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Chaque jour aux côtés d'Estelle Denis, Charlotte Méritan, notre spécialiste RMC Conso, vous donne les bonnes astuces pour mieux consommer et faire des économies.
En octobre 2022, Annie Ernaux a reçu le prix Nobel de littérature, en tant que première femme française, « pour le courage et l'acuité clinique avec lesquels elle découvre les racines, les étrangetés et les contraintes collectives de la mémoire personnelle ». Avec des livres comme Les Années, Une femme et L'Événement, qui font tomber les barrières entre autobiographie, fiction et sociologie, Ernaux a gagné un large lectorat dans le monde entier, et a agrandi ce qui est considéré comme un langage littéraire. D'une écriture économique et non sentimentale, elle fait émerger des expériences collectives à travers des histoires personnelles, et montre comment la classe, le genre et les structures sociales nous façonnent, et comment des événements apparemment mineurs peuvent changer toute une vie.Les livres d'Ernaux sont à la fois une archéologie personnelle et une analyse sociologique, et montrent comment ce qui est profondément personnel, aussi toujours est politique. La double conscience de classe occupe une place centrale dans son expérience et son œuvre. Elle s'est décrite comme une « émigrante de classe » ou une « transfuge de classe », quelqu'un qui a quitté le monde de la classe ouvrière sans pour autant trouver complètement sa place dans la bourgeoisie.Cet automne, Ernaux a deux nouvelles publications en norvégien, toutes deux traduites par Henninge Margrethe Solberg. L'Autre fille est écrite comme une lettre à la sœur qu'elle n'a jamais rencontrée, un texte sur le manque, la culpabilité et comment le silence familial peut être aussi formateur que ce qui est effectivement dit. Dans Les Armoires vides, le premier roman d'Ernaux de 1974, s'établit la voix implacable et profondément existentielle qui devait marquer toute son œuvre. Y est racontée l'histoire d'une jeune femme qui tente de surmonter l'expérience d'un avortement illégal, et qui doit démêler le passé pour comprendre comment son éducation a façonné son identité.De retour à la Maison de littérature, Ernaux a rencontré Kjerstin Aukrust, maître de conférences en littérature française à l'Université d'Oslo, pour une conversation sur la classe, le travail de mémoire et sur comment l'écriture peut devenir une forme d'archéologie de sa propre vie.La conversation a eu lieu dans la Salle des fêtes de l'Université d'Oslo. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
En octobre 2022, Annie Ernaux a reçu le prix Nobel de littérature, en tant que première femme française, « pour le courage et l'acuité clinique avec lesquels elle découvre les racines, les étrangetés et les contraintes collectives de la mémoire personnelle ». Avec des livres comme Les Années, Une femme et L'Événement, qui font tomber les barrières entre autobiographie, fiction et sociologie, Ernaux a gagné un large lectorat dans le monde entier, et a agrandi ce qui est considéré comme un langage littéraire. D'une écriture économique et non sentimentale, elle fait émerger des expériences collectives à travers des histoires personnelles, et montre comment la classe, le genre et les structures sociales nous façonnent, et comment des événements apparemment mineurs peuvent changer toute une vie.Les livres d'Ernaux sont à la fois une archéologie personnelle et une analyse sociologique, et montrent comment ce qui est profondément personnel, aussi toujours est politique. La double conscience de classe occupe une place centrale dans son expérience et son œuvre. Elle s'est décrite comme une « émigrante de classe » ou une « transfuge de classe », quelqu'un qui a quitté le monde de la classe ouvrière sans pour autant trouver complètement sa place dans la bourgeoisie.Cet automne, Ernaux a deux nouvelles publications en norvégien, toutes deux traduites par Henninge Margrethe Solberg. L'Autre fille est écrite comme une lettre à la sœur qu'elle n'a jamais rencontrée, un texte sur le manque, la culpabilité et comment le silence familial peut être aussi formateur que ce qui est effectivement dit. Dans Les Armoires vides, le premier roman d'Ernaux de 1974, s'établit la voix implacable et profondément existentielle qui devait marquer toute son œuvre. Y est racontée l'histoire d'une jeune femme qui tente de surmonter l'expérience d'un avortement illégal, et qui doit démêler le passé pour comprendre comment son éducation a façonné son identité.De retour à la Maison de littérature, Ernaux a rencontré Kjerstin Aukrust, maître de conférences en littérature française à l'Université d'Oslo, pour une conversation sur la classe, le travail de mémoire et sur comment l'écriture peut devenir une forme d'archéologie de sa propre vie.La conversation a eu lieu dans la Salle des fêtes de l'Université d'Oslo. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
Le J.E. d’hier s’est penché sur une situation plutôt anormale où l’on a découvert que la région de Charlevoix avait un nombre anormalement élevé de cas de la maladie de Lou Gehrig. Entrevue avec Michel Couturier, maire de La Malbaie. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Tous les matins à 8H10, on vous donne des infos aléatoires du monde.
