Country in the Middle East
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No segundo episódio da série Tomada de Decisão, o diretor médico da Afya e editor-chefe do Whitebook, Dr. Ronaldo Gismondi, recebe o Dr. Yuri Albuquerque — médico do Hospital Sírio-Libanês, intensivista e doutorando pela USP, com formação em Clínica Médica pela UERJ e R3 pela UFRJ — para discutir um caso real de pneumonia comunitária grave.A partir de um paciente idoso com febre, dispneia e rebaixamento do nível de consciência, eles exploram o raciocínio clínico necessário para definir exames prioritários, critérios de gravidade, momento ideal para iniciar antibiótico e suporte ventilatório adequado.Com uma conversa dinâmica e didática, o episódio mostra como pensar de forma estruturada diante de uma emergência respiratória, ajudando estudantes e médicos em início de carreira a aprimorar sua tomada de decisão à beira do leito.#TomadaDeDecisão #CasosClínicos #PneumoniaComunitária #RaciocínioClínico #ClínicaMédica #Afya #Whitebook #Medicina #MedicinaInterna #TerapiaIntensiva #EmergênciaMédica #DiagnósticoDiferencial #PneumoniaGrave #DoençasRespiratórias #ExameFísico #Antibioticoterapia #SuporteVentilatório #CuidarÉCiência #FormaçãoMédica #DiscussãoDeCasos #MedStudent #ResidênciaMédica #Hospital #AprendizadoClínico #RonaldoGismondi #YuriAlbuquerque #MedicinaBaseadaEmEvidências #PráticaMédica
La poétique du souvenir avec Yasmine Hamdan (Liban) et Christine Zayed (Palestine). Yasmine Hamdan est notre 1ère invitée pour la sortie de son 3ème album I Remember I Forget Yasmine Hamdan a d'abord surgi sur la scène musicale avec la formation indie électronique pionnière Soapkills, formée avec Zeid Hamdan dans le Beyrouth de la fin des années 90. Le répertoire entêtant et irrévérencieux du duo ainsi que ses visuels auront rayonné créativement à travers le monde arabe et au-delà, culminant avec une anthologie en 2015. Après s'être installée à Paris en 2005, la musicienne collabore avec le producteur Mirwais (ex-Taxi Girl et producteur de Madonna) pour le projet Y.A.S., à l'origine d'un album dansant et raffiné, Arabology, paru chez Universal en 2009. Depuis, elle s'est fait un nom au-delà des frontières en tant qu'autrice-compositrice et productrice solo, entrelaçant avec élégance des univers éloignés comme la poésie, la pop et la tradition panarabe, l'electronica, la soul ou encore la guitar music. Elle a collaboré avec des cinéastes de tous horizons tels que Elia Suleiman, Jim Jarmusch (chantant notamment à l'écran dans le film de 2013 Only Lovers Left Alive), Daniele Arbid ou Ghassan Salhab, et a joué au sein de projets collectifs majeurs comme Africa Express. En solo, Yasmine Hamdan a sorti un premier disque en 2013, Ya Nass, un en 2017, Al Jamilat, et à présent son troisième album I Remember I Forget, co-produit aux côtés de son collaborateur de longue date Marc Collin (Nouvelle Vague). La mémoire est une force sans pareille. I Remember I Forget [Je me souviens que j'oublie] succède à deux disques solo salués à l'international, Ya Nass (2013) et Al Jamila (2017). L'album scelle la réputation de Yasmine Hamdan en tant que conteuse talentueuse, performeuse captivante et défricheuse indépendante. L'artiste polyglotte, née à Beyrouth et installée à Paris, a toujours mêlé dans sa musique l'intime, le poétique et la politique, souvent avec un humour vif, puisant ses influences dans les dialectes et sonorités du monde pan-arabe et d'ailleurs. C'est plus que jamais le cas sur ce nouvel album, un ensemble de chants de beauté et de fureur légitime, forgé dans le tumulte de crises mondiales, notamment l'explosion en 2020 du port de Beyrouth et l'effondrement économique du Liban (désastre financier qui aura protégé l'élite aux dépens du plus grand nombre). Dans un monde moderne de plus en plus fracturé, les prises de parole de Yasmine Hamdan semblent plus vitales que jamais. «Pour cet album, je voulais m'attacher à un lieu spécifique — et il fallait que ce soit le Liban», explique Yasmine Hamdan. «Mon lien avec le Liban et ce qui lui est arrivé a constitué le terreau à partir duquel j'ai commencé à écrire et composer l'album. Cependant, au fur et à mesure du processus créatif, cet endroit est devenu un symbole, une métaphore, une catharsis pour ce qui se passe plus largement dans le monde et à travers l'expérience collective.» «En dépit de la douleur ressentie devant ce qui est infligé à mon lieu de naissance, s'est installé peu à peu un sentiment de tendresse, de familiarité, ce qui m'a apporté de l'espoir et de l'inspiration. Beyrouth a certainement continué à être généreuse avec moi», raconte-t-elle. Yasmine Hamdan s'est ainsi attelée à l'écriture des chansons, renouant pour l'occasion avec un collaborateur de longue date, Marc Collin (Nouvelle Vague). I Remember I Forget a été produit sous la tutelle de leurs labels respectifs, Hamdanistan et Kwaidan, et paraît chez Crammed Discs / [PIAS]. Titres joués durant l'entretien : I Remember I Forget, Shmaali, Shadia et The Beautiful Losers. ► Album I Remember I Forget (Crammed Discs / [PIAS] 2025). Site Yasmine Hamdan - Bandcamp. YouTube. Actu concert 18 mars, Paris Le Trianon. Puis la #SessionLive reçoit Christine Zayed pour l'album Kama Kuntu. Née dans une famille mélomane de Palestine, élevée entre Jérusalem et Ramallah, Christine Zayed est une chanteuse, une compositrice et une instrumentiste, virtuose du qanûn. Elle a été initiée dès son plus jeune âge à la musique arabe classique et contemporaine, ainsi qu'à la musique traditionnelle palestinienne. Son répertoire s'appuie principalement sur la musique arabe classique, basée sur le maqam (la science et la pratique de l'improvisation modale arabe), et sur la poésie arabe, en particulier la poésie palestinienne contemporaine. Ses compositions, fortement ancrées dans la tradition, sont résolument contemporaines, recherchant les chemins de la modernité dans le croisement avec d'autres univers musicaux. Elle vit et travaille en France depuis quelques années et collabore à de multiples projets, notamment au sein de l'Ensemble Chakâm ou du groupe Atine. Elle se produit en solo ou en trio avec le flûtiste Sylvain Barou et le percussionniste Habib Meftah interprétant un répertoire que l'on retrouve dans son premier album, Kama Kuntu («Ce que j'étais»). On y croise plusieurs invités, notamment Piers Faccini. Titres interprétés au grand studio : - Avant que je photographie les oiseaux, Live RFI - Animal, Feat. Piers Faccini, extrait de l'album - Ghalimi Live RFI. Line Up : Christine Zayed (qanûn, chant), Sylvain Barou (flûtes, duduk) et Habib Meftah (percussions) Son : Mathias Taylor, Benoît Letirant. ► Album Kama Kuntu (T-Rec 2024). Site - YouTube. Actu concerts : 11 décembre – Festival NoBorder, Brest // en trio + 12 décembre – Le Chenal, Porspoder // dans le cadre de NoBorder // en trio.
Charif Majdalani est écrivain et professeur à l'Université Saint-Joseph à Beyrouth. Il est l'auteur d'une dizaine de livres dont «Histoire de la grande maison» (Seuil, 2005), «Villa des femmes» (Seuil, prix Jean Giono 2015), «Beyrouth 2020 : Journal d'un effondrement» (Actes Sud, prix spécial du jury Femina 2020) et «Dernière Oasis» (Actes Sud, 2021). Son nouveau roman «Le nom des rois» (Stock) a été sélectionné pour le Prix Goncourt 2025. « Et d'un seul coup, le monde qui servait de décor à tout cela s'écroula. J'en avais été un témoin distrait, mais le bruit qu'il provoqua en s'effondrant me fit lever la tête et ce que je vis alors n'était plus qu'un univers de violence et de mort. C'est de celui-là que je suis devenu contemporain. J'avais été, durant des années, dispensé d'intérêt pour ce qui se passait autour de moi par ma passion des atlas, par les royautés anciennes et inutiles et par les terres lointaines et isolées, les berceaux de vieux empires oubliés. Désormais, l'histoire se faisait sous mes yeux et je la trouvais moche, roturière et vulgaire. » (Charif Majdalani) Éditions Stock. Un an après les attaques perpétrées au Liban à l'automne 2024, dix-sept auteurs, tous liés au pays, prennent la plume. Que ce soit sous forme de nouvelle, de lettre, d'article, d'illustration, de poème, de récit ou de souvenir, ils unissent leurs voix pour nous offrir un magnifique recueil collaboratif en soutien au pays du Cèdre. Préface de Céline Bentz. Au Liban, 1,9 million d'enfants et leurs familles font face à une crise humanitaire sans précédent. L'UNICEF est sur le terrain pour leur apporter eau potable, nutrition, soins de santé, éducation et soutien psychosocial. En achetant ce livre, vous contribuez directement au soutien de ces actions vitales. Aidez-les à répondre à l'urgence ! UNICEF 1 livre acheté = 500 comprimés de purification d'eau (Le Livre de Poche).
