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Konflikt między Izraelem a Iranem się zaostrza. Czy możemy spodziewać się eskalacji działań zbrojnych i pośredniego zaangażowania USA? Komentarz dr Karoliny Zielińskiej w Radiu Wnet.Od kilku dni trwa gwałtowna eskalacja konfliktu między Izraelem a Iranem. Izrael przeprowadził serię precyzyjnych nalotów na cele strategiczne. Iran odpowiedział kilkuset rakietami i dronami, atakując cele w Izraelu – zginęły co najmniej 24 osoby, są dziesiątki rannych. USA zwiększyły obecność wojskową w regionie, a światowi przywódcy apelują o deeskalację. Sytuacja budzi obawy przed rozszerzeniem konfliktu na cały region i poważnym kryzysem energetycznym.Gość Poranka Radia Wnet dr Karolina Zielińska z Akademii Finansów i Biznesu Vistula oraz była ekspertka Ośrodka Studiów Wschodnich uważa, że Stany Zjednoczone najprawdopodobniej nie włączą się szeroko w konflikt izraelsko-irański, ale jako jedyne mogą zdecydować się na precyzyjne uderzenie w ośrodek nuklearny Fordow, bo tylko to państwo dysponuje taką bronią.W otoczeniu prezydenta Trumpa są podzielone zdania. Jedni uważają, że USA nie powinny angażować się w zagraniczne wojny, drudzy – że to jedyna szansa, by zlikwidować program atomowy Iranu i źródło niestabilności w regionie– powiedziała dr Zielińska.Jej zdaniem potencjalne zaangażowanie amerykańskie będzie ograniczone do ataku na ośrodek Fordow, ukryty głęboko pod ziemią.Tylko armia USA dysponuje bronią zdolną zniszczyć taki obiekt – specjalnymi bombami penetrującymi– wyjaśniła.Zastrzegła jednak, że takie działanie niesie ogromne ryzyko.Iran może odpowiedzieć atakami na amerykańskie cele w całym regionie– oceniła.Ekspertka zaznaczyła, że izraelskie naloty na terytorium Iranu są możliwe dzięki wcześniejszemu zniszczeniu obrony powietrznej.Izraelczycy w dużej mierze rozbili irańską obronę. Pomogły w tym też działania dywersyjne i doskonale rozpracowana siatka agentów– powiedziała. Dodała, że także sytuacja w regionie zmieniła się na korzyść Izraela – osłabiony został Hezbollah, a Syria i Liban coraz wyraźniej dystansują się od irańskich wpływów.Pytana o możliwości odwetowe Iranu, wskazała m.in. na Huti w Jemenie oraz możliwość sparaliżowania światowego handlu ropą.Iran może zakłócić eksport surowców z Zatoki Perskiej, co wciągnęłoby do konfliktu inne państwa– zaznaczyła.Odnosząc się do nastrojów społecznych w Iranie, dr Zielińska podkreśliła, że choć wielu Irańczyków jest zmęczonych reżimem, nie oznacza to jego całkowitego braku poparcia.Poparcie ma charakter ideologiczny i narodowy, a także wynika z powiązań z aparatem państwowym, zwłaszcza Gwardią Rewolucyjną– powiedziała.
Quand le monde entier retient son souffle au 4ème jour de la guerre entre l'Iran et Israël, déjà surnommée par certains “la guerre des guerres”… Une guerre assumée par Benjamin NETANYAHU qui défend le droit de son pays à se défendre et à empêcher le régime des mollahs, son ennemi juré, d'acquérir la bombe nucléaire… Guerre “existentielle” et indispensable pour les uns, “illégitime” et irresponsable pour les autres, nous allons en débattre ce lundi 16 juin avec nos invités : ▶︎ Chirinne ARDAKANI Avocate et co-fondatrice et présidente de l'association Iran Justice, co-autrice de « Des iraniennes / Femme, vie, liberté 1979-2024 » aux éditions Des Femmes (12.09.24)▶︎ Anthony SAMRANI Rédacteur en chef au quotidien libanais L'Orient-Le Jour, auteur de "Vu du Liban, la fin d'un pays, la fin d'un monde ?" (Tracts Gallimard, décembre 2024)▶︎ Bernard HOURCADE Géographe, directeur de recherche émérite au CNRS, (Centre de recherche sur le monde iranien, CeRMI) et membre du comité de rédaction Orient XXI▶︎ Nicolas TENZER Géopolitologue, enseignant à Sciences Po, auteur de « Fin de la politique des grandes puissances » aux éditions de l'Observatoire (23.04.25)▶︎ Tamar SEBOK Journaliste, correspondante en France au quotidien israélien Yedioth Aharonoth▶︎ Florian LOUIS Historien, docteur de l'École des Hautes Etudes en sciences sociales (EHESS)
Pour Le Figaro à Paris, c'était prévisible : « depuis les massacres du 7-Octobre, il était évident que le gouvernement de Benyamin Netanyahu allait pousser la guerre jusqu'à Téhéran ». Après les coups portés au Hamas et au Hezbollah, « restait à s'attaquer à la “génitrice“. Celle qui mène la guerre par procuration contre Israël via ses affidés dans la région. Celle qui les forme, les arme et les soutient : la République islamique d'Iran. » Pour autant, poursuit Le Figaro, « en s'attaquant de front à son plus redoutable ennemi, l'État hébreu plonge la région et le monde dans l'inconnu. » En effet, « en attaquant l'Iran, Israël entraîne le Moyen-Orient dans un engrenage guerrier » : c'est ce que souligne, Agnès Levallois, spécialiste du Moyen-Orient, dans une tribune publiée par Le Monde. L'Orient-Le Jour à Beyrouth renchérit en dénonçant ce qu'il appelle « une course vers l'abîme : Israël n'a pas les moyens de détruire seul le programme nucléaire iranien et veut entraîner Washington dans un conflit qui enflammerait toute la région. Quel est son objectif final ?, s'interroge le quotidien libanais. Bombarder le régime iranien jusqu'à ce qu'il capitule ? (…) Même en admettant qu'Israël parvienne à ses fins et que le régime finisse par tomber, quelle sera la suite ? Qui va organiser la transition dans un pays ruiné, de 90 millions d'habitants et qui fait 75 fois la taille d'Israël et 3 fois celle de l'Irak ? Comment imaginer que cela puisse aboutir à autre chose qu'un chaos généralisé qui outrepassera largement les frontières de l'Iran ? » Guerre de libération ? Guerre d'usure ? Au-delà de la question nucléaire, faire tomber le régime iranien, c'est l'objectif de Benyamin Netanyahu et le Jérusalem Post s'en félicite : « il est maintenant temps pour le peuple iranien de se soulever », s'exclame le quotidien israélien proche du pouvoir. « Levez-vous. Saisissez ce moment. (…) Nous ne sommes pas en guerre contre vous, peuple iranien, mais contre une clique qui assassine chaque jour des Syriens, des Yéménites, des Israéliens et des Iraniens. » Non rétorque Haaretz : « Israël doit éviter de se laisser entraîner dans une guerre d'usure. Les succès opérationnels ne sont pas un but en soi, estime le quotidien israélien d'opposition. Ils doivent se traduire par une démarche diplomatique qui permettrait de trouver une solution à la menace nucléaire iranienne tout en évitant de sombrer dans une guerre totale, destructrice et prolongée. » En tout cas, remarque Le Devoir à Québec, cette « guerre ouverte Iran-Israël renvoie soudain dans l'ombre, comme un élément secondaire, l'inhumain massacre de Gaza. Sur l'échiquier déréglé de la géopolitique mondiale, le sort des sites nucléaires iraniens et la lutte contre le fanatisme des ayatollahs pèsent plus que l'indicible tragédie palestinienne, qui se poursuit pourtant. » Où s'arrêtera Netanyahu ? Enfin, le Guardian à Londres s'en prend à la fois à Trump, à Khamenei et à Netanyahu : « trois vieillards en colère qui pourraient tous nous faire tuer », s'exclame le quotidien britannique. La charge contre le Premier ministre israélien est violente : « Netanyahu, 75 ans, est inapte à diriger Israël, affirme le Guardian. Il n'a pas protégé les Israéliens des attentats terroristes de 2023, puis il a esquivé ses responsabilités. Il n'a pas tenu sa promesse de détruire le Hamas et de ramener les otages, et pourtant ses soldats ont tué plus de 55 000 Palestiniens à Gaza. Il a envahi le Liban et la Syrie. Maintenant, c'est l'Iran. Où s'arrêtera-t-il ? Va-t-il ensuite s'en prendre à la Turquie ? Ce n'est pas exclu. »
Dans le cadre du partenariat du magazine IDÉES avec la revue Esprit, Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue et l'anthropologue Véronique Nahoum-Grappe, membre de son comité de rédaction, de retour d'un voyage à Damas qu'elle raconte dans l'émission. Le dossier est dirigé par deux spécialistes de la région, Joseph Bahout, professeur à l'Université américaine de Beyrouth et Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'École des Hautes études en Sciences sociales, spécialiste des Kurdes (son dernier livre, Histoire des Kurdes. Des origines à nos jours, Cerf, 2025), plusieurs fois invité dans IDÉES. Dans leur introduction, ils s'interrogent sur les conséquences de la guerre de Benyamin Netanyahu à Gaza et ses interventions dans le sud-Liban contre le Hezbollah. Sur les conséquences aussi du changement de régime à Damas après la chute de Bachar al-Assad. Ils soulignent d'autre part l'importance de l'année 1975 qui vit le début de la guerre civile au Liban. La page est-elle en train de se refermer ? Au cours de l'émission, Anne-Lorraine Bujon détaille ce dossier et, en tant que spécialiste des États-Unis, revient aussi sur l'éditorial de ce numéro intitulé « Trump first » autrement le mélange des genres chez le président américain, entre affaires publiques et affaires privées. De retour de Damas, Véronique Nahoum-Grappe, évoque, quant à elle, au micro de l'émission, le voyage qu'elle vient de faire parmi la population de Damas, la capitale syrienne. Elle en fait un compte-rendu humain et plein de couleurs qui nous permet de mieux comprendre l'état d'esprit des Syriens aujourd'hui. Programmation musicale : Naïssam Jalal & Rhythms Of Resistance - Lente impatience.
