POPULARITY
Categories
Appels aux dons frauduleux : quand la compassion devient une arme pour les arnaqueurs by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:14:31 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Avec "Rouge signal", Laurie Agusti signe une bande dessinée envoûtante pour avertir, prévenir et tenter, par la beauté et l'intelligence, d'éteindre l'incendie. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Marie Labory Journaliste, productrice des "Midis de Culture" sur France Culture; Catherine Robin Grand reporter et critique de BD à Elle; Lucie Servin Journaliste, spécialiste de littérature et de bande dessinée
Une Karen vole une balle à un garçon après un coup de circuit à Philadelphie! Un vol qui provoque l’indignation en Californie. C’est dangereux de jouer dans le sable… As-tu vu ça? avec Alexandre Dubé. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Conflits à la Banque de Maurice : plusieurs observateurs estiment qu'il devient urgent de restaurer la confiance by TOPFM MAURITIUS
Annie Brocoli crée le buzz sur les réseaux.. Les 18-34 sont charmés. Les inscriptions sont en hausse en éducation. Poutine menace de cibler toute force occidentale déployée en Ukraine. Trump renomme le département de la Défense. Dur moment pour RFK Jr. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont et avec Annie Brocoli, chanteuse et animatrice. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Cette semaine aux Anti-Pods de la Lutte, Kevin et Pat reviennent sur la victoire de Sami Zayn sur Solo Sikoa pour remporter le titre des États-Unis. Aussi, les deux animateurs reviennent sur Clash à Paris, parlent du potentiel retour d’AJ Lee et bien plus, tout ça dans un autre épisode à ne pas manquer!Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Quand le yoga devient un droit : l'engagement de l'association NOURHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:31 - Le Mayennais Joël Séché préside le PMU - Après la démission lundi de Richard Viel, c'est le Mayennais Joël Séché qui prend les rênes de la présidence de PMU. Une mission intérimaire alors que la filière hippique doit se réformer grâce à l'élaboration d'un "Pacte PMU 2030". Explications Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Accusée de pratiquer un dumping fiscal pour attirer les grandes fortunes, l'Italie séduit chaque année davantage de millionnaires européens. Une stratégie assumée par Rome, mais qui alimente les tensions au sein de l'Union européenne. L'Italie propose depuis plusieurs années un dispositif très avantageux qui séduit massivement : les nouveaux résidents peuvent s'acquitter d'un impôt forfaitaire annuel de 200 000 euros sur leurs revenus étrangers, et ce pendant quinze ans, sans taxation des héritages ni donations sur cette période. Selon le cabinet Henley and Partners, 3600 nouveaux millionnaires devraient s'y installer en 2024, faisant de l'Italie la troisième destination mondiale des grandes fortunes, derrière les Émirats arabes unis et les États-Unis. Milan, le nouveau Londres des années 1990 La capitale économique italienne coche toutes les cases : excellente connectivité aérienne, dynamisme culturel et financier, marché immobilier haut de gamme. Plusieurs personnalités y ont déjà élu domicile, comme Frédéric Arnault (le fils du patron de LVMH), le vice-président de Goldman Sachs ou le propriétaire du club anglais d'Aston Villa. La suppression au Royaume-Uni du statut fiscal protecteur pour les non-domiciliés a accéléré cette migration. Milan attire désormais banquiers, chefs d'entreprise et investisseurs, rappelant l'effervescence londonienne des années 1990. Une stratégie assumée, mais risquée Pour Rome, mieux vaut percevoir un impôt réduit que rien du tout. Mais cette politique a des effets secondaires, comme la flambée des prix immobiliers à Milan et la dépendance accrue aux capitaux volatils des ultra-riches. Côté français, François Bayrou s'inquiète. Ces départs potentiels de contribuables aisés signifient autant d'investissements et d'impôts en moins pour l'Hexagone. Plus largement, cette « dolce vita fiscale » risque d'alimenter une compétition entre États européens, chacun cherchant à retenir ses talents et ses fortunes.
Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.
Chaque 30 août, la Journée internationale des personnes disparues permet de sensibiliser à la tragédie que vivent les proches de ceux qui restent introuvables, tout en rendant hommage à leur mémoire et en mettant en lumière la souffrance des familles. Elle rappelle également l'importance de prévenir et de résoudre les cas de disparition. Si certains disparus sont un jour retrouvés par leur famille, d'autres restent introuvables malgré les efforts déployés. C'est le cas du jeune kitesurfeur mauricien disparu en mer le 6 juillet dernier. Son père, Nawaz Narod, confie à Vanessa Mathews Saramandif : « C'est le Créateur qui en a décidé ainsi. Je le retrouverai certainement dans l'au-delà », témoigne-t-il avec émotion. D'un point de vue légal, si une personne portée disparue n'est pas retrouvée après cinq ans, une demande peut être faite auprès de la Cour suprême pour la déclarer légalement décédée. Dans le cas contraire, si aucune information n'est signalée, les recherches se poursuivent, précise le chef inspecteur Shiva Coothen.
