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Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 5. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. «Tabou du siècle», «fléau», c'est de cette manière qu'Emmanuel Macron a voulu, en 2024, qualifier la chute de la natalité en France afin d'introduire son plan de «réarmement démographique». Des termes forts, alors qu'en Europe, les jeunes n'ont plus forcément la tête à avoir un ou des enfants : selon l'Office européen des statistiques, le taux de fécondité est descendu à 1,38 enfant par femme, bien en dessous du seuil de renouvellement des générations. Coût du logement, précarité de l'emploi, rythme de travail incompatible, manque de partage des tâches dans le couple, pour les jeunes, concilier vie professionnelle et vie personnelle est déjà un casse-tête. Au-delà de ces contraintes, les aspirations ont également changé. La maternité n'est plus forcément la voie choisie par les jeunes femmes qui ont tendance à davantage privilégier leur épanouissement professionnel. Socialement, il n'est plus aussi mal perçu de ne pas vouloir d'enfants en Europe. S'ajoute à cela le facteur climatique, une nouvelle dimension majeure qui alimente une forme d'éco-anxiété et accompagne l'émergence d'une «génération no kids». 37% des jeunes Français hésitent à avoir des enfants, et 74% jugent l'avenir effrayant en raison des inquiétudes grandissantes face au dérèglement climatique. Face à cette réticence chez les jeunes, la France et ses pays voisins adoptent des politiques natalistes, sous la forme d'allocations ou de réductions d'impôts. Mais la politique peut-elle réorienter le choix des jeunesses européennes ? Avec : • David Duhamel, économiste, enseignant à Sciences Po Paris et auteur de Un Monde sans enfants - le pire arrive... mais le meilleur peut suivre (Buchet.Chastel, 2024). Un reportage de Clémence Pénard, correspondante de RFI à Dublin en Irlande. L'Irlande décroche un triste record : elle est le pays de l'Union européenne, où élever un enfant coûte le plus cher ! Et à l'échelle du continent, seuls la Suisse et le Royaume-Uni la devancent. Frais de garde exorbitants, équivalant à 40 % du revenu moyen, peu de congés parentaux ou mal rémunérés et quasiment pas d'allocations familiales. Fonder une famille en Irlande n'est plus un rêve, c'est un calcul. Et pour beaucoup, l'addition est tout simplement trop salée. Un témoignage recueilli par Tom Malki. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, Avoir un enfant : qu'en pensent les jeunes européens ? Programmation musicale : ► Plus loin que soi - Oxmo Puccino ► No Panic - Burna Boy - Jul feat. Gims.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 4. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis une dizaine d'années, l'Amérique latine est confrontée à une crise migratoire. Selon les Nations-unies, 43 millions de Latino-Américains ne vivaient pas dans leur pays d'origine en 2020, ils étaient 25 millions en 2000. Pour certains pays, le phénomène est particulièrement frappant, ainsi le Venezuela a vu partir 25% de sa population. Si l'on pense principalement aux voisins américain et canadien comme destination de choix, une grande partie des migrations est en réalité intrarégionale. Crises économiques à répétition, instabilité politique et institutionnelle, catastrophes naturelles à répétition sous l'effet du réchauffement climatique, violences liées au narcotrafic... aggravent les problèmes socio-structurels auxquels sont confrontés les pays de la région. Autant de facteurs qui poussent les populations au départ à la recherche de stabilité et de meilleures opportunités. Alors qu'environ 27% de Latino-Américains ont entre 15 et 29 ans, environ 20% ne sont ni en emploi ni en études ni en formation. Des chiffres qui montrent un certain découragement de la part de cette génération quant à ses perspectives. Pour ces jeunes qui ne font pas non plus confiance à leur gouvernement, la tentation du départ est d'autant plus grande. Dans ce contexte, comment penser sa vie en Amérique latine quand on a moins de 30 ans ? Avec : • Lucie Laplace, chercheuse en Science politique au Laboratoire Triangle de l'Université Lumière Lyon 2, chercheuse à l'Institut Convergence Migrations et experte en migrations forcées, droits humains, action humanitaire et sur les enjeux de genre (spécialisation sur l'Amérique latine) • Gaspard Estrada, politologue, membre de l'Unité du Sud Global à la London School of Economics (LSE). Un témoignage d'une réfugiée mexicaine au Canada, réalisée par Aude-Emilie Judaïque. Un témoignage recueilli par Alice Campaignolle, correspondante de RFI à Caracas au Venezuela. Au Venezuela, on estime qu'environ 8 millions de personnes ont quitté le pays lors des 15 dernières années, fuyant une économie dévastée, l'hyperinflation, les pénuries. Si la situation s'est améliorée, elle est loin d'être parfaite, et les Vénézuéliens continuent de partir. Notre correspondante à Caracas est allée à la rencontre d'une jeune femme de 30 ans, Andrea, qui prépare son projet de migration pour l'Europe, frustrée de ne pas pouvoir trouver le travail qui l'intéresse, et de vivre dans l'instabilité permanente. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, partir ou rester : qu'en pensent les jeunes en Amérique du Sud sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Fatima - Bejuco ► Petite Miss - Mademoiselle Lou.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 3. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis le 7 octobre 2023, date des attaques commises par le Hamas en Israël, le monde vit de nouveau au rythme du conflit israélo-palestinien. Depuis l'offensive du mouvement islamiste palestinien, Israël a déclenché sa riposte militaire à coups de bombardements dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au Liban et en Iran, plongeant toute la région dans la guerre. Alors que des milliers de personnes ont perdu la vie, que Gaza souffre de la faim, que les économies dévissent, le reste de la population vit dans l'attente des pourparlers, des trêves et des négociations. Dans la région du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, 54% de la population a moins de 30 ans, selon les Nations unies. Dans ce contexte incertain, difficile de se projeter vers l'avenir pour cette nouvelle génération. Entre l'instabilité politique, les conflits récurrents, la vie chère et les taux de chômage élevés, comment croire en la paix quand on est jeune au Moyen-Orient ? Avec : • Marie Kortam, sociologue au département des Études contemporaines à l'Institut français du Proche-Orient, IFPO • Stéphanie Latte Abdallah, historienne, directrice de recherche au CNRS, co-autrice de Faire art, société et politique entre guerre et paix (Presses de l'Institut français du Proche-Orient, Ifpo / Diacritiques Éditions) • Anthony Samrani, co-rédacteur en chef à L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban : La fin d'un pays, la fin d'un monde ? dans la collection Tracts chez Gallimard en 2024. Des témoignages recueillis par Alice Moreno, correspondante de RFI à Ramallah. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, croire en la paix : qu'en pensent les jeunes ? Programmation musicale : ► Shmaali Tarweeda (Nicolas Jaar Remix) - Yasmine Hamdan ► Corazon - JUL feat. GIMS.
durée : 00:15:39 - Journal de 12h30 - Lors de la clôture d'une conférence à l' Onu pour la paix au Proche- Orient, 17 pays dont l'Arabie Saoudite, le Qatar et l'Egypte appellent le Hamas à remettre ses armes à l'Autorité Palestinienne.
Dans cette édition :Le Royaume-Uni annonce une reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant la colère d'Israël qui accuse le Premier ministre britannique de récompenser le terrorisme du Hamas.La France prévoit de larguer 40 tonnes d'aide humanitaire à Gaza, tandis que l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la France envisagent d'envoyer leurs ministres des Affaires étrangères en Israël pour demander plus d'aide.De nouvelles agressions antisémites sont signalées en Italie et en France, alimentant les inquiétudes de la communauté juive face à la recrudescence de l'antisémitisme.Le gouvernement français oblige les constructeurs automobiles à fournir des voitures de remplacement aux propriétaires de véhicules équipés d'airbags Takata défectueux, sous peine d'amendes.Malgré les risques, des sociétés de sécurité privées sont déployées dans certains quartiers de Toulouse pour lutter contre le trafic de drogue et la délinquance.Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont un impact positif sur le tourisme à Paris, avec une hausse de 15% des réservations hôtelières et une forte présence de visiteurs américains.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 3. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Depuis le 7 octobre 2023, date des attaques commises par le Hamas en Israël, le monde vit de nouveau au rythme du conflit israélo-palestinien. Depuis l'offensive du mouvement islamiste palestinien, Israël a déclenché sa riposte militaire à coups de bombardements dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au Liban et en Iran, plongeant toute la région dans la guerre. Alors que des milliers de personnes ont perdu la vie, que Gaza souffre de la faim, que les économies dévissent, le reste de la population vit dans l'attente des pourparlers, des trêves et des négociations. Dans la région du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, 54% de la population a moins de 30 ans, selon les Nations unies. Dans ce contexte incertain, difficile de se projeter vers l'avenir pour cette nouvelle génération. Entre l'instabilité politique, les conflits récurrents, la vie chère et les taux de chômage élevés, comment croire en la paix quand on est jeune au Moyen-Orient ? Avec : • Marie Kortam, sociologue au département des Études contemporaines à l'Institut français du Proche-Orient, IFPO • Stéphanie Latte Abdallah, historienne, directrice de recherche au CNRS, co-autrice de Faire art, société et politique entre guerre et paix (Presses de l'Institut français du Proche-Orient, Ifpo / Diacritiques Éditions) • Anthony Samrani, co-rédacteur en chef à L'Orient-Le Jour et auteur de Vu du Liban : La fin d'un pays, la fin d'un monde ? dans la collection Tracts chez Gallimard en 2024. Des témoignages recueillis par Alice Moreno, correspondante de RFI à Ramallah. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, croire en la paix : qu'en pensent les jeunes ? Programmation musicale : ► Shmaali Tarweeda (Nicolas Jaar Remix) - Yasmine Hamdan ► Corazon - JUL feat. GIMS.
