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Certaines figures s'expriment si bien dans la maturité qu'on finirait par oublier qu'elles ont eu une enfance : celle de Catherine de Médicis n'a pas été de tout repos. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet été, Les Sens de la Danse vous ouvre son carnet de voyage en Best Of.Suspendu entre science et pole dance, Jemi Van Dijk nous entraîne dans un « laboratoire de mouvement » où la gravité devient complice, la rigueur se métamorphose en grâce et chaque figure raconte une histoire.Professeur agrégé de physique, circassien et champion de France de pole sport, il explore un territoire où l'art rencontre la discipline, où la précision se conjugue avec l'abandon.Dans cet extrait, il revient sur un instant-charnière : un simple cadeau d'anniversaire qui l'a mené à la pole dance. Depuis, il apprivoise la verticalité, maîtrise la rotation, et trouve dans chaque suspension une forme de renaissance.Ses mots résonnent comme une invitation à défier l'apesanteur, à écouter le corps, et à redécouvrir la joie pure du mouvement.
Le ton ne cesse de monter entre Paris et Alger. Avant-hier, Emmanuel Macron annonçait sa décision de suspendre l'accord de 2013, qui exempte de visa les détenteurs de passeport diplomatique. Hier, nous dit TSA, Tout sur l'Algérie, Alger a répliqué en « convoquant le chargé d'affaires de l'ambassade de France à Alger », et en annonçant « que les Français titulaires de passeports diplomatiques et de service, devront (eux aussi) obtenir un visa pour se rendre en Algérie ». Mais ce n'est pas tout, comme l'explique El Watan. Les autorités algériennes ont également décidé « de mettre fin à la mise à disposition, à titres grâcieux, de biens immobiliers appartenant à l'État algérien au profit de l'ambassade de France en Algérie ». ObservAlgérie de son côté, titre : « Passeports diplomatiques et officiels : l'Algérie répond à la France » et souligne « que les relations diplomatiques entre l'Algérie et la France connaissent une tension croissante », rappelant par ailleurs « que cette décision survient dans un contexte de relations déjà tendues, marquées par des divergences sur la gestion des questions migratoires et les droits des ressortissants algériens en France ». Le Matin d'Algérie, lui, évoque « un nouvel épisode dans l'escalade d'une relation bilatérale marquée par la défiance et la volonté algérienne d'imposer une stricte réciprocité ». Enfin, Algérie Patriotique annonce « que les deux premières mesures tombent, en réaction à la nouvelle provocation de la France ». Ton offensif Au Cameroun, l'opposant Maurice Kamto dénonce le rejet de sa candidature à l'élection présidentielle. « C'est la réaction du chef du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, à l'invalidation de sa candidature à l'élection présidentielle d'octobre prochain », nous explique l'agence de presse africaine APAnews, qui précise : « dans une déclaration au ton offensif, l'opposant accuse le régime du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais, le RDPC, d'avoir « sciemment orchestré », son exclusion du scrutin ». « La décision de m'écarter de l'élection présidentielle de 2025, a été prise de longue date par le régime RDPC », accuse encore Maurice Kamto, « qui s'en prend aussi à la communauté internationale, en particulier à l'ONU qu'il accuse d'avoir signé un accord secret avec Elecam, le conseil électoral d'élections Cameroon, le 9 mai dernier, pour (dit-il) prétendument garantir la transparence de l'élection ». Et l'opposant ne baisse pas les bras. Actu Cameroun reprend ses derniers mots : « mes chers compatriotes, je suis debout et resterai à vos côtés ». Relations au beau fixe À lire également dans la presse africaine ce matin, le voyage en Turquie du Premier ministre sénégalais. Dakar Actu publie la photo d'Ousmane Sonko, serrant la main du président turc Recep Tayep Erdogan. Sénégo publie une autre photo des deux hommes assis et regardant l'objectif. De quoi les deux dirigeants ont-ils parlé ? Selon Africa News « ils ont signé quatre accords, dans les domaines de la défense, des médias et de l'éducation », « à l'entame d'une visite de cinq jours que le Premier ministre sénégalais effectue en Turquie ». Les relations entre la Turquie et le Sénégal semblent au beau fixe : Sénégo souligne qu'Ousmane Sonko devait être hier soir « l'invité d'un dîner officiel « organisé en son honneur », « un geste protocolaire, symbole de respect et d'amitié entre les deux nations ». Sur le fond, les problèmes financiers du Sénégal ont été abordés selon Sénéweb, qui titre : « ce que Sonko a demandé au président Erdogan ». C'est de « notoriété publique », souligne le site d'information, « l'État du Sénégal traverse actuellement une situation financière extrêmement délicate (…) ce jeudi, en Turquie, il n'a pas hésité à soumettre la question au président Erdogan, il l'a invité à davantage appuyer le Sénégal, notamment dans le déroulement de son plan de redressement ». Dernier point : les deux hommes ont évoqué la situation à Gaza, précise Dakar Actu, « exprimant ensemble leur indignation et condamnant le génocide qui se déroule en Palestine ».
