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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 14 novembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.CONSOMMATEUR OU CITOYEN : LES CONTRADICTIONS FRANÇAISESDominant dans le commerce en ligne, Shein, le géant chinois de la mode jetable, s'est installé le 5 novembre pour la première fois en boutique, au BHV parisien puis progressivement dans des Galeries Lafayette franchisées à Dijon, Reims, Grenoble, Angers et Limoges. Une arrivée qui provoque un tollé dans le secteur. Spécialiste de la mode éphémère – une production caractérisée par le renouvellement ultra-rapide des collections à des prix cassés dépourvus de normes sociales et environnementales –, le géant chinois a été condamnée à 40 millions d'euros d'amendes par la Direction générale de la répression des fraudes pour « pratiques commerciales trompeuses », puis à 150 millions d'euros par la Commission nationale de l'informatique et des libertés pour « non-respect du consentement des internautes » dans la collecte de leurs données. Adoptée par l'Assemblée nationale puis amendée par le Sénat en juin 2025, la proposition de loi visant à « démoder la mode éphémère grâce à un système de bonus-malus » revient au cœur des débats.Le chiffre d'affaires de Shein en France (son deuxième marché dans le monde après les États-Unis) était de plus de 1,5 milliard d'euros en 2024. Cette année-là, l'Institut français de la mode a estimé que 35 % des Français ont acheté au moins un produit sur la plateforme Shein, qui compte plus de 12 millions d'utilisateurs par mois. Ces derniers savent pertinemment ce qui est reproché à l'entreprise, ses pratiques contestées et l'impact que son essor à sur le prêt-à-porter français. N'importe. Le caractère compulsif de l'achat est plus fort. Dans un pays pourtant obsédé par la reconquête de sa « souveraineté », qui tient la mondialisation en horreur, le consommateur agit souvent à rebours des convictions du citoyen.Ainsi, si selon un sondage Ipsos BVA, les Français placent sans surprise le prix en tête des critères guidant leurs achats (62 %), devant la qualité (58 %) et la durabilité (32 %) des vêtements, toutefois, 49 % des sondés expriment une « mauvaise opinion » à l'égard de la qualité des produits. Et 52 % désapprouvent l'installation d'une boutique Shein au BHV. Une nette majorité approuverait des mesures « pour freiner le développement des géants chinois de l'habillement en France et en Europe ». En Dr Jekyll et Mr Hyde, nous exigeons du gouvernement ou de l'Union européenne qu'ils régulent les opérateurs dont les pratiques mettent à mal notre économie, nos emplois et la planète, quand nous achetons leurs produits et leurs services. Et ce n'est pas vrai que dans le secteur de la mode ou du textile… Philippe Moati, cofondateur de l'Observatoire société et consommation prévient : « En cas de désaccord entre le citoyen et le consommateur, c'est le consommateur qui gagne quand l'offre est très attractive.COP 30L'objectif de limiter le réchauffement climatique à 1,5°C par rapport à l'ère préindustrielle, figurant dans l'Accord de Paris il y a 10 ans, est « sur le point de s'effondrer », a averti fin septembre le secrétaire général de l'ONU Antonio Guterres. Du 10 au 21 novembre, la COP 30 est réunie à Belém, au Brésil aux portes de l'Amazonie. Le président brésilien Lula entend faire des forêts l'un de ses sujets principaux de cette conférence. Il souhaite y formaliser un fonds d'un nouveau genre, une « Facilité de financement des forêts tropicales » visant 125 milliards de dollars de collecte, placés sur les marchés financiers. Les bénéfices rémunéreront des pays à forte couverture forestière et à faible déforestation pour leurs efforts de conservation. Cinq autres États disposant de forêts tropicales ont rejoint le projet (Colombie, Ghana, République démocratique du Congo, Indonésie et Malaisie). Par ailleurs, cinq pays développés qui pourraient investir à l'avenir travaillent à organiser l'initiative (Allemagne, Émirats arabes unis, France, Norvège et Royaume-Uni).Depuis 2015, chaque pays doit soumettre tous les cinq ans une feuille de route climatique détaillant sa stratégie de réduction des émissions de gaz à effet de serre, afin de mesurer leurs efforts pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. Mais alors que ces « contributions déterminées au niveau national » devaient être rendues avant la fin du mois de septembre, dans un contexte géopolitique tourmenté, où les guerres, les conflits commerciaux et la pression du président américain climatosceptique qui s'est retiré de l'Accord de Paris ont relégué le climat au second plan. Ainsi, la majorité des pays n'avaient pas rendu leur copie à la veille de la conférence, tandis que les États-Unis n'enverront pas de représentants de haut niveau à Belém.En 2019, la Commission européenne lançait le pacte vert pour l'Europe, avec un objectif ambitieux : faire de l'Europe le premier continent climatiquement neutre d'ici à 2050. Mais sous la pression de lobbies agricoles et depuis le virage à droite et à l'extrême droite du Parlement après les élections de 2024, la copie initiale est peu à peu revue à la baisse : abandon de la loi sur les pesticides, assouplissement de la politique agricole commune, remise en question de l'interdiction des voitures thermiques d'ici à 2035, de la finance durable et de la responsabilité des entreprises… En France, après avoir clamé « Make our planet great again (« Rendez sa grandeur à la planète »), Emmanuel Macron se montre moins écologiste au fil de ses deux mandats. Son gouvernement n'a pas tenu sa promesse de sortie du glyphosate en trois ans, a édulcoré la loi zéro artificialisation nette et délivre encore des permis d'hydrocarbures. Il entend compenser son peu d'allant dans le développement des énergies renouvelables par la relance du nucléaire. Cependant, selon un sondage Ipsos, 89% des Français disent leur inquiétude face à l'aggravation de la crise climatique.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die Nasionale Vergadering is in reses tot Februarie 2026. Dit is sodat parlementslede na hul verskillende kiesafdelings kan reis vir die komende streekraad- en plaaslike owerheidsverkiesings. Kosmos 94.1 Nuus het gepraat met Sakeus Kadhikwa, die Nasionale Vergadering se woordvoerder.
C dans l'air du 14 novembre 2025 - Budget: dépenses partout, économies nulle partLe budget va-t-il être voté à l'Assemblée nationale ? Déjà très serré, le calendrier des discussions budgétaires a été rendu encore plus complexe par la décision du gouvernement de ne pas faire siéger les députés au cours du week-end. La gauche a immédiatement dénoncé cette décision, certains députés accusant l'exécutif de chercher à empêcher la tenue d'un vote.Sur la partie du budget de l'État consacrée aux recettes, un vote était initialement prévu lundi prochain. Mais « au rythme auquel nous avançons, il est évident que lundi nous ne terminerons pas les 1 900 amendements » restants sur ce premier volet, a déclaré jeudi le ministre des Relations avec le Parlement, Laurent Panifous. D'autre part, « nous devons également tenir compte de la fatigue qui existe chez les députés, chez les collaborateurs, chez les administrateurs » de l'Assemblée, a-t-il ajouté dans l'hémicycle, précisant avoir été « saisi » par plusieurs groupes sur la question. Les débats ne se poursuivront donc pas « samedi et dimanche », a-t-il annoncé, mais reprendront lundi dès 9 h, au lieu du milieu de journée.Cette décision est jugée « inacceptable » par la cheffe des députés écologistes, Cyrielle Chatelain, qui a accusé l'exécutif « d'organiser […] le fait que cette assemblée ne puisse pas se prononcer sur le budget ». « Ne prenez pas prétexte de la fatigue des uns et des autres pour nous empêcher de pouvoir voter sur le budget de l'État », a abondé le coordinateur de La France insoumise, Manuel Bompard.L'ensemble du texte doit être transmis au Sénat le 23 novembre à minuit, selon les délais constitutionnels. S'il semble clair que les députés n'auront pas le temps d'aller au bout, un vote sur la seule partie “recettes” n'est pas non plus assuré.Faute de temps, les députés n'ont déjà pas voté le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Les débats ont été interrompus à l'Assemblée nationale dans la nuit du mercredi 12 au jeudi 13 novembre, et c'est le texte modifié par les amendements des députés qui va être examiné par le Sénat à partir de la semaine prochaine. Et pour le ministre du Travail, le compte n'y est pas. D'un « déficit de 17,5 milliards d'euros » prévu initialement par le gouvernement, les députés sont passés à un déficit « d'environ 24,3 milliards d'euros », a expliqué Jean-Pierre Farandou dans les colonnes du Parisien. À ce stade, « il nous manque beaucoup d'économies que l'on a du mal à faire voter », a-t-il reconnu.Selon les calculs du rapporteur général de la commission des Affaires sociales, Thibault Bazin (LR), les changements apportés par l'Assemblée nationale au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2026 creuseraient son déficit de 6,8 milliards d'euros.Parmi ces amendements figure le rejet d'une taxe exceptionnelle sur les contrats des complémentaires santé, le maintien des exonérations de cotisations pour les apprentis, la suspension de la réforme des retraites de 2023, la suppression du gel des pensions…Autant de points qui ont suscité une levée de boucliers ces dernières semaines, notamment chez les retraités qui ont, fait rare, manifesté la semaine dernière dans les rues de France. Nous sommes allés à la rencontre de plusieurs retraités qui ont manifesté le 6 novembre dernier à Granville, dans la Manche.La colère gagne également les agriculteurs qui se disent à nouveau prêts à se mobiliser après les propos d'Emmanuel Macron sur le Mercosur. Ces derniers sont vent debout contre le traité de libre-échange en discussion entre l'Europe et les pays d'Amérique latine, qu'ils jugent néfaste pour eux. Reportage ce soir chez un exploitant agricole à Lens-Lestang.Nos experts : - CÉCILE CORNUDET - Éditorialiste politique - Les Echos - NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle - THOMAS PORCHER - Économiste, professeur à la Paris School of Business
