Podcasts about nouvelles d'alsace

  • 2PODCASTS
  • 4EPISODES
  • 30mAVG DURATION
  • ?INFREQUENT EPISODES
  • Jun 17, 2020LATEST

POPULARITY

20172018201920202021202220232024


Best podcasts about nouvelles d'alsace

Latest podcast episodes about nouvelles d'alsace

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: «Nos quartiers sont-ils des poudrières?»

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 17, 2020 4:37


Question posée à la Une de La Dépêche du Midi. « L’affaire des violences qui ont opposé à Dijon des centaines de Tchétchènes venus de toute la France "venger" un jeune de leur communauté qui aurait été agressé par des dealers du quartier sensible des Grésiles, cette affaire a pris une tournure éminemment politique hier mais révèle surtout une réalité : il suffit parfois d’une étincelle pour que se déchaîne la violence dans des quartiers à fleur de peau qui apparaissent de plus en plus comme des territoires perdus de la République… et peut-être aussi à cause de la République, pointe La Dépêche. Car les pouvoirs publics – quel que soit le gouvernement en place – les ont trop souvent délaissés depuis plus de 40 ans… Et pourtant, dans les 1 500 quartiers prioritaires en France, vivent 4,8 millions de Français, soit 7% de la population… » « Au cœur de la France : guerres de rue », s'exclame Le Parisien. Et les policiers ne sont pas surpris, pointe le journal : « Ils savent que ces cités sont souvent régies par un accord tacite entre les délinquants locaux, dont les trafics font vivre de nombreuses familles, et des forces de l'ordre qui s'accommodent de cette situation au nom de la paix "sociale". C'est de cet équilibre fragile que naissent les fameuses "zones de non-droit" dont nos gouvernants démentent l'existence à chaque poussée de violence. (…) Le gouvernement va devoir aussi s'employer sur ce front là, conclut Le Parisien, s'il ne veut pas offrir des munitions à l'extrême-droite. » Une véritable contre-société Le Figaro dénonce pour sa part la faiblesse chronique de l'État : « Depuis des décennies, des centaines de quartiers en France connaissent la triple peine : immigration incontrôlée, désintégration de l’école, insécurité galopante. La loi commune, l’ordre public, la civilité élémentaire ont disparu. Au code civil ont succédé les règles du trafic, les normes communautaires, les pratiques des bandes : une loi sommaire, bête et méchante. Une véritable contre-société en rupture culturelle profonde. Depuis des années, discrètement mais sûrement, l’autorité de l’État s’arrête à l’entrée de ces territoires perdus, déplore encore Le Figaro. Là-bas, ce n’est pas la guerre, non, mais ce n’est plus la paix. La consigne, pour les forces de l’ordre, est d’y agir avec "discernement". En d’autres termes, c’est à la police, que les pouvoirs publics demandent de se tenir tranquille. » « Le corps médical en a soupé... » À la Une également, « le blues des blouses blanches » : c'est le grand titre du Courrier Picard. Piqûre de rappel ! « Il faut garder en mémoire cette détresse, s'exclame le quotidien amiénois, qui avait saisi le pays à l’approche d’une épidémie menaçant de mettre à bas notre système sanitaire. Il faut se rappeler ces visions d’infirmières habillées en sac-poubelle, faute de blouses – ode à l’inventivité tricolore, certes, mais reflet pathétique du dénuement de nos hôpitaux. Il faut aussi se souvenir des engagements présidentiels et sa promesse de "plan massif" en faveur de l’hôpital public. Ce dernier point devait trouver des réponses dans le "Ségur de la Santé" engagé depuis le 25 mai et devant se conclure à la mi-juillet. Pour l’instant, la concertation se poursuit dans une grande opacité, pointe Le Courrier Picard, en l’absence de certaines catégories, avec un syndicat qui a déjà claqué la porte (Sud Santé) et une réunion de mi-parcours, qui devait se tenir hier, ajournée. » « Le personnel soignant regarde l’État attribuer des dizaines de millions à toute une foule d’industries sans en voir la couleur, s'agacent Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Il y a bien eu quelques primes distribuées, mais rien qui ne soit à la hauteur de l’enjeu. On pourra toujours argumenter que le Ségur de la santé a été mis sur pied pour apporter des réponses et que ces sept semaines de réflexion collective sont justement là pour "refonder" notre système de soins. Seulement voilà, le corps médical en a soupé des promesses, il n’a pas le luxe d’attendre. » Le stress de la presse... Enfin, un autre secteur en crise, durement touché aussi par les 55 jours de confinement : le secteur de la presse... Libération en fait son dossier d'ouverture avec ce grand titre : « la presse oppressée ». « L’Équipe, Paris Normandie, l’Express… Les annonces de plans d’économies, de restructurations et de rapprochements se multiplient dans la presse, dont les ventes ont plongé à cause de l’épidémie et de la faillite de Presstalis, le principal distributeur du secteur. » Pourtant, relève Libération, « les journalistes et les autres salariés du secteur ont fait la preuve d’une résilience remarquable. En dépit de toutes les difficultés et de tous les risques, les journaux ont poursuivi, amplifié même, leur travail d’information. Avec succès : rarement les lecteurs ont été aussi nombreux et attentifs à suivre l’actualité. Ainsi, au cœur de la crise, la stratégie adoptée par de nombreux titres s’est trouvée confirmée. Les achats en ligne, planche de salut pour les chiffres d’affaires en berne, ont soudain bondi à des hauteurs inédites. » Alors, conclut Libé, « le gouvernement se porte au secours des secteurs en perdition. On comprendrait mal qu’il s’abstienne de le faire pour l’information, plus essentielle que jamais à la vie publique. Pour colmater en vain les voies d’eau ? Non : pour accompagner une mutation. »