Le ton ne cesse de monter entre Paris et Alger. Avant-hier, Emmanuel Macron annonçait sa décision de suspendre l'accord de 2013, qui exempte de visa les détenteurs de passeport diplomatique. Hier, nous dit TSA, Tout sur l'Algérie, Alger a répliqué en « convoquant le chargé d'affaires de l'ambassade de France à Alger », et en annonçant « que les Français titulaires de passeports diplomatiques et de service, devront (eux aussi) obtenir un visa pour se rendre en Algérie ». Mais ce n'est pas tout, comme l'explique El Watan. Les autorités algériennes ont également décidé « de mettre fin à la mise à disposition, à titres grâcieux, de biens immobiliers appartenant à l'État algérien au profit de l'ambassade de France en Algérie ». ObservAlgérie de son côté, titre : « Passeports diplomatiques et officiels : l'Algérie répond à la France » et souligne « que les relations diplomatiques entre l'Algérie et la France connaissent une tension croissante », rappelant par ailleurs « que cette décision survient dans un contexte de relations déjà tendues, marquées par des divergences sur la gestion des questions migratoires et les droits des ressortissants algériens en France ». Le Matin d'Algérie, lui, évoque « un nouvel épisode dans l'escalade d'une relation bilatérale marquée par la défiance et la volonté algérienne d'imposer une stricte réciprocité ». Enfin, Algérie Patriotique annonce « que les deux premières mesures tombent, en réaction à la nouvelle provocation de la France ». Ton offensif Au Cameroun, l'opposant Maurice Kamto dénonce le rejet de sa candidature à l'élection présidentielle. « C'est la réaction du chef du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, à l'invalidation de sa candidature à l'élection présidentielle d'octobre prochain », nous explique l'agence de presse africaine APAnews, qui précise : « dans une déclaration au ton offensif, l'opposant accuse le régime du Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais, le RDPC, d'avoir « sciemment orchestré », son exclusion du scrutin ». « La décision de m'écarter de l'élection présidentielle de 2025, a été prise de longue date par le régime RDPC », accuse encore Maurice Kamto, « qui s'en prend aussi à la communauté internationale, en particulier à l'ONU qu'il accuse d'avoir signé un accord secret avec Elecam, le conseil électoral d'élections Cameroon, le 9 mai dernier, pour (dit-il) prétendument garantir la transparence de l'élection ». Et l'opposant ne baisse pas les bras. Actu Cameroun reprend ses derniers mots : « mes chers compatriotes, je suis debout et resterai à vos côtés ». Relations au beau fixe À lire également dans la presse africaine ce matin, le voyage en Turquie du Premier ministre sénégalais. Dakar Actu publie la photo d'Ousmane Sonko, serrant la main du président turc Recep Tayep Erdogan. Sénégo publie une autre photo des deux hommes assis et regardant l'objectif. De quoi les deux dirigeants ont-ils parlé ? Selon Africa News « ils ont signé quatre accords, dans les domaines de la défense, des médias et de l'éducation », « à l'entame d'une visite de cinq jours que le Premier ministre sénégalais effectue en Turquie ». Les relations entre la Turquie et le Sénégal semblent au beau fixe : Sénégo souligne qu'Ousmane Sonko devait être hier soir « l'invité d'un dîner officiel « organisé en son honneur », « un geste protocolaire, symbole de respect et d'amitié entre les deux nations ». Sur le fond, les problèmes financiers du Sénégal ont été abordés selon Sénéweb, qui titre : « ce que Sonko a demandé au président Erdogan ». C'est de « notoriété publique », souligne le site d'information, « l'État du Sénégal traverse actuellement une situation financière extrêmement délicate (…) ce jeudi, en Turquie, il n'a pas hésité à soumettre la question au président Erdogan, il l'a invité à davantage appuyer le Sénégal, notamment dans le déroulement de son plan de redressement ». Dernier point : les deux hommes ont évoqué la situation à Gaza, précise Dakar Actu, « exprimant ensemble leur indignation et condamnant le génocide qui se déroule en Palestine ».
Réservez votre place pour la seconde édition de M - le sommet du corps en conscience qui se déroulera du 16 au 19 octobre 2025 !Cette semaine, j'accueille Tobi Portella, kinésithérapeute berlinois, praticien et enseignant de Fighting Monkey. Tobi a un parcours unique, depuis son passé d'activiste politique et de mécatronicien jusqu'à sa vocation actuelle de thérapeute. Il accompagne ses patients souffrant de douleurs chroniques ou de maladies neurologiques comme Parkinson et la démence.Il nous partage sa vision évolutive de la physiothérapie, initialement influencée par l'ostéopathie passive, transformée par sa rencontre avec la Fighting Monkey – une approche de mouvement qui est une « pratique » plutôt qu'une « méthode ». Comment cette pratique, exigeante, mais profondément transformatrice, s'applique à sa thérapie ?Qu'est-ce que le concept de la plasticité neuronale ?Comment le mouvement est crucial pour le développement et la fonction du cerveau ?Un échange riche sur l'importance de l'adaptation, la remise en question des idées préconçues, et comment la pratique du mouvement aide Tobi à naviguer le chaos du quotidien berlinois avec sérénité. 3 mots pour résumer notre conversation : le mouvement, l'apprentissage et la résilience !Si le sujet vous intéresse, je vous recommande un précédent épisode sur le Fighting Monkey avec Natalia.Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
« Maurice Kamto perd devant le Conseil constitutionnel », constate le Journal du Cameroun. « La décision définitive et irrévocable tant redoutée par une bonne partie de l'opinion est tombée. Le Conseil constitutionnel a (donc) rejeté la candidature de l'opposant au terme d'une audience qui s'est déroulée avant-hier et dont le délibéré a été renvoyé à hier mardi. L'élection présidentielle du 12 octobre 2025 se fera sans Maurice Kamto, ancien président national du Mouvement pour la renaissance du Cameroun, militant du Manidem (et qui était en seconde position lors de la dernière présidentielle). Il a été déclaré non fondé dans sa requête ». « La candidature de l'opposant avait été écartée, le 26 juillet, rappelle Le Monde Afrique, par EleCam, Elections Cameroon, l'organe chargé de l'organisation des élections, en raison d'une "pluralité d'investitures" du Manidem. En effet, un ancien militant de cette formation avait également soumis une candidature. Maurice Kamto avait alors déposé un recours devant le Conseil constitutionnel, le 28 juillet, pour contester sa disqualification de la liste provisoire des candidats retenus à l'élection présidentielle du 12 octobre ». Peine perdue… Place nette… Pour Le Pays à Ouagadougou, c'est clair : « le Conseil constitutionnel n'a fait qu'exprimer la volonté du prince régnant… En l'occurrence, Paul Biya qui, n'étant pas sûr de son fait, ne veut pas prendre de risques. Tirant leçon de la dernière présidentielle, il préfère faire place nette en écartant toute candidature gênante comme celle de Maurice Kamto qui, on le sait, ne compte pas pour du beurre. En fait, ce qui se passe au Cameroun s'inscrit dans l'ordre normal des choses, affirme encore Le Pays. Il n'y a rien d'étonnant. Il fallait, du reste, faire montre de naïveté pour croire que le locataire du palais d'Etoudi donnerait la moindre chance à son principal challenger qui, en 2018, lui avait taillé des croupières. Et pour ce faire, il pouvait compter sur des juges acquis à sa cause pour faire le sale boulot ». Copie conforme… « Quelle saveur aura une telle élection sans Kamto ? », s'interroge pour sa part Aujourd'hui, toujours à Ouaga. « Bien qu'il faille compter avec tous les ténors d'une opposition pugnace, mais divisée, le jeu est déjà joué avec Biya et son rouleau compresseur électoral, le RDPC ! En effet, poursuit le quotidien burkinabé, la carte électorale camerounaise montre que si l'opposition a du répondant, les leaders sont des barons de fiefs, mais sans envergure nationale. (…) C'est dire que cette décision du Conseil constitutionnel inhibe le caractère inclusif du scrutin, enlève donc sa représentativité et cela devrait se ressentir dans le taux de participation. Kamto était arrivé second à la dernière présidentielle. Il aurait préféré endosser le semblant de maillot du Poulidor camerounais plutôt que d'être absent. Cette présidentielle, conclut Aujourd'hui, risque d'être donc une copie conforme des précédentes : sans enjeu… Après Biya c'est Biya forever ! » « Votons massivement le 12 octobre ! » Et puis quelques réactions de sympathisants de l'opposition à lire sur le site Actu Cameroun : « en politique tout est possible, affirme l'un d'eux, et des cas à travers le monde (Nelson Mandela en Afrique du Sud, Alassane Ouattara en Côte d'Ivoire, Uhuru Kenyatta au Kenya, Ousmane Sonko au Sénégal, etc.) montrent que l'on peut être victime d'une injustice et devenir président de la République. Le peuple souverain reste maître en démocratie. Vérifions notre inscription sur les listes électorales et votons massivement le 12 octobre ». Autre réaction : « nous qui voulions le changement incarné par Maurice Kamto, nous venons de perdre une bataille, mais pas la guerre. Dès demain, Kamto, Anicet et Nitcheu, avec le candidat le plus à même de nous débarrasser du clan Biya, doivent se mettre ensemble et nous donner des consignes : l'objectif ultime est encore à portée de mains ». Enfin, cette dernière réaction : « Kamto fait peur à ce régime qui a mis des stratagèmes de type mafieux pour écarter sa candidature. On a eu le sentiment hier au Conseil constitutionnel que les juges étaient impatients de l'écarter. Mais comme le dit Maurice Kamto lui-même : "le jour finit toujours par se lever" ».
