Podcasts about Sud

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    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 6/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 9:17


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie VI – L'économie impériale : mita, mitma et redistributionLa mita comme fondement du prélèvement étatiqueDéplacements de population (mitma) et contrôle politiqueEntrepôts, greniers et circulation des biensArtisans spécialisés, yana et production de luxeRedistribution comme instrument de domination Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Les Collections de l'heure du crime
    Narumi Kurosaki : la disparue du campus de Besançon

    Les Collections de l'heure du crime

    Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 39:48


    C'était une nuit de décembre 2016, vingt jours avant Noël. A Besançon, dans une chambre de cité universitaire, l'étudiante japonaise Narumi Kurosaki, 21 ans, était assassinée dans les cris mais à l'abri de tout regard. L'enquête de la police judiciaire, pointilleuse, méthodique, précise va livrer un scénario impensable. L'auteur du crime serait venu d'Amérique du Sud, du Chili, pour venir tuer l'étudiante. 11000 kilomètres pour laver un péché d'orgueil, celui d'avoir été éconduit par une jeune femme qu'il croyait posséder.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    5.000 ans d’Histoire
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 6/6

    5.000 ans d’Histoire

    Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 9:17


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie VI – L'économie impériale : mita, mitma et redistributionLa mita comme fondement du prélèvement étatiqueDéplacements de population (mitma) et contrôle politiqueEntrepôts, greniers et circulation des biensArtisans spécialisés, yana et production de luxeRedistribution comme instrument de domination Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Notizen aus aller Welt
    Ayahuasca Heilung aus dem Regenwald - Notizen aus Brasilien

    Notizen aus aller Welt

    Play Episode Listen Later Dec 24, 2025 23:55


    "Geist der Liane" - so heißt Ayahuasca übersetzt aus der indigenen Sprache. Es handelt sich um einen bitteren Sud, der stark psychedelisch wirkt. Wissenschaftler hoffen auf ein neues Medikamt gegen Depressionen.

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 5/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 6:17


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 5/6 – Produire sans marché : une économie de subsistance encadréeAbsence de marchés et de commerce libreAgriculture de montagne, terrasses et irrigationÉlevage, conservation des aliments et gestion du risqueTravail collectif, ayni et solidarité contrainteUne économie locale contrôlée par les caciques Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Cinco continentes
    Cinco Continentes - Nuevas revelaciones en el caso Epstein

    Cinco continentes

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 55:15


    Nueva tanda de miles de fotos, correos electrónicos, documentos o vídeos que tienen que ver con el pederasta estadounidense Jeffrey Epstein, amigo de muchos hombres y mujeres de mucho poder que salen también en este material que se está declasificando por partes y no de forma completa.Escucharemos las reacciones airadas en la UE y en Dinamarca ante los comentarios de Trump, de nuevo, afirmando que quiere quedarse con Groenlandia. Hablaremos del despliegue de EEUU frente a las costas de Venezuela al hilo de la reunión de esta noche del Consejo de Seguridad de la ONU para analizar la crisis.Tendremos una entrevista sobre las tierras raras, escucharemos un reportaje sobre el 2025 en Sudán y, además, nos haremos eco de cómo van apareciendo más casos de violencia sexual en los que el marido droga a su esposa para violarla, solo o en compañía de otros hombres.Escuchar audio

    SBS French - SBS en français
    Le journal du 23/12/2025: Les réformes en NGDS sur les armes à feu, les discours haineux et les manifestations suite à l'attentat de Bondi

    SBS French - SBS en français

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 15:03


    Le gouvernement de Nouvelle-Galles du Sud adopte de nouvelles lois strictes suite au massacre de Bondi Beach. Les lois ont été adoptées par la chambre basse lors d'une séance nocturne hier, dans le but de les faire passer avant Noël

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] Mercosur-UE : l'impossible signature ?

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 19:30


    Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'expulsion de Kényans en Afrique du Sud, une photo de Donald Trump supprimée des dossiers de l'affaire Epstein et l'alliance Iran/Venezuela contre les États-Unis. Mercosur-UE : l'impossible signature ?  Alors que près de 7 300 agriculteurs européens ont manifesté leur colère contre l'accord UE-Mercosur, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, a annoncé un report de la signature de l'accord. Pourquoi la France est-elle autant opposée à cet accord commercial ? Une signature est-elle possible sans Paris ? Avec Stéphane Geneste, journaliste au service économie de RFI, présente la chronique « Aujourd'hui l'économie ».      Afrique du Sud : pourquoi l'expulsion de sept Kényans irrite Washington ?  L'Afrique du Sud a expulsé sept ressortissants kényans accusés de travailler illégalement pour un programme américain de relocalisation des Afrikaners. Comment les Américains justifient-ils la présence de ces Kényans sur le territoire sud-africain ? Cela fait plusieurs mois que Washington accuse Pretoria de persécuter les Afrikaners. Sur quels éléments reposent ces accusations ? Avec Liza Fabbian, journaliste au service Afrique de RFI.      Affaire Epstein : Trump à nouveau au cœur des interrogations   La récente publication des archives judiciaires de l'affaire Jeffrey Epstein aux États-Unis a été marquée par la mystérieuse disparition du fichier n°468 et d'une quinzaine d'autres documents, dont une photo associant le président Donald Trump à Epstein. Pourquoi cette photo a-t-elle été effacée ? Le département de justice pourrait-il être influencé par Donald Trump ? Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en civilisation américaine, spécialiste en rhétorique présidentielle.       Iran-Venezuela : alliés face aux ingérences américaines ?  L'Iran a proposé son aide au Venezuela dans le bras de fer qui l'oppose aux États-Unis, dénonçant les sanctions américaines et affirmant sa solidarité avec Caracas.  Pourquoi Téhéran propose-t-il son soutien à Caracas ? Quelle forme pourrait prendre cette coopération ? Avec Pascal Drouhaud, président de l'association LatFran, spécialiste de l'Amérique latine.

    Beau Voyage
    Interview Express avec Clara Rocchia : ses meilleures adresses et coups de coeur en Italie

    Beau Voyage

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 18:36


    Aujourd'hui, je reçois Clara Rocchia, passionnée d'Italie, amoureuse du Salento et fondatrice de la maison Manara. Après des années à explorer les Pouilles en famille, Clara nous partage ce qu'on ne trouve dans aucun guide : ses plages secrètes, ses restaurants préférés, les adresses que seuls les locaux connaissent, ses bons plans déco… et cette façon de vivre italienne qui donne envie de ralentir.De la Toscane aux Petits villages blancs du Sud, en passant par ses spots kids-friendly, ses plats incontournables et ses coups de cœur, Clara nous offre son Italie, celle qu'on rêve d'adopter comme la nôtre. Un épisode comme un carnet d'adresses précieux, entre lifestyle, famille et vita lenta.

    Noticentro
    México tendrá el menor crecimiento económico en 2026:  Standard & Poor's

    Noticentro

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 1:27 Transcription Available


    Avanza construcción de la Universidad Rosario Castellanos en Tlaxcala Tome nota, cierran la autopista Peñón-Texcoco por volcadura de pipa Bélgica se suma a la demanda de Sudáfrica contra Israel 

    Invité Afrique
    Thierry Vircoulon: «Il y aurait 3000 ou 4000 Africains dans les rangs de l'armée russe»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 4:35


