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Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Le psychanalyste star G. Miller en garde à vue pour viols ! Mobilisation du 2 octobre, gros flop en vue ?
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Un parvis "Nicolas Sarkozy" à Nice : pour ou contre ? Paris : le maire du 18e épinglé pour ses frais mirobolants
Vaste opération policière en cours dans la Belle Province. Une victime de violence conjugale quitte le Canada. Gaza, vers une sortie de crise ? Sondage sur la mairie de Saguenay Grève de Postes Canada perturbera-t-elle les élections municipales? Une fausse actrice créée par l’IA sème la controverse. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ces deux dernières semaines, des employés du Centre jeunesse de Joliette ont été agressés par des jeunes. La CNESST, dépêchée sur place mercredi, exige maintenant plus de personnel auprès des adolescents revenant de fugue, jugés imprévisibles et portés à exploiter la vulnérabilité des travailleurs. Entrevue avec Steve Garceau, représentant national de l’APTS de Lanaudière. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Sébastien Lecornu se fait attendre. Le premier ministre a posé ses valises à Matignon il y a près de trois semaines. Mais toujours pas de gouvernement. C'est la plus longue attente de la Vè République, et de très loin. Plusieurs responsables du bloc central envisagent une nomination du gouvernement d'ici samedi. Un ministère sera particulièrement scruté. Celui de l'intérieur. Il y a à peine un an, Michel Barnier nommait Bruno Retailleau place Beauvau. En quelques mois, la notoriété du sénateur vendéen a explosé. Multipliant les déplacements et les annonces choc, il s'est imposé comme le nouvel homme fort de la droite. Nathalie Schuck, grand reporter politique au Point, publie une biographie de Bruno Retailleau : Le Cardinal (Robert Laffont).Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Un début de semaine timide sur les marchés Les bourses européennes ont progressé très timidement hier.Il faut dire que beaucoup de statistiques économiques sont attendues au cours de la semaine, en particulier sur l'emploi américain.Les investisseurs espèrent y voir des raisons de renforcer leurs anticipations d'une nouvelle baisse des taux de la Réserve Fédérale fin octobre.A la clôture européenne, le S&P 500 et le Nasdaq des valeurs technologiques américaines progressent de 0.43% et 0.76%. Quelles valeurs sont sortie du lot ? Les valeurs du luxe ont malgré tout retenu l'attention.LVMH, Kering et Hermès étaient bien orientée et affichaient des hausses allant de 1.43 à plus de 4.7%.Cet engouement illustre l'attente suscitée par la Fashion Week de Paris qui se tiendra jusqu'au 7 octobre prochain.Plusieurs directeurs artistiques y présenteront leur toute première collection pour de nombreuses maisons de haute-couture.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:28 - Le Reportage de la rédaction - Ces canulars téléphoniques anonymes et malveillants tirent leur nom des 'S.W.A.T.', les unités de police spécialisées souvent mobilisées dans ce genre d'incident. Plusieurs facultés ont été visées à la rentrée. Les auteurs de ces appels sont rarement identifiés et les étudiants sont traumatisés.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : L'Élysée gèle son budget pour la deuxième année consécutive ; Michel Barnier de retour à l'Assemblée 32 ans après.
Une récente méta-analyse menée par l'Université de Singapour soulève une alerte sérieuse : consommer une seule boisson énergisante par mois pourrait déjà accroître le risque de pensées suicidaires ou même de tentatives de suicide.Ce que dit l'étudeLes chercheurs ont examiné 17 études totalisant plus de 1,5 million de participants. Leur but : explorer le lien entre la consommation de café ou de boissons énergisantes et les risques de pensées suicidaires ou de tentatives de suicide. Leur résultat le plus frappant : même une dose minimale — une canette par mois — est associée à une augmentation significative du risque. Plus la consommation augmente, plus le risque semble croître. En parallèle, la consommation de café, lorsqu'elle reste modérée, paraît au contraire associée à une diminution du risque.Pourquoi une telle différence entre café et boissons énergisantes ?Plusieurs explications sont avancées. D'abord, la composition : les boissons énergisantes contiennent non seulement de la caféine, parfois en grandes quantités, mais aussi d'autres stimulants comme la taurine ou le guarana, souvent combinés à du sucre. Ce cocktail peut accentuer anxiété, nervosité ou troubles de l'humeur. Ensuite, l'impact sur le sommeil : même consommées occasionnellement, ces boissons peuvent perturber l'endormissement et la qualité du repos, deux facteurs cruciaux pour la santé mentale. Enfin, le contexte psychosocial joue un rôle : les consommateurs de boissons énergisantes présentent souvent d'autres habitudes de vie qui peuvent renforcer leur vulnérabilité psychologique.Limites et précautionsIl est important de rappeler qu'il s'agit d'études d'observation. Elles montrent une corrélation, mais pas nécessairement une causalité directe. On ne peut pas affirmer que la boisson énergétique provoque les pensées suicidaires, mais l'association statistique est suffisamment forte pour alerter. De plus, les effets varient selon les profils : âge, sexe, état de santé mentale préexistant, rythme de vie. Les jeunes adultes et les hommes semblent particulièrement exposés.Que retenir ?Même un usage rare de boissons énergisantes n'est pas sans conséquences potentielles sur la santé mentale. Il est donc conseillé de surveiller sa consommation, de prêter attention aux effets ressentis sur le sommeil et l'humeur, et d'envisager des alternatives plus sûres pour retrouver de l'énergie, comme l'activité physique, l'hydratation ou un sommeil suffisant.ConclusionL'étude de Singapour invite à la prudence. Une boisson énergisante “occasionnelle” pourrait ne pas être aussi inoffensive qu'on le pense. Face à une problématique aussi sensible que la santé mentale, mieux vaut limiter, voire éviter, ces produits afin de réduire les risques. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:04:28 - Le Reportage de la rédaction - Ces canulars téléphoniques anonymes et malveillants tirent leur nom des 'S.W.A.T.', les unités de police spécialisées souvent mobilisées dans ce genre d'incident. Plusieurs facultés ont été visées à la rentrée. Les auteurs de ces appels sont rarement identifiés et les étudiants sont traumatisés.
Michigan : les policiers sont à la recherche d’autres victimes. Retour en cour du présumé meurtrier de Charlie Kirk. Action Laval a contrevenu à la loi sur les élections. 50 millions de dollars pour la construction d’un nouveau poste d’alimentation. « Une bataille après l’autre» au sommet du box office. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Pour P.P., en ce début d'automne, c'est le temps pour une mise à jour de la situation ! Plusieurs projets sur le feu, de la conception dans les cartons, des projets de vidéos sur le feu, des collaborations dans le monde du jeu de rôle et bien plus encore ! L'automne sera bien occupé, et c'est tant mieux !
