Podcasts about siim kallas

Sel reedel on KUKU saates Kahe vahel oma 30. juubelit pidava Reformierakonna asutaja ja auesimees Siim Kallas. Meenutusterohkes saates tuleb juttu lisaks liberaalse maailmavaate juurutamisele Eestis ka majanduse käekäigust, suhetest siis ja praegu Venemaaga, Kaja Kallase teekonnast Euroopa Liidu kõrge välispoliitika esindaks ning paljust muustki. Saatejuhid on Ainar Ruussaar ja Timo Tarve.

C'est elle qui a été choisie pour incarner la diplomatie européenne : Kaja Kallas doit succéder à l'espagnol Josep Borrell pour devenir la Haute représentante de l'Union européenne. Agée de 47 ans, l'ancienne avocate dirige l'Estonie depuis 2021 mais elle s'est fait connaitre sur la scène internationale à partir de février 2022, avec l'invasion de l'Ukraine par la Russie.  Dans les semaines qui suivent le déclenchement du conflit, Kaja Kallas acquiert une stature et une renommée qui vont bien au-delà de la place démographique et économique de l'Estonie. En consacrant 30 % du budget de la défense de son pays à l'aide militaire à l'Ukraine – aucun pays européen n'en fait autant, et en défendant à chaque occasion une ligne très claire : il faut soutenir l'Ukraine coûte que coûte et ne rien céder à la Russie. « Elle s'est montrée très courageuse en mettant l'accent sur les choses importantes », pointe Margaret Seselgyte, directrice de l'Institut de relations internationales de l'Université de Vilnius. « Elle a parlé de l'aide à l'Ukraine mais aussi du gel des avoirs russes malgré l'absence de consensus à ce sujet. Elle a donc fait preuve de créativité et d'une position très ferme en ce qui concerne la guerre en Ukraine. »À lire aussiL'Estonienne Kaja Kallas, résolument anti-Poutine, à la tête de la diplomatie européenneUne position très ferme qui s'explique par la situation géographique de l'Estonie, coincée entre la mer Baltique et la Russie, mais aussi par l'histoire familiale de Kaja Kallas. Aujourd'hui âgée de 47 ans, la dirigeante estonienne est née sous l'URSS mais n'a que des souvenirs d'enfance de cette époque. En revanche, son arrière-grand-père a participé à la première indépendance du pays en 1920. Et, après la Seconde guerre mondiale, plusieurs membres de sa famille sont déportés par le pouvoir soviétique – ce que Kaja Kallas ne cesse de rappeler lorsqu'elle parle de « l'occupation russe » de son pays.  « Ma mère, déportée en Sibérie alors qu'elle était bébé, a souffert des crimes de guerre que la Russie a infligés à beaucoup trop de gens. En théorie, on parlait de paix, mais il s'agissait d'une paix selon les termes russes, c'est-à-dire des atrocités de masse, des répressions, de la colonisation. »Dans les pas de son pèreSa mère et sa grand-mère vont revenir de déportation au bout de dix ans. Et sa famille va de nouveau marquer l'histoire politique de l'Estonie : son père devient Premier ministre après la fin de l'URSS, puis commissaire européen durant une dizaine d'années. Kaja Kallas fait d'abord une carrière d'avocate, mais marche vite dans les pas de son père en devenant députée européenne pour le Parti de la Réforme, le parti libéral fondé par Siim Kallas en 1994. Elle devient Première ministre en 2021 et se fait donc très vite remarquer à l'international pour sa pugnacité…Paradoxalement, tandis que sa renommée ne cesse de croître sur la scène européenne, son étoile commence à pâlir en Estonie. Notamment en raison de difficultés économiques mais aussi d'un scandale retentissant lié à son mari. « Son mari avait des relations d'affaires avec la Russie, ce qui a suscité une controverse très grave, rappelle Margaret Seselgyte de l'Université de Vilnius. « D'un côté elle critiquait tous ces pays qui refusaient de sanctionner Moscou, et de l'autre elle n'était pas totalement transparente sur les affaires de son mari. Elle a prétendu qu'elle n'était pas au courant  mais cela n'a pas suffi et il y a eu un très grand scandale politique en Estonie mais aussi dans toute la région balte car ici les gens sont très sensibles à tout ce qui touche à la Russie. »Une victoire pour les pays de l'EstMais ces difficultés n'entament en rien son crédit sur la scène européenne – et son nom s'impose tout naturellement pour succéder à Josep Borrel. Kaja Kallas convoite un temps le poste de secrétaire général de l'Otan, mais renonce pour laisser la place au Néerlandais Mark Rutte, et se concentre alors sur le poste de Haut représentant de l'UE. À son expérience diplomatique et politique, à son incontestable expertise sur le dossier ukrainien, s'ajoutent des qualités personnelles : Kaja Kallas parle non seulement le russe et l'estonien, mais elle est à l'aise également en français et en anglais. Seule interrogation : sera-t-elle capable de s'occuper d'autres dossiers que celui de l'Ukraine ? « La politique étrangère de l'Union européenne va au-delà de l'Ukraine et des sanctions contre la Russie », relève Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors. « Et donc, effectivement, certains peuvent se demander si, vis à vis de la Méditerranée, du Maghreb, ou des crises en Afrique, elle aura autant de dynamisme pour porter la politique étrangère de l'Union européenne. »À lire aussiEstonie: la Première ministre dans la tourmente après la révélation des liens entre son mari et la RussieLe défi est d'autant plus délicat à relever que la diplomatie européenne est loin d'être univoque, en particulier sur la question du Proche-Orient et du conflit à Gaza. En témoignent les difficultés qu'aura rencontrées sur ce sujet Joseph Borell, depuis l'attaque terroriste du 7 octobre 2023. Une certitude : la nomination de Kaja Kallas à ce poste prestigieux, l'un des « top jobs » de l'Union européenne, constitue un signal très fort envoyé aux pays baltes et aux anciens pays du glacis soviétique…  « Je pense que c'est un grand succès pour l'Estonie mais aussi pour tous les pays de la région », se félicite Margaret Seselgyte. « Cela signifie que l'UE n'a plus peur de tenir compte de ce que nous disons depuis des années de la Russie, alors que nous avons longtemps été critiqués pour notre soi-disant paranoïa… Le fait que Kaja Kallas soit nommée, c'est une forme de justice qui nous est rendue ! Et symboliquement et émotionnellement, c'est pour nous une grande victoire. »