Canal Momentum : https://mailchi.mp/dividendeclub/pdv_canalmomentum
À 22 ans, Verónica Christiny décide de tout quitter pour partir apprendre la salsa caleña à Cali, en Colombie.Seule, sans plan B, elle débarque dans une ville inconnue pour suivre un rêve né… d'une simple cassette VHS.Dans ce Best of, elle raconte ses premiers jours sur place : le choc culturel, la solitude, les peurs…Mais aussi sa rencontre déterminante avec ses professeurs, Viviana et Diego,et cette force intérieure qui ne l'a jamais quittée.Un extrait brut, intime et inspirant — qui dit tout du pouvoir du mouvement quand il devient une boussole.
Ils sont cinq, Océane, Nikki, Marion, Lola et Amina, chacune a terminé son année dans une école dʹart, elles évoquent leur parcours de jeunes pousses créatives, leurs projets dʹété et dʹavenir à Florence Grivel, elles partagent aussi une prescription culturelle à voir pendant la belle saison. Amina a obtenu son master en arts visuels, CCC (Critical Curatorial Cybermedia - Pratiques curatoriales et de recherche), son été sera dédié à la préparation dʹexpositions et recherche de stages et de résidences. Sa prescription culturelle. Lʹexposition collective en plein air (à laquelle elle participe) "Mouvement", à Rossinière, jusquʹau 7 septembre 2025.
La colère, la tristesse, l'injustice… et puis, l'élan.Quand mon fils s'est vu refuser ses aménagements d'examen, j'ai craqué. J'ai partagé.Ce cri du cœur est devenu un cri collectif.Des centaines de témoignages. Une prise de conscience. Et la naissance du collectif Kiffe l'école.
Cette semaine, je vous dévoile tout sur M le Sommet ! Cet événement unique en France et dans le monde francophone, est le seul sommet en ligne entièrement dédié à l'embodiment, au travail somatique et au corps en conscience.Cette deuxième édition, qui se déroule du 16 au 19 octobre, rassemble des spécialistes renommés – de la neuroscience au yoga somatique, en passant par les fascias, le Pilate exploration, et bien d'autres disciplines. Vous y découvrirez des experts, tels que Camille Allène (neurosciences et trauma), Marc Walsh (leader mondial de l'embodiment), ou encore Tom Duquesnoy (ancien combattant de MMA réorienté vers la relaxation profonde).Ils partageront des principes transversaux pour vous aider à mieux saisir les clés du bien-être dans tous les aspects de votre vie.Que vous soyez un pratiquant aguerri, un professionnel du mouvement, ou simplement curieux de mieux habiter votre corps et votre esprit, vous découvrirez des ressources précieuses et à une communauté d'experts et de passionnés.Si vous n'avez pas la disponibilité pour les lives, tout le contenu est accessible en replay ! Alors, rendez-vous sur m-sommet.com pour plus d'informations.Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aucun groupe de ce nom n'existe, mais la justice russe a interdit le « mouvement international sataniste » mercredi 23 juillet. Une décision qui dissimule une propagande bien établie du Kremlin… Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est un direct sur une présentation et un bilan de M le Sommet, le premier sommet francophone sur l'embodiment et le travail corporel en conscience.Avec Yaëlle Penkhoss, nous étions en live sur Instagram pour faire le bilan de l'édition 2024 et partager le programme de l'édition 2025.Bilan de l'édition 2024 :L'édition 2024 a été une fierté et une expérience positive pour les participants et les intervenants, malgré beaucoup de travail.La structure du sommet comprenait des conférences, des tables rondes et des pratiques, un équilibre que les organisateurs ont apprécié et qu'ils maintiendront pour l'année suivante.Le sommet a réussi à fédérer des intervenants de renom national et international.Les replays de l'édition 2024 sont encore disponibles sur le site m-sommet.com pour ceux qui souhaitent en bénéficier.Définition de l'Embodiment et des Somatics :Le sommet a élargi son sous-titre pour inclure "Embodiment et Somatics".Le terme Somatics fait référence à l'écoute de ce qui se passe à l'intérieur du corps, sans recherche esthétique ou de performance. C'est une exploration de ce que l'on perçoit de soi à travers la pratique, tant sur les plans physique, émotionnel que psychologique, et également relationnel.L'Embodiment est une façon de se mettre en lien avec son corps, qui est l'expression la plus concrète de l'être. C'est une manière de développer des qualités et a une dimension d'application plus pratique et relationnelle, reconnaissant que nous sommes des êtres de relation. Il vise une interaction consciente avec l'environnement et autrui. Ces approches ne sont pas nouvelles, avec des techniques existantes depuis près de 100 ans.Intention du Sommet :Notre objectif principal est le partage, la curiosité et la transmission de connaissances.Nous souhaitons faire connaître le travail du corps en conscience et ses bénéfices, particulièrement en France où il y a encore de la méfiance.Nous sommes convaincus que ce qui est appris via ces pratiques corporelles peut être transféré dans la vie de tous les jours.Le sommet vise à mettre en lien et à faire connaître au public francophone des personnes qui effectuent ce travail de différentes manières, depuis longtemps, en s'appuyant sur diverses expériences.Annonce de l'édition 2025 :Le prochain sommet aura lieu du 16 au 19 octobre 2025.La structure restera similaire avec des conférences, tables rondes et pratiques.Une belle affiche d'invités est déjà confirmée, incluant des noms connus du public et de nouvelles figures.D'autres noms seront révélés progressivement.Rendez-vous sur le site immédiatement pour retrouver toutes les informations récentes !Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La liste des 13 candidats retenus par Élections Cameroun, en vue de la présidentielle du 12 octobre prochain est désormais connue. Une liste où ne figure pas Maurice Kamto, qui se présentait sous la bannière du Mouvement africain pour la nouvelle indépendance et la démocratie, le Manidem. Les candidats recalés ont 48 heures pour saisir le Conseil constitutionnel, qui va trancher en dernier ressort dans un délai de 10 jours.