Le fonds intitulé The hidden years of music, soit « les années cachées de la musique », est l'une des plus grosses collections d'enregistrements et de documents du pays qui relatent la vie musicale sous l'apartheid, en particulier dans les années 1970-1980. Tout cela a été rassemblé, à l'époque, par un passionné. De notre correspondante à Stellenbosch, Cet enregistrement de Johnny Clegg et Sipho Mchunu à leurs débuts fait partie des pépites dont le fonds des hidden years of music regorge. La conservatrice, Lizabé Lambrechts, a travaillé plusieurs années sur cette collection pour la réorganiser et en superviser la numérisation : « Il y a plus de 7 000 enregistrements sur vinyles, environ 30 000 photos, et quelque chose comme 7 à 8 tonnes de documents. Donc ce sont vraiment d'énormes archives. » Ce trésor musical est désormais conservé à l'université de Stellenbosch, mais aussi en ligne, et on le doit à un homme : David Marks, compositeur, chanteur, ingénieur du son et producteur, qui a enregistré des heures et des heures de concerts. David Marks au festival de Woodstock de 1969 « David a travaillé au festival américain de Woodstock de 1969. Il y a rencontré Bill Hanley, qui lui a donné une partie du matériel de sonorisation pour le ramener en Afrique du Sud. Cela a permis à David d'organiser de grands concerts en plein air. Et il a enregistré tous ces événements, pris des photos, gardé les posters, et c'est comme ça que ces archives sont nées. Laissez-moi vous jouer un petit extrait… David a commencé à organiser ces concerts « Tribal Blues » à partir de 1971, et c'était parmi les seuls, en Afrique du Sud, à être interraciaux, en plein pendant l'apartheid. Donc c'étaient vraiment des moments magiques, imaginez comment cela devait être incroyable. » Lizabé Lambrechts conserve avec elle une petite partie de ces archives, pour achever son travail. Certains éléments ne sont pas toujours en bon état, car David Marks les a gardés dans son garage, sur la côte Est très humide. « Laissez-moi voir si je peux ouvrir ça ... Vous pouvez sentir cette légère odeur ? C'est une bobine du festival de musique pop de Monterey que David projetait lors de cafés-clubs qu'il organisait à Johannesburg et à Durban. Il voulait partager des films et de la musique pour que les gens connaissent ce qui se fait dans le monde. » De la contre-culture musicale face à l'apartheid Pour les chercheurs universitaires comme Ashrudeen Waggie, qui travaille sur les concerts organisés en Afrique du Sud pendant la période de boycott culturel, ce sont des documents rares : « C'est une très bonne source pour moi. Je pense que cela permet de mettre en avant une partie de l'histoire qui est restée cachée sous l'apartheid, donc c'est important. » Cette collection permet donc de redécouvrir la contre-culture musicale qui s'est construite face à l'apartheid et un pan de la résistance culturelle de l'époque. À lire aussi«Soweto Blues» de Miriam Makeba: une voix contre l'apartheid
