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Le Premier ministre français est à la Une de l'Express et du Point, qui titre : « la tragédie française ». « En demandant un vote de confiance à l'Assemblée le 8 septembre, François Bayrou met le feu à la rentrée politique. Pendant ce temps, la France se rapproche chaque jour du chaos financier ». Le Point n'est en effet guère optimiste. « Voilà le pays de nouveau plongé dans l'inconnu et saisi de stupeur à l'annonce du rendez-vous du 8 septembre ». Car, sauf imprévu, l'Assemblée ne votera pas la confiance au Premier ministre, auquel l'hebdomadaire ne jette toutefois pas la pierre. « En battant le rappel sur la dérive de nos comptes publics et le fol endettement, François Bayrou a fait œuvre utile. Mais faut-il que survienne un accident majeur pour qu'enfin la France et la classe politique se réveillent ? Une brutale hausse des taux d'intérêt ? Une mise sous tutelle ? » interroge Le Point. L'Express, lui aussi, distribue les bons points au Premier ministre. « François Bayrou dit vrai », assure l'hebdomadaire. « Personne ou presque, ne l'écoute. Tragique issue (…) Le Premier ministre s'inquiète du péril qui menace la France. Un péril sournois, abstrait, mais parfaitement documenté pour qui veut se donner la peine de lire les chiffres : la dette ». Le quinquennat mis en péril La presse du dimanche, elle aussi, s'inquiète, mais elle est moins indulgente avec le Premier ministre. « Nous voilà de nouveau à l'arrêt politique, institutionnel, économique. Pendant combien de semaines encore ? », se désole le Parisien Dimanche, qui n'épargne pas François Bayrou. « S'il a cru qu'il avait trouvé la martingale avec ce vote du 8 septembre, le voilà englué dans ses calculs, à priori ratés… » La Tribune Dimanche, elle, a choisi de mettre Emmanuel Macron, l'air soucieux, en Une. Avec ce titre : « Retour à la case départ. Emmanuel Macron cherche déjà son nouveau premier ministre (…) le chef de l'État va se retrouver en première ligne avec la démission programmée de François Bayrou ». Le Premier ministre que la Tribune Dimanche soupçonne d'agir pour son propre intérêt : « À vouloir cultiver sa stature pour l'Histoire - chuter au nom de la défense de ses valeurs – le Premier ministre sacrifie le présent et met en péril la fin du quinquennat »... estime le journal. « Comment arrêter cette guerre » ? Nous ouvrons à présent le Nouvel Obs, qui s'interroge sur le rôle de l'Europe dans la guerre entre la Russie et l'Ukraine. Le Nouvel Obs qui est allé à la rencontre de Josep Borrell, l'ex-chef de la diplomatie européenne. Interrogé sur la visite des dirigeants européens à Washington, le 18 août dernier, Josep Borrell estime « qu'à travers ce théâtre des chefs de petits pays reçus en audience par le grand Manitou pour le flatter, les Européens ont quand même réussi à empêcher le pire (…) ils ont réussi à imposer le sujet des garanties de sécurité, empêchant pour l'instant de mettre sur la table celui des cessions territoriales ». Pour autant, Josep Borrel ne se berce pas d'illusions. « La vraie question, à laquelle personne n'est capable de répondre (dit-il) c'est de savoir comment arrêter cette guerre. On ne peut pas négocier sous les bombes, et Vladimir Poutine n'arrêtera pas d'attaquer l'Ukraine pour nous faire plaisir ». Pas optimiste non plus, Giuliano da Empoli, l'auteur du Mage du Kremlin, s'exprime ainsi, dans le Point : « ce que je trouve très inquiétant, c'est que pour l'animal de pouvoir qu'est le président russe, la séquence, au fond, n'est pas déplaisante. Même si l'invasion de l'Ukraine ne s'est pas passée comme prévu, il en a fait, trois ans plus tard, un processus qui consolide son pouvoir de l'intérieur. Le fait est que tout processus de paix pourrait, en réalité le gêner », conclut Giuliano da Empoli. Appels au secours En France, l'État est mis en cause dans certains féminicides. « L'État sur le banc des accusés », titre le Point, qui explique : « le service public se voit demander des comptes dans des affaires où les dysfonctionnements ont une issue tragique ». L'hebdomadaire nous raconte ainsi l'histoire de Sandra, assassinée le 2 juillet 2021 par son ex-compagnon. Alors qu'elle avait maintes fois sonné l'alerte et demandé de l'aide. Dans une lettre adressée au Procureur de la République de Bordeaux et au chef de l'état, la jeune femme écrivait ainsi quelques mois avant sa mort : « on me dit devoir attendre que mon ex-conjoint pénètre dans mon domicile pour porter plainte. Est-ce vraiment normal de me faire agresser pour me faire entendre ? On me conseille de faire appel aux forces de l'ordre chaque fois que je me sens en danger. Dois-je appeler tous les jours ? » Les parents de Sandra ont « déposé plainte contre l'état pour faute lourde. » « Les actions de cet ordre restent rares », explique l'hebdomadaire, « mais elles s'accroissent, portées par la prise de conscience collective de l'ampleur des violences conjugales et des mécaniques à l'œuvre dans les féminicides ».
Pablo Tallón entrevista al ex alto representante de la Unión Europea, ex ministro y actual presidente del Cidob, Josep Borrell
Macron anuncia su intención de reconocer el Estado palestino en septiembre, mientras Josep Borrell carga contra la inacción de Bruselas ante los crímenes de Israel en Gaza. Además, el juez del 'caso Montoro' no ve delito en que el exministro tuviera datos fiscales confidenciales de rivales políticos. Y Justicia asegura que no puede hacer nada más para evitar la entrega del hijo de Juana Rivas a su padre este viernes.
