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Herrera en COPE
07:00H | 19 DIC 2025 | Herrera en COPE

Herrera en COPE

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 60:00


El acuerdo comercial Europa-Mercosur genera protestas de agricultores españoles por competencia desleal y recortes de la PAC; Francia e Italia paralizan su firma. En Extremadura, el candidato socialista Miguel Ángel Gallardo está procesado; el robo de 124 votos por correo agita la campaña. El PP citará a José Luis Rodríguez Zapatero en el Senado por su presunta relación con el rescate de Plus Ultra, con indicios de aumento patrimonial y acusaciones de comisiones millonarias en Panamá, supuestamente avaladas por Pedro Sánchez. La Unión Europea aprueba un préstamo de 90.000 millones de euros para Ucrania, sin usar activos rusos congelados. La economía española evidencia estancamiento del PIB per cápita y alta pobreza. El Banco de España advierte que la excesiva regulación frena el crecimiento. En Madrid, el Supremo ordena al gobierno central asumir a 50 menores migrantes en 30 días, proponiendo un centro sin licencia en Pozuelo. La Línea 6 de Metro reabre y 116.000 viviendas del sureste ...

Invité Afrique
Sidi Ould Tah: la BAD veut «d'aller au-delà de l'aide publique au développement, vers l'investissement»

Invité Afrique

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 9:08


Voilà 100 jours que Sidi Ould Tah a pris la tête de la Banque africaine de développement (BAD). Et, le banquier mauritanien affiche déjà une action positive pour ses trois premiers mois : la levée mardi 16 décembre de 11 milliards de dollars pour le Fonds africain de développement. Une hausse de 23 % par rapport à la précédente session des donateurs. Et, ce, malgré la baisse drastique des enveloppes d'aide au développement cette année. Le président de la BAD explique ses ambitions pour l'Afrique dans un environnement financier en recomposition. Il répond à Sidy Yansané   RFI : M. le président Sidi Ould Tah, vous êtes à Londres pour la réunion des donateurs du Fonds africain de développement, le FAD, qui est, pour le dire simplement, une cagnotte réservée au financement de projets dans les pays africains les plus pauvres. Et cette semaine, le FAD a recueilli 11 milliards de dollars. Un montant que vous qualifiez d'historique.   Sidi Ould Tah : Absolument ! Nous sommes pour l'élan de solidarité historique que nous venons de connaître, qui devrait nous permettre, au cours des trois prochaines années, de mieux répondre aux attentes des populations africaines, en particulier les 37 pays les plus fragiles et les moins dotés de l'Afrique. Du coup, cette année, qui sont les principaux contributeurs ? Malgré le contexte international que nous connaissons tous et qui se caractérise par des pressions fiscales importantes et aussi des pressions sur les ressources, les partenaires du FAD et les pays africains ont décidé ensemble d'augmenter leur enveloppe dans cette 17ᵉ reconstitution du Fonds. C'est un message très fort de solidarité avec l'Afrique et pour l'Afrique. Et aussi un message très fort des Africains pour la prise en charge de leur propre développement. Justement, vous vous félicitez de l'engagement de l'Afrique dans son propre fonds. 23 pays du continent qui ont contribué à près de 183 millions de dollars. Une véritable transformation, vous dites. Mais finalement, 183 millions sur un total de 11 milliards, cette transformation que vous vantez est-elle bien réelle ? Ce qu'il faut regarder au-delà des chiffres, c'est le geste lui-même. Je crois que c'est la dynamique qui commence et ça montre quand même un engagement très fort de la part des pays africains. Si on rapporte ce montant au PIB des pays africains contributeurs, on se rend compte quand même que l'effort est considérable. Mais ce qu'il faut aussi regarder, c'est la volonté commune des deux parties d'aller au-delà de l'aide publique au développement pour aller vers l'investissement, vers le partenariat économique, tout en prenant compte de l'intérêt de nos pays donateurs. Parlons de ces partenaires. Avant de prendre les rênes de la BAD, vous teniez pendant dix ans ceux de la BADEA, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, notamment financée par les pays du Golfe que vous connaissez bien. C'est cette « nouvelle génération de collaborateurs à grande échelle », comme vous le dites, que vous comptez développer ? Il ne s'agit pas d'individualiser des partenaires contre d'autres. Ce qu'il faut voir, c'est l'ensemble des partenaires de l'Afrique. Le continent a toujours reçu un appui constant de la part de ses partenaires historiques, et cet appui continue et se renforce. L'arrivée d'autres partenaires ne fait que renforcer ce partenariat, et ne diminue en rien le partenariat existant. Nous avons consacrée tout une journée au secteur privé avec un certain nombre d'acteurs financiers. Nous sommes à Londres qui est une place financière internationale. Dans ce cadre, le FAD pourrait jouer un rôle important dans l'atténuation du risque perçu dès qu'il s'agit du continent africain, de quoi rassurer les investisseurs et permettre le développement des projets transformateurs dans les différents pays africains. Revenons sur la Banque arabe pour le développement économique en Afrique, qui s'engage à donner jusqu'à 800 millions de dollars pour le développement en Afrique. Engagement similaire de l'OPEP à hauteur de 2 milliards de dollars. Ce sont les sommes annoncées par la BAD que vous présidez. N'y a-t-il pas là une alternative aux contributeurs habituels ? Vous savez, les besoins de l'Afrique sont immenses. Annuellement, on estime ces besoins de financement et de développement à 400 milliards de dollars. Donc, toutes les contributions sont les bienvenues. Toutes les participations sont nécessaires, que ce soit à travers la mobilisation du secteur privé, qui doit aussi jouer un rôle important dans la mise en œuvre des projets d'infrastructures, la transformation des matières premières, le secteur de l'énergie, des transports, les ports, les aéroports, les chemins de fer, mais aussi dans le domaine digital. En novembre, vous étiez présent au G20 organisé en Afrique du Sud et boycottée par Washington. Comment comptez-vous composer avec la nouvelle politique américaine des deals pour paraphraser le président Donald Trump, notamment sur les matières premières ? Les Etats-Unis ont toujours soutenu la BAD et continuent à la soutenir. Et nous travaillons en étroite collaboration avec nos actionnaires dans l'intérêt du continent africain. Le rôle de la Banque est un rôle de financement du développement et de mobilisation des ressources pour le continent africain, et nous continuerons à le faire, y compris avec le secteur privé américain comme la DFC, comme US Bank. C'est les projets qui vont contribuer à l'amélioration du bien-être des populations africaines. À lire aussiBanque africaine de développement: le nouveau président invite à «changer de paradigme» face aux défis du continent

Aujourd'hui l'économie
Pendant que Shein et Temu font débat en France, Jumia trace sa route en Afrique

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 3:13


Alors que la justice française doit se prononcer sur une possible suspension de Shein, le débat sur les marketplaces low-cost s'intensifie en Europe. Pendant ce temps, sur un autre continent, le e-commerce suit une trajectoire bien différente. En Afrique, un acteur s'impose comme le leader du secteur: Jumia, souvent qualifié d'« Amazon africain ». Contrairement aux marchés européens, déjà matures et fortement concurrentiels, le e-commerce africain demeure un secteur en phase de structuration. Dans de nombreux pays, acheter en ligne n'est pas encore un réflexe généralisé. Les obstacles sont concrets : absence d'adresses officielles dans certaines villes, infrastructures logistiques insuffisantes, réseaux de distribution fragmentés. Pourtant, le marché affiche une dynamique impressionnante. Le commerce en ligne en Afrique progresse à un rythme compris entre 12 % et 14 % par an, bien supérieur à celui observé en Europe ou en Amérique du Nord. En 2025, il devrait représenter près de 280 milliards de dollars. Cette croissance est portée par une population jeune, majoritairement urbaine, largement équipée en smartphones et de plus en plus connectée à Internet. Mais sur le terrain, le développement du e-commerce reste prudent, contraint par les réalités économiques et logistiques. Jumia, l'ambition d'un Amazon africain C'est dans ce contexte que Jumia a vu le jour en 2012. La plateforme s'est donné pour mission de révolutionner les habitudes de consommation de plus d'un milliard d'Africains, avec une ambition claire : créer un Amazon ou un Alibaba adapté au continent. Séduits par le slogan « 100 % Afrique, 100 % Internet », les investisseurs internationaux ont injecté près de 800 millions de dollars avant l'entrée en Bourse de l'entreprise à New York, en 2019. Mais l'euphorie est de courte durée. Dès son introduction en Bourse, le cours de l'action chute. Dans le même temps, Jumia poursuit une expansion rapide, s'implantant jusqu'à 14 pays. Une stratégie qui se révèle trop coûteuse. Les pertes s'accumulent, la logistique peine à suivre et le modèle montre ses limites. L'entreprise est alors contrainte de revoir en profondeur sa stratégie et son périmètre d'activité. Recentrage stratégique et concurrence accrue Aujourd'hui, Jumia existe toujours, mais sous une forme plus resserrée. La plateforme a réduit la voilure et concentre désormais ses activités dans neuf pays, qui représentent néanmoins près de 60 % du PIB africain. Pour s'adapter aux spécificités locales, elle a développé des solutions sur mesure : points de retrait dans les villages et les quartiers périphériques, recours au paiement à la livraison pour rassurer des consommateurs encore méfiants à l'égard du paiement en ligne, multiplication des partenariats régionaux et internationaux pour mieux gérer les stocks et limiter les ruptures. Ce repositionnement intervient dans un contexte de concurrence accrue. L'Américain Amazon et les plateformes chinoises Temu ou Shein s'intéressent elles aussi au marché africain. Mais ces acteurs avancent prudemment, confrontés à des réalités qu'ils maîtrisent encore imparfaitement. Amazon, par exemple, s'est implanté en Égypte puis en Afrique du Sud, deux des marchés les plus mûrs du continent. La force de Jumia réside aujourd'hui dans sa connaissance fine du terrain et dans la fidélité d'une clientèle locale. L'entreprise affiche un objectif clair : atteindre la rentabilité d'ici à 2027. Selon plusieurs cabinets spécialisés, ses chances d'y parvenir sont désormais estimées à 70 %, contre une probabilité quasi nulle il y a encore quelques années. D'autres plateformes, comme Konga au Nigeria ou Takealot en Afrique du Sud, tentent elles aussi de tirer leur épingle du jeu à plus petite échelle. En Afrique, le succès du e-commerce ne passe pas par le copier-coller des modèles occidentaux, mais par une adaptation constante aux réalités locales.

Novus Capital
NovusCast - 19 de Dezembro 2025

Novus Capital

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 12:52


Nossos sócios Luiz Eduardo Portella, Sarah Campos e Tomás Goulart comentam, no episódio desta semana, os principais acontecimentos no Brasil e no mundo. Nos Estados Unidos, foram enfim divulgados os dados econômicos de outubro e novembro. A taxa de desemprego subiu para 4,6% e o núcleo da inflação desacelerou para 2,6% em 12 meses. A qualidade dos números, porém, foi afetada por problemas de coleta, o que levou o Federal Reserve a indicar que dará mais peso aos próximos indicadores. Na Europa, o BCE manteve os juros estáveis e elevou suas projeções de inflação e crescimento. No Reino Unido, o BoE reduziu a taxa em 0,25% após votação apertada, sinalizando aproximação do juro neutro. No Japão, o BoJ elevou a taxa para 0,75% e segue aberto a novas altas. Na China, os dados de atividade voltaram a decepcionar, com destaque para vendas no varejo e crédito às famílias. No Brasil, a Ata do Copom e o Relatório de Política Monetária foram os principais destaques. O Banco Central reconheceu incerteza sobre o mercado de trabalho, mas retirou a sinalização de inflação acima da meta no horizonte relevante, reacendendo a possibilidade, ainda dependente do cenário, de um corte em janeiro. No campo político, a pesquisa mostrando Flávio Bolsonaro competitivo aumentou a volatilidade e trouxe dúvidas sobre sua capacidade de reduzir a rejeição entre independentes. Nos EUA, o juro de 2 ano fechou 4 bps, e as bolsas tiveram desempenho misto – S&P 500 +0,10%, Nasdaq +0,59% e Russell 2000 -0,86%. No Brasil, o jan/29 abriu 23 bps, o Ibovespa caiu 1,43% e o real desvalorizou 2,3%. Para a próxima semana, as atenções se voltam para a divulgação do PIB dos Estados Unidos no terceiro trimestre. Já a agenda doméstica inclui o IPCA-15 na terça-feira e tende a ser mais esvaziada devido às festas de fim de ano.

