Podcasts about laune

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La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Le Japon, l'Espagne et les Etats-Unis font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 2:58


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
A la Une, au Nigeria, la mort d'un homme qui appartenait à tout le monde, et à personne

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 3:51


Ce sont avec ces mots célèbres de Muhammadu Buhari que le Guardian rend un ultime hommage à l'ancien président, décédé hier, dimanche, à 82 ans. L'ex-chef d'État était « une figure centrale dans l'évolution militaire et démocratique du pays », juge le quotidien. D'abord soldat, chef de guerre, gouverneur militaire puis putschiste avant, vingt ans plus tard, de devenir président… Sa mort « annonce la fin d'un chapitre de l'histoire politique du Nigeria, » renchérit le Vanguard, un chapitre marqué « par la dualité de son service, d'abord en tant que chef d'État militaire entre 1984 et 1985, puis en tant que président démocratiquement élu, » entre 2015 et 2023. Et cette contradiction, selon le Sun, définit en réalité toute la vie de l'ancien chef d'État, « dont l'héritage est puissant bien que controversé. » Les uns, poursuit le quotidien, « saluent son intégrité, sa discipline et son dévouement à l'unité du Nigeria. » Les autres, au contraire, « dénoncent les difficultés économiques, les inquiétudes concernant les droits humains, et les promesses non tenues. »  Mais ce qui dérange surtout, selon le Guardian, c'est cette sévérité, sa « gouvernance rigide, et sa distance face aux levées de boucliers publiques, » pendant la crise « End SARS » (pour Special Anti-Robbery Squad, la brigade spéciale anti-braquage]contre les violences policières), en 2020. À lire aussiNigeria: la solidarité s'organise en ligne pour soutenir les manifestations Un président de plus en plus éloigné de la population Une distance illustrée par cette citation que reprend le Vanguard : « les jeunes nigérians veulent juste s'asseoir et ne rien faire. » Une remarque que la jeunesse a vue comme « minimisant leurs difficultés dans un climat économique difficile », rappelle le journal, et qui a « dévoilé la déconnexion générationnelle entre le pouvoir et la jeunesse, majoritaire », dans un pays où les deux tiers de la population a moins de 25 ans. En réalité, tance Le Monde Afrique, « son logiciel de pensée nationaliste semble usé, n'intégrant pas les aspirations » de jeunes Nigérians et Nigérianes que « Buhari ne parvient pas à comprendre, donc à satisfaire. » Autre facteur de division dans un pays aussi vaste qu'ethniquement riche, pour certains, l'ancien président est aussi coupable de « favoritisme envers les gens du Nord », dont il est lui-même originaire, écrit le Sun. Il faut dire, illustre le Monde, que l'ex-chef d'État avait pour habitude de confier « les postes les plus stratégiques, notamment sur le plan sécuritaire, à de vieux militaires originaires du nord. » Pour autant, depuis l'annonce de sa mort hier, de très nombreuses figures politiques du pays lui rendent hommage – car, conclut le Guardian, qu'il soit admiré ou détesté, « même ses opposants les plus durs l'admettent : [Muhammadu Buhari] a laissé une marque indélébile. » À lire aussiMuhammadu Buhari, ancien président du Nigeria, est mort à l'âge de 82 ans Un autre dirigeant du continent à la Une des journaux  Le président camerounais Paul Biya, qui a levé le suspense hier, en annonçant sa candidature à la présidentielle du mois d'octobre. Il n'y a pas vraiment de surprise, c'était plutôt, juge Wakat Séra, un « faux suspense » après plus de 42 ans au pouvoir : il tient « le haut du podium des doyens des chefs d'État en exercice dans le monde. » Après tout, ironise le journal, « il n'est âgé que de 92 ans ! » Le chef d'État a déclaré, sur le réseau social X, ‘répondre à l'appel du peuple camerounais.' D'autres candidats se sont, eux aussi, déclarés, mais « l'opposition peine à présenter un front uni, » souligne Jeune Afrique. Peut-être cette annonce présidentielle fera-t-elle office de moteur : elle « lance » en tout cas « la dernière ligne droite, » estime le magazine tandis que le Pays tient à « saluer le courage et la détermination de l'opposition qui mène un combat difficile, » face à un président qui donne l'impression d'avoir « fermé la porte et avalé la clé de l'alternance. » À lire aussiPrésidentielle au Cameroun: la certitude d'une candidature de Paul Biya fait divergence au sein du gouvernement

L'info en intégrale - Europe 1
Le Japon, l'Espagne et les Etats-Unis font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 14, 2025 2:58


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse française
À la Une: portrait du milliardaire français Vincent Bolloré

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 4:50


C'est le Nouvel Obs qui s'est penché sur la vie et l'empire médiatique du milliardaire, qui possède aussi bien la radio Europe 1, la chaîne de télé CNews que le Journal du Dimanche. Un homme puissant, donc, dont l'hebdomadaire dresse en filigrane le portrait :  « catholique à l'extrême », explique l'un de ses proches, qui le qualifie aussi de « mystique ». « Ses interlocuteurs », nous dit l'hebdomadaire, « ne sursautent plus lorsqu'ils l'entendent parler des anges, du diable, des "FDB", (forces du bien) ou des "FDM" (forces du mal). Dans la dernière catégorie, il englobe la gauche, la presse, la justice, les partisans de l'aide active à mourir. »   Il séduit à la fois la droite et l'extrême droite, pour lesquelles, selon le Nouvel Obs « le patron réactionnaire est un fantasme, un parrain dont on souhaite s'attirer les bonnes grâces, ainsi que celles de son empire médiatique. Bruno Retailleau, qui partage sa foi et son conservatisme, ne s'y est pas trompé, en l'invitant à déjeuner au ministère de l'Intérieur, en pleine campagne interne pour la présidence des Républicains » précise l'hebdomadaire.  Vincent Bolloré qui assiste assidûment à la messe, de préférence en latin. « La religion a aussi du bon pour ce séducteur invétéré », glisse perfidement le Nouvel Obs, séducteur « qui il y a une trentaine d'années, a quitté la mère de ses quatre enfants pour vivre avec la sœur de cette dernière ». Vincent Bolloré « reconnaît avoir beaucoup de choses à se faire pardonner ».  « En Ukraine, la mort vient du ciel ». C'est le titre d'un article du Point. Et si l'on a déjà beaucoup parlé de la bataille de drones qui se joue entre Kiev et Moscou, on connaît moins la tactique russe concernant la ville de Kherson, un temps passée sous occupation russe avant de redevenir ukrainienne. « Dans cette ville », raconte Boris Mabillard, l'envoyé spécial du Point, « une autre partie se joue, dans laquelle les drones russes pourchassent jusqu'à la mort des civils apeurés : un cauchemar quotidien où l'on voit des grands-mères tenter d'échapper clopin-clopant aux bombes volantes qui leur donne impitoyablement la chasse jusqu'à l'intérieur de leurs maisons ». « Car contrairement aux autres régions du front », nous explique-t-on, « à Kherson, les drones ne visent pas seulement les militaires et les infrastructures, mais aussi les civils ». Le prêtre orthodoxe Valentin, rencontré par le Point, estime que « l'armée russe a choisi Kherson pour former et entraîner ses pilotes de drones ». « Cela explique », dit-il, « qu'ils choisissent des proies faciles, des personnes âgées et même des animaux de ferme ».  Le prêtre estime que cette « cruauté est planifiée ». «Pour punir les habitants pro-ukrainiens qui ne les ont pas suivis lors de leur débâcle, quand la ville a été libérée ».   L'Iran, un mois après l'attaque d'Israël Faute de pouvoir s'y rendre, les journalistes interrogent les iraniens à distance. C'est ce qu'a fait l'Express cette semaine. Selon l'hebdomadaire, « dans le ciel iranien, les missiles se sont tus, mais l'angoisse continue d'étreindre la population iranienne. La question de l'avenir est sur toutes les lèvres, dans un pays déjà éprouvé par des années de répression politique et d'instabilité économique ». « On s'attend à de nouvelles attaques »  reconnaît Elaheh, une professionnelle du marketing qui s'interroge « sur la durabilité du cessez-le-feu »  « Mais la guerre a aussi suscité des sentiments ambivalents chez les Iraniens » , explique l'Express, « entre la crainte d'une escalade et l'espoir de voir le régime tomber ».  Une autre jeune femme, Zahra, avoue ainsi qu'elle espère que « la guerre n'est pas finie ». « Elle veut assister à la chute de la République islamique », poursuit l'Express et « soutient le fils du Chah, Reza Pahlavi, qui s'est dit disposé à rentrer en Iran.»  Et alors que des milliers d'Iraniens ont quitté le pays ces dernières années,   Zahra, elle « prie pour éviter l'exil » . « J'aime mon pays »  dit-elle. « Si le régime change, je ne quitterai pas l'Iran ». Un nouveau jour de gloire Du football, enfin, avec la finale du mondial des clubs…Finale qui se jouera ce soir aux Etats-Unis, entre le Paris Saint Germain et Chelsea. Le PSG ayant signé un brillant parcours, il part favori, notamment aux yeux de la presse française. Et particulièrement aux yeux du Parisien Dimanche qui titre déjà : « un nouveau jour de gloire ». « Le monde leur appartient », ajoute le journal, qui concède, tout de même, « enfin pas tout à fait, pas encore, pas au palmarès, mais dans les faits, oui ! »… Mais si le PSG gagne, pas question pour les supporters de célébrer la victoire sur les Champs Elysées. Ils seront fermés, en prévision du défilé du 14 juillet, demain. Une célébration d'un tout autre genre.