Kế hoạch hòa bình cho Gaza của tổng thống Mỹ Donald Trump được các bên xung đột chấp thuận và giai đoạn một đã nhanh chóng được triển khai vào giữa tháng 10/2025. Lần đầu từ kể khi xung đột bùng nổ cách nay hai năm, viễn cảnh hòa bình lâu dài cho Gaza hé mở. Giải giáp lực lượng quân sự của Hamas là đòi hỏi chủ yếu của Israel để tổ chức mà nhiều nước phương Tây coi là « khủng bố » này không còn là mối đe dọa với Nhà nước Do Thái. Tổ chức Hamas không tự nguyện buông súng và để ngỏ khả năng gắn liền vấn đề này với sự ra đời của một Nhà nước Palestine có chủ quyền. Theo giới quan sát, viễn cảnh giải giáp lực lượng Hamas, một nội dung chính trong kế hoạch hòa bình 20 điểm của tổng thống Mỹ, có khả năng thực thi được hay không là một vấn đề còn hoàn toàn để ngỏ. Hamas suy yếu, buộc phải chấp nhận thỏa thuận « hạ vũ khí » Sau khi kế hoạch 20 điểm của tổng thống Mỹ được công bố, chuyên gia về chiến tranh đô thị John Spencer, Học viện Quân sự Hoa Kỳ tại West Point, một người thân cận với thủ tướng Israel Netanyahu, tỏ ra rất tin tưởng vào viễn cảnh thực thi việc tước vũ khí của Hamas: « Kế hoạch 20 điểm được thảo ra là một kế hoạch hòa bình toàn diện, hoàn toàn loại bỏ Hamas khỏi vai trò là một tác nhân. Nếu mọi điểm của kế hoạch đó được tuân thủ thì sẽ không còn Hamas nữa. Hamas sẽ không có vai trò gì trong các nỗ lực chính trị, thậm chí là trong các hoạt động xây dựng xã hội trong tương lai. Điều quan trọng nữa là các quốc gia với đa số là người Ả Rập và Hồi giáo đã ký kết vào kế hoạch này. Đây không phải là một thương vụ để đàm phán, mà là một kế hoạch 20 điểm để thực hiện… Dải Gaza sẽ được phi cực đoan hóa và phi quân sự hóa. Hamas sẽ phải từ bỏ tất cả vũ khí. Chắc chắn kế hoạch này là chiến thắng hoàn toàn của Israel, nhưng cũng phục vụ các lợi ích của người Palestine không thuộc Hamas. Người Palestine sẽ có một chính phủ mới. Sẽ có một chương trình giáo dục giải cực đoan, và thậm chí cả con đường hướng tới quyền tự quyết của người Palestine nói chung. Kế hoạch này mang lại nhiều tiềm năng nhất cho hòa bình, không chỉ cho Gaza mà còn cho người dân Palestine. » Đọc thêm : Israel và Hamas đạt thỏa thuận về giai đoạn đầu trong kế hoạch hòa bình của Trump cho Gaza Tuy nhiên, thách thức của việc thực thi mục tiêu giải giới lực lượng vũ trang Hamas nằm ngay trong các điều khoản của kế hoạch này. Theo nhà nghiên cứu David Rigoulet-Roze, Viện Phân tích Chiến lược Pháp (IFAS), chuyên gia về các cuộc xung đột ở Trung Đông, điều 13 của kế hoạch quy định việc « phi quân sự hóa » bao gồm phá hủy cơ sở hạ tầng quân sự (đường hầm, kho vũ khí và xưởng sản xuất vũ khí), nhưng hiện tại vẫn chưa có thỏa thuận cụ thể về việc giám sát quá trình này. Trong chuyến công du mới đây tại Israel, phó tổng thống Mỹ J.D Vance thừa nhận là không có thời hạn cụ thể cho việc giải giáp Hamas. Sau hai năm chiến tranh, Hamas vẫn là một thế lực Theo giới chuyên gia, hai năm sau khi xung đột bắt đầu, lực lượng Hamas vẫn bám trụ vững chắc ở dải Gaza, mặc dù suy yếu nhiều. Hiện chưa có số liệu thống kê chính xác về tổn thất của phong trào Hồi giáo này. Nhiều nguồn tin đưa ra con số từ 8.000 đến 12.000 chiến binh thiệt mạng trong hai năm chiến tranh, trên tổng số 25.000 đến 30.000 chiến binh Palestine trước vụ khủng bố ngày 07/10/2023. Hamas có thể vẫn tiếp tục tuyển mộ thêm đến 15.000 chiến binh trong thời gian chiến tranh chống Israel, theo một số nguồn tin Mỹ, được trang mạng Bỉ RTL trích dẫn. Theo truyền thông Anh quốc, chỉ vài giờ sau khi lệnh ngừng bắn được thực thi, Hamas đã ngay lập tức triển khai đến 7.000 chiến binh trên những vùng đất mà Israel rút quân. Một số giới chức Hamas cho biết mục tiêu là để bảo đảm an ninh chống lại những kẻ trộm cướp và các băng đảng người Palestine được sự hậu thuẫn của quân đội Israel trước đây. Đọc thêm - Trung Đông : Phe Hamas từ chối cam kết giải giáp Hamas sở hữu một kho vũ khí đa dạng, bao gồm vũ khí hạng nhẹ, hỏa tiễn tự chế và drone thô sơ. Theo ghi nhận năm 2018 của Small Arms Survey, một chương trình nghiên cứu chuyên về vũ khí của Thụy Sĩ, Hamas từ lâu đã phát triển một ngành công nghiệp tại chỗ để sản xuất hỏa tiễn từ các vật liệu dân dụng. Dự trữ vũ khí của Hamas được đánh giá là phân tán, rất khó truy tìm. Sức mạnh Hamas (1) : Hệ thống đường hầm hàng trăm cây số Sức mạnh quân sự của Hamas một phần chủ yếu dựa vào các hệ thống đường hầm nằm sâu trong lòng đất dài hàng trăm cây số, và các đô thị ở dải Gaza được Hamas dày công xây dựng để biến thành các thành lũy khó chinh phục. Chuyên gia về chiến tranh đô thị John Spencer nhận định hệ thống đường hầm quân sự nhưng gắn liền với các công trình dân sự, và hệ thống phòng thủ đô thị nói chung ở Gaza là độc nhất vô nhị : « Hamas cai quản dải Gaza từ năm 2005 đã chi hơn một tỷ đô la cho hệ thống đường hầm phức hợp ước tính dài hơn 350 dặm, dành cho mục đích quân sự, nằm bên dưới các khu vực đô thị của Gaza, bắt đầu từ ngay dưới các tòa nhà cho đến hơn độ sâu khoảng 60 mét dưới lòng đất. Không chỉ đường hầm, mà mọi khía cạnh của môi trường Gaza đã được Hamas chuẩn bị cho chiến tranh trong vòng 20 năm, kể từ khi họ nắm quyền vào năm 2007. Nhưng trước đó nữa, ngay cả trong giai đoạn Israel chiếm đóng dải Gaza (cho đến năm 2005), Hamas đã xây dựng nhiều đường hầm vì mục tiêu quân sự. Đó là một điều rất độc đáo và thực sự độc nhất vô nhị trong lịch sử chiến tranh đô thị. Trong lịch sử, hầu hết các trận chiến đô thị đều là nơi mà bên phòng thủ có rất ít thời gian chuẩn bị. Càng có nhiều thời gian chuẩn bị phòng thủ thì chiến tranh càng kéo dài và càng tàn khốc. Một số trận chiến lớn nhất trong lịch sử chiến tranh đô thị như Stalingrad về cơ bản là giao tranh giữa hai lực lượng quân đội trên địa hình đô thị. Trận chiến đô thị lớn nhất kể từ Đệ nhị Thế chiến II, trước chiến tranh Ukraina, là trận Mosul, một trận chiến kéo dài chín tháng để giành lại thành phố từ tay tổ chức Nhà nước Hồi giáo. Phải huy động đến hơn 100.000 quân, lực lượng an ninh Irak mới giành lại được thành phố (có từ 3.000 đến 5.000 quân cố thủ), vì Daech đã có hai năm chuẩn bị phòng thủ. Trong khi tại thành phố lớn như Gaza, Hamas đã có 20 năm chuẩn bị. Bên dưới mỗi bước chân người đi đường đều có một đường hầm. Về cơ bản, mọi ngôi nhà đều đã được quân sự hóa, hầu hết đều có kho chứa bom, thiết bị nổ tự chế hoặc vị trí bắn tỉa. » Sau hai năm chiến tranh, với khoảng 80% khu vực Gaza bị phá hủy, và 90% vũ khí hạng nặng của Hamas bị tiêu hủy, theo quân đội Israel, Hamas không còn là mối đe dọa trực tiếp với Israel, nhưng 60% của hệ thống đường hầm 500, 600 km vẫn còn nguyên vẹn, theo số liệu của chính Israel. Sức mạnh của Hamas không chỉ ở hệ thống đường hầm quân sự độc nhất vô nhị này, mà một phần chủ yếu nằm ở việc tại dải Gaza, Hamas không có đối thủ cạnh tranh. Theo nhà nghiên cứu Hugh Lovatt, chuyên về Trung Đông và Bắc Phi tại Hội đồng Quan hệ Đối ngoại Châu Âu, Hamas không thể sụp đổ, do các nhóm đối địch « không có đủ sức mạnh quân sự để đạt được điều này » và « cũng không có được sự ủng hộ của người Palestine, nhất là khi họ bị mất uy tín do mối quan hệ với Israel ». Sức mạnh Hamas (2): Từ phong trào thuần túy tôn giáo đến bàn tay sắt tại Gaza Về nguồn gốc của tổ chức độc