Passando a Limpo
Concessão da Compesa

Passando a Limpo

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 23:43


Passando a Limpo: Nesta sexta-feira (19), Igor Maciel e a bancada do programa conversam com o Secretário de Recursos Hídricos e Saneamento de Pernambuco, Almir Cirilo, sobre a concessão da Compesa. O economista, Caio Augusto, fala sobre a projeção do PIB. Já o Presidente do Tribunal de Contas de Pernambuco (TCE-PE), Valdecir Pascoal, faz um balanço da gestão à frente do órgão.

Presa internaţională
Între schimbarea modelului economic și planurile de relansare

Presa internaţională

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 4:19


Există o preocupare reală legată de ceea ce se numește schimbarea modelului de creștere al economiei românești și, în termeni mai preciși, pentru definirea unui pachet de măsuri care să ducă la relansare și la creștere economică. Mai exact, în urmă cu câteva zile, economistul Cristian Popa a publicat o analiză intitulată „Motorul creșterii: de la consum la investiții”. Ieri, Confederația patronală „Concordia” a prezentat propunerea unui pachet de relansare și creștere economică. Există puncte comune analiza lui Cristian Popa și propunerile de la relansare ale organizației patronale? Bineînțeles, atunci când vorbim despre măsuri de sprijin pentru economie trebuie să avem în vedere și creșterea de valoare adăugată. Așadar, între cele două demersuri ar trebui să existe puncte de intersecție. Astfel, analiza lui Cristian Popa, membru în Consiliul de administrație al BNR, pleacă de la realitatea deficitului bugetar și a deficitului de cont curent. Economia românească a ajuns la un deficit extern de 8,2% din PIB, cel mai mare din Uniunea Europeană. Experții în economie au explicat că importurile masive finanțează prosperitatea partenerilor comerciali. Dincolo de acest dezechilibru de balanță comercială, Cristian Popa remarcă situația de pe piața internă și anume că nivelul cererii depășește cu mult oferta locală. În consecință, România nu duce lipsă de cerere, ci de capacitatea de a o acoperi cu producție internă. În aceste condiții, lucrurile par destul de simple și anume România nu are decât să crească producția autohtonă, pentru care există mult spațiu pentru vânzare, pentru a descoperi o sursă sigură de creștere economică. Cristian Popa evocă și indicatorii economici de anul trecut, adică un deficit bugetar de 9,3% din PIB și o creștere economică cu 0,9%. Restul nu este tăcere, ci sunt importuri. Schimbarea modelului economic se poate face, crede Cristian Popa, luând o pauză de la stimularea consumului (o direcție care nu este în acest moment nici realistă, nici posibilă din punct de vedere bugetar) și orientarea către investiții. Iar pentru a accelera investițiile România are deja instrumentele financiare necesare și anume fondurile europene. De exemplu, România are la dispoziție numai anul viitor fonduri europene în valoare de 5% din PIB care pot merge spre investiții. Despre bani europeni vorbește și planul de relansare al economiei prezentat de Confederația Concordia. Patronatul, în spirit pragmatic, adaugă și o serie de alte propuneri, multe dintre ele putând fi aplicate fără costuri bugetare suplimentare. Totul începe cu lucrurile știute, precum păstrarea cotei unice sau anunțarea modificărilor fiscale cu șase luni înainte de aplicare. Apoi, simplificarea administrativă, debirocratizarea și digitalizarea sunt acțiuni care ajută mediul de afaceri, dar despre care se discută de ani de zile. De exemplu, organizația patronală cere o inspecție administrativă unică, digitalizată, care să integreze controalele ITM, ANSVSA, ANPC, Mediu, într-o singură vizită la contribuabil, ceea ce ar reduce mult costurile de conformare ale companiilor. În plus, creditele fiscale și deductibilitățile pentru investițiile productive, eliminarea suprataxării sistemului bancar și în felul acesta deblocarea creditării, investițiile în sectorul IT care, spune analiza Concordia, au un efect de antrenare ridicat, în sensul că un euro investit generează 3-5 euro în PIB, sunt măsuri propuse de mediul de afaceri. După cum se poate vedea organizația patronală se concentrează pe debirocratizare și investiții. Sunt punctele comune cu analiza economistului Cristian Popa. Doar că spune Cristian Popa, capitalul trebuie să fie investit cu cap, adică să aibă un efect multiplicator semnificativ. Problema vine din administrația locală. Ieri, de exemplu, mai multe autorități locale au anunțat construcția unor stadioane. Ar trebui ca investițiile publice de la nivel local să fie prioritizate. Altfel, efectele în economie și în societate vor fi minime, banii vor fi risipiți, iar relansarea va întârzia.

Presa internaţională
Ce fel de ministru al Apărării e potrivit în România (DW)

Presa internaţională

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 5:18


Marcel Ciolacu și Ciprian Ciucu, marii câștigători ai recentelor alegeri locale parțiale, și-au finanțat campaniile din împrumuturi de 1,47 milioane de lei de la persoane fizice. Ciucu a adăugat 133.000 de lei din venituri proprii (G4Media) - Joia cuțitelor lungi la PNL. Ilie Bolojan a decapitat organizațiile din sectoarele 2, 3, 4 și 5. Ciprian Ciucu e însărcinat cu găsirea de soluții (Libertatea) - Cele 20 de măsuri concrete de relansare economică, puse pe masă de mediul de business (CursDeGuvernare) - Revedere dintre Plahotniuc și Filat. Ex-premierul moldovean a fost condamnat în perioada în care oligarhul controla totul peste Prut (Adevărul) Opinie: Ce fel de ministru al Apărării e potrivit în România (DW) România ar putea avea cel mai tânăr ministru al Apărării din ultimii 35 de ani într-o perioadă în care pacea e pe muchie de cuțit, Europa se înarmează și România pare să nu înțeleagă momentul grav în care se află. Fotoliul Apărării a rămas vacant după demisia forțată a lui Ionuț Moșteanu, care s-a încurcat când a trebuit să dea explicații despre studiile lui finalizate la o universitate controversată, dar și despre imposibilitatea lui de a spune cum de nu a făcut armata, într-o perioadă în care stagiul militar era obligatoriu. USR l-a nominalizat pe Radu Miruță, 40 de ani, pentru fotoliul Apărării. Miruță este deocamdată ministrul Economiei și a asigurat interimatul de la MApN, fără să producă niciun fel de valuri și fără să se pună pe el în evidență. A făcut în paralel o facultate de drept privată din Târgu Jiu și Facultate de electronică, telecomunicații și IT de la Politehnica din București, unde a rămas asistent universitar. România are nevoie de un ministru al Apărării care să încurajeze analizele militarilor și soluțiile lor, într-o lume în care Moscova ar vrea să-și extindă influența cu orice preț.  Războiul are multe fețe, România a exersat deja atacurile cibernetice, creșterea curentului extremist-naționalist deopotrivă în mediul real și în cel virtual, dar și dronele rusești care traversează spațiul aerian al țării și care în mandatul precedent al ministrului Apărării nu au fost doborâte. România a părut nepregătită în fața inamicului său lăsând aceste aparate fără pilot să se plimbe, să monitorizeze, să pună la încercare apărarea țării. Poate că Bucureștiul are nevoie de un ministru al Apărării care să-și asume rapid decizii ferme, care să fie respectat de militari, dar care la rândul lui să știe cum să folosească expertiza ofițerilor, e de părere jurnalista DW Sabina Fati. EXCLUSIV Marcel Ciolacu și Ciprian Ciucu, marii câștigători ai recentelor alegeri locale parțiale, și-au finanțat campaniile din împrumuturi de 1,47 milioane de lei de la persoane fizice. Ciucu a adăugat 133.000 de lei din venituri proprii (G4Media) La recentele alegeri locale parțiale, candidatul PSD la șefia Consiliului Județean Buzău, Marcel Ciolacu, și-a finanțat campania electorală exclusiv din împrumuturi acordate de persoane fizice, în timp ce candidatul PNL la Primăria Generală, Ciprian Ciucu, a avut din aceleași surse 83,5% din venituri. Datele au fost făcute publice de către partide, zilele trecute, în Monitorul Oficial. Până la ora editării acestui material, nici unul dintre cei doi candidați nu a răspuns la o cerere G4Media.ro în care li s-a solicitat numele persoanelor fizice care i-au împrumutat. Joia cuțitelor lungi la PNL. Ilie Bolojan a decapitat organizațiile din sectoarele 2, 3, 4 și 5. Ciprian Ciucu e însărcinat cu găsirea de soluții (Libertatea) Primarul ales al Capitalei, Ciprian Ciucu – cel mai de succes liberal al momentului – a fost însărcinat oficial să găsească soluții adecvate momentului, care pot fi, în teorie, și menținerea pe loc a împricinaților Monica Anisie, Ionuț Stroe, Andrei Baciu și, respectiv, Dan Meran. Pentru a calma situația în vederea unor Sărbători fericite, termenul până la care Ciucu poate veni cu propuneri – posibile și de la Forța Dreptei – este finalul lunii ianuarie, citim în Libertatea. Ilie Bolojan dorește performanță cu orice preț, nefiind dispus să accepte tot felul de scuze sau de explicații. Între aceste propuneri de schimbări au existat plângeri venite dinspre primari, care au pus pe tapet problemele pe care le au cu colectarea taxelor și impozitelor. Cele 20 de măsuri concrete de relansare economică, puse pe masă de mediul de business: Ar debloca investiții de 10 mld. lei – ar creștere gradul de conformare cu 2 mld. euro – ar reduce povara administrativă cu 30-40% pentru companii (CursDeGuvernare) Confederația Patronală Concordia, care reprezintă companii din cele mai importante 20 de sectoare economice, având o contribuție de 30% la PIB, propune un pachet de 20 de măsuri de relansare și creștere economică. Este vorba despre politici fiscale pentru investiții, reforme structurale și mobilizarea capitalului autohton pentru competitivitate, scrie CursDeGuvernare. Implementarea pachetului de măsuri Concordia ar genera: Deblocarea a peste 10 miliarde lei în investiții Creșterea gradului de conformare fiscală și a colectării cu un impact estimat la 1,4-2 miliarde euro anual Reducerea costurilor administrative pentru companii cu 30-40% Crearea unui mediu economic favorabil pentru sute de mii de locuri de muncă „Mediul de afaceri este pregătit să continue să susțină creșterea economică, dar are nevoie de semnale puternice și concrete care să arate că statul este un partener, nu un inhibitor, în acest proces,” susține Mihai Matei, Vicepreședinte, Confederația Patronală Concordia. Revedere dintre Plahotniuc și Filat. Ex-premierul moldovean a fost condamnat în perioada în care oligarhul controla totul peste Prut (Adevărul) Vlad Filat și Vladimir Plahotniuc s-au revăzut în instanță. Fostul premier moldovean, condamnat în perioada în care Vladimir Plahotniuc deținea puterea din Republica Moldova, a venit la ședința de judecată în dosarul furtul miliardului în care figurează oligarhul.  Continuarea, în Adevărul.

Resumão Diário
PF apreendeu cerca de R$ 400 mil em flat usado por Sóstenes durante busca e apreensão; IBGE: cidades de SP e RJ lideram perdas no PIB

Resumão Diário

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 5:21


PF apreendeu cerca de R$ 400 mil em flat usado por Sóstenes durante busca e apreensão. IBGE: cidades de SP e RJ lideram perdas no PIB; veja quem ganhou e quem perdeu em 2023. Produzido em Taubaté, protótipo do carro voador da Embraer faz 1º voo no interior de SP. 'P do Pecado', 'Abracadabra', 'Foguinho'... As 10 músicas que marcaram 2025. Verão começa neste fim de semana; veja o que esperar da estação mais quente do ano.

Jovem Pan Maringá
Em coletiva de imprensa Lula promete rigor nas investigações do INSS

Jovem Pan Maringá

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 69:10


Em pronunciamento no Palácio doPlanalto, o presidente Luiz Inácio Lula da Silva apresentou um balançodetalhado do governo federal, destacando os resultados econômicos de 2025. Comtom otimista, Lula celebrou o crescimento do PIB acima de 3% e a queda dodesemprego, afirmando que os números desmentem as previsões pessimistas feitasno início do ano. Segundo o presidente, a estratégia de “colocar o pobre noorçamento” foi determinante para o desempenho positivo da economia.Questionado sobre as investigaçõesde fraudes no INSS, Lula comentou a atuação da Polícia Federal e a supostarelação comercial entre Antônio Carlos Camilo Antunes, conhecido como “Carecado INSS”, e seu filho Fábio Luís Lula da Silva, o Lulinha. O presidente afirmouque todas as pessoas eventualmente envolvidas no esquema serão investigadas ereforçou que não haverá proteção ou interferência nas apurações. 