Les Grandes Gueules du Sport
La Une des GG : Le PSG est-il déjà l'une des plus grandes équipes de l'Histoire ? - 13/07

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 30:05


Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h00 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.

Einheiz3- Der Podcast
Das Pupskissen der guten Laune

Einheiz3- Der Podcast

Play Episode Listen Later Jul 13, 2025 31:35


Die Sonne scheint und wir auch. Viel Spaß!

Les Grandes Gueules du Sport
La Une des GG : Y a-t-il encore du suspens pour le maillot jaune ? - 12/07

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 25:36


Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h00 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.

Revue de presse internationale
À la Une: des drones tueurs à Gaza

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 3:48


C'est une révélation du journal en ligne + 972 : « L'armée israélienne utilise des drones de fabrication chinoise pour faire respecter les ordres d'expulsion à travers Gaza ». Des drones bon marché : ils coûtent « environ 3 000 dollars sur Amazon ».  Le fonctionnement est simple. « Une grenade à main est fixée au drone, et elle est larguée au sol, sur pression d'un simple bouton ». + 972 a recueilli le témoignage d'un soldat israélien, qui a « coordonné les attaques de drones dans un quartier de Rafah dont l'armée avait ordonné l'évacuation ». « Durant près de cent jours, les soldats ont mené des dizaines de frappes de drones, selon les rapports quotidiens de son commandant de bataillon », consultés par le journal en ligne. Selon ce soldat israélien, « ces frappes de drones avaient pour but de tuer, même si la majorité des victimes se trouvaient à une distance telle, qu'elles ne représentaient aucune menace. » Un autre soldat israélien témoigne : « il y a eu de nombreux incidents de largage depuis des drones ». « Visaient-ils des hommes armés ? », lui demande-t-on. « Certainement pas », répond-il. « Dès qu'un commandant définit une ligne rouge imaginaire que personne ne doit franchir, quiconque la franchit, est condamné à mort, même pour le simple fait de marcher dans la rue. » Révélations sur le crash du Boeing d'Air india Boeing qui s'est écrasé peu après son décollage le 12 juin, tuant 260 personnes. « Coupure des moteurs 1 et 2, en moins d'une seconde. Quelles sont les causes du crash de l'avion d'Air India ? »  interroge le Times of India, qui publie les conclusions du rapport d'enquête, selon lequel, « trois secondes seulement après le décollage, le carburant a été coupé sur chaque moteur, à une seconde d'intervalle ». Le rapport révèle également la confusion des pilotes dans le cockpit. L'un des pilotes demande à l'autre « pourquoi il a coupé le carburant. Et l'autre pilote répond qu'il ne l'a pas fait ». « Les enquêteurs, explique le Times of India, cherchent à déterminer si les interrupteurs ont été déclenchés manuellement, par inadvertance, ou par un dysfonctionnement du système. » Le Wall Street Journal, lui, cite un ancien enquêteur américain spécialisé dans les accidents, Jeff Guzetti. Selon lui, « s'ils avaient eu quelques centaines de mètres d'altitude ou 20 secondes de plus, les moteurs se seraient rallumés, auraient commencé à produire de la poussée et n'auraient pas percuté le sol ». « Les pilotes, dit-il, n'ont tout simplement pas eu assez de temps ni d'altitude pour se rétablir ». Tour de France : un jeune coureur français à l'affiche Son nom, Kevin Vauquelin, ne vous dira peut-être rien et pourtant il est actuellement 3ᵉ au classement général du Tour de France. Le Monde le trouve « épatant », assurant « qu'il bouscule les codes », qu'il est « d'une grande franchise, quand les micros sont tendus vers lui »et qu'il est « insensible à la pression comme aux conventions ». Jusqu'à présent, il s'était surtout illustré sur le dernier tour de Suisse, qu'il a terminé à la 2ᵉ place cette année. « Avec sa fraîcheur et son énergie, Kevin Vauquelin est le nouveau chouchou d'un public français à la recherche d'un successeur à Thibaut Pinot ou Romain Bardet, tous deux retraités du peloton », poursuit Le Monde. Et le jeune coureur de 24 ans porte sur ses épaules tous les espoirs d'une équipe Arkéa B and B hôtel, qui est « en fin de contrat » avec son sponsor. « L'énergie de Kevin Vauquelin, nous dit Le Monde, contraste avec l'incertitude qui crispe sa formation, en quête de partenaires pour assurer sa survie la saison prochaine ». Son manager se félicite : « un gars comme Kevin Vauquelin nous met en avant, il faut vendre cette équipe. » Car les gros sous ont leur importance. Pour assurer la survie de l'équipe, il faudra au moins « 20 millions d'euros ». Une jolie somme...

Pop nach 8
KALTE HERZEN, WARMES ESSEN! (Episode 180)

Pop nach 8

Play Episode Listen Later Jul 12, 2025 70:48


Andere machen Sommerpause, Marty und Andy von "Pop nach 8" machen gute Laune! In der neuen Ausgabe ihres Podcasts wird alles verhandelt, was Quote und Geld bringt: P.Diddy, die Gallagher-Brüder, die Scorpions, Bob Vylan, Kae Tempest und viele mehr. Schätze werden verlost, rote Fäden verloren, am Ende aber wird alles gut. "Pop nach 8", der Pop-Podcast aus Berlin. Überall dort, wo es Podcasts gibt. Und direkt bei popnach8.berlinKontakt: mail@popnach8.berlinWebsite: https://popnach8.berlin

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Brésil font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 3:05


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal?

