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El 27 de junio de 1993, Nelson Mandela fue fotografiado estrechando la mano de Percy Yutar, el fiscal que en 1964 lo condenó a prisión. Después de pasar 27 años encarcelado, Mandela eligió perdonar en lugar de vengarse. Su decisión de promover la reconciliación en Sudáfrica, en lugar de alimentar el resentimiento, fue clave para la paz en su país. El perdón no es olvidar lo que nos han hecho ni justificar el daño, sino soltar el peso del rencor para vivir en libertad. Jesús nos enseñó que el perdón es una decisión que libera tanto al ofensor como a quien ha sido herido. Cuando perdonamos, reflejamos el amor de Dios y permitimos que Su paz gobierne nuestro corazón. Tal vez alguien te ha herido profundamente y sientes que es imposible perdonar. Pero recuerda que Dios nos ha perdonado mucho más de lo que podemos imaginar. ¿A quién necesitas perdonar hoy? No permitas que la amargura te robe la paz. Deja que el amor de Dios sane tu corazón y transforme tu vida.La Biblia dice en Efesios 4:32: “Antes sed benignos unos con otros, misericordiosos, perdonándoos unos a otros, como Dios también os perdonó a vosotros en Cristo” (RV1960).
Hernán Peláez y Martín de Francisco analizaron el enfrentamiento de la Selección Colombia ante Sudáfrica por los octavos de final del Mundial Sub20.
Terres rares, ressources fossiles, sèves attractives ou métaux précieux, certaines matières valent de l'or et transforment les territoires où on les trouve. Comment ces substances sont devenues si précieuses à nos yeux et comment ont-elles transformé l'histoire des territoires où elles gisaient ? Une histoire humaine tout autant qu'industrielle. L'or se trouve en Afrique du Sud, au Ghana, au Pérou, en Indonésie, mais également au Canada, en Russie, aux États-Unis et en Chine. On en rencontre même dans les Alpes suisses. Utilisé depuis l'Antiquité, et probablement bien avant, ce métal précieux a toujours fasciné par son éclat et sa rareté. Parmi les grandes ruées vers l'or, celle de Californie occupe une place singulière. Ce que l'on sait moins, c'est que l'or californien fut découvert par un aventurier d'origine suisse, John Sutter - ou Sütter avant son américanisation. Plus méconnu encore demeure le rôle de son compatriote Jean-Jacques Vioget. Pourquoi l'histoire a-t-elle retenu le nom du premier plutôt que celui du second ? Avec Claudine Chalmers, historienne.
Les relations complexes et ambivalentes entre la Suisse et l'Afrique du Sud durant la période de l'apartheid ont déjà été abordées dans une précédente série d'Histoire Vivante. Cette fois, l'attention se porte sur l'or et sur son rôle dans les échanges entre les deux États. Avec Sandra Bott, spécialiste de l'histoire du marché de l'or et professeur d'histoire contemporaine à l'UNIL.
Un groupe de jeunes hommes et femmes des Premières Nations ont réussi leur parcours grâce à un programme de formation destiné aux futurs sapeurs-pompiers. Cette initiative est un partenariat entre le TAFE (Technical and further education) et les pompiers de Nouvelle-Galles du Sud, visant à aider les jeunes autochtones à accéder au métier de leurs rêves.
Si las personas con un patrimonio neto de más de 100 millones de euros pagasen un impuesto del 2 % de su riqueza, el economista Gabriel Zucman considera que podría reducirse la injusticia fiscal. Hablamos de los debates que genera este planteamiento que tiene mucho de político en Francia con Daniel Fuentes Castro, Doctor en Economía por la Universidad Paris Nanterre.El Nilo es el río más deseado por Egipto, Sudán y Etiopía, quien acaba de inaugurar la Gran Presa del Renacimiento. Esta obra, la más grande de África, supondrá riqueza para Adís Abeba pero también pone en riesgo el acceso al agua de la población egipcia, como nos cuenta la periodista Nuria Tesón, quien lleva cubriendo años los cambios políticos que han surgido a través de la gestión del Nilo.
durée : 00:05:21 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - Après le Maroc, l'Algérie pourrait voir la jeunesse descendre dans la rue à l'appel du collectif "GenZ 213", nommé sur le modèle du collectif de jeunes Marocains "GenZ 212". Ils exigent de meilleurs services publics, moins d'inégalités et de corruption. Colère déjà entendue au Népal ou à Madagascar.
Café des Sports – Vendredi – 16h10 TU & 21h10 TU. En direct sur RFI, France 24, YouTube & Facebook Live. Au menu aujourd'hui : - Luis Enrique: la révolution PSG ; - Ligue Europa: Lille héroïque à Rome ! ; - Éliminatoires Mondial 2026: Afrique : le rêve fou du Bénin ! ; - Cartons Vidéo. Luis Enrique: la révolution PSG Visionnaire, stratège, bâtisseur… Luis Enrique est-il en train de changer le football ? Et surtout : le PSG a-t-il vraiment un rival en Europe ? Ligue Europa: Lille héroïque à Rome! Scène incroyable à l'Olimpico : la Roma obtient un penalty en fin de match… retiré trois fois. À chaque tentative, Berke Özer s'interpose et arrête le tir. Le gardien turc entre dans l'histoire et offre au LOSC une victoire référence en Europe. Éliminatoires Mondial 2026: Afrique : le rêve fou du Bénin! La FIFA retire trois points à l'Afrique du Sud pour avoir aligné un joueur suspendu, le Bénin en profite et prend la tête du groupe C. Une décision qui relance totalement le suspense avant les deux dernières journées, dès la semaine prochaine. Cartons Vidéo Les coups de cœur et coups de gueule de nos téléspectateurs et de nos consultants ! Réagissez en direct, vos commentaires sur la page Facebook sont lus à l'antenne par Frédéric Suteau ! Présentation : Annie Gasnier Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara Chef d'édition : David Fintzel Réalisation vidéo : Souheil Khedir & Yann Bourdelas Réalisation audio : Laurent Salerno.
Café des Sports – Vendredi – 16h10 TU & 21h10 TU. En direct sur RFI, France 24, YouTube & Facebook Live. Au menu aujourd'hui : - Luis Enrique: la révolution PSG ; - Ligue Europa: Lille héroïque à Rome ! ; - Éliminatoires Mondial 2026: Afrique : le rêve fou du Bénin ! ; - Cartons Vidéo. Luis Enrique: la révolution PSG Visionnaire, stratège, bâtisseur… Luis Enrique est-il en train de changer le football ? Et surtout : le PSG a-t-il vraiment un rival en Europe ? Ligue Europa: Lille héroïque à Rome! Scène incroyable à l'Olimpico : la Roma obtient un penalty en fin de match… retiré trois fois. À chaque tentative, Berke Özer s'interpose et arrête le tir. Le gardien turc entre dans l'histoire et offre au LOSC une victoire référence en Europe. Éliminatoires Mondial 2026: Afrique : le rêve fou du Bénin! La FIFA retire trois points à l'Afrique du Sud pour avoir aligné un joueur suspendu, le Bénin en profite et prend la tête du groupe C. Une décision qui relance totalement le suspense avant les deux dernières journées, dès la semaine prochaine. Cartons Vidéo Les coups de cœur et coups de gueule de nos téléspectateurs et de nos consultants ! Réagissez en direct, vos commentaires sur la page Facebook sont lus à l'antenne par Frédéric Suteau ! Présentation : Annie Gasnier Consultants : Rémy Ngono, Xavier Barret, Yoro Mangara Chef d'édition : David Fintzel Réalisation vidéo : Souheil Khedir & Yann Bourdelas Réalisation audio : Laurent Salerno.
Ce « mouvement aussi viral qu'insaisissable », résume Jeune Afrique, en rappelant que la « vague » de contestations a atteint, ces derniers jours, Madagascar puis le Maroc... et menace peut-être l'Algérie, où « un compte Gen Z 213 vient d'être créé, et a lancé un appel à manifester ce vendredi ». Au Maroc, le collectif Gen Z 212 réclame désormais la démission du gouvernement. Avec ses « revendications sociales et économiques », le mouvement est né, rappelle le journal algérien El Watan, « sur Discord, une plateforme de messagerie privilégiée par les gamers ». « Personne ne sait vraiment qui sont ces jeunes, indique un sociologue interrogé par El Watan. Ce qui est sûr, c'est que ce mouvement est né de manière spontanée sur les réseaux sociaux, porté par des personnes qui n'étaient pas forcément militantes ». Cela interroge, d'ailleurs, Le Matin, le quotidien marocain qui se demande pourquoi ces jeunes choisissent « de porter leurs revendications directement dans la rue et sur les réseaux sociaux, plutôt que de s'appuyer sur la société civile, censée être un relais naturel de leurs préoccupations ». Le président du Centre marocain pour la citoyenneté apporte une première réponse : « La Génération Z évolue dans un univers façonné par l'instantanéité et de nouveaux codes d'expression. La majorité des associations, restées ancrées dans des démarches classiques, n'ont pas su adapter leurs méthodes d'intervention à cette réalité. Résultat, un fossé s'est creusé ». Un ras-le-bol au-delà du Maroc et de Madagascar « Des rues de Katmandou (au Népal), aux avenues de Lima (au Pérou), un même souffle de colère semble traverser les jeunesses des pays du Sud », observe Jeune Afrique. « Les situations locales diffèrent, les mots d'ordre ne sont pas identiques » mais « il est impossible de parler d'une simple coïncidence », estime le magazine, qui fait donc la liste des points communs de ce mouvement. L'âge et les réseaux sociaux, certes, mais aussi l'utilisation de « symboles puisés dans la pop culture », comme le drapeau pirate du manga One Piece qui « flotte en tête de cortège » ou bien le salut à trois doigts de la saga Hunger Games qui s'était imposé, en Thaïlande et en Birmanie, comme geste de ralliement et de résistance. Autre point commun relevé par Jeune Afrique : « l'absence de leaders ou de structures politiques visibles ». « Une horizontalité revendiquée au nom de la volonté de tourner la page des "anciens modèles", qui rend ces mouvements difficiles à cerner par les autorités, qui peinent à les comprendre et à les canaliser. La répression s'en fait souvent plus brutale encore ». Le magazine note, d'ailleurs, que « si les manifestations sont au départ le plus souvent pacifistes, elles prennent un tour de plus en plus violent à mesure que la répression s'abat et que les mouvements se radicalisent ». Un constat, cependant, conclut Jeune Afrique : « en quelques mois, la Gen Z a fait tomber plusieurs gouvernements. Qui sera le prochain ? » Voir au-delà des manifestations « Partout en Afrique et au-delà, les soulèvements de jeunes forcent les dirigeants à reculer », confirme le Daily Nation, à Nairobi. Mais « au-delà des manifestations, la génération Z doit se préparer à diriger », prévient le journal kényan. « L'histoire nous rappelle que si renverser le pouvoir peut se faire en quelques jours, construire quelque chose de meilleur exige des années de préparation et de patience ». La révolution égyptienne « a cédé la place au régime militaire, rappelle le Daily Nation, et les militants de Hong Kong ont été contraints à l'exil ou à la prison ». Ces mouvements doivent donc « évoluer s'ils veulent façonner ce qui adviendra après ». « Madagascar illustre, selon le quotidien, la fragilité de la situation actuelle. Le gouvernement a été dissous, mais le président est toujours là. Si les manifestants ne parviennent pas à maintenir la pression en s'organisant et en proposant des alternatives politiques, le risque est de voir le statu quo resurgir. À moins que l'énergie actuelle ne se consolide en institutions civiques et politiques durables, les victoires risquent d'être symboliques plutôt que structurelles ».