Histoire postée sur le subreddit nosleep en Septembre par l'utilisateur Spades_Writes.Voici son histoire : « Imaginez que vous traversez vos trajets quotidiens… jusqu'au jour où le train ne s'arrête plus aux stations habituelles. Vous descendez au hasard sur une voie désertée, sans signalisation. Personne attend. Impossible à localiser sur une carte. Bienvenue à Kisaragi Station. »En 2004, sur le forum japonais 2channel (2ch), une internaute nommée Hasumi partage en temps réel un récit effrayant : son train s'arrête dans une gare inconnue, Kisaragi Station, qui n'existe pas sur les cartes.Elle décrit un lieu désert, bruits de tambours shinto à distance, panne de réseau, apparition inquiétante d'un vieil homme et un périple dans un tunnel sombre jusqu'au silence total. Puis, plus rien : elle disparaît et ses messages s'interrompent.Le récit a immédiatement suscité fascination et inquiétude, évoluant en légende urbaine numérique plébiscitée, discutée sur Twitter, YouTube, blogs et forums.Plusieurs internautes ont même visité la station Saginomiya (proche de Hamamatsu), suspectée d'avoir inspiré la légende. La compagnie de chemin de fer locale a tacitement contribué en créant des événements autour de Kisaragi.Source : https://www.reddit.com/r/Ghoststories/comments/1nbrus3/a_japanese_ghost_story_i_heard_growing_up/Pour m'envoyer vos histoires danslenoirpdcst@gmail.comPour participer à cette émission horrifique, écrivez à Dans Le Noir sur les réseaux sociaux, j'accepte tout le monde !Mon Instagram HorrifiquePATREONLE seul podcast qui fait peur !Armez-vous de votre casque ou de vos écouteurs !Podcast Horreur, Podcast Surnaturel, Podcast Paranormal & Podcast Creepypasta mais surtout un podcast qui fait peur !Bonne semaine horrifique à tous ! Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Chaos à Madagascar : des Mauriciens confinés pendant plusieurs jours retrouvent enfin la possibilité de rentrer au pays by TOPFM MAURITIUS
durée : 00:02:48 - Dvie : Plusieurs vies en une... - Dvie, (prononcer "Des Vies"), de son vrai prénom Marine, est une artiste aux attaches toulousaines qui vit plusieurs vies à la fois : chanteuse, musicienne et comédienne. Dès l'enfance, elle monte sur scène et découvre ce qui deviendra son terrain de jeu favori : l'expression artistique... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Procès Sarkozy, Carla Bruni arrache la bonnette de Mediapart Charles Consigny parle en anglais... une cata ?
C'est l'Express de Madagascar qui nous raconte la journée de jeudi 25 septembre : « De la contestation aux pillages », titre le journal qui précise : « La manifestation anti-délestage a dégénéré dans la capitale, laissant place à des affrontements, des pillages et des incendies. Face au chaos, le préfet d'Analamanga a instauré un couvre-feu de 19h à 5h du matin. » « Antananarivo s'est embrasée hier », poursuit l'Express de Madagascar, qui détaille les moments forts de la journée : « Vers 10h45, les premiers heurts éclatent du côté de Mandrosoa lorsque les forces de l'ordre repoussent les manifestants à coups de gaz lacrymogène. En riposte, des jets de pierre pleuvent ». La journée est très tendue et à la tombée de la nuit, rapporte l'Express de Madagascar, « la situation échappe totalement au contrôle. Les protestations laissent place à une succession de pillages éclairs (…) Les infrastructures ne sont pas épargnées. À Anosibe, le chantier de la future gare du train urbain est incendié, tout comme une banque voisine ». « Sur le terrain, ajoute le journal, l'organisation des forces de sécurité paraît vacillante. Plusieurs arrestations sont néanmoins recensées ». Journée très tendue donc, qui se termine par l'instauration d'un couvre-feu. « L'objectif, précise l'Express de Madagascar, est de limiter les attroupements et de prévenir de nouveaux débordements après la vague de violences et de pillages qui a secoué la ville. » Vengeance post-mortem Dans la presse africaine également ce matin, des commentaires sur la condamnation à cinq ans de prison de l'ancien président français Nicolas Sarkozy. Notamment dans les quotidiens burkinabés, toujours inspirés lorsqu'il s'agit d'interpréter l'actualité internationale. « Entre jubilation, abus de la République des juges et vengeance post-mortem de [Mouammar] Kadhafi » titre Aujourd'hui au Faso qui interroge : « Qu'en pensent les Africains, notamment dans les ex-post-colonies » ? « On évoque mezza-voce, une sorte de vengeance post mortem de Kadhafi, car sous nos cieux, si c'est le même Sarkozy qui était copain-copain avec l'auteur du Livre Vert, qui lui a permis d'implanter sa tente à Paris lors de sa visite le 10 décembre 2007 (…) si c'est ce même [Nicolas] Sarkozy qui a aussi aiguillonné la révolution onusienne et ameuté d'autres pays occidentaux pour chasser Kadhafi, qui a trouvé la mort, alors pour certains Africains, c'est ni plus ni moins qu'un retour de la manivelle outre-tombe, genre malédiction de celui qu'on a tué le 20 octobre 2011 et dont nul ne sait où se trouve exactement la sépulture ». Trahison impardonnable En Guinée, Ledjely ne ménage pas non plus ses critiques à l'égard de l'ancien président français. « Pour les Africains, Nicolas Sarkozy représente la duplicité et la trahison (…) de Conakry à Djibouti, et de Rabat au Cap, tout le monde croit que de l'argent a circulé entre les hommes de Kadhafi et l'équipe de campagne de l'ancien président français (…) l'idée que le séjour XXL de l'ancien guide libyen en France, en 2007, était la contrepartie des transferts de fonds entre Tripoli et Paris est très largement partagée au sein de l'opinion publique africaine. » Et Ledjely aboutit à la même conclusion qu'Aujourd'hui au Faso, le journal guinéen nous dit : « Dès lors, la volte-face de Nicolas Sarkozy qui avait consisté à prendre la tête de la coalition internationale ayant fini par tuer Kadhafi en février 2011, passe pour une trahison impardonnable. Moins que la corruption en tant que telle, c'est cette façon de se retourner de manière aussi inique contre son bienfaiteur d'hier, que les Africains abhorrent chez l'ancien président français. » Conclusion du journal guinéen : « Il ne faut guère s'attendre à ce qu'en Afrique, on s'apitoie sur le sort de l'ancien président. Tout au contraire, ce qui lui arrive aujourd'hui devrait servir de leçon à ceux qui seraient tentés de suivre son exemple. »
