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durée : 00:38:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - L'écrivain libanais revient au roman avec "Le Nom des rois", dans lequel il fait le récit d'une double perte ; celle du royaume de l'enfance et celle du Liban ancien. Paru en cette rentrée littéraire, il apparaît dans la première liste du Prix Goncourt. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Charif Majdalani Écrivain
« C'est potentiellement l'un des plus grands jours dans l'histoire de la civilisation. Nous allons tout régler : le commerce avec l'Iran, les accords d'Abraham (entre Israël et plusieurs pays arabes), la guerre à Gaza. Nous allons vers une paix éternelle au Moyen-Orient ». « Comme à son habitude, souligne Le Temps à Genève, Donald Trump n'a pas économisé les superlatifs lors de la conférence de presse hier à Washington en compagnie de Benjamin Netanyahu (pour présenter le plan de paix pour Gaza). (…) Toutefois, constate le quotidien suisse, ce plan de paix ressemble davantage à une permission de tirer qu'à un accord diplomatique. Il prévoit que le Hamas rende tous les otages, vivants et morts, accepte un désarmement complet, et qu'une administration internationale, à laquelle ni le Hamas ni l'État palestinien ne seront conviés à participer, dirige la bande de Gaza. Des conditions que le Hamas rejette depuis longtemps. Or, a averti Donald Trump, "si le Hamas refuse, Israël a notre soutien inconditionnel pour faire ce qu'il doit faire" ». Que va faire le Hamas ? En effet, rebondit Libération à Paris, « tout, absolument tout (dans ce plan) repose sur l'acceptation par le Hamas de se saborder contre une "amnistie" qui serait accordée à ses membres, qui accepteraient de rendre les armes. Le Hamas qui n'a pas été officiellement consulté. Le pari de Netanyahu est donc que l'organisation terroriste fasse le travail pour lui, s'exclame le journal, rejetant dans les 72 heures fatidiques le plan que, lui-même, est forcé d'accepter. Cette option devrait, selon l'accord, donner à Israël la permission de détruire le Hamas, "par la force s'il le faut". Autrement dit, résume Libération, retour à l'invasion de Gaza et sa colonisation, cette fois avec l'accord tacite des pays arabes et la bénédiction officielle de l'Amérique ». « Le Hamas doit répondre à une étrange injonction, insiste Le Soir à Bruxelles : le suicide ou subir les foudres mortelles d'Israël. Un choix cornélien s'il en est. En attendant, il doit restituer tous les otages dans les trois jours, qu'il considérait comme ses derniers atouts, et espérer qu'Israël tiendra parole, ne cherchera pas à procrastiner peu ou prou, voire à saboter l'accord qui l'empêche d'annexer et d'expulser à sa guise ». « Cet accord est nécessaire, même s'il paraît impossible. » Oui, c'est vrai, pointe le New York Times, « le Hamas, dont les dirigeants survivants se cachent pour l'essentiel dans un bunker à Doha, doit encore approuver ce plan. Et il a de multiples moyens de le saboter, tout comme Netanyahu. Mais cela vaut la peine d'essayer, s'exclame le journal. (…) Cet accord est nécessaire, même s'il paraît impossible ». Et « Israël doit être contraint de laisser ouverte la possibilité d'un État palestinien, affirme encore le New York Times, à la condition que les Palestiniens atteignent certains objectifs de gouvernance. Seul Trump peut l'imposer à Netanyahu. (…) Ce plan de paix peut créer un pont vers une solution à deux États. Il donnerait alors une énorme marge de manœuvre à l'Arabie saoudite, au Liban, à la Syrie et même à l'Irak pour envisager de rejoindre les accords d'Abraham et de normaliser leurs relations avec Israël ». Un chemin encore long… La porte est entrouverte, souligne Haaretz à Tel Aviv : « la guerre doit cesser, pour sauver les otages qui croupissent dans les tunnels du Hamas depuis deux ans, et parce qu'il est insupportable de continuer à sacrifier la vie de soldats sur l'autel d'un conflit vain. (…) Il faut espérer, implore le quotidien israélien de gauche, que Netanyahu ne changera pas d'avis et ne torpillera pas l'accord, comme il l'a fait par le passé. Les portes de l'enfer qui se sont ouvertes le 7 octobre doivent se refermer ». Le Guardian à Londres résume la situation : « le plan de Trump pour Gaza est ambitieux, mais la paix est loin d'être garantie. À première vue, ce plan semble plus susceptible de mettre fin au conflit de deux ans à Gaza que tout ce que nous avons vu jusqu'à présent. Mais il s'agit moins d'une feuille de route détaillée que d'un croquis sommaire qui laisse autant de chances de se perdre que d'atteindre la destination souhaitée. (…) Il y a encore beaucoup à faire, soupire le Guardian : même si le Hamas approuvait le plan, il resterait une multitude de détails à convenir, à fixer et à mettre en œuvre. Ce chemin pourrait être très long, et toute arrivée, et encore moins une arrivée sûre et confortable, est loin d'être garantie ».
Comme chaque année, la ville de Limoges accueille des artistes venus du monde entier pour le festival les Zébrures d'automne dirigé par Hassane Kassi Kouyaté. Le 24 septembre 2025, s'est ouvert ce rendez-vous incontournable de la francophonie. Au programme : une trentaine de spectacles dont une dizaine de créations, et près de deux cents artistes réunis dans la ville de Limoges. Pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne, l'accent est mis cette année sur la création francophone arabe. Invité.e.s : Hassane Kassi Kouyaté, metteur en scène et directeur des Zébrures d'automne-Les Francophonies-Des écritures à la scène. Un festival que son directeur qualifie de «voyage, un endroit où on met plusieurs miroirs différents». La francophonie pour moi c'est le mariage ou la naissance entre la langue française et d'autres langues. C'est une francophonie humaine «Le théâtre est un espace de mémoire», nous dit Sumaya Al Attia, metteuse en scène et comédienne franco-jordano-iranienne. Son spectacle «Rekord بیبي» est écrit en deux langues, en français et en arabe, l'occasion d'explorer la dualité de la langue. Le titre du spectacle fait référence au modèle d'Opel («Rekord») détenue par la grand-mère («بیبي» en dialecte irakien) de la metteuse en scène. C'était une évidence pour moi d'écrire le spectacle en deux langues : arabe et français. Cette voiture achetée à Beyrouth, au Liban, par ses grands-parents quand ils ont quitté la France en 1966-1967, a été utilisée pour rejoindre Bagdad où une nouvelle vie commence. C'est un récit d'exil où s'entremêlent l'histoire familiale et la grande histoire avec l'arrivée de Saddam Hussein en Irak. C'est en 2022 que l'autrice a senti la nécessité de creuser l'histoire familiale. La metteuse en scène a travaillé à partir d'entretiens audios qu'elle avait réalisés avec son père. C'est donc à partir des souvenirs d'enfance de son père qui avait huit ans à l'époque qu'elle a écrit ce texte. Elle estime que c'est grâce aux écrits qu'on peut faire vivre la mémoire... Israël Nzila, auteur congolais de 31 ans et lauréat du Prix RFI théâtre 2025 pour son texte «Clipping». Une femme perd son enfant au marché. Mais a-t-elle véritablement perdu cet enfant ? Le retrouvera-t-on ? Les cauchemars lui reviennent... Un texte bouleversant qui raconte les traumas de la guerre. Né à Kinshasa, il est parti s'installer à Lubumbashi et s'est très vite consacré à l'écriture de théâtre. Un auteur qu'on a pu découvrir avec la pièce «Silence» dans le cycle «Ça va, ça va le monde !» à Avignon en 2025. Le théâtre, c'est une existence, il est vivant. Ce n'est pas un simple spectacle. On introduit des spectateurs dans ce qu'on écrit, ça dépasse l'imaginaire. Également dans l'émission : la metteuse en scène Jenny Briffa nous parle de «Racines mêlées», un spectacle créé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, un récit d'aventures où les destins de Lapérouse, Bougainville et Cook s'entrecroisent autour d'une intrigue liée à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie. Programmation musicale du jour : Le groupe iranien Bazaari avec le titre Ce qui n'a pas été.