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Dans le cadre du partenariat du magazine IDÉES avec la revue Esprit, Pierre-Édouard Deldique reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue et l'anthropologue Véronique Nahoum-Grappe, membre de son comité de rédaction, de retour d'un voyage à Damas qu'elle raconte dans l'émission. Le dossier est dirigé par deux spécialistes de la région, Joseph Bahout, professeur à l'Université américaine de Beyrouth et Hamit Bozarslan, directeur d'études à l'École des Hautes études en Sciences sociales, spécialiste des Kurdes (son dernier livre, Histoire des Kurdes. Des origines à nos jours, Cerf, 2025), plusieurs fois invité dans IDÉES. Dans leur introduction, ils s'interrogent sur les conséquences de la guerre de Benyamin Netanyahu à Gaza et ses interventions dans le sud-Liban contre le Hezbollah. Sur les conséquences aussi du changement de régime à Damas après la chute de Bachar al-Assad. Ils soulignent d'autre part l'importance de l'année 1975 qui vit le début de la guerre civile au Liban. La page est-elle en train de se refermer ? Au cours de l'émission, Anne-Lorraine Bujon détaille ce dossier et, en tant que spécialiste des États-Unis, revient aussi sur l'éditorial de ce numéro intitulé « Trump first » autrement le mélange des genres chez le président américain, entre affaires publiques et affaires privées. De retour de Damas, Véronique Nahoum-Grappe, évoque, quant à elle, au micro de l'émission, le voyage qu'elle vient de faire parmi la population de Damas, la capitale syrienne. Elle en fait un compte-rendu humain et plein de couleurs qui nous permet de mieux comprendre l'état d'esprit des Syriens aujourd'hui. Programmation musicale : Naïssam Jalal & Rhythms Of Resistance - Lente impatience.
Religions du Monde reçoit en studio Mgr Pascal Gollnisch, vicaire général de l'Archevêque de Paris pour l'Ordinariat des catholiques orientaux en France, qui a dirigé l'Œuvre d'Orient depuis 2010, une organisation engagée depuis 170 ans auprès des chrétiens d'Orient dans 23 pays : au Moyen-Orient, dans la Corne de l'Afrique, en Europe Orientale et en Inde. Mgr Pascal Gollnisch quitte son mandat le 1er septembre 2025, son successeur sera Mgr Hugues de Woillemont, jusqu'à présent secrétaire général de la Conférence des Évêques de France. C'est l'occasion de faire le point avec Mgr Pascal Gollnisch sur la situation des chrétiens d'Orient – les chrétiens des origines - dont il a porté la voix pendant 15 ans en France et sur son engagement. Il nous parle des guerres et des crises passées et en cours, en Irak, en Syrie, au Liban, à Gaza, en Ukraine, en Arménie ou en Éthiopie. « Nous ne soutenons pas un confessionnalisme qui serait replié sur lui-même » insiste-t-il, lui qui a travaillé à bâtir des ponts et au vivre-ensemble apaisé malgré les fortes tensions régionales.
Religions du Monde reçoit en studio Mgr Pascal Gollnisch, vicaire général de l'Archevêque de Paris pour l'Ordinariat des catholiques orientaux en France, qui a dirigé l'Œuvre d'Orient depuis 2010, une organisation engagée depuis 170 ans auprès des chrétiens d'Orient dans 23 pays : au Moyen-Orient, dans la Corne de l'Afrique, en Europe Orientale et en Inde. Mgr Pascal Gollnisch quitte son mandat le 1er septembre 2025, son successeur sera Mgr Hugues de Woillemont, jusqu'à présent secrétaire général de la Conférence des Évêques de France. C'est l'occasion de faire le point avec Mgr Pascal Gollnisch sur la situation des chrétiens d'Orient – les chrétiens des origines - dont il a porté la voix pendant 15 ans en France et sur son engagement. Il nous parle des guerres et des crises passées et en cours, en Irak, en Syrie, au Liban, à Gaza, en Ukraine, en Arménie ou en Éthiopie. « Nous ne soutenons pas un confessionnalisme qui serait replié sur lui-même » insiste-t-il, lui qui a travaillé à bâtir des ponts et au vivre-ensemble apaisé malgré les fortes tensions régionales.