Pour commémorer les 110 ans de la Grande Guerre cette année, 20 minutes pour comprendre lance une nouvelle série : "14/18, D'un monde à l'autre". Plusieurs fois par mois, nous y couvrirons en temps réel les grands évènements de la Première Guerre mondiale.En décembre 1914, les troupes britanniques continuent leur avancée vers le Nord en Mésopotamie, tandis que sur les mers, la Royal Navy achève le blocus des côtes ottomanes. Enfin, l'Egypte, pivot géopolitique de la région, est placé sous protectorat britannique.Suivez le podcast ! Il est désormais sur X/Twitter : @20MPC_podcast & LinkedIn ! Générique : Léopold Corbion (15 Years of Reflection)Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tu viens de passer manager et tu ne sais pas par où commencer ? Tu n'es pas seul·e.J'ai été à ta place, et depuis, j'ai accompagné plus de 4000 managers dans leur prise de poste avec Teambakery. Alors dans cette vidéo, tu découvriras :
durée : 00:37:24 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - C'est une fake news d'une ampleur considérable. On parle de milliards de vues. Elle a refait surface avec une force incroyable cet été. L'infox sur Brigitte Macron est redoutable, planétaire. Est-ce que c'est trop tard pour l'arrêter un jour ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:37:24 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - C'est une fake news d'une ampleur considérable. On parle de milliards de vues. Elle a refait surface avec une force incroyable cet été. l'infox sur Brigitte Macron est redoutable, planétaire. Est-ce que c'est trop tard pour l'arrêter un jour ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
-40 % jusqu'au jeudi 28 août sur Multipassions Prioritize : Le programme qui t'aide à choisir et concrétiser le bon projet en 30 jours sans renoncer à toutes tes autres idées - Dans Multipassions Prioritize, on ne te niche pas, on clarifie d'abord ton cap, ton message, ta posture, puis on pose un plan d'expression 30 jours que tu peux réellement suivre, petit groupe max 40, replays si tu n'es pas dispo, réponses personnalisées du lundi au vendredi, accès immédiat dès l'inscription.C'est pour toi si tu es salariée et tu veux un point de départ sans tout plaquer, déjà entrepreneure et tu veux simplifier au lieu d'en rajouter, en transition et tu veux un cap doux mais net.dernieres places dispo ici , on commence le 1er septembre : https://multipassionsprioritize.solenefeig.com/multipassionsprioritize-offre-newsletterHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À travers les films, les musiques ou les photographies, les favelas sont un symbole du Brésil. Ces quartiers pauvres et très densément peuplés sont aussi devenus des attractions touristiques. En 2023, les favelas de Rocinha et Vidigal étaient même plus visitées que le Pain de sucre et le Corcovado. En grande majorité, les touristes sont étrangers. Reportage dans la plus grande favela du Brésil, Rocinha, à Rio de Janeiro, où vivent près de 100 000 personnes. De notre correspondante à Rio de Janeiro, Le tour de la favela de Rocinha commence au sommet, après avoir grimpé la rue principale accrochée à un chauffeur de moto taxi. La douzaine de touristes européens admire la vue de Rio, sa baie, ses montagnes et ses contrastes sociaux. Au loin, la favela de Dona Marta, où Michael Jackson a tourné un clip, et à nos pieds, le très sélect Jockey Club. Nathalie, touriste venue de Pologne, tenait à visiter une favela au Brésil : « On voulait voir la réalité de la ville. Pas seulement passer nos vacances sur les plages de Copacabana ou Ipanema, mais aussi découvrir la vraie vie. Et on était assez curieux de la violence. Mais le fait d'avoir des guides locaux fait toute la différence. » Elle a choisi l'agence Trip in Rio. À sa tête, Milena Fernandes, qui a grandi à Rocinha. Plutôt que des photos « instagrammables », elle veut privilégier l'expérience de ses touristes. « J'aimerais que, dans leur avion de retour, les touristes se souviennent de cette jeune qui a discuté avec eux et qui leur a fait voir un autre côté de la ville de Rio. Parce que tous les symboles de Rio, comme la samba, ça a commencé ici. Donc, la meilleure façon de visiter la ville, c'est en immersion dans une favela », affirme Milena Fernandes. « Notre but, c'est de montrer la culture d'ici » La croissance du tourisme dans les favelas créé des emplois locaux. Une application a été mise en place pour tenter d'encadrer et mesurer l'ampleur du phénomène. Partenaire de Milena, Taina de Sousa parle de tourisme « conscient » : « Notre but, c'est de montrer la culture d'ici, qu'il existe des projets sociaux dans la favela et que c'est quelque chose qui change vraiment la vie des gens. On va aller voir une démonstration de capoeira. Les élèves de cette école participent à des tournois à l'étranger. » On emprunte un escalier étroit pour arriver sur cette terrasse où les groupes de touristes se succèdent. Un jeune homme prend la parole pour remercier l'assemblée et faire un appel aux dons. Beaucoup de jeunes des favelas voient désormais l'apprentissage de l'anglais comme une priorité. Rafael Santana est venu d'une favela du nord de Rio pour guider ce tour, et donner une vision alternative à celle des médias : « J'apprécie cette opportunité de pouvoir raconter comment c'est de vivre dans une favela. Comment c'est de grandir, quelles sont les difficultés, mais aussi les avantages. Parce qu'en grandissant dans une favela, on apprend très jeune à s'adapter à certains types de situations qui nous font devenir adulte un peu plus vite. » Ce type de visites se concentre dans la zone sud, où se trouvent les principales attractions touristiques. Mais Rafael espère un jour attirer des touristes dans les quartiers au nord de la ville. À lire aussiBrésil, deux ans après les émeutes de 2023 : «Une blessure ouverte qui prendra du temps à cicatriser»
EXCLU PODCAST – Aujourd'hui, autour d'Alain Marschall : Barbara Lefebvre, Jérôme Marty et Emmanuel de Villiers.
