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Livre international
Les fondements traditionnels et sociaux de l'écologie indienne

Livre international

Play Episode Listen Later Apr 19, 2025 4:33


Annie Montaut est linguiste de formation et spécialiste de la civilisation indienne. Son nouvel ouvrage Trois mille ans d'écologie indienne : Penser autrement la nature est un livre érudit et passionnant sur la pensée et les pratiques de l'écologie dans la civilisation indienne depuis ses lointaines origines. Entretien. Alors que l'Inde moderne est souvent montrée du doigt comme mauvais élève écologique à cause de ses records de pollution non-maîtrisée, les penseurs indiens n'ont cessé de réfléchir depuis des temps anciens sur les liens de l'homme avec son environnement. Faisant sienne l'affirmation de l'écologiste indienne Vandana Shiva selon laquelle l'Inde est dans ses « principes civilisationnels profonds » une civilisation fondamentalement écologique dans la mesure où elle ne sépare pas l'être humain des autres êtres vivants, l'essayiste Annie Montaut revient dans son nouvel opus sur les tenants et les aboutissants de la pensée écologique indienne. Le hiatus et le prolongement entre les fondements philosophiques et les pratiques écologiques contemporaines sont le sujet de ces pages.RFI : Comment est née l'idée de ce livre ?Annie Montaut : L'idée, elle est née, il y a très longtemps. Ce n'était pas l'idée d'un livre, c'était d'abord un intérêt, qui a été suscité, je dirais, dès mon arrivée en Inde où j'ai travaillé entre 1981 et 1987 en tant qu'enseignante dans une université à New Delhi. Il se trouve qu'à l'université j'étais collègue de Maya Jani qui était la secrétaire d'une association qui s'appelle « Navdanya ». C'est l'association de Vandana Shiva, connue pour son combat contre le brevetage des semences et pour avoir placé la femme et l'écologie au cœur du discours sur le développement moderne. J'ai donc connu très rapidement Vandana Shiva, en fait dès mon arrivée en Inde en 1981. A la suite, j'ai rencontré l'écologiste gandhien Anupam Mishra, qui, lui aussi, a beaucoup contribué à mener à bien ma réflexion sur les stratégies de protection de l'environnement en Inde. Mishra est l'homme de l'eau, de collecte, de gestion et de préservation de l'eau en milieu aride, notamment au Rajasthan. Quant à l'écologie tout court, pour ça il a fallu que j'aille puiser dans mon archéologie personnelle, familiale en particulier. Je suis d'origine rurale, à seulement deux générations. J'ai eu aussi un père qui m'a beaucoup sensibilisé aux dégradations commises dans nos campagnes françaises dès les années 1950. Ce livre est un mix de tout ça. C'est vrai qu'il y a beaucoup de militantisme dans ces pages, mais il y a aussi l'envie de faire découvrir ce qui se passait en Inde dans ce domaine à un public non-spécialisé, c'est-à-dire à d'autres que des indologistes.Annie Montaut, vous convoquez la linguistique, la littérature, la philosophie, les arts de l'Inde antique pour montrer que la conscience écologique existait en Inde depuis les débuts de la civilisation indienne. Mais vous dîtes aussi qu'en Inde il n'y avait pas de mots pour désigner autrefois l'environnement ou l'écologie. C'est plutôt paradoxal, non ?Non, non, si vous y réfléchissez, le mot « écologie » est moderne, le mot « environnement » au sens qu'il a aujourd'hui, c'est aussi un néologisme.  Donc, je pense que dans aucune culture traditionnelle, qu'elle soit orientale ou occidentale, il n'y avait pas de mot jusqu'à encore très récemment pour désigner ce qu'on appelle la discipline écologique ou environnementale. Oui, maintenant,  il y a des mots pour le dire ces choses-là. En Inde aussi, où on emploie beaucoup la terminologie anglaise. Le mot « environment » est couramment utilisé, « ecology » un peu moins. Il existe aussi des mots en hindi, souvent des mots savants que personne dans la rue n'emploie, mais qui sont des calques de l'« environment » anglais. On dira, par exemple, paristhiti, qui signifie la nature qui est autour, dont on est par définition extérieur, à l'écart, alors que selon la vision qui est particulièrement prégnante en Inde, l'homme n'est pas à l'extérieur de quelque chose qu'on appelle « nature » et qui nous environnerait. L'homme n'en est pas le maître, mais il en fait partie.La question fondamentale qui se pose alors : comment les Indiens pensent la nature ? C'est un sujet auquel vous avez consacré tout un chapitre de votre livre. Pourriez-vous nous en parler ?En Occident comme en Inde, avant « environment », on avait « nature » et « culture ». Chez nous, en Occident, les deux concepts s'opposent. Même linguistiquement, si les deux mots ont les mêmes suffixes, leurs racines sont différentes. En Inde, ça ne se passe pas du tout comme ça. Lexicalement déjà, dans les langues indo-aryennes, le mot pour dire « nature », c'est prakriti et sanskriti pour « culture ». Les deux mots sont formés sur une base verbale commune : kri. Ils sont construits à partir des préfixes différents, mais qui ne sont pas opposés. Le préfixe du mot signifiant la nature en langues indiennes désigne un mouvement dynamique, un développement interne, et le préfixe pour culture désigne son ordonnancement. Quant à la racine, commune aux deux termes, c'est une forme nominale du verbe « agir », un agir qui veut dire perfectionnement dans le cas de la culture et qui conçoit la nature comme un réservoir d'énergies libres. Moi, j'ai trouvé extrêmement intéressant que « nature » et « culture » soient les deux versants du même « agir ». Dans la tradition classique indienne, la nature est pensée comme l'amont de la culture, dans un même mouvement de l'énergie de création.Autrement dit, comme vous l'expliquez, nature et culture sont interconnectées dans la pensée indienne...Dans la conception indienne, les deux phénomènes se posent en partenariats. Ils sont interconnectés au sein d'un cosmos dans lequel l'homme fait partie et où les vivants acquièrent leur complétude dans leur interdépendance. Cette vision de l'interconnexion a été élaborée depuis des millénaires dans la pensée philosophique, spéculative et mystique indienne. On peut parler d'autant plus de l'interconnexion que l'ensemble du monde matériel procède des mêmes éléments fondamentaux. Il y a la terre, l'air, l'eau, le feu, le ciel, et tout est issu de ces éléments de base. L'être humain, il est formé des mêmes cinq éléments. L'être végétal, pareil. L'être animal, pareil. Tout le monde est formé de ces cinq éléments et on ne peut donc pas dissocier l'être humain, du milieu végétal, aquatique et aérien dont il fait aussi partie.Enfin, diriez-vous que cette vision plurimillénaire d'une création interconnectée continue de nourrir la pensée écologique indienne d'aujourd'hui ?C'est une question super difficile parce qu'il y a plusieurs écologies en Inde. Il y en a une qui m'a intéressée, c'est celle qui a donné lieu aux grands mouvements populaires et c'est celle qui a beaucoup contribué à faire connaître l'écologie indienne, en particulier la pensée dans ce domaine de Vandana Shiva à qui j'emprunte cette notion que la pensée indienne est fondamentalement écologique par sa philosophie de l'interconnexion généralisée. Parallèlement, vous avez ce qu'on appelle une écologie urbaine, qui n'a pas du tout les mêmes bases. Elle encourage, par exemple, la sanctuarisation de l'espace naturel sous forme de parcs naturels dont l'entrée est souvent payante, donc réservée à une élite argentée. Contrairement aux populations rurales, les défenseurs de cette écologie urbaine ne vivent pas l'idée de l'interconnexion de tous les vivants dans leur chair, tout simplement parce que quand on vit en ville, on ne voit plus la terre ! Mais comme l'Inde est encore largement rurale, la pensée de la nature et sa sauvegarde restent encore empreintes des idées traditionnelles d'interconnexion et de partenariat entre l'homme et son environnement.Peut-on dire que la rupture épistémologique en Inde dans son approche de la nature date de la période de la colonisation occidentale ?La colonisation a certes modifié en profondeur la vision indienne du monde et elle a eu des conséquences sur les pratiques écologiques comme dans d'autres domaines. Cette rupture coloniale a été largement documentée par une école qui s'appelle l'école des subalternistes. Ces derniers ont magnifiquement mis en lumière la schizophrénie entre des modes de pensée traditionnelle et des modes de pensée occidentale. La colonisation a été une entreprise de prédation avec ses exactions sur l'environnement au nom de la modernité, mais rien de commun avec ce qui s'est passé en Inde dans ce domaine après l'indépendance. La « révolution verte » des années 1970 a été le pas décisif pour modifier le rapport à la nature, avec un recours massif à l'agrochimie. En découle l'endettement des paysans qui sont obligés désormais d'acheter quantité de pesticides, d'herbicides et d'engrais chimiques. Ce changement de paradigme dans l'agriculture a entraîné dans son sillage la catastrophe de l'usine pétrochimique de Bhopal qui a endeuillé l'Inde en 1984. On a là un pays qui n'a rien à voir avec son écologie traditionnelle et ses décideurs jouent à fond le modèle développementaliste, qui est très critiqué par des écologistes indiens comme Anupam Mishra ou Vandana Shiva.Votre thèse sur la « vertuosité » de l'écologie indienne s'appuie sur les pratiques de sauvegarde de l'environnement au niveau des « grassroots », soit des populations de base. Pourriez-vous en citer quelques exemples saillants ?Ces pratiques ont la particularité d'émerger spontanément des besoins vitaux des populations marginalisées. Je pense aux habitants premiers qu'on appelle les « adivasis » qui, tout comme d'autres populations vivant dans des milieux fragiles, soit subdésertiques ou montagnards, défendent les ressources limitées dont ils dépendent pour leur survie. Elle est déterminée par l'entretien de leurs ressources, notamment en eau, en agriculture ou pour la chasse, car les « adivasis » chassent beaucoup. Les pratiques agroécologiques propres à ces communautés se caractérisent par une interaction basée sur le partenariat - et non sur la prédation - entre les acteurs et le milieu spécifique dans lequel ces derniers oeuvrent. Dans mon livre, j'ai évoqué longuement l'agropastoralisme, le respect de la forêt ou la métallurgie traditionnelle pratiquées par les communautés d'« adivasis », aux modes de vie particulièrement respectueux du vivant.Vous avez parlé aussi longuement des combats écologiques menés par les femmes indiennes, qui semblent jouer un rôle de premier plan dans ce domaine. L'exemple qui vient à l'esprit et qui est connu dans le monde entier, c'est le mouvement Chipko.En effet, les femmes furent au cœur de ce mouvement né dans les années 1970 pour la conservation des forêts en Inde. « Chipko » signifie littéralement « s'enlacer ». C'est ce que ces militantes ont fait en enlaçant les troncs des arbres de leur forêt pour empêcher les bûcherons missionnés par le gouvernement d'abattre les arbres. Elles ont effectivement réussi à stopper les tronçonneuses et le massacre programmé. Pourquoi ce sont les femmes qui étaient au premier plan ? En fait, dans la région des Himalayas, dans le nord de l'Inde où ce mouvement s'est déroulé, les hommes descendent en ville pendant la mousson pour trouver du travail qu'ils ne trouvent pas localement. C'était donc aux femmes restées sur place de prendre le flambeau. Elles l'ont fait avec courage et efficacité. Il faut dire que les femmes sont les premières concernées dans ces combats écologiques menaçant les ressources en eau ou en bois, indispensables pour la subsistance. Traditionnellement, en Inde, ce sont les femmes qui s'occupent du bétail. La forêt fournit du fourrage pour le bétail, du combustible pour cuisiner, elle est aussi le réservoir de plantes médicinales et de certaines plantes vivrières aussi. N'oublions pas les corvées d'eau ? Dans les villages indiens où l'eau courante n'arrive toujours pas, ce sont toujours des femmes qui sont obligées d'aller chercher de l'eau avec un pot sur la tête. L'économie vivrière étant très largement aux mains des femmes, ces dernières sont particulièrement sensibles aux menaces sur leurs ressources. Ce sont toujours les femmes qui ont mené la révolte contre les usines Coca-Cola parce qu'elles prenaient toute l'eau et l'empoisonnaient.Derrière votre célébration des pratiques écologiques indiennes, faites de combats et d'affirmation d'un modèle vertueux d'interaction entre l'homme et la nature basé sur partenariat et non prédation, difficile de ne pas lire une véhémente critique de la pensée écologique occidentale. L'écologie traditionnelle des pauvres pratiquée dans l'Inde des villages et des « adivasis » peut-elle être le modèle pour le monde ?  Elle peut évidemment, mais elle doit, si on ne veut pas, comme on le dit grossièrement, aller dans le mur. Ce ne sont certainement pas les techno-solutions qui vont permettre de reconstituer les sols abîmés dans le monde. L'écologie sera sociale ou ne sera pas comme l'a écrit l'écologiste belge Daniel Tanuro. En effet, on a besoin que se généralisent dans le monde des pratiques écologiques visant à préserver et à promouvoir une gestion holistique de la question de la protection de l'environnement, se substituant à la gestion aux visées prédatrices qui ne font que dégrader nos milieux vitaux. Cela dit, je ne voulais pas que mon livre soit une simple critique de l'occident, même si je critique un certain modèle de développement qui a bien sûr germé en Occident, mais qui n'a pas été adopté à travers tout le monde occidental. Il a été critiqué dès les années 1950 dans mon pays limousin où un chansonnier occitan, qui se faisait parfois porte-parole de la paysannerie française pour affirmer  qu'« épuiser la terre jusqu'à la rendre stérile » était comme « violenter une fille non-consentante ». Pour moi, ces propos ne sont pas sans rappeler les propos apocryphes du chef indien qui dans sa lettre apocryphe envoyée au président américain à la fin du XIXe siècle en apprenant qu'il allait devoir céder les terres de son peuple aux Etats-Unis, écrivait : « La terre n'appartient pas à l'homme, l'homme appartient à la terre ». Les résonances entre les propos du chanteur de mon pays limousin et ceux du chef indien sont la preuve que l'Occident est tout sauf monolithique.Propos recueillis par Tirthankar ChandaTrois mille ans d'écologie indienne : penser autrement la nature, de Annie Montaut, aux Éditions du Seuil, 235 pages, 23,50 euros.

Aujourd'hui l'économie
Guerre commerciale: quelles conséquences pour le secteur aéronautique?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 3:22


Dans un nouvel épisode de la guerre commerciale avec Washington, Pékin a ordonné à ses compagnies aériennes de suspendre les livraisons de Boeing et d'arrêter les achats de pièces d'avion fabriquées aux États-Unis. Après ce coup de tonnerre venant de Chine, c'est l'ensemble du secteur aérien et aéronautique qui retient son souffle. Car les constructeurs, les sous traitants, et les compagnies aériennes pourraient payer très cher les décisions de Donald Trump. Si c'est un véritable coup dur pour Boeing, dont un quart des exportations s'effectuent en Chine, c'est toute une filière qui pourrait se retrouver en difficulté face aux taxes douanières que veut imposer Donald Trump. Celles-ci sont en pause pour trois mois, mais les 10% en vigueur depuis le 9 avril ont déjà commencé à avoir des effets négatifs sur toute une chaine de production très mondialisée.Le risque porte notamment sur l'approvisionnement en composants aéronautiques. Les américains en importent une grande partie de l'Union européenne, et il faut en moyenne trois millions de pièces pour faire un avion. C'est le patron d'Airbus qui le rappelle et cela illustre bien la complexité de la guerre commerciale lancée par Donald Trump pour ce secteur, qui repose sur des échanges incessants entre l'Amérique du Nord et l'Europe.Les américains en première ligne Depuis 1980, un accord international exonérait de toutes taxes les produits aéronautiques civils. La politique tarifaire de Trump va surtout faire du mal aux américains, à Boeing notamment qui achète beaucoup d'équipements en Europe. Certains équipementiers ont d'ailleurs trouvé des astuces pour modifier leur circuit de livraison. Donald Trump a fait une petite concession : les composants aéronautiques importés du Canada et du Mexique ne sont pas taxés.  Quant aux compagnies aériennes nord-américaines, elles pourraient, elles aussi, avoir à payer le prix fort. Certaines comme Delta Airlines ont déjà fait savoir qu'elles préfèreraient repousser leurs prochaines livraisons d'avions.Surcoût des avions La compagnie Airbus dont le marché américain représente 15% du carnet de commande, pourrait lui aussi se retrouver en difficulté. L'avionneur européen est en partie protégé, car l'avionneur assemble une proportion de ses avions aux États-Unis ce qui lui permet de contourner certaines taxes, mais l'entreprise reste vulnérable : la plupart des pièces nécessaires à la fabrication notamment de l'A320, l'appareil le plus vendu au monde, sur sa chaine d'assemblage de l'Alabama sont importées et donc taxées. Selon Goldman Sachs, chaque A320 produit aux États-Unis pourrait subir un surcoût de 5 à 6 millions de dollars.Les gros-porteurs d'Airbus sont eux assemblés en France à Toulouse, mais la taxe s'appliquera sur le prix de vente final de l'appareil et la note pourrait être encore plus salée : de 50 à 70 millions de dollars supplémentaires par appareil. C'est une bataille qui s'engage où chacun va tenter de se faire passer la facture. Pour le directeur d'Airbus, il n'y a qu'une seule voie possible : c'est au client qui importe l'avion de payer la note, a affirmé son patron. Mais avec une surtaxe de 20%, il est peu probable que cette facture soit facile à avaler pour les clients.À lire aussiGuerre commerciale: Pékin suspend toutes les livraisons d'avions Boeing

C'est presque sérieux
Nivelles vaut vraiment le Détour (4) : Clavier azerty, expression française et Tour Sainte-Gertrude

