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Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
Le Journal en français facile du mercredi 13 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BvB7.A
durée : 00:04:48 - Le Reportage de la rédaction - Entre 8 et 12 millions de tonnes de plastiques finissent dans les océans chaque année. C'est l'équivalent d'un camion poubelle de déchets plastiques qui s'y déverse chaque minute. Une fois jeté, le plastique s'érode au fil des années et se détériore en de très petits fragments, des microplastiques.
En République démocratique du Congo, direction, La vie est belle à Kinshasa. Une résidence artistique en plein cœur de la capitale congolaise où peintres, sculpteurs et musiciens se rencontrent. Le lieu a été impulsé par Eddy Ekete, artiste plasticien connu pour ses performances dans des costumes géants dans les rues de Kinshasa. Reportage Aurélie Bazzara-Kibangula. De notre correspondante à Kinshasa, Avec des airs de rumba du groupe Bakolo, le temps s'arrête au centre Ndaku ya-La vie est belle à Matonge. Le groupe d'anciens musiciens y répète toutes les semaines. Le centre culturel est ouvert et accueille tous les artistes. Une résidence conviviale gérée par le sculpteur Eddy Ekete. « C'est une maison coloniale de la première femme qui a obtenu le permis de conduire dans tout le Congo et elle, elle travaillait avec son mari qui est l'oncle de papa Wemba. C'est pour cela, le film La vie est belle, il y a un petit morceau qui s'est fait ici », raconte Eddy Ekete Ndaku ya-La vie est belle est un musée à ciel ouvert. Partout sur les murs sont accrochés des toiles, parfois inachevées, de l'artiste Dolet, des dessins d'étudiants, des graffitis. Il y a aussi des dizaines de costumes aux allures de bibendums géants faits de déchets. Ces créations ont fait la réputation d'Eddy Ekete. « C'est aussi une sculpture et on peut aussi la porter et ça devient une sculpture vivante. Et quand on marche, des fois ça fait peur aux gens parce qu'une statue, quand ça bouge, ça impressionne, ça fait du bruit, raconte-t-il. On se rend compte, c'est la surconsommation de l'Occident qui se contamine aussi ici. Mais on ne se rend pas compte que si on ne travaille pas les déchets, on ne peut pas savoir pourquoi il y a toutes ces maladies, pourquoi il y a tous ces insectes. Parce que la poubelle, c'est un endroit, on vient, on jette seulement et après, on tourne le dos vite. Et maintenant, ce que nous, on fait, c'est que les gens regardent la poubelle », explique Eddy Ekete. Un espace « focalisé sur la Gombe », où l'art rencontre son public « Donc là, il y a une multitude de costumes. Il y en a de toutes formes. Il y a des caoutchoucs. Là, il y a les gobelets d'usage unique, là où on vend des boissons fortes. Il y a des claviers d'ordinateur. Voilà, ce sont des trucs qui traînent dans les rues de Kinshasa », détaille l'un des gérants du lieu. Si le centre veut booster la créativité des artistes, c'est aussi un espace où l'art rencontre son public. « Ici tout est focalisé dans la commune de la Gombe. Du coup, la culture n'est pas décentralisée. Nous, on s'est dit, pourquoi pas avoir une miniature du centre culturel dans la cité ? Les concerts de musique, les spectacles de ballet. Matonge c'est la capitale culturelle », explique Christian Miki Mundiri, membre du collectif. Le centre Ndaku ya-La vie est belle est ouvert aux enfants. Des ateliers y sont organisés avec les artistes. Pour Eddy Ekete, l'important, c'est de transmettre le gout de la création aux futures générations : « Moi, je leur fournis des feutres, des crayons de couleur, des feuilles, mais par terre. Et ça, c'est pour montrer et aux parents et aux autorités, les enfants, là, ils ont besoin de quelque chose parce qu'ils sont concentrés. On garde les enfants des heures et des heures, sans faire du bruit, sans qu'on leur dise quoi que ce soit. Mais je suis sûr puisqu'en fait, c'est quand même la génération qui va nous remplacer. » À Matonge, les différentes générations se côtoient entre musique et art plastique, signant un passage de témoin pour les créateurs de Ndaku Ya-La vie est belle pour continuer d'alerter sur les dangers des déchets en ville. À lire aussiStéphan Gladieu et Wilfried N'Sondé, les portraits de l'homo détritus