À travers les films, les musiques ou les photographies, les favelas sont un symbole du Brésil. Ces quartiers pauvres et très densément peuplés sont aussi devenus des attractions touristiques. En 2023, les favelas de Rocinha et Vidigal étaient même plus visitées que le Pain de sucre et le Corcovado. En grande majorité, les touristes sont étrangers. Reportage dans la plus grande favela du Brésil, Rocinha, à Rio de Janeiro, où vivent près de 100 000 personnes. De notre correspondante à Rio de Janeiro, Le tour de la favela de Rocinha commence au sommet, après avoir grimpé la rue principale accrochée à un chauffeur de moto taxi. La douzaine de touristes européens admire la vue de Rio, sa baie, ses montagnes et ses contrastes sociaux. Au loin, la favela de Dona Marta, où Michael Jackson a tourné un clip, et à nos pieds, le très sélect Jockey Club. Nathalie, touriste venue de Pologne, tenait à visiter une favela au Brésil : « On voulait voir la réalité de la ville. Pas seulement passer nos vacances sur les plages de Copacabana ou Ipanema, mais aussi découvrir la vraie vie. Et on était assez curieux de la violence. Mais le fait d'avoir des guides locaux fait toute la différence. » Elle a choisi l'agence Trip in Rio. À sa tête, Milena Fernandes, qui a grandi à Rocinha. Plutôt que des photos « instagrammables », elle veut privilégier l'expérience de ses touristes. « J'aimerais que, dans leur avion de retour, les touristes se souviennent de cette jeune qui a discuté avec eux et qui leur a fait voir un autre côté de la ville de Rio. Parce que tous les symboles de Rio, comme la samba, ça a commencé ici. Donc, la meilleure façon de visiter la ville, c'est en immersion dans une favela », affirme Milena Fernandes. « Notre but, c'est de montrer la culture d'ici » La croissance du tourisme dans les favelas créé des emplois locaux. Une application a été mise en place pour tenter d'encadrer et mesurer l'ampleur du phénomène. Partenaire de Milena, Taina de Sousa parle de tourisme « conscient » : « Notre but, c'est de montrer la culture d'ici, qu'il existe des projets sociaux dans la favela et que c'est quelque chose qui change vraiment la vie des gens. On va aller voir une démonstration de capoeira. Les élèves de cette école participent à des tournois à l'étranger. » On emprunte un escalier étroit pour arriver sur cette terrasse où les groupes de touristes se succèdent. Un jeune homme prend la parole pour remercier l'assemblée et faire un appel aux dons. Beaucoup de jeunes des favelas voient désormais l'apprentissage de l'anglais comme une priorité. Rafael Santana est venu d'une favela du nord de Rio pour guider ce tour, et donner une vision alternative à celle des médias : « J'apprécie cette opportunité de pouvoir raconter comment c'est de vivre dans une favela. Comment c'est de grandir, quelles sont les difficultés, mais aussi les avantages. Parce qu'en grandissant dans une favela, on apprend très jeune à s'adapter à certains types de situations qui nous font devenir adulte un peu plus vite. » Ce type de visites se concentre dans la zone sud, où se trouvent les principales attractions touristiques. Mais Rafael espère un jour attirer des touristes dans les quartiers au nord de la ville. À lire aussiBrésil, deux ans après les émeutes de 2023 : «Une blessure ouverte qui prendra du temps à cicatriser»
Commentaire de L'Évangile du jour Matthieu 23, 13-22 En ce temps-là, Jésus disait : « Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous fermez à clé le royaume des Cieux devant les hommes ; vous-mêmes, en effet, n'y entrez pas, et vous ne laissez pas entrer ceux qui veulent entrer ! Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, parce que vous parcourez la mer et la terre pour faire un seul converti, et quand c'est arrivé, vous faites de lui un homme voué à la géhenne, deux fois pire que vous ! Malheureux êtes-vous, guides aveugles, vous qui dites : “Si l'on fait un serment par le Sanctuaire, il est nul ; mais si l'on fait un serment par l'or du Sanctuaire, on doit s'en acquitter.” Insensés et aveugles ! Qu'est-ce qui est le plus important : l'or ? ou bien le Sanctuaire qui consacre cet or ? Vous dites encore : “Si l'on fait un serment par l'autel, il est nul ; mais si l'on fait un serment par l'offrande posée sur l'autel, on doit s'en