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Dans cette revue de presse :La Normandie, région industrielle de France, est particulièrement exposée aux conséquences de la guerre commerciale menée par Donald Trump, avec près de 4000 entreprises potentiellement pénalisées par les 15% de droits de douane imposés.Le secteur de l'aéronautique obtient une exemption totale, tandis que les biens de luxe made in France, comme les produits maroquiniers, parfums et cosmétiques, subissent une hausse de leur fiscalité, entraînant une perte annuelle de 300 millions d'euros de chiffre d'affaires et menaçant jusqu'à 5000 emplois en France.L'Europe a dû faire des concessions pour ménager le président américain, ce qui met l'Union Européenne face à ses vulnérabilités, notamment le fait que pour un tiers des États, les États-Unis sont le pilier de la sécurité nationale.Emmanuel Macron lance la remilitarisation de la journée d'appel pour encourager l'engagement des jeunes dans l'armée, alors que le service national universel (SNU) a échoué et pourrait être remplacé par un nouveau dispositif volontaire destiné à renforcer la réserve des armées.Le déclin de la natalité en France soulève des inquiétudes quant à l'avenir économique, intellectuel et scientifique du pays, face à la mouvance "No Kids" qui se développe chez les descendants de baby-boomers.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Nicolas Baverez, historien, économiste et éditorialiste au Point et au Figaro Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
#WeAreEurope : une voix collective pour une Europe durable et compétitiveNée en avril dernier, l'association #WeAreEurope s'est donnée pour mission de faire entendre la voix des entreprises auprès des institutions européennes sur les enjeux de la réglementation RSE. En rassemblant déjà plusieurs centaines de membres issus de tous les pays d'Europe, elle ambitionne de faire de la durabilité un véritable levier de compétitivité de nos entreprises Européennes.Comment ce mouvement a-t-il émergé ? Quel impact concret a-t-il déjà généré ? Quelles sont ses ambitions pour demain ? Et surtout, quelle place la durabilité doit-elle occuper dans les valeurs fondatrices de l'Europe ?Autant de questions auxquelles nous répondons dans ce décryptage consacré à une initiative qui bouscule les lignes. Intervient sans filtre d'Alexis Krycève, fondateur du cabinet Haatch, Ludovic... et Charles-Henri... tous trois cofondateur du mouvement. Tout, vous saurez tout ce qu'il y a savoir sur cette association qui sort du lot. Pour en savoir plus : https://www.weareeurope.group/WeAreEurope - Join the movement!#WeAreEurope is an independent European association advocating for an economy compatible with planetary limits and respectful of humans and nature.
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - "Le meilleur accord possible dans des circonstances très difficiles", voilà comment la Commission européenne défend l'accord conclu avec les Etats-Unis. François Bayrou dénonce une "soumission" à Washington alors que les produits européens seront taxés à 15%. - invités : Gaïa Febvre Responsable des politiques internationales au Réseau Action Climat, en charge des négociations COP
Invités : - Naïma M'Faddel, essayiste, chargée de mission politique de la ville - Jacques Morel, Général de gendarmerie et ancien patron de la section de recherche de Versailles - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain - Bernard Cohen-Hadad, Président du cercle de réflexion Etienne Marcel - Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:15:08 - Journal de 18h - "Le meilleur accord possible dans des circonstances très difficiles", voilà comment la Commission européenne défend l'accord conclu avec les Etats-Unis. François Bayrou dénonce une "soumission" à Washington alors que les produits européens seront taxés à 15%. - invités : Gaïa Febvre Responsable des politiques internationales au Réseau Action Climat, en charge des négociations COP
Invités : - Naïma M'Faddel, essayiste, chargée de mission politique de la ville - Jacques Morel, Général de gendarmerie et ancien patron de la section de recherche de Versailles - Arno Klarsfeld, avocat et écrivain - Bernard Cohen-Hadad, Président du cercle de réflexion Etienne Marcel - Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h50, Marion Gauthier prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Un rendez-vous pédagogique indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
« On a montré notre faiblesse face à la force brute » : commentaire désabusé d'un diplomate européen cité ce matin par Libération à Paris, après l'accord commercial conclu dimanche entre l'Union européenne et les États-Unis. « Politiquement, ce n'est pas glorieux, poursuit-il. On peut légitimement se demander à quoi sert une Union européenne incapable d'obtenir mieux que le Japon ou le Royaume-Uni, ce qui donnera des armes aux partis eurosceptiques », comme le souhaite Trump. Et à l'instar de ce diplomate, la presse européenne fait grise mine ce matin. « Droits de douane : l'Europe limite la casse à 15 %, mais la loi du plus fort l'a emporté », soupire Le Soir à Bruxelles. « Donald Trump menaçait depuis le 11 juillet d'infliger aux Européens une taxe douanière mortifère de 30 %, d'ici vendredi prochain, le 1er août. Et plus encore, si l'Europe devait avoir l'outrecuidance de riposter. Les exportateurs européens s'en sortent avec la moitié : 15 %, sauf exceptions. Mais le deal est inégal, souligne le quotidien belge : l'Union européenne