performing art consisting of movement of the body
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Things are getting weird at Homeplace Plantation, even as the team attempts to prepare themselves for what Danse saw in his visions. Join us and find out what goes wrong as we play the Monster of the Week RPG! You can find more Ghost Hunt TV goodies at ghosthunttv.com. We're also at gothicpodcast.com and on all sorts of social media. The Gothic Podcast is an actual-play horror-and-humor audio drama recorded from our cobbled together studios in Portland, OR and around the globe. This episode stars C. Patrick Neagle, Sharon Gollery-LaFournese, Jesse Baldwin, and Erik Halbert, as well as special guest voice Clinton Johnson as Ewalt Grummin. We're using rules from the Monster of the Week RPG by Michael Sands. We would LOVE to hear from you, and we love your fan art. Plus check out our Patreon and join our Discord. Preeeety puhleeeese. Oh, and check out Jesse's upcoming shows at www.torchsongentertainment.com Interact with the Gothic Podcast at YouTube: https://www.youtube.com/channel/UCbUoGEQE2xKIhNX7sHyVXBg Instagram: https://instagram.com/thegothicpodcast Facebook: https://facebook.com/thegothicpodcast Tumblr: https://thegothicpodcast.tumblr.com ...and Discord (
Aujourd'hui, je reçois Simon Le Borgne, danseur et chorégraphe.Formé à l'École de Danse et devenu sujet à l'Opéra national de Paris, il quitte la compagnie en 2022 animé par la nécessité d'inventer son propre langage corporel.Depuis, il façonne sa danse aux côtés de complices avec lesquels il tisse des aventures créatives et des compagnonnages artistiques.C'est avec Ulysse Zangs – musicien et danseur, son ancien camarade de chambre à l'École de Danse – qu'il évolue dans sa toute dernière pièce, Ad Libitum, l'un des rendez-vous vibrants de cette édition de la Biennale de la danse de Lyon (Les Subs).Il raconte sa mue, un processus parfois douloureux, à la genèse d'Ad Libitum.C'est donc l'histoire d'une naissance, celle d'un nouvel auteur de la danse.On l'écoute avec joie.
« Découvrez la salle HARTMONIE située à st Cybard et ses nombreuses activités : Danse libre et intuitive, yoga et yoga dance, pilates…La salle accueille également […]
Art/Musique/Histoire/MémoirePlaylist: Raphaël - L'apiculteurAlain Bashung - Comme un legoFéloche - SilboForêt marine - Fille fleur sorcièrePomme - La nuitEt on déjeune - JocondeJean-Louis Murat - Je me souviensDominique A. - La mémoire neuve (Symphonique)Les Wampas - Chirac en prison
Le Ciné-Club Universitaire démarre un cycle sur la danse The post Danse au Cinéma en immersion avec le Ciné-Club Universitaire first appeared on Radio Vostok.
Le Ciné-Club Universitaire démarre un cycle sur la danse The post Danse au Cinéma en immersion avec le Ciné-Club Universitaire first appeared on Radio Vostok.
Cette semaine, Valérie Fayolle reçoit l'autrice Fatou Diome. Elle nous parle de son dernier roman "Aucune nuit ne sera noire", paru aux éditions Albin Michel, un récit tendre et intime en hommage à son grand-père. Et puis, direction le grand magasin Le Bon Marché - Rive Gauche, pour découvrir la dernière création du chorégraphe Mourad Merzouki, "Babel". Enfin, notre coup de cœur avec la chanteuse Imany, qui fait son retour avec un cinquième album engagé, " Women deserve rage".
Le 5 octobre prochain, Andrea Sarri apparaîtra sur la scène de l'Opéra Garnier dans l'un des rôles les plus mythiques du répertoire romantique : Albrecht dans Giselle.Une étape décisive pour ce danseur d'exception, récemment nommé Premier danseur du Ballet de l'Opéra de Paris.Né à Palerme en 1998, Andrea quitte sa Sicile à seulement dix ans pour intégrer l'École de danse de l'Opéra de Paris. Un arrachement culturel et familial, mais aussi la promesse d'un rêve. Comment un enfant issu d'une culture marquée par la tradition et la virilité a-t-il trouvé sa place dans le temple de la danse classique ?Andrea raconte la discipline quotidienne, les sacrifices, mais aussi les moments de doute et de fatigue. Il se souvient de ces instants rares où la scène efface tout calcul :« T'es juste toi », dit-il, quand il ne reste plus que l'authenticité d'un artiste face au public.Ces confidences dessinent un portrait sincère et touchant d'un danseur qui construit pas à pas sa carrière.Son parcours est jalonné de distinctions : le Prix AROP de la danse, le prix Giovani Talenti Siciliani nel Mondo, le Taobuk Award. Mais Andrea ne s'arrête pas aux récompenses. Il explore aussi le contemporain, passant de Forsythe à Ekman, de Pite à Kylián, prouvant une polyvalence rare : incarner les grands rôles romantiques et se réinventer dans les langages modernes.Cet échange est aussi une réflexion sur le corps : outil, limite, fragilité, mais aussi source de joie. Andrea parle de l'urgence d'une carrière courte, des sacrifices qu'elle implique, et de la puissance transformatrice de la danse. Au-delà de la performance, il interroge ce que signifie grandir, s'affirmer et trouver sa vérité sur scène.Dans cette première partie, nous revenons sur les fondations : son enfance en Sicile, sa formation à Nanterre et ses premiers pas dans la hiérarchie de l'Opéra. Un récit intime et inspirant, qui ouvre la voie à la seconde partie, consacrée aux grands rôles et à la consécration.✨ Bienvenue dans Les Sens de la Danse, le podcast de Myriam Sellam qui explore le pouvoir infini du mouvement — celui qui libère, qui transforme, qui fait renaître.
