Podcasts about Michelet

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Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 5/5 : Les poissons

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 28:53


durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "Le libre élément, la mer, doit tôt ou tard nous créer un être à sa ressemblance, un être éminemment libre, glissant, onduleux, fluide, qui coule à l'image du flot, mais en qui la mobilité merveilleuse vienne d'un miracle intérieur, tel que jusqu'ici nul être n'eut rien d'approchant."

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 5/5 : Les poissons

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 18, 2025 28:52


durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - "Le libre élément, la mer, doit tôt ou tard nous créer un être à sa ressemblance, un être éminemment libre, glissant, onduleux, fluide, qui coule à l'image du flot, mais en qui la mobilité merveilleuse vienne d'un miracle intérieur, tel que jusqu'ici nul être n'eut rien d'approchant."

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 4/5 : Méduse et poulpe

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 28:55


durée : 00:28:55 - Le Feuilleton - "Être soi, être à soi seul un petit monde complet, grande tentation pour tous ! universelle séduction ! belle folie qui fait l'effort et tout le progrès du monde. Mais dans ces premiers essais, qu'elle semble peu justifiée ! On dirait que la méduse fut créée pour chavirer. "

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 4/5 : Méduse et poulpe

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 17, 2025 28:43


durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - "Être soi, être à soi seul un petit monde complet, grande tentation pour tous ! universelle séduction ! belle folie qui fait l'effort et tout le progrès du monde. Mais dans ces premiers essais, qu'elle semble peu justifiée ! On dirait que la méduse fut créée pour chavirer. "

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 3/5 : Fécondité

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 28:53


durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - " Dans ses fécondes ténèbres, la mer peut sourire elle-même des destructeurs qu'elle suscite. Sa richesse principale défie toutes les fureurs de ces êtres dévorants. Je parle du monde infini d'atomes vivants, d'animaux microscopiques, véritable abîme de vie qui fermente dans son sein."

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 3/5 : Fécondité

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 16, 2025 29:04


durée : 00:29:04 - Le Feuilleton - " Dans ses fécondes ténèbres, la mer peut sourire elle-même des destructeurs qu'elle suscite. Sa richesse principale défie toutes les fureurs de ces êtres dévorants. Je parle du monde infini d'atomes vivants, d'animaux microscopiques, véritable abîme de vie qui fermente dans son sein."

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 2/5 : Le pouls de la mer

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 28:39


durée : 00:28:39 - Le Feuilleton - " La terre, par sa grande marée et par les marées partielles, parle aux planètes ses sœurs. Répondent-elles? On doit le penser. L'attraction mutuelle doit créer à travers les cieux de sublimes dialogues"

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 2/5 : Le pouls de la mer

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 28:59


durée : 00:28:59 - Le Feuilleton - " La terre, par sa grande marée et par les marées partielles, parle aux planètes ses sœurs. Répondent-elles? On doit le penser. L'attraction mutuelle doit créer à travers les cieux de sublimes dialogues"

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 1/5 : La mer vue du rivage

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 29:00


durée : 00:29:00 - Le Feuilleton - "On peut voir l'Océan partout. On ne le voit pas infini, mais on le sent, on l'entend, on le devine infini, et l'impression n'en est que plus profonde."

Théâtre
"La Mer" de Jules Michelet 1/5 : La mer vue du rivage

Théâtre

Play Episode Listen Later Apr 14, 2025 28:58


durée : 00:28:58 - Le Feuilleton - "On peut voir l'Océan partout. On ne le voit pas infini, mais on le sent, on l'entend, on le devine infini, et l'impression n'en est que plus profonde."

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 5/5 : Les poissons

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:53


durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - "Le libre élément, la mer, doit tôt ou tard nous créer un être à sa ressemblance, un être éminemment libre, glissant, onduleux, fluide, qui coule à l'image du flot, mais en qui la mobilité merveilleuse vienne d'un miracle intérieur, tel que jusqu'ici nul être n'eut rien d'approchant."

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 4/5 : Méduse et poulpe

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:55


durée : 00:28:55 - Le Feuilleton - "Être soi, être à soi seul un petit monde complet, grande tentation pour tous ! universelle séduction ! belle folie qui fait l'effort et tout le progrès du monde. Mais dans ces premiers essais, qu'elle semble peu justifiée ! On dirait que la méduse fut créée pour chavirer. "

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 3/5 : Fécondité

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 29:04


durée : 00:29:04 - Le Feuilleton - " Dans ses fécondes ténèbres, la mer peut sourire elle-même des destructeurs qu'elle suscite. Sa richesse principale défie toutes les fureurs de ces êtres dévorants. Je parle du monde infini d'atomes vivants, d'animaux microscopiques, véritable abîme de vie qui fermente dans son sein."

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 2/5 : Le pouls de la mer

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:59


durée : 00:28:59 - Le Feuilleton - " La terre, par sa grande marée et par les marées partielles, parle aux planètes ses sœurs. Répondent-elles? On doit le penser. L'attraction mutuelle doit créer à travers les cieux de sublimes dialogues"

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 2/5 : Le pouls de la mer

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:39


durée : 00:28:39 - Le Feuilleton - " La terre, par sa grande marée et par les marées partielles, parle aux planètes ses sœurs. Répondent-elles? On doit le penser. L'attraction mutuelle doit créer à travers les cieux de sublimes dialogues"

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 3/5 : Fécondité

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:53


durée : 00:28:53 - Le Feuilleton - " Dans ses fécondes ténèbres, la mer peut sourire elle-même des destructeurs qu'elle suscite. Sa richesse principale défie toutes les fureurs de ces êtres dévorants. Je parle du monde infini d'atomes vivants, d'animaux microscopiques, véritable abîme de vie qui fermente dans son sein."

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 4/5 : Méduse et poulpe

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:43


durée : 00:28:43 - Le Feuilleton - "Être soi, être à soi seul un petit monde complet, grande tentation pour tous ! universelle séduction ! belle folie qui fait l'effort et tout le progrès du monde. Mais dans ces premiers essais, qu'elle semble peu justifiée ! On dirait que la méduse fut créée pour chavirer. "

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 5/5 : Les poissons

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:52


durée : 00:28:52 - Le Feuilleton - "Le libre élément, la mer, doit tôt ou tard nous créer un être à sa ressemblance, un être éminemment libre, glissant, onduleux, fluide, qui coule à l'image du flot, mais en qui la mobilité merveilleuse vienne d'un miracle intérieur, tel que jusqu'ici nul être n'eut rien d'approchant."

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 1/5 : La mer vue du rivage

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 28:58


durée : 00:28:58 - Le Feuilleton - "On peut voir l'Océan partout. On ne le voit pas infini, mais on le sent, on l'entend, on le devine infini, et l'impression n'en est que plus profonde."

Le Feuilleton
"La Mer" de Jules Michelet 1/5 : La mer vue du rivage

Le Feuilleton

Play Episode Listen Later Apr 13, 2025 29:00


durée : 00:29:00 - Le Feuilleton - "On peut voir l'Océan partout. On ne le voit pas infini, mais on le sent, on l'entend, on le devine infini, et l'impression n'en est que plus profonde."

Daniel Che
6. Шопенгауер, Струве, Либих / Этика пищи (Аудиокнига) 1893 г.

Daniel Che

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 180:01


0:00 61. Мишле (Michelet) 27:15 62. Каухерд (Cowherd) 32:31 63. Меткальф (Metcalfe) 48:19. 64. Грехем (Graham) 1:17:24 65. Струве (Struve) 2:07:55 66. Даумер (Daumer) 2:18:31 67. Циммерман и Гольтц (Zimmermann and Goltz) 2:28:16 68. Шопенгауер (Shopenhauer) 2:50:58 69. Юстус Либих (Justus Liebig)

Les Nuits de France Culture
Michel Ragon : "Michelet a falsifié l'histoire des Chouans au profit de son idéologie républicaine"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jan 30, 2025 30:01


durée : 00:30:01 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - En 1980, à l'occasion de la parution de son ouvrage sur sa mère "L'Accent de ma mère" qui est aussi un livre sur la Vendée, Jacques Paugam s'entretient avec l'écrivain Michel Ragon dans l'émission "Agora". - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Michel Ragon Écrivain, critique d'art et d'architecture

Radio Campus Tours – 99.5 FM
Atelier radio – Collège Michelet: combattre les discriminations

Radio Campus Tours – 99.5 FM

Play Episode Listen Later Jan 15, 2025


Qu’est-ce qu’une discrimination? Comment les repérer? Comment les prévenir aussi? Des figures se sont-elles levées pour dire « stop! » aux discriminations? Ce sont autant de questions que se posent les élèves de 5ème B du collège Jules Michelet de Tours. Aidés de leurs professeures Mme Robin et Mme Coudreau, les élèves de la classe réalisent depuis […] L'article Atelier radio – Collège Michelet: combattre les discriminations est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.

Les Nuits de France Culture
Jules Michelet, fils du peuple et ouvrier de l'histoire

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Jan 4, 2025 215:02


durée : 03:35:02 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Pascale Werner et ses invités interrogent la vie et l'œuvre de l'historien français Jules Michelet (1798-1874), dans un numéro de "Hôtel des grands hommes" diffusé en 1998 sur France Culture. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Daniel Bensaïd; Jeanne Favret-Saada; Blandine Kriegel Philosophe, professeure des Universités; Paul Viallaneix Universitaire, docteur ès Lettres; Olivier Remaud Philosophe et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS); Jacques Le Goff Historien médiéviste, producteur à France Culture

Radio Campus Tours – 99.5 FM
Sortez! – Le Collectif Pas d'enfant à la Rue – Interviews au CTRO

Radio Campus Tours – 99.5 FM

Play Episode Listen Later Dec 4, 2024


Le Collectif Pas d’Enfant à la Rue, actif depuis mars 2023 est porté par des enseignant.e.s et a été fondé suite au constat de la situation préoccupante de certains enfants et familles de l’école Michelet sans solution d’hébergement. La majorité des enfants vulnérables accompagnés par le collectif sont récemment arrivés en France et pour la […] L'article Sortez! – Le Collectif Pas d’enfant à la Rue – Interviews au CTRO est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.