C'est une page sombre de l'histoire irlandaise. Jusqu'à la fin des années 1970, des milliers d'enfants, pauvres ou orphelins, étaient placés par les tribunaux, sous la tutelle de religieuses, dans des institutions censées les éduquer. Or, ces « écoles » dites industrielles furent souvent le théâtre de violences – physiques, psychologiques et sexuelles –, infligées à des générations d'enfants. Quatre survivants, trois femmes et un homme, ont vécu pendant près de deux mois dans la rue, devant le Parlement de Dublin. Emmitouflée dans plusieurs pulls, Miriam se tient devant la tente qu'elle a partagée avec trois autres survivants durant 52 jours. Placée bébé à l'école industrielle de Tralee, dans l'ouest de l'Irlande, elle raconte, à 68 ans aujourd'hui, l'enfer que les religieuses faisaient subir aux enfants « La première chose que les Sœurs faisaient, c'est te voler ton nom pour t'attribuer un numéro : le mien, c'était 1-0-6-1. Elles t'arrachaient ta personnalité, ta dignité, ta voix… Nous n'allions jamais nulle part, nous n'avions ni dentifrice, ni savon, et jamais d'eau chaude. Nos journées se résumaient à coudre, à travailler, pour des gens de dehors. Et pour cela, nous n'avons jamais été payés », témoigne-t-elle. En plus du travail forcé, les religieuses – dont la « charité » n'avaient que le nom – infligeaient aux enfants violences et humiliations. « Elles t'attachaient nue à un lit, l'une d'elles comptait, et elles te frappaient cent fois. Et elles forçaient tes frères et sœurs, et tes amis, à regarder… », se souvient-elle avec effroi. Ces écoles industrielles font partie de ces institutions gérées conjointement par l'État irlandais et l'Église, tout au long du XXe siècle. L'un des plus grands scandales du pays, au même titre que les couvents de la Madeleine, où plus de 30 000 femmes – considérées impures – étaient condamnées à travailler sans relâche, exploitées par les nonnes. Selon James Gallen, professeur et spécialiste des institutions religieuses à la Dublin City University (DCU), après huit siècles de domination britannique, l'Église catholique a su profiter à cette époque de la fragilité d'un État tout juste sorti de la guerre civile pour étendre son emprise. « L'Irlande nouvellement indépendante était en proie à une profonde insécurité sur son identité. On craignait de découvrir que les Irlandais étaient incapables de se gouverner eux-mêmes, que notre idéal d'une Irlande sainte et catholique n'était qu'une illusion. C'est pourquoi les autorités étaient très déterminées à présenter l'Irlande comme un pays moralement pur », explique-t-il. Depuis presque deux mois, les quatre survivants affirmaient ne vivre que d'eau et de café. Et pourtant, rien n'a entamé la force du groupe, selon Miriam : « Je pense que c'est parce que nous avons souffert enfants : nous sommes des survivants, et c'est pour ça que nous sommes plus forts qu'ils ne le pensent. Ils commencent seulement à comprendre la résilience et la détermination que nous avons. Nous resterons ici jusqu'à ce que nous obtenions ce que le gouvernement nous a promis. » Et c'est enfin chose faite ! Mardi, le Premier ministre irlandais, Micheál Martin, les a appelés à mettre fin à leur mouvement. Les grévistes de la faim devraient désormais bénéficier de soins médicaux gratuits, ainsi que d'un soutien financier. Le soulagement pour Miriam, qui dit s'être battue non seulement pour elle, mais aussi pour les 4 000 autres survivants des écoles industrielles irlandaises. À lire aussiIrlande: exhumation de 796 bébés d'un foyer religieux, «nous pensions que ce jour n'arriverait jamais»
Deze week bespreekt Annette van Soest met Diederik Samsom, een van de architecten van de Green Deal en auteur van het boek “Groene Supermacht”, de staat van het klimaatbeleid in Europa. Want de Green Deal die hij samen met Frans Timmermans in de steigers zette staat onder druk. Zowel in de Raad als in het Parlement wordt er aan belangrijke klimaatmaatregelen gemorreld. Maar volgens Samsom is het nog niet te laat. Hoe komt klimaat weer bovenaan de politieke agenda? Welke stappen moet de EU zetten? En hoe wordt Europa een groene supermacht? Dat hoor je hier. Tips en verwijzingen uit deze aflevering: - Diederik Samson tipt ‘Politics on the Edge' van Rory Stewart https://www.bol.com/nl/nl/p/politics-on-the-edge/9300000165750748/- Redacteur Guus raadt de podcast ‘Everything Energy' van het Internationaal Energieagentschap aan. https://www.iea.org/podcasts/everything-energy - Annette tipt ‘Het gore lef' van Sarah Arnolds https://dasmag.nl/product/het-gore-lef/- Het nieuwe boek van Diederik Samsom ‘Groene Supermacht' is vanaf dinsdag 18 november verkrijgbaar. https://kiosk.decorrespondent.nl/products/groene-supermacht-diederik-samsom?variant=55839599624527 Annette van Soest is host van Café Europa en presentator voor o.a. Haagsch College en omroep HUMAN. De podcast Café Europa is een initiatief van Haagsch College en Studio Europa MaastrichtDeze podcast wordt mede mogelijk gemaakt door Nieuwspoort.
C'est une page sombre de l'histoire irlandaise. Jusqu'à la fin des années 1970, des milliers d'enfants, pauvres ou orphelins, étaient placés par les tribunaux, sous la tutelle de religieuses, dans des institutions censées les éduquer. Or, ces « écoles » dites industrielles furent souvent le théâtre de violences – physiques, psychologiques et sexuelles –, infligées à des générations d'enfants. Quatre survivants, trois femmes et un homme, ont vécu pendant près de deux mois dans la rue, devant le Parlement de Dublin. Emmitouflée dans plusieurs pulls, Miriam se tient devant la tente qu'elle a partagée avec trois autres survivants durant 52 jours. Placée bébé à l'école industrielle de Tralee, dans l'ouest de l'Irlande, elle raconte, à 68 ans aujourd'hui, l'enfer que les religieuses faisaient subir aux enfants « La première chose que les Sœurs faisaient, c'est te voler ton nom pour t'attribuer un numéro : le mien, c'était 1-0-6-1. Elles t'arrachaient ta personnalité, ta dignité, ta voix… Nous n'allions jamais nulle part, nous n'avions ni dentifrice, ni savon, et jamais d'eau chaude. Nos journées se résumaient à coudre, à travailler, pour des gens de dehors. Et pour cela, nous n'avons jamais été payés », témoigne-t-elle. En plus du travail forcé, les religieuses – dont la « charité » n'avaient que le nom – infligeaient aux enfants violences et humiliations. « Elles t'attachaient nue à un lit, l'une d'elles comptait, et elles te frappaient cent fois. Et elles forçaient tes frères et sœurs, et tes amis, à regarder… », se souvient-elle avec effroi. Ces écoles industrielles font partie de ces institutions gérées conjointement par l'État irlandais et l'Église, tout au long du XXe siècle. L'un des plus grands scandales du pays, au même titre que les couvents de la Madeleine, où plus de 30 000 femmes – considérées impures – étaient condamnées à travailler sans relâche, exploitées par les nonnes. Selon James Gallen, professeur et spécialiste des institutions religieuses à la Dublin City University (DCU), après huit siècles de domination britannique, l'Église catholique a su profiter à cette époque de la fragilité d'un État tout juste sorti de la guerre civile pour étendre son emprise. « L'Irlande nouvellement indépendante était en proie à une profonde insécurité sur son identité. On craignait de découvrir que les Irlandais étaient incapables de se gouverner eux-mêmes, que notre idéal d'une Irlande sainte et catholique n'était qu'une illusion. C'est pourquoi les autorités étaient très déterminées à présenter l'Irlande comme un pays moralement pur », explique-t-il. Depuis presque deux mois, les quatre survivants affirmaient ne vivre que d'eau et de café. Et pourtant, rien n'a entamé la force du groupe, selon Miriam : « Je pense que c'est parce que nous avons souffert enfants : nous sommes des survivants, et c'est pour ça que nous sommes plus forts qu'ils ne le pensent. Ils commencent seulement à comprendre la résilience et la détermination que nous avons. Nous resterons ici jusqu'à ce que nous obtenions ce que le gouvernement nous a promis. » Et c'est enfin chose faite ! Mardi, le Premier ministre irlandais, Micheál Martin, les a appelés à mettre fin à leur mouvement. Les grévistes de la faim devraient désormais bénéficier de soins médicaux gratuits, ainsi que d'un soutien financier. Le soulagement pour Miriam, qui dit s'être battue non seulement pour elle, mais aussi pour les 4 000 autres survivants des écoles industrielles irlandaises. À lire aussiIrlande: exhumation de 796 bébés d'un foyer religieux, «nous pensions que ce jour n'arriverait jamais»
Die Nasionale Vergadering het meer as twee weke voor, soos sy reëls dit bepaal, vir die jaar verdaag. Baie min werk is afgehandel en die parlement kom gereeld onder skoot vir sy ondoeltreffendheid. Tydens die sessie, na die Speaker die reses aangekondig het, het die IPC se John-Louw Mouton sy beswaar daarteen so uitgelig.
