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Quelques petites histoires sur lʹœuf ! De l'eau à la Terre 5/5: l'Amazonie un fleuve-forêt Neuromania: le vrai du faux sur notre cerveau
Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de courbatures, de preworkout, des aliments qui abîment le cerveau et de manger Africain. Nouveau : Quel thé pour maigrir et mieux réfléchir ? Au programme : Ces aliments qui abiment le cerveau en 5 jours Une étude récente relayée par LaNutrition.fr révèle que […] The post Courbatures, preworkout, aliments qui abîment le cerveau et manger Africain appeared first on Fitnessmith.
durée : 00:05:04 - Avec sciences - par : Alexandre Morales - Alors que le cerveau est en permanence assailli de stimuli sensoriels, comment fait-il le tri ? Une nouvelle analyse parue dans Science pointe le rôle essentiel du thalamus. C'est la première fois qu'une structure si profonde peut être analysée en direct. - invités : Claire Sergent Professeure de neurosciences cognitives
On a longtemps pensé que le vieillissement du cerveau était un processus progressif et linéaire. Pourtant, une étude publiée en 2022 dans la revue scientifique PNAS — Proceedings of the National Academy of Sciences — révèle une réalité bien différente : le cerveau ne vieillirait pas de façon continue, mais par à-coups, avec un tournant brutal autour de 44 ans.Cette étude, menée par des chercheurs allemands et britanniques, s'appuie sur l'analyse de données d'imagerie cérébrale provenant de plus de 4 000 personnes âgées de 18 à 88 ans. En se basant sur une technique appelée « connectomique », les scientifiques ont cartographié les réseaux de communication entre différentes régions du cerveau. Leur objectif : comprendre comment ces connexions évoluent avec l'âge.Leur découverte principale est frappante : vers 44 ans, la structure du cerveau connaît une réorganisation brutale. C'est un peu comme si, à cet âge, les lignes de communication dans le cerveau étaient redirigées, certains circuits étant désactivés tandis que d'autres deviennent plus actifs. Ce basculement marque le début d'un déclin dans la rapidité et l'efficacité des échanges neuronaux. Concrètement, cela pourrait expliquer pourquoi, passé la quarantaine, certaines fonctions cognitives — comme la mémoire de travail, la vitesse de traitement ou la concentration — commencent à diminuer plus visiblement.Mais attention : ce n'est pas une fatalité. Ce changement ne signifie pas une dégénérescence irréversible, ni une perte de capacités immédiate. Il s'agit plutôt d'un tournant neurologique : le cerveau devient un peu moins plastique, un peu moins efficace dans sa manière de traiter et de transmettre l'information.Fait intéressant, l'étude montre aussi que toutes les régions du cerveau ne sont pas touchées de la même manière. Les zones les plus affectées sont celles impliquées dans des fonctions dites "supérieures", comme le raisonnement, le langage ou la prise de décision. En revanche, les zones sensorielles et motrices restent relativement stables plus longtemps.Ces résultats ont des implications majeures. D'abord, ils nous rappellent l'importance de préserver la santé du cerveau dès la quarantaine — voire avant — par une alimentation équilibrée, une activité physique régulière, un bon sommeil et une stimulation intellectuelle continue.En somme, selon cette étude parue dans PNAS, le cerveau humain pourrait connaître un tournant critique vers 44 ans. Un moment charnière, non pas pour s'alarmer, mais pour agir, en adoptant des habitudes qui favorisent un vieillissement cérébral en douceur. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Lors d'un marathon, le corps est soumis à une demande énergétique extrême. Une étude récente publiée dans Nature Metabolism a révélé que, dans de telles conditions, le cerveau pourrait temporairement utiliser sa propre myéline comme source d'énergie, un phénomène parfois décrit comme le cerveau "se mangeant lui-même" pour survivre.La myéline est une substance grasse qui entoure les fibres nerveuses, facilitant la transmission rapide et efficace des signaux électriques entre les neurones. Elle est essentielle au bon fonctionnement du système nerveux, notamment pour la coordination motrice et le traitement sensoriel. Cependant, lors d'efforts prolongés comme un marathon, les réserves de glucose, principale source d'énergie du cerveau, s'épuisent. Face à cette pénurie, le cerveau pourrait se tourner vers la dégradation de la myéline pour obtenir l'énergie nécessaire à son fonctionnement.Des chercheurs espagnols ont mené une étude impliquant dix coureurs de marathon, dont huit hommes et deux femmes. Ils ont réalisé des IRM cérébrales 48 heures avant la course, puis deux jours, deux semaines et deux mois après l'événement. Les résultats ont montré une diminution significative de la myéline dans certaines régions du cerveau, notamment celles impliquées dans la coordination motrice, l'intégration sensorielle et le traitement émotionnel, peu après la course. Cependant, cette diminution était temporaire : deux semaines après le marathon, les niveaux de myéline avaient commencé à se rétablir, et après deux mois, ils étaient revenus à la normale.Ce phénomène suggère que la myéline peut servir de source d'énergie de secours lorsque les nutriments habituels du cerveau sont insuffisants. Cette capacité du cerveau à utiliser la myéline pour maintenir ses fonctions vitales en période de stress énergétique intense est un exemple de sa remarquable plasticité métabolique. Les chercheurs ont qualifié ce mécanisme de "plasticité myélinique métabolique".Bien que cette découverte puisse sembler préoccupante, il est rassurant de constater que la perte de myéline est réversible chez les individus en bonne santé. Toutefois, ces résultats pourraient avoir des implications pour les personnes atteintes de maladies démyélinisantes, comme la sclérose en plaques, où la myéline est endommagée de manière permanente. Comprendre comment la myéline se régénère après un stress énergétique intense pourrait ouvrir de nouvelles voies pour le développement de traitements visant à favoriser la réparation de la myéline dans de telles maladies.Il est important de noter que cette étude a été réalisée sur un petit échantillon de participants. Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour confirmer ces résultats et mieux comprendre les mécanismes sous-jacents. Néanmoins, ces découvertes offrent un aperçu fascinant de la manière dont le cerveau s'adapte aux défis énergétiques extrêmes et soulignent l'importance de la myéline non seulement comme isolant neuronal, mais aussi comme réserve énergétique potentielle en cas de besoin. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
00:37 Ike Sans complexe 03:04 Les frères de Greg et Rabah 04:25 Blacks don't crack 06:00 Mannequin peau grasse 08:34 Ike the origins 12:30 Strasbourg - Martinique - Dublin 18:31 Paris le nouveau NYC? 22:20 Histoire d'irlandaise... 25:40 Darone en Subaru 28:00 Anecdotes de SAV 33:30 Ike star du ZOUK 35:50 Débuts sur scène 37:30 Les fausses impros dans le stand-up 40:00 2 Anecs vraies 1 fausse 53:49 Poser le cerveau en chicha 57:39 Alpach légende des chichas 59:10 React aux tweets des rappeurs avant qu'ils soient connus 01:01:55 Jeu : les presques filmsHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si tu pouvais atteindre une performance de haut niveau sans t'épuiser ?
