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Dans un monde où plus personne ne s'écoute, elle bâtit des ponts.Étudiante en médecine, journaliste au Proche-Orient, et finalement rabbin, Delphine Horvilleur multiplie les vies.Dans sa famille, c'est devenu une blague : "Alors, qu'est-ce que tu vas devenir ensuite ?"Mais derrière ce parcours atypique, Delphine travaille depuis plus de vingt ans à réintroduire le dialogue là où il n'y a plus que du bruit.Elle parle d'un judaïsme ouvert, "libéral", de la nécessité d'écouter l'autre, et de cette liberté intérieure qu'on ne trouve qu'en acceptant de ne pas tout comprendre.Dans cet épisode passionnant, rassurant, nous avons parlé sans détour de :Être l'une des seules femmes rabbins en FrancePourquoi nous n'arrivons plus à nous parler, même dans nos propres famillesComment accompagner la mort au quotidienL'antisémitisme aujourd'huiDelphine ne cherche pas à convaincre, mais à comprendre.Un épisode essentiel pour quiconque cherche à comprendre notre époque et retrouver le goût du discernement sans s'enfermer dans une lecture binaire du monde.TIMELINE:00:00:00 : Laisser la place au doute00:09:48 : Quand la nuance devient un risque00:20:13 : La vérité est-elle encore possible ?00:32:43 : Le pouvoir caché des mots00:43:12 : Dire merde à la mort00:50:53 : Faire son deuil, une expression qui ne veut rien dire01:01:18 : La religion avait-elle prédit l'intelligence artificielle ?01:15:20 : Ce que l'IA ne saura jamais faire : oublier01:23:00 : Les mots ont toujours un double fond01:31:33 : Nous aurons tous plusieurs vies01:40:56 : Juifs & Israéliens : pourquoi l'amalgame est-il si fréquent ?01:49:51 : La haine la plus vieille du monde02:08:54 : Quels leaders la jeunesse écoute-elle ?02:18:08 : Comprendre ce qui se trouve entre les lignes02:27:12 : La forme la plus rare d'intelligence02:36:20 : Le courage commence par le discernementLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #497 - Grégoire Gambatto - Ctrl+G - Dissoudre ses peurs, faire les choix difficiles et vivre son plein potentiel#476 - Yannick Alléno - Chef, Groupe Alléno - Du bistrot à l'empire gastronomique aux 17 étoiles#450 - Karim Beguir - InstaDeep - L'IA Générale ? C'est pour 2025#261 - Caroline Vigneaux - Humoriste et réalisatrice - Changer de vie : passer de la plaidoirie au stand-up#181 - Olivier Goy - La vie, la maladie, le dépassement : memento moriNous avons parlé de :Sermon prononcé par Delphine Horvilleur le soir de Yom KippourLe TalmudL'assassinat d'Yitzhak Rabin en 1995Les accords d'OsloL'émouvant hommage de Luis Enrique à sa défunte filleAttentat devant une synagogue à ManchesterLes recommandations de lecture :Le TalmudVivre avec nos morts : Petit traité de consolation - Delphine HorvilleurBelle du Seigneur - Albert CohenÔ vous, frères humains - Albert CohenComment ça va pas ? - Delphine HorvilleurLa vie devant soi - Émile Ajar / Romain GaryUn grand MERCI à nos sponsors : SquareSpace : squarespace.com/doitQonto: https://qonto.com/r/2i7tk9 Brevo: brevo.com/doit eToro: https://bit.ly/3GTSh0k Payfit: payfit.com Club Med : clubmed.frCuure : https://cuure.com/product-onelyVous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, la question n'est pas de savoir si une nouvelle guerre avec Israël est possible mais quand elle aura lieu ; même impasse à Gaza où le Hamas a repris le contrôle, et en Cisjordanie où la violence des colons redouble. L'absence de solution politique alimente le risque de nouvelles violences. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Europe, Russie, Proche-Orient, Amérique latine, Asie : Autant de champs de bataille pour Donald Trump. Des luttes d'influence géopolitique à la recherche du deal commercial le plus avantageux. La presse internationale s'intéresse d'abord à la tournée asiatique du président américain. « Y a-t-il des avancées entre les États-Unis et la Chine sur le plan commercial ?, s'interroge le Washington Post. Un compromis apparemment gagnant-gagnant a émergé ce week-end à l'issue de négociations tendues à Kuala Lumpur, en Malaisie, mais il ne faut pas encore sabrer le champagne, tempère le quotidien américain. Un accord final ne pourra intervenir que lors de la rencontre entre les présidents Xi Jinping et Donald Trump en Corée du Sud. Ce sera jeudi. Le “cadre“ annoncé pour un accord ressemble davantage à une trêve temporaire qu'à une réconciliation totale, et encore moins à quelque chose qui se rapproche d'un grand compromis qui redéfinirait la relation entre les deux plus grandes économies du monde. » Optimisme prudent « Guerre commerciale : les États-Unis et la Chine sur la voie d'un accord ? », s'interroge également Libération à Paris. « “Je pense que nous allons trouver un bon accord avec la Chine“ : Donald Trump a conclu sur une note d'optimisme la première journée de sa tournée asiatique, entamée hier à Kuala Lumpur. Des partenariats commerciaux ont été signés avec la Malaisie, la Thaïlande et le Cambodge. Mais tous les regards sont tournés vers la bataille suprême entre Washington et son rival systémique chinois. Les signaux envoyés depuis Kuala Lumpur, où les délégations américaine et chinoise ont bouclé ce dimanche deux jours de discussions préparatoires intensives, leur cinquième