En République démocratique du Congo, direction, La vie est belle à Kinshasa. Une résidence artistique en plein cœur de la capitale congolaise où peintres, sculpteurs et musiciens se rencontrent. Le lieu a été impulsé par Eddy Ekete, artiste plasticien connu pour ses performances dans des costumes géants dans les rues de Kinshasa. Reportage Aurélie Bazzara-Kibangula. De notre correspondante à Kinshasa, Avec des airs de rumba du groupe Bakolo, le temps s'arrête au centre Ndaku ya-La vie est belle à Matonge. Le groupe d'anciens musiciens y répète toutes les semaines. Le centre culturel est ouvert et accueille tous les artistes. Une résidence conviviale gérée par le sculpteur Eddy Ekete. « C'est une maison coloniale de la première femme qui a obtenu le permis de conduire dans tout le Congo et elle, elle travaillait avec son mari qui est l'oncle de papa Wemba. C'est pour cela, le film La vie est belle, il y a un petit morceau qui s'est fait ici », raconte Eddy Ekete Ndaku ya-La vie est belle est un musée à ciel ouvert. Partout sur les murs sont accrochés des toiles, parfois inachevées, de l'artiste Dolet, des dessins d'étudiants, des graffitis. Il y a aussi des dizaines de costumes aux allures de bibendums géants faits de déchets. Ces créations ont fait la réputation d'Eddy Ekete. « C'est aussi une sculpture et on peut aussi la porter et ça devient une sculpture vivante. Et quand on marche, des fois ça fait peur aux gens parce qu'une statue, quand ça bouge, ça impressionne, ça fait du bruit, raconte-t-il. On se rend compte, c'est la surconsommation de l'Occident qui se contamine aussi ici. Mais on ne se rend pas compte que si on ne travaille pas les déchets, on ne peut pas savoir pourquoi il y a toutes ces maladies, pourquoi il y a tous ces insectes. Parce que la poubelle, c'est un endroit, on vient, on jette seulement et après, on tourne le dos vite. Et maintenant, ce que nous, on fait, c'est que les gens regardent la poubelle », explique Eddy Ekete. Un espace « focalisé sur la Gombe », où l'art rencontre son public « Donc là, il y a une multitude de costumes. Il y en a de toutes formes. Il y a des caoutchoucs. Là, il y a les gobelets d'usage unique, là où on vend des boissons fortes. Il y a des claviers d'ordinateur. Voilà, ce sont des trucs qui traînent dans les rues de Kinshasa », détaille l'un des gérants du lieu. Si le centre veut booster la créativité des artistes, c'est aussi un espace où l'art rencontre son public. « Ici tout est focalisé dans la commune de la Gombe. Du coup, la culture n'est pas décentralisée. Nous, on s'est dit, pourquoi pas avoir une miniature du centre culturel dans la cité ? Les concerts de musique, les spectacles de ballet. Matonge c'est la capitale culturelle », explique Christian Miki Mundiri, membre du collectif. Le centre Ndaku ya-La vie est belle est ouvert aux enfants. Des ateliers y sont organisés avec les artistes. Pour Eddy Ekete, l'important, c'est de transmettre le gout de la création aux futures générations : « Moi, je leur fournis des feutres, des crayons de couleur, des feuilles, mais par terre. Et ça, c'est pour montrer et aux parents et aux autorités, les enfants, là, ils ont besoin de quelque chose parce qu'ils sont concentrés. On garde les enfants des heures et des heures, sans faire du bruit, sans qu'on leur dise quoi que ce soit. Mais je suis sûr puisqu'en fait, c'est quand même la génération qui va nous remplacer. » À Matonge, les différentes générations se côtoient entre musique et art plastique, signant un passage de témoin pour les créateurs de Ndaku Ya-La vie est belle pour continuer d'alerter sur les dangers des déchets en ville. À lire aussiStéphan Gladieu et Wilfried N'Sondé, les portraits de l'homo détritus
C dans l'air l'invité du 6 août avec Xavier Coumoul, professeur de toxicologie et de biochimie à l'Université Paris Cité.À Genève, 180 pays entament dix jours de négociations sous l'égide de l'ONU pour tenter d'adopter le premier traité mondial visant à freiner la pollution plastique. Ce sommet intervient alors que la production mondiale de plastique bat des records : 400 millions de tonnes de déchets sont générées chaque année, dont près de 4 millions en France. Selon l'OCDE, ce volume pourrait tripler d'ici 2055, dans un contexte tendu où s'opposent défenseurs du recyclage, promoteurs d'une réduction à la source et lobbys industriels puissants.La pollution plastique dépasse désormais les sols et les océans : l'air est lui aussi contaminé. Comment les microplastiques pénètrent-ils dans notre organisme ? L'alimentation reste la principale voie d'exposition, mais l'inhalation gagne en importance, notamment en raison de la dégradation spontanée des matériaux dans nos environnements intérieurs. Dans un rapport récent publié par la revue médicale “The Lancet”, une trentaine de chercheurs et médecins établissent un lien direct entre plastique, maladies et mortalité. Ces particules de plastique sont associées à des inflammations et à des pathologies respiratoires, cardiovasculaires ou neurodégénératives.La