ouvre grand ses marchés (aux exportations américaines), avec 0 % de droits de douane ». Coup dur pour les exportations européennes « Il n'y a guère lieu de se réjouir de l'accord conclu hier en Écosse entre l'Union européenne et les États-Unis, renchérit La Repubblica à Rome. Les droits de douane sont certes inférieurs aux 30 % que Trump avait menacé d'instaurer, mais le coup porté à l'économie européenne se fera sentir. (…) En fin de compte, les 530 milliards de dollars de biens européens (dont 65 milliards italiens) exportés chaque année vers les États-Unis seront soumis à une surtaxe sans précédent de 15 %. Ce sera un coup dur pour nos exportations, et il est inutile de le minimiser ». Die Welt à Berlin grimace également : « compte tenu du niveau des droits de douane américains sur les produits européens avant la seconde présidence de Trump, l'accord paraît peu encourageant : depuis l'an 2000, le taux moyen était d'environ 2 %. 15 % représentent donc une augmentation spectaculaire. Cela devrait couter à l'Allemagne 0,13 point de croissance annuelle ». Trop de divergences au sein de l'UE Finalement, relève Le Monde à Paris, « entre deux maux, les Vingt-Sept ont choisi celui qui leur semblait le moindre : un compromis déséquilibré au profit des États-Unis plutôt que le risque d'une guerre commerciale de grande ampleur dont nul ne pouvait prédire l'issue ». En fait, poursuit le quotidien français, « face aux bravades de Trump, les Vingt-Sept ont divergé sur la réponse à apporter. Quelques pays, dont la France, estimaient qu'il fallait engager le rapport de force. Mais de nombreux autres voulaient éviter l'affrontement. Certains pour des raisons économiques. (…) D'autres, notamment les plus proches géographiquement de la Russie, redoutaient qu'une dégradation des relations commerciales ne s'accompagne d'une accélération du désengagement sécuritaire des États-Unis ». Alors, « la suite ?, s'interroge Le Monde. “Si nous concluons un accord aujourd'hui, ce sera la fin, a promis Donald Trump hier. Il faudra attendre des années avant d'en rediscuter“. Mais les Européens restent sur leurs gardes. Car s'il y a un trait de caractère qu'ils croient avoir discerné chez le successeur de Joe Biden, c'est son imprévisibilité ». À l'Europe de s'adapter En tout cas, tempère Le Figaro, « les règles sont posées. Les entreprises vont donc s'organiser et avancer dans un paysage économique et commercial mondial qui s'éclaircit. D'un côté, une Amérique qui érige des barricades. De l'autre, une Chine qui pratique un dumping massif pour écouler ses excédents. Dans ce contexte, à l'Europe de s'adapter, de rebondir. Si elle veut rester fidèle au libre-échange, elle doit apprendre à se défendre. (…) Et, surtout, l'UE doit se libérer de ses propres blocages, s'exclame encore Le Figaro. Car, tant que ses entreprises seront freinées par une bureaucratie excessive, des normes absurdes et des lenteurs qui découragent l'initiative, elles ne pourront rivaliser. Dans un monde où les rapports de force s'assument, l'Europe n'a plus le luxe de palabrer, de promettre et de tergiverser, conclut Le Figaro. Pour ne pas s'effacer et s'appauvrir, les vieux pays d'un vieux continent doivent réapprendre les règles de la puissance pour résister aux États-Unis et à la Chine ».
Invités : - Nathan Devers, écrivain et philosophe - Sébastien Lignier, chef du service politique de Valeurs Actuelles - Sylvain Maillard, député "Ensemble pour la République" de Paris Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous n'allez pas CROIRE ce que TRUMP a fait signer à l'Union Européenne !!!Donald Trump et Ursula von der Leyen, ont annoncé que les États-Unis et l'UE s'étaient mis d'accord sur le cadre d'un accord commercial.Trump a qualifié cet accord de "plus important de tous", tandis que l'UE avait accepté des droits de douane de 15 % "à tous les niveaux".Date d'enregistrement: 27 juillet 2025#Bourse #tariffs #usa
Invités : - Christian Saint-Etienne, économiste et auteur de "Trump et nous, comment sauver la France et l'Europe" aux éditions Odile Jacob - Paul Melun, écrivain et essayiste - Victor Eyraud, Journaliste politique à Valeurs Actuelles Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Philippe Chalmin, économiste, professeur à Paris-Dauphine et Fondateur du cercle Cyclope Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Minu seekordseks vestluspartneriks on äsja Antropoloogia Keskuse tegevjuhi rolli asunud Liina Maria Lepik. Liina on mitmekülgse taustaga juht, kellel on suured kogemused Eesti rahvusvahelise mainekujunduse valdkonnas EIS-ist. Enne seda juhtis ta Tallinna filmilinnaku arendusprojekti ning töötas LHV Pangas erinevates rollides. Liina on inimene, kes ei karda astuda tundmatusse – olgu selleks filmilinnaku arendamine, Eesti tutvustamine maailmale või antropoloogiakeskuse juhtimine. Meie jutuajamises põimuvadki juhtimine, inimsuhted ja küsimus: mida saab antropoloogia pakkuda juhtimisele?
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
00:00 - 07:30 Intro; 07:30 - 17:30 NFLi mängjate ühingu probleemid; 17:30- 46:00 Training camp algas (vigastused, lepingud ja holdoutid); 46:00 - 01:29:53 Kaheksa suurimat küsimust 2025 hooajaks;
Invité : - Arnaud Benedetti, Fondateur du comité de soutien de Boualem Sansal Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h50, Berengère Bocquillon prend le temps d'expliquer simplement un phénomène d'actualité complexe. Un rendez-vous pédagogique indispensable pour trouver les réponses aux questions soulevées par l'actualité du jour.