EKRE naispoliitikud Merle Kivest, Helle-Moonika Helme ja Evelin Poolamets nendivad, et kuigi Kaja Kallase Vene äri skandaali algusest on möödas pea poolteist kuud, ei tohi lähiajaloo suurimat skandaali vaiba alla pühkida. Selle asemel, et võtta poliitiline vastutus ja tagasi astuda, on peaminister Kaja Kallas asunud süüdistama ajakirjanikke ebavõrdses kohtlemises ning võtnud hambusse hoopis ekspresident Kersti Kaljulaidi. „Tema teeb ka,“ on Kallase kõige levinum vabandus. Teise teemana arutletakse tsensuuriseaduse tuleku üle. Seadust hakatakse rakendama eelkõige konservatiivide suhtes. Teiste riikide näitel on pihtide vahele võetud just maailmavaatelisi seisukohti esitavad arvamusliidrid. Nn „vihakõne tõkestamise“ peamine eesmärk on ühiskonna suukorvistamine ning hirmuõhkkonna loomine. Karistada võivad saada nn facebooki postitajad, kui poliitikud. Saate lõpuosas selgitatakse, milline on EKRE parlamentaarse obstruktsiooni eesmärk. Juttu tuleb ka Eesti Panga toetusest Siim Kallas raamatu kirjastamiseks. Saatekülalised imestavad, kuidas üldse on võimalik krooniliste „mäluprobleemidega“ võitleva inimese poolt elulugu kirja panna. Siim Kallase eluloo asemel soovitatakse lugeda Virkko Lepassalu raamatut „Kallase afäär“.

Siim Kallas rahareformi esimesest hommikust: "See oli omamoodi sürrealistlik pilt: päikesepaisteline ilm, tursked higised mehed loopisid rahakotte autode peale. Nagu filmis pangaröövlid!"