Tax Justice South Africa sê die regering moet deurdruk met kriminele vervolgings soos die Suid-Afrikaanse Inkomstediens wat die lisensies van drie sigaretvervaardigers opgeskort het. Die minister van Finansies Enoch Godongwana het die stap Woensdag in sy mediumtermyn-begrotingsrede in die Parlement aangekondig. Die stigter van Tax Justice SA, Yusuf Abramjee, sê hulle verwelkom die regering se sterker optrede teen misdadigers wat die land jaarliks van 28 miljard Suid-Afrikaanse rand aan aksynsbelasting net op tabak beroof:
Send us a textIn deze aflevering bij Ancilla van de Leest aan tafel:Voormalig advocaat en auteur Frank Stadermann over zijn boek “De Corona Inquisitie”, hoe het ontstond en waarom het een belangrijk document is geworden. De Wet Transparantie Maatschappelijk Organisaties (Wtmo) ligt bij de Eerste Kamer. Experts waarschuwen dat privacyschending en machtsmisbruik op de loer liggen met dergelijke verregaande administratieve dwang. Senator in de Eerste Kamer voor FvD Joris van den Oetelaar zet zich in om deze wet tegen te gaan en vertelt daarover. Vanaf december mag de ME twee jaar lang waterkanonnen verrijkt met traangas en vèr-sproeiende pepperspray uitproberen om de openbare orde te handhaven. Voormalig rechercheur Dennis Spaanstra geeft zijn visie op deze uitbreiding van het handhavingsarsenaal. Rusland ondernemer Peter van Stigt bezoekt sinds begin jaren 90 regelmatig de voormalige Sovjet Unie. Het optimisme dat ontstond na de val van de muur, heeft inmiddels plaatsgemaakt voor oorloghitsende retoriek van de EU. Via het European Peace project probeert Peter dat te veranderen. Support the showWaardeer je deze video('s)? Like deze video, abonneer je op ons kanaal en steun de onafhankelijke journalistiek van blckbx met een donatieWil je op de hoogte blijven?Telegram - https://t.me/blckbxtvTwitter - / blckbxnews Facebook - / blckbx.tv Instagram - ...
C dans l'air du 12 novembre 2025 : Réforme des retraites: la suspension passe...à quel prix?C'est le grand jour pour la réforme des retraites. Sa suspension a été débattue ce mercredi à l'Assemblée nationale, lors de la réouverture des discussions sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Mesure clé, elle conditionne la non-censure du gouvernement Lecornu par les socialistes, qui proposent de financer cette suspension par une hausse de la CSG sur les revenus du capital. Les échanges s'annonçaient houleux à gauche, et certains s'attendaient à un scrutin bien plus serré que prévu.Les députés du Rassemblement national ont approuvé la suspension. Leurs représentants avaient déjà voté en ce sens lors du débat en commission des affaires sociales, où la mesure a été adoptée par 22 voix contre 12. Le groupe socialiste a également voter pour, tout comme le groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires (Liot), considéré comme l'électron libre du Parlement. « Liot était l'auteur de la motion de censure contre la réforme Borne en 2023 », a rappelé Harold Huwart, député d'Eure-et-Loir. Une motion rejetée à l'époque à neuf voix près.Les députés de La France insoumise, eux, ont voté contre l'article 45 bis. Selon eux, la suspension de la réforme ne vaut pas abrogation. Les écologistes et les communistes, longtemps indécis entre un vote contre et l'abstention, se sont réunis en fin de matinée et en début d'après-midi pour trancher.Les Républicains, qui avaient soutenu la réforme d'Élisabeth Borne et prévu dans leur programme présidentiel un recul de l'âge légal de départ à la retraite, ont voté contre la suspension.Même position du côté d'Horizons, malgré la présence de plusieurs ministres du parti au sein du gouvernement Lecornu.Le MoDem de François Bayrou a annoncé qu'il s'orientait « majoritairement vers l'abstention », tout comme les députés Renaissance.Le chef de file des députés Renaissance, Gabriel Attal, a d'ailleurs appelé ses troupes à s'abstenir, afin de ne pas compromettre le compromis avec le Parti socialiste.Dans le même temps, il plaide pour une « révolution » d'ici 2027, proposant de verser 1 000 euros à chaque enfant dès sa naissance pour anticiper sa retraite — une mesure dont le coût est estimé à 660 millions d'euros par an.« Très concrètement, on veut développer la capitalisation en France. Cela passe par un développement des plans d'épargne retraite, par un fléchage de l'intéressement et de la participation des entreprises vers ces plans, et par cette nouvelle mesure », a expliqué l'ancien Premier ministre. Il nous a accordé une longue interview diffusée dans le #danslair du jour.Pendant ce temps, outre-Atlantique, Donald Trump a de nouveau provoqué la polémique. Lors d'un échange houleux avec une journaliste de Fox News, lundi 10 novembre, l'ancien président américain a critiqué la France, estimant qu'elle « ne vaut pas mieux » que la Chine.« On a eu beaucoup de problèmes avec les Français. Nos technologies ont été taxées de manière très injuste. Ils ont mis 25 % de taxes sur les produits américains », a-t-il insisté, en référence au doublement de la taxe Gafam voté en octobre dernier par les députés de l'Assemblée nationale.Nos experts : - Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Lucie ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche- Pauline DE SAINT-REMY - Directrice adjointe de la rédaction de Politico- Christophe JAKUBYSZYN - Directeur des rédactions des Echos
Die Nasionale Vergadering het besluit dat die tweede sitting van die 8ste Parlement môre in reses sal gaan tot Februarie 2026. Die IPC was die enigste party teen 'n vroeë reses. Speaker Saara Kuugongelwa-Amadhila het tydens vanmiddag se sitting gesê dit is om parlementslede tyd te gee om na hul verskillende kiesafdelings te reis vir die komende streekraad- en plaaslike owerheidsverkiesings.
L'émission 28 minutes du 12/11/2025 Blanche Gardin en quête de sens dans l'immensité du GroenlandColine, incarnée par Blanche Gardin, est une célèbre exploratrice du Pôle Nord en pleine dérive dans "L'incroyable femme des neiges", écrit et réalisé par Sébastien Betbeder. Des montagnes du Jura à l'immensité des paysages du Groenland, ce film nous plonge au cœur d'un territoire qui subit directement les effets du réchauffement climatique. L'aventurier français Nicolas Dubreuil, spécialiste des milieux polaires, a conseillé directement le réalisateur. Blanche Gardin et Nicolas Dubreuil sont nos invités ce soir. Mercosur : à quel prix la France est-elle prête à signer l'accord ? Jeudi 6 novembre, en marge de la COP30 au Brésil, Emmanuel Macron s'est dit "plutôt positif" à accepter le traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, tout en rappelant ensuite que “la France continue d'attendre des réponses claires”, sur plusieurs “lignes rouges”, comme l'a rappelé Annie Genevard, la ministre de l'Agriculture. Cet accord a été signé entre l'alliance créée par quatre pays d'Amérique Latine (Argentine, Brésil, Uruguay et Paraguay) et l'UE en décembre 2024, après 25 ans de négociations. Adopté en septembre par la Commission européenne, le texte doit encore être approuvé par les 27 pays membres et le Parlement européen, avant d'entrer en application. Depuis la déclaration d'Emmanuel Macron, la colère gronde chez les agriculteurs français qui craignent un revirement de position du président. Il s'opposait jusqu'à maintenant à une ratification du texte. La FNSEA a ainsi appelé à une mobilisation, le 12 novembre à Toulouse, où le chef de l'État est attendu. Enfin, Xavier Mauduit s'intéresse à la semaine "anti-communisme" instaurée par Donald Trump. Théophile Cossa nous explique le fonctionnement d'une comète interstellaire avec l'apparition de 3I/Atlas, troisième comète interstellaire visible de notre Histoire. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 12/11/2025 Mercosur : à quel prix la France est-elle prête à signer l'accord ? Jeudi 6 novembre, en marge de la COP30 au Brésil, Emmanuel Macron s'est dit "plutôt positif" à accepter le traité de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, tout en rappelant ensuite que “la France continue d'attendre des réponses claires”, sur plusieurs “lignes rouges”, comme l'a rappelé Annie Genevard, la ministre de l'Agriculture. Cet accord a été signé entre l'alliance créée par quatre pays d'Amérique Latine (Argentine, Brésil, Uruguay et Paraguay) et l'UE en décembre 2024, après 25 ans de négociations. Adopté en septembre par la Commission européenne, le texte doit encore être approuvé par les 27 pays membres et le Parlement européen, avant d'entrer en application. Depuis la déclaration d'Emmanuel Macron, la colère gronde chez les agriculteurs français qui craignent un revirement de position du président. Il s'opposait jusqu'à maintenant à une ratification du texte. La FNSEA a ainsi appelé à une mobilisation, le 12 novembre à Toulouse, où le chef de l'État est attendu. On en débat avec Elvire Fabry, chercheuse senior en Géopolitique du commerce à l'Institut Jacques Delors, Thierry Fabre, rédacteur en chef à "Challenges" et Véronique Le Floc'h, présidente de la Coordination rurale. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 12 novembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
L'invité de 7h50. Ce mercredi, Martin Buxant reçoit Ludivine Dedonder (PS). La députée fédérale dépose au Parlement une proposition de loi afin d'inscrire des nouveaux critères de pénibilité dans le calcul des pensions.
L'invité de 7h50. Ce mercredi, Martin Buxant reçoit Ludivine Dedonder (PS). La députée fédérale dépose au Parlement une proposition de loi afin d'inscrire des nouveaux critères de pénibilité dans le calcul des pensions.
