POPULARITY
Categories
Donald Trump legt Diplomatie anders aus: die Schwachen demütigen, bei Putin buckeln. Aber als er Südafrikas Präsidenten vorführen wollte, wurde er selbst vorgeführt. Das ist die Lage am Sonntag. Hier der Link zum Artikel: Eklat beim Besuch von Südafrikas Präsident: Und dann dimmt Trump plötzlich die Lampen runter+++ Alle Infos zu unseren Werbepartnern finden Sie hier. Die SPIEGEL-Gruppe ist nicht für den Inhalt dieser Seite verantwortlich. +++ Den SPIEGEL-WhatsApp-Kanal finden Sie hier. Alle SPIEGEL Podcasts finden Sie hier. Mehr Hintergründe zum Thema erhalten Sie mit SPIEGEL+. Entdecken Sie die digitale Welt des SPIEGEL, unter spiegel.de/abonnieren finden Sie das passende Angebot. Informationen zu unserer Datenschutzerklärung.
Seit Russland 2014 damit begonnen hat, ukrainisches Staatsgebiet zu besetzen, werden Zivilisten grundlos festgenommen. Inzwischen sind es schon 16.000. Manche werden nach erfundenen Anklagen zu langen Haftstrafen verurteilt, andere verschwinden spurlos. Kriegsopfer, die durch jedes Raster der internationalen Diplomatie fallen, weil es zivile Gefangene eigentlich gar nicht geben darf.
À part leur passion commune pour le golf, il n'y a pas beaucoup d'atomes crochus entre l'États-Unien Donald Trump et le Sud-Africain Cyril Ramaphosa. Surtout depuis que le président américain a accusé l'Afrique du Sud de commettre un « génocide » contre les fermiers blancs afrikaners. Mais ce mercredi, les deux chefs d'Etat vont se rencontrer à la Maison Blanche. Donald Trump et Cyril Ramaphosa vont-ils être capables de trouver un terrain d'entente sur Gaza et sur les tarifs douaniers ? La chercheuse de l'International Crisis Group, par ailleurs Sud-Africaine, Liesl Louw, est notre invitée. RFI : Quelle est la vraie raison du raidissement des Américains contre l'Afrique du Sud ? Est-ce que c'est le sort des fermiers blancs afrikaners ou est-ce que c'est la plainte pour génocide que Pretoria a déposé contre Israël devant la Cour internationale de Justice ?Liesl Louw : Ce qui est sûr, c'est que la plainte contre Israël a beaucoup contribué à cette dégradation. Et puis aussi, depuis le début de 2022, le fait que l'Afrique du Sud ne voulait pas ouvertement condamner la Russie pour l'invasion de l'Ukraine et son insistance depuis aussi de vouloir être neutre dans ce conflit, l'Afrique du Sud étant membre des BRICS, etc. Donc il y a le conflit en Ukraine et puis sa ferme opposition à ce que fait Israël à Gaza.Et alors, sur cette question palestinienne que l'Afrique du Sud défend depuis la fin de l'apartheid, est-ce que vous pensez que Cyril Ramaphosa va lever le pied dans les prochaines semaines pour essayer de calmer le jeu avec Donald Trump?Moi, je pense que, politiquement, il ne va pas lever le pied. Il y a un large consensus en Afrique du Sud, même au sein de cette coalition du gouvernement d'unité nationale, pour condamner Israël. D'accord, il y a des nuances. L'Alliance démocratique, donc le parti de l'opposition qui fait partie du gouvernement aujourd'hui, n'a pas soutenu le procès à La Haye. Mais l'opposition de l'Afrique du Sud contre Israël a une popularité assez large. Je ne pense pas que c'est quelque chose que Cyril Ramaphosa va ouvertement changer dans cette position pro-palestinienne.À lire aussiAfrique du Sud: des diplomates aux États-Unis pour apaiser les tensions entre les deux paysDepuis le début de l'invasion de l'Ukraine il y a trois ans, l'Afrique du Sud a renforcé ses liens avec la Russie, notamment via les BRICS. Elle s'est aussi rapprochée de la Chine et de l'Iran. Est-ce que Cyril Ramaphosa n'a pas intérêt à rééquilibrer sa politique internationale s'il veut voir Donald Trump lors du sommet du G20 en novembre prochain en Afrique du Sud ?Oui, et je pense que ça, c'est vraiment l'enjeu diplomatique de cette rencontre. Parce que Ramaphosa, il faut se souvenir, à la fin du mois d'avril, il a invité Zelensky à Pretoria. Même si c'est très complexe, parce que l'Afrique du Sud, quand même, est un membre des BRICS. La Chine étant son plus grand partenaire économique. Et il y a encore très récemment des ministres du Congrès national africain (ANC) qui sont allés en Russie rencontrer Vladimir Poutine à Moscou. Donc, ce n'est pas facile de jouer les non-alignés.Sur le plan économique, les Américains sont le deuxième partenaire commercial de l'Afrique du Sud à qui ils achètent beaucoup de voitures et beaucoup de produits agricoles. Si demain Donald Trump augmente les taxes douanières de 30 %, comme il en a agité la menace le mois dernier, est-ce que cela ne risque pas de ruiner beaucoup d'agriculteurs et beaucoup d'ouvriers agricoles ?Oui, absolument. Ça, c'est vraiment la vraie raison pour cette visite et pour l'Afrique du Sud qui a un taux de chômage de 32 %. Et si encore, dans certaines zones où il y a des grandes fabriques d'automobiles, ces usines venaient à fermer, des dizaines de milliers de gens pourraient perdre leur travail et cela aggraverait le taux de chômage. Donc l'agriculture, le secteur automobile sont absolument clé pour l'Afrique du Sud.À lire aussiAfrique du Sud: les premiers «réfugiés» blancs afrikaners partis pour les États-UnisLe porte-parole de la présidence sud-africaine a évoqué il y a quelques jours un éventuel accord avec les États-Unis dans le domaine des terres rares et des métaux stratégiques comme le manganèse. Est-ce que ce serait une façon d'amadouer le président américain par un deal à la façon Volodymyr Zelensky ?Oui, absolument. Et depuis quelque temps, nous regardons de près où sont les terres rares. L'Afrique du Sud est un grand pays minier, bien sûr, et l'Afrique du Sud a des ressources stratégiques : manganèse, platine, chrome. Mais en ce qui concerne les terres rares, l'Afrique du Sud n'est pas un grand producteur de terres rares. Donc, depuis quelque temps, des économistes, des diplomates, tout le monde réfléchit, même dans les médias. Il y a énormément de débats autour de ce que l'Afrique du Sud peut offrir. Comment réparer cette relation qui est extrêmement importante, même s'il y a des choses où l'Afrique du Sud et les États-Unis ne sont pas d'accord ? La question d'Israël, par exemple. Mais pour réparer cette relation très importante, l'Afrique du Sud souhaite mettre sur la table ses atouts économiques.