Le 21 septembre, une éclipse solaire partielle sera visible depuis certaines régions de l'hémisphère Sud — spectacle naturel à ne pas rater.Traduction:On September 21, a partial solar eclipse will be visible from parts of the Southern Hemisphere — a natural spectacle not to be missed. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Gaza: Más de 10.000 niños han sufrido lesiones con secuelas de por vida. El Alto Comisionado pide proteger a la población civil en Sudán. Guterres condena el atentado contra una sinagoga de Mánchester.
Ce mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, ainsi que Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur les nouvelles enceintes et les écrans connectés d'Amazon, le lancement de Sora, le TikTok IA lancé par OpenAI, et la possibilité de réaliser des achats directement dans ChatGPT, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ce mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur un nouveau visa en Chine pour attirer les cerveaux étrangers de la tech, le lancement de la filiale d'Ubisoft aux côtés de Tencent, et Daniel Ek qui quitte son rôle de PDG chez Spotify, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-Président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 1er octobre, François Sorel a reçu Hugo Weber, vice-président de Mirakl, Christophe Aulnette, senior advisor chez Seven2 et ancien président de Microsoft France et Asie du Sud, Frédéric Simottel, journaliste BFM Business, Léa Benaim, journaliste BFM Business, Kesso Diallo, journaliste Tech&Co, Paul Chaîne, directeur du service numérique du Château de Versailles, Isabelle Hilali, fondatrice et CEO de Datacraft, Tristan Marandin, cofondateur de DivinData et ingénieur IA, et Paul Decroux, data scientist à la Société Générale, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ils sont près de 100 millions dans le monde, leur rôle est jugé essentiel par les institutions internationales, pourtant la profession d'enseignants souffre d'une grave crise de vocations. Selon l'Unesco, le taux d'enseignants démissionnaires a doublé en 7 ans, pour atteindre 9% en 2022. En France, le nombre de candidats au concours pour le secondaire a diminué de trois quarts depuis 1990. En cause, des salaires insuffisants, des classes surchargées, un manque de matériels, des réformes à répétition, un manque de considération qui poussent les enseignants à questionner le sens de métier. Il manque 44 millions d'enseignants, d'ici 2030 pour garantir l'accès universel à l'éducation primaire et secondaire, ce qui rend le sujet de la revalorisation de la profession d'autant plus cruciale. Comment résoudre la crise de confiance entre les enseignants et les décideurs politiques ? Comment améliorer leurs conditions de travail ? Avec : • Jérémie Fontanieu, professeur de Sciences économiques et sociales au Lycée Eugène Delacroix de Drançy en Seine-Saint-Denis. Auteur du livre Le mythe du prof-héros (Les liens qui libèrent, 2025). Porte-parole du collectif Réconciliations • Borhene Chakroun, directeur de la Division pour les politiques et les systèmes d'apprentissage tout au long de la vie de l'UNESCO • Jolino Malukisa, directeur du pilier gouvernance à l'Institut congolais de recherches Ebuteli. Chercheur associé à l'Université d'Anvers en Belgique. En première partie de l'émission, l'École autour du Monde avec Camille Ruiz, correspondante à Séoul, en Corée du Sud. Avec 56,2%, des adultes de 25 à 64 ans titulaires d'un diplôme, le pays conserve sa première place mondiale en matière de diplômés pour la 17ème année consécutive. En fin d'émission, la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui, il répond à la question d'El Mohammed, directeur d'école à Conakry en Guinée qui s'inquiète pour une de ses élèves très timide. Programmation musicale : ► A deux – Aupinard ► Djilon – Victor Démé.
« La sentence est tombée, lourde comme un couperet dans le silence feutré de la Haute cour militaire, constate Le Journal de Kinshasa. Ce mardi, l'ombre de Joseph Kabila a été officiellement condamnée à la peine de mort. Pour "trahison" et "participation à un mouvement insurrectionnel", la justice militaire a tranché. Aucune circonstance atténuante n'a été retenue. Le principal concerné, qui vit en exil, n'était qu'un fantôme. Le réquisitoire, impitoyable, dressait le portrait d'un homme non plus en chef d'État, mais en chef de guerre. La Cour a épousé ces allégations, peignant une réalité sombre. Elle affirme que, dans l'ombre, l'ancien président tenait à Goma et Bukavu de "véritables réunions d'état-major". Il inspectait des centres d'instruction de rebelles et se comportait en "chef incontesté de tous les mouvements rebelles" (…). Le jugement est sans appel : Joseph Kabila est désormais qualifié de "chef de la coalition AFC/M23" ». Pas de réaction pour l'instant de l'intéressé. Juste un communiqué de son parti, le FCC, le Front commun pour le Congo, publié sur le site congolais 7 sur 7 : « le FCC dénonce "la restauration de la dictature" et l'instrumentalisation "croissante, tant de la justice que de la puissance publique à des fins politiques". Le FCC, qui se positionne comme une force politique "considérable" de l'opposition, promet de combattre cette condamnation qu'elle juge "inacceptable" ». Séisme politique… Ce « verdict est une première depuis l'indépendance du Congo, en 1960 », constate le site spécialisé sur la RDC Afrikarabia : « avec une peine très lourde, des dommages et intérêts pour les victimes de l'AFC/M23 stratosphériques de plus de 30 milliards de dollars (soit deux fois le budget de l'État congolais), et désormais un ancien président en cavale et recherché par la justice congolaise. (…) Cette condamnation à mort de Kabila représente un petit séisme politique en RDC, pointe encore Afrikarabia. Ce verdict résonne d'abord comme un message d'avertissement et "préventif" à l'attention de toutes les personnes qui souhaiteraient rejoindre les rangs rebelles. (…) Et elle brise une possible coalition anti-Tshisekedi, avec à sa tête Joseph Kabila associé à une myriade d'opposants. Elle disqualifie enfin l'ex-président, aux yeux de Kinshasa, comme interlocuteur à un potentiel dialogue national ». Un « goût d'inachevé » ? Pour Le Monde Afrique, « en l'absence de l'accusé et sans avocat pour le défendre à l'issue d'une instruction bâclée, ce procès expéditif laisse un goût d'inachevé ». Avec « des charges qui reposent implicitement sur l'autorité, directe mais supposée, qu'exercerait Joseph Kabila sur la rébellion du M23. (…) D'un naturel taiseux, naviguant entre le Zimbabwe – où, selon une source, il se trouverait actuellement –, l'Afrique du Sud et la Zambie, l'ancien président avait finalement brisé le silence le 18 mars dernier, depuis Johannesburg, rappelle Le Monde Afrique, pour nier tout lien avec le M23. La plupart des observateurs jugent toutefois que Corneille Nangaa (l'un de ses fidèles lorsqu'il était au pouvoir) ne serait pas entré dans la rébellion armée sans, au minimum, l'onction de Joseph Kabila ». Et « beaucoup ont cru discerner l'ambition de ce dernier de revenir aux affaires lorsque Corneille Nangaa a exprimé son intention de renverser le pouvoir par les armes ». « Attiser le feu » ? La presse ouest-africaine s'interroge : « à quoi servira cette condamnation de Joseph Kabila ? » se demande WakatSéra à Ouagadougou. « N'est-ce pas plutôt le meilleur moyen de raidir les positions et d'attiser le feu dans l'est de la RD Congo ? (…) En tout cas, les populations civiles continuent, elles, de vivre l'enfer, alors que la convoitise des acteurs et commanditaires de la guerre, pour les richesses minières de la RD Congo, ne fait que croître ». Enfin pour Ledjely en Guinée, ce « verdict pourrait être perçu par l'opposition politique congolaise comme une manœuvre d'intimidation à l'encontre de toutes les voix dissidentes, en prévision du troisième mandat que Félix Tshisekedi caresse en secret l'ambition de briguer. C'est dire, conclut le site guinéen, que la condamnation prononcée contre Kabila pourrait contribuer à dégrader davantage les rapports de confiance entre les acteurs de la scène politique congolaise. Une méfiance qui ne pourra que galvaniser ceux dont les intérêts prospèrent dans l'insécurité chronique qui sévit en RDC depuis une trentaine d'années ».