Mawlaya Seydi Mouhamed ElCheikh sur https://radio.medinacheikh.net
(0:14) Pandémie et écoles fermées: quel impact pour les enfants 5 ans plus tard?(2:29) Des parents moins soutenus, selon une enquête de l'ISQ sur la parentalité(4:39) Avoir des enfants, bon pour le cerveau!
durée : 00:04:14 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire cette semaine : la résilience des bilingues face à la maladie d'Alzheimer, des pieuvres qui empoisonnent leurs partenaires avant de s'accoupler pour éviter de se faire dévorer et les sondes Voyager contraintes de sacrifier un de leurs instruments pour faire des économies d'énergie...
Une étude récente, publiée en février 2025 dans la revue Nature Metabolism par des chercheurs allemands, a mis en lumière les effets rapides d'une alimentation riche en calories et en aliments ultra-transformés sur le cerveau. Selon cette étude, il suffirait de cinq jours pour que ce type d'alimentation perturbe le fonctionnement cérébral. Les aliments ultra-transformés sont des produits industriels contenant des additifs tels que des conservateurs, des colorants et des arômes artificiels. Ils sont souvent riches en sucres, en graisses saturées et en sel, mais pauvres en nutriments essentiels. Des exemples courants incluent les plats préparés, les snacks sucrés ou salés, les sodas et certaines charcuteries. La consommation régulière de ces aliments a été associée à divers problèmes de santé, notamment l'obésité, le diabète de type 2 et les maladies cardiovasculaires.L'étude en question a révélé que, dès cinq jours de consommation d'une alimentation riche en calories et en aliments ultra-transformés, des modifications notables se produisent dans le cerveau. Ces changements affectent principalement l'hypothalamus, une région clé impliquée dans la régulation de la faim, de la soif et de la température corporelle. L'inflammation de l'hypothalamus peut perturber ces fonctions essentielles, conduisant à une augmentation de l'appétit et à une prise de poids.Ces résultats corroborent des études antérieures qui ont démontré les effets néfastes de la malbouffe sur le cerveau. Par exemple, une étude de 2014 a montré qu'une alimentation riche en graisses pouvait provoquer une inflammation de l'hypothalamus chez les souris mâles, les rendant plus susceptibles à l'obésité et aux maladies cardiaques. De plus, une étude de 2008 a suggéré que la consommation de malbouffe pouvait altérer l'activité cérébrale de manière similaire à des drogues addictives comme la cocaïne et l'héroïne, conduisant à une désensibilisation des centres du plaisir et à une surconsommation alimentaire. Il est important de noter que ces altérations cérébrales peuvent survenir rapidement. Les cinq jours mentionnés dans l'étude suffisent pour observer des perturbations significatives. Cela souligne la rapidité avec laquelle une alimentation déséquilibrée peut impacter notre santé neurologique.Les implications de ces découvertes sont préoccupantes, surtout dans le contexte actuel où la consommation d'aliments ultra-transformés est en constante augmentation. En France, par exemple, une étude a montré qu'une augmentation de 10% de la consommation d'aliments ultra-transformés était associée à une augmentation de 12% du risque global de cancer et de 11% du risque de cancer du sein. Cette tendance est alarmante, car elle suggère que notre alimentation moderne pourrait contribuer à une augmentation des maladies chroniques et des troubles neurologiques.Pour préserver la santé cérébrale, il est donc essentiel de privilégier une alimentation équilibrée, riche en fruits, légumes, protéines maigres et grains entiers, tout en limitant la consommation d'aliments ultra-transformés. Ces mesures peuvent aider à prévenir les inflammations cérébrales et les dysfonctionnements associés, contribuant ainsi à une meilleure qualité de vie.En conclusion, cette étude souligne l'importance d'une alimentation saine pour le bon fonctionnement du cerveau. Les effets néfastes de la malbouffe peuvent se manifester en seulement cinq jours, mettant en évidence la nécessité d'adopter des habitudes alimentaires saines pour prévenir les troubles neurologiques et autres problèmes de santé associés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Journal de brèves Des matériaux à partir de champignons Une idée dans la tête 2/4: l'apprentissage de la lecture
Les casques antibruit, conçus pour atténuer les bruits ambiants et offrir une expérience d'écoute plus immersive, suscitent des interrogations quant à leurs effets sur le cerveau. Bien qu'ils présentent des avantages indéniables, une utilisation excessive ou inappropriée peut entraîner des conséquences neurologiques.Impact sur le traitement auditifUne étude australienne menée par l'université Bond a révélé qu'une utilisation normale des casques antibruit ne pose généralement aucun problème. Cependant, une utilisation prolongée peut entraîner une hypersensibilité au son. En effet, le cerveau, habitué au silence imposé par le casque, peut percevoir les bruits ambiants normaux comme dérangeants une fois le casque retiré. Cette adaptation neuronale peut modifier la manière dont le cerveau traite les sons, entraînant une sensibilité accrue aux stimuli auditifs. Effets sur l'équilibre et la perception spatialeLe cerveau utilise naturellement les bruits ambiants pour se repérer dans l'espace. En supprimant certains sons, le casque antibruit perturbe la perception de l'équilibre, et certains utilisateurs peuvent ressentir des vertiges, des maux de tête ou des nausées. Cette sensation est similaire au mal des transports.Conséquences psychologiques et cognitivesL'isolement sonore prolongé peut également avoir des répercussions psychologiques. Le silence excessif, surtout dans des environnements où le bruit est habituel, peut provoquer une sensation de désorientation ou d'inconfort. Cette privation sensorielle peut affecter l'humeur et, dans certains cas, entraîner du stress ou de l'anxiété.Recommandations pour une utilisation sainePour minimiser les effets indésirables potentiels des casques antibruit sur le cerveau, il est conseillé de :Limiter la durée d'utilisation : Éviter de porter le casque pendant de longues périodes sans interruption.Faire des pauses régulières : Permettre au système auditif de se réadapter aux sons naturels en retirant le casque périodiquement.Utiliser la réduction de bruit de manière contextuelle : Activer cette fonction uniquement dans des environnements bruyants où elle est réellement nécessaire.Maintenir un volume d'écoute modéré : Même avec la réduction de bruit, il est essentiel de ne pas augmenter excessivement le volume pour protéger l'audition.En conclusion, bien que les casques antibruit offrent des avantages significatifs en matière de confort auditif, une utilisation modérée et consciente est essentielle pour éviter des effets potentiellement néfastes sur le cerveau et le système auditif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:24:04 - Le monde d'Elodie - par : Elodie SUIGO - Tous les jours, une personnalité s'invite dans le monde d'Élodie Suigo. Jeudi 6 mars 2025 : le professeur émérite de neurologie et de biologie cellulaire à l'Université Paris-Sorbonne, spécialiste des maladies neurodégénératives Yves Agid. Il publie "L'homme cérébral - comprendre son cerveau pour mieux se connaître" aux éditions Albin Michel.