durée : 02:01:48 - Les Nuits de France Culture - par : Lydia Ben Ytzhak - "En plantant des arbres, nous semons des graines de paix", déclare Wangari Maathai, première Africaine lauréate du prix Nobel de la paix. Fondatrice du Mouvement de la ceinture verte, elle lutte pour l'environnement et contre la pauvreté. En 2004, Radio Libre retrace son parcours et son engagement. - réalisation : Mydia Portis-Guérin - invités : Wangari Maathaï
durée : 00:58:27 - Le Cours de l'histoire - par : Xavier Mauduit, Maïwenn Guiziou - Le Moyen Âge éthiopien s'étend du IVe au XVIe siècle. Dans ce temps long, la ville d'Aksoum occupe une place importante. Comment faire l'histoire de cette cité par laquelle le christianisme est arrivé en Éthiopie ? Comment fonctionne le monachisme éthiopien, et quels sont ses liens avec l'Égypte ? - réalisation : Thomas Beau, Sam Baquiast - invités : Martina Ambu Docteure en histoire de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, chercheuse post-doc dans le cadre du Fonds National de la Recherche Scientifique à l'Université Libre de Bruxelles; Anaïs Wion Historienne, chargée de recherche CNRS à l'Institut des Mondes Africains, spécialiste de l'Éthiopie chrétienne du XVe au XIXe siècles
durée : 00:21:48 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Avec Claire Thoury, sociologue et présidente du Mouvement associatif depuis 2021, et Christophe Robert, sociologue et délégué général de la Fondation pour le Logement des Défavorisés. - invités : Claire Thoury, Christophe ROBERT - Claire Thoury : Sociologue, présidente du Mouvement associatif, Christophe Robert : Délégué général de la Fondation Abbé Pierre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 24 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:21:48 - L'invité de 8h20 : le grand entretien - par : Simon Le Baron - Avec Claire Thoury, sociologue et présidente du Mouvement associatif depuis 2021, et Christophe Robert, sociologue et délégué général de la Fondation pour le Logement des Défavorisés. - invités : Claire Thoury, Christophe ROBERT - Claire Thoury : Sociologue, présidente du Mouvement associatif, Christophe Robert : Délégué général de la Fondation Abbé Pierre Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette semaine, j'accueille Juliette de Cointet, professeure de yoga et de méditation, avec l'objectif d'approfondir le sujet de la méditation engagée. Loin d'une pratique hors sol, Juliette nous invite à explorer comment le soin de soi peut nourrir notre bien-être collectif et nous aider à répondre aux enjeux urgents de notre temps, qu'ils soient climatiques, politiques ou sociaux.Depuis ses débuts classiques dans le yoga postural jusqu'à la découverte d'une dimension philosophique et éthique profonde que la mode du yoga masque souvent, Juliette retrace son parcours. Comment sa rencontre avec le Zaazen, cette forme de méditation minimaliste issue du bouddhisme, et l'enseignement de Michael Stone, l'ont guidée vers le bouddhisme socialement engagé. Inspirée par des figures comme Dogen et Bernie Glassman, Juliette met en lumière la nécessité d'une pratique qui ne sépare pas l'individu du monde, mais voit la pratique comme chaque instant, chaque interaction de notre être au monde.Ce que vous allez découvrir dans notre échange :L'intégration de la philosophie et du corps : Comment Juliette tisse la philosophie du yoga et les huit branches de Patanjali (Yamas, Niyamas, Asana, Pranayama, Pratyahara, Dharana, Dhyana, Samadhi) avec la pratique somatique, transformant chaque posture en une exploration de concepts profonds comme la non-violence, l'intégrité ou la non-réaction. Elle vous montrera que le tapis de yoga est un "microcosme" de notre être au monde.Une vision nuancée de l'éveil (Samadhi) : Loin de l'idée d'un état figé ou d'une hiérarchie spirituelle, l'épisode explore l'éveil comme une capacité à cultiver sans cesse, une présence radicale et constamment renouvelée face à l'impermanence de la vie. Il s'agit d'une foi éclairée qui vient de l'expérience, nous libérant de nos conditionnements et nous invitant à ouvrir d'autres voies d'être au monde.Le Zen, une pratique dépouillée et immédiate : Appréhendez la philosophie zen comme une technique minimaliste centrée sur la respiration et les cinq sens, conçue pour nous confronter à nous-mêmes sans béquilles. Découvrez pourquoi cette approche directe est essentielle pour développer un calme incarné et une capacité à agir avec sang-froid face aux difficultés du quotidien.L'engagement de notre attention est politique : Juliette explique pourquoi sa méditation est "engagée". Ce n'est pas une pratique partisane, mais une invitation à observer les réalités du monde et à chercher des solutions collectives. Elle dialogue entre les concepts millénaires du yoga et les analyses de sociologues ou écologistes contemporains, pour un éclairage croisé et pertinent.La tradition comme ressource : Découvrez comment Juliette s'appuie sur la richesse de la tradition zen et yogique non pas comme un dogme, mais comme une source d'étude permanente et d'approfondissement, vous encourageant à cultiver vos propres compréhensions.C'est une invitation à élargir vos réponses face aux contradictions du monde et à ancrer votre pratique dans une démarche authentique et transformatrice...Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:59:52 - Le 6/9 - Au programme du 6/9 ce matin : Princia Car réalisatrice pour son premier long métrage “Les filles désir”. Et à 8h20, les difficultés du monde associatif avec Claire Thoury, présidente du Mouvement associatif et Christophe Robert délégué général de la fondation pour le Logement des défavorisés. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Épisode critique en public – Festival d'Avignon 2025 Qu'est-ce que la critique peut encore ? Peut-elle créer, interroger, résister ? Peut-elle – par sa parole même – devenir espace ? C'est avec ces questions en tête que nous avons réuni trois voix critiques à l'occasion de ce nouvel épisode du Beau Bizarre, enregistré en public depuis la calade de la Maison Jean Vilar, au cœur du Festival d'Avignon. Une table ronde généreuse, pensée comme un espace de résonance, d'écoute et de friction. À mes côtés : – Belinda Mathieu, critique spécialisée en danse contemporaine (Télérama, Mouvement, Sceneweb) – Samuel Gleyze-Esteban, journaliste pour L'Humanité – Caroline Châtelet, plume engagée pour Frictions, Jeu, Théâtre(s) et Sceneweb Trois regards, trois sensibilités, un même désir d'arpenter ce territoire mouvant qu'est l'expérience scénique. Nous ouvrons la discussion avec des archives critiques d'Oscar Wilde et de Marcel Pagnol, pour poser les termes du débat : la critique est-elle une forme de création ? Peut-elle elle-même être soumise à l'épreuve du regard ? Puis, nous entrons dans le vif du festival avec trois propositions chorégraphiques puissantes, contrastées, profondément politiques : NÔT de Marlène Monteiro Freitas – une ouverture vertigineuse dans la Cour d'honneur, où le corps devient flux, rituel et excès. When I saw the Sea d'Ali Chahrour – un chœur de femmes rescapées du système Kafala, pour une scène habitée par le témoignage, la douleur et la dignité. Turn On de Soraya Leila Emery – un manifeste chorégraphique sur le plaisir féminin comme force ambiguë, sensuelle et décoloniale. À travers ces œuvres, nous interrogeons : – Ce que le rituel fait à la dramaturgie – Comment le politique peut traverser le sensible – Et comment la critique, en miroir, peut devenir expérience partagée Un épisode comme un essai polyphonique : à la fois lecture, analyse et trace. En public, Maison Jean Vilar, juillet 2025. Avec le soutien technique de L'Écho des Planches Suivez nous sur les réseaux, abonnez vous sur les plateformes d'écoute ! Facebook Linkedin Instagram
