Dans chaque épisode, des artistes du spectacle vivant au creux de l’oreille, autour d’une question : qu’est-ce qui vous met en mouvement ? Claire Masure, responsable des relations avec les publics au Manège de Reims, vous propose d’entrer dans l’univers des artistes qui font vibrer la scène nationale, mais aussi les scènes du monde entier. Une interview pour comprendre ce besoin qu’ils ont de s’exprimer, de créer, et qui les amène à monter sur scène et à se risquer devant un public. Ils et elles nous parlent de leurs inspirations, nous partagent des sons qui les représentent, nous racontent les rendez-vous réussis et ceux qu’ils ont manqué. Un podcast du Manège de Reims, réalisé en partenariat avec Aparté Studio et le studio Le Son de l’Encre. Ce projet a reçu le soutien de l'ONDA dans le cadre du programme Écran vivant. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Manège, scène nationale - Reims
Depuis 2021, le Manège de Reims a intégré pleinement dans sa programmation des spectacles de Cabaret, désormais revendiqué comme une des disciplines que nous présentons au même titre que la danse, le cirque et la marionnette. C'est un véritable parti pris, pour un genre jusqu'ici peu représenté dans les institutions, et souvent mal défini, même parfois mal considéré. La place du Cabaret grandit donc depuis ces quelques années au sein de notre théâtre, utilisant la sublime salle du cirque historique pour se révéler, et faisant de plus en plus d'adeptes de tous les âges. Dans cette continuité, Bruno Lobé a proposé à un artiste de Cabaret que nous connaissons depuis longtemps, Jérôme Marin, d'être artiste associé pour trois ans. Il est mon invité du jour, et lors de cet entretien vous comprendrez comment lui aussi a mis du temps à regarder en face sa pratique hybride du spectacle comme étant celle d'un cabarettiste.Le directeur du Manège, Bruno Lobé nous raconte sa rencontre avec lui.
Lorsqu'on observe la composition des salles lors des représentations de spectacles de danse en France, il est difficile de ne pas faire le constat – malgré tout ce que nous, les médiatrices et médiateurs culturels, les responsables de programmation, les communiquants… pouvons mettre en place afin de diversifier au maximum les publics – que la danse est une forme artistique qui attire plus facilement des personnes issues de milieux intellectuels et sensibilisés depuis l'enfance. Notre appartenance à une certaine classe sociale et culturelle déterminerait donc notre goût pour telle ou telle forme d'art, c'est précisément la théorie que défend Pierre Bourdieu dans La Distinction, qui fait encore aujourd'hui autorité. Et pourtant, au fur et à mesure des rencontres artistiques que j'ai pu faire au sein du Manège, autant parmi les artistes que parmi les spectateurs et spectatrices, nous rencontrons de nombreux contre-exemples à cette théorie déterministe. Notre invité du jour, Jan Martens, pourrait bien faire partie de ces contre-exemples, et il est devenu en quelques années l'un des chorégraphes incontournables de sa génération. D'ailleurs, dans ses pièces, il se bat lui aussi contre un certain cloisonnement du monde de l'art, il va nous expliquer cela lors de cet entretien réalisé à distance. Pour commencer Bruno Lobé, directeur du Manège, nous raconte comment il a rencontré le travail de Jan Martens.
Depuis le temps que nous accueillons des artistes dans nos murs, pour des représentations mais aussi pour des semaines de répétitions, nous avons pu entrevoir une grande diversité des façons de travailler chez les chorégraphes. Certains imposent la pratique du yoga, de la méditation ou lisent des poèmes à leurs interprètes avant de commencer la journée de travail. D'autres préparent méthodiquement leur espace jusqu'à nettoyer le sol eux-mêmes avant d'y danser, quand certaines équipes ne commencent pas avant 14h et laissent filer les répétitions jusque tard dans la soirée. Il y a des chorégraphes qui arrivent le premier jour de répétition avec un spectacle déjà entièrement écrit, et d'autres qui écrivent la danse au fur et à mesure, à partir des propositions des interprètes.L'invité de cet épisode a pour sûr, sa manière bien à lui d'organiser le travail de plateau. Nous l'avons enregistré à distance depuis son bureau à Nantes, sa parole est aussi précise et ciselée que sa danse. Rencontrez aujourd'hui Louis Barreau, qui incarne à merveille la combinaison de l'exigence et de la générosité. Bruno Lobé, directeur du Manège, nous explique comment il a découvert son travail.