NRJ HAUTE LOIRE
(12h) Le Michelet rouvre ses portes au Puy-en-Velay

NRJ HAUTE LOIRE

Play Episode Listen Later Nov 7, 2024 3:14


New Books Network
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

New Books Network

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/new-books-network

New Books in Literary Studies
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

New Books in Literary Studies

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/literary-studies

New Books in Middle Eastern Studies
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

New Books in Middle Eastern Studies

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/middle-eastern-studies

New Books in Critical Theory
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

New Books in Critical Theory

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/critical-theory

New Books in Intellectual History
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

New Books in Intellectual History

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/intellectual-history

New Books in European Studies
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

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Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/european-studies

New Books in French Studies
Julia Caterina Hartley, "Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France" (Bloomsbury. 2023)

New Books in French Studies

Play Episode Listen Later Oct 2, 2024 44:52


Today I talked to Julia Caterina Hartley about Iran and French Orientalism: Persia in the Literary Culture of Nineteenth-Century France (Bloomsbury. 2023). New translations of Persian literature into French, the invention of the Aryan myth, increased travel between France and Iran, and the unveiling of artefacts from ancient Susa at the Louvre Museum are among the factors that radically altered France's perception of Iran during the long nineteenth century. And this is reflected in the literary culture of the period. In an ambitious study spanning poetry, historiography, fiction, travel-writing, ballet, opera, and marionette theatre, Julia Hartley reveals the unique place that Iran held in the French literary imagination between 1829 and 1912. Iran's history and culture remained a constant source of inspiration across different generations and artistic movements, from the 'Oriental' poems of Victor Hugo to those of Anna de Noailles and Théophile Gautier's strategic citation of Persian poetry to his daughter Judith Gautier's full-blown rewriting of a Persian epic. Writing about Iran could also serve to articulate new visions of world history and religion, as was the case in the intellectual debates that took place between Michelet, Renan, and Al-Afghani. Alternatively joyous, as in Félicien David's opera Lalla Roukh, and ominous, as in Massenet's Le Mage, Iran elicited a multiplicity of treatments.  This is most obvious in the travelogues of Flandin, Gobineau, Loti, Jane Dieulafoy, and Marthe Bibesco, which describe the same cities and cultural practices in altogether different ways. Under these writers' pens, Iran emerges as both an Oriental other and an alter ego, its culture elevated above that of all other Muslim nations. At times this led French writers to critique notions of European superiority. But at others, they appropriated Iran as proto-European through racialist narratives that reinforced Orientalist stereotypes. Drawing on theories of Orientalism and cultural difference, this book navigates both sides of this fascinating and complex literary history. It is the first major study on the subject. Julia Hartley is a Lecturer in Comparative Literature at the University of Glasgow. She was previously Laming Fellow at the Queen's College Oxford and Edward W. Said Visiting Fellow at Columbia University. She is the author of Reading Dante and Proust by Analogy (2019) and peer-reviewed articles in Iranian Studies and Nineteenth-Century French Studies. Morteza Hajizadeh is a Ph.D. graduate in English from the University of Auckland in New Zealand. His research interests are Cultural Studies; Critical Theory; Environmental History; Medieval (Intellectual) History; Gothic Studies; 18th and 19th Century British Literature. YouTube channel. Twitter. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices Support our show by becoming a premium member! https://newbooksnetwork.supportingcast.fm/french-studies

Crime story
[1/2] L'assassinat du juge Michel

Crime story

Play Episode Listen Later Sep 28, 2024 15:56


(Premier épisode) Le mercredi 21 octobre 1981, Pierre Michel, 38 ans, juge d'instruction au tribunal de grande instance de Marseille, quitte le palais de justice en moto, à quelques pas du Vieux-Port. Il doit retrouver chez lui sa femme Jacqueline, et leurs deux filles, Béatrice 8 ans et Emmanuelle, 6 ans, qui l'attendent pour déjeuner. Casque blanc vissé sur la tête, Pierre Michel enfourche sa petite moto, une Honda 125 Twin bleue nuit, et s'enfonce des les rues de Marseille. Quelques minutes plus tard, le juge ralentit à une intersection de la contre-allée du boulevard Michelet. C'est là que trois coups de feu retentissent. Une des balles atteint l'épaule du juge, une autre lui perfore le thorax et une troisième lui touche le cou. Il est 12h49, le juge Michel est mort. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Crime story
[2/2] L'assassinat du juge Michel

Crime story

Play Episode Listen Later Sep 28, 2024 17:06


(Deuxième et dernier épisode) Le mercredi 21 octobre 1981, Pierre Michel, 38 ans, juge d'instruction au tribunal de grande instance de Marseille, quitte le palais de justice en moto, à quelques pas du Vieux-Port. Il doit retrouver chez lui sa femme Jacqueline, et leurs deux filles, Béatrice 8 ans et Emmanuelle, 6 ans, qui l'attendent pour déjeuner. Casque blanc vissé sur la tête, Pierre Michel enfourche sa petite moto, une Honda 125 Twin bleue nuit, et s'enfonce des les rues de Marseille. Quelques minutes plus tard, le juge ralentit à une intersection de la contre-allée du boulevard Michelet. C'est là que trois coups de feu retentissent. Une des balles atteint l'épaule du juge, une autre lui perfore le thorax et une troisième lui touche le cou. Il est 12h49, le juge Michel est mort. Dans Crime story, la journaliste Clawdia Prolongeau raconte cette enquête avec Damien Delseny, chef du service police-justice du Parisien.Crédits. Direction de la rédaction : Pierre Chausse - Rédacteur en chef : Jules Lavie - Ecriture et voix : Clawdia Prolongeau et Damien Delseny - Production : Raphaël Pueyo, Barbara Gouy et Clara Garnier-Amouroux - Réalisation et mixage : Julien Montcouquiol - Musiques : Audio Network - Archives : INA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Buscadores de la verdad
Blasco Ibáñez.Tras el velo capítulo 6