Die afgetrede adjunkhoof van die Ekurhuleni-metropolisie, Revo Spies, het onthul dat baie beamptes nooit behoorlik gekeur is nie. Spies het voor die Madlanga-kommissie van ondersoek getuig die Parlement se portefeuljekomitee oor Wetstoepassing het in 2020 en 2021 kommer uitgespreek oor ontbrekende misdaadklarings. Hy sê ondanks 'n nasionale forumooreenkoms oor klaring vir personeel in uniform, is Ekurhuleni se vingerafdruk-opdrag van 2022 gestaak nadat senior amptenare, insluitend adjunkhoof Julius Mkhwanazi, dit teengestaan het:
Le 7 novembre, l'Assemblée nationale a voté l'instauration d'une taxe sur les boissons énergisantes alcoolisées, un texte inséré dans le cadre du projet de budget de la sécurité sociale. L'objectif : contrer l'essor de produits hybrides mêlant alcool fort, stimulants et sucres aromatisés, jugés particulièrement préoccupants pour les jeunes.Les députés ont adopté un amendement qui étend le champ d'une taxe déjà envisageable pour les « premix » — ces mélanges alcoolisés sucrés — au cas où ces boissons contiennent également des substances actives à effet stimulant, telles que la caféine, la taurine ou la guaranine. Un décret viendra fixer précisément la liste de ces ingrédients, afin de suivre l'évolution rapide des formules commerciales et éviter que les fabricants ne contournent la taxe.Pour l'un des rapporteurs du budget, la mesure lutte contre « un vrai fléau pour la jeunesse », selon ses propres mots. L'amendement a été porté par le président de la commission des Affaires sociales et recueilli grâce aux voix des députés de gauche, des Modem, des indépendants proches de l'aile Liot, ainsi que d'une large part de la majorité (Renaissance et Horizons). En revanche, les groupes des Républicains, du Rassemblement national et ses alliés ont exprimé leur refus. Marine Le Pen l'a qualifié de « moralement condamnable » : pour elle, soit ces boissons sont nocives et il faut les interdire, soit elles ne le sont pas et il n'y a aucune raison de les taxer.De son côté, la ministre de la Santé a observé la mesure avec prudence : bien qu'elle reconnaisse que ces produits visent en priorité les jeunes, elle a rappelé que l'alcool est déjà interdit aux moins de 18 ans et souligné que « la fiscalité comportementale ne fait pas une politique de prévention ». Selon elle, taxer ces boissons n'est pas à proprement parler une mesure de prévention mais un outil fiscal — dont l'efficacité sur la consommation reste incertaine, certaines taxes rapportant bien mais ne réduisant pas nécessairement l'usage.En résumé : le gouvernement et le Parlement adoptent un nouveau levier fiscal pour ce segment particulier de boissons — mélange alcool + stimulant + sucre — afin de prévenir un usage jugé dangereux chez les jeunes. Mais la tension reste vivace entre l'approche punitive/fiscale et l'approche éducative/contrôle. L'amendement met en place un cadre adaptable — via décret — pour suivre l'innovation des produits, tandis qu'une partie de l'opposition questionne la logique même de « taxer plutôt qu'interdire ». Le débat illustre à nouveau la difficulté à équilibrer « ramener de l'argent » et « protéger la santé publique ». Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Die DA sê die mediumtermynbegroting-beleidsverklaring mag nie groot besteding, inkomste-tekorte en hoër belasting bevat nie. Die minister van Finansies, Enoch Godongwana, lewer môre sy mediumtermynbegroting in die Parlement. Die begrotingsverklaring handel oor die regering se ekonomiese beleidsraamwerk, verskaf bygewerkte ekonomiese vooruitsigte, wysig departementele begrotings en gee goedkeuring vir noodbesteding. Mark Burke van die DA sê hy verwag die begroting sal welverdiende oorwinnings weerspieël en versterk:
La France aura-t-elle un budget dans les temps pour qu'il entre en vigueur au 1er janvie 2026 ?Au Palais Bourbon, où l'Assemblée nationale siège, aucune majorité claire ne se dégage. Difficile dans ces conditions d'adopter le budget, ainsi que le budget de la sécurité sociale, alors que Sébastien Lecornu a renoncé à utiliser l'article 49.3 de la Constitution qui peut contraindre le Parlement.Amendement par amendement, le budget est donc discuté par l'ensemble des groupes parlementaires et seule une majorité « pour » permettra de l'adopter. Comment se passe l'examen du texte au Parlement ? Sur quels éléments les discussions politiques coincent ? Peut-on encore espérer que la France ait un budget pour l'année prochaine ?Eléments de réponse à ces questions dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde » avec Robin Richardot et Denis Cosnard, journalistes au service politique du Monde.Un épisode de Cyrielle Bedu. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi.Cet épisode a été publié le 11 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cyrielle Chatelain, présidente du groupe écologiste à l'Assemblée nationale, était l'invitée de France Déter sur Au Poste. Elle dénonce la dérive autoritaire du maintien de l'ordre, la fatigue d'un Parlement vidé de sa substance et la recomposition d'une alliance des droites avec l'extrême droite. Entre colère démocratique et défense de la rupture écologique, elle s'attaque autant aux dérives du pouvoir qu'aux compromis molles de la gauche. Tout en se défendant d'y recourir.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 7 novembre 2025.Avec cette semaine :Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Michaela Wiegel, correspondante à Paris de la Frankfurter Allgemeine Zeitung.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.COMMENT LE TERRORISME A TRANSFORMÉ LA SOCIÉTÉ FRANÇAISE DEPUIS DIX ANS ? Voilà bientôt dix ans qu'un commando terroriste a semé la terreur dans les rues de Paris, le 13 novembre 2015, assassinant 130 personnes et en blessant plusieurs centaines d'autres. Trois rescapés se sont depuis donné la mort, succombant à leurs blessures psychiques. Ces attentats ont profondément impacté la société française. Les médias jouent un rôle central lors de tels événements. Difficile d'informer avec précision dans un climat de peur et d'incertitude après un attentat. Le 9 janvier 2015 notamment, des chaînes d'information en continu ont divulgué la présence d'otages cachés dans la chambre froide de l'Hypercacher de Vincennes, mettant leur vie en danger. Les médias servent de caisse de résonance aux terroristes, qui, pour la plupart sont avides de spectacle. Face à la sidération après les attentats contre Charlie Hebdo et l'Hypercacher, la société française s'est immédiatement massivement mobilisée comme en témoigne la grande manifestation du 11 janvier 2015. La vie quotidienne a été transformée, bouleversée par les dispositifs de surveillance, de prévention et de lutte antiterroriste. Le terrorisme provoque également des effets perturbateurs comme la montée de sentiments xénophobes, antimusulmans ou antisémites et leurs réponses politiques. Il a induit des progrès considérables de la recherche, en particulier, depuis 2015, sur la question des traumatismes. Il impacte les procédures judiciaires. En France, depuis 2019, le nombre de procès criminels pour terrorisme a été multiplié par sept : la raison principale en est non seulement la création d'un parquet national antiterroriste, mais aussi la volonté de donner réparation à toutes les victimes et leur offrir la possibilité de s'exprimer dans le lieu symbolique d'une cour de justice.Procureur de la République de Paris en charge de la lutte contre le terrorisme entre 2011 et 2018, François Molins a vécu les événements les plus dramatiques qui se sont succédé pendant cette période, des attentats de Mohamed Merah en 2012, au 13 novembre 2015, en passant par le massacre de la rédaction de Charlie Hebdo. Insistant sur le fait qu'il a fallu trouver une juste mesure entre le durcissement de la réponse et le respect des libertés et droits fondamentaux, François Molins considère que « dans l'ensemble, la France y est parvenue » : L'état d'urgence décrété au lendemain du 13 Novembre a duré un peu moins de deux ans, jusqu'au 1er novembre 2017. Il a rassuré les gens et permis une amplification de la lutte - assignations à résidence, perquisitions, interdictions de séjour, fermeture de mosquées radicalisées -, toujours sous le contrôle de la justice administrative et du Parlement. Mais le risque de dérive est réel, met en garde François Mollins. En octobre 2025, cinq actes terroristes d'inspiration djihadiste ont été réalisés ou projetés, dans quatre pays européens, rappelle l'ancien procureur antiterroriste Jean-François Ricard. Ces faits, insiste-t-il, doivent nous alerter sur la persistance d'une menace qui prend des formes nouvelles.LA GUERRE AU SOUDAN Au Soudan, le 26 octobre la ville d'El-Facher, capitale de la province du Darfour du Nord est tombée aux mains des Forces de soutien rapide (FSR) qui assiégeaient la ville depuis plus de dix-huit mois. C'était le dernier bastion, au Darfour, des Forces armées soudanaises (FAS). La guerre au Soudan a commencé en avril 2023 lorsque les tensions autour du projet d'intégration des FSR à l'armée régulière ont éclaté en un conflit qui a fait des dizaines de milliers de morts et déplacé de 12 à 13 millions de personnes. Deux acteurs qui s'étaient partagé le pouvoir après la chute du dictateur Omar el-Béchir, renversé en 2019 s'affrontent : l'armée soudanaise, héritière de l'ancien régime, avec à sa tête le général Abdel Fattah al-Burhane ; et les FSR, une unité paramilitaire dissidente dirigée par le général Mohamed Hamdan Dagalo, dit Hemetti. En début d'année, l'armée soudanaise et ses supplétifs miliciens ont reconquis la capitale, Khartoum, ainsi que la région agricole de la Jézira, le long du Nil. Depuis, ils contrôlent toute la moitié orientale du Soudan. A l'ouest, en revanche, les RSF dominent. Le noyau dur des hommes de Hemetti est composé d'anciens combattants arabes jenjawids employés, à l'époque d'El-Béchir, pour effectuer les sales besognes du régime et écraser les mouvements rebelles du Darfour. Ils sont eux-mêmes originaires de cette région, grande comme la France métropolitaine.Situé à la lisière de la partie subsaharienne de l'Afrique et du Moyen-Orient, le Soudan concentre une multitude de richesses et d'avantages géostratégiques suscitant toutes sortes de convoitises et d'ingérences : d'immenses terres arables, les eaux du Nil, des mines d'or, du pétrole, l'accès à la mer Rouge face à l'Arabie saoudite, des frontières avec huit pays africains. Soutenues par une partie des Émirats arabes unis, les FSR contrôlent les mines d'or du Darfour, les circuits de contrebande vers la Libye et la Centrafrique, et finance une armée privée plus riche que l'État soudanais, tandis que les FAS ont bénéficié de l'appui de l'Égypte, de l'Arabie saoudite, de l'Iran et de la Turquie, selon des observateurs. Tous nient toute implication.Les réactions internationales demeurent d'une discrétion gênée. Lundi, toutefois, le bureau du procureur de la Cour pénale internationale a averti que les atrocités commises par les FRS à El-Fasher « pourraient constituer des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité ». Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'homme mentionne des « massacres massifs de civils et de combattants désarmés ». La région, déjà extrêmement affaiblie depuis les massacres de Geneina en 2023, s'enfonce dans un nouveau cycle de violences entre communautés, où vengeance et désordre remplacent toute stratégie politique. Le pays s'est disloqué en zones d'influence : le Darfour aux mains des FSR, le Nord et l'Est sous commandement militaire, le Sud livré au chaos. L'État soudanais, déjà amputé du Soudan du Sud en 2011, se délite à nouveau.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De premier vroeg deze week in het parlement: “Sire, geef me vijftig dagen.” Een zin die klonk als een echo uit het verleden, maar die vooral het politieke getalm van vandaag blootlegt. De begroting zit muurvast, de deadlines schuiven op, en de regering wankelt. In Trends podcasts vind je alle podcasts van Trends en Trends Z, netjes geordend volgens publicatie. De redactie van Trends brengt u verschillende podcasts over wat onze wereld en maatschappij beheerst. Vanuit diverse invalshoeken en met een uitgesproken focus op economie en ondernemingen, op business, personal finance en beleggen. Onafhankelijk, relevant, telkens constructief en toekomstgericht. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Cette semaine, Laurent Neumann reçoit Martin Collet, Professeur à l'Université Paris-Panthéon-Assas, pour décrypter la séquence budgétaire au Parlement. Comment voter un budget sans majorité ? Que faut-il penser des nouvelles taxes votées par le Parlement ? Et quand peut-on dire qu'un impôt devient confiscatoire ? Toutes les réponses dans Quid Juris !Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
'n Parlementêre komitee het bevind dat gemeenskapskoshuise regoor die land steeds onveilig en swak onderhou word. Die voorsitter van die Staande Komitee oor Onderwys, Wetenskap, IKT en Jeugontwikkeling, Olivia Hanghuwo, sê opvolgbesoeke aan ses streke het min verbetering getoon sedert 2022. Sommige leerders slaap steeds in klaskamers en maaltydsubsidies is onveranderd teen 22 Namibiese dollar per dag sedert 2008. Sy doen 'n beroep op die regering om koshuisherstelwerk te prioritiseer, water en sanitasie te verbeter, en die daaglikse maaltydtoelaag te hersien.