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: Castaner en première ligne, Macron en retrait

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 9, 2020 4:10


« Changement de ton, changement de méthode !, s'exclame Le Parisien. Bien silencieux depuis une semaine et le début des manifestations provoquées par la mort de George Floyd aux États-Unis, l’exécutif a changé de braquet hier. D’abord sur la forme, en organisant une conférence de presse de Christophe Castaner pour déminer le sujet, alors que de nouveaux rassemblements sont prévus aujourd’hui dans plusieurs grandes villes comme Paris, Lille, Toulouse et Amiens. Puis sur le fond, en annonçant une série de mesures pour lutter contre les violences policières et le racisme supposés dans les forces de l’ordre. » Pour sa part, pointe encore Le Parisien, « le chef de l’État n’entend pas s’exprimer pour le moment. "Il ne souhaite pas réagir aux événements. Ni outre-Atlantique ni nationaux", répond son entourage, préférant laisser le ministre de l’Intérieur en première ligne. » Des réponses pas à la hauteur... Du coup, Libération s'agace : « Violences policières : Macron se soustrait à l’interpellation », déplore le journal. « À l’heure où de nombreuses manifestations contre le racisme et la violence des forces de l’ordre ont lieu en France, le Président a laissé à Christophe Castaner, hier, la responsabilité d’annonces limitées. » En effet, « la réponse du gouvernement français est-elle à la hauteur ? Non, répond Libération. Il est bon d’interdire "l’étranglement". Mais c’est le "plaquage ventral" qui est en cause, affirme Libé, lequel peut aussi conduire à un étouffement. Aussi bien, il est juste de condamner propos et actes racistes, tels qu’on a pu en constater ces derniers jours ou de réfléchir à une meilleure indépendance des instances de surveillance de la police. Mais la question centrale des "contrôles au faciès" n’a pas été vraiment traitée. L’instauration d’un "récépissé", qui peut éviter à la même personne d’être contrôlée à répétition, a été éludée. Bref, conclut Libération, on a entendu des bonnes paroles (c’est mieux que des mauvaises) et des promesses. Il y manque les actes. » Réformer l'IGPN ? « Si le gouvernement veut reprendre la main dans ce dossier, il va falloir qu’il aborde la question des violences policières dans leur entièreté et sans farder la réalité, estime Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Ce qui implique qu’il se remette lui aussi en cause en tant que donneur d’ordres et fasse clairement le distinguo entre violence légale et violence légitime. » Déjà, « transformer l’IGPN en organe indépendant serait un excellent début, affirme le quotidien alsacien, qui permettrait de désamorcer le sentiment, croissant, d’une impunité policière. Les violences qui ont émaillé les manifestations des gilets jaunes ont en effet élargi cette perception qui se limitait jusqu’alors au champ de la banlieue et des minorités "visibles", autrement dit d’origines maghrébine et subsaharienne, jusqu’ici les plus exposées. » « Écoper une lame de fond » Plus largement, pointe La Charente Libre, que ce soit en France ou aux États-Unis, « l’enjeu de ces révoltes dépasse largement les cas extrêmes qui l’ont déclenché : derrière, il y a une réalité du quotidien qui ne peut être niée, celle d’un système qui protège encore trop ses brebis galeuses et permet de se conforter dans les inégalités de naissances, plutôt que de s’y confronter. La révolte contre le racisme s’attaque à cette face beaucoup plus profonde et immergée de l’iceberg, pointe le quotidien charentais : celle qui donne une rente de situation, pendant que les non-blancs connaissent la discrimination à l’embauche et les femmes les inégalités salariales, pour ne citer que l’exemple du travail. Les premières réponses à la révolte actuelle ne se sont pas fait attendre, de la police de Minneapolis démantelée aux annonces de Castaner en France. Ce n’est pas à négliger, conclut La Charente Libre, mais cela ressemble à un premier geste pour écoper une lame de fond. » États-Unis : Trump affaibli à l'approche de la présidentielle À la Une également, la fracture raciale, cette fois aux État-Unis : elle est désormais « au cœur de la présidentielle », constate Le Figaro. « Un incendie embrase l’Amérique. Censé être le garant de l’unité de la nation, son président a choisi d’attiser le feu, laissant libre cours à un narcissisme débridé. Donald Trump a fait un pari, pointe le journal. Il sera le candidat "de la loi et de l’ordre" face au chaos et à un rival démocrate peu charismatique qui promet de réduire les fractures raciale et sociale et de lutter contre l’injustice et les violences policières. » Et Le Figaro de s'interroger : « La crise sera-t-elle le bûcher des vanités de Trump, ou son tremplin pour un second mandat ? À 150 jours de la présidentielle, il est trop tôt pour le dire. » En tout cas, pour Le Monde, Donald Trump « se trouve désormais sur la défensive sur deux terrains, la pandémie et la question raciale, qui sont loin d’être les siens et sur lesquels sa gestion s’avère calamiteuse : 110 000 morts du Covid-19 et une incapacité ne serait-ce qu’à reconnaître la réalité du racisme dans la police. Sans compter la plus grave crise économique depuis la Grande Dépression des années 1930. Au démocrate Joe Biden (…) de prouver, s'exclame Le Monde, qu’il représente une alternative crédible à un président dont chaque parole, chaque acte depuis le meurtre de George Floyd, sonne comme un terrible appel au retour de la vieille guerre civile raciale américaine. »  

