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En rentrant de Napes avec son armée, le roi Charles VIII doit affronter les forces de la Ligue de Venise, réunies par le pape et très menacantes. La vigueur de la réaction française va laisser une trace dans la langue italienne : c'est la « furia francese » Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pierre MARLET nous parle de la bataille de Monte Cassino. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Personnes non blanches, pauvres, femmes… sur les sujets climatiques, les plus vulnérables sont les plus touché·es. Et les plus silencié·es dans l'écologie politique. Ces personnes ne sont pourtant ni absentes ni muettes, elles sont simplement invisibilisées.
En quelques semaines, le président Donald Trump a fait sortir les États-Unis de l'accord de Paris de 2015 sur le climat, mis fin au Green New Deal, multiplié les coupes budgétaires dans la recherche, entravé l'action de nombreuses agences fédérales dédiées à l'environnement… Un recul majeur pour la lutte contre le changement climatique, alors même que les États-Unis sont le deuxième plus grand émetteur de gaz à effet de serre du monde, derrière la Chine. Est-ce possible de sauver la planète sans Washington ? N'était-on déjà pas en retard ? Comment remobiliser les autres acteurs ? Pour en débattre :- Sébastien Treyer, directeur général de l'Institut du Développement durable et des Relations internationales (IDDRI) et président du Comité scientifique et technique du Fonds français pour l'environnement mondial (FFME)- Simon Rozé, chef du service environnement-climat de RFI- Christophe Clergeau, eurodéputé du groupe des Socialistes et démocrates du Parlement européen, membre de la Commission de l'environnement, du climat et de la sécurité alimentaire et de la Commission de la santé publique.
En quelques semaines, le président Donald Trump a fait sortir les États-Unis de l'accord de Paris de 2015 sur le climat, mis fin au Green New Deal, multiplié les coupes budgétaires dans la recherche, entravé l'action de nombreuses agences fédérales dédiées à l'environnement… Un recul majeur pour la lutte contre le changement climatique, alors même que les États-Unis sont le deuxième plus grand émetteur de gaz à effet de serre du monde, derrière la Chine. Est-ce possible de sauver la planète sans Washington ? N'était-on déjà pas en retard ? Comment remobiliser les autres acteurs ? Pour en débattre :- Sébastien Treyer, directeur général de l'Institut du Développement durable et des Relations internationales (IDDRI) et président du Comité scientifique et technique du Fonds français pour l'environnement mondial (FFME)- Simon Rozé, chef du service environnement-climat de RFI- Christophe Clergeau, eurodéputé du groupe des Socialistes et démocrates du Parlement européen, membre de la Commission de l'environnement, du climat et de la sécurité alimentaire et de la Commission de la santé publique.
Tous les matins à 7h20, les petits secrets de l'actualité, les infos que vous n'avez pas vues ailleurs. Les journalistes des rédactions de RMC et RMC Sports se mobilisent pour vous raconter les coulisses de l'actualité.
durée : 00:39:58 - Toutes les infos sur les prochains matchs de l'Aviron Bayonnais (TOP 14) et Biarritz Olympique (Pro D2) - Maxime Lafage, meilleur réalisateur du Top 14, livre son regard sur la lutte pour le maintien du RC Vannes, la progression impressionnante de l'Aviron Bayonnais et la gestion de la pression dans les stades. Un échange sincère où sport, ambition et passion s'entremêlent avant le sprint final.
durée : 01:02:47 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Quel est le premier revers d'Hitler et de l'Allemagne nazie ? C'est la Bataille d'Angleterre, de juillet à octobre 1940. Elle est racontée par l'historien François Bédarida dans le neuvième volet de la série sur la Deuxième Guerre mondiale, produite par Gilbert Pilleul en 1983. - réalisation : Massimo Bellini, Vincent Abouchar - invités : François Bédarida Historien
Adaptée d'un livre suédois, la série Vic le Viking est une coproduction allemande, autrichienne et japonaise. Elle arrive en France d'abord sous le nom de Wickie, sur TF1 durant l'été 1979, avant d'être rediffusée un peu plus tard dans Croque Vacances. Interprété par Michel Barouille, le générique est l'un des premiers qu'il chante pour un dessin animé avec La Bataille des Planètes…
1515 ? Marignan bien sûr ! Mais qui sait vraiment ce qui s'est passé le 13 septembre 1515 quand les troupes de François 1er sont arrivées près de Milan ? Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce dimanche 4 mai 2025, Éric Zemmour, président de Reconquête, a débattu avec Alain Duhamel, éditorialiste politique BFMTV, dans l'émission C'est pas tous les jours Dimanche présentée par Guillaume Daret sur BFMTV.