durée : 00:11:05 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - La comédienne libanaise retrouve l'auteur et metteur en scène Wajdi Mouawad dans la pièce "Journée de noces chez les Cromagnons" au Théâtre de la Colline à Paris, avec une équipe artistique libanaise. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Aïda Sabra comédienne libanaise
durée : 00:11:05 - L'Avant-scène - par : Aurélie Charon - La comédienne libanaise retrouve l'auteur et metteur en scène Wajdi Mouawad dans la pièce "Journée de noces chez les Cromagnons" au Théâtre de la Colline à Paris, avec une équipe artistique libanaise. - réalisation : Alexandre Fougeron - invités : Aïda Sabra comédienne libanaise
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Dans cette édition :Israël a mené des frappes massives contre l'Iran la nuit dernière, ciblant des sites nucléaires et militaires ainsi que de hauts responsables du régime iranien, dont le numéro 1 des Gardiens de la Révolution.La riposte iranienne est attendue et Israël se prépare à tous les scénarios, notamment des attaques de drones et des tirs de missiles balistiques depuis l'Iran et le Liban.La France appelle à la retenue et à la désescalade, le président Macron devant évoquer la solution à deux États et un plan pour la stabilité au Proche-Orient.La France Insoumise instrumentalise la situation avec l'expulsion d'Israël de l'eurodéputée Rima Hassan, qui devient un nouveau martyr pour le parti.Un drame en Haute-Marne avec le meurtre d'une professeure dans son collège, une marche blanche est organisée en hommage.Le proxénétisme de cités explose en France, avec de jeunes femmes mineures issues des quartiers exploitées par des narcotrafiquants.Des innovations technologiques stupéfiantes présentées au salon Vivatech, comme l'interprétation des ondes cérébrales pour la cybersécurité et le marketing.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Israël a mené des frappes massives contre l'Iran la nuit dernière, ciblant des sites nucléaires et militaires ainsi que de hauts responsables du régime iranien, dont le numéro 1 des Gardiens de la Révolution.La riposte iranienne est attendue et Israël se prépare à tous les scénarios, notamment des attaques de drones et des tirs de missiles balistiques depuis l'Iran et le Liban.La France appelle à la retenue et à la désescalade, le président Macron devant évoquer la solution à deux États et un plan pour la stabilité au Proche-Orient.La France Insoumise instrumentalise la situation avec l'expulsion d'Israël de l'eurodéputée Rima Hassan, qui devient un nouveau martyr pour le parti.Un drame en Haute-Marne avec le meurtre d'une professeure dans son collège, une marche blanche est organisée en hommage.Le proxénétisme de cités explose en France, avec de jeunes femmes mineures issues des quartiers exploitées par des narcotrafiquants.Des innovations technologiques stupéfiantes présentées au salon Vivatech, comme l'interprétation des ondes cérébrales pour la cybersécurité et le marketing.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Regain de tensions géopolitiques au Moyen-Orient après les frappes d'Israël contre l'Iran, visant son programme nucléaire et ses installations militaires. Au moins 20 hauts gradés iraniens ont été tués. Malgré l'enthousiasme de Donald Trump, Washington assure ne pas être impliqué dans ces frappes et avoir juste été prévenu. Des frappes qui interviennent au lendemain de l'annonce, par l'Iran, de l'accélération de sa production d'uranium enrichi. Analyse et décryptage avec l'invitée de la mi-journée de RFI, Héloïse Fayet, chercheuse au Centre d'études de sécurité de l'Institut français des relations internationales (Ifri), responsable du programme de recherche Dissuasion et prolifération. RFI : Ces frappes interviennent au lendemain de l'annonce par l'Iran de l'accélération de sa production d'uranium enrichi. Fallait-il s'attendre à cette réaction militaire israélienne ? Héloïse Fayet : Tout d'abord, l'annonce iranienne d'hier, sur l'accélération de son programme, est elle-même une réaction à une motion de censure qui a été décidée au Conseil des gouverneurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique, donc l'agence qui supervise notamment le programme nucléaire iranien. On est sur un enchaînement de causes et de conséquences. Cependant, la frappe israélienne, enfin l'opération israélienne, est à voir dans un contexte beaucoup plus global. Cela fait plusieurs années, voire plusieurs dizaines d'années, qu'Israël s'inquiète de la menace que représente l'Iran pour sa sécurité. Et s'inquiète beaucoup plus d'un programme de missiles balistiques conventionnels qui existe – et que l'Iran a déjà employé à plusieurs reprises contre Israël – plutôt que d'une menace nucléaire. Qui pour l'instant ne s'est pas concrétisée. Car rappelons qu'aujourd'hui, tous les services de renseignement du monde – ceux qui s'y intéressent –s'accordent à dire que l'Iran n'a pas d'arme nucléaire fonctionnelle. Et donc aujourd'hui ne présentait pas de menace nucléaire directe et concrète pour Israël. Qui, rappelons-le, est un État qui possède l'arme nucléaire. Le site de Natanz a été touché, mais pas ceux de Fordow et d'Ispahan. Est-ce que Natanz a un intérêt particulier pour l'armée israélienne ? Aujourd'hui, il y a deux sites principaux qui concourent à la progression du programme nucléaire iranien : le site de Natanz et le site de Fordow. En réalité, le site de Fordow est plus important pour le programme nucléaire iranien, mais il est aussi beaucoup mieux protégé. Étant donné que c'est un site en grande partie construit sous une montagne qui est donc bunkérisé et qui est extrêmement difficile à détruire. Si les Israéliens veulent effectuer des dégâts importants sur le site de Fordow, ils auraient besoin de bombes pénétrantes qu'ils n'ont pas dans leur arsenal. Ils auraient besoin d'un soutien américain s'ils voulaient faire des dommages importants sur le site de Fordow. C'est pour cela qu'ils se sont plus concentrés sur le site de Natanz qui lui est moins protégé. Mais à ce stade, c'est assez compliqué de voir, de comprendre l'étendue des dégâts qui ont été provoqués par les frappes israéliennes. Les Israéliens affirment qu'ils ont détruit des installations souterraines à Natanz. Pour l'instant, l'analyse des images satellitaires montre plutôt la destruction d'infrastructures vitales pour le bon fonctionnement du site. Mais peut-être pas de centrifugeuses, la pièce principale de la production d'uranium utilisée par l'Iran. Aujourd'hui, c'est trop tôt pour évaluer l'impact concret qui est fait par ces frappes sur le programme nucléaire iranien. En réalité, pour moi, c'est presque une attaque contre-productive par rapport au nucléaire iranien, étant donné que les dégâts ne sont à priori pas si importants que cela, mais que l'Iran avait toujours affirmé que si jamais il y avait des attaques contre ses installations nucléaires, alors plus rien ne les arrêterait pour sortir du traité de non-prolifération nucléaire et franchir le seuil nucléaire, donc effectuer les étapes techniques nécessaires pour développer une arme nucléaire. Il faut espérer que les Israéliens aient une vision différente de la chose, avec peut-être du renseignement supplémentaire. Sinon, ils viennent de donner aux Iraniens l'excuse dont ils avaient besoin pour continuer leur programme nucléaire. D'un point de vue strictement légal, du droit international, Israël avait-il le droit de frapper ces installations nucléaires ? C'est assez complexe parce que les États peuvent frapper un État souverain si jamais il y a une menace imminente sur leur propre sécurité et leur propre souveraineté. Ce sera le défi pour Israël qui, il faut le rappeler, n'est pas à une violation du droit international près, mais va devoir justifier son attaque. Ils ont commencé à le faire, notamment en publiant des vidéos et des documents et leurs propres analyses où ils considèrent que la menace iranienne sur le territoire israélien était imminente. On peut avoir une analyse un petit peu différente. Mais il faut rappeler, comme l'explique Rafael Grossi, le directeur de l'AIEA, qu'il y a un statut particulier autour des centrales nucléaires qui sont censées être des sites sensibles que l'on est censé s'abstenir de frapper. On voit bien que les Russes n'ont pas ce genre de précaution en Ukraine, où ils attaquent régulièrement la centrale de Zaporijjia. Là, nous sommes sur des échelles différentes, étant donné que le site de Natanz pose moins de risque en terme d'accidents nucléaires que Zaporijjia. Pour l'instant, l'Agence Internationale de l'énergie atomique se montre assez rassurante par rapport à la situation à Natanz. En tout cas, cela montre quand même une tendance globale à attaquer des sites nucléaires civils à des fins militaires. Quel était l'objectif d'Israël selon vous ? Prouver à l'Iran qu'il peut le frapper sur son sol, sur ses installations nucléaires ? Il faut se rappeler que ce n'est pas la première fois qu'Israël frappe l'Iran directement sur son territoire. En octobre dernier, il y avait eu un enchaînement similaire. Après la mort de Hassan Nasrallah, le chef du Hezbollah, par une frappe israélienne au Liban, les Iraniens avaient répliqué en frappant le territoire israélien, ce qui n'avait quasiment pas fait de dégâts. Ensuite, les Israéliens avaient répondu à cette frappe iranienne par des frappes sur le territoire iranien. Ils avaient déjà démontré leurs excellentes capacités de ciblage. C'est-à-dire qu'ils savaient précisément où est tel matériel, ce qui va provoquer des dégâts importants, ce qui est important pour le régime iranien. À l'époque, ils avaient détruit certains éléments de défense antiaérienne de sites sensibles du programme balistique conventionnel iranien. Là, ils montrent qu'ils peuvent le refaire. Il montre aussi qu'ils ne laissent aucune chance à la diplomatie, aucune chance aux négociations. Donald Trump avait donné le 12 juin comme date butoir des négociations sur le nucléaire iranien, qui avaient lieu entre l'Iran et les États-Unis. Il n'y a pas eu d'accord avant le 12 juin. Les Israéliens se sont sentis capables et libérés peut-être d'une sorte d'obligation vis-à-vis des États-Unis pour conduire ces frappes sur le territoire iranien. Avec, il faut le rappeler, l'autorisation évidemment des États-Unis. Donald Trump a reconnu qu'il avait été mis au courant et qu'il ne s'y était pas opposé. Il y a certains officiels israéliens qui affirment qu'ils ont eu un « green-light », un feu vert en français, donc un soutien total. Alors, pas de soutien militaire concret parce qu'à mon sens, les Américains essaient de se protéger pour éviter les répliques sur leurs propres installations militaires au Moyen-Orient. Mais