Rádio Gazeta Online - Podcasts
Boletim Rádio Gazeta Online - 2ª edição (19 de dezembro de 2025)

Rádio Gazeta Online - Podcasts

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 3:36


Na segunda edição deste boletim você confere:- Pesquisa Quest indica que 45% da população desaprova a indicação de Jorge Messias ao STF; - 25 cidades brasileiras representam mais de um terço do PIB do país, aponta IBGE;- Brasil recebe certificado da OMS por eliminar a transmissão vertical de HIV.O Boletim Rádio Gazeta Online é um conteúdo produzido diariamente com as principais notícias do Brasil e do mundo. Esta edição contou com a apresentação das monitoras Maria Clara Pinheiro e Maria Eduarda Palermo, do curso de Jornalismo.Escute agora!

Radio Monaco - La Tendance des Marchés
Une entreprise de la Tech était sous les projecteurs

Radio Monaco - La Tendance des Marchés

Play Episode Listen Later Dec 19, 2025 1:16


Les investisseurs ont été rassurés par les publications du jourLes deux grands rendez-vous économiques de la journée ont boosté les marchés hier.D'abord après avoir annoncé pour la 4ème fois un statu quo sur sa politique monétaire, la Banque centrale européenne a rassuré avec la revue à la hausse de ses prévisions de croissance du PIB.La publication des chiffres de l'inflation aux Etats-Unis a également été une bonne nouvelle pour les investisseurs. Les prix à la consommation sont tombés à 2,7% sur un an en novembre, bien en-dessous des 3,1% attendus par le consensus et des 3% de septembre. Du coté des valeurs, une entreprise de la Tech était sous les projecteursMicron Tehnology a publié des résultats supérieurs aux attentes ainsi que des perspectives bien meilleures que prévu grâce à l'accélération des projets dans l'Intelligence Artificielle. Sur ces nouvelles le titre grimpait de près de 12% à la clôture européenne.L'indice parisien a ainsi clôturé la séance en gain de 0.80% sur la journée, Tendance plus marquée pour le Nasdaq qui progressait de près de 2% à la clôture des marchés européens.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La ContraCrónica
Bruselas recoge cable

La ContraCrónica

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 46:39


La Comisión Europea acaba de anunciar una revisión de su polémica normativa sobre los vehículos de combustión interna. La revisión se sustancia en una reducción del 100% al 90% en el objetivo de recorte de emisiones de CO₂ para turismos y furgonetas nuevos en 2035. Esta decisión permitirá que hasta aproximadamente un tercio de las ventas de vehículos nuevos sigan siendo híbridos enchufables, eléctricos de autonomía extendida e incluso de combustión pura. Eso sí, siempre que las emisiones residuales se compensen con créditos por acero bajo en carbono producido en la UE, mediante combustibles sintéticos y biocombustibles no alimentarios. Este cambio representa una notable recogida de cable respecto al Pacto Verde Europeo y al paquete "Fit for 55" lanzado en 2021 por la misma Ursula von der Leyen que acaba de hacer pública la revisión. El pacto buscaba reducir las emisiones netas en un 55% para 2030 y alcanzar la neutralidad climática en 2050. En 2023, tras una serie de negociaciones, se aprobó el veto total a la matriculación de nuevos vehículos de gasolina, diésel, híbridos y de gas natural a partir de 2035. La realidad, sin embargo, se ha terminado imponiendo. Las ventas de vehículos eléctricos puros en la UE apenas alcanzó el 16% en los primeros meses de 2025. Estas ventas se concentran en países ricos como Alemania o los Países Bajos. En el conjunto de la UE casi tres cuartas partes de los coches vendidos siguen incorporando un motor de combustión interna. Problemas como la insuficiente infraestructura de recarga, la menor autonomía de los eléctricos, la dependencia de baterías chinas y su alto precio están frenando la transición que desde Bruselas previeron rápida y sin contratiempos. El sector automovilístico europeo, que emplea a más de 13 millones de personas y genera el 7% de su PIB, ha terminado entrando en crisis. Se han anunciado recortes de plantilla, cierres de fábricas y las empresas han perdido valor en Bolsa. La presión industrial, junto a la de gobiernos como el alemán, el italiano y el polaco han forzado la revisión de una medida que ha sido polémica desde el principio. El nuevo paquete automovilístico se fundamenta sobre tres pilares. Por un lado permite tecnologías mixtas con compensaciones de carbono. Por otro ofrece flexibilidades intermedias para hacer más suave la transición. Por último, trae bajo el brazo un programa de apoyo a la electrificación que, como elemento estrella, contempla que la industria ponga en producción vehículos eléctricos utilitarios a precio asequible. La industria por fin respira aliviada, pero los ecologistas y gobiernos como el de España y Francia no están de acuerdo. La propuesta debe negociarse aún en el Parlamento y el Consejo, pero la mayoría centro-derecha facilitará su aprobación. En definitiva, Bruselas prioriza la competitividad industrial sobre la rigidez del pacto verde. El motor de combustión revive pero con una notable presión regulatoria. La aventura, entretanto, ha costado miles de millones a las empresas europeas y ha permitido a los competidores chinos ganar terreno en en el continente. Queda por ver si este pragmatismo recién estrenado irá a más ahora que Europa se encuentra contra las cuerdas. En La ContraRéplica: 0:00 Introducción 3:51 Bruselas recoge cable 32:14 “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R 34:12 Zapatero vuelve a escena 39:30 Judeofobia y sionismo 44:14 El candelabro de la Janucá · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra el pesimismo”… https://amzn.to/4m1RX2R · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #vehiculoelectrico #ev Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

Noticentro
GN arranca operativo Vacaciones de Invierno

Noticentro

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 1:41 Transcription Available


Estados y municipios aportan más de 1.7 billones al PIB: Inegi EU restringe atención médica de cambio de género en menoresMás información en uestro podcast

Noticentro
Turismo aportó 8.7% del PIB nacional en 2024

Noticentro

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 1:36 Transcription Available


CDMX lidera contratos de banca móvil; Oaxaca rezagado Sheinbaum felicita a creadoras de “Mujeres en la historia”Protección Civil alerta sobre riesgos del uso de pirotecniaMás información en nuestro podcast

Aujourd'hui l'économie
Pourquoi la Commission européenne veut absolument signer l'accord de libre-échange UE-Mercosur

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 3:28


Alors que plusieurs milliers d'agriculteurs manifestent à Bruxelles contre l'accord de libre-échange entre l'Union européenne et le Mercosur, le traité est à l'ordre du jour du Conseil européen ce jeudi et demain. Très critiqué sur le plan agricole, il est pourtant défendu avec insistance par la Commission européenne. Pour quelles raisons Bruxelles tient-elle tant à le signer ? La détermination de la Commission européenne à faire aboutir l'accord UE-Mercosur s'inscrit d'abord dans une lecture globale des rapports de force économiques actuels. Pour Bruxelles, ce traité est conçu pour générer plusieurs milliards d'euros de bénéfices chaque année. L'exécutif européen avance le chiffre de 4 milliards d'euros d'économies annuelles pour les exportateurs européens, grâce à la réduction des droits de douane. Concrètement, l'accord vise à supprimer environ 90 % des droits de douane entre l'Union européenne et les pays du Mercosur. Une mesure qui permettrait à la production européenne de mieux s'exporter et de gagner en compétitivité sur ces marchés. Bruxelles y voit également une diversification stratégique de ses partenaires commerciaux, dans un contexte mondial de plus en plus tendu. Le Mercosur représente en effet un marché de 270 millions de consommateurs, pour un PIB cumulé d'environ 2 700 milliards d'euros. Sur le papier, il s'agit donc d'un marché à fort potentiel pour les entreprises européennes. Une asymétrie assumée, mais encadrée Sur le papier seulement, car l'accord est souvent résumé par une formule devenue célèbre : « Des voitures européennes contre des vaches sud-américaines ». Une image qui illustre l'asymétrie du traité, entre exportations industrielles européennes et importations agricoles sud-américaines. La Commission européenne assume pleinement cette asymétrie. Selon elle, les gains industriels et macroéconomiques pour l'Europe excéderaient largement les pertes sectorielles agricoles, d'autant plus que ces dernières seraient limitées par des quotas, des périodes de transition et des mécanismes de sauvegarde prévus dans le texte. Pour Bruxelles, l'accord ne constitue donc pas une ouverture brutale et incontrôlée des marchés, mais un compromis encadré, pensé pour préserver les secteurs les plus sensibles tout en favorisant la compétitivité globale de l'économie européenne. À lire aussiAccord UE-Mercosur: le ton se durcit entre Paris et Bruxelles, la France demande un report du vote Un enjeu géopolitique et stratégique majeur Au-delà de l'aspect commercial, la Commission européenne insiste surtout sur la dimension géopolitique de l'accord. L'Union cherche à réduire ses dépendances stratégiques, notamment vis-à-vis de la Chine. Les pays du Mercosur disposent de ressources naturelles et minières essentielles à la transition énergétique et numérique, ce qui renforce leur intérêt stratégique pour l'Europe. Le traité est aussi présenté comme une réponse au retour du protectionnisme sur la scène internationale. En scellant une alliance commerciale avec plusieurs États sud-américains, l'Union européenne espère compenser d'éventuelles pertes d'accès aux marchés américain et chinois. Refuser l'accord, selon la Commission, reviendrait à fragiliser volontairement la position de l'Europe dans la mondialisation. Bruxelles s'appuie enfin sur le bilan des accords déjà conclus. L'Union européenne a signé 44 accords de libre-échange avec près de 80 pays, faisant de cette politique un levier central de son influence. En 2024, le commerce entre l'UE et ses partenaires liés par des accords atteignait 2 300 milliards d'euros, pour un excédent commercial global de près de 270 milliards d'euros. Contrairement aux idées reçues, même les secteurs sensibles en ont bénéficié: à l'échelle européenne, l'agroalimentaire dégage aujourd'hui un excédent d'environ 40 milliards d'euros, en hausse continue depuis dix ans. Cette lecture macroéconomique dresse donc un bilan globalement positif. Mais la Commission reconnaît aussi que, en analysant pays par pays et secteur par secteur, la réalité est plus contrastée : ce qui bénéficie à certains peut pénaliser d'autres. Finalement, l'accord UE-Mercosur pose une question plus large que le seul commerce. Quelle place l'Europe veut-elle occuper dans le monde, et quelle vision porte-t-elle pour l'avenir de sa construction politique et économique ? À lire aussiL'Europe toujours aussi divisée face à l'accord commercial avec le Mercosur

Presa internaţională
R. Moldova rămâne la nivelul discuțiilor tehnice cu UE, dar Chișinăul continuă reformele în așteptarea consensului european

