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Scarica subito il PDF regalo: https://bit.ly/3YCkrH0In questo podcast ti consiglio cinque film italiani di Natale, perfetti da guardare durante le feste per entrare nello spirito natalizio e migliorare l'italiano in modo naturale.Attraverso commedie classiche, film d'animazione e titoli più recenti, potrai ascoltare dialoghi autentici, scoprire tradizioni italiane e conoscere meglio la cultura del Natale in Italia, dal Nord al Sud.Capitoli del podcast:0:00 - Introduzione1:36 - Vacanze di Natale3:02 - La Freccia Azzurra5:45 - La banda dei Babbi Natale6:50 - La cena di Natale8:04 - Cortina Express9:08 - Conclusione
Nieves Concostrina habla de la historia de la Sudáfrica que conocemos hoy en día.
Nieves Concostrina habla de la historia de la Sudáfrica que conocemos hoy en día.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 3/6 – L'Inca : roi, guerrier et figure quasi divineL'Inca comme chef militaire et fondateur de lignageAbsence de règles de succession et conflits dynastiquesMise en scène du pouvoir : insignes, rituels et invisibilitéL'Inca comme intermédiaire entre les dieux et les hommesLe pouvoir personnel comme clé de l'ordre impérial Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 3/6 – L'Inca : roi, guerrier et figure quasi divineL'Inca comme chef militaire et fondateur de lignageAbsence de règles de succession et conflits dynastiquesMise en scène du pouvoir : insignes, rituels et invisibilitéL'Inca comme intermédiaire entre les dieux et les hommesLe pouvoir personnel comme clé de l'ordre impérial Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 2/6 – Gouverner sans bureaucratie : le pouvoir indirect incaLe Tawantinsuyu comme structure soupleLe rôle central des kuraka et des élites localesReconduction, contrôle et renforcement des pouvoirs indigènesRéciprocité, dons et fidélité politiqueUn empire peu bureaucratique mais très efficace Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'intelligence artificielle, la robotique, la cybersécurité et la désinformation ont marqué 2025. Dans ce dernier Hebdo de l'année, on dresse le bilan d'un millésime technologique hors norme et se projette déjà vers 2026.
Llega el último rickshaw del año antes de hacer un parón por las fiestas navideñas. Este sábado hemos querido poner, una vez más, el foco en Gaza; también repasamos la orden de Trump de bloquear los buques petroleros que entren y salgan de Venezuela, y analizamos el acuerdo de financiación de la Unión Europea para Ucrania durante los próximos dos años. La fotografía de la semana recoge el desalojo masivo de 400 personas migrantes que vivían en un instituto abandonado de Badalona (Barcelona). Y hacemos también paradas en Sudán, la República Democrática del Congo y Chile, además de repasar el fallo histórico de la justicia europea contra Frontex, la agencia europea de fronteras.
Cada año, cientos de rinocerontes son asesinados por sus cuernos, destinados en su mayoría a mercados asiáticos vinculados a la medicina tradicional. Frente a esta amenaza, Sudáfrica lanzó a mediados de julio la "Campaña por el Renacimiento del Rinoceronte", inscrita en los Proyectos de Patrimonio del G20, que apuesta por la tecnología de vigilancia, la implicación de las comunidades locales y medidas de conservación como el descornado, para frenar la caza furtiva y evitar la extinción.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 2/6 – Gouverner sans bureaucratie : le pouvoir indirect incaLe Tawantinsuyu comme structure soupleLe rôle central des kuraka et des élites localesReconduction, contrôle et renforcement des pouvoirs indigènesRéciprocité, dons et fidélité politiqueUn empire peu bureaucratique mais très efficace Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour écouter l'émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Comment gouverner un empire immense sans monnaie, sans marchés, sans écriture alphabétique et sans armée professionnelle ?Au début du XVIᵉ siècle, l'empire inca — le Tawantinsuyu — domine une grande partie de l'Amérique du Sud. En moins d'un siècle, il a soumis des millions d'hommes et de femmes vivant dans des milieux parmi les plus contraignants du monde.Partie 1/6 – Une société de lignages : l'ayllu comme cellule fondamentaleLa primauté du collectif sur l'individuL'ayllu : lignage, territoire, ancêtre et obligations réciproquesDivision du travail, complémentarité économique et interdépendanceLlaqta, provinces et hiérarchies localesUne société structurée, mais non uniforme Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
This week Sam discusses Trinchero's purchase of Mumm Napa from Pernod Ricard, Mendoza's approval of copper mining, Canada selling off US booze, the discontinuation of the ‘Sud de France' label and Chablis changing vineyard rules. You can read the transcript of this newscast (with linked news sources) at https://www.jancisrobinson.com/articles/trinchero-purchases-mumm-napa-chablis-updates-aoc-canada-sells-us-booze.
Dans cette émission spéciale, quatre journalistes économiques basés à Paris, Montréal et Yaoundé dressent le bilan de l'année 2025 dans le monde : le grand basculement géopolitique, le retour préparé et pragmatique de Trump, l'impact différencié sur le reste du monde, la révolution de l'IA et le recul écologique, les enjeux africains et l'émergence du Sud global, l'omniprésence de endettement la paralysie française, le retour de l'État stratège. NOS INVITÉS
Voilà 100 jours que Sidi Ould Tah a pris la tête de la Banque africaine de développement (BAD). Et, le banquier mauritanien affiche déjà une action positive pour ses trois premiers mois : la levée mardi 16 décembre de 11 milliards de dollars pour le Fonds africain de développement. Une hausse de 23 % par rapport à la précédente session des donateurs. Et, ce, malgré la baisse drastique des enveloppes d'aide au développement cette année. Le président de la BAD explique ses ambitions pour l'Afrique dans un environnement financier en recomposition. Il répond à Sidy Yansané RFI : M. le président Sidi Ould Tah, vous êtes à Londres pour la réunion des donateurs du Fonds africain de développement, le FAD, qui est, pour le dire simplement, une cagnotte réservée au financement de projets dans les pays africains les plus pauvres. Et cette semaine, le FAD a recueilli 11 milliards de dollars. Un montant que vous qualifiez d'historique. Sidi Ould Tah : Absolument ! Nous sommes pour l'élan de solidarité historique que nous venons de connaître, qui devrait nous permettre, au cours des trois prochaines années, de mieux répondre aux attentes des populations africaines, en particulier les 37 pays les plus fragiles et les moins dotés de l'Afrique. Du coup, cette année, qui sont les principaux contributeurs ? Malgré le contexte international que nous connaissons tous et qui se caractérise par des pressions fiscales importantes et aussi des pressions sur les ressources, les partenaires du FAD et les pays africains ont décidé ensemble d'augmenter leur enveloppe dans cette 17ᵉ reconstitution du Fonds. C'est un message très fort de solidarité avec l'Afrique et pour l'Afrique. Et aussi un message très fort des Africains pour la prise en charge de leur propre développement. Justement, vous vous félicitez de l'engagement de l'Afrique dans son propre fonds. 23 pays du continent qui ont contribué à près de 183 millions de dollars. Une véritable transformation, vous dites. Mais finalement, 183 millions sur un total de 11 milliards, cette transformation que vous vantez est-elle bien réelle ? Ce qu'il faut regarder au-delà des chiffres, c'est le geste lui-même. Je crois que c'est la dynamique qui commence et ça montre quand même un engagement très fort de la part des pays africains. Si on rapporte ce montant au PIB des pays africains contributeurs, on se rend compte quand même que l'effort est considérable. Mais ce qu'il faut aussi regarder, c'est la volonté commune des deux parties d'aller au-delà de l'aide publique au développement pour aller vers l'investissement, vers le partenariat économique, tout en prenant compte de l'intérêt de nos pays donateurs. Parlons de ces partenaires. Avant de prendre les rênes de la BAD, vous teniez pendant dix ans ceux de la BADEA, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, notamment financée par les pays du Golfe que vous connaissez bien. C'est cette « nouvelle génération de collaborateurs à grande échelle », comme vous le dites, que vous comptez développer ? Il ne s'agit pas d'individualiser des partenaires contre d'autres. Ce qu'il faut voir, c'est l'ensemble des partenaires de l'Afrique. Le continent a toujours reçu un appui constant de la part de ses partenaires historiques, et cet appui continue et se renforce. L'arrivée d'autres partenaires ne fait que renforcer ce partenariat, et ne diminue en rien le partenariat existant. Nous avons consacrée tout une journée au secteur privé avec