Affronter la scène à 81 ans pour incarner la fougueuse Joséphine Baker : c'est le pari audacieux relevé par la chorégraphe franco-sénégalaise Germaine Acogny. Dans un solo saisissant, la star de la danse afro-contemporaine s'empare des planches du Théâtre des Champs-Élysées à Paris, exactement un siècle après que Joséphine Baker y a fait sensation avec sa Revue Nègre. Elle fait ensuite le lien avec Le Sacre du printemps de Stravinsky dans la version de Pina Bausch revisité par des danseurs de quatorze pays africains, tous formés à son École des Sables au Sénégal. Loin des clichés du music-hall, des grimaces et des ceintures de bananes, Germaine Acogny incarne une Joséphine Baker d'une dignité rare, poétique, mais tout aussi puissante. « Aux obsèques de Joséphine Baker, quelqu'un a dit : "Elle est morte, mais elle est immortelle". Donc, j'ai voulu donner vie justement à cette combattante, cette femme qui a lutté contre le racisme, qui a adopté des enfants du monde entier, les a élevés et d'une grande générosité. Même actuellement, des gens très riches ne vont jamais adopter douze enfants ! » Seule en scène, Germaine Acogny retrace en moins de 30 minutes la vie de cette star, mère, espionne et militante afro-américaine. Par touches subtiles, elle évoque un déhanché de charleston, mime le geste de tirer à l'arc et enfile un costume d'Amazone. « Je suis née au Bénin, j'ai grandi au Sénégal. Donc, les Amazones de mon pays, ce sont des guerrières. C'est à travers cette danse des Amazones que je montre la résistante, la combattante, celle qui a libéré les Noirs, les Mexicains, les Indiens et qui a libéré la France aussi ». Animée par l'esprit de Joséphine Baker, qu'elle a rencontrée à l'âge de 29 ans, Germaine Acogny poursuit aujourd'hui son combat pour les droits civiques : « Jusqu'à présent, ce racisme existe. Et dans les matchs de foot, il y a beaucoup d'Africains dans les équipes internationales qui jouent bien et on leur jette des peaux de bananes. Comme à des singes ! Eh ben, la banane, je l'ai jetée aussi. » Pour Germaine Acogny, icône de la danse africaine des temps modernes, amener le « Sacre du Printemps », ce rite païen aux rythmes saccadés, en Afrique était une évidence. À travers son école des Sables, cette chorégraphie sublime et tribale prend racine dans la terre.« Rien que ce nom, ça appelle beaucoup les ancêtres. Je me sens vraiment à la source, être en contact avec la terre, avec la communauté », réagit Aziz Zondi, danseur burkinabé. « C'est à la fois contemporain, à la fois doux – avec la douceur de la femme, l'énergie, la force des hommes », ajoute Manuela Hermine, danseuse ivoirienne. « Nous, on le redécouvre à chaque fois qu'on vient pour ce travail-là », renchérit Aziz Zondi. Déjà salué dans 17 pays, ce Sacre du Printemps plus universel que jamais n'a que rarement été applaudi devant un public aussi divers qu'à Paris. À lire aussiPour Germaine Acogny, «le corps des danseurs sera notre archive» des danses traditionnelles
Affronter la scène à 81 ans pour incarner la fougueuse Joséphine Baker : c'est le pari audacieux relevé par la chorégraphe franco-sénégalaise Germaine Acogny. Dans un solo saisissant, la star de la danse afro-contemporaine s'empare des planches du Théâtre des Champs-Élysées à Paris, exactement un siècle après que Joséphine Baker y a fait sensation avec sa Revue Nègre. Elle fait ensuite le lien avec Le Sacre du printemps de Stravinsky dans la version de Pina Bausch revisité par des danseurs de quatorze pays africains, tous formés à son École des Sables au Sénégal. Loin des clichés du music-hall, des grimaces et des ceintures de bananes, Germaine Acogny incarne une Joséphine Baker d'une dignité rare, poétique, mais tout aussi puissante. « Aux obsèques de Joséphine Baker, quelqu'un a dit : "Elle est morte, mais elle est immortelle". Donc, j'ai voulu donner vie justement à cette combattante, cette femme qui a lutté contre le racisme, qui a adopté des enfants du monde entier, les a élevés et d'une grande générosité. Même actuellement, des gens très riches ne vont jamais adopter douze enfants ! » Seule en scène, Germaine Acogny retrace en moins de 30 minutes la vie de cette star, mère, espionne et militante afro-américaine. Par touches subtiles, elle évoque un déhanché de charleston, mime le geste de tirer à l'arc et enfile un costume d'Amazone. « Je suis née au Bénin, j'ai grandi au Sénégal. Donc, les Amazones de mon pays, ce sont des guerrières. C'est à travers cette danse des Amazones que je montre la résistante, la combattante, celle qui a libéré les Noirs, les Mexicains, les Indiens et qui a libéré la France aussi ». Animée par l'esprit de Joséphine Baker, qu'elle a rencontrée à l'âge de 29 ans, Germaine Acogny poursuit aujourd'hui son combat pour les droits civiques : « Jusqu'à présent, ce racisme existe. Et dans les matchs de foot, il y a beaucoup d'Africains dans les équipes internationales qui jouent bien et on leur jette des peaux de bananes. Comme à des singes ! Eh ben, la banane, je l'ai jetée aussi. » Pour Germaine Acogny, icône de la danse africaine des temps modernes, amener le « Sacre du Printemps », ce rite païen aux rythmes saccadés, en Afrique était une évidence. À travers son école des Sables, cette chorégraphie sublime et tribale prend racine dans la terre.« Rien que ce nom, ça appelle beaucoup les ancêtres. Je me sens vraiment à la source, être en contact avec la terre, avec la communauté », réagit Aziz Zondi, danseur burkinabé. « C'est à la fois contemporain, à la fois doux – avec la douceur de la femme, l'énergie, la force des hommes », ajoute Manuela Hermine, danseuse ivoirienne. « Nous, on le redécouvre à chaque fois qu'on vient pour ce travail-là », renchérit Aziz Zondi. Déjà salué dans 17 pays, ce Sacre du Printemps plus universel que jamais n'a que rarement été applaudi devant un public aussi divers qu'à Paris. À lire aussiPour Germaine Acogny, «le corps des danseurs sera notre archive» des danses traditionnelles
Mes chers camarades, bien le bonjour !Pour tous ceux qui ont fait de l'occitan par ici, et même pour pas mal de monde, Jean Petit qui danse, c'est une comptine qui ramène à l'enfance, où on s'agite les membres quand ils sont cités dans la chanson, c'est un peu mignon ! Eh ben Jean Petit lui, on va dire qu'on les lui a agité ses membres, parce que devinez quoi : comme beaucoup de comptines, c'est un peu terrible !Bonne écoute !