durée : 00:15:39 - Journal de 12h30 - Lors de la clôture d'une conférence à l' Onu pour la paix au Proche- Orient, 17 pays dont l'Arabie Saoudite, le Qatar et l'Egypte appellent le Hamas à remettre ses armes à l'Autorité Palestinienne.
Dans cette édition :Le Royaume-Uni annonce une reconnaissance prochaine d'un État palestinien, suscitant la colère d'Israël qui accuse le Premier ministre britannique de récompenser le terrorisme du Hamas.La France prévoit de larguer 40 tonnes d'aide humanitaire à Gaza, tandis que l'Allemagne, la Grande-Bretagne et la France envisagent d'envoyer leurs ministres des Affaires étrangères en Israël pour demander plus d'aide.De nouvelles agressions antisémites sont signalées en Italie et en France, alimentant les inquiétudes de la communauté juive face à la recrudescence de l'antisémitisme.Le gouvernement français oblige les constructeurs automobiles à fournir des voitures de remplacement aux propriétaires de véhicules équipés d'airbags Takata défectueux, sous peine d'amendes.Malgré les risques, des sociétés de sécurité privées sont déployées dans certains quartiers de Toulouse pour lutter contre le trafic de drogue et la délinquance.Les Jeux Olympiques de Paris 2024 ont un impact positif sur le tourisme à Paris, avec une hausse de 15% des réservations hôtelières et une forte présence de visiteurs américains.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Partagez votre opinion avec la rédactionAlors que la tension reste vive au Proche-Orient, Caroline Yadan, députée de la 8e circonscription des Français de l'étranger, revient sur la gestion de la guerre israélo-palestinienne et ses conséquences pour les Français résidants dans la région. Entre convictions personnelles et décisions présidentielles, l'élue livre un témoignage marqué par la fermeté et l'émotion.La suite sur Lesfrancais.press Support the show
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 2. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. En Inde, 93% des mariages sont arrangés, selon une grande étude de l'Université d'Oxford et la Fondation Lok, publiée en 2018. Si les chiffres datent un peu, le mariage reste une institution centrale dans la société indienne. Une affaire de famille et un projet à l'échelle d'une vie dans un pays où l'on compte moins de 2% de divorces. Le choix de sa ou son partenaire de vie est, en effet, rarement laissé au hasard. La caste, la religion, le métier, parfois le signe astrologique sont étudiés dans l'espoir de créer un couple idéal pour les deux familles. L'utilisation des applications de rencontre et des sites matrimoniaux pour les plus fortunés viennent optimiser le processus. Le mariage implique donc plus que deux personnes et façonnent l'organisation de la société, qui reste largement clanique, alors que les mariages d'amour et les mariages interconfessionnels sont encore très minoritaires. Chez ce géant démographique de près 1,5 milliard d'habitants dont la moitié a moins de 25 ans, le nombre de mariages ne devrait pas diminuer. Mais que pense la nouvelle génération de cette institution encore largement marquée par la tradition ? Dans un pays qui voit sa croissance économique et urbaine s'envoler, les jeunes, rivés sur les réseaux sociaux, ont-ils d'autres aspirations pour leur avenir qu'un partenaire choisi par leur parent ? Avec : • Jeanne Subtil, doctorante en Sociologie. Professeur de français langue étrangère à l'Alliance française de New Delhi en Inde. Autrice d'une thèse sur les expériences et perspectives amoureuses des étudiants et étudiantes de New Delhi • Arundhati Virmani, historienne de l'Inde coloniale et contemporaine et enseignante à l'École des Hautes études en Sciences sociales. Un entretien et témoignage recueilli par Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde. Nous partons en Inde, le pays le plus peuplé du monde, avec 1,4 milliard d'habitants. L'Inde et sa diversité de langues, de religions, de castes et de territoires où près de 90% des mariages sont encore arrangés par les familles. Arrangés, mais pas forcément forcés, alors que la nouvelle génération tente d'arbitrer entre désir d'émancipation et respect pour la famille. Côme Bastin donne la parole à des femmes de Bangalore, la grande mégapole du sud du pays, connue pour sa modernité. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des mariages arrangés sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Triple OG – Divine ► Allons voir - Feu! Chatterton.
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - La solution à deux États, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux États membres des Nations unies, lors d'une conférence internationale fustigée par Israël et les États-Unis. - réalisation : Brice Garcia
durée : 00:15:09 - Journal de 8 h - La solution à deux États, israélien et palestinien, est le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient, ont plaidé lundi de nombreux États membres des Nations unies, lors d'une conférence internationale fustigée par Israël et les États-Unis. - réalisation : Brice Garcia
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 2 Que pensent les jeunes européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. En Inde, 93 % des mariages sont arrangés selon une grande étude de l'Université d'Oxford et la Fondation Lok, publiée en 2018. Si les chiffres datent un peu, le mariage reste une institution centrale dans la société indienne. Une affaire de famille et un projet à l'échelle d'une vie dans un pays où l'on compte moins de 2 % de divorces. Le choix de sa ou son partenaire de vie est en effet rarement laissé au hasard. La caste, la religion, le métier, parfois le signe astrologique sont étudiés dans l'espoir de créer un couple idéal pour les deux familles. L'utilisation des applications de rencontre et des sites matrimoniaux pour les plus fortunés viennent optimiser le processus. Le mariage implique donc plus que deux personnes et façonnent l'organisation de la société, qui reste largement clanique alors que les mariages d'amour et les mariages interconfessionnels sont encore très minoritaires. Chez ce géant démographique de près 1,5 milliards d'habitants dont la moitié a moins de 25 ans, le nombre de mariage ne devraient pas diminuer. Mais que pense la nouvelle génération de cette institution encore largement marquée par la tradition ? Dans un pays qui voient sa croissance économique et urbaine s'envoler, les jeunes, rivés sur les réseaux sociaux, ont-ils d'autres aspirations pour leur avenir qu'un partenaire choisi par leur parent ? Avec : • Jeanne Subtil, doctorante en sociologie. Professeur de française langue étrangère à l'Alliance française de New Delhi en Inde. Autrice d'une thèse sur les expériences et perspectives amoureuses des étudiants et étudiantes de New Delhi • Arundhati Virmani, historienne de l'Inde coloniale et contemporaine et enseignante à l'Ecole des hautes études en sciences sociales Un entretien et témoignage recueilli par Côme Bastin, correspondant de RFI à Bangalore en Inde Nous partons en Inde, le pays le plus peuplé du monde, avec 1,4 milliard d'habitants. L'Inde et sa diversité de langues, de religions, de castes et de territoires où près de 90 % des mariages sont encore arrangés par les familles. Arrangés, mais pas forcément forcés, alors que la nouvelle génération tente d'arbitrer entre désir d'émancipation et respect pour la famille. Côme Bastin donne la parole à des femmes de Bangalore, la grande mégapole du sud du pays, connue pour sa modernité. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes sur les mariages arrangés sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Triple OG – Divine ► Allons voir - Feu! Chatterton
Donald Trump continue de défrayer la chronique.Mais au-delà des provocations, quelle est sa véritable influence sur le Proche-Orient ?Sébastien Levi, spécialiste des États-Unis, décrypte les choix stratégiques de Joe Biden dans une région plus instable que jamais. À écouter pour comprendre ce qui se joue à Washington.See omnystudio.com/listener for privacy information.