C'est presque sérieux

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 42:28


Nouvelle émission-découverte de la ville des Aclots : Nivelles, la majestueuse, la savoureuse, l'accueillante… et ce midi, la survoltée ! On installe notre ring de culture générale en plein cœur du Brabant wallon, on a sorti les micros, Walid a affûté les questions pour mettre à l'épreuve Catherine, soutenue par Catherine Ronvaux, face à Stéphanie, coachée par Paul Mosseray. Quel duo déjouera les pièges et sera le plus heureux dans la pioche aux questions qui porteront (entre autres) sur les Beatles, une expression française évoquant Nivelles, une pionnière de l'enseignement et même les différences entre certains clavier azerty ! Quant à notre invité du jour, il nous présente un événement immanquable de l'année nivelloise, un chef-d'œuvre du Patrimoine oral et immatériel de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui existe depuis des siècles : le Tour Sainte-Gertrude, qui célèbrera sa 750ème édition en 2026 ! Qui était Sainte-Gertrude ? Qu'a-t-elle fait pour la ville ? En quoi consiste cette procession, et quel sera son avenir ? On en parle avec Philippe Draps, Président du Comité du Tour sainte-Gertrude https://www.toursaintegertrude.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Inside the GMAT
Exam Prep 101

Inside the GMAT

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 58:15


In this episode, Stacey Koprince from Manhattan Prep discusses the essential considerations when preparing to take a business school entrance exam. Stacey breaks down her top prep strategies and emphasizes the importance of understanding your study timeline, effective study techniques, recognizing when to take breaks, and the value of collaborative study. Additionally, she highlights the significance of practice tests in gauging progress and structuring a personalized study plan to ensure GMAT success. And of course, no conversation about GMAT prep is complete without covering all three sections of the exam: Quant, Verbal, and Data Insights. Resources: Manhattan Prep's Free GMAT Starter Kit GMAC's Official GMAT Free Starter Kit Takeaways: Preparing for business school starts before studying begins, and sometimes that prep even includes choosing a school/program. Even if a school/program is test optional, an entrance exam can enhance your application. Aim to start studying 3-5 months out, with five or six days of study each week. Prep tips: take breaks, set a timer for short study sessions can help overcome procrastination, and study in groups. Practice tests are essential for gauging progress, identifying weaknesses, and establishing a baseline score. Focus on actionable takeaways from mistakes to improve performance. Structuring your study in phases can lead to more effective learning. You have strengths and weaknesses in your review process. Understand the different question types and strategies for each. Utilize free resources and official materials from GMAC and Manhattan Prep for effective preparation! Chapters 00:00 Introduction 03:48 Choosing a Program 10:24 Exam Requirements 19:09 The Right Time to Take an Exam 23:40 Part-Time vs Full-Time Programs 27:51 GMAT Prep Timeline 32:24 Prep Motivation Techniques 37:13 Studying with Others 41:47 Practice Exams 45:34 How to Retain What You've Learned 52:46 GMAT Study Phases 59:36 Exam Best Practices 01:10:17 Recommended Prep Products 01:14:15 Key Takeaways 01:17:21 Conclusion

Afrique Économie
Au Congo-Brazzaville, début de la récolte de maïs dans la zone agricole protégée de Bouansa

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 2:17


Au Congo-Brazzaville, les zones agricoles protégées, lancées par le gouvernement en 2021 pour diversifier l'économie, commencent à devenir une réalité. À Bouansa, dans le sud du pays, la zone agricole protégée est consacrée à la culture du maïs. Et la première récolte de l'année 2025 commence. Dans la plaine de Bouansa, les paysans de la zone agricole protégée, tous de vert vêtus, observent le travail de la moissonneuse-batteuse sur près de 60 hectares de maïs. La superficie, étendue, a été cédée par l'État congolais aux agriculteurs de la région pour qu'ils y plantent la céréale. L'un d'eux, Alain Roger Mabika, a été désigné président de la zone agricole protégée. Il espère que les rendements progresseront avec les années :« Ici, nous n'avons produit que le maïs, rien d'autre que le maïs. Quant à l'estimation, tel que je vois là, on peut dire que par hectare, nous avons au moins trois tonnes. Si nous prenons trois tonnes par hectare, ça veut simplement dire que nous devons donc nous retrouver avec 180 tonnes. Pour nous, c'est une façon d'aider ceux qui font de l'industrialisation. »Après la récolte, le maïs est stocké dans un endroit bien protégé. Il sera ensuite vendu aux sociétés brassicoles et aux éleveurs qui en manquent souvent. À ce jour, les importations d'alimentation humaine et animale sont évaluées à 600-700 milliards de francs CFA.Les zones agricoles protégées, un soutien pour les locauxPrès de 300 agriculteurs ont planté du maïs à Bouansa. « Nous produisons beaucoup ici. Nous ne sommes pas des fainéants. Avec la main, nous travaillons. Nous avons vraiment de la bonne production », affirme un cultivateur. « On plante le maïs pour nous soutenir. Ça nous aide et ça nous donne de l'argent », ajoute une cultivatrice.Les zones agricoles protégées ont déjà commencé à produire du manioc, des bananes, des tomates et du riz, dans d'autres régions du Congo-Brazzaville. Ce dont le président de la République s'est félicité à Bouansa. « Merci de la façon dont vous avez suivi l'initiative lancée lors de la campagne électorale passée. Il faut qu'au Congo, l'agriculture aille de l'avant ! », a lancé le président Denis Sassou Nguesso.À travers les zones agricoles protégées, les autorités espèrent lutter contre le chômage, contre la sous-alimentation et diminuer la facture des importations alimentaires.À lire aussiCongo-Brazzaville: des zones agricoles protégées pour assurer l'autosuffisance alimentaire

L'édito du Figaro
«La France ne doit rien concéder à Alger»

L'édito du Figaro

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 2:04


Il fallait être bien naïf pour se dire « confiant », comme Emmanuel Macron, dans la libération de Boualem Sansal. Quant aux amabilités faites à Jean-Noël Barrot, récemment à Alger, elles avaient tout de l'hypocrisie diplomatique.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Robeco Asset Management Podcast
A random talk down Quant Street, Ep. 5/11 – What does AI mean for quant investing?

Robeco Asset Management Podcast

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 7:53


AI is everywhere – but what does it actually mean for quant investing? In the fifth episode of this new series on quant investing, we speak with Iman Honarvar, Senior Quant Researcher at Robeco, who shares how AI is used today. From scalable infrastructure to real-world applications, Iman reveals how Robeco has built a foundation to make AI truly work – while embracing the human creativity that still drives innovation forward.

INFORMATION LOCALE
14 AVRIL 2025

INFORMATION LOCALE

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 4:02


Sujets traités : Le club de football de Meistratzheim lance un appel à l'aide. Dans la nuit d'hier à aujourd'hui, un incendie s'est déclaré dans ce club, mobilisant une vingtaine de pompiers. Trois lances ont été utilisées pour venir à bout des flammes dans ce bâtiment de 700m2. Le club explique que le feu a notamment ravagé les maillots et les lots pour le loto, qui était censé se dérouler demain. Ils recherchent donc des maillots U7, U9, U11, U13, U15, U18 et seniors. D'après les pompiers, il s'agirait probablement d'un incendie volontaire. Le président, Claude Meyer, se montre inquiet en raison des murs fissurés et du risque de raser entièrement le bâtiment.A son tour, la Communauté de communes du Ried de Marckolsheim a adopté son dernier budget primitif de la mandature. Voté à l'unanimité par les élus lors du conseil communautaire qui s'est tenu mercredi soir à Hilsenheim, ce budget s'élève à 45 millions d'euros. 26 millions seront dédiés au fonctionnement de l'intercommunalité et près de 19 millions à de futurs investissements. Les précisions de son président, Frédéric Pfliegersdoerffer. Pour Frédéric Pfliegersdoerffer, les finances de la Communauté de communes sont saines, avec une capacité de désendettement estimée à cinq mois. Un taux qui se montre faible et qui devrait permettre à l'intercommunalité de supporter, sans augmenter les fiscalités, les importantes hausses des coûts des périscolaires qui se profilent lors des négociations actuelles avec la Délégation de service public. Une augmentation de 300 000 euros par an est pour l'instant évoquée.A Colmar, les travaux de la collégiale Saint-Martin avancent bien. Débutés il y a quasiment un an, le chantier qui va durer encore 5 ans se profile bien. D'un montant total estimé à 18,4 millions d'euros, la restauration permettra notamment de réparer et nettoyer la structure en pierre, mais aussi de rénover les vitraux. Pour Éric Straumann, maire de Colmar, ces travaux permettent d'offrir une nouvelle vie à l'édifice, on l'écoute. Vous pouvez retrouver notre article complet, avec quelques précisions de différents ouvriers, sur notre site azur-fm.com.L'incendie d'une terrasse touche une résidence à Colmar. Ce matin, vers 6h30, les flammes ont ravagé un bâtiment au 40 avenue de Paris. Une quarantaine de pompiers et une dizaine d'engins ont été mobilisés. Les causes de l'incendie ne sont pas connues pour le moment. Aucun blessé n'est à déplorer, 18 personnes vont être relogées par Pôle Habitat Centre-Alsace.Un week-end riche en évènements sportifs s'annonce en Alsace. Du côté de Sélestat, ce soir à 20h30, le SAHB affrontera Caen au CSI. Quant au racing club de Strasbourg, il reçoit l'OGC Nice demain soir, à 21h, au stade de la Meinau. Pour l'équipe féminine, elle accueillera le Havre AC dimanche, à 14h30, à la Meinau également. Après plusieurs signalements, on vous rappelle que Azur FM ne vous demandera jamais d'appeler des numéros surtaxés pour participer ou récupérer vos gains aux jeux organisés.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Choses à Savoir HISTOIRE
Une femme a-t-elle vraiment accouché de lapins ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 2:41


En 1726, l'Angleterre connaît l'un des scandales médicaux les plus étranges de son histoire. À Godalming, un petit village du Surrey, une domestique illettrée nommée Mary Toft prétend donner naissance à des lapins. Oui, des lapins.Tout commence lorsque Mary, enceinte, affirme avoir fait une fausse couche après avoir été effrayée par un lapin dans les champs. Peu de temps après, elle se met à "accoucher" d'étranges restes d'animaux : morceaux de lapins, entrailles de chat, fragments d'os. Son beau-frère, intrigué, alerte un chirurgien local, John Howard, qui constate lui-même la présence de fragments animaux qu'il pense expulsés par voie vaginale.Fasciné, Howard envoie des lettres à des médecins de renom à Londres, dont Nathaniel St. André, chirurgien du roi George Ier. Ce dernier, enthousiasmé par cette affaire qu'il pense être une découverte médicale majeure, vient examiner Mary Toft. Et là, il assiste de ses propres yeux à un "accouchement" de lapins. Stupéfait, il en parle à la cour : le roi lui-même veut en savoir plus.Mary est transférée à Londres, au centre de l'attention médiatique et médicale. Elle est examinée, disséquée symboliquement, interrogée. On envisage même que ses "enfants lapins" soient la preuve d'un phénomène biologique rare : la "théorie de l'impression maternelle", selon laquelle une émotion forte pouvait influencer la forme du fœtus.Mais bientôt, les doutes s'accumulent. Les lapins "nés" de Mary sont en réalité de jeunes spécimens parfaitement formés, certains digèrent même du foin. Finalement, Mary avoue : c'est une supercherie. Avec l'aide de complices, elle insérait des morceaux d'animaux dans son vagin, simulant des accouchements. Pourquoi ? Pour attirer l'attention, pour l'argent, ou peut-être sous la pression de ceux qui l'ont exploitée.L'affaire fait scandale. Mary est emprisonnée, puis relâchée sans condamnation formelle. Quant aux médecins impliqués, leur réputation est ruinée. St. André, en particulier, devient la risée du public.Mais au-delà du sensationnalisme, cette affaire révèle les failles de la médecine du XVIIIe siècle, où les patientes pauvres n'étaient pas écoutées, mais disséquées symboliquement par des hommes en quête de gloire. Mary Toft, à sa manière, a retourné ce pouvoir en jouant avec les attentes et les croyances de son temps.L'affaire des lapins de Mary Toft n'est pas seulement une imposture grotesque : c'est un miroir des inégalités sociales, du statut des femmes et de la crédulité des élites face à ce qu'elles veulent désespérément croire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Reportage International
Japon: l'Exposition universelle d'Osaka ouvre ses portes dans le mécontentement général

Reportage International

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 2:29


Au Japon, l'Exposition universelle d'Osaka débute samedi 12 avril, réunissant 158 pays jusqu'à la mi-octobre. En 1970, déjà, cette ville avait accueilli un tel événement et, à l'époque, il avait un succès considérable. Un nombre record de visiteurs – près de 65 millions – et des louanges dans le monde entier en raison de sa qualité. Mais 55 ans plus tard, l'ambiance n'est plus du tout la même dans l'archipel. L'heure est à l'indifférence, cette fois, voire au mécontentement. Les enquêtes d'opinion le disent et le répètent depuis des mois : trois Japonais sur quatre n'ont aucune intention de se rendre à cette Exposition qui n'intéresse pas 65 % des sondés. À l'image de ces Tokyoïtes, rencontrés au hasard : « Pour être honnête, cet événement à venir me laisse assez indifférente », estime par exemple cette passante. « Jamais personne ne m'a parlé de cette Expo. Ce n'est pas un sujet de conversations pour les gens », selon cet homme. « En 1970, l'Exposition a fait l'unanimité et marqué les esprits. Je m'en souviens bien. Le pays a vécu un moment magnifique. Mais aujourd'hui, on ne sent pas du tout un tel engouement » regrette celle-ci.Visiblement, pour l'heure, en tout cas, cette Exposition universelle ne passionne pas grand monde au Japon. La prévente des billets d'entrées l'a illustré : les organisateurs espéraient en écouler 14 millions avant même le début des festivités, mais, à ce jour, moins de neuf millions ont trouvé acquéreurs. Car dans le pays, l'unanimité n'est pas de mise face à cet événement, comme cela avait été le cas, il y a 55 ans.Beaucoup de gens s'y opposent, comme ces habitants de la capitale. « La mascotte de l'Expo est sympa, mais, franchement, je n'ai jamais compris pourquoi on dépensait autant d'argent pour un tel événement. Il me semble qu'il y a d'autres priorités », explique cette Tokyoïte.« Cela va coûter beaucoup plus cher que prévu. Parce qu'on nous a menti à l'époque ou parce que cela a été géré par des incompétents ? Il faudrait qu'on nous explique », demande ce passant vindicatif. « Je suis totalement opposée à cette exposition, car si elle s'avère déficitaire, comme les Jeux olympiques de Tokyo, il y a quatre ans, c'est nous, les contribuables, qui allons à nouveau devoir payer l'addition », affirme cette autre habitante de la capitale japonaise.Un aménagement qui coûtera le double de l'estimation initialeL'aménagement du site coûtera plus d'un milliard d'euros, soit près du double de l'estimation initiale qui avait été faite en 2017. En raison de l'inflation, de la hausse du prix des matériaux de construction, notamment. Quant aux dépenses d'exploitation – plusieurs centaines de millions d'euros –, elles ont crû de 40 %. Le secteur privé paiera un tiers de l'addition finale, mais les deux tiers restants seront à la charge des pouvoirs publics, du gouvernement central ainsi que de la ville et la région d'Osaka.Sur les réseaux sociaux, beaucoup de Japonais dénoncent à la fois l'ampleur des budgets consacrés par les autorités à cette Exposition et l'envolée de son coût. En la matière, le pire est peut-être à venir. Car les dépenses d'exploitation sont censées être couvertes à hauteur de plus de 80 % par les recettes provenant de la vente des billets d'entrée et des produits dérivés. Donc l'événement basculera dans le rouge si le grand public n'est pas au rendez-vous. Or, au gouvernement y compris, on reconnaît que l'objectif initialement fixé ne pourra vraisemblablement pas être atteint. À savoir accueillir 28 millions de visiteurs.À lire aussiJapon: des prix plus élevés pour les touristes étrangers, une mesure qui divise

Chronique Transports
L'Ukraine espère des investissements européens dans ses infrastructures civiles pour aider le front