    « La politique russe de recrutement de combattants et d'ouvrières en Afrique subsaharienne », c'est le sujet de la note publiée jeudi dernier par Thierry Vircoulon, chercheur associé à l'Institut français des relations internationales. Le premier Africain tué sur le front russo-ukrainien, en 2022, était un étudiant zambien intégré au groupe Wagner. Depuis, plusieurs milliers d'Africains, des hommes mais aussi des femmes, ont été recrutés par Moscou. Au moment de partir, la plupart pensent aller travailler dans le domaine civil et ignorent complètement ce qui les attend. Comment ces recrutements se déroulent-ils ? Quel sort est réservé à ces recrues africaines ? Et, comment réagissent les gouvernements africains concernés ? Thierry Vircoulon est le grand invité Afrique de ce jour. RFI : Pour commencer, disposez-vous d'un chiffre sur le nombre de ces hommes et femmes d'Afrique subsaharienne recrutés par la Russie pour soutenir la guerre contre l'Ukraine ? Thierry Vircoulon : Les autorités ukrainiennes estiment qu'il y a probablement entre 18 000 et 20 000 combattants étrangers dans les rangs de l'armée russe. Sur ce nombre, il y aurait 3 000 ou 4 000 Africains. On a trouvé beaucoup de nationalités différentes, de Sierra-Léonais, de Centrafricains, de Camerounais, d'Africains du Sud, de Kényans, de Sénégalais, donc un peu tous les pays africains. Ce recrutement s'adresse, écrivez-vous, à une jeunesse urbaine pauvre avec des motivations strictement économiques, qui envisagerait la guerre en Ukraine comme une solution plus accessible que l'émigration clandestine en Europe… Ce n'est pas qu'elle envisage la guerre en Ukraine comme une immigration plus facile, c'est qu'elle émigre pour ses motifs habituels, c'est-à-dire chercher de nouvelles opportunités de travail mieux rémunérées. Et, elle se retrouve prise au piège de ce conflit. Beaucoup sont recrutés de manière trompeuse. Ils sont abusés et se retrouvent enrôlés à leur arrivée en Russie, piégés dans cette armée russe. Est-ce qu'il y a aussi une motivation idéologique chez ces jeunes recrues africaines ? La Russie a le vent en poupe dans certains pays. Pour une petite minorité, oui, il y a une adhésion au discours géopolitique russe, mais c'est vraiment pour une toute petite minorité. La majorité sont des gens qui ne pensaient pas combattre dans cette guerre. Vous parlez d'offres d'emploi ou de formation « mensongères ». De quel type ? Très souvent, ils répondent à des propositions d'emploi dans le secteur civil ou parfois dans le secteur militaire, mais dans des domaines logistiques, ou [pour être, ndlr] cuisiniers, etc. Or une fois qu'ils arrivent en Russie, ils sont rapidement enrôlés de force, formés de manière tout à fait expéditive et ils sont ensuite envoyés en première ligne, dans des unités qui sont les plus exposées sur le front. Bref, ils sont à la fois dans les zones les plus risquées et ce ne sont pas de vrais combattants. À lire aussi«Les maisons russes en Afrique servent de centres de recrutement industriel et militaire» Est-ce qu'on a une idée du nombre d'Africains tués sur le front russe ou ukrainien ? Non, c'est très difficile d'avoir le nombre des morts. Il est extrêmement rare que les autorités russes informent les familles de ceux qui sont morts au combat. C'est donc très compliqué d'avoir des chiffres. On apprend dans votre étude que le recrutement russe cible aussi les femmes africaines, qui deviennent des ouvrières pour l'industrie d'armement. Cette fois de manière officielle, mais tout aussi trompeuse… Tout à fait. Et, là, c'est pour la zone économique spéciale d'Alabouga, au Tatarstan. Là-bas, il y a une usine de montage de drones pour laquelle les autorités [russes, ndlr] recrutent un peu partout dans le monde et recrutent uniquement des jeunes femmes. On a décompté à peu près une trentaine de nationalités africaines dans cette usine. Là, c'est en effet un recrutement tout à fait ouvert qu'on trouve sur les réseaux sociaux en Afrique, qu'on a même trouvé sur des sites de ministères de l'Éducation en Afrique, qu'on retrouve aussi sur les sites des ambassades russes en Afrique et qui est présenté comme une coopération pour la formation professionnelle de ces jeunes femmes. Sans préciser que, évidemment, il s'agit de monter des drones. Est-ce que les gouvernements africains des pays concernés, qui sont au courant, qui ont reçu des témoignages, des plaintes, réagissent ? Jusqu'à cet automne, ils n'avaient pas réagi. Mais là, il y a eu un certain nombre de scandales qui les ont forcés à réagir, notamment au Kenya, en Afrique du Sud et plus récemment au Botswana. Les autorités de ces trois pays ont dû reconnaître qu'ils avaient des citoyens qui combattaient dans cette guerre parce qu'ils ont maintenant un certain nombre de ces citoyens qui ont appelé à l'aide leurs familles parce qu'ils veulent s'enfuir et rentrer chez eux. Ils ont donc appelé leur famille qui a contacté les médias de ces pays et ça s'est transformé en scandale. Maintenant, ces trois gouvernements enquêtent sur ces filières de recrutement et ont demandé à Moscou le rapatriement de leurs concitoyens. À lire aussiAu Kenya, des diplomates s'inquiètent de recrutements forcés pour l'armée russe On a longuement parlé du recrutement russe en Afrique, objet de votre étude. Du côté ukrainien, est-ce qu'il y a des pratiques similaires ? Non, il y a des recrutements d'étrangers, mais qui viennent pour combattre effectivement. Il n'y a donc pas de recrutement avec de fausses propositions d'emploi. Les étrangers qui viennent combattre dans ce qu'on appelle la Légion internationale pour la défense de l'Ukraine le font volontairement et en toute connaissance de cause. ►Pour en savoir plus

    5.000 ans d’Histoire
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 5/6

    5.000 ans d’Histoire

    Play Episode Listen Later Dec 23, 2025 6:17


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 5/6 – Produire sans marché : une économie de subsistance encadréeAbsence de marchés et de commerce libreAgriculture de montagne, terrasses et irrigationÉlevage, conservation des aliments et gestion du risqueTravail collectif, ayni et solidarité contrainteUne économie locale contrôlée par les caciques Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Italiano Automatico Podcast
    Episode 704: 5 Film Natalizi Italiani Per Imparare L’Italiano | Imparare l’Italiano

    Italiano Automatico Podcast

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 11:06


    Scarica subito il PDF regalo: https://bit.ly/3YCkrH0In questo podcast ti consiglio cinque film italiani di Natale, perfetti da guardare durante le feste per entrare nello spirito natalizio e migliorare l'italiano in modo naturale.Attraverso commedie classiche, film d'animazione e titoli più recenti, potrai ascoltare dialoghi autentici, scoprire tradizioni italiane e conoscere meglio la cultura del Natale in Italia, dal Nord al Sud.Capitoli del podcast:0:00 - Introduzione1:36 - Vacanze di Natale3:02 - La Freccia Azzurra5:45 - La banda dei Babbi Natale6:50 - La cena di Natale8:04 - Cortina Express9:08 - Conclusione

    Cualquier tiempo pasado fue anterior
    Acontece que no es poco | Del colonialismo salvaje de los británicos al más salvaje apartheid de los bóers (2)

    Cualquier tiempo pasado fue anterior

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 17:11


    Nieves Concostrina habla de la historia de la Sudáfrica que conocemos hoy en día. 

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    Acontece que no es poco | Del colonialismo salvaje de los británicos al más salvaje apartheid de los bóers (2)

    Cualquier tiempo pasado fue anterior

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 15:01


    Nieves Concostrina habla de la historia de la Sudáfrica que conocemos hoy en día. 

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 4/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 6:08


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 4/6 – Une société paysanne militariséeUne armée de conscription issue des aylluOrganisation ethnique des troupes et diversité des armementsLa guerre comme instrument politiqueViolence, intimidation et massacres exemplairesDe la conquête à la gestion des rébellions Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    L'ours et le dragon: Russie-Chine : Histoire d'une amitié sans limites ? - Sylvie Bermann

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 25:48


    Diplomate en poste à plusieurs reprises en Russie et en Chine, Sylvie Bermann retrace la longue histoire de ces deux pays. Elle nous éclaire sur ces deux géants dont le pacte stratégique est en train de dessiner l'avenir du monde.Après des siècles de relations en dents de scie, caractérisées par l'obsession du commerce pour Saint-Pétersbourg et la préservation de leurs frontières pour la Chine impériale, leurs liens s'étoffèrent à l'accession au pouvoir de Catherine II. Dans une volonté de modernisation et d'expansion, la Russie s'empare au XIXe siècle de territoires mandchous. La prise de pouvoir du Parti communiste chinois en 1949 scelle l'alliance sino-soviétique dans un rapport toutefois inégal.Grands gagnants de la mondialisation et hantés par l'effondrement de l'URSS, les Chinois ne cachent pas leur dédain pour le « grand frère » qui n'a pas su construire de puissance économique, trop dépendant de ses hydrocarbures. Malgré ce renversement des rapports de force, la croisade contre les valeurs occidentales de Pékin et Moscou, sur fond de rivalité sino-américaine, façonne désormais leur vision du monde et influe sur le Sud global.À la croisée de l'Histoire et de la géopolitique, Sylvie Bermann analyse la stratégie des deux Empires dont le sort semble déclarée « sans limites » est surveillée par un Donald Trump décidé à s'inviter avec fracas dans cette nouvelle donne.Sylvie Bermann est notre invitée en partenariat avec le Salon du Livre d'Histoire de Versailles, pour les Interviews HistoireHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Radio foot internationale
    CAN 2025 - Débrief de la 1ère journée