Comme chaque année, la ville de Limoges accueille des artistes venus du monde entier pour le festival les Zébrures d'automne dirigé par Hassane Kassi Kouyaté. Le 24 septembre 2025, s'est ouvert ce rendez-vous incontournable de la francophonie. Au programme : une trentaine de spectacles dont une dizaine de créations, et près de deux cents artistes réunis dans la ville de Limoges. Pour cette nouvelle édition des Zébrures d'automne, l'accent est mis cette année sur la création francophone arabe. Invité.e.s : Hassane Kassi Kouyaté, metteur en scène et directeur des Zébrures d'automne-Les Francophonies-Des écritures à la scène. Un festival que son directeur qualifie de «voyage, un endroit où on met plusieurs miroirs différents». La francophonie pour moi c'est le mariage ou la naissance entre la langue française et d'autres langues. C'est une francophonie humaine «Le théâtre est un espace de mémoire», nous dit Sumaya Al Attia, metteuse en scène et comédienne franco-jordano-iranienne. Son spectacle «Rekord بیبي» est écrit en deux langues, en français et en arabe, l'occasion d'explorer la dualité de la langue. Le titre du spectacle fait référence au modèle d'Opel («Rekord») détenue par la grand-mère («بیبي» en dialecte irakien) de la metteuse en scène. C'était une évidence pour moi d'écrire le spectacle en deux langues : arabe et français. Cette voiture achetée à Beyrouth, au Liban, par ses grands-parents quand ils ont quitté la France en 1966-1967, a été utilisée pour rejoindre Bagdad où une nouvelle vie commence. C'est un récit d'exil où s'entremêlent l'histoire familiale et la grande histoire avec l'arrivée de Saddam Hussein en Irak. C'est en 2022 que l'autrice a senti la nécessité de creuser l'histoire familiale. La metteuse en scène a travaillé à partir d'entretiens audios qu'elle avait réalisés avec son père. C'est donc à partir des souvenirs d'enfance de son père qui avait huit ans à l'époque qu'elle a écrit ce texte. Elle estime que c'est grâce aux écrits qu'on peut faire vivre la mémoire... Israël Nzila, auteur congolais de 31 ans et lauréat du Prix RFI théâtre 2025 pour son texte «Clipping». Une femme perd son enfant au marché. Mais a-t-elle véritablement perdu cet enfant ? Le retrouvera-t-on ? Les cauchemars lui reviennent... Un texte bouleversant qui raconte les traumas de la guerre. Né à Kinshasa, il est parti s'installer à Lubumbashi et s'est très vite consacré à l'écriture de théâtre. Un auteur qu'on a pu découvrir avec la pièce «Silence» dans le cycle «Ça va, ça va le monde !» à Avignon en 2025. Le théâtre, c'est une existence, il est vivant. Ce n'est pas un simple spectacle. On introduit des spectateurs dans ce qu'on écrit, ça dépasse l'imaginaire. Également dans l'émission : la metteuse en scène Jenny Briffa nous parle de «Racines mêlées», un spectacle créé à Nouméa, en Nouvelle-Calédonie, un récit d'aventures où les destins de Lapérouse, Bougainville et Cook s'entrecroisent autour d'une intrigue liée à l'histoire de la Nouvelle-Calédonie. Programmation musicale du jour : Le groupe iranien Bazaari avec le titre Ce qui n'a pas été.
« Ma relation avec le Liban c'est comme une relation avec un pervers narcissique »J'ai eu l'immense plaisir de recevoir Coco Makmak, l'humoriste franco-libanaise qui fait rire etréfléchir aux quatre coins du monde
durée : 00:58:23 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Comme chaque vendredi, une émission d'actualité en deux parties : retour de terrain avec Clotilde Ravel qui rentre de Namibie, puis table-ronde sur le Liban et le défi du désarmement du Hezbollah, et des autres milices, un an après la mort d'Hassan Nasrallah. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Clotilde Ravel Journaliste à Africa Intelligence et co-responsable du pôle enquête ; Agnès Levallois Présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Science-Po Paris; Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et à Sciences Po Paris, chercheur associé à l'IRIS
durée : 00:37:34 - Cultures Monde - par : Mélanie Chalandon, Julie Gacon - Où en est le Liban ? Un an après la mort d'Hassan Nasrallah, le chef de la puissante milice du Hezbollah, le Président libanais a exhorté les milices au désarmement, alors que les frappes israéliennes se poursuivent. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Agnès Levallois Présidente de l'iReMMO (Institut de Recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient), chargée de cours à Science-Po Paris; Karim Émile Bitar Professeur de relations internationales à l'Université Saint-Joseph de Beyrouth et à Sciences Po Paris, chercheur associé à l'IRIS
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bippers au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 4 : l'empoisonnement raté d'un cadre du Hamas. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, TV5 Monde, Euronews Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Donald Trump a-t-il mis fin définitivement au multilatéralisme tel qu'on l'a connu depuis la fin de la Seconde guerre mondiale ? Jean-Yves Le Drian, représentant personnel du président de la République au Liban, et ancien ministre, est l'invité du Grand entretien ce 25 septembre. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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durée : 00:21:12 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Nicolas Demorand, Benjamin Duhamel - Donald Trump a-t-il mis fin définitivement au multilatéralisme tel qu'on l'a connu depuis la fin de la Seconde guerre mondiale ? Jean-Yves Le Drian, représentant personnel du président de la République au Liban, et ancien ministre, est l'invité du Grand entretien ce 25 septembre. - invités : Jean Yves LE DRIAN - Jean-Yves Le Drian : Ministre de l'Europe et des Affaires Etrangères Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:04:15 - Le Polar sonne toujours 2 fois - par : Ilana Moryoussef - Gros plan sur Frédéric Paulin et son pari un peu fou : écrire un roman sur les quinze années des guerres du Liban, de 1975 à 1990. Le dernier volume de sa trilogie vient de paraître, intitulé "Que s'obscurcissent le soleil et la lumière". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
"C'est un cadre idéal d'être au cœur de Paris dans cet espace physique et mental pour travailler " Pour ce cinquième épisode nous avons le plaisir d'échanger avec la photographe Catherine Cattaruzza dans le cadre de la résidence Elles & Cité. Cet épisode a été réalisé dans le cadre de la résidence Elles & Cité avec l'une des lauréates, Catherine Cattaruzza, dans son atelier à la cité internationale des arts. Catherine Cattaruzza vit entre la France et le Liban où elle a passé l'essentiel de sa vie jusqu'en 2022 lorsque l'effondrement du Liban la pousse à l'exil. Depuis 1993, après des études à l'École des Beaux-Arts de Toulouse et l'obtention du Diplôme National Supérieur d'Expression Plastique avec les félicitations du jury, elle participe à des expositions personnelles et collectives, au Moyen-Orient, en Europe et en Amérique du Nord. Son travail explore les thèmes autour du territoire, de la trace, le fractionnement de la culture politique et les conditions d'après-guerre. Catherine Cattaruzza interroge le paysage dans ses dimensions politique et poétique, sur ce qu'il nous dit du monde, de la transformation du territoire physique, et de la pensée qui lie le visible à l'invisible. Son dernier projet Where Home lies (2024) développé dans le cadre de la résidence « Elles et Cité » à la Cité internationale des arts, Paris (2024), s'est vu attribué l'Aide Individuelle à la Création de la DRAC Occitanie (2023).