Dans deux semaines, la campagne interne des Républicains connaitra son dénouement avec l'organisation du congrès devant élire un chef à cette famille politique orpheline depuis le départ d'Éric Ciotti. La bataille entre Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez se raidit en cette fin de campagne Dans le camp de Bruno Retailleau, on craint une fin de la campagne« pourrie » par Laurent Wauquiez. Le chef des députés de la droite et challenger dans cette élection, multiplie les coups de pression pour tenter de déstabiliser son rival.Laurent Wauquiez s'empare notamment du débat budgétaire lancé par François Bayrou. Il n'hésite pas à menacer de retirer le soutien des Républicains (LR) au gouvernement si les impôts venaient à augmenter. Il exige également que Bruno Retailleau s'oppose publiquement à l'instauration de la proportionnelle, une position délicate pour le ministre de l'Intérieur, dont la fonction l'empêche de formuler de telles menaces.Comme depuis le début de la campagne, Bruno Retailleau refuse de répondre directement aux attaques, tout en reconnaissant, en privé, être visé « matin, midi et soir ». Hors micro, son entourage réplique :« Laurent est le seul à faire ce genre de menaces, personne ne le suit au parti ».Une anecdote illustre l'ambiance tendue à quinze jours du scrutin. La semaine dernière, les deux rivaux se sont croisés lors d'une séance photo pour un hebdomadaire. L'échange, qui a duré « sept minutes et trente secondes », n'était« ni très froid, ni très cordial », selon un témoin.La course aux cartes terminéeL'autre grande bataille de cette campagne est la mobilisation des adhérents. À ce jeu, les deux candidats ont fait le plein. On connaît désormais le nombre de votants potentiels pour le scrutin en ligne, qui se tiendra du 17 au 18 mai : plus de 121 600 adhérents. Un chiffre impressionnant, qui montre que le parti a quasiment triplé son nombre de membres, passant de 43 000 en février à ce nouveau record.Les détails de cette mobilisation permettent d'évaluer la capacité de chaque candidat à rallier des soutiens. Laurent Wauquiez a consolidé son fief en Auvergne-Rhône-Alpes, région qu'il a présidée, où l'on compte désormais près de 18 000 encartés. Bruno Retailleau, originaire des Pays de la Loire, une région moins peuplée et donc moins décisive, mise sur un autre bastion : l'Île-de-France, avec ses 26 000 adhérents. La fédération de Paris, la plus importante du parti, est considérée par une large majorité de cadres comme le « véritable fief » de Retailleau.Ce n'est pas un hasard si Bruno Retailleau organisera son dernier grand meeting le 11 mai en région parisienne. Ses soutiens affichent une confiance affirmée :« Le match est plié, il ne sera pas élu avec 65 %, mais pas loin », confie un sénateur.De son côté, Laurent Wauquiez maintient un rythme effréné, enchaînant jusqu'à deux meetings par jour, parfois toute la semaine. Malgré des sondages défavorables, son entourage reste convaincu de sa victoire, affirmant que « la campagne des militants, c'est clairement la sienne ».À lire aussiPrésidence LR: la tension monte entre les rivaux Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Christophe Bordet scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'accord sur les minerais rares scellé entre les États-Unis et l'Ukraine, les salariés boudent les syndicats et Emmanuel Macron qui suit de près la bataille des Républicains. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Christophe Bordet scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'accord sur les minerais rares scellé entre les États-Unis et l'Ukraine, les salariés boudent les syndicats et Emmanuel Macron qui suit de près la bataille des Républicains. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La bataille pour la présidence de la BAD est lancée. Dans un mois pile, le 29 mai, au siège de la Banque africaine de Développement, à Abidjan, le nouveau président de la BAD sera élu par les représentants des 81 pays membres de l'institution, parmi lesquels 54 pays africains. Qui va succéder au Nigérian Akinwumi Adesina pour les cinq ans à venir ? Cinq candidats sont en lice, une femme et quatre hommes. L'économiste bissau-guinéen Carlos Lopes a été le secrétaire exécutif de la Commission économique de l'ONU pour l'Afrique. Aujourd'hui, il enseigne à l'université du Cap. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. À lire aussiBAD: qui sont les cinq candidats en lice pour la présidence ?À lire aussiAu Maroc, le patron de la BAD Akinwumi Adesina défend sa méthode auprès des investisseurs