Buscadores de la verdad

Play Episode Listen Later Jul 28, 2024 37:01


06 El iniciado exiliado del 98 (0601) Joan Fuster, otro de los más reconocidos escritores valencianos, decía sobre Blasco Ibáñez: (0602) “A Blasco le ocurrió que, por una circunstancia cronológica clara, no fue ni carne ni pescado: ni del siglo XIX ni del siglo XX. Su mismo naturalismo resultaba «anacrónico»: tardío respecto de doña Emilia Pardo-Bazán, por ejemplo, y demodé cuando Azorín, Valle-Inclán y Baroja ganaban terreno…” (0603) Y es que prácticamente todos los escritores de la llamada generación del 98 se llevaron mal con Blasco y su nombre no está ligado a la generación que por méritos y año de nacimiento le correspondería. En “Blasco Ibáñez i la Generació del 98” de Francisco Fuster podemos leer: (0604) “Blasco tenía tres años menos que Miguel de Unamuno, dos menos que Ángel Ganivet, uno menos que Ramón María del Valle-Inclán, cinco más que Pío Baroja, seis más que Azorín, siete más que Ramiro de Maeztu y ocho más que Antonio Machado. Fue, por lo tanto, coetáneo de los autores citados, a la mayoría de los cuales, además, conoció personalmente…” “…a la altura de 1905, Blasco Ibáñez era, después de Galdós, «el novelista que más vendía en España, alcanzando tiradas que, como hemos visto, eran superiores a los 15.000 ejemplares»…” (0605) El público se casaba con Blasco pero la crítica y los literatos coetáneos no lo podían ni ver. [0606] “Por desgracia para él, y a pesar del incontestable de su triunfo comercial, sus novelas fueron tan bien recibidas por el público, como despreciadas por la crítica, que puso objeciones a su estilo, que juzgó de precipitado o poco elaborado, e incluso al uso de un castellano que, al estar influido por su bilingüismo, también fue tildado de incorrecto. En el caso concreto de su relación con el 98, la diferencia entre Blasco y los miembros canónicos de esa generación es que fueron estos los que, por diferentes razones, le lanzaron ataques personales o, en el mejor de los casos, mantuvieron con él una relación cordial que, sin embargo, nunca llegó al grado de la amistad. Por su parte, y ante las diferentes muestras de desconsideración que recibió de todos ellos, Blasco optó, casi siempre, por un elegante silencio…” 0607 Uno de sus archienemigos fue Pio Baroja. Coincidieron en un restaurante en París en 1913 como ya les contamos en el capítulo 4: 0608 “Diez años más tarde me aseguraba [Blasco Ibáñez] en París, en el café la Closerie des Lilas: «Que digan que yo soy un autor bueno o malo, me tiene sin cuidado. Lo que es evidente es que yo soy el escritor mundial que gana más dinero de la época»” 0609 Tanto es así que una vez fallecido Blasco un grupo de artistas valencianos envió un telegrama a Valle-Inclán en el cual se lo acusaba de ser una «víbora» que había pretendido envenenar la obra blasquista. Aquel 30 de enero de 1928 el diario Pueblo incluía también, además del citado telegrama, un durísimo artículo, elocuentemente titulado «Gritos de alcantarilla», en el cual tanto Baroja como Valle-Inclán eran atacados e insultados por la redacción del periódico, dolida por la recientísima muerte de quien lo había fundado el 1894: (0610 )“El señor Baroja, hipocondríaco panadero que cuando deja la tahona escribe sus libros, con el mismo desgaire que si se tratara de confeccionar un pan de Viena o una «pataqueta de huertas, ha hecho objeto a Valencia y a sus hombres, en su ya larga existencia de escritor, de insultos y vituperios a granel. Ora en su «Juventud Egolatría», bien en su «Mundo es Ansí», en «Silvestre Paradox» o en «Horas solitarias», las frases de desprecio y de burla a nuestra tierra se suceden en una página y en otra. A este hombre sombrío, la idea de que la raza nórdica es superior y de que los levantinos somos unos «chimpancés», se le ha subido a la cabeza. Profundamente democrático, hasta anarquista en algunos libros («Aurora Roja»), tiene enérgico empeño en sentirse superior y emparentarse con antepasados que en el cuaternario conocían la teoría de la relatividad, vertían de «frac» y se reunían en sus «clubs a la sombra de los grandes árboles». En cambio el miserable «chimpancé» levantino, cuando todo el centro de Europa era una selva abrupta y el hombre andaba a cuatro pies, ya había creado y destruido la civilización crètense, la egipcia, la babilónica, la griega, y había producido a Pericles, a Demóstenes, a Platón, a Aristóteles, a Praxiteles y a Sócrates. En cuanto al señor Valle Inclán, que piadosamente pone en duda la muerte de Blasco, por creerla un «bluf» más, le vemos de poco tiempo a esta parte muy neoyorquizado, muy siglo «Ollywood», en materia de llamar la atención. Si el «black-botón», el «charlestón» y todas esas danzas modernas necesitaran un digno representante en el mundo de las letras, elegirían sin duda a Valle Inclán. Sería de ver a este nuevo «barba de estopa», con su brazo hueco (lo del segundo «manco ilustre", decididamente ofende a los mancos auténticos y a la gloria), su voz campanuda y su aspecto de «covachuolista», dislocando las piernas y «esperpenteando» posturas. A nosotros no nos molestan las críticas en esta hora de dolor. Prueban además la fortaleza de corazón de los que reaccionan contra la estupidez de miles y miles de españoles y extranjeros que lloran la muerte del gran valenciano. Baroja y Valle Inclán, con su desenfado falsamente juvenil (no es joven quien quiere, sino quién puede) ponen una fea nota «clownesca» en medio del dolor general. Ellos no se enteran, по han querido enterarse que nosotros lloramos a don Vicente Blasco Ibáñez, al creador de Valencia, hecha a su imagen y semejanza al Gran Capitán de los ejércitos republicanos, al que en horas de angustia mientras esos «principes» de la escala zoológica de ambolaban su hipocondría, uno insultando desde las butacas de un teatro a una ilustre mujer y otro dando opiniones en revistas deportivas -abandonó su retiro de paz para poner su pluma y su corazón al servicio de una gran causa.” 0611 Francisco Fuster nos cuenta una de las etapas donde Blasco si mantuvo unos lazos amistosos con grandes figuras de la literatura durante su estancia en París en 1924: 0612 “En la capital francesa Blasco se encontró con un nutrido grupo de paisanos y viejos conocidos suyos, la mayoría de ellos de tendencia republicana. Allí estaban, además de Unamuno, los abogados y políticos Santiago Alba i Eduardo Ortega y Gasset, o los periodistas Carlos Esplá i Francisco Madrid, entre otros exiliados que acostumbraban a reunirse en el café de la Rotonde, en pleno Barrio Latino, donde mantenían una tertulia que se convirtió en una «especie de cuartel general de la resistencia a la dictadura, donde se reúnen los españoles desterrados y particularmente el Comité Revolucionario de París, calificación solemne atribuida por Primo de Rivera»” 0613 Blasco no convencía a su generación literaria pero entusiasmaba a un público ávido de emociones y encima, tal como sostiene Dolores Thion Soriano-Mollá en “Novelas con buena estrella: las traducciones de Vicente Blasco Ibáñez en Francia” parece que la buena estrella sonreía a Blasco: 0614 “…la novela del realismo y del naturalismo españoles en Francia entre 1880 y 1916, concluíamos que cuanti­tativamente las obras traducidas a la lengua francesa son relativamente pocas, con solo una veintena de títulos, frente a los centenares de volúmenes edita­dos en aquellos treinta y seis años.” “…el autor mejor representado en lengua francesa entre 1880 y 1914 fuese Vicente Blasco Ibáñez.” [0615] El propio Blasco nos cuenta como fueron sus primeros intentos de publicación en Francia: [0616] “Tuvieron que pasar ocho años para que Terres maudites (La barraca), que es una obra muy fuerte y hermosa, agotara su primera tirada de 2.500 ejemplares, y Calmann Lévy [importante editor francés] me dijo una vez: "Si pensara como un hombre de negocios, no imprimiría más obras de Blasco. Los libros que no se venden no son cosa de librerías.” (0617) ¿Y qué pasó para que el autor valenciano empezase a vender libros como churros en Francia? Sencillamente, un libro suyo cayó en las manos de George Hérelle, profesor del Liceo de Bayona y célebre traductor, quien se enamoró de la obra a primera vista. Hérelle insistió en comunicarse con Blasco, ya que este no respondió a sus primeras cartas. Hérelle fue un gran baluarte para la introducción del novelista en la pren­sa francesa, como plataforma de difusión de sus traducciones y de publicidad indirecta a través de las reseñas y críticas, las cuales fueron apareciendo en Le Temps y en Le Siécle, entre otras. Pero una vez franqueadas las primeras puer­tas con la salida de La barraca, las demás cabeceras fueron poco a poco aten­diendo las siguientes traducciones. Nos encontramos ante un caso interesante de subordinación del autor al traductor, y no únicamente por un simple retoricismo o por una falta de interés. A pesar del limitado conocimiento de francés que tenía Blasco en aquel entonces, le confesó a Hérelle que valoraba enormemente las brillantes versiones de su obra, argumentando que Hérelle tenía más renombre como traductor que él como autor. Después de haber ajustado, entre otras cosas, los primeros capítulos en la versión francesa de La barraca, el autor, lleno de entusiasmo, comunicaba lo siguiente a su traductor: (0618) “La barraca gana más y resulta mejor que en el original, lo que pocas veces se ve en las obras traducidas. Todas las modificaciones que usted marca en su carta y que he compulsado en el original de la traducción, parecen acertadísimas. Es usted un artista, más aún que un traductor, y sabe dar el golpe maestro que embellece la obra.” 0619 Así empezó a manar dinero del sifón francés, y Blasco siempre conservó ese afán por el dinero fácil. La profesora de Traducción Especializada de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla Inmaculada Serón descubrió en 2010 como tras el seudónimo R. Martínez Lafuente se escondía el mismísimo Blasco Ibáñez y, en menor medida, Fernando Llorca Die, yerno del novelista y socio, junto con Francisco Sempere Masiá de su editorial Prometeo. Leíamos la noticia en varios medios, curiosamente con el 33 como bandera: (0620) “El escritor valenciano Vicente Blasco Ibáñez creó un pseudónimo bajo el cual firmó traducciones al español de obras de William Shakespeare que fueron “copiadas” de otras adaptaciones realizadas anteriormente, según desvela en El País la profesora de Traducción Especializada de la Universidad Pablo de Olavide de Sevilla Inmaculada Serón. …en esas cartas, en las que el autor, político y periodista valenciano se refiere al plan de traducción: “Hay que ver lo que representa dar todo Shakespeare en tan poco precio y con obras desconocidas en su mayoría. Yo, tomando de unas ediciones y otras (sobre todo valiéndome de una edición antigua), tengo 33 dramas en español corregidos. Solo habrá que traducir tres a última hora, en el último tomo”, manifestaba Blasco.” (0621) Para el que no lo sepa este número representa la edad de la Maestría en la Iniciación de Jesús (su muerte, resurrección y ascensión), aparte de otros detalles esotéricos. El "33" simboliza el grado alto de consciencia espiritual por parte del ser humano”. Cuando hablamos de masones, y Blasco lo era, el 33 es el número de los maestros iniciados, el más alto grado dentro de la masonería. El 33 no se puede descomponer en una sola cifra ya que pertenece al grupo de los números maestros. En numerología están los números básicos que van del 1 hasta el 9 y luego números especiales que no se pueden reducir a una sola cifra, números llamados “maestros” 11, 22, 33. Si reducimos el 11 a un único dígito obtenemos el 2 (11=1+1=2) con lo que conseguimos es la perfecta combinación de la mayor energía masculina que se concentra en el 1 (Zeus) con la mayor energía femenina que se encuentra en el dos (Hera). Dicha unión supone que la energía que emana el once supera a cualquier otra numeración pese a que las energías del 1 y del 2 son totalmente opuestas. El número maestro 33 combina los poderes más competentes de expresión y realización (la del número 3) con el maestro y el tutor por excelencia, el 6. El rosario islámico tiene 33 cuentas. En la mitología hindú el 33 expresa perfección. Una de las cifras preferidas de todo masón que se precie y que desea lucir dentro de su estrella de seis puntas. Su verdadera esencia constituye la última etapa en la evolución espiritual, el Maestro de maestros. El 33 es el número maestro que en su perfección no se puede transformar en un 6. Tenemos un 6 infértil, un 6 egoista, un 6 que no es humano sino inhumano, del demonio del ego. Ese 33 representa plenamente a Blasco Ibáñez, en su maestría, en su autoidolatria, en su soberbia que lo impulsaba a ganar más y más dinero. 0622 El periodista José María Carretero Novillo más conocido como “el caballero audaz” nos describe en el libro que dedicó a Blasco como muchas de sus obras recordarían a otras anteriores. (Video Berlanga parte 2 50:07 a 50:18 Zola.mp4) 0623 “Yo le sabía en París amargado, contrariado. Los franceses no le conocían. El que más sabe de él, le cree un mediano imitador de Zola, cuya forma plagia: un discípulo de esos que ponen en ridículo al maestro. Allí nadie ignora que firmó como suyas las traducciones de Michelet, que en- tró a saco en «Salambó» para escribir su «Sónnica»; en Picabea para su «Catedral»; en «El Toreo», de Abreu, para su «Sangre y Arena», y en «Brujas la muerta» para «La Maja desnuda».” (0624) El reportero Enrique González Fiol (El Bachiller Corchuelo) a principios del año 1911 entrevistó a Blasco y allí podíamos escuchar en boca del propio escritor sobre su amor al dinero: (0625) “El artista debe aspirar á enriquecerse. Cuanto más dinero posea, con más comodidad puede laborar, mayor cultura podrá adquirir, mayores facilidades hallará para buscar impresiones. No hay nada que atrofie tanto la imaginación y aun la retina, como la vida sedentaria, cual es morar siempre en una misma localidad. El artista y particularmente el escritor, debe cambiar frecuentemente de horizontes físicos y sociales. De este modo, impresiones y sensaciones que cuando se permanece en un sitio, no llegan á percibirse, durante la ausencia parece como que se revelan y adquieren relieve y colorido, y al regresar, lo que dejamos tiene algo de novedad é impresiona mejor. Y el viajar cuesta mucho dinero…” (aqui hay dos videos de aquel partido “Suzanne Lenglen vs Helen Wills - 1926 Cannes, France.mp4” y “Suzanne Lenglen, Helen Wills at the French Tennis Tournament in 1926.mp4”) (0626) Nos cuentan otra anécdota pecuniaria sobre Blasco en un texto recogido en la web casa museo Blasco Ibáñez titulado «el partido del siglo»: (0627) “Uno de los retratos más amenos e interesantes de la existencia y las relaciones personales de Blasco Ibáñez durante sus años en la Costa Azul, es el que incorporó Josep Pla en su famosa colección de semblanzas Homenots. A través de él, el lector puede seguir los pasos de Blasco por ambientes bien distintos a los que alimentaron, por ejemplo, la imaginación creadora plasmada en sus novelas y cuentos valencianos. El mismo Pla verificaría de primera mano cómo el éxito y, en consecuencia, la bonanza económica habían contribuido decisivamente en los nuevos hábitos diarios del novelista, así como influyeron en la orientación de su literatura. Y fue también Pla quien refirió una anécdota que ponía de manifiesto la popularidad internacional del autor valenciano: Estaban a punto de empezar en Cannes los partidos internacionales de tenis de la Copa Davis. En el curso de la comida Blasco se sacó un telegrama del bolsillo. Era un telegrama de un sindicato de diarios americanos que ofrecía al autor de La barraca setecientos dólares por cada telegrama que tuviera a bien enviarlos sobre los partidos del concurso que señalábamos. ¿Aceptaría Blasco un ofrecimiento que, de forma puntual, le iba a transformar en comentarista deportivo? Teniendo en cuenta que el novelista confesó no tener idea alguna del citado deporte, tanto Plá como los ilustres comensales que le acompañaban a la mesa en el Café de París, quedaron extrañados por el cariz de su respuesta: «La proposición se tiene que aceptar aunque solo sea por cortesía. Haré los telegramas». Sobre tal escrito o escritos y su autoría Josep Pla arrojó una sombra de duda, al decir: «Blasco no hizo los telegramas, pero los hizo hacer a otro, los firmó y los cobró. Lo único desagradable es que tuvo que ir a Cannes y asistir a los partidos».” 