L'accès à cet acte médical également. Même dans les pays où l'IVG est légale, le parcours est parfois semé d'embûches, ou des groupes de pression tentent de revenir en arrière. Nous faisons le point en Espagne et en Pologne. (Émission du mercredi 5 novembre 2025) L'IVG est revenue en force dans le débat politique en Espagne, un pays pourtant en pointe dans la protection des femmes et la défense de leurs droits, lorsque l'opposition de droite a défendu, il y a quelques semaines, une théorie scientifiquement non vérifiée : il existerait un syndrome post-avortement, qui causerait par exemple de l'alcoolisme et il faudrait en informer les femmes désireuses d'interrompre leur grossesse. Face au tollé suscité par cette initiative, le gouvernement de Pedro Sanchez est monté au créneau, et il a annoncé qu'à l'instar de la France, il demanderait au Parlement de graver le droit à l'IVG dans la Constitution. Même si, en l'absence de majorité parlementaire, le succès de l'initiative est aléatoire... Reportage à Madrid signé Diane Cambon. Les pays les plus protecteurs de l'accès à l'IVG au sein de l'UE sont la Suède, la France, et les Pays-Bas, tandis qu'en bas de classement, on retrouve Malte, Andorre et la Pologne. Varsovie détient depuis longtemps la palme des restrictions avec une loi très sévère qui a encore été durcie, ces dernières années. La question de l'avortement a pourtant été au cœur des débats politiques, lors des dernières élections... Les explications d'Adrien Sarlat. La chronique musique de Vincent Théval : Bulgarian Cartrader, Palace Gates. En Moldavie, un photographe arpente les campagnes pour reconstituer le patrimoine visuel du pays Un projet d'envergure, même pour un petit État de moins de 2 millions et demi d'habitants. Le but : faire découvrir ou redécouvrir l'histoire moldave dans des zones rurales en proie à l'exode. Et également : faire renaître la culture au-delà des narrations imposées par les différents régimes qui se sont succédé au pouvoir. Pour cela, Victor Organ va de village en village, collecte d'anciens clichés et monte des expositions. Son travail réveille le passé complexe de Moldavie et il éclaire ses fractures actuelles. Reportage, Maria Gerth-Niculescu
Die MK-party se adjunkpresident en parlementêre leier, John Hlophe, is met onmiddellike ingang uit alle posisies in die party geskors terwyl ʼn volledige ondersoek na sy gedrag plaasvind. Hlophe se skorsing volg nadat hy veranderinge aangebring het aan die leierskap in die Parlement. Sy verwydering van Colleen Makhubele as hoofsweep is omgekeer en Des Van Rooyen se aanstelling in die posisie is nietig verklaar. Die MK-party se hoof van Presidensie, Magasela Mzobe, het aan die SABC gesê die veranderinge is sonder breër beraadslaging aangebring:
L'accès à cet acte médical également. Même dans les pays où l'IVG est légale, le parcours est parfois semé d'embûches, ou des groupes de pression tentent de revenir en arrière. Nous faisons le point en Espagne et en Pologne. (Émission du mercredi 5 novembre 2025) L'IVG est revenue en force dans le débat politique en Espagne, un pays pourtant en pointe dans la protection des femmes et la défense de leurs droits, lorsque l'opposition de droite a défendu, il y a quelques semaines, une théorie scientifiquement non vérifiée : il existerait un syndrome post-avortement, qui causerait par exemple de l'alcoolisme et il faudrait en informer les femmes désireuses d'interrompre leur grossesse. Face au tollé suscité par cette initiative, le gouvernement de Pedro Sanchez est monté au créneau, et il a annoncé qu'à l'instar de la France, il demanderait au Parlement de graver le droit à l'IVG dans la Constitution. Même si, en l'absence de majorité parlementaire, le succès de l'initiative est aléatoire... Reportage à Madrid signé Diane Cambon. Les pays les plus protecteurs de l'accès à l'IVG au sein de l'UE sont la Suède, la France, et les Pays-Bas, tandis qu'en bas de classement, on retrouve Malte, Andorre et la Pologne. Varsovie détient depuis longtemps la palme des restrictions avec une loi très sévère qui a encore été durcie, ces dernières années. La question de l'avortement a pourtant été au cœur des débats politiques, lors des dernières élections... Les explications d'Adrien Sarlat. La chronique musique de Vincent Théval : Bulgarian Cartrader, Palace Gates. En Moldavie, un photographe arpente les campagnes pour reconstituer le patrimoine visuel du pays Un projet d'envergure, même pour un petit État de moins de 2 millions et demi d'habitants. Le but : faire découvrir ou redécouvrir l'histoire moldave dans des zones rurales en proie à l'exode. Et également : faire renaître la culture au-delà des narrations imposées par les différents régimes qui se sont succédé au pouvoir. Pour cela, Victor Organ va de village en village, collecte d'anciens clichés et monte des expositions. Son travail réveille le passé complexe de Moldavie et il éclaire ses fractures actuelles. Reportage, Maria Gerth-Niculescu
Guy Fawkes, c'est le visage de la Conspiration des poudres : un attentat manqué contre le roi Jacques Iᵉʳ, en plein cœur de Londres au XVIIᵉ siècle. À une époque où protestants et catholiques s'affrontent, un groupe de conspirateurs catholiques rêve de faire sauter le Parlement réuni à Westminster. Revivez cette histoire explosive, celle d'un complot déjoué, devenu légende, que l'Angleterre célèbre encore chaque 5 novembre lors de la Guy Fawkes Night. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die DA versoek die Parlement se Elektrisiteitskomitee om die Nasionale Energiereguleerder van Suid-Afrika tereg te wys na die uitspraak deur die Hooggeregshof van Gauteng dat sy 2025/26 prosesse vir munisipale elektrisiteitstariewe ongrondwetlik is. Kevin Mileham van die DA het Nersa gekritiseer vir herhaalde mislukkings, insluitend gebrekkige berekenings vir die koste van voorsiening, en het die hof se tydlyne en openbare konsultasiemodel verwelkom. Hy sê die party belowe om nakoming te monitor en te verseker dat Suid-Afrikaners billike, wettige en deursigtige elektrisiteitspryse betaal:
Die DA het diep kommer uitgespreek oor die skielike bedanking van die voorsitter van die Nasionale Finansiële Hulpskema vir Studente, Karen Stander. Stander het verwys na dreigemente, boeliegedrag en rassisme. Delmaine Christians van die party doen 'n beroep op minister Buti Manamela om voor die Parlement te verskyn om hierdie bewerings aan te spreek en stappe uiteen te lê om bestuur en vertroue te herstel. Christians sê die DA belowe om streng toesig te handhaaf om Nsfas-bestendigheid te verseker en studentefinansiering te beskerm:
C dans l'air du 3 novembre 2025 : Le temps file à l'Assemblée nationale. Après des débats houleux la semaine dernière sur la justice fiscale, les députés ont repris l'examen du projet de loi de finances ce lundi matin. La journée sera entièrement consacrée, dans l'hémicycle, au budget 2026, alors qu'il reste encore 2 400 amendements à étudier d'ici demain. Ils devront ensuite mettre les débats sur pause pour se consacrer à l'examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). La première partie de ce texte doit, en théorie, être votée le 12 novembre… Il restera ensuite onze jours avant que la copie budgétaire ne soit transmise au Sénat, le 23 novembre à minuit au plus tard.Mais les délais d'examen de ce budget de l'État seront-ils tenus ? À la demande du Premier ministre, l'ensemble des groupes politiques de l'Assemblée sont conviés ce lundi, à la mi-journée, au ministère des Relations avec le Parlement, autour des ministres concernés, pour « essayer de se mettre d'accord sur les grands principes de l'atterrissage d'un texte pour la Sécurité sociale et pour le projet de loi de finances ».Ce matin, Olivier Faure a estimé, au micro de France Inter, que si la voie est « étroite » vers une adoption du budget par l'Assemblée nationale, un « chemin » lui semblait encore « possible » pour obtenir la disparition des « horreurs » encore contenues dans le texte. « Ce que nous cherchons, dans la première partie de la loi de finances, c'est à trouver des recettes qui se substitueront aux économies demandées à des gens qui ont déjà tant de mal à finir leurs fins de mois », a poursuivi le socialiste.Quelques heures plus tard, les groupes PS, écologiste, communiste et insoumis ont indiqué qu'ils ne se rendraient pas à la réunion de négociation avec le gouvernement.Alors, le Parlement va-t-il réussir à adopter un budget en temps et en heure ? Pourquoi ces retards dans l'examen du texte ? Quelles sont les mesures adoptées par les députés avant l'examen du Sénat ? Si la taxe Zucman a été rejetée, l'impôt « sur la fortune improductive » a, lui, été approuvé ce week-end par les députés PS, MoDem et RN. De quoi s'agit-il ? Et quelle est la stratégie du Rassemblement national sur le budget ?Enfin, quel sera l'impact du projet de loi de finances sur l'apprentissage ? Le gouvernement envisage la fin de l'exonération des cotisations sociales sur les contrats d'apprentissage. Les apprentis bénéficiaient auparavant d'une exonération de cotisations sur la part de leur salaire n'excédant pas 78 % du SMIC — déjà ramenée à 50 % pour les contrats conclus à partir de mars 2025. Le budget 2026 prévoit d'y mettre fin à compter du 1er janvier, ce qui suscite de vives inquiétudes parmi les acteurs de la filière.LES EXPERTS :- JÉRÔME JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos et France Inter- CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au Nouvel Obs, co-auteur avec Mathieu Aron Le grand détournement - Lou FRITEL - Journaliste politique - Paris Match