Presa internaţională

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 38:08


Discuțiile de aderare la UE pentru Republica Moldova rămân la nivel tehnic din cauza opoziției Ungariei pentru aderarea Ucrainei. Chișinăul, însă, nu dramatizează și pune accent pe continuarea reformelor, în așteptarea unei noi oportunități. Cele mai dificile reforme țin de reformarea justiției, anticorupția, dar și de dezvoltarea economică. Noul premier moldovean Alexandru Munteanu a preluat acum ceva mai mult de o lună conducerea executivului cu promisiunea de a pune accent pe dezvoltarea economică. Un obiectiv susținut și de UE prin planul de creștere economică de 1,9 miliarde. Invitatul de astăzi al Moldova Zoom este expertul economic de la Chișinău, Dumitru Pîntea, cu care am discutat despre perspectivele de creștere economică a Republicii Moldova Temele ediției: - Republica Moldova urmărește cu mult interes unul dintre cele mai spectaculoase procese de judecată din istoria statului. Este vorba de procesul lui Vlad Plahotniuc, acuzat de mai multe scheme de corupție. Ne explică jurnalistul Euronews România Vitalie Cojocari, în „Cronica lui Vitalie”. - La Bruxelles începe summitul Consiliului European, un summit de la care Republica Moldova aștepta lansarea negocierilor politice de aderare. Discuțiile rămân, însă, la nivel tehnic din cauza opoziției Ungariei pentru aderarea Ucrainei. O corespondență de Mihaela Gherghișan. - Rusia nu este interesată nici de o pace durabilă, dar nici să câștige războiul în Ucraina, avertizează la RFI Thierry Wolton, jurnalist istoric și scriitor francez. Putin așteaptă mai degrabă ca America să își piardă interesul în războiul ruso-ucrainean. Un interviu realizat de Mădălina Șerban. - O misiune a FMI constată că după mai mulți ani de activitate economică anemică, influențată de efectele războiului dus de Federația Rusă în Ucraina și șocurile energetice repetate, Republica Moldova înregistrează o recuperare treptată. - Chișinăul reiterează că toate cele 27 de state membre ale Uniunii Europene susțin deschiderea negocierilor de aderare cu Republica Moldova, iar o decuplare de Ucraina va veni firesc în următoarele etape de negociere. - Autoritățile moldovene inițiază verificări privind folosirea termenelor „eco”, „bio”, „ecologic” și „organic” în denumirea produselor. Știrile zilei: O echipă a FMI a purtat în ultimele două săptămâni discuții cu autoritățile Republicii Moldova, iar șefa misiunii, Alina Iancu, a declarat la încheierea misiunii că după mai mulți ani de activitate economică anemică, influențată de efectele războiului dus de Federația Rusă în Ucraina și șocurile energetice repetate, FMI atestă o recuperare treptată a creșterii economice. Procesul de aderare la UE și Planul de creștere oferă o oportunitate unică pentru stimularea productivității, accelerarea creșterii economice pe termen lung și îmbunătățirea nivelului de trai. Pentru valorificarea acestei oportunități vor fi necesare reforme hotărâte care să ducă la eliminarea deficiențelor structurale. FMI constată în Republica Moldova o creștere economică impulsionată de cererea internă, dar și riscul unor dezechilibre externe crescânde pe fundalul unui grad sporit de incertitudine. Rata de creștere a PIB-ului va fi de 2,7 la sută în acest an. Finanțarea substanțială acordată de UE a ajutat la protejarea populației și agenților economici de cel mai recent șoc energetic. Inflația a scăzut și se așteaptă o revenire a ratei inflației în intervalul țintit de Banca Națională a Moldovei (BNM) între 5 și 6,5 la sută în acest an. Experții FMI prognozează pentru anul viitor o creștere a PIB de până la 2,3 la sută, impulsionat de recolta bună din anul curent și de cererea internă, și o creștere de 3,7 la sută până în 2028. Totuși, misiunea FMI notează că perspectivele economice ale Republicii Moldova rămân extrem de incerte din cauza numeroaselor riscuri care țin în principal de sporirea efectelor negative ale războiului din Ucraina, dar și de riscul de întârzieri în implementarea reformelor și utilizarea necorespunzătoare a finanțării externe. Pe de altă parte, creșterea economică ar putea fi chiar impulsionată de o implementare accelerată a reformelor, dar și de evoluțiile mai favorabile în plan geopolitic. *** Viceprim-ministra pentru integrare europeană, Cristina Gherasimov, a declarat că toate cele 27 de state membre ale Uniunii Europene susțin deschiderea negocierilor de aderare cu Republica Moldova și a subliniat că, în etapele următoare ale procesului, decuplarea de Ucraina va fi una firească, întrucât fiecare stat candidat are propriul set de priorități de reformă. „Astăzi la Bruxelles începe ultimul summit al UE din acest an. Ungaria se opune deschiderii negocierilor politice cu Ucraina, motiv pentru care, pentru Republica Moldova, au fost deschise zilele trecute negocierile tehnice pe capitole, decizia politică urmând să aștepte un consens la nivel european”, spune viceprim-ministra pentru integrare europeană din Guvernul de la Chișinău, Cristina Gherasimov. *** Ministerul Agriculturii și Industriei Alimentare și Agenția de Stat pentru Proprietatea Intelectuală (AGEPI) vor iniția verificări privind modul în care operatorii economici folosesc termenii „eco”, „bio”, „ecologic” și „organic” în denumirea produselor și a mărcilor înregistrate. Utilizarea neautorizată a acestor noțiuni poate induce în eroare consumatorii, defavorizează producătorii onești și atrage sancțiuni, anunță autoritățile de la Chișinău.

Rádio Gazeta Online - Podcasts
Boletim Rádio Gazeta Online - 2ª edição (18 de dezembro de 2025)

Rádio Gazeta Online - Podcasts

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 3:41


Na segunda edição deste boletim você confere:- Presidente do México pede que ONU impeça “derramamento de sangue” na Venezuela;- Banco Central prevê que PIB de 2026 terá a pior alta em seis anos;- Senado aprova corte de isenções e libera mais de 22 bilhões no Orçamento do ano que vem. O Boletim Rádio Gazeta Online é um conteúdo produzido diariamente com as principais notícias do Brasil e do mundo. Esta edição contou com a apresentação das monitoras Maria Clara Pinheiro e Maria Eduarda Palermo, do curso de Jornalismo.Escute agora!

Portal Agrolink o maior produtor de conteúdo Agro
Agronegócio consolida participação de 25% no PIB da Bahia

Portal Agrolink o maior produtor de conteúdo Agro

Play Episode Listen Later Dec 18, 2025 11:59


Produção recorde supera capacidade de armazenagem e pressiona preços. Piscicultura encerra 2025 fortalecida e projeta avanços estratégicos em 2026. PIB do agronegócio baiano registra crescimento de 8%, com receita do setor aumentando em R$ 8,5 bilhões. Paraná se firma como referência nacional na produção de peru, com alta nas exportações e consolidação de importância no mercado interno. No clima, chuva forte e risco de temporais atingem regiões Sudeste, Centro-Oeste e Nordeste.

Noticentro
Economía informal aporta una cuarta parte del PIB

Noticentro

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 1:43 Transcription Available


Condusef alertó por la suplantación de 18 instituciones financieras UE flexibilizó la prohibición para vender autosSe cumplen 235 años del hallazgo de la Piedra del SolMás información en nuestro podcast

Noticentro
Cepal da revés al crecimiento económico de México 

Noticentro

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 1:43 Transcription Available


México y EU coordinan combate al tráfico de armas Arranca proyecto de entrega de libros gratuitos en la CDMX Trump refuerza prohibición de entrada de africanos al país 

La Estrategia del Día
Lo último sobre Warner, Trump y Venezuela, Tesla, Cepal, Vector y TikTok

La Estrategia del Día

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 13:14


Muy buenos días, ¿qué creían que ya se apagó el ruido alrededor de la venta de Warner? Pues no, no me olvido de ustedes. Tenemos actualizaciones importantes. Trump vuelve a escalar las tensiones con Venezuela, la Cepal revela su estimado del PIB para México, las acciones de Tesla se andan salvando antes de que termine el año, llega el fin de Vector y hablamos de los infomerciales en la era de TikTok. 

Choses à Savoir TECH VERTE
La France produit plus d'électricité qu'elle n'en consomme ?

Choses à Savoir TECH VERTE

Play Episode Listen Later Dec 17, 2025 3:25


Après plusieurs années de tensions, le système électrique français respire enfin. Depuis 2020, la production peinait à suivre la demande, conséquence d'une baisse progressive du nucléaire amorcée dès 2015, puis des retards accumulés pendant la crise sanitaire. Mais en 2024, la dynamique s'est nettement inversée. Le parc nucléaire a retrouvé un niveau de production proche de celui d'avant-crise, tandis que les énergies renouvelables ont accéléré. L'an dernier, 7 gigawatts de nouvelles capacités solaires et éoliennes ont été installés.Résultat : la France dispose aujourd'hui d'une électricité décarbonée à 95 % et a battu un record historique d'exportations, avec 89 térawattheures de solde net en 2024. Un signal fort, dans un contexte européen encore marqué par l'instabilité énergétique. Pour autant, le tableau n'est pas entièrement idyllique. Selon RTE, la France importe encore près de 60 % de l'énergie finale qu'elle consomme. Une dépendance coûteuse, évaluée entre 50 et 70 milliards d'euros par an, principalement liée aux énergies fossiles, qui représentent toujours 60 % de la consommation finale. Or, pour respecter ses engagements climatiques — une réduction de moitié des émissions de gaz à effet de serre d'ici 2035 — cette part devra tomber autour de 30 %.Pour y parvenir, deux leviers sont privilégiés : les économies d'énergie et l'électrification des usages. Sur le premier point, les résultats sont déjà là. Entre 2017 et 2023, la consommation énergétique a reculé, grâce aux gains d'efficacité mais aussi aux changements de comportement induits par la hausse des prix. Au total, 30 TWh sont économisés chaque année. Conséquence directe : la France se retrouve aujourd'hui en situation de surcapacité électrique. Elle produit plus qu'elle ne consomme. « La France est dans une position avantageuse pour s'électrifier », souligne RTE dans son bilan prévisionnel 2025-2035. D'ici 2030, l'adoption massive des véhicules électriques devrait ajouter 17 TWh de consommation annuelle. À cela s'ajoutent la production d'hydrogène vert par électrolyse, estimée à 15 TWh, et l'électrification de procédés industriels, pour 13 TWh supplémentaires.Même le numérique trouve sa place dans cette trajectoire. Les data centers, dont la consommation devrait tripler entre 2025 et 2030, passant de 5 à 15 TWh, pourront être alimentés sans compromettre les objectifs climatiques. Selon RTE, cette trajectoire de décarbonation rapide pourrait même soutenir la croissance, avec une hausse du PIB de 1,1 % par an. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Experts
Les Experts : Budget 2026, le Sénat creuse le déficit - 16/12

Les Experts

Play Episode Listen Later Dec 16, 2025 25:22


Ce mardi 16 décembre, le vote des sénateurs sur le projet de loi de finances qui creuse le déficit et la bascule démographique de cette année, ont été abordés par François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, Ludovic Desautez, directeur adjoint de la rédaction de La Tribune, et Roland Gillet, professeur d'économie financière à l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Levante Ideias de Investimento
16/12 - Lula na frente de Flávio e Tarcísio derruba -2% a Bolsa

Levante Ideias de Investimento

Play Episode Listen Later Dec 16, 2025 48:32


Ative seu cupom Flavio Conde pra a consultoria personalizada https://lvnt.app/61t6dr16/12 - Lula na frente de Flávio e Tarcísio derruba -2% a Bolsa Olá, sejam bem-vindo a mais um Fechamento de Mercado, comigo Flávio Conde e Ricardo Afonso não participará por problema de internet, hoje é 3a. feira, dia 16 de dezembro, e sugiro assistirem o Mata-Mata: “VALE (VALE3) Ações Podem Subir a R$ 85 em Dez/26” que está muito bom. O Ibovespa fechou com forte baixa de -2,1% a 159 mil pontos, com volume alto de R$ 28 bi, R$ 3 bi acima da média das terças de outubro e novembro. O principal motivo da queda de hoje foi a pesquisa da Quaest para presidente da república em 2026: a. no 1º. turno, Lula aparecendo com 41% das intenções de voto, à frente do senador Flávio Bolsonaro (PL-RJ), que soma 23%, e do governador de São Paulo, Tarcísio de Freitas (Republicanos), com 10%. O levantamento reforça a dianteira do presidente também nos cenários de 2º. turno. Em uma eventual disputa direta contra Flávio Bolsonaro, Lula venceria por 46% a 36%. Já no confronto com Tarcísio de Freitas, o placar seria de 45% a 35%, segundo os dados da pesquisa. Secundariamente, a ata conservadora do COPOM/BC praticamente zerou aa chance de cortes de juros da Selic em janeiro e, assim, a expectativa fica mais distante podendo ocorrer apenas em 18 de março. A combinação dos eventos citados fizeram o dólar e juros subirem.As bolsas dos EUA apresentaram comportamento misto com Nasdaq 0,36% e Dow -0,51% - com ações da Tesla liderando as 7 big techs com o potencial lançamento do robotaxi pela cia. e a preparação do IPO de SpaceX. Porém, as ações da velha economia do Dow Jones recuaram os dados do payroll de outubro (mês do shutdown) cortando 105 mil empregos e novembro recuperando 64 mil. O saldo negativo de 41 mil empregos cortados em dois meses bem acima do esperado e a taxa de desemprego subiu para 4,6%, no maior nível desde setembro de 2021, sugerindo que a economia americana está realmente enfraquecendo. O dólar comercial em alta 0,78%, aos R$ 5,465 de R$ 5,42 ontem, na contramão do dólar norte-americano recuou -0,17% frente a moedas fortes do DXY depois dos dados mais fracos do emprego nos EUA. A pesquisa da Quaest com Lula liderando e sendo reeleito fez o dólar subir.Os juros no Brasil subiram com o Tesouro Prefixado 2032 a 13,58% x 13,48% a.a., ontem, e o IPCA+ 2029 em 7,83% de 7,77% a.a. A pesquisa da Quaest com Lula liderando e sendo reeleito fez os juros subirem porque Lula 4 aumentaria mais ainda a dívida pública/PIB com déficits fiscais bilionários em cada ano de mandato. Assista no vídeo as recomendações de Conde e Ricardo.