Dans cet épisode, Emmanuelle Ducros revient sur la polémique autour de l'ouverture des boulangeries le 1er mai, jour férié en France. Elle explique comment des boulangers ont été poursuivis en justice l'an dernier pour avoir osé ouvrir et servir leurs clients ce jour-là, alors que cette pratique était tolérée depuis des années. Face à ce flou juridique, une proposition de loi est désormais envisagée pour clarifier les règles et permettre l'ouverture de certaines activités le 1er mai, sous conditions. Mais cette initiative soulève l'opposition de syndicats comme la CGT, qui considèrent que ce jour doit rester chômé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Emmanuelle Ducros revient sur la polémique autour de l'ouverture des boulangeries le 1er mai, jour férié en France. Elle explique comment des boulangers ont été poursuivis en justice l'an dernier pour avoir osé ouvrir et servir leurs clients ce jour-là, alors que cette pratique était tolérée depuis des années. Face à ce flou juridique, une proposition de loi est désormais envisagée pour clarifier les règles et permettre l'ouverture de certaines activités le 1er mai, sous conditions. Mais cette initiative soulève l'opposition de syndicats comme la CGT, qui considèrent que ce jour doit rester chômé.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Liverpool devrait en toute logique décrocher un nouveau titre de champion d'Angleterre. A cinq journées de la fin de la saison, les Red comptent 12 points d'avance sur leur dauphin Arsenal. La bataille pour les coupes d'Europe sera par contre très disputée entre Manchester City (3è) et Aston Villa (7è) séparés par quatre petits points. Interview de Philippe Auchair, spécialiste du football britannique. Interview réalisée par Laurent Bastardoz.
Waterloo, le nom somme comme le glas pour les Français, une cruelle et amère défaite, tandis que pour les Britanniques c'est plutôt synonyme d'une grande victoire. Waterloo, morne plaine, comme disait Victor Hugo, mais surtout, moment historique fatidique qui voit la fin du rêve Napoléonien. Script: Pascal Cyr (voir ses livres plus bas) Animations: Martin Bérubé de la chaîne @proposmontreal Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join 00:00:00 - Introduction 00:00:57 - Contexte historique 00:01:11 - Napoléon à l'île d'Elbe 00:01:35 - Retour de Napoléon en France 00:02:24 - Préparation de la bataille de Waterloo 00:02:58 - Début de la bataille 00:05:37 - L'erreur de Napoléon 00:05:56 - Le jour de la bataille 00:10:42 - L'attaque de la ferme d'Hougoumont 00:12:45 - L'arrivée des Prussiens 00:15:07 - Les ordres de Napoléon à Grouchy 00:16:13 - L'erreur de Grouchy ? 00:20:21 - L'attaque de la ferme Papelotte 00:21:50 - L'attaque de la cavalerie anglaise 00:23:09 - L'attaque de la cavalerie française 00:24:11 - L'arrivée des Prussiens 00:25:42 - L'erreur de Ney 00:26:27 - L'attaque de la cavalerie de Ney 00:28:10 - L'attaque de la cavalerie anglaise 00:28:31 - L'attaque de l'infanterie de Ney 00:29:49 - L'arrivée des Prussiens 00:30:16 - La bataille à Plancenoit 00:30:50 - Napoléon réagit à la marche des Prussiens 00:31:07 - L'attaque de la jeune garde sur Plancenoit 00:31:18 - L'attaque de la vieille garde contre Wellington 00:31:31 - Les combats à la ferme d'Hougoumont 00:32:12 - La marche de la garde 00:32:28 - L'attaque de la garde sur la ligne anglaise 00:33:19 - La retraite de la garde 00:34:08 - La déroute de l'armée française 00:35:51 - L'ordre de retraite de Napoléon 00:36:12 - La rencontre de Wellington et Blücher 00:36:18 - La fuite de Napoléon 00:36:32 - L'arrivée de Napoléon à Quatre-Bras 00:37:00 - La prise de conscience de Napoléon 00:37:21 - Le bilan de la bataille 00:37:38 - L'abdication de Napoléon 00:37:48 - Conclusion Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Pascal Cyr, Waterloo, origines et engeux, L'Harmattan, 2015. Pascal Cyr, La Campagne de France : 1814, Soteca, 2018. Alain Pigeard, L'armée de Napoléon, 1799-1815 : organisation et vie quotidienne, Editions Tallandier, 2000 Thierry Lentz, Waterloo, 1815, Perrin, 2015 Thierry Lentz, Les mythes de la grande armée, Paris, Perrin, 2022. Thierry Lentz, Nouvelle histoire du Premier Empire : Les Cent-Jours, 1815, Fayard, 2002. Jean-Claude Damamne, La Bataille de Waterloo, Perrin, 2003. Barbero, Alessandro (2005), The Battle: A New History of Waterloo, Atlantic Books Clayton, Tim. (2014). Waterloo, Four days that changed Europe's destiny. Little Brown. Jean Tulard, Napoléon, Paris, Fayard, 1987. André Castelot, Napoléon, Librairie académique Perrin, 1967 et 2023 Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #waterloo #napoleon