Chronique Transports

Play Episode Listen Later Apr 11, 2025 2:30


À quand des trains efficaces en Ukraine ? Durant ces trois années de guerre, la qualité du transport ukrainien n'a pas préoccupé les européens. Aujourd'hui, civils et militaires regrettent le manque de routes et de personnels adaptés aux matériels militaires.   Cette année 2025, on a aperçu des militaires dans les allées des principaux Salons du transport de marchandises. Cette présence civile-militaire dans des rendez-vous grand public et mondiaux est suffisamment rare pour ne pas voir l'urgence du débat. Des rails différents selon les pays Parce qu'à force d'avoir ignoré des choses aussi simples que l'écartement des rails – l'Ukraine n'a pas les mêmes chemins de fer que ceux de son voisin roumain par exemple –, les troupes et le matériel en Ukraine ont été ralentis. « Ce qui est étonnant, c'est que l'Europe a oublié l'Ukraine dans ses infrastructures. Car la guerre, c'est d'abord la logistique, le transport, les routes et le matériel. Aujourd'hui, les routes, les chemins de fer ne sont pas à niveau, ils datent de l'après-guerre mondiale, il y a 50 ans. Les rails ont des normes soviétiques, c'est-à-dire différentes des pays voisins par où passent les armements. Aujourd'hui, les tanks ont gagné 20 tonnes, ils pèsent bien plus lourd. Il est urgent de construire des rails qui n'obligent pas les trains à décharger aux frontières pour recharger ensuite sur les rails ukrainiens », détaille l'eurodéputé François Kalfon, l'un des politiques qui plaide pour harmoniser transport civil et militaire.Des ponts trop fragiles pour les chars La Russie ayant bloqué les ports du pays, mais également restreint l'espace aérien, l'Ukraine n'a plus que ses trains, ses camions et ses voitures pour transporter matériel et marchandises. C'est par ailleurs trop peu connu, mais faute de camions, une partie des transports ukrainiens se font de façon artisanale. Avec des petites fourgonnettes sur des routes pas assez goudronnées et pas assez nombreuses.« L'Europe n'a pas pris le problème des routes en Ukraine suffisamment au sérieux. Paradoxalement, le manque de routes en bon état a eu un effet positif puisque les russes n'ont pas eu le moyen d'avancer dans certaines régions. À mon sens, la priorité est de goudronner et de construire de nouvelles routes pour les camions dans le Centre et l'Est, au plus près du front. Mais il ne faut pas pour autant oublier le reste du pays. Ni les voisins d'ailleurs, puisque la Hongrie et la Slovénie, par exemple, ont du retard dans les projets de construction de routes permettant de circuler jusqu'en Ukraine », explique Adrien Nonjon, chercheur indépendant et expert de l'Ukraine.Le transport ferroviaire est onéreuxLe rail coûte cher. C'est pour cela que les russes, espérant la victoire, n'ont pas détruit les chemins de fer. Quant aux alliés, ils réfléchissent à la construction de routes et de dépôts pour stocker les armes. La Commission de Bruxelles a rallongé son enveloppe de 800 millions d'euros, car le budget initialement prévu jusqu'en 2027 a déjà été dépensé.Les experts des questions militaires rencontrées dans les allées des Salons de logistique estiment tous qu'il faut encourager les partenariats public-privé. Pour doter l'Ukraine de routes, de rails harmonisés et maintenir ses axes existants en bon état, Bruxelles compte 6 milliards d'euros. Aujourd'hui, l'argent n'est pas disponible. Les solutions sont à trouver pour disposer d'un espace de transports de personnes et de matériels où le secteur civil et militaire trouvent les mêmes intérêts. Le commissaire grec au transport Apostolos Tzitzikostas propose d'augmenter l'enveloppe à hauteur de 70 milliards d'euros pour les années à venir. Reste à savoir comment les 27 trouveront les fonds.À lire aussiUkraine: les habitants de Soumy désemparés face aux incessantes frappes russes sur les écoles et les hôpitaux

THE GMAT Club Podcast
GMAT Focus 725 (99 Percentile) in 3 Months with Self Preparation

THE GMAT Club Podcast

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 45:32


Why GMATPractice Techniques for Quant and Data InsightsDeciding to Retake for 695 in 1st AttemptTaking 20 Mocks in 30 Days - How that HelpedLast days before exam & Test Day experienceMy Daily Practice RoutineTips to Improve Data Insights ScoreDealing with Long RC Passages  Which Mock Tests Did I Attempt

Market Maker
The Truth About Working in Quant Finance with Nitish Maini, Chief Strategy Officer at WorldQuant

Market Maker

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 32:47


What does it take to succeed in quant finance? Anthony Cheung sits down with Nitish Maini, Chief Strategy Officer at WorldQuant, to discuss his journey from consulting to quant trading, the biggest misconceptions about the industry, and why creativity and strategic thinking are just as important as coding skills. They also explore how WorldQuant is reshaping global talent pipelines through initiatives like the WorldQuant BRAIN platform and the International Quant Championship, opening doors for aspiring quants worldwide.If you're interested in quant finance, or just curious to learn more, this episode is for you!Enter the International Quant Championship qr.wqbrain.com/bfqLYvLearn2Quant YouTube series by WorldQuant https://shorturl.at/BR2v6*****(00:00) Introduction to Quantitative Finance and Nitish's Background(08:45) The Difference Between Quant Researcher and Portfolio Manager(19:07) The Evolution of Quantitative Finance(20:55) Demystifying Quant Finance (24:05) WorldQuant: A Unique Approach to Quant Finance(26:06) WorldQuant Brain: Crowdsourcing Alpha Signals(30:01) Learn to Quant: Educational Initiatives(32:16) International Quant Championship: A Global Competition*****(WorldQuant defines alphas as mathematical models that seek to predict the future price movements of various financial instruments) Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

C'est presque sérieux
Chimay vaut vraiment le Détour (3) : Le secret de l'Eau blanche avec Gyom

C'est presque sérieux

Play Episode Listen Later Apr 9, 2025 34:29


C'est un couple qui s'affronte dans votre récré de midi animée par Walid, Corentin Candi et Olivier Fraipont (qui fait honneur à la boisson locale), mais dans la joie et la bonne humeur : Julie et Alexandre ! Seront évoqués Chimay, les brocantes, Louis de Funès, l'histoire de leur rencontre, le Titanic et une histoire de marmite… Quant à notre Chimacien du jour, afin de compléter la carte postale de la commune, est aujourd'hui Gyom, illustrateur belge de jeux de société (Magic maze, Gavity superstar) mais aussi de BD (Le codex de Théo, Freaky mouse) et vie t nous parler de son nouveau et magnifique projet commun et familial : la série « Les aventures de Zoé et Léo ». Une série qu'il écrit et dessine avec son épouse, inspirée, créée et dessinée à Chimay (décidément ville muse), que l'on peut découvrir à chaque page (et presque faire le tour de la ville avec l'album ouvert). Le tome 1 s'intitule « Le secret de l'Eau blanche » (éd. Crayas) https://www.artstation.com/gyom Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Info éco
Guerres commerciales de Donald Trump : le moratoire n'aura pas lieu

Info éco

Play Episode Listen Later Apr 8, 2025 6:56


Après les réactions affolées du monde entier aux annonces des surtaxes douanières annoncées par Donald Trump, l'espoir renaissait mardi. Certains pays, une cinquantaine environ, ont tenté la voie de la négociation. D'autres se sont braqués, comme le Canada ou la Chine. Quant à l'Union européenne, elle a coupé la poire en deux en annonçant ses premières hausses de taxes douanières : 25 % sur certains produits américains, en réaction aux 25 % annoncés et appliqués depuis mars, sur l'acier et l'aluminium mais leur application ne débutera pas avant le 16 mai. Bruxelles réserve le reste de sa réponse au début de semaine prochaine. 

7 milliards de voisins
À la fois canadienne, malgache et indienne... Que veut dire être métisse?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Apr 7, 2025 48:30


Que ce soit en France, au Japon, aux États-Unis... partout autour du globe, la question du métissage suscite le débat, voire déchaine les passions. Pourtant, nos sociétés sont de plus en plus cosmopolites. Au Brésil, par exemple, la population métisse est devenue majoritaire, selon les chiffres du dernier recensement publié en 2022. Quant au Québec, 5% des nouveaux-nés avaient un parent natif du Canada et l'autre de l'étranger en 1980 ; cette statistique est passée à 12% en 2023, selon le bilan démographique du Québec. Avoir des origines multiples n'a donc plus rien d'exceptionnel, mais l'identité, l'appartenance n'en sont pas moins des sujets d'actualité. À la fois pour ceux qui demandent « tu viens d'où ? » et pour ceux à qui s'adresse la question. Le besoin de mettre son interlocuteur dans une case semble encore bien présent. Mais pourquoi s'intéresser aux origines de son voisin ? Par curiosité, pour comprendre la différence ou pour l'exclure ? Et comment vivre ses identités multiples quand on est métis ?Avec Maïka Sondarjee, professeure en développement international et mondialisation à l'Université d'Ottawa au Canada. Autrice de Tu viens d'où – réflexions sur le métissage et les frontières ? (Editions Lux, 2025)En fin d'émission, un reportage de Tom Malki qui s'est rendu à l'exposition Game Story à Versailles en banlieue parisienne. L'exposition retrace 70 ans d'histoire du jeu vidéo.Une plongée dans l'histoire du jeu vidéo. L'exposition Game Story qui se tient jusqu'au 16 avril à Versailles, à l'ouest de Paris, vous propose de découvrir la plus grande collection de jeux vidéo et de consoles d'Europe et d'y jouer ! De quoi ravir les enfants, mais aussi les plus nostalgiques. Reportage de Tom Malki.Et un nouvel épisode de notre série Le succès des repats réalisée par Charlie Dupiot.Aujourd'hui, le portrait de Tysia Mukuna, le café à la mode kinoise. Ils et elles sont originaires d'Afrique centrale et ont décidé de rentrer chez eux... C'est le moment du « Succès des Repats » ! Tisya Mukuna 32 ans, est née à Kinshasa. Elle a suivi l'essentiel de sa scolarité en France, entre la Normandie et Paris où elle a fait une école de commerce. Après un master en négociation des affaires en Chine, à Shanghai, elle a travaillé chez Microsoft, pour des agences de publicité ou encore une succursale de magasin bio. Il y a six ans, Tysia Mukuna décide de rentrer en République démocratique du Congo pour lancer sa marque de café, « La Kinoise ». Notre reporter Charlie Dupiot l'a rencontrée chez elle à l'automne dernier, dans son appartement de Kinshasa.Programmation musicale :► Jëli – Amadeus feat. Waly B. Seck► Ils me rient tous au nez – Theodora

Finscale
#283 - Grégoire Hug (WeeFin) - Impact, Finance, Tech' pour shifter l'Asset Management

Finscale

Play Episode Listen Later Apr 5, 2025 38:18


Dans cet épisode, je reçois Grégoire Hug, cofondateur et CEO de WeeFin, une fintech ESG qui transforme la gestion des données extra-financières pour les institutions financières.Nous décortiquons les enjeux techniques et réglementaires autour des données ESG :Complexité, fragmentation, manque d'outils adaptés.Le rôle clé de la tech pour opérationnaliser une stratégie ESG.Différences de maturité ESG entre marchés (France, Luxembourg, UK…).Grégoire explique comment WeeFin s'intègre dans les workflows existants des acteurs de la gestion d'actifs et des banques, avec une approche modulaire et pragmatique.Mais c'est aussi une belle vision à LT :Weefin, entreprise à mission, veut replacer la durabilité au cœur de la finance.Décryptage de leur plateforme, de leurs modules phares et de leur stratégie de go-to-market.Levée de fonds de 25M€, hypercroissance (+100 recrutements prévus), nouvelles fonctionnalités comme l'attribution de performance de durabilité.Et une projection vers 2027 : Weefin en leader européen de la data ESG.Key insightsLe vrai problème de l'ESG ? Ce n'est pas la réglementation, c'est la data.Les institutions financières veulent intégrer l'ESG, mais peinent à le faire opérationnellement.La tech ESG doit s'adapter aux workflows existants, pas l'inverse.La vision produit de WeeFin est modulaire, orientée "time-to-value" rapide.Être une entreprise à mission, ce n'est pas un label, c'est un engagement quotidien.Le futur de l'ESG est dans la performance mesurable, pas dans le déclaratif.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.

Invité de la mi-journée
Harini Amarasuriya, Première ministre du Sri Lanka: «Renouer avec la stabilité était notre principale priorité»

Invité de la mi-journée

Play Episode Listen Later Apr 5, 2025 6:27


Harini Amarasuriya est la Première ministre du Sri Lanka, un pays qui sort de cinq années de crise financière et d'instabilité politique. De passage à Paris le 1er avril dernier afin de participer à une conférence internationale sur la protection du patrimoine bouddhiste de son pays, dont le célèbre site archéologique d'Anuradhapura inscrit au patrimoine mondial de l'Unesco, elle s'est entretenue avec RFI.  RFI : Madame la Première ministre, vous avez été nommée à votre poste en novembre dernier. Quel bilan faites-vous de vos cent jours au pouvoir ? Harini Amarasuriya : Renouer avec la stabilité politique, c'était ça notre priorité et c'est ce que nous avons, je crois, réussi à instaurer au cours des cent premiers jours de pouvoir. Après les turbulences de ces dernières années, la population avait besoin de se sentir rassurée avec un exécutif stable aux manettes, sans décalage entre les promesses et les actions du gouvernement, bref, un gouvernement auquel les Sri Lankais peuvent faire confiance. Cette confiance est née aussi du fait que l'économie est en voie de rétablissement même si je ne dirais pas que nous soyons encore tout à fait sortis de l'affaire. Qui plus est, et je crois c'est fondamental, nous avons réussi à imprimer la possibilité de faire la politique différemment que nos prédécesseurs. Les électeurs ont rejeté la vieille garde et sa politique déconnectée du quotidien, laissant les citoyens se débrouiller seul. Voilà quels sont, je dirais, les principaux acquis de cette période.Vos détracteurs dépeignent votre entourage comme une « bande d'idéologues », enfermés dans leur utopie marxiste-léniniste. Vous reconnaissez-vous dans ce portrait qu'on brosse de vous et de vos collègues ministres ?Cette référence à l'idéologie marxiste-léniniste concerne de prime abord la Janatha Vimukthi Peramuna ou le JVP, le parti que dirige le président Dissanayake et qui est une composante de notre coalition au pouvoir. Cette coalition, le National People's Power ou le NPP est une alliance plus ouverte, située au centre-gauche de l'échiquier politique. Au cours des cinq dernières années, soit depuis 2019, la plateforme que le NPP a présentée à la population a été essentiellement axée sur des solutions pragmatiques à apporter aux problèmes auxquels les gens sont confrontés au quotidien. Certes, dans nos discours, il est beaucoup question de justice sociale, d'équité, d'égalité, mais nous avons toujours affirmé que nous ne nous laisserions pas enfermer dans des cases idéologiques. Il n'est pas question pour nous de privilégier une idéologie quelconque, faisant fi des impératifs de l'ici et maintenant.L'un de vos principaux succès a sans doute été économique, puisque l'économie srilankaise a renoué avec la croissance. Mais le mérite pour le succès ne devrait-il pas revenir d'abord à votre prédécesseur qui avait négocié le prêt de sauvetage avec le FMI ?   Le président Ranil Wickremesinghe, prédécesseur de l'actuel chef de l'État du Sri Lanka avait en effet engagé les discussions avec le FMI dans ce sens. L'accord pour un prêt avait été signé avant que nous n'arrivions au pouvoir en septembre dernier, mais je pense que nous pouvons être crédités de la mise en œuvre de cet accord dans des conditions qui soient acceptables pour la population.En accédant au pouvoir, nous avons pris langue avec le bailleur de fonds institutionnel. Le gouvernement a négocié pied à pied pour faire assouplir les mesures d'austérité draconiennes. Par exemple, nous voulions une protection sociale renforcée, et l'ajustement du régime fiscal. Nous avons pu aussi réduire la taxe sur la valeur ajoutée (TVA) sur les produits de première nécessité, notamment sur les fournitures éducatives essentielles et les médicaments. Les salaires ont été augmentés dans le secteur public. La paix sociale était à ce prix et elle est à mettre à notre crédit.Le problème avec l'ancien président qui avait négocié l'accord, ce n'était pas tant l'accord en soi qui posait problème, mais le fait que cet accord n'était pas soutenu par le peuple. Pour notre part, c'est fort du mandat du peuple srilankais que nous avons discuté avec le FMI, pour s'assurer que le fardeau de la dette soit équitablement partagé entre les différentes couches sociales du Sri Lanka. La morale de l'histoire, c'est que la stabilité économique ne peut être garantie sans la stabilité politique et sans le soutien du peuple pour l'application des réformes.Le président Dissanayake, tout comme vous, avez été élus sur une promesse de rupture avec le précédent régime. Comment définiriez-vous votre feuille de route ?On pourrait dire, pour simplifier, que notre feuille de route, c'est la réforme du contrat social entre citoyens et classe politique au Sri Lanka. Sur l'île, les années post-indépendance ont été marquées par une lutte acharnée entre l'élite et le peuple. Cette tension s'est manifestée de différentes manières, notamment à travers des conflits et des violences extrêmes qui ont ensanglanté notre histoire moderne. Je pense à la guerre de sécession dans le Nord, à l'insurrection de la jeunesse cinghalaise en 1971... Pour moi, le mouvement « Aragalaya », la grande révolution citoyenne de 2022, relève de cette même aspiration pour une société plus égalitaire. Notre feuille de route répond à cette aspiration en proposant de jeter les bases d'une relation renouvelée entre l'État et la population.La refonte de la relation entre l'État et la population passe par une réconciliation nationale entre la majorité cinghalaise et la minorités tamoule qui a subi des abus et des violations pendant la guerre civile. Votre camp qui a fait une percée spectaculaire dans le nord aux législatives est attendu avec impatience sur ce terrain. Où en êtes-vous dans votre réflexion sur la mise en place d'un mécanisme pour déterminer la responsabilité des violences perpétrées pendant les années de guerre civile ?Je ne sais pas si vous le savez, lorsque la guerre civile dans le nord a pris fin en 2009, le JVP s'est manifesté dès les premières heures qui ont suivi la fin des hostilités pour réclamer la création le plus rapidement possible d'une commission « Vérité et Réconciliation » sur le modèle sud-africain. Bien sûr, cette demande n'a pas été prise au sérieux à l'époque.Aujourd'hui, nous nous trouvons plusieurs années après la fin de la guerre. Il est à craindre que la mise en place aujourd'hui d'un mécanisme d'enquête pour connaître la vérité sur la guerre civile n'ouvre les vannes de la détresse en ravivant des souvenirs qui ont été soigneusement enterrés. Qui plus est, ces victimes ont raconté leurs histoires aux différents comités d'enquêtes mis en place au fil des ans. Ce que les gens veulent aujourd'hui, ce sont des actions concrètes à partir des informations et révélations déjà enregistrées. Nous voulons commencer ce processus de réparation dès cette année, en nous appuyant sur des logistiques existantes telles que le Bureau des Personnes Disparues et le Bureau de l'Unité Nationale et de la Réconciliation.Par ailleurs, il faut que nous nous assurions que tous les citoyens, indépendamment de leur appartenance ethnique et de leur religion, puissent pleinement bénéficier des projets de développement lancés par le gouvernement central. Pendant trop longtemps, les minorités dans le nord et à l'est ont été tenues à l'écart des programmes et des politiques de développement du gouvernement central. Nous œuvrons pour que désormais les projets du gouvernement central tiennent compte des besoins et des inquiétudes des citoyens qui vivent loin des bureaux des décideurs gouvernementaux.Au cours des cent jours écoulés, la politique étrangère a été l'un des principaux champs d'action du nouveau gouvernement srilankais. Le président Dissanayake s'est rendu en Inde en novembre, puis en Chine en janvier. Maintenant, il s'apprête à recevoir le Premier ministre indien Narendra Modi à Colombo. On a l'impression que vous vous êtes partagé les tâches diplomatiques : à vous le vaste monde et au président le voisinage compliqué…Les tâches sont partagées entre les 21 membres du gouvernement. C'est une répartition du travail particulièrement sophistiquée. Quant à ma visite en France, elle avait été décidée avant que la visite officielle du Premier ministre indien Modi ne soit finalisée. Je serai ensuite de retour au Sri Lanka pour accueillir avec mon président, le Premier ministre Modi que j'aurais déjà rencontré au sommet BIMSTEC qui se déroule cette année à Bangkok.La compétition entre l'Inde et la Chine pour asseoir leur domination sur Colombo n'est pas sans rappeler les rivalités anglo-russes en Asie centrale au début du siècle dernier. Comment votre petit pays insulaire vit-il cette nouvelle version du « Grand jeu » ?Voyez-vous, le Sri Lanka, historiquement, a toujours été, en raison de notre emplacement géostratégique, au centre d'intérêts concurrents. Les superpuissances ne nous ont jamais ignorés. Nous avons suscité la compétition, nous avons été un partenaire très recherché par les acteurs globaux et régionaux. Nous avons donc l'habitude de gérer des intérêts concurrents, sans oublier de s'assurer de notre propre sécurité au milieu de ce tumulte. La scène de théâtre de l'ombre où nous nous retrouvons aujourd'hui, dans le contexte d'émergence de superpuissances régionales, est très représentative de la manière dont le Sri Lanka a toujours dû à agir avec ses voisins et alliés. La Chine et l'Inde sont des pays avec lesquels nous avons des relations historiques sur plusieurs fronts : économiques, culturels, religieux, pour ne citer que ceux-là. Il y a eu entre nous des palimpsestes de relations commerciales, beaucoup de mouvements, beaucoup d'aller et retour. C'est ça, le Sri Lanka. Comme vous avez la réputation d'être une grande lectrice, je voudrais finir cette interview en vous demandant de partager avec nous vos goûts en littérature. Citez-nous trois livres qui vous ont passionnée.Je pense en premier à Brotherless Night de V.V. Ganeshananthan (Penguin Books, 2023),  Le livre a remporté le Women's Prize for Fiction en 2024. C'est sans doute l'un des meilleurs livres sur le conflit sri-lankais que j'ai lus. Pendant longtemps, j'avais arrêté de lire des livres sur le conflit srilankais parce que je faisais un blocage psychologique par rapport à cette thématique. L'autre livre que j'ai lu avec fascination tout récemment, c'est Human Acts (Random, 2017) de la Sud-Coréenne Han Kang. C'était vraiment une lecture difficile, mais importante. En fait, j'ai lu à la fois Han Kang et Ganeshananthan. Ce sont deux approches très contrastées de la guerre et des événements traumatiques.Le troisième livre sur lequel j'aimerais attirer l'attention de vos lecteurs, n'est pas un roman. The Value of Everything est un essai de quelque 400 pages, sous la plume d'une économiste britannique, Mariana Mazzucato. Je déteste l'économie. Je devrais plutôt dire que je détestais l'économie, mais en me lançant dans la politique je me suis rendu compte que je ne pouvais plus ignorer l'économie. En fait, c'est l'essai de Mazzucato qui m'a fait vraiment aimer l'économie qu'elle raconte comme une histoire, comme une philosophie, comme un humanisme. Je relis régulièrement ce livre pour me rappeler que l'important, c'est la valeur qu'on attache aux choses et pas leur coût.