Le pays gouverné par le président autoritaire Nayib Bukele a vu son taux de criminalité chuter drastiquement ces dernières années. Mais au prix du sacrifice des droits fondamentaux de sa population. Les autorités du Salvador en sont fières : selon leurs chiffres, le pays serait devenu l'un des plus sûrs de la planète, avec un taux d'homicide de 1,6 pour 100 000 habitants, contre 105 il y a 10 ans. Les Salvadoriens ne sont plus à la merci des gangs qui terrorisaient le pays. Le prix à payer a un nom : l'état d'urgence, imposé par le président Nayib Bukele, et qui permet aux policiers de passer outre les lois. Résultat : 1,5% de la population est emprisonnée, souvent sans procès. Les victimes de ces arrestations arbitraires témoignent à notre correspondante dans la région, Alice Campaignolle. En Haïti, l'ancien candidat à la présidentielle, Pierre Réginald Boulos, inculpé aux États-Unis. L'homme d'affaires a été arrêté le 17 juillet et les autorités américaines viennent de signifier les charges qui sont retenues contre Pierre Réginald Boulos, explique Alterpresse. Les autorités américaines reprochent notamment à Pierre Réginald Boulos d'avoir mené « une campagne de soutien aux gangs armés » et de ne pas avoir révélé, dans sa demande de résidence permanente, son rôle dans la fondation d'un parti politique haïtien – le Mouvement pour la Transformation et la Valorisation d'Haïti (MtvAyiti) – ni le fait qu'il avait été référé pour poursuite par l'Unité de lutte contre la corruption (Ulcc) en Haïti pour usage abusif de prêts. Aux États-Unis, les arrestations de migrants illégaux ont explosé, mais pas les expulsions. Donald Trump avait promis d'expulser un million de clandestins en un an, il en est très loin. Depuis février, l'administration de Donald Trump a expulsé environ 15 000 migrants illégaux des États-Unis, soit trois fois moins que Barack Obama lors d'une campagne similaire. « Trump privilégie le spectacle méchant des arrestations à l'efficacité des expulsions », analyse le chroniqueur Fareed Zakarias dans le Washington Post. La procédure est inefficace car elle est « chaotique », dit-il, sans aucune coordination entre les autorités pour permettre ces renvois. Et cela se retourne contre lui : un sondage montre que seuls 40% des Américains approuve sa politique anti-immigration aujourd'hui, soit une baisse de quinze points en six mois. Ceci, car elle est trop cruelle et perturbe l'économie. Encore plus surprenant : le soutien envers les clandestins monte en flèche, même chez les républicains, relève Fareed Zakarias, qui conclut d'un pied de nez : sur le thème de l'immigration, Donald Trump a réussi à favoriser les partis de gauche. Le président américain toujours aussi allergique aux critiques des médias. Le Wall Street Journal a publié la semaine dernière la lettre très « amicale » de Donald Trump à Jeffrey Epstein, l'homme d'affaires défunt, accusé pour crimes sexuels. Le président, furieux, a d'abord lancé des poursuites contre le média en justice, et demande une réparation de dix milliards de dollars. Il a ensuite annoncé que les journalistes du quotidien d'affaires sont exclus de son prochain voyage en Écosse. Cette sanction étant directement liée à la publication, selon la Maison Blanche. « Les médias sont l'ennemi préféré de Donald Trump », analyse le New York Times. Le problème est que ses attaques sont bien mieux préparées et plus efficaces que lors de son premier mandat. Les pressions sont financières, judiciaires et opérationnelles, comme dans ce cas du Wall Street Journal, et les médias se couchent : ils passent des accords avant les procès ou renvoient un humoriste critique, comme ce fut le cas la semaine dernière pour Stephen Colbert, sur ABC. Ce qui est intéressant toutefois, c'est que Donald Trump s'attaque maintenant au Walt Street Journal, détenu par Rupert Murdoch, un conservateur auparavant proche du président. Qui lui, n'a pas pour l'instant prévu de se laisser faire. Au Brésil, l'ancien président Jair Bolsonaro sous la menace d'emprisonnement. Jair Bolsonaro, en procès pour tentative de coup d'État, a reçu l'obligation de porter un bracelet électronique vendredi dernier. Une mesure qui l'a révolté, et il s'en est plaint devant les médias : « Je suis innocent, et je ne crois que dans la loi de Dieu ! », a-t-il lancé en exhibant sa cheville. Cette scène a ensuite été diffusée par la famille et les alliés de Jair Bolsonaro sur le compte de réseau social de l'ancien président. Or, le tribunal lui a interdit l'utilisation de ces réseaux, et le menace donc d'emprisonnement immédiat. Les avis sont réservés dans la presse brésilienne quant à cette possible sanction: le Folha de Sao Paulo analyse d'abord que l'ordonnance du juge Moraes est ambiguë sur les personnes tenues au silence: « Cette ambiguïté pose un problème d'autocensure », estime un professeur de droit cité. Alors qu'une association de journalistes déplore que cela puisse empêcher la diffusion d'interviews d'intérêt public. Dans le quotidien O Globo, un juriste estime aussi que l'ancien président ne peut être tenu responsable de la diffusion d'une « interview qu'il donne, car il n'a pas de contrôle dessus ». Au Chili, les chèvres protègent contre les incendies. La correspondante d'El Pais nous emmène dans la campagne de Biobio, a 500 kilomètres de Santiago, où des bergers se sont alliés avec des ingénieurs du MIT pour que leurs chèvres débroussaillent efficacement les plaines, et protègent mieux cette campagne contre les incendies. Car les chèvres adorent les broussailles inflammables. L'équipe a donc installé des colliers GPS sur les 250 chèvres, afin de mieux contrôler où elles broutent, et couvrir les zones les plus à risque. Et cette mesure de prévention a été très efficace : ce terrain a été l'un des mieux préservés contre les énormes incendies de 2023, qui ont tué six personnes. Les chèvres peuvent donc sauver des vies.