un certain nombre d'acteurs financiers. Nous sommes à Londres qui est une place financière internationale. Dans ce cadre, le FAD pourrait jouer un rôle important dans l'atténuation du risque perçu dès qu'il s'agit du continent africain, de quoi rassurer les investisseurs et permettre le développement des projets transformateurs dans les différents pays africains. Revenons sur la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, qui s'engage à donner jusqu'à 800 millions de dollars pour le développement en Afrique. Engagement similaire de l'OPEP à hauteur de 2 milliards de dollars. Ce sont les sommes annoncées par la BAD que vous présidez. N'y a-t-il pas là une alternative aux contributeurs habituels ? Vous savez, les besoins de l'Afrique sont immenses. Annuellement, on estime ces besoins de financement et de développement à 400 milliards de dollars. Donc, toutes les contributions sont les bienvenues. Toutes les participations sont nécessaires, que ce soit à travers la mobilisation du secteur privé, qui doit aussi jouer un rôle important dans la mise en œuvre des projets d'infrastructures, la transformation des matières premières, le secteur de l'énergie, des transports, les ports, les aéroports, les chemins de fer, mais aussi dans le domaine digital. En novembre, vous étiez présent au G20 organisé en Afrique du Sud et boycottée par Washington. Comment comptez-vous composer avec la nouvelle politique américaine des deals pour paraphraser le président Donald Trump, notamment sur les matières premières ? Les Etats-Unis ont toujours soutenu la BAD et continuent à la soutenir. Et nous travaillons en étroite collaboration avec nos actionnaires dans l'intérêt du continent africain. Le rôle de la Banque est un rôle de financement du développement et de mobilisation des ressources pour le continent africain, et nous continuerons à le faire, y compris avec le secteur privé américain comme la DFC, comme US Bank. C'est les projets qui vont contribuer à l'amélioration du bien-être des populations africaines. À lire aussiBanque africaine de développement: le nouveau président invite à «changer de paradigme» face aux défis du continent
Aujourd'hui, je vous présente Charlotte, photographe et maman de deux grands garçons. C'est son fils Tom, 25 ans, qui lui a proposé ce voyage un peu fou : six mois de road trip de Paris jusqu'au Cap en Afrique du Sud, un projet qu'il a imaginé et organisé du début à la fin.Ils ont traversé l'Europe et l'Afrique, pays après pays : Espagne, Maroc, Mauritanie, Sénégal, Guinée, Côte d'Ivoire, Ghana, Togo, Bénin, Nigeria, Cameroun, Congo, Angola, Namibie… jusqu'à l'Afrique du Sud .Un récit de voyage marqué par des nuits sous la tente, des rencontres spontanées, un passage de frontière tendu à cause d'un drone, et cette scène digne d'un western quand deux silhouettes se sont approchées d'eux au Maroc pour leur dire qu'ils ne pouvaient pas camper là .Ce voyage en famille a resserré leur lien, six mois côte à côte, souvent à l'aventure, parfois dans l'inconnu.Si l'idée de suivre une route qui change tout vous parle, vous serez sûrement curieux d'entendre leur histoire.-----------Si l'épisode vous a plu, laissez-moi une note 5 ⭐️ou un commentaire sur Apple Podcasts ou Spotify
À une semaine de Noël, moment fort pour les chrétiens, les Haïtiens comptent bien pouvoir célébrer l'événement. À Port-au-Prince notamment, les chrétiens n'abandonnent pas la pratique de leur religion et continuent de se rendre au temple, y compris dans les zones contrôlées par les gangs. Certaines communautés trouvent des solutions pour continuer à se rassembler. C'est le cas de l'église adventiste Horeb qui se situe sur la route des Dalles, dans un quartier sous le joug du gang Tilapli. Là-bas, les fidèles trouvent toujours un moyen de venir prier. Mais pour d'autres, c'est plus compliqué. Ainsi, des églises catholiques ont dû suspendre leurs messes ou se réorganiser dans d'autres lieux. Reportage de notre correspondant en Haïti, Peterson Luxama. En Argentine, la réforme du travail de J. Milei prend du retard Des milliers de personnes ont manifesté hier (jeudi 18 décembre) à Buenos Aires pour rejeter la réforme du travail voulue par le président qui prévoit une extension de la journée de travail de 8 à 12 heures par accord mutuel ou bien encore des restrictions au droit de grève. C'est une nouvelle «cruauté législative» imaginée par Javier Milei, juge Pagina 12. Mais, pour l'instant, son parcours législatif est retardé, se réjouit le quotidien de gauche. Le gouvernement voulait que le Sénat se prononce sur son projet de loi avant la fin de l'année. Mais il a dû tout repousser au 10 février 2026. C'est, donc, un revers pour Javier Milei, qui a pourtant remporté les législatives d'octobre 2025, mais sans majorité absolue. En réalité, hier, le président a enregistré deux défaites liées l'une à l'autre. «Une stratégie inopportune à la Chambre des députés a déclenché un ouragan au Sénat», explique le journal Clarin qui poursuit sur un ton moqueur : c'est «l'effet papillon libertarien». En effet, hier, alors qu'une commission du Sénat commençait à examiner la réforme du travail, les députés, eux, se penchaient sur le Budget 2026. Comme le raconte Clarin, l'obstination du gouvernement à vouloir faire approuver, contre l'avis du Congrès, un article réduisant les financements aux universités et les aides aux personnes porteuses d'un handicap, a braqué ses alliés potentiels qui ont décidé de bloquer sa réforme du travail au Sénat. Tout cela est inquiétant, juge, pour sa part, La Nacion car cela a créé des tensions au sein du camp de Javier Milei. «L'incapacité de satisfaire les désirs maximalistes du président (ses caprices, diront certains) a créé un terrain fertile pour raviver des conflits non résolus et rouvrir de vieilles blessures liées à des projets avortés», explique le quotidien qui pointe du doigt deux personnes, en particulier, dans l'entourage du président : sa «soeurissime» - c'est ainsi que La Nacion appelle Karina Milei - et son «super conseiller», Santiago Caputo. Entre eux, «l'animosité demeure», prévient le journal. L'armée vénézuélienne toujours unie derrière Nicolas Maduro Dans l'océan Pacifique, une nouvelle frappe américaine a fait cinq morts jeudi (18 décembre 2025). Au moins, 104 personnes présentées comme des trafiquants de drogue par Washington, ont été tuées depuis le mois de septembre 2025. Washington qui ne relâche pas la pression sur le Venezuela dans l'espoir de faire tomber le président Nicolas Maduro. Mais, pour l'instant, l'armée continue de le soutenir, analyse le quotidien colombien El Tiempo qui s'est entretenu avec des soldats. Cette cohésion devrait perdurer au sommet de l'appareil militaire car les généraux et les amiraux «occupent des ministères et contrôlent certains secteurs de l'économie», ce qui leur permet de s'enrichir depuis des années. Si le pouvoir tombe, alors ils tombent aussi. Et ce qui les attend, ce sont «des procès à La Haye ou devant des tribunaux étasuniens» pour violations des droits humains, explique El Tiempo. Quant aux échelons intermédiaires, poursuit le quotidien colombien, ils ne se rebellent pas car ils ont peur que Nicolas Maduro les jette en prison. «Certains capitaines et lieutenants qui ont obéi aux ordres et participé à la répression, craignent d'être sacrifiés en cas de négociations», d'être les grands perdants en cas d'accord entre les élites politiques, écrit El Tiempo. Ils «font donc pression sur Nicolas Maduro pour qu'il n'abandonne pas le pouvoir sans une amnistie générale», explique une source anonyme au journal. Reste le gros de la troupe, les soldats tout en bas de l'échelle : eux, ils restent loyaux à Nicolas Maduro «par discipline». L'armée pourrait-elle finir par lâcher le président vénézuélien ? Selon El Tiempo, cela dépendra de ce qu'on lui offre. Une intervention américaine n'aurait aucun effet, juge le journal. Mais une amnistie et la garantie de poursuivre leur carrière, cela pourrait convaincre les échelons intermédiaires de soutenir un changement de régime. Or, ce sont eux qui «contrôlent les troupes et maintiennent une certaine stabilité dans le pays», fait remarquer le quotidien. Les hauts gradés, eux, sont trop mouillés dans les crimes de la dictature chaviste. Mère à 15 ans en Guyane En Guyane, les jeunes filles mineures sont 10 fois plus nombreuses à tomber enceintes que dans le reste du pays. À l'échelle de l'Amérique du Sud, c'est même le territoire où les grossesses adolescentes sont les plus répandues. Ces filles, parfois très jeunes, âgées de moins de 15 ans pour certaines, sont en général soutenues par leur famille mais souvent stigmatisées à l'école, contraintes de choisir entre la casquette de maman et celle de lycéenne. Reportage à Cayenne d'Amélie Beaucour. Le journal de la 1ère Sous le coup d'une enquête pour escroquerie et abus de position dominante, le Groupe Bernard Hayot (GBH) se défend.