acquitter.” Aveugles ! Qu'est-ce qui est le plus important : l'offrande ? ou bien l'autel qui consacre cette offrande ? Celui donc qui fait un serment par l'autel fait un serment par l'autel et par tout ce qui est posé dessus ; celui qui fait un serment par le Sanctuaire fait un serment par le Sanctuaire et par Celui qui l'habite ; et celui qui fait un serment par le ciel fait un serment par le trône de Dieu et par Celui qui siège sur ce trône. » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Jean Pormanove, alias Raphaël Graven, est mort en direct sur Kick après des mois de violences filmées, encouragées par des spectateurs et tolérées par la plateforme. Une tragédie qui questionne notre société.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Jackson Hole, c'était censé être un symposium sérieux de banquiers centraux… et c'est devenu un show à la Las Vegas avec Jerome Powell en vedette principale. Les marchés attendaient son discours comme des fans de Taylor Swift attendent le rappel : fébriles, surexcités, et prêts à s'enflammer pour trois virgules de travers. Powell a botté en touche, les marchés ont repris leur dose d'espoir de baisse des taux, et nous voilà repartis dans le grand cirque financier. Mais derrière le spectacle, les problèmes restent : inflation, droits de douane, Trump qui met la pression, et des marchés accros à la liquidité. Dans ce Swiss Bliss du 23 août 2025, je reviens sur : Le grand théâtre de Jackson Hole Les réactions absurdes des marchés Les vedettes de la semaine en Suisse (Swatch, Alcon, Geberit, Partners Group…)
Les départs clandestins de pirogues depuis les côtes guinéennes vers l'archipel espagnol des Canaries se sont multipliés, en conséquence de l'accord migratoire conclu entre la Mauritanie et l'Espagne l'an dernier. Pourtant, la traversée depuis la Guinée peut durer une dizaine de jours et est extrêmement dangereuse. En 2024, l'ONG espagnole Caminando Fronteras dénombre 10 457 morts dans l'Atlantique. Entretien avec Elhadj Mohamed Diallo, ancien exilé, qui dirige désormais l'Organisation guinéenne de lutte contre la migration irrégulière. RFI : La Guinée est devenue une alternative pour les candidats à la migration clandestine, notamment depuis la ville côtière de Kamsar. Pourquoi ce phénomène, selon vous, a-t-il pris de l'ampleur dans la ville ? Elhadj Mohamed Diallo : D'abord, la ville de Kamsar est une ville portuaire, où la pêche est beaucoup développée. La plupart des jeunes maîtrisent parfaitement l'océan. Ce sont des pêcheurs qui maîtrisent la conduite des pirogues. La situation aux îles Canaries est telle que des journalistes espagnols sont venus enquêter jusqu'en Guinée pour identifier les familles des disparus, racontez-nous. Lorsque des Guinéens sont arrivés dans les îles des Canaries – le troisième convoi au départ de Kamsar -, il y a eu un accident. Sept personnes sont décédées, dont deux enfants. Donc les journalistes se sont intéressés à la question. Ils nous ont contactés et ils sont venus sur le terrain pour identifier trois familles parmi les sept et après, ils sont venus à Conakry. On les a mis en contact avec des familles de disparus, et eux nous ont mis en relation avec des organisations qui travaillent sur les questions d'identification dans les autres pays. Il y a plusieurs familles qui sont identifiées, on est en train de mettre en place le collectif des familles de disparus. Et une fois que vous les identifiez, qu'est-ce que vous faites ? Parfois, un jeune décède dans un autre pays, mais la famille n'est pas identifiée. Donc, ils nous contactent. On accompagne la famille pour qu'elle puisse rapatrier le corps au pays et inhumer le jeune. On les accompagne aussi dans leur deuil et dans les démarches administratives. Lorsqu'un corps est identifié, il y a un tas de dossiers qu'il faut aller retirer à la justice ou à la mairie. Parfois, les familles ne sont pas informées. Nous accompagnons les familles dans toutes ces démarches, s'ils décident de rapatrier le corps ou pour qu'ils aient les documents nécessaires pour engager des procédures auprès des tribunaux. À lire aussiGuinée: une nouvelle route dangereuse pour la migration vers les Canaries au départ de Kamsar Alors concrètement, comment ça se passe ? Ce sont des passeurs qui sont, disons, des « professionnels » et