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Et si l'avenir des océans se jouait dans nos rivières ? C'est l'idée brillante portée par les fondateurs de « Plastic Vortex », qui vont installer un barrage filtrant flottant sur la Garonne, à Toulouse. Une 1ère en France, conçue pour intercepter les déchets plastiques avant qu'ils n'atteignent la mer. Modulable, automatisé, respectueux de la faune... C'est un dispositif, unique en Europe que nous fait découvrir Patrick Thaunay, cofondateur de « Plastic Vortex ». Ecoutez C'est ça la France avec Vincent Perrot du 14 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
On évoque généralement les risques pour les animaux marins quand on parle de pollution au plastique. Mais quels sont les dangers pour l'humain ? Philippe Bolo, député Modem du Maine-et-Loire a travaillé sur ce sujet avec l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On évoque généralement les risques pour les animaux marins quand on parle de pollution au plastique. Mais quels sont les dangers pour l'humain ? Philippe Bolo, député Modem du Maine-et-Loire a travaillé sur ce sujet avec l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On évoque généralement les risques pour les animaux marins quand on parle de pollution au plastique. Mais quels sont les dangers pour l'humain ? Philippe Bolo, député Modem du Maine-et-Loire a travaillé sur ce sujet avec l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On évoque généralement les risques pour les animaux marins quand on parle de pollution au plastique. Mais quels sont les dangers pour l'humain ? Philippe Bolo, député Modem du Maine-et-Loire a travaillé sur ce sujet avec l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On évoque généralement les risques pour les animaux marins quand on parle de pollution au plastique. Mais quels sont les dangers pour l'humain ? Philippe Bolo, député Modem du Maine-et-Loire a travaillé sur ce sujet avec l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On évoque généralement les risques pour les animaux marins quand on parle de pollution au plastique. Mais quels sont les dangers pour l'humain ? Philippe Bolo, député Modem du Maine-et-Loire a travaillé sur ce sujet avec l'Office parlementaire d'évaluation des choix scientifiques et technologiques. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors de la conférence mondiale sur les océans à Nice ce lundi 9 juin, les dirigeants du monde entier se sont réunis pour discuter des menaces pesant sur les fonds marins et de la pollution plastique. La société civile et les associations locales sont également engagées sur le sujet.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors de la conférence mondiale sur les océans à Nice ce lundi 9 juin, les dirigeants du monde entier se sont réunis pour discuter des menaces pesant sur les fonds marins et de la pollution plastique. La société civile et les associations locales sont également engagées sur le sujet.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Journée mondiale de l'environnement : le thème de cette année est axé sur la lutte contre la pollution liée au plastique by TOPFM MAURITIUS
Dans cet épisode de 5 minutes de français, Judith et Sébastien s'interrogent : peut-on vraiment vivre sans plastique ? Ils discutent des objets plastiques qu'on […] L'article Peut-on vraiment vivre sans plastique ? – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.
Antoine Martel fait partie de ceux dont l'action change le monde.Il est le fondateur de RGoods, qui a permis à plus de 900 ONG de collecter 1,5 milliard d'euros — dont une partie pour reconstruire Notre-Dame.Aujourd'hui, avec Good Only Ventures, il intègre les associations dans les décisions d”investissement, pour financer des solutions durables, en phase avec les besoins du terrain.Dans cet épisode, il partage son déclic, son engagement pour la planète, son travail avec les associations et sa vision d'un avenir plus solidaire et responsable. Un échange lucide, porteur d'énergie et d'espoir.