La question peut sembler légère, mais elle est en réalité très sérieuse économiquement : la beauté « made in China » est-elle en train de détrôner la célèbre K-beauty coréenne ? Depuis une quinzaine d'années, la Corée du Sud s'est imposée comme une puissance mondiale des cosmétiques, portée par l'innovation, le soft power culturel et des marques devenues incontournables. Mais depuis peu, un nouvel acteur accélère très vite : la Chine.La K-beauty a longtemps dominé le segment des cosmétiques innovants et accessibles. En 2023, l'industrie cosmétique sud-coréenne représentait environ 14 milliards de dollars d'exportations, contre moins de 2 milliards au début des années 2010. Des marques comme Innisfree, Laneige ou COSRX ont popularisé les routines en dix étapes, les masques en tissu et les soins ultra-techniques, tout en profitant de la vague K-pop et des dramas coréens. La Corée du Sud exporte aujourd'hui ses produits vers plus de 150 pays.Mais la Chine rattrape son retard à une vitesse impressionnante. Le marché chinois de la beauté est devenu le deuxième plus grand au monde, derrière les États-Unis, avec un chiffre d'affaires estimé à plus de 80 milliards de dollars en 2024. Surtout, les marques locales chinoises connaissent une croissance à deux chiffres, là où les marques étrangères stagnent. Selon plusieurs cabinets d'études, les marques chinoises représentaient moins de 30 % du marché en 2015 ; elles dépassent désormais 50 % des ventes de cosmétiques en Chine.La force de la beauté chinoise repose sur trois leviers économiques. D'abord, le prix : des produits souvent 20 à 40 % moins chers que leurs équivalents coréens ou occidentaux. Ensuite, la vitesse d'innovation : certaines marques chinoises lancent de nouveaux produits en quelques semaines, en s'appuyant sur les données issues du e-commerce et des réseaux sociaux. Enfin, la maîtrise du marketing digital : sur Douyin, Xiaohongshu ou Tmall, les marques chinoises exploitent à grande échelle le live-shopping et les influenceurs locaux.Autre élément clé : la Chine n'est plus seulement un marché intérieur. Les exportations de cosmétiques chinois ont progressé de plus de 20 % par an depuis 2020, notamment vers l'Asie du Sud-Est, le Moyen-Orient et l'Afrique. Là où la K-beauty s'est mondialisée par la culture, la C-beauty s'impose par la puissance industrielle et logistique.Faut-il pour autant enterrer la K-beauty ? Pas encore. La Corée conserve une image premium en matière de formulation et de dermatologie. Mais une chose est sûre : la beauté made in China n'est plus un outsider. Elle est devenue un concurrent crédible, capable de redessiner l'équilibre économique mondial du secteur cosmétique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Alors que la justice française doit se prononcer sur une possible suspension de Shein, le débat sur les marketplaces low-cost s'intensifie en Europe. Pendant ce temps, sur un autre continent, le e-commerce suit une trajectoire bien différente. En Afrique, un acteur s'impose comme le leader du secteur: Jumia, souvent qualifié d'« Amazon africain ». Contrairement aux marchés européens, déjà matures et fortement concurrentiels, le e-commerce africain demeure un secteur en phase de structuration. Dans de nombreux pays, acheter en ligne n'est pas encore un réflexe généralisé. Les obstacles sont concrets : absence d'adresses officielles dans certaines villes, infrastructures logistiques insuffisantes, réseaux de distribution fragmentés. Pourtant, le marché affiche une dynamique impressionnante. Le commerce en ligne en Afrique progresse à un rythme compris entre 12 % et 14 % par an, bien supérieur à celui observé en Europe ou en Amérique du Nord. En 2025, il devrait représenter près de 280 milliards de dollars. Cette croissance est portée par une population jeune, majoritairement urbaine, largement équipée en smartphones et de plus en plus connectée à Internet. Mais sur le terrain, le développement du e-commerce reste prudent, contraint par les réalités économiques et logistiques. Jumia, l'ambition d'un Amazon africain C'est dans ce contexte que Jumia a vu le jour en 2012. La plateforme s'est donné pour mission de révolutionner les habitudes de consommation de plus d'un milliard d'Africains, avec une ambition claire : créer un Amazon ou un Alibaba adapté au continent. Séduits par le slogan « 100 % Afrique, 100 % Internet », les investisseurs internationaux ont injecté près de 800 millions de dollars avant l'entrée en Bourse de l'entreprise à New York, en 2019. Mais l'euphorie est de courte durée. Dès son introduction en Bourse, le cours de l'action chute. Dans le même temps, Jumia poursuit une expansion rapide, s'implantant jusqu'à 14 pays. Une stratégie qui se révèle trop coûteuse. Les pertes s'accumulent, la logistique peine à suivre et le modèle montre ses limites. L'entreprise est alors contrainte de revoir en profondeur sa stratégie et son périmètre d'activité. Recentrage stratégique et concurrence accrue Aujourd'hui, Jumia existe toujours, mais sous une forme plus resserrée. La plateforme a réduit la voilure et concentre désormais ses activités dans neuf pays, qui représentent néanmoins près de 60 % du PIB africain. Pour s'adapter aux spécificités locales, elle a développé des solutions sur mesure : points de retrait dans les villages et les quartiers périphériques, recours au paiement à la livraison pour rassurer des consommateurs encore méfiants à l'égard du paiement en ligne, multiplication des partenariats régionaux et internationaux pour mieux gérer les stocks et limiter les ruptures. Ce repositionnement intervient dans un contexte de concurrence accrue. L'Américain Amazon et les plateformes chinoises Temu ou Shein s'intéressent elles aussi au marché africain. Mais ces acteurs avancent prudemment, confrontés à des réalités qu'ils maîtrisent encore imparfaitement. Amazon, par exemple, s'est implanté en Égypte puis en Afrique du Sud, deux des marchés les plus mûrs du continent. La force de Jumia réside aujourd'hui dans sa connaissance fine du terrain et dans la fidélité d'une clientèle locale. L'entreprise affiche un objectif clair : atteindre la rentabilité d'ici à 2027. Selon plusieurs cabinets spécialisés, ses chances d'y parvenir sont désormais estimées à 70 %, contre une probabilité quasi nulle il y a encore quelques années. D'autres plateformes, comme Konga au Nigeria ou Takealot en Afrique du Sud, tentent elles aussi de tirer leur épingle du jeu à plus petite échelle. En Afrique, le succès du e-commerce ne passe pas par le copier-coller des modèles occidentaux, mais par une adaptation constante aux réalités locales.
Dans cette émission spéciale, quatre journalistes économiques basés à Paris, Montréal et Yaoundé dressent le bilan de l'année 2025 dans le monde : le grand basculement géopolitique, le retour préparé et pragmatique de Trump, l'impact différencié sur le reste du monde, la révolution de l'IA et le recul écologique, les enjeux africains et l'émergence du Sud global, l'omniprésence de endettement la paralysie française, le retour de l'État stratège. NOS INVITÉS
Mitigation Specialist and President of the Connecticut Women's Consortium Dr. Jozlyn Hall joins us to talk about the scope of her work as a member of the criminal defense team and how it impacts sentencing in cases before the court Originally used solely in capital cases, it is not about excusing individuals of the responsibility of their actions, but for getting the accused the assistance they need based on a complete evaluation of their strengths, deficits and needs. Given that the needs may include SUD services, it is an important area for professionals working with justice-involved individuals to understand.
China Eastern Airlines a inauguré le vol direct le plus long du monde, reliant Shanghai à Buenos Aires. Ce lancement est perçu comme un renforcement stratégique des liens Asie-Amérique du Sud.Traduction: China Eastern Airlines launched the world's longest direct flight, connecting Shanghai to Buenos Aires. This is viewed as a strategic strengthening of Asia-South America ties. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nieves Concostrina habla de la guerra de los bóers en los territorios de lo que hoy conocemos como Sudáfrica.
Nieves Concostrina habla de la guerra de los bóers en los territorios de lo que hoy conocemos como Sudáfrica.
L'Afrique du Sud a expulsé sept Kenyans employés par les États-Unis dans le cadre de leur programme d'accueil de la minorité blanche des Afrikaners. Et, ça ne risque pas d'arranger la relation déjà tendue entre Pretoria et Washington. Le journal kenyan Daily Nation revient sur ce contexte particulièrement électrique : « L'administration du président Donald Trump ambitionne d'accueillir des milliers de Sud-Africains blancs aux États-Unis dans le cadre d'un programme de réinstallation lancé cette année, en se fondant sur des allégations de persécution raciale. » Des allégations que réfute totalement l'Afrique du Sud. « Sur cette base, l'administration Trump a mis en place un programme offrant à certains Afrikaners un traitement prioritaire pour obtenir le statut de réfugié aux États‑Unis, comme en mai 2025 lorsqu'un premier groupe a été accueilli avec accompagnement pour leur insertion », commente la Nouvelle Tribune. Les sept Kényans expulsés étaient entrés dans le pays avec des visas de tourisme et avaient illégalement commencé à travailler, alors que des demandes précédentes de visas de travail leur avaient été refusées. Daily Nation analyse : « Durant son second mandat, Trump a proféré à plusieurs reprises de fausses accusations concernant le traitement réservé par l'Afrique du Sud à sa minorité blanche, s'en servant pour réduire l'aide au pays et exclure l'Afrique du Sud des réunions du G20. » Washington n'a en tout cas pas manqué de réagir aux expulsions : « Le département d'État américain a accusé Pretoria d'entraver ses opérations liées à l'accueil de réfugiés, qualifiant la situation d'inacceptable. De son côté, le gouvernement sud-africain affirme avoir engagé des démarches diplomatiques formelles avec les États-Unis et le Kenya afin de désamorcer le différend », conclut la Nouvelle Tribune. Au Kenya, 18 personnes prises au piège dans la guerre en Ukraine rapatriées Dix-huit personnes prises au piège dans la guerre en Ukraine ont été rapatriées dans le pays, révèle Daily Nation au Kenya. Le journal explique que ces 18 hommes ont été rapatriés de Russie, « certains souffrant de blessures graves ». Plus tôt dans la semaine, on a également appris qu'au moins 82 Kényans auraient été enrôlés de force aux côtés de l'armée russe dans la guerre en Ukraine. « La plupart, dépourvus de toute formation militaire, n'avaient jamais tenu une arme de leur vie avant d'être enrôlés. Après une formation express de cinq jours dans des camps d'entraînement, ils ont été envoyés sur la ligne de front », explique Le Monde Afrique. L'un des volontaires abusés, qui témoigne auprès de Daily Nation, raconte que « plusieurs agences de recrutement auraient trompé des candidats à l'immigration, leur faisant miroiter de faux emplois aux rémunérations alléchantes dans la transformation, l'emballage et le nettoyage de viande », tout en assurant prendre en charge les frais de transport, les examens médicaux et le logement sur place. Et « le Kenya n'est pas le seul pays africain de recrutement, explique le Monde Afrique. Les autorités ukrainiennes estiment que plus de 1 400 soldats du continent, issus de 36 pays, combattraient aux côtés de l'armée russe. La plupart sous la contrainte. » L'Afrique subsaharienne, par ailleurs, « constitue un vivier de recrutement vaste et facilement accessible en raison de taux de pauvreté élevés dans la plupart des pays de la zone » et de l'« important désir d'émigration », d'après l'Institut français des relations internationales (Ifri) dans une étude ce jeudi. Froid glacial, pluies diluviennes et fortes chutes de neige au Maroc « Le Maroc fait face à un épisode hivernal d'une rare intensité », commente Afrik.com. Mardi, les autorités ont annoncé le déploiement d'une aide d'urgence nationale. Objectif : venir en aide à des dizaines de milliers de familles. La province côtière de Safi est particulièrement touchée, raconte le média, des crues soudaines y ayant causé la mort de 37 personnes dimanche. « Safi panse ses plaies en quatre heures grâce à un élan de solidarité inédit, écrit notamment le journal marocain l'Opinion. Boulangers, pêcheurs, commerçants du port et professionnels de la pêche côtière se sont unis dans une collecte exceptionnelle, peut-on lire. Ce mouvement collectif, nourri par l'attachement profond à une ville meurtrie, illustre une capacité éprouvée à faire face à l'adversité (…) portée par la détermination et la cohésion de ses habitants », raconte le journal. Plus globalement, le Maroc connaît une variabilité climatique accrue, marquée par l'alternance entre sécheresses prolongées et épisodes pluvieux violents. Sans surprise, « l'intensification de ces phénomènes est liée au réchauffement climatique, qui modifie les régimes de précipitations et accentue les contrastes de température », souligne Afrik.com.