Bonjour à toutes et à tous, je suis très heureuse de vous retrouver pour cette 3e saison du podcast Faut que j'moove. Troisième saison, déjà ! Je tiens à remercier celles et ceux qui suivent depuis le début, les nouveaux et nouvelles qui découvrent, et toutes les personnes qui m'aident à développer ce support, techniquement par exemple, mais aussi en me faisant leurs retours, qui sont toujours très précieux et motivants.Cette saison encore je vais tenter de vous faire découvrir des artistes inspirés, convaincus, aux univers fous et débridés, à l'image de la programmation du Manège. Restez bien à l'écoute ! Nous avions clôturé la dernière saison avec Marinette Dozeville, pour un épisode consacré à son parcours et au projet "Les jeux Ardennais", je vous propose de la retrouver cette fois pour nous parler de son prochain spectacle, "C'est comme ça que Don Quichotte décida de sauver le monde" et plonger encore un peu plus dans ce qui l'anime au quotidien en tant qu'artiste.
Il paraîtrait que l'époque est à la rapidité et à la fulgurance, on oublierait de prendre notre temps… Notamment, le temps nécessaire pour grandir, pour s'affirmer, et être reconnu. Lorsqu'on est un jeune artiste, l'attente de la reconnaissance peut paraître interminable. Et pourtant, il arrive que des artistes qui débutent à peine soient d'une seconde à l'autre propulsés au devant de la scène, toutes les portes s'ouvrent à eux, alors même qu'ils n'étaient pas prêts à en franchir le seuil.L'invitée de ce podcast était prête, lorsque qu'une certaine reconnaissance est arrivée. Elle s'apparente moins à la sprinteuse qu'à la coureuse de fond, elle qui va justement nous parler d'une création participative autour du sport, mais aussi de sa prochaine pièce de groupe. Cela fait longtemps que le Manège suit le travail de Marinette Dozeville, elle méritait donc bien un épisode en deux parties. Cette première partie se concentre sur son parcours, et le projet des "Jeux Ardennais".
D‘où provient l'inspiration créative ? De nombreux artistes, penseurs ou penseuses se sont frottés à cette question, sans que celle-ci ne soit élucidée. Le mythe de l'Inspiration venue d'en haut perdure dans l'imaginaire collectif : on entend parfois encore parler de don du ciel, d'œuvres touchant au sacré ou encore de muses inspiratrices. Comme si la création artistique n'était pas rattachée à la terre, mais bien au ciel.Et si la capacité à créer venait simplement d'un état de disponibilité ? D'une porte laissée ouverte par l'artiste lui-même, et qui laisse passer les couleurs des choses et du monde ?Jérôme Brabant que vous allez rencontrer aujourd'hui, se laisse volontiers traverser par ce qu'il voit pour imaginer ses spectacles : le paysage, la nature, la magie, le cosmos, la vie, la mort… Cette porte laissée ouverte lui permet d'accueillir l'imprévu, et d'accepter l'influence des éléments et des personnes qu'il a rencontrées. Il présente au Manège Planètes, sa nouvelle création inspirée par la voûte céleste. En introduction à l'interview, Bruno Lobé nous raconte ce qu'il aime dans son travail.