durée : 00:03:16 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - "Je viens juste de commencer les pointes, et j'aimerais savoir s'il y a eu dans l'histoire des danseurs hommes sur pointes ?", se demande Mathilde, 11 ans. Dorothée Gilbert est danseuse étoile à Paris, elle lui répond. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Lil Buck est aujourd'hui reconnu comme l'un des danseurs les plus singuliers de sa génération. Mais derrière son succès international se cache une histoire profondément ancrée dans une ville, un style et une rencontre.Originaire de Memphis, Lil Buck a grandi dans un environnement difficile, marqué par les inégalités sociales mais aussi par une énergie créative hors du commun. Memphis, c'est à la fois la ville du blues, du rock'n'roll et de la soul, avec des figures mythiques comme Elvis Presley, Otis Redding ou Isaac Hayes. Mais c'est aussi une ville où la jeunesse afro-américaine a transformé la rue en scène, donnant naissance au jookin, une danse fluide et acrobatique, faite de glissés de pieds et de pivots de chevilles.Très vite, Lil Buck s'impose comme l'un des plus brillants représentants de ce style. Ce qui fait sa force, c'est sa capacité à garder les racines de cette danse tout en osant l'emmener ailleurs. Et ce « ailleurs » prend une forme inattendue en 2011, lorsqu'une vidéo le montre dansant Le Cygne de Camille Saint-Saëns aux côtés du violoncelliste Yo-Yo Ma. Le choc est immédiat. Des millions d'internautes découvrent un langage inédit : le dialogue entre danse urbaine et musique classique.À partir de là, la carrière de Lil Buck bascule. Madonna l'invite à rejoindre sa tournée mondiale, Benjamin Millepied l'intègre au L.A. Dance Project, Spike Jonze le filme. La Fondation Cartier, l'Opéra de Paris et la Fondation Vuitton ouvrent leurs portes à son art. Lil Buck devient un pont vivant entre deux univers que tout semblait opposer : la rue et les institutions de la culture légitime.Pourquoi cette histoire est-elle essentielle aujourd'hui ? Parce qu'elle incarne une brèche. Lil Buck a montré qu'une danse née dans les quartiers populaires pouvait trouver sa place dans les temples de la culture classique, sans rien perdre de son authenticité.C'est cette brèche que poursuit aujourd'hui Yann Antonio, danseur français que vous avez découvert dans un autre épisode de Les Sens de la Danse. Lui aussi ose l'improvisation hip-hop face à des orchestres symphoniques, à la Philharmonie de Berlin ou à l'Alte Oper de Francfort. Lui aussi prouve que la danse n'a pas besoin de choisir entre la rue et le classique : elle peut être les deux à la fois.
durée : 00:28:47 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Née au Bénin au milieu des années 40, Germaine Acogny est aujourd'hui consacrée comme la mère de la danse contemporaine africaine. En ce moment, sur la scène du Théâtre des Champs Elysées, Germaine Acogny danse Joséphine Baker. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Germaine Acogny Chorégraphe et danseuse, elle est aussi la fondatrice avec son mari Helmut Vogt de l'École des Sables au Sénégal
durée : 00:08:05 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - Danseur et chorégraphe, Nemo Flouret révolutionne la scène avec des créations collectives dans des lieux insolites. "Derniers Feux" est son dernier succès. Il est l'invité de Nouvelle Tête avec Daphné Bürki. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
⚖️ Raphaëlle Petitperrin et Samuela Berdah - Juristes au CN D – Centre national de la danse.Recruter un artiste, c'est avant tout respecter un cadre légal précis. Dans cet épisode, Raphaëlle et Samuela, décortiquent étape par étape les obligations liées à l'embauche : DPAE, Audiens, France Travail, AFS, DUERP, FONPEPS, GUSO, mais aussi les règles spécifiques pour les artistes européens et hors UE (Mobiculture).Des explications claires, des conseils pratiques et des rappels essentiels pour éviter les pièges administratifs et démarrer sereinement une première embauche !
Spéciale SOCANPlaylist: Ariane Roy - AutomneNavet Confit - AutomneKaïn - SeptembreKNLO - C'est beauBeat Sexü - Catché de quoiBerlam - Danse avec les flammesSEB & JESS - Attends pas le tempsStefie Shock - Marcia BaïlaClodelle, Benny Adam - Ses dentsRaphaël Dénommé - Promenade d'automneMichel Rivard - La lune d'automne
Pat Angeli nous plonge dans l'univers musical de Bob Sinclair, l'un des DJs français les plus connus au monde. Il revient sur les collaborations fructueuses de Bob Sinclair avec de talentueux musiciens et chanteurs, comme Steve Edwards, qui ont contribué à ses plus grands succès dansants, tels que "World Hold On" et "Rock This Party". L'auditeur découvrira également les origines du célèbre générique "Love Generation", composé avec Thomas Bangalter de Daft Punk.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tutu blanc, chaussons roses et légèreté... La danse classique évoque un monde de beauté et de légerté. Mais derrière cette façade gracieuse se cache un système pervers fait de violences, de relations d'emprise et de normes corporelles drastiques.Des affaires récentes ont ébranlé le milieu : Anne-Teresa de Keersmaeker accusée de harcèlement psychologique, Jan Fabre condamné pour violences sexuelles, Bruno Vandelli pour corruption de mineur. Pourquoi tant de violence dans ce qu'on voit comme un art si délicat ? Comment un milieu majoritairement féminin peut-il être dirigé par des hommes qui exercent leur domination sur des corps d'enfants et d'adolescentes ? De la féminisation de la danse au 19ème siècle aux injonctions corporelles d'aujourd'hui, on décrypte les mécanismes qui font de la danse un terrain propice aux abus de pouvoir.Chroniques du sexisme ordinaire, un podcast de Marine-Pétroline qui débusque le sexisme dans les moindres recoins avec pédagogie, humour et zéro culpabilité.Pour aller plus loin :