S'il n'existe au Liban aucune politique nationale de lutte contre la pollution au microplastique, pourtant omniprésente, de plus en plus d'acteurs de la société civile s'emparent du plastique et des déchets recyclables pour les valoriser et éviter qu'ils ne terminent dans les décharges ou au large des côtes. Au Liban, à Kfar Aabida, à 50 km au nord de Beyrouth, la plage est bordée d'immondices que des écoliers viennent nettoyer avec des bénévoles de l'ONG SWIM. « Le microplastique va aller dans l'eau. "Micro", ça veut dire qu'on ne peut pas le voir à l'œil nu. Les poissons et les algues l'absorbent et automatiquement, ça va se retrouver dans notre alimentation. Si chacun ramasse une bouteille, il peut sauver des millions et des millions de vies sous-marines », leur explique Marcos Hado, biologiste marin. Car ces particules peuvent engendrer des perturbations endocriniennes, des troubles respiratoires, des maladies cardio-vasculaires et des cancers.Les adolescents découvrent l'ampleur de la pollution en Méditerranée, la mer la plus contaminée du monde. « C'est du verre, du bois, un paquet de chips, une tortue pourrait s'étouffer avec. Elles sont en voie d'extinction. On a trouvé beaucoup de choses, franchement, je suis déçu des Libanais », confie Thalia Kannir 15 ans. « Où qu'on aille, on voit des gens qui jettent leurs déchets dans la mer, sur les plages, dans les rues », raconte Marcus Najjar, 16 ans.En moins de deux heures, ces jeunes Libanais ont rempli des dizaines de sacs de détritus et même exhumé des pneus. Une pollution venue en amont pour Marcos Hado, le biologiste marin : « Le problème, c'est que 90% de cette poubelle est venue par les rivières. Parce que les municipalités en haut de la montagne l'ont jetée dans les rivières et les rivières l'ont emportée avec les pluies et l'ont jetée sur la plage. »Les déchets seront ensuite triés et donnés à des entreprises de recyclage comme Plastc Lab au nord de Beyrouth. Fondée par deux frères, Ralph et Rami Sbeih, elle compte sept employés. Ici, rien ne se perd, tout se transforme : « On peut voir le broyage, c'est ce qu'on est en train d'obtenir, c'est la première étape pour le plastique. On est en train de transformer ce broyage en matériaux comme des poutres, des plaques, etc. »Dans l'atelier, les paillettes sont ensuite fondues. « Il y a ici des plaques chauffantes et puis on va avoir comme une sorte de pâte à modeler, ensuite cela va être injecté dans le moule. Quand c'est froid, on les met dans un bac à eau. Après, cela va prendre la forme du moule », détaille Rami Sbeih, fondateur de Plastc Lab.Matériaux de construction, meubles, et même accessoires, l'usine remodèle 60 tonnes de plastique par an. « On est un des acteurs ici au Liban qui sont en train de minimiser le volume des déchets. Le problème principal, c'est qu'il n'y a plus de place, il n'y a plus de décharge pour mettre les déchets », se désole-t-il. Alors que le seul site d'enfouissement de Beyrouth est sur le point de déborder, si rien n'est fait, les poubelles pourraient vite s'amonceler dans les rues.À lire aussiLiban: «Certains malades sont en train de mourir» du cancer faute de moyens pour se soigner
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
Saviez-vous que des particules de plastique se retrouvent chaque jour dans votre assiette, dans l'eau que vous buvez, et même dans l'air que vous respirez? (au secours!!!)Les microplastiques, invisibles à l'œil nu, s'infiltrent partout… jusqu'à perturber votre microbiote intestinal et, potentiellement, votre santé à long terme. Cancer, diabète, troubles cardiovasculaires : les scientifiques tirent la sonnette d'alarme sur les risques liés à cette pollution silencieuse.Mais comment s'en protéger? Existe-t-il des solutions concrètes?Découvrez dans ce balado des réponses surprenantes, des conseils pratiques et les dernières découvertes sur la toxicité du plastique. Merci à David Chassé pour la musique originale, composée spécialement pour ce balado Merci à @chrisp.photog http://www.christianperreault.com Merci aux productions Arborescence Montréal www.productionsarborescence.com (pour leur super studio à Montréal, l'enregistrement et le montage)Merci à mes partenaires A.Vogel https://www.avogel.ca/fr/ etDoMatcha https://domatcha.ca/ sans eux, tout ceci ne pourrait avoir lieu…Pour avoir les références utilisées pour ce balado, je vous suggère d'écrire ici lebaldodespossibles@gmail.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