Un point complet sur l'actualité à 6h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
US-Präsident Trump und Russlands Präsident Putin haben nach langer Pause telefoniert. Laut Bühler kann Trumps Strategie unter bestimmten Voraussetzungen funktionieren. Und: Größter Drohnen-Angriff seit Kriegsbeginn.
Un point complet sur l'actualité à 6h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
(c) WDR 2025 Von WDR 5.
Virginie Girod raconte Isabelle Ière de Castille (1451-1504), figure incontournable de l'Histoire espagnole. Dans le premier épisode de ce double récit inédit d'Au cœur de l'Histoire, Isabelle, fille du roi de Castille, devient l'héritière présomptive du royaume. Dotée d'un sens politique hors-du-commun, elle épouse secrètement Ferdinand d'Aragon, plongeant bientôt son royaume dans un guerre de succession. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce lundi 19 mai, les enjeux de l'appel téléphonique entre Vladimir Poutine et Donald Trump ce lundi, une discussion qui portera notamment sur la négociation d'une éventuelle fin de la guerre en Ukraine, a été abordé par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Dittmer, Nicole www.deutschlandfunkkultur.de, Studio 9 - Der Tag mit ...
Chaque jour, retrouvez le journal de 7h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 7h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 16 mai 2025 : Trump : business, diplomatie... et des succès ?LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance- Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine,auteure de L'art de Trumper - Béatrice MATHIEU - Grand reporter - L'Express - Philippe MABILLE - Directeur éditorial - La Tribune et La Tribune Dimanche
C dans l'air du 16 mai 2025 : Trump : business, diplomatie... et des succès ?Depuis son retour à la Maison-Blanche, le président des États-Unis ne cache rien de sa méthode. "La meilleure chose que vous puissiez faire est de négocier en position de force. L'effet de levier est votre plus grande force. En d'autres termes, vous devez convaincre l'autre partie qu'il est dans son intérêt de conclure l'affaire", écrit le président des États-Unis dans son livre consacré à la négociation, "The Art of the Deal".Une stratégie du businessman dont Donald Trump se sert également sur la scène internationale, en matière diplomatique dans le dossier de la guerre en Ukraine ou au Moyen-Orient. Le président américain, qui achève ce vendredi une tournée fastueuse du Golf, a profité de ce premier déplacement d'envergure depuis son élection pour conclure toute une série d'accords commerciaux, assumant sans complexe de "faire de la vente". Après avoir récolté 600 milliards de dollars en Arabie saoudite et un contrat de 200 milliards de dollars pour Boeing au Qatar, il s'est vu promettre jeudi à Abou Dhabi 1.400 milliards de dollars d'investissements sur dix ans. Au cours de cette tournée, le président des Etats-Unis a aussi fait de la géopolitique avec notamment une rencontre avec le président syrien, assortie d'une levée des sanctions.Pour Donald Trump, tout est une question de business et de rapport de force. C'est ainsi qu'il a annoncé au début de son mandat la réactivation de surtaxes douanières importantes avant d'ouvrir des négociations et de rétropédaler. La Chine était particulièrement dans le viseur de cette guerre commerciale. Les taxes douanières des États-Unis contre les produits chinois étaient montées à 145 %. A l'issue de deux jours de discussions à Genève le week-end dernier, ces droits de douanes seront finalement réduits à 30 %, tandis que le taux imposé par la Chine aux produits américains, qui était passé à 125 %, tombera à 10 %. Un exemple révélateur de la négociation du businessman qui multiplie les mesures protectionnistes pour inverser le mouvement de délocalisation et faire revenir les emplois.Au cours de cette bataille commerciale, celui qui a pour doctrine "America First" a également renouvelé les appels aux entreprises étrangères pour qu'elles délocalisent leur production sur le sol américain, en échange d'une fiscalité plus avantageuse et d'un accès sécurisé au marché intérieur. Ce message, déjà martelé lors de son premier mandat, semble avoir été entendu par plusieurs grands groupes qui ont récemment annoncé de nouveaux investissements aux États-Unis : le constructeur automobile sud-coréen Hyundai prévoit d'investir 21 milliards de dollars sur les quatre années à venir, le géant pharmaceutique français Sanofi 20 milliards de dollars d'ici 2030, l'armateur français CMA-CGM 20 milliards de dollars en quatre ans.En France, le patron de Bercy a déploré l'investissement colossal des groupes français outre-Atlantique. "L'ampleur des investissements aux États-Unis, c'est sûr que c'est un mauvais signal à un moment où nous considérons et nous sommes convaincus que (...) l'Europe et la France, c'est l'endroit où il faut investir", a expliqué le ministre de l'Économie. Le président de la République qui avait appelé les entreprises françaises à suspendre leurs investissements aux États-Unis a fait son retour cette semaine sur la scène intérieure. Sur TF1, il a promis de "sauver" les sites ArcelorMittal mais sans nationaliser. La solution viendra avant tout de la faculté de "recréer les conditions d'une concurrence loyale". "Et pour cela nous allons durcir le déclenchement des clauses de sauvegarde entre l'Europe et les pays extra-européens", a expliqué le chef de l'État jeudi lors d'un point devant la presse régionale.Alors la méthode de négociation de Donald Trump est-elle efficace ? Est-il en train de perdre sa guerre commerciale face à la Chine ? En quoi consiste sa diplomatie du business ? Et que se passe-t-il chez ArcelorMittal ? LES EXPERTS :- Philippe DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance- Anne TOULOUSE - Journaliste franco-américaine,auteure de L'art de Trumper - Béatrice MATHIEU - Grand reporter - L'Express - Philippe MABILLE - Directeur éditorial - La Tribune et La Tribune Dimanche