    Radio foot internationale

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 48:29


    Au sommaire de votre émission : - Retour sur le match de l'Afrique du Sud opposé à l'Angola ; - L'Égypte de Mohamed Salah fait son entrée en lice face au Zimbabwe ; - Focus sur le prochain match qui opposera la RDC au Bénin. - Retour sur le match de l'Afrique du Sud qui affrontait L'Angola en fin de journée pour le compte du groupe B. - Nous reviendrons notamment sur la 1ère rencontre du groupe B qui opposait les Bafana Bafana aux Palancas Negras, tout en suivant l'autre rencontre de cette poule entre les Egyptiens de Mohamed Salah et les Warriors du Zimbabwe. - Il y aura également un focus sur l'affrontement de la mi-journée demain à Rabat entre la RDC de Sébastien Desabre et les Guépards de Gernot Rohr.   Pour débattre avec Annie Gasnier : Youssouf Mulumbu et Nabil Djellit Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin

    Radio Foot Internationale
    CAN 2025 - Débrief de la 1ère journée

    Radio Foot Internationale

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 48:29


    Au sommaire de votre émission : - Retour sur le match de l'Afrique du Sud opposé à l'Angola ; - L'Égypte de Mohamed Salah fait son entrée en lice face au Zimbabwe ; - Focus sur le prochain match qui opposera la RDC au Bénin. - Retour sur le match de l'Afrique du Sud qui affrontait L'Angola en fin de journée pour le compte du groupe B. - Nous reviendrons notamment sur la 1ère rencontre du groupe B qui opposait les Bafana Bafana aux Palancas Negras, tout en suivant l'autre rencontre de cette poule entre les Egyptiens de Mohamed Salah et les Warriors du Zimbabwe. - Il y aura également un focus sur l'affrontement de la mi-journée demain à Rabat entre la RDC de Sébastien Desabre et les Guépards de Gernot Rohr.   Pour débattre avec Annie Gasnier : Youssouf Mulumbu et Nabil Djellit Technique/réalisation : Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin

    Revue de presse Afrique
    À la Une: la CAN, un instrument de soft power pour le Maroc

    Revue de presse Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 4:04


    Avant de parler de la Coupe d'Afrique des nations, les journaux s'intéressent aussi au renouvellement du mandat de la Monusco. Ce week-end, les Nations unies ont renouvelé, pour un an, le mandat de leur mission en République démocratique du Congo. Et ce alors même que « la mission onusienne avait amorcé un processus de désengagement, notamment au Sud-Kivu, après plus de deux décennies de présence sur le sol congolais », rappelle Le Potentiel en RDC. Mais le contexte sécuritaire aura eu raison de cette volonté : la situation est « particulièrement préoccupant[e] », rappelle actualite.cd, en raison des affrontements dans l'est du pays. « La rébellion de l'AFC/M23, soutenue par le Rwanda, occupe de vastes zones dans les territoires de Rutshuru, Nyiragongo, Masisi, Lubero et Walikale », pointe ainsi le titre. Conclusion : une « aggravation » des crises humanitaire et sécuritaire.  Mais après plus de 20 ans de mandats successifs, le média burkinabè Le Pays s'interroge : « Que peut-on encore attendre de cette mission onusienne ? (…) À quoi servira ce renouvellement de mandat ? » Le quotidien est circonspect, même s'il admet que ce n'est pas entièrement la faute de la Monusco. Celle-ci aurait bien besoin, pour agir, « d'un mandat robuste, comme ce fut le cas en 2013 », ce qui lui avait à l'époque permis « de mettre le M23 en déroute », se remémore Le Pays. Tout de même, le journal accorde au moins un mérite à la Monusco : celui de pouvoir être « une force tampon » et d'être « mise à contribution dans le cadre de la sécurisation des populations ».  Le Maroc et la CAN en étendard  Les journaux marocains ne sont pas peu fiers que leur pays héberge la compétition. Ainsi de L'Opinion, qui s'enorgueillit que « le nom du Maroc [soit] devenu un véritable label d'excellence dans le monde très concurrentiel du football ». Le 360 se gargarise de la même manière de cette « organisation grandiose » et de « la ferveur déjà palpable dans chaque ville, chaque rue, chaque café ». Accueillir la compétition est autant une preuve des mérites du Maroc qu'une occasion d'éblouir encore un peu plus le monde entier, « une opportunité majeure, de doper davantage ce soft power en présentant (…) au monde entier notre meilleur visage », poursuit l'Opinion. H24 Info ne s'y trompe pas non plus : sur le terrain comme ailleurs, le pays « n'a pas le droit à l'erreur » ; le sélectionneur Walid Regragui fait face à « une énorme pression » tandis que le président de la Fédération royale marocaine de football « doit rendre une copie parfaite du point de vue de l'organisation ». Le Royaume a donc mis les petits plats dans les grands. Le Monde Afrique parle même de « moyens hors norme ». Quitte parfois à s'attirer les foudres de la société civile. Car le dispositif impliquant « surveillance avec drones, caméras avec systèmes de reconnaissance faciale, commissariats à l'intérieur des enceintes sportives » est regardé d'un mauvais œil, quelques semaines après le mouvement Gen Z 212 qui a vu des dizaines de milliers de jeunes manifester pour réclamer un meilleur accès aux soins ou au logement. Une vitrine au-delà de la CAN  Dans quatre ans, le royaume chérifien remet le couvert avec cette fois la Coupe du monde, co-organisée avec l'Espagne et le Portugal. Ce qui fait du Maroc, rappelle H24 Info, le « deuxième pays africain à accueillir une Coupe du monde, 20 ans après l'Afrique du Sud ». La Coupe d'Afrique des nations a donc des airs de « répétition générale », pour faire du pays « une vitrine internationale », abonde L'Économiste. C'est d'ailleurs pour cela, rappelle Le Monde Afrique, que Rabat a investi l'équivalent de près de deux milliards d'euros dans « ses infrastructures hôtelières, aéroportuaires, routières et sportives » et dans la rénovation de ses stades. Puis il est aussi question, bien sûr, de soft power. Ici, le ballon rond est surtout un prétexte pour « renforcer l'influence économique et diplomatique du royaume sur la scène internationale, et pas seulement en Afrique ». Dans cette perspective, chaque Marocain est rien de moins qu'un « ambassadeur de son pays », estime L'Opinion. Pour reprendre les mots de Walid Regragui : « remporter la CAN n'est pas un choix », c'est « une obligation ». 

    La Ventana
    Acontece que no es poco | Del colonialismo salvaje de los británicos al más salvaje apartheid de los bóers (2)

    La Ventana

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 17:11


    Nieves Concostrina habla de la historia de la Sudáfrica que conocemos hoy en día. 

    La Ventana
    Acontece que no es poco | Del colonialismo salvaje de los británicos al más salvaje apartheid de los bóers (2)

    La Ventana

    Play Episode Listen Later Dec 22, 2025 15:01


    Nieves Concostrina habla de la historia de la Sudáfrica que conocemos hoy en día. 

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 3/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 21, 2025 5:28


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 3/6 – L'Inca : roi, guerrier et figure quasi divineL'Inca comme chef militaire et fondateur de lignageAbsence de règles de succession et conflits dynastiquesMise en scène du pouvoir : insignes, rituels et invisibilitéL'Inca comme intermédiaire entre les dieux et les hommesLe pouvoir personnel comme clé de l'ordre impérial Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Noticentro
    Presume SHCP récord histórico de reservas internacionales

    Noticentro

    Play Episode Listen Later Dec 21, 2025 1:28 Transcription Available


    Edomex pone en marcha programa canino de acompañamiento emocional infantil CDMX detalla separación obligatoria de basura que inicia en enero Ataque armado en Sudáfrica deja diez muertos y varios heridos Más información en nuestro podcast

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 2/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 20, 2025 5:50


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 2/6 – Gouverner sans bureaucratie : le pouvoir indirect incaLe Tawantinsuyu comme structure soupleLe rôle central des kuraka et des élites localesReconduction, contrôle et renforcement des pouvoirs indigènesRéciprocité, dons et fidélité politiqueUn empire peu bureaucratique mais très efficace Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    Monde Numérique - Jérôme Colombain

    L'intelligence artificielle, la robotique, la cybersécurité et la désinformation ont marqué 2025. Dans ce dernier Hebdo de l'année, on dresse le bilan d'un millésime technologique hors norme et se projette déjà vers 2026.

