Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l’une des mille histoires qui, en 120 ans, ont construit la légende de l’OM.
Une première journée de championnat, c'est une émotion particulière. Depuis 1932 et les débuts du professionnalisme, 1945 et le retour à la compétition après la guerre, chaque premier match est sujet aux espoirs, aux craintes. La tension est très vive, avant. Dans ce dernier épisode de la série, c'est plutôt après que ça se passe... Lors d'une conférence de presse improbable à l'issue de laquelle El Loco annonce... sa démission !
Samedi 22 juillet 1989, jour de la sainte Marie Madeleine. Grand week-end de départs en vacances. L'autoroute est saturée dans la vallée du Rhône. Dans les embouteillages, on a baissé les vitres, car la clim' n'est pas encore répandue dans les véhicules. Et une forte odeur de goudron fondu envahit les narines. À Gerland, c'est le parfum du succès que l'on respire. L'Olympique Lyonnais vient de remonter en D1 après quatre années en D2. Le jeune président Jean-Michel Aulas a pris Bernard Tapie pour modèle, mais son directeur sportif et Bernard Lacombe et son entraîneur, Raymond Domenech, sont de vrais Lyonnais. L'OM est nettement favori à sa propre succession.
Le premier match de championnat : un événement en 1932 pour les débuts du professionnalisme, une renaissance en 1945 pour la reprise de la première division nationale après la guerre. Plusieurs décennies plus tard, c'est encore un moment très particulier, quand s'ouvre l'âge d'or de l'OM.
La première journée de championnat ! Le premier match officiel de la saison ! Il y a toujours une émotion particulière qui préside aux trois coups, un peu comme au théâtre. On est plein d'espoirs mais aussi de craintes. Et surtout, avant que ça ne commence, tout le monde est à égalité au classement. On se dit que cette année, c'est peut-être la bonne…. Les années ont passé, les décennies se sont succédé, mais comme on va le voir dans cette série à travers plus d'un siècle de football, la première journée, c'est toujours spécial.. Aujourd'hui, nous sommes en 1945 et la vie reprend peu à peu après la guerre, le football aussi
La première journée de championnat ! Le premier match officiel de la saison ! Il y a toujours une émotion particulière qui préside aux trois coups, un peu comme au théâtre. On est plein d'espoirs mais aussi de craintes. Et surtout, avant que ça ne commence, tout le monde est à égalité au classement. On se dit que cette année, c'est peut-être la bonne…. Les années ont passé, les décennies se sont succédé, mais comme on va le voir dans cette série à travers plus d'un siècle de football, la première journée, c'est toujours spécial... On commence aujourd'hui par la toute première journée du championnat professionnel de Première Division, le dimanche 11 septembre 1932.
Il est 23 heures, l'été a déjà posé sa patte sur Marseille en ce 26 juin 1971. Les Marseillais n'ont d'yeux que pour leur buteur. L'OM est champion, pour la première fois depuis 1948, mais à la sortie du stade Vélodrome, le public ne veut que Josip Skoblar, le Soulier d'Or, qui a marqué 44 buts. Le soire du sacre, il sera même obligé de s'enfuir du Vélodrome... dans un camion à pizza. Mario Albano raconte...
En ce 26 juin 1971, la lutte pour le titre a vite tourné en faveur de l'OM, comme on l'a vu hier. 3-0 en moins d'une demi-heure, 5-1 à la pause, Strasbourg ne pouvait pas égaliser et Saint-Etienne n'avait aucune chance de coiffer l'OM sur le poteau. Mais un autre duel se livre à distance entre Josip Skoblar et Salif Keita, pour le titre de meilleur buteur. Français mais aussi européen. Ce duel est somptueux
Samedi 26 juin 1971. 20h 30. Comme nous l'avons vu ces derniers jours, l'OM compte être sacré champion de France au soir de la 38e et dernière journée. Deux points d'avance sur Saint-Etienne, il suffit de ne pas perdre contre Strasbourg pour offrir à Marseille son premier titre depuis 1948. Strasbourg doit prendre un point pour ne pas descendre en D2. Le Racing, qui compte quelques internationaux, comme Jean-Noël Huck ou Marco Molitor et le grand meneur yougoslave Ivica Osim, sera combatif. A l'OM, Lucien Leduc aligne son équipe-type avec Jean-Pierre Lopez, Jean-Louis Hodoul, le capitaine Jules Zvunka et Edouard Kula en défense, Jacky Novi, Joseph Bonnel et Gilbert Gress au milieu, Roger Magnusson, Josip Skoblar et Charly Loubet en attaque. Didier Couécou est douzième homme. Dans les buts, Jean-Paul Escale dispute son dernier match à l'OM, dix ans après ses débuts. Il faudra attendre 2013 et Steve Mandanda pour qu'un gardien joue autant de matches que lui dans les buts olympiens. La suite ? Ecoutez là dans cet épisode...