Nieves Concostrina habla de la guerra de los bóers en los territorios de lo que hoy conocemos como Sudáfrica.
Jornal da ONU com Monica Grayley. Esses são os destaques desta quinta-feira, 18 de dezembro:Vencedor do Prêmio Campeões da Terra fala sobre inteligência artificial e proteção das florestasRelatório diz que mais mil pessoas foram mortas no Sudão no que pode configurar crime de guerra
La doctrine Monroe est une vieille idée de politique étrangère américaine… mais qui revient régulièrement sur le devant de la scène, notamment quand il est question de Donald Trump et du Venezuela.À l'origine, la doctrine Monroe est formulée en 1823 par le président américain James Monroe. Son principe est simple et brutal : l'Amérique aux Américains. Autrement dit, les États-Unis déclarent que le continent américain n'est plus une zone d'intervention pour les puissances européennes. En échange, Washington promet de ne pas se mêler des affaires européennes. À l'époque, il s'agit surtout d'empêcher l'Espagne, la France ou le Royaume-Uni de reconquérir leurs anciennes colonies en Amérique latine.Sur le papier, la doctrine Monroe est défensive. Mais avec le temps, elle va être largement réinterprétée. À partir du début du XXᵉ siècle, les États-Unis s'en servent pour justifier leur propre influence, voire leurs interventions, en Amérique centrale et du Sud. Coups d'État soutenus, pressions économiques, interventions militaires : la doctrine Monroe devient un outil de domination régionale, au nom de la stabilité et de la lutte contre les influences étrangères.C'est là que le lien avec Donald Trump apparaît. Lors de sa présidence, Trump et plusieurs membres de son administration ont explicitement invoqué la doctrine Monroe, notamment à propos du Venezuela. Pourquoi ? Parce que le régime de Nicolás Maduro entretient des relations étroites avec des puissances considérées comme rivales par Washington : la Russie, la Chine et l'Iran. Pour les États-Unis, cette présence étrangère en Amérique latine viole l'esprit de la doctrine Monroe.Dans le cas du Venezuela, l'enjeu est à la fois géopolitique et économique. Le pays possède les plus grandes réserves de pétrole prouvées au monde, mais il est plongé dans une crise économique et politique profonde. En soutenant l'opposant Juan Guaidó, en imposant de lourdes sanctions économiques et en menaçant à mots couverts d'une intervention, l'administration Trump s'inscrivait clairement dans une logique : reprendre le contrôle de l'arrière-cour américaine.Ce retour à la doctrine Monroe marque une rupture avec le discours multilatéral classique. Il traduit une vision du monde très transactionnelle et souverainiste : chaque grande puissance aurait sa zone d'influence, et l'Amérique latine resterait celle des États-Unis. Une vision critiquée par de nombreux pays de la région, qui y voient un réflexe impérialiste dépassé.En résumé, si l'on parle aujourd'hui de la doctrine Monroe à propos de Trump et du Venezuela, c'est parce qu'elle incarne une logique ancienne mais toujours active : empêcher toute puissance étrangère de s'implanter durablement en Amérique latine, quitte à peser lourdement sur les choix politiques et économiques des pays concernés. Une doctrine vieille de 200 ans, mais loin d'être enterrée. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Colombie porte le nom de Christophe Colomb, mais le navigateur génois n'a jamais mis les pieds sur le territoire colombien actuel. Cette apparente contradiction s'explique par l'histoire complexe de la découverte de l'Amérique et par la construction politique des jeunes États du continent au XIXᵉ siècle.Christophe Colomb est avant tout associé à l'arrivée des Européens en Amérique en 1492. En réalité, il n'a jamais atteint le continent nord-américain et n'a exploré que certaines îles des Caraïbes, ainsi que les côtes de l'Amérique centrale. Pourtant, son voyage marque un tournant majeur : il inaugure durablement les échanges entre l'Europe et le continent américain, ce que l'on appelle souvent la « rencontre de deux mondes ».Lorsque les colonies espagnoles d'Amérique du Sud commencent à lutter pour leur indépendance au début du XIXᵉ siècle, leurs dirigeants cherchent des symboles forts capables de fédérer des territoires immenses et très divers. Christophe Colomb s'impose alors comme une figure fondatrice, perçue à l'époque comme l'initiateur de l'histoire moderne du continent américain, même si cette vision est aujourd'hui largement critiquée.En 1819, après plusieurs victoires militaires contre l'Espagne, le général Simón Bolívar proclame la création d'un nouvel État : la Gran Colombia. Cet ensemble politique regroupe alors les territoires de l'actuelle Colombie, du Venezuela, de l'Équateur et du Panama. Le choix du nom « Colombia » est hautement symbolique : il rend hommage à Colomb tout en affirmant une rupture avec la domination espagnole. Il s'agit d'un hommage paradoxal, car Colomb était lui-même un acteur de la conquête européenne, mais son nom est détaché de la couronne espagnole et transformé en mythe fondateur.La Gran Colombia se disloque rapidement, dès 1830, en plusieurs États indépendants. L'un d'eux conserve le nom de Colombie, qui devient officiel en 1886 avec la République de Colombie. Le nom est désormais enraciné dans l'identité nationale.Il faut aussi rappeler qu'au XIXᵉ siècle, l'image de Christophe Colomb est très différente de celle que nous avons aujourd'hui. Il est alors célébré comme un héros visionnaire et un explorateur audacieux, tandis que les violences de la colonisation sont largement passées sous silence. Ce n'est que plus tard que l'historiographie et les débats publics viendront nuancer, voire contester, ce récit.Ainsi, la Colombie porte le nom de Christophe Colomb non pas parce qu'il l'a découverte, mais parce que son nom est devenu un symbole politique et historique, choisi à un moment clé pour construire une nation et lui donner une place dans l'histoire du continent américain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sudán del Sur es un país al que le está afectando la crisis que vive su vecino del norte pero que también atraviesa ahora una enorme inestabilidad que algunos temen que pueda derivar en un nuevo conflicto. Hablamos con Isabel Alonso, responsable de asuntos humanitarios de MSF en Sudán del Sur.Escuchar audio
Nicolás Maduro ha conversado telefónicamente con el secretario general de la ONU Antonio Guterres para denunciar la escalada de amenazas. Además ha pedido a la Organización Internacional que se pronuncie contra la declaración de intenciones de Trump. Vamos a hablar del posible préstamo a Ucrania usando activos rusos congelados y de la respuesta que dé Bélgica. También del aniversario del acontecimiento que desencadenó la "Revolución de los Jazmines", el inicio de las primaveras árabes. Hablaremos de los países centroeuropeos que, en previsión de un posible enfrentamiento con Rusia, están tomando medidas para protegerse.También estaremos en el Reino Unido, donde los médicos residentes de Inglaterra han iniciado una huelga para reclamar mejoras salariales.Y estará con nosotros Isabel Alonso, responsable de asuntos humanitarios de MSF en Sudán del Sur.Escuchar audio
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le futur de Xabi Alonso au Real Madrid, le retrait annoncé de l'AFC/M23 d'Uvira et un attentat contre des Américains en Syrie. G20 : Donald Trump peut-il réellement exclure l'Afrique du Sud ? Depuis son retour à la Maison Blanche, Donald Trump multiplie les attaques contre l'Afrique du Sud. Dernier affront, la nation arc-en-ciel n'a pas été invitée à participer à la première réunion du G20 organisée sous présidence américaine. Donald Trump a-t-il le droit d'exclure l'Afrique du Sud pourtant membre fondateur du G20 ? Quel geste le président américain attend-il de Pretoria pour réintégrer le pays ? Avec Valentin Hugues, correspondant de RFI à Johannesburg. Real Madrid : Xabi Alonso peut-il être encore être écarté du club ? Après deux défaites à domicile contre le Celta Vigo en Liga et Manchester City en Ligue des Champions, le Real Madrid a retrouvé le chemin de la victoire face à Alavés. Ce succès permet aux Madrilènes de se relancer au classement et à l'entraîneur de souffler alors que sa place est de plus en plus menacée. Xavi Alonso est-il encore sur la sellette ? Si la Maison Blanche décide de se séparer de lui, qui pourrait le remplacer ? Avec Olivier Pron, journaliste au service des sports de RFI. RDC : le retrait annoncé de l'AFC/M23 d'Uvira est-il crédible ? A la demande des Etats-Unis, le groupe armé AFC-M23, soutenu par le Rwanda, a annoncé son retrait sous conditions de la ville d'Uvira, dans la province du Sud-Kivu. Sait-on si l'Administration Trump a exercé des pressions sur Kigali ? Les préalables exigés par les rebelles, notamment le déploiement d'une force neutre pour contrôler le cessez-le-feu, sont-ils acceptables pour Kinshasa ? Avec Bob Kabamba, professeur de Science politique à l'Université de Liège. Syrie : une attaque ciblée contre les États-Unis ? Trois ressortissants américains, deux militaires et un civil, ont été tués en Syrie par un membre des forces de sécurité, qui selon Washington était affilié à l'organisation État islamique. Pourquoi l'assaillant a-t-il visé des Américains ? Cette attaque risque-t-elle de fragiliser le rapprochement récent entre la Syrie et les Etats-Unis ? Avec Aghiad Ghanem, directeur scientifique du Programme MENA (Moyen-Orient/Afrique du Nord) à Sciences Po.