Une étude récente publiée dans la revue scientifique Cerebral Cortex a mis en évidence que la consommation de caféine peut entraîner une réduction temporaire de la matière grise dans le cerveau, en particulier dans l'hippocampe, une région essentielle pour la mémoire et l'apprentissage. Cette découverte soulève des questions quant aux effets à long terme de la caféine sur notre santé cérébrale.Les effets de la caféine sur la matière griseLa matière grise est constituée principalement des corps cellulaires des neurones et joue un rôle crucial dans le traitement de l'information dans le cerveau. L'étude en question a révélé que la consommation régulière de caféine est associée à une diminution du volume de cette matière grise, notamment dans l'hippocampe. Cette région est reconnue pour son implication dans la formation et la récupération des souvenirs, ainsi que dans les processus d'apprentissage.Une modification réversibleIl est important de noter que les changements observés semblent être temporaires. Les chercheurs ont constaté que la réduction de la matière grise due à la consommation de caféine n'est pas permanente et que le volume initial peut être retrouvé après une période d'abstinence. Cette réversibilité suggère que le cerveau possède une certaine plasticité lui permettant de s'adapter aux variations de consommation de caféine.Faut-il s'inquiéter ?Bien que ces résultats puissent paraître préoccupants, il est essentiel de les interpréter avec prudence. La diminution temporaire de la matière grise ne signifie pas nécessairement une altération des fonctions cognitives ou une détérioration de la santé mentale. De plus, la caféine est connue pour ses effets positifs sur la vigilance, l'attention et la concentration. Ainsi, une consommation modérée de caféine peut être intégrée dans un mode de vie sain sans conséquences néfastes majeures pour le cerveau.ConclusionCette étude apporte un éclairage nouveau sur l'impact de la caféine sur la structure cérébrale, mettant en évidence des modifications temporaires de la matière grise, notamment dans l'hippocampe. Cependant, la réversibilité de ces changements et l'absence de preuves concluantes quant à des effets négatifs à long terme suggèrent qu'une consommation modérée de caféine reste sans danger pour la plupart des individus. Comme pour toute substance, il est recommandé de consommer la caféine avec modération et de rester attentif à son propre ressenti et à ses réactions individuelles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
«Les femmes sont des œuvres d'art. À l'extérieur comme à l'intérieur» de Lisa Mosconi D'ici 2030, des milliards de femmes dans le monde seront entrées ou seront sur le point d'entrer en ménopause.Selon Lisa Mosconi (neuroscientifique, éducatrice et auteure italo-américaine reconnue pour ses travaux sur la santé cérébrale des femmes et la prévention de la maladie d'Alzheimer), entre l'âge de 30 à 60 ans, plusieurs femmes vont se réveiller un matin et se demander ce qui leur arrive… Ce que nous savons, selon la recherche, c'est que toutes ces manifestations déroutantes : les bouffées de chaleur, l'anxiété, la dépression, les nuits blanches, les pensées troubles, les pertes de mémoire - sont en fait des manifestations de la ménopause. Le vrai problème, c'est qu'ils ne proviennent pas du tout des ovaires. Ils sont initiés par un tout autre organe : le cerveau. Il s'agit en fait de symptômes neurologiques qui proviennent de la manière dont la ménopause modifie le cerveau. Même si vos ovaires jouent un rôle dans ce processus, c'est notre cerveau qui est aux commandes. A-t-on peur de se voir changer? A-t-on peur de perdre le contrôle de son corps et de sa tête? Toutes les femmes passent par la ménopause. Les femmes en âge de ménopause constituent de loin le groupe démographique en plus forte croissance. Aujourd'hui je vais vous parler du cerveau, pas n'importe lequel, celui de la femme. Pourquoi? Parce que trop de femmes craignent que leur cerveau leur fasse défaut…Elles ont peur que tout flanche durant la grande transition hormonale qu'est la péri ménopause mais aussi elles ont peur de se retrouver avec des signes de démence en vieillissant… Et je comprends. Mais il ne faut pas s'arrêter là.La bonne nouvelle est que le fait de ressentir un brouillard cérébral ou avoir une perte de mémoire à la ménopause ne signifie pas nécessairement qu'on va développer une démence. Lisa Mosconi, spécialiste dans le domaine du cerveau de la femme tient à nous rassurer sur le fait qu'il existe une grande différence entre percevoir un déclin des capacités cérébrales et être cliniquement déficiente... Merci à David Chassé pour la musique originale, composée spécialement pour ce balado Merci à @chrisp.photog http://www.christianperreault.com Merci aux productions Arborescence Montréal www.productionsarborescence.com (pour leur super studio, l'enregistrement et le montage)Merci à mes partenaires A.Vogel https://www.avogel.ca/fr/ etDoMatcha https://domatcha.ca/ sans eux, tout ceci ne pourrait avoir lieu… Références pour ce balados :Mosconi Lisa, The menopause brain, Avery, (Penguin Random House), 2024, 308p. https://www.ted.com/talks/lisa_mosconi_how_menopause_affects_the_brain?subtitle=en&lng=fr https://www.slate.fr/story/208085/mauvaise-image-menopause-vieillesse-devalorisation-rapports-domination-biologieHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