production mondiale de déchets plastiques ne ralentit pas. 80 % des déchets marins proviennent de l'intérieur des terres, à l'image du “vortex plastique du Pacifique”, une immense zone d'ordures flottantes qui s'étend entre le Japon et les États-Unis sur une surface d'environ trois fois la France (1,6 million de km²). Chaque minute, l'équivalent d'un camion-poubelle est déversé dans les océans.Comment réduire la production mondiale de plastique ? Quels sont les pays les plus mauvais élèves ? Comment changer durablement nos modes de consommation ? Que peut-on réellement attendre des négociations en cours à Genève ?Xavier Coumoul, professeur de toxicologie et de biochimie à l'Université Paris Cité, décryptera les enjeux cruciaux des négociations en cours à Genève contre la pollution plastique et leurs impacts directs sur notre santé.
184 pays négocient actuellement à Genève pour aboutir au premier traité mondial contre la pollution plastique. Quelle est la situation chez vous ? Racontez-nous vos réalités face au plastique. Comment gérez-vous ces déchets au quotidien ? Êtes-vous prêts à changer vos habitudes ?
Chers auditeurs, votre avis compte ! Vous qui écoutez ces épisodes, pourriez-vous donner votre avis ? Pour cela, rien de plus simple, remplissez ce questionnaire !Cela devrait vous prendre moins de 5 minutes. Cela permettra au podcast L'autruche et le colibri de s'améliorer, dans son format mais aussi dans son contenu pour que vous puissiez continuer à prendre plaisir à l'écouter !Merci à vous pour votre aide
L'émission 28 minutes du 07/08/2025 Alors qu'il se rêvait astronaute dans son enfance, Charles Frankel choisit une autre voie vers les étoiles et devient géologue et enseignant en planétologie. Il publie “Bombes cosmiques : la Terre face aux astéroïdes”, un ouvrage dans lequel il relate les expéditions d'astronomes, géologues ou planétologues qui furent les premiers à prendre conscience des menaces que représentent ces projectiles, et, paradoxalement, du rôle essentiel que leurs cratères ont probablement joué dans l'apparition de la vie sur Terre.Du 5 au 14 août 2025, 176 pays se retrouvent à Genève pour entamer des négociations autour d'un traité mondial contre la pollution plastique. Véritable révolution qui a explosé au 20e siècle, ce matériau léger, pratique et peu cher connaît une croissance exponentielle depuis son invention. Omniprésent au quotidien, son bilan environnemental et sanitaire est pourtant catastrophique. Huit mois après de premières discussions, les divergences entre les différents acteurs font craindre une impasse. Pourra-t-on se passer un jour de plastique ?On en débat avec Nathalie Gontard, directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE, Antoine Guillou, adjoint à la maire de Paris et vice-président d'Amorce, et Joseph Tayefeh, secrétaire général de Plastalliance, syndicat européen de l'industrie plastique.Puis, Victor Dekyvère prend de la hauteur pour nous raconter l'histoire du talon de chaussure.Enfin, Quentin Darmon nous présente plus en détails l'influente et respectée présidente suisse, Karin Keller-Sutter. Puis, Marjorie Adelson nous emmène en Espagne, où un projet de taureau en métal de 300 mètres de haut fait polémique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 07 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 07/08/2025 Du 5 au 14 août 2025, 176 pays se retrouvent à Genève pour entamer des négociations autour d'un traité mondial contre la pollution plastique. Véritable révolution qui a explosé au 20e siècle, ce matériau léger, pratique et peu cher connaît une croissance exponentielle depuis son invention. Omniprésent au quotidien, son bilan environnemental et sanitaire est pourtant catastrophique. Huit mois après de premières discussions, les divergences entre les différents acteurs font craindre une impasse. Pourra-t-on se passer un jour de plastique ?On en débat avec Nathalie Gontard, directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE, Antoine Guillou, adjoint à la maire de Paris et vice-président d'Amorce, et Joseph Tayefeh, secrétaire général de Plastalliance, syndicat européen de l'industrie plastique.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 07 août 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
Le Journal en français facile du mardi 5 août 2025, 18 h 00 à Paris.Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/Bttv.A
durée : 00:14:39 - Journal de 8 h - Cette session extraordinaire sous l'égide de l'ONU fait suite à l'échec des dernières négociations en Corée du Sud. On estime à un camion benne par minute la quantité de plastique déversée dans les océans aujourd'hui.
