et pays?Timelaps : 00:00 Marsupiaux, évolution humaine, histoires anciennes.06:56 Capacité de course, tête grosse et feu.14:51 Polynésiens découverts en Amérique du Sud, légendes.20:58 Relations amérindiennes-européennes, première mixité et conquête.27:59 Progressive intégration dans le monde byzantin, servage.30:20 Présence ancienne des grands glaciers en Europe.36:42 Impasse biologique due à la station debout.43:33 Diffusion humaine diversifie langage et innovations nécessaires.50:04 L'histoire de l'Europe et sa conquête.53:02 Impact des maladies européennes sur les populations autochtones.57:46 Conflits européens et chinois, conquêtes en Asie.01:05:23 Exploration européenne du Mali, développement technique monde ancien.01:07:17 Supériorité européenne au 19e siècle technique et démographique.01:12:21 Pays d'Europe occidentale, commerce, conquête, Indes.01:20:20 Histoire géographique mondiale et dimension horizontale.01:26:44 Arbres anciens, traces archéologiques, climat changeant.01:29:56 Refus de souverainisme, préconisation du métissage culturel. Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #113 Revenir au temps long pour comprendre le monde avec Christian Grataloup (https://audmns.com/eSlZGOZ) #292 Les enjeux de la géopolitique climatique avec David Djaiz (https://audmns.com/BoZGVQa) #274 L'eau va t'elle devenir une denrée rare en France avec Magali Reghezza (https://audmns.com/TpVPDYg)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
When we treat minds, bodies, and communities together, we don't just reduce harm, we build hope. In this episode, Peter Fenger sits down with Dr. Traci Sweet, Co-Founder and Chief Operating Officer of Holon Health. With more than 30 years of experience driving innovation in behavioral health and substance use treatment, Traci has been a leading force behind integrated care models that truly serve underserved populations. From launching the first integrated SUD treatment program at Catasys, to developing evidence-based curricula for incarcerated individuals and DUI programs, Traci has spent her career breaking down barriers to care. Her work has consistently focused on meeting people where they are—with respect, with science, and with systems that work. At Holon Health, she's helping lead a systemic shift, one that seamlessly combines primary care, substance use treatment, and harm reduction into a collaborative, forward-thinking model. Holon is challenging outdated norms, bridging the divide between healthcare and the criminal justice system, and using technology to expand access and build trust. We're thrilled to have Traci on the show to explore how Holon is transforming what care looks like, and what recovery can truly mean. For more information about Holon Health, please visit: https://www.holonhealth.com If you would like to refer a client, please visit: https://www.holonhealth.com/client-referrals/ For more information about partnering with Holon Health, please visit: https://www.holonhealth.com/courts/ Connect with Holon Health on Linkedin: https://www.linkedin.com/company/holonhealth/ Connect with Holon Health on Instagram: https://www.instagram.com/holonhealthcare Connect with Holon Health on YouTube: https://www.youtube.com/@HolonHealth Connect with Holon Health on Facebook: https://www.facebook.com/holonhealth/
durée : 00:14:39 - Journal de 8 h - Cette session extraordinaire sous l'égide de l'ONU fait suite à l'échec des dernières négociations en Corée du Sud. On estime à un camion benne par minute la quantité de plastique déversée dans les océans aujourd'hui.
durée : 00:14:39 - Journal de 8 h - Cette session extraordinaire sous l'égide de l'ONU fait suite à l'échec des dernières négociations en Corée du Sud. On estime à un camion benne par minute la quantité de plastique déversée dans les océans aujourd'hui.
durée : 00:14:39 - Journal de 8 h - Cette session extraordinaire sous l'égide de l'ONU fait suite à l'échec des dernières négociations en Corée du Sud. On estime à un camion benne par minute la quantité de plastique déversée dans les océans aujourd'hui.