quyền thống trị dải Gaza từ năm 2006, nhà xã hội học chính trị Laetitia Bucaille, Viện INALCO và Trung tâm CESMA, tác giả cuốn « Gaza quel avenir ? » (Tương lai nào cho Gaza ?) vừa ra mắt, nhấn mạnh đến quan hệ với Huynh đệ Hồi giáo, một tổ chức tôn giáo với tham vọng chính trị mang tầm vóc khu vực (Radio France) : « Hamas là từ viết tắt tiếng Ả Rập của Phong trào Kháng chiến Hồi giáo, được thành lập vào cuối năm 1987, thời điểm bắt đầu Intifada lần thứ nhất, tức phong trào phản kháng của người Palestine chống lại ách cai trị của Isarel. Phong trào này là một nhánh chính trị của tổ chức Huynh đệ Hồi Giáo. Chúng ta biết là Huynh đệ Hồi giáo bắt đầu thành lập các mạng lưới hoạt động tại các vùng lãnh thổ Palestine vào cuối những năm 1970, được Ả Rập Xê Út và Koweit tài trợ. Các thế lực này dựa vào việc tái Hồi giáo hóa xã hội để chuẩn bị về dài hạn tái chiếm Palestine. Với họ, chủ nghĩa dân tộc Ả Rập thế tục đã thất bại, và họ tin tưởng lực lượng tiếp nối giúp đạt được mục tiêu này chính là Hồi giáo. » Hamas độc quyền thống trị tại dải Gaza sau cuộc bầu cử năm 2006. Nhà nhân chủng học Đức Susanne Schroter, trong bộ phim tài liệu « Hệ thống Hamas » (của Arte), mô tả « sau chiến thắng bầu cử, họ đã tấn công Fatah, một phong trào chính trị yếu hơn, bằng những hành động cực kỳ tàn bạo. Bắn người tại nơi làm việc, buộc họ phải rời bỏ nhà cửa, trục xuất họ khỏi đất nước. Hamas đã bộc lộ bản chất thật sự của mình và gửi một thông điệp rõ ràng đến người dân Palestine: Không có sự phản đối nào được dung thứ. » Đọc thêm - Điểm lại lịch sử tranh đấu vì độc lập: Từ "20 năm bị xóa sổ" đến Nhà nước Palestine Nhà sử học Đức Ulrik Becker, cũng trong bộ phim tài liệu nói trên, nhấn mạnh đến việc tổ chức Hồi giáo này, trong thời gian độc quyền kiểm soát Gaza, đã truyền bá rộng rãi tư tưởng thánh chiến dân tộc chủ nghĩa chống Israel cho trẻ em, ngay từ trong nhà trường : « Điều tôi thấy bi thảm và đặc biệt khủng khiếp là hệ tư tưởng hiếu chiến và bài Do Thái này đang được gieo rắc vào đầu óc trẻ em từ rất nhỏ. Thật đáng sợ khi thấy ý tưởng hy sinh bản thân vì lý tưởng thánh chiến lại xuất hiện trong sách giáo khoa và trong mọi môn học. Ví dụ, trong môn toán, có những bài tập như, ‘‘chênh lệch giữa số liệt sĩ bị giết trong cuộc Intifada đầu tiên với cuộc Intifada thứ hai là bao nhiêu ?'' hoặc trong môn vật lý, ‘‘dùng ná cao su để nhắm vào người Israel, cần tính toán góc bắn như thế nào'' ». Vòng xoáy hận thù Israel – Palestine: Mảnh đất màu mỡ cho Hamas và quyền lực của Netanyahu Kế hoạch hòa bình 20 điểm cho Gaza của tổng thống Mỹ không xác định rõ lộ trình giải giáp Hamas, không có thời hạn cho việc phi quân sự hóa Gaza. Sau hai năm chiến tranh, bất chấp các tổn thất nặng nề, lực lượng quân sự Hồi giáo dân tộc chủ nghĩa Hamas vẫn còn sở hữu hàng trăm cây số đường hầm, được coi là căn cứ địa vững chắc. Đông đảo người dân Palestine tại vùng đất này, đặc biệt là giới trẻ dường như vẫn tin theo tư tưởng dân tộc chủ nghĩa Hồi giáo chống Israel mà Hamas truyền bá sâu rộng. Chưa kể các hậu thuẫn to lớn từ Qatar hay Thổ Nhĩ Kỳ (xem thêm : Thổ Nhĩ Kỳ và Palestine bàn cách viện trợ nhân đạo cho Gaza không qua Israel, RFI). Làm thế nào có thể giải giới được tổ chức Hamas tại dải Gaza trong những điều kiện như vậy ? Đọc thêm : Hòa bình cho Gaza: Vì sao « kế hoạch » của Trump có nguy cơ đổ bể ? Theo nhiều chuyên gia, để chấm dứt vòng xoáy hận thù miên viễn, cần trở lại cái gốc của vấn đề. Đó là đòi hỏi công nhận một nhà nước Palestine có chủ quyền tại các vùng đất đã được quốc tế nhìn nhận. Cho đến nay, cản trở cho hòa bình đến từ cả hai phía. Chuyên gia về xung đột Palestine – Israel Laetitia Bucaille nhận định : « Kể từ Hiệp định Oslo, Hamas đã cố gắng khẳng định vị thế của mình trên chính trường với tư cách là một đối tác chính trị. Nhưng họ chưa bao giờ trở thành một đối tác như vậy với cả Israel lẫn phương Tây, bởi đòi hỏi trước hết là Hamas phải từ bỏ bạo lực, công nhận Hiệp định Oslo và công nhận Israel. Nhưng rõ ràng, Hamas không muốn thực hiện ba điều kiện này nếu không nhận lại bất cứ điều gì. Vì vậy, họ chưa bao giờ làm được điều đó. » Một số chuyên gia, như nhà nghiên cứu Sébastien Boussois (La Tribune), chỉ trích việc chính quyền Israel của thủ tướng Netanyahu trong một thời gian dài xem việc dung dưỡng Hamas như là một thủ đoạn ngăn cản việc khẳng định một nhà nước Palestine độc lập, góp phần làm tình hình thêm trầm trọng. “Hoà bình bằng vũ lực” hay Chung sống hòa bình ? Việc Israel muốn chấm dứt mối đe dọa Hamas cần gắn liền với việc Tel Aviv công nhận Nhà nước Palestine, đình chỉ việc xâm chiếm các vùng đất Palestine. Trả lời RFI, chuyên gia về Trung Đông, giáo sư Jean-Paul Chagnollaud, chủ tịch Viện Nghiên cứu về Trung Đông – Địa Trung Hải (IReMMO) nhận định : « Nếu có một điều không bao giờ hiệu quả, đó là hòa bình bằng vũ lực. Hành động kiểu này sẽ chỉ tạo ra các lực lượng đối kháng và bạo lực đối kháng. Hòa bình thực sự chỉ có thể được thiết lập khi lợi ích của tất cả các bên được xem xét trong một thỏa hiệp rộng rãi mang tầm vóc lịch sử. Nếu chỉ là hòa bình bằng vũ lực, bằng cách ném bom Liban, ném bom Syria, v.v., chúng ta sẽ có một giai đoạn mà đối phương bị khuất phục, điều không thể phủ nhận được. Nhưng đó chỉ là sự thống trị của kẻ ngạo mạn. Sau đó, một khi khói lửa lắng xuống, người ta sẽ lại phải đối diện với cùng các vấn đề tương tự, nhưng trầm trọng hơn. Đọc thêm - Hòa bình cho Gaza và lợi ích của gia đình Trump : Một công đôi việc Câu hỏi đầu tiên mà chúng ta đặt ra là lệnh ngừng bắn và thỏa thuận đình chiến này sẽ hướng đến điều gì ? Sẽ đi theo hướng thuần túy kinh tế-thương mại như tổng thống Mỹ Donald Trump đã vạch ra ? Hay từ đây chúng ta sẽ nghĩ đến một điều gì khác mang tính toàn thể hơn, như hướng đến thực thi giải pháp hai Nhà nước Israel và Palestine cùng tồn tại ? Đối với tôi, đó là lựa chọn khả dĩ duy nhất. Nhưng hiện tại không có gì là chắc chắn cả. »
Écrivain, observateur lucide d’Israël et du monde, il a partagé une réflexion rare, entre mémoire, guerre et humanité.Il a réagit sur le Liban et sur la polémique autour de l’annexion de la Cisjordanie — des sujets brûlants qui révèlent la complexité du moment politique et moral que traverse Israël.See omnystudio.com/listener for privacy information.