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bippers au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 3 : les archives du nucléaire iranien et le show de 2018. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : Le Monde, INA, Euronews Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bipeurs au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 2 : L'émigration de juifs menacés, comme au Soudan. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, Israël en Belgique Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Duel à l'Unesco. Dans deux mois au plus tard, à la mi-novembre 2025, on connaîtra le nom du successeur de la Française Audrey Azoulay au poste de directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture (Unesco). Il n'y a que deux candidats en lice et ils sont tous deux africains : le Congolais de Brazzaville Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany. Qui va gagner ? Le grand enquêteur et essayiste Abdou Latif Coulibaly a été ministre sénégalais de la Culture de 2017 à 2019, sous la présidence de Macky Sall. En ligne de Dakar, il livre son pronostic. RFI : Quel bilan faites-vous des huit ans d'Audrey Azoulay à la Direction générale de l'Unesco ? Abdou Latif Coulibaly : Oui, je pense qu'elle a fait ce qu'elle pouvait faire par un certain nombre de réalisations qu'elle a faites. Dans le cas d'Audrey Azoulay, je vais citer par exemple les importants travaux de restauration et de reconstruction dans des villes comme Mossoul, dévastées par la guerre. Au nord de l'Irak… Au nord de L'Irak. Mais également, je citerai le cas au Liban. Et en Afrique également, il y a aujourd'hui beaucoup de sites qui ont été promus patrimoine mondial de l'humanité. Elle a également, de ce point de vue, fait beaucoup de choses dans le domaine de l'éducation avec l'Alliance mondiale d'éducation qui est au cœur de la mission de l'Unesco. En tant que ministre sénégalais de la Culture de 2017 à 2019, quel souvenir vous gardez de l'action de l'Unesco ? Vous savez, c'est en 2018, précisément, que le Musée des Civilisations noires a été installé et inauguré définitivement au Sénégal. Et tous les documents qui ont été faits à ce sujet et la démarche qui a été opérée, c'est moi-même, ministre de la Culture, qui a demandé à madame Audrey Azoulay de les transférer à l'Etat du Sénégal à l'occasion de l'inauguration du 6 décembre 2018. Et elle l'a fait avec beaucoup d'enthousiasme. Et également, elle a beaucoup conseillé, à l'époque, le gouvernement sénégalais dans le processus de mise en œuvre et de finalisation de ce musée-là. Et c'est ça qui m'a mis en rapport avec madame Azoulay, qui a beaucoup travaillé de ce point de vue-là à permettre aux Etats africains, et en particulier au Sénégal, de sauvegarder les sites qui sont déjà classés. Ce n'est pas évident quand vous prenez une ville comme Gorée, une ville comme Saint-Louis qui est patrimoine mondial de l'humanité, nous avons beaucoup de difficultés au plan national à trouver les moyens et l'ensemble des outils nécessaires pour que ce caractère de patrimoine universel soit préservé. En cette période très conflictuelle dans le monde, Audrey Azoulay affirme que l'Unesco est un des derniers lieux de consensus pour un multilatéralisme d'action. Est-ce que vous êtes d'accord ou pas ? Oui, je suis d'accord. Ce qui se réalise à l'Unesco aujourd'hui en termes de promotion de l'éducation, de la culture, je pense que s'il n'y avait pas une organisation de cette nature, cela n'aurait pu jamais se produire, ça j'en suis certain. Bon, aujourd'hui, nous les Africains, nous avons deux candidats qui se présentent. Il y a le Congolais Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany, qui sont actuellement en compétition. Quel que soit le candidat qui sera élu, je pense que l'intérêt pour l'Afrique, c'est que le travail qui est aujourd'hui engagé, qui l'avait été d'ailleurs bien avant elle, mais qu'elle a su consolider et qu'elle a su élargir en intégrant davantage beaucoup de pays dans le processus de prise de décision, mais également dans les activités qui sont menées… Je pense que c'est cela qui est le plus important. Et je pense que pour ce qui concerne les candidats africains, leurs déclarations rassurent de ce point de vue-là. Est-ce qu'ils auront tous les moyens pour le faire ? Je ne suis pas sûr, mais le maximum qu'ils feront, ce sera au bénéfice de l'Afrique et des pays en voie de développement. Alors justement, entre les deux candidats, le Congolais de Brazzaville Edouard Firmin Matoko et l'Égyptien Khaled El-Enany, quel est, à votre avis, celui qui est le plus apte à tenir la barre de l'Unesco dans les prochaines années ? Je pense que tous les deux sont aptes pour le faire. Ce sont des techniciens de très haut niveau. Le Congolais, qui a un très long séjour à l'Unesco, il dit « moi, je suis l'Unesco », pour dire sa compétence et pour dire également l'efficacité qu'il pourrait apporter à l'organisation. Mais il y a également l'Égyptien qui bénéficie déjà du soutien de l'Union africaine, je pense qu'il est assez bien placé, probablement, peut-être, je dis bien peut-être, pour gagner. Qui est le mieux placé ? Je pense que tous les deux ont les compétences pour ça. Je ne peux pas dire qui est le mieux placé, mais enfin, le pedigree des deux rassure par rapport à leurs capacités à diriger l'Unesco. Vous avez une petite préférence quand même, non ? Préférence comme telle… Je n'ai pas de préférence, parce que je considère pour ma part que tous les deux pourraient être bien à cette place-là. Même si je constate que l'Egyptien bénéficie de beaucoup de soutien diplomatique à travers le monde, il faut l'accepter. En Asie, dans les pays arabes. Mais malheureusement, ça va conduire à un affrontement bloc africain contre bloc africain, c'est clair. Mais même si l'Union africaine aujourd'hui soutient officiellement la candidature de l'Égyptien, il me semble que ce combat ne manquera pas de se poser.
Un an après sa création, l'Etat d'Israël se dote d'un service de renseignements. Depuis plus de 75 ans, le Mossad mène des opérations spéciales en dehors de ses frontières. De l'arrestation d'Adolf Eichmann, ancien tortionnaire nazi retrouvé en Argentine en 1960, à l'explosion synchronisée de milliers de bipeurs au Liban en septembre 2024, le “gardien” d'Israël a su se forger une solide réputation. Mais l'agence et ses espions suscitent aussi beaucoup de fantasmes. Dans cette série, on vous emmène à la découverte de cet organe bien mystérieux, avec Yvonnick Denoël, historien, spécialiste du renseignement, auteur du livre Les guerres secrètes du Mossad (Nouveau Monde Editions). Episode 1 : Les assassinats ciblés et l'exemple du Dubaigate.Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, France 24 Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:25 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Noha Baz est pédiatre, autrice culinaire et fondatrice de l'association "Les Petits Soleils" à Beyrouth. Originaire de Syrie et du Liban, elle tisse des liens entre l'humanitaire, la santé, le goût et le plaisir gourmand avec une vitalité contagieuse. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Noha Baz Autrice culinaire et médecin pédiatre
durée : 00:28:25 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - Noha Baz est pédiatre, autrice culinaire et fondatrice de l'association "Les Petits Soleils" à Beyrouth. Originaire de Syrie et du Liban, elle tisse des liens entre l'humanitaire, la santé, le goût et le plaisir gourmand avec une vitalité contagieuse. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Noha Baz Autrice culinaire et médecin pédiatre
Le trompettiste Ibrahim Maalouf se confie sur la scène de l'Olympia. De ses racines au Liban à son amour du jazz, découvrez le parcours d'un musicien unique, son hommage à Beyrouth et sa tournée en hommage à Oum Kaltoum.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Ngày 28/08/2025, Anh, Pháp và Đức đã dọa kích hoạt cơ chế tái áp đặt các lệnh trừng phạt của Liên Hiệp Quốc, còn được gọi là « snapback », vào lúc thỏa thuận về hạt nhân Iran ký kết 2015 sắp hết hiệu lực ngày 18/10/2025. Nhưng ít ai biết rằng, trong quá khứ, một số nước phương Tây, đặc biệt là Pháp, đã từng đóng góp tích cực vào việc khai sinh chương trình hạt nhân Iran. Một mảng tối khác trong mối quan hệ căng thẳng giữa Iran và phương Tây. Ngược dòng thời gian, vào năm 1957, vào lúc châu Âu đang vực dậy từ nỗi kinh hoàng của Đệ Nhị Thế Chiến, Iran, dưới sự trị vì của vua Mohammad Reza Pahlavi, đã bắt tay vào việc tìm kiếm năng lượng nguyên tử. Quốc vương Iran lo sợ rằng dầu hỏa mà đất nước phụ thuộc một ngày nào đó sẽ cạn kiệt và do vậy phải tìm kiếm một giải pháp thay thế. Atome For Peace : Đổi hạt nhân lấy dầu lửa Một dự án điện hạt nhân dân sự được hình thành qua sự trợ giúp của chương trình « Atom for Peace – Nguyên tử vì hòa bình », do tổng thống Mỹ Dwight D. Eisenhower khởi xướng từ năm 1953. Cũng như nhiều nước thành viên khác của chương trình, Iran cam kết giới hạn sử dụng hạt nhân cho mục đích hòa bình. Đổi lại, Hoa Kỳ đào tạo các nhà khoa học Iran và cung cấp các trang thiết bị cho Teheran, bao gồm lò phản ứng nghiên cứu được thiết kế vào năm 1967 để sản xuất đồng vị phóng xạ dùng trong y tế. Quan hệ hợp tác tốt đẹp giữa hai nước kéo dài cho đến cuối những năm 1970. Trong một cuộc trả lời phỏng vấn dành cho Viện Nghe nhìn Quốc gia Pháp (INA), vào tháng 12/2022, nhà nghiên cứu Heloise Fayet, chuyên gia về phổ biến hạt nhân Viện Quan hệ Quốc tế Pháp (IFRI) giải thích « trong những năm 1950, dưới thời quốc vương Iran, mối quan hệ giữa Mỹ và Iran rất bền chặt. Hoa Kỳ đã đưa Iran vào chương trình Atom For Peace (Nguyên tử vì hòa bình), được sử dụng để phát triển chương trình hạt nhân dân sự cho Iran, để đổi lấy dầu lửa và sự bảo đảm rằng quốc gia này sẽ duy trì một chế độ ổn định gần gũi với Hoa Kỳ ». Tuy nhiên, vào lúc diễn ra Chiến Tranh Lạnh, Hoa Kỳ ngày càng lo lắng khi thấy xuất hiện nhiều cường quốc hạt nhân khác. Chương trình « Nguyên tử vì hòa bình » có nguy cơ phản tác dụng. Năm 1968, Iran gia nhập Hiệp ước Không phổ biến Hạt nhân TNP và đặt các cơ sở hạt nhân của mình dưới sự giám sát của Cơ quan Năng lượng Nguyên tử Quốc tế (AIEA). Nhưng quốc vương