S'il n'existe au Liban aucune politique nationale de lutte contre la pollution au microplastique, pourtant omniprésente, de plus en plus d'acteurs de la société civile s'emparent du plastique et des déchets recyclables pour les valoriser et éviter qu'ils ne terminent dans les décharges ou au large des côtes. Au Liban, à Kfar Aabida, à 50 km au nord de Beyrouth, la plage est bordée d'immondices que des écoliers viennent nettoyer avec des bénévoles de l'ONG SWIM. « Le microplastique va aller dans l'eau. "Micro", ça veut dire qu'on ne peut pas le voir à l'œil nu. Les poissons et les algues l'absorbent et automatiquement, ça va se retrouver dans notre alimentation. Si chacun ramasse une bouteille, il peut sauver des millions et des millions de vies sous-marines », leur explique Marcos Hado, biologiste marin. Car ces particules peuvent engendrer des perturbations endocriniennes, des troubles respiratoires, des maladies cardio-vasculaires et des cancers.Les adolescents découvrent l'ampleur de la pollution en Méditerranée, la mer la plus contaminée du monde. « C'est du verre, du bois, un paquet de chips, une tortue pourrait s'étouffer avec. Elles sont en voie d'extinction. On a trouvé beaucoup de choses, franchement, je suis déçu des Libanais », confie Thalia Kannir 15 ans. « Où qu'on aille, on voit des gens qui jettent leurs déchets dans la mer, sur les plages, dans les rues », raconte Marcus Najjar, 16 ans.En moins de deux heures, ces jeunes Libanais ont rempli des dizaines de sacs de détritus et même exhumé des pneus. Une pollution venue en amont pour Marcos Hado, le biologiste marin : « Le problème, c'est que 90% de cette poubelle est venue par les rivières. Parce que les municipalités en haut de la montagne l'ont jetée dans les rivières et les rivières l'ont emportée avec les pluies et l'ont jetée sur la plage. »Les déchets seront ensuite triés et donnés à des entreprises de recyclage comme Plastc Lab au nord de Beyrouth. Fondée par deux frères, Ralph et Rami Sbeih, elle compte sept employés. Ici, rien ne se perd, tout se transforme : « On peut voir le broyage, c'est ce qu'on est en train d'obtenir, c'est la première étape pour le plastique. On est en train de transformer ce broyage en matériaux comme des poutres, des plaques, etc. »Dans l'atelier, les paillettes sont ensuite fondues. « Il y a ici des plaques chauffantes et puis on va avoir comme une sorte de pâte à modeler, ensuite cela va être injecté dans le moule. Quand c'est froid, on les met dans un bac à eau. Après, cela va prendre la forme du moule », détaille Rami Sbeih, fondateur de Plastc Lab.Matériaux de construction, meubles, et même accessoires, l'usine remodèle 60 tonnes de plastique par an. « On est un des acteurs ici au Liban qui sont en train de minimiser le volume des déchets. Le problème principal, c'est qu'il n'y a plus de place, il n'y a plus de décharge pour mettre les déchets », se désole-t-il. Alors que le seul site d'enfouissement de Beyrouth est sur le point de déborder, si rien n'est fait, les poubelles pourraient vite s'amonceler dans les rues.À lire aussiLiban: «Certains malades sont en train de mourir» du cancer faute de moyens pour se soigner
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. 1. Meta et l'IA: comment refuser l'utilisation de vos données 2. Série « Les balcons » 4/4 : Le voisinage 3. Guichet: vivre avec moins de plastique
The Injustice League, a.k.a. Tess Mercer's GroupiesAfter many episodes of recruiting, Tess finally gives her meteor freak team some time to shine: hunt down and kill Doomsday. "Chloe" reappears and tells Clark he needs to kill Davis, which Oliver also agrees with (typical). Clark comes up with the best plan to stop Davis/Doomsday but needs Oliver's help, which Ollie takes as "sexually harass Tess". Jessica Parker Kennedy (Black Sails, The Flash) makes her return as DC Comics original character Bette San Souci, a.k.a. Plastique. Brendan Fletcher (Violent Night, The Revenant) special guest stars as DC Comics original character Rudy Jones, a.k.a. Parasite.Don't forget to leave those FIVE STARS!
durée : 00:13:33 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Et si chaque élève, à la cantine, remplissait soi-même son pot de yaourt réutilisable? C'est ce que permet Eco Délices, une machine conçue au Havre. Egalement au programme des Carnets en Seine-Maritime : la Suite dans les idées, un espace de coworking en milieu rural.