Anecdote cocasse de cette fin de semaine avec l’intelligence artificielle (Gemini) Discussion IA avec David Proulx. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
É num momento histórico e de muita violência em diversas geografias que a arte e as instituições culturais devem tomar posição e assumir o seu “papel eminentemente político”, defende Tiago Guedes, o director artístico da Bienal de Dança de Lyon. Trata-se de um dos acontecimentos mais importantes da dança a nível mundial e posiciona-se como “um espelho do que se passa no mundo através dos corpos em cena”. A bienal arrancou a 6 de Setembro e decorre até 28 de Setembro, em Lyon, com 40 espectáculos de 14 países e muitos eventos paralelos. Fomos conversar com Tiago Guedes sobre esta 21ª edição. Esta é a primeira edição da Bienal de Dança de Lyon assinada a 100% por Tiago Guedes, o seu director artístico, que assume que a arte e as grandes instituições culturais têm um “papel eminentemente político”. Aqui dança-se, mas não se está alheado ao mundo e há uma vontade de dessacralizar o lado institucional. O trabalho tem vindo a ser feito desde que começou a dirigir a bienal, há dois anos. O objectivo continua a ser o de “abrir o máximo de portas possíveis” para os artistas, para o público e para a dança. Tiago Guedes trouxe cinco curadores de cinco continentes para pensar outras formas de se fazer a dança. O português, que também lidera a Maison de la Danse e está na co-direcção da Bienal de Arte de Lyon, faz questão de sublinhar que convida artistas ainda desconhecidos dos programadores. Também gosta da ideia de os espectáculos ocuparem praças, museus e espaços menos comuns para palcos tradicionais. Quer, ainda, que o público veja, participe e conheça os nomes que estão a escrever a história contemporânea da dança. Este ano, o programa tem espectáculos de 14 países, incluindo de vários artistas brasileiros, numa edição que coincide com a temporada cruzada Brasil-França. Também há peças de dois coreógrafos portugueses, Marco da Silva Ferreira e Tânia Carvalho, e do moçambicano Ídio Chichava. RFI: A equipa e os artistas desta edição criaram um manifesto intitulado “Face à violência que atravessa o mundo, a dança como acto de liberdade”. Quer resumir-nos a mensagem deste manifesto? Tiago Guedes, o director artístico da Bienal de Dança de Lyon: “Sentimos necessidade de sublinhar que a dança, pela sua forma dialéctica, sem necessidade de tradução, sem necessidade de legendas, é uma linguagem universal que se pode conectar com toda a gente, e que os coreógrafos têm um espaço, um terreno para fazerem o que quiserem, serem influenciados pelo que quiserem e olharem para o mundo actual e transformá-lo de uma forma ou mais poética ou mais violenta, mas com uma linguagem universal. É importante também sublinhar que nós passamos um momento histórico, um momento político, geopolítico, onde os corpos estão em perigo em vários sítios, em várias geografias. Nós temos um Foco Brasil este ano, aliás, há um espectáculo de David Pontes e de Wallace Ferreira que fala sobre um corpo que tem de estar constantemente a defender-se, o que é ainda uma realidade muito presente no Brasil, nomeadamente em relação aos corpos trans. A Bienal tem muito este discurso, este olhar sobre o que se passa hoje em dia. Então, achámos por bem fazer um texto que fala sobre isso, sobre essa liberdade. Um texto que sublinha também que, nestes grandes eventos, nós dançamos, mas não estamos alheados do mundo, antes pelo contrário. A dança deve ser um espelho do que se passa no mundo através dos corpos em cena. Esse texto ajudou-nos também ao que nós defendemos: estar do lado correcto, de onde as grandes instituições culturais também têm que estar, porque elas têm um poder de comunicação, de alerta, de influência e eu acho que é importante, nós temos o papel da arte que é um papel eminentemente político também.” Falou na questão dos corpos, da necessidade de autodefesa, por exemplo. Que outros temas vão compondo esta Bienal que, este ano, é 100% assinada por si? “A Bienal não é temática em si, não há um só tema. Ela é muito grande, ela tem na sua missão mostrar a grande diversidade que é a dança contemporânea, a dança que se faz hoje. A dança que se faz hoje é conectada com os dias de hoje e os dias de hoje têm uma abordagem muito diferente. Não é só uma abordagem política, é também os dias de hoje artísticos. Por exemplo, quando nós vemos um artista como o Christian Rizzo a fazer uma peça onde o que ele está interessado é de voltar a uma escrita coreográfica e super poética, super delineada, onde a intenção política não é de sublinhar um contexto social ou um contexto geográfico, mas - o que é bastante político, a meu ver - dar um tempo de suspensão às pessoas para elas poderem acalmar, pensar e poderem fazer um ‘reset' nelas próprias também. Isso é altamente político numa sociedade completamente contaminada por informação, por imagens e tudo isso. Então, o que é bastante interessante é estas várias portas de entrada. Depois há aqui também vários espectáculos – o que tem a ver também com a nossa organização que organiza a Bienal de Arte Contemporânea e de Dança - espectáculos que cruzam disciplinas e, nomeadamente, se cruzam com as artes visuais, onde as matérias coreográficas coabitam com as matérias visuais. Por exemplo, o espectáculo ‘Monument 0.10', da artista húngara Eszter Salomon, que faz o seu espetáculo no TNP, mas que apresenta também uma instalação vídeo aqui