Pablo Tallón entrevista al Alto representante de la Unión para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad
This is a free preview of a paid episode. To hear more, visit wisdomofcrowds.live“War is the father of all and the king of all; and some he has made gods and some men, some bond and some free.”So said the ancient Greek philosopher, Heraclitus. In his essay this week, Santiago Ramos says the opposite: “… war is a necessary evil; it is not what preserves the great achievements of the human race. War threatens those achievements, and we are lucky that more has not been destroyed already.” Santiago believes that pro-war voices which emerged during the recent Israel-Iran kerfuffle are expressing something more than the need to fight wars for self-defense and world order. They are voices which celebrate war as an essential, creative activity in history. Damir Marusic shares Santiago's distrust of those pro-war voices. But he thinks Santiago goes too far in a utopian, kumbaya direction. War, Damir says, will always be part of the human condition. It is folly to believe that human beings will progress enough to one day beat their swords into plowshares forever. In response, Santiago accuses Damir of believing in original sin but without the possibility of grace. Damir denies this and clarifies this position: “I want no heroes among human beings.”This rollicking debate reaches a climax in our bonus section for paid subscribers. Damir discusses Iranian incentives after the recent American bombing and ponders the possibility of a future war. He challenges Santiago to consider Trump's oft-repeated slogan, “Peace through strength.” Also in the bonus section: How much moralizing did Santiago do in his essay? the two men wonder. Santiago explains what he means by “a weird conscience-element in the air.” Why didn't Venice get destroyed? Why did Dresden get destroyed? Can you disentangle justice from sovereignty? Can you have morality without God? Damir explains to Santiago why he (Santiago) needs to talk more about Jesus. Santiago tells Damir the story of the Catonsville Nine. Required Reading:* Santiago Ramos, “War Will Not Save ‘the West' ” (WoC).* Damir Marusic, “Is Israel's Attack on Iran Legal?” (WoC).* Josep Borrell's “Garden v. Jungle” metaphor (Euronews).* David Brooks, “I Detest Netanyahu, but on Some Things He's Actually Right” (New York Times).* Edward Luttwak interview in Asylum magazine (Wayback Machine).* Heraclitus fragment about war (Wikisource).* “Heraclitus” (Stanford Encyclopedia of Philosophy).* “Russia fired new ballistic missile at Ukraine, Putin says” (Reuters).* “The 10 greatest controversies of Winston Churchill's career” (BBC).* Tim Bouverie, Allies at War: How the Struggles Between the Allied Powers Shaped the War and the World (Amazon).* Daniel Berrigan, SJ, The Trial of the Catonsville Nine (Amazon).Free preview video:Full video for paid subscribers below:
An internal report written by the EU foreign service in late 2024 has resurfaced this time, in full.The document, originally kept confidential, was published yesterday by the EU Observer and it outlines findings from a human rights audit that was ordered by the EU's then, foreign policy chief, Josep Borrell. But what is in the report and what could it mean for the EU- Israel trade agreement?Join us on our journey through the events that shape the European continent and the European Union.Production: By Europod, in co production with Sphera Network.Follow us on:LinkedInInstagram Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
L'ex Alto Rappresentante dell'Unione Europea per gli Affari Esteri e la Politica di Sicurezza, Josep Borrell, ha frantumato il muro di ipocrisia europeo sui morti di Gaza. “Se credete che il bilancio delle vittime sia troppo alto, forse dovreste fornire meno armi per evitare che così tante persone vengano uccise”, ha detto Borrell. Il 50% delle bombe che cadono sulle teste dei bambini a Gaza è spedito dall'Unione Europea. Il 30% arriva dall'Italia. Sono numeri di Borrell, mica di Hamas. Sono gli stessi concetti che quindici mesi e trentamila morti fa sollevarono Madrid e Dublino. I governi di Spagna e Irlanda, per voce dei rispettivi ministri degli Esteri, avevano chiesto formalmente alla Commissione Europea di rivedere l'accordo di associazione tra l'Unione Europea e Israele, sostenendo che Israele stesse violando l'articolo 2 dell'accordo, che obbliga le parti a rispettare i diritti umani e i principi democratici. Il sangue che si versa quotidianamente a Gaza ha le impronte della Commissione von der Leyen e del governo italiano. Per questo, ora che l'indifferenza non è più possibile — vista l'ondata emotiva (e tardiva) — spuntano sgherri che provano a sotterrare la realtà. Rula Jebreal, dopo avere incrociato Italo Bocchino, li chiama “arrampicatori di specchi e rimestatori nel torbido”, che “si affannano per cercare di chiudere gli occhi al mondo”. Sono sgherri che si affannano per rendere potabile l'indicibile. E ne risponderanno anche loro, insieme ai governi, di fronte alla storia. #LaSveglia per La NotiziaDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/la-sveglia-di-giulio-cavalli--3269492/support.
Aimar Bretos entrevista a Josep Borrell, ex jefe de la diplomacia europea
Aimar Bretos entrevista a Josep Borrell, ex jefe de la diplomacia europea
Aimar Bretos entrevista a Josep Borrell, ex jefe de la diplomacia europea
Aimar Bretos entrevista a Josep Borrell, ex jefe de la diplomacia europea
Elisa Beni, Carolina Bescansa y Víctor Guillot han debatido sobre los principales temas de la semana, entre ellos la elección del nuevo Papa León XIV, los 80 años del final de la II Guerra Mundial y las palabras de Josep Borrell criticando a España y a Europa por vender a Israel las armas con las que ataca a Gaza.