Vlan!
[Solo] Ca veut dire quoi d'être un homme?

Vlan!

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 24:29


Cet épisode est tiré de ma newsletter (à laquelle vous pouvez vous abonner ici bien sur et est disponible intégralement en vidéo sur la chaine Youtube :)La semaine dernière, je discutais avec un ami de longue date, père de deux garçons adolescents. La voix incertaine, il m'a confié : "Je ne sais plus quoi leur dire. Comment être un homme aujourd'hui ? Quels conseils leur donner quand moi-même je n'y comprends plus rien ?" Son désarroi m'a profondément touché, car il résonne avec une question que je me pose depuis l'adolescence : qu'est-ce qu'être un homme dans notre société ?Est-il encore possible d'incarner une masculinité qui ne soit ni toxique ni effacée ? Comment naviguer entre les attentes contradictoires qui bombardent les hommes quotidiennement ? Et surtout, pourquoi est-il devenu si difficile de simplement être soi-même ? Est-ce que cela signifie même quelque chose ?La confusion règne partout. La bouleversante série "Adolescence" sur Netflix nous plonge dans la réalité de jeunes garçons perdus, tiraillés entre les modèles masculinistes qui prolifèrent sur les réseaux sociaux et une société qui condamne - à juste titre - les comportements toxiques. Pendant ce temps, l'affaire Gérard Depardieu révèle nos incohérences collectives : comment comprendre qu'un comportement de prédateur puisse encore être défendu au nom du "génie artistique", y compris par des figures féminines respectées ? De manière anecdotique, j'écris cette newsletter alors que simultanément j'observe de jeunes adolescents simuler une bagarre et jouer à la loi du plus fort.Dans ma propre histoire, des femmes m'ont parfois qualifié de "trop sensible" ou "tellement fragile" pour avoir simplement exprimé mes ressentis avec vivacité. Ces expériences m'ont amené à m'interroger profondément : notre société sait-elle ce qu'elle attend des hommes ? Savons-nous, en tant qu'hommes, ce que nous voulons être ?Cette confusion n'est pas seulement théorique - elle se manifeste dans nos comportements quotidiens, dans nos relations, dans notre façon d'élever nos enfants. Elle a des conséquences réelles sur la santé mentale des hommes, sur les dynamiques de couple, sur l'éducation des garçons qui tentent désespérément de trouver des repères dans ce brouillard identitaire. Les modèles masculins manquent cruellement : les pères sont souvent absents, les films & séries sont caricaturaux et les algorithmes des réseaux sociaux avantagent les avis extrêmes.J'observe des hommes qui, comme des caméléons, changent de personnalité selon qu'ils cherchent à séduire, à impressionner leurs pairs masculins, ou à répondre aux attentes contradictoires de la société.La masculinité est devenue un champ de mines - un pas trop appuyé vers la virilité et vous êtes un dinosaure toxique; un pas trop léger et vous êtes invisible, insignifiant. Ce numéro d'équilibriste épuise des générations entières d'hommes qui ne savent plus qui ils sont censés être.Aujourd'hui, je plonge sans retenue dans cette question explosive : qu'est-ce qu'être un homme au XXIe siècle, quand personne – ni les hommes, ni les femmes, ni la société – ne semble capable de formuler une réponse cohérente ?Mon histoire d'homme un peu perduParadoxalement, pour un homme, parler de masculinité reste compliqué. On craint de dire une bêtise, de ne pas être légitime. J'avais d'ailleurs expliqué à Angelo Foley cette « peur d'être un homme » sur son podcast il y a quelques années. Mais aujourd'hui, je me sens plus légitime que jamais pour mettre les deux pieds dans le plat.Mon histoire personnelle offre peut-être quelques clés de compréhension. Enfant, j'avais un père pompier de Paris, musclé et "viril" – une sorte de super-héros. Mais un super-héros chroniquement absent, qui ne prenait pas de temps pour ses enfants. Commercial avec le Maghreb, il était souvent en voyage et par ailleurs, il ne nous a pas beaucoup accompagné, pas appris à faire du vélo, pas joué avec nous. Il était un excellent bricoleur mais chaque fois qu'on essayait de l'aider et d'être curieux, il nous rejetait en nous disant que nous étions des incapables…Ce n'était pas nécessairement méchant mais juste réaliste, on lui faisait perdre du temps, très basique.Si je partage cela, c'est parce que je ne crois pas être le seul homme à avoir eu un père absent et donc un manque d'amour inconscient et surtout un père aimant et gentil mais loin de la paternité idéale.Il nous a quitté il y a 9 ans et je n'ai pas eu l'occasion de parler de cela avec lui malheureusement.Il y a d'autres sujets que j'ai abordé avec lui, j'y reviendrais peut-être.En parallèle, ma mère avait arrêté de travailler pour s'occuper de mon frère et moi. J'ai passé de très nombreuses journées dans le jardin de la cité, à écouter les conversations de ma mère et ses amies pendant des années.C'est peut-être de là que vient mon appétence pour les femmes, les conversations profondes, et ma facilité à m'entendre avec elles.J'ai grandi avec une bande de garçons et adolescent, nous trainions et faisions les 400 coups et beaucoup de skateboard. Mais mon caractère s'est véritablement ancré vers 13-14 ans, quand je me suis lié d'amitié avec Émilie. Ma première meilleure amie.Nous nous écrivions, nous nous appelions jusqu'à rendre fous nos parents respectifs.Quand ils en avaient assez, j'allais dans la cabine téléphonique du quartier (ceux qui savent, savent…) pour poursuivre nos échanges. Cette relation – parfaitement platonique puisqu'elle était la petite amie de mon meilleur ami – avait une profondeur incomparable avec les discussions entre garçons. Elle a nourri en moi une sensibilité qui ne demandait qu'à éclore.Depuis lors, mes amitiés sont très majoritairement féminines. Elles représentent sans doute 90% de mon entourage proche.On qualifie la sensibilité, l'écoute, et la vulnérabilité de valeurs féminines, pourtant, elles ne sont pas des qualités genrées – elles sont simplement humaines. Marque de notre société, et de manière très curieuse, même aujourd'hui, je ressens le besoin de préciser que j'ai toujours été attiré sexuellement par les femmes. Comme si une petite voix m'imposait cette clarification, de peur que vous ne fassiez d'autres suppositions. Preuve que les préjugés ont la peau dure, même à l'intérieur de moi-même.J'ai conscience que c'est idiot mais j'ai choisi de vous partager de manière sincère ce que je ressens.En 2 mots, ma vie s'est construite sur des amitiés homme-femme authentiques. Contrairement à ceux qui doutent de leur possibilité, je trace une ligne claire dans mon esprit entre mes « amies » et mes « intérêts romantiques potentiels ». Cette sensibilité est peut-être la raison pour laquelle vous êtes majoritairement des femmes à suivre cette newsletter et mon podcast par ailleurs. La quête d'une masculinité authentiqueComme je l'ai décrit dans ma dernière newsletter, ces dernières années, j'ai travaillé sur ma «gentillesse » parfois excessive pour renforcer ce que l'on pourrait nommer ma « colonne masculine» : plus décisif, plus ancré, plus fort.Et d'ailleurs, je ne peux que constater que depuis que je vis à Lisbonne, je me suis lié d'amitié avec des hommes avec lesquels j'adore échanger. J'ai même créé un cercle d'hommes dans mon salon pour libérer une parole authentique entre nous – car, en vérité, les hommes se parlent rarement de cœur à cœur.Alors, parlons-nous franchement : c'est extrêmement compliqué d'être un homme aujourd'hui (je ne prétends pas que c'est simple d'être une femme, loin de là). En vérité, nous dansons tous ensemble une chorégraphie complexe de genre et d'identité. Mais cette réflexion se concentre spécifiquement sur la masculinité contemporaine.Je ne l'ai pas dit dans ma dernière newsletter mais ma « gentillesse » et mon côté « débonnaire» viennent partiellement d'un rejet du modèle masculin que j'observais autour de moi : mon grand-père, mes oncles, mon père….Mais ce faisant, comme pour beaucoup d'hommes, ma masculinité s'est construite en creux – par opposition plutôt que par affirmation.Mon ami Jerry Hyde que j'ai reçu sur Vlan avec sa femme Mai Hua, l'a judicieusement noté : une certaine masculinité misogyne a parfaitement compris la frustration des jeunes hommes d'aujourd'hui. L'absence de modèles masculins positifs a créé un vide facilement exploitable. On leur a fait croire que le féminisme les avait privés de leur héritage légitime, que les hommes étaient naturellement destinés à dominer, et qu'il fallait revenir aux anciennes normes.Cette rhétorique toxique, combinée au fait que dans les classes populaires, les jeunes femmes réussissent souvent mieux à l'école et trouvent des emplois mieux rémunérés, a privé de nombreux hommes de leur rôle traditionnel de « pourvoyeurs ». Résultat : de nombreux jeunes hommes adhèrent massivement à cette vision régressive.Plus inquiétant encore : certaines femmes adhèrent aussi à cette vision. Pourquoi ? Parce qu'au fond, elles non plus ne veulent pas d'un homme perçu comme faible, insipide, fade, glissant, trop conciliant ou constamment dans l'excuse.Il faut admettre que ce n'est pas très sexy. La misogynie est culturelle et ne dépend pas du genre – les femmes absorbent ces mêmes messages toxiques. Encore aujourd'hui, beaucoup de femmes se construisent aussi, entre autres, avec l'idée que l'homme doit pouvoir subvenir seul au besoin d'un foyer et doit « protéger », créant par là même une dépendance financière et donc une relation de pouvoir à l'avantage des hommes.Nous sommes loin de cette masculinité en creux.Et en comparaison, l'image de l'homme misogyne paraît claire et séduisante pour certaines : puissant, identifiable, riche, entouré de belles femmes, propriétaire de belles voitures etc…Pour des jeunes désorientés, anxieux, perdus, ou pour des personnes plus âgées élevées dans des visions dépassées, cette masculinité toxique devient malheureusement une option attractive. Nature ou culture : au-delà des clichésPour démêler ces questions complexes, j'ai voulu remonter à la source – au moment où la culture pesait moins lourd sur nos comportements. La préhistoire humaine s'étale sur 2,5 millions d'années et représente 99,8% de notre histoire, elle est donc constituée de multiples phases.Mais pour faire court, quand on interroge les experts, il leur est impossible de définir clairement des rôles genrés à cette époque. Les femmes chassaient vraisemblablement autant que les hommes. Et nos ancêtres n'avaient pas établi le rôle de l'homme dans la reproduction, ce qui empêchait tout système patriarcal structuré puisque l'homme n'avait, pour eux, aucun rôle dans la procréation.La sédentarité des femmes est en réalité apparue avec la fin du nomadisme et l'invention de l'agriculture, il y a seulement 10-15 000 ans. Quant à l'imagerie de la femme préhistorique restant dans la grotte et tirée par les cheveux par un homme des cavernes – elle a été créée au 19ème siècle et ne représente aucunement une réalité historique. Il s'agit simplement d'une projection d'une époque sur une autre.Pour aller plus loin, j'ai eu l'immense plaisir de recevoir l'un des primatologues les plus respectés au monde, Frans de Waal. Car au final, tout autant que nous sommes plus proches des humains préhistoriques qu'on aimerait le croire, nous sommes également tous des primates, très proches des grands singes. Ses conclusions sont éclairantes : la distinction entre sexe biologique et identité de genre est cruciale. Si une identité biologique existe, l'identité de genre est largement formée par l'imitation et l'apprentissage social. Les enfants observent et reproduisent les comportements associés à leur genre, ce qui active les centres de récompense du cerveau.Les différences physiologiques sont indéniables – cycles menstruels, gestation, allaitement sont exclusivement féminins. La conséquence principale est que les mâles ont tendance à considérer leur corps comme moins important. Mais la différence semble s'arrêter là.Contrairement aux idées reçues, « l'instinct maternel » tel qu'il est souvent conçu n'existe pas vraiment. Il y a une attirance des femelles vers les bébés, mais les compétences maternelles s'apprennent par l'observation. Quand une mère meurt, ce n'est pas une autre femelle qui prend le relai avec les bébés mais un mâle, qui développe alors dans son cerveau les même éléments qu'une femelle et qui ont trait au soin.A la naissance, les males sont un peu plus turbulents et plus actifs que les femelles mais encore une fois une partie de ce comportement est aussi généré par du mimétisme social pour répondre aux exigences du centre de récompenses de notre cerveau. De même, l'idée qu'un mâle cherche nécessairement de nombreux partenaires tandis qu'une femelle serait sélective est fausse. De Waal explique que les femelles primates sont également entreprenantes sexuellement et recherchent souvent de multiples partenaires.L'idée de la protection des femelles par les mâles est également une construction sociale. Bien que les mâles soient généralement plus grands chez de nombreuses espèces, cette différence est souvent liée à la compétition entre mâles plutôt qu'à la préférence des femelles. D'ailleurs, De Waal note que le dimorphisme sexuel (différence de taille) est relativement faible chez les humains, les chimpanzés et les bonobos comparativement à d'autres mammifères.Enfin, concernant les émotions, De Waal suggère que si leur intensité peut être similaire entre mâles et femelles, leur expression est fortement influencée par des règles culturelles. Les mâles, dans un contexte de compétition, cachent souvent leur vulnérabilité – non par nature, mais par construction sociale.Nous cherchons donc à opposer une réalité physiologique (les hommes et les femmes sont bien plus semblables qu'on veut nous le faire croire) à une réalité sociale – des millénaires de patriarcat. Mais dans le même temps, il est illusoire de penser que l'on puisse s'abstraire totalement de son contexte social.Les 3 grandes religions ont joué également un rôle dans la structuration du patriarcat évidemment mais je ne vais pas descendre dans l'histoire « récente » ici.Je ne crois pas aux hommes parfaitement déconstruits mais très souvent les femmes ne le sont pas plus.Au mieux, je crois que l'on peut s'éduquer sur le sujet et que nous pouvons observer le patriarcat dans nos pensées et développer suffisamment de conscience de soi pour prendre du recul.Et parfois, ça sort j'avoue, je dis une bêtise, ça m'échappe et je m'excuse.Une preuve simple si les expressions « ne fait pas ta meuf » ou « soit un mec » résonnent ou si quand vous pensez à un « care giver » vous pensez automatiquement à une femme ne serait-ce que 1 seconde dans votre cerveau, vous savez exactement ce à quoi je fais référence. Vers une masculinité réinventéeFace au retour en force d'une masculinité toxique (coucou Trump, Vance, Tate, Zuck, Bezos ou Musk…) et à la dérive de certains espaces (comme les communautés de musculation sur les réseaux sociaux qui glissent vers le masculinisme), il est essentiel de proposer une alternative.Comme me le faisait justement remarquer mon amie Mai Hua, également co-autrice avec Jerry du documentaire « make me a man » , en m'envoyant un réel Instagram, les hommes « gentils » utilisent parfois cette masculinité toxique à leur avantage : « je vais te défendre contre ces hommes ». Mais cette masculinité en creux n'est pas une solution viable, car elle suppose le masculinisme pour exister. Ces hommes restent, d'une certaine manière, passifs et complices.D'ailleurs, ils montent rarement au créneau quand ils en ont l'occasion.Il faut reconnaître qu'une société qui vénère la compétition, la domination et l'accumulation (de biens, de pouvoir, de notoriété) est fondamentalement patriarcale. Ensuite, il est crucial de comprendre qu'il existe des masculinités et des féminités plurielles – il n'y a pas une seule "bonne manière" d'être au monde. Personne n'a besoin de s'enfermer dans un carré minuscule défini par des stéréotypes étroits.La série « Adolescence » sur Netflix montre bien comment les hommes souffrent aussi du patriarcat. Aucune place n'est laissée à la vulnérabilité, considérée comme une faiblesse, ce qui entraîne une atrophie de la capacité à exprimer ses émotions. J'ai même observé que certains hommes n'arrivent pas à décrire ce qu'ils ressentent intérieurement – leur vocabulaire émotionnel se limitant souvent à la joie, la frustration et la colère.Ma conclusion personnelle est qu'on peut développer une masculinité posée et ancrée, qui ne soit ni toxique ni effacée. Cette masculinité équilibrée implique une intelligence émotionnelle développée, l'assurance de ses envies et points de vue, une évolution constante en tant qu'être humain (notamment en matière de sexualité, où l'homme croit devoir « savoir » et « dominer », alors que personne ne sait vraiment puisque seul le porno nous « éduque »), la capacité à reconnaître ses torts et à poser des limites claires.Comme le résume parfaitement Jerry : il s'agit simplement d'être un adulte. Cela implique de dialoguer avec d'autres hommes qui ont développé cette maturité émotionnelle (qui n'est malheureusement pas une question d'âge).Finalement, comme pour tout être humain, la tendresse est au fondement d'une masculinité saine. Être un homme suppose d'intégrer toutes les parties de soi – force et vulnérabilité, courage et sensibilité, indépendance et connexion.Pour revenir à la question initiale, le rôle du père n'est pas de faire de son fils un homme mais un être humain entier.D'ailleurs, la théoricienne féministe bell hooks nous offre ici une boussole précieuse.Dans son œuvre "La volonté de changer: Hommes, Masculinité, et Amour", elle soutient que le patriarcat blesse profondément les hommes en les privant de leur pleine humanité émotionnelle. Selon elle, les hommes souffrent d'une "blessure de l'âme" en étant conditionnés à réprimer leurs émotions et à éviter la vulnérabilité.Si je devais traduire ses théories en conseils pratiques pour mes semblables masculins, voici ce que je retiendrais :1. Reconnaître que notre capacité à aimer a été diminuée par le patriarcat - non pas pour nous victimiser, mais pour comprendre ce qui nous empêche d'être pleinement présents dans nos relations.2. Développer une conscience critique de la manière dont les médias et la culture façonnent nos idées de la masculinité, et oser questionner ces messages.3. Pratiquer activement la vulnérabilité - non comme une faiblesse, mais comme la plus grande force qui soit. Comme l'écrit hooks, "l'amour ne peut pas fleurir dans une culture de domination".4. Créer des espaces entre hommes où l'on peut partager ouvertement ses peurs, ses doutes et ses émotions sans jugement.5. Embrasser ce que hooks appelle une "éthique de l'amour" qui valorise la connexion, le soin des autres et la croissance personnelle au-delà des performances de virilité.Cette masculinité réinventée n'est pas un retour en arrière vers des archétypes dépassés, ni une négation de ce qui fait la spécificité masculine. C'est une proposition d'avenir, un équilibre dynamique qui répond aux besoins profonds des hommes tout en s'inscrivant dans une société qui aspire à l'égalité.Le temps est venu de dessiner ensemble ce que pourrait être cette masculinité du XXIe siècle – ni lavette, ni macho, mais pleinement humaine. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 50:17