na CIG. Ou o espectáculo da Lia Rodrigues, que trabalha só com matérias, não compraram nada, ou seja, esta ideia também de reciclagem. Todos os materiais da peça, os materiais coreográficos e os materiais físicos são reciclados, é só o que eles tinham à volta deles ou dentro deles. Ou, por exemplo, a performance-instalação da Clarice Lima, que se chama ‘Bosque', no espaço público, onde os corpos são suportes de uma imagem visual completamente conectada uns com os outros. Uma ideia de bosque, uma ideia de árvores que se conectam às outras. É uma paisagem que é colocada no espaço público, mas feita através do corpo. Portanto, mesmo quando há uma relação muito visual nestes projectos, o corpo está sempre muito presente e o corpo é o suporte de todas estas coisas.” Ainda há espaço na Bienal de Dança de Lyon de se darem a conhecer novos nomes? Numa das conferências, ouvi a crítica que as bienais convidam programadores, mas estes já estão a apoiar espectáculos e acaba por ser tudo um pouco ensimesmado… “Não só há espaço, como faz parte da nossa missão, em cada edição, apresentar novos artistas. Há mesmo uma linha do nosso programa que se chama ‘New Voices' que são quatro jovens coreógrafos que se apresentam pela primeira vez na Bienal e em que o público de Lyon e os programadores não os conhecem. Em cada Bienal nós lançamos novos nomes e novos coreógrafos.” O espaço Fórum também constitui o ADN da Bienal de Tiago Guedes. O que é que o Fórum trouxe? “O Fórum é um projeto idealizado quando eu fiz a minha candidatura para Lyon, há três anos, e ele partiu desta ideia de que a Bienal de Dança é uma bienal europeia, eurocentrada - no bom sentido, até pelo contexto onde ainda se pode produzir com apoios, com uma força e uma pujança - mas ela olha o mundo a partir do centro da Europa. A dança está em todo o lado. Está nas cidades, está nas aldeias, está nos territórios autóctones, está em sítios o mais remotos possível. E eu achei que seria muito interessante a Bienal se poder inspirar de outras práticas e de outras visões do mundo, de outros artistas, de outros curadores que trabalham localmente num contexto muito afastado do contexto europeu. Quando tu trazes uma companhia como Marrugeku, uma companhia aborígene da Austrália, a relação que eles têm com o tempo, com as instituições, com o dinheiro, é muito diferente. Ou, por exemplo, o colectivo Bomber Crew, um colectivo de artistas brasileiros que trabalham num estado completamente periférico, o estado do Piauí, onde cruzam também um trabalho muito coreográfico, mas também de vídeo e também de skate, sobre questões de ocupação social, ocupação habitacional. É muito interessante. São outras narrativas e outros discursos que na Europa não estamos habituados e o Fórum foi um bocadinho esta ideia de imaginar um evento que se instala na Bienal, mas que a organização da Bienal não tem mão nele. E isso é muito interessante. Ou seja, imaginar os contextos em cadeia de reacção. O meu papel foi imaginar teoricamente o que poderia ser este projecto. Ele é muito diferente hoje do que eu pensei quando fiz a minha candidatura. O único gesto que eu fiz - assisti a várias conversas, mas sempre de uma forma muito discreta - foi convidar cinco curadores de cinco territórios diferentes, cinco continentes, Austrália, Taiwan, Moçambique, Brasil e Estados Unidos. Depois, cada um deles convidou os seus artistas, imaginaram as suas temáticas, imaginaram o que é que seria a ocupação deste sítio com encontros, conferências, experiências sensoriais, instalações. Eu estou muito contente porque esse projecto deu uma textura à bienal que a bienal não tinha, a bienal era muito centrada nos espectáculos, e fez com que o público e os curadores pudessem ocupar também o seu dia com outras formas de descobrir obras coreográficas, não através do que vêem nos palcos, mas através do que podem assistir num filme, do que podem discutir numa conferência através de troca de ideias, do encontro com os artistas de outra forma. Isso é mesmo o projecto que nós queremos desenvolver e tornar um pilar da Bienal de Lyon.” Na Bienal de 2027, quem serão os curadores? “Não posso dizer ainda, não está decidido.” A ideia de ocupação que falou é uma ideia que parece cara ao Tiago Guedes. Esta ideia de não se restringir à bela sala de teatro é para manter? O que é que representa? “Ela representa uma abertura da Bienal, uma dessacralização da Bienal, uma abertura a todos os públicos. A Bienal é paradoxal no bom sentido. Ela é muito popular com a sua enorme Parada de abertura, com vários projectos que nós apresentamos no espaço público, vários projectos também participativos, onde as pessoas podem participar, mas depois ela também tem um lado de pesquisa, muito de descobrir novas criações, de lançar novos artistas e é neste equilíbrio que ela tem que se encontrar. O que nós estamos a tentar fazer nesta edição de uma forma até por vezes caótica, no bom sentido, para mim, é abrir o máximo de portas possíveis e pôr o máximo de ‘layers', camadas possíveis na Bienal, para podermos fazer uma reflexão sobre o que há a burilar. Sabendo nós que ela terá sempre estes quatro eixos principais: os espectáculos; a reflexão com o Fórum; a formação, algo muito importante para nós. Nesta edição, temos 20 acções que os jovens bailarinos e bailarinas podem fazer com os coreógrafos desde masterclasses, workshops e muitas outras coisas. Podem fazer aulas de manhã com um coreógrafo da Bienal e à noite ir ver o seu espectáculo. E a parte do lado participativo, ou seja, projectos artísticos onde o público possa entrar nesse universo de outra forma. Estes quatro eixos vão ser eixos a desenvolver nos próximos anos.”