0628 Blasco Ibáñez murió rodeado de lujos en un entorno de lujo. Siempre apreció el dinero como podemos leer en un breve artículo de 1916 que abrió la sección ¿Cómo y cuándo ganó usted su primera peseta? de la revista madrileña La Semana: 0629 “Mi primera peseta fué doble y me la dió la Iglesia. Para los que conocen mis ideas esto exige una pronta explicación. Tenía yo nueve años, estaba en un colegio de Valencia. El maestro de música había formado un coro con los alumnos de mejor voz, y entre ellos figuraba como tenor el que esto escribe… …Muchos años después, al leer en Aristófanes otros autores griegos la descripción de las Tesmóforias, fiestas en honor de las diosas, a las que sólo asistían las mujeres, me he acordado del mes de María en la parroquia de San Bartolomé. Pero el diablo, envidioso de los ángeles que cantaban en las alturas, rondaba en torno de ellos, sugeriéndoles las más perversas intenciones. …Empezábamos a perder el recuerdo de estas nueve tardes de diversión, cuando el maestro de música nos hizo comparecer ante una mesa adornada con una pequeña columna de monedas blancas... Y empezó el reparto: dos pesetas por cantor. Salimos a menos de real por función; la Iglesia no se corría mucho al retribuir loores María. Pero nosotros quedamos estupefactos ante la inesperada evidencia de que nuestras gargantas valían dinero…(poner video Belcebú.mp4) En Carnaval me disfrazaba de demonio, alquilando en una ropería el vestido más costoso; en cada estación exigía nuevos trajes, ante el menor intento de resistencia, exclamaba amargamente: «Y las dos pesetas?»…” (069c Blasco demonio Benlliure desde Italia.jpg)(video Moloch, from Calabria (1914).mp4) (0630) José Jerique corresponsal de Le Figaro escribe “Desde Montecarlo: una visita a Blasco Ibáñez”: (0631) “—Realmente, Los cuatro jinetes del Apocalipsis (0631a)—dice el maestro— (0631b) es uno de mis mejores éxitos. “…Vendí los derechos de traducción a una de las casas editoriales más reputadas de Nueva York. Recibí dos ejemplares de la traducción, con el título The Four Horsemen of the Apocalypse, hermosa edición, elegantemente impresa y encuadernada, a dos dólares ejemplar. Pasaron dos meses y un día recibí un fajo enorme de cartas de los Estados Unidos, de misses, que pedían mi retrato y me preguntaban si yo era yo.” “…En octubre habían salido veinte ediciones, y desde entonces la venta es de 20 o 30 mil ejemplares por mes. Los agentes literarios y los editores envidiosos del mío se encargan de hacerme saber la marcha vertiginosa del libro. Hoy van vendidos más de doscientos mil ejemplares, y muchos me dicen que llegará a trescientos mil. ¡A dos dólares! Mi éxito es fulminante, si se quiere brutal, que, como ves, me tiene aturdido…” (0631c) “—¿Y el éxito pecuniario? (0631d) —Es lo amargo. Mis anteriores novelas las cedí en un 15 por 100 cada ejemplar. En esta me dieron mil dólares por los derechos. No ha sido buen negocio. De haber hecho como con las anteriores, el 15 por 100 representaría una fortuna: trescientas mil pesetas. Siempre el dinero de la literatura parece embrujado. Cuando se le espera no viene, y cuando viene inesperadamente, tuerce el camino y va al bolsillo de otro. No puedo, sin embargo, quejarme, porque mis editores son unos caballeros. Hace pocos días recibí un cable que empezaba así: «Dígnese aceptar, como compensación, el regalo de…» Hay que advertir que yo no me había quejado. ¿Y la forma del envío? ¡Unos caballeros! (0631e) —Y ¿cuánto? Blasco Ibáñez hace un gesto. Y añade: (0631f) —Eso solo puede interesarme a mí, y estoy satisfecho. Además, si los Cuatro jinetes siguen galopando por todos los Estados Unidos espero que lleguen otros cables como este.” (0632) Vicente Molina Foix nos habla de su negro de Cuenca en el articulo “Blasco Ibáñez, entre Galdós y Pla”: (0633)“Comparado por tanto con Azorín, con Valle-Inclán o Unamuno, Blasco Ibáñez no tenía acomodo en aquel parnaso de grandes artífices de la lengua. Pero Blasco era consciente de tal cortapisa, “la carcoma de su vida”. Y como en Madrid, si creemos el relato de Josep Plá, al valenciano se le tomaba por “un escritor basto”, en la última década de su vida, ya multimillonario, Blasco tuvo albergado full time en su lujosa villa de Mentón, junto a los mecánicos de sus grandes coches, las gobernantas y los cocineros de más postín, a un ex seminarista de Cuenca en calidad de secretario perpetuo. O más que eso. Según Plá, a Blasco le indignaba que a Pío Baroja, por citar a un rival de escritura no muy depurada, sus colegas le perdonasen “las más grandes extorsiones al espíritu de la lengua”, mientras él se veía obligado a demostrar a diario que era un escritor “situado dentro del diccionario y de la Gramática de la Academia, que sabía que el verbo haber se escribe con h”. De ahí la contratación del mortecino pero escrupuloso corrector, “que se encargaba del pluscuamperfecto” (Plá dixit) en cada una de las páginas de cada una de sus numerosas novelas de los últimos años, más impecables gramatical y sintácticamente pero “hervidas y evaporadas” después de pasar por las manos conquenses.” (0634) En honor a la verdad los últimos años del escritor fueron años de enfermedad como podemos leer en la revista número 2 de estudios sobre Blasco Ibáñez: (0635) “Esto es, más allá de la gloria y la bonanza económica, en el ánimo del escritor se alojaba una tristeza inconfesable que, en primera instancia, cabría atribuir a unos problemas de salud. Recordemos que en 1907 Blasco acude al balneario de Vichy para probar los efectos benéficos de sus aguas, atendiendo a las recomendaciones de su médico sobre una posible dolencia hepática. Si por aquel entonces su estancia en dicha estación termal sería la primera etapa de un largo viaje hasta Constantinopla, cuyo itinerario quedó plasmado en el libro Oriente (1907), un año después escribe desde la misma ciudad francesa informando a su esposa del tratamiento que está recibiendo para afrontar su diabetes. Se trataba de una dolencia que le afectó física y psicológicamente, determinando sus costumbres y aficiones. En principio, tuvo que refrenar su apetito y limitar su dependencia del tabaco. Hacia 1914 el seguimiento de la dieta empezó a dar sus resultados. Sin embargo, la enfermedad se le recrudeció en 1916, siendo uno de los motivos por los que eligió la Costa Azul como futuro lugar de residencia. Ahora bien, la evolución progresiva de la diabetes le produjo una hemorragia en su ojo derecho cuyos efectos no logró mitigar una operación de retina. Así, en su correspondencia privada de 1927, se refleja el impacto que los problemas oculares estaban dejando en su misma forma de trabajar. Condicionado por la salud y con signos evidentes de vejez prematura, el escritor necesita contar con el apoyo de un secretario al que le dicta sus invenciones sin poder controlar su innata facundia.” (0636) Nosotros, desde Buscadores de la verdad, estamos realizando este trabajo de investigación de forma totalmente altruista. No pretendemos arruinarle a nadie su reputación ni mucho menos difamar, pero es que el alma de las personas a veces no deja lugar a dudas como bien expresó Josep Plá: (0637) “Blasco vivía en este mundo en medio de un proceso alternado de melancolía depresiva y de exaltación verbal. Tan pronto parecía un búho moribundo como un emperador romano febricitante. Era un mundo para él totalmente ininteligible, como él era ininteligible para la gente que le rodeaba.” “Cuando hablo de la ininteligibilidad de los elementos de ese mundo, quiero decir que Blasco no era entendido ni cuando hablaba. Su castellano hacía morir de risa, y su francés era el de una vaca española. Tendía a convertir la lengua de Cervantes y de Racine en espesos y extravagantes patois. Lo que sabía realmente –era lo único que sabía– era el magnífico valenciano de su madre –y por eso cuando trataba de hacerse entender lo hacía en función del valenciano. El resultado era abracadabrante, pero inescamoteable; no se habría podido producir otro. A veces se producían situaciones auténticamente cómicas, situaciones ocasionadas por momentáneos desinflamientos del sentido del ridículo, que provocaban en las fisonomías de sus interlocutores risitas nunca suficientemente vagosas para no ser sarcásticas. El escritor entraba en la natural depresión anímica y hacía algo curioso: de vez en cuando daba una mirada de reojo a la roseta de la Legión de Honor que llevaba al ojal de la solapa (esquina izquierda) de su americana. Sin duda la contemplación del honor objetivizado en un botoncito rojo le producía una sensación de seguridad y contribuía a mantenerle los espíritus en una posición tensa.” ……………………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: Bibliografia completa https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/su_obra_bibliografia/ Cronología de Vicente Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/autor_cronologia/#anyo_1900 Cronologia literaria Blasco Ibáñez https://anyblascoibanez.gva.es/va/cronologia-literaria Time line de su vida https://www.timetoast.com/timelines/vicente-blasco-ibanez-5ac50faf-ff35-40dd-be42-708435362932 Galeria de imágenes https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fimages%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fgraf%2Fcronologia%2F03_cro_blasco_ibanez_retrato_1018_s.jpg&tbnid=s0ix0VfxLAJ4aM&vet=12ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ..i&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fautor_cronologia%2F&docid=rpcl3y5OiYotjM&w=301&h=450&q=Mar%C3%ADa%20Blasco%20blasco%20iba%C3%B1ez&hl=es&client=firefox-b-d&ved=2ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ …… Capitulo 6 Joan Fuster sobre blasco. https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/0-PORT.PROLOG.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/I-FUSTER-BLASCO_compressed.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/2-BLASCO-FUSTER_compressed.pdf https://annanoticies.com/wp-content/uploads/2022/04/3-ACCIO-BLASCO_compressed.pdf Blasco Ibáñez i la Generació del 98 https://roderic.uv.es/bitstream/handle/10550/85159/05_Fuster_Espill-66.pdf?sequence=1 El Pueblo : diario...: diario republicano de Valencia - Año XXXVI Número 12451 - 1928 enero 30 (30/01/1928) https://prensahistorica.mcu.es/es/consulta/registro.do?id=11000220299 Blasco Ibáñez en francés: Una aproximación. Mª del Pilar Blanco García https://web.ua.es/es/histrad/documentos/las-letras-valencianas/09-blasco-ibanez-en-frances-pilar-blanco.pdf Novelas con buena estrella: las traducciones de Vicente Blasco Ibáñez en Francia / Dolores Thion Soriano-Mollá https://www.cervantesvirtual.com/obra/novelas-con-buena-estrella-las-traducciones-de-vicente-blasco-ibanez-en-francia-1134842/ https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&cad=rja&uact=8&ved=2ahUKEwi195WHydL-AhWM76QKHbDrAhgQFnoECAsQAQ&url=https%3A%2F%2Fwww.letrasgalegas.org%2FdescargaPdf%2Fnovelas-con-buena-estrella-las-traducciones-de-vicente-blasco-ibanez-en-francia-1134842%2F&usg=AOvVaw39ihgL0DXzCrwzrVW_ETt8 Blasco Ibáñez plagió obras de Shakespeare https://www.elperiodicomediterraneo.com/sociedad/2014/03/13/blasco-ibanez-plagio-obras-shakespeare-41913070.html Blasco Ibáñez plagió traducciones de Shakespeare https://www.levante-emv.com/cultura/2014/03/12/blasco-ibanez-plagio-traducciones-shakespeare-12793600.html Cultura: El plagio de Blasco Ibáñez https://www.ivoox.com/cultura-el-plagio-blasco-ibanez-audios-mp3_rf_2919989_1.html Blasco Ibáñez plagió traducciones de Shakespeare con un seudónimo https://www.elmundo.es/comunidad- valenciana/2014/03/12/532088e022601d96078b4574.html Sobre imitación literaria Baroja y Blasco Ibáñez https://helvia.uco.es/bitstream/handle/10396/16668/8.pdf?sequence=3&isAllowed=y Muocas; crítica y sátira Autor:Emilio Bobadilla pag 277 (plagio de la obra EL PROBLEMA NACIONAL de RICARDO MACIAS PICAVEA sobre la decadencia nacional para ponerlo en La Catedral) https://books.google.es/books?hl=es&id=2hGEUkKrbqEC&focus=searchwithinvolume&q=Catedral José María Carretero Novillo https://es.wikipedia.org/wiki/Jos%C3%A9_Mar%C3%ADa_Carretero_Novillo EL NOVELISTA QUE VENDIO A SU PATRIA O TARTARIN, REVOLUCIONARIO. (TRISTE HISTORIA DE ACTUALIDAD) https://www.iberlibro.com/NOVELISTA-VENDIO-PATRIA-TARTARIN-REVOLUCIONARIO-TRISTE/972584489/bd LA FERTILIDAD DEL 42, LA INFERTILIDAD DEL 33 Y EL HOMBRE COMO UN 6 https://tecnicopreocupado.com/2023/01/01/la-fertilidad-del-42-la-infertilidad-del-33-y-el-hombre-como-un-6/ Confesiones, 1911- Parte I http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201911 BI en «el partido del siglo» http://www.casamuseoblascoibanez.es/bi-en-el-partido-del-siglo/ Suzanne Lenglen vs Helen Wills - 1926 Cannes, France https://www.youtube.com/watch?v=8HSsH7V3Ml8 Suzanne Lenglen, Helen Wills at the French Tennis Tournament in 1926 https://www.youtube.com/watch?v=XOlbEpMlumA Su primera peseta http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201876 José Jerique Desde Montecarlo: una visita a Blasco Ibáñez https://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2021/02/Jose-Jerique-Desde-Montecarlo.-Una-visita-a-Blasco-Ibanez-El-Figaro-1919-3-6.pdf REVISTA DE ESTUDIOS SOBRE BLASCO IBÁÑEZ. Revista numero 2 http://www.casamuseoblascoibanez.es/wp-content/uploads/2018/01/Revista-n%C2%BA2.pdf Blasco Ibáñez, entre Galdós y Pla https://letraslibres.com/revista/blasco-ibanez-entre-galdos-y-pla/ Así pues, cuando hablo de la obra literaria de este autor... (Josep Pla i Casadevall, Casa museo de Vicent Blasco Ibáñez) https://www.endrets.cat/obres/homenots-tercera-serie/1113 Revista La Semana 20-5-1916 https://hemerotecadigital.bne.es/hd/es/viewer?id=04f77d5d-5d62-45e6-b598-bd52eeb7e01a