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Finscale
[EXTRAIT] #283 - Grégoire Hug (Weefin) - Impact, Finance, Tech' pour shifter l'Asset Management

Finscale

Play Episode Listen Later Apr 2, 2025 4:54


Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec le CEO et co-fondateur de Weefin, Grégoire Hug.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.

Reportage International
Taïwan: TSMC investit 100 milliards de dollars aux États-Unis, pour éviter la colère de Trump ?

Reportage International

Play Episode Listen Later Apr 1, 2025 2:33


L'entreprise taïwanaise TSMC a annoncé début mars la construction de cinq usines de dernière génération aux États-Unis. Mais sur l'île qui produit 90 % des semi-conducteurs de pointe de la planète, certains voient cette industrie comme l'assurance-vie de l'île. « Le bouclier de silicium » comme elle est souvent surnommée. Car sans ces puces électroniques, le commerce mondial ne peut fonctionner. Ce qui garantit selon certains le soutien militaire américain contre la Chine. Mais est-ce que ce nouvel investissement, une concession à Donald Trump qui menaçait l'île de représailles douanières, a mis en danger la sécurité de Taïwan ? Au Lifayuan, l'Assemblée taïwanaise, les débats autour des 100 milliards de dollars d'investissements de TSMC aux États-Unis sont houleux. Depuis l'annonce, effectuée début mars à la Maison Blanche, par le président taïwanais Laï Ching-te et celui de l'entreprise, l'opposition est vent debout. « La plupart des taïwanais sont inquiets que cet investissement puisse nous priver de l'avantage dont on dispose dans le domaine des semi-conducteurs de dernière génération et que ce genre d'investissement porte atteinte à la sécurité nationale » explique Chance Hsu, directeur adjoint des affaires internationales du Kuomintang.Si Donald Trump, qui a longtemps accusé Taïwan de voler le marché des semi-conducteurs, n'a plus besoin des puces taïwanaises, pourquoi défendrait-il l'île ? Réponse, dans les couloirs de l'assemblée, de Robert Tsao, milliardaire créateur d'UMC, une autre entreprise de semi-conducteurs : « L'investissement de TSMC a été fait à l'invitation de Donald Trump, c'est un signe très positif pour consolider la relation entre Taïwan et les États-Unis. » Quant au risque de voir les dernières générations de puce quitter Taïwan et partir aux États-Unis, l'homme d'affaires se veut rassurant. « Non, cela va rester dans l'entreprise. N'importe quel développement aux États-Unis peut être utilisé à Taïwan. Tout cela va rester à Taïwan, c'est du n'importe quoi ».Au cœur des débats, les dernières générations de puces. Le gouvernement taïwanais a assuré qu'elles ne seraient pas produites aux États-Unis. Pour l'instant, elles sont manufacturées en grande partie au parc industriel de Xinzhu, à une heure au sud de Taipei. C'est là qu'est né le géant des semi-conducteurs, TSMC. Les puces – qui permettent à nos téléphones, ordinateurs et voitures de fonctionner – sont fabriquées dans d'immenses usines, frappée du logo rouge de l'entreprise taïwanaise. Un chantier permanent : à chaque nouvelle génération de puces, une nouvelle usine voit le jour.L'entreprise a accepté de nous accueillir dans son musée, mais interdit tout enregistrement sonore à l'intérieur. Alors, pour briser le culte du secret, il faut se tourner vers les anciens employés. « Ces puces vont être très proches technologiquement de celles produites à Taïwan. Taïwan commencera sûrement la production avant, mais cela prendra peu de temps de transférer aux États-Unis », estime Konrad Young, universitaire ayant longtemps été directeur de la recherche et du développement à TSMC. « En un sens, cela réduit l'effet de protection du "bouclier". Mais est-ce que TSMC veut être un bouclier ? Je ne sais pas. »Avec 40 000 emplois bientôt créés aux États-Unis, TSMC a au moins offert au camp Trump un argument pour défendre Taïwan à ses électeurs.À lire aussiChine vs États-Unis : avec le retour de Donald Trump, un grand clash aux effets planétaires

Accents d'Europe
L'extrême droite européenne et Moscou derrière Marine Le Pen

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 19:30


Et on parlera tout d'abord des réactions multiples en Europe après la peine d'inéligibilité immédiate prononcée à l'encontre de la cheffe de l'extrême droite française... Marine Le Pen condamnée, par ailleurs, à quatre ans de prison (dont deux avec sursis) pour détournement de fonds publics, en l'occurrence l'argent du Parlement européen.  «Je suis Marine» a posté sur X le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban «Une déclaration de guerre de Bruxelles» a estimé le vice Premier ministre italien Matteo Salvini, sans oublier le leader d'extrême droite néerlandais Geert Wilders qui se dit choqué. Quant au Kremlin, il a saisi l'occasion pour donner une leçon de démocratie à l'Occident... À Moscou, Jean Didier Revoin.   La jeunesse turque mobilisée Des centaines de milliers de manifestants au bas mot, plusieurs millions selon les organisateurs: l'opposition s'est déployée en masse en Turquie ce week-end pour dénoncer l'arrestation d'Ekrem Imamoglu, le maire d'Istanbul qui est aussi le seul opposant de taille au président Erdogan.  La liberté de parole bafouée, l'absence de perspective économique, les jeunes et particulièrement les étudiants étaient en tête de cortège...Anne Andlauer a pu les rencontrer.  Et alors que le pouvoir table sur un essoufflement du mouvement, d'autres manifestations sont prévues mercredi et samedi prochains.  La répression est féroce, près de 2 000 arrestations et plus de 260 incarcérations selon les chiffres officiels et parmi eux un journaliste suédois arrêté dès son arrivée en avion pour terrorisme...   Le marché de l'art secoué par les crisesL'instabilité mondiale, l‘inflation et les frais de fonctionnement des galeries qui explosent. Tout cela impacte directement le marché international de l'art. Reportage à la grande foire de Londres, la London Art fair signée Marie Billon.  Interview de Charlotte Guichard, à l'occasion de la publication de son livre «Vendre son art» coécrit avec Sophie Cras, et publié aux éditions du Seuil. 

De vive(s) voix
Enquête : quelle est l'image de la langue française dans le monde ?

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 29:00


L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées.  Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées.  Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France.  Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ?  La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française.  Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel

Accents d'Europe
L'extrême droite européenne et Moscou derrière Marine Le Pen

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 19:30


Et on parlera tout d'abord des réactions multiples en Europe après la peine d'inéligibilité immédiate prononcée à l'encontre de la cheffe de l'extrême droite française... Marine Le Pen condamnée, par ailleurs, à quatre ans de prison (dont deux avec sursis) pour détournement de fonds publics, en l'occurrence l'argent du Parlement européen.  «Je suis Marine» a posté sur X le Premier ministre nationaliste hongrois Viktor Orban «Une déclaration de guerre de Bruxelles» a estimé le vice Premier ministre italien Matteo Salvini, sans oublier le leader d'extrême droite néerlandais Geert Wilders qui se dit choqué. Quant au Kremlin, il a saisi l'occasion pour donner une leçon de démocratie à l'Occident... À Moscou, Jean Didier Revoin.   La jeunesse turque mobilisée Des centaines de milliers de manifestants au bas mot, plusieurs millions selon les organisateurs: l'opposition s'est déployée en masse en Turquie ce week-end pour dénoncer l'arrestation d'Ekrem Imamoglu, le maire d'Istanbul qui est aussi le seul opposant de taille au président Erdogan.  La liberté de parole bafouée, l'absence de perspective économique, les jeunes et particulièrement les étudiants étaient en tête de cortège...Anne Andlauer a pu les rencontrer.  Et alors que le pouvoir table sur un essoufflement du mouvement, d'autres manifestations sont prévues mercredi et samedi prochains.  La répression est féroce, près de 2 000 arrestations et plus de 260 incarcérations selon les chiffres officiels et parmi eux un journaliste suédois arrêté dès son arrivée en avion pour terrorisme...   Le marché de l'art secoué par les crisesL'instabilité mondiale, l‘inflation et les frais de fonctionnement des galeries qui explosent. Tout cela impacte directement le marché international de l'art. Reportage à la grande foire de Londres, la London Art fair signée Marie Billon.  Interview de Charlotte Guichard, à l'occasion de la publication de son livre «Vendre son art» coécrit avec Sophie Cras, et publié aux éditions du Seuil. 

De vive(s) voix
Enquête : quelle est l'image de la langue française dans le monde ?

De vive(s) voix

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 29:00


L'Institut français a confié à l'entreprise de sondage IPSOS une enquête sur la perception de la langue française à l'étranger. Ce sont près de 25.000 personnes dans douze pays qui ont été sondées.  Les résultats de cette enquête ont été publiés à l'occasion de la semaine de la francophonie qui a eu lieu fin mars. Réalisée dans douze pays pilotes (États-Unis, Colombie, Nigeria, Liban, Maroc, Pologne, Corée du Sud, Chine, Ouzbékistan, Vietnam, Arabie Saoudite et Allemagne), elle avait pour objectif de percevoir comment les habitants non francophones des pays sondés percevaient la langue française afin de susciter davantage « l'envie d'apprendre en français » et d'attirer de nouveaux publics. Selon l'enquête, une personne sur trois estime que la maîtrise de la langue française est "essentielle". Quant à la langue française, elle est bien perçue par huit sondés sur dix mais elle est perçue comme une langue plutôt difficile à apprendre. L'aspect utilitariste de la langue (partir travailler ou étudier en France, voyager plus facilement) est mis en avant par les personnes interrogées.  Invités : Fédérico Vacas, directeur du Département Opinion chez IPSOS, et Stéphane Ré, directeur du Réseau à l'Institut français. L'Institut français est l'établissement public chargé des relations culturelles extérieures de la France.  Connaissez-vous le lien entre la langue française, le numérique et l'Estonie ?  La chronique "Ailleurs" nous emmène aujourd'hui à Tallinn en Estonie et c'est Emmanuel RIMBERT directeur de l'Institut français d'Estonie et conseiller de coopération et d'action culturelle qui nous parlera de la conférence de Mathieu Goux, Numérique et langue française.  Programmation musicale : L'artiste Weekend Affaire avec le titre Ton appel

C'est presque sérieux
Charleroi vaut vraiment le Détour (1) : Profession cintrier, BD et Palais des Beaux-Arts

C'est presque sérieux

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 39:46


Cette semaine, toute l'équipe de Ca vaut vraiment le détour pose ses valises, ses micros et ses feuilles de questions à Charleroi, commune au riche passé industriel qui est aussi la commune la plus peuplée de Wallonie. Parmi ces personnes, deux ont choisi de jouer en ce lundi, Linda et Anne, soutenues par Manu di Pietro (régional de l‘étape) et Eric De Staercke, et répondre aux questions capillotractées de Walid. Quant à l'invitée du jour, il s'agit de Marie Noble, directrice du PBA de Charleroi, paquebot magnifique et imposant qui rythme depuis près de 70 ans la vie culturelle de la cité carolo ! On parle de son histoire, d'une profession étonnante qu'on ne trouve presque nulle part ailleurs, et d'un avenir qui pourrait aussi faire la part belle à la bande dessinée et à la fameuse école de Marcinelle ! https://www.pba.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Finscale
#282 - Pauline Roux (Elaia) - Zoom sur Elaia et Dezoom sur le VC Européen

Finscale

Play Episode Listen Later Mar 29, 2025 35:09


Dans cet épisode, je reçois Pauline Roux, Managing Partner chez Elaia, un fonds pionnier dans l'investissement DeepTech en Europe. Ensemble, nous explorons la manière dont Elaia connecte le monde académique et l'entrepreneuriat, en misant sur des fondateurs souvent issus de la recherche (PhD, labos, spin-offs).Pauline revient sur :La stratégie d'Elaia pour détecter et accompagner des projets scientifiques super ambitieux.Le rapprochement avec Lazard et l'apport d'outils Quant' à leur gestion.Les secteurs sous-financés malgré un fort potentiel en Europe.Le rôle essentiel du temps long et de la pédagogie dans l'investissement DeepTech.Un échange passionnant pour comprendre comment le VC peut (et doit) évoluer pour révéler les champions technologiques européens de demain.Key TakeawaysLa recherche académique : un vivier sous-exploité en Europe.Le DeepTech exige une grille de lecture spécifique. Comprendre la maturité scientifique, gérer le temps long et accompagner l'industrialisation sont des compétences clés pour les fonds.Elaia se distingue par une approche tech-first ET capital-efficient.Le rapprochement avec Lazard illustre une hybridation des modèles.Elaia intègre des outils quantitatifs avancés (ex : Monte Carlo) pour mieux piloter le risque et la performance.Certains secteurs restent structurellement sous-financés.L'Europe souffre encore d'un manque d'interface entre la recherche et le VC. Contrairement aux US, les passerelles entre universités, chercheurs et investisseurs sont peu nombreuses et peu fluides.La plateforme d'investissement doit évoluer. Intégrer du support opérationnel, de la R&D, de la pédagogie… voire des outils IA pour structurer et prioriser les investissements.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.