il est possible qu'il y ait eu du soutien en termes de renseignement et un soutien aussi politique, évidemment. L'attaque de drones conduite en riposte sur le territoire israélien par l'Iran semble plus symbolique que réellement menaçante... Oui, les drones ont quasiment tous été interceptés avant même qu'ils n'atteignent l'espace aérien israélien. Les Iraniens devaient faire quelque chose pour répliquer immédiatement. S'il y a une riposte plus importante, elle va probablement prendre un peu plus de temps à être conçue. Parce que, comme on l'a expliqué, l'état-major iranien, qui aurait été capable de concevoir une opération et de la coordonner, a été tué. Alors, les remplaçants ont déjà été nommés pour une partie, mais il y a quand même une expertise qui a été perdue. Il y a des sites qui ont été endommagés, mais il y a aussi des lanceurs mobiles. Is ont encore la possibilité de faire des frappes contre le territoire israélien. Mais là aussi, c'est aux Iraniens de choisir s'ils veulent effectuer une attaque « tout pour le tout ». C'est-à-dire une attaque saturante avec plusieurs centaines de missiles balistiques sur une échelle encore plus importante que ce qu'on a connu en avril et en octobre. Qui pourrait réellement causer des dégâts sur le territoire israélien s'il y a une saturation de la défense anti-missile israélienne et avec un soutien occidental. Mais ce qui provoquerait peut-être de nouveau une réponse israélienne. À ce jeu-là, il est possible qu'Israël puisse tenir plus longtemps, notamment parce qu'ils sont soutenus par les Occidentaux. Ce sont les Iraniens qui ont les cartes en main, mais peut être moins de cartes qu'avant la frappe israélienne – car c'est évidemment l'objectif d'Israël que de frapper cet arsenal balistique. Ils peuvent aussi, comme on l'a dit, frapper des sites américains dans la région, mais peut-être qu'ils n'ont pas envie de trop impliquer les Américains dans cette histoire. On ne peut pas vraiment faire de pronostic. On scrutera avec beaucoup d'attention toutes les déclarations iraniennes ces prochains jours. Et les mouvements autour des bases de missiles balistiques iraniens. Est-ce une grosse perte pour l'Iran, tous ces hauts responsables qui ont été tués ? C'est une perte importante, parce que cela montre un certain état de faiblesse du régime iranien. Selon certaines informations qui commencent à apparaître, ils auraient tous été réunis dans le même bunker pour une réunion. Donc évidemment, c'étaient des cibles assez faciles à frapper. Il est quand même assez surprenant que, alors qu'il y avait déjà eu des alertes la nuit précédente concernant de possibles frappes israéliennes, que le régime iranien n'ait pris quasiment pas de précautions. Est-ce une sorte d'arrogance du côté iranien ? Mais aussi, du côté israélien, ils ne semblent pas trop se préparer, eux, à une riposte iranienne. Il est certain que, dans l'histoire, les principales victimes, ce sont les populations. C'est peut-être cela que cherche Israël, essayer à nouveau de provoquer les populations iraniennes à se révolter contre le régime. Mais même la stratégie de pression maximale économique qui avait été mise en œuvre par les États-Unis n'a pas réussi. Il me semble peu probable que cet objectif de changement de régime, qui est poursuivi insidieusement par Israël, n'aboutisse. Les États-Unis et l'Iran négocient directement en ce moment. Un sixième cycle de discussion était prévu ce dimanche. Pensez-vous qu'il aura lieu ? Les Iraniens ont dit évidemment qu'ils n'y participeraient pas. Comme tout le monde, ce vendredi matin, on se réveille et on voit l'interview de Donald Trump dans Fox News qui dit : « J'espère qu'ils viendront à la table des négociations tout de même dimanche, même s'il y aura une partie qui sera absente. » Parce qu'une partie des négociateurs ont été tués dans la frappe israélienne. Cela montre une telle déconnexion, je trouve, entre les enjeux réels et cette façon de communiquer par Donald Trump. Cela ne peut que mettre à mon avis de l'huile sur le feu. S'il imaginait qu'une telle opération, qu'il a approuvé, pourrait n'avoir aucune conséquence sur les négociations, je pense qu'il s'est complètement fourvoyé. Mais voilà, c'est la politique étrangère de Donald Trump. À lire aussiToutes les dernières infos sur l'Iran
Kazimierz Gajowy, Adam Rosłoniec i Aleksandra Smejda-Rosłoniec rozmawiają o tym, jak można pomóc Libańczykom w odbudowie państwa.
Palestine Vivra - Épisode 1 - Écocide et GreenwashingDans ce premier épisode, des membres des Carnets Palestinien, page Instagram traduisant du contenu de l'arabe ou de l'anglais vers le français, ainsi que Philippe Pernot, journaliste basé au Liban et collaborant entre autre avec le média Reporterre, évoque la dimension écocidaire du génocide à gaza, ainsi que l'utilisation du créneaux écologique dans une opération de greenwashing à destination des puissances occidentales. N'hésitez pas à les suivre sur les réseaux pour les soutenir, et pourquoi pas leur filé un coup de main !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Prenons le temps de discuter avec la chanteuse Vernis Rouge. L'occasion de parler de son dernier EP " Intro ", mais aussi de son enfance au Liban, ses premiers pas dans la musique et l'arrivée prochaine de son album.
Dans cet épisode 86, Caroline, serial expat ayant vécu au Liban, au Maroc, en Indonésie et à Singapour, nous partage son installation récente en Arabie saoudite avec sa famille. D'origine espagnole et ayant grandi à Montpellier, elle raconte son parcours multiculturel, la naissance de ses enfants au Liban et au Maroc, et son arrivée à Riyad. Malgré les réticences de son entourage liées à la condition des femmes, Caroline découvre une Arabie saoudite en pleine transformation : ouverture au tourisme, richesse culturelle, festivals, influence américaine et diversité des communautés. Elle revient sur l'importance du respect des codes vestimentaires, son apprentissage de l'arabe, et ses projets professionnels en tant qu'infirmière, enseignante ou dans le tourisme. Entre climat désertique et régions plus tempérées, Caroline déconstruit les idées reçues et recommande avec enthousiasme ce pays qui surprend par son dynamisme. Un épisode inspirant pour mieux comprendre la réalité de la vie en Arabie saoudite aujourd'hui.Pour écouter le précédent épisode sur l'ouverture d'esprit en expatriation avec Caroline : https://smartlink.ausha.co/fill-expats/ouverture-d-esprit-expatriation
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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La banlieue sud de Beyrouth a été visée jeudi soir par au moins deux frappes aériennes israéliennes. L'armée israélienne a confirmé avoir ciblé des infrastructures du Hezbollah, en particulier celles liées à son unité aérienne. Ces frappes sont survenues après la diffusion d'avertissements exigeant l'évacuation de plusieurs quartiers, notamment Al-Hadath, Haret Hreik et Burj al-Barajneh, ainsi que du village d'Ain Qana dans le sud du Liban. Cette attaque marque une nouvelle escalade dans le conflit latent entre Israël et le Hezbollah, avec pour la première fois depuis plusieurs années, des frappes en pleine banlieue sud de la capitale libanaise.
No episódio de hoje, o Dr. João Brunhara veio esclarecer algumas das dúvidas sobre Dapoxetina para Ejaculação Precoce. É importante ressaltar que consultar um especialista é fundamental para obter um tratamento completo e adequado. Vem conferir!=============================► Marque sua consulta com um urologista especializado.► Trate os problemas de ereção.► Conheça o Programa Control, o programa para controlar a ejaculação e o prazer.=============================QUEM SOMOS NÓS? Somos uma plataforma de saúde e bem estar masculino, focada em seus problemas mais íntimos, com especialidades em dermatologia, psicologia, adaptada às suas necessidades e às suas particularidades. A Omens é um projeto pensado para ajudar os homens a se cuidar, enfrentar, falar e lidar com suas preocupações.Na Omens, buscamos construir uma solução de qualidade, juntamente de especialistas, médicos e farmacêuticos brasileiros, proporcionando conteúdos, teleconsultas com médicos especializados e entrega de tratamentos e medicamentos!======================================== JOÃO BRUNHARA, O ESPECIALISTA DA OMENS• Médico Urologista.• Graduado pela USP, com formação complementar em Harvard.• Corpo Clínico dos Hospitais Albert Einstein e Sírio Libanês.• Consultor Científico da Associação Americana de Urologia.======================================== TUDO SOBRE SEXUALIDADE EM NOSSO BLOG:► Consulta urologista online: procurar um médico confiável [Teleconsultas] ► Afinal, a urologia cuida de quê? Quem devo procurar? - Blog Omens ======================================== SIGA-NOS NAS REDES SOCIAIS► Site► Instagram► Youtube► Facebook► LinkedIn► Twitter
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No episódio de hoje, o Dr. João Brunhara veio esclarecer algumas das dúvidas sobre incontinência urinária. É importante ressaltar que consultar um especialista é fundamental para obter um tratamento completo e adequado. Vem conferir!=============================► Marque sua consulta com um urologista especializado.► Trate os problemas de ereção.► Conheça o Programa Control, o programa para controlar a ejaculação e o prazer.=============================Sumário =============================QUEM SOMOS NÓS? Somos uma plataforma de saúde e bem estar masculino, focada em seus problemas mais íntimos, com especialidades em dermatologia, psicologia, adaptada às suas necessidades e às suas particularidades. A Omens é um projeto pensado para ajudar os homens a se cuidar, enfrentar, falar e lidar com suas preocupações.Na Omens, buscamos construir uma solução de qualidade, juntamente de especialistas, médicos e farmacêuticos brasileiros, proporcionando conteúdos, teleconsultas com médicos especializados e entrega de tratamentos e medicamentos!======================================== JOÃO BRUNHARA, O ESPECIALISTA DA OMENS• Médico Urologista.• Graduado pela USP, com formação complementar em Harvard.• Corpo Clínico dos Hospitais Albert Einstein e Sírio Libanês.• Consultor Científico da Associação Americana de Urologia.======================================== TUDO SOBRE SEXUALIDADE EM NOSSO BLOG:► Consulta urologista online: procurar um médico confiável [Teleconsultas] ► Afinal, a urologia cuida de quê? Quem devo procurar? - Blog Omens ======================================== SIGA-NOS NAS REDES SOCIAIS► Site► Instagram► Youtube► Facebook► LinkedIn► Twitter
Na bejruckim lotnisku trwają intensywne prace remontowe. Z kolei Fundacja Fenicja prowadzi szkolenia dla młodzieży, która będzie pracować w sektorze turystycznym.