C'est l'Express de Madagascar qui nous raconte la journée de jeudi 25 septembre : « De la contestation aux pillages », titre le journal qui précise : « La manifestation anti-délestage a dégénéré dans la capitale, laissant place à des affrontements, des pillages et des incendies. Face au chaos, le préfet d'Analamanga a instauré un couvre-feu de 19h à 5h du matin. » « Antananarivo s'est embrasée hier », poursuit l'Express de Madagascar, qui détaille les moments forts de la journée : « Vers 10h45, les premiers heurts éclatent du côté de Mandrosoa lorsque les forces de l'ordre repoussent les manifestants à coups de gaz lacrymogène. En riposte, des jets de pierre pleuvent ». La journée est très tendue et à la tombée de la nuit, rapporte l'Express de Madagascar, « la situation échappe totalement au contrôle. Les protestations laissent place à une succession de pillages éclairs (…) Les infrastructures ne sont pas épargnées. À Anosibe, le chantier de la future gare du train urbain est incendié, tout comme une banque voisine ». « Sur le terrain, ajoute le journal, l'organisation des forces de sécurité paraît vacillante. Plusieurs arrestations sont néanmoins recensées ». Journée très tendue donc, qui se termine par l'instauration d'un couvre-feu. « L'objectif, précise l'Express de Madagascar, est de limiter les attroupements et de prévenir de nouveaux débordements après la vague de violences et de pillages qui a secoué la ville. » Vengeance post-mortem Dans la presse africaine également ce matin, des commentaires sur la condamnation à cinq ans de prison de l'ancien président français Nicolas Sarkozy. Notamment dans les quotidiens burkinabés, toujours inspirés lorsqu'il s'agit d'interpréter l'actualité internationale. « Entre jubilation, abus de la République des juges et vengeance post-mortem de [Mouammar] Kadhafi » titre Aujourd'hui au Faso qui interroge : « Qu'en pensent les Africains, notamment dans les ex-post-colonies » ? « On évoque mezza-voce, une sorte de vengeance post mortem de Kadhafi, car sous nos cieux, si c'est le même Sarkozy qui était copain-copain avec l'auteur du Livre Vert, qui lui a permis d'implanter sa tente à Paris lors de sa visite le 10 décembre 2007 (…) si c'est ce même [Nicolas] Sarkozy qui a aussi aiguillonné la révolution onusienne et ameuté d'autres pays occidentaux pour chasser Kadhafi, qui a trouvé la mort, alors pour certains Africains, c'est ni plus ni moins qu'un retour de la manivelle outre-tombe, genre malédiction de celui qu'on a tué le 20 octobre 2011 et dont nul ne sait où se trouve exactement la sépulture ». Trahison impardonnable En Guinée, Ledjely ne ménage pas non plus ses critiques à l'égard de l'ancien président français. « Pour les Africains, Nicolas Sarkozy représente la duplicité et la trahison (…) de Conakry à Djibouti, et de Rabat au Cap, tout le monde croit que de l'argent a circulé entre les hommes de Kadhafi et l'équipe de campagne de l'ancien président français (…) l'idée que le séjour XXL de l'ancien guide libyen en France, en 2007, était la contrepartie des transferts de fonds entre Tripoli et Paris est très largement partagée au sein de l'opinion publique africaine. » Et Ledjely aboutit à la même conclusion qu'Aujourd'hui au Faso, le journal guinéen nous dit : « Dès lors, la volte-face de Nicolas Sarkozy qui avait consisté à prendre la tête de la coalition internationale ayant fini par tuer Kadhafi en février 2011, passe pour une trahison impardonnable. Moins que la corruption en tant que telle, c'est cette façon de se retourner de manière aussi inique contre son bienfaiteur d'hier, que les Africains abhorrent chez l'ancien président français. » Conclusion du journal guinéen : « Il ne faut guère s'attendre à ce qu'en Afrique, on s'apitoie sur le sort de l'ancien président. Tout au contraire, ce qui lui arrive aujourd'hui devrait servir de leçon à ceux qui seraient tentés de suivre son exemple. »
durée : 00:00:53 - France Travail propose plusieurs offres en Dordogne - En Dordogne deux postes (H/F) sont à pourvoir dont un pour un opérateur sur machine à découper au plasma à Bergerac et on recrute également un employé commercial sédentaire sur Nontron. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Episode 214: Introduction à la journée d'études « Chants et musiques d'Algérie : un fait social » Dans ce podcast, Jonathan Glasser, professeur agrégé d'anthropologie à l'université William & Mary à Williamsburg, en Virginie, introduit la journée d'étude intitulée « Chants et musiques d'Algérie : un fait social », organisée conjointement par le Centre d'Études Maghrébines en Algérie (CEMA) et le Centre de Recherche en Anthropologie Sociale et Culturelle (CRASC) le 15 décembre 2024, en présentant une bibliographie sur la musique citadine algérienne de langue arabe. Jonathan Glasser est l'auteur de l'ouvrage The Lost Paradise : Andalusi Music in Urban North Africa (University of Chicago Press, 2016), qui a remporté le prix L. Carl Brown Book Prize de l'American Institute for Maghrib Studies et le prix Mahmoud Guettat International Prize in Musicology du Ministère tunisien des Affaires culturelles. Plusieurs de ses travaux ont été publiés dans l'International Journal of Middle East Studies, l'American Ethnologist, l'Anthropological Quarterly, Hespéris-Tamuda et Turath. Glasser a récemment terminé un manuscrit intitulé More Than Friends : Muslim-Jewish Intimacy in Algerian Music (Plus que des amis : l'intimité entre musulmans et juifs dans la musique algérienne). Pr. Karim Ouaras, Université d'Oran 2 / CEMA a modéré le débat. Nous remercions Dr. Jonathan Glasser, anthropologue au College of William & Mary, pour son istikhbar in sika à l'alto pour l'introduction et la conclusion de ce podcast. Montage : Hayet Yebbous Bensaid, Bibliothécaire / Chargée de la diffusion des activités scientifiques (CEMA).