Le 24 juillet 2025 est prévu, à Pékin, un sommet entre la Chine et l'Union européenne, initialement planifié pour célébrer le 50è anniversaire des relations diplomatiques entre les deux blocs. Le climat est tendu. Alors que l'agressivité commerciale de Donald Trump aurait pu encourager un rapprochement prudent entre Pékin et Bruxelles, c'est le contraire qui se passe. Les points de convergence sont quasi-inexistants, mais les litiges foisonnent. Sur le plan commercial d'abord avec une relation économique gravement déséquilibrée en faveur de Pékin et un environnement des affaires en Chine qui s'est largement politisé au fil des ans. Récemment et tandis que l'UE fait face à un déficit commercial énorme de 357 milliards de dollars avec la Chine, la présidente de la Commission européenne a accusé Pékin d'inonder le marché mondial avec une surcapacité subventionnée et d'utiliser sa position dominante sur les terres rares comme une arme. Il y a aussi les tensions géopolitiques mondiales : l'alignement de Pékin sur les vues de la Russie en Ukraine, son soutien à l'Iran au Moyen-Orient, ses claires intentions à l'égard de Taiwan, ses prédations économiques en Europe et en Afrique, son expansion maritime en mer de Chine. Que peut-on attendre de ce sommet ? Jusqu'où peut aller l'escalade commerciale ? L'Europe est-elle en mesure d'imposer une ligne commune vis-à-vis de la Chine ? Et quelles sont les marges de manœuvre dans un monde de plus en plus polarisé ? Regard avec nos invités : Jean-Dominique Giuliani, président de la Fondation Robert Schuman Laurent Malvezin, chercheur associé à l'Institut Thomas More en charge de la Chine Marc Julienne, directeur du Centre Asie de l'IFRI, l'Institut Français des Relations Internationales.
// Sur YouTube https://www.youtube.com/channel/UC0cT8BZdFUmC0vgr1XS7aPA// Présentatrice du journal Le Fil d'Actu
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:09:48 - Journal de 7 h - Berlin trouve "inacceptable" l'augmentation du budget de l'Union européenne proposée ce mercredi par la Commission. Les discussions s'annoncent difficiles, le point avec notre correspondant à Bruxelles dans cette édition.
durée : 00:09:48 - Journal de 7 h - Berlin trouve "inacceptable" l'augmentation du budget de l'Union européenne proposée ce mercredi par la Commission. Les discussions s'annoncent difficiles, le point avec notre correspondant à Bruxelles dans cette édition.
Le Journal en français facile du mercredi 16 juillet 2025, 18 h 00 à Paris. Retrouvez votre épisode avec la transcription synchronisée et des exercices pédagogiques pour progresser en français : http://rfi.my/BqeU.A
Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie en 2022, près de 200 milliards d'euros d'actifs russes sont gelés en Europe. S'ils produisent toujours des intérêts, leur gestion suscite aujourd'hui de vives inquiétudes, notamment de la part de la direction d'Euroclear, géant européen du dépôt de titres. En cause : le risque juridique et financier d'une mauvaise utilisation de ces fonds. Décryptage. Depuis février 2022, l'Union européenne a gelé environ 200 milliards d'euros d'avoirs appartenant à la Banque centrale de Russie et à plusieurs entités ou individus russes. Ces fonds sont principalement logés chez Euroclear, à Bruxelles. Bien que la Russie ne puisse pas y accéder, ces actifs continuent de générer des intérêts : en 2023, ils ont rapporté plus de 4 milliards d'euros. L'Union européenne refuse pour l'instant de toucher au capital lui-même, considéré comme appartenant encore à la Russie. Cependant, les intérêts produits sont en partie utilisés pour soutenir financièrement l'Ukraine. Bruxelles envisage désormais d'aller plus loin en investissant ces liquidités dans des placements financiers susceptibles de générer davantage de revenus. À lire aussiUE: validation d'une utilisation des avoirs russes gelés pour l'Ukraine L'avertissement d'Euroclear : prudence extrême Cette possibilité d'investissement soulève de sérieuses inquiétudes. La directrice générale d'Euroclear, Valérie Urbain, a récemment tiré la sonnette d'alarme : selon elle, investir ces avoirs dans des produits financiers plus risqués reviendrait à « ouvrir la boîte de Pandore ». Le principal problème est juridique : c'est que les avoirs restent russes. Utiliser le capital, même indirectement, pourrait être perçu comme une forme d'expropriation. Et si ces investissements venaient à mal tourner, Euroclear, en tant que dépositaire, pourrait être tenue de rembourser la Russie sans avoir les fonds disponibles. Un risque systémique pour l'Europe Au-delà du cas russe, ce débat soulève une question plus large sur la sécurité juridique des capitaux étrangers détenus en Europe. Une décision précipitée ou risquée pourrait saper la confiance des investisseurs internationaux et faire grimper le coût de la dette pour les pays européens. C'est précisément ce que redoute Euroclear : que l'Europe, en exploitant ces avoirs russes, déclenche une crise de confiance majeure sur les marchés mondiaux. Le sujet sera d'ailleurs au cœur des discussions à Bruxelles dans les semaines à venir, lors d'un nouveau round de négociations mené par la Commission européenne. À lire aussiL'UE annonce un prêt de 35 milliards d'euros à l'Ukraine financé par les avoirs gelés russes
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bloc d'actualités. L'École d'été européenne de l'intelligence artificielle a Bratislava : Robotique, éthique, calcul quantique – le tout en compagnie de dizaines d'étudiants venus des quatre coins du monde. Le franais : Lenka Zgútová, enseignante de lycée récemment primée pour son engagement exceptionnel, nous parlera de sa passion pour la langue de Moliere et de la façon dont elle la transmet avec enthousiasme aux jeunes générations.