qui ouvrent un nouveau point de passage ? Ou est-ce que ce sont des pêcheurs ou des personnes sur place, à Kamsar, qui se lancent dans le marché de la migration par opportunisme ? Le premier convoi, c'était des pêcheurs. Comme le Sénégal est un pays frontalier, on se dit que s'il y a des voies de passage depuis le Sénégal, nous aussi Guinéens pouvons tenter. Donc c'est comme ça qu'ils ont commencé. Un groupe d'individus étaient là en train de travailler, ils se sont réunis, ils ont formé leur convoi et ils sont partis. Ca a même échappé aux autorités. Pour le moment, on n'a pas pu avoir des informations sur les passeurs, on est en train de faire des recherches. Mais bon, vous savez, c'est une question très compliquée de former un groupe de réseaux. Ça peut être des compatriotes qui étaient déjà en Mauritanie ou au Sénégal et qui reviennent en Guinée, ou ça peut être aussi des gens issus du réseau marocain qui se ramifie jusqu'en Guinée. Ce sont des réseaux qui sont vraiment professionnels. On doit planifier le terrain, il faut identifier qui doit être impliqué, qui ne doit pas être impliqué aussi. Ça va prendre du temps. Mais quand même, il y a eu pour le moment trois ou quatre convois qui sont partis et le mois dernier, les autorités ont arrêté pas mal de groupes de personnes qui étaient prêtes à partir. Deux convois ont été arrêtés au mois de juillet. Un autre convoi a été arrêté en Mauritanie où il y avait des Guinéens, des Sénégalais et d'autres nationalités. Vous voulez dire qu'en fonction des politiques migratoires des pays pourtant voisins, le point de départ peut changer ? Pas forcément les politiques migratoires en soi. Ça peut être peut-être la façon dont on est en train de réprimer les migrants, ou bien comment on est en train de durcir un peu les politiques migratoires. C'est une chaîne, en fait. Ça a commencé par le Maroc, puis le Maroc a « fermé » sa voie d'accès. Puis la Mauritanie, le Sénégal où ça devient de plus en plus difficile. Finalement, les points de départ s'éloignent de plus en plus. Et certainement demain, quand on va « fermer » la Guinée, peut-être que c'est Sierra Leone, le Liberia ou la Côte d'Ivoire qui seront concernés. En ce qui concerne le réseau des passeurs, ce n'est pas seulement la Guinée qui doit y travailler. Il faut que les pays collaborent, que ça soit une coordination entre les États parce que ces passeurs sont des criminels. Ça, il faut le dire. Quand vous voyez ce qui se passe aujourd'hui en Tunisie, vous comprendrez pourquoi les pays doivent coopérer pour pouvoir travailler sur cette question. Est-ce que vous avez pu dresser un profil des personnes qui prennent la mer ? Ce sont des familles avec des enfants, parce qu'ils sont convaincus qu'avec des enfants, on vous donne des papiers en règle dès votre arrivé. Donc, ils prennent toute la famille pour partir. En majorité, c'est des jeunes de 17 à 35 ans. Mais il y a également des vieux, des femmes, des enfants, des intellectuels, des étudiants, des non-étudiants... C'est les mêmes personnes, des fois, qui avaient envie de partir mais qui n'en avaient pas la possibilité. Avec 15 millions de francs guinéens [1 500 €, NDLR], ils vont migrer depuis Kamsar. À lire aussiMauritanie: «Notre politique vis-à-vis de la migration irrégulière est restée la même» Alors même que la communication habituelle des autorités et la sensibilisation communautaire martèlent que le risque de partir clandestinement, c'est très dangereux, que la Guinée ou même l'Afrique en général, a besoin de bras pour se construire et que les politiques migratoires, vous l'avez dit, sont de plus en plus dures. Pourquoi, selon vous, les jeunes continuent de tenter « l'aventure », comme on l'appelle en Afrique de l'Ouest ? On est tous d'accord que d'abord, la migration, c'est un fait naturel. Deuxièmement, il y a une communication sur les réseaux sociaux qui dit que l'Allemagne ou la France ont besoin de plus de main-d'œuvre et les jeunes ont besoin de travailler. Mais quand vous prenez le cas spécifique de la Guinée, la majeure partie des jeunes Guinéens ont perdu confiance non seulement en l'intellectuel guinéen, mais aussi en la République de Guinée. Même s'ils avaient des milliards en poche, ils n'auraient pas envie d'investir dans ce pays parce qu'il y a une totale perte de