Nathalie a partagé son expérience d'aliénation parentale après un divorce, où ses filles ont été influencées par leur grand-mère paternelle, entraînant une rupture de lien avec elle. Elle exprime sa souffrance face à cette situation et espère une réconciliation future avec ses filles. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : La dette atteint un nouveau record à 3 400 milliards d'euros Nicolas Sarkozy ira-t-il en prison ? La passe d'armes entre Éric Dupond-Moretti et Gérald Darmanin
On pourrait croire que le malheur frappe surtout les adolescents en crise ou les personnes âgées confrontées à la solitude. Pourtant, la science a une réponse surprenante. Une vaste étude publiée dans la revue PLOS One s'est penchée sur cette question en compilant des données colossales : plus de 10 millions d'Américains, 40 000 ménages britanniques et près de 2 millions de personnes issues de 44 pays différents. Un échantillon gigantesque, qui permet d'identifier une tendance universelle.Le résultat ? Le sentiment de mal-être n'atteint pas son sommet à l'adolescence, ni à la fin de la vie… mais vers l'âge de 47 ans.Les chercheurs parlent d'une véritable « courbe en U » du bonheur. Concrètement, la satisfaction de vie est relativement élevée chez les jeunes adultes, elle décline progressivement à mesure que l'on approche de la quarantaine, atteint un point bas autour de 47 ans, puis remonte dans la seconde partie de la vie. Autrement dit, beaucoup de personnes rapportent être plus heureuses à 60 ans qu'à 40.Pourquoi ce creux à la quarantaine ? Plusieurs explications sont avancées. C'est souvent l'âge des responsabilités maximales : charges familiales, pression professionnelle, dettes, fatigue accumulée. C'est aussi le moment où l'on mesure l'écart entre ses rêves de jeunesse et la réalité. Les chercheurs évoquent une sorte de « crise du milieu de vie », pas toujours visible mais largement ressentie.Après ce cap, les choses s'améliorent. Avec l'âge, les attentes deviennent plus réalistes, les pressions diminuent souvent, et beaucoup de personnes développent une meilleure gestion émotionnelle. C'est ce qui expliquerait la remontée du bien-être observée statistiquement après 50 ans.Il est intéressant de noter que cette courbe en U se retrouve dans presque toutes les cultures étudiées : qu'on vive aux États-Unis, en Europe, en Asie ou en Amérique latine, la tendance est la même. Cela suggère un mécanisme profondément ancré dans la trajectoire humaine, au-delà des différences sociales ou culturelles.Évidemment, il s'agit d'une moyenne : certaines personnes traversent leur quarantaine très heureuses, d'autres peuvent souffrir à d'autres âges. Mais sur le plan statistique, le pic de malheur se situe bien autour de la cinquantaine.Conclusion : si vous avez entre 45 et 50 ans et que vous vous sentez un peu moins heureux, sachez que vous n'êtes pas seul… et que la science promet des jours meilleurs : le bonheur remonte après ce cap. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : En 2026, un nouveau contrôle technique... plus dur Shopping polémique d'Hidalgo : son ex adjoint trouve ça normal.
« Le Oui pulvérise le Non à 89,38 % contre 10,62 % » : c'est le grand titre du site d'information Ledjely à Conakry. Un résultat encore « provisoire, précise le site, qui sera transmis à la Cour suprême, l'institution compétente pour en assurer l'examen, traiter d'éventuels contentieux, valider les résultats et proclamer les résultats définitifs ». « Les résultats montrent un taux de participation de 86,42 %, pointe pour sa part le site Guinée 360. Un chiffre qui témoigne d'une adhésion considérable des Guinéens, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du pays, au projet de nouvelle Constitution. Désormais, (donc) tous les regards sont tournés vers la Cour suprême ». Ce taux de participation « divise les acteurs politiques », relève de son côté Media Guinée. Pour le Congrès Africain pour la Démocratie et le Renouveau, il y a eu « une très grande mobilisation : le taux de participation annoncé reflète la réalité ». Non, rétorque l'opposition. Pour le Parti pour le progrès et le changement, « le peuple de Guinée n'a pas répondu à l'appel de la junte au pouvoir pour participer à cette élection. Il y a eu un taux d'abstention très élevé. (…) En Guinée, quand le pouvoir organise un scrutin, rien ne peut l'effrayer. Ce que le pouvoir veut, c'est ce qui va être dicté et c'est ce qui va être fait ». Chape de plomb En fait, tout était joué d'avance, constate Le Monde Afrique : « la campagne pour le Oui au référendum a été ostentatoire à travers le pays et largement incarnée par Mamadi Doumbouya, à grand renfort d'affiches à son effigie, rassemblements et fanfares. Celle du Non a été, elle, quasi inaudible ». Il faut dire, poursuit le journal, « qu'une chape de plomb s'est abattue en Guinée sur les voix dissidentes depuis l'arrivée des militaires au pouvoir. Plusieurs partis politiques et médias ont été suspendus, les manifestations – interdites depuis 2022 – sont réprimées, et de nombreux dirigeants de l'opposition ont été arrêtés, condamnés ou poussés à l'exil. Les disparitions forcées et enlèvements se sont multipliés ». En effet, renchérit WakatSéra au Burkina Faso, « le boycott prôné par les opposants de l'UFDG et du RPG, l'ancien parti chassé du pouvoir par le coup d'État du 5 septembre 2021, n'a pas été massivement suivi. Rien de plus normal, la campagne qui a précédé le scrutin étant allée dans un sens unique, celui des partisans du Oui. Il n'y avait de place pour aucune voix dissonante, que ce soit dans la rue où par le biais des médias qui n'avaient la possibilité que de relayer les échos des partisans du Oui. Et le gendarme de la Haute autorité de la communication veillait au grain. Qui plus est, poursuit WakatSéra, l'épée de Damoclès de la suspension plane en permanence sur les organes de presse qui ont encore la chance d'exister et qui oseraient aller contre la volonté du censeur. » Ce qui explique la prudence des médias guinéens qui se contentent de donner les résultats du référendum et de relayer les communiqués officiels. Un boulevard pour Doumbouya En tout cas, relève Afrik.com, « ce référendum constitutionnel, longtemps attendu, ouvre une séquence électorale cruciale. Les autorités ont déjà annoncé l'organisation d'élections présidentielle et législatives avant la fin de l'année, afin de rétablir l'ordre constitutionnel et de répondre aux pressions de la communauté internationale. Pour une partie de la population, précise le site panafricain, l'adoption d'une nouvelle Constitution marque l'espoir d'un retour à la stabilité et au pouvoir civil. Pour d'autres, ce vote ouvre surtout la voie à une candidature du chef de la junte, Mamadi Doumbouya, désormais juridiquement en position de briguer la magistrature suprême ». Ce qui fait dire à L'Observateur Paalga que « l'adoption de cette nouvelle Constitution vaut déjà plébiscite pour le général Doumbouya ». En effet, insiste Aujourd'hui, toujours à Ouagadougou, cette « nouvelle loi fondamentale lui permet de quitter sa tenue bariolée de camouflage pour se couler dans le boubou du président élu ». Désormais, « l'ex-légionnaire a tous les leviers pour basculer dans l'État de droit avec lui comme président élu. Et peut-être que le peuple guinéen lui saura gré de passer de la baïonnette à l'urne ». Et Aujourd'hui de s'interroger : « quelle Guinée sous Doumbouya II en gestation ? Quel avenir pour les partis politiques ? Le général-président va-t-il acter le changement générationnel en Guinée ? »