Notícia no Seu Tempo
Lula encerrará 2026 com dívida acima da prevista no arcabouço

Notícia no Seu Tempo

Play Episode Listen Later Dec 16, 2025 8:44


No podcast ‘Notícia No Seu Tempo’, confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S.Paulo’ desta terça-feira (16/12/2025): Projeções indicam que o governo Lula deve encerrar 2026 com endividamento maior do que o prometido no lançamento do arcabouço fiscal. À época, o cenário-base da equipe econômica era de que a regra para as contas públicas estabilizaria a dívida do País em 76,54% do PIB no último ano de mandato do presidente Luiz Inácio Lula da Silva. Hoje, porém, a previsão dos analistas é de que a dívida brasileira vai se aproximar de 84% do PIB. O elevado endividamento do País preocupa investidores. Mais do que o crescimento da dívida previsto, não há indicação, por ora, de que o Brasil vai conseguir estancar esse aumento nos próximos anos. Procurado, o Ministério da Fazenda informou que as previsões para a dívida mudaram “devido a diversos fatores não previstos à época do lançamento” do arcabouço fiscal e ressaltou que “é nítido o processo de consolidação fiscal”. E mais: Política: PF pericia aparelho usado na Lava Jato por suspeita de grampo ilegal Economia: Toffoli autoriza retomada do caso Master Metrópole: Cinco dias após ventania, 50 mil casas seguem sem luz Internacional: Herói que desarmou atirador na Austrália é muçulmano sírio See omnystudio.com/listener for privacy information.

Afrique Économie
Mobilisation pour le retour des biens mal acquis sur le continent

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Dec 16, 2025 2:32


Ces dernières années, beaucoup de procédures ont été engagées contre des entreprises étrangères en Afrique et leurs pratiques de corruption. Des cas emblématiques ont été jugés, comme celui de Glencore. Il est cependant difficile de voir l'argent restitué. Un mouvement de réflexion est engagé sur le continent, auquel contribue particulièrement le collectif Restitution pour l'Afrique emmené par Jean-Jacques Lumumba, qui a déposé une plainte au mois de mars. Cette plainte déposée auprès Parquet national financier de Paris a fait du bruit car elle est inédite : elle concerne plusieurs membres de Bolloré pour « recel » et « blanchiment ». « Souvent, quand on dénonce la corruption, on s'attaque aux corrompus, mais on fait très peu allusion aux corrupteurs. Et l'objectif que nous menons, c'est de pouvoir s'attaquer aux corrupteurs et de pouvoir s'attaquer aux fruits et aux bénéfices de la corruption », détaille Jean-Jacques Lumumba, qui est à la tête du collectif. Et de poursuivre son analyse : « Ces produits de la corruption produisent des bénéfices et des flux financiers qui arrivent dans des pays. Il faudrait que ces pays-là, cette captation de ressources, soient aussi considérés comme des biens mal acquis. C'est ça tout le concept de biens mal acquis inversés. » Un système de corruption favorisé par le cadre bilatéral – entre les multinationales et les États – des négociations et du traitement des contentieux. L'ONU appelle pour contrer cela à la mise en place d'une convention fiscale. « Si on a un cadre global, on peut avoir une mesure de la redevabilité qui soit beaucoup plus utile. À l'intérieur de cadres bilatéraux de négociations, il y a un problème de transparence. Il y a une asymétrie d'information, il y a une asymétrie de capacité. Et si ces asymétries-là sont localisées à un niveau bilatéral, il est très difficile de les changer. Par contre, si on les situe dans un cadre global, par exemple le cadre des Nations Unies malgré la faiblesse actuelle de l'ONU, on peut ouvrir ces boîtes d'asymétrie pour qu'il y ait plus d'informations disséminées et qu'il y ait plus de transparence », précise le Dr Ibrahim Assane Mayaki, ancien Premier ministre du Niger, coprésident du groupe de haut niveau qui travaille sur ces questions à l'ONU. Repenser l'utilisation des fonds saisis  Quand les entreprises sont appelées à payer, il est là encore difficile d'y voir clair. Le cas de Glencore au Cameroun est emblématique. L'entreprise est accusée d'avoir payé des pots de vin pour assurer son approvisionnement en pétrole. La société écope d'une amende de plus d'un milliard de dollars aux États-Unis. « Les pays victimes n'ont pas un radis en compensation. Largent est parti aux États-Unis et en Angleterre », dénonce Akere Muna, un avocat spécialiste de la lutte contre la corruption et le fondateur de Transparency International Cameroun. « Dans le cas de ces sociétés corrupteurs, il faudrait absolument que les fonds soient restitués de façon très transparente à ces pays-là. Parce que le danger – comme dans le cas d'Obyang en France – c'est quand on condamne de renvoyer [l'argent] dans un pays et que ce sont les mêmes [personnes] qui sont en place, ça pose un problème », souligne-t-il. Chaque année, le continent perdrait ainsi 25% de son PIB à cause de la corruption. Un « fléau » qui freine les investissements et accroît les inégalités, dénonce la Banque africaine de développement.  À lire aussiTchad: l'Agence de lutte contre la corruption dénonce une situation « alarmante »

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Quel est le pays le plus pauvre d'Europe ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 2:40


Pour parler du pays le plus pauvre de l'Union européenne, il faut d'abord préciser de quoi l'on parle. Si l'on mesure la richesse par le PIB total, la Bulgarie n'est évidemment pas le pays le plus pauvre. En revanche, si l'on s'intéresse au niveau de vie moyen, c'est-à-dire au PIB par habitant corrigé du pouvoir d'achat, alors la réponse est claire : la Bulgarie est aujourd'hui le pays le plus pauvre de l'UE.Concrètement, le revenu moyen par habitant en Bulgarie représente un peu plus de 40 % de la moyenne européenne. C'est nettement moins que la Roumanie, la Croatie ou la Hongrie, qui ont pourtant longtemps été dans des situations comparables. Cette faiblesse s'explique par plusieurs facteurs : une industrialisation tardive, une transition post-communiste difficile dans les années 1990, une forte émigration des jeunes actifs vers l'Europe de l'Ouest, et une corruption persistante qui freine l'investissement et la productivité.Mais ce constat mérite d'être nuancé. Car paradoxalement, l'Union européenne a énormément enrichi la Bulgarie depuis son adhésion en 2007. En près de vingt ans, le pays a connu une forte croissance, ses infrastructures se sont modernisées, et des milliards d'euros de fonds européens ont financé routes, écoles, réseaux énergétiques et développement régional. Le niveau de vie a progressé bien plus vite qu'avant l'entrée dans l'UE, même s'il reste faible en comparaison européenne.C'est dans ce contexte qu'intervient une actualité hautement symbolique : dans trois semaines, si le calendrier est respecté, la Bulgarie doit adopter l'euro. Sur le papier, c'est une étape historique. Le pays remplit depuis longtemps les critères techniques, sa monnaie est arrimée à l'euro depuis plus de vingt ans, et l'entrée dans la zone euro est censée renforcer la stabilité financière, attirer les investisseurs et réduire les coûts de transaction.Pourtant, l'événement ne donne lieu à aucune célébration nationale. Au contraire. La Bulgarie traverse une crise politique aiguë, marquée par une instabilité chronique, des gouvernements successifs de courte durée et une défiance massive envers les élites. Une partie importante de la population redoute que l'euro entraîne une hausse des prix sans amélioration réelle des salaires. Pour beaucoup de Bulgares, la question n'est pas la monnaie, mais la corruption, les inégalités et la difficulté à vivre décemment de son travail.En résumé, la Bulgarie illustre un paradoxe européen frappant : le pays le plus pauvre de l'UE est aussi l'un de ceux qui a le plus bénéficié de l'Europe, mais cette réussite macroéconomique ne suffit pas à effacer le malaise social et politique. L'euro arrive, mais l'enthousiasme, lui, n'est pas au rendez-vous. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

KTOTV / La Foi prise au Mot
Bonheur et espérance. Les fondamentaux de la Foi. 5

KTOTV / La Foi prise au Mot

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 52:16


Notre époque est marquée par une injonction permanente au développement personnel, condition de l'accession au bonheur. Un bonheur qui s'acquerrait comme une compétence et qui serait même mesurable économiquement par des outils tel que le PIB. Dans ce contexte, les dépressions, les burn-out, deviennent des fautes personnelles, des échecs face à la diffusion des méthodes de psychologie positive. Comment le christianisme à travers la promesse des Béatitudes et la philosophie par sa sagesse pour l'exercice d'une vie bonne, peuvent-ils nous éclairer dans cette tyrannie du bonheur moderne ? Pour répondre à ce questionnement, Régis Burnet reçoit Laurence Devillairs, philosophe, et Frère Gonzague de Longcamp, enseignant à l'Université catholique de Lyon.

Presa internaţională
Adevărul despre gap-ul de TVA: miliarde de euro rămân în conturile și buzunarele unor firme și cetățeni

Presa internaţională

Play Episode Listen Later Dec 15, 2025 4:15


Specialiștii în fiscalitate au așteptat cu nerăbdare să vadă rezultatele pentru România ale raportului Comisiei Europene referitor la gap-ul de TVA, capitol la care România este de mulți ani pe primul loc în Uniunea Europeană sperând într-o îmbunătățire a procentajului. Gap-ul de TVA, se știe deja, reprezintă diferența dintre cât ar trebui să încaseze bugetul de stat din TVA și cât încasează efectiv. Rezultatul studiului european este dezamăgitor pentru România care nu doar că rămâne pe primul loc, ci chiar înregistrează o creștere în anul 2023 față de 2022, de la 26,7% la 30%. Nivelul redus din anul 2022 este, însă, pus pe seama schimbării metodologiei de calcul. În termeni nominali, neîncasarea TVA înseamnă aproximativ nouă miliarde de euro, care, însă, să fim realiști, sunt doar teoretici. Degeaba se fac calcule referitoare la cât de multe ar putea realiza România cu nouă miliarde de euro, pentru că realitatea ne arată că suma nu este decât o simplă variantă ipotetică. Tema gap-ului de TVA se inflamează periodic, atunci când experți sau oameni politici încearcă să explice de unde vine diferența de încasare la buget. Au fost opinii care au susținut că este vorba despre cote prea mici de TVA (fapt puțin probabil), o altă cauză este evaziunea fiscală și, în fine, recent șeful fiscului a adus în discuție autoconsumul sau mai exact metodologia de calcul a TVA potențial de încasat. Raportul Comisiei Europene trece în revistă factorii care influențează nivelul de încasare a TVA. Creșterea PIB induce o creștere a gradului de conformare, dar în anii 2022-2023 s-a înregistrat o decelerare a economiei europene ceea ce ar fi putut duce la un efect invers, de creștere a gap-ului de TVA. Scăderea consumului de alimente și băuturi nealcoolice poate arăta o orientare spre o piață nefiscalizată și deci o creștere a gradului de neîncasare. Totodată, este importantă ponderea serviciilor în PIB și în special a serviciilor susceptibile de neconformitate. De exemplu, o activitate turistică în creștere poate ridica riscul de neconformitate. De asemenea, creșterea numărului de falimente duce la riscul de neplată a TVA. În fine, creșterea nivelului de plăți digitale reduce riscul de neconformitate. După cum se poate vedea, sunt factori care acționează diferit de la stat la stat și care sunt activi și în economia locală. La nivel european, Malta (24%) și Polonia (16%) sunt, după România, statele cu cele mai mari rate ale gap-ului de TVA. Cele mai performante sunt Austria (1%), Finlanda (3%) și Cipru (3,3%). Interesant este că studiul Comisiei Europene include și statele candidate, iar în aceste cazuri cifrele sunt mici, cu excepția Albaniei care are un gap de 24,6%. O veste rea nu vine niciodată singură și un alt raport european, referitor la impozitul pe profit, plasează România pe același loc 1 de la gap-ul de TVA și la neîncasarea impozitului pe profit. În 2019, anul analizat în raport, România a încasat cu 35% mai puțin decât suma care trebuia să ajungă la buget. Raportul menționează că în cazul României diferența neîncasată la buget este din cauza evaziunii fiscale, în schimb pentru alte state cauza principală este optimizarea fiscală făcută de companii. Datele europene ne arată că este ceva în neregulă cu economia românească și cu sistemul de administrare fiscală. Adevărul însă este clar ca lumina zilei: cele nouă miliarde de euro, lipsă la buget din TVA, rămân în economia reală la marii evazioniști și la micii oportuniști. De acești bani beneficiază companii fantomă, care apar și dispar peste noapte, IMM-uri, mici meseriași, persoane fizice autorizate sau neautorizate. Acesta este modul în care funcționează economia românească și care lasă în buzunarele companiilor sau ale cetățenilor nouă miliarde de euro. De aceea, nimeni nu vrea de fapt să schimbe sistemul și să reducă gap-ul de TVA.