En este matinal de Mi Trading, analizamos un movimiento crucial para los mercados financieros internacionales: la nueva oleada de aranceles comerciales anunciada por la administración estadounidense.Con tarifas que van desde un 39% a productos de juicio, 35% a bienes canadienses, 30% a Sudáfrica, 25% a India, 20% a Taiwán y 15% a la Unión Europea, Japón y Corea del Sur, el impacto sobre el comercio global podría ser profundo. México recibe una prórroga de 90 días y China tiene hasta el 12 de agosto para renegociar.Hablamos de:El carácter caótico y fragmentado de las medidas.Cómo podrían incrementar la inflación en EE.UU. y frenar la inversión empresarial.El posible cambio de narrativa de la euforia de la IA y la Big Tech a una mayor cautela inversora.El papel de Jackson Hole y las reuniones clave de bancos centrales este mes.
durée : 00:54:37 - On va déguster - par : François-Régis Gaudry - Les Français en sont les premiers producteurs et consommateurs au monde. Qu'ils soient fermiers ou industriels, servis cuisinés ou à déguster sur un plateau, venant du Val de Loire ou du Sud de la France, découvrez tout sur les fromages de chèvre. - réalisé par : Lauranne THOMAS Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Gaza: Si me matan, ¿quién cuidará de mis hijos? Sudán: Más de 640.000 niños, en peligro por la propagación del cólera en Darfur del Norte. Los residuos plásticos se triplicarán para 2060, un tratado que se negocia en Ginebra busca impedirlo.
Depois do caos vivido na semana passada, comerciantes angolanos fazem contas à vida. Sudão à beira de ter dois governos paralelos. Radionovela Learning by Ear - Aprender de Ouvido.
En Afrique du Sud, les autorités continuent à lutter contre les réseaux pédophiles qui diffusent sur internet des images pornographiques. Une personne a été arrêtée mercredi en possession de 15 armes à feu et de milliers d'images pédopornographiques. Il serait partie prenante d'un vaste réseau diffusant des images sur le continent africain
durée : 00:27:34 - Le Feuilleton - En avril 1949, Otto Wächter arrive à la gare de Rome sous un faux nom et sans un sou. Grâce à l'appui de Monseigneur Hudal, il prépare son exfiltration en Amérique du Sud.
durée : 00:28:00 - Le Feuilleton - Philippe Sands parvient à établir que Monseigneur Hudal, qui a accueilli Otto Wächter à Rome, était le pivot d'une filière d'exfiltration de nazis vers l'Amérique du Sud, mais pas seulement.
C dans l'air du 2 août 2025 : Tourisme: les gagnants et les perdants La Bretagne a la cote. Depuis le début des vacances d'été, les touristes affluent de toutes les régions de France, mais aussi des pays voisins. En 2024, entre avril et septembre, la région a enregistré 21,2 millions de nuitées dans ses établissements touristiques, selon l'Insee. Dix de ses villes figurent même dans le top 100 des destinations préférées des Français, d'après une étude Élabe commandée par ICI, en partenariat avec La Tribune Dimanche.Mais derrière ce succès touristique, une autre réalité s'impose : celle du surtourisme. Sur l'île de Bréhat, par exemple, un arrêté municipal limite désormais l'accès à 4 700 visiteurs par jour, entre 8 h 30 et 14 h 30, du lundi au vendredi. Instauré en 2023, le dispositif est reconduit chaque année.Dans le sud de la France, de nombreux commerçants déplorent cet été une baisse de la fréquentation estivale. Pourtant, certains sites naturels restent saturés. Pour protéger les calanques de Marseille ou l'île de Porquerolles, des quotas ont également été instaurés. Ces mesures de régulation semblent porter leurs fruits : la satisfaction des visiteurs augmente, tandis que les plaintes des riverains diminuent. Mais leur mise en œuvre reste complexe, surtout dans des zones urbaines ouvertes et emblématiques.C'est le cas du quartier de Montmartre, à Paris. Avant même l'arrivée du peloton du Tour de France, les rues du XVIIIᵉ arrondissement débordent de touristes. Le secteur prend parfois des allures de parc à thème. En dix ans, le nombre de meublés touristiques a explosé, au détriment des commerces de proximité. Résultat : les associations d'habitants et de commerçants, excédées, se mobilisent pour alerter les pouvoirs publics.Autre phénomène en développement : le "No kids". Restaurants, hôtels, trains… certains établissements n'hésitent plus à réserver leurs espaces aux adultes, au prétexte d'un droit au calme et à la tranquillité. Si la tendance née en Corée du Sud reste encore marginale dans l'Hexagone, elle gagne du