L'émission 28 minutes du 24/09/2025 Au cinéma, dans la littérature ou la chanson, l'omniprésence de la culture du féminicideInès Mecellem, 25 ans, a été retrouvée morte le 8 septembre dernier à son domicile, à Poitiers, poignardée de plusieurs coups de couteau. Le suspect, son ex-compagnon dont elle venait de se séparer, est recherché pour assassinat. La victime avait déposé plusieurs plaintes, quelques semaines avant son meutre, évoquant des étranglements, des viols récurrents, du harcèlement et des menaces de mort. Deux jours avant son assassinat, elle avait utilisé son téléphone “grave danger” qui permet d'alerter rapidement les forces de l'ordre, se sachant traquée. L'ex-conjoint avait alors été interpellé puis relâché. Depuis le début de l'année, 113 féminicides (au 10 septembre) ont été recensés par l'association féministe Nous Toutes. En 2017, Emmanuel Macron, tout juste élu, avait fait de la protection des femmes une de ses priorités. Plusieurs lois avaient été votées par la suite pour protéger les victimes de violences conjugales. Ivan Jablonka publie “La culture du féminicide” (éditions du Seuil), ouvrage dans lequel il raconte comment nous baignons depuis des siècles dans des représentations culturelles qui esthétisent la mort des femmes. Incursions dans le ciel européen : les drones, armes de déstabilisation massive ?Mardi 23 septembre, les autorités danoises ont dénoncé une “grave attaque”, la veille, contre les infrastructures du pays après le survol de l'aéroport de Copenhague par des drones dont l'origine reste inconnue. La Russie, directement suspectée par le Danemark, dément toute implication dans cette affaire. Depuis le début du mois de septembre, l'armée russe est suspectée d'avoir envoyé des drones survoler la Pologne et la Roumanie, deux pays membres de l'OTAN, violant ainsi leur espace aérien. Les drones font désormais partie de l'arsenal incontournable de toute armée puissante. En 2024, 40 pays possédaient des drones armées, contre seulement 3 en 2010. Ils ont plusieurs avantages puisqu'ils sont difficilement détectables et permettent d'économiser des vies — pour ceux qui les utilisent. Le prix d'entrée de gamme des drones facilite également leur acquisition notamment avec l'arrivée d'appareils low-cost fabriqués par la Chine et dont le prix s'élève à quelques centaines de dollars. Le drone est-il devenu une arme incontournable ? On en débat avec Laura Kayali, correspondante Défense au magazine en ligne Politico Europe, Michel Olhagaray, vice-amiral, ancien directeur du centre des hautes études militaires et Jean-Christophe Noël, chercheur associé à l'Ifri, ancien pilote de chasse.Enfin, Xavier Mauduit revient sur la mort, mardi 23 septembre, de la légende franco-italienne du cinéma, Claudia Cardinale. Marie Bonnisseau s'intéresse à des tests de recrutement déroutants qui consistent à regarder les sacs à mains de candidates pour juger leur capacité d'organisation. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 24 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:03:34 - Le Pourquoi du comment : philo - par : Frédéric Worms - Peut-on penser le monde sans les autres ? L'étanchéité des "mondes" peut-elle conduire à la guerre ? Frédéric Worms explique que nous vivons dans plusieurs mondes : des mondes sociaux fermés et un monde commun, naturel et politique. Comprendre cette tension éclaire notre rapport aux autres. - réalisation : Luc-Jean Reynaud
durée : 00:12:14 - L'invité d'un jour dans le monde - Ce soir au lendemain de la reconnaissance de l'Etat de Palestine par la France et après aussi le discours de Donald Trump entretien avec Karim et Fadi Kattam deux frères palestiniens, l'un auteur l'autre chef cuisinier Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Bruno Le Maire sort de son silence Gabriel Attal soutient la candidature de Jean-Michel Aulas Succès du paiement par mobile
Direction la Centrafrique pour le dernier volet de notre reportage consacré à la réserve naturelle de Chinko au sud-est du pays, dans la préfecture du Mbomou. Depuis de nombreux siècles, les autochtones vivent essentiellement de l'agriculture, la chasse, la pêche, la cueillette et l'exploitation minière. Interdire à ces communautés de pratiquer leurs activités quotidiennes dans le cadre de la conservation s'avère être un combat difficile. Présente dans la localité depuis 2014 (grâce à un accord de partenariat avec le gouvernement centrafricain), l'ONG African Parks a initié plusieurs projets visant à sensibiliser, éduquer et impliquer notamment les communautés riveraines de l'aire de conservation de Chinko, dans une gestion durable. De notre correspondant de retour de Kocho, Dans les broussailles qui longent la piste d'atterrissage de la base de Chinko, quelques hyènes déambulent. À quelques jets de pierre de là, une troupe de babouins investit les arbres. Réchauffés par les premiers rayons du soleil, les plus jeunes et même les adultes se lancent dans des courses, sauts et jeux de balançoires... Mermoz Bizon, responsable de l'aménagement territorial à African Parks, monte dans un petit avion de surveillance pour aller à la rencontre des communautés : « Je suis censé travailler avec les communautés locales. Nous avons mis en place plusieurs associations pour faciliter les tâches en termes de gestion communautaire des ressources naturelles qui sont autour de l'aire de conservation de Chinko. Nous avons des activités comme Acadja, qui soutient la production durable du poisson pour la communauté locale. Nous mettons en place des ateliers avec des scieurs artisanaux pour la production du bois de manière artisanale et durable. Nous travaillons aussi avec les maraîchers et les agriculteurs dans le domaine de la transformation d'huile de palme, la saponification et beaucoup d'autres activités. » À lire aussiCentrafrique : Chinko, la renaissance de la réserve naturelle [1/3] Dans le Mbomou, une centaine d'ethnies vit autour de l'Aire de conservation de Chinko (ACC) avec une grande diversité culturelle. Adja Kalthouma, maire de la ville de Nzako, plaide en faveur des autochtones qui dépendent essentiellement de la chasse, la pêche et la cueillette : « Ces dernières années, l'équipe de Chinko a délimité la réserve naturelle, nous avions été sensibilisés sur l'importance de la conservation que nous trouvons très pertinente. Mais nous voulons aussi des retombées concrètes à Nzako. » Prendre conscience des enjeux de conservation De jour en jour, de nombreux riverains prennent conscience des enjeux de conservation. Mais d'importants défis s'imposent encore, selon Ghislain Boukar, colonel des eaux et forêts : « La transhumance transfrontalière est l'une des difficultés majeures. Nous sommes toujours confrontés à un afflux d'éleveurs venus du Soudan. De l'autre côté, nous avons aussi nos frères centrafricains qui sont des braconniers locaux qui ne cherchent pas à respecter les principes et les orientations que nous leur donnons. Nous avons également le cas des pêcheurs. Au lieu de respecter la limite de la zone des conservations, ils ont l'habitude de s'infiltrer dans le parc. Ces difficultés existent au quotidien, mais nous sommes également là pour les sensibiliser et continuer à toujours insister. » Pour une gestion durable et apaisée de Chinko, African Parks et le gouvernement centrafricain placent les autochtones au cœur de leurs actions. Plusieurs projets de développement économique ont été mis en place. Thomas Bala est président du groupement des apiculteurs du village Fadama : « Nous sommes déterminés à protéger cette réserve naturelle. Mais nous voulons aussi bénéficier des efforts de conservation. C'est comme ça que nous avons mis en place ce groupement de production du miel avec le soutien de Chinko. Nous produisons en grande quantité et on n'a plus le temps d'aller détruire les aires protégées. » À lire aussiCentrafrique : les écogardes du parc Chinko [2/3] Depuis 2022, un projet de lutte contre la déforestation a été mis en place à travers la conservation de carbone. Cette initiative a permis d'obtenir des crédits carbone achetés par des entreprises. L'argent généré est injecté d'une part à la gestion de la réserve naturelle, et l'autre part est destinée à la mise en place des programmes de développement durable en faveur des riverains.