« Khartoum dans le Noir après des frappes de drones », titre Africanews, selon laquelle « la capitale du Soudan a été la cible de nouvelles attaques de drones, dans la nuit de mercredi à jeudi, avec pour conséquence directe l'interruption de l'électricité ». « Car si les FSR ont été en grande partie chassés du centre du Soudan ces derniers mois », poursuit Africanews, « les combattants du général Hemetti semblent avoir changé de tactique. En lieu et place des assauts terrestres, apparaissent désormais les frappes de drones contre les centrales électriques, les barrages et d'autres infrastructures ». Afrik.com signale également que Khartoum a été « plongée dans l'obscurité après une nouvelle frappe de drones ». « Cette nouvelle technologie dans la guerre civile soudanaise marque une nouvelle escalade aux conséquences humanitaires désastreuses pour une capitale déjà meurtrie par deux ans de conflit », ajoute Afrik.com, qui précise également que « la coupure d'électricité n'est que la partie visible d'une crise bien plus profonde. Sans courant, l'accès à l'eau est perturbé, aggravant la situation sanitaire, dans un pays déjà miné par la famine et les épidémies ».Tshisekedi et KabilaÀ la Une également, la crise politique en République Démocratique du Congo et les questions entourant l'ancien président Joseph Kabila. « Et si Tshisekedi jouait balle à terre avec Kabila ? » interroge Wakatsera, au Burkina Faso. « En annonçant son retour à la maison, suite à son exil, officiellement pour la préparation d'une thèse, l'ancien président congolais n'ignorait pas qu'il attirerait, ainsi, sur lui, la foudre de Kinshasa ». Est-ce bien raisonnable ? Wakatsera n'est pas convaincu et s'interroge encore. « L'entreprise de Félix Tshisekedi, de vouloir mettre à l'ombre, celui qui lui avait offert le pouvoir sur un plateau d'or », estime ainsi le journal, « n'est-elle pas à haut risque pour le climat militaro-socio-politique, déjà bien vicié et explosif, à cause de la guerre qu'impose l'AFC/M23 de Corneille Nangaa, avec le soutien du Rwanda, à la République démocratique du Congo ? ». Conclusion de Wakatsera : « Félix Tshisekedi est loin, actuellement, d'être en position de force pour s'ajouter, en plus de son opposition traditionnelle, d'autres ennemis, même s'il est dit que 'la meilleure défense c'est l'attaque' ».Diplomatie du droneÀ lire également ce matin, une interview du ministre turc des Affaires étrangères. Interview d'Hakan Fidan, au magazine Jeune Afrique, alors que la Turquie ne cache pas son intérêt et ses ambitions pour le continent africain. « Du Maghreb à l'Afrique Subsaharienne, Ankara ne cesse d'étendre son influence », précise d'ailleurs Jeune Afrique. Quant au ministre turc des Affaires étrangères, présenté comme « l'homme de confiance du président Erdogan », il est interrogé sur l'industrie militaire de la Turquie. Mène-t-elle « une diplomatie du drone » ? Hakan Fidan répond prudemment, « Ce qui était à l'origine, de l'aide au développement, s'est étendu, au fil des ans, à la sphère économique et à bien d'autres domaines… » « Ce n'est que récemment », ajoute-t-il, « que nous nous sommes rendus compte que plusieurs pays africains rencontraient de grandes difficultés dans leur lutte contre le terrorisme. Or la Turquie a acquis une vaste expertise dans ce domaine. Pourquoi ne pas la mettre à leur service ? nous sommes-nous demandé ».Le ministre cite ainsi les pays avec lesquels la Turquie collabore : Somalie, Niger, Mali, mais aussi l'Algérie, la Libye et le Tchad. Hakan Fidan est aussi interrogé sur les propos d'Emmanuel Macron qui, précise Jeune Afrique, « accuse régulièrement la Turquie d'alimenter le sentiment anti-français en Afrique en attisant le ressentiment postcolonial… » Le ministre turc des Affaires étrangères, se dit « surpris » et se défend « nous ne propageons pas de telles idées, que ce soit publiquement ou en coulisses ». « Les peuples d'Afrique » déclare-t-il, « ont leur propre vécu, et ce n'est pas à nous de leur dicter la manière dont – ils doivent l'interpréter ».
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vor den möglichen Gesprächen über die Zukunft der Ukraine beklagt Botschafter Oleksii Makeiev den mangelnden Verhandlungswillen Russlands. Der Waffenstillstand müsse ins Zentrum der Diplomatie. Zudem sei die Existenz der Ukraine unverhandelbar. Heinemann, Christoph www.deutschlandfunk.de, Interviews
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce jeudi 15 mai, l'agacement de l'administration Trump envers le comportement de Vladimir Poutine et son revirement discret sur l'Ukraine ont été abordés par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Va-t-on vers une médiation de l'Italie pour réconcilier l'Algérie et la France ? C'est ce que croit savoir notre Grand invité Afrique ce matin. Entre Alger et Paris, les relations sont totalement gelées depuis la mi-avril 2025. La crise s'est encore aggravée ces derniers jours, avec les expulsions croisées de fonctionnaires français par Alger et de fonctionnaires algériens par Paris. Mais les deux pays ne semblent pas vouloir aller jusqu'à la rupture. Pourquoi ? À Genève, Hasni Abidi est directeur du Centre d'études et de recherche sur le monde arabe et méditerranéen. Il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Entre la France et l'Algérie, l'accalmie n'a duré que deux semaines. Pourquoi la relation est elle aussi instable entre ces deux pays ?Hasni Abidi : Parce que les éléments de discorde, de divergences sont beaucoup plus profonds que la volonté des deux chefs d'États de renouer le dialogue et de reprendre la parole, surtout du côté français qui était très attendu par le président algérien.L'Algérie accuse le ministre français de l'Intérieur, Bruno Retailleau, « de barbouzerie à des fins purement personnelles ». Est-ce que Alger joue Barrot contre Retailleau, le ministre des Affaires étrangères contre