Aujourd'hui, on regarde Les Pistolets en plastique de Jean-Christophe Meurisse. Ça nous a donné envie de regarder plein de "documentaires" bfm sur notre Xavier national ! Il a pas fait l'unanimité mais une chose est sûre, on a beaucoup ri !Attention c'est chaud ! Tous les 15 jours, c'est comme aller au ciné avec ses potes : on découvre un film et on y réagit à chaud
Les ménages suisses jettent environ 9 milliards de déchets plastiques par an, selon les résultats du " Big Plastic Count ", une enquête participative publiée à la mi-mai. Marc Schlesser, un retraité habitant à La Tour-de-Peilz, a accepté quʹon fouille sa poubelle à la recherche dʹemballages en polyéthylène et de bouteilles en PET. Vous allez entendre quʹil fait partie des bons élèves. Mais comment fait-il ? Et surtout, pourquoi le fait-il ? Un reportage de Christophe Ungar.
Les oiseaux peuvent souffrir de la prédation de leur nid et adoptent plusieurs comportements pour éviter ce risque. Les corvidés comptent parmi les prédateurs de nids les plus connus. Cependant, ils sont aussi parmi les plus néophobes de tous les oiseaux. Certains scientifiques pensent que les oiseaux nicheurs peuvent tirer parti de cette peur en décorant le nid avec des matériaux anthropogéniques nouveaux pour les prédateurs.
durée : 00:14:25 - Carnets de campagne - par : Dorothée Barba - Au programme des Carnets du jour dans la Marne : une innovation conçue pour remplacer les plastiques dans les industries du cuir et des textiles, puis une association qui sensibilise à l'écoconstruction, "des idées plein la terre".
Quelle est cette peau que l'on se met parfois pour s'oublie ? Pour masquer qui l'on est, oublier ce que l'on est aussi. Cette peau en plastique qui nous permet de vivre ou de survivre. Cette peau, pourtant, qui ne nous correspond pas, cette peau, Camille Yembe la chante. Venue de Belgique, elle sortira son premier EP le 6 juin prochain : "Plastique". À retrouver aussi en fin d'émission, la chronique cinéma d'Olivier Forest, qui nous décrit le phénomène tamoul : Little Jaffna.
Comme chaque semaine, les Petits Curieux de sciences ramassent sur la plage des déchets en plastique (bouteilles, canettes…) avec leur classe. Grâce propose à Adèle, Alice, Thomas, Gabriel, Youn et Zael de rencontrer Isabelle Le Viol qui travaille à la station marine de Concarneau. L'écologue et biologiste de la conservation va leur expliquer ce qu'est un continent de plastique et comment cette pollution visible, ou invisible quand il s'agit de microplastiques, envahit l'océan et ses habitants. “Curieux de sciences” est une aventure sonore qui entraîne les enfants dans l'univers fascinant de la science. Elle dévoile la rigueur et les surprises qui accompagnent les découvertes scientifiques, tout en stimulant l'imaginaire et la curiosité. Crédits :Ce podcast est coproduit par le magazine Images Doc (Bayard Jeunesse) et le Muséum national d'Histoire naturelle. Direction éditoriale : Bertrand Fichou. Comité scientifique du Muséum : Ronan Allain, Line Le Gall, Jean-Jacques Bahain. Chercheuse invitée : Isabelle Le Viol. Directeur de production : Julien Moch. Journaliste et hoste : Grâce Leplat. Comédiens : Julien Gueho, Lucille Boudonnat et Pauline Ziadé. Production exécutive : Billy the Cast. Réalisation : Benoît Laur. Musiques : Emmanuel Viau et Benoît Laur. Création visuelle : Camille Ferrari. Productrice : Hélène Loiseau. Coordination Muséum : Claire Gonçalves. Remerciements à la classe de CM2 de l'école Pierre et Marie Curie de Saint-Nazaire, et à leur institutrice, Maud Quelais. Remerciements à Guillaume Massé, chef de la station marine de Concarneau. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Qu'est-ce que le BPA ?Le bisphénol A, plus connu sous le nom de BPA, est un composé chimique utilisé depuis les années 1960 pour fabriquer certains plastiques, notamment les polycarbonates. On le retrouve dans de nombreux objets du quotidien : gourdes, boîtes alimentaires, revêtements de canettes ou encore tickets de caisse. Le BPA est un perturbateur endocrinien. Il imite l'action des hormones, en particulier les œstrogènes, et peut ainsi dérégler le système hormonal humain. Sommes-nous vraiment exposés au Bisphénol A ?L'exposition au BPA est réelle, surtout lorsque les plastiques sont chauffés, rayés ou usés. Voici quelques exemples concrets d'utilisation à risque : un tupperware passé au micro-ondes, une bouteille d'eau restée au soleil. Une gourde en plastique abîmée.Dans ces cas, le plastique peut libérer des microparticules de BPA dans les aliments ou les boissons. De nombreuses études ont établi un lien entre cette exposition et divers problèmes de santé. Comme des déséquilibres hormonaux, des troubles de la fertilité, une puberté précoce, des risques accrus de syndrome métabolique et certains cancers hormonodépendants.Face à ces risques, l'Union européenne a interdit le BPA dans les biberons dès 2011, puis a limité son usage dans les matériaux au contact des aliments.“Sans BPA” : une fausse sécurité ?De nombreux produits sont aujourd'hui étiquetés “BPA-free”, mais cela ne garantit pas une innocuité totale. BPS et BPF remplacent souvent le BPA. Certaines études récentes soulignent que ces alternatives peuvent présenter des risques comparables, voire supérieurs.C'est ce qu'on appelle l'effet cocktail : ce ne sont pas uniquement les doses individuelles qui posent problème, mais l'accumulation de petites expositions répétées au quotidien.Comment limiter les risques au quotidien ?Voici donc quelques gestes simples pour réduire l'exposition aux perturbateurs endocriniens liés aux plastiques :Ne jamais chauffez les aliments dans des contenants en plastique.Privilégiez les matériaux alternatifs comme le verre, l'inox ou le silicone alimentaire.Jetez les boîtes plastiques abîmées, rayées ou déformées.Ne laissez pas vos gourdes en plastique au soleil ou dans une voiture chaude.Soyez encore plus vigilant pour les enfants et les femmes enceintes, dont le système hormonal est particulièrement sensible.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:19:46 - Lectures du soir - "Le bifteck participe de la même mythologie sanguine que le vin, c'est le cœur de la viande, c'est la viande à l'état pur, et quiconque en prend s'assimile la force taurine. De toute évidence, le prestige du bifteck tient à sa quasi crudité."
Vous avez sans doute remarqué que les œufs et les lapins en chocolat ont coûté un peu plus cher que d'habitude cette année. Les chocolats de Pâques ont augmenté de 14 % en moyenne d'après les relevés réalisés en supermarché par "Que Choisir" en mars 2025.Qu'est ce qui se cache derrière cette hausse des prix ? Doit-on s'attendre à une pénurie de chocolat dans les années à venir ? Pourra-t-on continuer à en manger sans que cela coûte un bras ?