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)
    Les Incas, Fils du Soleil #2 - 1/6

    Timeline (5.000 ans d'Histoire)

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 9:37


    Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 1/6 – Une société de lignages : l'ayllu comme cellule fondamentaleLa primauté du collectif sur l'individuL'ayllu : lignage, territoire, ancêtre et obligations réciproquesDivision du travail, complémentarité économique et interdépendanceLlaqta, provinces et hiérarchies localesUne société structurée, mais non uniforme Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    The Wine News in 5
    Trinchero purchases Mumm Napa, Chablis updates AOC, Canada sells off US booze

    The Wine News in 5

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 5:35


    This week Sam discusses Trinchero's purchase of Mumm Napa from Pernod Ricard, Mendoza's approval of copper mining, Canada selling off US booze, the discontinuation of the ‘Sud de France' label and Chablis changing vineyard rules. You can read the transcript of this newscast (with linked news sources) at https://www.jancisrobinson.com/articles/trinchero-purchases-mumm-napa-chablis-updates-aoc-canada-sells-us-booze.

    Invité Afrique
    Sidi Ould Tah: la BAD veut «d'aller au-delà de l'aide publique au développement, vers l'investissement»

    Invité Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 9:08


    Voilà 100 jours que Sidi Ould Tah a pris la tête de la Banque africaine de développement (BAD). Et, le banquier mauritanien affiche déjà une action positive pour ses trois premiers mois : la levée mardi 16 décembre de 11 milliards de dollars pour le Fonds africain de développement. Une hausse de 23 % par rapport à la précédente session des donateurs. Et, ce, malgré la baisse drastique des enveloppes d'aide au développement cette année. Le président de la BAD explique ses ambitions pour l'Afrique dans un environnement financier en recomposition. Il répond à Sidy Yansané   RFI : M. le président Sidi Ould Tah, vous êtes à Londres pour la réunion des donateurs du Fonds africain de développement, le FAD, qui est, pour le dire simplement, une cagnotte réservée au financement de projets dans les pays africains les plus pauvres. Et cette semaine, le FAD a recueilli 11 milliards de dollars. Un montant que vous qualifiez d'historique.   Sidi Ould Tah : Absolument ! Nous sommes pour l'élan de solidarité historique que nous venons de connaître, qui devrait nous permettre, au cours des trois prochaines années, de mieux répondre aux attentes des populations africaines, en particulier les 37 pays les plus fragiles et les moins dotés de l'Afrique. Du coup, cette année, qui sont les principaux contributeurs ? Malgré le contexte international que nous connaissons tous et qui se caractérise par des pressions fiscales importantes et aussi des pressions sur les ressources, les partenaires du FAD et les pays africains ont décidé ensemble d'augmenter leur enveloppe dans cette 17ᵉ reconstitution du Fonds. C'est un message très fort de solidarité avec l'Afrique et pour l'Afrique. Et aussi un message très fort des Africains pour la prise en charge de leur propre développement. Justement, vous vous félicitez de l'engagement de l'Afrique dans son propre fonds. 23 pays du continent qui ont contribué à près de 183 millions de dollars. Une véritable transformation, vous dites. Mais finalement, 183 millions sur un total de 11 milliards, cette transformation que vous vantez est-elle bien réelle ? Ce qu'il faut regarder au-delà des chiffres, c'est le geste lui-même. Je crois que c'est la dynamique qui commence et ça montre quand même un engagement très fort de la part des pays africains. Si on rapporte ce montant au PIB des pays africains contributeurs, on se rend compte quand même que l'effort est considérable. Mais ce qu'il faut aussi regarder, c'est la volonté commune des deux parties d'aller au-delà de l'aide publique au développement pour aller vers l'investissement, vers le partenariat économique, tout en prenant compte de l'intérêt de nos pays donateurs. Parlons de ces partenaires. Avant de prendre les rênes de la BAD, vous teniez pendant dix ans ceux de la BADEA, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, notamment financée par les pays du Golfe que vous connaissez bien. C'est cette « nouvelle génération de collaborateurs à grande échelle », comme vous le dites, que vous comptez développer ? Il ne s'agit pas d'individualiser des partenaires contre d'autres. Ce qu'il faut voir, c'est l'ensemble des partenaires de l'Afrique. Le continent a toujours reçu un appui constant de la part de ses partenaires historiques, et cet appui continue et se renforce. L'arrivée d'autres partenaires ne fait que renforcer ce partenariat, et ne diminue en rien le partenariat existant. Nous avons consacrée tout une journée au secteur privé avec un certain nombre d'acteurs financiers. Nous sommes à Londres qui est une place financière internationale. Dans ce cadre, le FAD pourrait jouer un rôle important dans l'atténuation du risque perçu dès qu'il s'agit du continent africain, de quoi rassurer les investisseurs et permettre le développement des projets transformateurs dans les différents pays africains. Revenons sur la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, qui s'engage à donner jusqu'à 800 millions de dollars pour le développement en Afrique. Engagement similaire de l'OPEP à hauteur de 2 milliards de dollars. Ce sont les sommes annoncées par la BAD que vous présidez. N'y a-t-il pas là une alternative aux contributeurs habituels ? Vous savez, les besoins de l'Afrique sont immenses. Annuellement, on estime ces besoins de financement et de développement à 400 milliards de dollars. Donc, toutes les contributions sont les bienvenues. Toutes les participations sont nécessaires, que ce soit à travers la mobilisation du secteur privé, qui doit aussi jouer un rôle important dans la mise en œuvre des projets d'infrastructures, la transformation des matières premières, le secteur de l'énergie, des transports, les ports, les aéroports, les chemins de fer, mais aussi dans le domaine digital. En novembre, vous étiez présent au G20 organisé en Afrique du Sud et boycottée par Washington. Comment comptez-vous composer avec la nouvelle politique américaine des deals pour paraphraser le président Donald Trump, notamment sur les matières premières ? Les Etats-Unis ont toujours soutenu la BAD et continuent à la soutenir. Et nous travaillons en étroite collaboration avec nos actionnaires dans l'intérêt du continent africain. Le rôle de la Banque est un rôle de financement du développement et de mobilisation des ressources pour le continent africain, et nous continuerons à le faire, y compris avec le secteur privé américain comme la DFC, comme US Bank. C'est les projets qui vont contribuer à l'amélioration du bien-être des populations africaines. À lire aussiBanque africaine de développement: le nouveau président invite à «changer de paradigme» face aux défis du continent

    Eco d'ici Eco d'ailleurs
    L'économie en 2025 : Donald Trump préparé et stratège, le monde fragilisé

    Eco d'ici Eco d'ailleurs

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 60:54


    Dans cette émission spéciale, quatre journalistes économiques basés à Paris, Montréal et Yaoundé dressent le bilan de l'année 2025 dans le monde : le grand basculement géopolitique, le retour préparé et pragmatique de Trump, l'impact différencié sur le reste du monde, la révolution de l'IA et le recul écologique, les enjeux africains et l'émergence du Sud global, l'omniprésence de endettement la paralysie française, le retour de l'État stratège. NOS INVITÉS

    Choses à Savoir ÉCONOMIE
    Le "made in China" va-t-il remplacer la K-beauty coréenne ?