La solution à deux États, israélien et palestinien, est-elle le seul chemin pour parvenir à la paix au Proche-Orient ? Pour la France, il n'y a pas d'autre alternative. Après Emmanuel Macron, le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, l'a répété haut et fort hier à New York, lors de l'ouverture de la conférence sur la solution à deux États. Libération à Paris applaudit : « c'est l'honneur de la France de s'engager dans la voie de cette reconnaissance d'un État palestinien. L'argument utilisé contre le président français, qui consiste à dire que ce serait un cadeau fait aux terroristes, n'est pas audible. (…) Emmanuel Macron fait le pari que son activisme va entraîner une réaction en chaîne, notamment du côté des États arabes de la région, à commencer par l'Arabie saoudite. Et peut-être la Grande-Bretagne, qui connaît bien le dossier ». Et Libération de citer l'historien et ancien ambassadeur d'Israël en France Elie Barnavi : « entre le Jourdain et la mer, il y a 7 millions d'Israéliens et 7 millions de Palestiniens. Ces deux peuples sont là pour durer et aucun n'ira ailleurs. Cette réalité-là, ni Netanyahu, ni Trump, ni le Hamas, ni personne ne pourra rien y changer ». Lundi, le quotidien de gauche israélien Haaretz abondait en ce sens : « Macron a raison : seule une solution à deux États, dans laquelle un État palestinien serait établi, permettrait une vie normale aux deux nations vivant entre la Méditerranée et le Jourdain ». Ne pas rester les bras croisés Pour sa part, L'Orient-Le Jour à Beyrouth ne se fait aucune illusion sur la portée des débats en ce moment à New York : « si la conférence onusienne pourrait isoler davantage Israël sur la scène internationale ainsi que son allié américain, rares sont les observateurs à estimer qu'elle aura un impact sur la conclusion d'un cessez-le-feu à Gaza et sur l'avenir de la question palestinienne, du moins tant que Tel-Aviv disposera du soutien inconditionnel de son allié américain et premier fournisseur d'armes ». Pour le chercheur Hussein Ibish, de l'Arab Gulf States Institute, cité par le quotidien libanais, « ni la France ni l'Arabie saoudite ne se bercent d'illusions en croyant que cela changera la donne ou constituera un tournant international. Ce qu'elles espèrent, c'est envoyer un message aux Israéliens et au reste de la communauté internationale pour leur faire comprendre qu'elles, au moins, ne sont pas disposées à rester les bras croisés et à ne rien faire pendant que Gaza brûle et qu'Israël s'achemine vers une annexion potentielle de la Cisjordanie occupée qui détruirait la paix ». « Coup de pub » De leur côté, pointe le Washington Post, « les États-Unis et Israël boycottent la conférence de l'ONU sur une solution à deux États. Le département d'État qualifie cette réunion de “coup de publicité“ qui sape les efforts diplomatiques actuellement déployés par les États-Unis pour trouver la paix ». Reste, poursuit le Post, qu'il « est dans l'intérêt national de l'Amérique de mettre fin aux combats. Ce serait un pas important vers la normalisation des relations d'Israël avec d'autres voisins arabes. (…) Des solutions créatives sont nécessaires. Il s'agit notamment d'aborder les points d'achoppement les plus difficiles, à savoir la mise en place d'une future autorité gouvernante pour Gaza en remplacement du Hamas, associée à des garanties de sécurité pour Israël. Il ne faut plus jamais laisser des civils innocents mourir de faim, conclut le Washington Post, alors que les combattants sont à la recherche d'une paix insaisissable ». Génocide… En attendant, de plus en plus de voix s'élèvent pour dénoncer les crimes commis à Gaza. Dans un entretien au quotidien suisse Le Temps, Elisa von Joeden-Forgey, la directrice de l'institut Lemkin, affirme clairement qu'un génocide est aujourd'hui en cours à Gaza. Une position qui fait écho à celle de deux ONG israéliennes B'Tselem et Physicians for Human Rights, dont les dirigeants affirment que « l'armée israélienne poursuit à Gaza une politique intentionnelle de destruction de la société palestinienne. En d'autres mots, Israël commet un génocide ». Leur interview est à lire dans Le Monde. « Les actions de l'armée à Gaza, précisent-ils, correspondent à la définition de trois des cinq actes, qui, commis dans l'intention de détruire totalement ou partiellement un groupe national, ethnique, racial ou religieux, sont constitutifs du crime de génocide ». À savoir : « meurtres de membres du groupe, atteinte grave à leur intégrité physique ou mentale, et soumission intentionnelle à des conditions d'existence menant à la destruction physique ».
durée : 00:12:01 - La Question du jour - par : Julie Gacon - Trois jours après l'annonce d'Emmanuel Macron de son intention de reconnaître la Palestine en septembre, s'ouvre la conférence des Nations Unies sur l'avenir de l'État palestinien, qui ravive l'idée jamais aboutie de la "solution à deux États". Une telle solution est-elle encore réaliste ? - réalisation : Sam Baquiast - invités : Insaf Rezagui Docteure en droit international de l'Université Paris-Cité, chercheuse associée à l'Institut français du Proche-Orient et membre du collectif de recherche Yaani
durée : 02:00:19 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon, Sarah Masson - . - réalisation : Sam Baquiast - invités : Irénée Régnauld Doctorant à l'EHESS et chercheur associé au laboratoire COSTECH de l'université de Compiègne.; Insaf Rezagui Docteure en droit international de l'Université Paris-Cité, chercheuse associée à l'Institut français du Proche-Orient et membre du collectif de recherche Yaani; Olivia Rosenthal Écrivaine.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la construction d'un méga-barrage controversé au Tibet et une décision de la Cour internationale de justice sur le dérèglement climatique. Conflit israélo-palestinien : pourquoi la France reconnaît l'État palestinien maintenant ? « Fidèle à son engagement historique pour une paix juste et durable au Proche-Orient, j'ai décidé que la France reconnaîtra l'État de Palestine », a écrit Emmanuel Macron sur X. Pourquoi prendre cette décision maintenant ? Conflit israélo-palestinien : que peut changer la reconnaissance de la Palestine par la France ? À Gaza, la famine sévit et l'aide humanitaire est toujours bloquée. Cette reconnaissance pourrait-elle renforcer la pression diplomatique sur Israël ? Reconnaissance de l'État de Palestine : quels autres pays pourraient imiter la France ? La France devient le 142è pays à reconnaître l'État de Palestine, selon un décompte de l'AFP. Cette décision pourrait-elle inciter d'autres pays européens à emboîter le pas d'Emmanuel Macron ? Avec Adel Bakawan, chercheur-associé à l'Ifri, directeur de l'Institut européen d'études du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord (Eismena). Chine : un méga-barrage lancé au cœur d'un désert géopolitique La Chine a lancé la construction du plus grand barrage hydroélectrique du monde sur le fleuve Yarlung Zangbo, au Tibet. Avec un coût estimé à plus de 165 milliards de dollars, ce projet est-il économiquement viable, ou est-ce avant tout un geste politique de puissance ? Pourquoi la construction de ce méga-barrage inquiète les pays voisins de la Chine ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Climat : vers une condamnation des États pollueurs ? Dans un avis historique, la Cour internationale de justice affirme que l'inaction climatique peut être jugée illégale, ouvrant la voie à d'éventuelles réparations. Quels types de « réparations » les États responsables pourraient-ils devoir verser aux pays victimes ? Que change concrètement l'avis de la CIJ sur la reconnaissance du changement climatique comme une « menace existentielle » pour l'humanité ? Avec Jeanne Richard, journaliste au service environnement-climat de RFI.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 1. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Sur le continent africain, un jeune sur quatre n'est ni en emploi, ni en étude, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Une situation largement préoccupante puisque 73 millions de jeunes actifs supplémentaires sont attendus sur les marchés du travail d'ici 2050. Alors que l'Afrique peine à subvenir aux besoins alimentaires de sa population, le secteur agricole pourrait offrir de nombreuses opportunités à cette jeunesse en quête d'emploi. Mais l'agriculture ne séduit pas cette jeune main-d'œuvre qui préfère tenter sa chance en ville ou se lancer dans un parcours migratoire. Soumise aux aléas et au réchauffement climatique, l'agriculture sur le continent, est encore largement traditionnelle, peu mécanisée et donc peu productive et génératrice de faibles revenus pour les petits exploitants qui n'ont pas accès au financement. De nouveaux métiers et nouvelles méthodes de production plus respectueuses des sols sont néanmoins en train de se développer. La micro-irrigation, l'agroécologie, l'utilisation de drones pour pulvériser les intrants, le recours à des applications pour optimiser l'usage d'intrants ou vendre ses productions pourraient permettre de moderniser le secteur et offrir de meilleurs revenus. Cette «nouvelle» agriculture, plus axée sur les nouvelles technologies et l'environnement peut-elle attirer la jeunesse du continent ? Avec : • Jean-René Cuzon, responsable Équipe Projet au sein de la division Agriculture, Développement rural et Biodiversité de l'Agence française de développement (AFD) • Véronique Ancey, socio-économiste, chercheuse au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), au sein Unité de recherche ARDEV (acteur ressource territoire et développement). Elle travaille sur le pastoralisme • Assimiou Ayabawe, coordonnateur du Réseau des Jeunes Producteurs et Professionnels Agricoles du Togo. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des métiers agricoles en Afrique sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Keep On Loving Me (biko biko) - Lady Donli ► Se Ve — Dandara, G. Zamora.