Première femme à diriger l'Estonie, cette femme politique de 44 ans s'est imposée depuis le début de la guerre en Ukraine comme la voix de la fermeté des pays baltes contre la Russie et pour un soutien total à Kiev. Une position qu'elle défendra à nouveau lors du prochain sommet de l'Otan. Alors que la tension est montée ces derniers jours autour de l'enclave russe de Kaliningrad, à la frontière lituanienne, la question de la sécurité aux limites est de l'Otan sera plus que jamais au programme du prochain sommet de l'Alliance Atlantique, prévu à Madrid les 29 et le 30 juin prochains. L'Estonie de Kaja Kallas, qui est membre de l'Union européenne et de l'Otan, compte bien peser pour un renforcement de la présence militaire occidentale aux frontières des pays baltes. Si l'Otan garde la même stratégie militaire concernant les pays baltes, « Tallinn et des siècles d'histoire et de culture » en Estonie, mais aussi « nos habitants, notre nation » seraient « rayés de la carte » en quelques jours en cas d'invasion russe, prévenait encore jeudi 23 juin Kaja Kallas, lors d'un entretien donné à la presse internationale. Elle souhaite que l'Otan triple ses effectifs militaires dans les pays baltes, en y installant une division complète, soit 20 000 à 25 000 hommes environ. Kaja Kallas est en effet persuadée que l'Estonie et ses voisins sont les prochains sur la liste de Moscou. « Quand mon père [ancien Premier ministre estonien] menait les négociations pour que l'Estonie adhère à l'Otan, dans les années 2000, on lui demandait souvent, “pourquoi ?” et on lui disait que la Russie n'était plus une menace, expliquait-elle le 9 mars devant le Parlement européen. Mais nous connaissons bien notre voisin, aujourd'hui comme hier. » Depuis le début de la guerre en Ukraine le 24 février, Kaja Kallas multiplie les interviews dans les médias internationaux. Avec toujours derrière elle le drapeau estonien, le drapeau européen et le drapeau de l'Otan, elle défend un soutien inconditionnel à Kiev. Une famille déportée en Sibérie L'ancien ministre et ex-eurodéputé centriste Jean Arthuis (qui a rejoint ensuite le parti d'Emmanuel Macron), a siégé avec Kaja Kallas au Parlement européen jusqu'en 2019, dans l'Alliance des démocrates et libéraux (ADLE), une coalition de centre droit. « Elle était très impliquée et très active, se souvient-il, et j'avais conscience qu'elle ne se contenterait pas de sa mission d'eurodéputée. Il est vrai que sa famille l'a bercée dans la politique », dit aussi celui qui a côtoyé Siim Kallas, le père de Kaja Kallas, lorsque ce dernier était Commissaire européen. Côté maternel, la Première ministre estonienne rappelle souvent que sa famille a souffert de la répression quand l'Estonie a été annexée après la Seconde Guerre mondiale. « Je viens d'une famille déportée en Sibérie par Staline sous l'Union soviétique », témoignait-elle le 9 mars devant le Parlement européen, dans un tailleur aux couleurs de l'Ukraine. « Ma mère n'avait que six mois quand elle a été envoyée de force avec sa mère et sa grand-mère dans un wagon à bestiaux vers ce que les Estoniens appellent “la terre froide”. » Et quand elle est interviewée par une chaîne de télévision américaine, elle n'hésite pas à reprendre le présentateur. « Merci, mais je suis obligée de vous corriger : nous ne faisions pas partie de l'Union soviétique, nous étions occupés par l'URSS », a-t-elle répondu - poliment, mais fermement - à Fox news, le 15 juin dernier. L'Estonie directement impactée par le conflit en Ukraine L'Estonie est - proportionnellement à son PIB - le premier soutien financier de l'Ukraine. Alors que les négociations entre Moscou et Kiev sont au point mort, Kaja Kallas n'hésite pas à critiquer ceux qui parmi les dirigeants occidentaux peuvent être tentés de pousser l'Ukraine à abandonner une partie de son territoire pour mettre fin à la guerre. Elle ne partage pas non plus les déclarations du président Emmanuel Macron, qui appelait à « ne pas humilier » la Russie. ► À lire aussi : Estonie: les libéraux du Parti de la réforme remportent les législatives « Elle dit qu'il ne faut pas arriver à tout prix à une paix rapidement, mais arriver à une victoire de l'Ukraine, ce qui est assez différent », souligne Céline Bayou, chercheure associée au Centre de recherche Europe-Eurasie de l'Inalco et rédactrice en chef de la revue Regard sur l'est. « Pour Kaja Kallas, si on essaie d'aller plus vite et de négocier trop vite avec la Russie, on risque de laisser le champ libre à Moscou pour recommencer [une guerre dans l'un des pays voisins] et donc on ne résoudra rien », résume-t-elle. Kaja Kallas a gagné en popularité depuis le début de la guerre en Ukraine, mais elle vient de perdre sa majorité au Parlement après des désaccords avec le Parti centriste. Cette formation politique, qui compte dans son électorat une partie de la minorité russophone du pays (environ 30% des Estoniens parlent russe), défendait une hausse des allocations familiales, « parce que l'Estonie a en ce moment l'un des taux d'inflation les plus élevés en Europe, explique Céline Bayou. Les prix de l'énergie ont explosé, car l'Estonie applique les sanctions européennes à l'égard de la Russie, mais aussi, car elle vient de décider qu'elle n'importerait plus ni pétrole ni gaz russes. » La guerre pèse donc sur la situation interne du pays, au point de mener à une crise politique : Kaja Kallas est en ce moment en pleine négociations pour former une nouvelle coalition et tenter de retrouver une majorité au Parlement, quelques mois seulement avant les prochaines élections législatives, prévues en mars 2023.