le ministre de l'Intérieur ?Oui, la ligne algérienne est claire. Elle s'oppose à tout rôle dans le dossier algérien donné au ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, pour des raisons d'abord de ligne idéologique du ministre de l'Intérieur et parce que Alger pense que Bruno Retailleau utilise la carte algérienne, les relations franco-algériennes à des fins politiques électoralistes et que l'Algérie ne veut pas cautionner cet usage politique de la relation algérienne par le ministre de l'Intérieur. Vous avez vu, plusieurs indicateurs montrent finalement que les services algériens, par exemple, collaborent d'une manière inconditionnelle avec les services de sécurité extérieurs, mais pas les services qui sont sous le contrôle du ministre de l'Intérieur. Ce n'est pas un rejet total, mais un rejet, en quelque sorte, de la récupération faite selon Alger par le ministre de l'Intérieur.À lire aussiTensions France-Algérie: Paris annonce «renvoyer» des diplomates algériens après des expulsions par AlgerCôté algérien, est-ce qu'il y a aussi d'éventuelles divisions sur la question française ? Le président de la commission des Affaires étrangères de l'Assemblée nationale française, Bruno Fuchs, dit que la position algérienne n'est pas homogène…C'est très difficile d'analyser de l'intérieur. Donc, je félicite Bruno Fuchs d'avoir cette analyse, mais je ne la partage pas parce que, de l'extérieur, il est très difficile aujourd'hui de trouver vraiment des failles au sein des autorités algériennes, entre civils et militaires, dans les relations avec Paris.Alors, le point de départ de cette dernière crise, particulièrement grave, c'est la reconnaissance par Emmanuel Macron de la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental, c'était en juillet dernier. Mais on ne voit pas pourquoi la France changerait de cap. Est-ce que du coup, cette crise peut durer dix ou vingt ans ?Non, ce n'est pas une crise fataliste. Sur la question du Sahara occidental, il y a eu des discussions importantes et je peux vous dire que, avant cette crise consulaire concernant les agents français et algériens, le ministre des Affaires étrangères était attendu à Paris, le ministre algérien, Monsieur Attaf… Bien sûr, pour répondre à la visite effectuée par Jean-Noël Barrot. Malheureusement, les développements ont fait que cette visite soit annulée, mais il n'est pas du tout exclu que les relations reprennent. Je peux vous dire aussi qu'il y a des médiations, et notamment Rome qui veut absolument jouer un rôle de médiateur important et accepté par les deux parties.À lire aussiEn Algérie, les propos de Macron sur le Sahara occidental passent malDonc, pour vous, même si les deux régimes s'envoient à la figure des expulsions de hauts fonctionnaires et de diplomates, il n'y aura pas de rupture ?La rupture totale, je veux dire le point de non-retour, est coûteux pour les deux présidents. Mais il est clair qu'il y a des décisions à prendre. C'est-à-dire qu'Alger attend que certains consuls nommés soient accrédités, ça, c'est un élément aussi à voir. La question bien sûr du renvoi, il faut arrêter cette spirale, elle n'est pas du tout bonne pour le bon fonctionnement des relations. Cette situation, elle permet en quelque sorte la reprise ou la possibilité d'une reprise de dialogue. Parce que, au sein des autorités algériennes, on sent bien qu'il y a une volonté de contenir les conséquences de cette crise et finalement plutôt de parler seulement d'un désaccord profond avec le ministre français de l'Intérieur.Et vous dites que la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, essaye de faire médiation, c'est ça ?Giorgia Meloni est prête et il y avait même des discussions, l'Italie joue un rôle important. Elle est devenue un interlocuteur privilégié pour l'Algérie. Et bien sûr, l'Italie aussi, Giorgia Meloni a de bonnes relations avec le président Macron. Donc c'est l'Italie qui est bien placée pour jouer en quelque sorte le rapprochement. Elle peut tout à fait organiser cela lors d'une réunion économique ou dans le cadre du G20 ou un autre cadre, inviter les deux présidents. Et moi, je pense qu'une rencontre de haut niveau entre les deux chefs d'État s'impose dans les conditions actuelles.Entre les présidents Macron et Tebboune ?Entre le président Macron et le président Tebboune. Oui, en Italie, c'est une option et une hypothèse à soutenir et à encourager.
Kommt er, oder nicht? Lang ist spekuliert worden, nun ist klar, Russlands Präsident Wladimir Putin reist nicht in die Türkei, um dort den ukrainischen Präsidenten Wolodimir Selenski zu treffen. Warum eigentlich nicht? Und weshalb könnten die Gespräche dennoch bedeutend für Frieden oder Krieg sein? Es geht dabei um Signale, die Putin, aber auch Selenski mit dem Nicht- Besuch in Istanbul – oder mit dem Besuch aussenden. Welche das sind und warum Friedensgespräche sowieso selten auf höchster Ebene stattfinden, erklärt Fredy Gsteiger, der sich bei Radio SRF seit Jahren mit internationaler Diplomatie beschäftigt. Selenski, aber auch Putin sind zwei geschickte Taktiker. Im Fall Putin heisst das auch, dass er Europa immer wieder ausstrickt, wie, dass hören Sie in der News Plus Folge von Montag: https://www.srf.ch/audio/news-plus/putin-der-taktiker-wie-er-europa-immer-wieder-austrickst?id=AUDI20250512_NR_0030 ____________________ In dieser Episode zu hören: - Fredy Gsteiger, diplomatischer Korrespondent SRF - Calum MacKenzie, SRF Russlandkorrespondent ____________________ Team: - Moderation: Susanne Stöckl - Produktion: Peter Hanselmann - Redaktion: Tim Eggimann ____________________ Das ist «News Plus»: In einer Viertelstunde die Welt besser verstehen – ein Thema, neue Perspektiven und Antworten auf eure Fragen. Unsere Korrespondenten und Expertinnen aus der Schweiz und der Welt erklären, analysieren und erzählen, was sie bewegt. «News Plus» von SRF erscheint immer von Montag bis Freitag um 16 Uhr rechtzeitig zum Feierabend.