Dans cette édition :Le gouvernement annonce un plan d'urgence pour vacciner 750 000 bovins contre la dermatose nodulaire dans 10 départements du Sud-Ouest, tout en renforçant les contrôles contre le transport illégal de bétail et en mettant en place un fonds de 10 millions d'euros pour aider les éleveurs touchés.Les éleveurs restent mobilisés malgré ces annonces, craignant que les mesures ne soient pas suffisantes et redoutant l'impact du traité de libre-échange Mercosur avec l'Amérique du Sud.La Commission européenne assouplit ses objectifs de réduction des émissions de CO2 pour les constructeurs automobiles, qui pourront continuer à vendre des véhicules thermiques et hybrides en nombre limité au-delà de 2035.La patronne de Radio France, Sibyle Veil, est auditionnée par la commission d'enquête parlementaire sur l'audiovisuel public, dans un contexte de polémique impliquant deux journalistes d'Europe 1.Le maire de Chessy (Seine-et-Marne) a démissionné pour refuser de célébrer le mariage d'un étranger sous OQTF, une décision soutenue par de nombreux habitants.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Muchos sucesos que involucran a los Pueblos Indígenas están pasando alrededor del mundo. ¿Sabes cuáles son? Como parte del derecho a la información, Cultural Survival presenta este noticiero del mes de diciembre de 2025 con notas relevantes de Norte, Centro y Sur América, África y Asia, el cual puedes escuchar, descargar y compartir de forma gratuita. Música de introducción: - “Burn Your Village to the Ground” de The Halluci Nation. Derechos de autor, propiedad de The Halluci Nation. Usada bajo su permiso. Redacción: - Rosy Sul González, maya kaqchikel, Cultural Survival, Guatemala. - Shaldon Ferris, khoisan, Cultural Survival, Sudáfrica. - Dev Kumar, sunuwar, Cultural Survival, Asia. Voz: - Rosy Sul González, maya kaqchikel, Cultural Survival, Guatemala. - César Gómez, maya poqomam, Cultural Survival, Guatemala. Edición: - Rosy Sul González, maya kaqchikel, Cultural Survival, Guatemala. Imagen: - Cultural Survival. Enlaces: BRASIL: pueblos indígenas logran demarcación de sus tierras durante la COP30 https://www.swissinfo.ch/spa/brasil-anuncia-la-demarcaci%C3%B3n-de-diez-de-tierras-ind%C3%ADgenas-en-medio-de-protestas-en-la-cop/90349525 GUATEMALA: se reúnen juventudes indígenas para avanzar en la actualización del plan regional de salud https://www.paho.org/es/noticias/1-12-2025-guatemala-reune-juventudes-indigenas-para-avanzar-actualizacion-plan-regional ECUADOR: Confederación de Nacionalidades Indígenas celebran victoria del no en referéndum https://www.telesurtv.net/indigenas-ecuador-victoria-no-referendum/ COLOMBIA: celebran jornadas de cine desde el pueblo Wayuu https://www.facebook.com/share/p/1BreeS9A8o/ https://concip.org/ CAMBOYA: festival de cine exhibe películas Indígenas https://www.infoans.org/en/sections/news-photos/item/26080-cambodia-namuncura-short-film-festival-for-young-asian-indigenous-people-on-the-theme-anchored-in-hope-with-our-ancestral-territories NEPAL: un grupo de abogados gana un prestigioso premio global de derechos humanos y empresas https://www.humanrightsandbusinessaward.org/award-recipient/lahurnip/ KENIA: se inauguró un museo para preservar el patrimonio samburu. https://www.standardmedia.co.ke/business/rift-valley/article/2001536063/first-museum-of-samburu-culture-unveiled-amid-calls-to-preserve-traditions ÁFRICA: el pueblo masái une fuerzas para arrendar tierras https://news.mongabay.com/2025/12/a-maasai-conservancy-uses-private-lands-to-protect-kenyas-wildlife-corridors/ AUSTRALIA: Victoria firma el primer tratado histórico con los pueblos aborígenes https://www.dw.com/en/australia-first-ever-treaty-signed-with-aboriginal-people/a-74720944 CANADÁ: el Vaticano devuelve artefactos Indígenas https://www.reuters.com/world/americas/vatican-returns-canada-artefacts-connected-indigenous-people-2025-11-15/ ESTADOS UNIDOS: agricultores Indígenas revitalizan la antigua agricultura en los desiertos https://news.mongabay.com/2025/11/from-waffle-gardens-to-terraces-indigenous-groups-revive-farming-heritage-in-americas-deserts/ Esta es una producción de Radio de Derechos Indígenas. Nuestros programas son gratuitos para escuchar, descargar y difundir.
Dov'è andato Babbo Natale?C'era una volta il Villaggio di Babbo Natale — ma Babbo Natale non c'era. Era ormai sparito da giorni e giorni… anzi da mesi. Chi avrebbe preparato e consegnato i doni ai bambini come ogni anno?Quella parte del Polo Nord che di solito era molto movimentata, era diventata stranamente silenziosa — non si vedeva un Elfo in giro, niente suoni di campanelli, le slitte erano coperte di neve e tutte le renne sonnecchiavano confuse.Se guardavi nella sua casa non vedevi una traccia di vita. Il caminetto spento, la sedia a dondolo con le ragnatele, una tazza vuota sul tavolo di legno e un mozzicone di candela consumato da troppo tempo.Tante erano le voci che si erano sparse riguardo all'assenza di Babbo Natale. C'era chi diceva che si trovasse su un altro pianeta in una galassia lontana lontana, chi sulla Luna, chi sugli oceani immensi — e addirittura qualcuno diceva che aveva aperto una pasticceria a Buenos Aires.Il mistero era fitto. Nessuno se ne faceva una ragione e tutto era silenzioso e immobile.Nel frattempo, a molti chilometri di distanza, nei Mari del Sud, un gruppo di gabbiani che passavano le giornate a svolazzare sopra la baia avvistarono in lontananza un piccolo veliero. C'era solo un marinaio a bordo che stava issando sull'albero maestro scricchiolante la vela principale.Il gabbiano più anziano non poteva credere ai suoi occhi. Fece un paio di acrobazie nell'aria, tirò fuori il suo cannocchiale, guardò meglio e disse: "Ma io quello lo conosco! Quel marinaio viene da terre lontane!"Rivolgendosi agli altri gabbiani raccontò: "Un giorno, durante uno dei miei lunghi viaggi, persi la rotta e mi ritrovai sui tetti ghiacciati di un villaggio al Polo Nord. Atterrai proprio sulla casa di quell'uomo dalla lunga barba che vedete sulla barca. Lui mi sentì chiedere aiuto, venne a prendermi, mi nutrì e mi raccontò del suo lavoro. Secondo me questo incontro ha qualcosa di magico. La nostra prossima avventura sta per cominciare."Planando, si diressero verso la barca e atterrarono tutti sulla prua. Il gabbiano e il marinaio si salutarono come vecchi amici.Poco dopo, un gruppo di delfini arrivò vicino al veliero incuriositi. Nuotavano in cerchio intorno alla barca, saltando fuori dall'acqua.Il più giovane dei delfini notò qualcosa di strano. "Guardate! Dalla stiva escono trucioli di legno che galleggiano! E si vedono delle lucine sotto coperta."Il marinaio dalla lunga barba sorrise. "Venite," disse con voce calda, "vi mostro cosa ho fatto in tutti questi mesi."Aprì il portello della stiva e dentro, alla luce di due lanterne dondolanti, si vedeva un laboratorio galleggiante pieno di meraviglie. Con una pialla ben affilata aveva lavorato pezzi di legno recuperati in mare trasformandoli in giocattoli — e così aveva fatto anche con conchiglie, noci di cocco, tappi di sughero, bottiglie di vetro, stelle marine e fili dorati arrivati da chissà dove."Ho viaggiato per imparare nuovi modi di portare gioia," spiegò il marinaio. "Ma il lavoro è tanto e il Natale si avvicina. Mi aiutereste a finire?"E così tutti insieme si misero all'opera. I delfini portavano dal fondo del mare conchiglie speciali. I gabbiani raccoglievano piume colorate. Gli oggetti trasformati in doni furono messi in grossi sacchi di tela.I giorni passarono veloci.Il primo di Dicembre il capitano, indossato il suo rosso e caldo cappello e con la pipa in bocca, guardò il cielo stellato e disse: "È tempo di partire."I delfini sollevarono il veliero finché si alzò sopra le onde. Le vele si gonfiarono al vento e prese il volo, mentre lo stormo di gabbiani lo guidò tra le nuvole seguendo i sogni. Insieme continuarono il viaggio dirigendosi verso nord, volando nell'azzurro infinito.La notte arrivò veloce e nel cielo pieno di stelle una brillava più di tutte. Era la stella polare che con la sua luce accompagnava la discesa del veliero sulla terra.Per magia, nell'avvicinarsi al villaggio, il veliero si trasformò in una slitta super carica di doni. I regali costruiti nella stiva arrivarono nel laboratorio per essere consegnati insieme a tutti gli altri pacchetti.Quando atterrò sul tetto della sua casa, un tintinnio di campanelli si sentì in lontananza. Gli Elfi si affacciarono sulle porte e gridarono: "È lui! È lui! È Babbo Natale! È tornato!"Le renne dal naso rosso si svegliarono di colpo e cominciarono a lucidare le slitte, addobbandole di fiocchi e pigne colorate.La vita nel villaggio si risvegliò tutta insieme. I rami degli alberi si scuotevano come se avessero il solletico. Un gruppo di pinguini, approdati al Polo Nord per dare una mano, scivolando sulle lastre di ghiaccio a grande velocità, finirono dentro cumuli di neve e uscirono fuori come palle che rimbalzavano.“Che simpatici! Vi attaccheremo all'albero di Natale come decoro!" gridavano gli animali del villaggio.Ma i pinguini, liberandosi dalla neve, corsero verso la casa di Babbo Natale per aiutare nei preparativi.Al villaggio proprio tutti si misero in movimento. Le renne corsero all'Ufficio Postale e riempiti i sacchi di letterine, le portarono nel laboratorio. Gli Elfi con l'aiuto dei pinguini erano pronti per il lavoro.Quella mattina, quando le campane suonarono a festa, volpi, scoiattoli, lepri e orsi accorsero da ogni angolo della foresta per festeggiare il ritorno di Babbo Natale. C'era tanto da fare per la gioia di tutti i bambini del mondo.L'aria profumava d'abete e di dolcetti. Gli alberi di Natale scintillavano di ghiaccioli come stelle. Gli animali si rincorrevano felici con il naso girato verso l'alto.I preparativi cominciarono in grande lena. Per tutto il mese di dicembre lavorarono insieme — seghe che cantavano, martelli che suonavano, carta colorata che volava. Babbo Natale raccontava le storie del suo viaggio mentre inchiodava e levigava.E quando arrivò il 24 dicembre, tutto era pronto. I regali furono caricati sulla slitta e Babbo Natale partì per il suo viaggio più importante.I gabbiani volarono via verso nuovi orizzonti, lasciando le loro impronte sui tetti innevati.Da quel Natale si racconta che Babbo Natale non sia mai più andato via dal Polo Nord."E se fosse stata solo una favola? Sarà vero, o no? A voi la decisione finale!" — Scritta da Lucia & Marco CiappelliPer la versione in inglese e tante altre storie da leggere e ascoltare: https://www.storiesottolestelle.com Each story is currently written and narrated in both Italian and English.The translation from Italian (the original language) to English and the reading of the stories are performed using Generative Artificial Intelligence — which perhaps has a touch of magic... We hope it has done a good job!If you like it, make sure to tell your friends, family, and teachers, and subscribe to this podcast to stay updated. You'll be able to read or listen to new stories as soon as they become available. Visit us On The Official Website https://www.storiesottolestelle.com/ Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
C'est une première, en Corée du Sud : le gouvernement a récemment reconnu, début octobre 2025, sa responsabilité dans l'adoption abusive de dizaines de milliers d'enfants envoyés à l'étranger. Au moins 140 000 enfants sud-coréens ont été adoptés entre 1955 et 1999, parfois en violation des droits humains, selon les conclusions d'une commission mise en place en Corée du Sud, justement pour révéler l'ampleur de ces pratiques frauduleuses : des falsifications d'identité, par exemple, ou des manquements dans les procédures légales de consentement des parents biologiques. Des pratiques identiques dans d'autres Etats et qui pointent, aussi, la responsabilité des pays occidentaux ayant accueilli ces enfants. Comment expliquer ces dérives ? Pourquoi n'en prend-on connaissance que maintenant ? Faut-il aller jusqu'à interdire les adoptions internationales ? Avec nos invités : - Christine Tournadre, co-autrice et co-réalisatrice du documentaire «Adoption Internationale, un Scandale Planétaire». - Fabio Macedo, chercheur, historien à l'Université d'Angers, co-auteur avec Yves Denéchère de l'«Étude historique sur les pratiques illicites dans l'adoption internationale en France».