La jeune Bérénice a soif d'ouragans et ne trouve nulle part d'ouragans.La Chute de LapinvilleLapin, pervers narcissique en fin de droits, raconte son retour à Lapinville et sa décision de faire un podcast pour se venger de ses anciens camarades d'école. Il est bientôt rejoint par Chloé Bloomington, star de cinéma qu'une énorme shitstorm oblige à revenir dans sa ville natale pour jouer dans une fiction quotidienne à la con. Puis, on suit l'enquête de Spiruline, astucieuse stagiaire à la mairie, qui dévoilera des scandales insoupçonnés dans les plus hautes sphères de Lapinville… Tour à tour, les Lapinvillois témoignent pour essayer de comprendre comment, une chose en entraînant une autre, ils ont fini par provoquer la destruction de la Terre. Leurs destins entremêlés forment une pelote visible de l'espace dont cette série, cinq minutes par jour, va dérouler le fil. Fresque épique et palpitante, chronique de la catastrophe en cours et de ses ramifications les plus inattendues, La Chute de Lapinville a pu être décrite comme une variante des Simpson à la sauce rond-point ou un jumeau maléfique de Plus belle la vie. Enregistrements décembre 2023-2024 Scénario et dialogues Benjamin Abitan, Wladimir Anselme, Laura Fredducci Direction artistique Benjamin Abitan Conseillère littéraire Noémie Landreau Réalisation Laure Egoroff Assistante réalisation Anissa Zidna Musique originale Samuel Hirsch Comédiens Anne-Lise Heimburger (Bérénice Legroin d'Armentière de Lapinville) Romain Francisco (Jeune 1) Rony Wolff (Jeune 2, Séminariste) Charlotte Issaly (Dominique Poêlon) Kevin Garnichat (Quelqu'un) Marie-Anne Mestre (Mme d'Armentières) Cléo Fisera (Bérénice enfant) Colette Marie (Nanou) Julie Quesnay (Mère sup) Daphné Lanne (Coiffeuse) Jean-Paul Bordes (M. d'Armentières) Nicolas Vial (Rabbin) Bernard Gabay (Georges Legroin) Comédiens silhouettes Philippe Dormoy, Romain Francisco, Philippe Polet, Rony Wolff (Assistance) Laure Egoroff, Daphné Lafitte, Daphné Lanne, Françoise Loreau, Jeanne Mousel (Nonnes) Voix générique Philippe Dormoy Philippe Polet Production ARTE Radio ARTE Studio Virginie Lacoste Sahar Pirouz Jacques Falgous Illustration Roxane Lumeret
durée : 00:58:24 - Le Book Club - par : Marie Richeux - Dans son dernier livre, le journaliste et écrivain Sorj Chalandon retrace son adolescence marquée par la fuite, l'errance parisienne et l'engagement maoïste. Sous le pseudonyme de Kells, il découvre la fraternité et les désillusions militantes, avant son entrée, en 1973, au journal Libération. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Sorj Chalandon Journaliste et écrivain français
Sorj Chalandon revient avec Le Livre de Kells, son douzième roman, sans doute le plus intime. Où il est question du chien de rue qu'il fut, de la rencontre avec la militance, de la tentation de la lutte armée, des illussions perdues. Dans une autre vie, à Libération, Sorj fut le chef du taulier d'Au Poste. Cette convocation est comme une retrouvaille.