Ils sont près de 100 millions dans le monde, leur rôle est jugé essentiel par les institutions internationales pourtant la profession d'enseignants souffre d'une grave crise de vocations. Selon l'Unesco, le taux d'enseignants démissionnaires a doublé en 7 ans, pour atteindre 9% en 2022. En France, le nombre de candidats au concours pour le secondaire a diminué de trois quarts depuis 1990. En cause, des salaires insuffisants, des classes surchargées, un manque de matériels, des réformes à répétition, un manque de considération qui poussent les enseignants à questionner le sens de métier. Il manque 44 millions d'enseignants, d'ici 2030 pour garantir l'accès universel à l'éducation primaire et secondaire, ce qui rend le sujet de la revalorisation de la profession d'autant plus cruciale. Comment résoudre la crise de confiance entre les enseignants et les décideurs politiques ? Comment améliorer leurs conditions de travail ? Avec : • Jérémie Fontanieu, professeur de sciences économiques et sociales au Lycée Eugène Delacroix de Drançy en Seine-Saint-Denis. Auteur du livre Le mythe du prof-héros (Les liens qui libèrent, 2025). Porte-parole du collectif Réconciliations • Borhene Chakroun, Directeur de la Division pour les politiques et les systèmes d'apprentissage tout au long de la vie de l'UNESCO • Jolino Malukisa, directeur du pilier gouvernance à l'Institut congolais de recherches Ebuteli. Chercheur associé à l'Université d'Anvers en Belgique. En première partie de l'émission, l'École autour du Monde avec Camille Ruiz, correspondante à Séoul en Corée du Sud. Avec 56,2 % des adultes de 25 à 64 ans titulaires d'un diplôme, le pays conserve sa première place mondiale en matière de diplômés pour la 17eme année consécutive. En fin d'émission la chronique Un parent, une question et les conseils du psychologue Ibrahima Giroux, professeur à l'Université Gaston Berger de Saint-Louis du Sénégal. Aujourd'hui il répond à la question d'El Mohammed, directeur d'école à Conakry en Guinée qui s'inquiète pour une de ses élèves très timide. Programmation musicale : ► A deux – Aupinard ► Djilon – Victor Démé
À Marseille, il y a cette présence au-dessus de nous… on lève les yeux et on la voit : la Bonne Mère. Surnom que l'on donne à Notre Dame de la Garde. Elle rassure, elle protège, elle incarne cette ville. Et si elle se cache en ce moment pour cause de travaux elle reste, malgré tout, celle vers qui tous les objectifs sont pointés ! La bonne mère, c'est le titre du premier roman de Mathilda di Matteo dont Marseille est le personnage principal et dans lequel sont traités la maternité, la force des liens qui unissent mais serrent parfois trop fort, les origines, les fragilités, la relation mère-fille, la transmission – tout ce qui fait de nous des êtres humains profondément ancrés dans une histoire, une ville, une lignée. Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Show NotesOrigin story: From pharma to inpatient BH—witnessing 7–10 day transformations.Definition reset: BH includes SUD, PTSD, SMI, and cognitive issues (e.g., dementia).Stigma & seniors: “Toughen up” culture vs. the art + science of psychiatry.By the numbers: Many struggle; only about half receive treatment; rural access gaps.SC lens: A significant share of South Carolinians live with BH conditions; access differs by geography.Double burden for seniors: Depression/anxiety + chronic disease = worse outcomes if untreated.Integration works: More check-ins, coordinated teams, better adherence, fewer ER visits/hospitalizations.Your Health approach: Prevention, integration, outcomes—BH as part of every care plan.Personal reflection: Normalizing conversations reduces shame and opens doors to help.Set-up for Part 2: Social media's role, early intervention, and the provider playbook. www.YourHealth.Org
L'histoire de la clémentine ressemble à un conte fruité, né au croisement de la science, du hasard et de la passion botanique. Elle commence en 1902, dans un orphelinat agricole tenu par les Frères de l'Annonciation, près d'Oran, en Algérie alors française. Le responsable des lieux, le frère Clément Rodier, moine d'origine alsacienne, s'intéresse depuis longtemps à l'agriculture et à l'amélioration des cultures fruitières. Curieux, il multiplie les expérimentations dans le verger de l'orphelinat.Un jour, en observant des plants d'agrumes, il découvre un arbre étrange. Celui-ci, issu vraisemblablement d'un croisement naturel entre un mandarinier et un oranger doux, porte des fruits petits, ronds, à la peau fine et à la chair sucrée. Contrairement aux mandarines classiques, ils sont presque sans pépins. Le frère Clément comprend vite qu'il tient là une découverte précieuse, facile à cultiver et surtout très appréciée des enfants de l'orphelinat. On baptise ce nouveau fruit « clémentine », en hommage à son découvreur.L'innovation tombe à point nommé. À l'époque, la mandarine, bien que populaire, est jugée trop acide et pleine de graines, ce qui limite sa consommation. La clémentine, elle, se pèle facilement, ne laisse pas de jus collant sur les doigts et plaît aux plus jeunes comme aux adultes. Sa douceur et sa praticité la rendent rapidement irrésistible.Dès les années 1920, la culture de la clémentine se répand dans toute l'Algérie, puis en Corse, au Maroc et en Espagne. Après la Seconde Guerre mondiale, elle conquiert la France métropolitaine, devenant un fruit d'hiver emblématique. Dans les années 1960, la Corse en fait même une spécialité locale, donnant naissance à l'appellation « clémentine de Corse », très recherchée pour sa qualité.Aujourd'hui, la clémentine est produite sur tous les continents, des vergers méditerranéens aux plantations de Californie et d'Afrique du Sud. Mais son origine reste profondément franco-algérienne, née de l'observation attentive d'un moine qui voulait nourrir au mieux les enfants d'un orphelinat.Ce qui frappe dans cette histoire, c'est la rencontre entre le hasard biologique et la curiosité humaine. Sans le regard passionné du frère Clément, ce croisement naturel aurait pu passer inaperçu. Sa découverte illustre la manière dont l'agriculture, parfois, se réinvente grâce à des figures modestes, éloignées des laboratoires mais proches de la terre.La clémentine n'est donc pas seulement un fruit d'hiver que l'on déguste à Noël. Elle est le symbole discret d'une invention née dans un coin de verger algérien, devenue en un siècle un véritable patrimoine mondial. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
« Je suis un homme du sérail, mais pas un apparatchik », affirme le Congolais de Brazzaville, Firmin Édouard Matoko, qui est haut fonctionnaire à l'Unesco depuis trente ans et qui brigue lundi prochain la succession de la Française Audrey Azoulay au poste de directeur général de l'Organisation des Nations Unies pour l'ducation, la science et la culture. RFI a également sollicité une interview auprès de l'autre candidat, l'ancien ministre égyptien de la Culture, Khaled El-Enany, qui, pour l'instant, n'a pas donné suite à notre requête. De passage à Paris, Firmin Édouard Matoko répond à Christophe Boisbouvier. RFI : Quelle est la vision de l'Unesco que vous porterez si vous êtes élu ? Firmin Édouard Matoko : Alors, moi je pense que ce qu'il faut apporter comme réponse, c'est très vite des solutions pragmatiques à ce qui est reproché au système des Nations unies, son inefficacité, son extrême bureaucratisation et son extrême politisation. Alors, il n'y a pas assez d'opérations à vos yeux, vous voulez dire que, par exemple, l'opération de réhabilitation de Mossoul au nord de l'Irak par madame Audrey Azoulay, c'est bien, mais ce n'est pas suffisant ? Non, c'est une opération d'ailleurs qui restera, je pense, dans les annales de l'Unesco, comme on en a connu pour Abou Simbel, Tombouctou, tous les sites du patrimoine que nous avons restaurés dans le monde. Non, je pense qu'on peut faire plus, on peut faire mieux. Moi, ce que je propose, c'est une réflexion sur la mission et le mandat de l'Unesco. C'est une agence technique, intellectuelle, ce n'est pas une agence conçue pour faire de la médiation politique. C'est une agence qui doit proposer des solutions techniques à des situations extrêmement complexes du point de vue politique. On l'a vu avec la guerre en Ukraine par exemple, on le voit à Gaza, on le voit dans des conflits qu'aujourd'hui on oublie malheureusement, au Soudan, en Haïti, en Afghanistan. Vous dites que l'Unesco manque de ressources. Or, ce n'est pas de chance, mais cette année, les États-Unis ont annoncé leur retrait. Ils contribuent à 20 %. Est-ce que vous avez quelque chose à répondre à Donald Trump qui dit que l'Unesco est trop politisée ? Écoutez, c'est une organisation universelle où toutes les voix ont leur importance. Et c'est une organisation intellectuelle, donc, nous, on admet la contradiction, le débat contradictoire. Je crois que ce qui est important, c'est qu'on arrive à un consensus sur cette thématique majeure. Nous ne sommes pas là pour trancher en faveur d'un courant ou d'un autre, mais nous donnons des espaces d'expression aux États membres, à la société civile sur des sujets majeurs. Donc, cette organisation, c'est un espace de dialogue et de solidarité. Vous êtes un haut fonctionnaire de l'Unesco depuis plus de 30 ans. Que répondez-vous à ceux qui disent que vous êtes un apparatchik ? Ça existe encore ce mot « apparatchik » ? Je ne savais pas ça… Enfin… Disons que justement, du fait que je sois un homme du sérail, je préfère, qui a la connaissance de la maison, qui a été à des instances de direction au cours des quinze dernières années, je sais ce que l'on peut proposer, je sais où se trouvent les changements possibles et je sais ce qui peut se faire immédiatement. Alors votre adversaire, l'Égyptien Khaled El-Enany, il dit que lui, il vient de l'extérieur de cette organisation et qu'il a une expérience de terrain, puisqu'il a été ministre de la Culture de son pays. Est-ce que ce n'est pas une différence entre vous deux ? Moi, j'ai été ministre des Relations extérieures, l'équivalent, je ne sais pas, de l'Unesco, pendant quinze ans, et de la priorité Afrique. J'ai visité, j'ai parcouru plus de 100 pays en apportant des solutions en temps de paix, en temps de conflit, en Irak, en Jordanie, en Syrie, en Haïti, au Cambodge, aux grands moments des conflits, en Somalie, au Soudan. Donc, je crois que je sais ce que c'est que le multilatéralisme. Nous avons proposé des solutions au Rwanda après le génocide, au Burundi, au Congo. Et donc je pense que c'est réduire mon expérience en parlant d'apparatchik. Vous n'êtes candidat que depuis six mois, alors que votre adversaire, il l'est depuis plus de deux ans et il a recueilli le soutien de nombreux pays dans le monde arabe, en Europe, etc. Est-ce que vous n'allez pas à cette bataille avec un gros handicap ? Non, moi je ne crois pas. Je peux vous dire que moi, je suis candidat depuis 30 ans, depuis le premier jour que je suis rentré à l'Unesco. J'ai eu l'ambition un jour, et je suis modestement un modèle pour beaucoup de collègues, parce qu'on peut effectivement concevoir qu'un ressortissant d'un petit pays du Sud, sans être péjoratif, formé à l'intérieur de l'Unesco, peut accéder aux instances dirigeantes. On n'a pas besoin d'avoir été ministre de son pays pour diriger cette organisation. Et je ne crois pas avoir été en retard. Certains sont trop en avance. Mais je crois en la sagesse, en la lucidité des Etats membres pour choisir le meilleur candidat pour cette organisation. Mais l'Union africaine a déjà donné sa préférence, c'est pour votre adversaire… L'Union africaine a entériné une candidature, mais selon la loi, les Etats membres, ici à l'Unesco, ne sont pas appelés à élire un candidat de l'Union africaine. L'Union africaine ne vote pas, sinon on aurait eu un candidat du Mercosur, un candidat de l'Union européenne. Et je pense que j'ai légitimement le droit de me présenter candidat. Et quand on vous dit que l'Égyptien Khaled El-Enany part favori, qu'est-ce que vous répondez ? Ça ne me décourage pas, croyez-moi. Moi, je ne suis pas un candidat d'une région, d'un pays. Je suis candidat de toutes les nations, de tous les peuples. Et j'y vais avec la conviction parce que j'ai la passion de cette organisation et cette institution. À lire aussiSuccession à la tête de l'Unesco: «Les deux candidats rassurent par rapport à leurs capacités à diriger»
Adopté il y a 25 ans, l'Agoa permet à 32 pays africains d'exporter des milliers de produits vers les États-Unis sans droits de douane. Mais il expire ce 30 septembre à minuit, sauf prolongation de dernière minute. Un bilan contrasté pour un accord crucial à la fois économique et géopolitique. En 2000, sous Bill Clinton, l'Agoa (African Growth and Opportunity Act) voit le jour avec un objectif clair : renforcer les relations commerciales entre les États-Unis et l'Afrique subsaharienne. Aujourd'hui, cet accord permet à 32 pays africains d'exporter plus de 6 000 produits sans droits de douane : biens manufacturés, textile, voitures sud-africaines, produits agricoles ou encore ressources minières. En contrepartie, ces pays doivent respecter certains critères : économie de marché, progrès en matière de gouvernance, de démocratie et de droits humains. C'est pourquoi la liste des membres évolue régulièrement. En 2023, les exportations africaines vers les États-Unis dans ce cadre ont atteint 10 milliards de dollars. Des résultats visibles, mais concentrés dans quelques pays Depuis son entrée en vigueur, l'Agoa a permis aux exportations africaines vers les États-Unis de progresser de 37% entre 2001 et 2021. Mais les bénéfices sont très inégalement répartis. L'Afrique du Sud en tire le plus grand profit avec ses voitures, ses agrumes et son vin. Viennent ensuite le Kenya et le Lesotho grâce au textile, ainsi que Madagascar dans une moindre mesure. Pour la majorité des autres pays, l'impact reste marginal. Pourtant, une fin brutale de l'Agoa aurait des conséquences lourdes, comme une perte de compétitivité, un recul des investissements et menaces sur des centaines de milliers d'emplois. Un avenir incertain face au retour du protectionnisme américain Au Kenya, 300 000 emplois du secteur textile sont menacés. Au Lesotho, l'Agoa a permis de bâtir la première industrie du pays, le vêtement, où se fournissent encore de grandes marques américaines. En Afrique du Sud, déjà frappée par un chômage supérieur à 30%, des dizaines de milliers d'emplois pourraient disparaître. Pour ces pays, l'Agoa est indéniablement une réussite, mais ses bénéfices restent concentrés. De leur côté, les investisseurs américains ont aussi profité de cette dynamique. Reste que Washington, à l'heure du protectionnisme et des droits de douane, revoit sa politique commerciale. Et si les États-Unis se retiraient un peu plus du terrain africain, un vide se créerait. Un vide que ne manquerait pas de combler la Chine, devenue paradoxalement l'ennemi numéro 1 de Donald Trump et le premier partenaire commercial de la majorité des pays du continent.