CzechCrunch Podcast
Miliardové portfolio, fotbalová Dukla, manželská krize kvůli startupu. Příběh investora Matěje Turka

CzechCrunch Podcast

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 70:53


Fotbalová Dukla Praha, algoritmický investiční fond Quant a online prodejce vstupenek Ticketstream toho na první pohled nemají moc společného. Jenže zdání klame – ve všech drží majetkový podíl Matěj Turek. Pětačtyřicetiletý podnikatel patří k nejpozoruhodnějším, a přitom nejméně nápadným českým investorům. Postupně kolem sebe ale vybudoval skupinu firem a projektů, jejichž hodnota vysoce přesahuje miliardu korun. A právě Turek byl hostem nejnovější epizody podcastu Money Maker. „Kdybych byl mladší, vydal bych se dělat byznys do Japonska,” říká v podcastu. V něm došlo i na jeho ponaučení z dopisů Warrena Buffetta, proč se drží pravidla zvaného 10x, jak mu změnil život fotbal, proč neustále čte i kterak strávil prací několik měsíců v Pobaltí a dozvěděl se tam spoustu věcí o byznysu a startupech – a také se mu málem rozpadlo manželství.Poslechněte si celý rozhovor v podcastu Money Maker! 

Finscale
[EXTRAIT] #282 - Pauline Roux (Elaia) - Zoom sur Elaia et Dezoom sur le VC Européen

Finscale

Play Episode Listen Later Mar 26, 2025 4:32


Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec Pauline Roux, Managing Partner chez Elaia.***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.

Finscale
#281 - Philippe Maso (Ornikar) - De patron d'Assurance à CEO de scale-up à succès

Finscale

Play Episode Listen Later Mar 22, 2025 39:09


Ornikar, c'est plus qu'une auto-école en ligne ! Depuis son dernier tour de table à 100 million d'EUR avec KKR, l'entreprise a pris un virage stratégique : adieu la course au volume, bonjour la rentabilité et l'assurance auto comme nouveau levier.Le retournement express : Arrivé comme Advisor, Philippe Maso a tout chamboulé : moins de comités, plus d'action, une culture d'entreprise refondée, et un business model au cordeau. Résultat ? Une transformation réussie en un temps record.

Journal d'Haïti et des Amériques
Haïti : « Nous n'acceptions pas que notre pays soit livré aux gangs »

Journal d'Haïti et des Amériques

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 30:00


Ce mercredi (19 mars 2025), la colère a grondé dans les hauteurs de Port-au-Prince. Excédés par l'insécurité grandissante et l'inaction des autorités en place, des milliers de citoyens venus de Canapé-Vert, Pacot et Debussy, des quartiers qui subissent les assauts des gangs, ont investi les rues, bravant la peur pour exiger des réponses. « Les bandits m'empêchent de vivre dans mon propre pays. Je ne peux pas l'accepter. Qu'ils viennent me tirer dessus là, dans la rue. Mais je n'accepterai pas de mourir chez moi comme un lâche », estime ce jeune Haïtien rencontré par Peterson Luxama à Port-au-Prince.Frustrés, les manifestants ont scandé des slogans dénonçant l'impuissance du gouvernement face à la terreur imposée par les gangs.Ces manifestants se disent prêts à se battre pour retrouver le droit de vivre en sécurité dans une capitale, dont la chute parait de plus en plus probable. « Ils veulent nous chasser du pays. Mais nous, nous n'avons nulle part où aller. Nous n'avons ni mère, ni père, ni personne à l'étranger sur qui compter. Notre seul refuge, c'est notre pays, et nous n'acceptons de le livrer aux gangs », assène cet autre manifestant.La foule a progressé pour atteindre les lieux de pouvoir mais ils ont buté sur un grand dispositif de sécurité. Ils ont été accueillis par des tirs en l'air et des gaz lacrymogènes : les policiers ont répondu à la détresse populaire par la force. Les forces de l'ordre semblent plus prompts à étouffer les revendications qu'à combattre l'insécurité qui gangrène la capitale.Pour Frantz Duval, rédacteur en chef du Nouvelliste, « les Haïtiens jusqu'à présents subissaient et ne se plaignaient pas, mais hier c'était la foule des grands jours. » Les quartiers concernés par ces rassemblements ce mercredi « sont les derniers de Port-au-Prince où les gangs n'ont pas encore pénétrés ». Pour l'éditorialiste, il s'agit d'un « sursaut qui s'adresse à la fois aux forces de l'ordre pour leur apporter du soutien mais surtout pour déplorer le fait que les autorités n'ont même pas un mot pour ce qu'il se passe dans la région métropolitaine depuis quelques jours ».Frantz Duval nous parle également de la compagnie Aruba Airlines qui a décidé d'annuler les vols réguliers qui étaient prévus, à partir de mardi prochain (25 mars 2025), entre Port-au-Prince et Miami. 2 mois après son arrivée à la Maison Blanche, Donald Trump est il une menace pour la démocratie ? L'heure d'un premier bilan a déjà sonné : en deux mois de présidence, le président américain qui gouverne par décrets a déjà fait beaucoup d'annonces, pris beaucoup de décisions, souvent contestées et la question se pose : Donald Trump est-il une menace pour la démocratie ? C'est une question qui revient de plus, aux États-Unis mais aussi ailleurs dans le monde. Achim Lippold s'est penché sur la question et estime que rien ne semble freiner Donald Trump. Le président américain qui gouverne agit à un rythme effréné en contournant les institutions et en remettant en cause l'état de droit. Le président américain passe en force même devant les magistrats qui contestent certaines de ses décisions. Pour preuve, le bras de fer qu'il a engagé avec un juge qui lui a ordonné de ne pas expulser plus de 200 Vénézuéliens, membres présumés d'un gang, vers le Salvador.Donald Trump qui effectue également une véritable purge dans l'administration avec des milliers de fonctionnaires licenciés, des agences fédérales fermées, même celles censées être indépendantes.Dans le «Project 2025», un programme ultra-conservateur de 900 pages conçu par ses proches en 2023,on trouvait déjà l'idée de démanteler l'administration fédérale et de remplacer les fonctionnaires par des personnes loyales à Donald Trump. Le Project 2025 propose aussi de s'attaquer à la culture «woke» et de bannir les personnes transgenres de l'armée. Une mesure que Donald Trump a déjà prise, bien que suspendue par la justice.Il s'attaque aussi à un autre pilier de la démocratie : la presse.Le président américain a licencié une grande partie des journalistes de Voice of America, une radio publique créée pendant la Seconde Guerre mondiale pour promouvoir la démocratie. Il accuse CNN de «couverture illégale» et limite l'accès de l'agence de presse AP à la Maison Blanche.Une chose est sûre : rien ne semble l'arrêter dans sa volonté de tester les limites de la démocratie. Au Congrès, sa majorité républicaine est docile. Quant aux démocrates, ils sont inaudibles. Reste la justice et la société civile. Mais seront-elles assez fortes pour freiner le virage autoritaire du président américain ? Floride : le gouverneur de Santis « plus MAGA que Trump »El Pais parle d'un soutien du président américain, le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis quis'efforce à rendre la Floride «plus MAGA que Trump», titre le journal.Pour preuve, ce dernier a créé son propre Département d'État pour l'efficacité gouvernementale « inspiré et calqué sur le DOGE dirigé par Elon Musk ».Le gouverneur de Floride a aussi approuvé une loi très dure ciblant les immigrants illégaux qui a fait grincer des dents même côté républicains et dans un élan populiste, a proposé de supprimer l'impôt foncier ce qui le met dans la droite ligne du locataire de la Maison Blanche.Ron DeSantis a toujours été comme « emprisonné dans l'ombre de Donald Trump », estime El Pais. Sa mesure la plus spectaculaire restant celle contre l'immigration, la nouvelle législation alourdit les peines pour tous les crimes commis par les immigrants illégaux, y compris la peine de mort pour les délinquants de premier degré, et crée un nouveau délit : l'entrée illégale sur le territoire américain. Une législation jugée inconstitutionnelle.Certaines villes de Floride comme South Miami se demandent si elles doivent se plier à cette politique ultra répressive ou résister explique le Miami Herald, au risque de voir leurs subventions fédérales fondre comme neige au soleil. Salvador : une vidéo des prisonniers Vénézuéliens vue 39 millions de fois en 3 joursLe New York Times diffuse dans son édition du jour une vidéo de propagande du Salvador, où les 238 Vénézuéliens expulsés des États-Unis vers le pays ont les mains et les pieds entravés par des chaînes. Ils sont extirpés de l'avion qui les emmène au Salvador, et conduit à bord de véhicules blindés au Cecot, la prison de haute sécurité que le gouvernement du président Bukele a construite pour incarcérer les membres de gangs.On les tire par les cheveux, puis on leur rase le crâne avant qu'ils ne soient conduits tête baissée en cellule par des hommes encagoulés. Ces migrants sont accusés par le président Trump de faire partie du gang Tren de Aragua, mais certaines familles de détenus ont démenti ces informations.La vidéo de 3 minutes a été vue 39 millions de fois en 3 jours révèle le NY Times, et ce procédé n'est pas nouveau. Le président Bukele, qui est un ancien publicitaire, a déjà eu recours à ce type de vidéos pour mettre en avant sa politique répressive contre les gangs. On y voit des mises en scènes humiliantes et déshumanisantes lors d'arrestations ou d'emprisonnements. Pour preuve, cette autre vidéo de 2023 des autorités de Salvador, que diffuse le journal, et qui montre des prisonniers alignés, torse nu et accroupis. La caméra fait un travelling au-dessus d'eux, on aperçoit leurs têtes rasées et leurs tatouages, ils se ressemblent tous, comme s'ils n'avaient plus de statut, comme s'ils n'étaient plus des êtres humains. Bolivie : inflation, pénurie de dollars et de carburant provoquent la colère de la population. Des manifestations ont eu lieu ce mercredi (19 mars 2025) à La Paz, contre la crise économique en Bolivie. «Le gouvernement a déjà pris des mesures mais jusqu'à présent, il n'y a eu aucune amélioration, c'est presque une blague. Nous, ce qu'on demande, c'est de vraies solutions», estime ce manifestant rencontré par Nils Sabin. Son reportage est à écouter dans son intégralité dans la version audio de ce podcast. Guatemala : le président Arevalo suspend l'assurance obligatoire pour les véhicules à moteurAu Guatemala, après deux jours de manifestations violentes, le président Bernardo Arevalo a cédé aux demandes des opposants àun décret obligeant les conducteurs de véhicules à moteur à souscrire une assurance responsabilité civile. Les accidents de la route sont la principale cause de décès dans le pays, bien au-dessus de la criminalité. En février, un accident d'autocar a fait 54 morts. La Prensa Libre reprend l'allocution du président guatémaltèque où il dit comprendre le malaise de la population. Les opposants au texte ont mis en avant la situation économique du pays où la pauvreté frappe 60 % de la population.  L'actualité des outre-merOdan Ajiali de la 1ère revient sur le déménagement d'une partie des habitants d'un village de Martinique en raison de l'érosion et de la montée du niveau de la mer.

Revue de presse Afrique
À la Une: la surprise de Doha

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 4:03


Le rwandais Paul Kagame et le congolais Félix Tshisekedi assis face à face… Qui l'eut cru ? Hier la photo a estomaqué la presse du continent et au-delà. On y voit donc les deux présidents et au milieu l'émir du Qatar, dans le rôle du médiateur.« Kagame et Tshisekedi s'entretiennent au Qatar », titre sobrement The New Times à Kigali.« Doha : un cessez-le-feu immédiat décidé entre la RDC et le Rwanda », annonce le site congolais Actualité CD.« Un tête-à-tête entre Félix Tshisekedi et Paul Kagame au Qatar : toutes les solutions pour mettre définitivement un terme à l'insécurité instaurée par les rebelles du M23-AFC, dans l'est de la RDC semblent les bienvenues », commente Objectif Infos.Tout de même, pour une surprise, c'est une surprise… « Inutile de se le cacher, les présidents congolais et rwandais nous ont bien eus, s'exclame Ledjely en Guinée. (…) Alors que chacun déplorait que les pourparlers tant attendus entre le gouvernement congolais et les rebelles du M23 n'aient finalement pas pu avoir lieu hier dans la capitale angolaise, cette photo est apparue, en début de soirée, de nulle part et à la surprise générale (…). »Pourquoi cette rencontre ?Les deux présidents y ont été en quelque sorte contraints, affirme Ledjely. Tshisekedi étant battu militairement et Kagame étant battu diplomatiquement… Explications : « il y a deux ou trois mois, lorsque les rebelles n'occupaient que quelques petites villes et collines de l'est de la RDC, les autorités congolaises pouvaient se permettre le déni et la nonchalance ». Mais maintenant que Goma et Bukavu sont tombés et que la menace pèse sur Kinshasa, ça n'est plus la même musique pour le président congolais.Quant au Rwanda, pointe Ledjely, « plutôt intouchable jusqu'à récemment, le pays a été soumis à de nombreuses sanctions ces dernières semaines. Au point qu'il est désormais ostracisé par la communauté internationale ».Et la médiation régionale ?Reste que « c'est un camouflet pour le président angolais Joao Lourenço, médiateur du conflit à l'est de la RDC. » C'est ce que relève Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC. Afrikarabia qui souligne que « les rivalités régionales ont plongé les processus de paix de Nairobi et Luanda dans l'impasse. Les deux institutions sous-régionales qui pilotaient les initiatives, l'EAC et la SADEC étaient chacune accusées de favoriser un camp plutôt que l'autre. (…) Et le président angolais s'est accroché à son fauteuil de médiateur en imposant au forceps les négociations de Luanda qui devaient avoir lieu hier entre le M23 et le gouvernement congolais, et qui se sont révélées être un fiasco ».Et le M23 dans tout cela ?En tout cas, pointe encore Afrikarabia, hier à Doha, Kagame et Tshisekedi ont réaffirmé « l'engagement de toutes les parties en faveur d'un cessez-le-feu immédiat et inconditionnel, et de poursuivre les discussions entamées à Doha afin d'établir des bases solides pour une paix durable. Reste maintenant à savoir quels effets vont produire la déclaration de Doha sur le M23 ? Les promesses de cessez-le-feu ont été nombreuses depuis un an, mais elles n'ont jamais été respectées. (…) Reste à savoir aussi quelle sera la suite qui sera donnée à cette première rencontre Tshisekedi-Kagame après des mois d'invectives entre les deux hommes ? Une poursuite de la médiation qatarie ou bien un retour à la médiation africaine ? »En effet, renchérit WakatSéra à Ouaga, « le plus dur reste à faire, car la rencontre secrète de Doha ne dit pas quand la guerre prendra fin, et encore moins comment la RDC va récupérer Goma, Bukavu, et les autres localités aux mains des combattants de l'AFC-M23 que le Rwanda est accusé de soutenir ».Et WakatSéra d'implorer : « pourvu que l'éclaircie apportée depuis le Qatar dans le ciel sombre et menaçant de la RDC persiste et se transforme en paix des braves. Car, qu'elle vienne de Doha, de Luanda ou de Nairobi, la paix sera la bienvenue dans un Kivu et une RD Congo où les populations civiles, et même les militaires, ne savent plus s'ils doivent se vouer à Saint-Felix ou à Saint-Paul ».

Finscale
[EXTRAIT] #281 - Philippe Maso (Ornikar) - De patron d'Assurance à CEO de scale-up à succès

Finscale

Play Episode Listen Later Mar 19, 2025 5:25


Il s'agit de l'extrait de l'épisode diffusé ce dimanche avec Philippe Maso, CEO d'Ornikar***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.