26 juin 1971 : l'OM reçoit le Racing Club de Strasbourg au stade Vélodrome. C'est la dernière journée de championnat et comme on l'a vu hier, l'OM joue le titre. Cinq ans après être remonté en Première division, c'est magnifique. La situation est la suivante : l'OM est premier avec 53 points et une différence de buts de + 43, Saint-Etienne suit avec 51 points et + 38. La victoire vaut alors deux points. Un nul suffit donc aux Marseillais. Il suffirait aussi aux Strasbourgeois pour se maintenir en D1. Mais il n'entre pas dans les intentions olympiennes de jouer le nul...
Samedi 26 juin 1971. Ce soir, sera peut-être champion de France pour la première fois depuis 1948, soit 23 ans. Et tandis que la France entière fredonne le tube de Michel Delpech : « Pour un flirt avec toi… » Les Marseillais veulent flirter avec le titre…
En ce mercredi 29 mai 1991, sur les coups de 23 heures, des milliers de Marseillais sont en larmes. Devant leurs télés ou au stade San Nicola de Bari. Cette coupe d'Europe qui ne devait pas échapper à l'OM, qui semblait avoir fait le plus dur en éliminant Milan, ce sont les Yougoslaves de l'Etoile Rouge de Belgrade qui la soulèvent. C'est une grande désillusion et on se demande si pareille occasion se représentera un jour… Les Olympiens sont hébétés. Les uns tombent à genoux, d'autres ont le regard vide. Quant à Basile Boli, il pleure à chaudes larmes
Nous revoilà à Bari en ce mercredi 29 mai 1991, peu après 22h 30. L'OM, favori de sa première finale de coupe d'Europe des clubs champions, n'est pas parvenu à marquer un but à l'Etoile Rouge de Belgrade, qui n'a cherché qu'à défendre. Au bout de 120 minutes, la coupe aux grandes oreilles va se jouer aux tirs au but. Et ça, c'est de très mauvais augure… Voici un voyage sonore trente ans en arrière, avec les témoignages des principaux acteurs de cette insoutenable séance...
Il est 20h 15 ce mercredi 29 mai 1991, quand Tulio Lanese libère les deux équipes. Sur la pelouse du stade San Nicola de Bari, beaucoup découvrent l'Etoile Rouge de Belgrade. Mais les Yougoslaves ont tout de même éliminé le Bayern de Munich et un an plus tôt, ils ont bien failli sortir le Milan AC. Méfiance donc ! Les Olympiens se sentent solides. Tout le monde les voit favoris. Et pourtant, la physionomie des 120 minutes de jeu s'annoncent particulièrement triste... La faute à une équipe yougoslave qui va tout verrouiller.
Le 29 mai 1991, à Bari, l'OM est donc favori de la finale de la coupe d'Europe des clubs champions comme nous l'avons vu hier. Favori, le mot a un double sens. Le club marseillais a les faveurs du pronostic, mais il est aussi le préféré des Français. Autour de l'OM, c'est la folie. Dans les tribunes du stade San Nicola à Bari, autour des supporters qui sont déjà allés à Tirana ou à Poznan, qui se déplacent régulièrement, en car à Brest, à Lens ou à Metz, il y a aussi des people, le monde du spectacle à l'image de Jean-Paul Belmondo ou Richard Anconina, et de la politique, qui, sincèrement ou pas, veulent s'associer à un succès annoncé. L'OM est devenu une vraie marque et ses pin's s'arrachent à prix d'or au marché noir. Mais qui se souvient des pin's ? Quant à l'équipe, elle prépare avec un rôle de favori mais un peu d'inexpérience, ce rendez-vous historique pour le football français.
29 mai 1991, stade San Nicola de Bari : l'arbitre italien Tulio Lanese s'apprête à siffler le coup d'envoi de la 36e finale de la coupe d'Europe des clubs champions entre deux équipes qui la disputent pour la première fois, les Yougoslaves de l'Etoile Rouge de Belgrade et le grand favori, l'Olympique de Marseille. Incroyable non ? : le favori de la finale de la coupe d'Europe est un club français. Ça n'avait jamais été le cas, ni pour le Stade de Reims, face au Real Madrid en 1956 et 1959, ni pour l'AS Saint-Etienne en 1976 contre le Bayern Munich, qui venait de gagner deux fois le trophée, et encore moins pour le Sporting Etoile Club de Bastia contre le PSV Eindhoven en finale de la coupe de l'UEFA 1978. Jamais. L'OM favori, c'était une chose totalement incroyable...