Série spéciale Que pensent les jeunes ? Volet 1. Que pensent les jeunes Européens d'avoir un enfant ? Que pensent les jeunes du continent africain des métiers agricoles ? Peuvent-ils encore croire en la paix au Proche-Orient ? Toute la semaine, 8 milliards de voisins fait le tour de la planète pour comprendre les enjeux de société actuels du point de vue des jeunesses du monde. Sur le continent africain, un jeune sur quatre n'est ni en emploi, ni en étude, selon l'Organisation internationale du Travail (OIT). Une situation largement préoccupante puisque 73 millions de jeunes actifs supplémentaires sont attendus sur les marchés du travail d'ici 2050. Alors que l'Afrique peine à subvenir aux besoins alimentaires de sa population, le secteur agricole pourrait offrir de nombreuses opportunités à cette jeunesse en quête d'emploi. Mais l'agriculture ne séduit pas cette jeune main-d'œuvre qui préfère tenter sa chance en ville ou se lancer dans un parcours migratoire. Soumise aux aléas et au réchauffement climatique, l'agriculture sur le continent, est encore largement traditionnelle, peu mécanisée et donc peu productive et génératrice de faibles revenus pour les petits exploitants qui n'ont pas accès au financement. De nouveaux métiers et nouvelles méthodes de production plus respectueuses des sols sont néanmoins en train de se développer. La micro-irrigation, l'agroécologie, l'utilisation de drones pour pulvériser les intrants, le recours à des applications pour optimiser l'usage d'intrants ou vendre ses productions pourraient permettre de moderniser le secteur et offrir de meilleurs revenus. Cette «nouvelle» agriculture, plus axée sur les nouvelles technologies et l'environnement peut-elle attirer la jeunesse du continent ? Avec : • Jean-René Cuzon, responsable Équipe Projet au sein de la division Agriculture, Développement rural et Biodiversité de l'Agence française de développement (AFD) • Véronique Ancey, socio-économiste, chercheuse au Cirad (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), au sein Unité de recherche ARDEV (acteur ressource territoire et développement). Elle travaille sur le pastoralisme • Assimiou Ayabawe, coordonnateur du Réseau des Jeunes Producteurs et Professionnels Agricoles du Togo. En fin d'émission, la chronique Voisins connectés d'Estelle Ndjandjo, que pensent les jeunes des métiers agricoles en Afrique sur les réseaux sociaux ? Programmation musicale : ► Keep On Loving Me (biko biko) - Lady Donli ► Se Ve — Dandara, G. Zamora.
L'émission 28 minutes du 28/07/2025 Israël-Palestine : la relance de la solution à deux États est-elle crédible ?Ce lundi 28 juillet s'ouvre une conférence sur la Palestine au siège des Nations Unies. Convoquée par l'assemblée générale de l'ONU, elle est co-présidée par la France et l'Arabie Saoudite et ambitionne de raviver la solution à deux États, malgré le refus d'Israël d'y participer. Le 24 juillet, Emmanuel Macron avait annoncé "la pleine reconnaissance de la Palestine" par la France d'ici septembre. Cette annonce a provoqué l'ire d'Israël, qui est par ailleurs vertement critiqué pour ses agissements dans la bande de Gaza. Outre le blocus humanitaire imposé depuis mars, qui y créé les conditions d'une famine, partiellement desserré ce week-end, le territoire palestinien est soumis à des bombardements indiscriminés et quotidiens depuis 21 mois. Parallèlement, 700 000 colons israéliens sont installés sur les territoires palestiniens, en toute illégalité au regard du droit international. Autant de raisons qui rendent abstraite la perspective d'un État palestinien. La solution à deux États est-elle encore crédible ? On en débat avec Agnès Levallois, présidente de l'IReMMO, spécialiste du Proche-Orient, Thibaut Fleury-Graff, professeur de droit public à l'Université Paris-Panthéon-Assas, et Gallagher Fenwick, éditorialiste, spécialiste des questions internationales à LCI.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 28 juillet 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:58:34 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - En juin 2024, 60% des habitants de Cisjordanie et de la bande de Gaza se prononçaient en faveur de la dissolution de l'Autorité palestinienne. Un chiffre qui témoigne de la désaffection profonde des Palestiniens pour cette administration, jugée illégitime, impuissante et largement corrompue. - réalisation : Sam Baquiast - invités : Xavier Guignard Politiste, spécialiste de la Palestine, chercheur associé au Middle East Council et à Noria Research; Taher Labadi Économiste, chercheur à l'institut français du Proche-Orient, en poste à Jérusalem; Samirah Jarrar Doctorante en anthropologie médicale à l'Université d'Aix-Marseille
L'émission 28 minutes du 26/07/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Michel Taubmann, journaliste franco-israélien, responsable du Proche-Orient à la revue “Politique Internationale”, Aysegul Sert, journaliste turco-américaine et professeure à l'école de journalisme de Sciences Po, Léo Klimm, journaliste pour le magazine allemand “Der Spiegel” et le dessinateur de presse Pascal Gros. Couple franco-allemand : dur dur d'être copains ?Le mercredi 23 juillet, Emmanuel Macron s'est rendu à Berlin pour une rencontre officielle avec le chancelier Friedrich Merz, marquant son premier déplacement depuis l'entrée en fonction de ce dernier le 6 mai dernier. Les deux dirigeants se sont entretenus pendant trois heures autour d'un dîner à la Villa Borsig, avec pour objectif de raviver le couple franco-allemand. Au cœur des discussions ? La menace imminente de nouveaux droits de douane américains ou encore les tensions persistantes entre le vieux couple franco-allemand autour du projet d'avion de combat du futur (SCAF). Macron décide de reconnaître la Palestine : une chance pour la paix ?Dans une lettre datée du 24 juillet et adressée au président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas, le chef de l'État a annoncé que la France reconnaîtra officiellement la Palestine comme État lors de l'Assemblée générale de l'ONU en septembre. Cette décision marquante intervient alors que Gaza est ravagée par la famine et que les pourparlers avec le Hamas ont échoué et s'inscrit dans un contexte de paralysie diplomatique. Mais face à la fermeté de Netanyahou, cette démarche suffira-t-elle à rouvrir la voie de la paix au Proche-Orient ?Nous recevons Caroline Husquin, historienne et maîtresse de conférences en histoire ancienne à l'Université de Lille, et co-autrice de “Les Chauves, Histoire d'un préjugé dans la Rome antique”. Dans ce livre, elle s'intéresse à un aspect méconnu mais captivant de l'histoire sociale romaine : la perception de la calvitie et la signification qu'on lui attribuait alors dans la société. Valérie Brochard nous donne des nouvelles de nos chers voisins ukrainiens. Le président Volodymyr Zelensky a opéré un revirement en déclarant qu'il soumettrait au Parlement un nouveau projet de loi visant à assurer l'indépendance des agences anticorruption, annulant ainsi les effets d'une loi qu'il avait lui-même signée seulement deux jours auparavant.Olivier Boucreux décerne le titre d'employée de la semaine à Ia pétition contre la loi Duplomb. Initiée par Eléonore Pattery, une étudiante bordelaise de 23 ans, cette missive électronique est sans conteste un phénomène politique de l'été.Reza Pounewatchy zappe sur la télévision américaine où l'arrêt annoncé du « Late Show » de Stephen Colbert met en lumière l'influence du président Donald Trump sur le paysage audiovisuel. Marjorie Adelson s'intéresse à un fait de société à méditer : la mise en place dans certains supermarchés de l'Hexagone de la “Papot'caisse” qui, à rebours des caisses automatiques, invite le client et le personnel du magasin à prendre le temps de la discussion. Enfin, ne manquez pas la question très intéressante de David Castello-Lopes : pourquoi le métro de Rome est-il nul ? 