[MÉTAMORPHOSE PODCAST] Alexandre Dana reçoit Anne-Laure Denans, docteure en pharmacie et micronutritionniste. Comment éviter le déclin cognitif ? Est-il possible d'améliorer naturellement l'efficacité de notre cerveau ? Entre plantes adaptogènes, vitamines, molécules chimiques... quels compléments choisir ? Quels enjeux éthiques apparaissent aussi derrière cette recherche d'un cerveau optimisé ? Au micro d'Alexandre Dana, Anne-Laure Denans nous présente les nootropiques les plus efficaces, les protocoles précis et les précautions d'usage. Pour aller plus loin, vous pouvez découvrir son Guide pratique des compléments nootropiques paru aux éditions Thierry Souccar ou suivre ses actualités sur son site. Épisode #570Quelques citations du podcast avec Anne-Laure Denans :"Le stress en fait c'est l'ennemi numéro un du cerveau.""Chaque organisme est différent et va être plus ou moins réceptif à tel ou tel nootropique.""On est quand même soumis à un stress permanent et ces plantes adaptogènes nous permettent justement de moduler ce stress."Thèmes abordés lors du podcast avec Anne-Laure Denans : 00:00 Introduction03:04 Études de médecine et smart drugs.06:18 Le rôle du système nerveux central.07:49 Qu'est-ce que sont les neurotransmetteurs ?10:05 La fonction des nootropiques.11:04 Qu'est-ce que l'oxydation des neurones ?12:50 Définition d'un nootropique.15:39 Différences nootropiques / psychotropes.18:06 Les différents bienfaits des nootropiques.22:32 L'impact de l'alimentation ultra transformée sur le cerveau.26:37 Les habitudes à mettre en place pour préserver sa santé cognitive.30:12 Optimiser son assiette ou se complémenter ?33:56 Les plantes adaptogènes.36:00 Par quels nootropiques commencer ?39:14 Coût des nootropiques.42:33 Course à la performance cognitive et éthique.46:04 Nootropiques et le risque d'augmenter son anxiété.47:50 Le futur des nootropiques.Avant-propos et précautions à l'écoute du podcastDécouvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez un mercredi sur deux la newsletter Métamorphose avec des infos inédites sur le podcast et les inspirations d'AnneFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vous avez souvent l'impression que votre esprit ne s'arrête jamais, que vous passez d'une idée à l'autre sans pouvoir vous poser ?Que la concentration, l'organisation ou même rester assis trop longtemps sont des défis permanents ?Dans cet épisode, on explore ce fonctionnement du TDAH, pour mieux le comprendre et peut-être enfin mettre des mots sur ce que vous vivez.Un éclairage essentiel pour s'identifier, reconnaître ses proches et voir les choses sous un nouveau jour.Bonne écoute !___Liens utiles : ✅ On s'appelle, on parle de toi ?✅ On se connecte sur LinkedIn ?Si tu aimes le contenu :
Modéliser le cerveau des patients atteints de pathologies cérébrales
Comment l'intelligence artificielle transforme-t-elle l'apprentissage des enfants ? Mathilde Cerioli, cofondatrice de l'ONG everyone.ai, décrypte les bénéfices et les risques de ces nouvelles technologies sur le développement cognitif et social des plus jeunes.Everyone.ai est une organisation non gouvernementale basée dans la Silicon Valley, fondée par des experts en neurosciences et en intelligence artificielle. Son objectif : sensibiliser aux impacts de l'IA sur l'éducation et promouvoir des usages responsables, en associant les avancées technologiques aux besoins réels des enfants.L'IA comme outil d'apprentissage et de personnalisation de l'éducationLes dangers d'une exposition précoce et les impacts sur le cerveau en développementLes erreurs des réseaux sociaux à ne pas reproduire avec l'IAComment encadrer et bien utiliser ces outils selon l'âge des enfantsMots-clés : Sommet IA, éducation, neurosciences, cerveau, enfants-----------♥️ Soutenez Monde Numérique : https://donorbox.org/monde-numerique
Karina vous dévoile les décisions de justice les plus improbables.
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C'est une première réalisée par le paléontologue Antoine Balzeau : recréer en 3D le cerveau de Neandertal et de Cro-Magnon. Le projet Paléo-brain ou comment se mettre dans la tête de nos ancêtres pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ? Mettons-nous dans la tête de nos ancêtres préhistoriques, pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ! Sauf qu'il y a un sacré problème : le cerveau ne se fossilise pas. Comment à partir du crâne de Neandertal Cro-Magnon ou Homo Erectus, reconstituer le contenu c'est-à-dire le cerveau de nos ancêtres ? Un défi de taille, relevé par notre invité le paléontologue Antoine Balzeau.Avec Antoine Balzeau, chargé de recherche au CNRS et chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle. Il consacre ses travaux à l'étude des transformations morphologiques des premiers hommes, en s'intéressant surtout à l'évolution du crâne et du cerveau. Son ouvrage Dans la tête de nos ancêtres vient de paraître aux Éditions Belin.Reportage de Raphaëlle Pluskwa sur la pièce Néandertal au Théâtre du Rond-Point. Musiques diffusées- Serge Reggiani - L'homme fossile- Thomas Fersen, Trio SR9 – Blasé [Playlist RFI].
C'est une première réalisée par le paléontologue Antoine Balzeau : recréer en 3D le cerveau de Neandertal et de Cro-Magnon. Le projet Paléo-brain ou comment se mettre dans la tête de nos ancêtres pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ? Mettons-nous dans la tête de nos ancêtres préhistoriques, pour mieux comprendre ce qui se passe dans la nôtre ! Sauf qu'il y a un sacré problème : le cerveau ne se fossilise pas. Comment à partir du crâne de Neandertal Cro-Magnon ou Homo Erectus, reconstituer le contenu c'est-à-dire le cerveau de nos ancêtres ? Un défi de taille, relevé par notre invité le paléontologue Antoine Balzeau.Avec Antoine Balzeau, chargé de recherche au CNRS et chercheur au Muséum national d'Histoire naturelle. Il consacre ses travaux à l'étude des transformations morphologiques des premiers hommes, en s'intéressant surtout à l'évolution du crâne et du cerveau. Son ouvrage Dans la tête de nos ancêtres vient de paraître aux Éditions Belin.Reportage de Raphaëlle Pluskwa sur la pièce Néandertal au Théâtre du Rond-Point. Musiques diffusées- Serge Reggiani - L'homme fossile- Thomas Fersen, Trio SR9 – Blasé [Playlist RFI].
Invitée : Aurore Malet-Karas, docteure en neurosciences cognitives et sexologue Les mécanismes neurologiques qui sous-tendent nos relations intimes, nos sentiments et nos émotions sont des mystères. Si la philosophie, la sociologie, la psychologie ont déjà beaucoup cherché autour du sujet, les neurosciences sʹen mêlent et proposent un nouveau regard sur les cœurs qui aiment. Aurore Malet-Karas, docteure en neurosciences cognitives et sexologue, thérapeute de couple et individuelle propose de décoder le vrai du faux dans nos attachements. Aurore Malet-Karas " Cerveau, sexe et amour " Editions Humensciences.