Dans cette édition :Le gouvernement annonce un plan d'urgence pour vacciner 750 000 bovins contre la dermatose nodulaire dans 10 départements du Sud-Ouest, tout en renforçant les contrôles contre le transport illégal de bétail et en mettant en place un fonds de 10 millions d'euros pour aider les éleveurs touchés.Les éleveurs restent mobilisés malgré ces annonces, craignant que les mesures ne soient pas suffisantes et redoutant l'impact du traité de libre-échange Mercosur avec l'Amérique du Sud.La Commission européenne assouplit ses objectifs de réduction des émissions de CO2 pour les constructeurs automobiles, qui pourront continuer à vendre des véhicules thermiques et hybrides en nombre limité au-delà de 2035.La patronne de Radio France, Sibyle Veil, est auditionnée par la commission d'enquête parlementaire sur l'audiovisuel public, dans un contexte de polémique impliquant deux journalistes d'Europe 1.Le maire de Chessy (Seine-et-Marne) a démissionné pour refuser de célébrer le mariage d'un étranger sous OQTF, une décision soutenue par de nombreux habitants.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Parfois, une découverte fondamentale naît d'un simple geste du quotidien. En 1965, au cœur de l'Antarctique, le glaciologue français Claude Lorius se réchauffe dans sa tente après une longue journée de carottage. Pour célébrer, il verse un peu de whisky dans un verre et y plonge un glaçon taillé dans un bloc de glace prélevé sous ses pieds. C'est alors qu'il remarque un détail à première vue anodin : de minuscules bulles d'air s'échappent de la glace fondante. Ce geste presque banal va pourtant bouleverser notre compréhension du climat.Lorius réalise que ces petites bulles ne sont pas quelconques : elles sont de l'air piégé depuis des milliers d'années dans les couches de glace. Chaque flocon tombé sur l'Antarctique emprisonne un peu de l'atmosphère de son époque. En se compactant, la neige devient glace et capture des bulles intactes comme des capsules temporelles. À cet instant, Lorius comprend que si l'on parvient à analyser cet air ancien, on pourrait reconstituer la composition de l'atmosphère du passé, gaz à effet de serre compris.Cette intuition géniale va donner naissance à une véritable révolution scientifique. Dans les années suivantes, Lorius et ses collègues perfectionnent les techniques de forage profond. Plus on descend dans la glace, plus on remonte dans le temps. Certaines carottes glaciaires atteignent plus de 3 000 mètres de profondeur, révélant une histoire climatique qui s'étend sur plus de 800 000 ans.Les analyses montrent un lien frappant : à chaque augmentation du dioxyde de carbone (CO₂) dans l'atmosphère correspond une hausse claire des températures globales. Inversement, les périodes glaciaires coïncident avec des niveaux de CO₂ plus faibles. Les carottes glaciaires deviennent ainsi l'une des preuves les plus solides de l'influence des gaz à effet de serre sur le climat.Dans les années 1980, les travaux de Lorius contribueront directement à faire émerger la conscience moderne du réchauffement climatique d'origine anthropique. Son fameux glaçon dans le whisky n'a pas seulement rafraîchi une soirée au pôle Sud : il a ouvert une fenêtre unique sur l'histoire du climat et permis d'alerter la planète sur les risques futurs.Une simple bulle d'air, vieille de plusieurs millénaires, a suffi à changer la science — et à nous rappeler que les grandes découvertes commencent parfois dans un verre. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
+ Cometario de dos noticias: 1º Ataque de Pedro Sánchez a D. Luis Argüello, presidente de la CEE. 2º- Un gran signo de esperanza: musulmán reduce a terrorista musulmán en Sidney. + Sudáfrica ha declarado la violencia de género como “catástrofe nacional”. ¿Y ahora qué? + Comentario al Hinmo a la alegría. + Protagonistas de la historia (La Navidad que nos despierta): Sobre la oferta de Netflix y Paramount para comprar Warner Bros. + Preguntas de los oyentes.
Le coup d'envoi de la 35ème édition de la Coupe d'Afrique des nations de football sera donné dimanche prochain (21 décembre) au Maroc. Elle durera jusqu'au 18 janvier. Quels sont les grands favoris ? L'Afrique est-elle enfin reconnue à sa juste place dans le football mondial ? Joseph-Antoine Bell a été un grand international camerounais. Aujourd'hui, il est consultant pour RFI, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier, en ligne depuis Yaoundé. RFI : Joseph-Antoine Bell, le Maroc accueille cette compétition. Son équipe est la première nation africaine au classement Fifa (12ᵉ). Est-ce que du coup ce pays n'est pas le super favori ? Joseph-Antoine Bell : Oui ça arrive très rarement. C'est-à-dire qu'un pays qui est au sommet garde la forme et soit organisateur. Et là, le Maroc, ils ont une chance inouïe, ils sont en forme et ils organisent. Ils ont la chance de jouer chez eux. Souvent, jouer à la maison comporte aussi le revers de la médaille : c'est qu'on a la pression. Mais la pression, on la gère mieux quand on est au sommet de ses capacités. Donc là, le Maroc va jouer à la maison, cette fois en étant au sommet de sa forme, donc en étant capable de gérer la pression seulement. Et derrière le Maroc, qui voyez-vous comme équipes très très bien placées ? Je pense que le Sénégal ne devrait pas être mal placé. L'Afrique du Sud, la Côte d'Ivoire… Et à un degré moindre l'Égypte et la Tunisie. Alors il y a cette CAN qui démarre dans quelques jours et puis il y a la Coupe du monde qui démarre dans six mois et où vont compétir au minimum neuf équipes nationales africaines, ce qui est quasiment le double des éditions précédentes. Est-ce qu'on peut dire que, aujourd'hui, le football africain est de plus en plus présent dans le football mondial ? Oui, le football africain est de plus en plus présent. Il faut se rappeler qu'à l'époque où il y avait seize participants, dans un premier temps, l'Afrique n'en avait aucun. Puis après, l'Afrique a eu un sur seize, ça fait très très peu. Et on a commencé à gagner un peu de positions, notamment grâce à la performance du Cameroun et de l'Égypte en 1990, en quart de finale [Les Camerounais avaient été éliminés aux portes des demi-finales par les Anglais, NDLR]. Et maintenant, le Maroc est allé en demi-finale [du Mondial 2022, NDLR] et on devrait continuer pour bousculer toujours la hiérarchie et se rapprocher du top, le top qui est un jour de gagner la Coupe du monde. Il y a cette nouvelle marque de respect du football mondial à l'égard de l'Afrique. Mais en même temps, les clubs européens qui comptent dans leurs rangs des internationaux africains ne seront forcés de les libérer qu'à partir de ce 15 décembre pour la CAN, alors que la règle habituelle, c'est que les joueurs sont libérés au moins deux semaines avant un grand tournoi international… Oui, mais l'Afrique a un problème particulier, c'est-à-dire, quel est le poids de l'Afrique ? Et là, en l'occurrence, quel est le poids de la Confédération africaine de football (CAF) vis-à-vis de la Fédération internationale (Fifa) ? Parce que l'Afrique est obligée de déplacer sa compétition pour plaire à la Fifa. L'Afrique est obligée d'accepter que les joueurs soient libérés tard pour plaire à la Fifa qui elle-même a subi la pression des clubs sans pouvoir y résister. Donc, les sacrifices sont toujours faits par les Africains et ça ressemble à d'autres domaines où on en demande toujours plus aux plus faibles. Donc, il faut se montrer un petit peu plus costaud. Donc c'est à la CAF de se battre. Ce n'est pas logique que ce qu'on accorde aux autres, on ne puisse pas l'accorder à l'Afrique. Mais pour ça, il faut gagner le respect des autres en tant qu'organisation. Il faudrait commencer en Afrique par décider quand a lieu la CAN, qu'elle ne soit pas un coup en été, un coup en hiver et puis un coup on ne sait pas trop quand. Non, il va falloir que la CAF travaille sérieusement pour avoir une position claire. Et vous n'êtes plus que le continent qui fournit la matière première. Au Cameroun, votre cher pays, le ministre des Sports, Narcisse Mouelle Kombi, ne s'oppose pas au limogeage du sélectionneur belge Marc Brys par le président de la Fédération, Samuel Eto'o. Est-ce que c'est le signe d'un cessez-le-feu entre les deux hommes ? Chez nous, on dit : « Quand vous êtes au marigot et qu'un fou passe par là et vous prend vos vêtements pendant que vous êtes dans l'eau, ne lui courez pas après. » Donc, le ministre s'est dit : « Eh bien, on va laisser la fédération aller et faire comme elle veut », et comme ça il y a une trêve. Mais, je ne crois pas qu'elle soit favorable au football camerounais, parce que on va vite s'apercevoir de la limite des choix qui ont été faits. Il faudrait savoir qu'en Afrique, neuf fois sur dix, vous n'aurez pas de fédération sans l'État. Quand une fédération dit « non, laissez-nous, on va y aller tout seul », vous pouvez être sûr qu'elle va être en difficulté dès la première activité. Et donc, c'est dommage, mais je sais que les joueurs et tout le groupe ne passeront pas un moment tranquille. Parce que le retrait de l'État veut dire forcément le retrait de beaucoup de moyens, le retrait du soutien qui sera limité. À lire aussiTOUT SUR LA CAN 2025