En ce mois de janvier 2024, nous ouvrons à Reims une nouvelle édition du festival FAR AWAY, festival des arts dédié aux artistes agitateurs et agitatrices du monde entier. Cette fois, c'est sur la région méditerranéenne que l'édition se concentre.Des artistes vont évoquer leur vie, parfois des faits biographiques intimes, comme Yael Rasooly que le Manège reçoit avec le spectacle « Un silence parfait » ou Rachid Bouali, reçu par Nova Villa avec « On n'a pas pris le temps de se dire au revoir ». Des récits d'intimité donc, dont la narration ou la mise en perspective dépasse largement le soi : c'est l'une des forces de la création artistique. D'ailleurs, c'est Emmanuel Carrère qui écrit, dans son roman D'autres vies que la mienne, que lorsqu'on est auteur on parle de soi pour parler de l'autre, mais qu'on parle aussi de l'autre pour parler de soi.L'invité de cet épisode a d'abord commencé par exprimer son moi avec les mots des autres. Mais c'est le mouvement et la danse qui l'ont amené à se découvrir, et à se laisser découvrir par les autres.Alors qu'il était en train de finaliser son Cabaret de la Rose Blanche, création pour le festival Far Away au cirque du Manège, Radhouane El Meddeb m'a reçue chez lui, dans son intimité justement. Pour commencer, Bruno Lobé, directeur du Manège, nous explique comment il l'a rencontré.
Très souvent, lors des bords plateau – les rencontres avec les artistes juste après les spectacles – les premières questions qui surgissent spontanément sont les mêmes : et depuis combien de temps vous faites ça ? A quel âge vous avez commencé la danse ? Vous avez fait quelle formation ? Un peu comme si on voulait savoir si il était encore temps de nous y mettre, nous aussi.Vous l'avez sûrement compris depuis le début de ce podcast, il y a plusieurs chemins possibles pour devenir artiste professionnel de spectacle vivant. Certains s'y mettent d'ailleurs seulement à l'âge adulte. Cependant, d'autres sont, dès le plus jeune âge, littéralement baignés dans un art, qui devient une donnée indissociable à leur vie.Joana Schweizer a suivi le chemin tracé d'une enfance entourée d'artistes. Son travail acharné l'a amenée dans les plus grandes écoles, jusqu'à devenir un grande technicienne de son art, mais sans laisser de côté la joie qu'elle a à le pratiquer et à le transmettre. Cette quasi prédestination ne rend pas tout facile : il faut encore gagner la confiance en soi, faire sa place, assumer qui l'on est.
Nous les humains, nous aimons beaucoup ranger le monde dans des cases, y compris en matière artistique. Cela nous rassure, avant d'approcher une œuvre, de savoir de quel champ, de quelle discipline elle relève : si c'est de la danse, il va y avoir du corps, du mouvement, si c'est du cirque, il y aura peut être des prouesses impressionnantes et peut-être du rire, si c'est du théâtre, il y a forcément du texte. Mais bonne nouvelle, les artistes d'aujourd'hui ne se laissent pas enfermer dans des boîtes. Ils et elles challengent volontiers nos représentations à travers leurs créations : on se retrouve ainsi dans les brochures de lieux de spectacles, à côté des créations bien rangées, avec des catégories comme « inclassable » ou « forme hybride » ce qui traduit bien notre embarras face à ce désir de classification. Et pourtant, justement, la classification des arts a rangé ensemble, dans le 6e art, les arts de la scène : danse, théâtre, mime et cirque. Tout est donc permis ! Lorsqu'il a voulu se former aux arts du cirque, on a demandé à Vasil Tasevski, mon invité, de choisir une spécialité. Il a un peu fait semblant d'accepter, mais a continué son chemin sans se préoccuper des frontières entre les disciplines, pour finir par créer sa propre magie.
La place de la culture en France est pensée depuis de nombreuses années autour de la notion de « service public de la culture ». Nos lieux d'art, financés pour beaucoup par l'argent public, s'inscrivent dans l'idée que l'expression artistique joue un vrai rôle dans l'équilibre de la société, et le développement de l'individu. Cette conviction est notamment à la source de nombreuses politiques culturelles, et d'un métier : la médiation culturelle. Mais au delà du concept, si on s'y penche vraiment : que peut l'art, et que peuvent les artistes ? Sans prétendre à une réponse définitive, nous en parlons avec notre invitée du jour, Lou Cantor. Lou a été invitée au Manège cette saison pour un projet d'action culturelle, qui est aussi une création artistique à part entière : Epopées à Reims, construit avec et pour des personnes exilées en France.