Avec le retour de Donald Trump, l'Europe éprouve un mélange ambigu d'admiration et de méfiance envers Washington. Toujours séduit par le dynamisme et l'esprit d'innovation des États-Unis, le Vieux Continent n'en redoute pas moins leurs ambitions géopolitiques et semble s'apprêter à prendre pour de bon ses distances avec l'Oncle Sam. L'imposition par l'administration Trump de droits de douane sur les produits européens et les menaces de nouvelles guerres commerciales sont en train de déstabiliser les économies du continent qui reconsidèrent leur dépendance au marché américain et explorent d'autres partenariats. Alors que la croissance mondiale est revue en forte baisse, la zone euro semble moins affectée. Au-delà, l'unité de l'OTAN est mise à rude épreuve poussant l'Europe vers la mise en œuvre d'une plus grande autonomie de défense. Reste que l'adhésion enthousiaste de certains dirigeants européens aux politiques nationalistes de Trump contrastant fortement avec le scepticisme et l'inquiétude des autres mettent en évidence des divisions. Que peuvent faire les Européens face à Trump et laissés seuls face à Poutine ? Invités : Françoise Thom, historienne, soviétologue, maîtresse de conférences émérite à la Sorbonne Université Alix Frangeul-Alves, coordinatrice de programmes, Risques géopolitiques et stratégie à la German Marshall Fund of the United States Guillaume Duval, conseiller auprès de l'Institut Jacques Delors. Ancien speechwriter de Josep Borrell, Haut Représentant de l'UE pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité.
El orden liberal internacional muestra claros signos de agotamiento. La etapa de hegemonía unipolar estadounidense ha quedado atrás y el sistema global atraviesa una transformación acelerada, marcada por tensiones geopolíticas, desglobalización y una creciente prioridad por la seguridad económica y los intereses nacionales. El deterioro del orden liberal no está siendo impulsado por actores externos, sino por su principal arquitecto: Estados Unidos. En los últimos años, Washington ha abandonado organismos clave como la OMS o los Acuerdos de París, debilitando las instituciones que sostenían el orden internacional basado en reglas. Esta retirada ha acelerado el surgimiento de un sistema multipolar en el que potencias como China, India, Arabia Saudí o Turquía ganan influencia y desafían el liderazgo tradicional de Occidente. Europa, por su parte, enfrenta desafíos estratégicos sin precedentes. La invasión rusa de Ucrania reveló la necesidad de volver al poder duro y cuestionó la dependencia europea de Estados Unidos en materia de seguridad. El retorno de Trump a la presidencia solo intensificó esta incertidumbre, forzando a la Unión Europea a considerar su autonomía en defensa y política exterior. En este nuevo orden mundial, Bruselas debe equilibrar su relación con potencias rivales y redefinir su papel en un escenario cada vez más competitivo e imprevisible. Para saber más sobre el papel de la Unión Europea en este orden internacional cada vez más competitivo e imprevisible, en el decimotercer episodio de la quinta temporada de Conversaciones Elcano, Marta Driessen e Ignacio Urbasos conversan con Josep Borrell, Alto Representante de la Unión Europea para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad (2019-2024), presidente de CIDOB Barcelona e Investigador Sénior Distinguido del Real Instituto Elcano. ----more---- Visita nuestra web: www.realinstitutoelcano.org Síguenos en nuestras redes sociales: X: https://x.com/rielcano LinkedIn: https://es.linkedin.com/company/real-instituto-elcano Facebook: https://www.facebook.com/RealInstitutoElcano Instagram: https://www.instagram.com/rielcano/ Threads: https://threads.net/@rielcano Bluesky: https://bsky.app/profile/rielcano.bsky.social YouTube: https://www.youtube.com/user/RealInstitutoElcano
Aimar Bretos entrevista al exjefe de la diplomacia europea, Josep Borrell
Aimar Bretos entrevista al exjefe de la diplomacia europea, Josep Borrell
Donald Trump asegura haber conversado con el presidente ruso Vladimir Putin por teléfono. Ambos, según el mandatario estadounidense, han acordado comenzar negociaciones para un acuerdo de alto el fuego en Ucrania. Trump también ha hablado hoy con el líder ucraniano Volodimir Zelenski.El Instituto Internacional de Estudios Estratégicos ha publicado su informe anual sobre gasto en Defensa, vamos a analizarlo. Estaremos en Austria porque se complica la situación para formar un gobierno. También en Colombia, donde también hay una crisis en el gabinete del presidente Gustavo Petro. Además Josep Borrell ha sido hoy investido Doctor Honoris Causa de la Universidad Pontificia Comillas y ha hablado de Ucrania, Gaza, Trump. Vamos a saber qué ha dicho. Y también estaremos en Bangladesh, vamos a analizar en una entrevista su situación política, que sigue complicándose porque los últimos incidentes han hecho que aumenten las críticas contra el gobierno de Muhammad Yunus. Escuchar audio
ISSN 2608-984XVous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'École de l'air et de l'espace de Salon-de-Provence le 17 janvier 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Nicole Gnesotto, vice-présidente de l'Institut Jacques Delors.Marc-Olivier Padis, directeur des études de la fondation Terra Nova.DE BARNIER À BAYROU : UN PROBLÈME, DEUX RÉPONSES ?Un mois après son arrivée à Matignon, François Bayrou s'est fixé « trois défis » : « Contenir » et « réduire » la dette publique, « mettre en place les conditions de la stabilité, qui impose de se réconcilier », et refondre l'action publique. Parmi les principales mesures annoncées, figure la remise en chantier de la réforme des retraites avec une ouverture majeure de la proposition du Premier ministre par rapport à celle de son prédécesseur Michel Barnier : il a fait sauter le tabou des 64 ans mais à condition de ne pas « dégrader l'équilibre financier » du système. Sur la base d'un « constat » chiffré, confié à la Cour des comptes pour une « mission flash », les partenaires sociaux auront trois mois pour dégager « un accord d'équilibre et de meilleure justice». S'il émerge, il sera soumis au Parlement à l'automne. Sinon « c'est la réforme actuelle qui continuerait à s'appliquer ».Un fonds spécial « entièrement dédié à la réforme de l'État », sera créé, financé en cédant une partie des actifs publics, notamment immobiliers. L'effort d'économie demandé aux collectivités territoriales sera réduit à 2,2 milliards d'euros au lieu des 5 milliards d'euros prévus par Michel