durée : 00:04:21 - L'invité de "ici Maine" - L'année blanche avancée par le Premier ministre François Bayrou pour faire des économies dans le budget 2026 va pousser de nombreux séniors sarthois dans la pauvreté, selon le président de Génération Mouvement en Sarthe, invité d'ICI Maine ce mardi. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
« Jour de vote sous haute surveillance dans un climat calme, mais tendu », titre Ici Lomé. « Le pays ayant connu en juin une vague de manifestations réclamant le départ de Faure Gnassingbé, dont la famille règne depuis près de soixante ans sur le pays », poursuit le journal. Les Togolais étaient appelés aux urnes pour élire 1527 conseillers municipaux dans 117 communes. Jeudi, dans les rues, « les boutiques étaient ouvertes, les marchés animés (…), les activités économiques ne semblaient pas perturbées par le scrutin ». Aucune tension non plus dans les « anciens bastions de l'opposition », le calme ambiant contrastait avec « les appels à la mobilisation lancée par le Mouvement du 6 juin », rapporte toujours Ici Lomé. « Une ambiance sereine relevée aussi bien par les acteurs politiques que par les observateurs », note également Republic of Togo. « À Lomé comme dans d'autres centres urbains, la participation est restée timide », constate de son côté Togo Breaking News. Ce qui témoigne selon le titre d'un « désintérêt relatif ou d'un engouement discret malgré les enjeux liés à la gouvernance locale ». « La qualité d'une élection ne se mesure pas uniquement à son taux de participation, écrit Republic of Togo, mais aussi à sa transparence, sa régularité et sa capacité à refléter la volonté populaire ». Les résultats provisoires sont attendus dans les jours à venir. Au Sénégal, une page historique s'est tournée « L'armée française quitte officiellement le Sénégal », écrit Dakaractu. L'escale aéronautique militaire, située à l'aéroport et le camp Geille, ont été restitués aux autorités sénégalaises. « Le transfert de ce camp, haut lieu de la coopération franco-sénégalaise marque la fin de la dernière base militaire permanente dans le pays ». Un événement « chargé de symboles », poursuit le titre. Mais « derrière les discours protocolaires transparait une vérité amère : la France quitte l'Afrique de l'Ouest sous pression, contrainte d'admettre que sa présence militaire n'est plus la bienvenue », poursuit Dakaractu. « Ce retrait est bien plus qu'une simple reconfiguration militaire, analyse Afrik.com, il scelle la fin d'une époque où la France conservait un ancrage stratégique au cœur de l'Afrique de l'Ouest... Pour les autorités sénégalaises, c'est un acte de souveraineté retrouvé ; pour Paris, une volonté affichée de faire évoluer son rôle sur le continent ». « Il ne s'agit pas d'une rupture à l'image de celle intervenue dans l'espace de l'Alliance des États du Sahel » avec le Mali, le Burkina Faso et le Niger, pointe Aujourd'hui au Faso mais « ce départ voulu par les nouveaux dirigeants sénégalais va ouvrir la voie à un nouveau paradigme dans la coopération entre l'ancienne puissance coloniale et ses ex-colonies bien qu'il s'agisse d'un "partenariat rénové" comme l'a souhaité Diomaye Faye ». C'est aussi ce que retient à Paris Le Monde Afrique, « contrairement aux retraits français dans les autres pays du Sahel, ce départ se fait sans rupture entre les deux États ». Les ministres des Finances du G20 en Afrique du Sud « Les pays du Sud global plaident pour une réduction des inégalités », titre Africanews. « Les nations africaines appellent au changement. Les coûts d'emprunt élevés continuent de décourager les investissements et d'étouffer les dépenses publiques dans les domaines de la santé, de l'éducation et des programmes d'infrastructures », rapporte le site internet. « L'Afrique du Sud, qui préside le G20 cette année, a mis l'accent sur la nécessité d'aborder les causes profondes des inégalités économiques mondiales », note Afrik.com. Mais le pays doit composer avec un « contexte tendu, aggravé par les tensions avec les États-Unis », pointe Africaradio. Le secrétaire américain au Trésor, « Scott Bessent était absent, tout comme Marco Rubio, secrétaire d'État, lors des précédentes réunions (…) ce qui fragilise la coordination multilatérale à quelques mois du sommet des chefs d'État prévu à Johannesburg les 22 et 23 novembre.
Avec : Denis Gravouil, secrétaire confédéral de la CGT. - Tous les matins à 7h40, l'invité qui fait l'actualité. Un acteur incontournable, un expert renseigné... 10 minutes d'interview sans concession avec Matthieu Belliard et les témoignages des auditeurs de RMC au 3216.