« Le buffle et l'hippopotame, s'exclame Libération à Paris. Ce sont les logos des sociétés minières qui exploitent respectivement l'or de Loulo et de Gounkoto, dans l'ouest du Mali. Cela pourrait aussi être le titre d'un conte retraçant le duel qui oppose le groupe Barrick Gold, géant minier canadien, et le régime militaire de Bamako. L'issue de la bataille reste incertaine mais après un an d'affrontement, la junte a fermé, avant-hier mardi, les bureaux à Bamako de Barrick Gold, deuxième producteur d'or au niveau mondial ».« C'est le dernier épisode d'un bras de fer auquel se livrent l'industriel et l'État malien, souligne Le Monde Afrique. Le géant minier et Bamako sont en conflit depuis des mois à propos de ce complexe de Loulo-Gounkoto, un des plus importants gisements aurifères au monde, détenu à 80 % par le groupe minier et à 20 % par le Mali. Au nom de la souveraineté économique du pays, le Mali a réformé son code minier et réclame des centaines de millions de dollars d'arriérés d'impôts à Barrick Gold ».L'État en veut plus« Le désaccord entre les deux parties remonte à 2023, précise pour sa part Malijet à Bamako, après l'adoption par le Mali de ce nouveau code minier qui renforce les prérogatives de l'État dans le secteur aurifère, notamment en augmentant la part de participation publique dans les projets miniers. Barrick Gold, dont le siège mondial est basé à Toronto, avait contesté certaines modalités d'application du nouveau cadre législatif. Malgré plusieurs cycles de négociations, le différend s'est accentué avec la saisie, en janvier dernier, de près de trois tonnes d'or par les autorités maliennes, représentant une valeur d'environ 245 millions de dollars, que le gouvernement estime lié à des obligations fiscales non respectées. (…) Le différend entre Barrick Gold et le Mali, précise encore Malijet, s'inscrit dans un contexte régional marqué par une volonté croissante des États de récupérer davantage de revenus issus de l'exploitation minière, dans un mouvement souvent qualifié de nationalisme des ressources ».« Restaurer la souveraineté économique »En effet, développe Afrik.com, « au-delà du différend fiscal, l'affaire cristallise une dynamique plus large : celle d'un Mali déterminé à reprendre la main sur ses ressources naturelles. Depuis les coups d'État de 2020 et 2021, la junte au pouvoir affiche une volonté affirmée de “restaurer la souveraineté économique“, notamment dans le secteur extractif. L'or représente environ un quart du budget national et constitue la première source d'exportation du pays. Dans ce contexte, ce bras de fer avec Barrick Gold illustre une stratégie plus globale de renégociation des termes de la présence étrangère dans l'industrie minière, souvent perçue comme inéquitable par les autorités maliennes ».Déjà, résultat important, souligne Malijet, conséquence de la réforme du code minier : « l'année dernière, l'État malien a enregistré environ 1,4 milliard de dollars de recettes provenant des compagnies exploitant l'or. Soit une hausse vertigineuse de plus de 50% par rapport à l'année précédente. (…) Un contraste saisissant qui souligne, pointe Malijet, l'efficacité du nouveau cadre législatif mis en place par les autorités de transition dirigées par le colonel Assimi Goïta ».La fin d'un cycle ?Reste que Barrick Gold n'entend pas se laisser faire, constate Sahel Tribune à Bamako. La compagnie canadienne « rappelle son rôle de “partenaire engagé“ du peuple malien. Salaires maintenus, chaîne d'approvisionnement assurée, soutien aux PME locales. L'entreprise met en avant son ancrage territorial. (…) Mais la patience a des limites. Barrick Gold prévient que si le dialogue reste stérile, l'entreprise “poursuivra la voie de l'arbitrage international“. Traduction, les juridictions économiques internationales pourraient bientôt être saisies, avec des conséquences financières et diplomatiques incalculables pour le Mali ».Alors, poursuit Sahel Tribune, « à l'heure où l'Afrique s'interroge sur sa souveraineté économique, ce conflit entre l'État malien et Barrick Gold dépasse le simple cadre d'un litige fiscal. Il questionne le modèle même du partenariat public-privé dans les pays riches en ressources naturelles. Faut-il encore croire au “win-win“ (gagnant-gagnant) entre État et multinationales ? Ou bien assiste-t-on à la fin d'un cycle, celui où les contrats miniers se signaient à huis clos, loin des projecteurs citoyens ? Barrick Gold, de son côté, exhorte les autorités à agir “dans l'intérêt du peuple malien“. À défaut, conclut Sahel Tribune, c'est tout un pan de l'économie nationale — plus de 8 % du PIB — qui pourrait s'effondrer comme un château de cartes ».