Barnier. Le Premier ministre cherchera à protéger les entreprises de hausses d'impôts. Il est favorable au « principe proportionnel pour la représentation du peuple dans nos assemblées ». Un élément qui ouvre la porte à un « probable » retour du cumul des mandats. « L'étude des cahiers de doléances » présentés par les Gilets jaunes sera reprise. Le Premier ministre a abandonné « la mesure de déremboursement de certains médicaments et de consultations » prévue par son prédécesseur. La progression des dépenses de santé sera donc plus forte que prévu dans la copie Barnier. Elle devrait être relevé de +2,8% à +3,3 %. François Bayrou a également renoncé aux 4.000 suppressions de postes prévues dans l'éducation nationale ainsi qu'au passage d'un à trois jours de carence en cas d'arrêt maladie. Il maintient le projet de taxe sur les hauts revenus. Enfin, il a analysé l'immigration comme « d'abord une question de proportion ».Jeudi, ni les lepénistes ni les socialistes n'ont voté la motion de censure déposée par les mélenchonistes, avec des écologistes et des communistes. Elle n'a donc pas été adoptée.LA SÉCURITÉ COLLECTIVE À L'HEURE DU RÉVISIONNISME TRUMPISTEAvec le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, les puissances du Vieux Continent redoutent l'érosion, voire la dissolution, de leur principale alliance, l'Organisation du traité de l'Atlantique Nord (OTAN), au moment même où la Russie prend l'avantage en Ukraine. Au cours de sa précédente présidence, Trump avait envisagé de ne pas honorer l'article 5 du traité, qui prévoit que les pays signataires se portent au secours d'un allié attaqué. Or, toute la dissuasion de l'Alliance atlantique repose sur cet engagement.Cette menace voilée du président américain marquait sa volonté d'un rééquilibrage des contributions au budget de l'Otan entre les alliés et les États-Unis. Seulement les deux tiers des trente membres européens de l'Otan consacrent plus de 2 % de leur PIB à la défense. Sans les Etats-Unis, ils devront dépenser peut-être deux fois plus. Ce qui voudra dire accroître l'endettement, augmenter les impôts ou tailler dans certaines dépenses essentielles. Les Européens doivent aussi décider s'ils repensent ou non la base de leur défense collective. À l'heure actuelle, les forces armées européennes donnent priorité à l'Otan tout en veillant à élargir leurs capacités de défense et de sécurité au travers d'autres institutions, comme l'Union européenne, et des blocs militaires régionaux comme la Force expéditionnaire conjointe sous direction britannique. La victoire de Trump relance aussi le débat sur le rôle dissuasif des armes nucléaires françaises et britanniques en cas d'éventuelles attaques ailleurs en Europe.Aujourd'hui, l'Europe est bien plus vulnérable qu'elle ne l'était lorsque Trump a été élu pour la première fois en 2016. Elle est aux prises avec une guerre, une crise économique et une montée en puissance des mouvements nationalistes populistes. Actuellement, huit de ces mouvements dirigent des gouvernements ou participent à des coalitions à travers le continent. L'Europe doit se préparer, en filant la métaphore du Haut représentant de l'Union européenne pour les affaires étrangères et la politique de sécurité, Josep Borrell, à voir son « jardin » menacé par une « jungle » peuplée de « carnivores » sans états d'âme. Un récent Eurobaromètre, qui mesure l'opinion publique européenne à l'égard de l'Union, montre que celle-ci n'a jamais été aussi favorable à l'intégration européenne. Bien que beaucoup de citoyens soient insatisfaits de leur gouvernement, plus de six personnes sur dix estiment que l'avenir de l'Europe réside dans l'Union.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Depuis sa création, en 1998, la Cour pénale internationale (CPI) ne s'est que très rarement opposée aux intérêts occidentaux. Jeudi 21 novembre, en émettant des mandats d'arrêt contre le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, et son ancien ministre de la défense, Yoav Gallant, l'institution de La Haye a engagé un tournant historique.Les deux hommes sont poursuivis pour des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité, dans le contexte de la guerre à Gaza. Le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deif, est poursuivi pour les mêmes crimes, dans le cadre de son implication dans les attaques du 7 octobre 2023, mais il est présumé mort.La France, signataire du traité fondateur de la CPI, a estimé, mercredi 27 novembre, que Benyamin Nétanyahou bénéficiait d'une « immunité », Israël n'étant pas partie au statut de Rome qui fonde la juridiction internationale. Cette déclaration a scandalisé les défenseurs des droits de l'homme.Qu'est-il reproché précisément à Benyamin Nétanyahou et à Yoav Gallant ? Risquent-ils d'être arrêtés ? Et comment analyser les réactions des pays occidentaux, qui sapent l'autorité de la CPI, en remettant en cause l'application de ces mandats d'arrêt ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Stéphanie Maupas, la correspondante du Monde à La Haye et spécialiste de la justice internationale, analyse les ressorts de cette décision.Un épisode de Claire Leys. Réalisation et musiques originales : Amandine Robillard. Rédaction en chef et présentation : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait de la conférence de presse du procureur de la CPI, Karim Khan, le 20 mai 2024 ; d'une prise de parole du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le 21 novembre 2024 ; d'une prise de parole du chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, le 21 novembre 2024.Cet épisode a été publié le 2 décembre 2024.---Abonnez-vous à la chaîne Whatsapp du "Monde" : https://lemde.fr/4eMPTJd Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Z novim letom bodo ambulante družinske medicine in pediatrije plačane bolje, zaživel bo nov model obračunavanja stroškov, med drugim bodo vključene obravnave na daljavo. Po besedah direktorice zdravstvene blagajne Tatjane Mlakar so dodali še možnost za obravnavo pacientov z več bolezenskimi stanji. Za to so namenili dodatne 4 milijone evrov. Že letos pa je pričakovati znižane cene za slikovno diagnostiko. Ostali poudaki oddaje: - Termoelektrarna Šoštanj bo do konca prihodnjega leta postala toplarna; prehodno obdobje bo državo stalo 323 milijonov evrov. - Josep Borrell še zadnjič kot visoki zunanjepolitični predstavnik Unije pozval k mirovnemu dogovoru na Bližnjem vzhodu. - 46 odstokov uvoženega medu v Evropski uniji ponarejenega. Od danes veljajo strožja pravila uvoza.
