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À la 30è conférence des Nations unies sur le changement climatique, organisée en ce moment à Belém au Brésil, ce vendredi 21 novembre 2025 est officiellement le dernier jour de négociations. Mais en raison de désaccords et d'un incendie, qui s'est déclaré jeudi (20 novembre 2025) dans l'enceinte de la COP, les négociations pourraient se poursuivre jusqu'à samedi (22 novembre). Une légère odeur de brûlé flotte encore dans les couloirs des immenses tentes temporaires de la COP30, explique notre envoyée spéciale à Belém, Lucile Gimberg. Hier après-midi, (20 novembre) malgré les six heures de fermeture, certains pays et blocs de pays puissants ont continué à discuter, de manière extra-officielle, toute la nuit. Il est probable que la COP s'étende jusqu'à demain samedi (22 novembre). «La COP se terminera au moment opportun pour les négociations. L'objectif n'est pas seulement de respecter le calendrier, mais d'atteindre les résultats escomptés en matière de changement climatique», a assuré Marina Silva, la ministre brésilienne de l'Environnement. La présidence de la COP a publié, à l'aube, une série de nouveaux textes dont le principal, le dénommé «mutirao» (un terme autochtone au Brésil pour dire qu'une communauté se rassemble pour réaliser une tâche commune). Dans ce texte, la présidence appelle les pays développés à redoubler d'efforts pour fournir 120 milliards de dollars aux pays en développement pour les aider à résister aux catastrophes climatiques. Mais rien d'obligatoire, alors que c'est une demande forte des pays africains notamment. De plus, elle exhorte les pays qui n'ont pas publié de nouveaux plans climat à le faire rapidement. Une formulation trop timide, estiment certains, alors que le manque d'ambition dans les politiques pour freiner le réchauffement mondial se fait sentir un peu partout sur la planète, explique Lucile Gimberg. L'Union européenne, dont la France, est donc mécontente. D'autant que le document ne mentionne plus une éventuelle «feuille de route» qui expliquerait comment les pays peuvent mettre en œuvre l'objectif, adopté à Dubaï, il y a deux ans, de sortie des énergies fossiles. Des pays - notamment pétroliers - s'y opposent. En Amazonie brésilienne, de l'açaí sans pesticides Non loin de Belém, où se tiennent les négociations de la COP30, on cultive dans l'État du Pará un fruit appelé l'açaí. Ce «superfruit antioxydant», en vogue en Europe ou encore aux États-Unis, est récolté au sommet de palmiers en Amazonie. Il est cueilli par des familles de peuples traditionnels qui habitent au bord des fleuves, dans des zones marécageuses. Une agriculture sans pesticides, qui permet de protéger la forêt tout en générant des revenus pour ces familles. Certaines travaillent ainsi en agroforesterie, comme dans la communauté de Mupi, à une demi-journée de voyage de Belém. «À l'époque, ces terres n'étaient pas entretenues. C'était du simple açaí natif. Et quand on a vu qu'il pouvait y avoir un marché de l'açaí, on a changé d'attitude et on en récolte les fruits aujourd'hui. On peut dire que l'açaí, c'est la spécialité de la maison. Ça représente la plus grande partie de nos revenus», explique Leonilson de Reis Castro, président de l'association des producteurs d'açaí de Mupi, au micro de notre correspondante Sarah Cozzolino. Au sein de la coopérative, les producteurs d'açaí ont reçu plusieurs formations pour encourager la biodiversité et la fertilité des sols, à contre-courant de la monoculture d'açaí observée dans certaines communautés. «Les entreprises jouent un rôle important. Car notre marché exige de l'açai bio, [d'autant plus que] les regards du monde entier sont tournés vers l'Amazonie, témoigne Solène Guillot, agronome chez Nossa, une entreprise française qui exporte l'açaí des producteurs de Mupi. Donc si on veut pouvoir vendre un produit qui vient d'Amazonie en Europe, il faut montrer patte blanche. [Montrer que c'est] vertueux pour le territoire, pour l'environnement, et pour les populations. » Le ministère de la Justice «enterré» en Bolivie Le nouveau président bolivien de centre-droit Rodrigo Paz a annoncé ce jeudi 20 novembre la suppression du ministère de la Justice. «Nous allons l'enterrer pour de bon. C'en est fini du ministère de la persécution, c'en est fini du ministère de l'injustice, [...] c'en est fini du ministère qui était un moyen pour les politiques de faire du chantage. Aucun homme politique n'interférera plus jamais dans le système judiciaire», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Parmi les proches de Rodrigo Paz, au centre-droit mais aussi à droite, la suppression du ministère de la Justice est saluée, souligne le site d'information Vision 360. Le gouverneur de la province de Santa Cruz, par exemple, estime que l'ancien président Evo Morales et son parti (le MAS, le Mouvement vers le socialisme) s'en servaient pour mener une persécution politique contre l'opposition de l'époque. Mais chez les élus qui font aujourd'hui partie de l'opposition, c'est perçu comme un «mauvais signal», un signe «d'instabilité» envoyé aux Boliviens, estime un candidat déçu à la vice-présidence. Pour sa part, La Razon rapporte les craintes que cela suscite pour la protection des droits humains dans le pays. Cet épisode reflète déjà des tensions et des divisions au plus haut niveau de l'État : les désaccords entre Rodrigo Paz et son vice-président sont apparus au grand jour, explique le journal El Alteño. Le vice-président avait d'abord obtenu que soit nommé un de ses proches au ministère de la Justice. Avant que soit révélé, il y a quelques jours, que ce dernier avait un casier judiciaire, une condamnation au pénal pour des faits de corruption, lit-on dans El Deber. Ce qui a finalement poussé Rodrigo Paz à tenir sa promesse de campagne et (face à la polémique) à supprimer le ministère de la Justice... Malgré les protestations, sur les réseaux, de son propre vice-président, explique encore le journal. Dans le journal de «La 1ère» Caraïbes... Deux ans de prison avec sursis et cinq ans d'inéligibilité ont été requis à Paris contre le président de la Collectivité de Martinique Serge Letchimy, rapporte Benoît Ferrand.