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un point complet sur l'actualité à 7h.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
US-Präsident Donald Trump ist auf Milliardenjagd am Golf, flirtet mit Katar, provoziert Israel, lobt den Iran – und kann sich auf Ärger mit dem neuen US-Papst einstellen. US-Korrespondentin Stefanie Bolzen spricht mit Wim Orth und Antonia Beckermann über einen Präsidenten zwischen Luxusflugzeug, Wirtschaftsdeals und ideologischem Dauerfeuer. Produktion: Serdar Deniz US-Korrespondentin Stefanie Bolzen ordnet jede Woche im Gespräch mit den WELT-Redakteuren Antonia Beckermann und Wim Orth die aktuellen Nachrichten aus den USA ein – mal aus Washington, mal aus Florida oder den Flyover-States. "This is America" ist der Podcast zur US-Politik, in dem wir nicht nur über, sondern auch mit Amerikanern reden. Feedback gern an usa@welt.de Impressum: https://www.welt.de/services/article7893735/Impressum.html Datenschutz: https://www.welt.de/services/article157550705/Datenschutzerklaerung-WELT-DIGITAL.html
⚔️ Niemand stolpert in den Krieg. Krieg ist kein Naturphänomen, sondern eine bewusste Entscheidung. Er wird immer von Menschen begonnen. Wie man die Wahrscheinlichkeit für Krieg stark verringert, hat mir Franz-Stefan Gady erklärt. Teil 4/5 von »Erklär mir den Krieg«.
Donald Trump est en Arabie Saoudite. Première étape d'une tournée dans les pays du Golfe. Le Président américain s'est entretenu avec Mohammed ben Salmane, le prince héritier saoudien. Washington et Riyad ont signé un contrat de défense de 142 milliards de dollars. Cet accord s'inscrit dans un ensemble plus vaste de promesses d'investissement saoudien de 600 milliards de dollars selon l'exécutif américain.
Alors que les négociations diplomatiques pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'ont jamais été aussi intenses, les questions sur le conflit, les réfugiés et l'adhésion future du pays à l'Union européenne agitent la politique des pays voisins. Signe de cette fébrilité, la Hongrie. À moins d'un an des prochaines élections législatives, le Premier ministre hongrois, le pro-russe Viktor Orban consulte ses électeurs... sous la forme d'un questionnaire sans aucune valeur légale. Il demande aux Hongrois de répondre à cette simple question : «l'Union européenne a décidé d'accepter l'adhésion de l'Ukraine en procédure accélérée. Êtes-vous d'accord ?». Une façon d'instrumentaliser le conflit et les réfugiés ukrainiens. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La campagne présidentielle en Pologne et les réfugiés ukrainiens Et en Pologne, premier soutien de Kiev dans la guerre déclenchée par Moscou, le sentiment anti-ukrainien qui couve depuis deux ans refait surface. On vote le week-end prochain pour les présidentielles, et cette campagne est déjà placée sous le signe de la xénophobie vis-à-vis des réfugiés ukrainiens. À Varsovie, Adrien Sarlat. Une mine de charbon transformée en lac en AllemagneAprès un court moratoire pour passer le cap de la crise énergétique, l'Allemagne a repris la fermeture de ses anciennes centrales électriques qui fonctionnent au charbon. En 2030, le pays ne devrait plus du tout utiliser de lignite dans son mix énergétique. Dans l'est du pays, les mines de charbon à ciel ouvert ferment les unes après les autres. Mais que faire de ces terrains désolés. À Cottbus, la ville a décidé de transformer la mine en lac... un projet bien accueilli par la population, mais dénoncé par les militants écologistes. C'est le reportage sur place de Salomé Hénon Cohin Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen Et alors que l'arrivée du nouveau chancelier allemand Friedrich Merz relance l'espoir d'un renouveau du couple franco-allemand, qu'on appelle aussi le moteur de l'UE, un livre revient sur le parcours d'une figure centrale de l'UE. Jacques Delors a été aux commandes de la commission de 1985 à 1995 et a su fédérer alors les chefs d'État français, allemand et britannique autour du projet européen de l'acte unique, l'Europe sans frontières. C'est ce que Michel Mangenot, directeur de l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8 a expliqué àJuliette Gheerbrant. Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen, par Fabrice Larat et Michel Mangenot est publié aux éditions de la Documentation française.
Alors que les négociations diplomatiques pour mettre fin à la guerre en Ukraine n'ont jamais été aussi intenses, les questions sur le conflit, les réfugiés et l'adhésion future du pays à l'Union européenne agitent la politique des pays voisins. Signe de cette fébrilité, la Hongrie. À moins d'un an des prochaines élections législatives, le Premier ministre hongrois, le pro-russe Viktor Orban consulte ses électeurs... sous la forme d'un questionnaire sans aucune valeur légale. Il demande aux Hongrois de répondre à cette simple question : «l'Union européenne a décidé d'accepter l'adhésion de l'Ukraine en procédure accélérée. Êtes-vous d'accord ?». Une façon d'instrumentaliser le conflit et les réfugiés ukrainiens. Reportage à Budapest de Florence Labruyère. La campagne présidentielle en Pologne et les réfugiés ukrainiens Et en Pologne, premier soutien de Kiev dans la guerre déclenchée par Moscou, le sentiment anti-ukrainien qui couve depuis deux ans refait surface. On vote le week-end prochain pour les présidentielles, et cette campagne est déjà placée sous le signe de la xénophobie vis-à-vis des réfugiés ukrainiens. À Varsovie, Adrien Sarlat. Une mine de charbon transformée en lac en AllemagneAprès un court moratoire pour passer le cap de la crise énergétique, l'Allemagne a repris la fermeture de ses anciennes centrales électriques qui fonctionnent au charbon. En 2030, le pays ne devrait plus du tout utiliser de lignite dans son mix énergétique. Dans l'est du pays, les mines de charbon à ciel ouvert ferment les unes après les autres. Mais que faire de ces terrains désolés. À Cottbus, la ville a décidé de transformer la mine en lac... un projet bien accueilli par la population, mais dénoncé par les militants écologistes. C'est le reportage sur place de Salomé Hénon Cohin Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen Et alors que l'arrivée du nouveau chancelier allemand Friedrich Merz relance l'espoir d'un renouveau du couple franco-allemand, qu'on appelle aussi le moteur de l'UE, un livre revient sur le parcours d'une figure centrale de l'UE. Jacques Delors a été aux commandes de la commission de 1985 à 1995 et a su fédérer alors les chefs d'État français, allemand et britannique autour du projet européen de l'acte unique, l'Europe sans frontières. C'est ce que Michel Mangenot, directeur de l'Institut d'études européennes de l'Université Paris 8 a expliqué àJuliette Gheerbrant. Jacques Delors : les paradoxes d'un homme d'État européen, par Fabrice Larat et Michel Mangenot est publié aux éditions de la Documentation française.