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 4:14


Y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal ? Cette question est posée par plusieurs journaux sénégalais, et notamment par Dakar Actu, qui précise : « Sonko hausse le ton sur Diomaye ». « Lors d'une réunion du Pastef, hier, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye, évoquant une situation de plus en plus tendue dans les hautes sphères du pouvoir », poursuit Dakar Actu. « Alors que ses détracteurs demandent sa démission du gouvernement, le Premier ministre a profité de l'installation du conseil national du parti Pastef, pour mettre les choses au clair » annonce de son côté Le Soleil. « À travers une déclaration ferme et sans équivoque, il a réaffirmé sa légitimité à la tête du gouvernement et son engagement dans l'exercice du pouvoir », déclarant notamment : « je ne démissionnerai pas, je n'irai nulle part ». Sénégo, de son côté, précise que « le Premier ministre a profité de l'installation officielle du Conseil national du parti Pastef, pour critiquer la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye, face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un problème d'autorité ». Médias et démocratie Le Sénégal, où un chroniqueur de télévision, Badara Gadiaga, a été placé en garde à vue, accusé de « discours contraire aux bonnes mœurs ». Et l'on va reparler d'Ousmane Sonko. La garde à vue de Badara Gadiaga n'est pas passée inaperçue, aux yeux d'Afrique.com qui fustige « la dérive répressive d'un pouvoir qui s'annonçait révolutionnaire ». « Le journalisme d'enquête et les médias indépendants, autrefois considérés comme un pilier de la démocratie sénégalaise, subissent de plein fouet cette régression », accuse Afrik.com qui énumère : « des arrestations arbitraires, des interrogatoires à répétition, des menaces à peine voilées contre des organes de presse ou des journalistes connus pour leur indépendance : tout semble indiquer une volonté de verrouiller l'espace médiatique ». Et ce n'est pas tout, poursuit Afrik.com. « Ousmane Sonko qui fut un tribun de la liberté, n'hésite plus à dénoncer publiquement ceux qui s'opposent à lui comme étant des « saboteurs », « des ennemis de la nation » voire « des reliquats de l'ancien régime ». Afrik.com signe un éditorial sans concession, et questionne encore « ce revirement soulève une question fondamentale : Ousmane Sonko croyait-il réellement aux principes démocratiques qu'il proclamait, ou les utilisait-il uniquement comme des leviers pour accéder au pouvoir ? » Répression et interrogations au Togo… C'est à la Une d'Afrique XXI, qui titre : « Derrière la répression, un clan de plus en plus divisé » . « Depuis début juin » rappelle le site d'information, « des manifestations spontanées ont éclaté pour demander la libération du rappeur Aamron, dénoncer la gouvernance du pays et obtenir le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 ». Faure Gnassingbé qui le 3 mai dernier est devenu officiellement le président du Conseil, « sans limite de mandat ». « Le verre était plein », commente Kodjo, conducteur de taxi-moto interrogé par Afrique XXI. Et le journal en ligne précise que, « même au sein du parti présidentiel, l'Union pour la République, certains aspects du changement de régime ont eu du mal à passer ». « La tension a surtout pris de l'ampleur après la sortie de Marguerite Gnakadè, l'ex ministre de la Défense, qui a publié en mai dernier, une tribune feutrée mais avec un ton offensif », explique Afrique XXI. Dans cette tribune, elle estimait notamment que « trop souvent, le peuple togolais est réduit au silence et qu'il était temps que sa volonté soit respectée ». Mais pour l'heure, Faure Gnassingbé résiste. Afrique XXI le compare « à un sphinx qui a toujours su renaître de ses cendres après chaque poussée de fièvre politique, soutenu par les forces de l'ordre qui lui ont de nouveau fait allégeance le 3 mai » s'appuyant aussi sur « les divisions entre opposants ou membres de la société civile. Tandis qu'il reste bien souvent épargné par les condamnations à l'international, en premier lieu de la France, qui a toujours soutenu la famille Gnassingbé », conclut Afrique XXI.

L'info en intégrale - Europe 1
Le Royaume-Uni, les Etats-Unis et le Brésil font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 3:05


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

T-Online Tagesanbruch
Für dieses Problem hat Merz keine Antwort

T-Online Tagesanbruch

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 5:21


Friedrich Merz will gute Laune verbreiten – doch steigende Abgaben und vertagte Reformen drücken weiter auf die Stimmung. Den „Tagesanbruch" gibt es auch zum Nachlesen unter www.t-online.de/tagesanbruch Anmerkungen, Lob und Kritik gern an podcasts@t-online.de Den „Tagesanbruch“-Podcast gibt es immer montags bis samstags gegen 6 Uhr zum Start in den Tag, am Wochenende mit einer tiefgründigeren Diskussion. Verpassen Sie keine Folge und abonnieren Sie uns bei Spotify (https://open.spotify.com/show/3v1HFmv3V3Zvp1R4BT3jlO?si=klrETGehSj2OZQ_dmB5Q9g), Apple Podcasts (https://itunes.apple.com/de/podcast/t-online-tagesanbruch/id1374882499?mt=2), Amazon Music (https://music.amazon.de/podcasts/961bad79-b3ba-4a93-9071-42e0d3cdd87f/tagesanbruch-von-t-online) oder überall sonst, wo es Podcasts gibt. Wenn Ihnen der Podcast gefällt, lassen Sie gern eine Bewertung da.

Radikal glücklich mit Silja
#331: Wie dein Sommer mehr Leichtigkeit bekommt

Radikal glücklich mit Silja

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 33:10


Das Manuskript des Buches ist abgegeben und ich bin bereit für Leichtigkeit und Freude – eigentlich. Denn meist halten wir uns ja selbst vom leichten Leben ab, oder? Welche Schritte mir geholfen haben und wie du selbst mehr Leichtigkeit einladen kannst, darum geht es heute. Gespannt ob du auch ein paar Beziehungstipps für mich hast? Ich freu mich auf deine Gedanken. Lass gerne einen Kommentar auf www.gluecksplanet.com da und tagg mich auf Instagram oder schreib einen Kommentar auf Youtube, mit deiner Meinung. Mehr zum Thema Leichtigkeit findest du hier und hier. Mehr Sonne, Eis und gute Laune für alle bitte! Von Herzen,SiljaPS: Mehr von mir findest du auf meiner Seite:www.siljamahlow.deUnter Coaching meine Coachingprogramme und einen Link zu den von mir ausgebildeten Soul Coaches. Wenn du mehr zu ätherischen Ölen und Supplements erfahren willst oder mit mir dein Doterra - Business aufbauen willst – ich bin gerne an deiner Seite. Schreib mir einfach eine E-Mail an silja@siljamahlow.deMein zweites Buch Spiritual Leadership findest du überall. Hier ist der Link zum Buch. Mein erstes Buch findest du hier.Mentioned in this episode:Du bist bereit, andere zu begleiten? Willst Menschen dabei helfen, sich leichter, besser, freier und glücklicher zu fühlen? Dann schau dir meine Soul Coach Ausbildung an! Wir starten im September 2025 auf diese magische Reise. Ich teile alle meine Techniken mit dir. Hier ist dein Link: https://siljamahlow.de/meine-kurse/soul-coach-angebot-25/

Revue de presse Afrique
À la Une: y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal?