Revue de presse française
Revue de presse française - À la Une: relancer le pays sans relancer le virus...

Revue de presse française

Play Episode Listen Later May 7, 2020 5:06


C'est l'objectif du gouvernement, pointe Le Parisien : « le Premier ministre va présenter aujourd’hui à 16 heures les détails du plan de déconfinement, qui doit commencer lundi. (…) Matérialisation concrète : la carte des départements sera figée en zones rouges et vertes, indicateurs de la situation sanitaire des territoires et des règles qu’ils devront observer. Ce 7 mai serait, beaucoup l’ont martelé, plus crucial encore que le 11, relève le journal. Car 'c’est le moment des dernières vérifications avant de confirmer aux Français que le processus de déconfinement démarrera bien lundi', explique l’Élysée. (…) Reste à savoir, relève l'entourage d’Édouard Philippe, 'si à certains endroits les chiffres sont assez bons pour que l’on puisse avancer à la vitesse prévue'. » Reste aussi qu' « iI ne faut pas s’attendre à un retour à la normale pour autant, prévient Le Parisien. À l’Elysée, on martèle que le déconfinement 'se fera par étapes, avec un suivi minutieux et un premier retour d’expérience fin mai pour vérifier que les prochaines phases peuvent être enclenchées'. Au Sénat, Jean Castex, chargé de coordonner les opérations pour le gouvernement, a invité hier à la prudence. Pour éviter tout relâchement dans les comportements, il a ainsi mentionné la préparation 'd’un plan éventuel de reconfinement'. Les Français sont prévenus !  » Le casse-tête des transports collectifs D'autant que les écueils sont nombreux. « Déconfiner un pays en temps d’épidémie est une opération inconnue des manuels de sciences politiques, soulignent Les Dernières Nouvelles d'Alsace. Il s’agit autant de libérer les énergies que d’en canaliser les effets indésirables. Les transports collectifs en sont l’illustration. L’économie en a un besoin crucial. Mais leur redémarrage sans plan de conduite tenable peut tourner au cauchemar sanitaire. Il n’y aura pas de sources de propagation virale plus redoutables que des quais de gare ou des couloirs de bus encombrés. » En effet, renchérit La Provence, « Avion, train, bus, métro, tramway. C’est un ensemble aussi complexe que varié qui va tenter lundi de redémarrer dans les meilleures conditions. Avec en filigrane, un défi de taille : faire cohabiter des obligations de déplacements avec des règles sanitaires inédites. Le pari est très risqué notamment face aux craintes d’une deuxième vague de coronavirus. » Ecoles : toujours autant de questions... Autre écueil : l'école... Avec toujours autant de questions, relève Le Télégramme : « Combien d’élèves et enseignants prêts à reprendre ? Quel espace disponible pour faire respecter les mesures de distanciation ? Quelles activités pour les maternelles alors que les jouets seront interdits ? Quel équipement de protection ? Où faire manger les élèves… Autant de questions que se posent toute la communauté éducative et des parents toujours dans le flou. » Bref, commente Le Courrier Picard, « ce n’est donc pas un bon de sortie, qu’il faut attendre aujourd’hui d’Édouard Philippe. Tout juste une autorisation de reprendre le travail, de remettre les enfants à l’école, de faire un peu de shopping… Vivre un peu, en quelque sorte. De nombreuses zones d’ombre entourent encore ce semblant de retour à la vie normale. La seule chose dont les Français sont sûrs, c’est de leur besoin de prendre un peu l’air. » Et après ? Que changer ? Que sera le monde d'après ? Que va, que peut changer