terrain dans les esprits. Selon un récent sondage Odoxa, plus d'un Français sur deux (54 %) soutient la création d'espaces sans enfants, un chiffre qui atteint 65 % chez les jeunes adultes.Alors où les Français ont-ils décidé de partir en vacances cet été ? Taux de départ, budget, destinations… Quelles sont les tendances ? Comment mieux répartir les flux touristiques entre les régions françaises ? Les quotas de visiteurs dans certains lieux naturels sont-ils une solution juste et efficace ? Le phénomène des espaces "No kids" vous choque-t-il ou vous semble-t-il légitime ? LES EXPERTS :- Jean VIARD - Sociologue, directeur de recherches associé CNRS au CEVIPOF- Corinne JOLLY - PDG de PAP - Particulier à Particulier- Mathilde VISSEYRIAS - Journaliste - Le Figaro- Grégoire MIALET - Président de C-Ways
Le Grand reportage week-end de ce samedi est consacré au départ pour une reconstruction. En première partie, direction l'Italie, avec la mafia calabraise dont les activités criminelles sont souvent familiales. Comment des enfants de mafieux font-ils pour briser la chaîne du crime ? En seconde partie, direction la Corée du Sud, où des jeunes Nord-Coréens ont fait le choix de tout quitter pour se construire un avenir côté Sud. (Rediffusion) En Italie, grandir loin de la mafia En Italie, la mafia calabraise - la N'Drangheta - est considérée comme l'organisation criminelle la plus redoutable et la plus puissante. Ce sont les liens du sang qui constituent les clans. Les activités criminelles se transmettent de père en fils. Pour briser la chaîne du crime, le juge italien Roberto Di Bella a imaginé le programme « Liberi di scegliere ». En italien, cela veut dire : Libres de choisir : entre un destin criminel ou une nouvelle vie. Pour cela, les enfants de mafieux sont exfiltrés et envoyés loin de la Calabre, loin de leur famille et de la mafia. Comment reconstruire sa vie loin des siens ? Comment proposer une alternative aux enfants qui se sont construits avec les règles de la criminalité organisée ? Un Grand reportage de Cécile Debarge qui s'entretient avec Sébastien Farcis. Les Nord-Coréens de la génération Z connaissent les codes Ils ont grandi dans l'un des régimes les plus autoritaires du monde, avant de réussir à s'enfuir. Des milliers de jeunes Nord-Coréens ont traversé la frontière ces dernières années avec leurs parents, et refont leur vie chez leur voisin du Sud. Du jour au lendemain, ils doivent s'adapter à un monde capitaliste et compétitif, très éloigné de leur société d'origine. Difficile, mais pas impossible. Les jeunes Nord-Coréens ont plein de ressources. Et s'en sortent mieux que leurs parents. Un Grand reportage de Célio Fioretti qui s'entretient avec Sébastien Farcis.
durée : 03:27:50 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - - réalisation : Virginie Mourthé
Tubi is a free ad-supported streaming service that's gaining ground on big players like Netflix and Amazon. It has the largest content library of any streaming platform, full of obscure gems and films by up and comers, including one starring TikTok influencer Noah Beck. Tubi CEO Anjali Sud says that by putting viewers first, the streamer is "expanding the definition of quality" when it comes to content. On the Bold Names podcast, Sud speaks to WSJ's Christopher Mims and Tim Higgins about how Tubi is thinking about original content, audience retention and strategy in a changing streaming landscape. Plus, why she says Tubi will be the home for the next generation of Hollywood talent. Check Out Past Episodes: 70,000 Bets a Minute: How FanDuel's Parent Is Winning at Sports Gambling Venture Capitalist Sarah Guo's Surprising Bet on Unsexy AI Why José Andrés Says We Need Leaders Who Believe in ‘Longer Tables' Let us know what you think of the show. Email us at BoldNames@wsj.com Sign up for the WSJ's free Technology newsletter. Read Christopher Mims's Keywords column. Read Tim Higgins's column. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