round de négociations depuis le printemps, alimentent un climat d'optimisme prudent. De part et d'autre, on salue un dialogue “constructif“ et “prometteur“, alors que le monde retient son souffle face à une guerre commerciale entre les deux plus grandes puissances de la planète, dont les secousses ébranlent depuis des mois l'économie mondiale. » Et, attention, prévient Libération, « chacun sait que rien n'est jamais acquis avec Donald Trump, imprévisible et souvent prompt à torpiller ses propres engagements. » Nouvel ordre international C'est d'ailleurs le thème de l'éditorial d'El Pais : « les revirements de Trump sont spectaculaires et inextricables », pointe le quotidien espagnol. « Ses actions erratiques (…) sont autant de variables qui façonnent le nouvel ordre international sans règles qui est en passe de remplacer l'ancien, né de la Seconde Guerre mondiale. (…) Le monde assiste à une montée en puissance de la Chine et doit faire face aux aspirations impériales de Poutine, relève El Pais. La Russie pourrait tirer bénéfice d'une division du monde en sphères d'influence, les États-Unis se repliant sur leur continent et abandonnant l'Europe à son sort. Une fois une paix minimale instaurée, le Moyen-Orient serait sous la tutelle partagée d'Israël et de ses voisins arabes, alliés de type Otan de Washington et, surtout, partenaires commerciaux. La Chine, par conséquent, pourrait miser sur un désengagement trumpien de Taïwan, un mouvement dont la tournée présidentielle actuelle en Asie va offrir un premier aperçu. » Pression sur l'Amérique du Sud Le Figaro à Paris, s'attarde lui sur les visées de Trump en Amérique latine, avec une apparente contradiction : « l'intense activité diplomatique et à présent militaire de l'administration Trump en Amérique latine contraste avec sa volonté affichée de prendre de la distance avec les engagements américains en Europe ou en Asie. Le déploiement de forces dans la mer des Caraïbes pour lutter contre le trafic de drogue et déstabiliser le régime de Nicolás Maduro va aussi à l'encontre des positions précédentes de Trump, qui a lancé sa carrière politique en critiquant l'aventurisme militaire de ses prédécesseurs. » En fait, pointe encore Le Figaro, « Trump renoue avec une politique étrangère où le recours à la force devient le principal levier d'influence. Les pressions exercées contre le Venezuela rappellent aussi les politiques de changements de régime menées avec plus ou moins de succès en Amérique latine au cours du XXème siècle. » Le Figaro qui cite le chercheur américain Henry Ziemer, spécialiste de l'Amérique latine. Lui aussi pointe l'imprévisibilité de Donald Trump : « l'administration américaine essaie de faire pression sur Maduro et de déclencher des troubles internes qui le pousseraient à quitter le pouvoir. Mais des mesures autres qu'une invasion (militaire) en règle sont envisageables, affirme-t-il, comme des frappes aériennes, l'interception navale de navires, peut-être des incursions dans l'espace aérien vénézuélien, tout ce qui, il y a encore un mois, aurait été très improbable semble désormais envisageable. »
Tous les samedis et dimanches, dans Europe 1 Matin week-end, Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro, livre son édito.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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C dans l'air l'invitée du 21 octobre 2025 avec Isabelle Lasserre, correspondante diplomatique au Figaro, qui publie "Les Fantômes de Munich, l'Europe face aux défis du monde contemporain", aux éditions de l'Observatoire.Dans cet ouvrage, elle décrit une Europe engluée dans un monde de "Bisounours", incapable de comprendre le basculement du monde. L'Ukraine et le Proche-Orient, les deux grands conflits qui font rage aux portes de l'Europe, ont eu des effets stratégiques d'éviction sur la scène géopolitique, faisant glisser la planète vers une organisation organisation dominée par la force. La faible capacité de réaction des pays occidentaux a poussé sur la scène internationale des acteurs de plus en plus désinhibés vis-à-vis de l'emploi de la force, qui, contrairement à la diplomatie, produit des effets immédiats.Isabelle Lasserre, correspondante diplomatique au Figaro, est notre invitée. Dans un contexte où le président Donald Trump chercherait à convaincre Volodymyr Zelensky de faire des concessions territoriales, elle analysera avec nous le rôle que devraient jouer les Européens. "C'est à l'Ukraine de décider pour elle-même et son territoire et aux Européens de décider pour eux-mêmes et leur sécurité", a déclaré aujourd'hui le président Macron depuis Ljubjana, en Slovénie.
Le trafic de drogue. Si Donald Trump tente d'imposer sa paix au Proche-Orient ou en Ukraine, c'est sous ces prétextes qu'il a lancé ces dernières semaines une guerre en Amérique latine. Les frappes américaines auraient ainsi fait une trentaine de morts au large du Venezuela depuis début septembre 2025. Le Venezuela, mais aussi la Colombie sont particulièrement visés par le président américain. Pourquoi eux ? La lutte contre le narcotrafic est-elle la seule explication ? Avec : - Jean-Jacques Kourliandsky, directeur de l'Observatoire de l'Amérique latine et des Caraïbes de la Fondation Jean-Jaurès.