confiance. Même si ces jeunes sont des intellectuels, même si vous leur trouvez un travail, ils vont chercher un moyen de transport pour quitter le pays parce qu'ils n'ont plus confiance en la République. À une époque, on avait des tee-shirts qui disaient La Guinée est mon avenir. Il y a un jeune qui m'a interpellé un jour, en me disant : « Tu penses qu'il y a une possibilité de réussir dans ce pays où un Premier ministre te dit qu'une région n'a pas le courant parce qu'un Chinois est mort ? » [en 2018, l'ex-Premier ministre Kassory Fofana avait justifié l'absence d'électricité à Kankan par le décès prématuré de l'investisseur chinois choisi pour le projet, NDLR] Vous voyez la mentalité ? Au début de ce mois, 49 Sénégalais ont quitté la Mauritanie en pirogue, se sont perdus en mer et ont finalement pu atteindre les îles Canaries en s'accrochant à une barge remorquée par un navire européen. Comment vous expliquez une telle détermination chez les jeunes Africains, avec pourtant un énorme risque de se faire arrêter ou pire, de mourir, tout simplement ? Vous interrogez dix jeunes aujourd'hui sur pourquoi ils sont prêts à prendre ces risques-là. Ils vous diront que dans l'état actuel des choses, ils sont comme déjà morts. Donc pour eux, il vaut mieux aller mourir ailleurs et peut-être réussir, que de rester ici et mourir. C'est comme un jeune avec ses parents, s'il n'a plus confiance, il va quitter la maison. Donc quand on n'a plus confiance en notre nation, on va forcément la quitter. C'est ce qui arrive en l'Afrique de l'Ouest, surtout au Sénégal et en Guinée. Quand dans un pays, même manger devient un luxe, ça devient un problème. Il y a donc la communication sur les réseaux sociaux et aussi cette question politique qui motive de nombreux jeunes à partir. Et on comprend parfois leur motivation, ils veulent tout simplement vivre en paix. À lire aussiLa France peut-elle se passer d'immigration ?
Dans cette Minute Marine, je reviens sur une discussion un peu piquante avec un collègue de coworking. Pour lui, les freelances ne sont pas des entrepreneurs. Pourquoi ? Parce qu'ils ne vendent pas de produit, qu'ils travaillent seuls et que leur but, c'est de se rémunérer, point. J'ai eu envie de creuser ça. Et je me suis souvenue d'un moment précis : celui où j'ai arrêté de fixer mes tarifs uniquement en fonction de mon temps. Ce moment où j'ai commencé à réfléchir en termes de marge, d'investissement, de développement. Est-ce que c'est ça, le vrai tournant ? Selon toi, qu'est-ce qui fait qu'on est des entrepreneurs ou non ? Tu te considères comme un·e entrepreneur·e ? (Pour me répondre, envoie-moi un mp sur Linkedin
Ton business devait être ton projet de liberté… et pourtant, il ressemble parfois à ton nouveau boss ?Dans cet épisode, je t'explique pourquoi tant d'entrepreneures finissent par subir leur entreprise, comment repérer les signaux d'alerte, et surtout, comment reprendre ta posture de CEO : poser des limites, protéger ton temps et reconstruire un business qui sert ta vie – pas l'inverse.
Invitée : Nageate Belahcen, présidente de la FCPE du Val-de-Marne Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Piratages, désinformation, espionnage numérique… La guerre moderne ne se mène plus seulement sur les terrains militaires. Invisible mais redoutable, la cyberguerre fragilise les Etats et brouille les repères entre paix et conflit. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le jour de son mariage, il est allé courir. Le jour de la naissance de ses enfants, aussi.Pas par égoïsme. Ni pour battre un record.Mais parce qu'il en avait besoin. Comme on respire. Comme on survit.Dans cet épisode “remuant”, Éric Lacroix ne parle pas seulement de sport. Il parle de dépendance, de fuite en avant, de cette ligne invisible qui sépare la passion de l'addiction.Ancien athlète de haut niveau, chercheur, coach mental, il met des mots puissants sur un mal silencieux : celui qui pousse certains à performer… pour ne pas sombrer.Mais au fil des années, au fil des recherches et des remises en question, Éric a transformé cette fuite en quête. Il a compris, décortiqué, puis enseigné. Il a changé sa vie. Et aide désormais les autres à faire de même.Un témoignage brut et sensible.Un miroir pour tous ceux qui ont déjà couru pour oublier. Ou pour exister.