Chaque matin, Vincent Hervouet nous livre son regard sur l'actualité internationale. Ce mardi, il s'intéresse à la visite de Donald Trump au Moyen-Orient. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Die US-europäische Koalition der Willigen fordert eine Waffenruhe, sonst kämen neue Russland-Sanktionen. Geht der Plan auf? Und: Schönstes Amt neben Papst. Bärbel Bas will SPD-Chefin werden und die Rente reformieren (18:25) Stephanie Rohde
Sie sind eine Art Nationaltier in China, fast schon heilig: Die Pandabären. Hoch kompliziert in der Nachzucht, gelten die Tiere immer noch als gefährdet. China unternimmt große Anstrengungen, um den Bestand zu sichern und auszubauen. Gleichzeitig sind sie ein Milliardengeschäft und ein Mittel der Diplomatie. Seit Jahrzehnten verschickt China Pandas in die ganze Welt, schmiedet damit Allianzen und nutzt die Tiere, um das eigene Image zu stärken. Meist werden sie gegen eine Millionengebühr verliehen, der Nachwuchs muss zurück nach China. Bekannt ist das auch als Panda-Diplomatie. Was drückt die chinesische Staatsführung damit aus, wenn sie Pandabären verleiht, wie politisch sind diese Leihgaben? Wir sprechen mit unseren ARD-Korrespondent*innen in Peking und Shanghai über die Aufzuchtstation in Chengdu, den Artenschutz und die Panda-Diplomatie. Und wir fragen den Panda-Kurator im Berliner Zoo, Dr. Florian Sicks, wie die Nachzucht funktioniert. Der Berliner Zoo ist Deutschland einziger Tierpark mit Pandabären und steht regelmäßig in Kontakt mit China. "Welt.Macht.China" ist der China-Podcast der ARD. Aktuelle und ehemalige Korrespondent*innen und Expert*innen haben sich zusammengetan, um einen vielfältigen Einblick zu geben in das riesige Land. Es geht um Politik, Wirtschaft, Kultur, das Leben und den Alltag in der Volksrepublik, außerdem um Klischees und Chinas Rolle in der Welt. Eine neue Folge gibt es jeden zweiten Dienstag in der ARD Audiothek und in allen anderen Podcast-Apps. https://www.ardaudiothek.de/sendung/welt-macht-china/10494211/ Ihr habt Anmerkungen, Lob und Kritik? Schreibt uns an weltmachtchina@rbb-online.de Unser Podcast Tipp: Wenn ihr täglich auf dem Laufenden bleiben wollt, auch in Sachen Nachrichten: dann empfehlen wir euch noch einen anderen Podcast: "0630 - der News-Podcast". In um die 20 Minuten gibts da Montag bis Freitag die wichtigsten Nachrichten für den Tag. Manchmal wird's persönlich, manchmal witzig, manchmal emotional. Es geht um Politik, Gesellschaft und andere Themen. www.wdr.de/0630
Vincent Hervouët analyse les récents succès diplomatiques de Donald Trump. Malgré ses positions controversées, le président américain semble avoir joué un rôle de médiateur dans plusieurs conflits internationaux, notamment entre l'Inde et le Pakistan, ainsi qu'en Ukraine. Bien que la paix reste fragile, ces initiatives témoignent d'un engagement inattendu de la Maison-Blanche pour stabiliser des zones de tensions géopolitiques. L'épisode explore également les enjeux économiques et sécuritaires liés à ces médiations, offrant une perspective nuancée sur le rôle de Donald Trump sur la scène mondiale.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Primor, Avi www.deutschlandfunkkultur.de, Fazit
Tous les vendredis, samedis et dimanche soir, Pascale de La Tour du Pin reçoit deux invités pour des débats d'actualités. Avis tranchés et arguments incisifs sont au programme. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Der neue Papst ist US-Amerikaner. Das gab es noch nie. Mit US-Präsident Trump und Papst Leo XIV. stehen nun zwei US-Amerikaner auf der Weltbühne. Welchen Einfluss hat der Papst auf Trump? Wie gross ist sein Einfluss generell in der Politik? Das klären wir in dieser Folge. Habt Ihr Fragen oder Themen-Inputs? Schreibt uns gerne per Mail an newsplus@srf.ch oder sendet uns eine Sprachnachricht an 076 320 10 37. ____________________ In dieser Episode zu hören: - Philipp Zahn, Auslandredaktor SRF - Hubert Wolf, Priester und Kirchenhistoriker Uni Münster - Jodok Troy, Politologe mit Fokus auf Religion und Diplomatie, Uni Innsbruck ____________________ Team: - Moderation: Reena Thelly - Produktion: Corina Heinzmann - Redaktion: Can Külahcigil ____________________ Übrigens: Am 13. Mai sendet News Plus live aus Basel, von 12 bis 12:30. Wir zeichnen in der Radiobox direkt bei der Tramhaltestelle Messeplatz in Basel eine Folge auf. Und dort fragen wir: Wie politisch ist der ESC dieses Jahr? Eure Inputs sind gefragt, meldet euch: newsplus@srf.ch / 076 320 10 37. Und natürlich freuen wir uns, wenn wir möglichst viele von euch dort treffen. ____________________ Das ist «News Plus»: In einer Viertelstunde die Welt besser verstehen – ein Thema, neue Perspektiven und Antworten auf eure Fragen. Unsere Korrespondenten und Expertinnen aus der Schweiz und der Welt erklären, analysieren und erzählen, was sie bewegt. «News Plus» von SRF erscheint immer von Montag bis Freitag um 16 Uhr rechtzeitig zum Feierabend.
De Europese Rekenkamer kraakte eerder deze week de opzet en ook de uitvoering van het coronaherstelfonds. Macro-econoom Arnoud Boot sluit zich daarbij aan, en kijkt vooral naar uitspraken van toenmalig minister van Financiën en huidig Eurocommissaris Wopke Hoekstra (CDA) destijds. 'Dat was wat mij betreft het grootste dieptepunt van de Nederlandse diplomatie van de afgelopen decennia.’ See omnystudio.com/listener for privacy information.