Le vice-président américain J.D. Vance est attendu en Israël, ce mardi 21 octobre 2025, alors que le cessez-le-feu dans la bande de Gaza est mis à mal depuis ce week-end. Écoutez RTL autour du monde du 21 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
“J'adore arrêter les guerres”... Ainsi s'exprime Donald Trump cette semaine, une semaine qui l'aura vu, sur la scène diplomatique et médiatique, faiseur de paix au Proche-Orient et l'espère-t-il bientôt en Ukraine. Un indéniable succès de la méthode Trump que le président américain a défini par ces mots : la paix par la force… Mais de quelle force parle-t-on ? De la force militaire américaine brandie comme une menace permanente pour imposer la paix ? De la force de négociation de l'ancien promoteur immobilier ? Ou de la force du verbe, qui fait passer un cessez-le-feu ou une trêve pour une paix durable, voire éternelle ? En somme, peut-on déclarer la paix comme on déclare la guerre ? ▶︎ Elie TENENBAUM Directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales, co-auteur de « Sortir de la guerre. Des guerres de Religion aux conflits asymétriques » aux éditions Passés Composés (03.09.25)▶︎ Barbara CASSIN Philosophe, philologue, académicienne et directrice de recherche au CNRS, autrice de « La guerre des mots. Trump, Poutine et l'Europe » (08.10.25)▶︎ Bénédicte CHÉRON Historienne, professeure à l'Institut catholique de Paris▶︎ Benjamin OLIVENNES Philosophe, essayiste▶︎ Stéphane AUDOIN-ROUZEAU Historien, directeur d'études à l'EHESS (modifié)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« On craint le retour de la guerre » : les mots de Mahmoud, jeune Gazaoui de 29 ans, s'affichent à la Une de Libération à Paris. « Le calme, le soulagement, la joie, l'espoir auront duré au moins quelques jours au Proche-Orient, soupire le journal. Ce qui est déjà énorme après deux ans de guerre acharnée. À Gaza, les armes se sont tues une partie de la semaine jusqu'à ce que le Hamas profite du cessez-le-feu pour se livrer à de violents règlements de compte contre des clans rivaux ou des Palestiniens accusés d'être des “collabos“. Et hier dimanche, pointe Libération, c'est l'armée israélienne qui a mené des frappes sur le centre et le sud de l'enclave, accusant le Hamas d'avoir tiré en premier et tuant une trentaine de personnes. Bref, le cessez-le-feu ne tient plus à grand-chose, si ce n'est à la pression absolue des pays de la région, conscients qu'un retour de la guerre ne ferait pas leurs affaires. » Les prochaines étapes s'annoncent délicates… « La première étape du plan de paix se déroule dans un climat très tendu, renchérit Le Monde. Les Israéliens mettent en doute la bonne volonté du Hamas à propos des corps des 28 otages (…). D'un côté, le Hamas affirme avoir fait le maximum pour rendre les dépouilles en sa possession et pour retrouver les autres. De l'autre, l'armée et le gouvernement estiment que le Hamas a choisi de ne pas rendre tous les corps disponibles, violant ainsi la première étape du plan de paix de Donald Trump. » Alors désormais, poursuit Le Monde, « les prochaines étapes du plan en 20 points entré en vigueur le 10 octobre sous la pression du président américain apparaissent particulièrement délicates. Les belligérants et les médiateurs doivent notamment s'entendre sur la future gouvernance temporaire de Gaza et sur la démilitarisation du Hamas, censé abandonner son contrôle de l'enclave. Les envoyés spéciaux de Donald Trump, Steve Witkoff et Jared Kushner, rencontrent Benyamin Nétanyahou ce lundi. » À qui la faute ? Si le cessez-le-feu à Gaza est train de se fissurer, « la faute en revient au Hamas », estime pour sa part le Washington Post. « Avant même que l'encre du dernier accord de cessez-le-feu ne sèche, les hommes du Hamas sont sortis de leurs repaires souterrains, le visage frais, bien nourris et vêtus d'uniformes impeccables. » Et ils se sont livrés, donc, à de violents règlements de comptes. Qui plus est, poursuit le Post, « selon le Département d'État, le Hamas préparerait d'autres attaques contre des civils palestiniens. (…) Le groupe djihadiste attise (donc) les flammes d'une guerre civile palestinienne. » « Les interrogations sur l'avenir immédiat de Gaza s'accumulent », constate pour sa part Haaretz à Tel Aviv. Haaretz qui pointe du doigt, lui, le Premier ministre israélien. « Si Netanyahou veut réellement accélérer la localisation des otages, il doit laisser entrer les équipes de recherches turques prêtes à intervenir, actuellement bloquées au point de passage de Rafah. » À lire aussiAprès de nouveaux bombardements israéliens à Gaza, le fragile cessez-le-feu reprend Le « casse du siècle » au Louvre À la Une également, le vol spectaculaire d'hier matin au musée du Louvre à Paris. Tous les journaux publient les photos des bijoux dérobés et soulignent leur valeur inestimable… C'est le « casse du siècle » pour Le Soir à Bruxelles. « Les clés du braquage du Louvre : sept minutes, quatre assaillants et une échelle pour accéder aux joyaux de la Couronne », constate El Pais à Madrid. « La chasse aux voleurs est ouverte », s'exclame le Guardian à Londres. Le Louvre « trop vulnérable », pointe La Repubblica à Rome. En effet, « le Louvre a-t-il sous-estimé les alertes sur ses failles de sécurité ? », s'interroge Le Figaro à Paris. Oui, répond le journal, qui révèle qu'un récent « rapport de la Cour des comptes alertait sur le retard pris par le Louvre dans la mise en conformité des équipements de sûreté du musée. » Le journal qui cite aussi une gardienne du musée selon laquelle « 190 postes de surveillance ont été supprimés en dix ans, soit 15% des effectifs ». « Le problème n'est pas nouveau, souligne Le Figaro. En 1939 déjà, au moment du vol de L'Indifférent de Watteau au Louvre, la question de la sécurité avait fait couler beaucoup d'encre. L'un des plus grands quotidiens français d'avant-guerre, Le Journal, déplorait déjà “l'inefficacité des mesures de surveillance dans nos musées nationaux. Par raison d'économies, poursuivait-il, le personnel des gardiens a dû être réduit récemment dans des proportions relativement considérables“. L'histoire se répète. » À lire aussiCambriolage au Louvre: la revente en l'état des joyaux volés est impossible, selon les experts