C dans l'air du 1er août 2025 : Droits de douane : l'onde de choc mondialeLe début d'un nouvel ordre commercial international ? Le président américain Donald Trump a signé hier soir le décret instaurant les nouveaux droits de douane qui toucheront les produits des partenaires commerciaux des États-Unis. Ce geste vise à "restructurer le commerce mondial au bénéfice des salariés américains", selon un document publié par la Maison-Blanche. Ils prendront effet le 7 août, et non dès aujourd'hui, comme initialement attendu. L'Union européenne, le Japon ou la Corée du Sud verront ainsi leurs produits être taxés à hauteur de 15 %, le Royaume-Uni de 10 %.Ces taux amendent ceux qui avaient été annoncés le 2 avril dernier avant d'être suspendus en raison de la débâcle que cette annonce avait provoquée sur les marchés financiers.Faute d'être parvenus à un accord avec Donald Trump, la Suisse ou encore le Canada se sont vus imposer des droits de douane particulièrement élevés sur leurs produits exportés aux États-Unis. Ces deux pays, taxés respectivement à hauteur de 39% et de 35%, comptent parmi les grands perdants de l'opération commerciale américaine. Le Brésil est également très durement touché, avec des taxes à 50 %. L'administration Trump utilise sa politique tarifaire pour s'opposer aux équipes du président Lula et à la justice brésilienne, qui poursuit l'ancien président d'extrême droite, Jair Bolsonaro.Les deux géants asiatiques ne sont pas épargnés. L'Inde sera taxée à 25 % et la Chine à 55 %, en tenant compte des hausses intervenues lors du premier mandat de Trump.Au regard de ses concurrents internationaux, l'Union européenne ne semble donc finalement pas s'en tirer à si mauvais compte.Mais en France des critiques contre l'accord signé entre Bruxelles et Washington se sont fait entendre au plus haut sommet de l'Etat. Le manque de combativité européenne dans ce dossier fait réagir. La France a "été un peu seule" à se battre, selon le Premier ministre François Bayrou. Emmanuel Macron estime que l'UE n'a pas été assez "crainte" par les Etats-Unis et affirme que la France "n'en restera pas là". Le président souhaite obtenir de "nouvelles exemptions", notamment pour le secteur des alcools et spiritueux.Si le secteur aéronautique a évité la foudre et apparaît sauvegardé, le luxe, fleuron français, sera touché par cette nouvelle donne. Bernard Arnaud, à la tête de LVMH, le numéro un mondial du secteur, va ouvrir une usine au Etats-Unis. Kering, numéro trois mondial, a de son côté annoncé l'arrivée de l'Italien Luca Di Meo à la tête de l'entreprise. L'ancien dirigeant de Renault devrait toucher 20 millions d'euros lors de la signature, et ce malgré les difficultés du groupe.De l'autre côté du Rhin, l'automobile allemande va aussi pâtir de ces droits de douanes réévalués. D'autant que des plans sociaux étaient déjà annoncés avant même la politique américaine. Les constructeurs sont en effet frappés par la forte concurrence des véhicules électriques chinois.Ces nouveaux droits de douane sont censés attirer les investissements étrangers pour une production sur le sol américain, et relacencer, dans le même temps, l'industrie américaine. Mais le pouvoir d'achat des ménages américains va aussi en ressentir les effets : le budget Lab de Yale estime à 2400 dollars par famille en moyenne le coût des droits de douane la première année.Grands gagnants de cette nouvelle donne - et de l'appauvrissement des ménages américains privés de leurs importations chinoises à bas coûts - les entreprises de réparation et de reconditionnement. Une équipe de C dans l'air a rencontré le dirigeant de Back Market, une entreprise française de reconditionnement et de commerce d'appareils électriques et électroniques. Il explique que son groupe, implanté aux Etats-Unis, a vu ses ventes multipliées par trois lors des premières annonces de Trump survenues en avril dernier. Selon lui, un changement des habitudes de consommation est en train de s'opérer. Faute de pouvoir acheter des produits en provenance de l'étranger, les clients vont se recentrer sur le local. Pour le plus grand profit de son entreprise. Bien malgré lui, Donald Trump sera ainsi, selon lui, un artisan de l'écologie, grâce à la diminution des flux de commerces internationaux que sa politique pourrait entrainer.LES EXPERTS :- Jean-Marc DANIEL - Économiste , professeur émérite à l'ESCP business school- Isabelle RAYMOND - Cheffe du service économie et social - France info- Philippe MABILLE - Directeur éditorial - la Tribune et la Tribune Dimanche- Erwan BENEZET - Journaliste au service économie - le Parisien Frédéric DABI - Directeur Général Opinion de l'Ifop