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 27 juillet 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Emission C dans l'air du 25 juillet 2025 : Palestine : pourquoi Macron fait polémique C'est une annonce majeure sur la scène diplomatique. La France va reconnaître officiellement l'État de Palestine. Le président Emmanuel Macron, qui s'était engagé en faveur de cette reconnaissance il y a plusieurs mois, a confirmé jeudi soir sur le réseau social X qu'il ferait "une annonce solennelle" devant l'ONU en septembre prochain. Il a invoqué "l'engagement historique de la France en faveur d'une paix juste et durable au Moyen-Orient".Dans le même message, le chef de l'État a souligné "l'urgence" aujourd'hui "que la guerre cesse et que la population civile soit secourue". "Il faut immédiatement un cessez-le-feu, la libération de tous les otages et une aide humanitaire massive à la population de Gaza. Il faut aussi garantir la démilitarisation du Hamas, sécuriser et reconstruire Gaza. Il faut enfin bâtir l'État de Palestine, assurer sa viabilité et permettre qu'en acceptant sa démilitarisation et en reconnaissant pleinement Israël, il participe à la sécurité de tous au Proche-Orient" écrit le chef de l'Etat. Il a par ailleurs adressé une lettre au président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, pour lui faire part de sa "détermination à aller de l'avant".La réponse palestinienne n'a pas tardé. Le vice-président de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), Hussein al-Cheikh, a salué une "position qui reflète l'attachement de la France au droit international", selon des propos rapportés par la BBC. Mahmoud Abbas a, de son côté, qualifié la décision de "victoire pour la cause palestinienne".En Israël, la réaction a été immédiate et virulente. Le Premier ministre Benyamin Nétanyahou a dénoncé "fermement" cette annonce. "Dans ces conditions, un État palestinien serait un tremplin pour anéantir Israël, et non pour vivre en paix à ses côtés", a-t-il écrit sur X. Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a pour sa part qualifié la décision française de "honteuse" et de "capitulation face au terrorisme".Allié historique d'Israël, Washington a également rejeté l'initiative. Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a dénoncé une décision "imprudente" et un "camouflet pour les victimes du 7 octobre". À l'inverse, plusieurs États arabes ont salué la décision française. Le ministère saoudien des Affaires étrangères a notamment évoqué "une décision historique qui réaffirme le consensus de la communauté internationale sur le droit du peuple palestinien à l'autodétermination et à l'établissement d'un État indépendant sur les frontières de 1967".Sur le territoire national, les réactions sont tout aussi divisées. Le Rassemblement national a dénoncé "une faute politique et morale", tandis qu'à gauche, plusieurs responsables ont salué une "victoire morale" et ont appelé à "des sanctions" contre le gouvernement israélien de Benyamin Netanyahou.Avec cette annonce, la France est le premier pays du G7 à avoir officialisé son intention de reconnaître l'État de Palestine. Pourtant, elle n'est pas seule. La Palestine est déjà reconnue officiellement par 147 États sur les 193 membres de l'ONU, soit près de 75 % des États membres. Depuis mai 2024, l'Espagne, l'Irlande, la Norvège, puis la Slovénie l'ont également fait.Alors, que va changer cette décision ? Pourquoi est-elle historique ? Quels sont les enjeux derrière cette reconnaissance de l'État de Palestine ?LES EXPERTS : - Vincent HUGEUX - Journaliste spécialiste des enjeux internationaux, enseignant à Sciences Po- Patricia ALLEMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationales - Anthony BELLANGER - Éditorialiste international - Franceinfo TV- Richard WERLY - Journaliste, correspondant à Paris du média suisse Blick.ch
REDIFF - Avec ses 109 millions d'habitants, la République Démocratique du Congo représente aujourd'hui le premier pays francophone dans le monde ! Aujourd'hui, 2 francophones sur 3 vivent en Afrique,ou au Proche-Orient. Dans "Ah Ouais ?", Florian Gazan répond en une minute chrono à toutes les questions essentielles, existentielles, parfois complètement absurdes, qui vous traversent la tête.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des milliers de jeunes mineurs arrivent chaque année d'Afrique, d'Asie, et du Proche-Orient dans ces deux pays de première arrivée. Leur prise en charge est essentielle notamment pour qu'ils ne se retrouvent pas à la merci de la criminalité organisée. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe En Italie, les mineurs isolés aidés par des tuteurs En Italie, plus de 11.000 enfants non accompagnés sont arrivés en moyenne chaque année, depuis 2024, selon l'ONG Save the children. Même si beaucoup poursuivent leur route vers d'autres États européens, la plupart passent de longs mois voire des années dans le pays en attente du traitement de leur dossier et certains finissent par y rester, suivent des études et trouvent un emploi. Pour les soutenir, les régions et les villes forment des tuteurs. Ce dispositif instauré par une loi de 2017 n'a pas été remis en question par le gouvernement de Giorgia Meloni. Les bénévoles qui souhaitent exercer la responsabilité du tutorat doivent suivre une formation et obtenir un agrément. Reportage à Fermo, dans le centre de l'Italie, Cécile Debarge. Des mineurs pendant longtemps placés en détention, en Grèce En Grèce, l'autre principal pays de première entrée dans l'Union européenne, 3.000 mineurs non-accompagnés sont arrivés en 2024, le double de l'année précédente selon l'ONU. Le gouvernement grec est régulièrement mis en cause pour des pratiques illégales de refoulement et de renvois forcés, y compris de mineurs, depuis quelques années. Mais en raison notamment de la pression européenne des choses ont changé dans la prise en charge de ces adolescents isolés qui, jusqu'à récemment, pouvaient être placés en détention. Les explications de Joël Bronner à Athènes. Chronique musique La sélection de Vincent Théval : Délirium de C Duncan (Écosse) Au Portugal, les retraités travaillent Faut-il ramener l'âge de la retraite à 62 ans au lieu de 64 ans ? En France, le débat sur la réforme de 2023 continue à diviser la classe politique et les partenaires sociaux. Le Portugal, lui, a tranché : ce sera désormais 66 ans et 9 mois. Le pays est le deuxième de l'Union européenne en termes de vieillissement : en 2022, la moitié de ses 10 200 000 habitants avaient plus de 46 ans. Et de plus en plus de Portugais continuent à travailler une fois qu'ils sont à la retraite. Si la moitié d'entre eux le font par intérêt et pour rester actifs, pour l'autre moitié c'est une nécessité financière. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.
Des milliers de jeunes mineurs arrivent chaque année d'Afrique, d'Asie, et du Proche-Orient dans ces deux pays de première arrivée. Leur prise en charge est essentielle notamment pour qu'ils ne se retrouvent pas à la merci de la criminalité organisée. Cette émission est une sélection estivale des programmes d'Accents d'Europe En Italie, les mineurs isolés aidés par des tuteurs En Italie, plus de 11.000 enfants non accompagnés sont arrivés en moyenne chaque année, depuis 2024, selon l'ONG Save the children. Même si beaucoup poursuivent leur route vers d'autres États européens, la plupart passent de longs mois voire des années dans le pays en attente du traitement de leur dossier et certains finissent par y rester, suivent des études et trouvent un emploi. Pour les soutenir, les régions et les villes forment des tuteurs. Ce dispositif instauré par une loi de 2017 n'a pas été remis en question par le gouvernement de Giorgia Meloni. Les bénévoles qui souhaitent exercer la responsabilité du tutorat doivent suivre une formation et obtenir un agrément. Reportage à Fermo, dans le centre de l'Italie, Cécile Debarge. Des mineurs pendant longtemps placés en détention, en Grèce En Grèce, l'autre principal pays de première entrée dans l'Union européenne, 3.000 mineurs non-accompagnés sont arrivés en 2024, le double de l'année précédente selon l'ONU. Le gouvernement grec est régulièrement mis en cause pour des pratiques illégales de refoulement et de renvois forcés, y compris de mineurs, depuis quelques années. Mais en raison notamment de la pression européenne des choses ont changé dans la prise en charge de ces adolescents isolés qui, jusqu'à récemment, pouvaient être placés en détention. Les explications de Joël Bronner à Athènes. Chronique musique La sélection de Vincent Théval : Délirium de C Duncan (Écosse) Au Portugal, les retraités travaillent Faut-il ramener l'âge de la retraite à 62 ans au lieu de 64 ans ? En France, le débat sur la réforme de 2023 continue à diviser la classe politique et les partenaires sociaux. Le Portugal, lui, a tranché : ce sera désormais 66 ans et 9 mois. Le pays est le deuxième de l'Union européenne en termes de vieillissement : en 2022, la moitié de ses 10 200 000 habitants avaient plus de 46 ans. Et de plus en plus de Portugais continuent à travailler une fois qu'ils sont à la retraite. Si la moitié d'entre eux le font par intérêt et pour rester actifs, pour l'autre moitié c'est une nécessité financière. Reportage à Lisbonne, Marie-Line Darcy.