Revue de presse Afrique
À la Une: rendez-vous manqué à Luanda

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 4:19


Revirement de dernière minute… La délégation de l'AFC-M23 ne se rendra pas ce mardi dans la capitale angolaise pour parler de la paix dans l'est de la RDC.La rébellion justifie cette annulation, précise Jeune Afrique, « par l'annonce, hier, de nouvelles sanctions imposées par l'Union européenne. Ces mesures visent plusieurs membres du M23, dont le président de sa branche politique, Bertrand Bisimwa, qui avait été officiellement invité par l'Angola à participer au dialogue. Outre des officiers rwandais sanctionnés pour leur soutien aux rebelles, ces mesures ciblent aussi différents cadres du mouvement, dont le “colonel“ John Imani Nzenze, chargé du renseignement au sein du M23, ou encore John Musanga Bahati, alias “Erasto“, nommé “gouverneur“ du Nord-Kivu après la prise de Goma ». « Sabotage ! »« L'AFC-M23 évoque (donc) un sabotage du processus de paix, pointe le site congolais Actualité CD. Le groupe rebelle estime que ces décisions (notamment les sanctions européennes) renforcent la position du président Félix Tshisekedi, qu'il accuse de poursuivre une politique belliciste. L'AFC-M23 affirme également que les forces congolaises et leurs alliés poursuivent leurs offensives sur plusieurs fronts, notamment par des bombardements aériens et l'utilisation de drones de combat CH-4. Selon le mouvement, ces attaques rendent toute négociation impossible ».« Presque simultanément aux sanctions européennes, relève pour sa part Le Monde Afrique, le Rwanda a décidé de “rompre les relations diplomatiques avec effet immédiat“ avec la Belgique. Kigali accuse l'ex-puissance coloniale d'avoir “pris parti [pour Kinshasa] bien avant et pendant le conflit en cours [en RDC]“ ».Le M23 en position de force…Afrikarabia, site spécialisé sur la RDC s'interroge : « le choix de l'Union européenne d'annoncer des sanctions contre le M23 et le Rwanda la veille de négociations à Luanda était-il vraiment judicieux ? Et est-ce que l'annulation de la rencontre entre le M23 et le gouvernement congolais n'arrange finalement pas tout le monde ? Sur le carambolage de calendrier entre l'annonce de l'Union européenne et les négociations de Luanda, on peut clairement dire qu'il s'agit d'une erreur, estime Afrikarabia, permettant d'offrir, sur un plateau, un prétexte idéal au M23 pour claquer la porte. D'autant que les Européens planchent sur ces sanctions depuis plusieurs semaines. On peut également se demander, pointe encore le site, si les rebelles et Kinshasa avaient vraiment envie de cette rencontre surprise, organisée dans la précipitation par João Lourenço ? Le M23 est dans une telle position de force militaire qu'il peut tout se permettre en restant maître du jeu et des horloges ».En effet, « gagner du temps est plutôt favorable aux rebelles, qui continuent d'avancer sur le terrain, notamment en progressant vers la ville de Walikale. Face à une armée congolaise qui n'est plus offensive, le M23 peut espérer s'emparer de nouveaux territoires, au Nord, à l'Ouest et au Sud, laissant ainsi Kinshasa avec des marges de manœuvre de plus en plus limitées lorsqu'il sera venu le temps de négocier. Quant au pouvoir congolais, relève encore Afrikarabia, on sait que le président Tshisekedi, qui a répété à l'envi pendant de longs mois qu'il ne négocierait jamais avec le M23, semble vouloir retarder le moment fatal où il sera bientôt obligé de s'asseoir en face de la rébellion ».Responsable…Pour Ledjely en Guinée, « le M23 porte l'entière responsabilité de cette autre occasion manquée. Si les autorités congolaises avaient réussi à surmonter leurs réticences à dialoguer directement avec les rebelles, ce sont finalement ces derniers qui ont opté pour le boycott et la chaise vide. Ce choix du M23 est d'autant plus condamnable qu'il révèle le manque d'intérêt du mouvement rebelle pour le rétablissement de la paix et de la tranquillité. En particulier, se cacher derrière les sanctions adoptées hier par l'Union européenne pour refuser de participer aux négociations relève d'un chantage malsain ».Qui sera le « bon sapeur-pompier » ?Alors « et maintenant ? », s'interroge WakatSéra au Burkina Faso. « Que vaudra la “feuille de route“ accouchée par les ministres des Affaires étrangères de la Communauté de l'Afrique de l'Est et de la Communauté de développement d'Afrique australe, au cours de leur rencontre conjointe d'Harare, hier, sur la base des recommandations des chefs d'état-major des deux régions ? Luanda reviendra-t-il encore à l'ordre du jour, avec les sanctions prises et celles en vue, et que l'AFC-M23 pointe du doigt comme un frein à la marche vers la sortie de conflit ? (…) Pour le moment, soupire WakatSéra, la RDC attend toujours le bon sapeur-pompier, alors que les ingrédients s'accumulent dans la marmite et la rendent davantage explosive ! »

Histoire Vivante - La 1ere
Drogues, son histoire, ses usages et ses images (4/5) – Musiques électroniques et drogues synthétiques

Histoire Vivante - La 1ere

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 29:33


" Danser jusqu'au bout de la nuit ". C'est avec cette nouvelle manière de penser la fête, héritée des années 60 et érigée en dogme, que les musiques électroniques apparaissent aux Etats-Unis : New-York pour le disco dans les années septante, Chicago pour la house et Detroit pour la techno au milieu des années 80. Quant aux drogues synthétiques, LSD, amphétamines et MDMA en tête, toutes existaient déjà bien avant. Mais avec l'arrivée de cette nouvelle club culture, la libération des minorités Noires et gay, la figure montante du disc-jockey et la découverte de nouveaux sons créés par les machines, le tapis rouge se déroule sous les pieds des danseurs et des danseuses et pour les drogues synthétiques. L'histoire des musiques électroniques reste incomplète sans inclure celle de la consommation de drogues synthétiques, et inversement. Un mariage à son apogée lorsque l'Acid house rencontre l'ecstasy à la fin des années 80. Une combinaison perçue comme idéale entre chimie et sons, une mutation de la culture club et la culture populaire, en Grande Bretagne d'abord, puis dans toute l'Europe. Bjorn Schaffner, journaliste spécialisé dans les musiques électroniques et dans le domaine dans la culture club, co-fondateur du site d'archives suisses clubculture.ch est au micro de Céline Roduit pour Histoire Vivante.

Reportage International
Syrie: deux frères alaouites tués à Homs, le témoignage poignant de leur famille

Reportage International

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 2:30


À Homs, dans le quartier de Zahra, peu de temps après des meurtres tragiques sur fond de tensions communautaires, nous plongeons au cœur d'un récit déchirant. La famille des victimes, issues de la minorité alaouite, raconte comment leur monde s'est effondré, et comment, dans un contexte de violences persistantes, la recherche de sécurité et de dignité devient une quête désespérée.  De notre envoyé spécial à Homs,Il y a quelques jours, le quartier Zahra, à Homs, connu pour sa population à majorité alaouite, en Syrie, a été le théâtre d'un meurtre ayant coûté la vie à deux jeunes hommes issus de cette minorité. Comme le confirme Zaynab, la sœur des victimes, ce crime n'était pas un crime ordinaire, mais un meurtre communautaire perpétré par des hommes armés sur fond des combats qui ont eu lieu dans les zones côtières syriennes, entre les nouvelles autorités et les milices loyalistes de l'ancien régime.« Ceux qui les ont tués n'ont pas tué qu'eux, ils ont tué toute la famille. Mes frères, Dieu merci, sont désormais considérés comme des martyrs aux yeux de Dieu et reposent en paix, mais toute la famille a péri après leur mort, se désole Zaynab. Pourquoi ont-ils été tués si les criminels ne leur ont pas pris d'argent, ni aucun de leurs documents ? Ils les ont simplement tués et ont laissé une de leurs pièces d'identité sur la table. Mes frères étaient très polis, et vous pouvez demander à tous ceux qui les connaissaient, ils témoigneront qu'ils étaient de bonnes personnes. Mais ils sont partis et ne reviendront jamais, même s'ils représentaient tout pour nous. »Quant au père des victimes, il n'a pas de mots pour décrire sa douleur. Il souhaite quitter le pays avec les membres de sa famille encore en vie pour ne pas connaître le même sort que ses fils. « La vérité, c'est que nous avons perdu notre sécurité, notre sûreté et nos vies. J'ai tout perdu dans ma vie, dénonce-t-il. Quand les gens sont venus me présenter les condoléances, je leur ai dit que je ne voulais pas de condoléances, mais plutôt qu'on m'aide à quitter ce pays pour pouvoir élever les filles de mon fils et de ma fille. J'ai demandé aux gens de m'aider à aller dans n'importe quel pays. Je leur ai dit que je ne voulais ni argent, ni nourriture, je voulais juste la sécurité pour moi et ma famille, quel que soit le pays, que ce soit le Sénégal ou la Somalie. Nous sommes une famille simple qui n'a jamais cherché à obtenir une position politique ou un statut social. Nous aspirons simplement à vivre dans la dignité, sans luxe. »À lire aussi Syrie : la désinformation s'ajoute aux violences subies par la communauté alaouite« La loi martiale doit être instaurée »Avec la chute du régime de Bachar el-Assad, la vie de la communauté alaouite en Syrie a radicalement changé. Comme le dit Jamal, un homme lui aussi alaouite, tous vivent désormais dans une sorte de prison, confrontés à un danger de mort imminente à tout moment. « La sécurité est totalement inexistante dans le pays et le problème réside dans l'incapacité du gouvernement à contrôler ceux qui enfreignent la loi, juge-t-il. Par conséquent, la loi martiale doit être instaurée et tout homicide doit être condamné à mort par pendaison. »Comme chaque jour depuis les événements sur la côte, les membres de la communauté alaouite se barricadent dans leurs maisons après 17 heures. En attendant, dans la même ville, sur la place de l'horloge à Homs, des milliers de Syriens sunnites sont venus célébrer le nouveau régime et commémorer la révolution et leur victoire sur Assad, après 14 ans de lutte. À lire aussi Violences dans l'ouest de la Syrie : la commission d'enquête « déterminée à garantir la justice »

Finscale
#280 - Elise Erbs (Electra) - Rendre Electra "Bankable" pour devenir le géant européen de la recharge

Finscale

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 42:44


Dans cet épisode, je reçois Elise Erbs, CIO d'Electra, pour explorer en profondeur la stratégie de M&A, les levées de fonds massives et les partenariats qui permettent à une entreprise comme Electra d'accélérer le déploiement de ses infrastructures de recharge rapide pour véhicules électriques.Nous avons discuté de l'importance du Capex dans un secteur capital-intensive, où des investissements massifs sont nécessaires pour financer l'expansion du réseau. Elise nous a également expliqué comment Electra structure ses deals d'acquisition, choisit ses co-investisseurs, adapte sa stratégie de financement et bâtit des joint-ventures soutenue par des investisseurs prestigieux comme PGGM, Bpifrance, Eurazeo ou Serena.L'épisode met en lumière la complexité et l'ingénierie financière derrière la croissance rapide d'Electra, illustrant comment une entreprise InfraTech peut lever des fonds à grande échelle tout en optimisant son business model pour rester compétitive.Sujets couvertsStratégie d'expansion géographique.Structure des deals et co-investissements : Comment maximiser la rentabilité et minimiser les risques avec des partenaires financiers.Levées de fonds massives : Définition des montants cibles et adaptation aux cycles de marché pour financer une expansion rapide.Optimisation du mix de financement : Choix entre VC, fonds infra et fonds de pension pour structurer des levées de fonds adaptées aux besoins du secteur. Equity vs DetteValorisation et Business Plan : Comment ajuster les modèles financiers dans un marché en constante évolution.Déploiement des infrastructures : Rôle des joint-ventures et des co-investissements dans l'accélération de la mise en place des stations de recharge.Levier de différenciation : Comment Electra se positionne face à la concurrence***************************Finscale, c'est bien plus qu'un podcast. C'est un écosystème qui connecte les acteurs clés du secteur financier à travers du Networking, du coaching et des partenariats.

FundCalibre - Investing on the go
350. Quant meets instinct: inside the Nutshell Growth fund

FundCalibre - Investing on the go

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 24:48


Mark Ellis, manager of the Nutshell Growth fund, shares his fascinating journey to becoming a fund manager with a unique quantitative process at the heart of this fund. The fund blends quality growth, and momentum factors, constantly evolving with twice-monthly reviews to ensure the portfolio holds the world's best opportunities. Mark explains why trading more frequently doesn't necessarily lead to higher costs and how his background as a trader gives the fund a crucial edge in capturing alpha. A must-listen for any growth investor. What's covered in this episode: The manager's professional backgroundMomentum in the FTSE 350The fund's unique quant processWhy the manager starts with a blank slate twice a monthWhy trading leading to high costs is a misconceptionWhen this fund will underperformCurrent trends in the marketWhy they've added Novo Nordisk and Nvidia Searching for those hidden gems in mid and small-capsAre US markets overvalued?More about the fund: This is an innovative and original fund. Nutshell Growth is a high-conviction, concentrated, pragmatic fund investing in exceptional growth companies. What makes this fund different is the heavy quantitative input which guides the manager. It is firmly on our radar as an exciting future prospect.Learn more on fundcalibre.comPlease remember, we've been discussing individual companies to bring investing to life for you. It's not a recommendation to buy or sell. The fund may or may not still hold these companies at the time of listening. Elite Ratings are based on FundCalibre's research methodology and are the opinion of FundCalibre's research team only.

Fintech Leaders
David Magerman, Differential Ventures - How to Fix the Internet, Risks of GenAI, Pioneering Quant Trading

Fintech Leaders

Play Episode Listen Later Mar 12, 2025 45:41


Send us a text[Original air date, February 6, 2024]  Miguel Armaza sits down with David Magerman, Managing Partner and Co-Founder of Differential Ventures, an early-stage fund that invests in data-focused entrepreneurs building enterprise technology.In a past life, he spent 22 years in leadership roles at Renaissance Technologies (RenTech), a legendary hedge fund with over $100 billion in AUM and probably the most successful fund in history.David is also a contrarian thinker and a non-conformist, which made our conversation even more interesting.We discuss:How David and a small group of engineers helped introduce quantitative data science to trading and public capital markets investingWhy he is highly skeptical of the new wave of GenAIA very convincing argument to introduce friction in online communication processes to restore balance and reduce its negative effects on society… and a lot more! Want more podcast episodes? Join me and follow Fintech Leaders today on Apple, Spotify, or your favorite podcast app for weekly conversations with today's global leaders that will dominate the 21st century in fintech, business, and beyond.Do you prefer a written summary? Check out the Fintech Leaders newsletter and join 70,000+ readers and listeners worldwide!Miguel Armaza is Co-Founder and General Partner of Gilgamesh Ventures, a seed-stage investment fund focused on fintech in the Americas. He also hosts and writes the Fintech Leaders podcast and newsletter.Miguel on LinkedIn: https://bit.ly/3nKha4ZMiguel on Twitter: https://bit.ly/2Jb5oBcFintech Leaders Newsletter: bit.ly/3jWIp

The Retirement Wisdom Podcast
TALK: The Science of Conversation – Alison Wood Brooks

The Retirement Wisdom Podcast

Play Episode Listen Later Mar 10, 2025 35:55


We spend a lot of time each day in conversation. What if you could get better at it? Alison Wood Brooks, author of the new book, Talk: The Science of Conversation and the Art of Being Ourselves, shares her research and tips on how to master conversation, become a better listener, navigate difficult discussions - and what makes an effective apology. Alison Wood Brooks joins us from Massachusetts. ________________________ Bio Dr. Alison Wood Brooks is the O'Brien Associate Professor of Business Administration and Hellman Faculty Fellow at the Harvard Business School, where she created and teaches a course called TALK. As a behavioral scientist, she is a leading expert on the science of conversation. Her award-winning research has been published in top academic journals and is regularly cited in media outlets such as The New York Times, The Wall Street Journal, Harvard Business Review, and NPR. Her research was referenced in two of the top ten most-viewed TED talks of all time and depicted in Pixar's Inside Out 2. In 2021, she was named a Best 40 Under 40 Business School Professor by Poets & Quants. "TALK: The Science of Conversation and the Art of Being Ourselves" is her first book. _________________________ For More on Alison Woods Brooks Read Talk: The Science of Conversation and the Art of Being Ourselves Website __________________________ Podcast Episodes You May Like Our New Social Life – Natalie Kerr & Jaime Kurtz Retiring: Creating a Life That Works for You – Teresa Amabile Big Goals – Caroline Adams Miller The Ritual Effect – Michael Norton _________________________ What Will Your Next Story Be? Stay in the Loop with once a month updates on featured conversations and noteworthy articles. Wisdom Notes keeps ideas coming your way once a month to help you create it. _________________________ Best Books for Retirement _________________________ Wise Quotes On Boomerasking "Asking questions is magical. It's why there's a whole part of the acronym is about asking. But Boomerasking, which is named after the outgoing and incoming returning arc of a boomerang, is sort of a boundary condition on the power of question asking, because it's like this. It would be like, I say to you, Joe, have you ever been to Nepal? And you say no, and I'm like, let me tell you about the time I went to Nepal. It's almost like you're thinly veiling your egocentrism and sort of self-centeredness, your desire to disclose about yourself. You're kind of masking it with this insincere question. And you hear it all the time. And what we find in our research is that when I say, have you ever been to Nepal, first of all, that question is so specific, you're already on high alert. You're like, oh, God, here comes a story about Nepal. But even if I were to ask you, like, how was your weekend, and then I let you answer, and even if you were excited to answer that, and then I bring it right back to myself immediately without following up on your answer, it makes you feel like I wasn't interested to begin with. And that's a really bad feeling. In the end, conversation needs to be sort of ping pongy back and forth, where both people are sharing about themselves, but also feeling affirmed and validated and listened to as we're playing this ping pong game. And so if you bring it right back to yourself in boomerask, it undermines the healthy ping ponginess of a conversation. Thank you. Follow ups and callbacks do exactly the opposite. So whereas Boomer asks are a villain and you're doing, you're bringing it too much back to yourself, which people do all the time. Follow up questions, keep the focus on the other person. So anytime someone gives you this great gift of a disclosure, you share anything about your weekend. Or if I say, have you been to Nepal and you say, no, but I've been to Tibet or whatever.If they're giving you any sort of sharing, some disclosure,

Revue de presse française
À la Une: l'Europe face à Donald Trump et Vladimir Poutine