Il est là, vous l'attendiez, le virage de Boisset du cinéma à la télé, de Bleu comme l'enfer à L'Affaire Seznec. Avec Stéphane. 2'40 : plongeon dans les archives 10'07 : Bleu comme l'enfer 15'47 : Les Karens - le pays sans péchés 30'33 : La Fée Carabine 39'32 : La Travestie 53'16 : Radio Corbeau 1'00'38 : Frontière du crime 1'05'24 : La Tribu 1'16'33 : Envoyé Spécial - Danse avec les ours 1'21'05 : L'Affaire Seznec
Et si le hip-hop, né dans la rue, pouvait dialoguer avec Mozart, Beethoven ou Mahler ?Et si l'énergie brute du freestyle pouvait entrer dans les temples de la musique classique, face à un orchestre symphonique entier ?C'est le pari audacieux de Yann Antonio, danseur français d'origine congolaise, qui s'impose aujourd'hui comme une figure singulière de la danse.Sur scène, il improvise son hip-hop devant des orchestres prestigieux – de la Philharmonie de Berlin à l'Alte Oper de Francfort – et ses prestations cumulent déjà plusieurs millions de vues sur les réseaux sociaux.Un succès fulgurant qui intrigue autant qu'il inspire : comment un danseur venu du Val-d'Oise a-t-il réussi à tracer une telle trajectoire ?Dans cet épisode des Sens de la Danse, le podcast que je crée et anime, je pars à sa rencontre.Je m'appelle Myriam Sellam, journaliste et passionnée de danse, et à travers chaque entretien je cherche à comprendre comment le mouvement transforme nos vies.Avec Yann Antonio, nous revenons sur son enfance, marquée par une famille où l'art circule naturellement : une grand-mère danseuse, un grand-père musicien, une mère chanteuse de gospel, et surtout un frère, Loïc Mabanza, danseur professionnel et premier mentor.Il évoque ses années de travail acharné, ses doutes, ses efforts pour dépasser le simple cadre des battles et inventer une voie nouvelle.Et il partage ce détail marquant : dans sa chambre d'adolescent, il avait accroché sur un mur des images de ses rêves – des affiches de salles de concert, des orchestres – qu'il contemplait chaque jour.« J'ai affiché mes rêves sur un mur… et je les ai réalisés. »Ce rituel de visualisation, cette capacité à transformer une vision en réalité, est au cœur de son histoire.Car Yann Antonio n'a jamais cessé de croire qu'un jour, il danserait son hip-hop face à un orchestre.Il a porté ce rêve pendant dix ans, jusqu'à le voir se concrétiser.Aujourd'hui, ses performances bouleversent les spectateurs : il entre dans l'instant, improvise chaque geste, laisse son corps dialoguer avec la musique sans préparation ni partition.C'est une rencontre improbable, mais profondément évidente : un langage né de la rue qui s'élève aux côtés de la musique savante, et qui rappelle que la danse est universelle.Au fil de notre conversation, Yann Antonio parle aussi de la nécessité de s'inspirer, de l'importance des mentors, de la patience et de la persévérance.Son parcours est une leçon d'humilité et de détermination :
La grande chorégraphe brésilienne engagée, Lia Rodrigues, est de retour au Festival d'Automne à Paris. Sa dernière création Borda est présentée ce week-end au Théâtre National de Chaillot dans le cadre d'une grande tournée jusqu'à mi-octobre. Une pièce que l'artiste a créée une fois de plus au cœur de la Favela Mare à Rio de Janeiro où elle a implanté son centre d'art. « Il y a plusieurs sens dans ces mots, et c'est pour cela que j'aime bien, parce que ce n'est pas seulement une frontière aux limites, c'est aussi du verbe broder. C'est aussi quand on fait en sorte qu'une phrase soit plus belle. Au moins, en portugais, on a ce sens-là. Alors, j'aime bien ces sens un peu flottants. » Un univers flottant, mais aussi imaginaire et fantasmagorique. C'est ce monde qui s'ouvre à nous dans le dernier spectacle de Lia Rodrigues. La pièce commence dans le silence. Un tableau vivant. Un amas de tissu qui respire et sous lequel sont enfouis les neuf interprètes. « Tout ce que vous avez vu sur scène, ce sont des matériaux de 35 ans de ma compagnie. De toutes les pièces qu'on a mises sur les plateaux pour créer les costumes et aussi les costumes du May B d'une pièce de Maguy Marin qui a offert cette pièce pour les élèves de notre école. » À lire aussiDanse: «Encantado», la dernière création de Lia Rodrigues Une scénographie conçue de tissus, de voilages blancs et de plastiques Ainsi les tissus composent la scénographie, le décor de la pièce. Les danseurs semblent éclore de cette matière qu'ils déploient sur scène. Voilages blancs et plastiques envahissent l'espace au sein d'interprètes qui se découvrent grimaçants, prenant vie, troquant la torpeur et la lenteur contre une danse énergique. Une pièce conçue dans la favela Maré à Rio de Janeiro où Lia Rodrigues est installée. « Depuis 20 ans, je mène un projet avec une association, et on a créé un centre d'art et une école de danse. Cette école de danse a été créée en 2011 et c'est ça notre projet pédagogique. On a 300 élèves de tous les âges. » Borda une pièce généreuse qui se termine dans une explosion de gestes et de sons et où la vie prend toujours le dessus. À lire aussiDanse Lia Rodrigues Encantado
⚖️ Raphaëlle Petitperrin et Samuela Berdah - Juristes au CN D – Centre national de la danse.Recruter un artiste, c'est avant tout respecter un cadre légal précis. Dans cet épisode, Raphaëlle et Samuela, décortiquent étape par étape les obligations liées à l'embauche : DPAE, Audiens, France Travail, AFS, DUERP, FONPEPS, GUSO, mais aussi les règles spécifiques pour les artistes européens et hors UE (Mobiculture).Des explications claires, des conseils pratiques et des rappels essentiels pour éviter les pièges administratifs et démarrer sereinement une première embauche !
Pat Angeli du 16-20 RFM vous raconte en quelques minutes l'histoire d'un titre, d'un album ou d'un artiste mythique !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bienvenue dans Un pas de côté, une capsule du podcast Les Sens de la Danse pensée pour éclairer chaque épisode.Pourquoi ce format ? Parce qu'écouter un danseur raconter son parcours, c'est passionnant, mais pour vraiment saisir la richesse de ses propos, il faut parfois replacer un nom, une esthétique, une révolution artistique dans son contexte.