Depuis quelques jours, une accélération des échanges se fait sentir au sein du bloc central, évoquant un véritable western politique, analyse Ruth Elkrief. « C'est le début de la bataille », précise-t-elle. Emmanuel Macron, « le shérif », est toujours en place, mais tous cherchent désormais à décrocher son étoile. Malgré ses dénégations, l'après-macronisme semble déjà amorcé et se manifeste au quotidien. Pascal Perri souligne une nouvelle ruée vers l'or, tant pour les États que pour les ménages, phénomène classique en période de crise. L'or sert aussi d'outil dans la gestion des conflits géopolitiques. En Russie, le stock d'or véritable reste mystérieux, « on ne le connaît pas », affirme-t-il. La Russie achète de l'or pour se dédollariser. La Suisse détient le plus grand stock mondial, suivie du Liban. La France se classe neuvième, derrière l'Allemagne, le Qatar et Singapour. Abnousse Shalmani revient sur l'élection de Lee Jae-myung, 60 ans, nouveau président de Corée du Sud avec 51,7 % des voix et une participation de 79,4 %. « Dès sa naissance, c'est un battant, un phénix », dit-elle. Issu d'une famille modeste, il a quitté l'école à 11 ans pour travailler en usine, puis a repris ses études tout en travaillant. Après avoir été maire puis gouverneur, il a perdu de justesse l'élection présidentielle de 2022 avant ce succès. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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L'ouverture d'esprit, on en parle beaucoup quand il s'agit de vivre à l'étranger… mais concrètement, qu'est-ce que ça veut dire ? Peut-on vraiment s'expatrier sans être prêt à faire preuve de curiosité, de tolérance, ou à remettre en question ses propres repères culturels ?Dans cet épisode, Kelly échange avec Caroline, originaire de Montpellier, infirmière de formation et maman expatriée qui a vécu au Liban, au Maroc, en Indonésie puis à Singapour. Une vie de famille à l'international, rythmée par les découvertes, les adaptations… mais aussi par les jugements parfois maladroits qu'elle a pu entendre de la part d'autres expatriés.À travers son témoignage, on parle de réflexes à déconstruire, de respect culturel, de comment mieux s'intégrer dans un nouveau pays… et de cette fameuse phrase : “je te rappelle demain”, qui ne signifie pas la même chose partout !
S'il n'existe au Liban aucune politique nationale de lutte contre la pollution au microplastique, pourtant omniprésente, de plus en plus d'acteurs de la société civile s'emparent du plastique et des déchets recyclables pour les valoriser et éviter qu'ils ne terminent dans les décharges ou au large des côtes. Au Liban, à Kfar Aabida, à 50 km au nord de Beyrouth, la plage est bordée d'immondices que des écoliers viennent nettoyer avec des bénévoles de l'ONG SWIM. « Le microplastique va aller dans l'eau. "Micro", ça veut dire qu'on ne peut pas le voir à l'œil nu. Les poissons et les algues l'absorbent et automatiquement, ça va se retrouver dans notre alimentation. Si chacun ramasse une bouteille, il peut sauver des millions et des millions de vies sous-marines », leur explique Marcos Hado, biologiste marin. Car ces particules peuvent engendrer des perturbations endocriniennes, des troubles respiratoires, des maladies cardio-vasculaires et des cancers.Les adolescents découvrent l'ampleur de la pollution en Méditerranée, la mer la plus contaminée du monde. « C'est du verre, du bois, un paquet de chips, une tortue pourrait s'étouffer avec. Elles sont en voie d'extinction. On a trouvé beaucoup de choses, franchement, je suis déçu des Libanais », confie Thalia Kannir 15 ans. « Où qu'on aille, on voit des gens qui jettent leurs déchets dans la mer, sur les plages, dans les rues », raconte Marcus Najjar, 16 ans.En moins de deux heures, ces jeunes Libanais ont rempli des dizaines de sacs de détritus et même exhumé des pneus. Une pollution venue en amont pour Marcos Hado, le biologiste marin : « Le problème, c'est que 90% de cette poubelle est venue par les rivières. Parce que les municipalités en haut de la montagne l'ont jetée dans les rivières et les rivières l'ont emportée avec les pluies et l'ont jetée sur la plage. »Les déchets seront ensuite triés et donnés à des entreprises de recyclage comme Plastc Lab au nord de Beyrouth. Fondée par deux frères, Ralph et Rami Sbeih, elle compte sept employés. Ici, rien ne se perd, tout se transforme : « On peut voir le broyage, c'est ce qu'on est en train d'obtenir, c'est la première étape pour le plastique. On est en train de transformer ce broyage en matériaux comme des poutres, des plaques, etc. »Dans l'atelier, les paillettes sont ensuite fondues. « Il y a ici des plaques chauffantes et puis on va avoir comme une sorte de pâte à modeler, ensuite cela va être injecté dans le moule. Quand c'est froid, on les met dans un bac à eau. Après, cela va prendre la forme du moule », détaille Rami Sbeih, fondateur de Plastc Lab.Matériaux de construction, meubles, et même accessoires, l'usine remodèle 60 tonnes de plastique par an. « On est un des acteurs ici au Liban qui sont en train de minimiser le volume des déchets. Le problème principal, c'est qu'il n'y a plus de place, il n'y a plus de décharge pour mettre les déchets », se désole-t-il. Alors que le seul site d'enfouissement de Beyrouth est sur le point de déborder, si rien n'est fait, les poubelles pourraient vite s'amonceler dans les rues.À lire aussiLiban: «Certains malades sont en train de mourir» du cancer faute de moyens pour se soigner
S'il n'existe au Liban aucune politique nationale de lutte contre la pollution au microplastique, pourtant omniprésente, de plus en plus d'acteurs de la société civile s'emparent du plastique et des déchets recyclables pour les valoriser et éviter qu'ils ne terminent dans les décharges ou au large des côtes. Au Liban, à Kfar Aabida, à 50 km au nord de Beyrouth, la plage est bordée d'immondices que des écoliers viennent nettoyer avec des bénévoles de l'ONG SWIM. « Le microplastique va aller dans l'eau. "Micro", ça veut dire qu'on ne peut pas le voir à l'œil nu. Les poissons et les algues l'absorbent et automatiquement, ça va se retrouver dans notre alimentation. Si chacun ramasse une bouteille, il peut sauver des millions et des millions de vies sous-marines », leur explique Marcos Hado, biologiste marin. Car ces particules peuvent engendrer des perturbations endocriniennes, des troubles respiratoires, des maladies cardio-vasculaires et des cancers.Les adolescents découvrent l'ampleur de la pollution en Méditerranée, la mer la plus contaminée du monde. « C'est du verre, du bois, un paquet de chips, une tortue pourrait s'étouffer avec. Elles sont en voie d'extinction. On a trouvé beaucoup de choses, franchement, je suis déçu des Libanais », confie Thalia Kannir 15 ans. « Où qu'on aille, on voit des gens qui jettent leurs déchets dans la mer, sur les plages, dans les rues », raconte Marcus Najjar, 16 ans.En moins de deux heures, ces jeunes Libanais ont rempli des dizaines de sacs de détritus et même exhumé des pneus. Une pollution venue en amont pour Marcos Hado, le biologiste marin : « Le problème, c'est que 90% de cette poubelle est venue par les rivières. Parce que les municipalités en haut de la montagne l'ont jetée dans les rivières et les rivières l'ont emportée avec les pluies et l'ont jetée sur la plage. »Les déchets seront ensuite triés et donnés à des entreprises de recyclage comme Plastc Lab au nord de Beyrouth. Fondée par deux frères, Ralph et Rami Sbeih, elle compte sept employés. Ici, rien ne se perd, tout se transforme : « On peut voir le broyage, c'est ce qu'on est en train d'obtenir, c'est la première étape pour le plastique. On est en train de transformer ce broyage en matériaux comme des poutres, des plaques, etc. »Dans l'atelier, les paillettes sont ensuite fondues. « Il y a ici des plaques chauffantes et puis on va avoir comme une sorte de pâte à modeler, ensuite cela va être injecté dans le moule. Quand c'est froid, on les met dans un bac à eau. Après, cela va prendre la forme du moule », détaille Rami Sbeih, fondateur de Plastc Lab.Matériaux de construction, meubles, et même accessoires, l'usine remodèle 60 tonnes de plastique par an. « On est un des acteurs ici au Liban qui sont en train de minimiser le volume des déchets. Le problème principal, c'est qu'il n'y a plus de place, il n'y a plus de décharge pour mettre les déchets », se désole-t-il. Alors que le seul site d'enfouissement de Beyrouth est sur le point de déborder, si rien n'est fait, les poubelles pourraient vite s'amonceler dans les rues.À lire aussiLiban: «Certains malades sont en train de mourir» du cancer faute de moyens pour se soigner