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le bon sens voudrait que le président américain applique au conflit russo-ukrainien la leçon apprise au Proche-Orient : la paix ne peut advenir qu'à condition de faire pression sur les deux belligérants à la fois.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les bouleversements du Proche-Orient, de la Palestine à l'Iran en passant par le Liban, le Yémen ou la Jordanie, ne datent pas d'hier. Mais ils semblent ces dernières années s'accélérer. Ziad Majed retrace dans son nouvel ouvrage un siècle de luttes, d'ingérences et de reconfigurations, et fait découvrir l'histoire contemporaine d'un Proche-Orient plus que jamais miroir du monde. Entretien avec ce politiste franco-libanais et professeur à l'Université américaine de Paris où il dirige le programme des études du Moyen-Orient. Le Proche-Orient, miroir du monde. Comprendre le basculement en cours, de Ziad Majed ; 360 pages, paru aux éditions La Découverte le 9 octobre 2025. À lire aussiCe que le 7 octobre 2023 a changé
Les bouleversements du Proche-Orient, de la Palestine à l'Iran en passant par le Liban, le Yémen ou la Jordanie, ne datent pas d'hier. Mais ils semblent ces dernières années s'accélérer. Ziad Majed retrace dans son nouvel ouvrage un siècle de luttes, d'ingérences et de reconfigurations, et fait découvrir l'histoire contemporaine d'un Proche-Orient plus que jamais miroir du monde. Entretien avec ce politiste franco-libanais et professeur à l'Université américaine de Paris où il dirige le programme des études du Moyen-Orient. Le Proche-Orient, miroir du monde. Comprendre le basculement en cours, de Ziad Majed ; 360 pages, paru aux éditions La Découverte le 9 octobre 2025. À lire aussiCe que le 7 octobre 2023 a changé
durée : 00:16:29 - Salut l'info ! - par : Pauline PENNANECH, Estelle Faure - Libération d'otages et de prisonniers au Proche-Orient, un exercice en cas de crue et un cheval écolo : c'est le menu du nouvel épisode de Salut l'info ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce qui fait la Une de l'actualité, c'est la paix en passe de revenir au Proche-Orient avec la libération d'otages israéliens contre des prisonniers palestiniens. Cela s'est passé sous la houlette de pays arabes et de la médiation des États-Unis. On sait aussi que la Russie a essayé aussi de s'imposer comme négociateur dans la guerre entre le Hamas et Israël. C'est notamment à Moscou que les délégations officielles du Hamas se sont rendues à plusieurs reprises. Pour la Russie, ce ne sont pas des terroristes, mais des partenaires légitimes. Pour la diplomatie russe, le succès de Donald Trump a donc un goût un petit peu amer. Avec Zuqiang Lin de la rédaction chinoise à propos de la mort en France du dissident Wan Runnan, financier du mouvement étudiant de la révolte de Tiananmen Daniella Franco pour la rédaction brésilienne, pour un point sur les négociations entre les gouvernements brésilien et américain visant à réduire les surtaxes de 50% imposées par Donald Trump Denis Strelkov de la rédaction russe en amont de ce nouveau sommet Trump-Poutine qui doit prochainement se tenir en Hongrie.
Lundi (13 octobre 2025), le président américain Donald Trump annonçait «l'aube historique d'un nouveau Moyen-Orient», alors que la première phase de son plan de paix pour Gaza était mise en œuvre. Cela va-t-il profondément transformer la région ? Quelle traduction ? Pour en débattre : - Leatitia Bucaille professeur de Sociologie politique à l'Institut national des Langues et Civilisations orientales (INALCO), chercheuse au Centre d'études sur les mondes africains, américains et asiatiques (CESSMA). Son livre GAZA, quel avenir, éditions Stock Essais, sortie le 15 octobre 2026 - Sébastien Boussois, chercheur spécialiste du Moyen-Orient à l'Institut géopolitique européen de Bruxelles, auteur de Donald Trump, retour vers le futur (éditions Mareuil) - Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, président de l'IReMMO et co-auteur du livre Atlas du Moyen-Orient, éditions Autrement.
Lundi (13 octobre 2025), le président américain Donald Trump annonçait «l'aube historique d'un nouveau Moyen-Orient», alors que la première phase de son plan de paix pour Gaza était mise en œuvre. Cela va-t-il profondément transformer la région ? Quelle traduction ? Pour en débattre : - Leatitia Bucaille professeur de Sociologie politique à l'Institut national des Langues et Civilisations orientales (INALCO), chercheuse au Centre d'études sur les mondes africains, américains et asiatiques (CESSMA). Son livre GAZA, quel avenir, éditions Stock Essais, sortie le 15 octobre 2026 - Sébastien Boussois, chercheur spécialiste du Moyen-Orient à l'Institut géopolitique européen de Bruxelles, auteur de Donald Trump, retour vers le futur (éditions Mareuil) - Jean-Paul Chagnollaud, professeur émérite des Universités, président de l'IReMMO et co-auteur du livre Atlas du Moyen-Orient, éditions Autrement.
Ecoutez le nouvel épisode de SBS Easy French. Pour recevoir la transcription de ce podcast, abonnez-vous à notre newsletter.
Donald Trump est reparti à Washington après son déplacement en Israël et en Égypte avec la libération des otages. Il a salué un jour formidable pour le Moyen-Orient et c'est maintenant la phase 2 de son plan de paix qui commence. C'est peut-être la plus difficile d'ailleurs avec la mise en place d'une force de stabilisation pour la paix. Écoutez RTL autour du monde du 14 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:27 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Cinq jours après l'entrée en vigueur du cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, l'Égypte accueille une vingtaine de dirigeants internationaux, pour un sommet co-présidé par Donald Trump. Cette rencontre à Charm el-Cheikh parviendra-t-elle à sceller définitivement la paix à Gaza ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Alain Dieckhoff Sociologue français; Rami Abou Jamous Journaliste palestinien; Gideon Lévy Éditorialiste et membre du directoire du quotidien Haaretz.