Peut être avez-vous appris, lorsque vous avez étudié Molière à l'école, qu'au 17e siècle en France les artistes de spectacle vivant étaient considérés comme des marginaux. Leur situation était précaire, on leur reprochait une vie dissolue, immorale, en contradiction avec les valeurs de l'église catholique qui leur refusait même une place dans ses cimetières. Aujourd'hui, être artiste de spectacle vivant c'est encore, parfois, appartenir à la marge. Dans certaines circonstances, se revendiquer comme artiste c'est faire acte de résistance, et s'exprimer librement, revendiquer qui on est, représente un danger. Car il arrive que l'artiste, en pratiquant son art, dérange : un ordre établi, un système de domination, un pouvoir politique. Alexandre Paulikevitch, mon invité du jour, est spécialiste de la danse Baladi, qu'on connaît en France sous le nom de danse du ventre ou danse orientale. Il est un des seuls hommes à la pratiquer professionnellement. Alexandre est de ceux qui ont fait le choix de danser pour revendiquer leur identité, pour se tenir droit face au monde, à la fois face à sa violence et à sa beauté.
Aujourd'hui il nous semble facile, grâce à la vidéo notamment, de nous faire une idée du monde et de la vie sur d'autres continents que celui sur lequel nous vivons. Les artistes exportent leurs œuvres cinématographiques, mais avoir accès à des œuvres de spectacle vivant venues d'ailleurs est-il aussi simple ? Le Festival Far Away à Reims s'emploie, parmis d'autres, à cette circulation des oeuvres et des artistes, nous offrant une véritable fenêtre sur le monde, pour changer de regard et rebattre les cartes de notre perception des territoires. Pour le festival 2023, le Manège de Reims a choisi d'inviter Salia Sanou pour trois rendez-vous (détail ci-dessous). Dans cet épisode de Faut que j'moove, nous évoquons avec lui son parcours, sa découverte de la danse au Burkina Faso et son arrivée en France, la création du Centre de Développement Chorégraphique la Termitière à Ouagadougou et ses projets intimement liés aux deux continents et à l'histoire politique du monde. Extraits sonores : - Djoon Maya - Victor Demé (Synaspon Remix) - Indépendance Cha Cha - Grand Kalle - Extrait du spectacle À nos combats - Séga Seck
Bienvenue dans la saison 2 de Faut que j'moove ! L'artiste est-il une personne hors sol, dans un monde à part de celui du commun des mortels ? Cette représentation parfois très ancrée semble éloignée de la réalité des artistes croisés dans les lieux de spectacle vivant. Marie Barbottin fait partie de ces artistes qui se placent au cœur de la cité, très concernés par les problématiques actuelles, et qui se nourrissent de rencontres variées pour créer. Interrogée par Claire Masure, Marie Barbottin nous parle notamment du passage d'interprète à chorégraphe, de maternité, d'éducation féministe et de son spectacle La Chambre d'eaux. Extraits sonores : - Heavens To Betsy / My red Self - Enfants de l'école Alfred Gérard à Reims, encadrés par Armand Doche et Guillaume Moya - Extrait "Eye of the tiger" de Persepolis, Marjanne Satrapi et Vincent Paronnaud vidéo ici Références citées : - Le Jouet, court métrage de Noémie Cathala, dispo ici - Le petit illustré de l'intimité, Tiphaine Dieumegard et Mathilde Baudy / Atelier de la belle étoile - Renversante, Florence Hinckel / L'école des Loisirs Voir La Chambre d'eaux de Marie Barbottin : du 28 au 30 novembre 2022 au Manège de Reims, toutes les autres dates de tournée ici. La table ronde "Pour une autorisation à être" le 11 mars 2023 Remue Manège le 16 mai 2023 Faut que j'moove est un podcast imaginé par le Manège, scène nationale de Reims, réalisé en partenariat avec Aparté Studio et le studio Le Son de l'Encre. Ce projet a reçu le soutien de l'ONDA dans le cadre du programme Écran vivant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quel est votre premier souvenir de spectacle ? Est-ce qu'il vous a particulièrement marqué ? Est-ce qu'il a suscité une vocation, un désir d'en voir plus ? Ou peut être vous êtes vous profondément ennuyé, peut être que vous avez ri en cachette avec vos copains et