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter au service des sports de La Provence, raconte l'une des mille anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, gros plan sur le passage d'Otto Gloria, l'entraîneur brésilien, à l'OM, au début des années 60. Il avait séduit les supporters en donnant la priorité au jeu. En termes de résultats, cela avait parfaitement fonctionné avec la remonté du club olympien en première division.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter au service des sports de La Provence, raconte l'une des mille anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, il évoque François Bracci, excellent joueur pourtant sanctionné par son président. Pour quelle raison ? Mario nous explique
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter au service des sports de La Provence raconte l'une des mille anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, il évoque les 100 millions promis par un repreneur. C'est en 1956...
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter au service des sports de La Provence, raconte l'une des milles anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, il évoque l'année 1990. Il est question de Coupe d'Europe, mais aussi de musique et de... séjour à l'hôpital
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter au service des sports de La Provence, raconte l'une des mille anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, il nous raconte l'histoire d'une photo : celle du ténor Luciano Pavarotti avec les joueurs de l'OM en 1997. Une photo qui a fait, à l'époque, la Une de La Provence, même si cela n'a pas été si simple.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter au service des sports de La Provence, raconte l'une des milles anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, il évoque le passage de Salik Keïta au sein de club olympien au cours de la saison 1972/73) en provenance directe de... Saint-Etienne, le grand rival de l'époque.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des mille histoires qui ont construit la légende de l'OM. Mais cette semaine, il a choisi de rendre à hommage à son ami Pape Diouf, qui vient de disparaître emporté par le coronavirus, et qu'il connaissait depuis 40 ans.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence raconte l'une des mille histoires qui ont construit la légende de l'OM. Cette semaine, il rend hommage à Michel Hidalgo, qu'il a rencontré pour la première fois en 1979.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des milles anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Malgré le confinement, les podcasts sont toujours enregistrés grâce à Skype et cette semaine, Mario revient sur le mythique OM - Mialn AC de 1991, quand un pylone du Vélodrome, tombant en panne, avait déclenché une fin de match complètement folle.
Chaque semaine, Mario Albano raconte l'une des mille anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Malgré le confinement, le podcast, enregistré via Skype, se poursuit. Et cette semaine, Mario revient sur le... GSCM, le Groupe Sporting Club Marseillais ! Une sorte d'OM "2", un deuxième club professionnel marseillais créé dans l'après-guerre, une sorte de filiale. Mais il n'a pas vécu bien longtemps !
Chaque semaine, Mario Albano raconte l'une des mille anecdotes qui ont construit la légende de l'OM. Malgré le confinement, le podcast, enregistré via Skype, se poursuit. Et cette semaine, parce que les grands rassemblements (et le Vélodrome) nous manquent, Mario revient sur certains matches assez anciens où l'enceinte du boulevard Michelet était tellement pleine qu'il y avait des spectateurs sur la piste du Vélodrome et même sur la pelouse ! A l'époque, même si les clubs de supporters n'existaient pas encore, c'était déjà très chaud !
Cette semaine, Mario Albano revient sur une époque où le championnat professionnel de football n'existait pas encore et où la Coupe de France était la compétition reine. Et c'est de cette période que date la dernière victoire d'Amiens à Marseille...
Cette semaine, Mario Albano revient sur un "accident" : la défaite de l'OM face à en mars 1972 face à Bastia qui a conduit au limogeage de l'entraîneur du moment Lucien Leduc. L'OM, leader avec sept points d'avance sur Nîmes, allait pourtant terminer champion de France avec Mario Zatelli sur le banc pour les dernières journées.
Cette semaine, Mario Albano revient le mythique OM - Bastia décisif pour la remontée en D1 à l'issue de la saison 65/66 sur la pelouse de l'Huveaune. Nantes était au sommet un étage au dessus mais l'OM allait revivre bientôt une époque glorieuse. Les Canaris ne le savaient pas encore mais il avaient de quoi trembler...
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des mille histoires qui, en 120 ans, ont construit la légende de l'OM.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des mille histoires qui, en 120 ans, ont construit la légende de l'OM.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des mille histoires qui, en 120 ans, ont construit la légende de l'OM.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des mille histoires qui, en 120 ans, ont construit la légende de l'OM.
Chaque semaine, Mario Albano, grand reporter à La Provence, raconte l'une des mille histoires qui, en 120 ans, ont construit la légende de l'OM.