durée : 00:03:17 - Le monde à l'endroit - Lors de la signature de l'accord de paix, hier en Egypte, les dirigeants européens ont été relégués à l'arrière-plan. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Georges Bensoussan, historien auteur du livre "Les origines du conflit israélo-arabe" aux éditions Que Sais-je, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la libération des otages israéliens après deux ans de captivité. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:36:28 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Ce soir à Tel Aviv, à la fin d'une journée très riche en émotions, d'abord avec le retour des otages. Mais riche aussi en promesses pour un après. C'est ce qu'on a entendu à la Knesset, mais aussi à Charm el-Cheikh. Se réjouir tout en mesurant le chemin qui reste à parcourir pour une paix durable. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:36:28 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Ce soir à Tel Aviv, à la fin d'une journée très riche en émotions, d'abord avec le retour des otages. Mais riche aussi en promesses pour un après. C'est ce qu'on a entendu à la Knesset, mais aussi à Charm el-Cheikh. Se réjouir tout en mesurant le chemin qui reste à parcourir pour une paix durable. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invité : David Lisnard, maire Les Républicains de Cannes et président de Nouvelle Énergie Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La « paix éternelle », que Trump a déjà commencé à célébrer, passe par un chemin long et ardu.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le pogrom du 7 octobre et la guerre de Gaza qui a suivi ont bouleversé la politique française. Puisque les armes vont se taire au Proche-Orient, c'est ce qu'on espère tous, Ruth Elkrief se dit qu'il faut que la guerre des mots s'arrête aussi en France. Il faut que les passions s'apaisent aussi en France. Philippe Aghion a reçu le prix Nobel d'économie 2025. Il est le cinquième Français à le recevoir après Gérard Debreu, Maurice Allais, Esther Duflo et Jean Tyrol. Selon François Lenglet, au fond, le message, à la fois du Nobel et de Philippe, c'est que la croissance est un combat et qu'il ne faut pas le lâcher. Malgré le pur narcissisme trumpien, il a réussi là où personne n'a réussi. Il a réussi à faire rentrer les 20 otages qui restaient vivants en une matinée. Le cessez-le-feu tient depuis le 11 octobre et les négociations ont abouti depuis des mois d'impasse. Abnousse dit “Bien joué monsieur Trump !” Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 13/10/2025 Otages libérés, sommet pour la paix : les cartes sont-elles rebattues au Proche-Orient ?"Bienvenue à la maison", a écrit le ministère des affaires étrangères israélien dans une série de messages sur X, accueillant le retour des 20 derniers otages israéliens vivants ce lundi 13 octobre au matin. En échange, près de 2000 prisonniers palestiniens sont en cours de libération. Les dépouilles de 28 autres Israéliens otages du Hamas doivent être rendues aux familles prochainement. Ce lundi, se tient un sommet pour la paix, à Charm El-Cheikh en Égypte, en présence de Donald Trump, d'Emmanuel Macron ainsi que plus de 20 autres dirigeants internationaux et du secrétaire général de l'ONU. L'objectif pour la présidence égyptienne est de "mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, renforcer les efforts pour instaurer la paix et la stabilité au Moyen-Orient". Le Hamas ne participe pas au sommet, laissant les médiateurs qataris et égyptiens le représenter, alors que Benjamin Netanyahu a décliné l'invitation. Sifflé à Tel-Aviv ce samedi, le premier ministre israélien va-t-il devoir rendre des comptes pour le désastre sécuritaire du 7 octobre 2023 ainsi que la destruction de la bande de Gaza ? Côté palestinien, la question du désarmement du Hamas est inscrite dans le plan Trump mais l'organisation terroriste a déjà affirmé, par la voix d'un responsable du mouvement, qu'il en était “hors de question”. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 13/10/2025 Cet historien égratigne le mythe de la guerre juste des États-Unis dans le PacifiqueDe septembre à novembre 1944, en pleine guerre du Pacifique entre Américains et Japonais, Peleliu, petite île de trois kilomètres de large sur dix kilomètres de long, devient le théâtre d'une des batailles les plus meurtrières de cette guerre. L'historien français Bruno Cabanes, titulaire de la chaire d'histoire militaire à l'Ohio State University, revient sur cette offensive américaine dans son dernier ouvrage, "Les fantômes de l'île de Peleliu", paru aux éditions du Seuil. Le récit mêle le témoignage d'un vétéran américain, Eugene Sledge, ancien "Marine" déployé à 20 ans sur l'île, et les différents voyages de Bruno Cabanes, étendus sur plusieurs années. Une histoire singulière à valeur universelle sur les traumatismes occasionnés par la guerre, sur la façon dont circulent les récits selon qu'on appartienne au camp des vainqueurs ou à celui des vaincus, et ce, à un moment où l'Histoire fait l'objet aux États-Unis, depuis le retour de Donald Trump, d'une instrumentalisation politique.Otages libérés, sommet pour la paix : les cartes sont-elles rebattues au Proche-Orient ?"Bienvenue à la maison", a écrit le ministère des affaires étrangères israélien dans une série de messages sur X, accueillant le retour des 20 derniers otages israéliens vivants ce lundi 13 octobre au matin. En échange, près de 2000 prisonniers palestiniens sont en cours de libération. Les dépouilles de 28 autres Israéliens otages du Hamas doivent être rendues aux familles prochainement. Ce lundi, se tient un sommet pour la paix, à Charm El-Cheikh en Égypte, en présence de Donald Trump, d'Emmanuel Macron ainsi que plus de 20 autres dirigeants internationaux et du secrétaire général de l'ONU. L'objectif pour la présidence égyptienne est de "mettre fin à la guerre dans la bande de Gaza, renforcer les efforts pour instaurer la paix et la stabilité au Moyen-Orient". Le Hamas ne participe pas au sommet, laissant les médiateurs qataris et égyptiens le