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 4:14


Y a-t-il un malaise à la tête du Sénégal ? Cette question est posée par plusieurs journaux sénégalais, et notamment par Dakar Actu, qui précise : « Sonko hausse le ton sur Diomaye ». « Lors d'une réunion du Pastef, hier, le Premier ministre Ousmane Sonko a publiquement exprimé son profond désaccord avec le président Bassirou Diomaye Faye, évoquant une situation de plus en plus tendue dans les hautes sphères du pouvoir », poursuit Dakar Actu. « Alors que ses détracteurs demandent sa démission du gouvernement, le Premier ministre a profité de l'installation du conseil national du parti Pastef, pour mettre les choses au clair » annonce de son côté Le Soleil. « À travers une déclaration ferme et sans équivoque, il a réaffirmé sa légitimité à la tête du gouvernement et son engagement dans l'exercice du pouvoir », déclarant notamment : « je ne démissionnerai pas, je n'irai nulle part ». Sénégo, de son côté, précise que « le Premier ministre a profité de l'installation officielle du Conseil national du parti Pastef, pour critiquer la tolérance du président Bassirou Diomaye Faye, face à certains comportements. Il estime que le pays souffre d'un problème d'autorité ». Médias et démocratie Le Sénégal, où un chroniqueur de télévision, Badara Gadiaga, a été placé en garde à vue, accusé de « discours contraire aux bonnes mœurs ». Et l'on va reparler d'Ousmane Sonko. La garde à vue de Badara Gadiaga n'est pas passée inaperçue, aux yeux d'Afrique.com qui fustige « la dérive répressive d'un pouvoir qui s'annonçait révolutionnaire ». « Le journalisme d'enquête et les médias indépendants, autrefois considérés comme un pilier de la démocratie sénégalaise, subissent de plein fouet cette régression », accuse Afrik.com qui énumère : « des arrestations arbitraires, des interrogatoires à répétition, des menaces à peine voilées contre des organes de presse ou des journalistes connus pour leur indépendance : tout semble indiquer une volonté de verrouiller l'espace médiatique ». Et ce n'est pas tout, poursuit Afrik.com. « Ousmane Sonko qui fut un tribun de la liberté, n'hésite plus à dénoncer publiquement ceux qui s'opposent à lui comme étant des « saboteurs », « des ennemis de la nation » voire « des reliquats de l'ancien régime ». Afrik.com signe un éditorial sans concession, et questionne encore « ce revirement soulève une question fondamentale : Ousmane Sonko croyait-il réellement aux principes démocratiques qu'il proclamait, ou les utilisait-il uniquement comme des leviers pour accéder au pouvoir ? » Répression et interrogations au Togo… C'est à la Une d'Afrique XXI, qui titre : « Derrière la répression, un clan de plus en plus divisé » . « Depuis début juin » rappelle le site d'information, « des manifestations spontanées ont éclaté pour demander la libération du rappeur Aamron, dénoncer la gouvernance du pays et obtenir le départ de Faure Gnassingbé, au pouvoir depuis 2005 ». Faure Gnassingbé qui le 3 mai dernier est devenu officiellement le président du Conseil, « sans limite de mandat ». « Le verre était plein », commente Kodjo, conducteur de taxi-moto interrogé par Afrique XXI. Et le journal en ligne précise que, « même au sein du parti présidentiel, l'Union pour la République, certains aspects du changement de régime ont eu du mal à passer ». « La tension a surtout pris de l'ampleur après la sortie de Marguerite Gnakadè, l'ex ministre de la Défense, qui a publié en mai dernier, une tribune feutrée mais avec un ton offensif », explique Afrique XXI. Dans cette tribune, elle estimait notamment que « trop souvent, le peuple togolais est réduit au silence et qu'il était temps que sa volonté soit respectée ». Mais pour l'heure, Faure Gnassingbé résiste. Afrique XXI le compare « à un sphinx qui a toujours su renaître de ses cendres après chaque poussée de fièvre politique, soutenu par les forces de l'ordre qui lui ont de nouveau fait allégeance le 3 mai » s'appuyant aussi sur « les divisions entre opposants ou membres de la société civile. Tandis qu'il reste bien souvent épargné par les condamnations à l'international, en premier lieu de la France, qui a toujours soutenu la famille Gnassingbé », conclut Afrique XXI.

radio-immo.fr, l'information immobilière
Projet de loi de finances 2026 : « J'ai déjà le profond sentiment que le budget de l'hébergement d'urgence ne sera pas touché ! », affirme François Jolivet, député de l'Indre et rapporteur du budget logement - A la Une des Quatre Colonnes

radio-immo.fr, l'information immobilière

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 12:43


À quelques jours du discours du Premier ministre François Bayrou tant attendu devant la presse le 15 juillet 2025, Matignon et Bercy font tout pour brouiller les pistes. Pour le moment, rien ne filtre à l'Assemblée nationale dans la salle des Quatre colonnes sur le sort du logement et sur les sujets prioritaires comme l'hébergement d'urgence, la réduction de loyer de solidarité (RLS), MaPrimeRenov' ou encore le PTZ . Au moment où les étudiants viennent de terminer leurs épreuves d'écrit du Baccalauréat, les parlementaires et notamment ceux de la Chambre haute planchent eux ardemment pour présenter une copie et présenter quelques préconisations pour redresser les finances publiques et trouver 40 à 50 milliards d'euros d'économies pour ramener le déficit à 4,6 %. D'autres pistes sont sur la table comme celle de la mise en place de la TVA sociale comme levier de financement de la protection sociale. Questionné par Radio.Immo, à l'issue de la commission des Finances, ce mercredi 9 juillet 2025, le député de l'Indre (Circonscription de Châteauroux, 52 000 habitants) François Jolivet, proche d'Édouard Philippe (groupe politique Horizons) alerte de nouveau sur la crise du logement. Le vice-président de la commission et rapporteur du logement à l'Assemblée nationale depuis huit ans après son premier rapport du PLF 2018 et spécialiste du sujet de la réforme des APL a la ferme conviction sur les prévisions du projet de loi de finances 2026 que « le budget de l'hébergement d'urgence ne sera pas touché. » La question majeure ? « C'est surtout de savoir quel sort sera donné au statut du bailleur privé concocté par Marc-Philippe Daubresse et Mickaël Cosson », confie le parlementaire dans la salle des Quatre Colonnes. C'est une opération qui vise à reconduire à l'identique certaines dépenses de l'Etat, sans tenir compte de l'inflation. Pour Henry- Buzy Cazaux, président de l'IMSI et tout récemment décoré de l'Ordre national du mérite par le Premier ministre à l'hôtel Matignon : « Que cela soit logement d'urgence, RLS, MaPrimeRenov' et la continuité du PTZ, ce sont des priorités marquées dans le marbre et sur ce qu'il sera très difficile de transiger. Par contre sur le statut du bailleur privé, on lui cherche des poux et la négociation sera plus fragile avec Bercy

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Projet de loi de finances 2026 : « J'ai déjà le profond sentiment que le budget de l'hébergement d'urgence ne sera pas touché ! », affirme François Jolivet, député de l'Indre et rapporteur du budget logement - A la Une des Quatre Colonnes

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Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 12:43


À quelques jours du discours du Premier ministre François Bayrou tant attendu devant la presse le 15 juillet 2025, Matignon et Bercy font tout pour brouiller les pistes. Pour le moment, rien ne filtre à l'Assemblée nationale dans la salle des Quatre colonnes sur le sort du logement et sur les sujets prioritaires comme l'hébergement d'urgence, la réduction de loyer de solidarité (RLS), MaPrimeRenov' ou encore le PTZ . Au moment où les étudiants viennent de terminer leurs épreuves d'écrit du Baccalauréat, les parlementaires et notamment ceux de la Chambre haute planchent eux ardemment pour présenter une copie et présenter quelques préconisations pour redresser les finances publiques et trouver 40 à 50 milliards d'euros d'économies pour ramener le déficit à 4,6 %. D'autres pistes sont sur la table comme celle de la mise en place de la TVA sociale comme levier de financement de la protection sociale. Questionné par Radio.Immo, à l'issue de la commission des Finances, ce mercredi 9 juillet 2025, le député de l'Indre (Circonscription de Châteauroux, 52 000 habitants) François Jolivet, proche d'Édouard Philippe (groupe politique Horizons) alerte de nouveau sur la crise du logement. Le vice-président de la commission et rapporteur du logement à l'Assemblée nationale depuis huit ans après son premier rapport du PLF 2018 et spécialiste du sujet de la réforme des APL a la ferme conviction sur les prévisions du projet de loi de finances 2026 que « le budget de l'hébergement d'urgence ne sera pas touché. » La question majeure ? « C'est surtout de savoir quel sort sera donné au statut du bailleur privé concocté par Marc-Philippe Daubresse et Mickaël Cosson », confie le parlementaire dans la salle des Quatre Colonnes. C'est une opération qui vise à reconduire à l'identique certaines dépenses de l'Etat, sans tenir compte de l'inflation. Pour Henry- Buzy Cazaux, président de l'IMSI et tout récemment décoré de l'Ordre national du mérite par le Premier ministre à l'hôtel Matignon : « Que cela soit logement d'urgence, RLS, MaPrimeRenov' et la continuité du PTZ, ce sont des priorités marquées dans le marbre et sur ce qu'il sera très difficile de transiger. Par contre sur le statut du bailleur privé, on lui cherche des poux et la négociation sera plus fragile avec Bercy