L'image du sac plastique est aujourd'hui fortement associée à la pollution, aux océans étouffés par les déchets, et à la consommation de masse. Pourtant, l'invention du sac plastique partait d'une intention écologique. Son créateur, Sten Gustaf Thulin, un ingénieur suédois, l'a conçu dans les années 1950 avec un tout autre objectif : protéger l'environnement.Une alternative aux sacs en papierÀ l'époque, les sacs les plus utilisés étaient en papier kraft, fabriqués à partir de pâte de bois. Leur production nécessitait l'abattage massif d'arbres, un processus énergivore qui participait à la déforestation. Thulin, travaillant pour l'entreprise Celloplast, cherchait donc une solution plus durable, réutilisable et moins gourmande en ressources naturelles.Son idée : créer un sac en polyéthylène, un plastique léger, solide, étanche et capable de supporter des charges importantes. En 1965, il met au point un procédé de fabrication qui permet de produire ces sacs de manière industrielle. Le sac plastique moderne est né.Conçu pour être réutiliséContrairement à son usage actuel, le sac plastique de Thulin n'était pas censé être jetable. Il était pensé comme un objet réutilisable des centaines de fois, plus résistant et moins encombrant que le papier. Dans une interview donnée bien plus tard, son fils affirmera que son père aurait été horrifié de voir son invention utilisée comme un produit à usage unique.L'empreinte écologique d'un sac plastique, à condition qu'il soit utilisé plusieurs fois, est en effet inférieure à celle d'un sac en papier ou en coton, selon certaines études (notamment une analyse comparative de l'Agence danoise de protection de l'environnement en 2018). Le problème n'est donc pas le sac en lui-même… mais la manière dont on l'a utilisé.De l'écologie à la catastropheLe succès du sac plastique dans les années 70-80 a été fulgurant. Léger, peu coûteux à produire, il a envahi supermarchés et commerces. Mais au lieu d'être réutilisé, il est devenu un produit jetable, souvent utilisé quelques minutes avant de finir dans les déchets… ou dans la nature.Résultat : une pollution mondiale, des milliards de sacs plastiques flottant dans les océans, menaçant la faune marine et mettant des centaines d'années à se décomposer.En résuméSten Gustaf Thulin a inventé le sac plastique avec l'idée de protéger les forêts et d'encourager la réutilisation. Son invention a été dévoyée par un modèle de consommation rapide et jetable. Un rappel que même les bonnes idées peuvent mal tourner si l'usage en est détourné. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 7H10 et 9h45, on vous donne des bonnes nouvelles.
"Quelle est la meilleure bouteille en plastique ? C'est celle qui n'est pas produite !", déclare Thibault Lamarque, le président et fondateur de CASTALIE. L'entreprise conçoit des fontaines d'eau microfiltrée éco-conçues vendues aux professionnels. La marque a 14 ans, et affiche un beau succès. Avec le fondateur de Castalie, nous parlons de la nécessité d'enrayer le plastique, mais aussi de lutter contre la pollution aux PFAS présents partout en France. Bonne écoute avec Impact Positif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
⦗BONUS⦘- Interview diffusée sur Ici AzurC'est bientôt Pâques et qui dit Pâques dit chocolat ! Pour l'occasion, je vous propose ce court épisode sur ce sujet à croquer mais non sans impact sur l'environnement.Il s'agit d'une interview faite avec Quentin Lacrôme de la matinale Ici Azur, anciennement France Bleu Azur.Si vous souhaitez en savoir plus, vous pourrez découvrir l'épisode dédié, Chaud cacao sur les dessous du chocolat, épisode 10 du podcast L'autruche et le colibri.
durée : 00:04:18 - Le Reportage de la rédaction - Entre 8 et 12 millions de tonnes de plastiques finissent dans les océans chaque année. C'est l'équivalent d'un camion poubelle de déchets plastiques qui s'y déverse chaque minute. Une fois jeté, le plastique s'érode au fil des années et se détériore en de très petits fragments, des microplastiques.
durée : 00:07:03 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - Avec son titre "Plastique", elle cartonne sur les plateformes de streaming, au point d'attirer l'attention de Stromae ! L'ex plume du rap, au timbre délicieusement rauque, s'apprête à dévoiler son 1er EP le 6 juin prochain ! Camille Yembe est ce matin l'invitée de Mathilde Serrell.