Samedi 26 juillet 2025, commence le nouveau cycle de lectures « Ça va, ça va le monde ! ». Depuis plus de dix ans, RFI fait découvrir des textes et des auteurs ou autrices de théâtre vivant en Afrique, dans les Caraïbes ou au Proche-Orient et écrivant en français pour raconter un monde multilingue et pluriculturel. Chaque année, six textes sont lus en public au Festival d'Avignon, et enregistrés pour diffusion en direct et en vidéo sur Facebook ; puis sur les antennes de RFI le samedi à 17h05, à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. Des textes engagés, toutes portes ouvertes sur le monde, sa désespérance ou ses conflits, que l'on soit à Beyrouth, Damas, Antananarivo ou Kinshasa. Mais toujours, pointe une note d'humour, une ironie, un éclat de langue qui font l'originalité et la force de ces écritures des Suds. Invité.e.s Hala Moughanie, autrice et dramaturge franco-libanaise née en 1980. Elle a vécu une quinzaine d'années à Paris avant de retourner à Beyrouth en 2003 où elle travaille comme enseignante et journaliste, dans le milieu de la culture et de l'humanitaire. Elle a été lauréate du Prix RFI Théâtre en 2015 pour son texte Tais-toi et creuse. Son dernier texte Le Ruban a été joué dans le cadre des lectures. C'est difficile de se dire qu'on va écrire alors que tout s'écroule autour de moi. [...] Il fallait pourtant exprimer cette rage, cette tristesse et questionner le rôle de l'art face aux bombes. Une pièce écrite au rythme des bombardements dont Beyrouth a été le théâtre, ces derniers mois, et qui raconte une réunion au sein du ministère de la Culture du Liban pour décider qui va couper le ruban lors d'une cérémonie officielle, juste après le cessez-le-feu... mais la guerre est-elle vraiment finie ? Comment continuer à vivre en pleine guerre ? Mon texte n'est pas là pour briser un silence, mais pour questionner le milieu de la culture et des arts, dans un monde qui permet un génocide. L'artiste a l'obligation de gueuler ! L'artiste n'a pas le droit de vivre coupé des réalités politiques et sociales. Or, en particulier en Occident, les artistes ont un avis sur tout, mais n'ont aucune idée de ce qui se passe ailleurs, ils ne sont pas informés ! C'est aussi un texte qui nomme les dizaines de milliers de morts à Gaza. L'autrice utilise le terme de génocide plusieurs fois dans son texte. Un mot qui fait débat aujourd'hui en Occident selon les dires de l'autrice. Wael Kadour, auteur syrien né en 1981. Il a quitté la Syrie en 2011 au début de la guerre civile pour la Jordanie avant de rejoindre la France en 2016. Il écrit en arabe. Je pense que j'écris en arabe pour garder le lien avec ma langue maternelle. Cela me permet de nommer au plus juste. Son texte Braveheart qui raconte les hallucinations d'une jeune femme écrivaine en exil qui imagine que son bourreau bénéficie, lui aussi, d'un exil politique, a été lu à Avignon. Il mêle le réel et l'imaginaire. Pendant ce contexte de guerre, souvent la violence est plus forte que l'imagination. Tout se mélange : réalité et fiction. L'artiste doit garder la capacité de raconter la réalité, qui est très complexe. Lectures d'Avignon du cycle « Ça va, ça va le monde ! » sur notre antenne tous les samedis à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. - 26/07/2025 : Enfant, de Gad Bensalem (Madagascar), lauréat du Prix Théâtre RFI 2024. - 02/08/2025 : Silence, d'Israël Nzila (République Démocratique du Congo). - 09/08/2025 : Petit Guide illustré pour illustre grand guide, d'Edouard Elvis Bvouma (Cameroun). - 16/08/2025 : Chèvres, de Liwaa Yazii (Syrie). Traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabih et Jumana Al-Yasiri avec le soutien de la maison Antoine Vitez. - 23/08/2025 : Le Ruban, de Hala Moughanie (Liban). - 30/08/2025 : Braveheart, de Wael Kadour (Syrie). Traduit de l'arabe par Simon Dubois avec le soutien de la Maison Antoine Vitez.
Samedi 26 juillet 2025, commence le nouveau cycle de lectures « Ça va, ça va le monde ! ». Depuis plus de dix ans, RFI fait découvrir des textes et des auteurs ou autrices de théâtre vivant en Afrique, dans les Caraïbes ou au Proche-Orient et écrivant en français pour raconter un monde multilingue et pluriculturel. Chaque année, six textes sont lus en public au Festival d'Avignon, et enregistrés pour diffusion en direct et en vidéo sur Facebook ; puis sur les antennes de RFI le samedi à 17h05, à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. Des textes engagés, toutes portes ouvertes sur le monde, sa désespérance ou ses conflits, que l'on soit à Beyrouth, Damas, Antananarivo ou Kinshasa. Mais toujours, pointe une note d'humour, une ironie, un éclat de langue qui font l'originalité et la force de ces écritures des Suds. Invité.e.s Hala Moughanie, autrice et dramaturge franco-libanaise née en 1980. Elle a vécu une quinzaine d'années à Paris avant de retourner à Beyrouth en 2003 où elle travaille comme enseignante et journaliste, dans le milieu de la culture et de l'humanitaire. Elle a été lauréate du Prix RFI Théâtre en 2015 pour son texte Tais-toi et creuse. Son dernier texte Le Ruban a été joué dans le cadre des lectures. C'est difficile de se dire qu'on va écrire alors que tout s'écroule autour de moi. [...] Il fallait pourtant exprimer cette rage, cette tristesse et questionner le rôle de l'art face aux bombes. Une pièce écrite au rythme des bombardements dont Beyrouth a été le théâtre, ces derniers mois, et qui raconte une réunion au sein du ministère de la Culture du Liban pour décider qui va couper le ruban lors d'une cérémonie officielle, juste après le cessez-le-feu... mais la guerre est-elle vraiment finie ? Comment continuer à vivre en pleine guerre ? Mon texte n'est pas là pour briser un silence, mais pour questionner le milieu de la culture et des arts, dans un monde qui permet un génocide. L'artiste a l'obligation de gueuler ! L'artiste n'a pas le droit de vivre coupé des réalités politiques et sociales. Or, en particulier en Occident, les artistes ont un avis sur tout, mais n'ont aucune idée de ce qui se passe ailleurs, ils ne sont pas informés ! C'est aussi un texte qui nomme les dizaines de milliers de morts à Gaza. L'autrice utilise le terme de génocide plusieurs fois dans son texte. Un mot qui fait débat aujourd'hui en Occident selon les dires de l'autrice. Wael Kadour, auteur syrien né en 1981. Il a quitté la Syrie en 2011 au début de la guerre civile pour la Jordanie avant de rejoindre la France en 2016. Il écrit en arabe. Je pense que j'écris en arabe pour garder le lien avec ma langue maternelle. Cela me permet de nommer au plus juste. Son texte Braveheart qui raconte les hallucinations d'une jeune femme écrivaine en exil qui imagine que son bourreau bénéficie, lui aussi, d'un exil politique, a été lu à Avignon. Il mêle le réel et l'imaginaire. Pendant ce contexte de guerre, souvent la violence est plus forte que l'imagination. Tout se mélange : réalité et fiction. L'artiste doit garder la capacité de raconter la réalité, qui est très complexe. Lectures d'Avignon du cycle « Ça va, ça va le monde ! » sur notre antenne tous les samedis à partir du 26 juillet 2025 jusqu'au 30 août 2025. - 26/07/2025 : Enfant, de Gad Bensalem (Madagascar), lauréat du Prix Théâtre RFI 2024. - 02/08/2025 : Silence, d'Israël Nzila (République Démocratique du Congo). - 09/08/2025 : Petit Guide illustré pour illustre grand guide, d'Edouard Elvis Bvouma (Cameroun). - 16/08/2025 : Chèvres, de Liwaa Yazii (Syrie). Traduit de l'arabe par Leyla-Claire Rabih et Jumana Al-Yasiri avec le soutien de la maison Antoine Vitez. - 23/08/2025 : Le Ruban, de Hala Moughanie (Liban). - 30/08/2025 : Braveheart, de Wael Kadour (Syrie). Traduit de l'arabe par Simon Dubois avec le soutien de la Maison Antoine Vitez.