Dans cet épisode, focus sur la réforme du permis de conduire adoptée par le Parlement européen. Objectif : harmoniser les règles à l'échelle de l'UE pour renforcer la sécurité routière.Le nouveau permis, au format numérique et valable 15 ans, remplacera progressivement le permis papier rose d'ici 2033. Les États membres pourront instaurer des contrôles médicaux réguliers pour les conducteurs âgés, afin de vérifier leur aptitude à la conduite.À retenir :Fin du permis à vie, remplacement par un permis numérique valable 15 ans.Contrôles médicaux possibles pour les conducteurs seniors.Le permis papier reste valide jusqu'en 2033.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le gouvernement fédéral australien a présenté aujourd'hui sa réforme très attendue des lois nationales sur l'environnement, offrant pour la première fois un aperçu complet d'un projet de loi de plus de 1 500 pages.
RISE Mzansi sal Vrydag die 1,5 triljoen Suid-Afrikaanse rand dobbelkrisis in Suid-Afrika tydens 'n mini-debat in die Nasionale Vergadering in die kollig plaas. Die Nasionale Dobbelraad se jongste verslag toon die bruto dobbelinkomste het van 59 miljard rand in 2023/24 gestyg tot 75 miljard rand in 2024/25, wat dui op 'n dringende behoefte aan ingryping. RISE Mzansi se Parlementslid, Makashule Gana, sê die veldtog poog om die maatskaplike en openbare gesondheidsuitwerking van dobbel te bespreek, aangesien dit lewens en lewensbestaan vernietig:
durée : 00:59:00 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - La décision du Parlement du 25 août 2025 d'accorder une indemnité logement aux députés a provoqué le soulèvement de la population indonésienne. Mais la répression brutale ayant fait une vingtaine de disparus semble avoir fait retomber le mouvement, du moins temporairement. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Delphine Allès Professeure de science politique, chercheuse au Centre sur l'Asie du Sud-Est et vice-présidente de l'INALCO; Frédéric Durand Professeur des universités en géographie, spécialiste du Timor-Leste
Lundi soir, la Cour constitutionnelle de Cotonou a définitivement écarté la candidature de Renaud Agbodjo, l'avocat désigné par le parti d'opposition Les Démocrates pour se présenter à la présidentielle du 12 avril 2026. Que pense ce parti de cette décision de justice ? Y voit-il une manœuvre du pouvoir béninois ? Guy Dossou Mitokpè est le porte-parole du parti Les Démocrates. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Comment réagissez-vous à l'exclusion de votre candidat Me Renaud Agbodjo ? Guy Dossou Mitokpè : Bon, comme la plupart de mes compatriotes, je reçois cette information avec beaucoup de tristesse parce que, pour nous, le principal parti d'opposition aujourd'hui, c'est le parti Les Démocrates. Et donc pour la plupart des Béninois, on allait assister à une très belle fête électorale. Et donc pour nous, ce n'était pas croyable que la Cour constitutionnelle ne puisse pas nous donner raison en disant le droit. À l'origine du rejet de votre candidat, il y a le fait qu'il devait présenter 28 parrainages d'élus et que l'un de ces 28 a fait défection. Pourquoi n'avez-vous pas présenté un plus grand nombre de parrainages, 35 ou 40 par exemple, pour être certain de faire face à toutes défections et d'avoir au final vos 28 parrainages ? En fait, la loi électorale impose que les parrains soient parmi les députés en activité ou les maires en activité. Et donc, lorsque nous, on rentrait dans le Parlement, on avait 28 députés, on n'a pas été présents à l'élection des maires, donc on avait 28 députés. Mais lorsqu'on rentrait au Parlement, la loi électorale imposait d'avoir seulement 16 parrains. Et c'est au cours de notre présence au sein du Parlement, que le régime actuel a changé la loi électorale en positionnant le nombre de parrains exactement sur le nombre de parrains que nous avons, c'est-à-dire 28. Et donc c'était à dessein, parce qu'ils savaient que, à l'approche des élections, ils feraient tout pour nous déstabiliser en faisant probablement tout pour qu'un député fasse défection. Alors, justement, le député qui a fait défection, il s'appelle Michel Sodjinou. Il prétend qu'il s'est rétracté parce qu'il n'était pas d'accord avec le choix de Me Renaud Agbodjo au sein de votre parti. Qu'est-ce que vous en pensez ? Non, c'est un alibi parce que Monsieur Sodjinou a fait preuve d'ambition démesurée. Ce qu'il a avancé, ce sont des arguments qui ne tiennent pas. Et donc, s'il a fait défection, nous, nous continuons de croire qu'il est probablement en lien avec nos adversaires. Donc, vous pensez qu'il a été instrumentalisé par le pouvoir ? Je n'ai pas de preuve, mais tout laisse à croire qu'il a été instrumentalisé par nos adversaires. Parce que, en respectant les normes démocratiques en interne, cela ne peut pas expliquer le fait que quelqu'un puisse trahir tout un peuple. Oui, pour vous, le député Michel Sodjinou a trahi ? Il a trahi et c'est clair, il n'y a pas d'hésitation à ce niveau. Au total, le rejet de votre candidat, c'est la faute à pas de chance ou c'est une manœuvre du pouvoir ? C'est d'abord de la responsabilité d'un homme qui a été trop ambitieux. Monsieur Sodjinou Michel, je ne peux pas dire sans preuve que c'est la responsabilité du pouvoir. Je peux simplement dire que, voilà, nos adversaires ont tout intérêt à ce que Monsieur Michel Sodjinou puisse se comporter comme il l'a fait. « Ce qui se passe, ce n'est pas la démocratie », dit l'un des conseillers juridiques de votre parti, Me Victorien Fadé… Oui, naturellement que ce n'est pas la démocratie. C'est triste parce que vous savez, la démocratie, c'est qu'on puisse donner la chance aux électeurs de choisir celui ou celle qui leur convient. Mais ici, le choix du peuple, malheureusement, est très restreint, parce que le parti qui est aujourd'hui le parti le plus populaire dans notre pays, malheureusement, ne pourra pas présenter de candidat à la prochaine élection présidentielle. Et c'est très dommage. Vendredi dernier, il y a eu un long entretien au palais présidentiel à Cotonou entre le chef de l'État, Patrice Talon, et le président de votre parti, l'ancien chef de l'État Boni Yayi. Est-ce que vous espérez encore une solution politique ? Pour ce qui concerne l'élection présidentielle, il est dit dans notre loi fondamentale que les décisions de la Cour constitutionnelle sont sans recours. Donc, me rabattant sur cette décision, je peux dire que les chances pour que le parti Les Démocrates puisse présenter un duo de candidats à l'élection présidentielle sont quasiment nulles. Mais la bonne nouvelle, c'est que nous avons deux autres élections. Nous avons les élections communales et les élections législatives. Et à ce niveau, au niveau du parti Les Démocrates, nous avons pris toutes les dispositions afin que le peuple puisse consacrer son énergie à donner la majorité des maires et la majorité des députés au principal parti d'opposition. En 2021, beaucoup de candidats de l'opposition n'ont pas pu se présenter. Votre candidate de l'époque, Reckya Madougou, est même allée en prison. Elle y est toujours. Est-ce que vous craignez une nouvelle élection sans opposition ? Oui. L'ancienne ministre Reckya Madougou est en prison avec le professeur Joël Aïvo et bien d'autres compatriotes sont en prison ou en exil. Et je continuerai de dire que c'est l'une des raisons pour lesquelles nous sommes davantage tristes, parce que si la démocratie revenait à sa juste valeur, comprenez que nos prisonniers seraient libérés, les exilés feraient le retour. C'est la raison fondamentale de notre combat aujourd'hui. Une élection présidentielle sans les candidats du principal parti d'opposition, ce n'est plus la démocratie. À lire aussiBénin: la Cour constitutionnelle écarte la candidature des Démocrates à la présidentielle de 2026
Die adjunkminister van Polisie, Cassel Mathale, het aan die Parlement se ad hoc-komitee gesê die leierskap binne die SAPD moet spanwerk eerder as interne gevegte bevorder. Mathale het gepraat oor bewerings van interne geskille en sê meningsverskille bestaan, maar leiers moet samehangende spanne bou om misdaad doeltreffend te bestry. Hy beklemtoon sukses hang van samewerking af en voeg by die polisiediens kan nie sonder sterk leierskap en spanwerk sy misdaadbestrydingsdoelwitte bereik nie:
Lors de la conférence de presse sur le casse du Louvre, les deux suspects ont partiellement reconnu les faits et risquent d'être mis en examen dans les prochaines heures, selon Marie Belot. La procureure Laure Beccuau a lancé un appel : "Il est encore temps de rendre les bijoux." Arlette Chabot évoque des réformes ratifiées par le Parlement européen, comme la fin du permis de conduire à vie en 2032, avec un renouvellement tous les dix à quinze ans et un certificat médical après 70 ans. Elle évoque aussi la fin du découvert bancaire automatique prévue pour 2024. Isabelle Gounin souligne la réussite de Nvidia, dont la valorisation boursière a dépassé les 5 000 milliards de dollars, un record illustrant l'appétit des investisseurs pour l'intelligence artificielle. Abnousse Shalmani analyse la visite de Donald Trump au Japon, un modèle de diplomatie "à la sauce Trump", afin de convaincre Donald Trump de rester l'ami du Japon, et de sceller l'entrée de la dame de fer japonaise dans le club des leaders populistes nationalistes. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire. La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery. Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge. Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre. Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits. Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto. Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.
Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire. La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery. Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge. Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre. Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits. Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto. Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.
C dans l'air du 25 octobre 2025 : Budget : premiers votes, premiers reversUn premier ministre en sursis. Alors que l'agence de notation Moody's a maintenu vendredi sa note concernant la dette française, Sébastien Lecornu inaugurait dans le même temps à l'Assemblée nationale les débats sur le projet de budget pour 2026. Celui qui a entériné la suspension de la réforme des retraites pour éviter une censure de la part des socialistes s'est dit "prêt à un débat transparent, y compris en modifiant en séance notre propre texte". Les socialistes se sont réjouis que "le Parlement retrouve ses pouvoirs", mais leur patron Olivier Faure menace toujours de censure si la majorité n'adopte pas plus de mesures de justice fiscale d'ici lundi. À l'occasion des débats sur la partie recette du budget, ils ont proposé une "taxe Zucman light" qui exonérerait les propriétaires de start-up et d'entreprises familiales. "Nous voulons montrer que nous ne sommes pas dogmatiques", a ainsi défendu le député PS Philippe Brun. Levée de bouclier chez LFI qui accuse les socialistes de pactiser avec le gouvernement. "L'expérience historique et internationale montre que dès qu'on introduit des exonérations, on relance la machine à optimisation fiscale", a de son côté dénoncé l'économiste Gabriel Zucman, à l'origine de la proposition.Si les socialistes sont indéniablement revenus au centre du jeu politique depuis quelques semaines, ils se sont aussi mis une partie de leurs électeurs à dos en acceptant de négocier avec Sébastien Lecornu. En Haute-Garonne, le député PS de la 8e circonscription, Joël Aviragnet, n'a pas voté la dernière motion de censure contre le gouvernement, ce que lui reprochent déjà certains habitants. "Tu sens un peu la tendance là ? Comment sont les gens ? Toujours inquiets ? C'est assez déstabilisant comme situation", constate-t-il alors qu'une équipe de C dans l'air l'a suivi en circonscription. Alors pour maintenir le lien avec les acteurs économiques du territoire, le député tente de les réunir, une fois par an. Une façon aussi, d'occuper le terrain face au Rassemblement national qui a fortement progressé lors des dernières législatives. Joël Aviragnet alerte sur les dangers selon lui d'une dissolution, ou d'une destitution du président de la République.Dans ce contexte politique dégradé, les retraités sont particulièrement inquiets. Avec la suspension de la réforme des retraites, leur pension, qui doit déjà être gelée l'année prochaine puis sous-revalorisée jusqu'en 2030, pourrait faire l'objet d'un nouveau coup de rabot. Ceux qui ont pu mettre de l'argent de côté craignent maintenant d'être mis à contribution pour venir au secours d'un État mauvais gestionnaire. Une de nos équipes est partie à leur rencontre.Les députés vont-ils parvenir à se mettre d'accord d'ici lundi sur de nouvelles mesures de justice fiscale ? Comment les députés socialistes défendent-ils leur position délicate auprès de leurs électeurs ? Et combien va coûter la suspension de la réforme des retraites pour les retraités ?LES EXPERTS :- Emmanuel DUTEIL - Directeur de la rédaction - L'Usine Nouvelle- Nathalie SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- Élisa BERTHOLOMEY - Cheffe adjointe du service politique - Politico- Éric HEYER - Économiste, directeur du Département Analyse et Prévision - OFCE
Dimanche 26 octobre les Argentins votent pour des élections de mi-mandat qui renouvellent la moitié des 257 députés et un tiers des 72 sénateurs, un scrutin qui a valeur de test pour le parti du président Javier Milei, la La Libertad Avanza. Deux ans après son élection, le libertarien Javier Milei, revendique des succès: l'inflation domptée (passée de 200% à 31% en interannuel) et un équilibre budgétaire, inédit depuis 14 ans.Son programme s'accompagne cependant d'une austérité draconienne. Près de 200.000 emplois ont été perdus et les écarts se creusent entre riches et pauvres dans cette société à deux vitesses.Le peso argentin reste fragile, malgré le soutien du trésor public aux Etats-Unis, où Donald Trump vante les réussites de Milei, son allié idéologique.Avec ces élections, le président argentin joue sa marge de manœuvre pour la deuxième moitié de son mandat, face à un Parlement où son parti est à ce jour très minoritaire.Invités: Philippe Bernes-Lasserre, directeur du bureau de l'AFPMiguel Kiguel, économiste argentin, directeur du cabinet d'analyse économique EcoViewsDavid Copello, il est maître de conférence en sciences politiques à l'Institut catholique de Paris et spécialiste de l'Argentine Réalisation : Maxime Mamet, Emmanuelle Baillon et Michaëla Cancela-KiefferLa Semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur des soupçons d'espionnage en Allemagne, de nouvelles sanctions contre Moscou et la nomination d'une femme Première ministre au Japon. Nigeria : polémique après un bisou sur TikTok Au Nigeria, un tribunal de l'État de Kano a ordonné à deux jeunes influenceurs qui ne sont pourtant pas en couple de se marier. En cause : une vidéo virale les montrant en train de s'embrasser sur la joue. Des images jugées contraires aux valeurs morales et religieuses locales. Sur quels éléments juridiques ce tribunal s'appuie-t-il pour les forcer à se marier ? Les deux TikTokeurs ont-ils des voies de recours ? Avec Welly Diallo, journaliste au service Afrique de RFI. Allemagne : le parti d'extrême-droite «AfD», l'œil de Moscou ? Alors que le parti d'extrême droite Alternative pour l'Allemagne s'impose dans le paysage politique allemand, un ministre régional de l'Intérieur accuse cette formation d'espionner pour le compte de la Russie. Sur quelles preuves s'appuie-t-il ? Quel intérêt l'AfD aurait-elle à collaborer avec le Kremlin ? Avec Pascal Thibaut, correspondant de RFI à Berlin. Guerre en Ukraine : de nouvelles sanctions contre Moscou, mais pour quels résultats ? L'Union européenne et les États-Unis ont imposé de nouvelles sanctions contre la Russie, notamment sur ses hydrocarbures. Malgré toutes les mesures prises depuis près de quatre ans, pourquoi la Russie n'est-elle toujours pas affaiblie dans sa guerre contre l'Ukraine ? Avec Ulrich Bounat, analyste géopolitique, chercheur-associé chez Euro Créative. Japon : historique, une femme à la tête du gouvernement Pour la première fois de son histoire, le Japon est dirigé par une femme. Sanae Takaidi a été élue Première ministre par le Parlement. Comment expliquer ce choix dans un pays profondément patriarcal ? Pourquoi le Parti libéral-démocrate (PLD) parvient-il à se maintenir au pouvoir depuis 70 ans ? Avec Guibourg Delamotte, professeure à l'Inalco en Science politique, spécialiste du Japon.