Les Togolais sont appelés à renouveler leurs 1527 conseillers municipaux ce jeudi, mais l'attention est surtout concentrée sur le désormais nommé « Mouvement du 6-Juin » : il a appelé à la mobilisation, aujourd'hui et demain. C'est le dernier rendez-vous en date, rappelle Le Monde Afrique, d'un « mouvement de contestation qui, depuis début juin, défie le pouvoir de Faure Gnassingbé, » articulé autour du rappeur Aamron devenu « la figure de proue » de ce phénomène après avoir appelé à manifester puis avoir été interpellé dans la foulée. Désormais, détaille le Monde, les manifestants « dénoncent pêle-mêle l'arrestation du rappeur et d'autres personnalités critiques, la hausse du coût de la vie (en particulier de l'électricité), et surtout, la récente réforme constitutionnelle » grâce à laquelle Faure Gnassingbé, en lieu et place de président de la République, est devenu président du conseil… « la nouvelle plus haute fonction exécutive du pays, cette fois sans limite de mandats. » Cela fait vingt ans que le chef d'État est au pouvoir – et avant cela, son père, Gnassingbé Eyadema, a dirigé le Togo de 1967 à 2005. Le pays est donc « ballotté depuis presque 60 ans par un régime de terreur de père en fils, » calcule Ici Lomé, selon qui « les différents scrutins, présidentiels, législatifs et autres, ne furent jusqu'à ce jour que de pures mascarades. » Quant aux partis d'opposition, nés dans les années 1990, poursuit le titre, ils « n'ont connu que répressions faites d'arrestations arbitraires (…) dont les auteurs (…) courent toujours. » Pour le site togolais, il n'y a donc pas d'autre issue : « il faut une révolution de grande envergure, comme des jeunes Togolais nous en donnent l'exemple aujourd'hui, pour faire partir ce régime. » À lire aussiManifestations contre Faure Gnassingbé au Togo: le gouvernement crie à la «tentative de déstabilisation» Il faut dire que les précédentes journées de mobilisation ont été marquées par des violences et les autorités se sont montrées, « impitoyables, » « comme à leur habitude, » estime Le Monde : « la société civile, rappelle le titre, accuse [les forces de l'ordre] d'être responsables de la mort de sept personnes » alors que les autorités évoquent « cinq décès "par noyade" et dénonce[nt] des "tentatives de récupération malheureuses." » Ici Lomé, de son côté, va même jusqu'à parler d'une répression « sauvage. » On craint donc, dans le pays, que les manifestations des deux prochains jours ne soient encore entachées de sang. Togo Presse note que « le gouvernement, dans ses sorties, rassure la population » avec « des dispositions prises pour garantir des élections paisibles », par exemple la fermeture des frontières. Quant au ministre de la Fonction publique Gilbert Bawara, démissionnaire, mais en charge des Affaires courantes, il défend le gouvernement de toute action disproportionnée dans les colonnes du Point Afrique : « dans un État de droit, l'ordre public doit être préservé, » martèle-t-il, et il faut « préserver absolument cet acquis, » avec « rigueur et fermeté, » tout autant qu'avec « discernement et responsabilité. » Et le ministre appelle chacun à « respecte[r] les règle du jeu démocratique. » À lire aussiTogo: au moins trois morts et des dizaines de blessés dans les manifestations contre le pouvoir Un mouvement flambant neuf Et notamment par sa « structure, sans véritable organigramme » qui, selon Le Monde Afrique, « rend ce mouvement plus difficilement contrôlable. » C'est peut-être d'ailleurs ce que lui reproche le ministre Gilbert Bawara, selon qui « ce ne sont pas des manifestations » et qui assure qu'il y a toujours « de nombreuses activités politiques » dans le pays mais « dans un esprit de respect de cadre réglementaire. » Avec des campagnes sur les réseaux sociaux, des vidéos sur différentes plateformes, et un ton plus radical, le mouvement réussit à faire ce que les partis ne faisaient plus : « mobiliser une jeunesse souvent désabusée par les acteurs politiques traditionnels, » écrit Le Monde Afrique. Ces derniers n'ont donc plus qu'à s'y faire et « tenter de trouver leur place. » Même point de vue pour Ici Lomé qui constate que cette révolution née sur le numérique est « venue prendre de court une opposition togolaise divisée, vivant au jour le jour, et dont chaque leader essaie de tirer la couverture de son côté. » Un opposant interrogé par Le Monde l'assure : « si nous convergeons vers le même objectif, alors c'est tant mieux, » et qu'importe qu' « ils [aient] leur stratégie et nous la nôtre. » Mais Ici Lomé n'y croit pas vraiment : « pour l'opposition traditionnelle, (…) il n'est pas question que des opposants invisibles, ‘non professionnels,' (…) puissent lui damer le pion, en réussissant à mobiliser. » Il faudra bien pourtant, grimace le journal, que chacun y mette du sien pour, enfin, « remettre chacun et chaque institution à sa place, pour que le Togo renaisse pour de bon. » À lire aussiManifestations contre Faure Ganssingbé au Togo: le gouvernement lance des mandats d'arrêt contre le M66
Début juillet, dans le cadre de son tour de France des bonnes idées, Sur le Fil a fait une halte en Alsace, dans le Haut Rhin, pour assister à une journée citoyenne dans le village d'Ungersheim. L'idée qui sous-tend ces journées citoyennes inventées dans l'est de la France est d'encourager les habitants à mener à bien des projets pour leur commune, ensemble. Un point de départ pour permettre aux gens de se rencontrer et de créer du lien. Cette initiative, créée en 2008, a depuis été reprise dans près de 2500 communes françaises avec succès.Et si elle fonctionne, c'est aussi parce que la France a une forte tradition d'engagement associatif. Avec plus d'1,3 million d'associations animées à 90% par de bénévoles, elle est même championne d'Europe, selon une étude commandée par la commission européenne en 2022. Mais aujourd'hui cet engagement associatif qui apparaît comme un amortisseur, voire une digue face aux mille crises que l'on traverse, vit aussi de grandes difficultés financières. Pour cet épisode nous vous proposons de participer à une journée citoyenne dans le village d'Ungersheim, avant d'écouter Claire Thoury, la présidente du Mouvement associatif.Avec Fabien Jordan, maire de Berrwiller, Jean-Claude Mensch, maire d'Ungersheim, Kenji Sakaï, maraîcher municipal, Catherine Muller, adjointe au maire, Sylvain Muller, Martine Crette membres de l'association les Joyeux Pommés.Réalisation: Michaëla Cancela-KiefferSur le Fil est le podcast quotidien de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Et si on parlait enfin de l'essentiel : quelle place accorde-t-on à l'humain dans le tourisme ?Quand on parle de tourisme durable, on évoque volontiers les voyageurs : leur empreinte carbone, leurs choix de transport, leurs comportements responsables… Mais que sait-on vraiment de celles et ceux qui font battre le cœur des territoires au quotidien ?Les professionnels du secteur, les habitants, les acteurs locaux… Tous ces visages souvent invisibles, qui accueillent, accompagnent, prennent soin, et font vivre les projets, parfois dans l'ombre.Et si le vrai sujet, en creux, c'était la santé ? La santé physique, bien sûr, mais aussi mentale, sociale, collective. Celle des individus, des équipes, des communautés.Dans cette conversation sensible et engagée, Julie Rieg, sociologue et prospectiviste, et Cécile Sellincourt, formatrice, intervenante et animatrice d'analyse de la pratique, nous partagent leurs regards croisés, leurs expériences de terrain, et leur manière bien à elles de remettre l'humain au centre du voyage.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:06 - Comme personne - Les Jeunes avec Macron fêtent ce samedi leur dixième anniversaire. À cette occasion, le mouvement de jeunesse du président de la République va changer de nom. Et bientôt de direction. Après six ans de service, Ambroise Méjean s'apprête à passer la main. - invités : Ambroise Méjean président national des Jeunes avec Macron
Invité : - Philippe Tabarot, ministre des transports. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:06 - Comme personne - Les Jeunes avec Macron fêtent ce samedi leur dixième anniversaire. À cette occasion, le mouvement de jeunesse du président de la République va changer de nom. Et bientôt de direction. Après six ans de service, Ambroise Méjean s'apprête à passer la main. - invités : Ambroise Méjean président national des Jeunes avec Macron
durée : 00:26:31 - 8h30 franceinfo - Le garde des Sceaux et ministre de la Justice était l'invité du "8h30 franceinfo", jeudi 3 juillet 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
A 10h, ce mardi 1er juillet 2025, les GG : Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, Joëlle Dago-Serry, coach de vie, et Jérôme Marty, médecin généraliste, débattent de : "Ruffin lance son mouvement".
durée : 00:00:28 - Pas d'épisode en raison d'un mouvement de grève à Radio France Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
A 10h30, ce mardi 24 juin 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Charles Consigny, avocat débattent de : Villepin lance son mouvement, prêt à voter pour lui ?
Laurent, Sylvain, et Pablo, militants tourangeaux, nous parlent, par temps de canicule – 35°C – de leurs engagements, de leurs luttes et de la fatigue militante. Nous sommes au café chez Colette, quai Paul Bert, repaire de camarades. Pas d’enfants à la rue, Kurdistan, Peuples en mouvement. Mouvement étudiant contre la LRU. Malik Oussekine. Le […] L'article La Méridienne – Militant, tout le temps ! – au café chez Colette est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
durée : 01:27:51 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda, Mathias Le Gargasson, Antoine Dhulster - Anatomie du mouvement techno, entre musique, mode de vie et danse, le phénomène techno explose en cette année 1998. Comment définir cette nouvelle culture hédoniste, revendiquée par les clubbers et ravers du monde entier ? Dans "Staccato", des musicologues, ethnologues et critiques répondent. - réalisation : Massimo Bellini - invités : Daniel Caux; Jean-Philippe Renoult; David Blot Journaliste musical, auteur de bande dessinée
[SPONSORISÉ] Et si un objet discret pouvait remettre le mouvement au cœur de nos vies ?Dans cet épisode de Génération Fab, découvrez Eveia, l'entreprise française fondée par Vincent Fourdrinier, qui révolutionne la lutte contre la sédentarité avec son pédalier connecté made in France.Eveia développe :● Un pédalier électrique connecté, discret et sans contrainte● Une technologie pensée pour bouger sans y penser tout en rechargeant ses appareils● Un produit 100 % fabriqué en France, alliant design industriel et innovation santé● Une solution durable contre la sédentarité au travailDe la création du premier prototype à la relocalisation industrielle, Vincent Fourdrinier partage son aventure :Une leçon de résilience entrepreneuriale et d'industrie locale engagée, déjà adoptée par plus de 15 000 utilisateurs dans 18 pays.Son rêve : réconcilier santé, mouvement et innovation durable, à travers un nouvel art de vivre au bureau.Génération Fab, un podcast de la French Fab, qui réenchante l'industrie française à travers des objets du quotidien. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:12:48 - Les Enjeux internationaux - par : Guillaume Erner - Pourquoi certains États déplacent-ils leur capitale ? Depuis le XIXe siècle, plus de 70 d'entre eux ont fait ce pari. Rupture avec un passé colonial, affirmation d'un pouvoir central, meilleure maîtrise du territoire, les motifs sont divers et reflètent souvent les trajectoires d'un pays entier. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Frank Tétart Géographe
durée : 00:29:57 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - En 1951, Jacques Peuchmaurd reçoit les animateurs de la revue 84 dans "Le Club d'Essai". À son micro, Jacques Brenner, Georges Lambrichs, Alfred Kern et Marcel Bisiaux expliquent l'esprit de cette revue littéraire avec des lectures de Roger Blin et une archive d'Antonin Artaud. - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:38:19 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que le Parti socialiste s'apprête à élire son premier secrétaire, que valent aujourd'hui les partis politiques traditionnels ? Leur affaiblissement est significatif, leur ancrage s'effrite. Face à eux, des mouvements présentés comme plus souples et plus autonomes émergent. - réalisation : François Richer - invités : Antoine Léaument Député La France insoumise de l'Essonne; Frédéric Sawicki Professeur de science politique à l'Université Paris I Panthéon-Sorbonne
durée : 00:21:03 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Par Paul Guimard - Avec Roger Ribadeau-Dumas (directeur de La Semaine Economique), Manuel Molina (directeur des Nouvelles Economiques), Jean Cambournac (directeur de La Tribune Economique) et Didier Lambert (directeur de La Vie Française) - réalisation : Virginie Mourthé
durée : 00:36:55 - Secrets d'info - par : Benoît COLLOMBAT, Cellule investigation de Radio France - D'anciens élèves et certains enseignants dénoncent des violences régulières au sein des écoles de cirque. Enquête derrière le rideau du monde du spectacle. - réalisé par : Christophe IMBERT
Aliou Bah, l'opposant guinéen, a été condamné à deux ans de prison ferme par la cour d'appel de Conakry. Le leader du Mouvement démocratique libéral avait déjà été condamné en première instance pour "offense et diffamation" au président de la transition.
durée : 00:28:40 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Valérie Borst - L'un en Tunisie, l'autre en France, Danielle et Fadi se sont rencontrés sur les réseaux sociaux. Six ans plus tard, les voilà installés à Montpont-en-Bresse, dans la petite maison de Danielle, amoureux et presque heureux. Car après un mariage mouvementé, ils sont confrontés à une nouvelle épreuve. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
[NOUVELLE SERIE] "Routines anti-sédentarité" animée par Alexandre Dana, auteur, entrepreneur et host de Métamorphose. Pourquoi la sédentarité étouffe-t-elle notre créativité ? Comment le mouvement peut-il libérer l'imagination ? Quels exercices pratiquer pour stimuler son imagination ? Dans cet épisode, Alexandre Dana nous invite à libérer et stimuler notre imagination, même en pleine journée de travail !Pendant cinq semaines, Alexandre Dana, partage des clés simples et puissantes pour remettre le mouvement au cœur de nos vies et raviver notre énergie. Une invitation à cheminer au sens propre comme au sens figuré vers plus de vitalité, de joie et de lien. Son livre La chaise tue sortira aux éditions Eyrolles.Une citation d'Alexandre Dana :"Être déconnecté de son corps, c'est être déconnecté de son intuition créative."Thèmes abordés lors du podcast avec Alexandre Dana : 00:00 Introduction02:58 Pourquoi rester assis nuit à notre créativité ?05:34 Mouvement et créativité 07:08 5 pratiques pour réactiver sa créativitéÀ réécouter : Le pouvoir de la marche : 5 conseils santé (Ep.1)Un moral au beau fixe : 5 exercices clé (Ep.2)Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.