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Mar 9, 2025 5:02


C'est à la Une du Parisien Dimanche : trois drapeaux qui flottent au vent : drapeaux français, européen et ukrainien, c'est « le réveil de l'Europe », titre le journal, qui a interrogé le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, lequel se montre ferme : « Ne nous laissons pas intimider », dit-il. « La France pourrait-elle entrer en guerre ? » lui demande le journal : « notre objectif est d'assurer une paix durable sur le continent européen », répond prudemment le chef de la diplomatie française, selon lequel « nous obtiendrons cette paix en nous donnant les moyens de dissuader la menace ». La Tribune Dimanche, de son côté, a interviewé Sébastien Lecornu. « Ceux qui nient la menace russe se trompent », estime le ministre des armées. Les États-Unis sont-ils toujours les alliés de la France ? « Je les considère toujours comme des alliés, en dépit de leur grande imprévisibilité », assure le ministre. Quant aux intentions côté russe, la méfiance est de mise : « ils ciblent notre démocratie et notre économie », accuse Sébastien Lecornu.Menace contre la démocratieC'est aussi avec la guerre en Ukraine en toile de fond que le Nouvel Obs a interrogé Raphaël Glucksmann. Le député européen, intellectuel de gauche, opposant de longue date à Vladimir Poutine, fait la Une de l'hebdomadaire, à l'occasion d'une grande interview. « Nous avons un ennemi », explique Raphaël Glucksmann, « Poutine, qui incarne une menace directe contre nos démocraties. Il soutient les mouvements d'extrême droite partout en Europe, attaque nos infrastructures stratégiques. Sa cible, c'est l'existence même de cette Union Européenne qui garantit la paix et la liberté sur le continent ». Mais pour Raphaël Glucksmann, pas question de baisser les bras. « Nous avons les moyens d'agir, de devenir une puissance avec laquelle il faut compter », assure-t-il. « Nous n'avons pas à être les serpillères sur lesquelles les empires s'essuient les pieds ». Le député européen n'est est pas pour autant moins inquiet. Et rappelle : « cela fait vingt ans que j'alerte sur le fait que la guerre va revenir dans nos vies, parce que nous avons affaire à un régime fasciste, la Russie de Poutine qui fonde sa dynamique interne sur l'expansionnisme et l'exaltation nationaliste ».Quelle opposition ?Nous allons à présent aux États-Unis, où se pose la question de l'opposition à Donald Trump. Question posée par l'Express. « Qui pour freiner le 47ème président ? » demande l'hebdomadaire, selon lequel « l'opposition peine à s'organiser et à se faire entendre ». Il y a bien quelques manifestations ici et là, mais aucun mouvement de grande ampleur. « Le Parti démocrate est aux abonnés absents » explique l'Express. « Il n'a pas de vrai leader, est divisé entre centristes et progressistes, et semble incapable d'articuler un message efficace contre le rouleau compresseur républicain ». « Le seul qui se fait entendre » remarque l'hebdomadaire, « c'est le sénateur du Vermont, Bernie Sanders, ex- candidat à la présidentielle. À 83 ans, il s'est lancé dans un tour des états conservateurs et fait salle comble. « Le trumpisme ne va pas être vaincu par les hommes politiques de Washington », harangue-t-il, mais par vous, les électeurs ! » La contestation contre Trump n'en est donc encore qu'à ses débuts, mais « à mesure que les effets des licenciements de fonctionnaires et des suppressions de subventions publiques vont se faire sentir, la grogne pourrait s'amplifier », estime l'Express qui cite Marc Cuban. Ce milliardaire « hostile à Trump » assure ainsi : « les gens commencent à comprendre que le chaos n'est pas bénéfique pour le pays ».   Tableau d'honneurNous ouvrons à présent le Point, qui fait sa Une sur « le pouvoir des femmes ». À l'occasion de la Journée internationale pour les droits des femmes, l'hebdomadaire annonce « un état des lieux en France et dans le monde (…) Quel est leur vrai pouvoir dans l'économie, la politique, dans le top 50 de l'industrie culturelle, dans le tableau d'honneur des scientifiques ? » interroge le Point. L'hebdomadaire dresse de nombreux portraits d'entrepreneuses, qui brillent dans la mode ou le monde du football, de patronnes de sociétés fleurissantes, de scientifiques. Cela va de la chanteuse américaine et milliardaire Taylor Swift à l'astronaute française Sophie Adenot. Autant dire que les femmes puissantes ne manquent pas, même si elles ont souvent dû faire face à une forme d'hostilité ou d'ignorance du côté des hommes… Exemple avec Laura Chaubard, la directrice de la prestigieuse École polytechnique. « Je ne compte pas le nombre de fois où on m'a prise pour la secrétaire du service » raconte-t-elle. Graphiques à l'appui, le Point nous explique qu'il faudra encore beaucoup d'efforts pour que les femmes soient aussi nombreuses que les hommes aux postes à responsabilité. Sans oublier les inégalités salariales, toujours d'actualité. Les femmes de pouvoir mises à l'honneur par le Point, car, nous dit-on,  « rien n'est plus efficace que les rôles modèles qui font rêver ». Tout de même, les autres femmes, celles qui ne font (peut-être) pas rêver, peuvent, elles aussi être des modèles... 

At Barron's
Are Private Investments 'Volatility Laundering'? This Quant Thinks So.

At Barron's

Play Episode Listen Later Mar 6, 2025 25:44


Cliff Asness, managing and founding principal of AQR Capital Management, spoke to Barron's about private investments, quant investing, why he's not a big believer in cryptocurrency, the investing mistakes he's made, and more.

Yet Another Value Podcast
Advanced Portfolio Management: A Quant's Guide for Fundamental Investors (Fintwit Book Club)

Yet Another Value Podcast

Play Episode Listen Later Mar 5, 2025 54:01


Welcome to the latest edition of Yet Another Value Podcast's Book Club. Once a month, Andrew and co-host, Byrne Hobart, will discuss their thoughts on the book, "Advanced Portfolio Management: A Quant's Guide for Fundamental Investors" by Giuseppe A. Paleologo.See Byrne's writing at: https://www.thediff.co/"Advanced Portfolio Management: A Quant's Guide for Fundamental Investors" on Amazon: https://www.amazon.com/Advanced-Portfolio-Management-Fundamental-Investors/dp/1119789796Chapters:[0:00] Introduction + Episode sponsor: Fintool[2:24] First thoughts and overall impressions of "Advanced Portfolio Management"[5:54] Which pieces do you use to implement into your investing process that Byrne picked up from this book / how they implement "stop-losses"[19:00] It's not enough to have great ideas / "it only takes one" vs. concentrated portfolio / making good calls over time[29:17] Is there anything to buying things that are classified wrong in order to generate alpha?[32:54] How much are these factor and pod-shop models gameable[40:23] How much does Byrne think matching uncorrelated data is going to be taken over by AI vs. fundamental investors going forward[48:25] Beating the bots / final thoughtsToday's sponsor: FintoolFintool is ChatGPT for SEC Filings and earnings calls. Are you still doing keyword searches and going to the individual filing and using control F? That's the old way of doing things before AI. With Fintool, you can ask any question and it's going to automatically generate the best answer. So they may pull from a portion of an earnings call, or a 10k, whatever it may be and then answer your question. The best part- every portion of the answer is cited with the source document.Now- if you've tried to do any of this in ChatGPT you may know that the answers are often wrong or hallucinations. The way Fintool is able to outperform ChatGPT is their focus on the SEC filings. If you're an analyst or a portfolio manager at a hedge fund, check them out at https://fintool.com?utm_source=substack&utm_campaign=yavb&utm_content=podcast280See our legal disclaimer here: https://www.yetanothervalueblog.com/p/legal-and-disclaimer

Daily Stock Picks
Time To Be Greedy - $NVDA earnings reactions - where are the opportunities now? 2-27 Market Update

Daily Stock Picks

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 45:17


NVDA earnings are behind us - so what's next? Why does it feel so bad to buy anything right now? What are the indicators telling us? Overall a GREAT podcast to listen to. ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Get the Top 10 stocks of 2025 from Seeking Alpha⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Limited Time offer on Trendspider - 2 week trials now - you won't get my tools until you sign up for a yearly plan, but it's a perfect time to try out Trendspider for less than $20 ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠1. $GOOG and Mag7 2. Steve Cress - the Quant Master addresses the performance and what to do3. Correction Deniers scans - look at these charts 4. $GM - gas in the tank? 5. 10 beaten down tech stocks to buy - $CRDO $CLS $OKTA $APP6. $APP short report7. Crypto 8. Stock setups to trade - education 9. Earnings - $SNOW $CRM $NVDA $VST 10. Tonight - $TLN $DELL and so much more 11. Paid too much for eggs? 3 stocks to buy now12. How to get a custom AI feed on news specific to your portfolio FREE13. A stock that just turned to a STRONG BUY in the Quant - should you buy it now? TRENDSPIDER SALE - best offer available  -⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://linktr.ee/dailystockpick⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Sign up at the top link ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠  (use code DSP25 if prompted) Email me at ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠dailystockpick3@gmail.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠  I'll send you all the algorithms, watchlists and scanners that you see me use each and every day.Social Links and more - ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://linktr.ee/dailystockpick⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠SEEKING ALPHA BUNDLE -  save over $150 ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠SEEKING ALPHA PREMIUM⁠⁠⁠⁠⁠⁠ - my $30 off coupon for a limited time⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠  ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Watch this episode on YouTube with video⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ to see how Steve from ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Seeking Alpha⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ uses the tool to navigate on picking stocks. ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Want to beat the S&P? ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Sign up for Alpha Picks here.⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠FREE NEWSLETTER WITH CHARTS - subscribe at ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠dailystockpick.substack.com ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠

Daily Stock Picks
NViDiA earnings Day! FINALLY - What about the other earnings? And does this weakness mean BUY NOW? 2-26 Market Update

Daily Stock Picks

Play Episode Listen Later Feb 26, 2025 53:50


Trendspider had some technical issues so the podcast is in 2 sections:1) VERY EARLY morning going over the market overview2) Recorded at 10am and you'll see a detailed look at today's earningsOverall a GREAT podcast to listen to. ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Get the Top 10 stocks of 2025 from Seeking Alpha⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Limited Time offer on Trendspider - 2 week trials now - you won't get my tools until you sign up for a yearly plan, but it's a perfect time to try out Trendspider for less than $20 ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠1. Steve Cress - why are good small caps with great Quant scores down? FULL EXPLANATION2. $WDAY was a KILLER suggestion yesterday 3. $SMCI filed - is it safe? 4. Seasonality - it's normal 5. Nervous? Maybe you should watch the 10 year or don't watch the news6. 200 day moving average is key 7 .$GME in to Bitcoin 8. Education from Ross at Warrior Trading9. Earnings - $ZETA - $AXON 10. Tonight - $NVDA $CRM $SNOW $IONQ $MARA $PSTG 11. Paid Newsletter - Savings Buckets TRENDSPIDER SALE - best offer available  -⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://linktr.ee/dailystockpick⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ Sign up at the top link ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠  (use code DSP25 if prompted) Email me at ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠dailystockpick3@gmail.com⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠  I'll send you all the algorithms, watchlists and scanners that you see me use each and every day.Social Links and more - ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠https://linktr.ee/dailystockpick⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠SEEKING ALPHA BUNDLE -  save over $150 ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠SEEKING ALPHA PREMIUM⁠⁠⁠⁠⁠⁠ - my $30 off coupon for a limited time⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠  ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Watch this episode on YouTube with video⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ to see how Steve from ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Seeking Alpha⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ uses the tool to navigate on picking stocks. ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Want to beat the S&P? ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠Sign up for Alpha Picks here.⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠FREE NEWSLETTER WITH CHARTS - subscribe at ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠dailystockpick.substack.com ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠ ⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠⁠

The Modern Manager: Create and Lead Successful Teams
346: Elevate Your Virtual Communication with Science-Backed Strategies with Andrew Brodsky

The Modern Manager: Create and Lead Successful Teams

Play Episode Listen Later Feb 25, 2025 30:59


Do you realize how important virtual communications are to your team's effectiveness? Except for in-person meetings, all our communications with our colleagues happen virtually.This is true whether you're fully remote, hybrid, or even in-office. But what if you could communicate clearly and authentically every time, no matter the virtual method? That's exactly what today's guest is here for.Meet Andrew Brodsky. Andrew is the CEO of Ping Group and an award-winning professor at the McCombs School of Business at The University of Texas at Austin. He is the author Ping: The Secrets of Successful Virtual Communication and was named one of Poets&Quants' “World's 40 Best Business School Professors Under 40”. Andrew specializes in workplace technology, communication, and productivity, and today, he is going to share his science-backed strategies for communicating effectively through virtual modalities. We dive into why even in-office teams are communicating virtually more than ever, how different modes (like audio vs. video) affect perceived authenticity, and practical tips for setting communication norms in the workplace.In the extended episode available to Podcast+, we explore the dangers of relying too heavily on AI to help you manage your communication and how to avoid misinterpretations in virtual communication.Join the conversation now!Get FREE mini-episode guides with the big idea from the week's episode delivered to your inbox when you subscribe to my weekly email.Conversation Topics(00:00) Introduction(02:20) Defining virtual communication beyond remote work(04:54) Different modes of virtual communication and what they're intended for(06:39) The importance of authenticity in virtual communication(11:03) When to choose synchronous vs. asynchronous communication(15:57) The PING Framework for effective virtual communication(20:51) Adapting language mimicry for better text-based communication(23:21) Tips for setting communication norms (29:28) A great manager Andrew has worked for(30:24) Keep up with Andrew(31:53) [Extended Episode Only] The hidden problem with using AI for virtual communication(36:50) [Extended Episode Only] Misinterpretations in virtual communication and how to avoid them(40:06) [Extended Episode Only] Overcoming communication default biasAdditional Resources:- Get the extended episode by Joining The Modern Manager Podcast+ Community for just $15 per month- Read the full transcript here- Follow me on Instagram here - Visit my website for more here- Upskill your team here- Subscribe to my YouTube Channel here- Watch this episode on Brainstorming HacksKeep up with Andrew Brodsky- Follow Andrew on LinkedIn here- Grab a copy of his book hereFREE PDF: Virtual Communication Styles ToolAndrew is providing members of Podcast+ his Virtual Communication Styles Tool. This tool will not only help you identify your virtual communication style but it will also help you adapt your communication approach to facilitate clearer exchanges, forge stronger connections in virtual settings, and achieve your communication goals.To get this guest bonus and many other member benefits, become a member of The Modern Manager Podcast+ Community.---------------------The Modern Manager is a leadership podcast for rockstar managers who want to create a working environment where people thrive, and great work gets done.Follow The Modern Manager on your favorite podcast platform so you won't miss an episode!

How to Be Awesome at Your Job
1031: Mastering Virtual Communication with Andrew Brodsky

How to Be Awesome at Your Job

Play Episode Listen Later Feb 10, 2025 39:16


Andrew Brodsky shows how to sharpen your virtual communication skills. — YOU'LL LEARN — 1) What your emails and texts say about you 2) The PING framework for efficient virtual communication 3) Why in-person meetings aren't always better Subscribe or visit AwesomeAtYourJob.com/ep1031 for clickable versions of the links below. — ABOUT ANDREW — Andrew Brodsky is an award-winning professor, management consultant and virtual communications expert at the McCombs School of Business at The University of Texas at Austin. Poets&Quants selected Andrew as one of the “World's 40 Best Business School Professors Under 40.” He is an expert in workplace technology, communication and productivity and serves as the CEO of Ping Group. Andrew earned a PhD in organizational behavior from Harvard Business School and BS from The Wharton School. He currently lives with his wife and two rescue dogs in Austin.• Book: Ping: The Secrets of Successful Virtual Communication • LinkedIn: Andrew Brodsky • Website: ABrodsky.com — RESOURCES MENTIONED IN THE SHOW — • Book: Hex Kitchen by Stephanie Fazio • Sketch: When a Text Conversation Goes Very Wrong - Key & Peele • Email Urgency Bias (Research): "You don't need to answer right away! Receivers overestimate how quickly senders expect responses to non-urgent work emails" by Laura Glurge and Vanessa Bohns— THANK YOU, SPONSORS! — • Earth Breeze. Get 40% off your subscription at earthbreeze.com/AWESOME• BambooHR. See all that BambooHR can do at bamboohr.com/freedemoSee Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Top Traders Unplugged
SI334: Why Quants Might Be Your Best Bet ft. Nick Baltas

Top Traders Unplugged

Play Episode Listen Later Feb 8, 2025 58:29 Transcription Available


Together with Nick Baltas, we're diving deep into systematic investing to discuss why strategies like trend following is a hidden gem in the current (crazy) economic and geo-political landscape. We touch on recent trends, the implications of AI in investing, and how these dynamics can impact our portfolios. We also discuss the costs of rebalancing and the potential pitfalls when it comes to fixed-weight portfolios, how the trust in the financial system and economic data is starting to fade rapidly and much more. Stay tuned, there is a lot to unpack.-----50 YEARS OF TREND FOLLOWING BOOK AND BEHIND-THE-SCENES VIDEO FOR ACCREDITED INVESTORS - CLICK HERE-----Follow Niels on Twitter, LinkedIn, YouTube or via the TTU website.IT's TRUE ? – most CIO's read 50+ books each year – get your FREE copy of the Ultimate Guide to the Best Investment Books ever written here.And you can get a free copy of my latest book “Ten Reasons to Add Trend Following to Your Portfolio” here.Learn more about the Trend Barometer here.Send your questions to info@toptradersunplugged.comAnd please share this episode with a like-minded friend and leave an honest Rating & Review on iTunes or Spotify so more people can discover the podcast.Follow Nick on Twitter.Episode TimeStamps:01:40 - What has caught our attention recently?05:26 - A mini crash in the crypto space11:24 - Breath vs Size of Crypto Investors14:24 - The US Fixed Income policy is changing16:07 - Industry performance update19:21 - Reviewing current trends in 202523:46 - How people react to trend following as a defensive strategy28:51 - What are the most popular risk mitigation strategies?30:53 - An alternative way of allocating away from bonds and into "safe" equities38:13 - The trust in the system is fading...rapidly46:53 - Why price might be more accurate when using trend following49:42 - The unintended impact of rebalancingCopyright © 2024 – CMC AG – All Rights Reserved----PLUS: Whenever you're ready... here are 3 ways I can help you in your investment