25 octobre 732. Charles Martel affronte les troupes musulmanes venues d'Espagne à Poitiers. Une bataille qui va faire rage. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Le buffle et l'hippopotame, s'exclame Libération à Paris. Ce sont les logos des sociétés minières qui exploitent respectivement l'or de Loulo et de Gounkoto, dans l'ouest du Mali. Cela pourrait aussi être le titre d'un conte retraçant le duel qui oppose le groupe Barrick Gold, géant minier canadien, et le régime militaire de Bamako. L'issue de la bataille reste incertaine mais après un an d'affrontement, la junte a fermé, avant-hier mardi, les bureaux à Bamako de Barrick Gold, deuxième producteur d'or au niveau mondial ».« C'est le dernier épisode d'un bras de fer auquel se livrent l'industriel et l'État malien, souligne Le Monde Afrique. Le géant minier et Bamako sont en conflit depuis des mois à propos de ce complexe de Loulo-Gounkoto, un des plus importants gisements aurifères au monde, détenu à 80 % par le groupe minier et à 20 % par le Mali. Au nom de la souveraineté économique du pays, le Mali a réformé son code minier et réclame des centaines de millions de dollars d'arriérés d'impôts à Barrick Gold ».L'État en veut plus« Le désaccord entre les deux parties remonte à 2023, précise pour sa part Malijet à Bamako, après l'adoption par le Mali de ce nouveau code minier qui renforce les prérogatives de l'État dans le secteur aurifère, notamment en augmentant la part de participation publique dans les projets miniers. Barrick Gold, dont le siège mondial est basé à Toronto, avait contesté certaines modalités d'application du nouveau cadre législatif. Malgré plusieurs cycles de négociations, le différend s'est accentué avec la saisie, en janvier dernier, de près de trois tonnes d'or par les autorités maliennes, représentant une valeur d'environ 245 millions de dollars, que le gouvernement estime lié à des obligations fiscales non respectées. (…) Le différend entre Barrick Gold et le Mali, précise encore Malijet, s'inscrit dans un contexte régional marqué par une volonté croissante des États de récupérer davantage de revenus issus de l'exploitation minière, dans un mouvement souvent qualifié de nationalisme des ressources ».« Restaurer la souveraineté économique »En effet, développe Afrik.com, « au-delà du différend fiscal, l'affaire cristallise une dynamique plus large : celle d'un Mali déterminé à reprendre la main sur ses ressources naturelles. Depuis les coups d'État de 2020 et 2021, la junte au pouvoir affiche une volonté affirmée de “restaurer la souveraineté économique“, notamment dans le secteur extractif. L'or représente environ un quart du budget national et constitue la première source d'exportation du pays. Dans ce contexte, ce bras de fer avec Barrick Gold illustre une stratégie plus globale de renégociation des termes de la présence étrangère dans l'industrie minière, souvent perçue comme inéquitable par les autorités maliennes ».Déjà, résultat important, souligne Malijet, conséquence de la réforme du code minier : « l'année dernière, l'État malien a enregistré environ 1,4 milliard de dollars de recettes provenant des compagnies exploitant l'or. Soit une hausse vertigineuse de plus de 50% par rapport à l'année précédente. (…) Un contraste saisissant qui souligne, pointe Malijet, l'efficacité du nouveau cadre législatif mis en place par les autorités de transition dirigées par le colonel Assimi Goïta ».La fin d'un cycle ?Reste que Barrick Gold n'entend pas se laisser faire, constate Sahel Tribune à Bamako. La compagnie canadienne « rappelle son rôle de “partenaire engagé“ du peuple malien. Salaires maintenus, chaîne d'approvisionnement assurée, soutien aux PME locales. L'entreprise met en avant son ancrage territorial. (…) Mais la patience a des limites. Barrick Gold prévient que si le dialogue reste stérile, l'entreprise “poursuivra la voie de l'arbitrage international“. Traduction, les juridictions économiques internationales pourraient bientôt être saisies, avec des conséquences financières et diplomatiques incalculables pour le Mali ».Alors, poursuit Sahel Tribune, « à l'heure où l'Afrique s'interroge sur sa souveraineté économique, ce conflit entre l'État malien et Barrick Gold dépasse le simple cadre d'un litige fiscal. Il questionne le modèle même du partenariat public-privé dans les pays riches en ressources naturelles. Faut-il encore croire au “win-win“ (gagnant-gagnant) entre État et multinationales ? Ou bien assiste-t-on à la fin d'un cycle, celui où les contrats miniers se signaient à huis clos, loin des projecteurs citoyens ? Barrick Gold, de son côté, exhorte les autorités à agir “dans l'intérêt du peuple malien“. À défaut, conclut Sahel Tribune, c'est tout un pan de l'économie nationale — plus de 8 % du PIB — qui pourrait s'effondrer comme un château de cartes ».