La réponse ici est non ! Une étude récente menée par l'Université de Cambridge a révélé des différences fascinantes entre les cerveaux selon le sexe dès les premiers jours de vie, suggérant une base biologique pour ces variations. Cette recherche, réalisée à l'aide d'imageries cérébrales avancées, constitue une avancée majeure dans notre compréhension des distinctions neurologiques liées au sexe.Méthodologie de l'étudeLes chercheurs ont analysé les cerveaux de plusieurs dizaines de nouveau-nés à l'aide de l'imagerie par résonance magnétique (IRM). En s'assurant que les nourrissons n'avaient pas encore été influencés par leur environnement ou des facteurs éducatifs, l'équipe a pu se concentrer sur les différences innées entre les sexes.Principales découvertesLes résultats montrent des disparités dans la structure et le fonctionnement de certaines régions cérébrales. Chez les garçons, une activité accrue a été observée dans des zones associées au traitement spatial et à la motricité. Cela pourrait expliquer pourquoi, plus tard, les garçons tendent à développer un intérêt pour des activités nécessitant une gestion de l'espace, comme certains sports ou la construction.Chez les filles, les chercheurs ont noté une connectivité plus développée entre les deux hémisphères du cerveau, favorisant les compétences sociales et émotionnelles. Cette caractéristique pourrait expliquer pourquoi, dès un jeune âge, les filles montrent souvent une meilleure aptitude à comprendre les émotions ou à établir des liens sociaux.Une origine biologique confirméeCes différences, visibles dès les premiers jours de vie, soutiennent l'hypothèse d'une origine biologique aux variations cérébrales entre les sexes. Les scientifiques attribuent ces disparités en partie à des influences hormonales prénatales. Par exemple, la testostérone, présente en plus grande quantité chez les garçons durant la grossesse, jouerait un rôle dans le développement des circuits neuronaux liés à la motricité.Implications de l'étudeBien que cette étude ne prétende pas définir les comportements futurs des individus, elle offre une perspective précieuse sur les différences neurologiques innées. Elle met en lumière l'importance de reconnaître et de valoriser ces diversités, tout en rappelant que le cerveau est hautement plastique et influencé par l'environnement tout au long de la vie.En conclusion, les travaux de l'Université de Cambridge fournissent des preuves solides d'une base biologique des variations cérébrales entre les sexes, ouvrant la voie à de nouvelles recherches sur le développement humain. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le cerveau est le chef d'orchestre du corps, mais aussi du sexe. Il régit nos désirs, et coordonne les réactions du corps. L'orgasme, l'érection, la lubrification… toutes ces réactions sont des réponses aux commandes du cerveau. Comme l'explique Jhon Alexander Moreno, chercheur et professeur associé au Département de psychologie de l'Université de Montréal, l'hypothalamus contrôle les hormones. L'amygdale gère nos émotions, comme le plaisir. Le cortex orbitofrontal prend part aux décisions qui initient l'activité sexuelle, tandis que le cervelet coordonne les mouvements. Que se passe-t-il dans notre cerveau quand on rencontre quelqu'un ? Comment réagit le cerveau quand on a un orgasme ? Comment stimuler sa libido ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Joanne Bourdin. À écouter ensuite : Qu'est-ce qu'une kleptocratie ? Les hommes politiques sont-ils vraiment assez protégés ? Comment sont réalisés les sondages en politique ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Rediffusion - Si la rupture amoureuse est une épreuve difficile que beaucoup d'entre nous connaissent, nous ignorons souvent ce qui cause cette détresse psychologique inhérente à la fin d'une relation amoureuse. Or, comprendre les mécanismes cérébraux... Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:24:37 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Et si nous n'étions que des esclaves de notre cerveau ? Jean-Jacques Hublin, paléoanthropologue, auteur de "La tyrannie du cerveau" (Robert Laffont) retrace une histoire de l'évolution humaine de cet organe si extraordinaire. Il est l'invité du 8h20 de France Inter.
durée : 00:24:37 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Et si nous n'étions que des esclaves de notre cerveau ? Jean-Jacques Hublin, paléoanthropologue, auteur de "La tyrannie du cerveau" (Robert Laffont) retrace une histoire de l'évolution humaine de cet organe si extraordinaire. Il est l'invité du 8h20 de France Inter.
durée : 00:09:02 - Le cerveau des musiciens est-il différent? - par : Nicolas Lafitte - Aujourd'hui, dans le labo musical de Nico, nous nous plongeons dans les profondeurs du cerveau des musiciens et musiciennes ! Sont-ils plus intelligents que la moyenne ? Que se passe-t-il exactement dans leur cerveau lorsqu'ils sont sur scène ? - réalisé par : Sophie Pichon
durée : 00:46:12 - Grand bien vous fasse ! - par : Ali Rebeihi - Deuil, agressions sexuelles, physiques, morales, attentats, accidents, humiliations répétées… Comment le cerveau encaisse-t-il ce type de traumatismes ?