De Europese Rekenkamer kraakte eerder deze week de opzet en ook de uitvoering van het coronaherstelfonds. Macro-econoom Arnoud Boot sluit zich daar bij aan, en kijkt vooral naar uitspraken van toenmalig minister van Financiën en huidig Eurocommissaris Wopke Hoekstra (CDA). 'Dat was wat mij betreft het dieptepunt van de Nederlandse diplomatie van de afgelopen decennia.’ Zeg nog even, wat is het coronaherstelfonds. Dit gaat over dat oorspronkelijke pakket van ruim 720 miljard euro dat ruim een half jaar na het begin van de coronapandemie in werking is getreden om Europa een groene en digitale toekomst te geven. Dat was heel vrijblijvend opgezet, we wisten dat dit er aan zou komen. ‘We mogen het woord verspillen niet In de In de mond nemen, dat doet de Europese Rekenkamer ook niet, maar ze zijn onvoorstelbaar ontevreden.' Waar zit de kritiek precies in? De Rekenkamer heeft nog geprobeerd het een beetje fatsoenlijk op te schrijven. Deze organisatie bestaat uit 27 leden, één per land. Voor Nederland is dat voormalig minister Stef Blok. Je kunt je voorstellen dat wat al die landen uiteindelijk opschrijven, toch redelijk diplomatiek zou klinken. De eerste conclusie klinkt bijna cynisch: het fonds was een nieuwe benadering die losstond van de werkelijke kosten — een nieuwe approach, staat er letterlijk. Maar dit is een benadering die niets meer te maken heeft met de kosten die daadwerkelijk nodig zijn. Dat is nogal vernietigend. Daarnaast zegt de Rekenkamer, in de understatement van de dag, dat er onvoldoende focus was op wat het fonds uiteindelijk zou opleveren. Er was een hele slechte controle op de besteding van de middelen. De Europese Rekenkamer stelt dan ook dat er bij een volgende keer beter rekening moet worden gehouden met de kosten, en dat er beter gemeten en gecontroleerd moet worden. Precies het tegenovergestelde van wat er nu is gebeurd. Dus het niet zo gek dat die zuinige Nederlanders zo argwanend zijn over meer geld naar Brussel? Dat snap ik wel, ja. Het is belangrijk om te zien waar het vandaan komt. Het komt niet voort uit een behoefte om geld te verspillen, maar uit de wens van een groot aantal lidstaten en van het hele apparaat in Brussel om eigen middelen te hebben en die ook zelf te kunnen aanwenden. Dat staat op gespannen voet met performance. Wat eruit komt, wordt sterk gemeten, en er is strikte controle op uitgaven — en dat wordt als vervelend ervaren. Er is dus een tendens in Europa, zowel bij veel lidstaten als bij het Brusselse apparaat, om te bewegen richting een soort transferunie, waarbij Brussel over beperkte middelen beschikt, maar wel de bevoegdheid krijgt om die tussen lidstaten te alloceren. Daar komt het uit voort. Het komt voort uit een fundamenteel verschil van inzicht over hoe je de Europese Unie effectief maakt én het draagvlak behoudt. Nederland staat aan de kant van: wij hebben de brug naar de Verenigde Staten van Europa niet gemaakt. Er is dus geen draagvlak voor een groot federaal budget — en dan krijg je de huidige situatie. Waar heeft Wopke Hoekstra dan destijds zo gefaald in jouw ogen? Een aantal instanties in Nederland heeft zichzelf aardig in de voet geschoten. We weten namelijk dat Brussel meer geld wil, terwijl lidstaten dat geld naar eigen inzicht willen uitgeven — zonder daar verantwoording over af te leggen. Het probleem ligt bij het ministerie van Financiën. Dat heeft gefaald in de eigen diplomatie, waardoor Nederland niet meer aan tafel zit. Het draait om twee momenten. Het eerste is vlak na het begin van de coronacrisis. De doden lagen op straat in het Italiaanse Bergamo, en Italië vroeg om hulp uit het noodfonds — een relatief klein bedrag. Waarop Hoekstra zei, terwijl de doden op straat lagen: laat ze eerst hun begroting maar op orde brengen. Iedereen viel over Nederland heen, en terecht. Nederland kwam volledig buitenspel te staan. Toen het zes maanden later écht om geld ging — het coronaherstelfonds — bleek dat Hoekstra zijn kruit op het verkeerde moment had verschoten. En toen is het misgegaan. We hadden op zijn minst aan tafel moeten zitten. Daar hadden we veel invloed kunnen uitoefenen. Misschien niet genoeg, maar in elk geval: we hadden aan tafel gezeten. Het tweede moment draait om diplomatie. Grote delen van Europa hebben er belang bij om Nederland buitenspel te zetten; er worden zelfs valstrikken opgezet om Nederland uit de toon te laten vallen. Zo’n val werd een aantal jaar later gezet voor de toenmalige minister van Financiën, Sigrid Kaag, in een interview met de Financial Times. Een prachtig, goed interview — in de week na de inval van Rusland in Oekraïne. De bedoeling van de Financial Times was om één uitspraak uit te lokken: dat Nederland hecht aan begrotingsdiscipline in Europa. Precies een week na de inval, op een moment waarop medeleven en actie richting Oekraïne nodig waren, zegt Nederland opnieuw dat er begrotingsdiscipline moet zijn. En dát staat dan bovenaan het artikel in de Financial Times. Juist dan is diplomatie wat Nederland nodig heeft. We zijn onderdeel van de Europese Unie, en zonder diplomatiek gevoel zullen we buitenspel gezet worden. See omnystudio.com/listener for privacy information.