durée : 00:43:58 - Questions du soir d'été - par : Marguerite Catton - Alors que s'ouvre un nouveau tour de négociations pour un traité international contre la pollution plastique à Genève au siège des Nations Unies, se pose la question de l'omniprésence du plastique dans nos sociétés. - réalisation : Phane Montet - invités : Dorothée Moisan Journaliste indépendante spécialiste des questions climatiques et environnementales; Joseph Tayefeh Secrétaire général de Plastalliance, syndicat national de la plasturgie et des composites; Mikaëla Le Meur anthropologue, chargée de recherche FNRS à l'Université Libre de Bruxelles
En cette Année de la mer, « La Story » le podcast d'actualité des « Echos » consacre une série aux défis de la préservation des océans et aux personnes engagées dans cette lutte. Dans ce deuxième épisode, Pierrick Fay invite Simon Bernard à parler de son entreprise dont le navire-laboratoire sensibilise les habitants des côtes et explore avec eux des solutions de recyclage des plastiques.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastory« La Story » est un podcast des « Echos » présenté par Pierrick Fay. Cet épisode a été enregistré en juillet 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invité : Simon Bernard (président et cofondateur de Plastic Odyssey). Réalisation : Nicolas Jean. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : Sopa Images/SIPA. Sons : Le Monde De Jamy – France Télévisions, France 24, Plastic Odyssey, Canal+, TEDx Talks, « Retour vers le futur » (1985), Les Éclaireurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:39 - Journal de 8 h - Cette session extraordinaire sous l'égide de l'ONU fait suite à l'échec des dernières négociations en Corée du Sud. On estime à un camion benne par minute la quantité de plastique déversée dans les océans aujourd'hui.
durée : 00:14:39 - Journal de 8 h - Cette session extraordinaire sous l'égide de l'ONU fait suite à l'échec des dernières négociations en Corée du Sud. On estime à un camion benne par minute la quantité de plastique déversée dans les océans aujourd'hui.
Les représentants de près de 180 pays se réunissent aujourd'hui sous l'égide de l'Onu pour parvenir à un traité mondial de lutte contre la pollution plastique. Quel impact ce type de pollution peut-il avoir sur notre santé ? Pour en parler, nous recevons Xavier Coumoul, professeur de toxicologie et de biochimie à l'Université Paris Cité. Ecoutez L'invité événement avec Gaël Giordana du 05 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, de nouvelles négociations s'ouvrent sous l'égide de l'Onu pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique. Pour en parler, nous recevons Nathalie Gontard, directrice de recherche à l'INRAE et autrice de "Plastique, le grand emballement" (aux éditions Stock).Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Vincent Derosier du 05 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, de nouvelles négociations s'ouvrent sous l'égide de l'Onu pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique. Pour en parler, nous recevons Nathalie Gontard, directrice de recherche à l'INRAE et autrice de "Plastique, le grand emballement" (aux éditions Stock). Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Pierre Herbulot du 05 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les représentants de près de 180 pays se réunissent aujourd'hui sous l'égide de l'Onu pour parvenir à un traité mondial de lutte contre la pollution plastique. Quel impact ce type de pollution peut-il avoir sur notre santé ? Pour en parler, nous recevons Xavier Coumoul, professeur de toxicologie et de biochimie à l'Université Paris Cité. Ecoutez L'invité événement avec Gaël Giordana du 05 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, de nouvelles négociations s'ouvrent sous l'égide de l'Onu pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique. Pour en parler, nous recevons Nathalie Gontard, directrice de recherche à l'INRAE et autrice de "Plastique, le grand emballement" (aux éditions Stock).Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi, de nouvelles négociations s'ouvrent sous l'égide de l'Onu pour parvenir à un traité mondial contre la pollution plastique. Pour en parler, nous recevons Nathalie Gontard, directrice de recherche à l'INRAE et autrice de "Plastique, le grand emballement" (aux éditions Stock). Ecoutez L'invité de RTL Midi avec Pierre Herbulot du 05 août 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:11 - Le grand format - Alors que les pays du monde entier sont rassemblés à Genève pour tenter d'aboutir à un traité sur le plastique, à Pornic, en Loire-Atlantique, les bénévoles de Surfrider se battent contre la pollution plastique sur leurs plages. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Avec : Muriel Papin, déléguée générale de l'association No Plastic In My Sea. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
durée : 00:43:58 - Questions du soir d'été - par : Marguerite Catton - Alors que s'ouvre un nouveau tour de négociations pour un traité international contre la pollution plastique à Genève au siège des Nations Unies, se pose la question de l'omniprésence du plastique dans nos sociétés. - réalisation : Phane Montet - invités : Dorothée Moisan Journaliste indépendante spécialiste des questions climatiques et environnementales; Joseph Tayefeh Secrétaire général de Plastalliance, syndicat européen de la plasturgie; Mikaëla Le Meur anthropologue, chargée de recherche FNRS à l'Université Libre de Bruxelles
« Vous êtes contaminés », s'exclame le New York Times. Le plastique est partout et même en nous… « Lorsque les scientifiques testent la neige de l'Antarctique ou les glaces du l'Everest, les plastiques sont là. En 2019, lorsqu'un explorateur a atteint les plus grandes profondeurs de l'océan, dans la fosse des Mariannes, il a constaté que les plastiques l'avaient battu là aussi, à des kilomètres au-delà de la portée de la lumière naturelle. Le plastique est désormais présent dans la chair des poissons, où il interfère avec la reproduction ; dans les tiges des plantes, où il interfère avec la photosynthèse ; et dans bien d'autres choses que nous plaçons dans nos assiettes. Il y a peut-être du plastique dans votre salive, pointe encore le New York Times, et presque certainement dans votre sang. On a trouvé du plastique dans les cœurs et les reins de l'homme et dans d'autres organes, mais aussi dans le lait maternel. Et comme du plastique a été trouvé aussi dans le fluide folliculaire ovarien et dans le tissu testiculaire, ainsi que dans la majorité des échantillons de sperme humain, il est déjà présent non seulement chez les enfants à naître, mais aussi chez ceux qui n'ont pas encore été conçus ». Fantastique, mais… C'est dire, soupire Le Soir à Bruxelles, si « la pression est maximale sur les délégués de près de 180 pays réunis à partir de ce mardi à Genève pour tenter de conclure un traité international pour ralentir la pollution plastique qui étouffe notre planète et… nos organismes ». C'est vrai, poursuit le quotidien belge, « le plastique, c'est fantastique : il a été le support d'un nombre incalculable de progrès, en médecine, en ingénierie, en électronique… À l'image du pétrole et du gaz, dont il est un dérivé, il a rendu et rend encore notre vie plus confortable, plus facile. Mais ce progrès a un prix. Un prix terrible, s'exclame Le Soir. Selon un rapport publié hier par la revue médicale britannique The Lancet, trois des substances les plus utilisées – le bisphénol A, les polybromodiphényléthers et les phtalates – auraient des conséquences sur la santé qui se chiffreraient à… 1 500 milliards