Commentaires des versets révélés après la bataille de UhudLe joyau de la Prophétie #19Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 12 avril 2025____________________________________________
Avec ses droits de douane, Donald Trump affole à la fois les acteurs étatiques et les myriades d'investisseurs qui, partout sur la planète, incarnent ce qu'on appelle la mondialisation. Mais la seule question qui devrait nous occuper n'est pas de savoir si le président américain se comporte intelligemment mais si nous allons nous donner les moyens de défendre nos intérêts de Français et d'Européens, estime Natacha Polony.Le magazine Marianne est en kiosques et en ligne chaque jeudi."Le goût de la vérité n'empêche pas de prendre parti". Albert CamusMarianne TV : https://tv.marianne.net/Marianne.net : https://www.marianne.net/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:49:17 - franceinfo: Les informés - Tous les jours, les informés débattent de l'actualité, ce lundi autour d'Agathe Lambret et Jean-Rémi Baudot.
La bataille de Uhud : récit et enseignementsLe joyau de la Prophétie #18Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 5 avril 2025____________________________________________
Aujourd'hui dans "Punchline", Thierry Cabannes et ses invités débattent des manifestations RN, Renaissance et LFI.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Direction la Belgique pour l'ultime bataille de l'Empereur. En une seule journée, ce 18 juin 1815, Napoléon est passé de la gloire à l'exil. Comment le stratège militaire et sa Grande Armée ont-ils pu battre en retraite face à la septième coalition ? Revivez cette défaite décisive, qui marque la fin du rêve napoléonien et le crépuscule de l'Empire. Crédits : Lorànt Deutsch, Bruno Calvès Du lundi au vendredi de 15h à 15h30, Lorànt Deutsch vous révèle les secrets des personnages historiques les plus captivants !
durée : 00:41:54 - Une semaine en France - À cause du phénomène de retrait-gonflement des sols argileux, de nombreuses maisons voient des fissures apparaître sur leurs murs, signe avant-coureur d'un possible effondrement. Les victimes de ce phénomène de plus en plus fréquent peinent à être prises en charge par les assureurs.
Nouveaux droits de douane contre la Chine, hausse des taxes sur certains produits européens, négociations avec le Canada et le Mexique... Pour rendre sa grandeur économique à l'Amérique, Donald Trump compte bien faire payer ses partenaires commerciaux... Mais aussi se servir de l'outil tarifaire pour imposer ses choix diplomatiques. Une méthode qui n'est pas nouvelle. Dans cette série, on s'intéresse aux guerres commerciales passées, dont nous pourrions tirer quelques leçons pour aujourd'hui, avec Sébastien Jean, professeur d'économie au Conservatoire national des Arts et métiers. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage : Solène AlifatRéalisation : Quentin Bresson et Jules Krot Crédits : CBS, DW News, INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 1214, le royaume de France est menacé. L'Anglais Jean sans Terre décide de s'en emparer. Il réussit à monter, contre Philippe Auguste, une vaste coalition qui donnera lieu à la bataille de Bouvines. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En 1214, le royaume de France est menacé. L'Anglais Jean sans Terre décide de s'en emparer. Il réussit à monter, contre Philippe Auguste, une vaste coalition qui donnera lieu à la bataille de Bouvines. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:06 - 100% PSG - Le billet - PSG - Liverpool c'est demain ! La rencontre approche et parmi les clefs tactiques : la bataille du contre-pressing. Qui l'emportera entre le PSG de Luis Enrique, devenu élite en la matière, et le Liverpool d'Arne Slot qui porte l'héritage de Jurgen Klopp ?