Après plus de vingt et un mois de conflit, les ONG et l'ONU font état d'un risque accru de famine dans la bande Gaza assiégé par Israël. Dimanche, la défense civile de Gaza a déclaré que les forces israéliennes avaient tiré sur des Palestiniens qui tentaient de récupérer de l'aide humanitaire, tuant au total 93 personnes. Vingt-cinq pays, dont le Royaume-Uni, la France, le Canada et le Japon, ont appelé à mettre fin "immédiatement" à la guerre dans la bande de Gaza assiégée par Israël, dans une déclaration commune publiée lundi Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 22 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Après plus de vingt et un mois de conflit, les ONG et l'ONU font état d'un risque accru de famine dans la bande Gaza assiégé par Israël. Dimanche, la défense civile de Gaza a déclaré que les forces israéliennes avaient tiré sur des Palestiniens qui tentaient de récupérer de l'aide humanitaire, tuant au total 93 personnes. Vingt-cinq pays, dont le Royaume-Uni, la France, le Canada et le Japon, ont appelé à mettre fin "immédiatement" à la guerre dans la bande de Gaza assiégée par Israël, dans une déclaration commune publiée lundi Ecoutez L'invité de RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 22 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Festival d'Avignon présente les rencontres du café des idées. Le 15 juillet 2025, la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA) était présente pour une rencontre intitulée « Proche-Orient : y a-t-il un chemin pour la paix ? » avec la sociologue Eva Illouz et Ofer Bronchtein, président du Forum international pour la paix. La modération était assurée par Alain Blum et Abraham Bengio. Un podcast réalisé en partenariat avec ARTCENA. Crédits : Production : Festival d'Avignon & ARTCENA
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 21 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BEST OF - Durant tout l'été, retrouvez le meilleur de Philippe Caverivière. Ecoutez Best-of - L'oeil de Philippe Caverivière du 21 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les violences communautaires dans le sud de la Syrie et des corps de bébés morts bientôt exhumés en Irlande. Côte d'Ivoire : l'extradition du Béninois Comlan Sossoukpè était-elle légale ? Le journaliste béninois Comlan Sossoukpè a été interpellé en Côte d'Ivoire alors qu'il bénéficie du statut de réfugié depuis 2019. Les autorités ivoiriennes étaient-elles en droit de procéder à son extradition, malgré les protections accordées par la Convention de Genève relative au statut des réfugiés ? Avec Benoît Almeras, correspondant de RFI à Abidjan. Syrie : violences communautaires dans le sud du pays Des importants combats font rage dans le sud de la Syrie, dans la ville de Soueïda, entre les Bédouins et les Druzes. Quelles sont les raisons et les origines de ce conflit ? Comment se positionnent les autorités syriennes face à ces combats ? Syrie : des bombardements israéliens pour « défendre » la communauté druze En réponse à l'entrée de l'armée syrienne à Soueïda, Israël a lancé des bombardements dans la ville afin de « défendre » les combattants druzes. Pourquoi l'État hébreu s'intéresse-t-il particulièrement à la communauté druze en Syrie ? Avec ces frappes israéliennes, y a-t-il un risque de généralisation du conflit au reste du Proche-Orient ? Avec Thomas Pierret, chargé de recherches à l'Institut de Recherches et d'Études sur les Mondes Arabes et Musulmans (IREMAM). Irlande : les corps de centaines de bébés enterrés bientôt exhumés En Irlande, des centaines de nouveaux nés décédés et enterrés par des religieuses dans les années 1970 vont être exhumés. Comment en est-on arrivé à une telle décision ? Cette mesure a-t-elle été appliquée sur l'ensemble du territoire irlandais ? Les familles des victimes peuvent-elles espérer que justice soit rendue, plus d'un siècle après les faits pour certains cas ? Avec Clémence Pénard, correspondante de RFI à Dublin.
Dans ce cinquième épisode, Gilles Paris, éditorialiste au Monde et ancien correspondant à Jérusalem, explique comment le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, avec le soutien de son allié américain Donald Trump, remodèle le Moyen-Orient au profit d'Israël.La Nuit de la géopolitique est un événement du Monde Ateliers organisé par Kévin Hurtaud, Estelle Lavielle, Joséfa Lopez, Yoanna Sultan, Camille Bailly Barthez, Lucie Adam, Xemartin Laborde et Frame Mates.Un épisode produit avec Garance Muñoz. Réalisation : Quentin Bresson. Introduction : Adèle Ponticelli avec l'aide de Joséfa Lopez. Dans cet épisode : prises de parole du premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, le 14 juin 2009 et le 4 février 2025.Inscrivez-vous ici pour les cours du soir à venir de Gilles Paris : « L'heure d'Israël au Moyen-Orient »Cet épisode a été publié le jeudi 17 juillet 2025. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
La toponymie, la première fois que j'ai lu ce mot je n'avais pas idée de ce dont il s'agissait, encore aujourd'hui j'ai des questions rien qu'à l'évoquer. La toponymie, ou l'art de nommer les lieux, constitue un enjeu central dans les relations internationales, à la croisée de la géopolitique, de la mémoire collective, de la diplomatie et de la décolonisation. Elle façonne la manière dont les territoires sont perçus, revendiqués, administrés, et parfois contestés. Un sujet ardu en somme qui mêle culture générale, géographie, politique, histoire, traditions, colonisation, etc. Un sujet qui en regroupent d'autres en somme. Pour en dessiner les contours concrets, nous allons aborder différentes situations, différents lieux et territoires, marqués de leur complexité : dit-on le Proche-Orient ou le Moyen-Orient ? faut-il parler du golfe du Mexique ou du gulf of America. Envisageons donc ensemble les enjeux de la toponymie dans les relations internationales Pour ce faire, nous recevons À NOUVEAU Franck Vermeulen. Franck Vermeulen, vous êtes est Diplomate de carrière depuis plus de 30 ans dont une vingtaine d'années de service à l'étranger principalement au Moyen Orient mais aussi en Europe et en Afrique. Vous avez notamment exercé des fonctions de chef de poste comme consul général de France mais aussi des fonctions politiques comme rédacteur au quai d'Orsay ou comme conseiller d'ambassade ou conseiller culturel.
En Ukraine, au Proche-Orient, en Afghanistan, en Irak, avant au Kosovo ou en Centrafrique, elles suivent les guerres et les conflits internationaux au plus près du terrain. Depuis le milieu du XIXème siècle, les femmes ont en effet rejoint les rangs des reporters de guerre pour raconter les combats et leurs conséquences au milieu des destructions, des morts et de la douleur des survivants. Alors qu'elles ont parfois dû vaincre les préjugés, elles ont aussi contribué à transformer une discipline au départ très masculine. Pourquoi ont-elles choisi cette vie hors du commun ? Entre le danger, la peur, la souffrance des autres, quel est l'envers d'un théâtre de guerre ? Et comment concilier le grand reportage avec son quotidien et sa vie de famille ? Avec : • Dorothée Ollieric, grand reporter à France télévision. Autrice de Maman s'en va-t-en guerre (Éditions Du Rocher, 2025) • Manon Loizeau, grand reporter indépendante et réalisatrice de documentaires, dont un avec la journaliste Ksenia Bolchakova, Ukraine, sur les traces des bourreaux diffusé sur Arte en 2024. Lauréate du Prix Albert Londres en 2006. La chronique Mondoblog chez les voisins avec Tanguy Lacroix. • Le blogueur béninois Mawutondji Gérard Godonou parle de l'instrumentalisation des médias par les terroristes. • Ali Abdelkader Foulaty, blogueur tchadien, est fier que son pays soit peuplé par 10 millions de chameaux, un record mondial. Puis Ecoutez le monde de Monica Fantini. Promenade sonore à Ziguinchor, de l'aube à la nuit. Programmation musicale : ► La route de Vénus – Emily Loizeau ► Vilin Manièr – Maya Kamati.
En Ukraine, au Proche-Orient, en Afghanistan, en Irak, avant au Kosovo ou en Centrafrique, elles suivent les guerres et les conflits internationaux au plus près du terrain. Depuis le milieu du XIXème siècle, les femmes ont en effet rejoint les rangs des reporters de guerre pour raconter les combats et leurs conséquences au milieu des destructions, des morts et de la douleur des survivants. Alors qu'elles ont parfois dû vaincre les préjugés, elles ont aussi contribué à transformer une discipline au départ très masculine. Pourquoi ont-elles choisi cette vie hors du commun ? Entre le danger, la peur, la souffrance des autres, quel est l'envers d'un théâtre de guerre ? Et comment concilier le grand reportage avec son quotidien et sa vie de famille ? Avec : • Dorothée Ollieric, grand reporter à France télévision. Autrice de Maman s'en va-t-en guerre (Éditions Du Rocher, 2025) • Manon Loizeau, grand reporter indépendante et réalisatrice de documentaires, dont un avec la journaliste Ksenia Bolchakova, Ukraine, sur les traces des bourreaux diffusé sur Arte en 2024. Lauréate du Prix Albert Londres en 2006. La chronique Mondoblog chez les voisins avec Tanguy Lacroix. • Le blogueur béninois Mawutondji Gérard Godonou parle de l'instrumentalisation des médias par les terroristes. • Ali Abdelkader Foulaty, blogueur tchadien, est fier que son pays soit peuplé par 10 millions de chameaux, un record mondial. Puis Ecoutez le monde de Monica Fantini. Promenade sonore à Ziguinchor, de l'aube à la nuit. Programmation musicale : ► La route de Vénus – Emily Loizeau ► Vilin Manièr – Maya Kamati.