Iran có tham vọng xây thêm 20 lò phản ứng, đồng thời bày tỏ quan tâm đối với một số công nghệ. Điều này đã khiến Mỹ lo ngại, nhất là đối với kỹ thuật tách rời plutonium hoặc làm giầu uranium. Mặc dù mục tiêu nêu ra vẫn mang tính dân sự, Washington nghi ngờ vua Iran âm thầm thèm khát vũ khí nguyên tử. Clément Therme, giáo viên tại Đại học Paul-Valéry tại Montpellier, trong chương trình Giải Mã (19/05/2025) của kênh truyền hình ARTE nhắc lại, « ngay từ tháng 12/1975, Cơ quan Tình báo Mỹ (CIA) đã đánh giá rằng Iran rất có thể sẽ trang bị hệ thống vũ khí hạt nhân vào năm 1985. Vì vậy, ngay từ những năm 1970, đã có những nghi vấn về mục đích dân sự hay quân sự của chương trình Iran ». Pháp, Đức thay chân Mỹ Trước mối ngờ vực từ Mỹ, quốc vương Iran chuyển hướng tìm kiếm các đối tác châu Âu, được đánh giá là « ít quan tâm » đến những vấn đề được nêu trên, theo như nhận định của François Nicoullaud, cựu đại sứ Pháp ở Téhéran, trong bài viết đề tựa « La France et la négociation avec l'Iran » (Pháp và cuộc đàm phán với Iran). Pháp và Tây Đức thời đó đang chạy theo vàng đen của Iran. Cú sốc dầu hỏa năm 1973 biến Teheran thành một đối tác thiết yếu và ưu tiên cho Paris. Trong một bài giải thích, trang RFI tiếng Pháp nhắc lại, ngay từ năm 1974, bộ trưởng Tài Chính lúc bấy giờ là Jean-Pierre Fourcade đã ký kết rất nhiều hợp đồng với Iran để bảo đảm nguồn cung dầu khí cho đất nước. Teheran là nhà cung cấp nhiên liệu thứ hai cho Paris. « Chuyến thăm của Quốc vương tới Marcoule có ý nghĩa quan trọng hơn sau thông báo đặt xây năm nhà máy điện hạt nhân được xác nhận hôm qua và các thỏa thuận liên quan đến việc cung cấp uranium làm giàu cho Iran. » (France 2 ngày 25/06/1974) Trên đây là lời bình của bản tin lúc 20 giờ kênh truyền hình Pháp France 2 ngày 25/06/1974, nhân chuyến thăm của quốc vương Iran đến Pháp và trung tâm khai thác điện hạt nhân ở Marcoule vùng Gard, đông nam Pháp. Được xây dựng vào năm 1956, cơ sở công nghiệp này từng là mũi nhọn cho ngành năng lượng hạt nhân Pháp, cả về sản xuất điện lẫn sử dụng cho mục đích quân sự. Với hợp đồng trị giá gần 5 tỷ đô la – một khoản tiền « khổng lồ » theo như tuyên bố của bộ trưởng Tài Chính Jean-Pierre Fourcade – Pháp thay thế Mỹ trong lĩnh vực hạt nhân bất chấp những ngờ vực của Washington. Paris cam kết đào tạo nhân sự và cung cấp các nhà máy điện hạt nhân cho Teheran như hai lò phản ứng tại Ahvaz miền nam Iran do tập đoàn Framatome của Pháp xây dựng. Nước Đức cũng không kém cạnh. KraftWerk Union, một chi nhánh của tập đoàn năng lượng Siemens, trúng thầu xây dựng hai lò phản ứng hạt nhân ở Bushehr, miền nam Iran, trị giá 7,8 tỷ mác Đức. Chính quyền Berlin còn ký kết một thỏa thuận về hợp tác hạt nhân với vua Iran, tương tự như « hợp đồng thế kỷ », được ký một năm trước đó với Brazil. Cổ đông Eurodif : Tham vọng hạt nhân của vua Iran ? Tuy nhiên, việc các nước đồng minh mới châu Âu có những hứa hẹn tham gia tích cực vào chương trình phát triển hạt nhân Iran càng củng cố hơn nỗi lo lắng từ Mỹ. Không những vua Iran tự cung cấp phương tiện cho các tham vọng của mình và cùng với những thỏa thuận khác nhau, quốc vương Mohammad Reza còn biến nước ông thành một trong những nhà đầu tư chính cho ngành hạt nhân Pháp. Trong khuôn khổ thỏa thuận hợp tác đầu tư Eurodif - European Gaseous Diffusion Uranium Enrichissement Consortium - quốc vương Iran cho Pháp vay một tỷ đô la để xây dựng nhà máy làm giầu chất uranium Tricastin và sở hữu 10% vốn của Eurodif. Đổi lại, Iran bảo đảm lấy đi 10% chất uranium làm giầu do Eurodif sản xuất. Nhìn lại lịch sử, người ta không khỏi đặt nghi vấn về ý định quân sự của vua Iran. Một công nghệ « lưỡng dụng » uranium làm giàu có thể được sử dụng cả cho các nhà máy điện hạt nhân lẫn các đầu đạn được chế tạo theo mô hình Little Boy, từng được sử dụng để san bằng Hiroshima. Trong cuộc chạy đua vũ trang thời Chiến Tranh Lạnh, liệu quốc vương Iran có muốn trang bị vũ khí hạt nhân cho đất nước mình hay không ? Theo báo Pháp Le Monde, ngày 20/07/2025, trong bài viết dài đề tựa « Khi Pháp hứa hẹn uranium làm giầu cho Iran, nguồn cội của một hiệp ước hạt nhân đáng nguyền rủa », Akbar Etemad, chủ tịch Tổ chức Năng lượng Nguyên tử Iran (1974 – 1978) trước ống kính trong một bộ phim tài liệu của France 2 phát sóng ngày 08/10/2017, kể lại ông đã chất vấn Quốc vương như thế nào: « Liệu chúng ta có thể cân nhắc phương án quân sự hay không ? Ông ấy nói với tôi là 'Tại sao không?' Tôi hiểu rằng nhiệm vụ của tôi là phát triển tất cả các công nghệ cần thiết để sẵn sàng triển khai bom hạt nhân ». Vào thời điểm đó, Mohammad Reza Pahlavi khẳng định ông không cần đến bom nguyên tử. Dù không thể chắc chắn, châu Âu đã tin lời ông. Ngoại trưởng Pháp Jean-François Poncet (1978 – 1981), trong một chương trình phim tài liệu của kênh ARTE, khẳng định rằng, « tất cả các biện pháp phòng ngừa luôn được đặt ra để đảm bảo những gì chúng tôi thực hiện về phát triển hạt nhân với Iran sẽ không được sử dụng cho mục đích quân sự. » Cách mạng Hồi giáo 1979 và các cuộc khủng hoảng Pháp - Iran Nhưng cuộc Cách mạng Hồi giáo 1979 bùng nổ, buộc vua Iran phải sống lưu vong, chương trình hạt nhân của ông cũng tan theo. Đại giáo chủ Khomeini lên cầm quyền và chính quyền mới cho ngưng tất cả các hợp đồng xây dựng nhà máy điện hạt nhân, cũng như mua chất uranium. Hai tập đoàn Framatome của Pháp và KWU của Đức chấm dứt công trình và cho hồi hương các nhân viên. Ngoài ra, Teheran còn đòi Paris phải hoàn trả tiền vay, một đòi hỏi mà Pháp đã từ chối khi cho rằng chế độ Iran mới không thực hiện đầy đủ các nghĩa vụ được đặt ra với tư cách là một cổ đông của dự án. Nhưng cử chỉ này của Pháp đã bị nước Cộng hòa Hồi giáo xem như là một hành động đối đầu. Xung đột Iran – Irak nổ ra còn làm cho căng thẳng giữa Teheran và Paris thêm căng thẳng. Trong nhiều năm sau đó, Iran tiến hành một loạt hoạt động chống Pháp như bắt cóc và giam giữ các nhà báo và nhà ngoại giao Pháp tại Liban trong những điều kiện tệ hại. Iran đòi Pháp phải hoàn trả số nợ vay cũng như ngưng cung cấp vũ khí cho chế độ Saddam Hussein. Pháp trở thành mục tiêu tấn công của Iran. Nhiều vụ tấn công khủng bố đã xảy ra tại Pháp trong thập niên 1980 mà Iran bị cáo buộc là chủ mưu. Năm 1988, sau nhiều năm bị giam cầm ở Liban, các con tin Pháp được thả. Phần lớn khoản nợ vay của Eurodif cuối cùng đã được trả cho Iran như là tiền chuộc. Về mặt chính thức,tranh chấp đã được giải quyết xong ba năm sau đó, vào năm 1991, sau khi Pháp đổ thêm một tỷ đô la cho Cộng hòa Hồi giáo Iran. Chỉ vừa mới được bình thường hóa, quan hệ giữa Iran và phương Tây một lần nữa trở nên căng thẳng. Vào đầu những năm 2000, qua sự tố giác của một nhóm người Iran phản đối chế độ, Cơ quan Năng lượng Nguyên tử Quốc tế AIEA phát hiện nhiều cơ sở hạt nhân bí mật của Iran, đặc biệt là các cơ sở ở Natanz và Arak, miền trung đất nước. Một chương căng thẳng mới lại bắt đầu và kéo dài đến tận ngày nay. Các cuộc đàm phán rơi vào bế tắc kể từ khi tổng thống Mỹ Donald Trump trong nhiệm kỳ I rút Hoa Kỳ ra khỏi Thỏa thuận hạt nhân Vienna 2015. RFI Tiếng Việt sẽ tiếp tục trình bày chủ đề này trong một dịp khác. Tóm lại, như thừa nhận của ông Javad Vaeedi, nhà đàm phán Iran giai đoạn 2005-2009, với kênh truyền hình ARTE, « chương trình hạt nhân Iran đã được hình thành nhờ vào sự hợp tác với Mỹ, rồi Pháp cả trong khuôn khổ trao đổi sinh viên và cả trong việc hình thành các cơ sở hạ tầng có liên quan đến chương trình hạt nhân Iran ». (Nguồn INA, ARTE, RFI, Le Monde)
Vanessa vous n'avez pas pu résister au pouvoir du film Downton Abbey 3 : Le Grand Final tiré de la série éponyme- Vous êtes partie sur les traces du tournage en Angleterre. Celui qui tient le 1er rôle : Le château d'Highclere qui se dévoile derrière ces majestueux cèdres du Liban. Ils nous hypnotisent dès le générique. Alors il ne situe pas dans le Nord, le Yorkshire, là où l'histoire est censée se dérouler, mais à la limite du Hampshire et du Berkshire, à 1h30 au sud de Londres. Ce château il a été remodelé au 19 ème par l'architecte du Palais de Westminster de Londres, Sir Charles Barry, dans un style néo-jacobéen. Et quand vous pénétrez dans ce domaine de 2000 hectares, vous traversez l'écran. Vous êtes dans LE fief des Crawley, mais surtout celui des propriétaires des lieux depuis 1679, les Carnarvon! Qui ont été la 1ère source d'inspiration. Il y a eu aussi une lady Cora, une riche américaine qui a sauvé le château de la vente, château qui a été aussi transformé en Hôpital pendant la 1ère guerre, des liens intimes avec la famille royale…le propriétaire actuel est quand même le filleul de la Reine Elisabeth II. Est-ce qu'on a la chance de le visiter ce château ? Evidemment grâce des visites guidées ! c'est un copié collé de Downton Abbey à l'exception des cuisines, qui ont été reconstituées à l'écran. Sinon on retrouve le hall, le grand escalier, cette impressionnante bibliothèque- avec ses 5000 livres- où se retrouve la famille pour le tea time. Vous aussi vous aurez le droit à un tea time bien