    Choses à Savoir ÉCONOMIE

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 1:56


    La question peut sembler légère, mais elle est en réalité très sérieuse économiquement : la beauté « made in China » est-elle en train de détrôner la célèbre K-beauty coréenne ? Depuis une quinzaine d'années, la Corée du Sud s'est imposée comme une puissance mondiale des cosmétiques, portée par l'innovation, le soft power culturel et des marques devenues incontournables. Mais depuis peu, un nouvel acteur accélère très vite : la Chine.La K-beauty a longtemps dominé le segment des cosmétiques innovants et accessibles. En 2023, l'industrie cosmétique sud-coréenne représentait environ 14 milliards de dollars d'exportations, contre moins de 2 milliards au début des années 2010. Des marques comme Innisfree, Laneige ou COSRX ont popularisé les routines en dix étapes, les masques en tissu et les soins ultra-techniques, tout en profitant de la vague K-pop et des dramas coréens. La Corée du Sud exporte aujourd'hui ses produits vers plus de 150 pays.Mais la Chine rattrape son retard à une vitesse impressionnante. Le marché chinois de la beauté est devenu le deuxième plus grand au monde, derrière les États-Unis, avec un chiffre d'affaires estimé à plus de 80 milliards de dollars en 2024. Surtout, les marques locales chinoises connaissent une croissance à deux chiffres, là où les marques étrangères stagnent. Selon plusieurs cabinets d'études, les marques chinoises représentaient moins de 30 % du marché en 2015 ; elles dépassent désormais 50 % des ventes de cosmétiques en Chine.La force de la beauté chinoise repose sur trois leviers économiques. D'abord, le prix : des produits souvent 20 à 40 % moins chers que leurs équivalents coréens ou occidentaux. Ensuite, la vitesse d'innovation : certaines marques chinoises lancent de nouveaux produits en quelques semaines, en s'appuyant sur les données issues du e-commerce et des réseaux sociaux. Enfin, la maîtrise du marketing digital : sur Douyin, Xiaohongshu ou Tmall, les marques chinoises exploitent à grande échelle le live-shopping et les influenceurs locaux.Autre élément clé : la Chine n'est plus seulement un marché intérieur. Les exportations de cosmétiques chinois ont progressé de plus de 20 % par an depuis 2020, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Afrique. Là où la K-beauty s'est mondialisée par la culture, la C-beauty s'impose par la puissance industrielle et logistique.Faut-il pour autant enterrer la K-beauty ? Pas encore. La Corée conserve une image premium en matière de formulation et de dermatologie. Mais une chose est sûre : la beauté made in China n'est plus un outsider. Elle est devenue un concurrent crédible, capable de redessiner l'équilibre économique mondial du secteur cosmétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Famille & Voyages, le podcast

    Aujourd'hui, je vous présente Charlotte, photographe et maman de deux grands garçons. C'est son fils Tom, 25 ans, qui lui a proposé ce voyage un peu fou : six mois de road trip de Paris jusqu'au Cap en Afrique du Sud, un projet qu'il a imaginé et organisé du début à la fin.Ils ont traversé l'Europe et l'Afrique, pays après pays : Espagne, Maroc, Mauritanie, Sénégal, Guinée, Côte d'Ivoire, Ghana, Togo, Bénin, Nigeria, Cameroun, Congo, Angola, Namibie… jusqu'à l'Afrique du Sud .Un récit de voyage marqué par des nuits sous la tente, des rencontres spontanées, un passage de frontière tendu à cause d'un drone, et cette scène digne d'un western quand deux silhouettes se sont approchées d'eux au Maroc pour leur dire qu'ils ne pouvaient pas camper là .Ce voyage en famille a resserré leur lien, six mois côte à côte, souvent à l'aventure, parfois dans l'inconnu.Si l'idée de suivre une route qui change tout vous parle, vous serez sûrement curieux d'entendre leur histoire.-----------Si l'épisode vous a plu, laissez-moi une note 5 ⭐️ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify

    Journal d'Haïti et des Amériques
    En Haïti, les chrétiens attachés à leur foi

    Journal d'Haïti et des Amériques

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 30:00


    À une semaine de Noël, moment fort pour les chrétiens, les Haïtiens comptent bien pouvoir célébrer l'événement. À Port-au-Prince notamment, les chrétiens n'abandonnent pas la pratique de leur religion et continuent de se rendre au temple, y compris dans les zones contrôlées par les gangs. Certaines communautés trouvent des solutions pour continuer à se rassembler. C'est le cas de l'église adventiste Horeb qui se situe sur la route des Dalles, dans un quartier sous le joug du gang Tilapli. Là-bas, les fidèles trouvent toujours un moyen de venir prier. Mais pour d'autres, c'est plus compliqué. Ainsi, des églises catholiques ont dû suspendre leurs messes ou se réorganiser dans d'autres lieux. Reportage de notre correspondant en Haïti, Peterson Luxama.   En Argentine, la réforme du travail de J. Milei prend du retard Des milliers de personnes ont manifesté hier (jeudi 18 décembre) à Buenos Aires pour rejeter la réforme du travail voulue par le président qui prévoit une extension de la journée de travail de 8 à 12 heures par accord mutuel ou bien encore des restrictions au droit de grève. C'est une nouvelle «cruauté législative» imaginée par Javier Milei, juge Pagina 12. Mais, pour l'instant, son parcours législatif est retardé, se réjouit le quotidien de gauche. Le gouvernement voulait que le Sénat se prononce sur son projet de loi avant la fin de l'année. Mais il a dû tout repousser au 10 février 2026. C'est, donc, un revers pour Javier Milei, qui a pourtant remporté les législatives d'octobre 2025, mais sans majorité absolue. En réalité, hier, le président a enregistré deux défaites liées l'une à l'autre. «Une stratégie inopportune à la Chambre des députés a déclenché un ouragan au Sénat», explique le journal Clarin qui poursuit sur un ton moqueur : c'est «l'effet papillon libertarien». En effet, hier, alors qu'une commission du Sénat commençait à examiner la réforme du travail, les députés, eux, se penchaient sur le Budget 2026. Comme le raconte Clarin, l'obstination du gouvernement à vouloir faire approuver, contre l'avis du Congrès, un article réduisant les financements aux universités et les aides aux personnes porteuses d'un handicap, a braqué ses alliés potentiels qui ont décidé de bloquer sa réforme du travail au Sénat. Tout cela est inquiétant, juge, pour sa part, La Nacion car cela a créé des tensions au sein du camp de Javier Milei. «L'incapacité de satisfaire les désirs maximalistes du président (ses caprices, diront certains) a créé un terrain fertile pour raviver des conflits non résolus et rouvrir de vieilles blessures liées à des projets avortés», explique le quotidien qui pointe du doigt deux personnes, en particulier, dans l'entourage du président : sa «soeurissime» - c'est ainsi que La Nacion appelle Karina Milei - et son «super conseiller», Santiago Caputo. Entre eux, «l'animosité demeure», prévient le journal.   L'armée vénézuélienne toujours unie derrière Nicolas Maduro Dans l'océan Pacifique, une nouvelle frappe américaine a fait cinq morts jeudi (18 décembre 2025). Au moins, 104 personnes présentées comme des trafiquants de drogue par Washington, ont été tuées depuis le mois de septembre 2025. Washington qui ne relâche pas la pression sur le Venezuela dans l'espoir de faire tomber le président Nicolas Maduro. Mais, pour l'instant, l'armée continue de le soutenir, analyse le quotidien colombien El Tiempo qui s'est entretenu avec des soldats. Cette cohésion devrait perdurer au sommet de l'appareil militaire car les généraux et les amiraux «occupent des ministères et contrôlent certains secteurs de l'économie», ce qui leur permet de s'enrichir depuis des années. Si le pouvoir tombe, alors ils tombent aussi. Et ce qui les attend, ce sont «des procès à La Haye ou devant des tribunaux étasuniens» pour violations des droits humains, explique El Tiempo. Quant aux échelons intermédiaires, poursuit le quotidien colombien, ils ne se rebellent pas car ils ont peur que Nicolas Maduro les jette en prison. «Certains capitaines et lieutenants qui ont obéi aux ordres et participé à la répression, craignent d'être sacrifiés en cas de négociations», d'être les grands perdants en cas d'accord entre les élites politiques, écrit El Tiempo. Ils «font donc pression sur Nicolas Maduro pour qu'il n'abandonne pas le pouvoir sans une amnistie générale», explique une source anonyme au journal. Reste le gros de la troupe, les soldats tout en bas de l'échelle : eux, ils restent loyaux à Nicolas Maduro «par discipline». L'armée pourrait-elle finir par lâcher le président vénézuélien ? Selon El Tiempo, cela dépendra de ce qu'on lui offre. Une intervention américaine n'aurait aucun effet, juge le journal. Mais une amnistie et la garantie de poursuivre leur carrière, cela pourrait convaincre les échelons intermédiaires de soutenir un changement de régime. Or, ce sont eux qui «contrôlent les troupes et maintiennent une certaine stabilité dans le pays», fait remarquer le quotidien. Les hauts gradés, eux, sont trop mouillés dans les crimes de la dictature chaviste.   Mère à 15 ans en Guyane En Guyane, les jeunes filles mineures sont 10 fois plus nombreuses à tomber enceintes que dans le reste du pays. À l'échelle de l'Amérique du Sud, c'est même le territoire où les grossesses adolescentes sont les plus répandues. Ces filles, parfois très jeunes, âgées de moins de 15 ans pour certaines, sont en général soutenues par leur famille mais souvent stigmatisées à l'école, contraintes de choisir entre la casquette de maman et celle de lycéenne. Reportage à Cayenne d'Amélie Beaucour.   Le journal de la 1ère Sous le coup d'une enquête pour escroquerie et abus de position dominante, le Groupe Bernard Hayot (GBH) se défend.