Au Sénégal, l'urgence est à la protection des ressources halieutiques. Face à la surpêche, des brigades locales connues sous le nom de CLPA - conseil local pour la pêche artisanale, sont chargées de surveiller les eaux, là où l'État est absent : des pêcheurs et acteurs du secteur, bénévoles, qui repèrent et traquent les pratiques illicites. Pour adopter les bons comportements, l'organisation Greenpeace les a réunis le 18 novembre lors d'un exercice en mer très mouvementé au large de Saly, au sud de Dakar. Sa pirogue est encerclée, ses filets cernés. Ce pêcheur d'une quarantaine d'années est surpris en pleine infraction. Il vient de remonter une grande quantité de sardinelles trop jeune pour être capturées. « Ça, c'est zéro tolérance, s'exclame Kaly Ba, responsable de la campagne « Océan » chez Greenpeace Afrique. Ils sont en train de se tirer une balle dans le pied en exterminant la ressource, pour satisfaire une industrie de farine et de poisson qui ne va même pas bénéficier aux populations africaines. » Selon le Code de la pêche maritime au Sénégal, les engins et la marchandise du pêcheur doivent être confisqués et une amende d'au moins 200 000 francs CFA réglée. Mais tout ne se passe pas comme prévu. « Le pêcheur est en train de verser de l'essence sur sa pirogue, il menace de la brûler si on s'approche ! » Après plusieurs minutes de poursuites, le pêcheur est trop menaçant. Trois mineurs se trouvent à bord de la pirogue interpellée. L'opération devient risquée. Il échappe alors à toutes sanctions immédiates et des preuves de l'infraction sont envoyées aux autorités compétentes à terre. « Il faut que l'État mette le paquet » « Chez Greenpeace, c'est ce qu'on ne veut plus !, s'exclame Kaly Ba. On veut des sanctions. Si les sanctions sont là, ils ne répéteront plus ce genre de choses. Là, il n'y a qu'à voir la taille des filets, ils sont destinés à attraper uniquement les jeunes poissons, les tout petits poissons, donc ça ne permet pas à l'espèce de se régénérer. » Ces épisodes de résistance, Ibrahima Mar les connaît. Coordinateur du réseau national des conseils locaux pour la pêche artisanale (CLPA), il vit dans la même communauté que ceux qu'il est chargé de sanctionner. Il estime que les acteurs de la pêche ne peuvent pas faire, seuls, figure d'autorité. « Nous, on vit ensemble, on est des familles. Aujourd'hui, il faut que l'État, qui est neutre, qui n'a pas de copains, qui n'a pas de parents, mette le paquet !, réclame-t-il. Si aujourd'hui, on arrivait à être accompagnés par des militaires, ce serait plus efficace. » Fin de l'opération. Le chef de mission du jour, Pape Moustapha Ngom, remonte le moral de ses troupes. Il est agent de l'État à la Direction de la protection et de la surveillance des pêches (DPSP). « Il faut savoir aborder l'acteur, discuter avec lui, le ramener à la raison, souligne-t-il. Ce n'est pas facile, mais nous resterons des requins. Je tiens vraiment à vous remercier », ajoute-t-il, sous les applaudissements. Il y a un an, les nouvelles autorités ont promis de publier une liste vérifiée des bateaux autorisés à pêcher au Sénégal. C'est une des mesures prises pour protéger un secteur de la pêche menacé par la rareté grandissante des poissons, alors qu'il fait vivre 17 % de la population active. À lire aussiQue va changer l'accord de l'OMC sur la fin des subventions néfastes à la pêche?
Ressentez-vous parfois une résistance face aux défis de la vie ?Avez-vous remarqué à quel point cette tension intérieure peut affecter votre bien-être émotionnel et spirituel ?Dans cet épisode, je vous invite à explorer en profondeur la notion de résistance, un mécanisme souvent inconscient qui nous épuise et bloque notre évolution.On y découvre comment elle se manifeste dans notre quotidien, pourquoi elle s'installe et comment elle influence notre énergie, notre clarté mentale et notre chemin spirituel.À travers mon propre parcours — notamment les résistances rencontrées lors du lancement de ma formation énergétique — je partage des réflexions et prises de conscience sur ces luttes internes qui nous freinent plus qu'on ne le pense.On fait également le lien avec la carte du tarot Le Pendu, symbole puissant du lâcher-prise, de l'observation et du renversement de perspective.Au programme de cet épisode :Qu'est-ce que la résistance ? Définition énergétique et émotions associées.Les effets de la résistance sur le bien-être spirituel, mental et physique.Le lien entre la résistance et la carte du Pendu : une invitation à la contemplation et à la transformation intérieure.Comment lâcher prise sans abandonner : conseils pratiques et ancrés dans l'énergétique.Changer de perspective pour transformer une situation plutôt que la subir.Sécurité intérieure : pourquoi elle est indispensable pour lâcher prise sereinement.Lâcher prise ne signifie pas renoncer, mais cesser de lutter contre ce qui est, afin de retrouver fluidité et alignement.Cet épisode vous invite à identifier vos résistances, à observer vos schémas avec bienveillance et à engager un véritable travail de transformation intérieure.Rejoignez-nous pour comprendre comment la spiritualité et l'énergétique permettent de transformer votre rapport à la résistance et d'ouvrir la voie à un bien-être plus authentique et durable.**********************************************Je suis Amba, énergéticienne, formatrice en énergétique, en cartomancie, et en médiumnité. J'accompagne depuis plusieurs années celles et ceux qui veulent intégrer la spiritualité dans leur vie, à travers mes formations professionnelles, mes accompagnements individuels et ce podcast qui rassemble aujourd'hui des centaines de contenus disponibles gratuitement !
Dans ce nouvel épisode de Un pas de côté, je vous propose un instant à part.Un hommage discret, mais essentiel, à une grande figure de l'Opéra national de Paris : Patrice Bart, maître de ballet, ancien danseur étoile, chorégraphe, pédagogue d'exception, disparu le 6 octobre 2025.À travers ce portrait, je reviens sur son rôle unique dans la Maison, sur son héritage artistique — façonné auprès de Rudolf Noureev, nourri par des décennies de transmission — et sur l'empreinte indélébile qu'il laisse dans la danse française.Mais surtout, vous entendrez combien il a compté pour Karl Paquette, danseur étoile invité de cette saison.Comment un conseil, une phrase, une façon de regarder un danseur peut changer une carrière.Comment l'œil d'un maître peut réorienter une vie entière.Un épisode pour tous ceux qui aiment l'Opéra de Paris, son histoire, ses figures silencieuses mais essentielles.Un épisode pour celles et ceux qui veulent comprendre comment se construit un danseur, comment se transmet une tradition, comment un geste se perpétue.Sans tout dévoiler, vous y trouverez :• des repères historiques,• des souvenirs précis,• une parole rare sur l'art du maître de ballet,• et un hommage profondément humain.
Dans cet épisode je reçois Karl Paquette, danseur étoile emblématique du Ballet de l'Opéra de Paris.Un artiste dont le parcours force l'admiration : nommé Étoile le 31 décembre 2009 après un Casse-Noisette de Rudolf Noureev, il a marqué plus de vingt-cinq années de scène par sa générosité, sa rigueur et un lien unique avec le public.Dans cette première partie, Karl revient sur :✨ Ses débuts : de l'expression corporelle au studio de Max Bozzoni, figure essentielle de la danse classique.✨ Son entrée à l'École de danse de l'Opéra à 10 ans, sous la direction de Claude Bessy.✨ Ses premières années dans la compagnie, sa progression rapide et ses remplacements de dernière minute qui ont fait de lui “le danseur qu'on appelle pour sauver une représentation”.✨ Ses doutes, ses blessures et ses forces, et la manière dont il a transformé ses “défauts” en signature artistique.✨ Des anecdotes savoureuses, des moments drôles, et des confidences touchantes sur son parcours.✨ Sa passion pour la transmission, héritée de sa famille et ancrée dans sa nouvelle vie de professeur à l'École de danse de l'Opéra.Fils de professeurs, Karl Paquette porte en lui l'envie de transmettre.Il fait aujourd'hui découvrir la danse classique au jeune public à travers sa trilogie :