sûr. La salle à manger et son immense table de réception,jusqu'à la chambre de la comtesse avec sa mythique coiffeuse. Bref plus qu'un décor, c'est la réalité mais avec des tapis limés par le temps. Et où est ce qu'on peut dormir près de HighClere castle ? Et bien à 2 pas du Château, au Carnarvon Arms. Ambiance auberge de campagne luxueuse. Un ancien relais de poste classé. Il a accueilli les acteurs de la série pendant le tournage. Alexis vous dormirez peut-être dans les draps de Maggie Smith, qui nous a quittés. Et pour passer son we en mode Downtown Abbey : allez assister à des courses hippiques à Newbury -Faites du bateau sur le Kennet and Avon Canal. Fiche Pratique : Office de Grande Bretagne : Visitbritain https://www.visitbritain.org/fr Highclere castle : Highclere Castle : Homepage Hôtel : The Carnavorn arms : www.thecarnarvonarmshotel.com Les cèpes S'il y a une bonne nouvelle à la rentrée, c'est l'arrivée des cèpes que l'on voit depuis quelques jours. On les trouve dans de très nombreuses régions : du Sud-Ouest, en passant par la Bourgogne Franche-Comté, la Bretagne et le centre : il faut juste un terroir favorable : les sols riches en humus dans les forêts de chênes, les hêtres, les châtaigner et même les pins.On les choisit pas trop gros et surtout bien fermes (sans vers). Pour les laver, une petite brosse, un couteau et un linge avec de l'eau tiède Crus ou cuits? - Association cèpes et figues : poêlés avec du beurre, de la persillade et un peu de jus de volaille - Crus, tailles finement avec de l'huile d'olives, du parmesan, des noix concassées et torréfiées. - Avec du fromage : cèpes et saint-nectaire - Avec les cèpes abimés, on peut faire une crème (bouillon de volaille et un peu de crème) / parfait pour un risotto où à consommer tel quel. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Erika Ramos não tem dúvida de que há caminhos que começam de forma silenciosa, mas que, com o tempo, se revelam como verdadeiros chamados da alma. Foi assim que ela encontrou no Jin Shin Jyutsu Institute de Nova Iorque - uma prática de harmonização energética por meio do toque nas mãos e no corpo - não apenas uma técnica, mas uma arte capaz de equilibrar corpo, mente e espírito. Com 25 anos de dedicação e dezenas de cursos no Brasil, Estados Unidos e Japão - um mergulho profundo em uma prática que, de tão simples no gesto, se torna imensa no alcance -, hoje ela representa o Shin Institute de Nova York no Brasil, coordenando, entre outras atribuições, a modalidade no Núcleo de Cuidados Integrativos do Hospital Sírio-Libanês. Além disso, é autora do livro Universo em Suas Mãos. Neste papo com o podcast "45 do Primeiro Tempo", Erika contou sua história de vida, trouxe seu olhar sobre o momento atual do mundo e foi categórica: “Precisamos estar atentos aos sinais.” Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les États-Unis ont annoncé une aide militaire d'un montant de 14,2 millions de dollars à destination du Liban. L'objectif affiché est de renforcer l'armée libanaise afin qu'elle puisse affirmer son rôle comme seule force armée légitime du pays et réduire l'influence des groupes non étatiques, au premier rang desquels le Hezbollah
« Quelle fille bizarre ! Ce n'est ni un homme ni une femme. » Cette terrible phrase parlant de notre invitée, la cinéaste Heiny Srour, on la doit à un poète égyptien marxiste. Trois mots (poète, égyptien, donc arabe, et marxiste) qui ont créé un désenchantement chez celle qui reste la première femme du tiers monde (ouh, le vieux mot) à avoir été sélectionnée à Cannes en 1974. Rendre visible les femmes dans l'histoire des luttes, c'est le pacte, l'indiscutable engagement pris par cette passionaria de 80 ans, juive libanaise, qui pose sur la table de nos urgences deux films pionniers du cinéma arabe Leïla et les loups (fresque poétique sur la grande Histoire vue pour une fois par les femmes libanaises et palestiniennes) et L'heure de la libération a sonné tourné en 1971 en pleine guerre du Dhofar, opposé à la présence des troupes britanniques à Oman, et qui nous apporte un éclairage édifiant sur ce Moyen-Orient post 7 octobre. À écouter aussiHeiny Srour, pionnière du cinéma féministe et décolonial
La marche du monde vous invite à découvrir cette semaine Palestine, filmer pour exister, un épisode documentaire signé Maxime Grember à découvrir à l'occasion de la 80e session de l'Assemblée générale de l'Organisation des Nations unies (ONU), dont le lancement doit avoir lieu mardi 9 septembre, plusieurs pays ont annoncé vouloir reconnaître l'État de Palestine. Entre 1968 et 1982, le cinéaste palestinien Mustafa Abu Ali et d'autres professionnels du cinéma vont réaliser des dizaines de films sous l'égide de l'Unité cinéma, une structure de production audiovisuelle liée au Fatah. Passant du fusil à la caméra, ils vont raconter en images la lutte du peuple palestinien, diffuser leurs films dans les camps de réfugiés et tenter ainsi de construire une mémoire visuelle palestinienne. Mais quelle histoire se cache derrière cette filmographie militante née dans les mois qui ont suivi la guerre des six jours de 1967 ? Qu'est-ce que ces films nous racontent du mouvement révolutionnaire palestinien et de la guerre contre l'État d'Israël ? Et enfin, que nous disent-ils du rapport que le peuple palestinien entretient avec sa propre histoire ? Le 15 juin 1969, dans une interview accordée au journal britannique The Sunday Times, Golda Meir, alors cheffe du gouvernement israélien, déclare, deux ans après la guerre des Six-Jours qui avait donné à son pays le contrôle de l'ensemble des territoires palestiniens : « Les Palestiniens n'ont jamais existé. Comment pourrions-nous rendre les territoires occupés ? Il n'y a personne à qui les rendre. » En réponse à cette provocation, le cinéaste palestinien Mustafa Abu Ali réalise en 1974 le documentaire They do not exist, pour insister sur le manque de soutien et de visibilité de la part de la communauté internationale. L'histoire du cinéma palestinien pourrait véritablement prendre sa source dans ce déni d'existence, car c'est bel et bien à partir de 1968 qu'une Unité cinéma va se créer et que des hommes et des femmes vont documenter en images les luttes, les souffrances et les multiples déplacements que le peuple palestinien connait depuis la Nakba de 1948. « Il n'y avait plus de rues, plus de magasins, plus d'écoles. Tout avait été détruit. Donc, l'idée était de construire un film à partir de cette phrase de Golda Meir "They do not exist". Alors Mustafa s'est dit : s'ils n'existent pas, ceux que vous bombardez, ce sont des fantômes ? ». Khadijeh Habashneh, cinéaste et archiviste du cinéma palestinien, s'exprime au sujet du film They do not exist que Mustafa Abu Ali réalise en 1974. En 1973, Mustafa Abu Ali réalise Scène d'occupations à Gaza, un film emblématique de l'Unité cinéma. Ne pouvant pas se rendre dans la bande de Gaza, sous contrôle israélien depuis 1967, il va réaliser son film à partir d'un reportage fait pour la télévision française et pour lequel il arrive à se procurer les images. Avec son nouveau montage, il veut attester en images de la souffrance endurée par le peuple gazaoui. « Mustafa Abu Ali va utiliser les moyens que le cinéma met à sa disposition, c'est-à-dire qu'il va transformer la bande son, ajouter une voix off, de la musique. Il va figer l'image sur le regard d'un des hommes palestiniens qui est contrôlé, et rajouter en insert une image d'une grenade sur un fond rouge. À travers cela, il essaye de signifier que ce jeune homme porte en lui toutes les marques de la lutte. » Hugo Darroman, docteur en études cinématographiques, s'exprime au sujet du film Scènes d'occupation à Gaza que Mustafa Abu Ali réalise en 1973. À lire aussi1974, le discours historique de Yasser Arafat à l'ONU L'ensemble de ces films seront montrés dans les camps de réfugiés palestiniens, mais aussi à l'étranger, dans des festivals ou dans des réseaux de solidarité, afin de faire connaître la cause palestinienne et aussi mettre en place des coproductions, comme ce sera le cas en 1977 avec l'Italie pour le documentaire Tall-al-Zaatar consacré aux massacres ayant eu lieu dans le camp de réfugiés palestiniens dans l'est de Beyrouth. Au total, près d'une centaine de reportages et de documentaires seront produits par l'unité cinéma du Fatah, d'abord installé à Amman jusqu'en 1970, puis à Beyrouth jusqu'en 1982, où une cinémathèque s'était constituée autour de cette collection. Mais, en 1982, lors de l'invasion israélienne au Liban, une partie du patrimoine culturel palestinien va être spolié, et les archives filmiques, un temps cachées dans Beyrouth, vont également disparaître au milieu des années 80. Depuis les années 2000, Khadijeh Habashneh, déjà à l'œuvre à Beyrouth entre 1976 et 1982 aux côtés de son mari Mustafa Abu Ali, tente de remettre la main sur des copies de ces films, et de trouver les partenariats et les conditions