représenter, alors que Benjamin Netanyahu a décliné l'invitation. Sifflé à Tel-Aviv ce samedi, le premier ministre israélien va-t-il devoir rendre des comptes pour le désastre sécuritaire du 7 octobre 2023 ainsi que la destruction de la bande de Gaza ? Côté palestinien, la question du désarmement du Hamas est inscrite dans le plan Trump mais l'organisation terroriste a déjà affirmé, par la voix d'un responsable du mouvement, qu'il en était “hors de question”. Enfin, Xavier Mauduit nous retrace l'histoire de la colonisation française de l'île de Madagascar où la Gen Z manifeste depuis plus de deux semaines. Marie Bonnisseau revient sur les appels au boycott de la plateforme de streaming Spotify qui prennent de l'ampleur avec comme slogan "mort à Spotify".28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 13 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Pour ce numéro de «Parlez-moi d'histoire», Guillaume Perrault reçoit le correspondant de guerre et écrivain, Jean-Pierre Perrin, auteur de plusieurs ouvrages sur le Moyen et Proche-Orient dont «Massoud, des russes aux talibans, 20 ans de résistance afghane» (Editions1) et Luc-Antoine Lenoir, journaliste au Figaro Histoire au sujet de la parution du dernier numéro «Le réveil de l'islamisme».Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 10 octobre 2025 avec Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, auteure de "Requiem pour le monde libre" (éditions de l'Observatoire)Ce matin, le prix Nobel de la Paix a été remis à Maria Corina Machado, opposante vénézuélienne. Une annonce très attendue à la Maison Blanche, tant Donald Trump était candidat à ce prix. Le président américain, auréolé de l'accord entre le Hamas et Israël sur son plan de paix, avait affirmé que ne pas recevoir ce prix serait "une insulte" à son pays. Aujourd'hui, la Maison Blanche a réagi à travers la voix de son directeur de la communication, Steve Cheung, qui a affirmé que "le comité Nobel a prouvé qu'il privilégiait la politique à la paix".Nicole Bacharan, historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, auteure avec Dominique Simonnet de "Requiem pour le monde libre", aux éditions de l'Observatoire est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur le récent accord de paix au Proche-Orient, et sur sa réalisation. Elle nous dira également comment le président Trump, qui devrait se rendre à Jérusalem dimanche, a l'intention de s'impliquer dans l'avenir de la région.
durée : 00:17:37 - Salut l'info ! - par : Pauline PENNANECH, Estelle Faure - Un nouvel accord de paix entre Israël et le Hamas, des enfants débattent de la mode des Labubu et la France à la recherche d'un nouveau gouvernement : c'est le menu du nouvel épisode de Salut l'info ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sylvain Maillard, député Ensemble pour la République de Paris, répond aux questions de Romain Desarbres au sujet de l'accord de paix signé au Proche-Orient avec la libération des otages prévues dans les jours à venir. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 06 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:23:15 - L'invité de 8h20 - Grand entretien consacré à la situation du Proche-Orient avec Laure Mandeville, grand reporter au Figaro, Pierre Haski, journaliste à France Inter, Charles Enderlin, journaliste, ancien correspondant de France 2 à Jérusalem et Luc Bronner, grand reporter pour le journal Le Monde. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invités : - Gérard Vespierre, analyste géopolitique et fondateur du media web "Le Monde Décrypté" - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD - Vincent Roy, journaliste et essayiste Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Thierry Breton, ancien commissaire européen au Marché Intérieur Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 13h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Donald Trump et Benjamin Netanyahou annoncent un accord historique pour mettre fin au conflit à Gaza, en attendant la signature du Hamas.En France, le Premier ministre Sébastien Lecornu négocie un accord de gouvernement avec les Républicains, qui posent des conditions comme la baisse des dépenses publiques.Les actes anti-chrétiens ont explosé en France en 2024, avec une hausse de 13% des profanations et des agressions, suscitant l'inquiétude.Le leasing social pour les voitures électriques fait son retour, mais avec des conditions revues à la baisse par rapport à l'an dernier.Marseille affronte l'Ajax Amsterdam en Ligue des champions, un match à suivre ce soir sur Canal+.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors voici l'essentiel du discours d'Emmanuel Macron à l'ONU sur la Palestine.So here is the essential part of Emmanuel Macron's speech at the UN about Palestine.Faut savoir qu'à l'ONU le président français a fait une annonce assez forte, hein.You should know that at the UN the French president made a rather strong announcement.Ça marque vraiment un tournant pour la France au Proche-Orient, surtout vu la situation hyper tendue là-bas.This really marks a turning point for France in the Middle East, especially given the extremely tense situation there.Premièrement, et ça c'est majeur, la France reconnaît officiellement l'État de Palestine.Firstly, and this is a major point, France officially recognizes the State of Palestine.Ouais, Macron l'a dit clairement, le temps de la paix est venu.Yes, Macron said it clearly, the time for peace has come.C'est symbolique, bien sûr, mais c'est important, ça aligne la France avec pas mal d'autres pays en fait.It is symbolic, of course, but it is important, it aligns France with quite a few other countries actually.Deuxième point clé, cet appel urgent pour un arrêt immédiat de la guerre à Gaza.The second key point is this urgent call for an immediate halt to the war in Gaza.Pour Macron, rien ne justifie de poursuivre la guerre.For Macron, nothing justifies continuing the war.L'idée, c'est d'avoir un cessez-le-feu pour après essayer de démanteler le Hamas politiquement.The idea is to have a ceasefire to then try to dismantle Hamas politically.Et enfin, pour lier tout ça, et bien cette reconnaissance, elle fait partie d'un plan de paix français plus large.And finally, to link all of this, this recognition is part of a broader French peace plan.