durée : 00:04:18 - Le Reportage de la rédaction - Entre 8 et 12 millions de tonnes de plastiques finissent dans les océans chaque année. C'est l'équivalent d'un camion poubelle de déchets plastiques qui s'y déverse chaque minute. Une fois jeté, le plastique s'érode au fil des années et se détériore en de très petits fragments, des microplastiques.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Cette semaine, Brieuc accueille Charlotte Figarede pour une conversation pétillante !Saviez-vous que 64% de l'impact carbone d'un soda vient de son emballage ?Charlotte, ex-Valrhona et Café Joyeux, et Damien Duc, chef restaurateur visionnaire, ont donné naissance à une entreprise qui divise par sept l'empreinte carbone d'un soda classique et réduit la consommation d'eau de près de 44%.Ils ont dit adieu aux bouteilles pour inventer une alternative radicale. Leur solution ? Des concentrés de boissons aux ingrédients naturels et locaux.Et ça marche ! Imaginez : un restaurant voit ses ventes de boissons augmenter de 200% en adoptant cette solution, tout en allégeant les charges de ses équipes et en réduisant drastiquement ses déchets.Ce n'est pas une utopie, c'est l'histoire de Necense. Cette innovation systémique est en train de secouer le monde des boissons, des cuisines du Rosa Bonheur aux rayons de Biocoop.Quel est le problème avec les sodas traditionnels, notamment en termes d'impact environnemental et de gestion pour les professionnels ? Quelle est la solution proposée par "Necense" et quels en sont les avantages concrets ?Quelles sont les ambitions et la vision de "Necense" pour l'avenir de la consommation de boissons ?Toutes les réponses sont dans cet épisode !Alors, prêts à changer votre regard sur ce que vous buvez ?Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La mouche de pierre, élue nouvelle espèce de l'année 2025 Les brèves du jour Anthony de Buys, spécialiste de la chirurgie de lʹenfant et de lʹadolescent
durée : 00:02:17 - Le vrai ou faux - La collision entre deux navires en mer du Nord survenue lundi dernier a fait crainte une catastrophe environnementale. Finalement, la catastrophe n'a pas eu lieu, malgré une pollution existante.
Avec : Agnès Pannier-Runacher, ministre de la Transition écologique. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Episode 41 : Peut-on vraiment voyager de façon responsable ?Dans cet épisode, Delphine explore le voyage responsable. Entre dilemmes familiaux, chiffres clés sur l'impact du tourisme et solutions concrètes pour voyager autrement, découvrez comment limiter votre empreinte carbone tout en continuant à voyager.✅ Au programme de cet épisode de L'autruche et le colibri :Le dilemme du voyageurLes chiffres clés du tourisme et de son impact environnemental Compenser ses émissions de CO2, bonne ou mauvaise idée ?Qu'est ce que le tourisme responsable ?Quels modes de transport durable privilégier ?
durée : 00:03:50 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Gabriel, sept ans, se demande qui a bien pu inventer cet objet qu'on trouve absolument partout, le plastique. Nathalie Gontard, spécialiste du plastique et chercheuse à l'INRA à Montpellier, nous donne les secrets de cette invention qui menace aujourd'hui notre existence et notre planète. - réalisé par : Stéphanie TEXIER
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Cantine scolaire : le grand retour des couverts en plastique Cet entrepreneur avait commandé 15 Tesla, il rétropédale Chine : des cours d'intelligence artificielle à l'école
"Un édito aiguisé d'Arthur Chevallier, chaque matin à 7h10. Un parti-pris assumé sur une question d'actualité. D'accord ou pas, vous ne resterez pas indifférent. La chronique qui permet de réfléchir et aide à forger son opinion chaque matin du lundi au vendredi sur RMC et RMC Story."