Le Nouvel Esprit Public
La sécurité sociale a 80 ans / L'Afrique : de junte en junte

Le Nouvel Esprit Public

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 63:00


Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 12 décembre 2025.Avec cette semaine :Nicolas Baverez, essayiste et avocat.Antoine Foucher, consultant, spécialiste des questions sociales, auteur de Sortir du travail qui ne paie plus.Lucile Schmid, présidente de La Fabrique écologique et membre du comité de rédaction de la revue Esprit.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.LA SÉCURITÉ SOCIALE A 80 ANSNé en 1945 dans l'élan du Conseil national de la Résistance, l'État-providence français avait une ambition fondatrice : protéger chacun contre les grands risques de la vie. Il commence par la création de la Sécurité sociale et du régime de retraite par répartition, à une époque où 5 actifs soutenaient un retraité (contre 1,7 aujourd'hui). Les décennies suivantes ont vu un élargissement progressif du socle, au-delà de la seule logique assurantielle. Quatre-vingts ans plus tard, la Sécurité sociale n'a pas perdu l'amour des Français, ni, à leurs yeux, son attribut le plus précieux : l'universalité. Près de 80 % la considèrent comme la meilleure au monde et 85 % jugent impératif de maintenir une couverture universelle, sans distinction de revenus, selon un sondage Ifop de mars 2025. Mais elle traverse aujourd'hui une nouvelle crise grave. Le déficit record de l'assurance-maladie prévu cette année - 23 milliards en 2025 (contre 17,2 milliards en 2024) - interroge sur la capacité du système à perdurer. Et la pression démographique menace de le faire dériver encore plus, tandis que le vieillissement démographique déséquilibre autant le système de santé que celui des retraites en déficit elles de 6,6 milliards d'euros pour cette année. Un vieillissement à prendre d'autant plus en compte que les dépenses de santé augmentent exponentiellement avec l'âge. D'après la Direction de la recherche, des études, de l'évaluation et des statistiques, en 2021, la dépense annuelle moyenne a été de 1.114 euros pour les moins de 20 ans, 1.632 euros pour les 21-40 ans, 2.717 euros pour les 41-60 ans, 4.498 euros pour les 61-70 ans, 6.291 euros pour les 71-80 ans et 8.529 euros pour les plus de 80 ans. De fait, les plus de 60 ans concentrent plus de 50 % de la dépense totale, alors qu'ils représentent 28 % de la population.Dans un rapport publié le 3 novembre, la Cour des comptes a mis en garde contre les effets budgétaires du vieillissement de la population et de la baisse de la natalité. « Premier poste de dépenses de la protection sociale, les pensions de vieillesse et de survie représentaient en effet 353 milliards d'euros en 2023, soit 13,4 % du PIB »,signale le rapport. La Cour souligne que le poids de la démographie sur les finances publiques va aller croissant, et invite à repenser « la vision collective » du vieillissement et de l'âge du départ à la retraite. Pour mémoire, au début des années 1980, la dette ne finançait qu'1 % de la dépense sociale ; elle en finance désormais 10 %.Mardi, à une courte majorité - 247 voix contre 234 (et 93 abstentions) - les députés ont validé le Projet de loi de financement de la sécurité sociale. Il prévoit notamment la suspension de la réforme des retraites, la hausse de la CSG sur les revenus du patrimoine et la hausse de 3 % des dépenses de santé. Résultat : malgré les concessions accordées aux oppositions, le déficit de la Sécurité sociale devrait rester sous les 20Mds€ en 2026. Après un passage par le Sénat, le texte devrait revenir au Palais-Bourbon mardi prochain pour un ultime vote.L'AFRIQUE : DE JUNTE EN JUNTEEn cinq ans, le Sahel a complètement changé. Les coups d'État militaires d'abord présentés comme des réponses temporaires à la crise sécuritaire, semblent installer durablement des régimes autoritaires. Au-delà du rejet commun de la présence française, ces nouveaux pouvoirs militaires peinent à formuler un véritable projet et surtout à endiguer une vague djihadiste de plus en plus meurtrière. La région est désormais secouée par des crises répétées qui ignorent les frontières nationales. Cette vague de coups d'État et de prises de pouvoir militaires a créé un paysage politique instable dans plusieurs régions. En novembre 2025, sept pays étaient dirigés par des juntes militaires, chacuneavec sa propre trajectoire, sa justification et ses tensions politiques propres.Au Mali, le retour à un régime militaire a commencé par deux coups d'État en moins d'un an, le premier en août 2020, suivi d'un autre en mai 2021. Le Burkina Faso a connu deux coups d'État militaires en 2022. L'ordre politique du Niger s'est effondré en juillet 2023. En mars 2025, la junte a adopté une charte de transition fixant un délai de cinq ans pour le retour à un régime constitutionnel. La Guinée a basculé dans un régime militaire en septembre 2021. La junte s'était initialement engagée à une transition structurée, mais le calendrier a été sans cesse repoussé. Au Soudan l'armée a pris le contrôle en octobre 2021, faisant dérailler un fragile accord de partage du pouvoir entre civils et militaires. En avril 2023, le pays a sombré dans une guerre civile brutale entre les forces armées soudanaises et les forces paramilitaires de soutien rapide. En octobre 2025, Madagascar a rejoint la liste des pays africains sous régime militaire. En Guinée-Bissau, le coup d'État qui a renversé le 26 novembre le président sortant Umaro Sissoco Embalo et suspendu les élections en cours est le dixième putsch en Afrique depuis 2020. Ce pays lusophone côtier d'Afrique de l'Ouest situé entre le Sénégal et la Guinée (Conakry), avait déjà connu quatre coups d'État et une kyrielle de tentatives de putsch depuis son indépendance du Portugal en 1974. La junte promet une transition d'un an. Les Bissau-Guinéens n'y croient plus vraiment. Dans un pays où chaque cycle électoral finit dans les casernes, la démocratie semble condamnée à ne jamais dépasser le stade de l'intention. Le Bénin, longtemps considéré comme une exception démocratique et qui n'avait plus connu de tels soubresauts depuis 1972, vient de rejoindre le club des pays touché par l'épidémie de putschs. Dimanche dernier, il s'en est fallu de peu que le pays ne rejoigne la longue liste des pays africains ayant connu un coup d'État militaire ces cinq dernières années. Le coup d'État a été mis en échec.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Fernando Ulrich
O caso Master e o STF; derrubada a Magnitsky contra Moraes; Fed vai jorrar liquidez?

Fernando Ulrich

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 46:25


O "Ulrich Responde" é uma série de vídeos onde respondo perguntas enviadas por membros do canal e seguidores, abordando temas de economia, finanças e investimentos. Oferecemos uma análise profunda, trazendo informações para quem quer entender melhor a economia e tomar decisões financeiras mais informadas.00:00 - Nesse episódio...01:30 - O mercado gostou do FOMC? Fed será mais dovish com Trump? 05:24 - Reforma tributária vai gerar inflação em 2026? 06:58 - Quanto dinheiro cada governo brasileiro já emitiu? 08:12 - Como a China mantém o câmbio artificialmente baixo? 12:35 - Como vão as principais teses do Marcelo Lopez? 14:58 - A China é sustentável ou inevitavelmente colapsa? 20:36 - Debate CZ vs. Schiff 21:24 - Computação quântica ameaça o Bitcoin? 22:24 - Vale estudar Escola Austríaca se o mundo não usa? 24:38 - Você era bom em matemática? Quais matérias você tinha afinidade?27:56 - Direita defende Estado mínimo ou só discurso? 29:22 - Mercado exagerou ao temer Galípolo no BC? 30:04 - Fim da escala 6x1 é uma bomba? 31:26 - Melhor investir em EUA ou Brasil em 2026? 32:08 - Controle câmbio e aumento do PIB da China, como não geram inflação? 33:47 - Países podem adotar stablecoins como moeda oficial? 35:11 - Existe terceira via real nas eleições brasileiras? 35:47 - A direita volta ao poder com o atual STF? 43:24 - “BC deveria imprimir dinheiro”: como explicar para ela? 43:53 - Está virando maximalista em Bitcoin? 44:22 - Vai entrar no hype da SpaceX? 44:54 - Quanto tempo para o real valer zero?

Expresso - Expresso da Meia-Noite
Ainda há saída para esta reforma laboral?

Expresso - Expresso da Meia-Noite

Play Episode Listen Later Dec 14, 2025 48:37


A semana começou com a notícia que Portugal ficou em primeiro lugar no ranking das economias mais avançadas do mundo da Economist, pelo facto do emprego em Portugal no último ano ter crescido ainda mais que o PIB, e acabou com uma greve geral, algo que já não acontecia há 12 anos. Houve uma guerra de números entre governo e sindicatos, embora com números muito distantes. Com esta greve, é mais que provável que o governo vai ter que recuar na reforma laboral, até porque perdeu o apoio do segundo maior partido, o Chega. A situação é complexa, a reforma laboral é uma arma económica importante, mas aquilo que o governo quer fazer pode não ter condições para passar no parlamento. Pedro Mota Soares, Rita Garcia Pereira, Diogo Orvalho e José Vieira da Silva foram os convidados deste programa emitido na SIC Notícias a 12 de dezembro e moderado por Ricardo Costa e Bernardo Ferrão.See omnystudio.com/listener for privacy information.

Masdividendos
Actualidad Semanal +D. Semana 50/2025

Masdividendos

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 28:05


El día que Larry Ellison perdió 25.000 millones de dólares antes del desayuno En 1977, un programador sin título universitario leyó un oscuro paper de IBM sobre bases de datos relacionales. Los expertos decían que era teóricamente interesante pero comercialmente inviable. Cuarenta y ocho años después, la empresa que fundó con 2.000 dólares prestados vale más que el PIB de Argentina. Pero esta semana, algo cambió. Hay un patrón que se repite en los mercados, tan predecible como las estaciones pero igualmente ignorado cada vez que aparece. En 1999, Cisco valía más que cualquier empresa del planeta. "Los picos y las palas de la fiebre del oro digital", decían. Imposible perder. Veintiséis años después, la acción acaba de recuperar aquel máximo. Toda una carrera profesional esperando a quedarse igual. ¿Por qué os cuento esto? Porque esta semana el mercado empezó a hacer preguntas que llevaba meses sin hacer. No hubo crash. No hubo pánico. Algo más sutil: un cambio en el aire. En el nuevo episodio de Actualidad Semanal +D hablamos de lo que significa ese cambio. De por qué un metal que usaban los romanos vale ahora más que el combustible que mueve el mundo. De una guerra corporativa con yernos presidenciales y fondos soberanos del Golfo. Y de lo que pasó con aquellos 25.000 millones.

Genial Podcast
Fabio Kanczuk na Conversa com Zé Márcio: "Tolerância do investidor com o cenário fiscal surpreende"

Genial Podcast

Play Episode Listen Later Dec 13, 2025 30:58


Confira a conversa entre José Márcio Camargo, economista-chefe da Genial Investimentos, e Fabio Kanczuk, diretor de Macroeconomia da ASA, sobre os rumos da economia. O debate aborda a política comercial e os juros nos EUA, além do impacto da Inteligência Artificial no PIB americano. No cenário nacional, há uma análise da política fiscal expansionista, a tolerância do mercado com a dívida pública e as expectativas para a Selic sob a atuação de Gabriel Galípolo no Banco Central.