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Nos premiers invités #SessionLive sont Roseaux avec Ben l'Oncle Soul. Roseaux est un trio parisien composé Emile Omar, Alex Finkin et Clément Petit. Les trois mousquetaires du son cultivent leur savoir-faire désormais salué par la critique et un auditoire toujours plus nombreux depuis leur premier projet en 2012. Il leur a fallu du temps, pour prendre du recul et de la hauteur afin de nous offrir un retour tant réjouissant que retentissant. Roseaux prend racine au bord des rives de la soul, du folk, du jazz, et de la chanson de toutes les époques, une cascade de sonorités intarissables, où les trois compositeurs puisent leur inspiration et fusionnent leurs expériences. Les feuilles de Roseaux s'élancent au souffle de merveilleuses voix, choisies avec précision par les trois compères, comme celle, du chanteur américain Aloe Blacc, présent depuis le début de l'aventure, enchanteur incontournable des trois épisodes. Pensé comme une escapade onirique gorgée d'émotions, en marge de la production massive, instantanée et souvent désincarnée, Roseaux est un groupe totalement artisanal, sorte d'ovni dans le paysage musical hexagonal, qui opère à l'instinct et surtout à l'envie. Ainsi, Roseaux est devenu expert pour réunir, le temps d'un disque, les artistes qui forment spécifiquement l'ADN de leur hôte : des voix envoûtantes, une trame au piano et au violoncelle, mais aussi des rencontres et des retrouvailles, dans un univers poétique et volontairement nébuleux. Ce troisième album est l'œuvre de 3 passionnés de musique, capables d'intervertir leurs rôles : écriture, arrangements, production, d'où émergent cette fois, onze titres au mélodies ciselées dont trois instrumentaux colorés et insolites. Un périple entre mélancolie et euphorie, qui a conduit Roseaux aux confins de la planète, des Caraïbes à l'Europe en pasant par l'Afrique pour dénicher d'autres vibrations et des interprètes singuliers : la captivante chanteuse grenado-britannique Ala.ni, le petit prince afropop anglais originaire du Ghana, Ghetto Boy, et la troublante suédoise Isabel Sörling, signent ici une première collaboration flamboyante avec le groupe. Pendant que la talentueuse canado-haïtienne Mélissa Laveaux, l'hypnotique chanteur scandinave Olle Nyman, la pétillante franco-canadienne Anna Majidson et notre remarquable Ben national, déjà présents sur le deuxième volet, parviennent encore à créer la surprise en dévoilant de nouveaux aspects de leur tessiture. Les voix de Roseaux sont décidément impénétrables et sa magie se renouvelle aujourd'hui en faisant dialoguer la force de tous ces éléments scintillants, à découvrir dans un écrin de douceur et de volupté. La nature regorge de roseaux, celui-ci est unique. Titres interprétés au grand studio - With Us Feat. Ben l'Oncle Soul Live RFI - Loving You Is All I Want To Do Feat. Aloe Blacc, extrait Roseaux III - Island Feat. Ben l'Oncle Soul (Roseaux II 2019) Live RFI Line Up : Emile Omar, machines, Alex Finkin, guitare, Clément Petit, violoncelle, Ben L'Oncle Soul, voix Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant, Camille Roch. ► Album Roseaux III (Fanon Rd)
Nos premiers invités #SessionLive sont Roseaux avec Ben l'Oncle Soul. Roseaux est un trio parisien composé Emile Omar, Alex Finkin et Clément Petit. Les trois mousquetaires du son cultivent leur savoir-faire désormais salué par la critique et un auditoire toujours plus nombreux depuis leur premier projet en 2012. Il leur a fallu du temps, pour prendre du recul et de la hauteur afin de nous offrir un retour tant réjouissant que retentissant. Roseaux prend racine au bord des rives de la soul, du folk, du jazz, et de la chanson de toutes les époques, une cascade de sonorités intarissables, où les trois compositeurs puisent leur inspiration et fusionnent leurs expériences. Les feuilles de Roseaux s'élancent au souffle de merveilleuses voix, choisies avec précision par les trois compères, comme celle, du chanteur américain Aloe Blacc, présent depuis le début de l'aventure, enchanteur incontournable des trois épisodes. Pensé comme une escapade onirique gorgée d'émotions, en marge de la production massive, instantanée et souvent désincarnée, Roseaux est un groupe totalement artisanal, sorte d'ovni dans le paysage musical hexagonal, qui opère à l'instinct et surtout à l'envie. Ainsi, Roseaux est devenu expert pour réunir, le temps d'un disque, les artistes qui forment spécifiquement l'ADN de leur hôte : des voix envoûtantes, une trame au piano et au violoncelle, mais aussi des rencontres et des retrouvailles, dans un univers poétique et volontairement nébuleux. Ce troisième album est l'œuvre de 3 passionnés de musique, capables d'intervertir leurs rôles : écriture, arrangements, production, d'où émergent cette fois, onze titres au mélodies ciselées dont trois instrumentaux colorés et insolites. Un périple entre mélancolie et euphorie, qui a conduit Roseaux aux confins de la planète, des Caraïbes à l'Europe en pasant par l'Afrique pour dénicher d'autres vibrations et des interprètes singuliers : la captivante chanteuse grenado-britannique Ala.ni, le petit prince afropop anglais originaire du Ghana, Ghetto Boy, et la troublante suédoise Isabel Sörling, signent ici une première collaboration flamboyante avec le groupe. Pendant que la talentueuse canado-haïtienne Mélissa Laveaux, l'hypnotique chanteur scandinave Olle Nyman, la pétillante