A quel point la politique de Donald Trump ébranle-t-elle certains fondements de la nation américaine ? « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », y répond en 4 volets dans une série d'été. Dans ce dernier épisode, Pierrick Fay et son invité Bastien Bouchaud décrivent comment les politiques protectionnistes mettent à mal l'industrie automobile européenne qui s'est implantée en Caroline du Sud..Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Bastien Bouchaud (correspondant des « Echos » à New York). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Sean Rayford/Ap/SIPA. Sons : Radio-Canada Info, « 8 Mile » (2002), Queen City News, Vendezvotrevoiture.fr, « Alamo » (1960). Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pensi che l'italiano sia sempre quello che senti nei film o al telegiornale? In realtà, ogni angolo d'Italia parla con una propria musica: accenti, suoni e modi di dire che cambiano di città in città. Scoprire queste differenze è come aprire una finestra su mille Italie diverse: un viaggio fatto di parole, sorrisi e storie che rendono la nostra lingua ancora più affascinante. In questo articolo, stai per fare questo viaggio! Gli Accenti Italiani e le loro Differenze: Guida per Chi Impara la Lingua L'Accento Milanese: Efficienza e Velocità del Nord L'accento milanese rappresenta perfettamente lo spirito pragmatico della capitale economica italiana. Caratterizzato da un ritmo veloce e incalzante, riflette il carattere operoso di una città dove "il tempo è denaro". Gli studenti stranieri noteranno immediatamente la differenza rispetto agli accenti del Sud Italia. Caratteristiche principali dell'accento milanese: Vocali chiuse e centralizzate: Una delle peculiarità più evidenti è la tendenza a "schiacciare" le vocali verso il centro. La **E** diventa più chiusa (è), quindi "bene" suona come "bène". Allo stesso modo, la **O** si trasforma in "ò", per cui "come" diventa "còme". Questo fenomeno crea un suono più compatto e meno espansivo rispetto alle varietà meridionali. Ritmo staccato e veloce: I milanesi parlano con una cadenza rapida, dividendo chiaramente ogni sillaba. Non troverete le lunghe modulazioni tipiche del Sud, ma piuttosto un discorso efficiente e diretto. Le frasi procedono senza indugi, proprio come chi ha sempre fretta di arrivare al punto. Intonazione uniforme: L'accento milanese è caratterizzato da variazioni tonali minime. A differenza dell'accento napoletano che "canta", quello milanese mantiene un tono più piatto e controllato, riflettendo l'influenza dell'Europa settentrionale e la tradizione lombarda. L'Accento Torinese: Eleganza Sabauda e Influenze Francesi L'accento torinese, reso celebre da personalità come Luciana Littizzetto, rappresenta l'eleganza nordica italiana. Più morbido rispetto al milanese, mantiene però le caratteristiche settentrionali arricchite dall'influenza della vicinanza con la Francia. È l'accento della casa Savoia, dell'industria automobilistica e di una borghesia raffinata. Caratteristiche distintive dell'accento piemontese: Vocali "schiacciate" e nasalizzate: Il fenomeno più caratteristico è la trasformazione delle vocali. La **E** diventa spesso **I** ("bene" → "bini", "viene" → "vini"), mentre la **O** si trasforma in **U** ("come" → "cumi", "dove" → "duvi"). Questo crea un effetto "strizzato", come se si parlasse con la bocca semichiusa. La R moscia: Una delle caratteristiche più riconoscibili è la R uvulare, simile a quella francese. Questa particolarità fonetica deriva dalle influenze transalpine e conferisce all'accento torinese un suono inconfondibile, quasi "aristocratico". Consonanti dolci: A differenza degli accenti del Centro-Sud, le consonanti torinesi sono meno esplosive, più "dolci". La **Z** diventa spesso **S** ("pranzo" → "pranso", "mezzo" → "meso"), mentre la **S** rimane sempre sorda anche dove l'italiano standard prevedrebbe una pronuncia sonora. Prosodia europea: L'intonazione è uniforme, senza le grandi variazioni melodiche tipiche del Sud. Il ritmo è costante, ricorda gli accenti franco-tedeschi per la sua "compostezza". L'Accento Romano: Ironia e Carattere della Capitale Il romanesco è probabilmente l'accento italiano più conosciuto al mondo grazie al cinema e alla televisione. Reso celebre da attori come Max Tortora, Alberto Sordi e Anna Magnani, rappresenta lo spirito ironico e diretto della Città Eterna. È un accento che "graffia", che non passa inosservato, perfetto specchio dell'anima romana. Le sostituzioni consonantiche famose: L → R: Questa è forse la caratteristica più riconoscibile del romanesco. "Bello" diventa "bero", "quello" si trasforma in "quero",