French Podcast
News In Slow French #772 - Intermediate French Weekly Program

French Podcast

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 10:14


Nous commencerons notre partie consacrée à l'actualité par une discussion sur un nouveau document publié la semaine dernière sur la stratégie de sécurité nationale américaine. Nous abordons les éléments qui concernent directement l'Europe, ainsi que la prédiction d'un « effacement » de la civilisation européenne. Puis, nous commenterons le classement annuel des 36 pays les plus riches, basé sur l'inflation, la croissance du PIB, l'emploi et les performances boursières. Notre section scientifique sera consacrée à une étude qui a identifié cinq grandes phases du développement du cerveau humain. Selon les chercheurs, il y aurait quatre périodes charnières à 9, 32, 66 et 83 ans, où des changements importants ont lieu dans l'organisation neuronale. Et notre dernier sujet d'actualité concerne Pantone, qui a dévoilé sa couleur de l'année 2026. Le choix de la couleur de l'année peut-il faire débat ?   Le reste de l'émission d'aujourd'hui sera consacré à la langue et à la culture françaises. Notre point de grammaire de la semaine sera : Adjectives that add letters to their feminine form. Adjectives ending in -teur and -eau/ou. Nous parlerons des démarches faites par les artisans français afin de protéger la porcelaine de Limoges à l'échelle européenne. Cela nous offrira l'occasion de revenir sur l'histoire de ce savoir-faire français. Nous terminerons avec l'expression de la semaine : Envers et contre tous/tout. Nous verrons que des lieux culturels français ont décidé d'augmenter leurs tarifs pour les non-Européens, ce qui permettra de financer des rénovations coûteuses. - La stratégie de sécurité nationale américaine pour 2025 prédit la fin de l'Europe - Le Portugal arrive en tête du classement 2025 des pays les plus riches - Des scientifiques découvrent cinq phases dans le développement du cerveau humain - Cloud Dancer, une nuance de blanc, est élue couleur de l'année - Les artisans demandent la protection de la porcelaine de Limoges à l'échelle européenne. - Des lieux culturels augmentent leurs tarifs pour les non-Européens

Choses à Savoir ÉCONOMIE
A quoi sert l'indice “carton” ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Dec 12, 2025 2:15


Parmi les signaux discrets que surveillent certains économistes pour anticiper un ralentissement, il en est un particulièrement méconnu mais redoutablement révélateur : l'indice “carton”. Son principe est simple : observer la production de boîtes en carton ondulé, ces emballages qui expédient l'immense majorité des biens du quotidien. Et cet indicateur pourrait annoncer, avant les statistiques officielles, l'arrivée d'une récession.L'idée n'est pas nouvelle. Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine, utilisait déjà les volumes de cartons produits pour prendre la température de l'économie. Pourquoi ? Parce que plus de trois quarts des biens non durables — nourriture, produits ménagers, vêtements bon marché, électronique, etc. — sont transportés dans ces boîtes. Si les entreprises réduisent leurs commandes de cartons, c'est souvent parce qu'elles anticipent une baisse de la demande. Et lorsque l'activité ralentit à la base même de la chaîne logistique, cela peut être le signe que la consommation se contracte.En 2024, l'économiste Jadrian Wooten, de Virginia Tech, a remis cet indicateur sous les projecteurs. Il relève une chute notable dans l'industrie américaine du carton : les fabricants prévoient de fermer environ 9 % de la capacité nationale de production. C'est un recul massif, sans équivalent depuis la grande crise de 2008. Une telle contraction implique aussi des conséquences directes : potentiellement des milliers d'emplois supprimés et une activité industrielle affaiblie.Ce mouvement n'arrive jamais par hasard. Si les producteurs ferment des lignes, c'est qu'ils ne reçoivent plus suffisamment de commandes. Et cette baisse des commandes reflète souvent un phénomène plus large : les entreprises vendent moins, donc elles expédient moins, donc elles emballent moins. En d'autres termes, l'indice carton agit comme un thermomètre placé au tout début du cycle économique.Si cette tendance se prolonge, d'autres indicateurs risquent de suivre la même trajectoire : ralentissement du PIB, recul de la production industrielle, puis montée du chômage. Car moins de cartons, c'est finalement moins de biens qui circulent, moins de consommation, et un tissu économique qui commence à se contracter.À travers un objet aussi banal qu'une boîte, l'indice carton rappelle une vérité simple : parfois, ce sont les signaux les plus ordinaires qui permettent de détecter, avant tout le monde, les tensions qui se préparent dans l'économie. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Spanish Podcast
News in Slow Spanish - #874 - Intermediate Spanish Weekly Program

Spanish Podcast

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 10:47


Comenzaremos nuestro repaso a la actualidad discutiendo un nuevo documento de Estrategia Nacional de Seguridad publicado la semana pasada. Comentaremos los aspectos del documento que afectan directamente a Europa, así como la predicción de un "borrado" de la civilización europea. Continuaremos hablando de la clasificación anual de 36 economías desarrolladas en base a la inflación, el crecimiento del PIB, el empleo y la progresión del mercado bursátil. La sección de ciencia estará dedicada a un estudio que identificó cinco periodos del desarrollo del cerebro humano. El estudio sugiere la existencia de cuatro puntos de inflexión cruciales a los 9, 32, 66 y 83 años de edad, que marcan cambios significativos en la organización neuronal. Y la última noticia de actualidad tratará sobre Pantone, que dio a conocer su Color del Año 2026. ¿Puede la elección de un Color del Año ser polémica? El resto del episodio de hoy lo dedicaremos a la lengua y la cultura españolas. La primera conversación incluirá ejemplos del tema de gramática de la semana, el tiempo verbal Present Perfect - Part III. En esta conversación hablaremos del mercado laboral en España. La sociedad española ha cambiado mucho. En los años 70, el objetivo de cualquier persona era trabajar en la misma empresa hasta la jubilación. Hoy en día, ¡la prioridad es muy distinta! Y, en nuestra última conversación, aprenderemos a usar una nueva expresión española, Lavarse las manos. La usaremos para hablar del cineasta español, Luis Buñuel. Especialmente recordaremos una de sus más famosas películas: El ángel exterminador. Esta película ha sido considerada por el New York Times como una de las mejores 1000 películas de toda la historia del cine. La Estrategia de Seguridad Nacional 2025 de EE. UU. advierte del fin de Europa Portugal, coronado como la economía del año 2025 Los científicos descubren cinco períodos distintos de desarrollo cerebral Cloud Dancer, una tonalidad del blanco, escogido color del año El mercado laboral en España Una de las mil mejores películas de la historia del cine

VG Daily - By VectorGlobal
La Fed recorta tasas mientras Oracle y Adobe apuestan de forma distinta por la IA

VG Daily - By VectorGlobal

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 22:44


En este episodio de VG Daily, Eugenio Garibay y Andre Dos Santos analizan cómo la última decisión de la Fed reconfigura el mapa de tasas y expectativas de crecimiento. Los hosts desmenuzan tanto el recorte de ayer como las proyecciones económicas, y las enlazan con la forma en que grandes corporativos están usando la IA para redefinir su modelo de negocio y su perfil de riesgo.A lo largo de la conversación, se detalla qué nos dijo realmente la Fed sobre el nivel “neutral” de tasas, por qué el mercado laboral y la calidad de los datos van a ser decisivos en 2026, y cómo cambian las proyecciones de PIB e inflación en el corto y mediano plazo. Después, el episodio aterriza estos temas en el terreno corporativo: se revisan los reportes de Oracle y Adobe, el contraste entre inversiones masivas en infraestructura de nube/IA versus la monetización desde el software creativo, y lo que esto implica para valuaciones, balances y narrativa de crecimiento.

Notícia no Seu Tempo
Planalto vê chance de anistia entrar em texto sobre dosimetria no Senado

Notícia no Seu Tempo

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 11:03


No podcast ‘Notícia No Seu Tempo’, confira em áudio as principais notícias da edição impressa do jornal ‘O Estado de S.Paulo’ desta quinta-feira (11/12/2025): O presidente Luiz Inácio Lula da Silva pretende vetar o trecho do projeto de lei que reduz as penas de condenados por investidas golpistas. Lula foi informado de que, além de manter a redução de penas aprovada na Câmara, uma ala do Senado deseja incluir a anistia no texto para livrar o ex-presidente Jair Bolsonaro (PL) da prisão. Se isso ocorrer, o projeto voltará para a Câmara e não haverá tempo para nova votação neste ano. Esperidião Amin (PP-SC), amigo e aliado de Bolsonaro, foi escolhido para ser relator da matéria no Senado. O senador disse que é a favor do perdão amplo, geral e irrestrito. Ele vai entregar parecer na quarta-feira. E mais: Economia: Inflação de 12 meses fica dentro da meta após IPCA de 0,18% em novembro Política: Gilmar atende Senado e recua em liminar sobre impeachment Internacional: Trump diz que EUA apreenderam petroleiro na costa da Venezuela Metrópole: Vendaval derruba até Papai Noel e deixa 2 milhões sem luz Esportes: Abel Ferreira renova contrato até o fim de 2027See omnystudio.com/listener for privacy information.

Terraço Econômico
O QUE ESPERAR DE 2026? - CENÁRIOS #001

Terraço Econômico

Play Episode Listen Later Dec 11, 2025 34:10


Para você que sempre curtiu o TerraçoCast das antigas e o formato onde falávamos com maior profundidade de certos temas, esse aqui será seu formato favorito! Sejam bem-vindos ao Cenários! Neste episódio, Rachel de Sá apresenta as visões que você pode esperar para 2026 sobre os seguintes assuntos: para onde irá a Selic, se os gatilhos do novo arcabouço fiscal sobreviverão ao ano eleitoral, como a inflação deverá se comportar e se devemos ver alguma recessão no PIB. Gostou? Conta pra gente nos comentários! Não deixe também de deixar seu like e compartilhar com quem você sabe que irá se interessar pela conversa desse episódio! Prefere assistir esse episódio? Ele também está no YouTube: https://youtu.be/BsZl2KZn7E8

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Pourquoi les ventes de slips sont-elles un indicateur économique ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Dec 10, 2025 2:26


Parmi les signaux inattendus que les économistes scrutent pour prendre la température d'un pays, il en existe un particulièrement étonnant : la vente de slips et de caleçons masculins. Derrière son apparence anecdotique, cet indicateur repose pourtant sur une logique comportementale simple et révélatrice.L'idée a été popularisée par Alan Greenspan, l'ancien président de la Réserve fédérale américaine. Selon lui, la consommation de sous-vêtements masculins évolue très lentement… sauf en période de tension économique. Pourquoi ? Parce que, pour beaucoup d'hommes, l'achat de slips n'est pas une priorité. Contrairement à des produits visibles comme les chaussures ou les vêtements de dessus, personne ne remarque vraiment si vos sous-vêtements sont neufs ou un peu usés. En temps normal, les achats se font à un rythme stable. Mais lorsque l'économie se dégrade, ces dépenses jugées secondaires sont les premières à être repoussées. Autrement dit : si les hommes conservent plus longtemps leurs vieux sous-vêtements, c'est souvent que le portefeuille se serre.Ce comportement fait des ventes de slips une sorte de baromètre discret, un indicateur avancé de ralentissement économique. À la différence d'autres grandeurs macroéconomiques — chômage, PIB, inflation — qui bougent avec inertie, les dépenses du quotidien réagissent immédiatement au moral des ménages. Dès que la confiance baisse, même légèrement, les achats non essentiels sont reportés. Les sous-vêtements masculins, avec leur cycle de renouvellement très régulier, deviennent alors un marqueur sensible de cette prudence accrue.Ce principe s'applique d'ailleurs à d'autres consommations “banalisées”. La fréquentation des restaurants, ou des salons de coiffure, recule souvent avant que les statistiques officielles ne signalent une crise. Et parfois, certains produits deviennent presque des thermomètres économiques traditionnels. À New York, par exemple, le célèbre restaurant Gray's Papaya propose depuis des décennies un menu surnommé sans détour le “Recession Special” : un repas bon marché qui voit ses ventes bondir chaque fois que l'économie vacille. Lorsque les clients affluent vers ces offres à bas prix, c'est généralement que la population commence à ajuster son budget.Ainsi, derrière l'humour apparent de l'“indice du slip”, se cache une observation sérieuse : dans l'économie, les petits arbitrages du quotidien disent souvent plus que les grandes statistiques. Suivre la consommation de biens anodins permet de capter très tôt les changements d'humeur des ménages. Et parfois, un simple slip raconte beaucoup sur l'état d'un pays. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Empiricus Puro Malte
PodCa$t #118 - Corrida eleitoral: como possível candidatura de Flávio Bolsonaro mexe com mercados?

Empiricus Puro Malte

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 50:03


CONHEÇA A CARTEIRA RECOMENDADAS DE DIVIDENDOS: https://emprc.us/carteiradiv-podcast A Corrida eleitoral já entrou no radar e, quando política vira variável relevante, juros, Bolsa e dólar reagem antes mesmo de qualquer confirmação oficial.No episódio #118 do Empiricus PodCa$t, debatemos como a possibilidade de Flávio Bolsonaro aparecer no cenário eleitoral pode influenciar as expectativas do mercado e o apetite a risco no Brasil, ao mesmo tempo em que o mundo observa a Super Quarta (Fed + Banco Central).A mesa composta pelos analistas Larissa Quaresma, Matheus Spiess, Laís Costa e Ruy Hungria destrincha o que realmente importa para o investidor: o que é ruído, o que pode virar tendência e como isso se traduz em preço nos ativos.Além disso, também debatemos:- Super Quarta: o que esperar do Federal Reserve e do Banco Central- EUA: sinais de desaceleração na atividade (PMI, ISM e ADP) e o que isso muda para juros- Brasil: dados mais fracos de produção e PIB e o impacto para o cenário de política monetária- “Presentinhos de Natal”: empresas antecipando dividendos antes das mudanças previstas na tributação a partir de 2026- Quais ações podem se destacar na temporada de dividendos de fim de anoNo quadro Compra ou Vende?, analisamos três ativos muito pedidos pela audiência:- Tesouro Prefixado – ainda faz sentido agora?- Direcional (DIRR3) – oportunidade ou risco?- Gerdau (GGBR4) – compra, espera ou vende?Fechamos com a Dica Cultural da Semana, para ampliar repertório e tomar decisões melhores — dentro e fora do mercado.Se você quer investir com mais clareza em um cenário onde política e juros podem mudar o jogo rapidamente, este episódio é pra você.