EU-Außenbeauftragter Josep Borrell warnte vor einem Handelskrieg nach Trumps angekündigten Importzöllen / Waffenstillstand zwischen Israel und der Hisbollah tritt heute in Kraft / Senatorin Fatima Payman bezeichnet Pauline Hanson im Senat als Rassistin / Inflationsrate in Australien liegt am unteren Ende des Zielbereichs der Reserve Bank / Migrationsgesetzespaket der Labor-Partei wird Senat passieren / Russland startet Drohnen Großangriff / Unterstützer von Julian Assange hoffen auf Begnadigung durch US-Präsident Joe Biden
Die Europese Unie se hoof van Buitelandse Beleid, Josep Borrell, sê die uitsprake van die Internasionale Strafhof is nie polities nie en moet toegepas word. Sy opmerking volg na die hof lasbriewe vir inhegtenisname van die Israeliese eerste minister Benjamin Netanyahu, die voormalige minister van Verdediging, Yoav Gallant en die Hamas militêre leier, Mohammed Deif uitgereik het. Die hof sê daar is redelike gronde dat die drie mans misdadige verantwoordelikheid dra vir beweerde misdade teen die mensdom in die oorlog tussen Israel en Hamas. Borrell sê die beslissing moet gerespekteer word:
Aimar Bretos entrevista al Alto Representante de la Unión Europea para la Política Exterior y la Seguridad
La Corte Penal Internacional ha lanzado una orden de arresto internacional contra Netanyahu por posibles crímenes de guerra y contra la humanidad. El alto representante de la Unión Europea para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad, Josep Borrell, ha asegurado al informativo 24 horas de RNE que espera que los "miembros de la UE apoyen a la CPI y apliquen esta decisión", aunque ha lamentado que es algo que "no está garantizado porque hay algún Estado miembro que se ha mostrado muy en contra". Ha defendido que la CPI no está tomando decisiones antisemitas, sino que "está aplicando la ley internacional."EE.UU. ha rechazado la orden de la CPI de detener a Netanyahu, sobre ello, Borrell ha sido claro y ha asegurado que "la orden obliga a cada país que lo ha firmado" y que "EE.UU. dirá lo que le parezca bien, pero si Netanyahu pone los pies en un país que lo ha firmado, debería ser detenido." En relación con la guerra en Ucrania, ha considerado que "está yendo a peor." "Tengo la sensación de que Putin está mandando un mensaje de 'mirar lo que tengo', pero ahora lo está utilizando y hay que interpretarlo como una clara advertencia", ha dicho.Escuchar audio
Ukrajini bi morala uporabo orožja za napade na ruska tla dovoliti tudi Evropska unija, meni prvi mož diplomacije Josep Borrell, potem ko so to storile Združene države. Ali to pomeni, da je v vojno neposredno vstopil tudi Zahod? Drugi poudarki oddaje: - Neiskreni pogovori in izsiljevanja ne vodijo nikamor, v Bakuju opozarja vodja programa Združenih narodov za podnebje - Premier Golob v Državnem zboru: Za gospodinjstva strošek za elektriko to zimo kljub novemu sistemu omrežnine ne bo višji - Opolnoči rahla pocenitev bencina ter podražitev dizla in kurilnega olja
*) EU weighs suspension of political ties with Israel European Union foreign policy chief Josep Borrell urges bold action, proposing a suspension of political dialogue with Israel and a ban on imports from illegal settlements. Citing Israel's disregard for international law in Gaza, Borrell calls for decisive measures, set for discussion at next week's Foreign Affairs Council. Israel's war in Gaza — now in its 407th day — has killed at least 43,000 Palestinians and wounded over 103,000, with another 10,000 feared buried under debris. *) Muslim Trump supporters criticise his pro-Israel cabinet picks Muslim Trump supporters voice dismay over his pro-Israel cabinet, labelling it "Zionist overdrive." Picks like Marco Rubio, Mike Huckabee and Elise Stefanik spark backlash among those who helped secure swing state victories. Leaders cite broken peace promises and a tilt toward neo-conservatism. Yet some defend Trump, emphasising his broader peace agenda amid Middle East turmoil. *) Zelenskyy believes Trump can end Russia-Ukraine War Ukrainian President Volodymyr Zelenskyy expressed optimism that Donald Trump's leadership could hasten the end of the Russia-Ukraine war. Trump, reiterating his "America First" stance, pledged to broker peace, calling for an end to the conflict. Zelenskyy emphasized the need for a just resolution, stressing Ukraine's independence and firm stance in negotiations. *) North Korean leader orders 'mass production' of attack drones North Korea's Kim Jong-un has ordered the mass production of attack drones, escalating tensions in the region. These drones are designed to target both land and sea, raising concerns about potential attacks on South Korea and beyond. This move comes amid increasing military cooperation between North Korea and Russia. Experts believe that North Korea may have acquired drone technology from Russia, which could have implications for the ongoing conflict in Ukraine. *) Brazil takes the lead in global alliance to combat hunger Brazil has taken the lead in forming a global alliance to combat hunger and poverty. The initiative, launched ahead of the G20 summit, aims to lift 500 million people out of poverty by 2030. The alliance brings together wealthy nations, NGOs, and financial institutions to provide financial aid and expertise to countries in need.