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:13 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - La fin du 20e siècle voit la mode revenir à une certaine discrétion, voire austérité. Les années 1990, sur fond de Guerre du Golfe, crise financière et malaise des banlieues, est un retour à l'authentique, mais voit aussi se développer la surexposition des marques. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:56:00 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - Les années frime, les années fric. Les apparences sont essentielles. C'est d'ailleurs le retour du Total Look de Dior, tailleur et escarpins assortis. En matière de mode, rien ne se perd, et tout revient. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
[Première diffusion le 24 septembre 2024] Il fut victime d'un canular radiophonique pendant près de 6 ans. En 1995, Gérard de Suresnes, de son vrai nom Gérard Cousin, fait sensation sur les ondes de Fun Radio. Un soir, comme des milliers d'auditeurs, ce SDF de 34 ans tente sa chance et appelle le standard pour lire des poèmes d'amour qu'il a écrit. Il est en tongs depuis une cabine téléphonique et vient de Suresnes (Hauts-de-Seine).Max, l'animateur star de l'époque sur Fun Radio, flaire le bon client, l'invite régulièrement à l'antenne dans les jours qui suivent et en 1997, il lui propose même de devenir l'animateur d'un programme hebdomadaire baptisé « Les Débats de Gérard », programmé après minuit. Gérard devient alors malgré lui le personnage principal d'un « diner de con » géant, celui du souffre-douleur moqué par ses collègues et les auditeurs de Fun Radio.Thibault Raisse, ancien journaliste au Parisien, a publié en septembre 2024 « Le Con de minuit » aux éditions Denöel, un livre dans lequel il retrace le parcours de Gérard Cousin, décédé en 2005 à l'âge de 43 ans. Il raconte son histoire pour Code source au micro de Jules Lavie. Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Reporter : Barbara Gouy - Production : Raphaël Pueyo et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : François Clos, Audio Network - Archives : Youtube. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cette organisation armée est à l'origine de nombreux attentats en Europe et en Afrique du Nord à l'époque du colonialisme. On découvrira qu'elle fut le faux-nez des services secrets français. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:14:03 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - La guerre d'Algérie commence en novembre 1954 avec une vague d'attentats du FLN, puis un soulèvement armé proprement dit. Les Français d'Algérie sont alors loin d'imaginer qu'ils seront bientôt contraints au départ. Ils racontent ces années de guerre qui sont pour eux des années noires. - réalisation : Massimo Bellini
durée : 00:58:34 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - C'est une décennie éclectique et protéiforme, de démesure et d'extravagance. On porte des jupes mini ou très longues, des pantalons pattes d'eph', on marie le orange et le violet, on jette le soutien-gorge aux orties, les garçons se maquillent et on ressort les jupons et sabots de grand-mère. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:19:49 - Lectures du soir - " Août 1870 : Es-tu à Paris ? Au milieu de cette tourmente ? Quelle leçon reçoivent les peuples qui veulent des maîtres absolus. France et Prusse s'égorgeant pour des questions qu'elles ne comprennent pas. Nous voilà dans de grands désastres. "
Auditeurs : - Dany revient sur le véritable amour qu'il a connu avec sa femme [Partie2] - Les années passent et Jacques se demande s'il doit poursuivre la recherche de son père - Karine s'élève contre l'absence d'aides médicalisées pour sa mère décédée - Jacqueline est triste de l'amour qu'elle porte à un homme déjà marié - En détresse dans son logement insalubre, Aurore cherche des solutions Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Donald Trump a un peu suivi la même trajectoire que notre "Nanar" national. Avant comme lui de faire de la politique, il a été aux USA l'incarnation du businessman grande gueule qui a réussi dans les affaires. Et qui aime le faire savoir... Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:21 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - Les années 1960 voient l'avènement du prêt-à-porter. Les jeunes filles ne veulent plus se faire confectionner des robes chez une couturière. Elles vont dans de jolies boutiques et de grands magasins, et recherchent un style jeune, léger, abordable, pratique, aux couleurs gaies et aux coupes courtes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:54:04 - Very Good Trip - par : Michka Assayas - Michka Assayas tient sa promesse. Ce soir, il nous propose d'écouter sans modération la voix profonde et puissante de la bien baptisée Baptisée "The Queen of Soul" ou encore "Lady Soul", autrement dit Aretha Franklin. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:57:15 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - La rigidité des codes vestimentaires des années 1950 et le diktat de la haute couture volent en éclats, minés par deux phénomènes : la jeunesse, joyeuse, exigeante, et la société de consommation. On n'achète plus ce dont on a besoin, mais aussi ce qui nous fait plaisir. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:55:43 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - Dior, Fath, Molyneux, Schiaparelli, Balenciaga, Patou...: en 1956, Paris compte 54 maisons de couture, qui s'accordent à façonner une femme idéale, maquillée, gantée, chapeautée, chaussée d'escarpins, la taille prise dans une gaine, vêtue dans une somptueuse robe décolletée, en tulle ou mousseline. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:55:21 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - La France s'installe dans le confort des Trente Glorieuses et la classe moyenne s'épanouit. La haute couture dicte sa loi au bon goût, et Paris a repris sa place incontestée de capitale mondiale de la mode. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:57:46 - Mauvais genres - par : François Angelier - Historien du cinéma et chef de service au CNC, Éric Le Roy nous offre enfin la somme érudite sur Jean-Pierre Mocky que les cinéphiles et les fans attendent depuis toujours. - réalisation : Laurent Paulré
durée : 00:57:46 - Mauvais genres - par : François Angelier - Historien du cinéma et chef de service au CNC, Éric Le Roy nous offre enfin la somme érudite sur Jean-Pierre Mocky que les cinéphiles et les fans attendent depuis toujours. - réalisation : Laurent Paulré
durée : 01:59:37 - Les années Quincy Jones (2/2) : cinéma & soul - par : Thierry Jousse - Deuxième épisode de notre grande traversée dans l'œuvre multiple de Quincy Jones qui nous mènera des années 1960 aux années 2010. Au programme, soul, funk, disco, hip hop, sans oublier Michael Jackson… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:59:18 - Retour de plage du jeudi 03 juillet 2025 - par : Thierry Jousse - Retour sur la trajectoire d'un musicien aux mille vies, Quincy Jones. Aujourd'hui, nous plongeons dans ses années 1950-60, très jazz, entre Chicago, Paris et New York. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans ce petit épisode, on se pose une question : Pourriez vous sortir avec quelqu'un de beaucoup plus vieux/vieille que vous ? Pas si simple de répondre ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:54:43 - Histoire de femmes, histoire de fringues - par : Stéphanie DUNCAN - La mode apparaît dans les années 1920 : les Françaises se mettent à abandonner leurs costumes régionaux et à copier les modèles de Paris. La mode se démocratise, et se diffuse partout, grâce en partie à l'essor du cinéma. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les Socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin de 19e, les congrès des Socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec Gilles Candar, historien, et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage : Emeline DulioRéalisation : Jules KrotCrédits : INA, BFM, Europe 1, Sud Radio Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : PS, Le Parisien, Public Sénat, INA Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les années Biya, c'est le titre du livre qui vient de paraître aux Éditions du Schabel. Dans cette enquête de 700 pages, bâtie sur des confidences et des archives inédites, l'essayiste camerounais Haman Mana raconte en détail les 42 années et demie du président Paul Biya à la tête du Cameroun. Les succès comme les échecs. Tour à tour journaliste à Cameroon Tribune, puis directeur de publication au journal Mutations, puis patron du journal Le Jour, Haman Mana a été le témoin de beaucoup d'évènements sous la présidence de Paul Biya. À quatre mois de la présidentielle, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Haman Mana, l'un des temps forts de votre livre, c'est la présidentielle d'octobre 1992. Paul Biya a dû accorder le multipartisme. Dans le pays d'à côté, le Congo-Brazzaville, le président Denis Sassou Nguesso vient d'être battu par Pascal Lissouba. C'est le vent du changement. Et pourtant, Paul Biya est officiellement réélu, mais avec seulement quatre points d'avance sur John Fru Ndi, un score très serré. Est-ce à dire que le parti au pouvoir RDPC était moins aguerri, moins fort qu'aujourd'hui ? Haman Mana : Le parti RDPC était moins sophistiqué dans sa capacité à manipuler les chiffres. À l'époque, je pense qu'il y a une grande mobilisation autour du Social Democratic Front. De John Fru Ndi ? De John Fru Ndi et il y a ce raz-de-marée vers les urnes qui fait que tout le monde est d'accord là-dessus aujourd'hui. C'est John Fru Ndi qui a remporté ces élections, mais ce n'est qu'en dernière minute, à la Commission