No. 62 – Le cadeau de Brave ou quand donner devient recevoir / Brave en solo avec Marie-Josée Gagnon Dans cet épisode Brave, Marie-Josée Gagnon nous invite à plonger au cœur d'un paradoxe : offrir, c'est aussi recevoir. En solo, elle partage comment la création du balado québécois Brave, conçu pour donner la parole à des femmes inspirantes et valoriser l'audace et la vulnérabilité, est devenue une source inépuisable de cadeaux et de transformation personnelle. D'un projet d'empowerment collectif à une aventure profondément humaine, Marie-Josée révèle les surprises inattendues que l'on reçoit lorsqu'on donne avec authenticité. Brave est un podcast francophone où des femmes leaders, entrepreneures, artistes et militantes racontent leur parcours avec authenticité. Cette fois, Marie-Josée Gagnon dévoile : • La genèse du balado Brave et son intention première • Les témoignages bouleversants qui confirment l'impact du projet sur la carrière de femmes et leur pouvoir d'agir • Les quatre cadeaux inattendus reçus : l'élan collectif, l'écoute profonde, la joie de voir sa création résonner et la proximité avec la communauté • La magie du don désintéressé : pourquoi donner nous transforme • Trois invitations concrètes pour cultiver cette magie dans nos vies : faire de la place, offrir avec le cœur, écouter pour de vrai Leadership au féminin, parcours de femmes, authenticité, sororité, résilience et inspiration féminine : chaque épisode nourrit le courage de choisir et d'avancer différemment. Abonnez-vous pour découvrir des récits qui inspirent à être, à choisir, à avancer. Si vous aimez nos balados, merci de vous abonner et de nous donner plein d'étoiles ! Pour découvrir Brave et vous abonner à notre infolettre : https://braveinspiration.com/ Pour en savoir plus sur Marie-Josée Gagnon : linkedin.com/in/mariejoseegagnon Suivez-nous sur les médias sociaux : LinkedIn : https://www.linkedin.com/company/11486867 Facebook : https://www.facebook.com/ Instagram : https://www.instagram.com/brave.inspiration/ #Courage #Brave #Femmes #Inspiration #LeadershipFéminin
Retrouvez la boutique LEGEND ➡️: https://shop.legend-group.fr/Merci à Ninon d'être venue témoigner sur LEGEND Story. Elle est devenue aveugle à 17 ans après un grave accident de cheval. Elle a dû réapprendre à vivre entièrement avec la cécité, tout en continuant ses études. Elle raconte aujourd'hui ses difficultés, son parcours et les défis quotidiens qu'elle surmonte.Retrouvez Ninon sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/ninon_forget_rider/?hl=frRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ Pour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWVx Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
PODCASTChaque jour, en moins de 10 minutes, un résumé de l'actualité du jour. Rapide, facile, accessible.
durée : 00:02:07 - Le grand format - Alors que la saison des feux de forêts est déjà "particulièrement intense", selon le ministère de l'Intérieur, les Bouches-du-Rhône sont particulièrement touchées. À Martigues, les habitants font des aménagements pour limiter les risques de dégâts. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Et si l'intelligence artificielle, en apprenant à partir de contenus générés par d'autres IA, finissait par tourner en rond ? Ce scénario inquiétant n'est plus de la science-fiction. À mesure que l'IA se nourrit de ses propres productions, elle risque de perdre en qualité, en originalité, et même en cohérence. C'est ce qu'on appelle une boucle de rétroaction négative — ou l'autoréférence qui mène à la folie algorithmique.Dans cet édito, on aborde un phénomène encore peu visible, mais potentiellement dévastateur : la régression modale. Lorsque les contenus d'entraînement cessent d'être humains, c'est toute l'innovation qui vacille. On revient sur les solutions envisagées pour préserver une “base de données” humaine dans l'univers numérique : filigranes numériques, métadonnées, corpus multiculturels et multilingues, IA anti-boucle... sans oublier la nécessité absolue de conserver l'humain dans la boucle.-----------
L'intellectuelle argentine vient toujours accompagnée de son chien, et cette fois-là, le chiwawa lui a clairement volé la vedette ! Fous rires, réponses inattendues, nouvelles rencontres, cet été redécouvrez les meilleurs moments de cette saison 2024-2025 ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:22 - Avoir raison avec... - par : Marie-Lys de Saint Salvy - En 1857, le géographe Élisée Reclus revient en France désargenté. Jusqu'en 1871, il multiplie les voyages, poursuit ses engagements militants et publie ses premiers écrits scientifiques avec pour objectif de rendre la géographie populaire. Pourquoi un peuple devrait-il connaître la géographie ? - réalisation : Chloé Leblond - invités : Béatrice Giblin Géographe, professeure émérite à l'Institut Français de Géopolitique (Université Paris 8), et directrice de la revue Hérodote
« La graine de moutarde devient un arbre, si bien que les oiseaux du ciel font leurs nids dans ses branches » (Mt 13, 31-35)Méditation par la Pasteure Héléna VicarioChant Final : "Je me confie en toi" par l'Ecole PierreRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participer à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus de vie spirituelle ci-dessous :Prière du matin : https://audmns.com/DwJysxvHalte spirituelle : https://audmns.com/pMJdJHhB. A. -BA du christianisme : https://audmns.com/oiwPyKoLe Saint du Jour : https://audmns.com/yFRfglMEnfin une Bonne Nouvelle : https://audmns.com/afqCkPVConnaître le judaïsme : https://audmns.com/VTjtdyaEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:29:38 - Solaé, le rendez-vous protestant - par : Jean-Luc Gadreau - 500 ans d'anabaptisme - réalisation : Thomas Jost
Analyse, reportage, décorticage : les GG vous expliquent le gros dossier de la semaine !