Ça comprendrait une ambassade française en Palestine, mais attention, il y a des conditions.This would include a French embassy in Palestine, but be careful, there are conditions.Il faut la libération des otages et un cessez-le-feu qui tienne la route.The release of hostages and a sustainable ceasefire are needed.Avec une aide internationale pour reconstruire derrière.With international aid to rebuild afterwards.Donc voilà, en gros, la France mise sur la reconnaissance de la Palestine et ce plan de paix pour essayer de sortir du cycle de violence au Proche-Orient.So there you have it, basically, France is betting on the recognition of Palestine and this peace plan to try and get out of the cycle of violence in the Middle East. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Nabuchodonosor II rêve de grandeur pour Babylone. Sous son règne, la cité devient le joyau du Proche-Orient, avec ses murailles colossales et ses mythiques jardins suspendus. Roi bâtisseur et conquérant, il écrase Jérusalem avec une cruauté implacable, écrivant l'une des pages les plus sombres de l'histoire babylonienne. Son règne s'achève de façon obscure mais jamais Babylone n'a autant brillé que sous son sceptre. Suivez ce Roi cultivé et lettré devenu symbole de la démesure. Crédits : Lorànt Deutsch, Éric Lange. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a été question d'Haïti hier, (22 septembre 2025) aux Nations unies, lors d'une réunion en marge de l'Assemblée générale. Le président du Conseil présidentiel de transition a pris la parole et a lancé un nouvel appel à l'aide, rapporte Gotson Pierre, directeur de l'agence Alterpresse. L'arrêt de la Mission multinationale emmenée par le Kenya, prévu le 2 octobre 2025, serait «fatal pour le pays», a averti Laurent Saint-Cyr qui réclame «une force plus robuste pour briser l'emprise des gangs». Le président kényan, lui aussi, s'est exprimé. Il a expliqué que la mission multinationale censée lutter contre les gangs a fonctionné à 40% seulement, par rapport à ce qui était prévu. Manque d'effectifs, de moyens... William Ruto a raconté que les véhicules fournis par les États-Unis étaient usagés et sont, donc, souvent tombés en panne. Le chef de l'État kényan tout comme les États-Unis ont plaidé pour une transformation de la mission en Haïti. «Washington demande une force de répression des gangs de 5.500 membres mandatés par l'ONU», explique Gotson Pierre. Au cours de cette réunion, les États-Unis ont également annoncé qu'ils avaient décidé d'imposer des sanctions à l'ancien sénateur du département de l'Ouest, Antonio Chéramy, et à l'ex-député de la circonscription de Delmas/Tabarre, Arnel Bélizaire, pour corruption et déstabilisation des institutions démocratiques. Ils n'ont plus le droit de se rendre aux États-Unis Le calvaire des femmes en Haïti «Dans les abris de déplacés, survivre est un combat quotidien», surtout pour les femmes, raconte Gotson Pierre. «Les rares distributions d'aide finissent souvent dans la violence», explique le journaliste. Alterpresse a recueilli le témoignage de Marie, veuve de 69 ans, qui vit dans une école et a été agressée en allant chercher de la nourriture pour les siens. Une relation ancienne entre les États-Unis et Israël Donald Trump doit s'exprimer cet après-midi à la tribune des Nations unies. Il devrait réagir à la reconnaissance de la Palestine par une dizaine de pays occidentaux hier et avant-hier, et réaffirmer le lien indéfectible entre les États-Unis et Israël. Un lien très ancien «qui remonte à la création d'Israël, qui s'est amplifié pendant la Guerre froide et qui a pris des proportions absolument colossales : entre 1946 et 2024, 300 milliards de dollars d'aide américaine ont été versés à l'État d'Israël», explique notre correspondant aux États-Unis, Vincent Souriau. Il faut dire qu'Israël sert de rempart à la Maison Blanche au Proche-Orient «contre l'influence soviétique dans le passé et aujourd'hui, dans la lutte contre le terrorisme, la stabilité des cours du pétrole, la préservation de ressources stratégiques et la mise au ban du régime iranien», détaille Vincent Souriau. Il y a également une dimension militaire dans cette relation puisqu'on dit souvent que les Israéliens sont les premiers «testeurs» du matériel américain. Et enfin, une dimension sentimentale. «Aux États-Unis, il y a un attachement sentimental à Israël qui est perçu par toute une génération comme la victoire d'un peuple persécuté qui est parvenu à créer un État démocratique», analyse le journaliste de RFI. «Cette perception diminue ces dernières années, notamment depuis le 7 octobre, surtout au sein des jeunes générations. Mais il reste chez les baby-boomers qui dominent encore la scène politique, l'image d'Israël en quelque sorte comme celle d'un miroir de l'idéal démocratique américain.» D. Trump établit un lien entre l'autisme et le paracétamol, malgré les avis scientifiques Le président américain reconnaît qu'il n'est «pas médecin» mais il recommande pourtant aux femmes enceintes de ne pas prendre de paracétamol et de ne pas en donner aux bébés, car selon lui, ce médicament augmente les risques d'autisme. Une affirmation infondée, soulignent les médias américains. Ses conseils médicaux ne reposent sur rien, explique le New York Times qui rappelle que pendant des années, les scientifiques ont mené des études sur un lien éventuel entre le paracétamol et l'autisme et que leurs résultats ne sont pas concluants. Il n'y a pas de lien non plus entre les vaccins et l'autisme, contrairement à ce qu'a aussi affirmé Donald Trump hier. Une idée qui a été débunkée - démystifiée en bon français - depuis longtemps, souligne encore le journal. Enfin, le président américain a autorisé la prise d'acide folinique pour lutter contre l'autisme. «Les premiers essais menés auprès de petits groupes d'enfants ont montré des progrès