Stéphane Bern raconte la célèbre bataille littéraire qui a opposé les classiques « grisâtres » aux romantiques « flamboyants » venus assister à la première représentation, il y a 195 ans précisément, d'Hernani, un drame romantique écrit par un certain Victor Hugo, 27 ans et déjà célèbre. Pourquoi Hernani est-elle à l'origine d'une grande controverse littéraire ? Dans quel contexte Victor Hugo l'a-t-il écrite ? Quel a été l'itinéraire de cette pièce tout au long du XIXe siècle ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Jean-Marc Hovasse, professeur de littérature française à Sorbonne Université, directeur de recherches au CNRS, et auteur de la biographie de Victor Hugo, tome.1 "Avant l'exil (1802-1851)" et tome.2 "Pendant l'exil (1851-1864)" (Fayard)
Stéphane Bern raconte la célèbre bataille littéraire qui a opposé les classiques « grisâtres » aux romantiques « flamboyants » venus assister à la première représentation, il y a 195 ans précisément, d'Hernani, un drame romantique écrit par un certain Victor Hugo, 27 ans et déjà célèbre. Pourquoi Hernani est-elle à l'origine d'une grande controverse littéraire ? Dans quel contexte Victor Hugo l'a-t-il écrite ? Quel a été l'itinéraire de cette pièce tout au long du XIXe siècle ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Jean-Marc Hovasse, professeur de littérature française à Sorbonne Université, directeur de recherches au CNRS, et auteur de la biographie de Victor Hugo, tome.1 "Avant l'exil (1802-1851)" et tome.2 "Pendant l'exil (1851-1864)" (Fayard)
Il y a 500 ans, l'armée française s'effondrait à Pavie et son chef, le roi François Ier, était fait prisonnier. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Stéphane Bern ropose de revivre une bataille qui s'est tenue il y a 500 ans jour pour jour : la bataille de Pavie perdue par la France et son armée menée par le roi François 1er qui, 10 ans après son éclatante victoire à Marignan, a lui-même pris part aux attaques contre les hommes de Charles Quint. Et mal lui en a pris… Quels étaient les enjeux de cette bataille ? Qu'est-ce qui a manqué à l'armée constituée par François Ier ? Pourquoi ne l'a-t-on pas davantage étudiée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Julien Guinand, docteur en histoire, spécialiste du XVIème siècle et auteur de "Pavie 1525" (Perrin).
Stéphane Bern ropose de revivre une bataille qui s'est tenue il y a 500 ans jour pour jour : la bataille de Pavie perdue par la France et son armée menée par le roi François 1er qui, 10 ans après son éclatante victoire à Marignan, a lui-même pris part aux attaques contre les hommes de Charles Quint. Et mal lui en a pris… Quels étaient les enjeux de cette bataille ? Qu'est-ce qui a manqué à l'armée constituée par François Ier ? Pourquoi ne l'a-t-on pas davantage étudiée ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Julien Guinand, docteur en histoire, spécialiste du XVIème siècle et auteur de "Pavie 1525" (Perrin).
durée : 00:28:49 - Une histoire particulière - par : Pauline Maucort - Depuis l'affaire Jean Gabin au début des années 1960, les syndicats agricoles ont développé diverses stratégies médiatiques : de l'action directe spectaculaire à la séduction des consommateurs, passage en revue des mobilisations agricoles. - réalisation : Cécile Laffon
En 490 av. JC à Marathon, les Athéniens défendent leur cité contre un ennemi surpuissant : l'Empire perse… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le fondateur de Cafétech, la newsletter qui décrypte l'actu tech, est notre invité cette semaine dans tech 45'
Bienvenue dans Home(icides), le podcast true crime de Bababam. Caroline Nogueras va vous raconter une affaire encore non élucidée à ce jour. En octobre 2005, quand Eric Boisseranc rentre chez lui à Chazay d'Azergue tout près de Lyon, il découvre sa fille Marine allongée derrière le canapé, morte de plusieurs coups de couteau… Dans le dernier épisode de cette saison, Caroline Nogueras reçoit Eric, le père de la victime, qui se bat toujours pour retrouver le meurtrier et faire justice à sa fille. La bataille d'un père Dans ce dernier épisode, Caroline Nogueras s'entretient avec Eric Boisseranc. Ensemble, ils reviennent sur l'enquête et sur le combat que mène Eric dans sa quête de vérité. Découvrez la saison précédente en intégralité : L'affaire Sally McNeil, le massacre de la Saint Valentin Un podcast Bababam Originals Voix : Caroline Nogueras Ecriture : Tiphaine Pioger En partenariat avec upday. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:58:51 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - En France, sur la période 2010-2019, 58 % de la consommation d'eau douce l'était pour les besoins de l'agriculture. À l'heure des pénuries, comment la théorie économique de la rareté peut-elle aider à préserver cette ressource essentielle ? - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Simon Porcher Economiste, professeur des universités en sciences de gestion à l'Université Paris-Dauphine-PSL; Arnaud Buchs Professeur des universités en économie à l'Université Grenoble-Alpes, membre du laboratoire PACTE