Nos appartenances multiples forgent nos combats et les questions qui nous façonnent. Qu'est ce qu'être « arabe » en France en particulier quand on grandit à l'intersection de plusieurs oppressions ? Comment se construire dans une société qui nous affuble du stigmate de la dangerosité ? Doit-on se camoufler et présenter des signaux de respectabilité ou au contraire assumer sa complexité voire même choisir la non-mixité ?Pour en parler nous avons convié le journaliste Anas Daif, auteur de l'ouvrage “Et un jour je suis devenu arabe” paru en 2024 aux éditions Tumulte.Émission produite par Rokhaya Diallo et Grace Ly. kiffetarace@kiffetarace.comSon & réalisation : Monsieur Yao pour L'Appart StudioGraphisme : Gwenn GLMDirection artistique : @argotmagazineHabillage sonore : Baptiste MayorazKiffe ta race est disponible gratuitement sur Apple Podcasts, Spotify, Deezer, Amazon Music… Rejoignez nos communautés #Kiffetarace sur Youtube, Instagram, X, Facebook en vous abonnant à nos comptes. Donnez-nous de la force en semant le maximum d'étoiles et de commentaires sur les plateformes d'écoute et la Toile. Likez, partagez, nous sommes à l'écoute. Parlez de nous à vos proches, vos collègues et même vos ennemis ! Le bouche-à-oreille et la solidarité sont nos meilleures armes.Kiffe ta race saute à pieds joints dans les questions raciales en France depuis 2018. Nous tendons notre micro à des penseur.ses, chercheur.ses, artistes, activistes pour mettre l'antiracisme sur le devant de la scène. “Kiffer sa race” est une expression des années 90-2000 qui signifie “passer un bon moment”, nous l'employons ici avec malice et conscience du double sens :) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Nice, l'aéroport de l'enfer ! Un camping rationne des douches des campeurs Tour de France, CMA CGM devient partenaire de Decathlon.
Dans ce nouvel épisode d'Insight, nous recevons Hugo Budillon, cofondateur et COO de l'agence 18h08, spécialiste du marketing d'influence et de la performance. Ensemble, nous explorons la professionnalisation du secteur, entre structuration du marché, montée en puissance de la régulation, et transformation de l'influence en véritable levier business. Faut-il en finir avec les campagnes one-shot pour miser sur l'ambassadorat long terme ? Comment convaincre les marques d'investir dès l'amont, plutôt que de cantonner l'influence à un rôle de “last minute” ? Que valent vraiment les nouveaux outils comme TikTok Shop ? Et que faire des casseroles qui collent encore à l'image du secteur ? Hugo partage sa vision, ses conseils concrets, et les bonnes pratiques à adopter pour faire de l'influence un canal à part entière.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
REDIFF - Le dessinateur allemand Ralf König réinvente Lucky Luke en proposant une version totalement inédite du célèbre cow-boy ! Cet été, retrouvez tous les jours le meilleur de Laurent Gerra en podcast sur RTL.fr, l'application et toutes vos plateformes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez RTL Matin avec Stéphane Carpentier du 16 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:03:45 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - C'est la question que se pose Justin, cinq ans et demi. Et c'est Vincent Crouzet, ancien espion, sous le pseudonyme de Victor, qui lui répond. - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Tous les dimanches à minuit, Daniel Riolo propose une heure de show en direct avec Moundir Zoughari pour les passionnés de poker. Conseils d'un joueur professionnel, actualité, tournois... Votre rendez-vous poker, sur RMC !
Névralgies, mal de dos, maux de tête, rhumatismes ; la douleur peut prendre bien des formes. Première cause de consultation chez le médecin, la douleur concerne, dans sa forme chronique, 12 millions de personnes en France selon l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé). Comment la prendre en charge et que faire lorsque rien ne semble soulager le patient ? Dans quel cas est-il recommandé de prendre un antidouleur et quel sont les risques de dépendance ? Quelles sont les alternatives aux antalgiques ? Dr Lola Ranaivoson, médecin spécialiste de la douleur au Centre d'évaluation et de traitement de la douleur de l'Hôpital Ambroise Paré à Boulogne-Billancourt, en région parisienne Pr Constance Yapo, neurologue neuropédiatre au CHU de Cocody à Abidjan et maître de conférences agrégée à l'UFR sciences médicales d'Abidjan en Côte d'Ivoire. ► En fin d'émission, nous parlons de la santé des enfants avec la 1ʳᵉ édition de la Coupe du monde de simulation pédiatrique qui se tient à Marrakech, au Maroc, du 3 au 6 juillet. Interview du Pr Nadia El Idrissi Slitine, spécialiste en Cardiologie pédiatrique et Néonatologie. Directrice du Centre de Simulation à la Faculté de médecine et de pharmacie de Marrakech et présidente de l'événement Coupe du monde en Simulation pédiatrique, première édition. Programmation musicale : ► Gaz Mawete, Ya Levis – K.O ► Prince – Free.