El Villegas - Actualidad y esas cosas
Historiadores rarísimos | Grandes Invitados

El Villegas - Actualidad y esas cosas

Play Episode Listen Later Jun 30, 2024 31:22


El programa se centró en la figura del historiador Jules Michelet y su análisis de Napoleón Bonaparte, comparándolo con otros líderes históricos como Abraham Lincoln, Augusto, Pedro el Grande y Alejandro Magno. Se discutió cómo estos líderes, a menudo venerados por sus logros, también causaron grandes desastres y sufrimiento. Se abordaron las similitudes con líderes contemporáneos como Putin y Xi Jinping, destacando las consecuencias negativas de sus acciones. El presentador concluyó enfatizando la importancia de vivir en periodos sin grandes conflictos y recomendó la lectura del libro de Michelet. Para acceder al programa sin interrupción de comerciales, suscríbete a Patreon: https://www.patreon.com/elvillegas DEBUT & DESPEDIDA (2024) https://elvillegas.cl/producto/debut-despedida/ MOMENTOS MUSICALES EN YO MENOR (2023) https://elvillegas.cl/producto/momentos-musicales/ REVOLUCIÓN (2023) https://www.elvillegas.cl/producto/revolucion TSUNAMI (2016) https://www.elvillegas.cl/producto/tsunami LA TORRE DE PAPEL (2022) https://www.elvillegas.cl/producto/la-torre-de-papel ENVEJEZCA O MUÉRASE (2022) https://www.elvillegas.cl/producto/envejezca/ INSURRECCIÓN (2020) Chile https://www.elvillegas.cl/producto/insurreccion/ Internacional por Amazon: https://www.amazon.com/dp/B09WZ29DTQ JULIO CÉSAR PARA JÓVENES Y NO TANTO (2011) https://elvillegas.cl/producto/julio-cesar-para-jovenes-y-no-tanto/ TAMBIÉN APÓYANOS EN FLOW: https://www.flow.cl/app/web/pagarBtnPago.php?token=0yq6qal Grandes Invitados en Amazon: https://www.amazon.com/dp/B09X1LN5GH Encuentra a El Villegas en: Web: http://www.elvillegas.cl Facebook: https://www.facebook.com/elvillegaschile Twitter: https://www.twitter.com/elvillegaschile Soundcloud: https://www.soundcloud.com/elvillegaspodcast Spotify: https://open.spotify.com/show/7zQ3np197HvCmLF95wx99K Instagram: https://www.instagram.com/elvillegaschile

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Alain Michelet, un mari gênant - Le débrief

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 10:30


En 2001 à Béziers, un psychologue de 52 ans est mort calciné dans sa maison en feu. Son corps compte une dizaine de blessures par arme blanche…

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Alain Michelet, un mari gênant - Le récit (2/2)

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 16:15


En 2001 à Béziers, un psychologue de 52 ans est mort calciné dans sa maison en feu. Son corps compte une dizaine de blessures par arme blanche…

Europe 1 - Hondelatte Raconte
Alain Michelet, un mari gênant - Le récit (1/2)

Europe 1 - Hondelatte Raconte

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 12:04


En 2001 à Béziers, un psychologue de 52 ans est mort calciné dans sa maison en feu. Son corps compte une dizaine de blessures par arme blanche…

L'info en intégrale - Europe 1
Alain Michelet, un mari gênant - Le débrief

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 10:30


En 2001 à Béziers, un psychologue de 52 ans est mort calciné dans sa maison en feu. Son corps compte une dizaine de blessures par arme blanche…

L'info en intégrale - Europe 1
Alain Michelet, un mari gênant - Le récit (2/2)

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 16:15


En 2001 à Béziers, un psychologue de 52 ans est mort calciné dans sa maison en feu. Son corps compte une dizaine de blessures par arme blanche…

L'info en intégrale - Europe 1
Alain Michelet, un mari gênant - Le récit (1/2)

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jun 24, 2024 12:04


En 2001 à Béziers, un psychologue de 52 ans est mort calciné dans sa maison en feu. Son corps compte une dizaine de blessures par arme blanche…