Revue de presse internationale
À la Une: l'accord sur l'immigration conclu entre la France et le Royaume-Uni

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jul 11, 2025 4:07


« Paris et Londres signent un accord sans précédent », titre Le Figaro, « un accord essentiel pour le Premier ministre britannique, soumis à une forte pression alors que les chiffres de traversées clandestines de la Manche sont à la hausse ». Le principe de cet arrangement est celui-ci, explique le quotidien conservateur : « les migrants arrivés sur de petites embarcations seront détenus et renvoyés en France dans les plus brefs délais. En échange, pour chaque retour, une autre personne sera autorisée à entrer au Royaume-Uni par une voie contrôlée, sûre et légale ». Un accord qui ne choque pas le Figaro, mais qui suscite la colère de Libération : le quotidien de gauche parle d'un « accord de la honte » et de « cruauté ». « La France et le Royaume-Uni veulent s'échanger des vies humaines pour combattre l'immigration », dénonce de son côté Médiapart, qui rappelle que « depuis le début de l'année, près de 21 000 migrants ont réussi à traverser la Manche à bord d'embarcations non-adaptées ». Le journal Le Monde estime toutefois que cet accord n'aura qu'une ampleur limitée. Selon le quotidien, « le nombre de personnes concernées devrait s'établir autour de cinquante par semaine ». Un accord également commenté par la presse britannique Le Guardian, par exemple, qui sans être enthousiaste souligne tout de même que c'est « la première fois que le gouvernement britannique augmente le nombre de voies d'accès sûres, permettant aux demandeurs d'asile d'atteindre la Grande-Bretagne ». Mais cet accès sera réservé à certains profils de candidats : « À ceux qui n'ont pas tenté d'entrer illégalement au Royaume-Uni », a précisé le Premier ministre Keir Starmer. Le Times publie de son côté un éditorial sans concession, estimant que « l'annonce faite par Starmer, ne risque pas de faire trembler les migrants dans leurs petits bateaux ». « Dans un avenir proche » ironise le quotidien britannique, « le Royaume-Uni restituera à la France une cinquantaine de petits bateaux par semaine et en retour cinquante autres bateaux arriveront dans l'autre sens, en toute légalité ». « Il n'y a pas si longtemps », ajoute le Times, « le Premier ministre avait excellé à souligner le ridicule du plan du gouvernement pour le Rwanda (…) c'était la décision dénuée de sens et non dissuasive des conservateurs. Cette fois-ci c'était la décision de Starmer, avec l'air mièvre et sévère qui le caractérise », assène le Times. La rapporteure spéciale de l'ONU pour les territoires palestiniens contre-attaque Francesca Albanese s'est attirée la foudre des États-Unis. « Le secrétaire d'État Marco Rubio », explique La Repubblica, a décidé de « lui imposer des sanctions » pour ses propos sur la situation à Gaza. Francesca Albanese estime « qu'on veut la faire taire alors que 60 000 personnes, dont 18 000 enfants, ont été tuées à Gaza. Il s'agit d'une tentative pour faire taire les accusations de génocide.  Avec Israël, les États-Unis « utilisent des méthodes mafieuses pour  m'intimider », accuse la rapporteure de l'ONU. En Israël justement, le quotidien Haaretz estime qu'Albanese « ne fait pas grand-chose, si ce n'est rédiger des rapports, faire du lobbying, prononcer des discours et publier des tweets ». « Elle cherche à créer un monde de bandes dessinées, opposant le bien au mal, où l'héroïsme palestinien affronte la violence et l'oppression israélienne. La date du 7 octobre 2023 », ajoute Haaretz, « n'apparait jamais dans son rapport. » Francesca Albanese, qui trouve plus de soutien, dans les colonnes de l'Orient le Jour. Le quotidien francophone libanais parle « d'une voix propalestinienne que les États-Unis cherchent à faire taire (…) son franc-parler et ses prises de position dérangent et polarisent largement ».  « Mais elle incarne », nous dit l'Orient-le-Jour, « une voix internationale indispensable, aux yeux des Palestiniens, pour mettre la lumière sur les agissements de l'État hébreu dans les territoires occupés ».   

Baywatch Berlin
Der Verspätungs-Wüterich

Baywatch Berlin

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 85:03


Man kennt das ja: Es ist zwar offiziell der erste Tag des Urlaubs (hier: Summer Breeze), aber ein echtes, entspanntes Feriengefühl will sich einfach noch nicht so recht einstellen. Zu sehr steckt einem der Alltag noch in den Knochen (Garagentor kaputt), und die Anreise war auch zu stressig (mit dem Moped durch den Regen). Wenn dann am Zielort (Studio Bummens) angekommen 1. überhaupt nicht das freundlich winkende Hotelpersonal auf einen wartet, sondern Schmitt & Lundt, die nur darauf warten, ihre muffige Laune an jemandem auszulassen, der UNVERSCHULDET ein bisschen zu spät kommt, und 2. Jakob währenddessen eine schrullig teure Prominentenhose mit ulkigem Muster trägt, dann wird es ja wohl erlaubt sein, DAS MAN (Klaas) KOMPLETT AUSFLIPPT. Ja, vielleicht hat er ein paar Mal „Wichser“ gesagt. Und dennoch ist es doch wohl nicht so schwer zu verstehen, dass mit diesem „Ihr seid dumme Wichser“ die SiTuATIoN gemeint ist und nicht die zwei Leute, die Klaas konkret als Wichser angesprochen hat. Ist alles total logisch – zumindest für Klaas. So kann man es doch als schönen Belastungstest werten, dass nach dieser Eruption tatsächlich noch in aller Ruhe ein kompletter Podcast vollgeplaudert wurde. Wenn man die meisten Themen, die verhandelt wurden, in einen gemeinsamen Zusammenhang bringen müsste, wäre dieser wohl folgender: Wie lange darf man seinen Jimi Blue unzugeknotet im Hausflur stehen lassen, bis der Gefangenentransport ihn in die Mülltonne nach Österreich ausliefert? Wie hat sich Jakob so schlimm seine Klampe entzündet? Und warum bringt Thomas Jakob bei, wie man einen Knoten macht? Private Anschlussfrage: Wie kann man eigentlich 39 Jahre alt werden, OHNE einen Knoten zu können? Aber wisst ihr was? Kann uns eigentlich komplett egal sein, denn ab jetzt heißt es für viele Wochen: Gehirn aus, Summer Breeze an! Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/BaywatchBerlin * * * Vielen Dank an Heinz Strunk, dem Wels und Rettungsschwimmerin Sabrina seine Stimme leiht. * Einen Danke an Julia Damm für das Summer-Breeze-Cover 2025 https://www.instagram.com/julia_damm_arts * Sound und technische Produktion: Christian Pfeiffer Executive Producer: Konstantin Seidenstücker

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Les États-Unis, l'Espagne et l'Égypte font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 3:10


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: peut-être un nouveau pas vers la paix dans l'est de la RDC

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 4:01


C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ».  Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait  Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ».  Des turbulences pour le clan présidentiel  Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' »  À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».