Eesti Konservatiivse Rahvaerakonna poliitikud Merle Kivest (Tartu linnavolikogu liige), Helle-Moonika Helme (Riigikogu liige) ja Evelin Poolamets (EKRE volikogu esimees, Vinni vallavolikogu liige) räägivad saates „Elust ja poliitikast“ valitsuskriisist ja muust aktuaalsest.“See oli kassipoegade uputamise tunne,” kommenteeris Merle Kivest Kaja Kallase käitumist Keskerakonna ministritega. Evelin Poolamets ironiseeris, et ta oleks võinud ju ka kõik Reformierakonna ministrid lahti lasta, et ainuisikuliselt riiki valitseda.Saates otsitakse vastuseid küsimustele: miks Boris Johnson Kaja Kallast tavapärase viisakusega vastu ei võtnud?, kas paarsada eurot perelt suvetendusel käimise eest on jõukohane?, miks solvavad Kaja ja Siim Kallas lasterikkaid peresid?, miks tegi Kallase valitsus kingituse peavoolumeediale?Lisatakse, et ka liberaalne meedia on „Elust ja poliitikast“ üles leidnud ning püüab „faktikontrolli“ teha.Saatesari “Elust ja Poliitikast” on koht, kus rahvuskonservatiivsed naised võtavad sõna erinevatel igapäevaelu ja poliitikat puudutavatel teemadel.

Siim Kallas rahareformi õnnestumise põhjustest: "Peafaktor oli rahva tohutu vaimustus!"

Siim Kallas ja Daniel Vaarik räägivad, mis tunne on olnud Putinit oma silmaga näha ning kuuleme, kuidas kunagine Putini pooldaja temasse usu kaotas.Autor, saatejuht, helikujundus: Georgi AbolõmovIllustratsioon: Joonas Sildre

Siim Kallas rahareformi esimesest hommikust: "See oli omamoodi sürrealistlik pilt: päiksepaisteline ilm, tursked higised mehed loopisid rahakotte autode peale. Nagu filmis pangaröövlid!"

Siim Kallas rahareformi õnnestumise põhjustest: "Peafaktor oli rahva tohutu vaimustus!"

Siim Kallas, "Eduard Alver. Tema aeg ja inimesed". Kirjastuselt Varrak. Tutvustab Marek Strandberg. Oma raamatu saateks on Siim Kallas kirjutanud järgmist: „See on jutustus Eesti Vabariigist ja nendest episoodidest, sündmustest ja protsessidest, millega otse või kaudselt oli seotud minu vanaisa Eduard Alver. Tegelaste seas on terve hulk Eduard Alveri kaastöötajaid ja ajaloolisi isikuid."