encourageants en matière de langage. Mais les chercheurs insistent sur le fait qu'il faut mener des études à plus grande échelle», explique le Washington Post. Ceux que le New York Times a interrogés confirment qu'il est encore trop tôt pour parler d'un traitement de l'autisme et estiment qu'alors que les fonds alloués à la recherche sont limités, il y a d'autres sujets bien plus prioritaires. Les États-Unis au secours de l'Argentine Donald Trump doit s'entretenir avec le président argentin Javier Milei ce mardi (23 septembre 2025) en marge de l'AG des Nations unies. Hier, le Trésor américain s'est dit « prêt à faire le nécessaire » pour soutenir l'économie argentine et la sortir de la tourmente financière qui l'agite ces dernières semaines. Après l'annonce américaine, les marchés se sont calmés, relève le Wall Street Journal. Mais cela ne va pas durer. Et Donald Trump ne compte sans doute pas «utiliser l'argent du contribuable américain pour financer la sortie du peso des investisseurs lors d'une attaque spéculative.» La balle est, donc, dans le camp de l'Argentine à en croire le Wall Street Journal. «Les Argentins ont des milliards de dollars cachés sous leurs matelas ou dans des boîtes de café (...) Un plan crédible de Milei pour faire du dollar la monnaie légale leur permettrait de mettre ces billets verts au travail dans l'économie argentine», poursuit le quotidien qui incite le président argentin à dollariser l'économie en échange de l'aide américaine. Grève nationale en Équateur En Équateur, une grève nationale a débuté hier. Le détonateur est la fin des subventions sur le diesel et par conséquent, la hausse du prix du carburant. Deux fois déjà, en 2019 et en 2022, le pouvoir en place avait tenté de faire passer cette mesure. Mais la rue l'avait fait reculer. Cette fois-ci, les choses devraient être différentes, analyse El Comercio. Car malgré cette décision impopulaire, Daniel Noboa conserve un fort capital politique. Il reste légitime aux yeux d'une grande partie du peuple et ses soutiens ont toujours du poids au Parlement, détaille le journal. En outre, le mouvement indigène, à l'origine de cette grève, est divisé. Enfin, poursuit El Comercio, Daniel Noboa a été malin : il a promis des aides à certains secteurs, comme l'agriculture et les transports. Surtout, pour éviter que Quito ne devienne l'épicentre de la contestation, comme en 2019 et en 2022, le président a déménagé le pouvoir exécutif à Latacunga, à environ 100 km au sud de la capitale, en plein territoire indigène. Une manière de dire aux manifestants que lui, ne cèdera pas, estime le quotidien. Le journal de la 1ère Dans l'affaire du chlordécone, la cour d'Appel de Paris rendra sa décision le 23 mars 2026.
durée : 00:19:50 - Journal de 12h30 - Depuis hier et encore aujourd'hui une dizaine de pays a décidé de se joindre à tous ceux qui reconnaissent déjà l'Etat palestinien.
Benyamin Netanyahu poursuit son jusqu'au-boutisme au Proche-Orient. L'armée israélienne a lancé une offensive terrestre majeure à Gaza-ville visant à expugner le Hamas d'un de ses derniers grands bastions dans la bande de Gaza. Une offensive largement condamnée à l'étranger. Le secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres déplore une situation «moralement, politiquement et légalement intolérable». L'ONU qui, justement, se prépare à un vote crucial à New York sur la reconnaissance officielle de la Palestine, perçue comme un levier de la dernière chance pour relancer une solution diplomatique à deux États, mise à rude épreuve depuis des décennies. Au sein de l'Union Européenne, l'Espagne, l'Irlande et la Slovénie ont reconnu la Palestine en 2024. D'autres pays ont annoncé qu'ils le feraient cette semaine à l'ONU. Parmi eux, des alliés indéfectibles des États-Unis comme le Canada et l'Australie ou des États disposant du droit de véto au Conseil de Sécurité comme la France et le Royaume-Uni. Invité : Adel Bakawan, sociologue. Directeur du European Institute for Studies on the Middle East and North Africa. «La décompositions du Moyen-Orient. Trois ruptures qui fait basculer l'histoire», éd. Tallandier.
C dans l'air l'invitée du 18 septembre 2025 avec Dominique de Villepin, ancien Premier ministreEmmanuel Macron a prévu d'annoncer la reconnaissance officielle de l'État de Palestine par la France devant l'Assemblée générale des Nations Unies, lundi 22 septembre. Le chef de l'Etat mise sur cet événement diplomatique de grande envergure pour donner un nouvel élan au processus de paix au Proche-Orient.Si la décision française ne dépend d'aucune instance internationale, ni d'un mécanisme législatif particulier, comme d'un vote du Parlement, elle procède néanmoins d'un effort diplomatique plus large, conjointement mené avec l'Arabie saoudite. Un texte a été rédigé, désormais connu comme la « Déclaration de New York », et constitue une feuille de route vers un retour de la paix dans la région. Ce document prévoit « un règlement juste, pacifique et durable du conflit israélo-palestinien, fondé sur la mise en œuvre effective de la solution à deux États ». La « Déclaration de New York » exclut également le Hamas des démarches diplomatiques et politiques, insistant sur la nécessité de désarmer le mouvement islamiste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2006, et qui a perpétré les attaques terroristes du 7 octobre 2023 contre Israël. À ce jour, 148 pays membres sur 193 reconnaissent l'Etat palestinien. Avec la France et le Royaume-Uni, ce sont désormais quatre des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies – l'organe exécutif de l'ONU -, qui valideront cette reconnaissance, la Chine et la Russie l'ayant fait dès la fin des années 1980.Dominique de Villepin, ancien Premier ministre et ancien ministre français de l'Intérieur et des Affaires étrangères, est notre invité. Il nous donnera son analyse sur le choix de la France de reconnaître un Etat palestinien lundi prochain. Il répondra aussi à nos questions sur l'actualité sociale en France, alors que des manifestations et grèves sont en cours partout en France aujourd'hui.