durée : 01:00:26 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Depuis la Révolution américaine de 1776, la droite conservatrice aux États-Unis oscille entre héritage révolutionnaire et opposition à l'État. L'historien André Kaspi nous en explique les racines et les mutations, jusqu'à l'émergence du mouvement Tea Party en 2009 sous Barack Obama. - réalisation : Emily Vallat - invités : André Kaspi Historien, spécialiste des Etats-Unis
Et si, derrière la tension, l'énergie et l'adrénaline, les battles racontaient une toute autre histoire ?Dans cette capsule d'Un pas de côté, Les Sens de la Danse vous emmène au cœur du cercle, là où la danse cesse d'être un spectacle pour devenir un miroir :un espace d'humanité, de courage, d'abandon.Cette réflexion s'inspire des rencontres que j'ai eues avec trois artistes majeurs passés par le battle :– Sofiane Chalal,dans les épisodes :
Le nouveau maire de New-York, le démocrate anti-Trump Zohran Mamdani, n'est pas seulement de nationalité américaine. Il est aussi de nationalité ougandaise, car c'est à Kampala qu'il est né, il y a 34 ans. Et sa solidarité avec le peuple palestinien tient beaucoup à l'engagement de ses parents à la fois contre l'apartheid et pour la Palestine. Quel rôle ont joué son père et sa mère, Mahmood Mamdani et Mira Naïr, dans ses choix politiques d'aujourd'hui ? Abdoulaye Bathily est l'envoyé spécial du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye pour les affaires internationales. Il est ami avec la famille Mamdani depuis quarante ans. En ligne de Dakar, il témoigne au micro de Christophe Boisbouvier. RFI : Vous êtes un vieil ami de Mahmood Mamdani, le père de Zohran Mamdani, qui vient d'être élu à New York. Vous l'avez rencontré où, Mahmood Mamdani ? Abdoulaye Bathily : J'ai rencontré Mahmood Mamdani à Dar es Salam en 1979. Il était professeur au département de sciences politiques de l'Université de Dar es Salam, et il était à l'époque, comme beaucoup d'intellectuels ougandais, réfugié à Dar es Salam pour fuir la dictature de Idi Amin Dada qui, avec son slogan xénophobe, avait chassé tous les Asiatiques de l'Ouganda. Mais il avait aussi chassé tous les intellectuels, tous les opposants, militaires comme civils. Donc toute l'élite ougandaise s'est retrouvée à Dar es Salam. Il y avait également Yoweri Museveni, qui était étudiant là-bas, qui va par la suite former le Mouvement national de résistance contre la dictature de Idi Amin et qui va recruter des jeunes réfugiés rwandais comme Paul Kagame. Alors nous nous retrouvions souvent dans des espaces publics après les cours, après les conférences, pour discuter de l'avenir du continent, de la lutte contre l'apartheid, de la lutte contre le colonialisme. Et vous étiez tous des freedom fighters, contre l'apartheid ? Contre l'apartheid qui était soutenu à l'époque, il faut le rappeler, par Israël. Et on verra comment, en fait, le jeune Zohran, par la suite, suivra les traces de son père dans cette lutte pour le soutien à Gaza, le soutien à la Palestine. Alors, après la chute de Idi Amin Dada en 1979, Mahmood Mamdani peut rentrer en Ouganda. Et quand Mahmood Mamdani et Mira Naïr se marient et quand nait leur enfant, Zohran en 1991, la petite famille est toujours en Ouganda. Et le deuxième prénom que choisissent les parents pour leur enfant, c'est le prénom Kwame. Est-ce que c'est tout un symbole ? Mahmood Mamdani est un militant de la lutte pour l'indépendance de l'Afrique, ce qu'on appelle aujourd'hui un panafricaniste. Et pendant qu'il enseignait en Ouganda, il était régulièrement au Sénégal parce qu'il était membre actif du Conseil pour le développement de la recherche économique et sociale en Afrique, le Codesria. Il venait souvent à Dakar et d'ailleurs, en 2007, il est venu ici avec sa famille, avec le petit Zohran. Je me rappelle, ils sont venus ici à la maison. Et Zohran lui-même, il a vécu dans cette ambiance militante. Comme son prénom l'indique, puisque Kwame, c'est Kwame Nkrumah. Mais aussi Zohran a fait sa thèse sur Frantz Fanon et sur Jean-Jacques Rousseau. Donc vraiment, c'est le fils de son père. Quand Zohran nait à Kampala en 1991, sa maman, Mira Naïr, est déjà une personnalité très connue puisqu'elle a sorti « Salaam Bombay ! », un film à succès qui sera primé partout. Est-ce que Mira Naïr est aussi une femme aux convictions politiques ? Oui, elle a des convictions politiques affirmées. Je l'ai rencontrée plusieurs fois à Kampala, mais également à New York et ils sont venus ici à Dakar. Ils ont visité l'île de Gorée avec leur fils Zohran, et ils sont vraiment engagés à la fois pour les causes de l'Afrique, pour les causes de l'Asie, pour les causes de la Palestine et du monde progressiste en général. En 2018, Zohran Mamdani a été naturalisé citoyen américain et pour autant, il n'a pas abandonné sa nationalité ougandaise. Comment interprétez-vous cela ? Mahmood Mamdani, son père, est profondément attaché à l'Ouganda et à l'Afrique. Donc, cet attachement à l'Afrique, ce n'est pas quelque chose d'artificiel chez eux. Et puis leur foi musulmane également, c'est une donnée importante. C'est un couple de militants qui a donné naissance à un militant engagé pour les causes justes. Et aujourd'hui, est-ce que Mahmood Mamdani continue d'entretenir des relations avec des hommes politiques africains en dehors de vous-même ? Oui, Mahmood continue de parcourir le continent. Il est en contact avec tous nos amis d'il y a 50 ans. Donc c'est un internationaliste, Mahmood Mamdani. Et Zohran est né dans cette ambiance-là. Et est-ce que Mahmood Mamdani est toujours en contact avec Yoweri Museveni ? Oui je pense qu'ils sont en contact, mais peut-être leur chemin, en tout cas du point de vue des idées, ont divergé. Parce que malheureusement, nous avons vu que notre ancien camarade et ami Museveni aujourd'hui est au pouvoir depuis 1986, et ce n'est pas de notre goût.
Mouvement de grève aujourd'hui en Alsace. La quasi-totalité des centres d'imagerie de la région resteront fermés ce lundi. Plus de 95% des professionnels devraient être en grève et entre 3 000 et 4 000 actes seront donc reportés. Seules les urgences seront assurées. Les radiologues dénoncent la baisse de 12% des forfaits techniques prévue dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale.Edition tragique pour le marathon Nice-Cannes. Alors qu'il s'approchait de la ligne d'arrivée, un Alsacien de 27 ans s'est écroulé sur le parcours hier matin. Victime d'un arrêt cardiorespiratoire, il n'a pas pu être réanimé par les secours.D'importants travaux de rénovation énergétique attendus à la piscine Aquaried de Marckolsheim. La semaine dernière, les élus de la Communauté de communes ont validé un programme à hauteur de 4,4 millions d'euros. Travaux d'amélioration thermique et fonctionnelle, résorption des équipements vétustes, réalisation d'aménagements extérieurs, dont la construction d'ombrières photovoltaïques, mais aussi réaménagement des emplacements de stationnement et des circulations seront sur la table. De quoi réduire les factures d'électricité et améliorer le fonctionnement de l'établissement. Les travaux, prévus pour durer un an, devraient débuter au printemps 2027.La SPA de Haguenau en difficulté. Sa présidente, Sabine Fghoul, alerte face à la situation financière de l'association. Cette dernière n'aurait jamais été aussi grave, depuis son arrivée il y a plus de 40 ans. Un déficit de 63 000 euros avait déjà été enregistré l'année dernière. Le coût de la vie, mais aussi de récents travaux expliquent cette crise. La présidente de l'association appelle aux dons et donne rendez-vous sur leur site internet spahaguenau.org. Un marché de Noël sera d'ailleurs organisé au refuge ce week-end, samedi de 14h à 17h et dimanche de 11h à 17h.Trois ans de prison ferme pour un jeune homme de 24 ans. Ce dernier avait été arrêté en février 2024 par des policiers colmariens, alors qu'il circulait sans permis dans une Mercedes de location. Originaire d'Isère, il était en détention de cannabis et de 10 500€. Il avait prostitué sa petite amie, mineure au moment des faits, dans un appartement loué sur Airbnb dans la cité de Bartholdi. Jugé la semaine dernière au tribunal de Colmar, le vingtenaire a été condamné à quatre ans de prison dont un avec sursis. Il lui est aussi interdit d'entrer en contact avec la victime et devra lui verser 4 000 € de préjudice moral.Et on termine ce journal par un mot de sport. Belle opération pour le Racing Club de Strasbourg hier après-midi, avec son succès face à Lille. Les Bleus et Blancs l'ont emporté 2 à 0 grâce à un doublé d'Emmanuel Emegha, tout juste de retour de blessure. Un scénario idéal pour l'inauguration de la tribune Nord de ce nouveau stade de la Meinau, rénové et agrandi. 31 051 personnes ont assisté à la rencontre. Un record depuis 25 ans. Le Racing n'avait plus joué devant plus de 30 000 personnes depuis le 25 mars 2000 contre l'OM.Match arrêté du côté de l'équipe féminine. Alors que les Strasbourgeoises menaient 1 à 0 face à Saint-Etienne ce samedi à Molsheim, la rencontre a été suspendue à cause du brouillard. Le match sera reprogrammé plus tard. Et en handball, défaite logique pour le SAHB, qui s'est incliné à Montpellier, prétendant au titre, 35 à 30.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