    Aujourd'hui l'économie
    Pendant que Shein et Temu font débat en France, Jumia trace sa route en Afrique

    Aujourd'hui l'économie

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 3:13


    Alors que la justice française doit se prononcer sur une possible suspension de Shein, le débat sur les marketplaces low-cost s'intensifie en Europe. Pendant ce temps, sur un autre continent, le e-commerce suit une trajectoire bien différente. En Afrique, un acteur s'impose comme le leader du secteur: Jumia, souvent qualifié d'« Amazon africain ». Contrairement aux marchés européens, déjà matures et fortement concurrentiels, le e-commerce africain demeure un secteur en phase de structuration. Dans de nombreux pays, acheter en ligne n'est pas encore un réflexe généralisé. Les obstacles sont concrets : absence d'adresses officielles dans certaines villes, infrastructures logistiques insuffisantes, réseaux de distribution fragmentés. Pourtant, le marché affiche une dynamique impressionnante. Le commerce en ligne en Afrique progresse à un rythme compris entre 12 % et 14 % par an, bien supérieur à celui observé en Europe ou en Amérique du Nord. En 2025, il devrait représenter près de 280 milliards de dollars. Cette croissance est portée par une population jeune, majoritairement urbaine, largement équipée en smartphones et de plus en plus connectée à Internet. Mais sur le terrain, le développement du e-commerce reste prudent, contraint par les réalités économiques et logistiques. Jumia, l'ambition d'un Amazon africain C'est dans ce contexte que Jumia a vu le jour en 2012. La plateforme s'est donné pour mission de révolutionner les habitudes de consommation de plus d'un milliard d'Africains, avec une ambition claire : créer un Amazon ou un Alibaba adapté au continent. Séduits par le slogan « 100 % Afrique, 100 % Internet », les investisseurs internationaux ont injecté près de 800 millions de dollars avant l'entrée en Bourse de l'entreprise à New York, en 2019. Mais l'euphorie est de courte durée. Dès son introduction en Bourse, le cours de l'action chute. Dans le même temps, Jumia poursuit une expansion rapide, s'implantant jusqu'à 14 pays. Une stratégie qui se révèle trop coûteuse. Les pertes s'accumulent, la logistique peine à suivre et le modèle montre ses limites. L'entreprise est alors contrainte de revoir en profondeur sa stratégie et son périmètre d'activité. Recentrage stratégique et concurrence accrue Aujourd'hui, Jumia existe toujours, mais sous une forme plus resserrée. La plateforme a réduit la voilure et concentre désormais ses activités dans neuf pays, qui représentent néanmoins près de 60 % du PIB africain. Pour s'adapter aux spécificités locales, elle a développé des solutions sur mesure : points de retrait dans les villages et les quartiers périphériques, recours au paiement à la livraison pour rassurer des consommateurs encore méfiants à l'égard du paiement en ligne, multiplication des partenariats régionaux et internationaux pour mieux gérer les stocks et limiter les ruptures. Ce repositionnement intervient dans un contexte de concurrence accrue. L'Américain Amazon et les plateformes chinoises Temu ou Shein s'intéressent elles aussi au marché africain. Mais ces acteurs avancent prudemment, confrontés à des réalités qu'ils maîtrisent encore imparfaitement. Amazon, par exemple, s'est implanté en Égypte puis en Afrique du Sud, deux des marchés les plus mûrs du continent. La force de Jumia réside aujourd'hui dans sa connaissance fine du terrain et dans la fidélité d'une clientèle locale. L'entreprise affiche un objectif clair : atteindre la rentabilité d'ici à 2027. Selon plusieurs cabinets spécialisés, ses chances d'y parvenir sont désormais estimées à 70 %, contre une probabilité quasi nulle il y a encore quelques années. D'autres plateformes, comme Konga au Nigeria ou Takealot en Afrique du Sud, tentent elles aussi de tirer leur épingle du jeu à plus petite échelle. En Afrique, le succès du e-commerce ne passe pas par le copier-coller des modèles occidentaux, mais par une adaptation constante aux réalités locales.

    Éco d'ici éco d'ailleurs
    L'économie en 2025 : Donald Trump préparé et stratège, le monde fragilisé

    Éco d'ici éco d'ailleurs

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 60:54


    Dans cette émission spéciale, quatre journalistes économiques basés à Paris, Montréal et Yaoundé dressent le bilan de l'année 2025 dans le monde : le grand basculement géopolitique, le retour préparé et pragmatique de Trump, l'impact différencié sur le reste du monde, la révolution de l'IA et le recul écologique, les enjeux africains et l'émergence du Sud global, l'omniprésence de endettement la paralysie française, le retour de l'État stratège. NOS INVITÉS

    Scope of Practice
    Mitigation Specialists: The Aim for Outcomes That Consider Rehabilitation and Not Just Punishment

    Scope of Practice

    Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 35:53


    Mitigation Specialist and President of the Connecticut Women's Consortium Dr. Jozlyn Hall joins us to talk about the scope of her work as a member of the criminal defense team and how it impacts sentencing in cases before the court Originally used solely in capital cases, it is not about excusing individuals of the responsibility of their actions, but for getting the accused the assistance they need based on a complete evaluation of their strengths, deficits and needs. Given that the needs may include SUD services, it is an important area for professionals working with justice-involved individuals to understand.

    Learn French with daily podcasts
    Nouvelle Ligne (New Route)

    Learn French with daily podcasts

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 2:36


    China Eastern Airlines a inauguré le vol direct le plus long du monde, reliant Shanghai à Buenos Aires. Ce lancement est perçu comme un renforcement stratégique des liens Asie-Amérique du Sud.Traduction: China Eastern Airlines launched the world's longest direct flight, connecting Shanghai to Buenos Aires. This is viewed as a strategic strengthening of Asia-South America ties. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Cualquier tiempo pasado fue anterior
    Acontece que no es poco | 17 de diciembre de 1899: Termina la “Semana Negra” para los británicos en la guerra de los bóers

    Cualquier tiempo pasado fue anterior

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 16:14


    Nieves Concostrina habla de la guerra de los bóers en los territorios de lo que hoy conocemos como Sudáfrica.

    Acontece que no es poco con Nieves Concostrina
    Acontece que no es poco | 17 de diciembre de 1899: Termina la “Semana Negra” para los británicos en la guerra de los bóers

    Acontece que no es poco con Nieves Concostrina

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 16:14


    Nieves Concostrina habla de la guerra de los bóers en los territorios de lo que hoy conocemos como Sudáfrica.

