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Après deux semaines de débat parlementaire, les textes sur l'aide à mourir et sur les soins palliatifs ont été votés solennellement par les députés. Ecoutez la satisfaction de Claire Thoury, sociologue, présidente du Mouvement associatif et présidente du comité de gouvernance de la convention citoyenne sur la fin de vie. Ecoutez L'invité pour tout comprendre avec Yves Calvi du 27 mai 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:28:40 - Les Pieds sur terre - par : Sonia Kronlund, Valérie Borst - L'un en Tunisie, l'autre en France, Danielle et Fadi se sont rencontrés sur les réseaux sociaux. Six ans plus tard, les voilà installés à Montpont-en-Bresse, dans la petite maison de Danielle, amoureux et presque heureux. Car après un mariage mouvementé, ils sont confrontés à une nouvelle épreuve. - réalisation : Emmanuel Geoffroy
[NOUVELLE SERIE] "Routines anti-sédentarité" animée par Alexandre Dana, auteur, entrepreneur et host de Métamorphose. Pourquoi la sédentarité étouffe-t-elle notre créativité ? Comment le mouvement peut-il libérer l'imagination ? Quels exercices pratiquer pour stimuler son imagination ? Dans cet épisode, Alexandre Dana nous invite à libérer et stimuler notre imagination, même en pleine journée de travail !Pendant cinq semaines, Alexandre Dana, partage des clés simples et puissantes pour remettre le mouvement au cœur de nos vies et raviver notre énergie. Une invitation à cheminer au sens propre comme au sens figuré vers plus de vitalité, de joie et de lien. Son livre La chaise tue sortira aux éditions Eyrolles.Une citation d'Alexandre Dana :"Être déconnecté de son corps, c'est être déconnecté de son intuition créative."Thèmes abordés lors du podcast avec Alexandre Dana : 00:00 Introduction02:58 Pourquoi rester assis nuit à notre créativité ?05:34 Mouvement et créativité 07:08 5 pratiques pour réactiver sa créativitéÀ réécouter : Le pouvoir de la marche : 5 conseils santé (Ep.1)Un moral au beau fixe : 5 exercices clé (Ep.2)Avant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreFaites le TEST gratuit de La Roue Métamorphose avec 9 piliers de votre vie !Suivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox/ YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans la libre antenne, Malik Boulibaï, spécialiste reggae, revient sur l'indignation du mouvement rastafari au Nigeria. Ils condamne les propos de Mohammed Umar Bago, gouverneur de l'État du Niger, à l'ouest du Nigeria, qui appelle à l'arrestation et au rasage des dreadlocks portées par les citoyens de l'État. Guiza Grâce Emmanuella Damour, organisatrice de l'évènement Focus créatif, parle de la 3ème édition aura lieu à Abidjan le 24 mai. Et Aya Robert, influenceuse et organisatrice des mini-concerts live sur TikTok, présente la 3ème édition qui aura lieu le 24 mai avec Koffi Olomidé. Pour visionner les clips, cliquez sur les titres des chansons : Neg Lyrical - Tôt ou tardKoffi Olomidé - Loi hippodromeStomy Bugsy - Mon papa à moi est un gangsterBob Marley and the Wailers - Rastaman live upAïcha Koné feat Gadji Celi - Ben KadiGarcin L'agaçant X Zodiak - C'est codéRetrouvez notre playlist sur Deezer.
Le brutalisme est un mouvement international qui célèbre le pouvoir de la matière et qui se caractérise par lʹusage massif du béton. En Suisse, lʹun des symboles de ce brutalisme est lʹéglise dʹHérémence du sculpteur et architecte zurichois Walter Maria Förderer. Avec Silvia Groaz, professeur en histoire de lʹarchitecture à Paris et à Liège, Carole Schaub, historienne de lʹarchitecture et Anne-Fanny Cotting, architecte. Sujets traités : brutalisme, mouvement, sculpteur, architecte, Suisse, Walter Maria Förderer, Hérémence Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:27:44 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu du débat critique, des expositions : "Dans le Flou, une autre vision de l'art de 1945 à nos jours" au musée de l'Orangerie et "Georges Mathieu. Geste, Vitesse, Mouvement" à la Monnaie de Paris. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
durée : 00:10:06 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de Georges Mathieu. Geste, Vitesse, Mouvement", une rétrospective que la Monnaie de Paris consacre à l'artiste inventeur de l'abstraction lyrique. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
49 Afrikaners, ces Sud-Africains blancs descendants de colons néerlandais, sont attendus ce lundi (12 mai 2025), aux États-Unis. Hier, ils ont pris place à bord d'un vol charter affrété par les États-Unis, nous apprend le New York Times qui les a suivis à l'aéroport hier, à Johannesburg. Ces Afrikaners, descendant pour la plupart de colons néerlandais, fuient, disent-ils, les persécutions, les discriminations dont ils sont victimes dans leur pays natal. Ils affirment ainsi «avoir été la cible de violence» ou «s'être vus refuser des emplois» en raison de la couleur de leur peau. Au cœur du problème, en réalité, se trouve la question des terres. Comme l'explique le New York Times, les terres agricoles des Sud-Africains blancs qui ne représentent que 7% de la population, couvrent plus de la moitié du pays. Depuis peu, une loi autorise les autorités à exproprier sans dédommager les propriétaires. Pas sûr que cela soit juridiquement faisable, souligne le quotidien. Mais cela inquiète beaucoup d'Afrikaners. En mars, les États-Unis affirmaient avoir reçu 8.000 demandes d'asile. Les Afrikaners qui arriveront ce lundi, auront en effet le statut de réfugiés. Donald Trump «a suspendu la quasi-totalité des admissions de réfugiés fuyant la famine et la guerre, en provenance de pays comme le Soudan ou la République démocratique du Congo. Mais il a créé une voix d'entrée accélérée pour les Afrikaners, une minorité ethnique blanche à l'origine du régime brutal d'apartheid en Afrique du Sud.»Une initiative de l'administration Trump qui suscite des critiques de la part d'associations qui viennent en aide aux migrants, mais aussi du gouvernement sud-africain qui y voit, comme le rapporte le New York Times, une «tentative politique visant à discréditer le pays». Les États-Unis, de leur côté, reprochent au pays dont est originaire Elon Musk, «ses relations étroites avec l'Iran et sa position ferme contre Israël.» Donald Trump n'aurait pas digéré la plainte pour génocide déposée devant la Cour internationale de justice au sujet de la guerre à Gaza. Plus de la moitié de la population haïtienne souffre de la faimEn Haïti, la presse fait état de nouvelles violences qui ont empêché la tenue d'un référendum constitutionnel annoncé pour hier. Les gangs ont de nouveau attaqué Furcy et Kenscoff et ont été repoussés par la police, nous apprend Alterpresse. Déjà, la semaine dernière, la police avait réussi à reprendre le contrôle du sous-commissariat de Furcy. Cette fois-ci, «plusieurs membres de la population, qui avaient été kidnappés par les groupes armés, ont été libérés», rapporte l'agence de presse. Depuis plusieurs semaines, les gangs «cherchent à étendre leur contrôle dans les hauteurs de la capitale» et à s'emparer de ces zones semi-rurales, ce qui soulève «des inquiétudes sur la sécurité alimentaire», souligne Alterpresse. La commune de Kenscoff, notamment, est «une importante zone de production agricole pour la capitale». Or, la faim est un problème majeur en Haïti. Désormais, près de 6 millions de personnes se trouvent en insécurité alimentaire aigüe, comme l'explique Martine Villeneuve, directrice de l'ONG Action contre la faim en Haïti, à Achim Lippold. Le Pérou, confronté à une vague de violencesNotre dossier du jour nous emmène au Pérou, pays confronté à une insécurité et une criminalité grandissantes. Les chiffres augmentent de manière exponentielle : on déplore 700 homicides depuis le début de l'année. Dans la capitale, Lima, les assassinats et les extorsions sont quotidiens. Reportage de Martin Chabal. Venezuela : inquiétudes autour du sort d'un membre de l'ONG ProveaLes proches de l'avocat Eduardo Torres, membre de l'équipe juridique de l'organisation de défense des droits humains Provea, sont sans nouvelles de lui depuis vendredi. Il était «régulièrement ciblé par des menaces et des actes de harcèlement de la part de représentant·es des forces de sécurité de l'État vénézuélien», écrit la Fédération internationale pour les droits humains dans un communiqué. La FIDH dénonce une possible disparition forcée. Andronico Rodriguez, favori de la présidentielle bolivienneLa campagne en vue de la présidentielle du 17 août débute en Bolivie. À gauche, il y a déjà trois candidats : l'actuel président Luis Arce, l'ancien chef de l'État Evo Morales et, donc, Andronico Rodriguez, 36 ans, «l'élève d'Evo Morales», comme le qualifie le quotidien argentin Infobae qui lui consacre un long portrait. Né dans la province de Cochabamba, dans une famille de paysans, Andronico Rodriguez réalise très jeune que pour s'en sortir, il faut faire des études. Il obtiendra un diplôme de sciences politiques à l'Université de Cochabamba. Enfant, il accompagne ses parents à des réunions syndicales. Une fois étudiant, il prend peu à peu des responsabilités au sein des fédérations de producteurs de coca et à 28 ans, il finit par devenir le bras droit d'Evo Morales. Les différentes périodes de turbulences que traverse le MAS, le Mouvement vers le socialisme, lui permettent de se faire connaître, raconte encore Infobae. Élu sénateur en 2020, il prend en même temps la tête de la chambre haute où il se distingue par son sens du compromis.Pour beaucoup, Andronico Rodriguez est le successeur naturel d'Evo Morales, mais lui a choisi de s'émanciper, de prendre ses distances. Aujourd'hui, il pourrait profiter du vide créé par «la guerre intestine que se livrent» Evo Morales et Luis Arce, analyse Infobae. Au sein du bloc cocalero, sa jeunesse séduit. Pour la première fois au sein du mouvement, les syndicats critiquent publiquement l'absence de renouvellement de leurs dirigeants, tout particulièrement d'Evo Morales qui est à leur tête depuis près de 30 ans. L'ex-président pourrait devoir négocier avec son ancien dauphin s'il veut survivre politiquement, estime le quotidien argentin. Journal de la 1èreAu lendemain d'un nouveau drame en Martinique, le préfet Étienne Desplanques était l'invité du journal radio de La 1ère ce lundi matin. Il a réagi à l'exécution en plein jour de trois jeunes hommes dans une rue de Fort-de-France.
Les dress-codes du Japon, une société en mouvement mais encore très patriarcale Que ce soit au travers des Mangas, d'influenceurs voyages ou des arts culinaires, le Japon a la cote. Pourtant, le Japon est une société normée : de l'uniforme porté à l'école jusqu'au costume standardisé des employés de bureau, la tenue révèle la place de chacun. Dans son récit Vu a Harajuku (Ed. Les Arènes), Vanessa Montalbano, jeune Française résidant et travaillant à Tokyo, explore les façons de s'habiller pour exister face aux injonctions. À travers les quartiers et les époques les plus emblématiques de la capitale, elle nous raconte les lolitas qu'on sexualise à tort ; les gyaru, ces « girls » au look provocant de Shibuya ; les hosts, ces escorts masculins à l'apparence androgyne ; les sukeban, ces gangs de filles des années 1970… Et une infinité de personnages tous plus créatifs et attachants les uns que les autres. À travers eux, elle répond à une question qui touche le coeur de notre modernité : comment exister dans une société patriarcale ? Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nouveauté : j'organise un stage, avec Natalia Pieczuro, de Fighting Monkey à Paris les 31 mai et 1er juin 2025.Cette semaine, je reçois Yaëlle Penkhoss, présidente de la Fédération des praticiens de la méthode Pilates en France et directrice de studio. Yaëlle est bien plus qu'une experte de cette méthode structurante. Elle a vécu 8 ans au Brésil, une expérience qui a profondément marqué sa vingtaine. Elle y a découvert le Pilates et a été immergée dans une culture d'une richesse infinie et d'une créativité débordante, née d'un incroyable melting-pot culturel. Elle nous parle de ce pays des extrêmes, entre joie de vivre et résilience malgré une histoire parfois très lourde. Le mouvement est le fil rouge de sa vie, qu'il s'agisse de sa première passion pour la danse, de la joie retrouvée de la Capoeira, des danses folkloriques ou de l'exploration de l'improvisation sous toutes ses formes. Yaëlle nous partage comment le Pilates, bien qu'essentiel pour structurer sa vie et lui donner un métier, n'est pas une méthode complète pour elle et qu'elle cherche ailleurs la rythmicité, le travail à deux, et la musicalité qui lui manquent. Elle définit magnifiquement le concept de travail somatique, comme l'intégration du corps et de l'esprit, l'observation de ce qui se passe en nous quand on bouge, pour une meilleure relation avec le monde. Comment n'importe quelle pratique, du Pilates à la Capoeira, peut devenir somatique ? Comment s'est-elle retrouvée à la tête de la Fédération de Pilates ? Quelle est son expérience récente et intense du Fighting Monkey ? Ensemble, nous avons co-organisé grand événement en ligne "M le sommet". Découvrez sa genèse et ses coulisses ! Ce rendez-vous francophone permet de faire connaître le travail du corps en conscience, réunir des intervenants incroyables et offrir un espace de conférences, tables rondes et pratiques. Nous dévoilons les premières infos sur l'édition 2025. Merci beaucoup Yaëlle, notre échange est une invitation à la curiosité et à explorer comment le mouvement, sous toutes ses formes, peut structurer, libérer et enrichir notre vie !Merci pour votre fidélité !Pour aller plus loin, vous pouvez :Me suivre au quotidien sur Instagram ;Regarder ce podcast en vidéo sur Youtube ;Et me rejoindre dans mes prochains stages ici ou là !Retrouver toutes les actualités de Somatic Mind ;Soutenir ma création de contenu sur Patreon.Prenez soin de vous et à la semaine prochaine !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
#129: Et si…? Et si tu naviguais entière dans ta vie, sans cacher tes zones d'ombre? Et si tu acquérais la capacité d'écouter toutes les parties qui te composent? Et si tu orchestrais tout ce beau monde avec agilité et finesse? Et si finalement c'était ça être intègre?Cet épisode te donne des premières pistes pour te lancer sur ce chemin de plénitude (au sens propre et figuré!).http://savouretesvies.com/feedbackhttp://savouretesvies.com/replayfocushttp://savouretesvies.com/ressourceshttp://savouretesvies.com/programmecomplethttp://savouretesvies.com/aviscoaching@savouretesvies.com
Mouvement d'opposition des jeunes à l'interdiction du cellulaire. Des nouvelles de Joe Rogan. Centres d’inhalation supervisés: Lionel Carmant resserre la vis. Carney s'en sort. La rencontre Dutrizac-Dumont avec Benoit Dutrizac et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Dans les maisons de sultans, le harem n'échappe pas à la politique. Bien plus ouverts que l'on pourrait l'imaginer, les femmes y agissent. Le harem est un lieu de pouvoir, et donc aussi de contre-pouvoir. Dans ce rouage politique, les femmes jouent un rôle considérable dans les stratégies et les alliances. Elles interviennent comme des agents, "mandatées" par leur groupe d'origine auprès de celui qui gouverne. Jocelyne Dakhlia est historienne et anthropologue. Elle est l'autrice de "Harems et sultans, genre et despotisme au Maroc et ailleurs du XIVème au XXème siècle" (Editions Anarchasis).
durée : 00:14:32 - Journal de 7 h - Les deux évènements ont lieu cette semaine, hasard du calendrier, mais dans les deux cas il est question d'argent : hausse des salaires des cheminots et investissements dans les infrastructures, ferroviaires et routières.
durée : 00:14:32 - Journal de 7 h - Les deux évènements ont lieu cette semaine, hasard du calendrier, mais dans les deux cas il est question d'argent : hausse des salaires des cheminots et investissements dans les infrastructures, ferroviaires et routières.
durée : 00:26:26 - La jeune fille et la mort, de Franz Schubert, par le Quartetto Italiano - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.
durée : 01:28:46 - Relax ! du vendredi 25 avril 2025 - par : Lionel Esparza - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser. - réalisé par : Antoine Courtin
Suivi de notre encan Demidov | Bureaucratie en santé | Hélène Boudreault et son scandale d’allaitement | Les rages de sucre Dans cet épisode intégral du 23 avril, en entrevue : Maud Rebeyrol, médecin de famille et patiente et Jean Pascal Provost, conjoint de Maud Raphaëlle Petitjean, directrice générale du Mouvement allaitement du Québec (MAQ). Une production QUBAvril 2025Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
«Il n’y a rien de plus naturel qu’une femme qui donne le sein à un bébé qui n’est pas le sien», lance notre invitée. Hélène Boudreau fait semblant d’allaiter un enfant qui n’est pas le sien: y a-t-il un enjeu problématique? Discussion sur le lait des mammifères. Entrevue avec Raphaëlle Petitjean, directrice générale du Mouvement allaitement du Québec (MAQ). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
durée : 00:10:22 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Du texte d'Eugène Pottier à la musique de Pierre Degeyter, récit du cheminement d'une chanson écrite pendant la Commune de Paris et qui connaîtra un succès mondial à partir de 1899. - réalisation : Thomas Jost
durée : 00:16:57 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de l'exposition "David Hockney, 25 'Do remember they can't cancel the spring'" à la Fondation Louis Vuitton, centrée sur les 25 dernières années du travail de l'artiste britannique et sur la place de la nature dans son œuvre. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Philippe Azoury Journaliste, critique et auteur; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
Bertrand Lesguillons vous présente "Rapide" avec Paola Locatelli et Alban Lenoir et la comédie "Aimons-nous vivants" avec Valérie Lemercier, Gérard Darmon et Patrick Timsit.
"Le mélange des genres", nouvelle comédie de Michel Leclerc ("Le nom des gens"), sort ce mercredi 16 avril. Ce film avec un joli casting (Benjamin Lavernhe, Léa Drucker, Judith Chemla...), s'inspire du mouvement #MeToo. Le Mélange des genres, comme son nom l'indique, croise les genres. Il y du burlesque, de la comédie de situation façon Francis Veber (Le Grand Blond avec une chaussure noire a été une inspiration), de la comédie policière, et enfin un registre plus sociétal, par les sujets qu'il aborde.Nous avons rencontré son réalisateur et scénariste Michel Leclerc pour un long entretien sur ce film qui devrait occasionner du débat. Crédits :Journaliste : Brigitte BaronnetMontage : Arthur Cattin Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 15/04/2025 La survivante qui dénonce les violences sexuelles en RDCDepuis l'offensive militaire lancée en début d'année par les rebelles du M23 avec le soutien de l'armée rwandaise, les provinces du Nord et du Sud-Kivu en République démocratique du Congo (RDC) sont en proie à une augmentation alarmante des violences sexuelles. Tatiana Mukanire Bandalire est une activiste congolaise et coordinatrice nationale du Mouvement des survivant·e·s de violences sexuelles en RDC. Elle est partagée entre la colère et la douleur face à ce que vit sa communauté, en particulier depuis le 25 janvier dernier avec la prise de Goma, puis le 14 février avec la prise de Bukavu, où elle vivait et qu'elle a dû fuir pour Kinshasa. Elle parle de l'insurrection “la plus sanguinaire” qu'elle ait jamais connue, alors qu'elle “vit pourtant la guerre depuis 30 ans”. Il y a trois ans, elle témoignait en tant que survivante du viol, véritable arme de guerre, en interpellant ses bourreaux dans son livre “Au-delà des larmes”.Guerre en Ukraine : le cessez-le-feu impossible ? Dimanche 13 avril, deux frappes russes sur Soumy, en Ukraine, ont fait au moins 35 morts et 117 blessés selon les Ukrainiens. Deux missiles balistiques ont touché cette ville située à une trentaine de kilomètres de la frontière russe. Depuis deux mois, les États-Unis tentent en vain de mettre en place un cessez-le-feu. Donald Trump a réagi : “Je pense que c'est terrible et on m'a dit qu'ils ont fait une erreur. Mais je pense que c'est une chose horrible”, sans remettre en cause directement la Russie. Au contraire, le futur chancelier allemand, Friedrich Merz, a dénoncé un “crime de guerre” car “il y a eu deux vagues d'attaque, et la deuxième est arrivée alors que les secouristes s'occupaient des victimes”. Depuis février, les observateurs de l'ONU ont constaté une augmentation des attaques russes sur les villes ukrainiennes. Un cessez-le-feu est-il vraiment possible ? Xavier Mauduit nous parle d'expositions universelles alors que celle d'Osaka au Japon vient d'ouvrir ses portes. Marie Bonnisseau revient sur la troisième saison de la série américaine “The White Lotus” dans laquelle les sourires “imparfaits” des actrices Aimee Lou Wood et Charlotte Le Bon ont fait beaucoup parler sur internet.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 15 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Quoi de mieux que la musique de Lully pour découvrir ce lieu historique à bien des égards, fréquenté chaque année par 8,5 millions de visiteurs ? Versailles a décidé de célébrer à la fois la royauté et la République. La royauté avec une expérience inédite qui est proposée aux visiteurs depuis ce printemps : visiter les jardins de Louis XIV, jardins aujourd'hui disparus... Ecoutez La star du jour avec Stéphane Boudsocq du 14 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:00:21 - Salut l'info ! - par : Estelle Faure, Pauline PENNANECH - En raison d'un appel à la grève, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes, nous vous prions de nous en excuser. Retrouvez "Salut l'info !" le 25 avril prochain.
« Au Cameroun, à six mois de la présidentielle, le régime se durcit contre les défenseurs des droits de l'homme », déplore Maximilienne Ngo Mbé, la directrice exécutive du REDHAC, le Réseau des Défenseurs des Droits Humains en Afrique Centrale. Aujourd'hui, le REDHAC lui-même est dans le viseur du pouvoir, qui l'a suspendu en décembre dernier et qui poursuit à présent ses dirigeantes devant la justice. « Ce sont des décisions scandaleuses », affirme Human Rights Watch. Quelles sont les situations les plus préoccupantes ? RFI : Le 3 avril dernier, le Parlement européen a voté une résolution demandant aux autorités camerounaises de libérer cinq journalistes. Il s'agit des collègues anglophones Tsi Conrad, Mancho Bibixy, Kingsley Fomunyuy Njoka et Thomas Awa Junior, qui ont rendu compte du conflit armé dans les régions anglophones. Il s'agit également d'Amadou Vamoulké, l'ancien directeur général de la radiotélévision publique camerounaise, la CRTV. Votre réaction ?Maximilienne Ngo Mbé : C'est une petite joie pour nous, parce que les cinq journalistes que vous avez cités, le Redhac a été à leurs côtés. Nous avons mené des actions de plaidoyer depuis plus de cinq à sept ans. C'est donc avec beaucoup de joie que nous recevons cette décision. Nous osons croire qu'elle ne restera pas uniquement sur le papier et que l'Union européenne mettra tout en œuvre pour que leur libération soit effective.Quelles sont les autres personnalités actuellement emprisonnées au Cameroun pour leurs opinions politiques ou simplement pour leurs désaccords avec le pouvoir en place ?Nos pensées vont vers le professeur Alain Fogué, militant du Mouvement pour la Renaissance du Cameroun (MRC). Lui a été arrêté alors qu'il allait simplement rendre visite à son président, le professeur Maurice Kamto. Il y a aussi le porte-parole de M. Maurice Kamto, Bibou Nissack, qui a été arrêté chez lui, devant ses enfants et sa femme. Il n'était pas dehors pour manifester, cela ressemble à du kidnapping. Il y a aussi leurs camarades, ils sont 32 aujourd'hui, à rester en prison simplement parce qu'ils ont donné leurs opinions. Il y a aussi le cas de Marafa Hamidou Yaya, dont l'état de santé est très fragile.Marafa Hamidou Yaya a été secrétaire général de la présidence, il est tombé en disgrâce et en prison depuis 2012. Il souffre d'une grave maladie des yeux. Il y a un an, François Hollande a écrit à Paul Biya pour demander de le libérer pour raisons de santé, mais le président camerounais ne bouge pas. Pourquoi cette dureté contre ce prisonnier ?Je ne sais pas si c'est le président qui ne bouge pas ou si c'est la bureaucratie du président qui ne bouge pas. J'ai toujours eu à dire que depuis que je milite — cela fait quand même deux ou trois décennies – lorsque le président Paul Biya a été au courant d'une situation grave il a été prompt à réagir. Depuis un moment, on sait bien qu'il est un peu affaibli par l'âge. Est-ce que son entourage lui fait part de tout ? Je ne peux ni l'affirmer ni l'infirmer. En tout cas, M. Marafa, même pour raisons de santé, humainement, on peut dire qu'il a payé. […] Il devrait au moins pouvoir se faire soigner.Dans six mois, c'est l'élection présidentielle, prévue en octobre. Le parti au pouvoir, le RDPC, demande à Paul Biya, aujourd'hui âgé de 92 ans, de se présenter pour un nouveau mandat de sept ans. Est-ce que cette période est favorable à plus de clémence ou, au contraire, à plus de dureté ?J'avoue que, depuis un moment, on assiste à beaucoup de dureté de la part du gouvernement et du parti au pouvoir. Il ne lésine sur aucun moyen. Maintenant, c'est la même chose pour la justice, la police, l'armée. Vous êtes filé tout le temps, et vous êtes convoqué devant des juridictions. Le ministère de l'Administration territoriale promet la prison à tout le monde. Il empêche même un député de se mouvoir pour présenter son programme politique. Ce même ministère adopte une posture de durcissement de l'espace civique, au détriment de tout ce qu'on entend derrière sur le fait qu'il nous faut des élections pacifiques. Il y a un décalage entre le langage et les faits sur le terrain.Et ce durcissement, vous craignez qu'il s'intensifie à mesure qu'on va se rapprocher de la date du mois d'octobre prochain ?Bien sûr, il n'y a aucun doute là-dessus, si rien n'est fait.Pourquoi ?Parce que le président Paul Biya n'a toujours pas annoncé s'il sera candidat, jusqu'à aujourd'hui, personne ne le sait. Mais on pense que ceux qui sont restés longtemps à ses côtés au pouvoir veulent absolument qu'il continue, car cela leur permet de ne pas rendre de comptes. Ceux qui sont au pouvoir ont bénéficié de tous les privilèges et ont spolié les populations, ils sont à la manœuvre pour ne pas laisser le président, peut-être, aller se reposer et ils vont durcir de plus en plus l'espace. On attire l'attention des pays amis du Cameroun pour que cela ne se fasse pas. Il est donc grand temps que la France joue son rôle, aujourd'hui plus que jamais, pour que cela cesse.
durée : 01:28:46 - Relax ! du vendredi 11 avril 2025 - par : Lionel Esparza - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser. - réalisé par : Antoine Courtin
durée : 00:26:26 - Disques de légende du vendredi 11 avril 2025 - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser.
durée : 01:28:41 - Relax ! du vendredi 11 avril 2025 - par : Lionel Esparza - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser. - réalisé par : Antoine Courtin
En Europe, les Italiens occupent une place à part face au risque de guerre et la volonté européenne de se réarmer. Ils sont 62% à estimer qu'il y a d'autres dépenses plus urgentes que la défense. Un pacifisme qui conjugue deux héritages : celui du communisme et du catholicisme. Le 5 avril, une grande manifestation se tenait à Rome contre le plan de réarmement annoncé à l'échelle européenne. De notre correspondant à Rome, Ils sont des dizaines de milliers à avoir défilé, samedi 5 avril, dans le centre de Rome, à deux pas du Colisée, avec un slogan : « Non à la guerre et au plan de réarmement européen » proposé début mars par la Commission européenne. Sur la scène, celui qui a organisé la manifestation, Giuseppe Conte, l'ancien chef du gouvernement italien et patron du mouvement Cinq étoiles : « Je crois qu'il y a ici une idée forte et claire que tout le monde a en commun. Nous disons non à ce plan fou de réarmement. Nous disons non à 800 milliards d'euros qui seront dépensés non pas pour un plan sérieux de défense européenne, mais pour armer les pays membres. »Dans la foule, on est venus de toute l'Italie. Nadia et Maria ont pris le train depuis Naples pour venir dénoncer la rhétorique belliqueuse de certains pays européens. Dans ses mains, Nadia tient un montage-photo fait pour l'occasion : « C'est un char conduit par Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, qui roule sur l'Agenda 2030, les objectifs que l'ONU a fixés pour qu'ils soient atteints d'ici à cette date. Et parmi ceux-là, le numéro seize, c'est justement la paix. C'est la page. »Un peu plus loin dans la foule, Stefano distribue des tracts anti-Otan. Antimilitariste depuis des années, il se bat notamment contre les nombreuses bases de l'Alliance atlantiquedisséminées sur le sol italien : « La société a besoin d'investissements dans la santé, l'éducation. Nous n'avons pas besoin de tout cela. Nous avons seulement besoin de paix. »Les catholiques aussi présentsOutre les courants de gauche et pacifistes, une autre frange de l'Italie est foncièrement contre la guerre : les mouvements catholiques. Il y a quelques semaines, une grande marche est partie de la ville de Saint-François, Assise, en Ombrie, jusqu'à Rome. Mouvement parmi les plus importants de la galaxie catholique italienne, la communauté Sant'Egidio est connue pour ses médiations de paix et son travail humanitaire.Mario Giro est le responsable des relations internationales de l'association. Il nous explique d'où vient cette forte opposition des Italiens à la guerre : « Il y a une explication politico-culturelle. Disons la culture catholique, et aussi ce qui reste de l'ancienne culture communiste, sont foncièrement contre la guerre, surtout les catholiques. Après, disons, l'enseignement des papes du siècle dernier. »Face à la course aux armements, l'Italie veut maintenir une voix singulière au sein de l'Europe, celle d'un pays médiateur. Ce pacifisme, plus ancré que chez ses voisins, a des racines profondes qui se résument dans sa Constitution de 1948, où il est écrit noir sur blanc que l'Italie répudie la guerre.Un reportage à retrouver dans notre intégralité dans Accent d'Europe ou l'application PureRadio.
durée : 00:28:19 - Au fait, combien de mouvements ? (1/4) : En un seul mouvement - par : Christian Merlin - Notre série sur les différents mouvements (adagio, scherzo, finale…) partait de l'idée qu'une symphonie en compte 4. Mais que faire des 5 de la Fantastique de Berlioz, des 6 de la 3e de Mahler ou du mouvement unique de la 7e de Sibelius ? Quand les compositeurs cassent les codes. - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:25:05 - Daniele Rustioni, chef d'orchestre (5/5) - par : Judith Chaine - Le chef d'orchestre Daniele Rustioni a été nommé chef invité principal au Met de New York à la saison prochaine. Nous l'avons rencontré lors des répétitions de la Force du destin, une production qui vient conclure 11 ans d'une formidable collaboration entre le chef italien et l'Opéra de Lyon. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:25:23 - Daniele Rustioni, chef d'orchestre (4/5) - par : Judith Chaine - Le chef d'orchestre Daniele Rustioni a été nommé chef invité principal au Met de New York à la saison prochaine. Nous l'avons rencontré lors des répétitions de la Force du destin, une production qui vient conclure 11 ans d'une formidable collaboration entre le chef italien et l'Opéra de Lyon. - réalisé par : Pierre Willer
En mars 2025, l'ambassade des États-Unis en France a adressé une lettre à plusieurs entreprises françaises, leur demandant de renoncer à leurs programmes internes de lutte contre les discriminations pour pouvoir continuer à signer des contrats avec l'État fédéral américain.Cette initiative a suscité une vive réaction de la part du Mouvement des entreprises de France (MEDEF), dont le président, Patrick Martin, a qualifié cette démarche d'« inadmissible » et d'« ingérence inacceptable ».Le MEDEF, principale organisation patronale française, défend depuis longtemps des valeurs telles que la mixité, l'inclusion des personnes en situation de handicap et la promotion de la diversité au sein des entreprises. Les programmes de lutte contre les discriminations sont considérés comme essentiels pour assurer l'égalité des chances et refléter les valeurs républicaines françaises. Ainsi, la demande américaine est perçue comme une tentative d'imposer des normes étrangères contraires aux principes français.Patrick Martin a souligné que cette exigence traduit une « dérive du gouvernement américain » visant à exercer une emprise sur l'économie mondiale et les valeurs européennes.Il a également rappelé que la France dispose de ses propres règles en matière de diversité et d'inclusion, et qu'il est hors de question d'y renoncer sous la pression d'un pays tiers.Cette position est partagée par le gouvernement français. Laurent Saint-Martin, ministre du Commerce extérieur, a dénoncé ces « ingérences inacceptables », affirmant que les pressions américaines sur les politiques d'inclusion des entreprises françaises, ainsi que les menaces de droits de douane injustifiés, ne sont pas acceptables.Les entreprises françaises concernées se trouvent donc dans une situation délicate. D'un côté, elles souhaitent maintenir leurs relations commerciales avec l'État fédéral américain ; de l'autre, elles sont attachées aux valeurs d'inclusion et de diversité, inscrites dans le cadre légal français. Patrick Martin a exprimé sa conviction que ces entreprises assumeront leurs valeurs autant que possible, tout en appelant l'État français et l'Union européenne à les soutenir face à cette « décision funeste ».Cette affaire met en lumière les tensions croissantes entre les États-Unis et leurs partenaires européens concernant les politiques sociales et économiques. Elle soulève également des questions sur la souveraineté des nations en matière de législation interne et sur les limites des influences étrangères dans les affaires nationales. Le MEDEF et le gouvernement français restent fermes sur leur position, affirmant que les valeurs françaises ne sont pas négociables, même face à des pressions internationales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:25:10 - Daniele Rustioni, chef d'orchestre (3/5) - par : Judith Chaine - Le chef d'orchestre Daniele Rustioni a été nommé chef invité principal au Met de New York à la saison prochaine. Nous l'avons rencontré lors des répétitions de la Force du destin, une production qui vient conclure 11 ans d'une formidable collaboration entre le chef italien et l'Opéra de Lyon. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:25:12 - Daniele Rustioni, chef d'orchestre (2/5) - par : Judith Chaine - Le chef d'orchestre Daniele Rustioni a été nommé chef invité principal au Met de New York à la saison prochaine. Nous l'avons rencontré lors des répétitions de la Force du destin, une production qui vient conclure 11 ans d'une formidable collaboration entre le chef italien et l'Opéra de Lyon. - réalisé par : Pierre Willer
durée : 00:28:15 - Les musiciens d'orchestres baroques IX : hautbois et bassons (2/4) : hautboïstes français - par : Christian Merlin - En raison d'un appel à la grève déposé par les syndicats CFDT, CGT, FO, SNJ, SUD et UNSA de Radio France contre le projet de holding de l'Audiovisuel Public, nous ne sommes pas en mesure de diffuser l'intégralité de nos programmes habituels. Nous vous prions de nous en excuser. - réalisé par : Marie Grout
durée : 00:25:11 - Daniele Rustioni, chef d'orchestre (1/5) - par : Judith Chaine - Le chef d'orchestre Daniele Rustioni a été nommé chef invité principal au Met de New York à la saison prochaine. Nous l'avons rencontré lors des répétitions de la Force du destin, une production qui vient conclure 11 ans d'une formidable collaboration entre le chef italien et l'Opéra de Lyon. - réalisé par : Pierre Willer
Né dans la foulée des manifestations contre la loi travail, le mouvement s'installe sur les places dans les grandes villes sur le modèle des Indignés en Espagne. Il s'éteindra progressivement au cours du moi de mai. Ecoutez Les pépites RTL avec Jérôme Florin du 31 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:53:18 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Christophe Barreyre - Aujourd'hui dans Affaires sensibles, le procès intenté en 1977 à Aix-en-Provence contre le Mouvement pour la liberté de l'avortement et de la contraception, le MLAC, accusé de tentative d'avortement et d'exercice illégal de la médecine. - réalisé par : Flora BERNARD
Merci à FreakyHoody d'être venu dans le studio de LEGEND ! Sylvain Hélaine “FreakyHoody” est l'homme le plus tatoué de France. Il commence ses tatouages pendant un voyage à Londres quand il avait 27 ans, aujourd'hui il a passé plus de 600 heures à se faire tatouer pour 89 000€ . Il s'est fait tatouer les parties génitales, l'an*s, la langue, les gencives, le palais. Il est au quotidien professeur des écoles remplaçant en primaire, c'est aussi avec ce métier qu'il a reçu quelques plaintes des parents.Retrouvez FreakyHoody sur ses réseaux ⬇️: YouTube : https://www.youtube.com/FreakyHoodyInstagram : https://www.instagram.com/freakyhoody/Twitch : https://www.twitch.tv/FreakyHoody?TikTok : https://www.tiktok.com/@freakyhoodyFacebook : https://www.facebook.com/freakyhoodyRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/XQQt7eNzE14Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Difficile de faire son métier de journaliste au « pays des Hommes intègres ». « Les atteintes à la liberté d'expression se multiplient » dans le pays, constate le Monde Afrique. Et les enlèvements sont devenus monnaie courante. Deux journalistes ont été enlevés lundi 24 mars au matin à Ouagadougou. « Guezouma Sanogo et Boukary Ouoba, respectivement président et vice-président de l'Association des journalistes du Burkina, ont été emmenés vers une destination inconnue par des agents se présentant comme des policiers des services de renseignements. »C'est ce que rapporte LeFaso.net qui précise que Guezouma Sanogo avait récemment affirmé, lors du congrès de l'association, que « la Radio télévision du Burkina et l'Agence d'information du Burkina étaient devenus des outils de propagande du pouvoir actuel. Largement relayé sur les réseaux sociaux, ce point de vue avait fait l'objet de nombreux commentaires, pointe encore le site burkinabè. Certains estimant qu'en tant que journaliste de la maison, il ne devait pas tenir de tels propos. D'autres soulignant qu'il avait fait fi du contexte et que son discours était mal à propos, tout en appelant les autorités à sanctionner le journaliste. »« Insécurité et la dégradation de la liberté d'expression »Autre journaliste appréhendé lundi, relève WakatSéra, autre site d'information burkinabé : « Luc Pagbelguem a été emmené par des agents du Conseil national de Sécurité. Journaliste à la chaîne de télévision publique BF1, il venait de faire un reportage sur la clôture du congrès de l'Association des journalistes du Burkina. »Lors de ce congrès, rapporte Le Faso.net, le nouveau bureau de l'association avait promis « de poursuivre sa mission qui est de défendre les droits des journalistes vis-à-vis de leurs employeurs et des autorités, et de les former afin qu'ils diffusent des informations de qualité au profit des populations, dans un contexte marqué par l'insécurité et la dégradation de la liberté d'expression. »Compagne pour « exacerber les tensions intercommunautaires » ?Pour leur part, les autorités militaires sont vent debout contre ce qu'elles appellent une campagne de désinformation. C'est ce que souligne Afrik.com. Une campagne « qui viserait, d'après elles, à ternir l'image de l'armée et à semer la division au sein de la population. Samedi, un communiqué officiel dénonçait la diffusion de vidéos truquées présentant de supposés massacres de civils attribués aux supplétifs des FDS, les Forces de défense et de sécurité. »Toujours, selon les autorités militaires, « la propagation de ces fausses informations répond à une stratégie bien rodée. Le but est de créer un climat de suspicion et d'exacerber les tensions intercommunautaires. » Ces mêmes autorités, poursuit Afrik.com, « exhortent la population à ne pas relayer des contenus non vérifiés et à faire preuve de discernement. La sécurité du pays reste fragile. Dans ce contexte, toujours d'après le pouvoir militaire, la lutte contre la désinformation devient essentielle pour préserver cohésion sociale et souveraineté. »Pour Sidwaya, autre site d'information burkinabé, certes « le terrorisme peut se déployer sous la forme d'une désinformation et d'une manipulation, pour opposer les Burkinabè aux Burkinabè. » Toutefois, déplore Sidwaya, « dans cette guerre transposée sur les réseaux sociaux et méthodiquement menée dans certains médias, les voix du peuple burkinabè que sont les médias de service public sont prises à partie au point d'être taxées de propagandistes. »Et Sidwaya de s'interroger : « en quoi respecter sa ligne éditoriale de média public, mettre sa plume au service de la Nation pourrait être un crime ou une erreur professionnelle. Le professionnalisme du journalisme lui interdit-il de défendre sa patrie quand elle est menacée de disparition ? »Les politiques également ciblésEnfin, il n'y a pas que les journalistes à être ciblés. « L'opposition à la junte continue d'être durement réprimée au Burkina Faso, pointe Le Monde Afrique. Quatre membres du mouvement politique SENS (Servir et non se servir), qui avait récemment dénoncé des massacres de civils attribués à l'armée burkinabé et à ses supplétifs, ont été enlevés samedi dernier, comme un autre militant hier. (…) Ces enlèvements, affirme le mouvement “visent d'abord à briser notre détermination puis à museler notre voix et enfin à installer la peur et le renoncement dans toute la société“. SENS “dénonce fermement cette nouvelle vague de répression politique et appelle le gouvernement à plutôt empêcher les tueries d'innocentes populations au lieu de s'en prendre à ceux qui les dénoncent“. Le mouvement, rapporte toujours Le Monde Afrique, appelle également à “faire barrage à la dérive dictatoriale du MPSR2“, le Mouvement patriotique pour la sauvegarde et la restauration, organe dirigeant de la junte ».
durée : 01:25:58 - Les Nuits de France Culture - par : Antoine Dhulster - Dans le Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français de Jean Maitron, seules 5 000 notices sont dédiées à des femmes. Ce serait l'exact reflet de l'activité féminine dans l'histoire populaire, mais est-ce vraiment le cas ? C'est la question posée par Michelle Perrot dans cette émission. - réalisation : Thomas Jost - invités : Claude Pennetier Chercheur au CNRS; Christine Bard Professeure à l'Université d'Angers, spécialiste de l'histoire des femmes et du genre
Chaque année, le 8 mars, des cortèges d'association féministes s'élancent et manifestent à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Mais quelles sont les origines de cette journée ? Quand a-t-elle été instaurée et comment les revendications ont-elles évolué au fil des décennies ? Pour en parler, Virginie Girod reçoit Françoise Picq. Docteure en sciences politiques, elle était militante au sein du Mouvement de Libération des Femmes dans les années 1970 et a contribué au développement des études féministes et à l'écriture de l'histoire des femmes.