Vous avez des super-pouvoirs, il est temps de les activer.Messmer n'est pas seulement hypnotiseur, il est “fascinateur”.Mélangeant diverses techniques telles que la PNL, la morphopsychologie, le contrôle de ses fréquences cérébrales et bien d'autres, il parvient à pénétrer les esprits.Dès 7 ans, Éric Normandin commence à pratiquer l'hypnose grâce à un livre offert par son grand-père. Il étudie ensuite les travaux de Franz-Anton Mesmer, son modèle qui inspirera son nom de scène : Messmer.Il fait ses premières “scènes” dans les boîtes de nuit québécoises et enchaîne les prouesses. Travailleur acharné, il ne dit jamais non et multiplie les occasions de partager son talent au plus grand nombre : émissions de radios, soirées privées, interviews et à la TV.Lors d'un prime avec Arthur, il décroche le record mondial avec 1066 personnes hypnotisées en 4 minutes.Des millions de personnes étant venues voir son show, Messmer s'évertue soir après soir à convaincre les sceptiques, et repousse la frontière du possible, jusqu'à prétendre pouvoir bouger des objets juste avec son cerveau.Entre magie et science il n'y a qu'un pas :Comment on peut tous activer notre instinctL'explication scientifique de l'hypnose : un contrôle des fréquences cérébralesLa vraie méthode pour soigner les addictions et guérir de ses traumasComment se former à l'hypnose et débloquer des super-pouvoirsTest de réceptivité hypnoseUn épisode hors du temps et de l'espace qui va débloquer en vous de nouveaux potentiels. Écoutez attentivement et laissez Messmer éveiller vos sens et décupler votre maîtrise de votre cerveau (et de celui des autres).Deux places sont à gagner ! Pour participer au tirage au sort, commentez avec le code secret la publication sur Instagram. (Le nom de code requis est dissimulé dans l'épisode.)TIMELINE:00:03:00 : Se faire "Messmériser" au Quebec00:17:55 : Ses débuts en boite de nuit00:26:10 : L'instinct, notre super-pouvoir00:34:12 : Modifier la fréquence du cerveau des autres et du sien00:43:29 : Comment gérer le stress00:52:05 : Comment apprendre l'hypnose et la morphopsychologie ?01:06:35 : Jusqu'où peut-on aller avec l'hypnose01:13:37 : Matthieu se fait hypnotiser en live01:27:45 : La vraie maîtrise et son usage thérapeutique01:38:20 : Ayahuasca, méditation et TikTok01:52:46 : La télékinésie et le contrôle des animaux, est-ce vraiment possible ?02:04:25 : Comment hypnotiser des groupes entiers02:19:16 : Faites-vous hypnotiser : cadeau pour les auditeursLes anciens épisodes de GDIY mentionnés :#338 - Gad Elmaleh - On est tous le blond de quelqu'un#413 - Alexandre Boucheix (Casquette Verte) - Ultra-Traileur - “Je suis jamais le meilleur mais j'adore briller”#300 - Mathieu Blanchard - Ultratrail et Aventure - Commencer le running à 26 ans et devenir une légende de l'ultratrail#178 - Kilian Jornet - Alpinisme & Ultra-trail - Ne pense pas au résultat, l'objectif c'est de progresser#400 - Arthur - Pirate de la radio, bouffon de la télé, roi du PAF#416 - David Corona - GIGN, In_Cognita - Devenir expert de la négociation et prédire les comportements#419 - Raphaël Gaillard - Psychiatre, Académicien - “Notre cerveau ne se supporte plus”#364 - Jo-Wilfried Tsonga - Tennisman - Le 5ème des Big FourNous avons parlé de :MessmerNewsletter de MessmerPNL : programmation neuro-linguistiqueFranz-Anton MesmerDavid CopperfieldJerry SeinfeldDomineau (hypnotiseur)À la poursuite du diamant vertAntoine Normandin (fils de Messmer)La Famille PierrafeuJulia Chavinier (hypnothérapeute)Les recommandations de lecture : Comment l'hypnose a changé ma vie (Messmer)Pouvoir illimité - Changez de vie avec la PNLLa Méthode SilvaTintin : On a marché sur la luneVous pouvez contacter Messer sur InstagramLa musique du générique vous plaît ? C'est à Morgan Prudhomme que je la dois ! Contactez-le sur : https://studio-module.com. Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ? Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.
Chaque weekend, dans Home(icides), Bababam vous fait découvrir son autre podcast de faits-divers, en version intégrale : La Traque. Dans La Traque, entrez dans les bureaux où se mènent des enquêtes hors normes, ou encore dans les cellules de prison où se préparent les plus grandes évasions… De Rédoine Faïd, au roi de l'évasion Steven Jay Russell, en passant par le célèbre Mesrine… Revivez des duels fascinants entre flics et voyous, des courses-poursuites et des arrestations spectaculaires. Si vous aimez La Traque, abonnez-vous au podcast sur toutes les plateformes d'écoute pour ne manquer aucun épisode ! Albert Spaggiari, le cerveau du casse du siècle Plongez dans la cavale de l'homme derrière « le casse du siècle ». Dès le plus jeune âge, Albert Spagiarri se passionne pour les malfrats. Son quotidien l'ennuie. La cupidité, l'argent sale, le feu des projecteurs… il ne peut y échapper, c'est un bandit. Avec ingéniosité, il cambriole la Société Générale de Nice. Près de 350 coffres-forts seront dépouillés, le tout sans susciter le moindre soupçon, sans armes et sans violence. Tout le monde connait son identité, mais force de ruse et d'audace, Spagiarri défie la justice et reste insaisissable. Production : Bababam Textes : Pierre Serisier Voix : Anne Cosmao, Aurélien Gouas Montage et sound design : Guillaume Cabaret Première diffusion : 23 janvier 2024. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:27:26 - L'Entretien archéologique - par : Vincent Charpentier, Antoine Beauchamp - Le cerveau ne serait-il pas l'élément qui caractérise le mieux l'homme, par son volume comme par sa puissance ? Le cerveau a eu un rôle central dans notre trajectoire évolutive, mais quel chemin l'évolution a-t-elle emprunté pour en arriver là ? L'épopée du genre humain au travers de son cerveau. - réalisation : Olivier Bétard - invités : Jean-Jacques Hublin Paléoanthropologue
durée : 00:34:45 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Grâce à son cerveau, Homo sapiens a su s'adapter de manière inédite, créant des structures sociales, des langages lui permettant de s'organiser, des outils... Mais cet organe unique, par ses contraintes biologiques, a aussi fortement influencé l'évolution. - invités : Jean Jacques HUBLIN - Jean-Jacques Hublin : Paléoanthropologue - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:34:45 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Grâce à son cerveau, Homo sapiens a su s'adapter de manière inédite, créant des structures sociales, des langages lui permettant de s'organiser, des outils... Cet organe unique, par ses contraintes biologiques, a aussi fortement influencé l'évolution. - invités : Jean Jacques HUBLIN - Jean-Jacques Hublin : Paléoanthropologue - réalisé par : Jérôme BOULET
1) AVC: un nouveau produit rend visible et détruit les micro-caillots sanguins Des chercheurs de lʹInstitut sang et cerveau de Caen ont mis au point un agent de contraste qui rend visible les micro-caillots à lʹorigine de certains AVC (accidents vasculaires cérébraux). Ce nouveau produit nʹa été testé, pour lʹinstant, que sur les souris. 2) Neuromania: Le vrai du faux sur notre cerveau Aujourdʹhui, tout ou presque semble devoir trouver son explication dans le cerveau. Nos bonheurs, nos émotions, nos addictions, nos peurs, nos croyances, nos performances ne seraient quʹun effet des interactions de nos neurones. Le neuroscientifique Albert Moukheiber sʹinquiète de cette prolifération de discours erronés. Dans son dernier livre, "Neuromania - Le vrai du faux sur votre cerveau" (Éditions Allary, 2024), il déconstruit ces neuromythes. 3) Le comment du pourquoi: les nébuleuses Que sont les nébuleuses? Les explications de Bastien Confino. 4) Apprendre à compter sur les doigts améliore les compétences mathématiques des enfants Des scientifiques de l'Université de Lausanne (UNIL) ont démontré, dans une étude publiée dans Child Development (18.08.24), quʹapprendre à compter sur ses doigts permet d'améliorer significativement les compétences en addition des enfants de 5 à 6 ans. En rendant l'apprentissage des mathématiques plus amusant et accessible, cette approche favorise le développement arithmétique dès le plus jeune âge.