Abonnez-vous et retrouvez chaque semaine dans Les Echos de l'IA l'interview d'un professionnel qui raconte comment l'intelligence artificielle transforme son quotidien. Finance, médecine, immobilier, culture, tech, consommation … Tous les secteurs sont concernés !Cette semaine, la superintelligence est encore hypothétique, mais elle soulève des questions critiques pour l'avenir de l'humanité. Pour « les Echos de l'IA », Samir Touzani a rencontré Charbel-Raphael Segerie, chercheur et directeur exécutif du Centre pour la sécurité de l'IA.« Les Echos de l'IA » est un podcast des « Echos » présenté par Marina Alcaraz, Joséphine Boone et Samir Touzani. Cet épisode a été enregistré en février 2025. Présentation : Samir Touzani. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Chef de service : Pierrick Fay. Invité : Charbel-Raphael Segerie, chercheur et directeur exécutif du Cesia, le Centre pour la sécurité de l'IA. Réalisation : Willy Ganne. Musique : Coma Studio – Floating Abstract. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En 1745, le prétendant Stuart aux couronnes d'Ecosse et d'Angleterre, Charles-Edouard, débarque dans les Hébrides pour tenter de reprendre ce qu'on lui a volé… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La bataille de Badr : récit et enseignements Le joyau de la Prophétie #16 Émission live "Parlez-moi d'islam" du samedi 1er février 2025 ____________________________________________
Virginie Girod raconte la bataille de Teutobourg dans un épisode inédit d'Au coeur de l'Histoire. En l'an 9 de notre ère, l'Empire romain essuie la pire défaite militaire de son histoire. En Germanie, à l'Est du Rhin, les troupes du gouverneur Varus avancent dans les bois de Teutobourg quand soudain, des hordes de Germains surgissent de toute part. Après trois jours de bataille, les Romains sont défaits, trahis par Arminius, qu'ils croyaient être l'un des leurs. Cet épisode a été réalisé en partenariat avec les éditions Dargaud et la bande-dessinée "Les Aigles de Rome", d'Enrico Marini.
La bataille de l'Overpass est un affrontement marquant qui s'est déroulé le 26 mai 1937 à Dearborn, dans le Michigan, aux États-Unis. Cet événement illustre la lutte acharnée entre les syndicats ouvriers et les grandes entreprises industrielles durant la Grande Dépression. Plus précisément, il s'agit d'un conflit entre l'United Auto Workers (UAW), un syndicat cherchant à représenter les ouvriers de l'industrie automobile, et la puissante Ford Motor Company, dirigée par Henry Ford, farouchement opposé à toute syndicalisation de ses employés. À l'époque, l'industrie automobile américaine est dominée par des entreprises comme General Motors, Chrysler et Ford, qui tentent par tous les moyens de limiter l'influence des syndicats. GM et Chrysler avaient déjà reconnu l'UAW, mais Ford résistait fermement, utilisant des méthodes brutales pour empêcher la syndicalisation de ses travailleurs. Le 26 mai 1937, des représentants de l'UAW, dont le célèbre syndicaliste Walter Reuther, se rendent sur un pont piétonnier (overpass) menant à l'usine de la Rouge de Ford, afin de distribuer des tracts et d'encourager les ouvriers à se syndiquer. C'est alors qu'ils sont attaqués par des membres de la Ford Service Department, une milice privée employée par Ford et dirigée par Harry Bennett, un homme réputé pour ses méthodes musclées. Les hommes de Bennett frappent brutalement les syndicalistes, sous l'œil des photographes présents, ce qui entraîne une couverture médiatique immédiate. Des images de syndicalistes roués de coups, ensanglantés et jetés au sol circulent dans la presse nationale, suscitant une vague d'indignation dans l'opinion publique. Ford, qui jusque-là jouissait d'une image paternaliste et bienveillante, voit sa réputation ternie par ces violences. Malgré la brutalité de la répression, l'événement marque un tournant dans la lutte syndicale. En 1941, face à la pression populaire et à l'essor des syndicats, Ford est finalement contraint de reconnaître l'UAW, accordant ainsi aux ouvriers le droit de se syndiquer et d'améliorer leurs conditions de travail. La bataille de l'Overpass est devenue un symbole de la résistance des travailleurs face aux abus des grandes entreprises et un jalon important dans l'histoire du mouvement ouvrier américain. Elle rappelle que les conquêtes sociales ont souvent été obtenues au prix de luttes acharnées contre des forces puissantes et bien établies. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La bataille de Platées est la moins connue des batailles des guerres médiques. Pourtant, l'issue de cette bataille fut décisive pour le destin de l'Occident.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.