L'info en intégrale - Europe 1
Les États-Unis, l'Espagne et l'Égypte font la Une de la presse internationale

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 3:10


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse internationale
À la Une: les vies emportées par les inondations éclair au Texas

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 4:16


C'est le titre choisi par le New York Times ce matin, après les pluies diluviennes de la semaine dernière. Le bilan des crues meurtrières qui ont suivi ne cesse d'augmenter : « près de 120 morts dans tout l'État », recense le Dallas Morning News, auxquels il faut ajouter les 173 personnes toujours portées disparues. « Les eaux ont monté, et monté, et monté encore ; (…) beaucoup ont péri dans l'obscurité, dans les eaux rageuses, entraînés hors de leurs voitures, de leurs cabines, maisons ou mobile-homes ». Dans les débris, les secours poursuivent leurs recherches : « à des kilomètres à la ronde, (…) les autorités (...), ainsi que des bandes de volontaires, fouillent la rivière, (…) retournant des gravats à la main, jetant des coups d'œil dans des voitures froissées pour trouver le moindre signe des disparus », raconte le Washington Post. Mais, comme l'explique un volontaire, l'espoir est mince : « on cherche surtout des dépouilles ou des parties de corps. (…) N'importe quoi pour permettre à ces familles de tourner la page ».  Les habitants en quête de réponses  « Qu'est-ce qui aurait pu être fait de plus, au niveau des alertes et des évacuations ? » Le Dallas Morning News s'interroge, car, relate-t-il, « les cadres locaux ont, de manière répétée, esquivé les questions sur le suivi de la météo et les mesures prises en avance ». Pire encore, dans certains comtés, il n'y a tout simplement pas de système d'alarme, malgré « des discussions, depuis des années, sur la nécessité d'un tel dispositif ».  Surtout, l'absence d'une personne a peut-être tout changé, révèle le New York Times : « l'employé du service météo chargé de s'assurer de la diffusion des alertes, (…) a récemment pris sa retraite anticipée, sur fond de coupes budgétaires voulues par le Doge », le département chapeauté à l'époque par Elon Musk. Cet employé n'a pas été remplacé. « Pour un gratte-papier de Washington, cette perte avait peut-être l'air d'une soustraction minime, mais bienvenue, sur une feuille Excel géante ». Mais le résultat concret, « dans une région si propice à ces événements qu'elle est surnommée l'Allée des crues éclair » est, assène le quotidien, que, « alors que les eaux montaient, une voix, indispensable, restait silencieuse ».  Le Texas est sous les eaux, et pendant ce temps, tout aussi violemment, les flammes ravagent le reste du monde : le Canada, l'Espagne, le sud de la France. Certains pays sont encore épargnés, mais en Belgique, Le Soir ne s'y trompe pas : « c'est ce qui nous attend », titre le quotidien. « Toute l'Europe sera bientôt touchée, explique un climatologue : avec des étés "très secs" et des forêts très malades, parce que les arbres ne sont plus adaptés aux fortes chaleurs ». Cette perspective est maintenant inévitable, alors, une seule solution pour cet expert : « cartographier les zones à risques », « équiper les pompiers », bref, « investir ». L'événement musical du moment  La tournée du groupe britannique Oasis, réunion inespérée après 15 ans de brouille pour le moins rock'n'roll entre les frères Gallagher. Et cette série de concerts fait couler beaucoup d'encre… au Royaume-Uni, les journaux se gargarisent du retour de ce pur produit anglais ; en France, Libération se désole plutôt de « ces images des vieux crabes revenus faire "un tour de piste" et "du passé qui refuse de mourir" »  Mais il y a une dimension, « moins commentée et plus douloureuse », grimace le titre : Oasis, c'est, au départ, surtout « des gamins issus de familles modestes et dysfonctionnelles parquées dans cités-dortoirs, promis à un non-avenir total ». Ces racines, aussi lointaines soient-elles, « ont eu de l'importance dans la construction du groupe », qui a « joué jusqu'à l'outrance de son image prolo ». Sauf que ces origines précaires n'existent plus sur la scène musicale actuelle. D'après Libé, « la proportion de musiciens issus de la classe ouvrière a été divisée par deux depuis les années 1970 ». Oasis se reforme parce que cela représente une manne commerciale, c'est certain ; parce que les fans le réclament à cor et à cri depuis 15 ans, sans doute ; mais surtout, conclut Libération amèrement, « Oasis se reforme parce qu'on vit dans un monde où les possibilités qu'émerge un nouvel Oasis sont minces ». 

Revue de presse Afrique
À la Une: peut-être un nouveau pas vers la paix dans l'est de la RDC

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 10, 2025 4:01


C'est « le défi de Doha », avec cette interrogation de Jeune Afrique : « Kinshasa et le M23 peuvent-ils trouver un accord ? ». Il y a une semaine, la République démocratique du Congo et le Rwanda ont trouvé un accord, sous la houlette américaine ; à présent, raconte le magazine, « un nouveau round » de discussions va avoir lieu, « cette fois entre les autorités congolaises et les rebelles du M23, que soutient le Rwanda ». Avec un objectif que rappelle Actualité.cd : « aboutir également à la signature d'un accord de paix » pour « mettre fin aux hostilités dans l'est de la RDC ».  Une perspective à laquelle le New Times, au Rwanda, ne croit pas vraiment : « aucun texte final n'est prêt à être signé au Qatar, contrairement à ce que prétendent les réseaux sociaux », a affirmé au journal un porte-parole des rebelles. Ces derniers multiplient les prises de parole publique, dont une conférence de presse la semaine dernière au cours, relate Jeune Afrique, ils « ont énoncé une série de ‘mesures de confiance' censées faciliter la suite des discussions » - dit autrement, des doléances pour la suite du processus… L'AFC-M23 « n'a pas l'intention, alors qu'il a eu l'avantage sur le terrain militaire, de subir la discussion », juge une source diplomatique auprès du site spécialisé. Rien n'est encore fait  Certes, « les Étasuniens ont forcé tout le monde à jouer carte sur table ». Pour autant, « les deux protagonistes poursuivront-ils dans cette voie ? ». Rien de moins sûr pour Afrique XXI, qui rappelle, pessimiste, que « la réalité a d'autres facettes ». D'autant que, dans l'accord de principe signé la semaine dernière, « aucune mesure contraignante ne semble avoir été prise à l'encontre » de l'AFC-M23, ni pour les forcer à faire preuve de bonne foi, ni sur la gouvernance des territoires conquis, gérés « avec la brutalité d'une force d'occupation ». Et puis, insiste encore le journal, le président congolais Félix Tshisekedi « a besoin d'un succès diplomatique à son actif et les apparences d'un accord pourraient lui suffire ».  Des turbulences pour le clan présidentiel  Plusieurs proches de Félix Tshisekedi sont attaqués en justice en Belgique. Un dossier « lourd de plus de cinquante pages » raconte l'Observateur Paalga, après le récent rapport d'une ONG dans lequel « il était question d'une prédation du clan Tshisekedi, dont une dizaine de membres posséderaient des exploitations minières au Katanga », explique le journal. « Sale temps pour le régime Tshisekedi ! » renchérit le Pays… Car cette situation, juge le journal « pointe directement du doigt la gouvernance du successeur de Joseph Kabila, qui promettait pourtant de faire dans la rupture ». Un scandale dont le chef d'État se serait bien passé, lui qui « ne sait déjà pas où donner de la tête avec la grave crise sécuritaire dans l'est du pays ». Entre « un contexte sociopolitique continuel conflictuel » et « une gestion jugée chaotique », la situation « n'est guère reluisante… » et à des milliers de kilomètres de là, soupire Afrique XXI, « depuis Bukavu, Goma, Masisi, Kalehe, loin des joutes diplomatiques, un seul cri nous parvient : ‘et nous, maintenant ? qu'allons-nous devenir ?' »  À la Une également, la situation tragique au Darfour En un peu plus de deux ans de guerre au Soudan, le conflit a déplacé 11,3 millions de personnes, et les camps de déplacés sont surchargés. Particulièrement donc le Darfour du nord, qui « abrite 18% du nombre total de personnes déplacées » du pays, explique le Monde Afrique. Les besoins en nourriture, énormes, sont difficilement satisfaits : « l'acheminement de l'aide jusqu'au Darfour est un véritable défi logistique. Les chaînes d'approvisionnement évoluent avec le déplacement de la ligne de front », mais aussi au gré des autorisations de transit, et des blocages des routes. Et, ajoute le quotidien, « à l'urgence alimentaire s'ajoute le risque sanitaire », car la surpopulation des camps « favorise la propagation des maladies » avec le risque notamment d'une épidémie de choléra. Et pour encore compliquer la situation, il y a le « manque de protection apporté aux infrastructures de santé » et « la diminution de l'aide publique au développement ». D'ici la fin de l'été, conclut le Monde, « le programme alimentaire mondial prévoit la rupture de plusieurs canaux d'approvisionnement », aggravant encore ce qui ne peut plus qu'être appelé « une tragédie humanitaire ».