Au Maroc, la culture du supportérisme est particulièrement vivace. Totalement dévoués à leur club de cœur, les ultras construisent leur vie autour de l'amour du maillot, entre confection minutieuse des tifos dans le plus grand secret, écriture de nouveaux chants ou accueil des nouveaux joueurs. Dans ce domaine, les ultras des deux grands clubs casablancais, le Wydad Athletic Club et le Raja Club Athletic, sont reconnus dans le monde entier comme parmi les plus dynamiques et fervents. Rencontre avec ces passionnés de l'écusson à l'occasion d'un Wydad-Raja, le derby de Casablanca. De notre correspondant à Casablanca, Stade Mohammed V, Casablanca. 29 octobre 2025. C'est l'un des matchs les plus bouillants de la planète. L'ambiance est indescriptible. La marée rouge des ultras Winners 2005, virage Nord, fait face aux deux groupes ultras du Raja, virage Sud. Le stade comprend officiellement 44 000 places, mais pour ce match, plus de 60 000 personnes ont pris place dans les gradins. Les tribunes sont bondées. Par manque d'espace, les supporters sont collés les uns aux autres. Pendant 90 minutes, les ultras se concentrent sur les directives des kapos, chefs d'orchestre de ce spectacle qui se joue en tribune. Avant le coup d'envoi, pas moins de neuf tifos démesurés seront déployés dans le stade. Les images feront le tour du monde. Soudain, à la 56e minute de jeu, des centaines de fumigènes, rouges d'un côté, blancs et verts de l'autre, illuminent le stade, tandis que des feux d'artifice explosent de part et d'autre. Le stade n'est plus qu'un nuage de fumée. Le match est arrêté à trois reprises. « Le match est suspendu, c'est à cause de ce qui se passe dans les gradins. C'est un autre match qui se déroule dans les tribunes : les deux publics sont en train de faire action-réaction, un craquage ici, un craquage de l'autre côté… Et c'est aussi une battle de voix, qui se fait bien entendre dans le stade », explique Badreldin, un ancien ultra. À lire aussiCAN 2025 : la préparation et la ferveur des supporters avant le coup d'envoi « Chacun défend ses couleurs, des joueurs jusqu'au public. » Même si la paternité et son mariage l'ont assagi, il reste un fervent supporter du Wydad. « Nous vivons ça chaque année, et nous aurons cette passion pour toujours, depuis l'enfance et à jamais. [...] C'est un peu fanatique : chacun défend ses couleurs, des joueurs jusqu'au public. », ajoute-t-il. Ballet d'écharpes qui virevoltent dans le ciel, clapping sophistiqué, chants pour moquer les supporters adverses : le spectacle n'est pas sur la pelouse, mais bien dans les tribunes. « C'est hyper sportif, donc ils ne font rien d'autre que chanter, pousser, encourager, décrit le passionné. Ils considèrent ça comme un devoir pendant tout le match. Si les joueurs doivent mouiller le maillot, les supporters aussi doivent mouiller le leur et laisser leur voix dans les gradins ». Zacharia, 18 ans, longs cheveux bouclés dressés vers le ciel, est membre des Green Boys du Raja : « On est tous une famille, t'as capté ? On est tous une famille dans le virage ». Il rappelle la règle d'or des ultras : ne pas accorder d'interview filmée, ne pas prendre de vidéos dans les tribunes. « Parce que dans les ultras, il faut être inconnu ou mettre des cagoules pour ne pas être reconnu par la police ou par les médias », rappelle-t-il. Au-delà des clashs avec le camp adverse, la culture ultra est aussi une affaire de prises de position politiques. Les Rajaouis, notamment, ont construit leur identité sur des chants contestataires, évoquant les injustices ou le manque d'espoir. Plus récemment, le chant en hommage au peuple palestinien, « Rajaoui Filistini », a connu un succès au-delà des frontières. Zacharia partage cet engouement : « Rajaoui Filistini, parce qu'ils parlent des Palestiniens, des pauvres, des innocents qui meurent sans cause… Ça m'a beaucoup touché ». Aujourd'hui, les ultras du Raja sont toujours divisés en deux groupes. Ceux du Wydad, eux, ont décroché à quatre reprises le titre de groupe ultra de l'année. Début novembre, ils attiraient encore l'attention en illuminant les quais de Seine, face à la tour Eiffel, pour célébrer leurs vingt ans d'existence.
Le Paris Saint-Germain affronte Flamengo en finale de la Coupe Intercontinentale de la FIFA : un duel énorme entre le champion d'Europe et le vainqueur de la Libertadores, pour un titre mondial et un symbole fort. Match prévu mercredi 17 décembre 2025 (18h, heure française) à Al-Rayyan (Qatar). contact@pariscentral.fr
Temas tratados en la edición de La ContraRéplica de esta semana: 0:00 Introducción 3:15 ¿El fin de la clase media? 13:26 La grieta política 27:33 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 29:32 Sesgo de confirmación 39:20 Discriminación positiva en Sudáfrica · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #clasemedia #polarizacion Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Sobriety is hard—and recovery is a full-time job. Parenting is hard—and more than a full-time job. Sarah Allen Benton is an Advanced Alcohol and Drug Counselor and Licensed Mental Health Counselor. She is Chief Clinical Officer and co-owner of Waterview Behavioral Health. She is co-owner of Benton Behavioral Health Consulting, LLC, offering clinical and business support services to innovative addiction and mental health companies. She holds a Master of Science in Counseling Psychology with an emphasis in Health Psychology. Sarah has been sober for more than 20 years; she has been a mother for 13. She is far from alone, approximately 20.9 million consider themselves in recovery from a substance use disorder (SUD). It is fair to say millions are also parents. In PARENTS IN RECOVERY: Navigating a Sober Family Lifestyle (Rowman & Littlefield), Sarah draws on research, professional expertise and deeply personal experience to support mothers and fathers as they navigate their way through parenting while embracing a sober lifestyle. From “wine mom culture” to social media FOMO, Benton covers every aspect of living sober while raising children. Amazon: Parents in Recovery: Parents in Recovery: Navigating a Sober Family Lifestyle Understanding the High-Functioning Alcoholic: https://www.amazon.com/Underst... Facebook: https://www.facebook.com/sarah... Parents in Recovery Support Group Facebook: https://www.facebook.com/share... Linked In: https://www.linkedin.com/in/sa... Instagram - @parentsinrecovery Website:www.bentonbhc.comwww.waterviewbh.com Sarah Allen Benton, M.S., LMHC, CADC, is a leading authority in addiction and mental health, known for her clinical expertise and published work. As an Advanced Alcohol and Drug Counselor (CADC) and Licensed Mental Health Counselor (LMHC), she brings over 20 years of lived experience as a parent in recovery from alcohol use disorder to her practice. Clinical and Business Leadership Chief Clinical Officer & Co-founder: Sarah Allen Benton is the CCO and co-founder of Waterview Behavioral Health (Wallingford, CT), a specialized mental health intensive outpatient program (IOP) providing crucial services for individuals with complex needs. Website: https://www.waterviewbh.com/ Co-owner: She is also the co-owner of Benton Behavioral Health Consulting, LLC, which offers clinical and business support services, including strategic consulting, to innovative mental health and addiction companies across the industry. Website: https://www.bentonbhc.com/ Expertise: Her background includes roles as a therapist and clinical consultant across various levels of care, practices, and start-ups, including experience at McLean Hospital in their dual diagnosis transitional treatment program. Published Work and Education Author: Benton is the highly-regarded author of Understanding the High-Functioning Alcoholic (2009), a foundational text that provides insight into high-achieving individuals struggling with alcohol use disorder, a common area of her expertise. Education: She holds a Master of Science in Counseling Psychology with an emphasis in Health Psychology from Northeastern University, Bouvé School of Health Sciences. Location and Credentials Location: Killingworth, Connecticut Credentials: M.S., LMHC, CADC This profile emphasizes her dual role as a clinical expert and a behavioral health entrepreneur, making her a highly discoverable authority in addiction recovery, sober parenting, and high-functioning alcoholism treatment. Meet Ash Brown, the dynamic American powerhouse and motivational speaker dedicated to fueling your journey toward personal and professional success. Recognized as a trusted voice in personal development, Ash delivers uplifting energy and relatable wisdom across every platform. Why Choose Ash? Ash Brown stands out as an influential media personality due to her Authentic Optimism and commitment to providing Actionable Strategies. She equips audiences with the tools necessary to create real change and rise above challenges. Seeking inspiration? Ash Brown is your guide to turning motivation into measurable action. The Ash Said It Show – Top-Ranked Podcast With over 2,100 episodes and 700,000+ global listens, Ash's podcast features inspiring interviews, life lessons, and empowerment stories from changemakers across industries. Each episode delivers practical tools and encouragement to help listeners thrive. Website: AshSaidit.com Connect with Ash Brown: Goli Gummy Discounts: https://go.goli.com/1loveash5 Luxury Handbag Discounts: https://www.theofficialathena.... Review Us: https://itunes.apple.com/us/po... Subscribe on YouTube: http://www.youtube.com/c/AshSa... Instagram: https://www.instagram.com/1lov... Facebook: https://www.facebook.com/ashsa... Blog: http://www.ashsaidit.com/blog #atlanta #ashsaidit #theashsaiditshow #ashblogsit #ashsaidit®Become a supporter of this podcast: https://www.spreaker.com/podcast/ash-said-it-show--1213325/support.