ÇA NE TIENT PLUS ! Le 11 octobre dernier, le Mouvement associatif appelait à une mobilisation générale dans toute la France. Mobilisation inédite et historique des associations : plus de 350 actions menées en France pour dire. Le mot d'ordre était simple : "Ça ne tient plus !" À Orléans, plus des centaines de personnes et associations s'étaient réunies sur la place du Martroi au moment de cette mobilisation nationale. Production : Thomas Derais, Radio Campus Orléans, oct.2025 ------------------------------------------------------ UNIVOX l'émission Les radios Campus scrutent en permanence les jeunesses de leur territoire et tendent chaque semaine leurs micros aux étudiant.e.s, jeunes citoyen.ne.s engagé.e.s, habitant.e.s et associations des villes et des campus de France. Une radiographie bouillonnante et itinérante de l'écosystème étudiant. Tous les podcasts : https://www.radiocampus.fr/emission/univox ------------------------------------------------------ RADIO CAMPUS FRANCE Radio Campus France est le réseau des radios associatives, libres, étudiantes et locales fédérant 30 radios partout en France. NOUS SUIVRE | FOLLOW US www.radiocampus.fr Insta @radio_campus NOUS ÉCOUTER | LISTENHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le Juste Debout, c'est bien plus qu'un événement.C'est une histoire, un héritage, un symbole.Depuis plus de vingt ans, Bruce Ykanji a su transformer une passion en un mouvement mondial — un lieu de rencontre pour des milliers de danseurs venus des quatre coins du globe.Mais pour sa 20ᵉ édition, un grand changement se prépare.Un virage symbolique, fort, qui marque une nouvelle étape dans cette aventure humaine et artistique.
ÇA NE TIENT PLUS ! Le 11 octobre dernier, le Mouvement associatif appelait à une mobilisation générale dans toute la France. Mobilisation inédite et historique des associations : plus de 350 actions menées en France pour dire. Le mot d'ordre était simple : "Ça ne tient plus !" À Orléans, plus des centaines de personnes et associations s'étaient réunies sur la place du Martroi au moment de cette mobilisation nationale. Production : Thomas Derais, Radio Campus Orléans, oct.2025 ------------------------------------------------------ UNIVOX l'émission Les radios Campus scrutent en permanence les jeunesses de leur territoire et tendent chaque semaine leurs micros aux étudiant.e.s, jeunes citoyen.ne.s engagé.e.s, habitant.e.s et associations des villes et des campus de France. Une radiographie bouillonnante et itinérante de l'écosystème étudiant. Tous les podcasts : https://www.radiocampus.fr/emission/univox ------------------------------------------------------ RADIO CAMPUS FRANCE Radio Campus France est le réseau des radios associatives, libres, étudiantes et locales fédérant 30 radios partout en France. NOUS SUIVRE | FOLLOW US www.radiocampus.fr Insta @radio_campus NOUS ÉCOUTER | LISTEN
A la rentrée, alors que toutes les communes alentours organisaient leur forum des associations de rentrée, où chacun.e pourra s'inscrire pour ses activités de l'année, le Mouvement associatif, fédération d'association et porte-parole de ce secteur économique, appelait à un mouvement... Continue Reading →
Aujourd'hui, Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Mourad Boudjellal, éditeur de BD, et Patrick Sébastien, chanteur, imitateur et animateur à la personnalité singulière, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Nos Esprits Libres du Jour analysent les élections municipales américaines au-delà de celle de New York. Des résultats en résulte une tendance : le mouvement de refus général de Trump avec l'émergence de la génération montante des démocrates. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Élise Goldfarb, entrepreneure. Pierre Rondeau, économiste. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Réservez votre place pour la seconde édition de M - le sommet du corps en conscience qui se déroulera du 16 au 19 octobre 2025 !Cette semaine, je vous invite à plonger dans l'univers de Penelope Morout, danseuse, chorégraphe et enseignante de la méthode Fighting Monkey, dont le parcours est marqué par une remarquable fusion des disciplines.Penelope, qui détient un double diplôme en danse et en architecture, partage comment elle parvient à gérer les défis d'une carrière internationale, voyageant jusqu'à huit mois par an, et la difficulté de trouver l'équilibre entre sa vie professionnelle et sa vie privée.Elle nous ouvre les portes de sa dernière création, Emotional Dog, une œuvre de sa compagnie Cross Impact centrée sur le sujet du trauma et sa relation au temps, qu'elle explore comme une "disruption au narratif quotidien". Pénélope explique comment elle met en scène la coexistence de "deux réalités" et son intérêt pour la cinématographie en scène, cherchant à créer une chorégraphie cinématographique en direct grâce à l'utilisation de pratiques de caméra telles que le zoom in/out.Nous explorons également son travail en tant qu'enseignante de Fighting Monkey 50 Plus. Pour Penelope, cette pratique ne consiste pas seulement à dire que des problèmes existent, mais à trouver les solutions, en étant curieuse et présente. Elle décrit le corps comme un paysage, où l'on cherche les blocages pour changer de chemin, et souligne l'importance vitale du jeu, qui permet d'enlever le poids d'être parfait et d'enrichir son vocabulaire d'expression.Enfin, Pénélope révèle comment elle unifie ses compétences (y compris le dessin et la lecture) pour élaborer une méthodologie artistique personnelle, inspirée par des références non linéaires comme David Lynch et la poésie, et insiste sur l'importance de ne pas rester observateur et de ne pas être bougé par l'opinion des autres, mais d'entrer dans le jeu et de s'exprimer respectueusement.Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mouvement des gilets jaunes ou chantier des années Mitterrand, les sorties de la semaine brûlent d'ardeur.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avant d'être un art, le hip-hop a été une réponse.Une manière de dire “je suis là” quand plus personne ne voulait écouter.Né dans les rues du Bronx au début des années 1970, le mouvement s'est d'abord exprimé au sol, dans la force brute du breakdance — une danse de défi, d'énergie et de survie.Mais pendant que les corps tournaient sur le bitume new-yorkais, une autre révolution se préparait sur la côte ouest : celle des danses debout.À Los Angeles, Don Campbell invente le locking ; à Fresno, Boogaloo Sam crée le popping avec les Electric Boogaloos ; dans la Bay Area, les danseurs de boogaloo font du mouvement un langage poétique.Ces styles, plus musicaux et expressifs, donneront naissance au waacking, à la house dance et au hip-hop freestyle,ouvrant un nouveau chapitre de l'histoire du corps.Arrivé en France dans les années 1980 grâce à l'émission H.I.P H.O.P animée par Sidney, le hip-hop devient un terrain d'expression pour toute une génération.Et c'est au début des années 2000 que Bruce Ykanji rend hommage à ces danses debout en leur offrant enfin une scène mondiale : le Juste Debout.Dans cette capsule, on revient sur cette double histoire —celle des danseurs au sol et de ceux qui se tiennent debout.Deux gestes, deux postures, un même message :celui d'un corps qui refuse de plier.