cette pandémie ? Dans un long entretien au Monde, Nicolas Hulot expose son point de vue... « Nicolas Hulot appelle de ses vœux un 'nouveau monde' pour rebâtir sur celui mis à genoux par l’épidémie de Covid-19. Pour l'ancien ministre de la Transition écologique et solidaire, qui a démissionné de son poste en août 2018, l’heure n’est pas aux divisions, aux querelles de partis ou à la recherche de responsabilités dans la crise. Le président de la fondation qui porte son nom appelle à l’unité, afin de définir un horizon commun. Au-delà des mesures urgentes pour le déconfinement, il propose une transformation sociale, écologique, économique, fiscale et démocratique 'radicale et cohérente', qu’il s’agisse de la lutte contre l’évasion fiscale, de la revalorisation de tous les métiers vitaux, du 'juste échange' ou de la création d’une troisième Assemblée. » Extrait de cette longue interview de Nicolas Hulot : « On vient de se prendre une énorme claque, beaucoup de responsables politiques me disent avoir compris que notre modèle n’est plus tenable, qu’on a atteint une rupture physique… J’espère que cette crise va éveiller les esprits, y compris celui d'Emmanuel Macron. A lui de profiter de ce moment pour engager un vrai changement de modèle. » L'Afrique épargnée Enfin, « Covid-19, pourquoi l'Afrique résiste » ; c'est le dossier de Libération ce matin... « C’est l’heureuse surprise de cette crise sanitaire, s'exclame Libération : l’Afrique semble - pour l’heure - relativement épargnée par le Covid-19. Pourtant, note le journal, dès l’apparition de l’épidémie en Chine et sa progression vers l’Europe, des déclarations alarmistes faisaient état d’une hécatombe à prévoir sur le continent. » L'Afrique résiste donc. « Du climat aux modes de vie en passant par la démographie, plusieurs facteurs pourraient expliquer le phénomène. » En fait, pointe Libération, « personne n’a pour l’instant d’explication certaine à ce miracle africain, juste des éléments qui, mis bout à bout, éclairent le phénomène. Ce qui est sûr, conclut le journal, c’est que l’Afrique est en train de donner des leçons au reste du monde. »

On Refait La Glace
S01E01 - Les transferts (partie 1)

On Refait La Glace

Play Episode Listen Later Aug 31, 2018 109:29


Enfin ! Après le trêve estivale, le nouvel épisode de la nouvelle émission dédiée au hockey français est sorti ! Animé par Mathieu et Matthieu, "On refait la glace" traitera de la Synerglace Ligue Magnus, de l'équipe de France mais aussi de D1 et de D2. Pour la première partie de cet épisode 1, nous avons réuni Laura Waibel, étudiante en criminologie et pigiste aux Dernières Nouvelles d'Alsace pour évoquer l'étoile noire, Étienne Blond qui nous parlera des gothiques d'Amiens et Pierre Blacksmith, commentateur Fanseat à Gap, pour traiter des rapaces. Dans cet épisode nous débattrons des transferts des clubs d'Amiens, de Gap, de Grenoble et de Strasbourg. Chacun à notre tour, nous vous donnerons notre avis sur le potentiel de chaque club ainsi qu'une projection sur le classement final. On espère de tout cœur que cet épisode vous plaira ! N'hésitez pas à nous faire parvenir toutes vos critiques, qui nous aideront grandement à progresser pour les futurs épisodes. Suivez nous également sur Twitter (@OnRefaitLaGlace), c'est là-bas que nous posteront toutes les informations relatives à l'émission, les futurs invités, les futurs thèmes. Si vous voulez participer à l'émission, en tant que consultant pour l'équipe que vous suivez, envoyez nous un mail à : onrefaitlaglace@gmail.com Bonne écoute. :)