Améliorer le bien-être mental des mères en Zambie Les brèves du jour Le laboratoire de l'Unil où lʹon utilise le sommeil pour comprendre le cerveau La science en chansons: "Lumière bleue"
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Albert Moukheiber, psychologue et neuroscientifique, revient sur le podcast pour parler de son dernier livre, Neuromania. Il est déjà venu sur Vlan 2 fois et ceci est le 3eme épisode que nous faisons ensemble - il est séparé en 2 parties par ailleurs.Dans cet épisode, nous plongeons dans un débat essentiel sur l'impact de la vulgarisation des neurosciences et les mythes qui en découlent. Pourquoi tant de personnes se laissent-elles séduire par des formations ou des concepts qui ajoutent le préfixe « neuro » pour paraître plus crédibles, comme la neuroproductivité ou le neuroleadership ? Albert nous explique comment ces simplifications, souvent fausses, influencent non seulement notre compréhension mais aussi notre comportement et nos choix de vie.Nous abordons des exemples concrets et marquants, tels que l'effet de nos attentes sur la douleur, illustré par l'incroyable histoire de deux ouvriers et leurs expériences opposées avec des clous. Albert démontre que la douleur est une expérience à la fois sensorielle et émotionnelle, et que nos croyances façonnent notre perception de la réalité. Nous discutons également de la notion de cognition incarnée, où le cerveau ne peut être dissocié du corps ni du contexte dans lequel il évolue, remettant en question l'approche réductionniste souvent adoptée.En tant que fervent défenseur de la démocratisation des sciences, Albert souligne l'importance de rester vigilant face à l'instrumentalisation des neurosciences à des fins commerciales ou idéologiques. Il nous invite à adopter une approche plus nuancée, à comprendre que, si notre cerveau est central, il n'est pas l'unique moteur de nos actions et émotions. Cet épisode riche en réflexions offre des clés pour naviguer entre fascination pour le cerveau et esprit critique face aux simplifications trompeuses.Que vous soyez curieux des sciences cognitives, sceptiques face aux discours populaires, ou simplement en quête de vérités plus profondes, cet échange vous fournira un éclairage précieux sur les complexités du cerveau et de la condition humaine.Les questions que l'on traite : Pourquoi sortir Neuromania maintenant, et quel est le concept de ce livre ?Comment les fausses explications neuroscientifiques influencent-elles notre comportement ?Peux-tu expliquer la notion de "neuromania" et son impact sur notre société ?Pourquoi certaines formations populaires utilisent-elles le préfixe "neuro" de manière abusive ?Comment les attentes modulent-elles notre perception de la douleur ?Qu'est-ce que la "cognition incarnée" et pourquoi est-elle importante ?Pourquoi l'idée du cerveau gauche/droit est-elle erronée ?Quelles sont les conséquences de simplifier la compréhension des neurosciences ?Quelle est la différence entre la connaissance utile et celle qui est utilisée de manière performative ?Comment les neurosciences peuvent-elles être à la fois démocratisées et protégées contre les simplifications ?Timelaps :00:29 – 01:35 : Introduction et discussions légères.02:03 – 02:30 : Albert parle de son livre Neuromania et de la « neuromania ».03:22 – 05:30 : Les effets des fausses croyances neuroscientifiques.06:44 – 08:55 : La surconsommation et la notion de responsabilité sociale.10:57 – 12:56 : La responsabilité de l'individu versus la société.15:09 – 17:26 : Pourquoi se méfier des formations pseudo-scientifiques.21:59 – 23:23 : L'importance de comprendre que le cerveau n'explique pas tout.33:40 – 36:41 : Développement de la neuroplasticité, mythe ou réalité ?39:10 – 41:09 : Le lien cerveau-corps et la cognition incarnée.47:36 – 48:59 : L'influence de la subjectivité dans la perception de la douleur. Suggestion d'autres épisodes à écouter : Vlan #108 Pourquoi la culpabilisation écologique ne fonctionne pas? avec Albert Moukheiber (https://audmns.com/KOfUemJ) #177 Vous ne devez pas faire confiance à vos peurs avec Albert Moukheiber (https://cutt.ly/pnQdFE4) #206 Comment développer l'esprit critique chez les enfants? Avec Samah Karaki (https://audmns.com/dFSogCP)
Pour aller plus loin, découvrir mes réflexions personnelles, les épisodes en avant-première et des liens qui m'inspirent, abonnez-vous à ma newsletter.Albert Moukheiber, psychologue et neuroscientifique, revient sur le podcast pour parler de son dernier livre, Neuromania. Il est déjà venu sur Vlan 2 fois et ceci est le 3eme épisode que nous faisons ensemble - il est séparé en 2 parties par ailleurs.Dans cet épisode, nous plongeons dans un débat essentiel sur l'impact de la vulgarisation des neurosciences et les mythes qui en découlent. Pourquoi tant de personnes se laissent-elles séduire par des formations ou des concepts qui ajoutent le préfixe « neuro » pour paraître plus crédibles, comme la neuroproductivité ou le neuroleadership ? Albert nous explique comment ces simplifications, souvent fausses, influencent non seulement notre compréhension mais aussi notre comportement et nos choix de vie.Nous abordons des exemples concrets et marquants, tels que l'effet de nos attentes sur la douleur, illustré par l'incroyable histoire de deux ouvriers et leurs expériences opposées avec des clous. Albert démontre que la douleur est une expérience à la fois sensorielle et émotionnelle, et que nos croyances façonnent notre perception de la réalité. Nous discutons également de la notion de cognition incarnée, où le cerveau ne peut être dissocié du corps ni du contexte dans lequel il évolue, remettant en question l'approche réductionniste souvent adoptée.En tant que fervent défenseur de la démocratisation des sciences, Albert souligne l'importance de rester vigilant face à l'instrumentalisation des neurosciences à des fins commerciales ou idéologiques. Il nous invite à adopter une approche plus nuancée, à comprendre que, si notre cerveau est central, il n'est pas l'unique moteur de nos actions et émotions. Cet épisode riche en réflexions offre des clés pour naviguer entre fascination pour le cerveau et esprit critique face aux simplifications trompeuses.Que vous soyez curieux des sciences cognitives, sceptiques face aux discours populaires, ou simplement en quête de vérités plus profondes, cet échange vous fournira un éclairage précieux sur les complexités du cerveau et de la condition humaine.Les questions que l'on traite : Pourquoi sortir Neuromania maintenant, et quel est le concept de ce livre ?Comment les fausses explications neuroscientifiques influencent-elles notre comportement ?Peux-tu expliquer la notion