franco-canadienne Anna Majidson et notre remarquable Ben national, déjà présents sur le deuxième volet, parviennent encore à créer la surprise en dévoilant de nouveaux aspects de leur tessiture. Les voix de Roseaux sont décidément impénétrables et sa magie se renouvelle aujourd'hui en faisant dialoguer la force de tous ces éléments scintillants, à découvrir dans un écrin de douceur et de volupté. La nature regorge de roseaux, celui-ci est unique. Titres interprétés au grand studio - With Us Feat. Ben l'Oncle Soul Live RFI - Loving You Is All I Want To Do Feat. Aloe Blacc, extrait Roseaux III - Island Feat. Ben l'Oncle Soul (Roseaux II 2019) Live RFI Line Up : Emile Omar, machines, Alex Finkin, guitare, Clément Petit, violoncelle, Ben L'Oncle Soul, voix Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant, Camille Roch. ► Album Roseaux III (Fanon Rd)
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le sujet :Le secteur de la défense est dans toutes les pensées des investisseurs. Quelles sont les opportunités d'investissement ? Comment s'y prendre ? Et quels rendements viser ? Autant de questions qui animent les réflexions actuelles.L'invité du jour :Spécialiste de la gestion d'actifs alternatifs et de l'investissement, Thomas Friedberger est CEO et co-CIO de Tikehau. Au micro de Matthieu Stefani, il nous dit tout sur l'investissement dans la défense européenne.Découvrez :Les sujets chauds en matière de défenseLes enjeux cruciaux pour l'EuropeY a-t-il une bulle dans le secteur de la défense ?Comment investir dans la défense européenne ?Quels rendements espérer ?Ils citent les références suivantes :La CIO LetterOpale CapitalL'épisode #424 de GDIY avec Olivier Dellenbach (ChapsVision)L'épisode #401 de GDIY avec David Baverez, sur l'économie de guerreLe fonds Tikehau European Sovereignty FundLe fonds Tikehau Ace Aéro Partenaires 2Le fonds Tikehau Fonds Brienne IVAinsi que d'anciens épisodes de La Martingale :Hors-série #2 - Investir dans la souveraineté européenneOn vous souhaite une très bonne écoute ! C'est par ici si vous préférez Apple Podcasts, ou ici si vous préférez Spotify.Et pour recevoir toutes les actus et des recommandations exclusives, abonnez-vous à la newsletter, c'est par ici.La Martingale est un podcast du label Orso Media.Merci à notre partenaire Sapians de soutenir le podcast.Réalisez votre bilan patrimonial et recentrez vos possibilités d'investissement avec Sapians en suivant ce lien.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue sur la Radio Circulab (ex Activer l'Economie Circulaire) Aujourd'hui, Justine et Brieuc nous invitent à plonger au cœur des paradoxes de la réglementation européenne !Pourquoi des initiatives cruciales comme la CSRD (Corporate Sustainability Reporting Directive) sont actuellement "torpillées", malgré leur adoption même en Chine et leur rôle essentiel dans l'approche de pérennité des entreprises ? Comment cette situation pousse les entreprises éclairées à voir l'économie circulaire non plus comme une contrainte, mais comme une stratégie de pérennité ?Quant au Passeport Produit Digital (DPP), levier stratégique énorme pour l'avenir de la réparation, du réemploi et du remanufacturing, ce nouvel outil offre un potentiel incroyable pour les produits neufs et reconditionnés, en fournissant une "fiche d'identité commune" accessible.Nous abordons ensemble tous ces sujets :Comment les entreprises ayant déjà investi dans la CSRD continuent leurs démarches, car un retour en arrière leur coûterait désormais trop cher.Pourquoi le DPP, qui est purement économique et technique, pourrait devenir un outil stratégique puissant pour l'alignement des chaînes de valeur, la relocalisation et la prévention des actions néfastes.Le lien direct entre le DPP et le Product Data Sheet (PCDS), un standard qui vise à rendre l'information sur les produits plus accessible et à soutenir l'économie circulaire.La tension entre la vision purement écologique et l'aspect économique de l'économie circulaire, et comment les standards internationaux comme les normes ISO sur l'économie circulaire peuvent aider à unifier le langage et les objectifs.Les enjeux économiques et environnementaux qui façonnent l'avenir de l'économie circulaire sont très challengés actuellement. Le contexte géopolitique, à la fois "flippant et enthousiasmant", redéfinit la manière dont les entreprises abordent la durabilité.Pour aller plus loin : Baladez-vous sur notre site internet (tout neuf) ; Téléchargez nos outils sur la Circulab Academy ; Inscrivez-vous à notre newsletter ; Envoyez-nous vos retours ou suggestions sur Linkedin : Justine Laurent et Brieuc Saffré. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'exploitation des immenses réserves de fer des monts du Simandou pourrait marquer un tournant décisif pour l'économie guinéenne. Estimées à près de 8 milliards de tonnes de minerai, ces réserves font l'objet de discussions depuis trois décennies. Les autorités prévoient une entrée en production pour la fin de l'année 2025, présentant ce projet comme la vitrine de leur ambition économique. (Rediffusion) Face au manque de transparence, la population guinéenne, qui a connu les désillusions de l'exploitation de bauxite, oscille entre espoir et scepticisme. Sur le chantier du chemin de fer, la poussière et les boues envahissent les champs, rendant impossible toute culture. Mamoudou Youla, habitant du village de Sounganyia marche sur la terre craquelée qui a envahi