La grande chorégraphe brésilienne engagée, Lia Rodrigues, est de retour au Festival d'Automne à Paris. Sa dernière création Borda est présentée ce week-end au Théâtre National de Chaillot dans le cadre d'une grande tournée jusqu'à mi-octobre. Une pièce que l'artiste a créée une fois de plus au cœur de la Favela Mare à Rio de Janeiro où elle a implanté son centre d'art. « Il y a plusieurs sens dans ces mots, et c'est pour cela que j'aime bien, parce que ce n'est pas seulement une frontière aux limites, c'est aussi du verbe broder. C'est aussi quand on fait en sorte qu'une phrase soit plus belle. Au moins, en portugais, on a ce sens-là. Alors, j'aime bien ces sens un peu flottants. » Un univers flottant, mais aussi imaginaire et fantasmagorique. C'est ce monde qui s'ouvre à nous dans le dernier spectacle de Lia Rodrigues. La pièce commence dans le silence. Un tableau vivant. Un amas de tissu qui respire et sous lequel sont enfouis les neuf interprètes. « Tout ce que vous avez vu sur scène, ce sont des matériaux de 35 ans de ma compagnie. De toutes les pièces qu'on a mises sur les plateaux pour créer les costumes et aussi les costumes du May B d'une pièce de Maguy Marin qui a offert cette pièce pour les élèves de notre école. » À lire aussiDanse: «Encantado», la dernière création de Lia Rodrigues Une scénographie conçue de tissus, de voilages blancs et de plastiques Ainsi les tissus composent la scénographie, le décor de la pièce. Les danseurs semblent éclore de cette matière qu'ils déploient sur scène. Voilages blancs et plastiques envahissent l'espace au sein d'interprètes qui se découvrent grimaçants, prenant vie, troquant la torpeur et la lenteur contre une danse énergique. Une pièce conçue dans la favela Maré à Rio de Janeiro où Lia Rodrigues est installée. « Depuis 20 ans, je mène un projet avec une association, et on a créé un centre d'art et une école de danse. Cette école de danse a été créée en 2011 et c'est ça notre projet pédagogique. On a 300 élèves de tous les âges. » Borda une pièce généreuse qui se termine dans une explosion de gestes et de sons et où la vie prend toujours le dessus. À lire aussiDanse Lia Rodrigues Encantado
Episode 031 is a delicious blend of musical stylings of Bar.ba (@barbamusik), following on his recent remix of "Danse" by Sam Jasperson (@samjaspersohn), produced in collaboration with Padre (@padreuk). Bar.ba's style oozes with personality, quirk, playfulness and at the same time sophistication. Totally the Manjumasi vibe. 01. Sam Jaspersohn - Danse (Bar.ba & Padre Remix - Extended Version) 02. Rondo Mo, Soma Soul - Tidal Waves (Henrik Schwarz Remix) 03. Louis Baker - Keep On (Andre Lodemann Dub) 04. Die Vogel - The Chicken (Original Mix) 05. Ada - BLINDHOUSE (Original Mix) 06. Romy, Jamie XX - Loud Places feat. Romy (John Talabot's Loud Synths Reconstruction) 07. Isolee - 7eleven2 (Original Mix) 08. Nicola Cruz - Individuality Riddim (Original Mix) 09. Michoacan - Disco Sucks So Good (Kasper Bjørke Version) 10. Daniel Bortz, Nils Corßen - The Misery (feat. Nils Corssen) (Nu and Pauli vs. Acid Remix) 11. Impérieux - Cadenza (Original Mix) 12. Bar.ba - Pulpito (Alican Remix)
durée : 00:15:06 - Les Nuits de France Culture - par : Mathias Le Gargasson - En 1973, José Pivin nous convie aux préparatifs d'une danse de possession au Niger. Pour nous permettre de comprendre cette cérémonie le journaliste Omar Diallo nous sert de guide : il décrit les rites, l'orchestre et le Zima, sorte de médecin spirituel qui organise l'événement pour le possédé. - réalisation : Thomas Jost
durée : 00:03:56 - Capture d'écrans - par : Dorothée Barba - Raphaël Stora, fils de l'historien Benjamin Stora, a choisi de raconter son parcours de danseur dans un documentaire lumineux. Une quête d'identité qui passe par le corps, quand les mots ne viennent pas... A voir sur arte.tv et les réseaux sociaux de la chaîne Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:08:21 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - La chorégraphe et danseuse Marion Lévy propose une méthode originale pour enseigner les matières scolaires : par la danse. Son projet « Danse ta classe » vise à intégrer le corps et le mouvement dans l'apprentissage, transformant l'expérience éducative pour élèves et enseignants. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:58:48 - Theorem of Joy "FEUX" - par : Nicolas Pommaret - Avec “Feux”, Thomas Julienne et Theorem of Joy offrent une vision audacieuse et poétique du jazz. À travers neuf morceaux, l'album dessine une cartographie sonore où chaque note explore les doutes et les espoirs qui façonnent notre époque. Parution chez Déluge. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Deux entrevues avec 1) Marie du Portail de l'immigrant association pour partager les détails du FrancofestYYC ( https://pia-calgary.ca/ ) à la 13e min 50e sec et, 2) Guillaume Carlier, producteur du film The Pulse of the Continent, film à l'affiche pendant le festival CIFF (https://www.ciffcalgary.ca/) à la 33e min 39e sec.Playlist: Dominique Fils-Aimé - Moi je t'aimeLes Trois Accords, Cœur de pirate - Toujours les vacancesMalaka - Blacky Blood2Moods - LibertéWeedon, featuring Marcus Quirion & Jules et ses pilules - Tout c'qu'on a vouluJuliette Magnevasoa, Blundetto - DisJean-Michel Blais, Lara Somogyi - voilesColine Rio - Grand-mèreCharlelie Couture - Même pas sommeilPierre Kwenders - Clair de lune
Du lytter til en gammel episode av Harm og Hegseth. Vegard angrer på at han ikke overværte sin kjære Klæbo ta gull i ski-VM, men i stedet hadde en homohelg i Oslo. Morten er «VRAKET» og «ute av varmen». Hør alt fra Harm og Hegseth eksklusivt hos Podme.
Cette semaine, Le Paris des Arts vous emmène à La Villette, le plus grand parc urbain d'Europe, ouvert à toutes les pratiques culturelles et sportives. Nous allons à la rencontre de Blanca Li, chorégraphe et réalisatrice espagnole, qui a dirigé l'institution, avant de se recentrer sur ses activités artistiques.
durée : 00:12:14 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Après le succès de son album Dvořák en 2022, et de nouveau associé à l'arrangeur instrumental tchèque Jiří Kabát, le Quatuor Talich nous invite à une plongée dans le répertoire folklorique de la Mitteleuropa. Une invitation à la danse. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Zoé Sfez Productrice de La Série musicale sur France Culture; Emmanuelle Giuliani Journaliste à La Croix; Marie Labory Journaliste, productrice des "Midis de Culture" sur France Culture
Pour débuter l'émission de ce lundi 8 septembre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent du sujet du jour : "Bayrou, jour J : la dernière danse".