durée : 00:58:35 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou, Anne-Toscane Viudes - Dès la fin du 19ᵉ siècle, la France construit une politique de valorisation de sa culture à travers le monde. Cette politique fait des émules parmi les pays étrangers. Qu'est-ce qu'une nation influente ? Et pourquoi est-il si important pour la France d'en être une ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Guillaume Frantzwa Conservateur du patrimoine aux archives diplomatiques; Nicolas Grimal Égyptologue, secrétaire perpétuel de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, professeur émérite du Collège de France
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Fatima Aït-Bounoua débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:58:44 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - De ses premiers voyages à ses visites officielles, François Mitterrand conçoit les relations avec le continent africain d'une manière impérialiste. Dans un ouvrage collectif, des historiennes et historiens soulèvent les ambivalences de François Mitterrand sur la question coloniale. - réalisation : Thomas Beau - invités : Nicolas Bancel Historien, professeur à l'Université de Lausanne, spécialiste d'histoire coloniale et postcoloniale; Pascal Blanchard Historien, chercheur associé à l'Université de Lausanne, spécialiste en histoire du "fait colonial"; Judith Bonnin Historienne, maîtresse de conférences à l'université Bordeaux Montaigne, spécialiste d'histoire politique et des relations internationales
Dans cette édition :Le conclave pour élire le successeur du pape François Début a débuté, avec de nombreux fidèles rassemblés sur la place Saint-Pierre pour assister à la messe d'ouverture et guetter la fumée blanche annonçant l'élection.Les bombardements entre l'Inde et le Pakistan ont fait de nombreuses victimes civiles, poussant la communauté internationale à appeler à la retenue et à la reprise du dialogue.La France affirme agir pour obtenir la libération de ses deux otages détenus en Iran depuis 2022.Le président syrien Ahmed Al-Charaa, ancien djihadiste, sera reçu à l'Élysée, suscitant de vives critiques de l'opposition.Les prix des carburants sont en baisse en raison de la décision de l'OPEP+ d'ouvrir davantage les vannes.Le Paris Saint-Germain est favori pour se qualifier pour la finale de la Ligue des Champions face à Arsenal.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les soirs, à 20 heures, retrouvez les dernières informations de la rédaction.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Gaëtan Dussossé, député du Rassemblement National des Vosges partage son point de vue tranchant sur la visite controversée du président syrien Ahmed Al-Charaa à l'Élysée. Il n'hésite pas à qualifier cette rencontre de "véritable honte" et à remettre en question la décision du président Macron d'accueillir ce dirigeant "plus que controversé". Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion de la diffusion de la série "Carême", Virginie Girod vous propose de redécouvrir la véritable histoire de l'alliance entre le chef Carême et le diplomate Talleyrand. En 1814, s'ouvre le congrès de Vienne, réunissant les grandes puissances européennes pour réorganiser l'Europe après la chute de Napoléon Ier. Parmi les nombreux plénipotentiaires affluant dans la capitale des Habsbourg, se trouve Charles Maurice de Talleyrand Périgord (1754-1838), représentant de la France. Dans ses valises, il emmène Antonin Carême (1783-1833), le plus grand cuisinier de son temps. Sollicité par de nombreuses têtes couronnés, ce dernier fut surnommé "le roi des chef et le chef des rois".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:01 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Pour Napoléon Bonaparte, les guerres ne sont pas qu'une affaire de batailles. Du Directoire à l'Empire, il considère, au contraire, son action militaire conjointement à sa diplomatie. Pour ce faire, de qui l'Empereur s'entoure-t-il ? Et de quelle autonomie ses diplomates jouissent-ils ? - réalisation : Thomas Beau - invités : Aurélien Lignereux Historien, professeur des universités à Sciences Po Grenoble; Jean Tulard Historien, membre de l'Académie des sciences morales et politiques et professeur émérite à Sorbonne Université; Charles-Éloi Vial Archiviste-paléographe, conservateur au département des Manuscrits de la Bibliothèque nationale de France
Dans cette édition :Le président français Emmanuel Macron reçoit à l'Élysée Ahmed El-Charara, ancien commandant et rebelle djihadiste, suscitant de vives critiques de l'opposition politique.Une trentaine d'élus de gauche, d'extrême gauche et du centre participent aux commémorations à Alger du massacre de Sétif en 1945, dans un contexte de tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie.Les cardinaux électeurs se réunissent une dernière fois avant le conclave pour élire le prochain pape, dans une atmosphère empreinte d'émotion.Le chancelier allemand Friedrich Merz est officiellement investi, après un premier vote infructueux, et est attendu à l'Élysée par Emmanuel Macron.La grève à la SNCF entraîne une forte hausse du covoiturage et de la location de véhicules pour les déplacements du pont du 8 mai.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les promesses de Donald Trump sont-elles en train de se fracasser sur le mur de la réalité ? Lui qui s'était engagé à régler la question ukrainienne « en vingt-quatre heures » semble se heurter à son homologue russe Vladimir Poutine, inflexible quant à la perspective d'un cessez-le-feu permanent.La stratégie du locataire de la Maison Blanche consistant à se rapprocher des positions russes, quitte à faire d'importantes concessions territoriales à Moscou, est-elle sur le point de se solder par un échec ? Quelles sont les exigences des différents acteurs de ce dossier en ce qui concerne l'établissement d'un cessez-le-feu ? Peut-on encore espérer un accord de paix en Ukraine ?Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde » , Philippe Ricard, journaliste chargé des questions diplomatiques au Monde, explique pourquoi les négociations patinent.Un épisode de Marion Bothorel. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation : Amandine RobillardCet épisode a été publié le 6 mai 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:59:02 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Au 17ᵉ siècle, les traités de Westphalie annoncent la paix et favorisent un nouvel ordre international. Dès 1667, Louis XIV fait le choix de la guerre. Le souverain utilise une diplomatie de la force et de l'ombre, au service de la puissance française. - réalisation : Thomas Beau - invités : Lucien Bély Professeur d'histoire moderne à Sorbonne Université
Fidèle à ses promesses de campagne, Donald Trump a annoncé, dès le début de son second mandat, une augmentation de 25 % des droits de douane sur les importations en provenance du Mexique et du Canada. Des mesures similaires concernant l'Europe et la Chine sont envisagées. Cette politique protectionniste, récurrente dans l'histoire américaine, trouve ses racines dans le passé colonial du pays. Avec Bertrand Van Ruymbeke, professeur de civilisation américaine à l'Université Paris 8, spécialiste de l'histoire des Treize Colonies et de la Révolution américaine, auteur de L'Amérique avant les États-Unis (Flammarion, 2016) et Histoire des États-Unis (Tallandier, 2018).