sa rizière. « Tout ça, là, c'est le lieu de travail. Depuis que les sociétés minières sont arrivées il y a cinq ans, on ne travaille pas ici, rien, tout est gâté. », se lamente-t-il. Les dédommagements promis par les miniers ne suffisent pas à compenser les pertes subies par les agriculteurs. Mamaseta Camara, une autre habitante, exprime son désenchantement face aux promesses non tenues. « Quand les entreprises sont arrivées ici, j'étais contente, je me suis dit que c'était une opportunité pour nous. Mais ça ne s'est pas passé comme prévu. On subit de nombreux impacts. » Tout se fissure. Les murs des maisons, comme la confiance des habitants envers les sociétés. Il n'y aurait pas eu assez d'emploi pour les jeunes de Soungayah. La corruption autour du chantier est un autre sujet de préoccupation. « Quand vous allez sur le chantier pour du travail, il y a des intermédiaires qui vous demandent de l'argent. Environ 1 million et demi de francs guinéens », témoigne anonymement ce jeune homme. Il a le verbe haut et une profonde colère en lui. « À Conakry, on dit que nous sommes les boss. Qu'il y a un grand projet chez nous, le grand port de la Guinée, et donc qu'on est les rois, mais les gens ne savent pas ce qui se passe réellement ici. Pas d'emploi, pas d'eau, pas d'hôpital. J'en veux aux autorités guinéennes. Parce que depuis que le projet a commencé ici, personne ne s'est déplacé pour voir ce que nous traversons ici. Ils s'en foutent de nous ». Plus de 33 000 emplois ont déjà été créés sur le corridor, avançait Mamadi Doumbouya, le président de la transition, lors de ses derniers vœux à la nation. Des retombées XXL espérées pour l'économie guinéenne Initié en 1997, le projet Simandou a connu de nombreux rebondissements. D'abord attribués à Rio Tinto, les blocs 1 et 2 ont ensuite été confiés à BSGR, avant d'être réattribués à Winning Consortium Simandou en 2019, un partenariat sino-singapourien avec une participation guinéenne. Après le coup d'État en 2021, les travaux ont été interrompus par la junte. Puis, le géant de l'acier Baowu Steel a investi 6 milliards de dollars dans le projet, renforçant l'engagement de la Chine. Les espoirs sont énormes. Les autorités guinéennes misent sur des retombées économiques annuelles de 600 à 700 millions de dollars via des taxes et redevances. « Les ressources générées par les mines du projet Simandou et la transformation locale des minerais par la construction des raffineries nous ouvrent des perspectives heureuses d'avenir. », se réjouissait Mamadi Doumbouya. La construction d'une aciérie permettrait également de transformer une partie du fer sur place. « Nous osons espérer que cela soit la bonne cette fois, explique l'économiste Mohammed Camara. Pour un projet minier, l'important, c'est qu'est-ce qu'on en tire comme fiscalité, quels sont les impôts et taxes que ce projet va payer à l'État ? Il faut voir le projet sur du long terme et s'assurer de l'utilisation efficace des ressources. Le peu que l'on gagne, il faut l'investir où on peut impacter le plus. » Le « pont vers la prospérité » vanté par les autorités guinéennes n'est pas garanti. « Les autorités comptent beaucoup sur le Simandou parce que c'est un projet qui va doubler le produit intérieur brut du pays, mais attention, il ne faut pas croire que cela va régler tous les problèmes d'un seul coup », poursuit Mohammed Camara. Des contrats miniers toujours secrets D'autant qu'un doute subsiste sur les retombées économiques réelles. Les contrats signés entre l'État et les sociétés minières n'ont en effet pas été publiés. Ces trois conventions minières, ferroviaires et portuaires finalisées en 2023 ne sont connues que de quelques-uns dans le pays. « On se demande bien qui les a vues, c'est l'omerta la plus totale », témoigne un ancien proche du ministère des Mines. La publication des contrats est obligatoire selon le code minier guinéen. Or, ces conventions validées par la Cour suprême adoptées par le CNT – l'Assemblée nationale guinéenne – en février 2024 sont introuvables. Manque de transparence flagrant pour certains acteurs de la société civile. Incompréhension pour Oumar Totiya Barry de l'Observatoire des mines et métaux : « Officiellement, le Premier ministre parle de contrat stratégique, donc de secret d'État. Le ministre des Mines évoque le fait que le processus de négociation n'est pas terminé. Mais on sait quand même que ces documents sont passés au niveau du CNT et donc, que le processus est à son terme. On ne comprend pas pourquoi la Guinée ne rend pas encore public ces contrats. Cela aiderait aujourd'hui à améliorer le niveau de compréhension. » À lire aussiGuinée: de Sekou Touré à Mamadi Doumbouya, l'incroyable histoire du gisement de fer de Simandou Même du côté des sociétés minières, on peine à comprendre ce manque de transparence. Mais le gouvernement reste droit dans ses bottes sur cette question. « Quand on négocie avec quelqu'un, il y a toujours des clauses de confidentialité, explique le ministre du plan Ismaël Nabé. Nous sommes en train de discuter avec les partenaires industriels et on publiera au temps opportun. On renégocie parce que la Guinée était perdante. Nous sommes avec des partenaires et on doit avoir un commun accord, et respecter ce que l'on s'est dit. Si on est d'accord, ça sera publié. » Les éléments juridiques des conventions signées ont déjà été publiés dans un numéro spécial du Journal officiel qui n'a pas été rendu public, mais