Buscadores de la verdad
Blasco Ibáñez. Tras el velo capítulo 3

Buscadores de la verdad

Play Episode Listen Later Jun 15, 2024 44:56


03 Muerte y educación en Valencia Podemos hacernos la pregunta del huevo y la gallina con Blasco Ibáñez. ¿Qué fue primero su éxito arrollador o la pertenencia a algún grupo secreto o discreto que lo encumbrase al éxito? Como hemos comentado desde el principio, desde muy pequeño era aficionado a inventarse las mas pintorescas historias y aunque mucha de su obra infantil y juvenil no ha llegado a nuestros días podemos decir que al igual que hoy los grupos de poder captan a los jóvenes influencers para impregnar a la sociedad de sus ideas a través de estos, en esa época ocurría otro tanto similar. Con tan solo 16 años funda y dirige el semanario El Miguelete, y cesado éste funda El Turia. Con 18 colabora en El Correo de Valencia y a los 20 publica el primer número del periódico federal del que es también director, La Revolución. También crea el semanario La Bandera Federal y la editorial La Propaganda Democrática. En 1892 nace su hija Libertad que sólo vive trece días. Seguimos viendo la importancia del 13 y recordamos como en la serie de Berlanga sobre la vida de Vicente Blasco hace una alusión velada al “comercio de mercancía sagrada o intercambio de niños de unos linajes a otros” con la adopción del primo de Blasco. (poner video el Femater.mp4) Hacen alusión al cuento el Femater, el basurero, de la colección cuentos valencianos. ¿Podría ser que el director se refiriese al propio Blasco ya que poco o nada se sabe de ese supuesto primo adoptado? A los 26 años entra en política presentándose como candidato por la Unión Republicana por el distrito de Sueca. (video Berlanga Parte 1 56:00 a 57:17 Obra el juez y muerte de su madre.mp4) El 12 de Mayo de 1894 se estrena en valencia su única obra de teatro llamada “El Juez”, que no tiene mucho éxito además ese mismo día fallece su madre a los 51 años de edad (5+1=6) y el 12 de noviembre de 1894, 184 días más tarde (6 meses justos) publica el primer número de El Pueblo, fundado y dirigido por él. Un diario dirigido a las clases populares a mitad de precio que los otros diarios. El 11 de enero de 1903 publica en dicho diario un artículo titulado «La Universidad Popular», la cual se inaugurará el 8 de febrero. Vemos muy acertada la expresión que le dedica el profesor de la Universidad de Valencia Ramiro Reig a Blasco, "un experto en marketing editorial”, el cual como hemos visto creo 4 o 5 periódicos y semanarios, 7 casinos republicanos y uno central en la Universidad Popular, universidad que aún sobrevive. Según Reig, el liderazgo del escritor se afianzó mediante la creación de una eficaz maquinaria organizativa asentada en los casinos republicanos. Recordó este historiador que "él no los inventó pero, si se nos permite el anacronismo, los macdonalizó, distribuyéndolos estratégicamente en la ciudad y sometiéndolos a un menú ideológico estándar, fácil de digerir y con abundancia de sal y pimienta". En opinión de Reig "la utilización del lenguaje espontáneo de la calle y de formas plebeyas, de la sensibilidad mediterránea y su afición por el tumulto y el ruido, de las relaciones de barrio y de las fiestas, hicieron que el republicanismo fuera, no solo la expresión política de las clases populares, sino de su manera de ser, de hablar y de imaginar la vida". 30 años antes de la proclamación de la II República Blasco Ibáñez impulsó decenas de escuelas laicas en Valencia (Carles, Cheste, Buñol, Sagunto, Catarroja o Cullera) y la Universidad Popular gracias al movimiento republicano blasquista en Valencia, al inicio del siglo XX, una época de hegemonía de la Iglesia Católica en la educación. La universidad Popular es un proyecto que impulsó Blasco Ibáñez desde su periódico "El Pueblo" hasta el punto que es reconocido como el creador de esta. Por contra de lo que parece sugerir el nombre de la institución en la universidad no sé impartían cursos reglados en los que se obtiene una titulación, si no que se realizaban conferencias, muchas de ellas nocturnas para hacerlo accesible a los obreros. Ya nos podemos imaginar que sería una fuente para impartir ideología más que otra cosa. Escribía Blasco Ibáñez en El Pueblo el 11 de enero de 1903 un famoso artículo sobre la Universidad popular: "Un terreno nuevo, donde todos puedan entrar, donde se presente la enseñanza con ropajes de fiesta y se sirva la ciencia como una diversión. La Universidad Popular será todas las noches algo así como un teatro libre y gratuito de la enseñanza” "Que los Profesores den su sabiduría, y nosotros les daremos un público. El hombre de estudio no puede permanecer insensible a la noble y justa vanidad de que su palabra sea escuchada, no por unos cuantos escolares aburridos por la monotonía del programa, sino por mil personas que se estremezcan y vibren ante la hermosura de esa Ciencia que hoy solo ven de lejos, envuelta en velos, como una Isis misteriosa y ceñuda.” En estos momentos, la UP de Valencia sigue vigente y cuenta con un total de 31 centros donde se imparten clases de danza, plantas aromáticas, manualidades, jardinería en terrazas y balcones, cultivo de boletos comestibles, cursos de español para extranjeros, ingles e informática básica para adultos…etc. La conferencia inaugural fue a cargo del político y jurista Gumersindo de Azcárate, catedrático de la Universidad Central, diputado republicano por León y, entre otros, presidente de la Institución Libre de Enseñanza, de la Institución para la Enseñanza de la Mujer, del Instituto de Reformas Sociales y del Ateneo Madrileño. Valencia sufría a principios del siglo XX unos inquietantes índices de analfabetismo: el 48% de los hombres y el 64% de las mujeres apenas sabían leer y a ese público iba en parte dirigido su periódico El Pueblo. Pío Baroja, dijo de él: “sabe componer, escribe claro; pero, para mí, es aburrido, es un conjunto de perfecciones vulgares y mostrencas, que a mí me ahoga. Tiene las opiniones de todo el mundo, los gustos de todo el mundo. Yo, a la larga, no le puedo soportar”. El populismo actual de las cadenas de televisión ya estaba inventado por el famoso escritor que gracias a estar en todos los saraos, duelos, entradas y salidas de la cárcel y aventuras varias se hacia cada vez mas famoso. Blasco Ibáñez como editor al frente de las editoriales Prometeo o Sempere, que a un módico precio, inyectaban en el mercado miles de ejemplares de sus propias obras y de autores "que leen las élites progresistas de la burguesía europea". La razón social de Prometeo se estableció en un edificio situado en la Gran Vía Germanías, núm. 33. Nótese que germanías fue una revuelta social del S. XVI de la sociedad burguesa valenciana en contra de la nobleza, la concordancia en ese sentido con la revolución francesa tan admirada por Blasco es manifiesta y el numero 33 es el máximo escalafón masónico. ¿Casualidad o causalidad? Editorial Prometeo, el que da el "Fuego/Conocimiento a los hombres” es más bien el Ángel de Luz que cayó del Cielo o sea Lucifer. Ese que tienen exhibido en el Rockefeller Center y del que también recibe nombre el Colectivo Prometeo creado por Julio Anguita. Dicha editorial fue muy propagandista e impulsora de ideas de masones como Voltaire, Rousseau, Michelet…Vamos, fue la versión antigua de herramientas actuales cómo Wikipedia, internet o ChatGPT. En “Viajes hacia la literatura satánica en un cambio de siglo” José Mariano Leyva dice: “Los nuevos leprosos, patrocinados por el demo­nio, que utilizaban la literatura como utensilio de su depravada alquimia, se estaban formando. La novedosa nigromancia, y sus postulantes eran tan peligrosos como aquellos seres de mús­culos podridos. Los motivos también eran afi­nes: su enfermedad era contagiosa y ponían en tela de juicio la bondad y progreso de las civili­zaciones. Vicente Blasco Ibáñez lo sabía. Y por ello, como mecenas de un hervidero de especímenes nocivos, advertía: “Algunas novelas célebres de intensa belleza pueden parecer de una lectura extremadamente libre para determinadas per­sonas. Por esto en nuestros catálogos hay libros que llevan la indicación de una *. Esta marca * significa que son obras que no pueden dejarse en todas las manos”. Uno de aquellos autores con asterisco era Huysmans­-Durtal: “Era verdad que no poseían nada sobresaliente las le­tras del momento; nada, a no ser una necesidad de lo sobrenatural, que, a falta de ideas más ele­vadas, caminaba a tropezones y como mejor podía por el espiritismo y el ocultismo” El catedrático de Teoría e Historia de la Educación de la Universidad de Valencia Luis Miguel Lázaro en su libro “La Nueva Atenas del Mediterráneo. El sueño de un novelista Vicente Blasco Ibáñez, cultura y educación populares en Valencia” titula su primer capitulo como “Los emisarios de Belcebú. La escuela laica como alternativa social y pedagógica”. ¿Blasco Ibáñez, emisario de Belcebú? En la RAE podemos leer lo que significa emisario: “Mensajero que se envía para indagar lo que se desea saber, para comunicar a alguien algo o para concertarse en secreto con tercera o terceras personas.” O sea, alguien que en secreto va a realizar la obra de Belcebú, del diablo. En Historia de los Heterodoxos españoles, Menéndez Pelayo dice esto sobre La Institución Libre de Enseñanza: «Necesario era... mostrar claro y al descubierto el misterio eleusino que bajo tales monsergas se encerraba, el fétido esqueleto con cuyas estériles caricias se ha estado convidando y entonteciendo por tantos años a la juventud española». «Han sido más que una escuela; han sido una logia, una sociedad de socorros mutuos, una tribu, un círculo de «alumbrados», una «fratría», lo que la pragmática de don Juan II llama «cofradía y monipodio», algo en suma, tenebroso y repugnante a toda alma independiente y aborrecedora de trampantojos. Se ayudaban y se protegían unos a otros; cuando mandaban, se repartían las cátedras como botín conquistado. Todos hablaban igual, todos vestían igual, todos se parecían en su aspecto exterior, aunque no se pareciesen antes... Todos eran tétricos, cejijuntos, sombríos; todos respondían por fórmulas hasta en las insulseces de la vida práctica; siempre en su papel, siempre sabios…». Entre la nómina de colaboradores del Boletín de la Institución Libre de Enseñanza podemos encontrar a sospechosos habituales como Bertrand Russell o H. G. Wells. Sobre Wells les hice una disección en mi serie de artículos “Anticipandonos a HG Wells” donde en su libro El Nuevo Orden Mundial nos mostraba los planes de la élite para deshacerse del dinero en metálico: “La Bolsa de Valores y el crédito bancario y todas las artes de los préstamos, la usura y la prevención sin duda disminuirán juntas a medida que se establezca el Orden Mundial. Si y cuando el orden mundial se establece. Serán reemplazados, como cáscaras de huevo y membranas fetales. No hay razón para denunciar a quienes idearon y trabajaron esos métodos e instituciones como sinvergüenzas y villanos. Honestamente lo hicieron de acuerdo a sus luces. Eran una parte necesaria del proceso de sacar al Homo sapiens de su cueva y bajarlo de su árbol.” Veamos lo que pensaba LORD Bertrand Arthur William Russell, tercer conde de Russell sobre la educación infantil a través de un texto extraído de su obra "La Perspectiva Científica” de 1931: “En las raras ocasiones en que un niño o una niña que haya pasado la edad en la que se determina la clase social, (sobre los 6 años), muestre una capacidad muy señalada para sentirse intelectualmente igual a los niños destinados a las clases gobernantes, se suscitará una cuestión difícil que requerirá un estudio muy serio. Si el joven se contenta con abandonar a sus antiguos compañeros y echarse lealmente en brazos de los gobernantes, podría ser promovido, después de pruebas convenientes, al rango de éstos. Pero si demuestra alguna solidaridad, que sería lamentable, con sus antiguos compañeros, los gobernantes deducirán con repugnancia que no puede hacerse nada por él, excepto enviarle a la cámara de la muerte, antes de que su inteligencia, mal disciplinada, tenga tiempo de propagar la revuelta. Éste será un penoso deber de los gobernantes; pero creo que no retrocederán ante él." A la vista de todo lo dicho hasta aqui Blasco nos parece un antiguo sofista griego que mediante la sinarquia busca solo la persuasión de una audiencia, ya sea en asambleas políticas o mediante la propaganda periodística. Los sofistas desarrollan el razonamiento cuyo objetivo es solo la eficacia persuasiva, y no la verdad, y que como tales suelen contener sofismos (falacias). Como sofistas reconocidos como Gorgias o Protágoras, el señor Blasco vivía para el dinero y quería conseguir el éxito a toda costa. El concepto de sinarquia lo explica muy bien el historiador José Antonio Bielsa: “La “Sinarquía” es el sustrato sobre el que se retroalimenta el gobierno oculto mundial. Me explicaré: si en el mundo antiguo, la Sinarquía (syn [integración/concentración] + arkhia [poder/gobierno]) era la unión de varios príncipes coaligados para la dominación de los pueblos, hoy es algo mucho más sutil y diabólico, cohesionado en la unión de las fuerzas financieras y económicas multinacionales, asociadas en un tremendo poder a otros organismos pantalla, para así gobernar al Sistema-mundo a su libre voluntad y por medio de las tácticas recurrentes de diseño (conflictos bélicos, explotación humana, difusión de enfermedades y pandemias, masificación en núcleos urbanos, ignorancia y/o atraso de las masas, etcétera). Todas las sociedades humanas están siendo sometidas, bien por agrado, bien por la fuerza, a los designios de esa imparable inercia que llamamos Sinarquía.” “En 1908, cuando Mr. Archer Milton Huntington, millonario y filántropo visitó una exposición de Joaquín Sorolla y Bastida (1863–1923) en Londres quedó fascinado por el talento del pintor valenciano, el millonario mostró su deseo de presentar su obra en Nueva York, que realizaría al año siguiente en febrero de 1909 con una muestra para impulsar la Hispanic Society of America ya inaugurada en 1904. Con trescientas cincuenta y seis obras sorollescas fue un completo éxito, mayor del esperado, vendió una cincuentena de cuadros, uno de ellos era el óleo Caballero español: el retrato de Vicente Blasco Ibáñez pintado en 1906, de pie con abrigo negro y en la mano izquierda fumando un habano, ya que estos eran paisanos y amigos valencianos. Tras este éxito, Sorolla firmó un contrato el 26 de noviembre de 1911 con Mr. Huntington para pintar un mural de 60 metros, pero como Sorolla vivía en España, convinieron en pintar 14 cuadros de la serie Visión de España, obra también conocida como Las Regiones de España, por 150.000 dólares. Fueron pintados entre 1912 y 1919; se expusieron en 1926. Sufrió Sorolla un ataque de hemiplejia en su casa de Madrid el 17 de abril de 1920, falleciendo tres años después. La vida no quiso que el maestro disfrutara de la gran inauguración de su obra maestra en Nueva York en 1926, tres años después de su muerte (1923). El autor de este reportaje tuvo el privilegio de ver y admirar esta magna exposición en su tournée por España en los salones del Centro Cultural Bancaja expuestos entre octubre de 2009 al 10 de enero de 2010. Lo cierto es que no se pueden olvidar tantas maravillas. Bien, como Vicente Blasco Ibáñez se hizo amigo de Mr. Archer Huntington y, además sabía que era el propietario de su retrato El Caballero español, se puso en contacto con él, por lo que sería nombrado socio de honor en 1910, en la Hispanic Society. Al regresar VBI tras su gira de conferencias en Argentina, más concretamente, el día 6 de marzo de 1910, Blasco le formuló por carta la siguiente consulta a Archer Huntington: «Siento con toda mi alma no saber inglés… ¿No sería posible dar ahí algunas conferencias sobre la España moderna y antigua? ¿Habría en Nueva York público para unas conferencias en español?» Debido a sus dotes oratorias estaba seguro que repetiría la misma suerte argentina en los Estados Unidos, pero no fue así, había que esperar el momento propicio. Buscaba VBI la complicidad de personajes vinculados al mundo de la prensa, la literatura o la política para conseguir sus objetivos de proyección. Y esta vez perseguía la connivencia de una figura de singular relieve como Mr. Huntington. Pero como en primera instancia no consiguió viajar a Norteamérica, quedó en Argentina dando conferencias, fundó dos colonias en Argentina entre 1909 y 1913 donde comprará cinco mil hectáreas que llamará Colonia Cervantes situada en Río Negro en los desiertos de la Patagonia, y una segunda llamada Nueva Valencia en el estado de Corrientes en Río de la Plata, donde llevó a unos 200 colonos valencianos del pueblo de Sueca, conocedores del cultivo del arroz. También hizo incursiones en Chile, Paraguay y Uruguay. La quiebra de los bancos que le concedieron préstamos le llevó a la ruina. Regresó a Europa, concretamente a París, en un vapor alemán donde le cogió la Gran Guerra de 1914.” Se sucedían los homenajes incluso en su tierra. El 21 de diciembre de 1919 pusieron una calle a su nombre en Burjasot sonando la Marsellesa. Decía Blasco Ibáñez, en El Sol, en 1922: “Hace dos años y medio me avergonzaba de mis fabulosas ganancias. Hoy ya no; las encuentro naturales y quiero aumentarlas. Los dos escritores que ganamos más dinero en el mundo somos Rudyard Kipling y yo; es decir, no. Hay un tercero: Wells. Sí, somos tres los escritores que ganamos más en el mundo. Tengo más de un millón de dólares. Cobro setecientos por un cuento corto. Las empresas editoriales de los Estados Unidos me cablegrafían pidiéndome artículos constantemente, sobre tal o cual tema. Y así hago esta vida mezclada de príncipe y esclavo: príncipe, por mis automóviles, por mis jardines en la Costa Azul, por mis relaciones internacionales constantes con los huéspedes de París, Montecarlo y Nueva York; de esclavo, porque sigo trabajando de doce a catorce horas diarias, escribiendo novelas o dictando pequeñeces a mis secretarios”. Y es que con su novela “Los cuatro jinetes del Apocalipsis” (12 millones de ejemplares vendidos) que se había convertido en un “símbolo de paz”, y en 1921, en un éxito de pantalla, la sexta película muda más taquillera de la historia Blasco se había hecho millonario. Ramón Fernández Palmeral nos lo cuenta en un artículo: “Gracias a ella, Rodolfo Valentino pudo consagrarse como