Dans cette édition :Le président français Emmanuel Macron a officiellement reconnu l'État de Palestine lors de son discours à l'Assemblée générale des Nations Unies, suscitant des réactions politiques diverses en France.Plusieurs mairies françaises ont bravé l'interdiction et hissé le drapeau palestinien, faisant l'objet de poursuites judiciaires.Le philosophe Raphaël Enthoven est jugé pour injure publique envers la France Insoumise, qui l'accuse d'antisémitisme.Le procès de trois femmes djihadistes, dont la nièce des frères Klein, se poursuit à Paris.Le procès de Cédric Jubilard, accusé du meurtre de son épouse Delphine, se tient à Albi avec un accusé surprenant par sa spontanéité.Le Paris Saint-Germain a été sacré meilleur club lors de la cérémonie du Ballon d'Or.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Sébastien Lecornu a menti sur son CV ! 40 ans du TGV : une fierté française ?
Dans cette édition :Une femme est décédée dans sa voiture dans les Côtes d'Armor à cause des intempéries, le département breton reste en vigilance orange pour pluie et inondation.La France reconnaîtra l'État de Palestine ce soir, malgré les réserves du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou.Plusieurs maires ont décidé d'accrocher un drapeau palestinien sur le fronton de leur mairie, en signe de solidarité.Cédric Jubilard est jugé pour le meurtre de sa femme Delphine, disparue en 2020, le verdict est attendu le 17 octobre.Le maire de Saint-Étienne, Gaël Perdriot, est jugé pour chantage, association de malfaiteurs et détournement de fonds publics.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Julien : Je suis trop content, j'ai pu payer mon nouveau téléphone en quatre fois sans frais ! Ça change la vie.Louise : Ah bah oui, c'est pratique, ça permet de pas se ruiner d'un coup, vu le prix de ces appareils !Julien : Oui, tu profites direct de l'achat sans avoir la carte qui pleure. Et sans ça, j'aurais toujours mon ancien appareil qui buggait grave.Louise : Après, faut juste pas abuser de ce type de crédit, sinon tu peux vite te retrouver à découvert en devant payer l'équivalent d'un salaire ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Au Chili, des actes de vandalisme ont eu lieu à l'extérieur de la synagogue Bicur Jolim dans le centre de Santiago. Depuis les attaques du 7 octobre, ce n'est pas la première fois qu'elle est prise pour cible et d'autres lieux de cultes juifs ont également été vandalisés. Dans une lettre adressée au président chilien, la rapporteuse spéciale des Nations unies sur la liberté de religion ou de conviction se dit préoccupée face à une possible augmentation de l'antisémitisme au Chili. De notre correspondante à Santiago, Les murs de la plus vieille synagogue de la capitale ont retrouvé leur couleur jaune originelle. Il y a quelques jours, trois individus, le visage caché, ont jeté de la peinture rouge sur la façade extérieure du bâtiment alors qu'une vingtaine de fidèles était réuni pour la célébration de Shabbat. Cet homme, qui préfère témoigner anonymement, est chilien de confession juive, il était présent ce soir-là : « Ils ont aussi lancé des pamphlets contre Netanyahu. Ils n'étaient que trois, donc on n'a pas vraiment eu peur ». Mais quelques jours plus tard, lors d'un évènement non-religieux organisé à la synagogue où il est encore présent, une quinzaine de personnes s'était réunie à l'extérieur de l'édifice. « Ils criaient qu'ils étaient pour la Palestine et contre Israël, qu'on était des génocidaires et qu'on devait partir du Chili. Mais ici, la majorité d'entre nous, on est chiliens ! », poursuit-il. « Il serait temps qu'on commence à parler d'actes antisémites » Selon Gabriel Silber, porte-parole de la Communauté juive du Chili, ce type d'attaque n'est pas nouveau dans le pays. Mais après le 7 octobre, il y a eu un tournant. « Il y a une escalade des actes antisémites. Et très souvent, ces actes se cachent derrière un discours anti-israélien ou même antisioniste. Mais au bout du compte, les destinataires de ces attaques, ce sont les membres de la communauté juive locale, affirme Gabriel Silber. On peut comprendre la légitime position que chacun peut avoir par rapport à ce qu'il se passe au Moyen-Orient. Mais ce qu'on ne peut pas faire, c'est importer le conflit et installer des discours de haine, que ce soit de la part d'autorités ou d'influenceurs, qui finalement vont affecter la communauté juive du Chili. » Le président chilien a condamné « sans nuances » le vandalisme contre la synagogue de Santiago. Gabriel Boric qui fait partie des leaders internationaux qui se positionnent fermement sur le conflit au Moyen-Orient. Il le faisait encore en juin dernier face aux parlementaires chiliens. « Je vous exhorte à ne pas vous battre entre vous, entre peuples, car le responsable ici est un gouvernement, un gouvernement génocidaire, et non le peuple d'Israël. Nous condamnons catégoriquement le terrorisme du Hamas et exigeons la libération de tous les otages », avait-il alors déclaré. Malgré ces mots, les juifs du Chili ne se sentent pas suffisamment soutenus et protégés. « Il serait temps qu'on commence à parler d'actes antisémites au Chili, reprend Gabriel Silber. Nous sommes aussi chiliens, il faut le comprendre ! Et nous méritons le respect de la part de nos autorités. » Un appel qui semble avoir été entendu, car après le deuxième indicent survenu à l'extérieur de la synagogue de Santiago, le ministre chilien de la Sécurité publique s'est entretenu en privé avec des représentants de la Communauté Juive du Chili. À lire aussiAu Chili, la communauté palestinienne demande des sanctions contre Israël
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Les préfets ont pour consigne d'appeler les maires pour leur demander de ne pas pavoiser le drapeau palestinien lundi Le couple présidentiel va prouver que madame Macron est une femme Pierre Moscovici rejoint la cour des comptes européenne au Luxembourg