nationale de recensement des votes, avec un afflux de votes venant tardivement de l'Extrême Nord, qu'on a dû corriger les résultats. J'en parle parce que je suis un témoin oculaire. J'étais jeune journaliste à Cameroun Tribune et c'est moi qui ai couvert non-stop. On a appelé ça la Commission nationale de recensement des votes. Non, je pense que le pouvoir n'était pas encore aguerri dans ces techniques de modification des résultats de vote. Voilà. Vous rappelez aussi qu'en octobre 1992, le Nordiste Bello Bouba Maigari arrive troisième avec 19 % des voix. Est-ce que l'opposition aurait gagné si Fru Ndi et Bello n'avaient pas été divisés ? Si l'opposition avait été unie, peut-être que John Fru Ndi aurait gagné. Mais maintenant, c'est sans compter avec la volonté absolue, la volonté claire du Rassemblement démocratique du peuple camerounais et de Paul Biya de rester au pouvoir. Alors John Fru Ndi est décédé, mais Paul Biya et Bello Bouba Maigari sont toujours là. Est-ce que vous pensez qu'on va les revoir tous les deux comme candidats en octobre prochain ? Ecoutez, ça dépend de l'arithmétique. À l'heure actuelle, on sait que Bello Bouba, politiquement peut-être, n'est plus ce qu'il était à cette époque-là. Donc cela fera partie des calculs. Maintenant, il y a l'inconnue Maurice Kamto. Est ce qu'on acceptera sa candidature ? À ce qu'il me semble, peut-être que Bello Bouba Maigari n'est pas un protagoniste décisif dans l'élection de 2025, sauf s'il adoube Maurice Kamto. Autre temps fort dans votre livre, la querelle territoriale entre le Cameroun et le Nigeria sur la presqu'île de Bakassi. On est en 1994 et vous dites que là, c'est une réussite pour le régime de Paul Biya ? Oui, bien sûr. Mon livre est là pour rendre compte de ce qui s'est passé. Mon livre n'est pas là pour peindre en noir un régime. Non. Et ce qui me semble, tout le monde est d'accord là-dessus, Paul Biya a bien joué. C'est une carte qu'il a bien jouée par une forme de pondération, par une forme d'utilisation de ses relais internationaux et également par l'expertise juridique locale. C'est là où on retrouve Maurice Kamto. On savait déjà que Maurice Kamto n'était pas forcément quelqu'un de favorable au régime en place, mais compte tenu de son expertise, il était l'une des figures de proue de l'équipe et, après avoir remporté sur le plan juridique, Paul Biya a engagé une négociation politique pour pouvoir obtenir ce qu'il avait gagné juridiquement. Là, c'était bien joué. Pendant ces 43 années de présidence de Paul Biya, il y a dans votre livre plusieurs fils conducteurs, la corruption, la répression. Vous parlez notamment des plus de 100 jeunes émeutiers de la faim qui sont tués à Douala en février 2008. Pourquoi avez-vous tenu à faire le portrait de l'ancien Secrétaire général de la présidence, Marafa Hamidou Yaya, qui est en prison depuis 2012 ? Oui, c'est pour dire l'absurdité qui entoure la question de la succession de Monsieur Biya et ceci depuis le début des années 2000. C'est-à-dire qu'il est question de couper en réalité toutes les têtes qui dépassent. Voilà ! Oui, vous citez l'ambassadeur des États-Unis à Yaoundé qui dit que « Marafa est en prison parce qu'il a pensé au pouvoir ». Exactement. Ça, ce sont les fuites de Wikileaks qui ont mis cela dehors. Et voilà ce qu'il est advenu. Et puis, dans votre livre, vous dites : « Je raconte le long chemin sur lequel Paul Biya a mené le Cameroun au bord de l'abîme, non sans la complicité de ce peuple qui, paresseusement, s'est laissé choir. » Oui, je pense que c'est trop facile de dire que Paul Biya a fait ci, Paul Biya a fait ça. La société civile camerounaise, le peuple camerounais, se lie lui-même les mains dans un pacte de paresse, de corruption. Non, en réalité, chez moi, il est plus question de piquer l'orgueil des uns et des autres afin qu'ils se ressaisissent. En réalité, c'est un appel à la réappropriation du Cameroun par les Camerounais. À lire aussiCameroun: à 92 ans, Paul Biya investit les réseaux sociaux à cinq mois de la présidentielle
Ces derniers jours, les socialistes ont désigné leur nouveau secrétaire national : Olivier Faure, réélu pour un quatrième mandat. Réuni à Nancy, le PS a tenté de fixer la ligne du parti pour les mois à venir. Un congrès passé quelque peu inaperçu et pourtant très important pour la gauche. Car depuis la fin du XIXe siècle, les congrès des socialistes ont souvent marqué la politique française. Cette semaine, La Loupe revient sur quatre grandes dates, avec l'historien Gilles Candar et Mattias Corrasco, journaliste au service Politique de L'Express. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Présentation et écriture : Charlotte BarisMontage et réalisation : Jules Krot et Sébastien SalisCrédits : INA, BFM, Public Sénat Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Tous les matins à 8H10, Salomé nous donne des infos aléatoires du monde.