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 4. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis une dizaine d'années, l'Amérique latine est confrontée à une crise migratoire. Selon les Nations-unies, 43 millions de Latino-Américains ne vivaient pas dans leur pays d'origine en 2020, ils étaient 25 millions en 2000. Pour certains pays, le phénomène est particulièrement frappant, ainsi le Venezuela a vu partir 25% de sa population. Si l'on pense principalement aux voisins américain et canadien comme destination de choix, une grande partie des migrations est en réalité intrarégionale. Crises économiques à répétition, instabilité politique et institutionnelle, catastrophes naturelles à répétition sous l'effet du réchauffement climatique, violences liées au narcotrafic... aggravent les problèmes socio-structurels auxquels sont confrontés les pays de la région. Autant de facteurs qui poussent les populations au départ à la recherche de stabilité et de meilleures opportunités. Alors qu'environ 27% de Latino-Américains ont entre 15 et 29 ans, environ 20% ne sont ni en emploi ni en études ni en formation. Des chiffres qui montrent un certain découragement de la part de cette génération quant à ses perspectives. Pour ces jeunes qui ne font pas non plus confiance à leur gouvernement, la tentation du départ est d'autant plus grande. Dans ce contexte, comment penser sa vie en Amérique latine quand on a moins de 30 ans ? Avec : • Lucie Laplace, chercheuse en Science politique au Laboratoire Triangle de l'Université Lumière Lyon 2, chercheuse à l'Institut Convergence Migrations et experte en migrations forcées, droits humains, action humanitaire et sur les enjeux de genre (spécialisation sur l'Amérique latine) • Gaspard Estrada, politologue, membre de l'Unité du Sud Global à la London School of Economics (LSE). Un témoignage d'une réfugiée mexicaine au Canada, réalisée par Aude-Emilie Judaïque. Un témoignage recueilli par Alice Campaignolle, correspondante de RFI à Caracas au Venezuela. Au Venezuela, on estime qu'environ 8 millions de personnes ont quitté le pays lors des 15 dernières années, fuyant une économie dévastée, l'hyperinflation, les pénuries. Si la situation s'est améliorée, elle est loin d'être parfaite, et les Vénézuéliens continuent de partir. Notre correspondante à Caracas est allée à la rencontre d'une jeune femme de 30 ans, Andrea, qui prépare son projet de migration pour l'Europe, frustrée de ne pas pouvoir trouver le travail qui l'intéresse, et de vivre dans l'instabilité permanente. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, partir ou rester : qu'en pensent les jeunes en Amérique du Sud sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Fatima - Bejuco ► Petite Miss - Mademoiselle Lou.
Comme toujours, nous commencerons notre émission par une discussion sur l'actualité. Aujourd'hui, nous commenterons tout d'abord un article du Washington Post selon lequel le Hamas traverserait la crise financière et administrative la plus grave de son histoire. Qu'est-ce que cela signifie pour la population de Gaza ? Quelles sont les conséquences humanitaires de cette crise ? Ensuite, nous discuterons des résultats des élections de dimanche au Japon, qui ont été marqués par la percée d'un parti populiste d'extrême droite avec son programme nationaliste « Les Japonais d'abord ». Dans notre section science et technologie, nous nous intéresserons à un article publié dans The Economist sur les bienfaits cognitifs du multilinguisme. Et pour conclure la première partie de l'émission d'aujourd'hui, nous parlerons de la façon dont la France a réussi à échapper aux protestations contre le surtourisme qui frappent ses voisins du Sud de l'Europe. Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. La leçon de grammaire de la semaine sera : The Relative Pronouns où, dont . Cette semaine, nous parlerons de la décision d'Emmanuel Macron d'instaurer une journée nationale de commémoration chaque 12 juillet à partir de 2026. Il s'agira de célébrer la réhabilitation de l'officier Alfred Dreyfus. Nous terminerons avec l'expression Donner/laisser carte blanche. Nous évoquerons le métier de grand reporter et parlerons de certains journalistes qui ont marqué l'histoire, comme Albert Londres. - Le Hamas traverse une crise financière - Au Japon, l'extrême droite connaît une ascension rapide - L'apprentissage de langues étrangères pourrait retarder la démence chez les personnes âgées - La France échappe aux manifestations contre le surtourisme qui touchent ses voisins dans le Sud de l'Europe - Le président Macron crée une journée nationale à la mémoire d'Alfred Dreyfus - L'histoire des grands reporters