EEUU le ha presentado a Israel y se entiende que también a Hamas su propuesta de acuerdo para poner fín al conflicto en Gaza. El texto incluye diversos puntos, entre los que destaca que Israel no ocupará o se anexará la Franja. Hablaremos de la situación sobre el terreno en Gaza, de las elecciones de Moldavia, en las que el europeísmo se ha impuesto frente a quienes prefieren ser aliados de Rusia.Tendremos entrevista sobre ello.Estaremos en Bruselas para conocer las sanciones impuestas por la UE sobre Irán, tendremos entrevista sobre la delicadísima situación en Sudán del Sur y estaremos con nuestro enviado especial a Liverpool para que nos cuente cómo está siendo el congreso anual del Partido Laborista británico.Escuchar audio
Peligra el acuerdo de paz de Sudán del Sur ante el proceso judicial abierto contra el actual vicepresidente, Riek Machar, acusado de crímenes contra la humanidad y traición. Hablamos con María Ángeles Alaminos, profesora adjunta en el Departamento de Estudios Internacionales de la Universidad Loyola Andalucía e investigadora del Grupo de Estudios Africanos.Escuchar audio
durée : 00:03:29 - Le Fil éco - Pourquoi les Pays du Sud sont-ils toujours englués dans un modèle économique à fort parfum colonial ? Selon Orain, les élites européennes des 17ᵉ-18ᵉ siècles les ont cantonnés aux minerais et plantations, les condamnant à exporter produits agricoles et miniers, sans industrialisation. - réalisation : Sam Baquiast
RFI vous a proposé ces dernières semaines une série de reportages et analyses sur les trafics de drogue à travers le monde. Cette semaine, nous sommes au coeur du système de production, une sorte d'agriculture intensive de la plante de coca qui va devenir cocaïne après maintes manipulations chimiques. Nous sommes en Colombie, premier producteur mondial de cocaïne et en Equateur devenu la première porte de sortie de la drogue d'Amérique du Sud, un reportage d'Eric Samson. En seconde partie d'émission, direction Pékin où nous serons en ligne avec notre correspondante permanente Clea Broadhurst après son reportage sur la natalité. En Chine, il est loin le temps de la règle d'or de l'enfant unique mais ce n'est pas évident de remotiver les Chinois sur la voie de la famille plus ou moins nombreuse. Coca, basuco et cocaïne: une frontière sous influence La cocaïne est devenue une drogue du quotidien si l'on peut dire. Il y a quelques décennies, elle était chère, et plutôt réservée à certains milieux privilégiés. Son usage s'est considérablement popularisé, notamment en Europe. Plus forte, moins chère, très abondante grâce à la mondialisation du commerce et très bien distribuée. Qui dit cocaïne dit Colombie. Premier producteur mondial. Cet homme que nous venons d'entendre est Colombien. Il préfère ne pas donner son vrai nom. Installé dans le sud du pays, à quelques mètres de la frontière équatorienne, il cultive depuis des années de la coca qu'il transforme ensuite en pâte base de cocaïne dans un petit laboratoire de fortune. Notre correspondant en Équateur s'est arrangé pour passer la frontière, aller sur place sur le sol colombien, recueillir les témoignages de ces petites mains de la poudre blanche en fabrication, qui inonde la planète. Un Grand reportage d'Eric Samson qui s'entretient avec Jacques Allix. Naissances en Chine : quand l'intime défie la politique Le vent tourne en Chine en termes de natalité. L'enfant unique fut longtemps une obligation. Aujourd'hui, l'inverse est presque de mise : l'État s'inquiète de voir les naissances chuter. En 2024, le pays n'a enregistré que 9 millions et demi de bébés, très peu à l'échelle du pays. Un des niveaux les plus bas depuis la fondation de la République populaire. Les autorités multiplient les incitations. Mais les jeunes, eux, y regardent à deux fois. Grandir, aimer et transmettre. Ils s'interrogent. Un Grand reportage de Clea Broadhurst (et Chi Xiangyuan) qui s'entretient avec Jacques Allix.
Un diggeur passionné des Caraïbes talonné par un poète anglo-trinidadien qui slame la mémoire des afro-descendants. (Rediffusion) Emile Omar est notre 1er invité pour présenter le 3e volume de la série Disques Debs International Mizik Maladi (Strut Record 2025). Une compilation concoctée par Emile Omar et Hugo Mendez. Strut présente avec enthousiasme le troisième volume tant attendu de la série Disques Debs International, explorant plus en profondeur les archives de l'un des plus grands labels franco-caribéens, Disques Debs, basé en Guadeloupe. Fondé par le visionnaire Henri Debs à la fin des années 1950, le label et son studio ont fonctionné pendant plus de 50 ans, produisant plus de 300 singles 7” et 200 albums, faisant de Disques Debs un pilier de l'histoire musicale caribéenne. Au début des années 1980, Henri Debs s'était déjà imposé comme un producteur prolifique, avec un catalogue de sorties inégalé en Guadeloupe et en Martinique. Parti d'un simple magnétophone deux pistes installé à l'arrière d'une boutique de vêtements, Disques Debs s'est transformé en une véritable institution, avec un studio ultramoderne en plein cœur de Pointe-à-Pitre, des magasins de disques et d'instruments de musique en Guadeloupe, en Martinique et à Paris, une discothèque au Gosier, ainsi que des accords de distribution internationale en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud. Disques Debs a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la musique caribéenne moderne, créant un pont entre les genres traditionnels comme la biguine et le gwoka et les styles contemporains comme le cadence, le compas et le zouk. Ce dernier est devenu un phénomène mondial dans les années 1980 grâce à des groupes emblématiques comme Kassav' et Zouk Machine. Durant cette période, le label a soutenu une nouvelle génération d'artistes tout en continuant à collaborer avec des figures légendaires des décennies précédentes. Le volume 3 de cette série, compilé par Emile Omar et Hugo Mendez, met en lumière l'une des périodes les plus dynamiques et influentes du label, alors qu'il étendait son rayonnement international dans les années 1980. À travers deux vinyles, cette sortie propose une sélection soigneusement choisie de morceaux issus de l'univers Disques Debs, mettant en avant à la fois de jeunes talents et des artistes confirmés qui ont marqué cette époque. Cette collection célèbre non seulement l'héritage inégalé d'Henri Debs, mais offre également un instantané de l'âge d'or de la musique caribéenne, confirmant Disques Debs comme une véritable institution culturelle. ► Titres joués - Christian Yéyé – Misyé Zanndo - Horizon – Neg Mawon - Alex Rosa – L'Appel des champions - Max et Henri – Sé Pou Demen ► Album Mizik Maladi, l'âge d'or des Disques Debs International (Strut Record 2025) Bandcamp Volume 1 Bandcamp Volume 2 Cadence Revolution Bandcamp Volume 3 Mizik Maladi À écouter aussiSpéciale Disques Debs international avec Émile Omar Notre 2nd invité est Anthony Joseph pour la sortie de l'album Rowing up River to Get Our Names Back. L'origine africaine des OVNI, George Clinton en personne, n'aurait pas désavoué ce concept afro-futuriste dont Anthony Joseph avait fait le sujet de The African Origins Of Ufo's, sa nouvelle écrite il y a bientôt vingt ans. Durant ce laps de temps, les albums du chanteur-poète de Trinidad se sont succédé, mais l'idée ne s'est pas évaporée. Après un travail de réflexion et de recherches artistiques avec le musicien-producteur Dave Okumu, il est même devenu l'axe de rotation de son nouvel album. Base des premiers titres élaborés en duo, la nouvelle est ensuite devenue la rampe de lancement de Rowing Up River To Get Our Names Back Vol 1 & 2. D'une aventure si dense qu'il a fallu la scinder en deux parties. Après avoir solidement assuré la connexion musicale de toute la diaspora caribéenne sur ses précédents albums, Anthony Joseph s'engage dans une fresque musicale aussi ambitieuse que fascinante : l'exploration de toutes ces strates qui constituent la longue et tumultueuse histoire de la musique noire. Ces couches créatives qui se sont superposées et additionnées, la nouvelle se nourrissant de la précédente pour, sans le savoir, préparer l'arrivée de la suivante. Cet immense puzzle où, reliées par une forte conscience politique, les différentes pièces ont noirci les portées de leurs notes les plus intenses. Sculpté dans la cire des œuvres si impérissables qu'elles ont rendu stériles toutes les tentatives d'altération des décennies qui se sont accumulées. Forme, fond, portée révolutionnaire, tout est resté intact. Y compris l'esprit de tous ces musiciens qui ne se sont exprimés que par la voix de leur instrument, la puissance de leur groove, la radicalité de leur démarche artistique. Funk, P-Funk, soul, dub, free-jazz, jazz, afrobeat, blues, confrontant leurs deux visions musicales pour n'en former plus qu'une, c'est en binôme éclairé par les phares de leur créativité qu'Anthony Joseph et Dave Okumu ont façonné un afro-futurisme à l'esthétique mouvante et sans limites d'expansion. Stabilisée par cette volonté de raviver toutes les racines, l'exploration se conjugue à celle qui mène aux patronymes perdus. Ceux qui, entre le voyage depuis l'Afrique vers l'Amérique, se sont évaporés dans les flots de l'Atlantique et le claquement des fouets. Ceux dont ont été dépossédés les déracinés de force qui ont dû endosser celui du maître. Les peaux des batteries, le bois des baguettes et celui des percussions, le nylon de cordes, les métaux des saxophones et les trompettes, tout ce qui constitue l'arche organique dans laquelle ont embarqué les héros de la musique noire, révèle au moment du décollage un tableau de bord à l'électronique sophistiquée. Renforcer, voire supplanter certaines fonctions peut s'avérer utile tant la destination est lointaine. Elle est à des années-lumière d'ici. La rejoindre impose de connecter le présent avec le passé pour pouvoir l'emmener dans le futur. Dans l'afro futur. Là où, après avoir remonté la rivière, tous auront récupéré leurs noms et se seront réappropriés un pan de leur histoire. ► Titres joués extraits de l'album - Satellite - Tony - Black History - Churches of Sound ► Album Rowing up River to Get Our Names Back (Heavenly Sweetness 2025) Site – Bandcamp – YouTube.