Siim Kallas, "Eduard Alver. Tema aeg ja inimesed". Kirjastuselt Varrak. Tutvustab Marek Strandberg. Oma raamatu saateks on Siim Kallas kirjutanud järgmist: „See on jutustus Eesti Vabariigist ja nendest episoodidest, sündmustest ja protsessidest, millega otse või kaudselt oli seotud minu vanaisa Eduard Alver. Tegelaste seas on terve hulk Eduard Alveri kaastöötajaid ja ajaloolisi isikuid."

Reformierakonna auesimehe Siim Kallasega tuleb juttu nii eelmistest presidendivalimistest kui ka neist, mis ees.

"Tähelepanu, Mnemoturniir! 1000 küsimust ja vastust aastatest 1968-2020". Kirjastuselt Varrak. Selle nädala raamatusse on staažikas mälumängur ja küsimuste esitaja Rein Laumets kokku kogunud 1000 küsimust ja vastust, mis on aastakümnete jooksul pakkunud peamurdmist mängijatele ning rõõmustanud paljusid teadmishimulisi raadiokuulajaid. Raamatut tutvustavad Rein Laumets ja Siim Kallas, saadet juhib Timo Tarve.

“Tähelepanu, Mnemoturniir! 1000 küsimust ja vastust aastatest 1968-2020”. Kirjastuselt Varrak. Selle nädala raamatusse on staažikas mälumängur ja küsimuste esitaja Rein Laumets kokku kogunud 1000 küsimust ja vastust, mis on aastakümnete jooksul pakkunud peamurdmist mängijatele ning rõõmustanud paljusid teadmishimulisi raadiokuulajaid. Raamatut tutvustavad Rein Laumets ja Siim Kallas, saadet juhib Timo Tarve.

"Tähelepanu, Mnemoturniir! 1000 küsimust ja vastust aastatest 1968-2020". Kirjastuselt Varrak. Selle nädala raamatusse on staažikas mälumängur ja küsimuste esitaja Rein Laumets kokku kogunud 1000 küsimust ja vastust, mis on aastakümnete jooksul pakkunud peamurdmist mängijatele ning rõõmustanud paljusid teadmishimulisi raadiokuulajaid. Raamatut tutvustavad Rein Laumets ja Siim Kallas, saadet juhib Timo Tarve.

Saate külaline on täna Siim Kallas, kellega räägime (peamiselt) Euroopa arengutest - uuest Euroopa Komisjonist, Brexitist jms.

Saate külaline on täna Siim Kallas, kellega räägime (peamiselt) Euroopa arengutest - uuest Euroopa Komisjonist, Brexitist jms.

Nädala Tegija on Viimsi värske vallavanem Siim Kallas.

Miks veavad riikide välispoliitikat üha enam ähvardused ja hirmud, mitte ratsionaalne arutelu? Kuidas on juhtunud, et hirm islami ja Venemaa ees on muutunud peaaegu et üheks tähtsaimaks eelseisvate kohalike valimiste teemaks? Hirmudest välispoliitikas ja nende peegeldustest sisepoliitikas räägivad uue hooaja esimeses "Reporteritunnis" Euroopa Komisjoni endine volinik Siim Kallas ja poliitikavaatlejast suhtekorraldaja Ott Lumi. Saatejuht on Indrek Kiisler. Kuulake 4. septembril kell 14.05.

Miks veavad riikide välispoliitikat üha enam ähvardused ja hirmud, mitte ratsionaalne arutelu? Kuidas on juhtunud, et hirm islami ja Venemaa ees on muutunud peaaegu et üheks tähtsaimaks eelseisvate kohalike valimiste teemaks? Hirmudest välispoliitikas ja nende peegeldustest sisepoliitikas räägivad uue hooaja esimeses "Reporteritunnis" Euroopa Komisjoni endine volinik Siim Kallas ja poliitikavaatlejast suhtekorraldaja Ott Lumi. Saatejuht on Indrek Kiisler. Kuulake 4. septembril kell 14.05.

Räägime Siim Kallasega Donald Trumpi valitsemise esimesest sajast päevast, Prantsusmaa presidendivalimiste vaheseisust ja viimastest uudistest seoses Brexitiga, aga ka Põhja-Korea tuumaähvardustest. Saatejuht on Peeter Kaldre. Kuulake 2. mail kell 14.05.