Ils sont 600 millions dans le monde et sont les stars de vidéos sur internet. Les chats, ces petites boules de poils moustachues, dont les propriétaires sont accros, occupent le top 1 des animaux préférés des Français. Originaire du nord de l'Afrique, du Proche-Orient et d'Anatolie, le chat domestique a traversé les siècles pour se prélasser sur les canapés et gagner son statut de membre de la famille. Mais qu'en est-il sur d'autres continents où les animaux domestiques passent rarement le seuil des maisons ? Si le chat est aujourd'hui choyé en Occident, les humains ne vont-ils pas trop loin dans leur attachement ? Entre les déguisements douteux dont ils sont accoutrés, les bars à chat ou les croisements entre races, nos animaux de compagnie préférés subissent aussi les excentricités humaines. Cette émission est une rediffusion du 22/09/2023. Avec : Jérôme Attal, écrivain, compositeur et interprète. Auteur de Petit éloge des chats (Éditions Les Pérégrines, 2023) Éric Baratay, historien et professeur de l'Université Jean-Moulin de Lyon, spécialiste de l'histoire de l'animal, auteur notamment de Cultures félines (XVIIIè-XXIè siècle) : Les chats créent leur histoire (Seuil, 2021) Anne Andlauer, correspondante de RFI en Turquie, nous parle d'Istanbul, surnommée la ville des chats. En fin d'émission, un reportage de Charlie Dupiot à Beyrouth au Liban. C'est un lieu à part dans lequel nous emmène notre reporter. Au cœur d' «Aaliyah's Books», une librairie indépendante où se retrouve depuis 2016 une partie de la jeunesse de la capitale. À l'origine, deux amis passionnés de littérature et installés au Liban : William Dobson, Britannique, et Niamh, Fleming Farrell, Irlandaise. 7 ans après l'ouverture, dans ce café-bar-librairie, l'équipe est à l'image de la population libanaise.
Ils sont 600 millions dans le monde et sont les stars de vidéos sur internet. Les chats, ces petites boules de poils moustachues, dont les propriétaires sont accros, occupent le top 1 des animaux préférés des Français. Originaire du nord de l'Afrique, du Proche-Orient et d'Anatolie, le chat domestique a traversé les siècles pour se prélasser sur les canapés et gagner son statut de membre de la famille. Mais qu'en est-il sur d'autres continents où les animaux domestiques passent rarement le seuil des maisons ? Si le chat est aujourd'hui choyé en Occident, les humains ne vont-ils pas trop loin dans leur attachement ? Entre les déguisements douteux dont ils sont accoutrés, les bars à chat ou les croisements entre races, nos animaux de compagnie préférés subissent aussi les excentricités humaines. Cette émission est une rediffusion du 22/09/2023. Avec : Jérôme Attal, écrivain, compositeur et interprète. Auteur de Petit éloge des chats (Éditions Les Pérégrines, 2023) Éric Baratay, historien et professeur de l'Université Jean-Moulin de Lyon, spécialiste de l'histoire de l'animal, auteur notamment de Cultures félines (XVIIIè-XXIè siècle) : Les chats créent leur histoire (Seuil, 2021) Anne Andlauer, correspondante de RFI en Turquie, nous parle d'Istanbul, surnommée la ville des chats. En fin d'émission, un reportage de Charlie Dupiot à Beyrouth au Liban. C'est un lieu à part dans lequel nous emmène notre reporter. Au cœur d' «Aaliyah's Books», une librairie indépendante où se retrouve depuis 2016 une partie de la jeunesse de la capitale. À l'origine, deux amis passionnés de littérature et installés au Liban : William Dobson, Britannique, et Niamh, Fleming Farrell, Irlandaise. 7 ans après l'ouverture, dans ce café-bar-librairie, l'équipe est à l'image de la population libanaise.
En échec sur le front russo-ukrainien, en échec au Proche-Orient, le président américain Donald Trump et son administration avaient besoin d'une victoire diplomatique.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Donald Trump et le Moyen-Orient concentrent l'attention diplomatique. Le cessez-le-feu proclamé par le président américain, entré en vigueur le 24 juin marque-t-il une étape vers la fin du conflit entre Israël et l'Iran après les douze jours de combat initiés par Tel Aviv et l'intervention américaine avec les avions furtifs B2 porteurs de bombes anti-bunker ? Les objectifs que poursuivait le gouvernement israélien ont-ils été atteints ? Que sait-on de l'ampleur des dommages subis par les installations nucléaires iraniennes ? Le conflit peut-il reprendre de façon ouverte ou par à-coups ? Quelles conséquences pour la population iranienne ? Le processus de normalisation des relations entre Israël et les pays de la région initié par les accords d'Abraham est-il enterré ? La Pax américana pourra-t-elle s'imposer face à la volonté d'en découdre du gouvernement israélien ? Que sait-on de la doctrine américaine aujourd'hui au Moyen-Orient. Donald Trump peut-il apporter paix et stabilité ou fait-il renaitre les cycles d'influence et de désordre ? Quels nouveaux rapports de force au Proche-Orient ? Invités : - Agnès Levallois, présidente de l'IREMMO et chargée de cours à Sciences Po. Auteure du « Livre noir de Gaza », aux éditions du Seuil - Adel Bakawan, sociologue. Directeur du European Institute for Studies on the Middle East and North Africa et chargé de cours à Sciences Po Lyon. « La décomposition du Moyen-Orient. Trois ruptures qui ont fait basculer l'histoire », éd. Tallandier - Clément Therme, historien des Relations Internationales. Chargé d'enseignement à l'Université Paul Valéry de Montpellier et à Sciences Po. « Idées reçues sur l'Iran », éd. le Cavalier Bleu et « Téhéran-Washington. 1979-2025 », éd. Hémisphères. À paraitre en août 2025.
durée : 00:51:53 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - En 1822, Jean-François Champollion, égyptologue prodige de trente-deux ans, perçait le secret des hiéroglyphes. Comment cette découverte révolutionnaire a-t-elle permis de renouveler les connaissances sur l'Égypte ancienne et de fonder l'égyptologie moderne ? - réalisation : Alexandre Manzanares - invités : Vanessa Desclaux Conservatrice à la BNF en charge des collections orientales, des manuscrits Égypte antique et Proche-Orient chrétien; Karine Madrigal Égyptologue, chargée de l'inventaire et de l'étude du fonds Champollion conservé aux archives départementales de l'Isère
durée : 00:55:14 - Les informés de franceinfo - Tous les samedis, les correspondants de la presse européenne débattent de l'actualité autour de Victor Matet.
durée : 00:14:48 - Journal de 8 h - C'est la réunion de la dernière chance pour trouver une issue politique au conflit lancé par Israël : Les diplomates européens rencontrent leur homologue iranien ce matin à Genève, et Donald Trump se donne deux semaine pour décider d'impliquer ou non les Etats-Unis dans la guerre.
durée : 00:38:05 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Malgré les atermoiements de la Maison Blanche, Donald Trump continue d'afficher une posture musclée face au conflit entre l'Iran et Israël. Outre-Atlantique, l'ambiguïté européenne se manifeste plutôt par le silence et la prudence de ses réactions. L'Europe est-elle condamnée à rester spectatrice ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Florian Louis Historien, membre du Groupe d'études géopolitiques et de la rédaction de la revue le Grand Continent; Élie Tenenbaum Directeur du Centre des Études de Sécurité de l'IFRI
durée : 02:40:02 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - Avec Paul Gogo, ancien correspondant en Russie / Denis Colombi, sociologue, professeur de sciences économiques et sociales dans le secondaire / Florian Louis, historien des relations internationales et Elie Tenenbaum, directeur du Centre des études de sécurité à l'Ifri - réalisation : Félicie Faugère
durée : 00:39:48 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins) - par : Guillaume Erner, Isabelle de Gaulmyn - La guerre déclenchée par Nétanyahou en Iran est-elle une guerre préventive ? Est-elle une guerre juste ? Ce matin, nous interrogeons les outils conceptuels de la philosophie contemporaine : suffisent-ils pour comprendre les conflits au Proche-Orient et ailleurs dans le monde aujourd'hui ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Marc Crépon Directeur de recherche à l'Université Paris Sorbonne et directeur du département de philosophie à l'École normale supérieure; Perrine Simon-Nahum Directrice de recherche au CNRS, professeure à l'École normale supérieure de Paris
Ecoutez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 16 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.