Revue de presse Afrique
À la Une: le président américain Donald Trump se tourne vers l'Afrique

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 4:04


« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ».  Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ».  Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ».  Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ».  De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique  L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ». 

Revue de presse Afrique
À la Une: le président américain Donald Trump se tourne vers l'Afrique

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 4:04


« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ».  Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ».  Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ».  Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ».  De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique  L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ». 

SRF 3 punkt CH
Wer steckt hinter Child?

SRF 3 punkt CH

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 55:26


Neue Musik entdecken wir heute aus Ostermundigen bei Bern. Sie heisst als Künstlerin Child, und mit bürgerlichem Namen Christa Bucherer. Sie ist ansteckend fröhlich, bringt gute Laune und Musik, die das Potenzial hat, auf eure Lieblingssong-Playlist zu kommen! Wenn man «Child» googelt, findet man vieles – aber keine Berner Musikerin, die als Handarbeitslehrerin arbeitet. Warum also wählt eine aufstrebende Schweizer Künstlerin ein so gängiges englisches Wort? Wie Christa Bucherer, ihr bürgerlicher Name, erzählt, passt «Child» perfekt zu ihr – denn das Konzept vom Erwachsensein verstand sie nie so richtig und fühlt sich auch in ihren 30ern ab und zu noch wie ein Kind.

Revue de presse internationale
À la Une: l'Ukraine face aux volte-faces de l'administration Trump

Revue de presse internationale

Play Episode Listen Later Jul 9, 2025 4:10


Kiev va-t-elle, oui ou non, bénéficier de plus d'armes américaines ? Lundi, Washington suspendu les livraisons de munitions. Donald Trump a finalement décidé l'inverse, mais ce « revirement n'est pas de nature à rassurer Kiev, écrit le Figaro, tant le président américain a soufflé le chaud et le froid depuis qu'il est entré en fonctions », humiliant un jour Volodymyr Zelensky, alpaguant violemment Vladimir Poutine quelques semaines plus tard, comme il l'a fait hier sur les réseaux sociaux.  Surtout, il semblerait que l'administration américaine elle-même ne parvienne pas à accorder ses violons, puisque, rappelle le Washington Post, de tels arrêts et remises en route des livraisons « ont déjà eu lieu en février et en mai ». Une apparente confusion, qui « embarrasse le chef d'État tout en démontrant un manque de détermination à la Russie ». Pour redorer le blason américain, une seule option, juge le Post : « Donald Trump doit engager, de nouveau, les États-Unis dans la cause ukrainienne ». D'autant que, abonde le New York Times, « l'agacement [du président américain] vis-à-vis de Vladimir Poutine date d'avant cet épisode » et qu'en se montrant « prêt à laisser l'Ukraine sans défenses fortes, M. Trump s'est retrouvé avec peu de moyens de pression pour pousser M. Poutine à négocier ».  Pendant ce temps, l'armée russe poursuit ses opérations… Cette nuit, l'armée russe a lancé une attaque massive de drones et de missiles contre plusieurs villes ukrainiennes, dont Kiev. Face aux tergiversations américaines, Moscou « gagne du temps pour profiter de son avantage sur le terrain », analyse le Figaro. Et après des mois d'hésitations, de frilosité, voire d'hostilité, à Kiev, la prudence reste de mise. Le Devoir, au Canada, raconte ainsi que « des élus et des analystes » de la capitale ukrainienne « ne s'attendent pas à un changement complet de cap en matière militaire : (…) l'Ukraine ne peut plus compter sur les dons d'armes des États-Unis, alors que la politique américaine se recentre sur le Moyen-Orient et la région indopacifique ». Un homme politique ukrainien, interrogé par le Devoir, se montre tout de même prudemment optimiste : « Trump comprend maintenant qu'il ne peut pas compter sur Poutine pour négocier sérieusement ».  Deux hommes opposés et pourtant pas si différents  C'est la théorie mise en avant par le Kyiv Independent dans un article qui se propose d' « observer la guerre à travers la lentille du narcissisme ». Car Donald Trump et Vladimir Poutine « ont tous les deux maîtrisé l'art de transformer des blessures collectives en mythologie » - « dans le cas de la Russie, la chute de l'Union soviétique a laissé une profonde cicatrice psychologique (…) et l'Ukraine, dans ce mythe, n'est pas un pays souverain, mais l'enfant mal éduqué d'un empire anciennement puissant ». Et dans le cas des États-Unis ? « La promesse trumpienne de "rendre sa grandeur à l'Amérique" n'était pas juste un slogan, c'était un baume discursif pour ceux qui se sentent abandonnés, invisibles, ou désorientés ». Car, psychoanalyse le journal, « le narcissisme, qu'il soit personnel ou collectif, ne naît pas dans l'arrogance – il naît dans la douleur ». Plutôt que de « retourner à une gloire passée » en espérant guérir, aussi bien les États-Unis que la Russie feraient mieux de rechercher « la communion avec les autres » et pas « le pouvoir sur eux ».  Et puis, faut-il aller visiter le Machu Picchu ? C'est le Monde qui se le demande car « avec plus d'un million et demi de visiteurs annuels, le site (…) est le plus visité du Pérou ». Ce qui lui aurait « fait perdre de sa superbe » au point, raconte le quotidien, qu'une plateforme spécialisée dans le tourisme l'a classé en site « qui ne vaut plus la peine ». Et pour cause : « les visiteurs ne peuvent rester plus de quatre heures sur place », leur nombre élevé « provoquerait érosion et détérioration des chemins » et les prix sont « trop élevés » voire « complètement disproportionnés » : dans la région, pointe Le Monde, « il n'est pas rare de trouver un café noir vendu 5 euros, » le prix habituel d'un plat complet au restaurant. Bref, le Machu Picchu, Bali et Venise seraient désormais dans le même bateau… À Cuzco, on réfléchit donc « à des stratégies pour faire face au tourisme de masse », encore faut-il que les visiteurs fassent leur part… Or, grimace le Monde, « chez les touristes, le message ne semble pas encore passé ». 

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
L'Irlande du Nord, l'Égypte et le Kenya font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 3:07


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: le Kenya partagé entre deuil et colère après la journée de Saba Saba