Räägime Siim Kallasega Donald Trumpi valitsemise esimesest sajast päevast, Prantsusmaa presidendivalimiste vaheseisust ja viimastest uudistest seoses Brexitiga, aga ka Põhja-Korea tuumaähvardustest. Saatejuht on Peeter Kaldre. Kuulake 2. mail kell 14.05.

Urmas Vadi: "Palestiinas kuulutati välja Iisraeli riik. Londonis toimuvad esimesed sõjajärgsed olümpiamängud. Sel aastal on sündinud Alice Cooper, Jüri Vlassov ja Siim Kallas. Ja ilmub Debora Vaarandi luulekogu "Kohav rand".Kindlasti on see luulekogu heaks näiteks, mis võtab kokku toonast aega ja retoorikat, mida tähendas luule, mis oli soositud. Märksõnaks, mis seda kogu kõige paremini iseloomustab, on jälkus. Mis puuub meelsust, poeetikat ja värsimõõtu, siis nagu ei kirjutaks neid ridu inimene, vaid õmblusmasin. Uljalt ja väsimatult.

Urmas Vadi: "Palestiinas kuulutati välja Iisraeli riik. Londonis toimuvad esimesed sõjajärgsed olümpiamängud. Sel aastal on sündinud Alice Cooper, Jüri Vlassov ja Siim Kallas. Ja ilmub Debora Vaarandi luulekogu "Kohav rand".Kindlasti on see luulekogu heaks näiteks, mis võtab kokku toonast aega ja retoorikat, mida tähendas luule, mis oli soositud. Märksõnaks, mis seda kogu kõige paremini iseloomustab, on jälkus. Mis puuub meelsust, poeetikat ja värsimõõtu, siis nagu ei kirjutaks neid ridu inimene, vaid õmblusmasin. Uljalt ja väsimatult.

Sel nädalal usutleme Vikerraadio eetris neid Eesti kodanikke, kes on kogunud vajaliku toetuse, et kandideerida presidendiks Riigikogus. Esmaspäeval, 22. augustil kell 14.05 on otsestuudios Siim Kallas, teisipäeval samal ajal Mailis Reps, kolmapäeval Allar Jõks ning neljapäeval Eiki Nestor.Küsitlevad Mirko Ojakivi ning Arp Müller.

Sel nädalal usutleme Vikerraadio eetris neid Eesti kodanikke, kes on kogunud vajaliku toetuse, et kandideerida presidendiks Riigikogus. Esmaspäeval, 22. augustil kell 14.05 on otsestuudios Siim Kallas, teisipäeval samal ajal Mailis Reps, kolmapäeval Allar Jõks ning neljapäeval Eiki Nestor.Küsitlevad Mirko Ojakivi ning Arp Müller.

Ekspressi külalispeatoimetaja Siim Kallas sai täna lõpuks selguse, et Reformierakond toetab tema kandidatuuri Riigikogus, aga valimisvõitluse lõpuni siduvat toetust ei antud. Mida selline määramatus tähendab ja mis üleüldse toimus tänasel Reformierakonna koosolekul toimus, sellest tuligi Kallas Ekspressi raadiosaatesse rääkima. Muuhulgas annab Kallas aru, et kui palju maksab tema käekell. Nimelt on tema konkurendi Marina Kaljuranna käekott endiselt paljudel teemana keelel, kuid see omakorda pahandas naisõiguslasi, kelle arvates võiks meedia uurida ka meespoliitikute käekellade maksumusi. Selgus, et Kallase kell pole VÄGA kallis. Saate teises pooles on külas TV3e kõige tuntum spordikommentaator Kalev Kruus, kes räägib spordifänni keerulisest elust ja valikutest olümpia eel. Muuhulgas räägib Kruus, et kellelt ta medaleid loodab, mida ta arvab üha süvenemast dopingukollist ja milliseid ülekandeid ta kindlasti kõigile vaadata soovitab. Saate lõpus laulab USA lauljatar Mitski looga „Your Best American Girlfriend“ ja see on lihtsalt väga-väga hea lugu. Saadet juhtisid Dannar Leitmaa ja Otto Oliver Olgo.