de "neuromania" et son impact sur notre société ?Pourquoi certaines formations populaires utilisent-elles le préfixe "neuro" de manière abusive ?Comment les attentes modulent-elles notre perception de la douleur ?Qu'est-ce que la "cognition incarnée" et pourquoi est-elle importante ?Pourquoi l'idée du cerveau gauche/droit est-elle erronée ?Quelles sont les conséquences de simplifier la compréhension des neurosciences ?Quelle est la différence entre la connaissance utile et celle qui est utilisée de manière performative ?Comment les neurosciences peuvent-elles être à la fois démocratisées et protégées contre les simplifications ?Timelaps :00:29 – 01:35 : Introduction et discussions légères.02:03 – 02:30 : Albert parle de son livre Neuromania et de la « neuromania ».03:22 – 05:30 : Les effets des fausses croyances neuroscientifiques.06:44 – 08:55 : La surconsommation et la notion de responsabilité sociale.10:57 – 12:56 : La responsabilité de l'individu versus la société.15:09 – 17:26 : Pourquoi se méfier des formations pseudo-scientifiques.21:59 – 23:23 : L'importance de comprendre que le cerveau n'explique pas tout.33:40 – 36:41 : Développement de la neuroplasticité, mythe ou réalité ?39:10 – 41:09 : Le lien cerveau-corps et la cognition incarnée.47:36 – 48:59 : L'influence de la subjectivité dans la perception de la douleur. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #177 Vous ne devez pas faire confiance à vos peurs avec Albert Moukheiber (https://cutt.ly/pnQdFE4) Vlan #108 Pourquoi la culpabilisation écologique ne fonctionne pas? avec Albert Moukheiber (https://audmns.com/KOfUemJ) #206 Comment développer l'esprit critique chez les enfants? Avec Samah Karaki (https://audmns.com/dFSogCP)
(00:00:43) La face cachée des campagnes électorales et du pouvoir: interview de Giuliano da Empoli (00:06:44) Le cerveau humain n'est pas câblé pour répondre à la menace climatique (00:15:10) Des grands patrons américains ont glissé vers la gauche
durée : 00:10:52 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de La Terre Au Carré, La lutte enchantée de Camille Crosnier, Hervé Poirier du magazine Espiloon à la Une des médias et vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:10:52 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - Dans les dix dernières minutes de La Terre Au Carré, La lutte enchantée de Camille Crosnier, Hervé Poirier du magazine Espiloon à la Une des médias et vos messages laissés sur le répondeur de l'émission. - réalisé par : Jérôme BOULET
durée : 00:23:00 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - Le cerveau humain a besoin "de beaucoup moins de données" que l'IA pour "tirer les conclusions qu'il tire", assure le neuroscientifique Stanislas Dehaene, qui s'attaque aux idées reçues sur ce qui se passe dans notre boite crânienne. - invités : Stanislas DEHAENE - Stanislas Dehaene : Neuropsychologue, professeur au Collège de France
(Premier épisode). Le lundi 18 juillet 1976, les employés de la société générale rue Jean Médecin à Nice, découvrent avec effroi que leur banque a été cambriolée pendant le long week-end du pont du 14 juillet. Le coup est énorme, avec un préjudice estimé à plus de 40 millions de francs. À l'échelle locale, les enquêteurs ne connaissent pas de voyous ayant assez d'envergure pour commettre un tel casse. Les cambrioleurs auraient-ils pu venir de l'étranger ?Quelques jours plus tard, la police arrête deux hommes qui tentent d'échanger dans une autre banque, des lingots issus du casse. Ils assurent avoir été chargés de cette mission par quelqu'un. Ce quelqu'un s'appelle Albert Spaggiari. Il n'a pas du tout le profil d'un grand bandit, mais il est déjà connu des services de police.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Garnier Amouroux et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes.L'émission Faites entrer l'accusé “Albert Spaggiari, le casse du siècle”, nous a également permis de trouver des informations complémentaires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
(Deuxième et dernier épisode). Le lundi 18 juillet 1976, les employés de la société générale rue Jean Médecin à Nice, découvrent avec effroi que leur banque a été cambriolée pendant le long week-end du pont du 14 juillet. Le coup est énorme, avec un préjudice estimé à plus de 40 millions de francs. À l'échelle locale, les enquêteurs ne connaissent pas de voyous ayant assez d'envergure pour commettre un tel casse. Les cambrioleurs auraient-ils pu venir de l'étranger ?Quelques jours plus tard, la police arrête deux hommes qui tentent d'échanger dans une autre banque, des lingots issus du casse. Ils assurent avoir été chargés de cette mission par quelqu'un. Ce quelqu'un s'appelle Albert Spaggiari. Il n'a pas du tout le profil d'un grand bandit, mais il est déjà connu des services de police.Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Clara Garnier Amouroux et Thibault Lambert - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network.Documentation.Cet épisode de Crime story a été préparé en puisant dans les archives du Parisien, avec l'aide de nos documentalistes.L'émission Faites entrer l'accusé “Albert Spaggiari, le casse du siècle”, nous a également permis de trouver des informations complémentaires. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
FlyWire, la cartographie du cerveau de la mouche Les brèves du jour Grand invité: Daniel Kaufmann, spécialiste du VIH, chef du Service des maladies infectieuses du CHUV
durée : 00:04:22 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Au sommaire cette semaine : les transformations du cerveau des femmes enceintes pendant leur grossesse, un nouveau dispositif pour observer les entrailles des volcans et le secret des termites kamikazes...
Les neuroscientifiques découvrent de jour en jour la puissance thérapeutique de la musique, discipline présente depuis que les hommes communiquent entre eux, à tel point qu'elle participe à leur évolution. Le neurologue et musicien Eckart Altenmüller est chercheur en neurophysiologie à l'université de Hanovre. Il explique la façon dont le cerveau humain perçoit et analyse la musique, les parties concernées, les facultés développées par la pratique et l'écoute de la musique. On l'utilise de plus en plus en milieu hospitalier. La musique permet aux patients victimes d'AVC de recouvrer l'usage de la parole et aide les patients atteints de la maladie de Parkinson à maîtriser la motricité. Le professeur Eckart Altemüller nous accompagne afin de comprendre pourquoi et comment la musique agit sur le cerveau dans la rééducation des patients. Une séquence signée Cécile Poss Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.