que RFI a pu se procurer. Certains y voient la preuve que tout est déjà négocié et que les autorités n'ont pas envie de dévoiler des contrats qui seraient défavorables à la Guinée. Un des négociateurs nous informe que la plupart des contrats de revente par lesquels les clients achètent le minerai produit ne sont pas encore signés. Le prix de revente du fer de Simandou – élément clé pour le calcul des recettes de l'État – ne serait pas fixé. Djiba Diakité, le président du comité stratégique de Simandou, a récemment expliqué dans une interview à Forbes Afrique que « si on mettait bout à bout tous les documents contractuels de Simandou... ça ferait 14 kilomètres ». Un train pour le minerai et pour les passagers ? La Guinée veut croire à la renaissance de son réseau ferroviaire grâce au gigantesque projet minier. Le gisement de fer, l'un des plus riches au monde, doit être relié au port de Moribayah par une ligne de chemin de fer de 650 kilomètres. Une infrastructure qui cristallise les espoirs de désenclavement de la Haute et Moyenne-Guinée. Pensée comme une double voie, cette ligne doit permettre non seulement l'acheminement du minerai vers la côte, mais aussi, à terme, le transport de marchandises et de passagers. « Le chemin de fer est multi-utilisateur. Une partie va servir aux miniers, une autre aux marchandises, mais aussi aux personnes. L'objectif est de développer plus de 2 000 km de voie ferrée dans le pays », déclare Ismaël Nabé, ministre du Plan à RFI. Cette ambition de désenclaver les régions agricoles, comme la zone de Kankan ou de N'zérékoré, suscite l'enthousiasme. Certains imaginent déjà des trains chargés d'ignames ou de bananes rejoindre plus facilement les marchés urbains. Mais sur le terrain, les observateurs sont plus prudents. « L'idée d'un train passager est séduisante, mais peu réaliste dans l'état actuel du tracé », estime Oumar Totiya Barry, directeur de l'Observatoire des mines et métaux. Selon lui, la ligne évite les grands centres urbains. « Il y a bien une quinzaine de gares prévues, mais elles sont souvent à des dizaines de kilomètres des villes. Madina Oula, par exemple, se trouve à plus de 80 km de Kindia. Pour Mamou, c'est le même problème avec la gare de Farenta. » En cause, une logique de tracé prioritairement industrielle. Le chemin de fer suit le chemin le plus court et le moins coûteux entre la mine et le port, au détriment d'une intégration fine au territoire. « Le mariage entre aménagement du territoire et conception du chemin de fer n'a pas suffisamment fonctionné », regrette Oumar Totiya Barry. À Kaloum, cœur battant de Conakry, certains commerçants restent sceptiques. Marqués par les promesses non tenues des précédents projets miniers, ils redoutent que Simandou ne soit qu'un mirage de plus. Dans les zones d'exploitation de la bauxite, comme à Boké, l'exploitation a certes rapporté des devises, mais elle a aussi laissé des séquelles : pollution de l'air, raréfaction de l'eau potable, routes dégradées. « Simandou, c'est du vent », tranche un commerçant, dénonçant une richesse qui ne profite toujours pas à la population. En attendant, Simandou creuse son sillon, porté par de grandes ambitions.
On est dans la dernière ligne droite concernant les discussions entre les Etats-Unis et l'Union européenne au sujet des droits de douanes. L'objectif, c'est de ne pas avoir un niveau trop élevé de taxes à la fin ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Invités : - Véronique Jacquier, journaliste à CNEWS. - Paul Melun, essayiste et écrivain et auteur de l'ouvrage "Et si le prochain président était un roi ? République ou monarchie, un match pour la démocratie" (Ed.Marueil). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Véronique Jacquier, journaliste à CNEWS. - Paul Melun, essayiste et écrivain et auteur de l'ouvrage "Et si le prochain président était un roi ? République ou monarchie, un match pour la démocratie" (Ed.Marueil). Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julia Vignali reçoit Soprano, qui fait ses débuts au cinéma dans Marius et les gardiens de la cité phocéenne. Un rôle surprenant, une ville chère à son cœur, et un nouveau défi pour l'artiste marseillais.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:26 - L'invité de 6h20 - Philippe Perchoc, chercheur spécialisé sur la sécurité européenne et directeur de l'antenne bruxelloise de l'Institut de recherche stratégique de l'École militaire, était l'invité de France Inter ce vendredi pour évoquer les nouveaux engagements pris par les Européens en faveur de la défense. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Invitée: Laure Mi Hyun Croset. La culture pop sud-coréenne rayonne mondialement depuis les années 1990. Des concerts de K-pop aux K-dramas, en passant par la mode et les jeux vidéo, un engouement global se manifeste pour cet univers ancré dans l'art traditionnel. Quelles sont les raisons de ce phénomène et son influence sur les différentes sphères culturelles internationales? Pour en parler, Tribu reçoit Laure Mi Hyun Croset, romancière et marraine du Printemps culturel 2025.
durée : 00:05:48 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - L'Union européenne est prise entre plusieurs injonctions contradictoires concernant ses approvisionnements en gaz naturel liquéfié (GNL). Ce gaz, transportable à l'état liquide par voie maritime, peut être importé de partout. L'UE ne s'en prive pas. Mais est-ce bien raisonnable ?