de dollars par an ! » « C'est pourquoi, insiste le quotidien suisse Le Temps, les États réunis à Genève jusqu'au 14 août doivent réussir à s'accorder sur un traité, afin de ralentir ce fléau qui rend malades la planète et les humains ». La réunion de la dernière chance ? Reste que les discussions s'annoncent difficiles, prévient pour sa part Le Monde à Paris. « Organisée dans un contexte géopolitique tendu, cette réunion de Genève apparaît comme la réunion de la dernière chance pour parvenir à un accord entre deux blocs dont les positions n'ont jamais paru aussi éloignées : d'un côté une centaine de pays, dont ceux de l'Union européenne, poussent pour un traité ambitieux qui s'attaque au problème à la source en fermant le robinet d'une production de plastiques aujourd'hui hors de contrôle ; de l'autre, pointe Le Monde, un petit groupe de pays producteurs de pétrole et de gaz emmenés par l'Arabie saoudite, l'Iran et la Russie et soutenus par la Chine et les États-Unis s'y oppose fermement et veut cantonner le périmètre du traité à la question de la gestion des déchets et du recyclage ». Quelques conseils… Enfin, en attendant, Le Figaro donne des « conseils pour limiter son exposition quotidienne aux microplastiques : bien que nous n'ayons pas encore assez de distance et de résultats concrets pour attester des effets nocifs, ou non, de la présence impromptue de ces plastiques, beaucoup de chercheurs appellent au principe de précaution », pointe le journal. Alors, « un des premiers gestes simples à adopter est d'arrêter de boire de l'eau contenue dans des bouteilles en plastique car leur emballage tout comme leur bouchon peuvent libérer des particules dans l'eau (…) ; il faut éviter de faire chauffer au micro-ondes des aliments dans des contenants en plastique ;il faut surveiller sa consommation de poisson et de fruits de mer - exemple : un plat de moules peut ainsi contenir jusqu'à 90 particules de plastique ; ou encore pour les vêtements, il faut choisir des matériaux naturels et éviter les produits synthétiques ».
(00:00:38) Un monde sans plastique, c'est possible? Interview de Marie-France Dignac (00:07:07) Des contraceptifs féminins menacés de destruction par les Etats-Unis (00:12:33) Hiroshima, Nagasaki, 80 ans après. Episode 1/5
durée : 00:27:25 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - Alors que commencent de nouvelles négociations, lundi, à Genève, sur un traité mondial contre la pollution plastique, table ronde avec la géochimiste Marie-France Dignac, Henri Bourgeois-Costa de la Fondation Tara Océan, et Xavier Coumoul, professeur de toxicologie à l'université Paris Cité. - invités : Xavier Coumoul - Xavier Coumoul : Professeur de toxicologie et de biochimie à Université Paris Cité, directeur de l'équipe de l'INSERM “METATOX” Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:27:25 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Alexis Morel - Alors que commencent de nouvelles négociations, lundi, à Genève, sur un traité mondial contre la pollution plastique, table ronde avec la géochimiste Marie-France Dignac, Henri Bourgeois-Costa de la Fondation Tara Océan, et Xavier Coumoul, professeur de toxicologie à l'université Paris Cité. - invités : Xavier Coumoul - Xavier Coumoul : Professeur de toxicologie et de biochimie à Université Paris Cité, directeur de l'équipe de l'INSERM “METATOX” Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Et si nous cultivions notre jardin ? Je vous partage pour cet été un épisode de Basilic. Jeane y interroge Pierre le Cultivateur, passionné de jardinage et l'un des vulgarisateurs les plus suivis sur les réseaux sociaux.Que vous ayez un grand jardin, un balcon ou un simple rebord de fenêtre, vous pouvez semer, rempoter, cueillir. Mettre les mains dans la terre et jardiner ont un effet sur notre bien-être mental.