Chaque soir dans un podcast inédit, un ou une membre de l'équipe vous dévoile l'un des cas les plus attendus de l'émission du lendemain ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans ce 115e épisode d'On The Verge, vous allez entendre le témoignage de Mark, 29 ans, qui vit dans le Sud-Est. Mark a grandi dans un environnement familial où la parole était libre et ouverte.Son parcours intime est traversé par des épreuves douloureuses, notamment une relation de quatre ans avec une jeune femme polytraumatisée. Une histoire au sein de laquelle il a subi des violences psychologiques, physiques et sexuelles. Mark le raconte avec lucidité, tout en reconnaissant aussi qu'il a lui-même été violent dans cette relation. Il essaie encore aujourd'hui de comprendre comment l'escalade de la violence a été alimentée, jusqu'à les abîmer pour de bon et laisser de profondes empreintes chez lui. Parallèlement à cette relation, il évoque comment s'est installée une addiction au porno et à la masturbation dans une recherche de stimulation toujours plus extrême, parfois au point de se mettre en danger. Ces excès, cette violence et cette confusion l'ont amené à interroger en profondeur sa masculinité, son rapport à la domination, ainsi est apparu un intérêt marqué pour certains mouvements comme le MGTOW, dont il parle aujourd'hui avec recul et esprit critique, tout en reconnaissant qu'il a flirté avec des courants de pensées extrêmes et dangereux. Les expériences de Mark ont laissé des stigmates psychologiques, mais il raconte aussi comment, peu à peu, certaines rencontres récentes lui ont permis de retrouver une forme d'espoir dans sa vie sentimentale et intime.Avant d'écouter cet épisode, je vous invite à bien prendre connaissance des trigger warnings qui l'accompagnent et d'être dans de bonnes conditions émotionnelles. Si vous traversez vous-mêmes une relation douloureuse, ce n'est peut être pas le bon moment ! Et comme toujours, je vous rappelle que les propos tenus par mon invité n'engagent que lui, qu'ils reflètent son expérience personnelle, sa perception et son cheminement.Bonne écoute.TW : rapport non consenti, tentative de suicide, chantage affectif, violences intra conjugale, agressions sexuelles, vi0l ** Infos **
Episode 218: La loi est là mais qu'en est-il de mon droit ? Devenir du mouvement des Soulaliyates Cet épisode explore l'évolution du Mouvement des Soulaliyates à la lumière des récentes réformes introduites par la loi 62-17, relative à la tutelle administrative sur les communautés Soulaliyates et à la gestion de leurs biens, promulguée en 2019 au Maroc. Elle met en évidence les contraintes auxquelles les femmes sont confrontées pour négocier l'accès à une part de la terre collective, ainsi que les stratégies qu'elles élaborent pour y faire face. L'analyse de ces enjeux à travers le prisme de la sociologie juridique, qui articule droit et du fait, révèle un écart entre la loi promulguée et son application concrète sur le terrain. L'analyse de ces enjeux à travers le prisme de la sociologie juridique, qui articule droit et réalité sociale, met en évidence un écart entre la promulguée et son application concrète sur le terrain. Par ailleurs, loin de mettre fin à l'action collective des femmes, la promulgation de la loi a entraîné une restructuration du Mouvement afin de s'adapter aux nouvelles contraintes rencontrées par les Soulaliyates. Hind Ftouhi est enseignante chercheuse à l'Institut National d'Aménagement et d'Urbanisme de Rabat (INAU-Rabat). Elle est docteure en sociologie rurale et ingénieure agronome. Ses recherches portent sur les rôles et la contribution des jeunes ruraux aux dynamiques agraires et territoriales. Elle s'intéresse également à l'accès et à la gestion des ressources naturelles dans une perspective de genre. Ce podcast a été enregistré le 15 septembre 2024 dans le cadre du programme « Le Maghreb vu des périphéries : Propriété, contestation, et ressources naturelles en Afrique du Nord » soutenu par le CAORC et Carnegie Corporation of New York et réalisé par le Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA) et le Centre d'Études Maghrébines à Tunis (CEMAT). Pour consulter les diaporamas associés à ce podcast, veuillez visiter notre site web www.themaghribpodcast.com Montage : Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
Club mythique de Liège, il incarne à la fois la passion populaire et les secousses d'une histoire tourmentée. Sur le terrain, des exploits mémorables, des titres arrachés, des générations entières de supporters en fusion. En coulisses, des crises à répétition, des scandales qui éclaboussent, des luttes de pouvoir qui fissurent ses fondations. Le Standard vit dans l'excès : capable du meilleur comme du pire, toujours sur le fil. Chaque victoire sonne comme une renaissance, chaque défaite comme une tragédie. Entre ferveur ardente et tempêtes internes, il avance, porté par un public fidèle qui ne lâche jamais. Année après année, ce club reste une énigme vibrante, miroir d'une ville et de ses colères. Et une certitude persiste : à Liège, le Standard ne laisse personne indifférent. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En Côte d'Ivoire, l'élection présidentielle se tient samedi 25 octobre. Cinq candidats sont en lice, dont Alassane Ouattara, qui brigue un quatrième mandat. RFI donne la parole à chaque candidat. Ce matin, dernier entretien, avec Simone Ehivet, l'ex-épouse de Laurent Gbagbo, qui a créé son parti en août 2022, le Mouvement des générations capables (MGC). Cette figure de l'opposition met l'accent sur la souveraineté économique et sur la réconciliation nationale. Elle répond aux questions de notre correspondante à Abidjan, Bineta Diagne. RFI : Simone Ehivet, votre principal thème de campagne porte sur la réconciliation nationale. Qu'est-ce que vous voulez faire de plus par rapport à l'administration sortante dans ce domaine ? Simone Ehivet : ce pays a vécu une crise très profonde, une grande déchirure du tissu social, et on peut dire que des choses ont été faites. Moi-même, j'ai bénéficié d'une loi d'amnistie pour sortir de prison, donc des actes ont été posés. Mais le plus grand de ce chantier-là attend encore d'être réalisé. Il faut rendre hommage à ces morts-là pour que l'esprit repose en paix. Il faut organiser le pardon au-delà de ceux qui ont perdu leurs vies, il y a ceux qui ont perdu leurs biens. Il va être nécessaire de traiter la question et de faire les dédommagements. Vous dites que rien n'a été fait. Pourtant, entre temps, il y a eu des dédommagements. Il y a eu la restitution des corps des victimes de la crise à Duekoué, à Toulépleu. On ne peut pas dire que rien n'a été fait ? Moi, je souhaiterais qu'on rende hommage aux morts. Beaucoup de personnes ont perdu leur emploi, ont perdu leur travail, ont perdu leur commerce. Mais du coup, quinze ans plus tard, qu'est-ce que vous comptez faire ? Mais quinze ans plus tard, il faut faire le point de cela. Il faut pouvoir mettre ensemble les populations pour qu'elles acceptent de pardonner, parce que tout le monde n'a pas accepté de pardonner, aujourd'hui encore. Lorsque vous avez tenu le lead au sein de la Côte d'Ivoire, vous avez mené un combat pour que le dialogue politique puisse avoir lieu, pour que la révision de la liste puisse avoir lieu, pour que la Commission électorale indépendante puisse être réformée. Toutes ces conditions sont toujours là. Qu'est-ce qui vous garantit une participation à cette élection de manière transparente ? Mais nous n'avons aucune garantie de rien du tout. Nous avons écrit trois fois au président de la République pour obtenir la convocation du dialogue. Nous sommes persuadés qu'aller à ces élections-là, telles que les choses se présentent, ça va être