actor guaperas y Blasco Ibáñez vender a paletadas frenéticas el resto de sus obras en el vasto mercado estadounidense. Una cadena de prensa le ofreció hasta 1000 dólares por cada artículo periodístico (colaboraba con más de 100); La gira norteamericana se la organizó un tal Mr. Pond, que le hizo inmensamente rico por la traducción al inglés de Los cuatro jinetes del Apocalipsis, el primer best-seller de la historia. En octubre de 1919, Blasco Ibáñez viajó a los Estados Unidos, invitado por las grandes editoriales, cadenas periodísticas y productoras cinematográficas, que deseaban conocer al autor y traducir sus obras. Blasco permaneció en los Estados Unidos hasta junio de 1920, recibiendo los más altos honores, como el título de Doctor Honoris Causa por la Universidad George Washington, y visitando, entre otros, el Congreso o la Academia de West Point. Viajó por todo el país. Ganó mucho dinero con las conferencias. Al regresar a Europa se comprará un coche Rolls Royce. (poner video Hollywood.mp4) En Hollywood firma el contrato para las versiones cinematográficas de Los cuatro jinetes del Apocalipsis y de Sangre y Arena, que protagonizará, nada más y nada menos que el divo del cine negro y mudo, Rodolfo Valentino. Greta Garbo debuta en Sangre y Arena. Por si fuera poco, la neoyorquina International Book Review, de 2 millones de suscriptores, organizó en 1924 un concurso para conocer quiénes eran, según el público, los 10 escritores más famosos del mundo. El escrutinio reveló que don Vicente era el segundo autor más popular ( H. G. Wells le superó en 90 votos).” Sin embargo, en España, Pio Baroja y Azorin, sus colegas escritores de la generación del 98 le criticaban por escribir lo que el inculto publico de masas demandaba. Esas masas grises eran ya carne de Hollywood, templo hollicapitalista por excelencia como decía Pedro Bustamante y Vicente Blasco Ibañez fue de los primeros españoles en triunfar allí. No solo se compró un Rolls-Royce, también una mansión lujosísima en la Costa Azul, La villa Fontana Rosa en Menton (Francia) Tras la muerte de María Blasco, el 21 de enero de 1925 en Valencia, a los cincuenta y cinco años, de la que estaba prácticamente separado, contrajo segundas nupcias con su amante chilena de ascendencia vasca, Elena Ortúzar, el 4 de julio en Mentón; se dice que lo único que le interesaba a ella era su dinero. En 1926, dos años antes de morir, Blasco escribe “A los pies de Venus”. En “Los libros de mama” Francisco Umbral nos cuenta de que va: “Una novela de millonarios europeos y decadentes, un gran mundo que al propio Blasco le fascina más que al lector, con fascinación de nuevo rico, estatuas de mármol en el jardín, con los labios pintados de pecadores y violentos carmines profanadores. Blasco parece recrear aquí su mansión de Menton, que luego he visto descrita por Cela y otros muchos escritores como un panteón de estatuas ya muerto y olvidado.” Inventado o no su nacimiento en dia 29, lo que si esta claro es el otro 28 que se convierte en 29, esto es, en 11, en la madrugada del 28 al 29 de enero de 1928 con su muerte justo en el perigeo de Luna creciente. Fue otro Vicente, el alcalde de Valencia, Vicente Alfaro Moreno el que decidió repatriar los restos de Blasco desde Francia donde falleció siendo enterrado en Mentón el cuerpo del escritor. El día 29 de octubre de 1933, con la II República española ya instaurada desde hacía dos años, una multitud de trescientas mil personas lo recibió en el puerto de Valencia, incluyendo al presidente de la República, Niceto Alcalá-Zamora; al del Consejo de Ministros, Alejandro Lerroux; y al de la Generalitat catalana, Francesc Macià. Fue trasladado en un barco militar y recibido con honores militares como si se tratase de un ministro civil que hubiera fallecido en el ejercicio de su cargo. El destacado artista valenciano y amigo suyo Mariano Benlliure fue el encargado de diseñar un sarcófago muy masónico para él, una Pirámide truncada. Benlliure modeló en la parte superior del sarcófago la figura yacente de Blasco Ibáñez envuelta en un sudario, con la cabeza apoyada en un cojín y rodeada de ramas de laurel. A modo de mascara mortuoria se podia ver la cara de Blasco Ibáñez. El arquitecto Javier Goerlich Lleó fue elegido para diseñar el mausoleo definitivo para los restos de Vicente Blasco Ibáñez en el Cementerio General de Valencia. El proyecto incluía el sarcófago realizado por el escultor Mariano Benlliure en 1935. Sin embargo, este mausoleo nunca llegó a construirse debido a la inestabilidad política de la época. Su madre, Asunción Lleó, era hija de uno de los herederos del principal propietario de inmuebles de la Valencia de mediados del siglo XIX, el comerciante e industrial sedero hecho a sí mismo Juan Bautista Romero, marqués de San Juan. Néstor Morente Martín, doctor en historia del arte, nos cuenta en su tesis doctoral “El art déco en la imagen alegórica de la ii república española en valencia: Vicente Alfaro promotor de las artes”: "El centro del mausoleo, estaba destinado para ser presidido por el sarcófago de latón de Benlliure, en forma de pirámide truncada, en el que incluyó en los laterales, en bajo relieve,18 figuras de protagonistas de sus novelas más conocidas, de las que se anuncian sus títulos sobre el listel de la base del sarcófago; en la parte frontal, el escudo de la ciudad de Valencia. La parte superior, la ocupa todo el cuerpo yacente de Blasco Ibáñez rodeado de hojas de laurel, envuelto en un sudario, respetando con todo detalle el rigor mortis con el que fue fotografiado en su lecho de muerte en 1928, en Mentón y de donde tomó referencia para esta obra funeraria. Los laterales del pedestal, están decorados con guirnaldas de bronce simbolizando los frutos de la huerta valenciana. En 1933, el alcalde de Valencia, Vicente Lambies y la Diputación, enviaron a Menton (Francia), dos pebeteros de carácter monumental, realizados en bronce dorado para acompañar las exequias del traslado a Valencia de Vicente Blasco Ibáñez. Fueron expuestos junto al féretro en el Ayuntamiento de la localidad francesa y transportados en el cortejo fúnebre desde el acorazado Jaime I. Los dos pebeteros, son idénticos en su factura a excepción de sus escudos, en uno lleva el de la ciudad de Valencia y en el otro, el de la Diputación Provincial. Ambos llevan grabado el tan celebrado año de 1933 para la memoria de Blasco Ibáñez. Los pebeteros, fueron trasladados al Cementerio Municipal de Valencia junto al cuerpo de Blasco Ibáñez, a la espera de la construcción del mausoleo, en el que hasta 1935 no se colocó la primera piedra. Por la magnitud y suntuosidad de los pebeteros, es lógico pensar que fueron encargados, no tan solo con la idea de acompañar un cortejo fúnebre, sino para formar parte del mismo conjunto arquitectónico del panteón diseñado desde 1932. La Guerra Civil, paralizó la construcción de la esperada obra, quedando estas dos piezas de orfebrería en el olvido, en un cuarto trastero del mismo cementerio. En el año 2012, el capellán mayor del Cementerio Municipal de Valencia, al realizar unas reformas en la capilla, descubrió los pebeteros junto a un montón de “chatarra” en unas condiciones de importante deterioro por él óxido. Sin saber de lo que se trataba, los restauró y por su forma, les dio la función de pilas para albergar el agua bendita, colocándolos en la entrada de la capilla, permaneciendo de esta forma hasta la actualidad.” Les traduzco: El nieto de un marques, el arquitecto municipal de Valencia Javier Goerlich, realizó el diseño de un mausoleo para un masón donde se iban a utilizar unos pebeteros que terminaron en una capilla y uno de los cuales fue sufragado por una institución, la Diputación provincial, que fue creada por la dictadura de Primo de Rivera, el supuesto enemigo de Blasco y la República. En el artículo de el puntal de Dios LOS MANUSCRITOS MUERTOS Y LAS VIDAS CREADAS (pars secunda) podíamos ver como todos los “importantes” dejan su máscara mortuoria para la posteridad. En la cara posterior representó la esfera terrestre flanqueada por dos cornucopias, dos cabezas de águila y sobre ella, iluminándola, el disco solar con una cabeza alada, que podría identificarse con el mítico Prometeo, que había dado nombre a la editorial fundada por el escritor. Se le rindieron honores propios de un jefe de Estado. Debido al considerable peso del féretro, cerca de 700 kg, se formaron alrededor de medio centenar de grupos de porteadores para trasladarlo hasta la Lonja, donde quedó expuesto durante varios días antes de ser llevado a la sala de Concejales del Cementerio. Todo esto cambió drásticamente en 1936 con el inicio de la Guerra Civil. Los restos de Blasco fueron trasladados a un nicho provisional en el cementerio municipal de Valencia por temor a que su cuerpo fuera profanado. Allí permanecen hasta el día de hoy, en el nicho 93 de la sección 3.ª del cementerio civil de Valencia, resguardados por una lápida de color gris oscuro en la que apenas destaca su nombre en letras plateadas. Desde luego cuesta encontrar fotos de “la cara buena” de la pirámide truncada Illuminati que es el sarcófago truncado de Blasco Ibáñez. Incluso en las noticias que ponen una foto de ese lado como la del diario Las Provincias luego no podemos verla dentro de la noticia. No podemos ver ninguna a alta resolución en ningún medio de comunicación. Solo por el lado donde se ven las musas, el símbolo de Valencia y los títulos de algunas de sus novelas. ¿Qué esconden y por qué lo hacen? Los cuernos de la fortuna que iban a acompañar a Blasco en el mas allá nunca lo recibieron en su seno. El cenotafio que no sarcófago, porque el cadáver de Blasco Ibáñez nunca fue colocado dentro, ha estado dando vueltas desde su construcción en 1935. En 1940 se guardó en los almacenes del Museo de Bellas Artes para ser restaurado en 1998 e instalado en el Centro del Carmen. En 2017 regresó al San Pío V, donde se instala de forma permanente en un patio interior donde le daba “la luz”. (poner video blasco Ibáñez el sarcófago.mp4) El 6 de abril de 2020, en plena pandemia de covid, se retira el cenotafio del museo. Y el 23 de abril de 2020, el día del libro y de Sant Jordi, el sarcófago ya era visitable. Supuestamente coincidiendo con la conmemoración del centenario del homenaje que en 1921 recibió el autor en su ciudad natal. Pero les adelantare que fue en mayo cuando visitó Valencia y no en abril. Tal y como nos cuenta Raquel Andrés Dura en un artículo de La Vanguardia: “El sarcófago que el escultor Mariano Benlliure hizo para el escritor Vicente Blasco Ibáñez por encargo del Ayuntamiento de València ha llegado hoy a su destino final, el Cementerio General de València, 88 años después de cuando fue creado.” La cara de Medusa, una égida de Atenea metálica para proteger al espíritu iluminándolo, con el disco solar acompañado de los cuernos de la fortuna. Fijaos que la bola del mundo que está entre las garras de las dos águilas o del águila de dos cabezas parece un huevo. El huevo alquímico de la masonería, ese germen que tratan de transformar con dos fuerzas, izquierda y derecha, blanco y negro, azul y rojo para lograr la síntesis. La culminación de su obra. ¿Qué fue antes, el huevo o la gallina? —-------------------------------------------------- Creadores: ToniM @ToniMbuscadores …. Dra Yane #JusticiaParaUTP @ayec98_2 Médico y Buscadora de la verdad. Con Dios siempre! No permito q me dividan c/izq -derecha, raza, religión ni nada de la Creación. https://youtu.be/TXEEZUYd4c0 …. UTP Ramón Valero @tecn_preocupado Un técnico Preocupado un FP2 IVOOX UTP http://cutt.ly/dzhhGrf BLOG http://cutt.ly/dzhh2LX Ayúdame desde mi Crowfunding aquí https://cutt.ly/W0DsPVq ……….. Voces Narrador: Ramón Valero (un técnico preocupado) Vicente Blasco Ibáñez y su antítesis “el caballero audaz”: Toni Marco Diferentes voces femeninas: Dra Yane Voces masculinas: el puntal de Dios Narración extra: abriendo los ojos ………………………………………………………………………………………. Enlaces citados en el podcast: Bibliografia completa https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/su_obra_bibliografia/ Cronología de Vicente Blasco Ibáñez https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/autor_cronologia/#anyo_1900 Cronologia literaria Blasco Ibáñez https://anyblascoibanez.gva.es/va/cronologia-literaria Time line de su vida https://www.timetoast.com/timelines/vicente-blasco-ibanez-5ac50faf-ff35-40dd-be42-708435362932 Galeria de imágenes https://www.google.com/imgres?imgurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fimages%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fgraf%2Fcronologia%2F03_cro_blasco_ibanez_retrato_1018_s.jpg&tbnid=s0ix0VfxLAJ4aM&vet=12ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ..i&imgrefurl=https%3A%2F%2Fwww.cervantesvirtual.com%2Fportales%2Fvicente_blasco_ibanez%2Fautor_cronologia%2F&docid=rpcl3y5OiYotjM&w=301&h=450&q=Mar%C3%ADa%20Blasco%20blasco%20iba%C3%B1ez&hl=es&client=firefox-b-d&ved=2ahUKEwi45LKn8vr-AhVYmycCHf1fDVMQMygkegUIARDGAQ ……… Capítulo 3 La familia Blasco Ibáñez - 1867 https://elargonautavalenciano.blogspot.com/2016/01/la-familia-blasco-ibanez-1867.html El "comecuras" Vicente Blasco Ibáñez: escritor e impulsor de la educación laica y popular en Valencia https://www.eldiario.es/comunitat-valenciana/comecuras-vicente-blasco-ibanez-escritor-e-impulsor-educacion-laica-popular-valencia_1_8027488.html La Nueva Atenas del Mediterráneo. El sueño de un novelista Vicente Blasco Ibáñez, cultura y educación populares en Valencia del catedrático de Teoría e Historia de la Educación de la Universidad de Valencia Luis Miguel Lázaro https://www.alfonselmagnanim.net/media/dival/files/sample-119161.pdf La nueva Atenas del Mediterráneo. visor https://www.proquest.com/openview/69c1c3034ed7f81c36f405c1b377897e/1?pq-origsite=gscholar&cbl=54848 La nueva Atenas del Mediterráneo. Otro enlace en pdf https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=&ved=2ahUKEwib_Nqn69L-AhWKsKQKHYRIBZwQFnoECAgQAQ&url=https%3A%2F%2Frevistas.uned.es%2Findex.php%2FHMe%2Farticle%2Fdownload%2F31813%2F24523%2F84305&usg=AOvVaw0raZf70GBF-4NeLAyPZBF5 La Universidad Popular https://www.casamuseoblascoibanez.es/la-universidad-popular/ Reig dice que Blasco Ibáñez fue un "fabricante" de 'best sellers' https://elpais.com/diario/2000/09/23/cvalenciana/969736712_850215.html# LO MAS INTERESANTE SIEMPRE POR LA PUERTA DE ATRÁS https://tecnicopreocupado.com/2017/04/10/lo-mas-interesante-siempre-por-la-puerta-de-atras/ La Institución Libre de Enseñanza (ILE) según MENENDEZ PELAYO https://filosofia.org/aut/ile/index.htm Institución Libre de Enseñanza https://es.wikipedia.org/wiki/Instituci%C3%B3n_Libre_de_Ense%C3%B1anza MIRANDO HACIA ATRÁS III: ANTICIPÁNDONOS A HG WELLS PRIMERA PARTE https://tecnicopreocupado.com/2020/01/06/mirando-hacia-atras-iii-anticipandonos-a-hg-wells-primera-parte/ MIRANDO HACIA ATRÁS IV: ANTICIPÁNDONOS A HG WELLS SEGUNDA PARTE https://tecnicopreocupado.com/2020/01/16/mirando-hacia-atras-iv-anticipandonos-a-hg-wells-segunda-parte/ MIRANDO HACIA ATRÁS V: ANTICIPÁNDONOS A HG WELLS TERCERA PARTE https://tecnicopreocupado.com/2020/01/24/mirando-hacia-atras-v-anticipandonos-a-hg-wells-tercera-parte/ MIRANDO HACIA ATRÁS VI: ANTICIPÁNDONOS A HG WELLS CUARTA PARTE https://tecnicopreocupado.com/2020/01/31/mirando-hacia-atras-vi-anticipandonos-a-hg-wells-cuarta-parte/ LORD Bertrand Arthur William Russell, tercer conde de Russell https://twitter.com/BabylonDab/status/1096603122414309376 Perversa "La Perpectiva Científica" de Lord Bertrand Russell y sus cámaras de muerte para niñ@s disidentes. https://desmontandoababylon.com/2017/06/03/la-maldita-perspectiva-de-russell-ya-es-realidad/ Universidad Popular de Valencia https://universitatpopular.com/ Tres amigos valencianos https://www.amigosnaugran.org/bsb-tres-amigos-valencianos-benlliure/ Los libros de mama de Francisco Umbral https://www.cervantesvirtual.com/portales/vicente_blasco_ibanez/estudios_autor/autor/Umbral,%20Francisco,%201932-2007/ Vicente Blasco Ibáñez y la madrastra España https://www.todoliteratura.es/noticia/56006/firma-invitada/vicente-blasco-ibanez-y-la-madrastra-espana.html Vicente Blasco Ibáñez. Su azarosa vida y sus últimos años en la Costa Azul https://www.meer.com/es/64910-vicente-blasco-ibanez A los 50 años http://elargonautavalenciano.blogspot.com/search/label/A%C3%B1o%201917 El inesperado éxito de Blasco Ibáñez en los Estados Unidos https://www.meer.com/es/66142-el-inesperado-exito-de-blasco-ibanez-en-los-estados-unidos La excesiva personalidad de Blasco Ibáñez https://www.elespanol.com/el-cultural/blogs/tengo_una_cita/20190815/excesiva-personalidad-blasco-ibanez/421827814_12.html Editorial Prometeo https://www.academia.edu/27468622/El_legado_de_una_editorial_emblem%C3%A1tica_Prometeo_Valencia_1914_ Portal:Editorial Prometeo - Wikisource https://es.wikisource.org/wiki/Portal:Editorial_Prometeo Viajes hacia la literatura satánica en un cambio de siglo https://web.archive.org/web/20200717011843/https://www.estudioshistoricos.inah.gob.mx/revistaHistorias/?p=583 Traslado de los restos mortales de Blasco Ibáñez a Valencia http://archivo.dival.es/es/actividad/traslado-de-los-restos-mortales-de-blasco-ib%C3%A1%C3%B1ez-valencia TESIS DOCTORAL El ART DÉCO EN LA IMAGEN ALEGÓRICA DE LA II REPÚBLICA ESPAÑOLA EN VALENCIA: VICENTE ALFARO PROMOTOR DE LAS ARTES https://core.ac.uk/reader/75989300 Honores militares BOE 28 octubre 1933 https://www.boe.es/datos/pdfs/BOE/1933/301/A00682-00682.pdf El sarcófago de Vicente Blasco Ibáñez https://cultural.valencia.es/es/el-sarcofag-de-vicente-blasco-ibanez/ Javier Goerlich https://valenciaoculta.com/javier-goerlich/ Marie Tussaud: La artista de máscaras mortuorias de cera https://www.culturabizarra.com/marie-tussaud-mascaras-mortuorias-cera/ LAS VIDAS CREADAS https://tecnicopreocupado.com/2023/01/22/los-manuscritos-muertos-y-las-vidas-creadas-pars-secunda/ València inicia el traslado del sarcófago de Blasco Ibáñez al cementerio general https://www.lavanguardia.com/local/valencia/20210406/6631360/valencia-inicia-traslado-sarcofago-blasco-ibanez-cementerio-general.amp.html El sarcófago de Vicente Blasco Ibáñez ya está en el Cementerio General de València https://www.lavanguardia.com/local/valencia/20210423/7107566/sarcofago-vicente-blasco-ibanez-cementerio-general-valencia.amp.html Fin al capítulo del sarcófago de Blasco Ibáñez https://www.lasprovincias.es/culturas/sarcofago-blasco-ibanez-20210423133737-nt.html