En première partie : la Cisjordanie occupée. L'onde de choc de l'attaque terroriste du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023 et l'anéantissement de la Bande de Gaza qui a suivi, n'en finit pas de secouer la Cisjordanie, les colons se sentent pousser des ailes... avec notre reporter Lucas Lazo. En seconde partie : le monde automobile sud-africain, il est frappé de plein fouet par les taxes à l'exportation décidées par Donald Trump. Alexis Bédu est allé chez Mercedes à East London. Cisjordanie occupée, les oliviers de la colère L'homme que vous entendez s'appelle Bassem, Palestinien, de Cisjordanie occupée… Mi-octobre 2025, lui et sa famille ont été agressés par des colons israéliens alors qu'ils se rendaient sur leur parcelle de terre, pour récolter leurs olives. Violentes agressions, incendies, tir à l'arme automatique, arrachage d'oliviers, cette année la récolte des olives a été exceptionnellement violente. En toile de fond : l'anéantissement de la Bande de Gaza consécutif à l'attaque terroriste du Hamas du 7 octobre 2023, et les appels en Israël à l'annexion de la Cisjordanie / Judée et Samarie disent notamment les colons. Les oliviers, même s'ils comptent pour une part non négligeable de l'économie de Cisjordanie sont avant tout un symbole, celui de la lutte contre l'occupation israélienne. Un Grand reportage de Lucas Lazo qui s'entretient avec Jacques Allix. East London: en Afrique du Sud, une ville face aux taxes Trump Depuis plusieurs mois, Donald Trump cible directement l'Afrique du Sud. Dans ses discours, le président américain accuse Pretoria de ne pas protéger les fermiers afrikaners blancs, qu'il prétend victimes d'un « génocide ». Un Grand reportage d'Alexis Bédu qui s'entretient avec Jacques Allix.
El oro ha fascinado a la humanidad desde siempre por su brillo eterno y sus inigualables propiedades: no se oxida, no se corrompe y es muy dúctil. También es relativamente escaso. El oro se creó con el mismo universo. Al formarse la Tierra hace 4.500 millones de años, la mayor parte del oro se hundió en el núcleo. El que es accesible en la corteza llegó después con el “bombardeo tardío” de asteroides. Una serie de procesos hidrotermales lo concentraron en vetas y la erosión lo depositó en algunos ríos que es donde se empezó a extraer. El oro más antiguo conocido apareció en la necrópolis de Varna, en la actual Bulgaria. Data de la edad del cobre, de hace más de seis mil años, y consiste en ajuares funerarios reservados a la élite y asociados al poder y al más allá. Desde entonces su función pasó a ser simbólica, no utilitaria, ya que era demasiado blando para emplearse en la fabricación de herramientas. En el Antiguo Egipto creían que la carne de los dioses estaba hecha de oro. Se usaba en estatuas y en máscaras funerarias como la de Tutankamón. Pero los egipcios no tenían minas propias, lo tenían que importar de Nubia. Las cartas de Amarna muestran como en el segundo milenio antes de Cristo su uso ya estaba muy extendido y viajaba de un lado a otro. En la América prehispánica los incas lo llamaban “sudor del sol” y lo reservaban para ciertos rituales. Los muiscas de la actual Colombia crearon la tumbaga (una aleación oro y cobre) que empleaban en un ritual que originó la leyenda de El Dorado. En China, aunque el jade se consideraba superior, el oro formaba parte de los trajes funerarios de los emperadores. En Roma el oro se convirtió en la sangre de la economía. Los romanos se hicieron con grandes yacimientos en Hispania y Dacia, donde desarrollaron la minería a gran escala. Con ese oro acuñaron monedas como el aureus y el solidus, cuyo valor se mantuvo estable durante siglos. Pero era escaso, así que, desde la antigüedad fueron muchos los que intentaron fabricarlo transmutando metales viles como el plomo en oro. Nunca lo consiguieron, pero con sus repetidos fracasos estos alquimistas sentaron las bases de la química moderna. El descubrimiento y conquista de América abrió un nuevo capítulo en la historia del oro al tiempo que se globalizaba el comercio. La llegada de metales preciosos a España provocó inflación, pero también permitió que las monedas españolas de oro, los doblones de a 8, se convirtiesen en una suerte de divisa aceptada en cualquier parte del mundo por su abundancia y la fiabilidad de su peso y su ley. El siglo XIX vino acompañado de las grandes fiebres del oro. La de California en 1848 atrajo cientos de miles de aventureros que, en unos pocos años, extrajeron unas 800 toneladas transformando para siempre aquel Estado. Tras la de California hubo otras fiebres similares en Australia en 1851, en Sudáfrica en 1886 y a orillas del río Klondike, en Canadá, en 1897. En esa misma época el patrón oro posibilitó la expansión del comercio mundial y financió la revolución industrial. Ese patrón se reajustaría tras la segunda guerra mundial hasta que Richard Nixon lo eliminó por completo en 1971, inaugurando de paso la era del dinero fiduciario. Hoy el oro es, aparte de valor en sí mismo, una materia prima importantísima en sectores como el de la electrónica, la medicina y la exploración espacial. Desde el origen de los tiempos se han extraído poco más de 200.000 toneladas y cada año se extraen unas 3.000 toneladas. El oro sigue siendo escaso y deseado. Si hay oro en los fondos marinos o en los asteroides podemos estar seguros de que alguien irá hasta allí a buscarlo. En El ContraSello: 0:00 Introducción 4:16 Oro, el divino metal 29:46 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 1:15:57 La guerra de la independencia 1:19:03 El concilio de Constanza y la nación hispánica Bibliografía: “Historia del oro” de Alejandro Navarro - https://amzn.to/452PPBY “Oro y patrón oro” de Walter Edwin - https://amzn.to/4iQJzDb “The secret history of gold” de Dominic Frisby - https://amzn.to/3KOUkcx “A history of gold and money” de Pierre Vilar - https://amzn.to/44XzsGX “Power of gold” de Peter L. Bernstein - https://amzn.to/4rNwyi1 #FernandoDiazVillanueva #historia #oro Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Le Café des Sports – Vendredi 12 décembre 2025, à 16h10 TU, rediffusion à 21h10 TU. Retour sur la 6è journée de la Ligue des Champions. ; Polémique en Afrique du Sud, le sélectionneur Hugo Broos dans la tourmente ! ; Série CAN RFI: le portier des Etalons Hervé Koffi se confie ! ; Les Cartons Vidéo ! Retour sur la 6è journée de la Ligue des Champions Le Real Madrid est en crise : qu'est-ce qui cloche docteur ? - Xabi Alonso est-il toujours l'homme de la situation ? - Un problème d'ego dans le vestiaire ? Les Gunners d'Arsenal assuré d'être dans le top 8 Marseille et Monaco dans les 24 ! Polémique en Afrique du Sud, le sélectionneur Hugo Broos dans la tourmente ! - Des déclarations racistes et sexistes. - Peut-il rester en poste ? Série CAN RFI: le portier des Etalons Hervé Koffi se confie ! - Le Burkina Faso peut aller loin à la CAN 2025 ? Les Cartons Vidéo ! Vos coups de cœur, vos coups de griffe… ainsi que ceux de nos consultants. Autour de Sophiane Amazian : Rémy Ngono, Xavier Barret et Benjamin Moukandjo, et Saliou Diouf. TCR : Laurent Salerno. Réalisation vidéo : Souheil Khedir et Yann Bourdelas.
Donald Trump se ha llevado un buen disgusto tras comprobar que la mayoría de los republicanos del Senado en el estado de Indiana no han hecho lo que les pidió, es decir, se han negado a redibujar un nuevo mapa electoral.Vamos a poner el foco en el recorte de fondos que están experimentando las organizaciones de ayuda humanitaria a nivel global... Esto se traduce en que millones de personas en situación de enorme precariedad y vulnerabilidad verán su día a día más deteriorado. Lo vamos a ilustrar a través de los casos, por ejemplo, de Afganistán y de Sudán. También hablaremos de las inundaciones por un duro temporal que está afectando a Gaza, donde ya hay al menos 13 muertos. Escucharemos además un reportaje sobre cómo afrontan los jóvenes latinoamericanos el cambio climático y tendremos entrevista con Dora María Téllez, una de las disidentes nicaragüenses de más relevancia.Escuchar audio
En 2021, Guirec Soudée, célèbre pour avoir fait le tour du Monde à la voile par les Pôles Nord et Sud avec sa poule Monique, se lance dans la traversée aller-retour de l'atlantique à la rame.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.