« Je voulais qu'on voit l'humanité qu'on partage » : Serge Aimé Coulibaly, le chorégraphe burkinabè, crée un spectacle de danse participative de grande ampleur avec une cinquantaine d'amateurs accompagnés par des danseurs et musiciens professionnels, dans le cadre du festival MolenFest 2025 à Molenbeek. Cette commune bruxelloise, souvent associée à la violence, veut montrer un autre visage et présente sa candidature comme Capitale européenne de la culture 2030. ► Molenfest 2025 se déroule à Molenbeek jusqu'au 7 septembre. À lire aussiLiban, la culture malgré tout : rendez-vous avec la danse
Dans cet épisode, Judith est rejointe par Louis, ingénieur du son d'Easy French et ami de longue date, pour dévoiler les coulisses du projet
durée : 00:11:18 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Hier s'est clôturé à Tianjin le sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, souvent présentée comme l'alternative non occidentale à l'OTAN et porteuse du "Sud Global". - réalisation : Félicie Faugère - invités : Emmanuel Véron Géographe, spécialiste de la Chine contemporaine, chercheur associé à l'INALCO, membre de l'Institut Français de Recherche sur l'Asie de l'Est (IFRAE)
Le Liban commémore cette année 50 ans du début de la guerre civile. Mais une guerre en chasse une autre dans ce petit pays de 4 millions d'habitants qui compte presque autant de Libanais que de réfugiés syriens et palestiniens. Guerre entre Israël et le Hezbollah qui perdure malgré le cessez-le-feu, les drones israéliens survolent toujours le sud du pays et les bombes pleuvent par intermittence. Et cela sans compter l'effondrement bancaire dans un pays réduit à fonctionner avec du cash et une explosion dans le port de Beyrouth équivalente à une bombe nucléaire qui a laissé la capitale exsangue. Et malgré toutes ces catastrophes la créativité libanaise est à son apogée. Beyrouth fourmille d'expositions, pièces de théâtre, festivals de toutes sortes cinéma, musique et le public est au rendez-vous. On vous propose de vous emmener dans cette vitalité tous les dimanches de ce mois d'août. « Liban : la culture malgré tout », une série proposée par Muriel Maalouf à la réalisation Diego Tenorio. Aujourd'hui rendez-vous avec la danse.
durée : 00:59:42 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Anne-Lise David - Avec Janine Charrat (danseuse, chorégraphe et directrice de ballet) - Réalisation Bruno Sourcis - réalisation : Virginie Mourthé
Émission La Méridienne Une oreille attentive remarquera que les élus sélectionnés par Laurent Besse sont plutôt « de gauche » : à dire vrai, ce sont avant tout d’anciens étudiants de la filière « Car’ Soc' » de l’IUT. Quant aux structures proposées par Arnaud Loustalot, on y entend souvent parler d’émancipation, d’éducation populaire. Simple coïncidence ? Peut-être pas. […] L'article La Méridienne – Chante, danse, Educ’ Pop’ ! est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
durée : 00:31:57 - Talmudiques - par : Marc-Alain Ouaknin - La danse en partage - réalisation : Alexandra Malka - invités : Musée d'art et d'histoire du Judaïsme Musée français
Nous sommes le 14 septembre 1927, à Nice. Celle qui, quelques années auparavant, a connu la gloire en révolutionnant le monde de la danse, a entamé son lent déclin. En début de soirée, un amant l'emmène faire un tour dans son Amilcar décapotée, bleue. Isadora Duncan porte autour du cou, un long châle de soie rouge frangé. Elle en rejette les deux larges pans sur ses omoplates. La voiture démarre. Isadora salue les badauds. Elle est joyeuse. Il y a du vent. Le châle est rabattu. Les franges sont happées entre le pare-boue et la carrosserie. L'étoffe est tendue, prête à rompre. Le corps de la danseuse est rejeté en arrière. La nuque brisée. Invitée : Caroline Deyns. « Perdu, le jour où nous n'avons pas dansé », éd. Philippe Rey. Sujets traités : Isadora Duncan, danseuse, tragédie, Nice, Amilcar Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ça y est ! L'été est là ! C'est la saison de la lecture, quoi de mieux en vacances que de lézarder au soleil avec un bon livre ? Et pourquoi pas avec un bon livre d'amour. Cette nouvelle saison de "Love Story" est consacrée aux plus beaux couples dans les romans. A cette occasion, Alice Deroide est accompagnée de Karen Etourneau, chroniqueuse livre de notre podcast "Puzzle" et dans "Editions illimitées" du studio Super Bagatelles. C'est une fine connaisseuse du monde de l'édition et une passionnée de lecture. A travers son témoignage, découvrez sa sélection des plus beaux couples dans les romans. "En attendant Bojangles", une évidence Dans cet épisode, Alice Deroide et Karen Etourneau nous parlent de l'histoire d'amour au coeur de l'histoire de "En attendant Bojangles", un premier livre écrit par l'auteur français Olivier Bourdeaut. C'est un voyage en Espagne qui changera la vie de l'auteur, alors qu'il rend visite à ses parents. En seulement 7 semaines, il écrit un nouveau roman. Le ton est unique. La réception aussi. Les éditions Finitude contacte Bourdeaut quelques jours à peine après avoir reçu le manuscrit. "En attendant Bojangles" raconte une histoire d'amour "pure" et "folle" selon Karen Etourneau. Pour elle, parler de cette histoire d'amour est une évidence. Une histoire d'amour, mais aussi une histoire de famille En attendant Bojangles c'est une histoire d'amour, entre un homme et une femme, mais aussi une histoire de famille, avec leur fils. L'action prend principalement place dans le grand appartement de la famille, ou dans leur maison de vacances en Espagne. Un lieu sûrement inspiré par celui où Olivier Bourdeaut a écrit ce roman. Ils vont en Espagne pour chaque floraison des amandiers, quitte à déscolariser le petit pour assister à ce spectacle de la nature. Jusqu'au jour où cette femme si flamboyante, cette mère virevoltante doit être internée. Toujours sous le regard de l'enfant. De la fantaisie, des rires contre la monotonie. Olivier Bourdeaut plonge le lecteur dans un univers en marge du quotidien... Le récit de leur histoire d'amour est à écouter dans ce podcast. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices