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Si Elizabeth II a composé avec quinze premiers ministres britanniques, elle a vu et rencontré quatorze présidents américains. Harry. S Truman, Dwight D. Eisenhower, John Fitzgerald Kennedy, Richard Nixon, Ronald Reagan, George H.W. Bush, Trump... Nombreux sont les hommes d'État à avoir rencontré la reine et parfois même, sans respecter le protocole à la lettre. Sur un terrain de baseball avec George Bush, lors d'une valse à la Maison-Blanche avec Gerald Ford, ou de ballades équestres avec Reagan... Si la reine a tissé une relation particulière avec l'Amérique et ses présidents, elle n'a jamais oublié le rôle central que l'alliance transatlantique a joué dans l'histoire britannique.
durée : 00:17:38 - Journal de 18h - La mobilisation contre la réforme des retraites recule : 1,3 million de manifestants aujourd'hui selon la CGT, c'est presque deux fois moins que samedi dernier. A l'Assemblée, le débat parlementaire s'embourbe dans les amendements, la discussion sur l'âge légal à 64 ans pourrait ne pas avoir lieu.
"La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux" Méditation de l'évangile (Lc 10, 1-9) par le père Emmanuel PIC Chant final: "L'écho de ta voix" par l'école Pierre
Batman, Superman, Thor ou encore Captain America font partie de ces super héros qui occupent une place essentielle dans l'imaginaire et les loisirs du public contemporain, et notamment des jeunes spectateurs. Ils ont d'abord occupé, dès les années 1940, les pages des "comics", ces bandes dessinées populaires concoctées par le groupe Marvel. Puis ils sont devenus les habitués de séries télévisées très suivies et de films attendus avec impatience aux quatre coins de la planète. Parmi les créateurs de ces personnages, nombreux sont ceux qui viennent d'Europe. Et beaucoup d'entre eux sont juifs. C'est notamment le cas de celui qui est peut-être le plus célèbre d'entre eux, Stan Lee. Disparu récemment, en 2018, il est à l'origine, avec Jack Kirby, de beaucoup des super héros adulés aujourd'hui par tout un public d'aficionados éclairés. On doit à ces deux auteurs non seulement Captain America et les Quatre Fantastiques, mais aussi Hulk, Thor ou encore les X-Men. Or, Stan Lee et Jack Kirby sont nés tous deux dans des familles juives venues d'Europe. Pour exercer leurs activités, ils ont choisi des pseudonymes. Stan Lee s'appelle en réalité Stanley Lieber et Jack Kirby Jacob Kurtzberg. Cette origine juive n'est pas sans influence sur la création et le comportement de ces personnages. Ainsi, "La Chose", qui appartient aux "Quatre Fantastiques", est sans doute inspirée du "Golem", cette créature d'argile qui, dans la tradition juive, peut s'animer et prendre vie. De même, le sauvetage de Superman qui, tout enfant, est placé dans une fusée en partance pour la terre, n'est pas sans évoquer l'épisode où, dans la Bible, Moïse est installé dans un panier qui, dérivant sur le Nil, lui permet d'échapper aux persécutions du Pharaon. Stan Lee, sensible aux souffrances des Juifs, martyrisés par les nazis, montre également Captain America en train de donner à Hitler un coup de poing magistral. Bob Kane, l'un des créateurs de Batman, et Will Eisner, le père du "Spirit", un célèbre justicier masqué, sont eux aussi d'origine juive. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Chaque année, les voix sont de plus en plus nombreuses à vouloir changer la date du 26 janvier.
La crise de 2022 est sans doute la troisième grande crise technologique, après la bulle de 2001 et la grande récession de 2007.Nombreux sont les experts qui donnent des conseils aux fondateurs sur la manière de surmonter cette tempête mais peu de personnes dans notre secteur ont traversé des crises d'une ampleur pareille c'est pourquoi j'ai demandé les conseils de Pierre Gaubil et Ben Marrel, entrepreneurs et investisseurs expérimentés.Bien entendu, chaque crise est différente et il n'existe pas de réponse toutes faites mais notre expérience nous a appris qu'il existe certaines mesures essentielles que les startups doivent prendre lorsque l'environnement économique se détériore.Alors, la récession affecte-t-elle toutes les startups de la même manière ? Quelles sont les entreprises qui ont plus de chance de s'en tirer ? Peut-on lever des fonds même dans des circonstances pareils ? Sommaire de l'émission :Sommes nous entrés en récession ?Les grandes entreprises naissent dans les moments difficilesStartups en phase de démarrageÊtes-vous mort par défaut ?J'ai plus ou mois de deux ans de cash, qu'est-ce que je fais ?Lever des fonds en période de criseDécouvrez le nouveau podcast del Professor, 34Elements. En 34 épisodes, vous apprendrez comment créer une killer team, comme être un bon CEO, le go-to-market, la segmentation, et bien plus encore.
Chaque jour, Arnaud Demanche vous dévoile trois histoires insolites de l'actualité, dans Apolline Matin, sur RMC. La matinale 100% opinions et auditeurs 3ème saison pour Apolline de Malherbe aux commandes d'Apolline Matin. Cette année, de nouvelles voix viennent rejoindre l'équipe. L'humoriste Arnaud Demanche viendra chaque matin dialoguer avec les auditeurs à 7h20 (le « 3216 d'Arnaud Demanche ») et proposera un billet d'humeur grinçant et piquant à 8h20 (« Vivement Demanche ») ! Marguerite Dumont aux journaux et Amélie Rosique pour la chronique « RMC s'engage pour vous » rejoindront également l'équipe d'Apolline Matin pour une matinale 100% info, engagée et d'opinions.
durée : 00:07:57 - Que va faire Poutine en réponse à la frappe ukrainienne qui a tué de nombreux soldats russes ?
Vague de démissions ou baisse de motivation, l'engagement des salariés dans les entreprises pose aujourd'hui question. Nombreux sont ceux qui s'interrogent et réfléchissent sur le sens de leur job, une notion fondamentale pour les jeunes générations. Eléments déclencheurs de la crise : les confinements à répétition, le télétravail ou encore la crise économique. Ces facteurs ont bousculé les salariés jusqu'à sceller la rupture parfois. Une situation qui laisse de nombreux postes vacants et des secteurs qui peinent à recruter depuis des mois. Alors comment allier ses valeurs personnelles avec son activité professionnelle ? Comment les entreprises travaillent à l'épanouissement de leurs salariés ? Et pourquoi la nouvelle génération se questionne tant sur le sens du travail ? Avec : - Maëlezig Bigi, sociologue, maitresse de conférences au Conservatoire nationale des arts et métiers (Cnam) et chercheuse affiliée au centre d'études de l'emploi et du travail (CEET) et co-auteure de “Travailler au XXIe siècle des salariés en quête de reconnaissance” aux éditions Robert Laffont - Amandine Ruas, coach spécialisée dans les sujets d'épanouissement au travail et fondatrice de BeYourBestSelf, une entreprise de conseils pour particuliers et entreprises - Aniéla Vé Kouakou, consultante en Ressources humaines, fondatrice de Agiloya Afrique, un cabinet de conseils et de recrutement basé à Abidjan en Côte d'Ivoire. Et un entretien de Loubna Anaki, notre correspondante à New-York revient sur la grande démission et les licenciements massifs qui bousculent tout le pays. Programmation musicale : ► Fantasy - Romane ► En Haut - Didi B
Vague de démissions ou baisse de motivation, l'engagement des salariés dans les entreprises pose aujourd'hui question. Nombreux sont ceux qui s'interrogent et réfléchissent sur le sens de leur job, une notion fondamentale pour les jeunes générations. Eléments déclencheurs de la crise : les confinements à répétition, le télétravail ou encore la crise économique. Ces facteurs ont bousculé les salariés jusqu'à sceller la rupture parfois. Une situation qui laisse de nombreux postes vacants et des secteurs qui peinent à recruter depuis des mois. Alors comment allier ses valeurs personnelles avec son activité professionnelle ? Comment les entreprises travaillent à l'épanouissement de leurs salariés ? Et pourquoi la nouvelle génération se questionne tant sur le sens du travail ? Avec : - Maëlezig Bigi, sociologue, maitresse de conférences au Conservatoire nationale des arts et métiers (Cnam) et chercheuse affiliée au centre d'études de l'emploi et du travail (CEET) et co-auteure de “Travailler au XXIe siècle des salariés en quête de reconnaissance” aux éditions Robert Laffont - Amandine Ruas, coach spécialisée dans les sujets d'épanouissement au travail et fondatrice de BeYourBestSelf, une entreprise de conseils pour particuliers et entreprises - Aniéla Vé Kouakou, consultante en Ressources humaines, fondatrice de Agiloya Afrique, un cabinet de conseils et de recrutement basé à Abidjan en Côte d'Ivoire. Et un entretien de Loubna Anaki, notre correspondante à New-York revient sur la grande démission et les licenciements massifs qui bousculent tout le pays. Programmation musicale : ► Fantasy - Romane ► En Haut - Didi B
Depuis 2012, un rapport mondial du bonheur classe chaque année les pays les plus heureux. En tête du classement pour l'année 2022, la Finlande pour la cinquième année consécutive, suivi par le Danemark et l'Islande. A contrario, l'Afghanistan et le Liban se trouvent en dernières positions. Pour calculer son indice du bonheur, l'ONU mesure le PIB par habitant, le soutien social, l'espérance de vie en bonne santé, la liberté dans les choix de vie de l'individu, la générosité perçue et le faible niveau de corruption perçue. Une vision qui favorise le développement durable, l'élimination de la pauvreté et la réduction des inégalités ainsi que le bien-être de tous les peuples. Quels défis pour être heureux à 8 milliards ? Cette émission est une rediffusion du 18/11/2022 Avec : - Jean-Christophe Ribot, auteur, réalisateur du documentaire «Le business du bonheur» disponible sur Arte.tv - Claudia Senik, professeure à Sorbonne-Université et PSE-École d'Économie de Paris, directrice de l'Observatoire du bien-être au Cepremap (centre pour la recherche économique et ses applications). Et un entretien de Sébastien Farcis, correspondant en Inde, le yoga en Inde, source de bien-être transgénérationnel. Et un entretien de Jérémie Richard, correspondant en Islande, qu'est-ce qui rend les Islandais si heureux ? Nous donnons la parole aux enfants dans «8 milliards de voisins» ! Une fois par mois, des enfants discutent autour d'un thème philosophique, comme l'amour, l'avenir, la peur... et aujourd'hui, le bonheur ! Ils sont 6, âgés de 9 ou 10 ans, au micro de Charlie Dupiot : deux garçons, Darel et Ivan (se prononce Ivane), et quatre filles, Inès, Anaëlle, Lucile et Maeva. Ils sont élèves dans la même classe, au sein de l'École maternelle et primaire «Le Petit Poucet», une école privée à Cotonou au Bénin. Programmation musicale : ► Ride with me - Jay 21 ► Earth Odyssey - Asaf Avidan
Depuis 2012, un rapport mondial du bonheur classe chaque année les pays les plus heureux. En tête du classement pour l'année 2022, la Finlande pour la cinquième année consécutive, suivi par le Danemark et l'Islande. A contrario, l'Afghanistan et le Liban se trouvent en dernières positions. Pour calculer son indice du bonheur, l'ONU mesure le PIB par habitant, le soutien social, l'espérance de vie en bonne santé, la liberté dans les choix de vie de l'individu, la générosité perçue et le faible niveau de corruption perçue. Une vision qui favorise le développement durable, l'élimination de la pauvreté et la réduction des inégalités ainsi que le bien-être de tous les peuples. Quels défis pour être heureux à 8 milliards ? Cette émission est une rediffusion du 18/11/2022 Avec : - Jean-Christophe Ribot, auteur, réalisateur du documentaire «Le business du bonheur» disponible sur Arte.tv - Claudia Senik, professeure à Sorbonne-Université et PSE-École d'Économie de Paris, directrice de l'Observatoire du bien-être au Cepremap (centre pour la recherche économique et ses applications). Et un entretien de Sébastien Farcis, correspondant en Inde, le yoga en Inde, source de bien-être transgénérationnel. Et un entretien de Jérémie Richard, correspondant en Islande, qu'est-ce qui rend les Islandais si heureux ? Nous donnons la parole aux enfants dans «8 milliards de voisins» ! Une fois par mois, des enfants discutent autour d'un thème philosophique, comme l'amour, l'avenir, la peur... et aujourd'hui, le bonheur ! Ils sont 6, âgés de 9 ou 10 ans, au micro de Charlie Dupiot : deux garçons, Darel et Ivan (se prononce Ivane), et quatre filles, Inès, Anaëlle, Lucile et Maeva. Ils sont élèves dans la même classe, au sein de l'École maternelle et primaire «Le Petit Poucet», une école privée à Cotonou au Bénin. Programmation musicale : ► Ride with me - Jay 21 ► Earth Odyssey - Asaf Avidan
Environ 244 millions d'enfants ne vont toujours pas à l'école dans le monde, a annoncé l'ONU, début septembre 2022. Plus de 40% de ces enfants et adolescents non scolarisés, soit 98 millions d'entre eux, vivent en Afrique subsaharienne. Il s'agit notamment d'enfants au Nigeria (20,2 millions), en Éthiopie (10,5 millions), en République démocratique du Congo (5,9 millions) ou encore au Kenya (1,8 millions), selon l'agence onusienne. Au vu de ces résultats, l'objectif d'une éducation de qualité pour tous d'ici 2030, fixé par les Nations unies, risque de ne pas être atteint. Comment garantir un accès à l'éducation pour tous les enfants dans des pays pauvres ou en crise, et avec une forte croissance de la démographie scolaire ? Cette émission est une rediffusion du 17/11/2022 Avec : - Nesmy Manigat, ministre de l'Éducation nationale d'Haïti - Ibrahim Natatou, ministre de l'Éducation nationale du Niger - Amélie Gagnon, démographe à l'Institut International de Planification de l'Éducation de l'Unesco (IIPE-Unesco) - Patrick Montjouridès, analyste principal des Politiques éducatives sur le Rapport mondial de suivi sur l'éducation, Unesco. Programmation musicale : ► Loango weaver - Les mamans du Congo ► Common - Quinn XCII ft. Big Sean.
Environ 244 millions d'enfants ne vont toujours pas à l'école dans le monde, a annoncé l'ONU, début septembre 2022. Plus de 40% de ces enfants et adolescents non scolarisés, soit 98 millions d'entre eux, vivent en Afrique subsaharienne. Il s'agit notamment d'enfants au Nigeria (20,2 millions), en Éthiopie (10,5 millions), en République démocratique du Congo (5,9 millions) ou encore au Kenya (1,8 millions), selon l'agence onusienne. Au vu de ces résultats, l'objectif d'une éducation de qualité pour tous d'ici 2030, fixé par les Nations unies, risque de ne pas être atteint. Comment garantir un accès à l'éducation pour tous les enfants dans des pays pauvres ou en crise, et avec une forte croissance de la démographie scolaire ? Cette émission est une rediffusion du 17/11/2022 Avec : - Nesmy Manigat, ministre de l'Éducation nationale d'Haïti - Ibrahim Natatou, ministre de l'Éducation nationale du Niger - Amélie Gagnon, démographe à l'Institut International de Planification de l'Éducation de l'Unesco (IIPE-Unesco) - Patrick Montjouridès, analyste principal des Politiques éducatives sur le Rapport mondial de suivi sur l'éducation, Unesco. Programmation musicale : ► Loango weaver - Les mamans du Congo ► Common - Quinn XCII ft. Big Sean.
durée : 00:02:42 - C'est mon boulot - par : Philippe DUPORT - "C'est mon boulot", pendant ces deux semaines de fin d'année, on s'intéresse à "la grande démission". Jeudi 29 décembre, Kaelig Sadaune a quitté son entreprise parisienne pour s'installer dans les Pyrénées-Atlantiques.
De nombreux hommes d'affaires russes, liés de près ou de loin à Vladimir Poutine et aux géants de l'énergie, sont morts dans des circonstances troublantes depuis le début de la guerre en Ukraine.
Alors que l'insécurité alimentaire reste stable au niveau mondial, la faim a gagné du terrain. En 2021, 828 millions de personnes ont souffert de la faim dans le monde, en augmentation de 46 millions depuis 2020. Cette aggravation témoigne d'inégalités qui se sont accentuées entre les pays depuis la pandémie de Covid-19. En cause, une reprise économique différente et des pertes de revenus que les populations les plus touchées par la pandémie n'ont pas compensées. L'impact de la malnutrition cause des effets plus importants chez les jeunes enfants et les femmes. À l'échelle mondiale, 22% des enfants de moins de 5 ans présentent un retard de croissance, tandis qu'une femme sur trois souffre d'anémie. Comment fournir et garantir une alimentation plus saine et nutritive à tous ? À quels défis le commerce mondial de l'alimentation et les États sont-ils confrontés face au changement climatique ? Cette émission est une rediffusion du 16/11/2022 Avec : - Sylvie Brunel, géographe et professeure à l'Université de Paris-Sorbonne, auteure de «Pourquoi les paysans vont sauver le monde», aux éditions poche Harper-Collins - Ollo Sib, chercheur pour le Programme alimentaire mondial des Nations Unies, économiste agricole - Valentin BROCHARD, chargé du plaidoyer Souveraineté alimentaire au CCFD-Terre Solidaire. Et un entretien de Lucie Mouillaud, correspondante au Rwanda, sur les solutions rwandaises pour nourrir sa population alors que les terres agricoles manquent. Le pays ne compte qu'un hectare pour nourrir 10 habitants. Programmation musicale : ► About My World - Kubix, Mirna Haje, Rev. Tishion ► J'prends la confiance - Youssoupha.
Alors que l'insécurité alimentaire reste stable au niveau mondial, la faim a gagné du terrain. En 2021, 828 millions de personnes ont souffert de la faim dans le monde, en augmentation de 46 millions depuis 2020. Cette aggravation témoigne d'inégalités qui se sont accentuées entre les pays depuis la pandémie de Covid-19. En cause, une reprise économique différente et des pertes de revenus que les populations les plus touchées par la pandémie n'ont pas compensées. L'impact de la malnutrition cause des effets plus importants chez les jeunes enfants et les femmes. À l'échelle mondiale, 22% des enfants de moins de 5 ans présentent un retard de croissance, tandis qu'une femme sur trois souffre d'anémie. Comment fournir et garantir une alimentation plus saine et nutritive à tous ? À quels défis le commerce mondial de l'alimentation et les États sont-ils confrontés face au changement climatique ? Cette émission est une rediffusion du 16/11/2022 Avec : - Sylvie Brunel, géographe et professeure à l'Université de Paris-Sorbonne, auteure de «Pourquoi les paysans vont sauver le monde», aux éditions poche Harper-Collins - Ollo Sib, chercheur pour le Programme alimentaire mondial des Nations Unies, économiste agricole - Valentin BROCHARD, chargé du plaidoyer Souveraineté alimentaire au CCFD-Terre Solidaire. Et un entretien de Lucie Mouillaud, correspondante au Rwanda, sur les solutions rwandaises pour nourrir sa population alors que les terres agricoles manquent. Le pays ne compte qu'un hectare pour nourrir 10 habitants. Programmation musicale : ► About My World - Kubix, Mirna Haje, Rev. Tishion ► J'prends la confiance - Youssoupha.
Le logement décent est un droit international relatif aux droits humains. Pourtant, plus d'1 milliard de personnes vivent dans des habitations dangereuses ou indignes comme des bidonvilles ou des logements surpeuplés. Des conditions de vie qui mettent en péril la vie ou la santé des mal logés. En outre, des millions de personnes sont expulsées ou menacées d'expulsion de leur logement par la force chaque année. Alors que l'électricité est le moteur de notre mode de vie, près de 750 millions de personnes vivent coupées de tout courant. Beaucoup vivent aussi sans accès à l'eau potable et aux toilettes. Comment garantir à tous un toit décent ? Faut-il détruire ou réhabiliter les quartiers précaires ? Comment acheminer les services essentiels dans des villes non planifiées ? (Cette émission est une rediffusion du 15/11/2022) Avec : - Frédéric Saliez, chargé de programme pour ONU Habitat - Sylvain Joachim, responsable équipe projet au sein de la Division urbaine à l'AFD, Agence française de développement qui finance et accompagne des projets dans 115 pays - Thierry Paquot, philosophe de l'Urbain, auteur de « Mesure et démesure des villes », aux éditions CNRS et « Les bidonvilles », aux éditions La Découverte. Et un entretien de Victor Mauriat, correspond au Maroc, sur la réhabilitation des quartiers précaires et les logements sociaux confrontés à l'inflation des prix de la construction. Programmation musicale : ► Il est ou le SAV - Suzane (feat. Témé Tan) ► Todo el mundo - Ibrahim Maalouf, Alemeda
Le logement décent est un droit international relatif aux droits humains. Pourtant, plus d'1 milliard de personnes vivent dans des habitations dangereuses ou indignes comme des bidonvilles ou des logements surpeuplés. Des conditions de vie qui mettent en péril la vie ou la santé des mal logés. En outre, des millions de personnes sont expulsées ou menacées d'expulsion de leur logement par la force chaque année. Alors que l'électricité est le moteur de notre mode de vie, près de 750 millions de personnes vivent coupées de tout courant. Beaucoup vivent aussi sans accès à l'eau potable et aux toilettes. Comment garantir à tous un toit décent ? Faut-il détruire ou réhabiliter les quartiers précaires ? Comment acheminer les services essentiels dans des villes non planifiées ? (Cette émission est une rediffusion du 15/11/2022) Avec : - Frédéric Saliez, chargé de programme pour ONU Habitat - Sylvain Joachim, responsable équipe projet au sein de la Division urbaine à l'AFD, Agence française de développement qui finance et accompagne des projets dans 115 pays - Thierry Paquot, philosophe de l'Urbain, auteur de « Mesure et démesure des villes », aux éditions CNRS et « Les bidonvilles », aux éditions La Découverte. Et un entretien de Victor Mauriat, correspond au Maroc, sur la réhabilitation des quartiers précaires et les logements sociaux confrontés à l'inflation des prix de la construction. Programmation musicale : ► Il est ou le SAV - Suzane (feat. Témé Tan) ► Todo el mundo - Ibrahim Maalouf, Alemeda
Vous le savez, si Jean-Baptiste Guégan est le sosie vocal de Johnny Hallyday, l'artiste est très souvent accompagné de ses nombreux amis, eux aussi véritables stars des imitations...
Le nombre de victimes de guerre diminue depuis 1946 selon l'ONU, mais on observe à l'échelle mondiale une recrudescence des conflits et de la violence. Principales causes de ces affrontements : des tensions locales non résolues, l'effondrement de l'État de droit, la pénurie de ressources naturelles comme l'eau ou bien encore le changement climatique. Face à une population toujours plus importante, comment prévenir les conflits émergents et garantir la sécurité ? Comment prendre en compte le changement climatique et ses conséquences sur les conflits et l'insécurité ? (Cette émission est une rediffusion du 14/11/2022) Avec : - Hervé Le Bras, démographe, historien français, directeur de recherche émérite à l'Institut national d'études démographiques (INED) et auteur de «Tableau historique de la France. La formation des courants politiques de 1789 à nos jours», aux éditions du Seuil - Emmanuel Pont, essayiste, bloggeur «Enquêtes écosophiques» et auteur de «Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ?», aux éditions Payot - Patrick Lagadec, chercheur spécialiste de la gestion du risque et de la gestion de crise, directeur de recherche honoraire de l'École Polytechnique - Emmanuel Chauvin, maître de conférence à l'Université de Toulouse Jean Jaurès, auteur de «Conflits et violences dans le bassin du lac Tchad», aux éditions de l'IRD. Et un entretien de Stéphane Lagarde, correspondant en Chine, quels progrès pour les villes chinoises surpeuplées et polluées ? Programmation musicale : ► Zorromi – Vaudou Game ► Y tu te vas – La Femme (avec Tatiana Hazel au chant).
Le nombre de victimes de guerre diminue depuis 1946 selon l'ONU, mais on observe à l'échelle mondiale une recrudescence des conflits et de la violence. Principales causes de ces affrontements : des tensions locales non résolues, l'effondrement de l'État de droit, la pénurie de ressources naturelles comme l'eau ou bien encore le changement climatique. Face à une population toujours plus importante, comment prévenir les conflits émergents et garantir la sécurité ? Comment prendre en compte le changement climatique et ses conséquences sur les conflits et l'insécurité ? (Cette émission est une rediffusion du 14/11/2022) Avec : - Hervé Le Bras, démographe, historien français, directeur de recherche émérite à l'Institut national d'études démographiques (INED) et auteur de «Tableau historique de la France. La formation des courants politiques de 1789 à nos jours», aux éditions du Seuil - Emmanuel Pont, essayiste, bloggeur «Enquêtes écosophiques» et auteur de «Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ?», aux éditions Payot - Patrick Lagadec, chercheur spécialiste de la gestion du risque et de la gestion de crise, directeur de recherche honoraire de l'École Polytechnique - Emmanuel Chauvin, maître de conférence à l'Université de Toulouse Jean Jaurès, auteur de «Conflits et violences dans le bassin du lac Tchad», aux éditions de l'IRD. Et un entretien de Stéphane Lagarde, correspondant en Chine, quels progrès pour les villes chinoises surpeuplées et polluées ? Programmation musicale : ► Zorromi – Vaudou Game ► Y tu te vas – La Femme (avec Tatiana Hazel au chant).
Nombreux sont des haïtiens qui partent chez leurs voisins dominicains a la recherche d'une vie meilleure. Loin de l'insécurité et du chômage qui handicape le développement de leurs pays d'origine, ils croient que cette nouvelle terre d'accueil ( République dominicaine ) peut leur offrir des opportunités pour concrétiser leurs rêves mais hélas ils sont vite rattrapes par la déception et l'haïtianophobie qui transforment leurs rêves en cauchemar. Ils sont majoritairement des jeunes filles et garçons, lassés de vivre sous le joug de la violence que connait leur pays, traversent chaque jour la frontière haïtien-dominicaine pour s'offrir une vie meilleure. C'est l'illusion totale car ils ne sont pas les bienvenus sur le sol dominicain et ce, malgré leur apport considérable dans l'économie de ce pays. Les mesures migratoires appliquées contre ces derniers ne cadrent pas avec les normes et conventions sur les droits des migrants dont la République dominicaine est tenue de respecter en tant qu'Etat signataire. Depuis quelques mois des voix s'élèvent aux nations unies pour demander au gouvernement dominicain d'arrêter les déportations massives visant particulièrement les haïtiens, un appel que le président Luis C. Abinader rejette catégoriquement sous couverture de la loi dominicaine. Pour seulement les trois derniers mois de l'année 2022 environ 100.mille haïtiens sont refoulés chez eux selon un récent rapport publié par l'Office National de la Migration (ONM). --- Send in a voice message: https://anchor.fm/jause-varin/message
Chaque matin, Anaïs Castagna vous donne des informations pratiques et des conseils autour de la consommation et de l'écologie. De l'info, de l'humour et de la bonne humeur… Cette année, Charles Magnien gagne une demi-heure. Avec Anaïs Castagna, ils accompagnent jusqu'à 6h30 les Français qui se lèvent tôt. Nouveautés cette saison : Arthur Asquin rejoint l'équipe de Charles Matin avec une nouvelle chronique : l'info marquante du jour à ne pas manquer ; et pour ne rien louper de l'actualité sportive, Thibaud Texeire incarnera tous les matins la Story Sport.
Lors d'une session extraordinaire de l'Organisation internationale du cacao, qui s'est tenue le 8 décembre à Montpellier, producteurs et acheteurs se sont mis d'accord pour lancer des études sur la possibilité de créer une bourse du cacao en Afrique. Aujourd'hui, les cours du cacao sont décidés à Londres ou New York. En rapprochant cette bourse des lieux de production, l'Afrique espère à terme une remontée des cours. Mais pour réaliser cette ambition, il faudra surmonter de nombreux obstacles. Avec notre correspondant à Montpellier, Une bourse du cacao en Afrique ? Narcisse Ghislain Olinga, délégué du Cameroun à l'Organisation internationale du cacao, y est 100% favorable : « L'un des problèmes majeurs, c'est le mécanisme de fixation de prix, affirme ce dernier. Il est fixé à Londres et à New York, où le producteur de cacao n'a aucune visibilité. On vous propose un prix qui, en réalité, ne vous permet même pas de couvrir pas vos charges de production. Nous nous réjouissons que les pays producteurs aient commencé à prendre ce problème à bras le corps. » Mais Jean-Luc Desverchère, exportateur ivoirien à San Pedro, premier port du cacao au monde, reste sceptique : « Entre l'offre et la demande, et les fonds de pension qui interviennent dans un marché spéculatif, est-ce qu'on peut parler vraiment d'offre et de demande ? Il y a un problème de spéculation. Le marché est-il vraiment intéressé par le devenir des planteurs ? » ► À lire aussi : Le cacao est-il en surproduction ? S'accorder sur la devise et les questions logistiques Cette bourse se concentrerait sur les quatre gros producteurs africains que sont la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Nigeria et le Cameroun. Mais pour qu'elle fonctionne, il faut qu'elle attire les acheteurs, et sur de gros volumes, pour avoir des prix représentatifs. Côté africain, il y a aussi des obstacles à surmonter, propres aux quatre pays concernés. « Une bourse, ce n'est pas une société ordinaire, explique Michel Arrion, le directeur général de l'organisation internationale du cacao. Il y a toute la réglementation financière à respecter, or ces quatre pays ont quatre monnaies différentes. Se décider sur la devise utilisée pour libeller les contrats est une grosse difficulté. On n'aura pas un accord sur la bourse si on n'a pas aussi un accord sur toutes les questions logistiques : les livraisons, les entrepôts, le fonctionnement des ports d'exportation. Cela pourrait être un élément facilitant le commerce, mais il va falloir faire de gros efforts des deux côtés. » Les promoteurs de la bourse du cacao pourront en tout cas s'appuyer sur d'autres exemples africains, comme la bourse des matières premières créée à Addis-Abeba en 2008, et qui sert notamment à commercialiser le café des producteurs éthiopiens. ► À lire aussi : Quelles pistes pour lutter contre le « swollen shoot », la maladie redoutable du cacao ?
L'atelier des médias s'est rendu à Nouakchott, capitale de la Mauritanie, à la rencontre de journalistes. Ils racontent le cheminement de la presse indépendante mauritanienne depuis l'ouverture à la démocratie il y a trois décennies. Il faut aussi part des nombreux défis qui subsistent parmi lesquels la formation des journalistes ou encore une meilleure structuration des médias. Bakari Guèye, un des doyens du journalisme en Mauritanie – il s'est lancé en 1992, alors qu'il était professeur de français –, raconte comment la presse indépendante s'est développée dans le pays, magré l'absence d'école de journalisme. Si ces trente dernières années n'ont pas été un long fleuve tranquille, actuellement « aucune question n'est taboue au niveau de la presse. La liberté de la presse est une réalité [...] le pouvoir comprend qu'elle est nécessaire », assure-t-il. Journaliste et blogueur sur Mondoblog,Bakari explique que cette deuxième casquette lui permet de « [se] lacher complètement ». Journalisme et blogging « peuvent faire bon ménage », à tel point que cela peut être une « nécessité pour un journaliste d'allier les deux », estime-t-il. Awa Seydou Traoré, journaliste indépendante diplômée du Cesti et elle aussi blogueuse sur Mondoblog, se sert de son blog pour « donner son opinion », partager son « regard sur le monde ». « Le faits sont sacrés, les commentaires sont libres », rappelle celle qui travaille notamment sur les droits des femmes et les questions de migrations. Elle insiste sur le nécessaire « développement de la formation des journalistes en Mauritanie », où « il n'y a pas encore d'école de journalisme en bonne et dûe forme ». Pour qu'un journalisme de qualité s'installe durablement, il faut que le métier se professionnalise, dit-elle. Mohamed Diop travaille notamment pour l'agence de presse privée Al-Akhbar, mais aussi pour TV5 Monde et VOA. Il commence par présenter Al-Akhbar, média en français et en arabe qui mène des enquêtes et réussit à maintenir une certaine indépendance vis-à-vis des pressions politiques. Il liste les principaux défis des médias mauritaniens : le manque de journalistes qualifiés, la publicité accaparée par les médias publics, les fonds d'aides publics à la presse privée qui ne sont pas suffisants, ou encore la nécessaire structuration des médias en véritables entreprises de presse. Mondoblog audio fait entendre la blogueuse malgache Sergia Fenosoa. Elle explique la nécessité d'éduquer les garçons tout autant que les filles.
La carrière de Kate Moss a de quoi surprendre. Plus que menue, la Britannique ne répondait pas vraiment aux standards du mannequinat de son époque. Pourtant, elle a bel et bien fait carrière sur les podiums... et a même servi d'égérie dans de nombreux clips musicaux ! Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Hervé Le Bras, est un démographe et historien français, chercheur à l’Institut national d’études démographiques (INED) et enseignant à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS). Dernier livre « Le grand enfumage populisme et immigration dans sept pays européens » (Ed. de l’aube). Le grand enfumage (editionsdelaube.fr) Père Sylvain Gasser, prêtre assomptionniste, éditeur et musicologue il travaille … Continued
Chaque matin, Anaïs Castagna vous donne des informations pratiques et des conseils autour de la consommation et de l'écologie. De l'info, de l'humour et de la bonne humeur… Cette année, Charles Magnien gagne une demi-heure. Avec Anaïs Castagna, ils accompagnent jusqu'à 6h30 les Français qui se lèvent tôt. Nouveautés cette saison : Arthur Asquin rejoint l'équipe de Charles Matin avec une nouvelle chronique : l'info marquante du jour à ne pas manquer ; et pour ne rien louper de l'actualité sportive, Thibaud Texeire incarnera tous les matins la Story Sport.
Depuis 2012, un rapport mondial du bonheur classe chaque année les pays les plus heureux. En tête du classement pour l'année 2022, la Finlande pour la cinquième année consécutive, suivi par le Danemark et l'Islande. A contrario, l'Afghanistan et le Liban se trouvent en dernières positions. Pour calculer son indice du bonheur, l'ONU mesure le PIB par habitant, le soutien social, l'espérance de vie en bonne santé, la liberté dans les choix de vie de l'individu, la générosité perçue et le faible niveau de corruption perçue. Une vision qui favorise le développement durable, l'élimination de la pauvreté et la réduction des inégalités ainsi que le bien-être de tous les peuples. Quels défis pour être heureux à 8 milliards ? Avec : - Jean-Christophe Ribot, auteur, réalisateur du documentaire «Le business du bonheur» disponible sur Arte.tv - Claudia Senik, professeure à Sorbonne-Université et PSE-École d'Économie de Paris, directrice de l'Observatoire du bien-être au Cepremap (centre pour la recherche économique et ses applications). Et un entretien de Sébastien Farcis, correspondant en Inde, le yoga en Inde, source de bien-être transgénérationnel. Et un entretien de Jérémie Richard, correspondant en Islande, qu'est-ce qui rend les Islandais si heureux ? Nous donnons la parole aux enfants dans «8 milliards de voisins» ! Une fois par mois, des enfants discutent autour d'un thème philosophique, comme l'amour, l'avenir, la peur... et aujourd'hui, le bonheur ! Ils sont 6, âgés de 9 ou 10 ans, au micro de Charlie Dupiot : deux garçons, Darel et Ivan (se prononce Ivane), et quatre filles, Inès, Anaëlle, Lucile et Maeva. Ils sont élèves dans la même classe, au sein de l'École maternelle et primaire «Le Petit Poucet», une école privée à Cotonou au Bénin. Programmation musicale : ► Ride with me - Jay 21 ► Earth Odyssey - Asaf Avidan
Depuis 2012, un rapport mondial du bonheur classe chaque année les pays les plus heureux. En tête du classement pour l'année 2022, la Finlande pour la cinquième année consécutive, suivi par le Danemark et l'Islande. A contrario, l'Afghanistan et le Liban se trouvent en dernières positions. Pour calculer son indice du bonheur, l'ONU mesure le PIB par habitant, le soutien social, l'espérance de vie en bonne santé, la liberté dans les choix de vie de l'individu, la générosité perçue et le faible niveau de corruption perçue. Une vision qui favorise le développement durable, l'élimination de la pauvreté et la réduction des inégalités ainsi que le bien-être de tous les peuples. Quels défis pour être heureux à 8 milliards ? Avec : - Jean-Christophe Ribot, auteur, réalisateur du documentaire «Le business du bonheur» disponible sur Arte.tv - Claudia Senik, professeure à Sorbonne-Université et PSE-École d'Économie de Paris, directrice de l'Observatoire du bien-être au Cepremap (centre pour la recherche économique et ses applications). Et un entretien de Sébastien Farcis, correspondant en Inde, le yoga en Inde, source de bien-être transgénérationnel. Et un entretien de Jérémie Richard, correspondant en Islande, qu'est-ce qui rend les Islandais si heureux ? Nous donnons la parole aux enfants dans «8 milliards de voisins» ! Une fois par mois, des enfants discutent autour d'un thème philosophique, comme l'amour, l'avenir, la peur... et aujourd'hui, le bonheur ! Ils sont 6, âgés de 9 ou 10 ans, au micro de Charlie Dupiot : deux garçons, Darel et Ivan (se prononce Ivane), et quatre filles, Inès, Anaëlle, Lucile et Maeva. Ils sont élèves dans la même classe, au sein de l'École maternelle et primaire «Le Petit Poucet», une école privée à Cotonou au Bénin. Programmation musicale : ► Ride with me - Jay 21 ► Earth Odyssey - Asaf Avidan
Environ 244 millions d'enfants ne vont toujours pas à l'école dans le monde, a annoncé l'ONU, début septembre 2022. Plus de 40% de ces enfants et adolescents non scolarisés, soit 98 millions d'entre eux, vivent en Afrique subsaharienne. Il s'agit notamment d'enfants au Nigeria (20,2 millions), en Éthiopie (10,5 millions), en République démocratique du Congo (5,9 millions) ou encore au Kenya (1,8 millions), selon l'agence onusienne. Au vu de ces résultats, l'objectif d'une éducation de qualité pour tous d'ici 2030, fixé par les Nations unies, risque de ne pas être atteint. Comment garantir un accès à l'éducation pour tous les enfants dans des pays pauvres ou en crise, et avec une forte croissance de la démographie scolaire ? Avec : - Nesmy Manigat, ministre de l'Éducation nationale d'Haïti - Ibrahim Natatou, ministre de l'Éducation nationale du Niger - Amélie Gagnon, démographe à l'Institut International de Planification de l'Éducation de l'Unesco (IIPE-Unesco) - Patrick Montjouridès, analyste principal des Politiques éducatives sur le Rapport mondial de suivi sur l'éducation, Unesco. Programmation musicale : ► Loango weaver - Les mamans du Congo ► Common - Quinn XCII ft. Big Sean.
Environ 244 millions d'enfants ne vont toujours pas à l'école dans le monde, a annoncé l'ONU, début septembre 2022. Plus de 40% de ces enfants et adolescents non scolarisés, soit 98 millions d'entre eux, vivent en Afrique subsaharienne. Il s'agit notamment d'enfants au Nigeria (20,2 millions), en Éthiopie (10,5 millions), en République démocratique du Congo (5,9 millions) ou encore au Kenya (1,8 millions), selon l'agence onusienne. Au vu de ces résultats, l'objectif d'une éducation de qualité pour tous d'ici 2030, fixé par les Nations unies, risque de ne pas être atteint. Comment garantir un accès à l'éducation pour tous les enfants dans des pays pauvres ou en crise, et avec une forte croissance de la démographie scolaire ? Avec : - Nesmy Manigat, ministre de l'Éducation nationale d'Haïti - Ibrahim Natatou, ministre de l'Éducation nationale du Niger - Amélie Gagnon, démographe à l'Institut International de Planification de l'Éducation de l'Unesco (IIPE-Unesco) - Patrick Montjouridès, analyste principal des Politiques éducatives sur le Rapport mondial de suivi sur l'éducation, Unesco. Programmation musicale : ► Loango weaver - Les mamans du Congo ► Common - Quinn XCII ft. Big Sean.
Alors que l'insécurité alimentaire reste stable au niveau mondial, la faim a gagné du terrain. En 2021, 828 millions de personnes ont souffert de la faim dans le monde, en augmentation de 46 millions depuis 2020. Cette aggravation témoigne d'inégalités qui se sont accentuées entre les pays depuis la pandémie de Covid-19. En cause, une reprise économique différente et des pertes de revenus que les populations les plus touchées par la pandémie n'ont pas compensées. L'impact de la malnutrition cause des effets plus importants chez les jeunes enfants et les femmes. À l'échelle mondiale, 22% des enfants de moins de 5 ans présentent un retard de croissance, tandis qu'une femme sur trois souffre d'anémie. Comment fournir et garantir une alimentation plus saine et nutritive à tous ? À quels défis le commerce mondial de l'alimentation et les États sont-ils confrontés face au changement climatique ? Avec : - Sylvie Brunel, géographe et professeure à l'Université de Paris-Sorbonne, auteure de «Pourquoi les paysans vont sauver le monde», aux éditions poche Harper-Collins - Ollo Sib, chercheur pour le Programme alimentaire mondial des Nations Unies, chercheur au Cirad, économiste agricole - Valentin BROCHARD, chargé du plaidoyer Souveraineté alimentaire au CCFD-Terre Solidaire. Et un entretien de Lucie Mouillaud, correspondante au Rwanda, sur les solutions rwandaises pour nourrir sa population alors que les terres agricoles manquent. Le pays ne compte qu'un hectare pour nourrir 10 habitants. Programmation musicale : ► About My World - Kubix, Mirna Haje, Rev. Tishion ► J'prends la confiance - Youssoupha.
Alors que l'insécurité alimentaire reste stable au niveau mondial, la faim a gagné du terrain. En 2021, 828 millions de personnes ont souffert de la faim dans le monde, en augmentation de 46 millions depuis 2020. Cette aggravation témoigne d'inégalités qui se sont accentuées entre les pays depuis la pandémie de Covid-19. En cause, une reprise économique différente et des pertes de revenus que les populations les plus touchées par la pandémie n'ont pas compensées. L'impact de la malnutrition cause des effets plus importants chez les jeunes enfants et les femmes. À l'échelle mondiale, 22% des enfants de moins de 5 ans présentent un retard de croissance, tandis qu'une femme sur trois souffre d'anémie. Comment fournir et garantir une alimentation plus saine et nutritive à tous ? À quels défis le commerce mondial de l'alimentation et les États sont-ils confrontés face au changement climatique ? Avec : - Sylvie Brunel, géographe et professeure à l'Université de Paris-Sorbonne, auteure de «Pourquoi les paysans vont sauver le monde», aux éditions poche Harper-Collins - Ollo Sib, chercheur pour le Programme alimentaire mondial des Nations Unies, chercheur au Cirad, économiste agricole - Valentin BROCHARD, chargé du plaidoyer Souveraineté alimentaire au CCFD-Terre Solidaire. Et un entretien de Lucie Mouillaud, correspondante au Rwanda, sur les solutions rwandaises pour nourrir sa population alors que les terres agricoles manquent. Le pays ne compte qu'un hectare pour nourrir 10 habitants. Programmation musicale : ► About My World - Kubix, Mirna Haje, Rev. Tishion ► J'prends la confiance - Youssoupha.
Le logement décent est un droit international relatif aux droits humains. Pourtant, plus d'1 milliard de personnes vivent dans des habitations dangereuses ou indignes comme des bidonvilles ou des logements surpeuplés. Des conditions de vie qui mettent en péril la vie ou la santé des mal logés. En outre, des millions de personnes sont expulsées ou menacées d'expulsion, de leur logement par la force chaque année. Alors que l'électricité est le moteur de notre mode de vie, près de 750 millions de personnes vivent coupées de tout courant. Beaucoup vivent aussi sans accès à l'eau potable et aux toilettes. Comment garantir à tous un toit décent ? Faut-il détruire ou réhabiliter les quartiers précaires ? Comment acheminer les services essentiels dans des villes non planifiées ? Avec : - Frédéric Saliez, chargé de programme pour ONU Habitat - Sylvain Joachim, responsable équipe projet au sein de la Division urbaine à l'AFD, Agence française de développement qui finance et accompagne des projets dans 115 pays - Thierry Paquot, philosophe de l'Urbain, auteur de « Mesure et démesure des villes », aux éditions CNRS et « Les bidonvilles », aux éditions La Découverte. Et un entretien de Victor Mauriat, correspond au Maroc, sur la réhabilitation des quartiers précaires et les logements sociaux confrontés à l'inflation des prix de la construction. Programmation musicale : ► Il est ou le SAV - Suzane (feat. Témé Tan) ► Todo el mundo - Ibrahim Maalouf, Alemeda
Le logement décent est un droit international relatif aux droits humains. Pourtant, plus d'1 milliard de personnes vivent dans des habitations dangereuses ou indignes comme des bidonvilles ou des logements surpeuplés. Des conditions de vie qui mettent en péril la vie ou la santé des mal logés. En outre, des millions de personnes sont expulsées ou menacées d'expulsion, de leur logement par la force chaque année. Alors que l'électricité est le moteur de notre mode de vie, près de 750 millions de personnes vivent coupées de tout courant. Beaucoup vivent aussi sans accès à l'eau potable et aux toilettes. Comment garantir à tous un toit décent ? Faut-il détruire ou réhabiliter les quartiers précaires ? Comment acheminer les services essentiels dans des villes non planifiées ? Avec : - Frédéric Saliez, chargé de programme pour ONU Habitat - Sylvain Joachim, responsable équipe projet au sein de la Division urbaine à l'AFD, Agence française de développement qui finance et accompagne des projets dans 115 pays - Thierry Paquot, philosophe de l'Urbain, auteur de « Mesure et démesure des villes », aux éditions CNRS et « Les bidonvilles », aux éditions La Découverte. Et un entretien de Victor Mauriat, correspond au Maroc, sur la réhabilitation des quartiers précaires et les logements sociaux confrontés à l'inflation des prix de la construction. Programmation musicale : ► Il est ou le SAV - Suzane (feat. Témé Tan) ► Todo el mundo - Ibrahim Maalouf, Alemeda
Le nombre de victimes de guerre diminue depuis 1946 selon l'ONU, mais on observe à l'échelle mondiale une recrudescence des conflits et de la violence. Principales causes de ces affrontements : des tensions locales non résolues, l'effondrement de l'État de droit, la pénurie de ressources naturelles comme l'eau ou bien encore le changement climatique. Face à une population toujours plus importante, comment prévenir les conflits émergents et garantir la sécurité ? Comment prendre en compte le changement climatique et ses conséquences sur les conflits et l'insécurité ? Avec : - Hervé Le Bras, démographe, historien français, directeur de recherche émérite à l'Institut national d'études démographiques (INED) et auteur de «Tableau historique de la France. La formation des courants politiques de 1789 à nos jours», aux éditions du Seuil - Emmanuel Pont, essayiste, bloggeur «Enquêtes écosophiques» et auteur de «Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ?», aux éditions Payot - Patrick Lagadec, chercheur spécialiste de la gestion du risque et de la gestion de crise, directeur de recherche honoraire de l'École Polytechnique - Emmanuel Chauvin, maître de conférence à l'Université de Toulouse Jean Jaurès, auteur de «Conflits et violences dans le bassin du lac Tchad», aux éditions de l'IRD. Et un entretien de Stéphane Lagarde, correspondant en Chine, quels progrès pour les villes chinoises surpeuplées et polluées ? Programmation musicale : ► Zorromi – Vaudou Game ► Y tu te vas – La Femme (avec Tatiana Hazel au chant).
Le nombre de victimes de guerre diminue depuis 1946 selon l'ONU, mais on observe à l'échelle mondiale une recrudescence des conflits et de la violence. Principales causes de ces affrontements : des tensions locales non résolues, l'effondrement de l'État de droit, la pénurie de ressources naturelles comme l'eau ou bien encore le changement climatique. Face à une population toujours plus importante, comment prévenir les conflits émergents et garantir la sécurité ? Comment prendre en compte le changement climatique et ses conséquences sur les conflits et l'insécurité ? Avec : - Hervé Le Bras, démographe, historien français, directeur de recherche émérite à l'Institut national d'études démographiques (INED) et auteur de «Tableau historique de la France. La formation des courants politiques de 1789 à nos jours», aux éditions du Seuil - Emmanuel Pont, essayiste, bloggeur «Enquêtes écosophiques» et auteur de «Faut-il arrêter de faire des enfants pour sauver la planète ?», aux éditions Payot - Patrick Lagadec, chercheur spécialiste de la gestion du risque et de la gestion de crise, directeur de recherche honoraire de l'École Polytechnique - Emmanuel Chauvin, maître de conférence à l'Université de Toulouse Jean Jaurès, auteur de «Conflits et violences dans le bassin du lac Tchad», aux éditions de l'IRD. Et un entretien de Stéphane Lagarde, correspondant en Chine, quels progrès pour les villes chinoises surpeuplées et polluées ? Programmation musicale : ► Zorromi – Vaudou Game ► Y tu te vas – La Femme (avec Tatiana Hazel au chant).
durée : 00:34:59 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Louis Gautier-Vignal : "Peu nombreux sont les amis de Proust capables d'apporter sur lui leurs témoignages"
Il y a deux ans à travers tous les États-Unis résonnaient les slogans du mouvement Black Lives Matter après la mort brutale de George Floyd. Quelques mois plus tard Joe Biden était élu à la Maison-Blanche avec le soutien des Afro-américains. Mais à la veille des élections de mi-mandat, les démocrates peuvent-ils toujours compter sur le vote noir ? Joe Biden sait ce qu'il doit à la communauté afro-américaine. D'ailleurs, les démocrates en ont bien conscience : sans son soutien, les élections de mi-mandat dans quatre jours maintenant pourraient leur être fatale, notamment en Géorgie, état clé de la côte Est où l'afro-américain Raphael Warnock est candidat à sa réélection au poste de sénateur, et Stacey Abrams, elle aussi noire américaine va tenter pour la deuxième fois de devenir gouverneure. Mais la mobilisation de cette communauté pour des candidats noirs et démocrates est loin d'être un acquise et automatique. Reportage de notre envoyée spéciale en Géorgie, Stefanie Schüler. Midterms 2022 : l'inflation pèsera-t-elle sur les scrutins ? « Quand il y a des difficultés économiques, ce n'est jamais une bonne nouvelle pour le parti à la Maison Blanche » résume notre invité, Jeremy Ghez, professeur associé d'Économie et d'Affaires internationales à HEC Paris.Malgré un marché de l'emploi qui se porte bien, c'est l'inflation qui plombe les perspectives et inquiète les électeurs. Selon Jeremy Ghez, par sa politique de « relance de la demande (…) mais avec une offre qui peine à se remettre du covid et de la guerre en Ukraine », Joe Biden a en partie alimenter la machine inflationniste. « Ces difficultés, les républicains essayent d'en tirer profit » résume le spécialiste, qui note que « le débat est politique plutôt qu'économique ». Parce que les questions économiques sont redevenues la priorité des Américains, Joe Biden multiplie les prises de parole sur le sujet. Il y a eu « une erreur tactique des démocrates qui se croyaient protégés compte tenu de l'impopularité des républicains, notamment depuis le renversement de la loi fédérale sur l'avortement » explique Jeremy Ghez. « Nombreux démocrates croyaient que ce serait suffisant pour mobiliser les troupes, il s'avère que les difficultés économiques sont à nouveau au goût du jour et le retournement risque d'être difficile à opérer pour les démocrates ». Haïti : La PNH prend le contrôle du terminal de Varreux Les forces de l'ordre sont parvenues à investir le terminal pétrolier de Varreux ce jeudi 3 novembre, le plus gros terminal du pays, situé au sud-ouest de la capitale Port au Prince. Une première depuis le mois de septembre 2022. La police serait en train de « désengorger la route à l'aide d'engins lourds afin de la rouvrir à la circulation », selon la presse nationale. Des tirs sporadiques ont été entendus dans le secteur hier, mais la police a indiqué ne pas avoir recensé pour l'instant de morts ou de blessés parmi les membres des groupes armés. Les autorités n'ont pas officiellement fait de commentaires. Le blocage de ce terminal a entraîné la paralysie des principales activités du pays, et impacté la distribution d'eau potable. À la Une du Journal de la 1ère Un premier bilan du plan « Chlordécone 4 » au menu ce vendredi d'une rencontre entre les élus des Antilles et le ministère des outre-mers.
L'Allemagne a accueilli depuis le début de l'année plus de réfugiés qu'au cours de l'année 2015, principalement des Ukrainiens. Les communes tirent la sonnette d'alarme, même si on est loin des scènes chaotiques observées en 2015-2016 lorsqu'un million de réfugiés sont arrivés de Syrie, d'Irak et d'Afghanistan. De notre correspondante à Berlin, Tamara est arrivée de Kiev au mois de mars. Elle fait partie de ce million de réfugiés ukrainiens que l'Allemagne a accueillis depuis l'invasion russe. En cette belle journée d'octobre, cette jeune spécialiste marketing s'est rendue au salon de l'emploi spécialement organisé à Berlin par la Chambre de commerce et d'industrie à destination des réfugiés. Tamara voudrait créer sa start-up. Si son concept est encore secret, la jeune femme en est au tout début de son projet, et c'est directement au stand d'aide aux projets de start-up qu'elle s'est rendue sur le salon de l'emploi. Ce forum est l'un des nombreux signes qui montrent que sept années plus tard, l'Allemagne est nettement mieux préparée à l'arrivée des réfugiés qu'en 2015-2016, comme l'explique Elanur, au stand du café-projet Goldnetz, qui aide les femmes ukrainiennes. Ça marche beaucoup mieux, on est beaucoup mieux entraînés qu'en 2015. À l'époque, on était mal préparés à l'arrivée de ce très grand nombre de réfugiés. Les cours de langue, la participation à des cours d'intégration, le fait de bénéficier des prestations de l'Office pour l'emploi… Il fallait compter en moyenne trois mois avant que les gens puissent commencer à apprendre l'allemand ! Les réfugiés ukrainiens ont directement le droit de travailler, reçoivent tout de suite des cours de langue, ils ont tout de suite des titres de séjour… Pour l'instant, ça marche très bien.« Il n'y avait pas de volonté politique » Pour les Ukrainiens qui ont bénéficié rapidement du statut de protection temporaire de l'UE, tout va plus vite qu'avec les Syriens, les Irakiens ou les Afghans en 2015. Une situation frustrante pour Nora Bretzger, qui travaille depuis 2011 comme bénévole auprès des migrants. À vrai dire, on a beaucoup moins de travail avec les réfugiés ukrainiens qu'avec les autres, car on leur a accordé d'emblée tellement de droits. Quand quelqu'un arrive et a directement un titre de séjour, directement accès au marché du logement, directement accès au marché du travail, nous, les associations, nous n'avons pas autant besoin de nous battre. Ce qui est d'une certaine façon amer, car on voit que toutes les revendications que nous avions, en fait, c'est possible. C'est juste qu'il n'y avait pas de volonté politique. Mais si la situation est pour l'instant moins chaotique qu'en 2015, tout pourrait rapidement se dégrader. Déjà, les municipalités s'inquiètent. Partout, les logements manquent pour les nouveaux arrivés, et de nouveau, des salles de sport sont transformées en foyer d'urgence.
"La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux" Méditation de l'évangile (Lc 10, 1-9) par le père Michel Quesnel Chant final: "Alleluia, à notre Dieu" par Dan Luiten, Glorious, Dena Mwana, Sébastien Corn, Pauline Béruel, Samuel Olivier, Bénédiction
Il y a huit jours, une barque surchargée de migrants partie du Liban coulait en mer, au large de Tartous, en Syrie. Bilan dramatique : au moins cent morts avec à son bord des Libanais, des Syriens et des Palestiniens. Cette tragédie a braqué les projecteurs sur le nord du Liban où les départs clandestins vers l'Europe ont augmenté depuis 2020. La majorité des passagers sont Syriens rejoints par un nombre croissant de Libanais. En cause, l'effondrement, au Liban et en Syrie. Pêcheur du village d'Arida, Khaled Ali arrange ses filets près du fleuve Al-Kébir, qui se jette dans la Méditerranée ; sur l'autre rive, c'est la Syrie. Le nord du Liban est une région pauvre, isolée, avec une longue côte devenue un lieu de départs clandestins vers l'Europe. Un trafic que les pêcheurs voient grossir témoigne Khaled. « Avant, le trafic était faible, une barque par mois, maintenant, chaque jour il y a une ou deux barques. Ici à Arida, si on entre dix mètres en eau syrienne, le radar le détecte et on est intercepté. Les gens ne partent pas d'ici, mais de la côte voisine : Minié, Abdé, Cheikh Zennad. » Au bord du fleuve qui baigne Arida, Ahmed Nedawi, un autre pêcheur, montre les barques, à l'arrêt. Ce genre d'embarcations est devenu convoité par les trafiquants. « Des gens viennent sans cesse se renseigner pour acheter une barque. Mais c'est notre gagne-pain, on ne le vend pas. Avant, ça coûtait autour de 10 000 dollars. Aujourd'hui, c'est 25 000 ou 30 000. » Les pêcheurs d'Arida le jurent : le trafic ne part pas de chez eux. Mais dans d'autres villages, des hommes se sont mis à travailler, comme sentinelles. Au service de réseaux qui s'enrichissent. Khaled le pêcheur a perdu son cousin Ali, disparu dans le récent naufrage au large de Tartous. «C'est la crise qui alimente ces départs» « Mon cousin Ali voulait partir pour avoir un avenir et aider sa famille ici. C'est la crise qui alimente ces départs. Mais sans réseaux, il n'y aurait pas de traversées. Ces trafiquants persuadent les gens que d'autres sont arrivés en Europe sans encombre. Les gens vendent ce qu'ils ont, et ils partent. » Depuis le naufrage de Tartous, plusieurs villages du nord sont en deuil. À Qarqaf, où l'on vit de la terre, les habitants pleurent une mère, Salma, et ses quatre enfants. Seul le père des petits, Wissam Tellawi, a survécu, explique Abdel Rahman, l'oncle de Salma. « Wissam a cédé sa maison et ses terres au trafiquant et payé un peu d'argent pour voyager avec sa famille. Je ne connais pas personnellement ce trafiquant, mais il est d'un village voisin. Cela faisait un an que Wissam voulait voyager par la mer. Son beau-père le lui avait interdit. Nous ne savions pas qu'ils étaient partis. Nous, les proches de Salma, nous ne voulions pas qu'elle fasse ce voyage. » La maison, depuis, accueille des condoléances. Pour Abdel Rahman, pas de doute, c'est le désespoir causé par la crise au Liban qui a poussé la famille à partir. « Le plus jeune fils de Salma avait des problèmes d'élocution. Elle pensait qu'ici elle ne pourrait pas le soigner, mais qu'ailleurs ils se seraient peut-être occupés de lui, et que les enfants auraient reçu une bonne éducation. Ils visaient l'Italie, puis de là, d'aller en Allemagne. » Dans la région, les habitants sont persuadés que les départs clandestins vont se poursuivre, malgré le danger de la mer. ► À lire aussi: Naufrage au large du Liban: «Ici, quel futur avons nous, moi et mes enfants ?»
Pour son retour aux Grosses Têtes, Melha Bedia a exprimé les nombreux problèmes qu'elle rencontre. Entre myopie, astigmatie, l'actrice enchaîne les soucis... Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg
Au Sénégal, le nouveau gouvernement conduit par Amadou Ba, récemment nommé Premier ministre, entre en fonction alors que l'opposition a gagné beaucoup de terrain lors des derniers scrutins, notamment à l'issue des législatives du 31 juillet. La majorité au pouvoir a perdu 45 sièges de députés sur 162, conservant sa majorité absolue de justesse. L'équipe gouvernementale a été largement remaniée pour tenter de reconquérir les Sénégalais à 17 mois de l'élection présidentielle.
Si Elizabeth II a composé avec quinze premiers ministres britanniques, elle a vu et rencontré quatorze présidents américains. Harry. S Truman, Dwight D. Eisenhower, John Fitzgerald Kennedy, Richard Nixon, Ronald Reagan, George H.W. Bush, Trump... Nombreux sont les hommes d'État à avoir rencontré la reine et parfois même, sans respecter le protocole à la lettre. Sur un terrain de baseball avec George Bush, lors d'une valse à la Maison-Blanche avec Gerald Ford, ou de ballades équestres avec Reagan... Si la reine a tissé une relation particulière avec l'Amérique et ses présidents, elle n'a jamais oublié le rôle central que l'alliance transatlantique a joué dans l'histoire britannique. Chaque semaine, le mardi, Lionel Gendron nous adresse une Lettre d'Amérique. Un podcast sous forme de courrier audio, posté depuis Manhattan, à New York. Une carte postale sonore pour nous aider à mieux comprendre cette Amérique à la fois si familière et parfois totalement déconcertante.
Pour bien commencer la semaine, quoi de mieux qu'une blague d'Isabelle Mergault... Découvrez la page Facebook Officielle des "Grosses Têtes" : https://www.facebook.com/lesgrossestetesrtl/ Retrouvez vos "Grosses Têtes" sur Instagram : https://bit.ly/2hSBiAo Découvrez le compte Twitter Officiel des "Grosses Têtes" : https://bit.ly/2PXSkkz Toutes les vidéos des "Grosses Têtes" sont sur YouTube : https://bit.ly/2DdUyGg
Dès son instauration, "Parcoursup", le logiciel permettant d'orienter les lycéens après le Bac, créait déjà la polémique et posait de nombreux problèmes. Michel Chevalet expliquait alors sur RTL les origines de ces nombreux dysfonctionnements... Tout l'été, chaque jour du lundi au vendredi, retrouvez en podcast une des meilleures imitations de Laurent Gerra.