    Revue de presse Afrique
    À la Une: l'Afrique du Sud expulse sept Kenyans employés par les États-Unis

    Revue de presse Afrique

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 4:15


    L'Afrique du Sud a expulsé sept Kenyans employés par les États-Unis dans le cadre de leur programme d'accueil de la minorité blanche des Afrikaners. Et, ça ne risque pas d'arranger la relation déjà tendue entre Pretoria et Washington. Le journal kenyan Daily Nation revient sur ce contexte particulièrement électrique : « L'administration du président Donald Trump ambitionne d'accueillir des milliers de Sud-Africains blancs aux États-Unis dans le cadre d'un programme de réinstallation lancé cette année, en se fondant sur des allégations de persécution raciale. » Des allégations que réfute totalement l'Afrique du Sud. « Sur cette base, l'administration Trump a mis en place un programme offrant à certains Afrikaners un traitement prioritaire pour obtenir le statut de réfugié aux États‑Unis, comme en mai 2025 lorsqu'un premier groupe a été accueilli avec accompagnement pour leur insertion », commente la Nouvelle Tribune. Les sept Kényans expulsés étaient entrés dans le pays avec des visas de tourisme et avaient illégalement commencé à travailler, alors que des demandes précédentes de visas de travail leur avaient été refusées. Daily Nation analyse : « Durant son second mandat, Trump a proféré à plusieurs reprises de fausses accusations concernant le traitement réservé par l'Afrique du Sud à sa minorité blanche, s'en servant pour réduire l'aide au pays et exclure l'Afrique du Sud des réunions du G20. » Washington n'a en tout cas pas manqué de réagir aux expulsions : « Le département d'État américain a accusé Pretoria d'entraver ses opérations liées à l'accueil de réfugiés, qualifiant la situation d'inacceptable. De son côté, le gouvernement sud-africain affirme avoir engagé des démarches diplomatiques formelles avec les États-Unis et le Kenya afin de désamorcer le différend », conclut la Nouvelle Tribune. Au Kenya, 18 personnes prises au piège dans la guerre en Ukraine rapatriées Dix-huit personnes prises au piège dans la guerre en Ukraine ont été rapatriées dans le pays, révèle Daily Nation au Kenya. Le journal explique que ces 18 hommes ont été rapatriés de Russie, « certains souffrant de blessures graves ». Plus tôt dans la semaine, on a également appris qu'au moins 82 Kényans auraient été enrôlés de force aux côtés de l'armée russe dans la guerre en Ukraine. « La plupart, dépourvus de toute formation militaire, n'avaient jamais tenu une arme de leur vie avant d'être enrôlés. Après une formation express de cinq jours dans des camps d'entraînement, ils ont été envoyés sur la ligne de front », explique Le Monde Afrique. L'un des volontaires abusés, qui témoigne auprès de Daily Nation, raconte que « plusieurs agences de recrutement auraient trompé des candidats à l'immigration, leur faisant miroiter de faux emplois aux rémunérations alléchantes dans la transformation, l'emballage et le nettoyage de viande », tout en assurant prendre en charge les frais de transport, les examens médicaux et le logement sur place. Et « le Kenya n'est pas le seul pays africain de recrutement, explique le Monde Afrique. Les autorités ukrainiennes estiment que plus de 1 400 soldats du continent, issus de 36 pays, combattraient aux côtés de l'armée russe. La plupart sous la contrainte. » L'Afrique subsaharienne, par ailleurs, « constitue un vivier de recrutement vaste et facilement accessible en raison de taux de pauvreté élevés dans la plupart des pays de la zone » et de l'« important désir d'émigration », d'après l'Institut français des relations internationales (Ifri) dans une étude ce jeudi. Froid glacial, pluies diluviennes et fortes chutes de neige au Maroc « Le Maroc fait face à un épisode hivernal d'une rare intensité », commente Afrik.com. Mardi, les autorités ont annoncé le déploiement d'une aide d'urgence nationale. Objectif : venir en aide à des dizaines de milliers de familles. La province côtière de Safi est particulièrement touchée, raconte le média, des crues soudaines y ayant causé la mort de 37 personnes dimanche. « ​Safi panse ses plaies en quatre heures grâce à un élan de solidarité inédit, écrit notamment le journal marocain l'Opinion. Boulangers, pêcheurs, commerçants du port et professionnels de la pêche côtière se sont unis dans une collecte exceptionnelle, peut-on lire. Ce mouvement collectif, nourri par l'attachement profond à une ville meurtrie, illustre une capacité éprouvée à faire face à l'adversité (…) portée par la détermination et la cohésion de ses habitants », raconte le journal. Plus globalement, le Maroc connaît une variabilité climatique accrue, marquée par l'alternance entre sécheresses prolongées et épisodes pluvieux violents. Sans surprise, « l'intensification de ces phénomènes est liée au réchauffement climatique, qui modifie les régimes de précipitations et accentue les contrastes de température », souligne Afrik.com.

    La Ventana
    Acontece que no es poco | 17 de diciembre de 1899: Termina la “Semana Negra” para los británicos en la guerra de los bóers

    La Ventana

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 16:14


    Nieves Concostrina habla de la guerra de los bóers en los territorios de lo que hoy conocemos como Sudáfrica.

    ONU News
    Jornal da ONU - 18 de dezembro de 2025

    ONU News

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 4:20


    Jornal da ONU com Monica Grayley. Esses são os destaques desta quinta-feira, 18 de dezembro:Vencedor do Prêmio Campeões da Terra fala sobre inteligência artificial e proteção das florestasRelatório diz que mais mil pessoas foram mortas no Sudão no que pode configurar crime de guerra

    Choses à Savoir ÉCONOMIE
    Qu'est-ce que la “doctrine Monroe” ?

    Choses à Savoir ÉCONOMIE

    Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 2:39


    La doctrine Monroe est une vieille idée de politique étrangère américaine… mais qui revient régulièrement sur le devant de la scène, notamment quand il est question de Donald Trump et du Venezuela.À l'origine, la doctrine Monroe est formulée en 1823 par le président américain James Monroe. Son principe est simple et brutal : l'Amérique aux Américains. Autrement dit, les États-Unis déclarent que le continent américain n'est plus une zone d'intervention pour les puissances européennes. En échange, Washington promet de ne pas se mêler des affaires européennes. À l'époque, il s'agit surtout d'empêcher l'Espagne, la France ou le Royaume-Uni de reconquérir leurs anciennes colonies en Amérique latine.Sur le papier, la doctrine Monroe est défensive. Mais avec le temps, elle va être largement réinterprétée. À partir du début du XXᵉ siècle, les États-Unis s'en servent pour justifier leur propre influence, voire leurs interventions, en Amérique centrale et du Sud. Coups d'État soutenus, pressions économiques, interventions militaires : la doctrine Monroe devient un outil de domination régionale, au nom de la stabilité et de la lutte contre les influences étrangères.C'est là que le lien avec Donald Trump apparaît. Lors de sa présidence, Trump et plusieurs membres de son administration ont explicitement invoqué la doctrine Monroe, notamment à propos du Venezuela. Pourquoi ? Parce que le régime de Nicolás Maduro entretient des relations étroites avec des puissances considérées comme rivales par Washington : la Russie, la Chine et l'Iran. Pour les États-Unis, cette présence étrangère en Amérique latine viole l'esprit de la doctrine Monroe.Dans le cas du Venezuela, l'enjeu est à la fois géopolitique et économique. Le pays possède les plus grandes réserves de pétrole prouvées au monde, mais il est plongé dans une crise économique et politique profonde. En soutenant l'opposant Juan Guaidó, en imposant de lourdes sanctions économiques et en menaçant à mots couverts d'une intervention, l'administration Trump s'inscrivait clairement dans une logique : reprendre le contrôle de l'arrière-cour américaine.Ce retour à la doctrine Monroe marque une rupture avec le discours multilatéral classique. Il traduit une vision du monde très transactionnelle et souverainiste : chaque grande puissance aurait sa zone d'influence, et l'Amérique latine resterait celle des États-Unis. Une vision critiquée par de nombreux pays de la région, qui y voient un réflexe impérialiste dépassé.En résumé, si l'on parle aujourd'hui de la doctrine Monroe à propos de Trump et du Venezuela, c'est parce qu'elle incarne une logique ancienne mais toujours active : empêcher toute puissance étrangère de s'implanter durablement en Amérique latine, quitte à peser lourdement sur les choix politiques et économiques des pays concernés. Une doctrine vieille de 200 ans, mais loin d'être enterrée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Choses à Savoir
    Pourquoi la Colombie porte-t-elle le nom de Christophe Colomb ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 2:00