Siim Kallas seadis ennast esimesena üle sügisel toimuva presidendivalimise kandidaadi kandidaadiks. Kuigi Kallas avaldas oma nädalataguses kõnes lootust, et tema kõrvale kerkib teisigi kandidaate kellega saaks ka sisulist debatti pidada, ei ole seda seni veel juhtunud. Nädala Tegijas pärime Siim Kallaselt miks ta presidendiks saada tahab ning millisena näeks tema oma rolli Eesti Esimese Mehena. (Hindrek Riikoja.)

Stuudios on Siim Kallas ja Rein Müllerson, jutuks tuleb Venemaa globaalne naasmine Süürias ja mujal nö suurjõudude esimesse ritta muuhulgas läbi Pariisi rünnakute prisma. Räägime ka selle ettenähtavast mõjust Eestile.Saatejuht on Ahto Lobjakas. Kuula 17. novembril kell 14.05, kordusena kell 19.05.

Stuudios on Siim Kallas ja Rein Müllerson, jutuks tuleb Venemaa globaalne naasmine Süürias ja mujal nö suurjõudude esimesse ritta muuhulgas läbi Pariisi rünnakute prisma. Räägime ka selle ettenähtavast mõjust Eestile.Saatejuht on Ahto Lobjakas. Kuula 17. novembril kell 14.05, kordusena kell 19.05.

Kuidas mõista Saksa- ja Prantsusmaa riigijuhte, kes soovivad sadade tuhandete pagulaste kohustuslikku jagamist kõikide euroliidu riikide vahel; kes heidavad Ida-Euroopa riikidele ette kaastunde defitsiiti ja solidaarsustunde puudumist. Kas Ida-Euroopa on tagurlik?Otsestuudios diskuteerivad liberaal Siim Kallas ja konservatiiv Lauri Vahtre. Saatejuht on Arp Müller.

Kuidas mõista Saksa- ja Prantsusmaa riigijuhte, kes soovivad sadade tuhandete pagulaste kohustuslikku jagamist kõikide euroliidu riikide vahel; kes heidavad Ida-Euroopa riikidele ette kaastunde defitsiiti ja solidaarsustunde puudumist. Kas Ida-Euroopa on tagurlik?Otsestuudios diskuteerivad liberaal Siim Kallas ja konservatiiv Lauri Vahtre. Saatejuht on Arp Müller.

Seekordne Nädala Tegija külaline on Euroopa Komisjoni asepresident Siim Kallas, kellega räägime järgmisest komisjoni presidendist ning sellest, mis portfellid järgmises komisjonis olulised saavad olema. Samuti uurime, kuidas Kallas vaatab tagasi oma kümnele ametiaastale ning millised on siis ikkagi tema tulevikuplaanid – kas ta jätabki poliitika või võib teda edaspidi siiski mõnel olulisel ametipostil näha. (Kärt Anvelt.)

Kas Reformierakonna juhatus saab Siim Kallast volitada uut valitsust koostama. Eesti-Vene piirileping taas alla kirjutatud. Päev enne kadus Interpoli kodulehelt Eerik-Niiles Krossi tagaotsimiskuulutus. Eesti poliitikas on lootusrikas aeg: Anvar Samost, Siim Kallas, uued algatused erakondade loomiseks, ühiskonnategelaste avaldused jms. Ukraina olukord pakub jätkuvalt peamurdmist. (Priit Hõbemägi, Ainar Ruussaar, Eerik-Niiles Kross.)

Kahel viimasel nädalal on räägitud, et peaminister Andrus Ansip lahkub ametist – tõenäoliselt teatab ta sellest juba pühapäeval Tartus oma traditsioonilisel vabariigi sünnipäeva eelses kõnes – ning tema asemel võtab valitsusjuhina koha sisse Siim Kallas. Tänane Nädala Tegija külaline ongi ekspeaminister, praegune Euroopa Komisjoni volinik ning tõenäoline tulevane peaminister Siim Kallas. Saatejuht on Kärt Anvelt. (Kärt Anvelt.)

Kindlam kui surm ja maksud. Siim Kallas kustutas Eesti laevaomanike lootuse pääseda väävlidirektiivi täitmisest. Lodjahooaeg on täies hoos. Sel suvel koduvetel rännanud Jõmmu meeskond saab hakkama nii tähevaatluste kui pannkoogiküpsetamisega. Jääämurdja Tarmo valmistub hooajaks. Selleks hiivati laev laevatehase dokki. (Küllike Rooväli.)