copines de classe… Quoi qu'il en soit, il a peut être déterminé votre rapport aux arts vivants. On pense souvent que pour monter sur scène et être artiste professionnel, il faut avoir commencé à être spectateur et praticien très tôt. Aujourd'hui, pour le troisième et dernier épisode de la saison, je vous propose de rencontrer une professionnelle de la danse qui a découvert ce métier alors qu'elle était déjà une jeune adulte : Mélanie Perrier. Bruno Lobé, directeur du Manège, évoque sa rencontre avec le travail de cette chorégraphe, puis Mélanie Perrier développe sa manière de créer et les raisons de son engagement artistique. Extraits sonores : Gaspar Claus Didier Ambact Les élèves de l'école Alfred Gérard à Reims enregistrés par Marie Barbottin Découvrez Et de se tenir la main de Mélanie Perrier le 1er juin 2022 à 18h au Manège. > Plus d'infos sur le site du Manège de Reims > Toutes les dates de la compagnie ici Faut que j'moove est un podcast imaginé par le Manège, scène nationale de Reims, réalisé en partenariat avec Aparté Studio et le studio le Son de l'Encre. Ce projet a reçu le soutien de l'ONDA dans le cadre du programme Écran vivant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La manière dont les arts du spectacle évoluent est depuis toujours liée aux contextes sociaux et politiques. Le nouveau cirque, ou cirque contemporain, apparu dans les années 70, a largement participé à porter sur la scène des revendications, des façons nouvelles de voir le monde. La Générale Posthume, jeune compagnie de cirque composée de Gwenn Buczkowski et Bambou Monnet, que vous allez entendre dans cet épisode, en est un très bon exemple, se servant beaucoup de l'humour et de l'absurde pour parler de ce qui les révolte. Bruno Lobé, directeur du Manège, évoque les raisons pour lesquelles le travail de cette compagnie l'intéresse, tandis que Gwenn et Bambou remontent à leurs premiers émois de spectatrices pour mieux décrire ce qui les pousse à monter sur scène. Extraits sonores : Gwenn Buczkowski et Bambou Monnet - La chanson de l'acrobate Astaffort Mods - C'est complétement débile Gwenn Buczkowski et Bambou Monnet - Le Roi a fait battre tambour Découvrez L'Hiver rude, de la Générale Posthume, lors d'une soirée partagée avec le spectacle Ogre de la June, les 24 et 25 mars 2022 au Manège. > Plus d'infos sur le site du Manège de Reims Faut que j'moove est un podcast imaginé par le Manège, scène nationale de Reims, réalisé en partenariat avec Aparté Studio et le studio le Son de l'Encre. Ce projet a reçu le soutien de l'ONDA dans le cadre du programme Écran vivant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'une des spécificités du spectacle, et peut être même de l'art en général, est de nous proposer une vision du monde à part, de nous emmener vers l'inconnu. C'est parfois étrange, parfois même effrayant, mais la beauté qui réside dans ces œuvres peut aussi être telle qu'elle nous bouleverse à tout jamais. Les spectacles de Nina Santes, l'artiste invitée de ce premier épisode, sont de ceux qui nous emmènent vers des territoires nouveaux, et laissent des traces durables dans nos esprits. Bruno Lobé, directeur du Manège, nous donne son regard sur le travail de cette artiste polymorphe, et Nina Santes partage avec vous ce qui la met en mouvement, à travers sa parole et des extraits sonores. Extraits sonores : Titica - Olha O Boneco Hymen Hymne : spectacle de Nina Santes Captation sonore - Laurent Paulré, Label Contours Mixage - Aurélien Pitaval Peggy Seeger - Song of Choice La chorégraphe Nina Santes s'empare du Manège en février 2022 : - Sortie de résidence de Beauty Glow Tanning Studio le 17 - A Leaf avec Célia Gondol le 23 - La Nuit - Reclaim the Night avec la Fronde les 25 et 26 > Plus d'infos sur le site du Manège de Reims Faut que j'moove est un podcast imaginé par le Manège, scène nationale de Reims, réalisé en partenariat avec Aparté Studio et le studio Le Son de l'Encre. Ce projet a reçu le soutien de l'ONDA dans le cadre du programme Écran vivant.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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