Un diggeur passionné des Caraïbes talonné par un poète anglo-trinidadien qui slame la mémoire des afro-descendants. (Rediffusion) Emile Omar est notre 1er invité pour présenter le 3e volume de la série Disques Debs International Mizik Maladi (Strut Record 2025). Une compilation concoctée par Emile Omar et Hugo Mendez. Strut présente avec enthousiasme le troisième volume tant attendu de la série Disques Debs International, explorant plus en profondeur les archives de l'un des plus grands labels franco-caribéens, Disques Debs, basé en Guadeloupe. Fondé par le visionnaire Henri Debs à la fin des années 1950, le label et son studio ont fonctionné pendant plus de 50 ans, produisant plus de 300 singles 7” et 200 albums, faisant de Disques Debs un pilier de l'histoire musicale caribéenne. Au début des années 1980, Henri Debs s'était déjà imposé comme un producteur prolifique, avec un catalogue de sorties inégalé en Guadeloupe et en Martinique. Parti d'un simple magnétophone deux pistes installé à l'arrière d'une boutique de vêtements, Disques Debs s'est transformé en une véritable institution, avec un studio ultramoderne en plein cœur de Pointe-à-Pitre, des magasins de disques et d'instruments de musique en Guadeloupe, en Martinique et à Paris, une discothèque au Gosier, ainsi que des accords de distribution internationale en Europe, aux États-Unis et en Amérique du Sud. Disques Debs a joué un rôle essentiel dans l'évolution de la musique caribéenne moderne, créant un pont entre les genres traditionnels comme la biguine et le gwoka et les styles contemporains comme le cadence, le compas et le zouk. Ce dernier est devenu un phénomène mondial dans les années 1980 grâce à des groupes emblématiques comme Kassav' et Zouk Machine. Durant cette période, le label a soutenu une nouvelle génération d'artistes tout en continuant à collaborer avec des figures légendaires des décennies précédentes. Le volume 3 de cette série, compilé par Emile Omar et Hugo Mendez, met en lumière l'une des périodes les plus dynamiques et influentes du label, alors qu'il étendait son rayonnement international dans les années 1980. À travers deux vinyles, cette sortie propose une sélection soigneusement choisie de morceaux issus de l'univers Disques Debs, mettant en avant à la fois de jeunes talents et des artistes confirmés qui ont marqué cette époque. Cette collection célèbre non seulement l'héritage inégalé d'Henri Debs, mais offre également un instantané de l'âge d'or de la musique caribéenne, confirmant Disques Debs comme une véritable institution culturelle. ► Titres joués - Christian Yéyé – Misyé Zanndo - Horizon – Neg Mawon - Alex Rosa – L'Appel des champions - Max et Henri – Sé Pou Demen ► Album Mizik Maladi, l'âge d'or des Disques Debs International (Strut Record 2025) Bandcamp Volume 1 Bandcamp Volume 2 Cadence Revolution Bandcamp Volume 3 Mizik Maladi À écouter aussiSpéciale Disques Debs international avec Émile Omar Notre 2nd invité est Anthony Joseph pour la sortie de l'album Rowing up River to Get Our Names Back. L'origine africaine des OVNI, George Clinton en personne, n'aurait pas désavoué ce concept afro-futuriste dont Anthony Joseph avait fait le sujet de The African Origins Of Ufo's, sa nouvelle écrite il y a bientôt vingt ans. Durant ce laps de temps, les albums du chanteur-poète de Trinidad se sont succédé, mais l'idée ne s'est pas évaporée. Après un travail de réflexion et de recherches artistiques avec le musicien-producteur Dave Okumu, il est même devenu l'axe de rotation de son nouvel album. Base des premiers titres élaborés en duo, la nouvelle est ensuite devenue la rampe de lancement de Rowing Up River To Get Our Names Back Vol 1 & 2. D'une aventure si dense qu'il a fallu la scinder en deux parties. Après avoir solidement assuré la connexion musicale de toute la diaspora caribéenne sur ses précédents albums, Anthony Joseph s'engage dans une fresque musicale aussi ambitieuse que fascinante : l'exploration de toutes ces strates qui constituent la longue et tumultueuse histoire de la musique noire. Ces couches créatives qui se sont superposées et additionnées, la nouvelle se nourrissant de la précédente pour, sans le savoir, préparer l'arrivée de la suivante. Cet immense puzzle où, reliées par une forte conscience politique, les différentes pièces ont noirci les portées de leurs notes les plus intenses. Sculpté dans la cire des œuvres si impérissables qu'elles ont rendu stériles toutes les tentatives d'altération des décennies qui se sont accumulées. Forme, fond, portée révolutionnaire, tout est resté intact. Y compris l'esprit de tous ces musiciens qui ne se sont exprimés que par la voix de leur instrument, la puissance de leur groove, la radicalité de leur démarche artistique. Funk, P-Funk, soul, dub, free-jazz, jazz, afrobeat, blues, confrontant leurs deux visions musicales pour n'en former plus qu'une, c'est en binôme éclairé par les phares de leur créativité qu'Anthony Joseph et Dave Okumu ont façonné un afro-futurisme à l'esthétique mouvante et sans limites d'expansion. Stabilisée par cette volonté de raviver toutes les racines, l'exploration se conjugue à celle qui mène aux patronymes perdus. Ceux qui, entre le voyage depuis l'Afrique vers l'Amérique, se sont évaporés dans les flots de l'Atlantique et le claquement des fouets. Ceux dont ont été dépossédés les déracinés de force qui ont dû endosser celui du maître. Les peaux des batteries, le bois des baguettes et celui des percussions, le nylon de cordes, les métaux des saxophones et les trompettes, tout ce qui constitue l'arche organique dans laquelle ont embarqué les héros de la musique noire, révèle au moment du décollage un tableau de bord à l'électronique sophistiquée. Renforcer, voire supplanter certaines fonctions peut s'avérer utile tant la destination est lointaine. Elle est à des années-lumière d'ici. La rejoindre impose de connecter le présent avec le passé pour pouvoir l'emmener dans le futur. Dans l'afro futur. Là où, après avoir remonté la rivière, tous auront récupéré leurs noms et se seront réappropriés un pan de leur histoire. ► Titres joués extraits de l'album - Satellite - Tony - Black History - Churches of Sound ► Album Rowing up River to Get Our Names Back (Heavenly Sweetness 2025) Site – Bandcamp – YouTube.
The Pitt, una nuova serie tv ambientata durante un unico, lungo turno in un pronto soccorso, ridefinisce il concetto di medical drama. I nuovi traffici illeciti del Sud-est asiatico sono al centro del reportage Asia criminale di Emanuele Giordana e Massimo Morello (Baldini+Castoldi). All'Opera di Roma va in scena The turn of the screw di Benjamin Britten, un'opera lirica del 1954 tratta dall'omonimo racconto di fantasmi di Henry James. Man è il titolo del nuovo libro fotografico dell'artista e curatore olandese Erik Kessels, ossessivo collezionista e studioso di fotografia vernacolare, ovvero le immagini create da gente comune con macchine non professionali.CONJonathan Zenti, podcaster che cura la rubrica Audio su Internazionale Emanuele Giordana, giornalista Christian Raimo, scrittore e insegnanteGiovanna D'Ascenzi, photo editor di Internazionale Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/podcastScrivi a podcast@internazionale.it o manda un vocale a +39 3347063050Produzione di Claudio Balboni e Vincenzo De Simone.Musiche di Carlo Madaghiele, Raffaele Scogna, Jonathan Zenti e Giacomo Zorzi.Direzione creativa di Jonathan Zenti.The Pitt: https://www.youtube.com/watch?v=X9-1IiQceJw&t=106s Asia criminale: https://www.youtube.com/watch?v=vGIQCxZJQwY&t=1345s The turn of the screw: https://www.youtube.com/watch?v=8C3coObn6IIErik Kessels: https://www.youtube.com/watch?v=7_Yjf5l1G9kCi piacerebbe sapere cosa pensi di questo episodio. Scrivici a podcast@internazionale.it Se ascolti questo podcast e ti piace, abbonati a Internazionale. È un modo concreto per sostenerci e per aiutarci a garantire ogni giorno un'informazione di qualità. Vai su internazionale.it/abbonatiConsulenza editoriale di Chiara NielsenProduzione di Claudio Balboni e Vincenzo De SimoneMusiche di Tommaso Colliva e Raffaele ScognaDirezione creativa di Jonathan Zenti
Queridos oyentes, estimados suscriptores free de La Cultureta Gran Reserva, El Criticón del programa tiene unas palabras para vosotros. Dice así: Uno. En otoño -como cabía esperar- entrará de nuevo en examen la cinta ‘Un hombre llamado Flor de Otoño'; celebremos este Pedro Ólea Pepe Sacristán World Pride Vintage Film que sirve para cualquier día de la semana. Dos. Hace diez días ya que Bob no está con nosotros. Y no le encontramos aún sentido a todo esto. Al programa, a las críticas ciegas… puf, para qué. Descansa en paz, Bob. Este programa mantendrá vivo tu recuerdo y tu legado XXL, We promise. Tres. Le ponemos banda sonora a nuestro estado de ánimo. Melancolía, sí, lo decimos. Escuchemos algo de la sorprendente ENNY. Ella no es nueva en el mundo pero sí para nos, la verdad, qué yayo soy. Escuchemos esta semana el tema ‘Charge It', que esta semana llega directo al número uno de nuestro corazón.Cuatro (y último). Este domingo 28 de septiembre es el día mundial contra la Rabia. Verídico. O sea ese estado emocional de ira o enojo grande, tochísimo, que a veces es tan intenso que puede llevarnos a perder el control y actuar salvajemente. O sea Gaza, Ucrania, Sudán, Congo, Haití…. somos nosotros frente al espejo, matándonos, sin hacer prácticamente nada.
Em Angola, a UNITA nega "perseguições" e promete congresso inclusivo. Cresce a preocupação com os crimes cibernéticos e a mineração ilegal de criptomoedas. Especialista aconselha Angola a criar já a sua própria geração defensora das fraudes digitais. Analisamos o aprofundar da crise no Sudão do Sul com o julgamento do vice-Presidente Machar. Arranca esta noite a 5ª jornada da Bundesliga.