¿Qué impacto tendrá en la guerra de Ucrania el regreso de Trump a la Casa Blanca? ¿Mantendrá el apoyo económico y militar a Zelenski o cerrará el grifo para forzarle a una buscar una salida rápida al conflicto? Lo analizamos con Alana Moceri, profesora de Relaciones Internacionales de la IE University, y con el corresponsal comunitario de RNE, David Vidueiro, que acaba de entrevistar en Kiev a Josep Borrell durante su último viaje a Ucrania como jefe de la diplomacia europea.Escuchar audio
El Alto Representante de la Unión Europea para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad, Josep Borrell, ha viajado a Ucrania en su último viaje antes de dejar su cargo. Su llegada a Kiev se produce en un contexto muy incierto para Ucrania por diversos motivos: el avance de Rusia en el frente, el freno en sus progresos en Kursk y la reciente victoria de Donald Trump en las elecciones estadounidenses. Sobre la situación en Ucrania ha podido hablar con Borrell nuestro enviado especial a Kiev, David Vidueiro. Borrell ha reafirmado al apoyo de la UE con el Gobierno de Zelesnki: "Hemos mantenido una unidad remarcable que era difícil de imaginar que tuviéramos. Ahora, probablemente se empiecen a manifestar voces discrepantes sobre cómo continuar, pero hasta ahora hemos dado a Ucrania una ayuda militar inferior a la de Estados Unidos, pero nada despreciable de casi 44 mil millones de dólares entre todos los Estados miembros".Josep Borell ha comentado que a nadie le debería extrañar un posible encuentro entre Trump y Putin, sin embargo, ha recalcado que su gobierno tardará en estar en funcionamiento al menos unos dos meses, por lo que es necesario "evitar especulaciones que en este momento son inútiles". Sobre la incorporación de soldados norcoreanos al conflicto ucraniano, el Alto Representante de la Unión Europea ha explicado que "no cambia sustantivamente nada" porque se estima que solo son 10.000 hombres. "Si fueran a ser muchos más y tuvieran un papel de reemplazo de las tropas rusas, entonces sí, estaríamos ante un proceso de globalización del conflicto que tendría consecuencias porque se extendería más allá de las fronteras rusas", ha expresado Borrell. Escucha la entrevista completa en RNE Audio.Escuchar audio
Programa especial desde Barcelona por el noveno foro regional de la Unión por el Mediterráneo. Hablamos de los retos que afrontan 40 países unidos por este mar con Josep Borrell, alto representante de la Unión Europea para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad. Borrell ha comentado que su preocupación actual es Gaza, cuya población una de las "crisis humanitarias más agudas y graves" desde la Segunda Guerra Mundial. Asimismo, también ha abordado el otro frente abierto del Gobierno de Netanyahu en Irán: "Todo el mundo teme que hubiera ataques contra las instalaciones nucleares iraníes o petroleras, todo apunta que no ha sido el caso todavía. Seguramente la presión de unos y de otros ha hecho que la escalada no sea tan grave. Pero la historia no se ha acabado, mientras siga la guerra en Gaza y el Líbano viviremos al borde de una chispa que provoque un incendio mayor".Para el alto representante de la Unión Europea, uno de los principales problemas es la falta de acuerdo en la Unión Europea sobre la venta de armas a Israel: "Cada Estado decide lo que le parece oportuno y yo no puedo impedir que hagan una cosa o aconsejarles que hagan otra. España, Italia o Francia han decidido suspender. Otros, en cambio, refuerzan esa ayuda militar, como es el caso de Alemania. De manera que allí no hay una posición común", recalca Borrell.Sobre el plan para controlar la inmigración irregular de Giorgia Meloni, ha recalcado que está política, al igual que la de Reino Unido, pone fuera la atención de los demandantes de asilo, mientras su caso es estudiado. "Esto es algo muy debatido y discutible. Los tribunales italianos le han dicho que no está de acuerdo con las normas y las leyes de la Constitución italiana. La primera ministra parece querer insistir en esta política. Esto es algo que en Europa provoca discusión porque hay que ver hasta qué punto esto vulnera o no los derechos de estas personas", ha explicado Josep Borrell. Entrevista completa en RNE AudioEscuchar audio
Con Nacho Cardero, Mamen Mendizábal, Sergi Sol y Rubén Amón comentamos la actualidad política. Entrevistamos a la ministra de Seguridad Social, Elma Saiz, que explica en 'Más de uno' su propuesta de reformar la incapacidad temporal para dar lugar a una baja laboral flexible en algunos supuestos que permitan incorporarse a la actividad laboral. Además, el alto representante de la Unión Europea para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad, Josep Borrell, expresa su temor por la escalada en Oriente Próximo y califica de "elecciones robadas" el resultado en Venezuela.