Die voormalige minister van Polisie, Bheki Cele het aan die Parlement se ad hoc-komitee gesê sakeman, Vusimusi “Cat” Matlala, het beweer hy is genader is om 'n projek te befonds vir iemand wat ANC-president of adjunkpresident wou word. Die geskorste polisieminister Senzo Mchunu was na bewering betrokke. Cele sê Matlala het vergaderings met Mchunu en Brian Mogotsi bevestig, wat Mchunu ontken het. Hy sê Matlala het hom ingelig oor 'n komplot om die hoof van die SAPD-misdaadintelligensie, Dumisani Khumalo, uit te skuif:
Die voorsitter van die Parlement se Staande Komitee oor Openbare Rekeninge, Songezo Zibi, het gevra dat buitelanders uitgesluit word van Padongelukkefonds-uitbetalings. Zibi sê die huidige wetgewing moet gewysig word aangesien dit enige persoon wat in Suid-Afrika in 'n padongeluk beseer is, toelaat om te eis. Hy sê die komende Wetsontwerp op die Padongelukke Voordeleskema sal hierdie hervormings insluit, ná openbare raadpleging:
C dans l'air du 21 octobre 2025 : Un président en prisonC'est une première pour un ancien président sous la Ve République. Nicolas Sarkozy a été incarcéré ce mardi 21 octobre à la prison de la Santé, dans le 14e arrondissement de Paris. L'ancien chef de l'Etat a été écroué près d'un mois après sa condamnation pour association de malfaiteurs dans le cadre de l'affaire du financement libyen de sa campagne présidentielle de 2007.Bien qu'il ait fait appel de cette condamnation, la peine – cinq ans d'emprisonnement assortie d'une exécution provisoire – l'a conduit en détention. Il a été placé dans une cellule du quartier d'isolement. Immédiatement après son incarcération, ses avocats ont déposé une demande de mise en liberté. Celle-ci sera examinée dans un délai d'environ un mois, a précisé son conseil, Me Christophe Ingrain.Quelques heures avant son incarcération, Nicolas Sarkozy a publié un message sur les réseaux sociaux : « Mais que le prix à payer aura été écrasant. » L'ex-chef de l'État a également reçu, ce matin, le soutien d'une centaine de fidèles, rassemblés près de son domicile. Parmi eux, son fils Louis Sarkozy, organisateur du rassemblement, le sénateur LR Roger Karoutchi, mais aucun des ténors du parti Les Républicains n'était présent : ni Bruno Retailleau, ni Laurent Wauquiez.Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, proche de Nicolas Sarkozy, a lui fait savoir, lundi, qu'il irait le « voir en prison ». Un choix qui fait vivement réagir les magistrats, à commencer par le premier d'entre eux. Le procureur général près la Cour de cassation a estimé ce lundi que la justice doit pouvoir travailler dans la sérénité, en particulier les juges de la cour d'appel de Paris, qui se pencheront dans les prochaines semaines sur la demande de mise en liberté de Nicolas Sarkozy et sur son procès en appel l'année prochaine. « Il y a un risque qu'une telle visite soit ressentie par les magistrats et perçue par l'opinion comme une sorte d'obstacle à cette sérénité recherchée. Il faut préserver de toute influence l'intervention des magistrats dans un dossier aussi sensible », a déclaré Rémy Heitz.Dans la foulée, Gérald Darmanin lui a répondu via un message publié sur X : « S'assurer de la sécurité d'un ancien président de la République en prison, fait sans précédent, n'atteint en rien à l'indépendance des magistrats, mais relève du devoir de vigilance du chef d'administration que je suis, responsable devant le Parlement selon l'article 20 de la Constitution », a-t-il écrit.Le président de la République, Emmanuel Macron, qui a reçu Nicolas Sarkozy vendredi dernier à l'Élysée, a jugé « légitime » le débat sur l'exécution provisoire, en marge d'un déplacement en Slovénie : « Parce que tout le monde souhaite qu'il puisse y avoir des voies d'appel et de recours. Mais c'est un débat qui doit être mené dans le calme et indépendamment des cas spécifiques pour que notre justice puisse se faire et puisse évoluer dans la sérénité qui convient », a-t-il expliqué.En France, 86 % des peines de deux ans de prison et plus sont mises à exécution immédiatement à l'audience.Alors, quelles sont les conditions de détention de Nicolas Sarkozy ? Combien de temps l'ex-président de la République peut-il rester en prison ? Faut-il ouvrir un débat sur l'exécution provisoire des peines ? Et quel avenir pour Les Républicains, fragilisés par cette affaire et traversés par de profondes divisions internes depuis des mois ?LES EXPERTS :- Ludovic VIGOGNE - Journaliste politique - La Tribune Dimanche - Audrey GOUTARD - Grand reporter - France Télévisions, spécialiste des faits de société- Vanessa SCHNEIDER - Grand reporter - Le Monde - Anne-Charlène BEZZINA - Constitutionnaliste et politologue - Maître de conférences en droit public - Université de Rouen et Sciences Po
durée : 00:06:25 - Caroline au pays des 27 - par : Caroline Gillet - Certes il y a le prix Nobel qui n'a pas été remis à Donald Trump, mais à l'automne il y a aussi le prix Sakharov de la liberté d'esprit - lui sera remis ce 22 octobre 2025 ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce mardi 21 octobre, l'instabilité politique au Japon, et le Parlement qui va voter ce mardi pour confirmer Sanae Takaichi au poste de Première ministre, ont été abordés par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 17 octobre 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste, ancien président de la Commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.QU'ATTENDENT LES FRANÇAIS DES HOMMES POLITIQUES ?Après la nouvelle nomination de Sébastien Lecornu à Matignon le 10 octobre, 56 % Français ne souhaitaient pas que l'une des motions de censure déposées par La France insoumise et le Rassemblement national soit votée, selon une enquête "L'Opinion en direct" menée par Elabe pour BFMTV, publiée mercredi. Ils ont été exaucés, avec le rejet des deux motions de censure jeudi matin. Le Premier ministre Sébastien Lecornu, a annoncé dans sa déclaration de politique générale qu'il proposerait au Parlement la suspension de la réforme de 2023 sur les retraites « jusqu'à l'élection présidentielle ». Selon le sondage Elabe, 67 % des Français sont pour cette suspension et 29 % s'y disent même « très favorables » et 38% « plutôt favorables ». 33 % des Français sont contre cette suspension, dont 13 % de Français qui se disent « très opposés » à cette annonce du chef du gouvernement. Toutefois, 64 % des Français sont mécontents de la composition du gouvernement et 51 % des personnes interrogées sont même favorables à une dissolution et à de nouvelles élections législatives.Dans la perspective de l'élection présidentielle de 2027, Jordan Bardella et Marine Le Pen se maintiennent en tête des personnalités suscitant le plus de satisfaction si elles remportaient l'élection présidentielle (33 % dans les deux cas), selon le baromètre politique Ipsos bva-CESI École d'ingénieurs pour La Tribune Dimanche. Pour la première fois, la troisième place du podium est occupée par une personnalité du même bord : Marion Maréchal, avec 24 % des Français qui seraient satisfaits. Cette progression de Marion Maréchal dans le classement s'explique par une baisse importante pour les autres personnalités, situées à droite et au centre, comme Bruno Retailleau qui enregistre une forte baisse (20 %, -7 points en un mois). Au centre, on observe aussi des baisses importantes pour Edouard Philippe (22 %, -3 points), Gabriel Attal (19 %, -5 points) et Gérald Darmanin (19 %, -5 points). Le pouvoir d'achat demeure la première préoccupation des Français (50 %, -1 point), devant l'avenir du système social, cité par 44 %. La préoccupation pour l'avenir du système social progresse de 3 points en un mois et de 9 points depuis juillet. 88 % des Français sont pessimistes sur la situation économique du pays et 67 % sur leur propre situation économique. Ils ont notamment le sentiment que la situation du pouvoir d'achat va se détériorer (78 %), tout comme celle du niveau de la dette publique (77 %) ou encore du niveau de la fiscalité (70 %).Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Oui, cette histoire est tout à fait vraie, et elle illustre à merveille les mœurs étonnantes — et souvent cruelles — de la justice d'Ancien Régime. Jusqu'au XVIIIe siècle, la France connaissait une institution pour le moins singulière : les tribunaux d'impuissance, chargés de juger si un mari était, ou non, capable de “remplir son devoir conjugal”. Ces procès, souvent spectaculaires, mêlaient droit, médecine, religion… et humiliation publique. Et c'est un noble français, le marquis de Langey, qui, bien malgré lui, mit fin à cette pratique absurde.L'affaire éclate en 1659. Le marquis de Langey, jeune aristocrate d'une vingtaine d'années, épouse Mademoiselle de Saint-Simon de Courtemer. Mais très vite, leur union tourne court : l'épouse, frustrée, l'accuse d'impuissance, c'est-à-dire d'incapacité physique à consommer le mariage. À cette époque, cette accusation n'est pas anodine : un mariage non consommé peut être annulé, privant l'époux de son honneur et de ses droits. La femme dépose donc plainte, et l'affaire est portée devant le Parlement de Paris.Ce qui suit confine au cauchemar. Le marquis est sommé de se soumettre à une “épreuve de virilité” : une inspection médicale complète, menée devant médecins, sages-femmes et témoins. Puis vient la fameuse “épreuve du congrès”, une procédure officielle au cours de laquelle l'accusé devait, en présence d'experts, tenter d'accomplir l'acte sexuel avec son épouse. Les contemporains décrivent cette scène avec un mélange d'effroi et de curiosité. Évidemment, sous la pression, le marquis échoue. Il est déclaré impuissant et, par conséquent, incapable de mariage. Le verdict est rendu public : humiliation totale.Mais l'histoire ne s'arrête pas là. Peu après, le marquis quitte Paris et se réfugie en Italie, où il se remarie. Cette fois, miracle : il a plusieurs enfants. La nouvelle fait scandale et ridiculise la justice française. Comment un homme officiellement reconnu “impuissant à jamais” peut-il devenir père ailleurs ? Le Parlement, embarrassé, annule la décision précédente, et le tribunal du congrès est définitivement supprimé en 1677 par le roi Louis XIV lui-même, sur avis de ses juristes.Cette affaire du marquis de Langey mit ainsi un terme à une procédure qui relevait plus du théâtre que du droit. Elle révèle aussi combien la sexualité, au XVIIe siècle, était perçue comme une affaire publique, surveillée et jugée — jusqu'à ce qu'un homme humilié prouve, au fond, que la justice pouvait être bien plus impuissante que lui. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.