Le Parlement autrichien examine jusqu'au 10 juin un décret pour mettre fin au regroupement familial pour les réfugiés. Les associations dénoncent une mesure d'affichage, alors que le nombre de regroupements a chuté en 2024. Reportage à Vienne à la rencontre de mineurs isolés qui n'ont plus espoir d'être réunis avec leurs parents. De notre correspondante à Vienne, La résidence pour les demandeurs d'asile mineurs est un immeuble à l'aspect maussade, dans le 10ᵉ arrondissement de Vienne. Dans une salle de réunion spartiate, ce jeune préfère rester anonyme. Il vient de Syrie, mais connaît bien ce terme du jargon administratif : le « regroupement familial ». Les réfugiés venus de Syrie font en effet l'objet de restrictions depuis la chute de Bachar el-Assad, et que l'Autriche a lancé des processus de révision de leurs droits de séjour. C'est maintenant au tour du regroupement familial, un droit qui permet à un réfugié installé dans un pays de faire venir sa famille proche auprès de lui.Un coup dur pour ce jeune de 17 ans, qui pensait revoir bientôt ses parents et son petit frère, actuellement réfugiés en Turquie. « Pour moi, c'est très grave. J'attendais ça depuis trois ans. Je suis arrivé ici à 14 ans et mes parents me manquaient. Ma famille a fait les démarches, ils sont allés jusqu'au Liban pour prendre rendez-vous et faire un visa. Maintenant, je ne peux plus rien faire. Tous mes plans se sont effondrés. C'est très grave pour moi », se désole-t-il. À lire aussiRegroupement familial : en Autriche, des réfugiés plongés dans l'angoisse et l'incertitudeEn 2024, les Syriens formaient 90% des effectifs du regroupement familial. Alors, quel intérêt de légiférer alors que les chiffres sont déjà en baisse ? L'association Asylkoordination, qui représente les ONG autrichiennes du secteur de l'asile, donne des éléments de réponse. Le gouvernement présente son projet comme un moyen de stopper les pères qui veulent faire venir femmes et enfants, car ces derniers mettraient le système scolaire en état d'urgence.Lukas Gahleitner-Gertz, le porte-parole de l'association, dénonce des amalgames. « Par exemple, le gouvernement met en avant le nombre d'écoliers qui parlent une autre langue que l'allemand à la maison, explique-t-il. Mais on ne peut pas confondre ce chiffre avec celui des enfants qui n'ont pas le niveau pour suivre des cours en allemand. Certains parlent une autre langue à la maison et comprennent par ailleurs très bien l'allemand. C'est un type d'argument proche de ceux de l'extrême droite. »À Vienne, 45% des enfants entrent à l'école sans pouvoir suivre les cours en allemand. Une réelle difficulté, mais seulement dans la capitale et seulement la première année de leur scolarité, le chiffre baisse par la suite. C'est pour cela que l'Asylkoordination affirme que la mesure décidée sous la houlette des conservateurs relève surtout du populisme. À lire aussiMigration : le Conseil de l'Europe refuse d'affaiblir la Convention des droits de l'Homme, un revers pour neuf États
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Le Parlement autrichien examine jusqu'au 10 juin un décret pour mettre fin au regroupement familial pour les réfugiés. Les associations dénoncent une mesure d'affichage, alors que le nombre de regroupements a chuté en 2024. Reportage à Vienne à la rencontre de mineurs isolés qui n'ont plus espoir d'être réunis avec leurs parents. De notre correspondante à Vienne, La résidence pour les demandeurs d'asile mineurs est un immeuble à l'aspect maussade, dans le 10ᵉ arrondissement de Vienne. Dans une salle de réunion spartiate, ce jeune préfère rester anonyme. Il vient de Syrie, mais connaît bien ce terme du jargon administratif : le « regroupement familial ». Les réfugiés venus de Syrie font en effet l'objet de restrictions depuis la chute de Bachar el-Assad, et que l'Autriche a lancé des processus de révision de leurs droits de séjour. C'est maintenant au tour du regroupement familial, un droit qui permet à un réfugié installé dans un pays de faire venir sa famille proche auprès de lui.Un coup dur pour ce jeune de 17 ans, qui pensait revoir bientôt ses parents et son petit frère, actuellement réfugiés en Turquie. « Pour moi, c'est très grave. J'attendais ça depuis trois ans. Je suis arrivé ici à 14 ans et mes parents me manquaient. Ma famille a fait les démarches, ils sont allés jusqu'au Liban pour prendre rendez-vous et faire un visa. Maintenant, je ne peux plus rien faire. Tous mes plans se sont effondrés. C'est très grave pour moi », se désole-t-il. À lire aussiRegroupement familial : en Autriche, des réfugiés plongés dans l'angoisse et l'incertitudeEn 2024, les Syriens formaient 90% des effectifs du regroupement familial. Alors, quel intérêt de légiférer alors que les chiffres sont déjà en baisse ? L'association Asylkoordination, qui représente les ONG autrichiennes du secteur de l'asile, donne des éléments de réponse. Le gouvernement présente son projet comme un moyen de stopper les pères qui veulent faire venir femmes et enfants, car ces derniers mettraient le système scolaire en état d'urgence.Lukas Gahleitner-Gertz, le porte-parole de l'association, dénonce des amalgames. « Par exemple, le gouvernement met en avant le nombre d'écoliers qui parlent une autre langue que l'allemand à la maison, explique-t-il. Mais on ne peut pas confondre ce chiffre avec celui des enfants qui n'ont pas le niveau pour suivre des cours en allemand. Certains parlent une autre langue à la maison et comprennent par ailleurs très bien l'allemand. C'est un type d'argument proche de ceux de l'extrême droite. »À Vienne, 45% des enfants entrent à l'école sans pouvoir suivre les cours en allemand. Une réelle difficulté, mais seulement dans la capitale et seulement la première année de leur scolarité, le chiffre baisse par la suite. C'est pour cela que l'Asylkoordination affirme que la mesure décidée sous la houlette des conservateurs relève surtout du populisme. À lire aussiMigration : le Conseil de l'Europe refuse d'affaiblir la Convention des droits de l'Homme, un revers pour neuf États
The Football Royal Rumble MAKES A RETURN! Every 3 minutes a new debate enters the arena for us to discuss. Let us know what you thought about each debate! Welcome to Barra Bruvvas.Join the Bruvvahood:https://instagram.com/BarraBruvvashttps://x.com/BarraBruvvashttps://www.tiktok.com/@barrabruvvas Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Avec Rodolphe Istre et François-Xavier Gicquel, directeur des opérations de SOS Chrétiens d'Orient
Send us a textNeste episódio, recebemos Thays Ribeiro, coordenadora de GRC de Segurança da Informação no Hospital Sírio-Libanês, para um papo direto e inspirador sobre cibersegurança hospitalar, carreira em TI e liderança empática em ambientes críticos. De projetos sociais ao comando de estratégias em um dos maiores hospitais da América Latina, Thays compartilha como encontrou seu lugar na tecnologia – mesmo sem ter começado por ela.
Send us a textEla saiu da indústria, mergulhou na cibersegurança hospitalar e hoje lidera com propósito em um dos hospitais mais respeitados do Brasil.No próximo episódio do PodCafé Tech, recebemos Thays, especialista em GRC e inclusão digital no Hospital Sírio Libanês, uma mulher que une neurociência, empatia e tecnologia para transformar realidades.
Omar Youssef Souleimane, journaliste et poète syrien est né en 1987 près de Damas. Adolescent en Arabie Saoudite, il suit une éducation coranique tout en se nourrissant de la poésie d'Éluard et d'Aragon. Menacé, il est exfiltré à Paris, où il vit aujourd'hui. Il a publié Loin de Damas, un recueil de poèmes aux Éditions Le temps des cerises, et chez Flammarion : Le petit terroriste (2018), Le dernier Syrien (2020) et Une chambre en exil (2022). Son nouveau roman s'intitule L'Arabe qui sourit. « Je veux que cette histoire soit terminée pour rentrer en France. En même temps, une porte s'ouvre pour moi, m'offre la tranquillité incroyable de ma terre natale, celle de vivre hors du temps, sans pression, sans rien attendre. Les gens marchent, mangent, boivent, très lentement, ils sont comme avant : ils n'ont rien à foutre du monde entier. »Un ami disparu, un nouvel amour, une dernière aventure. De La Rochelle à la Syrie en passant par Beyrouth, L'Arabe qui sourit est le récit d'un retour d'exil vers un Proche-Orient aimé où la poésie d'Omar Youssef Souleimane se déploie sur fond d'enquête clandestine. (Présentation des éditions Flammarion).Musique : Fouq annakhl, de Sabah Fakhri.
Voilà une question qui paraît simple, presque enfantine — et pourtant, sa réponse nous entraîne dans un voyage de plus de 3 000 ans, entre écritures anciennes, transmission culturelle et évolution phonétique. Car non, le choix de cette première lettre n'est pas arbitraire.Aux origines : un bœuf phénicienTout commence vers 1700 av. J.-C., chez les Phéniciens, un peuple de marins et de commerçants établi sur les côtes du Liban actuel. Ils développent un alphabet composé de 22 signes consonantiques — c'est l'un des tout premiers alphabets de l'histoire. Et la première lettre s'appelle ? aleph, ce qui signifie… "bœuf" en langue sémitique.Graphiquement, cette lettre représentait à l'origine une tête de bœuf stylisée, vue de face, avec deux cornes. Avec le temps, ce pictogramme se simplifie et s'incline à 90°, pour donner — des siècles plus tard — notre lettre A majuscule.D'Aleph à AlphaLes Grecs, qui adoptent l'alphabet phénicien vers le 9e siècle av. J.-C., gardent l'ordre des lettres mais adaptent leur prononciation. Le aleph devient alpha, et surtout, il gagne un son vocalique (le « a » que nous connaissons), car le grec avait besoin de voyelles, contrairement au système phénicien, purement consonantique.Les Grecs conservent aussi l'ordre alphabétique original — non pas pour des raisons linguistiques, mais par tradition. Cet ordre est ensuite transmis aux Romains, qui l'intègrent dans le latin, devenu à son tour le socle des alphabets occidentaux modernes, dont le nôtre.Pourquoi garder cet ordre ?Le classement alphabétique est resté essentiellement par convention. Une fois que les sociétés ont commencé à classer les informations — listes, dictionnaires, inventaires — il était pratique de garder un ordre fixe. Comme le aleph était déjà en tête chez les Phéniciens, le A s'est figé en première position au fil des siècles.Il n'y a donc aucune raison phonétique ou logique pour que le A soit en premier — c'est simplement une tradition millénaire, d'origine sémitique, transmise intacte jusqu'à aujourd'hui.En résuméL'alphabet commence par la lettre A parce qu'il descend du aleph phénicien, un symbole de bœuf devenu lettre. De l'Orient ancien à nos claviers modernes, le A est le premier par héritage culturel, pas par choix raisonné. Comme souvent dans l'histoire : c'est la coutume, et non la logique, qui fait autorité. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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Federico analiza las nuevas revelaciones sobre el nuevo caso de corrupción que afecta al PSOE, la relación de Gustavo Matos con un narco libanés.
Un ouvrage de 234 pages pour retracer l'Histoire du Liban depuis le 19e siècle. Un pays au potentiel culturel et économique gigantesque, mais empêtré dans une violence qui semble inextricable. Dans son livre Liban : état de survie, Fouad Khoury-Helou dresse le portrait d'un pays rongé par ses dissensions internes. Un pays et une société qu'il connaît bien puisqu'il est le directeur du grand quotidien libanais l'Orient-Le Jour. À lire aussiGuerre civile du Liban: «50 ans après, la problématique principale n'a pas changé»
Cette semaine dans le Paris des Arts, Valérie Fayolle part à la rencontre d'un comédien et écrivain qui joue et qui écrit comme il respire. Jacques Gamblin est notre invité, à l'occasion de la sortie de son roman "Mère à l'horizon". Il nous emmène au Centquatre, espace de passage et de rencontres à Paris. Cette fourmilière créative attire les passionnés d'arts. Et puis, une immersion dans les coulisses de la création avec la chanteuse franco-libanaise Hiba Tawaji, en préparation d'un nouvel album.
Après le 8 octobre 2023 et l'offensive lancée par le Hezbollah - en solidarité avec le Hamas à Gaza -, 60 000 personnes ont été priées d'évacuer les villages et communautés frontalières au Liban. En mars, le gouvernement israélien a décrété que le retour était possible, mais toutes ne sont pas revenues. Dans le nord d'Israël, le Kibboutz de Kfar Blum, lui, se trouvait juste en dehors de la zone d'évacuation. Trop loin pour que les habitants puissent bénéficier d'une aide gouvernementale pour se réinstaller ailleurs, mais suffisamment proche du Liban pour constituer une cible de choix pour le Hezbollah. Jeux d'enfants dans l'école élémentaire de Kfar Blum. Loin des sons de la guerre qui rythmaient le quotidien l'an dernier.« Ça, c'est une roquette qui part ! Ah, là, elle est tombée. Ils ont tout appris, les enfants, souligne-t-elle en riant. Ils sont très intelligents. Ils se sont habitués à la situation, et je pense que, le soir, ils devaient regarder les informations ! »Limor Dadon et Shani Saar sont deux enseignantes. Elles habitent ailleurs, mais n'ont jamais quitté leur poste, même quand les sirènes hurlaient et les roquettes tombaient. « Certains enfants ont quand même développé de l'anxiété. J'ai un élève qui malheureusement s'est fait pipi dessus en entendant le son des sirènes d'alerte. Il faut s'occuper de quinze enfants qui demandent en panique "mon Dieu qu'est-ce-qui se passe ?". Mais il faut aussi s'occuper de ce garçon qui a peur, et qui a honte de ce qui s'est passé. En tant qu'enseignante, il faut montrer de la force, montrer qu'on contrôle la situation. C'est le plus important. »« En fait, instaurer une routine les aide à rester sains d'esprit. Il faut leur dire "OK, il y a tout ça autour de nous, mais ça va aller". »À lire aussiGuerre au Liban: le cessez-le-feu entre le Hezbollah et Israël a débutéKfar Blum ne sera plus jamais pareil« On a commencé à travailler sans clients, et sans travailleur. On n'avait pas de clients, pas de visiteurs, on n'avait rien. » Elyse est une cadre de l'hôtel Pastoral. Elle décrit la réalité pendant la guerre dans ce lodge de luxe depuis janvier. Après d'immenses efforts de la direction, la main d'œuvre est presque entièrement revenue. « 80 % et on attend, on attend jusqu'à ce que tous les gens retournent avec les enfants. L'année prochaine, j'espère qu'on aura tous nos travailleurs ici. »« Quand tous les habitants seront rentrés, que trouveront-ils ? Quelques maisons partiellement abimées, à réparer sans l'aide du gouvernement puisque les autorités n'ont pas évacué le village », s'exclame Masha. La vieille dame habite Kfar Blum depuis 1955. Pour elle, une chose plus importante encore s'est brisée à Kfar Blum. « Ici, ça ne sera plus jamais comme avant. On ne parle même plus des sujets qui fâchent entre nous. Ça part en hurlements. Ce n'est pas comme en ville où tout le monde s'exprime. On n'est pas ennemis pourtant, on est tous Israéliens. Mais si vous n'êtes pas avec ce gouvernement, Bibi et les autres, on vous déteste et c'est cela qu'ils cherchent. »« Ils », ce sont les soldats du Hezbollah de l'autre côté de la frontière. Dans le nord d'Israël, nombreux sont ceux qui pensent que la menace n'a pas disparu. Des familles avec enfants attendent la fin de l'année scolaire pour se décider éventuellement à retourner à Kfar Blum. Sur les 60 000 personnes évacuées des localités du nord, la moitié seulement seraient rentrées.À lire aussiLiban: la confiance entre le Hezbollah et les nouvelles autorités libanaises se fissure
durée : 00:58:47 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - La ville de Beyrouth est à l'honneur, d'une rue du Liban dans les années 1970, à un voyage plus contemporain. Beyrouth, ville-monde, à la fois blessée et flamboyante, fragile et tenace. Une ville que la littérature n'a de cesse d'interroger, de raconter, et qui est au cœur de ces ouvrages singuliers - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Selim Nassib Écrivain; Dima Abdallah Écrivaine
Au programme : Des présidents de départements coupables de fermer les yeux sur le sort des enfants placés ? / Ahmed Al-Charaa, les massacres en Syrie... puis la visite de courtoisie en France. / Le Liban, éternel otage des rivalités internationales !
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Au Liban, les journaux parlent des bombardements israéliens en Syrie. Au Brésil, la police a déjoué un projet d'attentat lors d'un concert de Lady Gaga. Au Japon, un chambelllan a détourné de l'argent du compte personnel de l'empereur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Liban, les journaux parlent des bombardements israéliens en Syrie. Au Brésil, la police a déjoué un projet d'attentat lors d'un concert de Lady Gaga. Au Japon, un chambelllan a détourné de l'argent du compte personnel de l'empereur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec « Sombre lagune », qui paraît aux éditions Fayard, nous plongeons dans les eaux troubles d'Abidjan, notamment dans le milieu des trafiquants de drogue et des hauts fonctionnaires corrompus. C'est donc un roman policier. Mais comme son auteur s'appelle Antoine Glaser, journaliste et expert en géopolitique, ce livre est aussi un roman à clés, dans lequel certains personnages de fiction dépeignent des personnes réelles que le reporter a croisées dans ses enquêtes en Côte d'Ivoire. Alors qui est qui ? Antoine Glaser répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI : Antoine Glaser, bonjour,Antoine Glaser : Bonjour,Sombre lagune raconte le combat d'un petit barbouze français contre la mafia d'Abidjan. On croise des trafiquants libanais, un flingueur marocain. Et ce qui frappe, c'est que la guerre du cacao a laissé la place à celle de la cocaïne ?Absolument, on a l'impression maintenant que la cocaïne est absolument intégrée dans le cacao, qui reste la première production de la Côte d'Ivoire. Mais on voit comment des narcotrafiquants ont pu planquer la cocaïne dans le cacao, il fallait y penser.En 2021, deux tonnes de cocaïne ont été saisies dans les ports d'Abidjan et de San Pedro. Et on vient de juger, je crois, le chef de la cellule antidrogue du port d'Abidjan ?Oui, parce que ce n'est pas particulier à la Côte d'Ivoire, on voit comment la police, les douaniers, des gens qui n'ont pas forcément des salaires extrêmement élevés, se laissent corrompre avec une grande facilité. Et quand c'est dans le port du Havre, on en parle vraiment comme quelque chose de quotidien. Et bien à Abidjan, c'est la même chose, simplement à Abidjan, il n'y a pas tous les jours des arrestations.Et c'est ce fait divers de 2021 qui vous a donné l'idée de ce livre ?Ce qui m'a donné l'idée de ce livre, c'est vrai qu'il y a eu en Côte d'Ivoire un certain nombre de personnes qui ont disparu et l'idée du livre a vraiment germé à partir de ces disparitions.Alors, il y a un enquêteur qui a disparu il y a 21 ans, dont tout le monde se souvient, c'est notre confrère Guy André Kieffer qui travaillait pour vous, Antoine Glaser, quand vous étiez le directeur de la Lettre du continent. Alors à l'époque, il a été kidnappé sur le parking d'un supermarché et depuis, on n'a jamais retrouvé son corps. Est-ce que vous avez pensé à lui en écrivant ce livre ?Oui, en partie. J'ai pensé à Guy André Kieffer, mais comme je n'ai pas enquêté réellement sur sa disparition, c'est vrai que j'ai pensé, mais j'ai fait en sorte que ça ne soit pas non plus son histoire. Guy André, il enquêtait beaucoup sur les trafics de cacao entre les pays, mais il enquêtait aussi sur la Guinée-Bissau, à l'époque du général Ansoumane Mané, donc je veux dire, c'était un ensemble, mais bien sûr, j'ai pensé à Guy André Kieffer. En fait, cette fiction, c'est une toile de fond, c'est plusieurs histoires en une, c'est une ambiance. J'adore Abidjan aussi. C'est cette lagune qui pour moi est totalement mystérieuse. Il y a 15 millions de personnes qui vivent à Abidjan et avec cette mixité de tous les pays voisins, c'est une capitale qui me fascine.Dans ce livre, Antoine Glaser, vous avez une écriture sèche, une écriture de polar. Mais quelques fois, au détour d'une phrase, comme « le cash bloqué au Liban coule à présent dans le béton ivoirien », on retrouve le style un petit peu imagé et fleuri de la Lettre du continent, qui s'appelle aujourd'hui Africa Intelligence. Romancier d'un jour, journaliste toujours ? Oui, bien sûr. C'était extrêmement difficile pour moi cette fiction, parce que, évidemment, je voyais Guy Andy Kieffer, j'en revoyais d'autres et c'était compliqué. Évidemment, c'est une fiction qui m'a demandé beaucoup de travail parce que j'avais toujours envie d'écrire et d'enquêter sur la réalité de tout ça.Alors, vous cachez évidemment de vrais personnages sous des pseudos et l'un des hommes clés de votre roman, c'est le tout-puissant ministre de l'Intérieur, Bamba. « Colosse et bon vivant », écrivez-vous. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à Ahmed Bakayoko, le défunt ministre de l'Intérieur de Côte d'Ivoire.Oui et non, ce n'est pas Ahmed Bakayoko, mais c'est vrai que bon, Ahmed Bakayoko c'est vrai qu'il était le tout-puissant ministre de l'Intérieur, ensuite Premier ministre. C'est vrai que lui, un peu comme le personnage Bamba, lui aussi, il voulait aussi peut-être accéder aux plus hautes fonctions de l'État. Mais dans la fiction, on ne sait pas comment il est mort, Bamba. Donc voilà, encore une fois, c'est vraiment une fiction. Alors comme toile de fond évidemment, il faut quand même qu'il y ait des choses qui sont réelles, hein. Donc oui, c'est décalé, mais avec une toile de fond qui est la réalité du pays.Dans votre livre où la lagune est bien sombre, vous écrivez : « des aigrettes blanc immaculé picorent les jambes effilochées et sanguinolentes du corps de la jeune femme », le contraste est fort !Oui, mais justement, dans les « maquis » d'Abidjan, quand je regarde et que je me perds là, les yeux sur la lagune, je suis toujours autant révolté que fasciné de voir ces magnifiques oiseaux blancs se poser sur des détritus et de voir une lagune totalement polluée. En particulier, bien évidemment, avec le port d'Abidjan, la raffinerie et cetera, et c'est vrai qu'il y a des problèmes de pollution qui sont extrêmes et donc c'est vrai que ces contrastes, c'est fascinant.RFI : Antoine Glaser, merci.À lire aussiCôte d'Ivoire: plusieurs partis d'opposition appellent au dialogue
Israël a annoncé avoir ciblé des membres du Hezbollah lors d'une frappe au Liban, coïncidant avec la visite d'une émissaire américaine.Traduction:Israel announced targeting Hezbollah members in a strike in Lebanon, coinciding with a U.S. envoy's visit. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.