El alto representante de la Unión Europea (UE) para Asuntos Exteriores y Política de Seguridad, Josep Borrell, expresa su temor por la escalada en Oriente Próximo y califica de "elecciones robadas" el resultado en Venezuela.
Una discusión a fondo de las principales noticias del acontecer diario de Cuba y el mundo, con la conducción de los periodistas Amado Gil y José Luis Ramos | Hoy, en la Tertulia de Las Noticias Como Son: | La prensa oficial advierte a los dirigentes de que habrá consecuencias legales si la esquivan | Caen en septiembre exportaciones de petróleo venezolano a Cuba | Josep Borrell: Las actas presentadas por el Centro Carter reafirman a UE en no reconocer a Maduro | Invitados: Luz Escobar, periodista de DDC y José Luis Tan Estrada, Periodista independiente. Colaborador de DDC | Comentarios en Audio: Yoani Sánchez, Directora de 14yMedio y Josep Borrell, Vicepresidente de la Unión Europea.
Aimar Bretos entrevista a Josep Borrell, Alto Representante de la Unión Europea para la Política Exterior
AP correspondent Charles de Ledesma reports the EU's Josep Borrell argues for Ukraine having freer reign to hit back at Russia.
The EU's top diplomat Josep Borrell wants some Israeli ministers sanctioned for anti-Palestinian 'hate messages'. Also: hopes for a cancer vaccine, and dancing round the clock in Buenos Aires at the World Tango Festival.
durée : 00:12:13 - Journal de 18h - Les réactions se succèdent depuis la frappe israélienne sur une école à Gaza survenue samedi 10 août. Le chef de la diplomatie de l'Union européenne, Josep Borrell, s'est dit "horrifié", l'ONU a dénoncé un "génocide des Palestiniens" et la France a condamné avec la plus grande fermeté.
Ce matin, les journalistes et experts de RFI répondaient également à vos questions sur le rôle de médiateur des États-Unis dans le conflit au Soudan, le bras de fer entre Josep Borrell et Viktor Orbán et l'élection présidentielle au Venezuela. RDC : Corneille Nangaa en procès pour « crimes de guerre » Le procès de Corneille Nangaa, le chef de l'Alliance du fleuve Congo alliée au groupe rebelle, M23, s'est ouvert cette semaine. Pourquoi un procès maintenant ? Avec Paulina Zidi, journaliste au service Afrique de RFISoudan : Washington propose sa médiation dans la guerre civile Les États-Unis convient les FSR et l'armée régulière à un sommet prévu pour mi-août en Suisse. Pourquoi les États-Unis s'impliquent-ils dans la médiation sur la guerre au Soudan ? Est-ce que la diplomatie américaine peut réussir là où la médiation éthiopienne a échoué ? Avec Houda Ibrahim, journaliste au service Afrique de RFI Hongrie : Josep Borrell critique les initiatives diplomatiques de Viktor Orban Le chef de l'État hongrois s'est récemment rendu à Moscou et à Pékin pour discuter de la guerre en Ukraine. Comment expliquer ces critiques du chef de la diplomatie européenne à l'encontre des voyages du dirigeant hongrois ? Quelles peuvent en être les conséquences ? Avec Pierre Benazet, correspondant de RFI à Bruxelles Venezuela : Nicolas Maduro peut-il rester président jusqu'en 2029 ? Le Venezuela va élire son nouveau président dimanche 28 juillet. Quelles sont les chances de Nicolas Maduro d'obtenir un 3e mandat ? Y-a-t-il un risque de fraudes à cette élection ? Avec Thomas Posado, docteur en sciences politiques, spécialiste du Venezuela
Biden Drops Out: What Happens Now?https://youtu.be/briCAuLPFSk Welcome to the TLDR News Daily BriefingIn today's episode, we run through how Kamala Harris secured her nomination in just 36 hours. Also, we discuss China bringing together rival Palestinian factions; if US troops will withdraw from Iraq; and Josep Borrell joins EU Hungary boycott.
Der EU-Außenbeauftragte Josep Borrell hat einen Boykott des geplanten Treffens der EU-Außenminister in Budapest angekündigt.
European Union foreign-policy chief Josep Borrell admitted the West has hypocritical "double standards" on international law, the Russia-Ukraine-NATO war, Israel's brutal bombing of Gaza, the US-led invasion of Iraq, and climate change. Ben Norton analyzes the revealing comments of the top EU diplomat. VIDEO: https://www.youtube.com/watch?v=iQuUbBf6snA Sources and links here: https://geopoliticaleconomy.com/2024/07/18/eu-borrell-hypocrisy-double-standards-israel-ukraine-iraq/ EU confesses ‘our prosperity was based on China & Russia': cheap energy, low-paid labor, big market: https://geopoliticaleconomy.com/2022/10/18/eu-prosperity-china-russia-energy-market/ ‘Western dominance has ended', EU foreign-policy chief admits, warning of ‘West against the Rest' geopolitics: https://geopoliticaleconomy.com/2024/02/26/western-dominance-ended-eu-josep-borrell/ Topics 0:00 Intro 1:56 (Clip) EU foreign policy chief on West's "double standards" 4:25 (Clip) West values lives of Ukrainians more than Palestinians 5:06 (Clip) Hypocrisy on Israel's violations of UN resolutions 6:19 Historical carbon emissions by region 7:17 (Clip) Western hypocrisy on climate change 8:46 Who is Josep Borrell? 10:02 (Clip) West is prolonging Ukraine war 10:42 "Western dominance has ended" 11:55 (Clip) USA has lost its hegemony 12:11 China's economic rise 12:54 (Clip) China challenges Western dominance 14:21 Multipolarity 15:01 (Clip) "The world is much more multipolar" 15:54 "Democracy vs autocracy"? 16:33 (Clip) "On our side, there are a lot of authoritarian regimes" 17:00 How West relied on China & Russia 17:40 (Clip) "Our prosperity was based on China & Russia" 19:15 Borrell's racist "garden vs jungle" rant 21:30 (Clip) European exceptionalism 22:11 Outro
The high representative of the EU, Josep Borrell, said that reports of -- what he called -- "another massacre of civilians" were appalling. The Hamas-run health ministry in Gaza says more than two hundred Palestinians were killed in the Israeli raid, to rescue the four hostages. Also: President Biden says France remains America's best friend, after a wide-ranging discussion with his French counterpart in the Élysée palace, and tributes are paid to the Nasa "Earthrise" astronaut William Anders who has died in a plane crash aged 90.