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Jérôme Marty et Zohra Bitan, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C dans l'air du 18 septembre 2025 - Manifestations : ce que demandent les Français« D'ores et déjà un succès ». Sophie Binet, la secrétaire nationale de la CGT, s'est félicité aujourd'hui de l'ampleur de la mobilisation contre les mesures budgétaires. Le niveau est en effet comparable aux manifestations contre la réforme des retraites de 2023. Plusieurs centaines de milliers de personnes étaient attendues aujourd'hui dans les rues par les autorités. Dans les cortèges, les pancartes insistent sur une vie chère et un travail qui ne paie plus. Mais c'est aussi la figure d'Emmanuel Macron qui est directement visée, avec des appels à la démission.Plusieurs dizaines d'interpellations ont toutefois eu lieu. Les mises en garde de Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, s'étaient multipliées ces jours derniers. Les policiers mobilisés en nombre (80.000 sur tout le territoire) seraient « intraitables » en cas de casse ou de violence. Des déclarations comparées à « de l'huile sur le feu » par les oppositions de gauche et la CGT.Pendant ce temps, le spectacle actuel donné par la politique française désole certains élus. Harold Huwart, député LIOT d'Eure-et-Loir, se dit « consterné et préoccupé » par l'obnubilation de certains partis pour 2027. Il réfléchit à quitter l'Assemblée nationale pour se consacrer aux municipales. Dubitatif sur la nomination de Lecornu, il attend de connaître sa proposition de budget avant de se prononcer sur une censure.Dans ce contexte, les Français font entendre leur colère à travers des pétitions. Après celle contre la loi Duplomb qui, pour la première fois dans l'histoire parlementaire, fera l'objet d'un examen en commission des affaires économiques, c'est celle de Philippe de Villiers qui semble avoir du succès. Celle-ci exige un référendum sur l'immigration et revendique le million de signatures. Mais la réalité de ce chiffre pose question, le site hébergeant ce texte ne vérifie ni l'identité ni l'adresse mail des signataires.Alors, que retenir de la mobilisation intersyndicale ? Comment expliquer le désamour de certains députés pour le Palais Bourbon ? Pourquoi les pétitions rencontrent-elles autant de succès ?LES EXPERTS :- Christophe BARBIER - Éditorialiste politique Conseiller de la rédaction à Franc-Tireur- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique à Franceinfo- Audrey GOUTARD - Grand reporter à France Télévisions- Gilles DANSART - Directeur de la rédaction de Mobilettre
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Notes de frais d'Anne Hidalgo, 6 320 euros de robes Dior et un manteau Burberry à 3 067 euros Les pharmacies en grève
durée : 00:19:50 - Journal de 18h - La France à la veille d'une journée nationale d'action massive contre les projets budgétaires du gouvernement. Plusieurs centaines de milliers de manifestants sont attendus demain jeudi 18 septembre, avec d'importantes perturbations dans de nombreux secteurs.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Les très chères notes de frais d'Anne Hidalgo Examen du permis de conduire, jusqu'à 8 mois d'attente ! Propos de Charles Consigny, droit de réponse de Mediapart
Émission spéciale pour souligner les 50 ans de carrière de Pierre Houde. Plusieurs invités viennent sur le plateau pour parler de leurs moments marquants avec Pierre.
durée : 00:19:50 - Journal de 18h - La France à la veille d'une journée nationale d'action massive contre les projets budgétaires du gouvernement. Plusieurs centaines de milliers de manifestants sont attendus demain jeudi 18 septembre, avec d'importantes perturbations dans de nombreux secteurs.
C dans l'air du 16 septembre 2025 - Assassinat de Charlie Kirk: Trump lance la "chasse aux sorcières"L'Amérique est toujours sous le choc de l'assassinat de Charlie Kirk et vit désormais dans une ambiance de chasse aux sorcières.Depuis le meurtre de l'influenceur d'extrême droite, les partisans du « Make America Great Again » (MAGA) ont décidé de recenser toutes les personnes qui se réjouissent, ou refusent tout simplement d'être attristées, par la mort de l'un de leurs idoles.Des dizaines d'entre elles ont même été licenciées : pompiers, employés de compagnies aériennes, enseignants… Plusieurs exemples ont fait la Une ces derniers jours, dont celui d'une professeure qui avait posté un message : « La haine appelle la haine. Zéro compassion. » Cela lui a valu une vague de harcèlement sur Internet, puis son licenciement pour atteinte à la réputation de l'université.La journaliste Matthew Dowd a, elle aussi, été virée de la chaîne MSNBC. Son tort ? « Lors d'un échange avec la présentatrice Katy Tur, Matthew Dowd a fait remarquer que Charlie Kirk avait encouragé les discours de haine, ajoutant que les pensées haineuses conduisent à des mots haineux, qui conduisent ensuite à des actions haineuses », relate le New York Times.Un licenciement dont s'est réjoui Donald Trump en personne. Le président des États-Unis a d'ailleurs lui-même encouragé cette chasse aux sorcières : « On cherche des noms. On n'aime pas ça. Personne ne se réjouit de la mort des gens. Ce sont des gens malades, dérangés », a-t-il déclaré.Mais cela va encore plus loin. Hier, le vice-président des États-Unis s'est symboliquement installé au micro de Charlie Kirk, à la Maison-Blanche, pour réaliser une émission à la mémoire de son ami assassiné. Animé d'une colère à peine contenue, multipliant les citations de la Bible, J. D. Vance a annoncé une répression sans précédent contre les « gens de gauche », accusés sans fondement de promouvoir la violence politique.Le vice-président a notamment désigné nommément pour cibles l'Open Society Foundations, fondée par le milliardaire George Soros, et la Ford Foundation. Elles sont accusées d'avoir financé le magazine mensuel de gauche The Nation, où J. D. Vance a lu un article présentant, selon lui, une vision déformée de Charlie Kirk, en raciste. La revue n'a bénéficié d'aucun fonds de cette origine, a déclaré Bhaskar Sunkara, son président. Cela n'a pas empêché J. D. Vance de reprocher aux deux fondations de « mettre le feu à la maison construite par la famille américaine depuis deux cent cinquante ans ».Parallèlement, Donald Trump continue d'envoyer la Garde nationale dans les villes dirigées par des démocrates, au nom de la lutte contre la criminalité. Après son déploiement dans la capitale Washington, mais aussi à Los Angeles et à Memphis, le président des États-Unis a déclaré que Chicago et Saint-Louis pourraient être les prochaines villes concernées, malgré les critiques des démocrates qui l'accusent de dérive autoritaire et de militariser les questions de sécurité publique.Alors, que se passe-t-il outre-Atlantique ? Pourquoi l'assassinat de Charlie Kirk fracture-t-il l'Amérique ? Quelles étaient les idées promues par cette star de la mouvance MAGA ? Les Etats-Unis sont-ils à point de bascule ? Jusqu'où ira la chasse aux sorcières lancée par l'administration Trump ? Enfin, pourquoi des portraits de Charlie Kirk étaient-ils au cœur de la manifestation anti-migrants de Londres ce week-end ?LES EXPERTS :- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Christine OCKRENT - Journaliste, spécialiste des affaires étrangères – France Culture- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Vincent JOLLY - Grand reporter – Le Figaro Magazine - Claire MEYNIAL – Duplex de Washington, correspondante aux États-Unis - Le Point, autrice de « La guerre des Amériques »