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Paul Daraîche célèbre cette année ses 60 ans de carrière et lance un nouvel album intitulé “Un dernier je t’aime”. Entrevue avec Paul Daraîche, auteur-compositeur-interprète. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Invité: Thierry Delessert Lʹépidémie du sida arrive en 1983. En 1987, une campagne nationale "Stop Sida" est lancée. La télévision suisse romande sʹengage dans la prévention. Comment cette campagne a permis dʹen parler sans tabou? Comment la sensibilisation à lʹusage du préservatif a-t-elle été menée? Comment l'éducation sexuelle devient une priorité dans tous les cantons? Pour en parler Tribu reçoit Thierry Delessert, docteur en science politique et chercheur aux universités de Genève. Il a contribué au dossier Grand Format des Archives de la RTS sur le sujet qui porte le titre " La prévention du sida et lʹinstitutionnalisation de lʹéducation sexuelle de la jeunesse (1983-1997) ".
durée : 00:30:05 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - La naissance du jazz enregistré, aux États-Unis, remonte à 1917. Un siècle plus tard, la France est le premier pays au monde en nombre de festivals de jazz. Dans toutes les régions, tout au long de l'année. Le résultat d'une activité passionnante et particulièrement créative durant le siècle écoulé. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:30:08 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - Avec les années 70 et 80, on entre dans un monde où les murs sont tombés. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:30:08 - Jazz Collection - par : Alex Dutilh - Le pianiste de l'ultime séance d'enregistrement de Django ? Martial Solal. Comme un passage de témoin subliminal. - réalisé par : Pierre Willer
Dans les années 70, Bernard Mabille menait une vie à mille à l'heure ! Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
As Labour panic and freak out over Runcorn and the Locals, is Starmer drawing the wrong conclusions from the votes? Is “Reform are right, don't vote for them” the best they can do? Or should they pick more fights with the Right? Plus, what if this newfangled populism isn't so new after all? We talk to Quinn Slobodian, author of Hayek's Bastards: The Neoliberal Roots of the Populist Right, about why the shape-shifting Right are so hard to lay a glove on. And in the Extra Bit: Does VE Day hit differently now Europe is full of fascists, enthusiastically supported by the US President? ESCAPE ROUTES • Ros recommends Les Années (The Years) by Annie Earnaux. • Matt recommends With Nails by Richard E. Grant. • Dorian recommends Thunderbolts, in cinemas now. • Back us on Patreon for ad-free listening, bonus materials and more. Written and presented by Dorian Lynskey with Ros Taylor and Matt Green. Audio production by Robin Leeburn. Theme music by Cornershop. Produced by Chris Jones. Managing Editor: Jacob Jarvis. Group Editor: Andrew Harrison OH GOD, WHAT NOW? is a Podmasters production. www.podmasters.co.uk Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
durée : 02:29:51 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - . - réalisation : Félicie Faugère - invités : Hind Meddeb Journaliste et documentariste française; Marie Rose Moro Pédopsychiatre, directrice de la maison de Solenn, et professeure à l'université Paris-Descartes.; Hans Stark Professeur de civilisation allemande contemporaine à Sorbonne Université, conseiller pour les relations franco-allemandes à l'IFRI; Mathieu Bellahsen Psychiatre de secteur en région parisienne
Avec Vladimir Rodionov et Justine LePottier. Présenté par Florent Bernard et Adrien Ménielle. On en parle de choses dans cet épisode, mais surtout de Golden Moustache.Bises,Flo. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:31:24 - LSD, la série documentaire - par : Elodie Maillot - Le Palace hante les mémoires pour ses excès clinquants et ses soirées libertaires, mais alors que ce temple des nuits disco parisiennes est aujourd'hui fermé, LSD y revient avec ses anges blessés de la nuit pour y entendre une autre histoire disco. - réalisation : Thomas Dutter