Noticentro
El sector Salud generó 5.2% del PIB: Inegi

Noticentro

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 1:50 Transcription Available


México ha entregado más agua a EU: Sheinbaum  En la CDMX detienen al presunto asesino de regidor de Reynosa  Maduro tiene los días contados: TrumpMás información en uestro podcast

Editorial - Gazeta do Povo
Editorial: O PIB do terceiro trimestre e o potencial futuro

Editorial - Gazeta do Povo

Play Episode Listen Later Dec 9, 2025 7:22


O Assunto
A economia agora e as perspectivas para 2026

O Assunto

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 33:58


Convidado: Samuel Pessôa, pesquisador do FGV IBRE e do BTG Pactual e doutor em economia pela USP. O resultado do PIB do terceiro trimestre, divulgado nesta quinta-feira (4), mostrou uma desaceleração da economia brasileira. A perda de fôlego – avanço de apenas 0,1% no período – já era esperada e aponta para um crescimento acima de 2% no ano. Enquanto isso, a inflação recua para 4,4%, taxa dentro do limite da meta para os últimos 12 meses – na contramão do que previa o mercado, que estimou elevação de preços na ordem de 6% para 2025. Para explicar o que esses números dizem sobre o momento da economia brasileira e o que esperar para 2026, Victor Boyadjian conversa com Samuel Pessôa. Doutor em economia pela USP e pesquisador do FGV Ibre e do BTG Pactual, Pessôa analisa os dados macroeconômicos do país e diz por que o resultado de 2025 foi superior àquilo que previa o mercado – e dá alertas sobre possíveis armadilhas, sobretudo no aspecto fiscal. Pessôa comenta também por que, mesmo com o mercado de trabalho aquecido, a inflação parou de acelerar – e como isso se relaciona à expectativa na taxa de juros em 2026. Ele ainda analisa os motivos que levam a bolsa de valores a registrar recordes nas últimas semanas e aponta perspectivas para a economia brasileira sob o impacto de influências externas e internas.

Os Pingos nos Is
PEC da Segurança e PL Antifacção são adiados em meio a crise

Os Pingos nos Is

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 118:45


Confira os destaques de Os Pingos nos Is desta quinta-feira (04):O Congresso adiou a votação da PEC da Segurança e do PL Antifacção após pressão do governo por mudanças nos textos. A oposição e parte do centrão defendem endurecer penas e medidas contra o crime organizado, enquanto o Planalto tenta evitar derrotas nas pautas. Após a conversa entre Lula e Donald Trump, o governo afirma que os EUA podem revogar o tarifaço “em breve”. A ministra Gleisi Hoffmann criticou a oposição por defender sanções e chamou adversários de “traidores da pátria”. Ela disse que o tarifaço foi usado para influenciar o julgamento de Bolsonaro e exaltou a atuação diplomática do Planalto. Para fechar as contas de 2026, o governo deve aumentar e criar novos impostos de importação para arrecadar até R$ 14 bilhões. A decisão será tomada pela Camex e não depende do Congresso, o que facilita a estratégia em meio à crise entre os Poderes. O Brasil deve deixar a lista das 10 maiores economias do mundo em 2025, segundo levantamento da Austin Rating baseado em dados do FMI. As projeções atualizadas apontam que o PIB brasileiro ficará abaixo do top 10 global, enquanto EUA, China, Alemanha e Índia seguem nas primeiras posições.O Congresso aprovou a ampliação do Fundo Eleitoral, que terá R$ 4 bilhões para as eleições de 2026, além de cerca de R$ 1 bilhão para o Fundo Partidário. Parlamentares também costuraram a obrigatoriedade de o governo pagar 65% das emendas antes de julho. A ex-primeira-dama Michelle Bolsonaro visitou o ex-presidente Jair Bolsonaro na Superintendência da Polícia Federal, em Brasília, após a crise familiar envolvendo os filhos. O encontro ocorre dias depois da disputa interna no PL sobre a aliança com Ciro Gomes no Ceará, em que Michelle saiu vitoriosa e Bolsonaro ordenou o recuo do partido. A visita marca uma reaproximação após o episódio que expôs a divisão na família. Você confere essas e outras notícias em Os Pingos nos Is.

Herrera en COPE
10:00H | 05 DIC 2025 | Herrera en COPE

Herrera en COPE

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 60:00


El temporal disminuye, aunque diez comunidades del norte español mantienen avisos. País Vasco, Asturias y Cantabria están en alerta amarilla costera; La Coruña presenta naranja por oleaje y lluvias. En Galicia, las olas superan los seis metros y los accesos a playas coruñesas cierran. Pontevedra prevé cuarenta litros/m² en doce horas, similar a Ourense y Mariña de Lugo, con fuertes ráfagas de viento. El CIS indica que vivir una guerra preocupa a tres de cada cuatro españoles. Países como Alemania y Francia reimplantan el servicio militar, mientras España destina un 1.28% del PIB a defensa, lejos del 2.1% de la OTAN. Dos de cada tres españoles creen que España podría implicarse en un conflicto, aunque lo perciben lejano. El plan de paz de Ucrania se enfría; Putin afirma que Rusia no busca guerra con Europa, pero está preparada. La bolsa española ronda los 16800 puntos, con una semana histórica y nuevo récord de cierre. En deportes, el Español es el tercer equipo de Primera División ...

Alexandre Garcia - Vozes - Gazeta do Povo
A blindagem na CPMI do INSS segue forte: depois do Frei Chico, é a vez de Lulinha

Alexandre Garcia - Vozes - Gazeta do Povo

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 5:42


Alexandre Garcia comenta blindagem de Lulinha na CPMI do INSS, PIB estagnado, contas públicas em frangalhos e nova operação contra o PCC.

Noticentro
¡Más agua para el Edomex! Perforan pozos en Tlalnepantla

Noticentro

Play Episode Listen Later Dec 5, 2025 1:24 Transcription Available


¡Sin luz! Tlaquepaque tendrá corte de energía por 7 horas este viernes  La meta es que la inversión privada llegue al 25% del PIB: Ebrard Veracruz amplía apoyo a damnificados por lluvias de octubre  Más información en nuestro Podcast

Grand reportage
En Autriche, le paradoxe européen

Grand reportage

Play Episode Listen Later Dec 3, 2025 19:30


L'Autriche célèbre, cette année, les 30 ans de son adhésion à l'Union européenne. La République alpine de 9 millions d'habitants a, en effet, adhéré à l'UE en 1995 et trois décennies plus tard, un constat s'impose : l'Autriche profite largement de son adhésion sur le plan économique. De notre correspondante à Vienne, Gabriel Felbermayr, directeur de l'Institut de recherche économique Wifo, voit trois avantages essentiels de cette adhésion pour l'Autriche : « Il y a d'abord, évidemment, le marché intérieur [européen]. Si l'Autriche ne dépendait que de son propre marché, les entreprises ne pourraient pas se spécialiser autant. Cela est beaucoup plus vrai pour les petits pays comme l'Autriche que pour les grands comme la France. Il y a aussi l'espace Schengen et enfin, la politique monétaire européenne. Elle est très importante pour un pays comme l'Autriche, qui s'était auparavant aligné sur le mark allemand, mais qui n'avait pas son mot à dire. » Gabriel Felbermayr a mené une étude pour Wifo dans laquelle il quantifie ces avantages et donc ce que le pays perdrait s'il y avait un « Öxit », le terme qui désigne une sortie de l'Autriche de l'UE. Et les résultats sont sans appel : « On arrive, selon nos calculs, à un effet positif de l'adhésion de l'Autriche à l'UE qui se situe entre 7 et 8% du PIB. C'est beaucoup. Et comme l'Autriche est un pays riche, 7% représentent environ 4 000 euros par habitant. En Autriche, on critique souvent le fait que ces 4 000 euros ne sont pas gratuits, qu'il faut payer une contribution. Mais cette contribution est relativement faible. L'Autriche verse environ trois milliards d'euros à l'UE et en récupère deux milliards, soit une contribution nette d'un milliard. Nous avons 9 millions d'habitants, ce qui signifie que la contribution nette par habitant est d'environ 110 euros. On paie donc 110 euros et on en récupère 4 000, ce qui est un assez bon investissement ! » Une forte insatisfaction Pourtant, année après année, les enquêtes Eurobaromètre, études d'opinion réalisées à l'échelle de l'Union européenne, montrent l'insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'Europe. Dans la plus récente, publiée en septembre 2025, seuls 60% d'entre eux se disent convaincus que leur pays bénéficie de son adhésion à l'UE contre une moyenne de 73% dans l'ensemble de l'Union européenne. Et seuls 38% des Autrichiens ont une opinion positive de l'UE. L'Autriche est ainsi l'un des pays les plus insatisfaits des 27. Un thème cristallise ce mécontentement et est, selon cette étude, la priorité pour les Autrichiens : l'immigration. On le constate à Nickelsdorf, village de moins de 2 000 habitants, situé à la frontière avec la Hongrie, dans la région autrichienne du Burgenland. En 2015, lors de ce qu'on a appelé « la crise des réfugiés », ce village a été l'un des principaux points de passage. En quelques semaines, 300 000 réfugiés, principalement originaires de Syrie, d'Afghanistan et d'Irak, sont arrivés dans ce village, depuis la Hongrie - jusqu'à 20 000 par jour au plus fort de la vague. Des tentes ont été installées, des moyens de transport déployés, car ces réfugiés voulaient gagner l'ouest de l'Europe, notamment l'Allemagne. Le maire social-démocrate de la commune depuis près de 30 ans, Gerhard Zapfl, reconnaît qu'ils se sont sentis seuls à l'époque pour faire face à cette situation d'urgence, déplorant le manque de stratégie coordonnée des 27 États européens : « En 2015, l'Union européenne n'avait pas de réponse à ce problème et, jusqu'à présent, je constate qu'elle n'en a toujours pas. » Cette crise a, selon lui, laissé des traces durables à Nickelsdorf, mais aussi dans toute l'Autriche. « La conséquence de cette vague de réfugiés est que le scepticisme à l'égard des étrangers n'a cessé d'augmenter. Et cette situation peut être instrumentalisée. C'est le cas en Autriche avec le parti d'extrême droite FPÖ, qui ramène tous les sujets qui touchent le pays à l'immigration », affirme-t-il, ajoutant que ce scepticisme concerne aussi l'Union européenne. « L'UE échoue totalement sur cette question et cela déçoit un très grand nombre de personnes. » Intéresser les jeunes à l'UE Le FPÖ est actuellement dans l'opposition, mais il est le premier parti dans les sondages, crédité d'environ 35% des intentions de vote. Kevin dit se reconnaître dans ce parti. Ce jeune homme vit à Sattledt en Haute-Autriche, commune de moins de 3 000 habitants « où tout le monde se connaît » et où il a ouvert un café, il y a deux ans. « L'idée d'une union entre les pays européens, du point de vue d'une communauté économique, d'un projet de paix, est quelque chose de très positif », reconnaît-il. Mais s'il se dit aujourd'hui très critique de l'Union européenne, c'est avant tout, insiste-t-il, en raison de la politique migratoire de l'UE : « Nous ne parviendrons pas à maîtriser la situation si nous n'avons pas de protection aux frontières. [...] C'est typique de l'UE : nous discutons et négocions éternellement au lieu de prendre rapidement des mesures. » C'est pour comprendre cette insatisfaction des Autrichiens vis-à-vis de l'UE et la combattre que Rüya Buga parcourt l'Autriche depuis deux ans. Cette jeune bénévole de l'association ÖGfE anime des ateliers sur l'Union européenne dans les écoles, partout dans le pays. « J'entends souvent la réponse suivante de la part des élèves : "Ça ne m'intéresse pas." Mais alors, je leur réponds : "Tu es jeune, n'est-ce pas ? Tu aimerais peut-être déménager un jour, avoir un bon travail, pouvoir t'offrir certaines choses ? Tout ça, ce sont des sujets politiques qui influencent ta vie. Alors, cela doit t'intéresser d'une manière ou d'une autre." » Le but des ateliers qu'elle anime est de mieux faire connaître le travail de l'UE et ses effets concrets dans notre vie de tous les jours. Faire naître « une prise de conscience » car, conclut-elle, « nous vivons tous dans l'Union européenne et devons contribuer à la façonner. Parce que nous sommes la masse et ici, il s'agit de notre avenir. »