C dans l'air du 16 septembre 2025 - Assassinat de Charlie Kirk: Trump lance la "chasse aux sorcières"L'Amérique est toujours sous le choc de l'assassinat de Charlie Kirk et vit désormais dans une ambiance de chasse aux sorcières.Depuis le meurtre de l'influenceur d'extrême droite, les partisans du « Make America Great Again » (MAGA) ont décidé de recenser toutes les personnes qui se réjouissent, ou refusent tout simplement d'être attristées, par la mort de l'un de leurs idoles.Des dizaines d'entre elles ont même été licenciées : pompiers, employés de compagnies aériennes, enseignants… Plusieurs exemples ont fait la Une ces derniers jours, dont celui d'une professeure qui avait posté un message : « La haine appelle la haine. Zéro compassion. » Cela lui a valu une vague de harcèlement sur Internet, puis son licenciement pour atteinte à la réputation de l'université.La journaliste Matthew Dowd a, elle aussi, été virée de la chaîne MSNBC. Son tort ? « Lors d'un échange avec la présentatrice Katy Tur, Matthew Dowd a fait remarquer que Charlie Kirk avait encouragé les discours de haine, ajoutant que les pensées haineuses conduisent à des mots haineux, qui conduisent ensuite à des actions haineuses », relate le New York Times.Un licenciement dont s'est réjoui Donald Trump en personne. Le président des États-Unis a d'ailleurs lui-même encouragé cette chasse aux sorcières : « On cherche des noms. On n'aime pas ça. Personne ne se réjouit de la mort des gens. Ce sont des gens malades, dérangés », a-t-il déclaré.Mais cela va encore plus loin. Hier, le vice-président des États-Unis s'est symboliquement installé au micro de Charlie Kirk, à la Maison-Blanche, pour réaliser une émission à la mémoire de son ami assassiné. Animé d'une colère à peine contenue, multipliant les citations de la Bible, J. D. Vance a annoncé une répression sans précédent contre les « gens de gauche », accusés sans fondement de promouvoir la violence politique.Le vice-président a notamment désigné nommément pour cibles l'Open Society Foundations, fondée par le milliardaire George Soros, et la Ford Foundation. Elles sont accusées d'avoir financé le magazine mensuel de gauche The Nation, où J. D. Vance a lu un article présentant, selon lui, une vision déformée de Charlie Kirk, en raciste. La revue n'a bénéficié d'aucun fonds de cette origine, a déclaré Bhaskar Sunkara, son président. Cela n'a pas empêché J. D. Vance de reprocher aux deux fondations de « mettre le feu à la maison construite par la famille américaine depuis deux cent cinquante ans ».Parallèlement, Donald Trump continue d'envoyer la Garde nationale dans les villes dirigées par des démocrates, au nom de la lutte contre la criminalité. Après son déploiement dans la capitale Washington, mais aussi à Los Angeles et à Memphis, le président des États-Unis a déclaré que Chicago et Saint-Louis pourraient être les prochaines villes concernées, malgré les critiques des démocrates qui l'accusent de dérive autoritaire et de militariser les questions de sécurité publique.Alors, que se passe-t-il outre-Atlantique ? Pourquoi l'assassinat de Charlie Kirk fracture-t-il l'Amérique ? Quelles étaient les idées promues par cette star de la mouvance MAGA ? Les Etats-Unis sont-ils à point de bascule ? Jusqu'où ira la chasse aux sorcières lancée par l'administration Trump ? Enfin, pourquoi des portraits de Charlie Kirk étaient-ils au cœur de la manifestation anti-migrants de Londres ce week-end ?LES EXPERTS :- Gallagher FENWICK - Grand reporter, spécialiste des questions internationales, ancien correspondant à Washington- Christine OCKRENT - Journaliste, spécialiste des affaires étrangères – France Culture- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - Vincent JOLLY - Grand reporter – Le Figaro Magazine - Claire MEYNIAL – Duplex de Washington, correspondante aux États-Unis - Le Point, autrice de « La guerre des Amériques »
Au Cameroun, la désignation d'Issa Bakary Tchiroma comme « candidat consensuel » d'une partie de l'opposition est loin de faire l'unanimité. Plusieurs ténors de l'opposition refusent de rallier l'ancien ministre. À un mois de la présidentielle, comprenez-vous cette décision ? Les opposants parviendront-ils à surmonter leurs divisions ? La stratégie du candidat unique vous semble-t-elle pertinente ? Nous lançons le débat.
Plusieurs débats au cœur de l'actualité, les Grandes gueules ont le choix, en débattre ou non : Les prix à la pompe repartent à la hausse Le salaire, sujet tabou entre collègues Une intelligence artificielle nommée ministre en Albanie
C dans l'air du 15 septembre 2025 - C'est un nouveau test pour la sécurité européenne. Après la Pologne, c'est au tour de la Roumanie de dénoncer une violation de son espace aérien par un drone russe. Samedi dernier, un aéronef russe a survolé l'est du pays pendant près de 50 minutes, provoquant la convocation immédiate de l'ambassadeur russe à Bucarest. La Roumanie devient ainsi le deuxième pays de l'OTAN à signaler la présence d'un drone russe, quelques jours seulement après l'incursion d'une vingtaine d'engins en Pologne.Cette série d'incidents semble clairement destinée à défier l'alliance atlantique, qui, vendredi 12 septembre, a annoncé le lancement de l'opération « Sentinelle orientale ». L'objectif ? Protéger l'espace aérien européen proche de la Russie. Plusieurs pays ont rapidement décidé de renforcer leurs moyens militaires : Paris envoie trois Rafale en Pologne, accompagnés d'une trentaine de personnels. L'Allemagne et le Royaume-Uni mobilisent leurs chasseurs Typhoon. Pour la défense sol-air, les Pays-Bas accélèrent la livraison de deux batteries de missiles Patriot.Mais cette montée en puissance coûte cher et semble mal adaptée pour contrer la menace spécifique des drones russes, souvent « low cost » et difficiles à détecter. Le débat est donc vif en Europe sur la réponse militaire à mettre en œuvre pour dissuader Moscou. D'autant que Vladimir Poutine a décidé de montrer les muscles.Depuis vendredi, la Russie et la Biélorussie ont lancé Zapad 2025, un exercice militaire conjoint d'envergure, mêlant armée de l'air, de terre et de la mer. Ces démonstrations de force inquiètent particulièrement les pays voisins de la Biélorussie, notamment la Pologne, la Lituanie et la Lettonie. Ces derniers ont renforcé leurs dispositifs de sécurité et restreint le trafic aérien dans certaines zones. Varsovie est même allée jusqu'à fermer sa frontière avec la Biélorussie pendant les manœuvres.Ces exercices, organisés tous les quatre ans, prennent cette année une importance particulière. C'est la première édition depuis le début du conflit en Ukraine. En 2021, Zapad avait déjà mobilisé environ 200 000 soldats russes, quelques mois avant l'invasion. Cette fois, la Russie a lancé un missile hypersonique Zircon et prévoit de tester des missiles Orechnik, capables d'atteindre Paris en 20 minutes.L'exercice, qui se déroule en Biélorussie mais aussi sur le territoire russe, dans les mers Baltique et de Barents, est donc particulièrement scruté. LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major, et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- Régis GENTÉ - Journaliste-spécialiste des questions internationales, auteur de "Notre homme à Washington, Trump dans la main des Russes"- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste – Ouest-France