Tous les jours dans la matinale d'Europe 1, Olivier de Lagarde scrute et analyse la presse du jour. Aujourd'hui, l'édito d'Édouard Tétreau sur le Proche-Orient, l'affaiblissement de la démocratie européenne et le nouveau parti de Dominique de Villepin, la France humaniste. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sommet de l'Otan s'ouvre ce mardi dans un contexte particulièrement sensible. Guerre en Ukraine, incertitudes sur l'engagement des États-Unis, et réarmement massif en Europe. Ce réarmement transforme en profondeur l'industrie militaire du continent, entre financements européens, alliances internationales et enjeux de souveraineté. Les États membres de l'Union européenne accélèrent leur réarmement, et cela implique des financements massifs. Pour les accompagner, deux programmes se démarquent. Le plus important, ReArm Europe, prévoit jusqu'à 800 milliards d'euros de dépenses nationales supplémentaires dans la défense d'ici 2030. À côté, l'EDIP (Programme européen pour l'industrie de défense) mobilise 1,5 milliard d'euros sur la période 2025-2027. L'objectif : renforcer la compétitivité de la base industrielle et technologique de défense européenne. La conséquence est bien là, le marché européen de la défense est en pleine expansion. À lire aussiL'Europe se réarme, le secteur de la défense se frotte les mains Alliances entre industriels européens et étrangers Depuis l'invasion russe de l'Ukraine en 2022, les budgets militaires européens ont fortement augmenté. L'industrie de l'armement y voit une opportunité de croissance. Tandis que les États cherchent des fonds pour se réarmer, les industriels européens multiplient les partenariats avec leurs homologues non-européens. Parmi les exemples récents, l'alliance entre l'Allemand Rheinmetall et l'Américain Anduril Industries, ou encore entre l'Italien Leonardo et le Turc Baykar. Ces alliances permettent aux entreprises européennes d'élargir leur offre, d'accéder à des technologies extérieures, de partager les coûts de développement et d'accélérer la mise sur le marché. Pour les acteurs non-européens, c'est une manière de pénétrer le marché européen et de contourner certaines restrictions liées à la préférence européenne, alors que l'UE importe encore entre 60 et 80 % de son matériel militaire. Des inquiétudes sur la souveraineté industrielle Mais ces rapprochements ne sont pas sans susciter des craintes. En particulier sur la question de l'autonomie stratégique européenne et des risques de dépendance technologique. Certains industriels, notamment en France, s'inquiètent de l'arrivée de concurrents extérieurs sur le marché européen et du risque que des fonds européens financent des productions sous licence étrangère. Alors que Paris freine, Berlin avance. L'Allemagne, avec son champion Rheinmetall, incarne cette nouvelle dynamique industrielle. Sans attendre ses partenaires, elle trace sa voie pour répondre à ses propres objectifs. Une tendance qui s'inscrit dans la relance plus large de l'industrie militaire sur le continent.
Charterhouse Warren. Un site archéologique, situé près de Bristol, au sud-ouest de l'Angleterre. Tout commence par une découverte macabre faite dans les années 1970 : au fond d'une fosse naturelle, les archéologues mettent au jour un amas de restes humains. Rien d'étonnant, pense-t-on d'abord : le site est un ancien puits d'extraction de plomb, utilisé plus tard comme sépulture collective.Mais les analyses plus récentes ont révélé une toute autre histoire. Il y a environ 4000 ans, à l'âge du bronze, une communauté entière aurait été massacrée, puis partiellement dévorée. Le site se transforme alors en un véritable mystère pour les scientifiques.Que sait-on ? Les restes appartiennent à au moins 40 individus — hommes, femmes, enfants. Mais ce n'est pas un tombeau organisé. Les ossements sont jetés pêle-mêle, démembrés, avec de nombreuses traces de violence extrême. Les crânes sont fracturés, les os longs portent des marques de coupures nettes, comme si l'on avait retiré chair et moelle. Certaines fractures indiquent que les victimes étaient encore en vie au moment des coups.Plus troublant encore : des traces de découpe et de cuisson ont été détectées sur plusieurs os. Ces indices accréditent la thèse d'un cannibalisme rituel ou de survie. Mais pourquoi ? Guerre tribale ? Vengeance ? Famine extrême ? Le contexte exact échappe encore aux chercheurs.Le mystère de Charterhouse Warren réside aussi dans l'absence de parallèles connus. En Europe de l'âge du bronze, les sépultures sont en général ordonnées, respectueuses. Ici, on est face à une scène de violence collective, isolée, sans précédent clair. Était-ce une attaque venue de l'extérieur ? Un massacre interne ? Une exécution de prisonniers ? Le site défie les interprétations.Ce qui ajoute encore au trouble, c'est que le site n'était pas une nécropole : c'est un ancien gouffre de mine, qui a servi d'abattoir et de décharge humaine. Pourquoi ce choix ? Était-ce pour effacer les traces ? Pour symboliser un rejet ? Pour isoler les morts du monde des vivants ?En résumé, Charterhouse Warren est un mystère parce qu'il brise les codes connus de la préhistoire britannique. Ce n'est pas un simple site funéraire, mais la scène d'un crime de masse vieux de 4000 ans — un massacre suivi d'actes de cannibalisme dont les motivations nous échappent encore. Un vrai cold case pour les archéologues… et pour l'imaginaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
gnès Verdier-Molinié analyse les récentes déclarations de la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, sur les risques de voir le FMI imposer des réformes à la France si elle ne les mène pas elle-même. Elle explique que malgré les discours rassurants, la France reste sous la procédure pour déficit excessif de la Commission européenne et que le FMI pourrait être appelé en renfort en cas de crise de la dette, comme cela s'est produit en Grèce. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Barbara Lefebvre et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.