une participation très difficile à ces élections. Mais je dis, nous avons également convenu, ayant tiré les leçons du passé, qu'il vaut mieux encore aller à ces élections-là dans des conditions difficiles que pas du tout. C'est-à-dire que pour vous aujourd'hui, le boycott n'est pas du tout envisageable ? Non, faire du boycott aujourd'hui, c'est offrir des résultats au premier tour à Monsieur Alassane Ouattara. Mais alors du coup, si les résultats après ne vous conviennent pas, cela veut dire que vous n'aurez pas aussi la latitude de les contester ou de les critiquer. Si les choses se sont passées et que des gens ont pu observer que, la situation étant difficile, les élections ont eu lieu et que mes électeurs ont pu voter, que je n'ai pas gagné, je n'ai pas gagné. Car quand on va à des élections, on peut gagner comme on peut perdre. Alassane lui-même, il est candidat. Mais qu'est-ce qui garantit qu'il va gagner ? En lice dans cette compétition, il y a aussi Ahoua Don Mello. Pourquoi est-ce que c'était si difficile finalement d'obtenir une candidature unique entre tous les candidats, entre guillemets, issus de la gauche ivoirienne ? Il n'y a pas eu au niveau de l'opposition, ni au niveau de la gauche un débat pour une candidature unique. Mais l'objectif qui était poursuivi, c'était d'obtenir une réforme du système électoral lui-même. Et donc, il était question que chacun fasse ses propres analyses et prenne ses propres décisions. Il y a deux femmes candidates à cette élection présidentielle. Vous-même, vous avez été opposante, vous avez été première dame, vous êtes passée par la case prison, vous avez perdu votre parti, vous en avez recréé un autre. Avec du recul, quel regard vous portez sur votre trajectoire ? Moi, je continue le travail que j'ai fait depuis très longtemps, qui est de poser toutes les actions possibles pour obtenir, dans ce pays-là, la réalisation de la vision que j'ai de la Côte d'Ivoire. Ce que je souhaite pour la Côte d'Ivoire, c'est que ce soit une nation prospère, une nation souveraine, une nation forte, une nation où les hommes qui sont aguerris, qui sont capables de prendre des initiatives, de créer pour le changement. Ce travail-là, il n'est pas achevé et c'est la raison pour laquelle je suis encore dans la course. À lire aussiPrésidentielle en Côte d'Ivoire: la vie chère, l'emploi et la sécurité au cœur du scrutin
Bouchra Khalili est à l'honneur du festival d'Automne avec des œuvres vidéos installées dans trois théâtres pour retrouver la mémoire du Mouvement des travailleurs arabes. Avec ses trois projets Astérismes (Fig. 1 à 3), l'artiste Bouchra Khalili refait surgir la mémoire des histoires effacées, des traces fragiles de mémoires. Trois installations qui correspondent à trois périodes de travail puisque la première date de 2017 et la dernière de 2025 et qui sont réunies sous ce titre de «Astérisme» qui est un terme d'astronomie pour designer une figure dessinée par les étoiles : une constellation... C'est donc un ensemble. On découvre notamment, dans l'une de ces expositions, le Mouvement des Travailleurs arabes qui avait constitué deux troupes de théâtre avec un slogan, «de la rue à la scène et de la scène à la rue». «Ce qui m'a interpellée, c'est que des ouvriers qui travaillaient dans des usines aient pensé au théâtre». Une histoire très peu connue. Elle a retrouvé pour faire ce travail certains acteurs de l'époque qu'elle a filmés. «Ces expositions opèrent comme une forme de résurrection», nous raconte l'artiste Bouchra Khalili. «Ce qui m'intéresse, c'est ce qui n'a pas été archivé, des mémoires dont il ne reste uniquement que quelques fragments». Et quand il n'y a pas d'archives, elle imagine des fictions pour dire ce qui a eu lieu comme dans l'exposition Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public avec, par exemple, avec Mririda n'Aït Attik, poétesse amazighe, active dans la première moitié du XXè siècle dans le Haut-Atlas qui «maitrisait la poésie sans l'écrit» et dont on a que des traductions. L'artiste réactive également un élément de la culture marocaine : le conte avec un jeune conteur de Marrakech qui salue l'histoire de Djelali Kamal, immigré et gréviste de la faim et candidat à la présidence de la République en 1974. Invitée : Bouchra Khalili est une artiste visuelle franco-marocaine née en 1975 à Casablanca. Elle est diplômée en Études cinématographiques et médiatiques de la Sorbonne Nouvelle et en arts visuels de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy. Multidisciplinaire, elle utilise le textile, la photographie, la sérigraphie et la vidéo pour concevoir ses œuvres. À voir dans le cadre du Festival d'automne : - Astérismes (Fig. 1) : The Tempest Society - T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique -Astérismes (Fig. 2) : The Circle and The Public Storyteller - Odéon Théâtre de l'Europe – Berthier Paris 17 2 – 26 octobre - Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt 22 – 29 octobre. Programmation musicale : Les Artistes Amadou et Mariam avec le titre L'amour à la folie.
Bouchra Khalili est à l'honneur du festival d'Automne avec des œuvres vidéos installées dans trois théâtres pour retrouver la mémoire du Mouvement des travailleurs arabes. Avec ses trois projets Astérismes (Fig. 1 à 3), l'artiste Bouchra Khalili refait surgir la mémoire des histoires effacées, des traces fragiles de mémoires. Trois installations qui correspondent à trois périodes de travail puisque la première date de 2017 et la dernière de 2025 et qui sont réunies sous ce titre de «Astérisme» qui est un terme d'astronomie pour designer une figure dessinée par les étoiles : une constellation... C'est donc un ensemble. On découvre notamment, dans l'une de ces expositions, le Mouvement des Travailleurs arabes qui avait constitué deux troupes de théâtre avec un slogan, «de la rue à la scène et de la scène à la rue». «Ce qui m'a interpellée, c'est que des ouvriers qui travaillaient dans des usines aient pensé au théâtre». Une histoire très peu connue. Elle a retrouvé pour faire ce travail certains acteurs de l'époque qu'elle a filmés. «Ces expositions opèrent comme une forme de résurrection», nous raconte l'artiste Bouchra Khalili. «Ce qui m'intéresse, c'est ce qui n'a pas été archivé, des mémoires dont il ne reste uniquement que quelques fragments». Et quand il n'y a pas d'archives, elle imagine des fictions pour dire ce qui a eu lieu comme dans l'exposition Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public avec, par exemple, avec Mririda n'Aït Attik, poétesse amazighe, active dans la première moitié du XXè siècle dans le Haut-Atlas qui «maitrisait la poésie sans l'écrit» et dont on a que des traductions. L'artiste réactive également un élément de la culture marocaine : le conte avec un jeune conteur de Marrakech qui salue l'histoire de Djelali Kamal, immigré et gréviste de la faim et candidat à la présidence de la République en 1974. Invitée : Bouchra Khalili est une artiste visuelle franco-marocaine née en 1975 à Casablanca. Elle est diplômée en Études cinématographiques et médiatiques de la Sorbonne Nouvelle et en arts visuels de l'École nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy. Multidisciplinaire, elle utilise le textile, la photographie, la sérigraphie et la vidéo pour concevoir ses œuvres. À voir dans le cadre du Festival d'automne : - Astérismes (Fig. 1) : The Tempest Society - T2G Théâtre de Gennevilliers, Centre Dramatique -Astérismes (Fig. 2) : The Circle and The Public Storyteller - Odéon Théâtre de l'Europe – Berthier Paris 17 2 – 26 octobre - Astérismes (Fig. 3) : L'Écrivain public Théâtre de la Ville – Sarah Bernhardt 22 – 29 octobre. Programmation musicale : Les Artistes Amadou et Mariam avec le titre L'amour à la folie.