Welcome to The Times of Israel's Daily Briefing, your 20-minute audio update on what's happening in Israel, the Middle East and the Jewish world. It is day 207 of the war with Hamas. Diplomatic reporter Lazar Berman joins host Amanda Borschel-Dan for today's episode. Reports about a potential hostage release deal are, as ever, a rollercoaster of emotions: Yesterday, headlines were filled with positive signs, but today we're hearing that Israel has decided it will not be sending a delegation to Cairo for hostage talks yet. Berman gives us a sense of where things stand now. US Congress members from both parties have reportedly warned of retaliation from Washington, amid fears that the International Criminal Court may issue warrants against Israelis, concerned that the move could sink the hostages-for-truce agreement in the works between Israel and Hamas. We hear why the court may suddenly issue these warrants for alleged war crimes perpetrated by Prime Minister Benjamin Netanyahu, Defense Minister Yoav Gallant and IDF Chief of Staff Herzi Halevi -- or at least, why the issue is suddenly in the news again. Several European member states are expected to recognize Palestinian statehood by the end of May, the European Union's foreign policy chief Josep Borrell said on Monday at the sidelines of a World Economic Forum special meeting in Riyadh. Which states and what could this mean for Israel on the international stage? An overwhelming majority of Americans believe Israel should go ahead with an offensive in Rafah to end the war against Hamas, according to a new Harvard CAPS Harris poll. Berman shares his experience of overwhelming support for Israel while he was recently in the US. For the latest updates, please see The Times of Israel's ongoing live blog. Discussed articles include: Blinken hopes Hamas takes Israel's ‘extraordinarily generous' truce offer US lawmakers threaten retaliation against UN court over potential Israel arrest warrants What is the International Criminal Court and why does it worry Israeli leaders? Israel working to block feared ICC arrest warrants against PM, others over Gaza war EU top diplomat: At least 5 countries expected to recognize Palestinian state in May Over 70% of US voters back Israeli offensive in Rafah to defeat Hamas — poll THOSE WE HAVE LOST: Civilians and soldiers killed in Hamas's onslaught on Israel THOSE WE ARE MISSING: The hostages and victims whose fate is still unknown Subscribe to The Times of Israel Daily Briefing on Apple Podcasts, Spotify, YouTube, or wherever you get your podcasts. IMAGE: A protester with a zipper over her mouth holds a poster showing pictures of Israeli hostages taken captive by Hamas and other terrorists in Gaza during the October 7 attacks, during a demonstration calling for their release in the Israeli coastal city of Tel Aviv on April 27, 2024. (Jack Guez / AFP)See omnystudio.com/listener for privacy information.
#EU: Looming European war, says Josep Borrell. Judy Dempsey, Carnegie Endowment for International Peace https://carnegieeurope.eu/strategiceurope/92096 1933 Berlin
We start tonight with terror and trauma around the globe. In Russia, four men from Tajikistan have been charged in the attack on the concert hall in Moscow which killed at least 137. Russia continues its assault on Ukraine with heavy missile attacks across the country. Meanwhile, in the Middle East the death toll in Gaza reaches over 32,000 amid fears of an Israeli offensive on Rafah. EU High Representative for Foreign Affairs and Security Policy Josep Borrel joins the program from Brussels to discuss the challenges ahead. Also on today's show: Peter Pomerantsev, Author, “How to Win an Information War”; Christopher Lockyear, Secretary General, Médecins Sans Frontières; actor Regina King, "Shirley" Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
The Biden administration is struggling to find solutions to two major foreign policy challenges: creating a ceasefire in the war in Gaza and helping fund Ukraine's war against Russia. Nick Schifrin speaks with Josep Borrell, the European Union's foreign policy chief, to learn more about global efforts on these two fronts. PBS NewsHour is supported by - https://www.pbs.org/newshour/about/funders
Haviv Rettig Gur of the TIMES OF ISRAEL returns for his weekly check-in from Israel. There has been a recent flurry of statements coming out of London, Washington, Brussels and the UN about the need to move on the recognition (or establishment) of a Palestinian state. Some have even argued for bypassing discussions about conceptualization, timelines, and milestones, and instead proceed straight to implementation. The EU's Foreign Minister, Josep Borrell, has said, “I don't think we should talk about the Middle East peace process anymore. We should start talking specifically about the two-state-solution implementation process.” What are these voices actually advocating for? What previous obstacles to a Palestinian state have been removed by the October 7 massacre? What would it actually take to build a Palestinian state that is grounded in the post-10/07 brutal reality of Israelis? Essay discussed in this episode: "The Two-State Delusion" in TABLET, by Elliott Abrams. https://www.tabletmag.com/sections/israel-middle-east/articles/two-state-delusion
EU policy chief Josep Borrell described the war in Ukraine as an "existential crisis''. Also: Hundreds seek compensation over abuse by J-pop agency's founder, and the Nobel Prize for Medicine is awarded to scientists who helped develop mRNA Covid jabs.