En Afrique du Sud comme partout dans le monde, la pollution plastique est un problème de taille. Dans le pays, on estime que 90 000 « pickers », ces collecteurs de plastiques informels et en situation précaire, permettent une forte réduction de ces déchets — jusqu'à 90 % des emballages plastiques sont ainsi recyclés. Et parfois, ces déchets plastiques atterrissent même dans des ateliers d'art. Rencontre avec Mmutla Mojapelo, sculpteur autodidacte qui n'utilise que ce plastique des rues. De notre correspondant à Johannesburg,Dans son atelier au cœur de Johannesburg, en Afrique du Sud, de la musique résonne. « Parfois, quand je me sens seul dans mon atelier, j'écoute de la musique traditionnelle tsonga, confie Mmutla Mojapelo. Elle dit : “Nos maisons n'ont pas été construites par une seule personne, c'est un travail d'équipe”. Et c'est pareil avec mes sculptures, c'est un travail collectif, et il faut mentionner tout le monde. » Mentionner, par exemple, les collecteurs de plastique des rues, à qui Mmutla Mojapelo achète ses matériaux pour confectionner ses sculptures.« J'achète le plastique à ces gars. Maintenant, ils savent que j'ai besoin de ces matériaux pour mon travail, explique le sculpteur. Ici, on est sur ma terrasse, avec une belle vue sur toute la ville. Moi, je ne vois pas des immeubles, mais bien des sculptures. Regardez ici par exemple, il y a la bouche, le nez… C'est sur cette terrasse que je fais fondre le plastique. Ensuite, je le mets dans un moule. Là par exemple, je fais une main. Il y a ce dicton qui dit : “Les ordures d'un homme peuvent être le trésor d'un autre.” Et c'est mon trésor. Je leur donne une seconde vie. »Alors que la pollution plastique mondiale pourrait dépasser le milliard de tonnes d'ici à 2040, Mmutla agit à son échelle, et grâce à l'art : « Il y a du plastique dans les océans, il y a du plastique partout ! Alors j'essaye de nettoyer un peu, c'est du recyclage ! »À écouter dans C'est pas du vent Traité sur le plastique : il y en a partout, c'est la panique !« Je savais que j'y arriverais »Et le résultat, c'est par exemple cette sculpture à taille humaine, au centre de son atelier, qui symbolise son parcours semé d'embûches : « Vous voyez, ici, le plastique se décolle de mon corps. Ça symbolise la peur, tous les mots négatifs qu'on m'a dits : “Mmutla, tu n'y arriveras pas, tu n'as pas fait d'école”, et dont je me libère. Parce que je savais que j'y arriverais ! »« Là, on nettoie les lettres qu'il va poser sur sa sculpture, pour écrire tous les mots négatifs de ceux qui ne croyaient pas en lui, décrit Sophie, avec qui le sculpteur travaille. Avec le temps, il leur a montré qu'il avait beaucoup de talent, et ça me rend heureuse. »Après des débuts difficiles dans son village au nord du pays, aujourd'hui Mmutla est installé dans une résidence d'artistes de Johannesburg. Il expose dans de nombreuses galeries et vit de son art. « Écoutez cette musique, elle dit qu'on a été envoyé ici pour délivrer un message, indique le sculpteur. Le mien, c'est : “Soyez vous-même”. » Un art fait de rêves... et de plastique.À lire aussi Ndao Hanavao, le laboratoire malgache qui transforme les déchets en créations design
durée : 00:02:20 - Le vrai ou faux - L'écologiste Marine Tondelier a appelé à se soucier de l'environnement dans une interview à France Inter. Pour appuyer son propos, elle a affirmé que "0,5% du poids de notre cerveau est formé de plastique".
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Olivier Truchot : Joëlle Dago Serry, Didier Giraud et Charles Consigny.
Episode vertigineux ! On s'est totalement emballé avec le plastique, mais pas celui que vous pensez ! Un épisode sensass pour découvrir ce qu'on ignore et que pourtant nous devons savoir pour faire les bons choix pour nous.Je ne connaissais pas Nathalie Gontard pas avant de lire votre livre qui a radicalement changé ma vision des choses. https://www.inrae.fr/actualites/nathalie-gontard-lemballadeuse> Les chapitres de l'épisode : 0:00 - Introduction5:30 - La chaîne de vie du plastique7:37 - Le comportement du matériau plastique dans notre écosystème14:02 - La vraie pollution plastique18:44 - L'empreinte plastique 33:34 - Questionner notre rapport au temps38:08 - La fausse idée du recyclage du plastique44:05 - La production du plastique48:10 - Les nouvelles habitudes face au plastique52:14 - La définition du beau54:53 - La collaboration entre la création et la science54:53 - La collaboration entre la création et la science1:00:43 - La notion du biodégradable