nécessaires pour qu'ils puissent être conservés et à nouveau montrés au public. C'est finalement à la Cinémathèque de Toulouse, l'une des plus importantes de France, connue pour la richesse de ses collections venant du monde entier, qu'une partie des films palestiniens vont trouver refuge en 2023. Retour sur une production cinématographique méconnue, une histoire d'archives en exil, d'images manquantes, et d'une certaine idée du cinéma comme moyen de résistance et de représentation d'un peuple par lui-même. Palestine, filmer pour exister, un nouvel épisode documentaire de La marche du monde, signé Maxime Grember, produit par Valérie Nivelon, réalisé par Sophie Janin, aux sons des archives filmiques palestiniennes. Avec les témoignages de : Samir Arabi, programmateur du festival Ciné-Palestine Toulouse-Occitanie Hugo Darroman, docteur en études cinématographiques, auteur d'une thèse sur le cinéma de la révolution palestinienne Khadijeh Habashneh, archiviste, cinéaste et psychologue Franck Loiret, directeur de la Cinémathèque de Toulouse Rona Sela, chercheuse en histoire visuelle à l'Université de Tel Aviv Remerciements à : Francesca Bozzano, Nicolas Damon, Victor Jouanneau et Franck Loiret de La Cinémathèque de Toulouse ainsi que leurs partenaires dans le projet de sauvegarde et de numérisation des films palestiniens : le ministère de la Culture palestinien, le Palestinian Cultural Fund, la Fondation Art Jameel et le Consulat Général de France à Jérusalem. Samir Arabi, Hugo Darroman, Khadijeh Habashneh, Rona Sela, Guilhem Delteil et Vanadis Feuille de RFI, Tarik Hamdan de MCD, Colette Berthès et Monica Maurer. Ainsi que Nathalie Laporte, Joe Farmer et Sophie Janin pour la voice-over. Musiques : The urgent call of Palestine, Zeinab Shaat Ounadikom, Ahmad Kaabour From Gaza with love, Saint Levant Films : Scène d'occupations à Gaza, Mustafa Abu Ali, 1973 They do not exist, Mustafa Abu Ali, 1974 Tall el-Zaatar, Mustafa Abu Ali, Adriano Pino et Jean Chamoun, 1977 Documentaires : Looted and Hidden - Palestinian Archives in Israel, Rona Sela, 2017 Ouvrages : La Palestine et le cinéma, de Guy Hennebelle et Khemaïs Khayati, Édition du Centenaire, 1977 Knights of Cinema, documentary narrative book on the story of Palestine Film Unit. From its beginning 1967 till 1982, de Khadijeh Habashneh, Alahlia Publishing house, 2020 Article : Toulouse, refuge des archives palestiniennes, sur Orient XXI Table ronde : Films palestiniens, archives en exil, organisée par la Cinémathèque de Toulouse et le festival Ciné-Palestine Toulouse-Occitanie en 2024 Diaporama
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur le retrait de la Finul, les sanctions européennes contre l'Iran et la peine capitale à Washington. Chine : Pékin réunit ses alliés pour un défilé militaire historique À l'occasion du défilé militaire pour la commémoration des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale, la Chine a invité 26 chefs d'État étrangers, dont le président russe, iranien et nord-coréen. En réunissant tous ces dirigeants, Pékin cherche-t-il à montrer que, malgré les tensions internationales, son influence diplomatique reste intacte ? Avec Clea Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Liban : vers un retrait de la Finul en 2027 Sous la pression américaine et israélienne, la force de maintien de la paix de l'ONU au Liban va quitter le pays. Son mandat a été renouvelé jusqu'à fin 2026, avec un retrait organisé d'ici à la fin 2027. Pourquoi les États-Unis et Israël veulent-ils le départ des Casques bleus ? L'armée libanaise est-elle en mesurer d'assurer la sécurité dans le sud du Liban ? Avec Paul Khalifeh, correspondant de RFI à Beyrouth. Iran : les Européens ont mis leur menace à exécution Face à l'impasse des négociations sur le nucléaire iranien, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni ont enclenché la procédure qui permettra de rétablir les sanctions internationales contre Téhéran. Comment ces pays justifient-ils cette décision ? Téhéran a promis de « répondre de manière appropriée à cette action illégale et injustifiée ». De quelle manière les autorités iraniennes pourraient-elles riposter ? Avec Clément Therme, chargé de cours à l'université Paul-Valery de Montpellier. Auteur de l'ouvrage Idées reçues sur l'Iran : un pouvoir à bout de souffle ? (Éditions Le Cavalier Bleu). États-Unis : Trump peut-il remettre en place la peine de mort à Washington ? Donald Trump a annoncé vouloir rétablir la peine capitale pour tout meurtre commis dans la capitale fédérale de Washington, D.C., malgré son abolition en 1981. La Constitution américaine permet-elle au président américain de rétablir la peine de mort ? Quel est l'objectif recherché par Donald Trump ? Avec Pierre Gervais, professeur de civilisation américaine à l'Université Sorbonne Nouvelle. Auteur du livre Histoire des États-Unis de 1860 à nos jours (Éditions Hachette éducation).
Concerts, table ronde et marché des créatrices et créateurs… Fin avril à l'Usine de Genève, face à la situation internationale, le collectif Echoes of Freedom se mobilise en solidarité avec la Palestine, le Liban et le Congo. Il veut faire résonner un message de solidarité internationale et lever des fonds pour des associations engagées sur le terrain. Rachitik, Misa, Saudad, trois rappeurs genevois d'une vingtaine d'années, racontent comment l'art et la musique sont le vecteur de leur engagement. Reportages de Laure Gabus Réalisation : David Golan Production : Raphaële Bouchet
Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Guerre entre Israël et le Hezbollah qui perdure malgré le cessez-le-feu, les drones israéliens survolent toujours le sud du pays et les bombes pleuvent par intermittence. Et cela sans compter l'effondrement bancaire dans un pays réduit à fonctionner avec du cash et une explosion dans le port de Beyrouth équivalente à une bombe nucléaire qui a laissé la capitale exsangue. Et malgré toutes ces catastrophes la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. « Liban : la culture malgré tout », une série proposée par Muriel Maalouf à la réalisation Diego Tenorio. Aujourd'hui rendez-vous avec la danse.
Au menu de l'actualité : Au Liban, la mission de paix de l'ONU partira en 2027Un musicien haïtien plaide la cause des enfants de son paysA Genève, les Etats ont discuté du commerce des armes conventionnelles Présentation : Jérôme Bernard
« Ce qu'on fait pour les enfants, tout le monde en bénéficie. »À quoi ressemblerait une ville pensée d'abord pour les enfants ? Cet épisode vous invite à découvrir comment la ville de Lyon s'est transformée pour mieux inclure les plus jeunes et faire de leur bien-être une priorité collective.Aujourd'hui, notre invité est Tristan Debray, conseiller municipal délégué à la Ville des enfants à Lyon. Spécialiste engagé depuis de nombreuses années sur les droits de l'enfant, Tristan a travaillé auprès d'instances internationales et locales, notamment au Liban et au Comité des droits de l'enfant des Nations unies. À Lyon, il porte une politique ambitieuse pour replacer les enfants au cœur des décisions urbaines.Dans cet épisode, vous partirez à la rencontre des transformations concrètes qui réinventent la ville à hauteur d'enfant : rues végétalisées, espaces de jeux repensés, conseils d'enfants et d'adolescents… Tristan partage sa vision, ses défis, et les impacts positifs de cette démarche inclusive pour l'ensemble des habitants. Vous découvrirez pourquoi accorder une vraie place aux enfants n'est pas seulement bénéfique pour eux, mais aussi pour toute la société.Au programme :(00:00-04:02) Parcours et engagement précoce de Tristan Debray pour les droits de l'enfant(04:02-11:39) La Convention internationale des droits de l'enfant : ambitions, freins et réalités en France(11:39-13:39) Naissance du projet "Ville des enfants" à Lyon et originalité de la démarche(13:39-15:57) Pourquoi les villes doivent s'impliquer pour l'inclusion des enfants(15:57-19:49) Le label « Ville amie des enfants » de l'UNICEF : exigences, impacts et innovations lyonnaises(19:49-25:27) Les freins psychologiques et culturels à repenser la ville pour les enfants(25:27-28:54) Pourquoi une ville pensée pour les enfants profite à tous ses habitants(28:54-34:56) Les grands chantiers concrets à Lyon : rues aux enfants, conseils, cours nature...(34:56-38:15) Conseils d'enfants : des idées aux réalisations concrètes(38:15-40:54) Retours des enfants et apprentissages d'une participation active(40:54-43:42) Impact global de la Ville des enfants : pour une société plus inclusive et démocratiqueRessources de l'épisode : Livre : « La ville des enfants. Pour une (r)évolution urbaine » de Francesco TonucciÀ travers le regard de Tristan Debray, cet épisode révèle comment l'écoute, la participation et le respect des droits de l'enfant peuvent transformer nos villes et, au-delà, nourrir une société plus juste, créative et humaine.