durée : 00:05:37 - La BO du monde - Fait marquant du mouvement de contestation de la jeunesse qui agite en ce moment le Maroc : les nombreuses prises de position de la communauté hip hop, très engagée aux côtés des manifestants. Tour d'horizon. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Relations Suisse-UE: choc frontal !Ce sera LE sujet au sommet de l'agenda politique suisse ces prochaines années: le paquet d'accords bilatéraux négocié entre Berne et Bruxelles.Pour planter le décor, quoi de plus logique qu'un face-à-face entre le Mouvement européen suisse et l'Union démocratique du Centre (UDC)? Vincent Maitre, vice-président du Mouvement européen suisse face à Céline Amaudruz, vice-présidente de l'UDC. Deux conseillers nationaux genevois au micro de nos journalistes Romain Clivaz et Romaine Morard. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 20/10/2025 Homosexualité et religion : l'émancipation féminine selon Hafsia HerziLauréate du César de la meilleure actrice cette année, Hafsia Herzi revient sur le devant de la scène, cette fois-ci, en tant que réalisatrice avec son troisième long-métrage "La Petite Dernière". Adapté du roman de Fatima Daas publié en 2020, le film dessine l'histoire de Fatima, interprétée par Nadia Melliti, benjamine d'une famille musulmane de trois filles vivant en banlieue parisienne. La jeune femme est tiraillée entre sa foi et son attraction pour les femmes. Identité, religion, sexualité, avec "La Petite Dernière", Hafsia Herzi signe une oeuvre contemporaine, récompensée du prix d'interprétation féminine pour Nadia Melliti, ainsi que par la Queer Palm au festival de Cannes 2025. Le film sort en salle le 22 octobre. Hafsia Herzi et Mouna Soualem, une des actrices du film, sont nos invitées ce soir. Mouvement “No Kings” : cri d'alarme démocratique ou "haine de l'Amérique" ?En juin dernier, cinq millions d'Américains sont descendus dans la rue lorsqu'une élue démocrate et son mari ont été retrouvés assassinés chez eux. Le mouvement "No Kings" est alors créé, contre Donald Trump et ses dérives politiques. Environ sept millions de manifestants sont à nouveau descendus dans la rue, samedi 18 octobre, dans tout le pays. Ils dénoncent les atteintes à la liberté d'expression, la remise en cause de la séparation des pouvoirs, les représailles judiciaires contre les opposants, la presse et les immigrés. En envoyant l'armée dans les villes démocrates ou en demandant à sa ministre de la Justice, Pam Bondi, de poursuivre tous ses opposants, comme Letitia James, gouverneure de New York, le président américain abuse-t-il de ses pouvoirs ?Enfin, Victor Dekyvère revient sur les vols passés au musée du Louvre, le musée ayant été visé par un cambriolage de grande ampleur ce dimanche. Marie Bonnisseau part surfer en Californie au célèbre spot de Santa Cruz, où une loutre de mer, voleuse de planche, sème la terreur. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 20 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 20/10/2025 Mouvement “No Kings” : cri d'alarme démocratique ou "haine de l'Amérique" ?En juin dernier, cinq millions d'Américains sont descendus dans la rue lorsqu'une élue démocrate et son mari ont été retrouvés assassinés chez eux. Le mouvement "No Kings" est alors créé, contre Donald Trump et ses dérives politiques. Environ sept millions de manifestants sont à nouveau descendus dans la rue, samedi 18 octobre, dans tout le pays. Ils dénoncent les atteintes à la liberté d'expression, la remise en cause de la séparation des pouvoirs, les représailles judiciaires contre les opposants, la presse et les immigrés. En envoyant l'armée dans les villes démocrates ou en demandant à sa ministre de la Justice, Pam Bondi, de poursuivre tous ses opposants, comme Letitia James, gouverneure de New York, le président américain abuse-t-il de ses pouvoirs ?On en débat avec Amy Greene, politologue, spécialiste de la politique des États-Unis, Gérald Olivier, journaliste franco-américain et Jérôme Viala-Gaudefroy, docteur en civilisation américaine.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 20 octobre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Chroniqueurs : - Alexandre Devecchio, rédacteur en chef du service débats du Figaro - Georges Fenech, ancien magistrat Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Trois personnes ont été tuées dans un stade de Nairobi après que les forces de sécurité ont ouvert le feu jeudi pour disperser une foule venue rendre hommage à l'opposant historique kényan, Raila Odinga. Les tirs des forces de sécurité ont brutalement transformé en mouvement de panique l'hommage à l'opposant Odinga, des dizaines de milliers de personnes évacuant un stade de Nairobi en quelques minutes.
Alexandre Dana est entrepreneur et fondateur de LiveMentor, mais surtout, c'est un ami proche, avec qui j'ai eu la joie d'avoir de nombreuses discussions profondes. Il anime le podcast Métamorophose parfois et il est aussi l'auteur du livre La chaise tue, un ouvrage choc, nécessaire, qui explore une réalité bien trop ignorée : notre sédentarité nous détruit à petit feu.Dans cet épisode, j'ai eu envie de reprendre le micro avec Alexandre, justement parce que ce sujet me tient profondément à cœur. Comme vous le savez, je suis passionné par notre capacité à mieux comprendre le monde pour y vivre plus sereinement, et ici, on va se concentrer au niveau individuel sur un sujet que j'ai déjà traité mais qui me semble crucial parce que souvent relégué au second plan : le mouvement.Nous avons tous conscience qu'il faut faire du sport, qu'il est important de bouger... mais savons-nous que l'on peut être un sportif sédentaire ?Alexandre nous explique pourquoi notre environnement moderne – nos bureaux, nos villes, notre rapport au travail, aux écrans, à nos loisirs – nous condamne à rester assis, et pourquoi cela met en danger notre corps, notre santé mentale, nos émotions... et même notre créativité.J'ai questionné Alexandre sur son chemin personnel, sur ce qui l'a amené à écrire ce livre, et sur les solutions concrètes qu'il propose, à la fois individuelles et collectives. On a parlé du rôle des entreprises, de la responsabilité de l'État, de l'école, mais aussi de toutes les petites actions que chacun peut entreprendre au quotidien pour remettre du mouvement dans sa vie.Et croyez-moi, c'est bien plus qu'une question de sport. C'est une révolution culturelle à mener – douce, joyeuse, mais essentielle.5 citations marquantes"La chaise tue notre corps, mais aussi notre bien-être, nos émotions, notre clarté d'esprit.""On surestime le sport, et on sous-estime le simple fait de bouger.""Notre environnement nous rend sédentaires. Ce n'est pas qu'une affaire de volonté.""Plus tu es confortablement assis, plus tu mets ta santé en péril.""Le mouvement n'est pas un luxe, c'est un besoin vital."10 questions structurées posées dans l'interviewPourquoi avoir choisi ce titre radical : La chaise tue ?En quoi la sédentarité est-elle si dangereuse pour notre santé ?Qu'est-ce qu'une “bonne” chaise selon toi ?Pourquoi l'entreprise et l'État doivent-ils s'emparer du sujet ?Que peut-on faire concrètement si on est obligé de rester assis au travail ?En quoi la culture du développement personnel renforce-t-elle la culpabilité ?Pourquoi les pauses actives sont-elles essentielles ?Quelle est la différence entre sport et mouvement ?Pourquoi les villes doivent-elles être repensées pour encourager le mouvement ?Comment réintroduire le mouvement dans notre vie familiale et sociale ?Timestamps clés pour YouTube 00:00 – Introduction : Pourquoi le mouvement est un enjeu de société.04:30 – Alexandre explique pourquoi “La chaise tue”.10:15 – L'impact psychologique et physiologique de la sédentarité.18:00 – La fausse bonne idée des chaises confortables.24:45 – L'histoire de la chaise et le monde du travail.32:00 – Que faire quand on n'a pas le choix de rester assis ?40:20 – Le poids des environnements urbains sur notre inactivité.52:30 – Marcher pour penser : le lien entre créativité et mouvement.01:00:00 – L'expérience personnelle d'Alexandre face à la sédentarité.01:10:00 – Des solutions concrètes, accessibles et progressives. Suggestion d'autres épisodes à écouter : #322 Démystifier le bien-être avec Major Mouvement (https://audmns.com/IfubNER) Vlan #135 Se reconnecter à l'intelligence du corps avec Eve Berger Grosjean (https://audmns.com/ETKQSfx) #171 Mieux se connaitre pour trouver une posture juste avec Thierry Janssen (https://audmns.com/jeikAHO)Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:07 - France Inter sur le terrain - Depuis la mort de Charlie Kirk, l'influenceur conservateur américain proche de Donald Trump tué le 10 septembre dernier, son organisation Turning Point USA, qui s'adresse surtout aux jeunes, a recruté des milliers de nouveaux membres. Et elle a repris la tournée des facultés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:12 - L'invité de 6h20 - par : Mathilde MUNOS - Les associations sont dans "un moment d'hypertension financière" alerte, sur France Inter, ce vendredi, Claire Thoury, présidente du Mouvement associatif qui représente 700 000 associations en France. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sur les photos officielles, il arbore fièrement son uniforme rutilant et ses 7 étoiles qui indiquent son rang de maréchal, à l'instar de son défunt père. Et le maréchal-président tchadien a encore assis son pouvoir vendredi. En effet, pointe Jeune Afrique, « le vote sur la révision constitutionnelle était initialement prévu lundi prochain 13 octobre. Avec dix jours d'avance, c'est donc vendredi que la majorité écrasante des parlementaires a approuvé le texte présenté par le Mouvement patriotique du salut, le parti de Mahamat Idriss Déby Itno, lui conférant un mandat présidentiel de sept ans renouvelable sans limites. Ce texte lève aussi l'incompatibilité des fonctions de chef de l'État avec des activités au sein d'un parti politique et restaure l'immunité des ministres. » Commentaire de Jeune Afrique : « l'histoire ne se répète pas, mais elle peut parfois sérieusement bégayer. (…) Il y a vingt ans, Idriss Déby Itno, père et prédécesseur de l'actuel chef de l'État, avait, lui aussi, fait “sauter“ le verrou de la limitation des mandats, en faisant modifier la Constitution de 1996, pourtant adoptée après une période de concertation nationale. » Vers un pouvoir quasi-absolu En effet, concrètement, analyse Afrik.com, « instituée par les députés, relayée dans les médias, validée par les sénateurs, et promulguée par le Président, cette réforme scelle le nouveau socle d'un pouvoir quasi-absolu. Cette mutation institutionnelle ne saurait se limiter à un simple jeu de chaises législatives, pointe le site panafricain. Elle dessine un scénario politique à long terme, dans lequel l'alternance démocratique devient improbable. (…) Ça n'est pas seulement une révision constitutionnelle : c'est l'officialisation d'un tournant vers la présidentialisation à vie, s'exclame encore Afrik.com. En adoptant formellement une durée de mandat allongée et une absence de limite, le régime Déby verrouille les conditions de perpétuation de sa domination. Le fils succède au père, non pas par un héritage dynastique légal, mais par un enchaînement institutionnel soigneusement orchestré. » Alors, relève encore le site panafricain, « face à cette mutation, la communauté internationale, les organisations de défense des droits humains, les acteurs politiques africains auront à observer, critiquer, voire exercer des pressions pour rappeler que la légitimité ne se décrète pas, elle se conquiert. Le temps dira si le Tchad, sous Mahamat Déby, rompt avec l'ère Déby père, ou bien en érige une version encore plus rigide. » Sur la vague du souverainisme… « Cette évolution politique intervient dans un contexte international qui favorise les régimes peu portés à la démocratie, note pour sa part Ledjely en Guinée. Les rivalités géostratégiques entre la Russie et les pays occidentaux offrent aux dirigeants du continent de nouvelles marges de manœuvre. La confédération de l'AES (Mali, Burkina Faso, Niger) incarne ce vent de souverainisme dont une des manifestations, est aussi le départ des soldats français de plusieurs pays, dont le Tchad. Dans ce nouveau rapport de force, Mahamat Idriss Déby sait qu'il dispose d'une plus grande liberté pour remodeler les institutions à sa guise, sans craindre de réelles représailles extérieures. Ainsi, conclut Ledjely, loin d'incarner un renouveau politique, Mahamat Idriss Déby semble perpétuer un cycle qui confisque l'alternance et bloque l'émergence d'une gouvernance réellement démocratique. Une dynamique qui semble relever d'une tendance plutôt lourde sur le continent africain. » Réinventer la démocratie sur le continent Enfin, en parallèle, à lire cet éditorial du Monde sur l'émergence des régimes forts en Afrique : « prétendre (comme le font certains militaires au pouvoir) que “l'Afrique n'est pas faite pour la démocratie“ est une ineptie, affirme le journal. Il suffit de rencontrer des Africains, illettrés ou éduqués, se pressant dans des bureaux de vote, pour comprendre le sens évident qu'ils donnent à ce droit fondamental : choisir et renvoyer ses dirigeants sur une base égalitaire. (…) Prétendre, par ailleurs, poursuit Le Monde, que seul un régime fort peut assurer le développement contredit la réalité : aucun autocrate africain ne peut se vanter d'une telle performance. » Et le journal de conclure : « combat par définition inachevé, la démocratie est à réinventer, dans les différents États africains comme dans les pays riches. Avec, sans doute, un point commun : au centre de la réflexion devrait figurer le lien entre démocratie et bien-être des populations. »
durée : 00:12:27 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Les manifestations se poursuivent au Maroc. Partie d'Agadir, après la mort de plusieurs femmes enceinte dans un hôpital, la colère s'est rapidement étendue à tout le pays. Ce mouvement marque-t-il le retour d'un souffle contestataire hérité du “Mouvement du 20 février” et des printemps arabes ? - réalisation : Félicie Faugère - invités : Nadia Hachimi Alaoui Professeure en science politique à l'Université Internationale de Rabat
durée : 00:28:14 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Comment parler d'une histoire effacée ? Dans le cadre du Festival d'Automne, l'artiste Bouchra Khalili convie les fantômes du MTA, Mouvement de Travailleurs Arabes contre le racisme et pour l'égalité des droits, et les fait dialoguer avec les luttes du présent. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Bouchra Khalili
durée : 00:12:41 - Journal de 7 h - Après avoir déjà obtenu le limogeage du gouvernement, la génération Z dénonce une situation sanitaire et sociale indigne dans un pays incapable de redistribuer ses richesses. Des milliers de manifestants ont encore réclamé le départ du Président, investissant un quartier central de la capitale.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, et Jeremstar, influenceur, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:29:44 - Les Pieds sur terre - En raison d'un appel à la grève déposé par l'ensemble des organisations syndicales représentatives de Radio France, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.
durée : 00:29:44 - Les Pieds sur terre - En raison d'un appel à la grève déposé par l'ensemble des organisations syndicales représentatives de Radio France, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.
durée : 00:29:12 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - En raison d'un appel à la grève déposé par les organisations syndicales CGT et SUD de Radio France contre la politique d'austérité et le projet budgétaire, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.
durée : 00:34:02 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund - En raison d'un appel à la grève déposé par les organisations syndicales CGT et SUD de Radio France contre la politique d'austérité et le projet budgétaire, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.