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur la libération d'Hannibal Kadhafi, les manifestations anti-Trump et les tensions entre les États-Unis et le Venezuela. Musée du Louvre : retour sur le spectaculaire braquage La traque se poursuit pour retrouver les malfaiteurs qui ont cambriolé le musée du Louvre, ce dimanche (19 octobre 2025). Le commando est reparti avec huit bijoux d'une «valeur patrimoniale inestimable». Comment les cambrioleurs sont-ils parvenus à réaliser un tel braquage en seulement sept minutes ? Quelles mesures les autorités françaises comptent-elles mettre en place pour accentuer la sécurité dans ce musée qui doit être bientôt rénové ? Avec Laurence Théault, journaliste au service France de RFI. Liban : après 10 ans de prison sans procès, Hannibal Kadhafi est libre Après dix années passées derrière les barreaux à Beyrouth, Hannibal Kadhafi, l'un des fils de l'ancien dirigeant libyen, a obtenu sa libération en échange d'une caution fixée à 11 millions de dollars. Comment expliquer cette décision de la justice libanaise ? Pour quelles raisons était-il emprisonné ? Cette libération annule-t-elle les sanctions prises à son encontre par les Nations unies et l'Union européenne ? Avec Paul Khalifeh, correspondant de RFI à Beyrouth. États-Unis : la journée «No Kings» contre Trump a mobilisé des millions de manifestants Samedi (18 octobre 2025), sept millions d'Américains ont envahi les rues de nombreuses villes avec un seul mot d'ordre « No Kings » (pas de roi) pour dénoncer «la dérive autoritaire» de Donald Trump. Ce mouvement de contestation pourra-t-il se traduire dans les urnes lors des élections de mi-mandat, dans un an ? Jusqu'où le président américain est-il prêt à aller pour défier les manifestants ? Avec Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en Civilisation américaine, spécialiste en Rhétorique présidentielle. Venezuela : Trump va-t-il déclarer la guerre à Maduro ? Officiellement en guerre contre les trafiquants de drogue, Donald Trump a reconnu avoir autorisé la CIA à mener des opérations secrètes au Venezuela. Que faut-il comprendre par «opérations clandestines» ? Donald Trump ne cherche-t-il pas plutôt à renverser le régime de Nicolas Maduro ? Un conflit armé entre les États-Unis et le Venezuela est-il possible ? Avec Serge Ollivier, historien, chercheur-associé au Centre d'histoire sociale des mondes contemporains.
Les bouleversements du Proche-Orient, de la Palestine à l'Iran en passant par le Liban, le Yémen ou la Jordanie, ne datent pas d'hier. Mais ils semblent ces dernières années s'accélérer. Ziad Majed retrace dans son nouvel ouvrage un siècle de luttes, d'ingérences et de reconfigurations, et fait découvrir l'histoire contemporaine d'un Proche-Orient plus que jamais miroir du monde. Entretien avec ce politiste franco-libanais et professeur à l'Université américaine de Paris où il dirige le programme des études du Moyen-Orient. Le Proche-Orient, miroir du monde. Comprendre le basculement en cours, de Ziad Majed ; 360 pages, paru aux éditions La Découverte le 9 octobre 2025. À lire aussiCe que le 7 octobre 2023 a changé
Rendez-vous incontournable de l'art contemporain en Tunisie, la biennale Dream City tient sa 10ᵉ édition à Tunis jusqu'au 19 octobre. Sa particularité ? Les artistes investissent des lieux de la Médina, une trentaine sont mis à leur disposition, une aubaine pour les habitants, mais aussi les visiteurs qui redécouvrent leur patrimoine. Cette édition consacre une grande place à l'art engagé dans l'actualité au Moyen-Orient et à l'artisanat tunisien. À Dar Mallouli, une bâtisse vieille de plusieurs siècles, le bourdonnement d'un bruit de drone envahit les lieux. In search of justice among the rubble, présenté par un collectif d'artistes libanais, retranscrit le quotidien du Liban bombardé par Israël entre octobre 2023 et novembre 2024. Un travail d'archivage et de cartographie qui a ému Aymen, jeune bénévole du festival Dream City. Cet étudiant en audiovisuel explique l'œuvre aux visiteurs : « La maison est en cours de rénovation pour illustrer les effets de la guerre. Le bruit du drone témoigne des attaques psychologiques qu'a menées Israël contre le Liban pendant un an, avec ce bourdonnement permanent des drones. Donc, on est complètement immergé dans le quotidien de la guerre à travers l'œuvre et le lieu. » Un lieu privé, objet de patrimoine et ouvert spécialement pour le Festival Dream City, une découverte pour Aymen : « C'est vraiment l'occasion pour moi de découvrir pleins d'endroits dans la Médina, cette maison n'était pas du tout accessible avant. D'ailleurs, je vois beaucoup d'étudiants en architecture qui viennent au festival juste pour visiter des lieux inédits de la Médina. » L'artisanat mis à l'honneur Alors qu'une averse frappe la Médina en plein milieu de la journée, la plupart des visiteurs se réfugient à la caserne El Attarine, autre lieu emblématique du festival où sont exposés plusieurs travaux d'artistes palestiniens et tunisiens. Fathi, 21 ans, un habitant de la Médina, arpente les lieux : « Pour moi, c'est un festival important pour la Médina, mais aussi parce qu'il présente des œuvres engagées. En tant que jeune, on suit tous les jours ce qu'il se passe à Gaza sur les réseaux sociaux, donc voir un regard à travers l'art, développer un regard critique, cela permet aussi d'avoir un autre point de vue. » Dans les salles du rez-de-chaussée, l'artisanat des potières de Sejnane a été mis à l'honneur. La gestuelle de ce savoir-faire ancestral inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco a été érigé au rang d'œuvre d'art par deux artistes tunisiens, une reconnaissance pour Lamia Saïdani, une potière de 34 ans qui a hérité cet art de sa grand-mère : « On a trouvé notre place dans ce festival, car ce n'est pas comme quand on va vendre les poteries à une foire. Ici, on vend à un prix fixe et les gens nous voient travailler vu qu'on anime un atelier et ils voient aussi l'œuvre artistique, donc on se sent valorisés. » Le festival qui expose des artistes africains et aborde aussi les luttes décoloniales ou encore le rapport à l'identité et mise sur un public jeune et de plus en plus diversifié à chaque édition. À lire aussiTunisie: la culture sur sable, une pratique ancienne qui tente de résister
Confira no Morning Show desta quinta-feira (16): O presidente venezuelano Nicolás Maduro acusou os Estados Unidos de promoverem “golpes de Estado da CIA” após Donald Trump confirmar que autorizou operações secretas da agência na Venezuela. Segundo o New York Times, as missões incluíam ações letais contra o governo venezuelano. Trump confirmou que havia dado autorizações para missões no país, mas se recusou a responder se os agentes de inteligência receberam permissão para eliminar Maduro. Reportagem de Eliseu Caetano. Representantes dos governos do Brasil e dos Estados Unidos se reúnem nesta quinta-feira (16), em Washington, para tratar do tarifaço vigente desde 6 de agosto e das sanções aplicadas a autoridades brasileiras. O encontro ocorre entre o secretário de Estado norte-americano, Marco Rubio, e o ministro das Relações Exteriores do Brasil, Mauro Vieira, que chegou à capital americana na segunda-feira (13). O presidente do Senado e do Congresso, Davi Alcolumbre (União-AP), cancelou a sessão conjunta prevista para esta quinta-feira (16), que analisaria vetos presidenciais à Lei Geral do Licenciamento Ambiental. O adiamento atende a um pedido do governo, que busca negociações e possíveis acordos sobre a pauta. O líder do governo no Congresso, Randolfe Rodrigues (PT-AP), reuniu-se na véspera com Alcolumbre para discutir o tema. Ainda não há nova data definida para a sessão. Logo após anunciar sua aposentadoria do Supremo Tribunal Federal (STF), o ministro Luís Roberto Barroso passou mal e precisou ser internado no Hospital Sírio-Libanês, em Brasília, onde está sendo submetido a uma série de exames. O episódio reacendeu o debate sobre a dificuldade dos homens em buscar ajuda médica e emocional. O neurocomunicador William Borghetti comentou o caso. Essas e outras notícias você confere no Morning Show.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Jacques Serais remplace Alexandre le Mer ce mardi 14 octobre 2025. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, Vincent Hervouët analyse en détail le retour des otages détenus pendant deux ans dans des conditions terribles. Bien que leur libération soit une délivrance, elle ravive de nombreux traumatismes pour la société israélienne. Le journaliste explore également les enjeux politiques et sécuritaires complexes dans la région, notamment les défis posés par le Hamas à Gaza et le Hezbollah au Liban. Une analyse approfondie des dynamiques géopolitiques au Moyen-Orient.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine dans C'est Excellent, Judith Beller reçoit Bernard Werber, auteur, sort son dernier roman chez Albin Michel "La Voix de l'arbre" & Aïda Asgharzadeh, sur les planches du Théâtre de l'Oeuvre avec son nouveau spectacle "Le Dernier Cèdre du Liban"
durée : 00:48:13 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, l'explosion du port de Beyrouth ou la catastrophe de trop au Liban. - réalisé par : Frédéric Milano Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chapelet présenté par le Père Fadi Chaccour, directeur de Radio Maria Liban, et présidé par Mgr Mashdots Zahterian, vicaire patriarcal de l'institut du clergé patriarcal de Bzommar et supérieur du couvent de Bzommar
Avec Thomas Oswald https://aed-france.org/
Deux pièces pour parler de l'intime, du corps et de la vie. Invité.e.s : François Cervantès, auteur, metteur en scène de la pièce franco-libanaise «Et le cœur ne s'est pas arrêté», un spectacle conçu au Liban avec le collectif libanais Kahraba. Dans une maison, vit Tamara, toute habillée de noir, mais aussi Sami et Younès. La guerre n'est jamais très loin. Autour de cette maison, le théâtre se forme. Un spectacle aux accents clownesques et absurdes pour parler de sujets graves. Beaucoup de gens au moment de mourir se disent qu'ils n'ont pas eu le temps de vivre, comme s'ils avaient avalé le bonbon avec le papier. François Cervantès écrit pour le théâtre depuis 1981. En 1986, il crée la compagnie L'Entreprise et en assure la direction artistique à la recherche d'un langage théâtral qui puisse raconter le monde d'aujourd'hui. Et Bissane Al Charif, autrice née à Paris de parents syro-palestiniens, Elle présente sa pièce Dressing Room, le monologue d'une femme sur les autres femmes : «une partition de voix féminines». Le spectacle traite la question de ce qu'on appelle «l'âge critique», ou ce qu'on désigne en arabe par «l'âge du désespoir». «Je voulais parler de la propre histoire et qui résonne pour toutes les femmes, ma ménopause pour pouvoir aller vers quelque chose de plus large». Spectacle en arabe et en français, surtitré en français et en anglais. Programmation musicale du jour : L'artiste musical béninois, la fanfare Eyo'nlé avec le titre La tendresse, reprise de Bourvil.
Dans cet épisode, Vincent Hervouët analyse la situation au Liban, un an après la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah. Malgré les bombardements israéliens, le Hezbollah reste une force redoutable, soutenue financièrement par l'Iran. Le gouvernement libanais peine à désarmer le groupe, qui contrôle de nombreux aspects de la vie du pays. Hervouët explore les enjeux géopolitiques et les défis auxquels le Liban est confronté, entre la mainmise du Hezbollah et les tensions régionales.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:38:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - L'écrivain libanais revient au roman avec "Le Nom des rois", dans lequel il fait le récit d'une double perte ; celle du royaume de l'enfance et celle du Liban ancien. Paru en cette rentrée littéraire, il apparaît dans la première liste du Prix Goncourt. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Charif Majdalani Écrivain
Comme chaque année, la ville de Limoges accueille des artistes venus du monde entier pour le festival les Zébrures d'automne dirigé par Hassane Kassi Kouyaté. Le 24 septembre 2025, s'est ouvert ce rendez-vous incontournable de la francophonie. Au programme : une trentaine de spectacles dont une dizaine de créations, et près de deux cents artistes réunis dans la ville de Limoges. Pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne, l'accent est mis cette année sur la création francophone arabe. Invité.e.s : Hassane Kassi Kouyaté, metteur en scène et directeur des Zébrures d'automne-Les Francophonies-Des écritures à la scène. Un festival que son directeur qualifie de «voyage, un endroit où on met plusieurs miroirs différents». La francophonie pour moi c'est le mariage ou la naissance entre la langue française et d'autres langues. C'est une francophonie humaine «Le théâtre est un espace de mémoire», nous dit Sumaya Al Attia, metteuse en scène et comédienne franco-jordano-iranienne. Son spectacle «Rekord بیبي» est écrit en deux langues, en français et en arabe, l'occasion d'explorer la dualité de la langue. Le titre du spectacle fait référence au modèle d'Opel («Rekord») détenue par la grand-mère («بیبي» en dialecte irakien) de la metteuse en scène. C'était une évidence pour moi d'écrire le spectacle en deux langues : arabe et français. Cette voiture achetée à Beyrouth, au Liban, par ses grands-parents quand ils ont quitté la France en 1966-1967, a été utilisée pour rejoindre Bagdad où une nouvelle vie commence. C'est un récit d'exil où s'entremêlent l'histoire familiale et la grande histoire avec l'arrivée de Saddam Hussein en Irak. C'est en 2022 que l'autrice a senti la nécessité de creuser l'histoire familiale. La metteuse en scène a travaillé à partir d'entretiens audios qu'elle avait réalisés avec son père. C'est donc à partir des souvenirs d'enfance de son père qui avait huit ans à l'époque qu'elle a écrit ce texte. Elle estime que c'est grâce aux écrits qu'on peut faire vivre la mémoire... Israël Nzila, auteur congolais de 31 ans et lauréat du Prix RFI théâtre 2025 pour son texte «Clipping». Une femme perd son enfant au marché. Mais a-t-elle véritablement perdu cet enfant ? Le retrouvera-t-on ? Les cauchemars lui reviennent... Un texte bouleversant qui raconte les traumas de la guerre. Né à Kinshasa, il est parti s'installer à Lubumbashi et s'est très vite consacré à l'écriture de théâtre. Un auteur qu'on a pu découvrir avec la pièce «Silence» dans le cycle «Ça va, ça va le monde !» à Avignon en 2025. Le théâtre, c'est une existence, il est vivant. Ce n'est pas un simple spectacle. On introduit des spectateurs dans ce qu'on écrit, ça dépasse l'imaginaire. Également dans l'émission : la metteuse en scène Jenny Briffa nous parle de «Racines mêlées», un spectacle créé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, un récit d'aventures où les destins de Lapérouse, Bougainville et Cook s'entrecroisent autour d'une intrigue liée à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie. Programmation musicale du jour : Le groupe iranien Bazaari avec le titre Ce qui n'a pas été.
Comme chaque année, la ville de Limoges accueille des artistes venus du monde entier pour le festival les Zébrures d'automne dirigé par Hassane Kassi Kouyaté. Le 24 septembre 2025, s'est ouvert ce rendez-vous incontournable de la francophonie. Au programme : une trentaine de spectacles dont une dizaine de créations, et près de deux cents artistes réunis dans la ville de Limoges. Pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne, l'accent est mis cette année sur la création francophone arabe. Invité.e.s : Hassane Kassi Kouyaté, metteur en scène et directeur des Zébrures d'automne-Les Francophonies-Des écritures à la scène. Un festival que son directeur qualifie de «voyage, un endroit où on met plusieurs miroirs différents». La francophonie pour moi c'est le mariage ou la naissance entre la langue française et d'autres langues. C'est une francophonie humaine «Le théâtre est un espace de mémoire», nous dit Sumaya Al Attia, metteuse en scène et comédienne franco-jordano-iranienne. Son spectacle «Rekord بیبي» est écrit en deux langues, en français et en arabe, l'occasion d'explorer la dualité de la langue. Le titre du spectacle fait référence au modèle d'Opel («Rekord») détenue par la grand-mère («بیبي» en dialecte irakien) de la metteuse en scène. C'était une évidence pour moi d'écrire le spectacle en deux langues : arabe et français. Cette voiture achetée à Beyrouth, au Liban, par ses grands-parents quand ils ont quitté la France en 1966-1967, a été utilisée pour rejoindre Bagdad où une nouvelle vie commence. C'est un récit d'exil où s'entremêlent l'histoire familiale et la grande histoire avec l'arrivée de Saddam Hussein en Irak. C'est en 2022 que l'autrice a senti la nécessité de creuser l'histoire familiale. La metteuse en scène a travaillé à partir d'entretiens audios qu'elle avait réalisés avec son père. C'est donc à partir des souvenirs d'enfance de son père qui avait huit ans à l'époque qu'elle a écrit ce texte. Elle estime que c'est grâce aux écrits qu'on peut faire vivre la mémoire... Israël Nzila, auteur congolais de 31 ans et lauréat du Prix RFI théâtre 2025 pour son texte «Clipping». Une femme perd son enfant au marché. Mais a-t-elle véritablement perdu cet enfant ? Le retrouvera-t-on ? Les cauchemars lui reviennent... Un texte bouleversant qui raconte les traumas de la guerre. Né à Kinshasa, il est parti s'installer à Lubumbashi et s'est très vite consacré à l'écriture de théâtre. Un auteur qu'on a pu découvrir avec la pièce «Silence» dans le cycle «Ça va, ça va le monde !» à Avignon en 2025. Le théâtre, c'est une existence, il est vivant. Ce n'est pas un simple spectacle. On introduit des spectateurs dans ce qu'on écrit, ça dépasse l'imaginaire. Également dans l'émission : la metteuse en scène Jenny Briffa nous parle de «Racines mêlées», un spectacle créé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, un récit d'aventures où les destins de Lapérouse, Bougainville et Cook s'entrecroisent autour d'une intrigue liée à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie. Programmation musicale du jour : Le groupe iranien Bazaari avec le titre Ce qui n'a pas été.
« Ma relation avec le Liban c'est comme une relation avec un pervers narcissique »J'ai eu l'immense plaisir de recevoir Coco Makmak, l'humoriste franco-libanaise qui fait rire etréfléchir aux quatre coins du monde
durée : 00:37:34 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Où en est le Liban ? Un an après la mort d'Hassan Nasrallah, le chef de la puissante milice du Hezbollah, le Président libanais a exhorté les milices au désarmement, alors que les frappes israéliennes se poursuivent. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Agnès Levallois Présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Science-Po Paris; Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et à Sciences Po Paris, chercheur associé à l'IRIS
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Clotilde Ravel qui rentre de Namibie, puis table-ronde sur le Liban et le défi du désarmement du Hezbollah, et des autres milices, un an après la mort d'Hassan Nasrallah. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clotilde Ravel Journaliste à Africa Intelligence et co-responsable du pôle enquête ; Agnès Levallois Présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Science-Po Paris; Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et à Sciences Po Paris, chercheur associé à l'IRIS
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bippers au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 4 : l'empoisonnement raté d'un cadre du Hamas. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, TV5 Monde, Euronews Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Donald Trump a-t-il mis fin définitivement au multilatéralisme tel qu'on l'a connu depuis la fin de la Seconde guerre mondiale ? Jean-Yves Le Drian, représentant personnel du président de la République au Liban, et ancien ministre, est l'invité du Grand entretien ce 25 septembre. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bippers au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 3 : les archives du nucléaire iranien et le show de 2018. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Le Monde, INA, Euronews Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bipeurs au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 2 : L'émigration de juifs menacés, comme au Soudan. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, Israël en Belgique Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Duel à l'Unesco. Dans deux mois au plus tard, à la mi-novembre 2025, on connaîtra le nom du successeur de la Française Audrey Azoulay au poste de directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). Il n'y a que deux candidats en lice et ils sont tous deux africains : le Congolais de Brazzaville Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany. Qui va gagner ? Le grand enquêteur et essayiste Abdou Latif Coulibaly a été ministre sénégalais de la Culture de 2017 à 2019, sous la présidence de Macky Sall. En ligne de Dakar, il livre son pronostic. RFI : Quel bilan faites-vous des huit ans d'Audrey Azoulay à la Direction générale de l'Unesco ? Abdou Latif Coulibaly : Oui, je pense qu'elle a fait ce qu'elle pouvait faire par un certain nombre de réalisations qu'elle a faites. Dans le cas d'Audrey Azoulay, je vais citer par exemple les importants travaux de restauration et de reconstruction dans des villes comme Mossoul, dévastées par la guerre. Au nord de l'Irak… Au nord de L'Irak. Mais également, je citerai le cas au Liban. Et en Afrique également, il y a aujourd'hui beaucoup de sites qui ont été promus patrimoine mondial de l'humanité. Elle a également, de ce point de vue, fait beaucoup de choses dans le domaine de l'éducation avec l'Alliance mondiale d'éducation qui est au cœur de la mission de l'Unesco. En tant que ministre sénégalais de la Culture de 2017 à 2019, quel souvenir vous gardez de l'action de l'Unesco ? Vous savez, c'est en 2018, précisément, que le Musée des Civilisations noires a été installé et inauguré définitivement au Sénégal. Et tous les documents qui ont été faits à ce sujet et la démarche qui a été opérée, c'est moi-même, ministre de la Culture, qui a demandé à madame Audrey Azoulay de les transférer à l'Etat du Sénégal à l'occasion de l'inauguration du 6 décembre 2018. Et elle l'a fait avec beaucoup d'enthousiasme. Et également, elle a beaucoup conseillé, à l'époque, le gouvernement sénégalais dans le processus de mise en œuvre et de finalisation de ce musée-là. Et c'est ça qui m'a mis en rapport avec madame Azoulay, qui a beaucoup travaillé de ce point de vue-là à permettre aux Etats africains, et en particulier au Sénégal, de sauvegarder les sites qui sont déjà classés. Ce n'est pas évident quand vous prenez une ville comme Gorée, une ville comme Saint-Louis qui est patrimoine mondial de l'humanité, nous avons beaucoup de difficultés au plan national à trouver les moyens et l'ensemble des outils nécessaires pour que ce caractère de patrimoine universel soit préservé. En cette période très conflictuelle dans le monde, Audrey Azoulay affirme que l'Unesco est un des derniers lieux de consensus pour un multilatéralisme d'action. Est-ce que vous êtes d'accord ou pas ? Oui, je suis d'accord. Ce qui se réalise à l'Unesco aujourd'hui en termes de promotion de l'éducation, de la culture, je pense que s'il n'y avait pas une organisation de cette nature, cela n'aurait pu jamais se produire, ça j'en suis certain. Bon, aujourd'hui, nous les Africains, nous avons deux candidats qui se présentent. Il y a le Congolais Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany, qui sont actuellement en compétition. Quel que soit le candidat qui sera élu, je pense que l'intérêt pour l'Afrique, c'est que le travail qui est aujourd'hui engagé, qui l'avait été d'ailleurs bien avant elle, mais qu'elle a su consolider et qu'elle a su élargir en intégrant davantage beaucoup de pays dans le processus de prise de décision, mais également dans les activités qui sont menées… Je pense que c'est cela qui est le plus important. Et je pense que pour ce qui concerne les candidats africains, leurs déclarations rassurent de ce point de vue-là. Est-ce qu'ils auront tous les moyens pour le faire ? Je ne suis pas sûr, mais le maximum qu'ils feront, ce sera au bénéfice de l'Afrique et des pays en voie de développement. Alors justement, entre les deux candidats, le Congolais de Brazzaville Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany, quel est, à votre avis, celui qui est le plus apte à tenir la barre de l'Unesco dans les prochaines années ? Je pense que tous les deux sont aptes pour le faire. Ce sont des techniciens de très haut niveau. Le Congolais, qui a un très long séjour à l'Unesco, il dit « moi, je suis l'Unesco », pour dire sa compétence et pour dire également l'efficacité qu'il pourrait apporter à l'organisation. Mais il y a également l'Égyptien qui bénéficie déjà du soutien de l'Union africaine, je pense qu'il est assez bien placé, probablement, peut-être, je dis bien peut-être, pour gagner. Qui est le mieux placé ? Je pense que tous les deux ont les compétences pour ça. Je ne peux pas dire qui est le mieux placé, mais enfin, le pedigree des deux rassure par rapport à leurs capacités à diriger l'Unesco. Vous avez une petite préférence quand même, non ? Préférence comme telle… Je n'ai pas de préférence, parce que je considère pour ma part que tous les deux pourraient être bien à cette place-là. Même si je constate que l'Egyptien bénéficie de beaucoup de soutien diplomatique à travers le monde, il faut l'accepter. En Asie, dans les pays arabes. Mais malheureusement, ça va conduire à un affrontement bloc africain contre bloc africain, c'est clair. Mais même si l'Union africaine aujourd'hui soutient officiellement la candidature de l'Égyptien, il me semble que ce combat ne manquera pas de se poser.
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bipeurs au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 1 : Les assassinats ciblés et l'exemple du Dubaigate.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, France 24 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:25 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Noha Baz est pédiatre, autrice culinaire et fondatrice de l'association "Les Petits Soleils" à Beyrouth. Originaire de Syrie et du Liban, elle tisse des liens entre l'humanitaire, la santé, le goût et le plaisir gourmand avec une vitalité contagieuse. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Noha Baz Autrice culinaire et médecin pédiatre
durée : 00:28:25 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Noha Baz est pédiatre, autrice culinaire et fondatrice de l'association "Les Petits Soleils" à Beyrouth. Originaire de Syrie et du Liban, elle tisse des liens entre l'humanitaire, la santé, le goût et le plaisir gourmand avec une vitalité contagieuse. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Noha Baz Autrice culinaire et médecin pédiatre
Le trompettiste Ibrahim Maalouf se confie sur la scène de l'Olympia. De ses racines au Liban à son amour du jazz, découvrez le parcours d'un musicien unique, son hommage à Beyrouth et sa tournée en hommage à Oum Kaltoum.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:25 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Noha Baz est pédiatre, autrice culinaire et fondatrice de l'association "Les Petits Soleils" à Beyrouth. Originaire de Syrie et du Liban, elle tisse des liens entre l'humanitaire, la santé, le goût et le plaisir gourmand avec une vitalité contagieuse. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Noha Baz Autrice culinaire et médecin pédiatre
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
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La marche du monde vous invite à découvrir cette semaine Palestine, filmer pour exister, un épisode documentaire signé Maxime Grember à découvrir à l'occasion de la 80e session de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (ONU), dont le lancement doit avoir lieu mardi 9 septembre, plusieurs pays ont annoncé vouloir reconnaître l'État de Palestine. Entre 1968 et 1982, le cinéaste palestinien Mustafa Abu Ali et d'autres professionnels du cinéma vont réaliser des dizaines de films sous l'égide de l'Unité cinéma, une structure de production audiovisuelle liée au Fatah. Passant du fusil à la caméra, ils vont raconter en images la lutte du peuple palestinien, diffuser leurs films dans les camps de réfugiés et tenter ainsi de construire une mémoire visuelle palestinienne. Mais quelle histoire se cache derrière cette filmographie militante née dans les mois qui ont suivi la guerre des six jours de 1967 ? Qu'est-ce que ces films nous racontent du mouvement révolutionnaire palestinien et de la guerre contre l'État d'Israël ? Et enfin, que nous disent-ils du rapport que le peuple palestinien entretient avec sa propre histoire ? Le 15 juin 1969, dans une interview accordée au journal britannique The Sunday Times, Golda Meir, alors cheffe du gouvernement israélien, déclare, deux ans après la guerre des Six-Jours qui avait donné à son pays le contrôle de l'ensemble des territoires palestiniens : « Les Palestiniens n'ont jamais existé. Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n'y a personne à qui les rendre. » En réponse à cette provocation, le cinéaste palestinien Mustafa Abu Ali réalise en 1974 le documentaire They do not exist, pour insister sur le manque de soutien et de visibilité de la part de la communauté internationale. L'histoire du cinéma palestinien pourrait véritablement prendre sa source dans ce déni d'existence, car c'est bel et bien à partir de 1968 qu'une Unité cinéma va se créer et que des hommes et des femmes vont documenter en images les luttes, les souffrances et les multiples déplacements que le peuple palestinien connait depuis la Nakba de 1948. « Il n'y avait plus de rues, plus de magasins, plus d'écoles. Tout avait été détruit. Donc, l'idée était de construire un film à partir de cette phrase de Golda Meir "They do not exist". Alors Mustafa s'est dit : s'ils n'existent pas, ceux que vous bombardez, ce sont des fantômes ? ». Khadijeh Habashneh, cinéaste et archiviste du cinéma palestinien, s'exprime au sujet du film They do not exist que Mustafa Abu Ali réalise en 1974. En 1973, Mustafa Abu Ali réalise Scène d'occupations à Gaza, un film emblématique de l'Unité cinéma. Ne pouvant pas se rendre dans la bande de Gaza, sous contrôle israélien depuis 1967, il va réaliser son film à partir d'un reportage fait pour la télévision française et pour lequel il arrive à se procurer les images. Avec son nouveau montage, il veut attester en images de la souffrance endurée par le peuple gazaoui. « Mustafa Abu Ali va utiliser les moyens que le cinéma met à sa disposition, c'est-à-dire qu'il va transformer la bande son, ajouter une voix off, de la musique. Il va figer l'image sur le regard d'un des hommes palestiniens qui est contrôlé, et rajouter en insert une image d'une grenade sur un fond rouge. À travers cela, il essaye de signifier que ce jeune homme porte en lui toutes les marques de la lutte. » Hugo Darroman, docteur en études cinématographiques, s'exprime au sujet du film Scènes d'occupation à Gaza que Mustafa Abu Ali réalise en 1973. À lire aussi1974, le discours historique de Yasser Arafat à l'ONU L'ensemble de ces films seront montrés dans les camps de réfugiés palestiniens, mais aussi à l'étranger, dans des festivals ou dans des réseaux de solidarité, afin de faire connaître la cause palestinienne et aussi mettre en place des coproductions, comme ce sera le cas en 1977 avec l'Italie pour le documentaire Tall-al-Zaatar consacré aux massacres ayant eu lieu dans le camp de réfugiés palestiniens dans l'est de Beyrouth. Au total, près d'une centaine de reportages et de documentaires seront produits par l'unité cinéma du Fatah, d'abord installé à Amman jusqu'en 1970, puis à Beyrouth jusqu'en 1982, où une cinémathèque s'était constituée autour de cette collection. Mais, en 1982, lors de l'invasion israélienne au Liban, une partie du patrimoine culturel palestinien va être spolié, et les archives filmiques, un temps cachées dans Beyrouth, vont également disparaître au milieu des années 80. Depuis les années 2000, Khadijeh Habashneh, déjà à l'œuvre à Beyrouth entre 1976 et 1982 aux côtés de son mari Mustafa Abu Ali, tente de remettre la main sur des copies de ces films, et de trouver les partenariats et les conditions nécessaires pour qu'ils puissent être conservés et à nouveau montrés au public. C'est finalement à la Cinémathèque de Toulouse, l'une des plus importantes de France, connue pour la richesse de ses collections venant du monde entier, qu'une partie des films palestiniens vont trouver refuge en 2023. Retour sur une production cinématographique méconnue, une histoire d'archives en exil, d'images manquantes, et d'une certaine idée du cinéma comme moyen de résistance et de représentation d'un peuple par lui-même. Palestine, filmer pour exister, un nouvel épisode documentaire de La marche du monde, signé Maxime Grember, produit par Valérie Nivelon, réalisé par Sophie Janin, aux sons des archives filmiques palestiniennes. Avec les témoignages de : Samir Arabi, programmateur du festival Ciné-Palestine Toulouse-Occitanie Hugo Darroman, docteur en études cinématographiques, auteur d'une thèse sur le cinéma de la révolution palestinienne Khadijeh Habashneh, archiviste, cinéaste et psychologue Franck Loiret, directeur de la Cinémathèque de Toulouse Rona Sela, chercheuse en histoire visuelle à l'Université de Tel Aviv Remerciements à : Francesca Bozzano, Nicolas Damon, Victor Jouanneau et Franck Loiret de La Cinémathèque de Toulouse ainsi que leurs partenaires dans le projet de sauvegarde et de numérisation des films palestiniens : le ministère de la Culture palestinien, le Palestinian Cultural Fund, la Fondation Art Jameel et le Consulat Général de France à Jérusalem. Samir Arabi, Hugo Darroman, Khadijeh Habashneh, Rona Sela, Guilhem Delteil et Vanadis Feuille de RFI, Tarik Hamdan de MCD, Colette Berthès et Monica Maurer. Ainsi que Nathalie Laporte, Joe Farmer et Sophie Janin pour la voice-over. Musiques : The urgent call of Palestine, Zeinab Shaat Ounadikom, Ahmad Kaabour From Gaza with love, Saint Levant Films : Scène d'occupations à Gaza, Mustafa Abu Ali, 1973 They do not exist, Mustafa Abu Ali, 1974 Tall el-Zaatar, Mustafa Abu Ali, Adriano Pino et Jean Chamoun, 1977 Documentaires : Looted and Hidden - Palestinian Archives in Israel, Rona Sela, 2017 Ouvrages : La Palestine et le cinéma, de Guy Hennebelle et Khemaïs Khayati, Édition du Centenaire, 1977 Knights of Cinema, documentary narrative book on the story of Palestine Film Unit. From its beginning 1967 till 1982, de Khadijeh Habashneh, Alahlia Publishing house, 2020 Article : Toulouse, refuge des archives palestiniennes, sur Orient XXI Table ronde : Films palestiniens, archives en exil, organisée par la Cinémathèque de Toulouse et le festival Ciné-Palestine Toulouse-Occitanie en 2024 Diaporama
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le retrait de la Finul, les sanctions européennes contre l'Iran et la peine capitale à Washington. Chine : Pékin réunit ses alliés pour un défilé militaire historique À l'occasion du défilé militaire pour la commémoration des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Chine a invité 26 chefs d'État étrangers, dont le président russe, iranien et nord-coréen. En réunissant tous ces dirigeants, Pékin cherche-t-il à montrer que, malgré les tensions internationales, son influence diplomatique reste intacte ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Liban : vers un retrait de la Finul en 2027 Sous la pression américaine et israélienne, la force de maintien de la paix de l'ONU au Liban va quitter le pays. Son mandat a été renouvelé jusqu'à fin 2026, avec un retrait organisé d'ici à la fin 2027. Pourquoi les États-Unis et Israël veulent-ils le départ des Casques bleus ? L'armée libanaise est-elle en mesurer d'assurer la sécurité dans le sud du Liban ? Avec Paul Khalifeh, correspondant de RFI à Beyrouth. Iran : les Européens ont mis leur menace à exécution Face à l'impasse des négociations sur le nucléaire iranien, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont enclenché la procédure qui permettra de rétablir les sanctions internationales contre Téhéran. Comment ces pays justifient-ils cette décision ? Téhéran a promis de « répondre de manière appropriée à cette action illégale et injustifiée ». De quelle manière les autorités iraniennes pourraient-elles riposter ? Avec Clément Therme, chargé de cours à l'université Paul-Valery de Montpellier. Auteur de l'ouvrage Idées reçues sur l'Iran : un pouvoir à bout de souffle ? (Éditions Le Cavalier Bleu). États-Unis : Trump peut-il remettre en place la peine de mort à Washington ? Donald Trump a annoncé vouloir rétablir la peine capitale pour tout meurtre commis dans la capitale fédérale de Washington, D.C., malgré son abolition en 1981. La Constitution américaine permet-elle au président américain de rétablir la peine de mort ? Quel est l'objectif recherché par Donald Trump ? Avec Pierre Gervais, professeur de civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle. Auteur du livre Histoire des États-Unis de 1860 à nos jours (Éditions Hachette éducation).
Concerts, table ronde et marché des créatrices et créateurs… Fin avril à l'Usine de Genève, face à la situation internationale, le collectif Echoes of Freedom se mobilise en solidarité avec la Palestine, le Liban et le Congo. Il veut faire résonner un message de solidarité internationale et lever des fonds pour des associations engagées sur le terrain. Rachitik, Misa, Saudad, trois rappeurs genevois d'une vingtaine d'années, racontent comment l'art et la musique sont le vecteur de leur engagement. Reportages de Laure Gabus Réalisation : David Golan Production : Raphaële Bouchet
Au menu de l'actualité : Au Liban, la mission de paix de l'ONU partira en 2027Un musicien haïtien plaide la cause des enfants de son paysA Genève, les Etats ont discuté du commerce des armes conventionnelles Présentation : Jérôme Bernard
« Ce qu'on fait pour les enfants, tout le monde en bénéficie. »À quoi ressemblerait une ville pensée d'abord pour les enfants ? Cet épisode vous invite à découvrir comment la ville de Lyon s'est transformée pour mieux inclure les plus jeunes et faire de leur bien-être une priorité collective.Aujourd'hui, notre invité est Tristan Debray, conseiller municipal délégué à la Ville des enfants à Lyon. Spécialiste engagé depuis de nombreuses années sur les droits de l'enfant, Tristan a travaillé auprès d'instances internationales et locales, notamment au Liban et au Comité des droits de l'enfant des Nations unies. À Lyon, il porte une politique ambitieuse pour replacer les enfants au cœur des décisions urbaines.Dans cet épisode, vous partirez à la rencontre des transformations concrètes qui réinventent la ville à hauteur d'enfant : rues végétalisées, espaces de jeux repensés, conseils d'enfants et d'adolescents… Tristan partage sa vision, ses défis, et les impacts positifs de cette démarche inclusive pour l'ensemble des habitants. Vous découvrirez pourquoi accorder une vraie place aux enfants n'est pas seulement bénéfique pour eux, mais aussi pour toute la société.Au programme :(00:00-04:02) Parcours et engagement précoce de Tristan Debray pour les droits de l'enfant(04:02-11:39) La Convention internationale des droits de l'enfant : ambitions, freins et réalités en France(11:39-13:39) Naissance du projet "Ville des enfants" à Lyon et originalité de la démarche(13:39-15:57) Pourquoi les villes doivent s'impliquer pour l'inclusion des enfants(15:57-19:49) Le label « Ville amie des enfants » de l'UNICEF : exigences, impacts et innovations lyonnaises(19:49-25:27) Les freins psychologiques et culturels à repenser la ville pour les enfants(25:27-28:54) Pourquoi une ville pensée pour les enfants profite à tous ses habitants(28:54-34:56) Les grands chantiers concrets à Lyon : rues aux enfants, conseils, cours nature...(34:56-38:15) Conseils d'enfants : des idées aux réalisations concrètes(38:15-40:54) Retours des enfants et apprentissages d'une participation active(40:54-43:42) Impact global de la Ville des enfants : pour une société plus inclusive et démocratiqueRessources de l'épisode : Livre : « La ville des enfants. Pour une (r)évolution urbaine » de Francesco TonucciÀ travers le regard de Tristan Debray, cet épisode révèle comment l'écoute, la participation et le respect des droits de l'enfant peuvent transformer nos villes et, au-delà, nourrir une société plus juste, créative et humaine.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, le gouvernement a approuvé, sous la pression de l'administration Trump, le désarmement du Hezbollah déjà très affaibli par sa guerre contre Israël. C'est une étape déterminante dans la recomposition en cours au Moyen-Orient mais qui ravive la crainte d'affrontements. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
This episode is made possible by the generous support of our subscribers on Patreon. Join us at patreon.com/leviathanchronicles to hear episodes ad free and unlock exclusive content. Salah and Liban force Sarina to answer questions about the Zephyr lifeboat that brought them to Somalia. And Kasho and Axado continue to torture the immortals before one of them finally reveals a secret that has been kept for centuries! TO VIEW THE BLUEPRINTS OF THE INVENIOS GOTO INVENIOSEXPEDITIONS.COM/BLUEPRINTS To discover more podcasts set in The Leviathan Universe go to www.leviathanaudioproductions.com or follow us social on media Written, Directed & Created by Christof Laputka Executive Produced by Amish Jani Produced by Robin Shore Original Music by Luke Allen Editing by Luke Allen and Robin Shore Sound Design by Jonathon Stevens and Robin Shore Casting by Claire Dodin Starring Isaac Robinson-Smith as Captain Mohammed Salah Patrick Caberty as Liban Ugas Paul Hikari as William Tammy Klein as Cecilia Michael Pizzuto as Archie Brittany Cox as Sarina Christopher Swindle as Edward Georgina Elizabeth Okon as Axado Lex Daemon as Captain Sonny Kasho Time Winters as Sinclair Melissa Medina as The Narrator Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
durée : 00:58:41 - Les Grandes Traversées - par : Nedjma Bouakra - Celui qui fut l'écrivain le plus retranché de son temps fut aussi, durant ses vingt dernières années, l'un des plus présents sur la scène politique de Chicago à la Goutte d'Or, des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila au Liban aux ghettos noirs des États-Unis. - réalisation : Angélique Tibau - invités : Hadrien Laroche Écrivain, philosophe; Emmanuelle Lambert Écrivaine française; Albert Dichy Directeur littéraire à l'Institut Mémoires de l'Edition Contemporaine (IMEC); Agnès Vannouvong Romancière. ; Khadim Jihad Hassan