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Guerre entre Israël et le Hezbollah qui perdure. Et cela sans compter l'effondrement bancaire dans un pays réduit à fonctionner avec du cash et une explosion dans le port de Beyrouth équivalente à une bombe nucléaire qui a laissé la capitale exsangue. Et malgré toutes ces catastrophes, la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes, cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. Liban : la culture malgré tout. Aujourd'hui, visite au théâtre.
durée : 01:02:00 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - "Beyrouth, 13 avril 1975 : autopsie d'une étincelle" paraît aux éditions Belfond, Marwan Chahine y déploie une enquête autour de l'attaque de l'autobus de Aïn el-Remmané, ayant conduit à la guerre civile au Liban. Ivan Jablonka explore la possibilité d'un monde entre l'histoire et la littérature. - réalisation : Laure-Hélène Planchet, Camille Mati - invités : Marwan Chahine Journaliste franco-libanais; Ivan Jablonka Historien, écrivain, professeur à l'université Sorbonne Paris Nord
Bogdan Ivănel conduce o echipă de voluntari care fac România mai bună. La Code for Romania ei construiesc platforme și aplicații gratuite ce ajută în viața reală: de la găsirea rapidă a informațiilor oficiale, la sprijin pentru refugiați sau transparență în alegeri. Prieteni, invitatul din această seară a făcut multă școală și a lucrat în afara granițelor țării. Dar s-a întors în România să facă bine. Și mai convinge și alți tineri să rămână aici, să construiască împreună. Greu, cu piedici și poticneli... toate par că au un numitor comun, statul român. Care, treptat, s-a transformat într-un Frankenstein instituțional, după cum spune Bogdan Ivănel. Și ce de lucruri o să mai aflați, rămâneți alături de noi până la final și scrieți-ne în comentarii părerile voastre. 05:18 Teza de doctorat care anunța războiul din Ucraina 07:20 Putin e un strateg 09:30 România, cea mai vulnerabilă parte a frontului de Est 12:20 De la Code for Romania la Commit Global 17:00 Liban și toate crizele din lume 23:30 Realitatea din teren 28:18 Moștenirea comunistă 34:00 Slăbiciunile statului român 42:00 Ce înseamnă Code for Romania 55:22 Momentul Colectiv 01:19:28 Povestea românului de la Paris 01:31:12 România s-a dezvoltat în ciuda statului 01:40:03 Statul român are nevoie de profesioniști în patru meserii 01:47:13 Digitalizarea la suprapreț
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, le gouvernement a approuvé, sous la pression de l'administration Trump, le désarmement du Hezbollah déjà très affaibli par sa guerre contre Israël. C'est une étape déterminante dans la recomposition en cours au Moyen-Orient mais qui ravive la crainte d'affrontements. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:19 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Au Liban, le gouvernement a approuvé, sous la pression de l'administration Trump, le désarmement du Hezbollah déjà très affaibli par sa guerre contre Israël. C'est une étape déterminante dans la recomposition en cours au Moyen-Orient mais qui ravive la crainte d'affrontements. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
This episode is made possible by the generous support of our subscribers on Patreon. Join us at patreon.com/leviathanchronicles to hear episodes ad free and unlock exclusive content. Salah and Liban force Sarina to answer questions about the Zephyr lifeboat that brought them to Somalia. And Kasho and Axado continue to torture the immortals before one of them finally reveals a secret that has been kept for centuries! TO VIEW THE BLUEPRINTS OF THE INVENIOS GOTO INVENIOSEXPEDITIONS.COM/BLUEPRINTS To discover more podcasts set in The Leviathan Universe go to www.leviathanaudioproductions.com or follow us social on media Written, Directed & Created by Christof Laputka Executive Produced by Amish Jani Produced by Robin Shore Original Music by Luke Allen Editing by Luke Allen and Robin Shore Sound Design by Jonathon Stevens and Robin Shore Casting by Claire Dodin Starring Isaac Robinson-Smith as Captain Mohammed Salah Patrick Caberty as Liban Ugas Paul Hikari as William Tammy Klein as Cecilia Michael Pizzuto as Archie Brittany Cox as Sarina Christopher Swindle as Edward Georgina Elizabeth Okon as Axado Lex Daemon as Captain Sonny Kasho Time Winters as Sinclair Melissa Medina as The Narrator Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur les inondations en Afrique de l'Ouest et en Afrique centrale, le plan israélien pour contrôler Gaza et le désarmement du Hezbollah approuvé par le gouvernement libanais. Côte d'Ivoire : retour sur les « arrestations » de six responsables du PPA-CI En Côte d'Ivoire, six responsables du PPA-CI ont été arrêtés suite à des violences survenues à Yopougon. Comment les autorités ivoiriennes expliquent ces arrestations ? Pourquoi le PPA-CI parle d'enlèvements ? Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Afrique : une saison des pluies dévastatrice Des inondations importantes ont ravagé plusieurs pays d'Afrique de l'Ouest et d'Afrique centrale. Ces événements vont-ils continuer de s'intensifier avec le temps ? Que peuvent faire les gouvernements pour prévenir de telles catastrophes ? Et à leur échelle, que peuvent faire les populations ? Avec Benjamin Sultan, directeur de recherche à l'IRD (Institut de recherche pour le développement) et climatologue. Israël : un plan pour « prendre le contrôle » de GAZA Le Premier ministre Benyamin Netanyahu a annoncé que l'armée israélienne allait prendre le contrôle de toute la bande de Gaza. Quel est le plan des autorités pour y parvenir ? Quel pourra être le sort de l'enclave palestinienne et de sa population si l'armée israélienne va au bout de son plan ? Avec Sébastien Boussois, docteur en Sciences politiques et directeur de l'IGE (Institut géopolitique européen). Liban : le désarmement du Hezbollah approuvé par le gouvernement Le gouvernement libanais a approuvé un plan de désarmement du Hezbollah, malgré l'opposition du parti chiite. Comment expliquer cette décision du gouvernement libanais ? Quels sont les risques d'escalade au vu du refus du parti chiite de se soumettre au plan de désarmement ? Avec Karim-Emile Bitar, enseignant à Sciences Po Paris et chercheur associé à l'IRIS.
durée : 00:58:41 - Les Grandes Traversées - par : Nedjma Bouakra - Celui qui fut l'écrivain le plus retranché de son temps fut aussi, durant ses vingt dernières années, l'un des plus présents sur la scène politique de Chicago à la Goutte d'Or, des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila au Liban aux ghettos noirs des États-Unis. - réalisation : Angélique Tibau - invités : Hadrien Laroche Écrivain, philosophe; Emmanuelle Lambert Écrivaine française; Albert Dichy Directeur littéraire à l'Institut Mémoires de l'Edition Contemporaine (IMEC); Agnès Vannouvong Romancière. ; Khadim Jihad Hassan
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'annulation de la candidature de Maurice Kamto, la création d'une milice au Niger et l'augmentation des productions de pétrole. Gabon : retour sur le chantage d'un influenceur contre le président Un influenceur gabonais d'origine libanaise menace de divulguer des vidéos compromettantes du président Oligui Nguema. Quel est le contenu des enregistrements que Nazih affirme détenir ? Une enquête est-elle ouverte côté gabonais pour vérifier l'authenticité des enregistrements ? Avec Yves-Laurent Goma, correspondant de RFI à Libreville. Cameroun : Maurice Kamto définitivement écarté de la course à la présidentielle Considéré comme « non fondé », le recours de l'opposant a été rejeté par le Conseil constitutionnel. Comment expliquer cette décision ? À quoi s'attendre pour l'avenir politique de Maurice Kamto ? Avec Stéphane Akoa, politologue camerounais et chercheur à la fondation Paul Ango Ela. Niger : une milice citoyenne en appui aux forces de l'ordre Au Niger, le mouvement citoyen M62 lance une milice civile pour appuyer les forces de sécurité. Quelle est la mission précise de cette milice ? Plusieurs organisations de la société civile mettent en garde contre une dérive de cette milice. Ces craintes sont-elles fondées ? Avec Seidik Abba, président du Centre international de réflexions et d'études sur le Sahel. Auteur de l'ouvrage « Crise interne au Conseil Militaire Suprême du Niger » (éditions L'Harmattan). Pétrole : pourquoi les pays de l'OPEP+ augmentent leur production ? Les pays de l'OPEP+ ont prévu d'augmenter leur production de pétrole en septembre 2025. Pourquoi l'OPEP+ cherche-t-elle à augmenter sa production alors qu'elle avait jusqu'à maintenant réduit son offre pour maintenir des prix élevés ? Jusqu'où l'Organisation peut-elle augmenter sa production sans provoquer une chute importante des prix ? Avec Marie-Pierre Olphand, journaliste pour la Chronique des matières premières sur RFI.