Muchos sucesos que involucran a los Pueblos Indígenas están pasando alrededor del mundo. ¿Sabes cuáles son? Como parte del derecho a la información, Cultural Survival presenta este noticiero del mes de septiembre de 2025 con notas relevantes de Norte, Centro y Sur América, África y Asia, el cual puedes escuchar, descargar y compartir de forma gratuita. Música de introducción: - “Burn Your Village to the Ground” de The Halluci Nation. Derechos de autor, propiedad de The Halluci Nation. Usada bajo su permiso. Redacción: - Rosy Sul González, maya kaqchikel, Cultural Survival, Guatemala. - Shaldon Ferris, khoisan, Cultural Survival, Sudáfrica. - Dev Kumar, sunuwar, Cultural Survival, Asia. Voz: - Rosy Sul González, maya kaqchikel, Cultural Survival, Guatemala. - César Gómez, maya poqomam, Cultural Survival, Guatemala. Edición: - Rosy Sul González, maya kaqchikel, Cultural Survival, Guatemala. Imagen: - Cultural Survival.
13 septembre 1759, une journée qui va changer le Québec à tout jamais ! Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Merci à Geneviève C. Bergeron pour les commentaires sur la vidéo. Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira 00:00:00 -Introduction 00:03:16 - Les techniques de guerre 00:06:30 - Les combattants de 1759 00:11:09 - Les offensives britanniques 00:13:32 - La stratégie française 00:16:33 - La montée des troupes britanniques à la falaise de Québec 00:19:08 - La bataille des Plaines d'Abraham 00:26:52 - La capitulation de Québec 00:30:39 - La bataille de Sainte-Foy 00:32:54 - La capitulation de Montréal 00:33:39 - Le traité de Paris et la fin de la Nouvelle-France Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Dave Noël, Montcalm, général américain, Montréal, Boréal, 2018, Dave Noël, « La guerre de Sept Ans en Amérique du Nord », Nouvelle-France, Histoire et patrimoine, no1, 2019. Dave Noël, « L'agonie du marquis de Montcalm », Le Devoir, 27 janvier 2023. Joseph Gagné, « Voix de guerre : le renseignement au sein de l'armée française lors de la guerre de Sept Ans en Amérique du Nord », thèse de doctorat, histoire, Université Laval, 2020. Michel Thévenin, Changer le système de la guerre, Québec, Presses de l'Université Laval, 2020. Fred Anderson, Crucible of War: The Seven Years' War and the Fate of Empire in British North America, 1754-1766, New York, Random House, 2001 W.J. Eccles, France in America, New York, Harper & Row, 1972. Gérard Filteau, Par la bouche de mes canons. La ville de Québec face à l'ennemi, Québec, Septentrion, 1990. Jacinthe de Montigny, « Rendre compte des conflits nord-américains : une analyse des gazettes européennes durant la guerre de Sept Ans (1754-1763) », thèse de doctorat, histoire, Université du Québec à Trois-Rivières, 2023. Marcel Fournier, « Les soldats de la guerre de Sept Ans en Nouvelle-France, 1755-1760 », dans Laurent Veyssière et Bertrand Fonck (dir.), La guerre de Sept Ans en Nouvelle-France, Québec, Septentrion, 2012, p. 237-242. Jacques Lacoursière, Jean Provencher et Denis Vaugeois, Canada-Québec, 1534-2010, Québec, Septentrion, 2011 Charles Perry Stacey, Quebec, 1759 : The Siege and the Battle, Toronto, Robin Brass Studio, 2002. Commission des Champs de Bataille nationaux en collaboration avec Hélène Quimper, Les Plaines d'Abraham. Champ de bataille de 1759 à 1760, Montréal, Boréal, 2022. Gaston Deschênes, L'Année des Anglais : la Côte-du-Sud à l'heure de la Conquête, Québec, Septentrion, 2021. Jacques Mathieu et Sophie Imbeault, La guerre des Canadiens, 1756-1763, Québec, Septentrion, 2013. D. Peter MacLeod, La vérité sur la bataille des Plaines d'Abraham, les huit minutes de tirs d'artillerie qui ont façonné un continent, Montréal, L'Homme, 2008. Stephen Brumwell, Paths of Glory. The Life and Death of General Wolfe, Montreal, McGill-Queen's University Press, 2006, Louise Dechêne, Le peuple, l'État et la guerre au Canada sous le Régime français, Montréal, Boréal, 2008. « Le siège de Québec », Commission des champs de bataille nationaux, http://bataille.ccbn-nbc.gc.ca/ Hubert Cousineau, « L'implantation des soldats français de la guerre de Sept Ans au Canada (1755-1830) », mémoire de maîtrise, histoire, Université de Sherbrooke, 2021 Bertrand Fonck, « La campagne de 1760 et la bataille de Sainte-Foy », dans Nouvelle-France, Histoire et patrimoine, no 1, 2019. Laurent Veyssière (dir.), La Nouvelle-France en héritage, Paris, Armand Colin, 2013. Guy Frégault, La Guerre de la Conquête, Montréal, Fides, 1955. Edmond Dziembowski, La guerre de Sept Ans, 1756-1763, Québec, Septentrion, 2015 Jonathan R. Dull, La guerre de Sept Ans, Les Perséides, 2009. Francois Crouzet, « The Second Hundred Years War: Some Reflections », French History, 1996, p. 432-450. Charles-Philippe Courtois, La Conquête, une anthologie, Montréal, Typo, 2009 Jacques Godbout, Le sort de l'Amérique, 1996. « Bataille des Plaines d'Abraham », Wikipédia, Joan Coutu, Persuasion and Propaganda: Monuments, 2006. Battlefield Quebec (2009) https://youtu.be/Osj47uHJkUs?si=abEOIzhIe4PbAYjh Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #quebec #bataillequebec #plainesabraham #conquest #war
Deepfake vidéo, phishing sur-mesure, vishing vocal… Les cybercriminels ne reculent devant rien pour piéger les collaborateurs d'entreprise. Et avec l'explosion de l'intelligence artificielle, ces attaques deviennent de plus en plus crédibles, ciblées, et dévastatrices. Arnaud Loubatière, directeur Europe du Sud de SoSafe, revient dans cet épisode sur les nouvelles formes d'ingénierie sociale.En partenariat avec SoSafeLoin d'être une simple question de pare-feu ou d'antivirus, la cybersécurité est aujourd'hui un enjeu humain. Dans cet entretien, Arnaud Loubatière explique pourquoi les hackers visent désormais directement les individus, à travers des attaques contextuelles, multicanales et psychologiquement bien ficelées. Il revient aussi sur les failles exploitées dans plusieurs affaires récentes : l'attaque contre Marks & Spencer via un sous-traitant, le vol massif de données chez les opérateurs télécoms, ou encore les détournements bancaires par simple changement d'IBAN.Face à cette menace invisible mais omniprésente, la solution passe par la sensibilisation, la formation continue et l'accompagnement intelligent des collaborateurs. Arnaud Loubatière décrit les outils que SoSafe déploie pour renforcer la vigilance et la posture cyber dans les entreprises, avec notamment un assistant IA intégré à la messagerie. L'enjeu est clair : transformer l'humain, souvent perçu comme le maillon faible, en première ligne de défense contre les cyberattaques de demain.Savoir plus : Tendances en cybercriminalité 2025
durée : 00:10:16 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Dans "Classe Moyenne", Anthony Cordier orchestre la confrontation explosive entre grands bourgeois et gardiens de maison, dans le décor ensoleillé d'une villa du Sud. Entre tensions sociales et drame intime, le récit bascule vite vers la tragédie. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Adrien Dénouette Critique de cinéma et enseignant; Murielle Joudet Critique cinéma française
En entrevista para MVS Noticias con Luis Cárdenas, Óscar Balderas, periodista, habló sobre Naasón Joaquín y la Luz del Mundo, así como de narcos mexicanos en Sudáfrica.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Bienvenue dans notre rendez-vous hebdomadaire : le Club de C'est pas du vent. Des journalistes spécialistes de l'environnement, de RFI et d'ailleurs, reviennent sur les sujets environnementaux qui les ont marqués et partagent les coulisses de leur travail. L'occasion aussi de commenter les reportages produits par les vidéastes du réseau ePOP et les actions des Clubs RFI. Avec - Emmanuel Clevenot de Reporterre sur un rapport de l'Oxfam qui détaille comment les pays riches s'accaparent des ressources en minéraux des pays du Sud, pour mener leur transition énergétique. Ce, en utilisant les stratégies semblables à celles utilisées lors de la colonisation historique - Amanda Morrow du service anglophone sur Aulani Wilhelm, l'une des architectes de Papahānaumokuākea à Hawaï, la plus grande AMP du monde. Elle explique pourquoi le leadership autochtone est clé – et pourquoi il faudrait 53 autres Papahānaumokuākea pour tenir l'objectif ! - Simon Rozé du service environnement de RFI reviendra sur la journée climat de l'Assemblée Générale de l'Onu - Stefanie Schüler du service environnement de RFI : la Chine inaugure une nouvelle « route de la soie » qui passe par l'Arctique, profitant du dégel provoqué par le réchauffement climatique. - Chronique ePOP Science / (RFI Planète Radio/IRD) de Caroline Filliette avec Marie-Christine Cormier-Salem, géographe à l'IRD au sein de l'Unité mixte de recherche «Patrimoines locaux, Environnement et globalisation» pour le film de Vincent Camara Sous les racines échasses (Guinée). Chronique médias d'Anne-Sophie Novel. Musiques diffusées dans l'émission - Bleached - Next Stop - Pop Pop - Sparrow & Barbossa.
Nous sommes au début des années 1870, à Londres. C'est chez l'éditeur John Murray que paraît un ouvrage intitulé : « The Descent of Man, and Selection in Relation to Sex », « La descendance de l'homme », dans sa première traduction française. C'est un ouvrage signé Charles Darwin. Le naturaliste et paléontologue britannique s'interroge sur les transformations des relations entre les hommes et les femmes. Selon lui la sélection sexuelle aurait joué un rôle essentiel dans le long développement de l'humanité et permit aux hommes d‘imposer leur domination sur les femmes. Mais, s'inspirant des travaux de certains de ses contemporains comme John Lubbock pour qui les modes de vies les plus anciens, préhistoriques, sont conservés dans les sociétés dites primitives de son époque, Darwin souligne que les choix féminins ont dominé durant ces périodes. Il écrit : « (…) Chez les Abipones, une peuplade indienne de l'Amérique du Sud, l'homme qui choisit une femme en débat le prix avec les parents ; mais il arrive souvent que la jeune fille annule les transactions intervenues entre son père et son futur, et repousse obstinément le mariage. Elle se sauve, se cache, et échappe ainsi à son prétendant. Dans les îles Fidji, l'homme qui veut se marier s'empare de la femme qu'il a choisie, soit de force réellement, soit en simulant la violence ; mais, arrivée au domicile de son ravisseur, la femme, si elle ne consent pas au mariage, se sauve et va se réfugier chez quelqu'un qui puisse la protéger ; si, au contraire, elle est satisfaite, l'affaire est désormais réglée. » Darwin conclut de ces exemples que, chez les « sauvages », comme on dit au XIXe siècle, les femmes ne sont pas dans une position aussi soumise qu'on le suppose souvent. Il n'empêche, la domination masculine, avec les injustices qui en découlent, existe bel et bien et persiste aujourd'hui. Peut-on identifier les causes de cette hégémonie ? Des premiers humains aux nouveaux masculinistes, remontons aux origines de la domination masculine. Avec nous : Claudine Cohen, historienne et philosophe des sciences. « Aux origines de la domination masculine » ; Passés/Composés. Sujets traités : origines, domination, masculine, Abipones, Charles Darwin, naturaliste, paléontologue, femmes , violence Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Turquie serait-elle en train de connaître un épisode tardif de la vague #MeToo, ce vaste mouvement de libération de la parole des femmes démarré dans le milieu du cinéma aux États-Unis en 2017 ? Le mouvement féministe turc est puissant et a gagné en popularité avec les réseaux sociaux. Les nouvelles générations, très connectées, s'inspirent de ce qui se passe à l'étranger. Depuis un mois, une vague de milliers de dénonciations sur les réseaux sociaux révèle plusieurs dizaines de noms de personnalités connues et d'anonymes dans les milieux artistiques et académiques. Le phénomène relance la réflexion sur la gestion des violences sexistes et sexuelles au sein des organisations de défense des droits des femmes. Reportage à Ankara de notre correspondante, Messages graveleux, gestes déplacés répétés jusqu'à des cas de viols par soumission chimique... Chaque jour charrie son lot de témoignages et vient ajouter de nouveaux noms à la liste des hommes accusés de violences sexistes et sexuelles. Ce sont plus de 5 000 posts qui ont été partagés sur les réseaux sociaux en une dizaine de jours, d'après les statistiques du réseau X. Des personnalités du monde de l'art, des milieux universitaires et de la société civile sont au cœur du scandale. Alors, plusieurs institutions culturelles, chaînes de télévision et plateformes de diffusion ont annoncé rompre leurs contrats avec les hommes accusés. Medine Aybar, 29 ans, travaille dans le secteur du cinéma et de la publicité. Elle a choisi de partager sur les réseaux sociaux le harcèlement d'un de ses anciens patrons. Militante féministe, elle décrypte les mécanismes d'impunité qui règne dans son secteur professionnel : « J'ai commencé par lire les posts de dénonciations sur les photographes de mode, en lisant, j'ai tout de suite fait le parallèle avec mes propres expériences, alors je me suis mise à écrire et à partager aussi ce que j'avais vécu. » À écouter aussiMeToo: des affaires emblématiques en Suède, Espagne, Afrique du Sud et Japon Les dynamiques propres à l'industrie du cinéma rendent les dénonciations extrêmement risquées pour les carrières, mais elle a reçu de nombreux messages de soutien de la part de collègues : « J'ai eu des coups de fil de la part de personnes du secteur que j'aime beaucoup, qui m'ont dit "on te suit et on voit ce que tu publies" et s'ils m'appellent, c'est parce qu'ils savent que plein de gens du secteur pourraient me menacer de perdre du travail, ou faire pression sur moi de plein de manières différentes. » Témoigner en ligne : une option pour de nombreuses victimes Forte de cette première initiative, elle a décidé de se mobiliser pour recueillir le plus de témoignages possible et les diffuser de manière anonyme. Car nombre de victimes d'agressions préfèrent partager leurs témoignages sur les réseaux sociaux plutôt que dans les salles d'audience des palais de justice. Begüm Baki est membre de l'Association de lutte contre les violences sexuelles : « Il existe de nombreux obstacles à la dénonciation des violences sexuelles. C'est d'ailleurs pour cela que dans tous les pays, les violences sexuelles sont les crimes les moins rapportés, et en Turquie, malheureusement, c'est très rare. L'absence de mécanismes de soutien, la méconnaissance des droits, le manque d'institutions et l'approche culpabilisante à l'égard des victimes – manifestations du patriarcat et des inégalités de genre – sont particulièrement visibles là où ces inégalités sont les plus profondes. Face à cette réalité, certaines personnes finissent par ressentir le besoin de dire "stop". » Les dénonciations publiées sur les réseaux sociaux feront-elles l'objet d'enquêtes de la part de la justice ? Les avocates des droits des femmes en doutent, mais elles rappellent que les victimes ne sont pas totalement dépourvues. Le principe de « primauté de la parole de la victime » a été maintes fois validé par les différentes instances de justice et donne espoir de voir punir les auteurs de violences dont les noms sont désormais connus de tous.
Ce 227e épisode de Pos. Report reçoit une invitée unique, Amélie Grassi, pour une heure d'échange sur son année 2025 chargée, puisque la navigatrice de 31 ans passe d'un projet à l'autre, entre Ultim, Imoca et Class40.Elle commence par évoquer son hiver dernier passé, avec l'équipe SVR Lazartigue, à enchaîner les départs et retours au port sur le Trophée Jules Verne, projet qui, s'il n'a pu être mené à bien, a permis à l'équipage d'enchaîner environ 40 jours de navigation et de beaucoup progresser sur l'Ultim qui sera mené sur la prochaine Transat Café L'Or par Tom Laperche et Franck Cammas. Un Ultim qui n'a désormais plus beaucoup de secrets pour Amélie Grassi, au point qu'elle confie se sentir aujourd'hui en capacité de mener un tel bateau en double ou en solo.Nous ouvrons ensuite la page Imoca, notre invitée raconte comment, après une première expérience en 2023 sur trois étapes de The Ocean Race, elle a été rappelée à son retour du Vendée Globe par Paul Meilhat dans un rôle de co-skippeuse du projet en vue de The Ocean Race Europe. Ce qui lui a permis d'étoffer encore son panel de compétences puis de disputer l'intégralité du tour de l'Europe, avec la victoire et un quasi grand chelem à la clé. Elle détaille les ingrédients de ce succès, entre projet arrivé à maturité, ambiance au sein de l'équipe et sorte d'état de grâce qui a connu son apothéose lors d'une ultime victoire marquante samedi dernier au Monténégro.Amélie Grassi raconte ensuite comment Paul Meilhat lui a proposé de poursuivre l'aventure avec lui et le bateau, avec dans le viseur The Ocean Race en 2027 en équipage et le Vendée Globe 2028 pour elle, ce qui passe, bien évidemment, par la quête de sponsors, puisque le partenariat avec Biotherm arrive à échéance. Nous terminons avec la Globe40, la navigatrice explique pourquoi elle a accepté d'accompagner Ian Lipinski et Antoine Carpentier sur cette course certes moins relevée d'un point de vue sportif, mais qui va lui permettre de découvrir les mers du Sud et de nouvelles destinations.Diffusé le 23 Septembre 2025Générique : Fast and wild/EdRecordsPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant les deux dernières journées, l'Afrique du Sud, la Nouvelle-Zélande, l'Australie et l'Argentine comptent toutes le même nombre de victoires et de défaites. En plus de cette égalité, le scenario de cette édition 2025 offre des surprises, des rebondissements et des records. Pourquoi le Rugby Championship est-il si serré cette année ? Est-ce le meilleur Four Nations depuis l'élargissement de la compétition ? Que faut-il attendre des deux prochains week-ends ? Débat dans «Crunch». Un podcast présenté par Léa Leostic avec Adrien Corée, Aurélien Bouisset et Karim Ben Ismaïl. Montage : Léa Leostic.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Personal en la industria maquiladora cae 0.1% en julio: Inegi Detienen a cinco mexicanos en Sudáfrica por narcolaboratorioAnsiedad severa afecta al 19.3% de adultos en México: InegiMás información en nuestro podcast
De la prudence, des interrogations et même du scepticisme… Dans la presse africaine ce matin, la reconnaissance de la Palestine par le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et le Portugal, beaucoup de questions subsistent : « Cette reconnaissance va-t-elle faire bouger les lignes ? Rien n'est moins sûr », commente notamment au Burkina Faso, le journal Le Pays dans ses colonnes édito. L'un des points soulevés est la place de Washington sur l'échiquier géopolitique : « Tant que le pays de l'Oncle Sam continuera de mettre Israël sous son parapluie, il ne faut pas rêver d'une solution à deux États dans cette partie du monde. (…) Du reste, on est fondé à croire que l'action des dix pays occidentaux, vise à se donner bonne conscience. En tout cas, elle est loin d'être sincère car, nombre parmi ces pays, à commencer par la France, soutenaient ouvertement Israël dans sa folie meurtrière dans la bande de Gaza. Si ce n'est pas de l'hypocrisie, cela y ressemble fort », peut-on lire. Et si la grande majorité des pays africains a reconnu l'État palestinien dès 88, après la déclaration d'indépendance de la Palestine par l'OLP de Yasser Arafat, aujourd'hui « Ils ont beau crier leur ras-le-bol, leur voix reste inaudible. Le seul pays dont l'action a secoué l'Israël, c'est l'Afrique du Sud qui avait saisi la Cour internationale de justice. Mais la suite, on la connaît. Le pays de Cyril Ramaphosa a été sanctionné plus tard par le président américain... » Dans le journal du Niger, la reconnaissance de la Palestine par le Royaume-Uni, le Canada, l'Australie et le Portugal est un événement diplomatique majeur. Le média souligne « une décision prise sous le poids des victimes et de la pression internationale », après deux ans de guerre à Gaza et rappelle que des organisations comme Amnesty International ont accusé Israël de crimes de guerre, ce qui accentue l'urgence d'une action diplomatique. Le soutien historique de l'Afrique à la Palestine La presse met aussi en avant le lien particulier entre l'Afrique et la Palestine, tout comme son soutien historique. Une mise en relief nécessaire : avec 52 pays sur 54 ayant officiellement reconnu l'État palestinien (les exceptions sont le Cameroun et l'Érythrée) « L'Afrique est le principal soutien diplomatique du peuple palestinien sur la scène internationale », déclare le média Sénégalais Sénéplus. « Cette cohésion remarquable ne relève pas du hasard. Elle puise ses racines dans l'histoire commune des luttes anticoloniales et anti-impérialistes qui ont marqué le XXe siècle. Les peuples africains, ayant vécu l'expérience de la domination coloniale, reconnaissent dans le combat palestinien un écho de leurs propres luttes pour l'indépendance et la dignité », peut-on lire. Alors que l'Afrique du Sud a saisi dès le mois de Décembre 2023 la CIJ - l'organe judiciaire des Nations unies. Le média Sénéplus y analyse aussi une « continuité historique, la détermination du continent à porter la voix palestinienne dans les instances internationales ». La Guinée après le référendum constitutionnel Oui, avec cette question « Le vote et après » ? C'est même le titre d'un Edito dans le média guinéen ledjely... D'après ce dernier « On s'achemine vers le retour à l'ordre constitutionnel. Car même si l'on n'a encore aucun résultat, l'approbation de la nouvelle Constitution ne fait l'ombre d'aucun doute ». Le journal guinéen rappelle aussi un contexte de suspension des principaux partis politiques du pays « le "Oui" est assuré de l'emporter » déclare-t-il. « D'autant que les partisans de cette tendance sont les seuls à avoir battu campagne au cours des trois dernières semaines. Ainsi donc, (…) on scrutera tout particulièrement le taux de participation. Celui-ci se révélant pertinent en raison de l'appel au boycott lancé par Cellou Dalein Diallo, Alpha Condé et Sidya Touré, à la veille du scrutin ». « Mais plus que ces réformes, ce qui intrigue, c'est que la nouvelle Constitution n'aborde pas la question de la candidature des militaires. Et comme on le sait, ce qui n'est pas interdit par la loi, est autorisé », commente l'observateur Paalga. Le média du Burkina Faso - pays dirigé par des militaires - précise que « selon les spécialistes de la scène politique guinéenne... la candidature du général Mahamadi Doumbouya ne fait plus de mystère ».
L'Assemblée générale des Nations unies (qui célèbre ses 80 ans cette année) s'ouvre cette semaine à New York. Il y a un an, lors de ce rendez-vous, Joe Biden, alors président des États-Unis, s'engageait en faveur de deux sièges permanents pour l'Afrique au Conseil de sécurité de l'ONU. Un an plus tard, cet espoir s'est-il envolé ? Directeur régional de l'Institut d'études de sécurité pour l'Afrique de l'Est, Paul-Simon Handy répond aux questions de Florence Morice. RFI : La France va pousser à New York cette semaine pour une réforme du Conseil de sécurité. Est-ce que l'Afrique a une chance de décrocher enfin un ou plusieurs sièges de membres permanents de ce Conseil ? Paul-Simon Handy : Je ne pense pas que ça se décide cette année. Il y a un consensus grandissant parmi les cinq membres permanents du Conseil de sécurité sur le fait que le Conseil, tel qu'il est, ne peut plus résoudre les problèmes mondiaux et qu'il faille l'élargir, mais surtout aussi qu'il faille que l'Afrique soit représentée. Mais une fois qu'on a exprimé cela, on n'a pas résolu le problème qui est que si tout le monde s'accorde sur l'élargissement, personne n'est d'accord sur les modalités pour y arriver. Comment expliquez-vous que, sur le principe au moins, chacun s'accorde désormais sur cette nécessité d'un élargissement du Conseil de sécurité au continent africain ? Pour l'Afrique, ce qui a été important, c'était la réalisation aussi du fait que l'Afrique est probablement la dernière frontière, comme on dit, le nouvel espace du développement. La croissance mondiale, ne fois qu'elle va s'estomper en Asie, elle va se passer en Afrique. Et je pense que pour tous ceux qui veulent faire des affaires en Afrique, il faudrait pouvoir donner quelque chose en échange à l'Afrique. Je pense donc que c'est politiquement que l'Afrique a grandi en importance. Et ceci se reflète maintenant dans le fait qu'on envisage de plus en plus qu'elle ait un siège au Conseil. Ce qui coince notamment, c'est la question du droit de veto. Les membres actuels ne veulent pas le partager avec de nouveaux entrants. Est-ce qu'il y a eu des avancées ou des évolutions à ce sujet cette année ? Il y a très peu de mouvement sur la question de veto. Il y a beaucoup d'options qui sont sur la table. L'une des options, c'est qu'on élargisse le veto à tout le monde, y compris les nouveaux, ou alors qu'on l'abolisse pour tout le monde. Mais si on fait perdre ce droit à ses détenteurs aujourd'hui, il faudrait leur donner quelque chose en échange. Et c'est justement sur cet aspect que les discussions ne sont pas encore achevées. Un autre problème, c'est que, en cas d'élargissement, il n'y a pas de consensus entre les pays africains sur la manière de choisir les deux pays qui occuperaient ces deux sièges permanents, où on est-on sur ce sujet ? A cette question, les pays africains généralement ont une parade. Ils disent « mettons nous d'accord sur le principe et nous vous présenterons les deux représentants de l'Afrique », ce qui permet de gagner du temps à vrai dire. On sait très bien qu'il sera difficile de trouver deux représentants parce que les prétendants sont nombreux et les critères pour la représentation sont assez précis. Il n'y a pas beaucoup de pays africains industrialisés qui auraient les moyens, une fois membre du Conseil de sécurité, de contribuer financièrement, matériellement aux décisions, à la mise en œuvre des décisions prises par le Conseil de sécurité. Mais donc où en est-on sur le mode de désignation, toujours d'un côté l'Union africaine qui a créé le C10, un groupe de pays chargés de négocier, mais de l'autre côté, des pays tels que l'Égypte et l'Afrique du Sud qui négocient de leur côté ? Le C10 est au moins l'instance officielle. Il est le lieu où les propositions officielles sont discutées. Mais il y a, à côté du C10, énormément de forums informels. Je pense que l'Afrique du Sud et l'Égypte mènent une campagne active, discrète - parce que, d'un autre côté, ils ne veulent pas non plus apparaître comme faisant cavalier seul - discrète, mais très efficace. Ils ont élargi leurs négociations parce qu'ils sentent qu'il y a une vraie opportunité ces temps-ci. Mais ils ont des concurrents, des pays comme le Nigeria et certains autres pays du Maghreb, qui ont tout à fait le potentiel pour représenter l'Afrique et même un pays de plus en plus comme l'Éthiopie, qui, de plus en plus, veut avoir voix au chapitre de la géopolitique africaine et mondiale. Ce ne sera pas facile pour les candidats individuels. Il sera beaucoup question de Gaza à New York. Qu'en sera-t-il du Soudan ? Selon les Nations Unies, c'est la plus grande crise humanitaire au monde avec un risque de génocide jugé « très élevé ». Est-ce que c'est à l'agenda ? Le Soudan est une vraie urgence, mais une urgence qui malheureusement se mêle à d'autres urgences internationales qui la relèguent un peu au dernier plan. Mais c'est un vrai danger. Le monde regarde ailleurs et risque après de devoir investir encore beaucoup d'argent pour payer les conséquences de la négligence actuelle.
Le Grand reportage week-end de ce dimanche est consacré en première partie à la Tunisie sur la grande route de l'immigration Sud-Nord. La Tunisie qui refuse d'être un pays d'accueil et un pays de transit pour les migrants subsahariens. Le président Kais Saïed étant même allé jusqu'à considérer qu'il y avait un risque de changement démographique pour la Tunisie à cause de cette immigration. Une politique très dure est à appliquer, et elle fait le jeu des Européens. En deuxième partie, nous serons en ligne avec Sarah Cozzolino pour parler du Brésil où les femmes déjouent par l'artisanat la pauvreté de leur région du nord de l'État du Minas Gérais. (Rediffusion) Tunisie : une lutte contre l'immigration, au bénéfice de l'Europe La Tunisie refuse d'être un pays d'accueil et de transit pour les migrants subsahariens. Une politique martelée par les autorités depuis 2023, dans la foulée des propos polémiques du président Kaïs Saïed sur le risque d'un changement démographique de la Tunisie à cause de l'immigration. Depuis, les contrôles des migrants en situation irrégulière se sont accentués. Leur vie est devenue quasi-impossible. La gestion de ce flux migratoire venu du Sud fait polémique en Tunisie, mais reçoit le soutien implicite des puissances européennes, soucieuses d'endiguer les nombreuses arrivées à leurs frontières. Un Grand reportage de Lilia Blaise qui s'entretient avec Jacques Allix. Brésil: l'artisanat, planche de salut, pour les femmes de la vallée du Jequitinhonha Elle est surnommée la Vallée de la misère. Au Brésil, dans le nord de l'État du Minas Gérais, la vallée du Jequitinhonha s'étend sur 50 000 km2, le long du fleuve du même nom. Elle est connue pour son climat aride et ses populations rurales, la pauvreté pousse une partie des habitants à émigrer. Mais c'est sans compter l'incroyable richesse de l'artisanat de la région, réalisé par ses femmes. Un Grand reportage de Sarah Cozzolino qui s'entretient avec Jacques Allix.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'accord migratoire entre les Etats-Unis et le Ghana, sur le chanteur sénégalais Wally Seck dans la tourmente, sur l'enrôlement de soldats jordaniens par la Russie et sur l'accord entre la Chine et les Etats-Unis concernant Tik Tok. Etats-Unis/Ghana : polémique autour de l'accord migratoire Le 10 septembre, le président ghanéen John Dramani Mahama a annoncé que son pays accueillerait des ressortissants originaires d'Afrique de l'Ouest expulsés des États-Unis. Le Ghana rejoint ainsi l'Eswatini, l'Ouganda, le Rwanda et le Soudan du Sud, déjà engagés dans cette démarche. Comment expliquer que l'Administration Trump préfère rapatrier les migrants vers des « pays tiers », plutôt que de les renvoyer dans leur pays d'origine ? Quel intérêt les Etats africains ont-ils à accepter ce type d'accord ? Avec Liza Fabbian, journaliste au service Afrique de RFI Sénégal : le chanteur Wally Seck dans la tourmente Soupçonné de transferts de fonds suspects, l'artiste sénégalais Wally Seck a annoncé mettre sa carrière musicale entre parenthèses le temps que la justice fasse son travail et l'innocente. Une décision pas anodine pour un des chanteurs les plus écoutés au Sénégal, qui a même détrôné Youssou N'dour au Billboard. Quel est exactement son rôle dans cette affaire de blanchiment présumé impliquant Amadou Sall, le fils de l'ancien président Macky Sall ? Peut-on parler d'un règlement de compte politique avec l'ancien régime, ou bien d'une simple coïncidence judiciaire ? Avec Juliette Dubois, correspondante de RFI à Dakar Russie : de nouveaux témoignages de combattants étrangers enrôlés de force Après trois de guerre, et malgré la plus grande campagne de conscription en 10 ans, lancée au printemps dernier, la Russie manque de bras pour combattre sur le front ukrainien. Sa solution : enrôler de force des combattants à l'étranger. Dernières victimes en date : des Jordaniens envoyés en première ligne sur le terrain. Sait-on comment s'y prennent les Russes ? Quels sont les autres pays particulièrement touchés par ces manœuvres ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative TikTok aux Etats-Unis : Pékin et Washington enfin d'accord Après des mois de négociations et de rebondissements, Washington et Pékin ont enfin trouvé un accord permettant de ne pas interdire Tik Tok aux Etats-Unis. Que contient cet accord ? Pourquoi les Américains craignent-il autant l'influence chinoise via TikTok ? Avec Emmanuel Véron, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'Inalco, membre de l'Institut français de recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE)
La police est à la recherche de 43 singes qui se sont échappés d'un centre de recherche en Caroline du Sud, après qu'un gardien a laissé leur enclos ouvert. Traduction:Police are on the hunt for 43 monkeys who escaped from a research facility in South Carolina, after a keeper left their pen open. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
durée : 00:05:26 - La Revue de presse internationale - par : Catherine Duthu - "Tant que la barbarie continuera" à Gaza, Israël ne devrait participer à aucune compétition internationale, selon le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez. Israël vit-il les mêmes pressions politiques, boycotts économiques, sportifs, culturels que l'Afrique du Sud avant d'abandonner l'apartheid ?