durée : 03:01:37 - Le 6/9 - Au programme, Maxime Grousset, double médaillé d'or aux mondiaux de natation à Singapour, est l'invité d'Alexis Morel à 7h50. Puis à 8h20, table ronde sur les négociations sur le plastique qui se tiennent à partir de demain à Genève avec Marie-France Dignac, Henri Bourgeois-Costa et Xavier Coumoul. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À Genève, devant le siège européen de l'ONU, Le Penseur de Rodin a pris un tout autre visage. Englué dans une marée de plastique — bidons, jouets, bouteilles, filets de pêche —, le célèbre sculpteur méditatif semble soudain accablé par un fardeau bien réel : la pollution mondiale.Cette œuvre n'est pas une provocation gratuite, mais une installation éphémère et évolutive signée par l'artiste et activiste canadien Benjamin Von Wong. Baptisée "Le Fardeau du penseur", elle accompagnera pendant dix jours les négociations cruciales qui s'ouvrent ce mardi 5 août à Genève. Objectif : élaborer le tout premier traité international pour mettre fin à la pollution plastique.Dans cette œuvre engagée, le Penseur tient dans une main quelques bouteilles écrasées, dans l'autre, un bébé mal en point symbolisant la prochaine génération. Un message fort destiné aux représentants des 193 pays réunis autour de la table des négociations. "Au fil des jours, nous allons ajouter davantage de plastique pour montrer le coût croissant de notre inaction", explique l'artiste à l'AFP. Pour lui, il ne s'agit pas seulement de déchets visibles, mais aussi de produits chimiques toxiques qui menacent la santé humaine. "Nous espérons un traité fort, ambitieux, pour toutes les générations à venir", martèle Von Wong. Après l'échec des discussions en Corée du Sud en décembre dernier, l'enjeu est de taille. Du 5 au 14 août, Genève devient le théâtre d'un combat diplomatique crucial. Et pendant ce temps, Le Penseur s'enfonce lentement, au rythme de notre passivité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Il existe plus de 3 500 espèces de moustiques sur terre. Ils seraient évalués à 110 000 milliards sur terre. Certaines espèces sont donc plus inquiétantes que d'autres car vecteurs de maladie. Entre épandage massif et répulsifs toxiques, quelles solutions plus saines s'offrent à nous ?
Juste Estelle pis des grosses tracks, rien de plus, rien de moins. Liste des chansons diffusées:Camille Yembé - Coups de soleil - PlastiqueIndigo de Souza - Crush - PrecipiceCalista Garcia - Tilt-a-Whirl - Animal MagnifiqueMzrabelle - DOLLLOOK - NAKED TRUTHWet Leg - catch these fists - moisturizerLifeguard - It Will Get Worse - Ripped and TornNadah El Shazly - Kaabi Aali - Laini TaniElle Barbara - Hitler, Satan & Associates LLP - Word on the StreetMarie Claudel - La fin d'une époque (single)Marco Ema - Avalanche (single)yaya bey - in a circle - do it afraid
Tous les matins juste après le journal de 6h30, Estelle Gasse vous donne ses bons plans pour consommer pas cher.
durée : 00:19:46 - Lectures du soir - "Le bifteck participe de la même mythologie sanguine que le vin, c'est le cœur de la viande, c'est la viande à l'état pur, et quiconque en prend s'assimile la force taurine. De toute évidence, le prestige du bifteck tient à sa quasi crudité."
Le podcast L'autruche et le colibri fête ses 4 ans, 4 ans déjà à faire sa part en éveillant les consciences, en tout cas en essayant !Chers auditeurs, votre avis compte ! Vous qui écoutez ces épisodes, pourriez-vous donner votre avis ? Pour cela, rien de plus simple, remplissez ce questionnaire !Cela devrait vous prendre moins de 5 minutes. Cela permettra au podcast L'autruche et le colibri de s'améliorer, dans son format mais aussi dans son contenu pour que vous puissiez continuer à prendre plaisir à l'écouter !Merci à vous pour votre aide
durée : 00:52:24 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Produit miracle de l'après Seconde Guerre mondiale, le plastique a suscité au fil du temps des inquiétudes qui, aujourd'hui, sont devenues des alertes mondiales en matière de santé publique et d'environnement. - réalisation : Alexandra Malka - invités : Nathalie Gontard Directrice de recherche en sciences de l'aliment et de l'emballage à l'INRAE; Rosalie Mann Présidente fondatrice de No More Plastic Foundation; Flore Berlingen Spécialiste de la question des déchets et des ressources, directrice de Zero Waste France de 2013 à 2020