Des lectures pour la pause estivale Pour cet épisode spécial pause estivale, trois personnalités recommandent un livre qui a compté pour eux, une lecture qui les a un jour bouleversés, retournés, démystifiés et qui pourrait aussi nous faire du bien avant de redémarrer une vie normale à la rentrée. Nabil Wakim est journaliste au Monde. Il produit l'excellent podcast Chaleur Humaine, consacré aux enjeux du réchauffement climatique et aux solutions qui s'offrent à nous. Pour élever le niveau et enfin tout piger à la taxe anti-charbon, aux moules de rivières et à Thomas Piketty. Né au Liban de parents arabophones, il est également l'auteur de L'Arabe pour tous et du film Mauvaise langue où il essaie de comprendre pourquoi les enfants d'immigrés issus de pays arabes ne parlent pas la langue de leurs parents. Christine van Geen est l'autrice de l'essai Allumeuse : genèse d'un mythe. On l'a entendue dans l'épisode de Vivons heureux avant la fin du monde « Le mythe de l'allumeuse ». Elle est également enseignante, agrégée de philosophie et fan inconditionnelle de Jane Austen.Marie Pavlenko écrit des romans et de la poésie. Dans l'épisode « Comment parler de l'effondrement avec nos enfants », elle revenait sur son roman Quand le désert disparaitra, une dystopie captivante où les arbres ont disparu de la planète. Pour cet été, elle nous conseille d'emporter un peu de poésie québécoise dans la valise. Ouvrages cités par les intervenants :- Barbara Kingsolver, Dans la lumière, (trad. de l'anglais par Martine Aubert) Ed. Rivages, 2013.- Jane Austen, Orgueil et Préjugés (trad. de l'anglais par Pierre Goubert) Ed. Gallimard, 2007 (publication originale 1813)- Raison et Sentiments (trad. de l'anglais par Pierre Goubert) Ed. Gallimard, 2024 (publication originale 1811). - Emma (trad. de l'anglais par Pierre Goubert) Ed. Gallimard, 2015 (publication originale 1815- Persuasion (trad. de l'anglais par Pierre Goubert) Ed. Gallimard, 2025 (publication originale 1817). - Louise Dupré, Exercice de joie, Ed. Bruno Doucey, 2022.Pour aller plus loin :Quelques romans de Marie Pavlenko : - Et le désert disparaîtra, Flammarion Jeunesse, 2020, Grand Prix SGDL du Roman Jeunesse 2020 - Je suis ton soleil, Flammarion Jeunesse, 2017 - Un si petit oiseau, Flammarion Jeunesse, 2019, Prix Jeune adulte Babelio 2019 - Traverser les montagnes et venir naître ici, Les escales, 2024 Enregistrements Juillet 2025 Entretiens et prise de son Delphine Saltel Montage Delphine Saltel et Mina Souchon Accompagnement éditorial Mina Souchon Lectures Mickael Liot Sabine Zovighian Réalisation Annabelle Brouard Mixage Annabelle Brouard Illustration Yasmine Gateau Production ARTE Radio
Un titan du business mondial… aujourd'hui sur la liste rouge d'Interpol, après une fuite spectaculaire du Japon vers le Liban — caché dans une malle conçue pour transporter des instruments de musique.Voici l'histoire improbable de l'un des plus grands dirigeants du XXIe siècle.Carlos Ghosn est un génie industriel. En 1999, Renault le missionne pour redresser Nissan, alors au bord de la faillite.En trois ans, il efface la dette de l'entreprise (c'est-à-dire 20 milliards de dollars sur 40 milliards de chiffre d'affaires) et la rend de nouveau rentable. Malgré la méfiance initiale des Japonais, il devient une véritable star.Adulé à l'international, il prend la tête de l'alliance Renault–Nissan–Mitsubishi et propulse le groupe au sommet de l'industrie automobile mondiale.Mais au sommet de la gloire, tout bascule. Arrêté au Japon sans avertissement, il est incarcéré pendant plus de 100 jours.Libéré sous caution mais interdit de quitter le pays, il comprend rapidement que s'enfuir est sa seule option, et organise dans le plus grand secret une exfiltration digne d'un thriller.Le monde découvre alors, stupéfait, son évasion rocambolesque.Aujourd'hui réfugié au Liban, Carlos Ghosn revient sur sa carrière fulgurante, sa vision du business, ses méthodes de management, ses convictions… et la polémique judiciaire qui entoure sa chute.Dans cet épisode :La seule stratégie pour devenir leaderComment redresser une entreprise croulant sous la detteLe rôle des États face aux multinationales (et l'implication de Macron dans l'affaire Nissan)Sa plus grosse erreurToute l'équipe est fière de vous proposer cet épisode inédit. Probablement l'un des plus captivants et enrichissants que l'on ait eu la chance de publier.PS : avec ces 3h d'entretien, Carlos Ghosn a pu partager sa version des faits : coupable ou innocent, on vous laisse vous faire votre avis !On lira tous vos commentaires.TIMELINE:00:00:00 : Le goût de la diversité et la culture libanaise00:12:43 : L'ascension jusqu'au sommet de l'industrie automobile00:24:06 : Masterclass sur la restructuration : comment BIEN réduire les coûts et raviver la croissance00:31:35 : Carlos Ghosn était prêt à faire le Hara-Kiri pour redresser Nissan00:43:34 : Pourquoi Renault piétine alors que BYD rafle le marché mondial00:53:58 : Travailler avec les Japonais et réduire les dépenses avec délicatesse01:11:00 : Pour être leader, il faut exceller dans un domaine au lieu de disperser ses efforts01:17:35 : L'État “stratège” est une farce : l'implication de Macron dans l'affaire Nissan01:29:20 : Il fallait se débarrasser de Carlos Ghosn : la justice de l'otage au Japon01:36:12 : Pourquoi la notice rouge d'Interpol est contestable01:50:30 : La plus grosse erreur de sa vie02:05:43 : Pourquoi il est bloqué au Liban et l'humiliation infligée par le système japonais02:16:23 : L'évasion du siècle02:32:21 : L'“avant-après” de Renault02:41:32 : L'épée de Damoclès de la France : la dette qui court02:50:29 : Organiser ses journées comme un titan de l'industrie02:53:46 : L'autonomie intellectuelle et ses conseils pour la jeunesseLes anciens épisodes de GDIY mentionnés : #158 Edgar Grospiron - Athlète et conférencier - Avance, fais-toi confiance.#213 - Adrien Roose - Cowboy - Toucher le fond et se remettre en selle#73 Marc Simoncini - De Meetic à Jaina - Les montagnes russes de l'entrepreneuriat#401 - Emmanuel Macron - Président de la République - Les décisions les plus lourdes se prennent seulNous avons parlé de :RenaultNissanHôtel Sofitel Beyrouth Le GabrielL'Évadé : L'étrange affaire Carlos Ghosn (documentaire Netflix)NISSAN REVIVAL PLANLouis Schweitzer (ex-PDG Renault)MitsubishiKeiretsu : ensemble d'entreprises japonaises qui entretiennent de forts liens financiers.Seppuku / Hara-kiri : forme rituelle de suicide par éventration.BYDNissan PATROLNissan LeafAvtoVAZ - LadaLoi FlorangeHitojichi shihō : « justice de l'otage » prive les personnes suspectées d'infractions pénales du droit à une procédure régulière et à un procès équitable.Affaire DatiL'Europe vu par le patron Sylvestre - Les Guignols - CANAL+Affaire Carlos Ghosn : l'audit Mazars contesté en justiceL'Agence des participations de l'État (APE)Greg KellyLes recommandations de lecture :The Road Less TravelledVous pouvez contacter Carlos sur Instagram.Vous souhaitez sponsoriser Génération Do It Yourself ou nous proposer un partenariat ?Contactez mon label Orso Media via ce formulaire.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
No episódio de hoje, recebemos Fabio Ota, pesquisador responsável por projetos inovadores que utilizam videogames para promover a saúde física e mental. Com apoio da FAPESP, ele desenvolve jogos que previnem o declínio cognitivo em idosos e combatem a violência contra essa população. Fabio é professor convidado em instituições renomadas como o Hospital Sírio-Libanês, a Santa Casa de São Paulo e a FGV, abordando gamificação e seus impactos na educação, no mundo corporativo e na gerontologia. Uma conversa imperdível sobre como tecnologia e inovação podem transformar vidas! ..................................................................................................................................