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Franck Ferrand raconte...
Saint-Just, l'archange de la mort

Franck Ferrand raconte...

Play Episode Listen Later May 19, 2024 21:41


Membre du Comité de salut public, organisateur de la victoire aux armées et incarnation de la Terreur, Saint-Just, que Michelet surnommait « l'archange de la mort », finira guillotiné à 26 ans en même temps que Robespierre.    Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Paroles d'histoire
337. La Sorcière de Michelet, avec Paule Petitier

Paroles d'histoire

Play Episode Listen Later May 19, 2024


L'invitée : Paule Petitier, professeure à l'Université Paris-Cité Le livre : La pensée sorcière, Michelet 1862, Paris, éditions du CNRS, 2024. La discussion : Introduction (00 :00) Un livre inclassable, compliqué, mais qui résonne aujourd'hui avec le « mythe moderne » de la sorcière (1:00) Qui est Michelet en 1862 ? (06:15) Le contexte d'écriture : étouffement politique sous le Second Empire, curiosité … Continue reading "337. La Sorcière de Michelet, avec Paule Petitier"

Les Nuits de France Culture
"La Sorcière" de Jules Michelet 3/3 : "Ô bienfaisante sorcière !"

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Apr 10, 2024 34:14


durée : 00:34:14 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Théoricien de la littérature et écrivain, Roland Barthes commente des extraits de "La Sorcière" (1862), de Jules Michelet, lus par le comédien Alain Cuny. Troisième et dernière partie de l'émission "La liberté coupable", diffusée sur France Culture en février 1964. - invités : Roland Barthes Ecrivain et critique littéraire français

Les Nuits de France Culture
"La Sorcière" de Jules Michelet 2/3 : La sorcière consolatrice

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Apr 9, 2024 34:36


durée : 00:34:36 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Publié en 1862, "La sorcière" de Jules Michelet réinvente le récit historique autour de cette figure emblématique. Dans cette deuxième partie de "La liberté coupable" diffusé en 1964, Roland Barthes commente le passage de la figure de la femme pauvre guérisseuse à celle de sorcière puissante. - invités : Roland Barthes Ecrivain et critique littéraire français; Alain Cuny Acteur français

Les Nuits de France Culture
"La Sorcière" de Jules Michelet 1/3 : Misère de la femme au Moyen-Âge

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Apr 8, 2024 8:55


durée : 00:08:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Le 8 février 1964, Roland Barthes, dans "La liberté coupable", présente l'essai de l'historien Jules Michelet, "La sorcière". Publié en 1862, l'ouvrage donne à lire une réinvention du récit historique autour de cette figure emblématique qu'est la sorcière. - invités : Roland Barthes Ecrivain et critique littéraire français; Alain Cuny Acteur français

Les Nuits de France Culture
Jules Michelet, fils du peuple et ouvrier de l'histoire

Les Nuits de France Culture

Play Episode Listen Later Feb 10, 2024 215:00


durée : 03:35:00 - Les Nuits de France Culture - par : Philippe Garbit - Pascale Werner et ses invités interrogent la vie et l'œuvre de l'historien français Jules Michelet (1798-1874), dans un numéro de "Hôtel des grands hommes" diffusé en 1998 sur France Culture. - invités : Daniel Bensaïd; Jeanne Favret-Saada; Blandine Kriegel Philosophe, professeure des Universités; Paul Viallaneix Universitaire, docteur ès Lettres; Olivier Remaud Philosophe et directeur d'études à l'École des hautes études en sciences sociales (EHESS); Jacques Le Goff Historien médiéviste, producteur à France Culture