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'inculpation des ressortissants français en Iran, l'aide aux réfugiés soudanais en difficultés et un navire qui fait le tour du monde pour sensibiliser à la pollution plastique. Sénégal : en tête des pays les plus endettés en Afrique Le Sénégal est devenu le pays le plus endetté du continent. Selon la banque britannique Barclays, la dette s'élève désormais à 119% du produit intérieur brut. Cette situation nuit-elle à l'image du pays auprès des investisseurs étrangers ? Quelles mesures prévoit le gouvernement pour résorber la dette ? Avec Léa-Lisa Westerhoff, correspondante permanente de RFI à Dakar. Iran : Cécile Kohler et Jacques Paris inculpés pour « espionnage » Arrêtés en mai 2022 alors qu'ils voyageaient en Iran, les Français Cécile Kohler et Jacques Paris ont été inculpés pour «espionnage au profit d'Israël». Comment les autorités iraniennes justifient-elles cette inculpation ? Est-il encore possible que les deux ressortissants soient libérés ? Avec Siavosh Ghazi, correspondant de RFI à Téhéran. Soudan : l'aide aux réfugiés en sursis Les quatre millions de personnes qui ont fui le Soudan depuis le début de la guerre risquent de se retrouver sans nourriture. Faute de financements suffisants, le Programme Alimentaire Mondial menace de fermer plusieurs camps de réfugiés dans les pays d'accueil. Quelles sont aujourd'hui les difficultés rencontrées par le PAM ? Quel avenir pour les réfugiés en cas de fermeture des camps ? Avec Ollo Sib, conseiller régional senior en recherche, suivi et évaluation au Programme Alimentaire Mondial. Plastique : un bateau fait le tour du monde pour dépolluer les océans Après cinq mois dans l'océan Indien, le navire « Plastic Odyssey » termine sa tournée régionale aux Comores pour sensibiliser à la lutte contre la pollution plastique et promouvoir l'économie circulaire. Quelle est l'ampleur de ce projet ? Quelles solutions concrètes ce bateau-laboratoire apporte-t-il aux populations locales ? Avec Simon Bernard, président de Plastic Odyssey.
REDIFF - Au menu de l'émission : - Lutter contre l'obésité est un enjeu de santé publique. Quelles sont les techniques de chirurgie bariatrique qui offrent des solutions efficaces pour lutter contre les problèmes de poids sévère ? Ces interventions sont-elles sans risques ? C'est notre dossier de la semaine ! - Manger des tomates serait bénéfique pour la prostate... C'est l'aliment de la semaine ! - Nos ustensiles de cuisine en plastique noir seraient nocifs pour la santé car ils contiendraient des substances chimiques toxiques ! Faut-il les jeter pour autant ? C'est le vrai ou faux de cette semaine ! Tous les samedis, retrouvez Flavie Flament en compagnie de Jimmy Mohamed dans l'émission "Ça va beaucoup mieux", votre magazine santé et bien-être.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'été est là ! Alors que 84 départements sont en alerte canicule et que les vacances scolaires approchent à grand pas, je vous propose d'écouter ou de réécouter cet épisode qui porte sur le soleil, ses dégâts et les crèmes solaires qui peuvent nous protéger.L'exposition aux rayons (UV) reste l'un des principaux facteurs de risque de cancers de la peau, notamment le mélanome. “Avec les UV, le vrai danger, c'est de ne pas se protéger” telle est la campagne lancée par la FEBEA, la Fédération des Entreprises de la Beauté.
Invitée - Cinthia Born, fondtarice du Mouton Givré Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plastic Odyssey, c'est un bateau expérimental, un bateau laboratoire, parti faire le tour du monde il y a 3 ans. A bord, des solutions pour recycler le plastique, pour limiter son usage, mais aussi l'envie de documenter et de faire circuler les solutions trouvées sur le terrain. Plastic Odyssey, c'est un tour du monde sur 3 continents en 30 escales, là où la pollution est la plus présente avec des pays sans industrie de gestion de déchets. On fait un point d'étape avec Simon Bernard, le président et co-fondateur, alors que le bateau est dans les Comores. Que retenir de ces 3 ans ? Quels objectifs pour Plastic Odyssey qui veut aider à implanter localement des filières de recyclage ? Bonne écoute avec Impact Positif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Olivier Dauvers : les secrets de la conso du 24 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bouteilles d'eau, fromages blanc, shampoing... Olivier Dauvers donne quelques conseils pour réduire sa consommation de plastique de la manière la plus simple possible. Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
durée : 00:15:37 - Journal de 8 h - 95 pays ont appelé, mardi lors du sommet de Nice sur l'océan, à l'adoption d'un traité "ambitieux" qui restreigne la production de plastique, à l'approche de nouvelles négociations prévues en août.
Dans cet épisode de 5 minutes de français, Judith et Sébastien s'interrogent : peut-on vraiment vivre sans plastique ? Ils discutent des objets plastiques qu'on […] L'article Peut-on vraiment vivre sans plastique ? – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.