    La Colombie porte le nom de Christophe Colomb, mais le navigateur génois n'a jamais mis les pieds sur le territoire colombien actuel. Cette apparente contradiction s'explique par l'histoire complexe de la découverte de l'Amérique et par la construction politique des jeunes États du continent au XIXᵉ siècle.Christophe Colomb est avant tout associé à l'arrivée des Européens en Amérique en 1492. En réalité, il n'a jamais atteint le continent nord-américain et n'a exploré que certaines îles des Caraïbes, ainsi que les côtes de l'Amérique centrale. Pourtant, son voyage marque un tournant majeur : il inaugure durablement les échanges entre l'Europe et le continent américain, ce que l'on appelle souvent la « rencontre de deux mondes ».Lorsque les colonies espagnoles d'Amérique du Sud commencent à lutter pour leur indépendance au début du XIXᵉ siècle, leurs dirigeants cherchent des symboles forts capables de fédérer des territoires immenses et très divers. Christophe Colomb s'impose alors comme une figure fondatrice, perçue à l'époque comme l'initiateur de l'histoire moderne du continent américain, même si cette vision est aujourd'hui largement critiquée.En 1819, après plusieurs victoires militaires contre l'Espagne, le général Simón Bolívar proclame la création d'un nouvel État : la Gran Colombia. Cet ensemble politique regroupe alors les territoires de l'actuelle Colombie, du Venezuela, de l'Équateur et du Panama. Le choix du nom « Colombia » est hautement symbolique : il rend hommage à Colomb tout en affirmant une rupture avec la domination espagnole. Il s'agit d'un hommage paradoxal, car Colomb était lui-même un acteur de la conquête européenne, mais son nom est détaché de la couronne espagnole et transformé en mythe fondateur.La Gran Colombia se disloque rapidement, dès 1830, en plusieurs États indépendants. L'un d'eux conserve le nom de Colombie, qui devient officiel en 1886 avec la République de Colombie. Le nom est désormais enraciné dans l'identité nationale.Il faut aussi rappeler qu'au XIXᵉ siècle, l'image de Christophe Colomb est très différente de celle que nous avons aujourd'hui. Il est alors célébré comme un héros visionnaire et un explorateur audacieux, tandis que les violences de la colonisation sont largement passées sous silence. Ce n'est que plus tard que l'historiographie et les débats publics viendront nuancer, voire contester, ce récit.Ainsi, la Colombie porte le nom de Christophe Colomb non pas parce qu'il l'a découverte, mais parce que son nom est devenu un symbole politique et historique, choisi à un moment clé pour construire une nation et lui donner une place dans l'histoire du continent américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

    Cinco continentes
    Cinco Continentes - Venezuela, desafiante ante las amenazas de Trump

    Cinco continentes

    Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 55:17


    Nicolás Maduro ha conversado telefónicamente con el secretario general de la ONU Antonio Guterres para denunciar la escalada de amenazas. Además ha pedido a la Organización Internacional que se pronuncie contra la declaración de intenciones de Trump. Vamos a hablar del posible préstamo a Ucrania usando activos rusos congelados y de la respuesta que dé Bélgica. También del aniversario del acontecimiento que desencadenó la "Revolución de los Jazmines", el inicio de las primaveras árabes. Hablaremos de los países centroeuropeos que, en previsión de un posible enfrentamiento con Rusia, están tomando medidas para protegerse.También estaremos en el Reino Unido, donde los médicos residentes de Inglaterra han iniciado una huelga para reclamar mejoras salariales.Y estará con nosotros Isabel Alonso, responsable de asuntos humanitarios de MSF en Sudán del Sur.Escuchar audio

    Cinco continentes
    Cinco continentes - La situación humanitaria en Sudán del Sur

    Cinco continentes

    Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 10:35


    Sudán del Sur es un país al que le está afectando la crisis que vive su vecino del norte pero que también atraviesa ahora una enorme inestabilidad que algunos temen que pueda derivar en un nuevo conflicto. Hablamos con Isabel Alonso, responsable de asuntos humanitarios de MSF en Sudán del Sur.Escuchar audio

    Appels sur l'actualité
    [Vos questions] G20 : Donald Trump peut-il réellement exclure l'Afrique du Sud ?

    Appels sur l'actualité

    Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 19:30


    Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le futur de Xabi Alonso au Real Madrid, le retrait annoncé de l'AFC/M23 d'Uvira et un attentat contre des Américains en Syrie. G20 : Donald Trump peut-il réellement exclure l'Afrique du Sud ?   Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Afrique du Sud. Dernier affront, la nation arc-en-ciel n'a pas été invitée à participer à la première réunion du G20 organisée sous présidence américaine. Donald Trump a-t-il le droit d'exclure l'Afrique du Sud pourtant membre fondateur du G20 ? Quel geste le président américain attend-il de Pretoria pour réintégrer le pays ? Avec Valentin Hugues, correspondant de RFI à Johannesburg.       Real Madrid : Xabi Alonso peut-il être encore être écarté du club ?   Après deux défaites à domicile contre le Celta Vigo en Liga et Manchester City en Ligue des Champions, le Real Madrid a retrouvé le chemin de la victoire face à Alavés. Ce succès permet aux Madrilènes de se relancer au classement et à l'entraîneur de souffler alors que sa place est de plus en plus menacée. Xavi Alonso est-il encore sur la sellette ? Si la Maison Blanche décide de se séparer de lui, qui pourrait le remplacer ? Avec Olivier Pron, journaliste au service des sports de RFI.       RDC : le retrait annoncé de l'AFC/M23 d'Uvira est-il crédible ?   A la demande des Etats-Unis, le groupe armé AFC-M23, soutenu par le Rwanda, a annoncé son retrait sous conditions de la ville d'Uvira, dans la province du Sud-Kivu. Sait-on si l'Administration Trump a exercé des pressions sur Kigali ? Les préalables exigés par les rebelles, notamment le déploiement d'une force neutre pour contrôler le cessez-le-feu, sont-ils acceptables pour Kinshasa ? Avec Bob Kabamba, professeur de Science politique à l'Université de Liège.      Syrie : une attaque ciblée contre les États-Unis ?   Trois ressortissants américains, deux militaires et un civil, ont été tués en Syrie par un membre des forces de sécurité, qui selon Washington était affilié à l'organisation État islamique. Pourquoi l'assaillant a-t-il visé des Américains ? Cette attaque risque-t-elle de fragiliser le rapprochement récent entre la Syrie et les Etats-Unis ?   Avec Aghiad Ghanem, directeur scientifique du Programme MENA (Moyen-Orient/Afrique du Nord) à Sciences Po. 

    Choses à Savoir
    Pourquoi un glaçon dans un whisky bouleversa la science ?

    Choses à Savoir

    Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 2:19


    Parfois, une découverte fondamentale naît d'un simple geste du quotidien. En 1965, au cœur de l'Antarctique, le glaciologue français Claude Lorius se réchauffe dans sa tente après une longue journée de carottage. Pour célébrer, il verse un peu de whisky dans un verre et y plonge un glaçon taillé dans un bloc de glace prélevé sous ses pieds. C'est alors qu'il remarque un détail à première vue anodin : de minuscules bulles d'air s'échappent de la glace fondante. Ce geste presque banal va pourtant bouleverser notre compréhension du climat.Lorius réalise que ces petites bulles ne sont pas quelconques : elles sont de l'air piégé depuis des milliers d'années dans les couches de glace. Chaque flocon tombé sur l'Antarctique emprisonne un peu de l'atmosphère de son époque. En se compactant, la neige devient glace et capture des bulles intactes comme des capsules temporelles. À cet instant, Lorius comprend que si l'on parvient à analyser cet air ancien, on pourrait reconstituer la composition de l'atmosphère du passé, gaz à effet de serre compris.Cette intuition géniale va donner naissance à une véritable révolution scientifique. Dans les années suivantes, Lorius et ses collègues perfectionnent les techniques de forage profond. Plus on descend dans la glace, plus on remonte dans le temps. Certaines carottes glaciaires atteignent plus de 3 000 mètres de profondeur, révélant une histoire climatique qui s'étend sur plus de 800 000 ans.Les analyses montrent un lien frappant : à chaque augmentation du dioxyde de carbone (CO₂) dans l'atmosphère correspond une hausse claire des températures globales. Inversement, les périodes glaciaires coïncident avec des niveaux de CO₂ plus faibles. Les carottes glaciaires deviennent ainsi l'une des preuves les plus solides de l'influence des gaz à effet de serre sur le climat.Dans les années 1980, les travaux de Lorius contribueront directement à faire émerger la conscience moderne du réchauffement climatique d'origine anthropique. Son fameux glaçon dans le whisky n'a pas seulement rafraîchi une soirée au pôle Sud : il a ouvert une fenêtre unique sur l'histoire du climat et permis d'alerter la planète sur les risques futurs.Une simple bulle d'air, vieille de plusieurs millénaires, a suffi à changer la science — et à nous rappeler que les grandes découvertes commencent parfois dans un verre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.