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 8, 2025 3:53


Cela fait 35 ans que, tous les 7 juillet, le pays commémore ce jour de 1990, durant lequel une foule immense s'est réunie contre le président Daniel Arap Moï. Plus de trois décennies plus tard, « l'esprit intrépide et sans tribu de Saba Saba a été ravivé chez les jeunes » écrit The Standard, et ce, malgré les tentatives des policiers « qui ont utilisé tout ce sur quoi ils ont pu mettre les mains – fil barbelé, herses, ruban de scène de crime – pour (…) paralyser le mouvement dans la capitale ». Il faut dire que cette année, la date anniversaire intervenait dans un contexte particulier, voire « brûlant et violent, » estime Aujourd'hui au Faso, marqué « depuis un mois » par l'agacement grandissant de « manifestants qui sont vent debout contre le pouvoir (…) qui a imposé des taxes drastiques, et dont les sécurocrates ont multiplié (…) les brutalités contre la population ».  Pour le Daily Nation, c'est simple : ce Saba Saba aura été « un rappel brutal du niveau de régression sous la férule de William Ruto ». Le journal kényan s'insurge particulièrement de l'alliance, selon lui « très visible » entre l'appareil de sécurité nationale et « des gangs criminels embauchés » par le pouvoir, une « incursion inquiétante, pointe le quotidien, dans le règne de la terreur et de l'anarchie, antithétiques de la démocratie et du respect des droits de l'Homme ». Accusées, aussi, par la commission kényane des droits humains, les autorités nient fermement d'avoir eu recours à des bandes armées.  Le fossé se creuse entre pouvoir et population C'est l'avis du Pays qui pointe que « les manifestations récurrentes » depuis un an, et la mise en place de nouvelles taxes, « sont le signe de la rupture de confiance » entre le peuple et ses dirigeants ; et le Standard renchérit : « la confiance entre les citoyens kényans et les policiers a été totalement épuisée par les récents événements, qui ont attiré la honte sur le pays au niveau international ». Car chaque manifestation, y compris le Saba Saba d'hier, est endeuillée par des dizaines de victimes… Dix morts au moins hier lundi… 19 fin juin… or, tance Le Pays, « la violence aveugle n'a jamais arrêté un peuple déterminé, bien au contraire ». Plutôt que de s'épuiser en dispositifs sécuritaires sophistiqués et en répressions meurtrières, le pouvoir ferait mieux de changer de stratégie et de « trouver des réponses adéquates aux préoccupations » de la population. Et le Daily Nation enfonce le clou : « un jour, ceux dont les mains sont tachées de sang apprendront que le crime ne paie pas ».  Des évolutions pour le football féminin sur le continent  C'est un article du Monde Afrique qui s'intéresse à cette discipline, à l'occasion de la CAN féminine au Maroc ! « Pas homogène sur l'ensemble du continent », le foot féminin connaît néanmoins « un essor spectaculaire, » s'enthousiasme le quotidien. Et, principal témoignage de cet essor, le nerf de la guerre : l'argent… avec des primes qui ont, raconte le Monde, « augmenté de manière substantielle » puisque l'équipe gagnante « empochera un million de dollars, soit le double de ce qu'avait perçu l'Afrique du Sud » lors de la précédente édition, en 2022.  On reste tout de même encore loin des chiffres côté masculin : pour 12 équipes féminines, la CAF distribuera près de trois millions et demi de dollars ; chez les hommes, pour 24 sélections, ce sont 21 millions de dollars distribués. À cela, il faut ajouter un autre problème, pointe le quotidien : « en Afrique, de nombreuses fédérations dépendent plus ou moins, économiquement, des États » - en clair, « le développement du football féminin (…) repose en partie sur les aides publiques ». Or, dans certains pays de culture patriarcale, « il n'est pas rare que (…) la pratique du football par les femmes ne soit pas toujours bien acceptée ». Il n'empêche : le mouvement est enclenché, « sur les 54 fédérations affiliées à la CAF, 47 ont aujourd'hui une sélection nationale 'A' féminine ». La balle est désormais dans le camp des États. 

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Le Brésil, les Etats-Unis et l'Algérie font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 3:08


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse Afrique
À la Une: l'affaire Boualem Sansal continue de faire couler de l'encre

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 7, 2025 4:16


Les proches de l'écrivain franco-algérien attendaient, espéraient, et pourtant : pas de grâce présidentielle pour Boualem Sansal, ce week-end, à l'occasion de l'anniversaire de l'indépendance algérienne. Et ce, quelques jours après que l'auteur a été condamné à cinq ans de prison ferme. Rien d'étonnant, pour Tout sur l'Algérie, qui rappelle que « en vertu du droit algérien, la grâce présidentielle est accordée uniquement aux détenus définitivement condamnés », ce qui n'est pas le cas de l'écrivain, puisqu'il peut se pourvoir en cassation, même s'il a annoncé ne pas le faire.  Dans ce cadre, s'interroge Le Monde Afrique, la réaction d'Alger est-elle « une posture de défi » vis-à-vis de la France, qui réclame depuis huit mois la libération de Boualem Sansal, ou est-ce plutôt « une affaire de calendrier renvoyant l'inévitable élargissement [de l'auteur] à une date plus opportune ? »  C'est cette deuxième hypothèse que privilégie le quotidien, même si, admet Le Monde, les autorités algériennes « se sont bien gardées d'éclairer sur leurs arrière-pensées ». Et le quotidien va même plus loin : « Tout conduit à penser, veut-il croire, qu'Alger veut crever l'abcès diplomatique, (…) une tâche sur l'image du pays et un carburant idéal » pour les « campagnes anti-algériennes » en vogue dans certains milieux politiques.   Mais ce n'est pas la théorie majoritaire dans les médias Le Monde avertissait pourtant : il faut analyser la situation « sans céder à l'illusion » d'un « prétendu acharnement contre l'écrivain ». Mais rien n'y fait : pour Le Point Afrique par exemple, les événements de ces derniers jours marquent rien de moins qu'une « nouvelle étape dans l'affrontement structurel entre la France et l'Algérie », qui se cristalliserait autour de Boualem Sansal et d'un président Tebboune aux airs « d'empereur qui baisse ou lève le pouce dans l'arène d'el Mouradia, faisant ainsi savoir le destin de son prisonnier ». Le Monde a beau rappeler que le régime algérien « est un point d'équilibre précaire et fluctuant » entre l'administration, l'armée et les services, que l'opinion est « hostile » à l'écrivain… Le Point persiste : on serait désormais, selon l'hebdomadaire, dans un « affrontement total » et « frontal ». De quoi donner de l'eau au moulin de Tout sur l'Algérie, qui accuse la droite française de « reprendre [ses] attaques virulentes » contre le pays, malgré une méthode qui « a montré ses limites et qui a contribué à éloigner tout apaisement entre les deux pays ». Qu'importe, pour le Point, c'est certain : « L'affaire Sansal ne fait que commencer. » Dit autrement, et pour reprendre les termes du 360 au Maroc : on est encore loin de la « suite et fin » de cette affaire aux airs de « suite sans fin ». Quel sort pour les familles « déguerpies » en Côte d'Ivoire ?  À quelques mois de l'élection présidentielle, l'opposition s'est saisie de cette question. L'occasion pour Jeune Afrique de s'y pencher, dans un long reportage en périphérie d'Abidjan. Ces derniers temps, les opérations de déguerpissement ont été monnaie courante en périphérie de la capitale économique, jusqu'à, rappelle le magazine, « susciter des tensions au sein du RHDP, le parti au pouvoir », en raison « du manque de concertation avec les élus locaux, de la violence des moyens employés, et la plupart du temps, de l'absence de compensation financière ou de relogement » des concernés. Sans que l'on sache, d'ailleurs, leur nombre exact : les autorités parlent de plus de 8 500 ménages affectés, la société civile table plutôt sur 20 000 foyers, écrit le magazine. Au-delà de la méthode, ces évacuations forcées posent une question, insiste Jeune Afrique : celle de « l'aménagement d'Abidjan », particulièrement en pleine saison des pluies, alors que les images de rues inondées fleurissent sur les réseaux sociaux. C'est d'ailleurs l'argument mis en avant par les autorités, celui de la salubrité et des dangers posés par les habitations de fortune : « On peut dire que [ces opérations] sont méchantes, mais je les préfère vivants que morts », assène ainsi une ministre.

Revue de presse française
À la Une: l'inquiétude pour Boualem Sansal et Christophe Gleizes

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 4:31


Tous deux sont emprisonnés en Algérie, l'écrivain franco-algérien, et le journaliste français. Boualem Sansal espérait une grâce présidentielle, vendredi 5 juillet, jour de l'indépendance. Il n'en a rien été. Alors que l'écrivain de 80 ans, qui souffre d'un cancer, vient d'être condamné à cinq ans de prison ferme, « Paris attend maintenant un geste humanitaire pour qu'il soit libéré », annonce La Tribune Dimanche. Mais « depuis quelques mois », remarque le journal, « une seule thèse a droit de cité dans le pays : l'auteur algérien, naturalisé français l'an dernier, est un "traître" qu'il faut maintenir en prison ». Boualem Sansal est accusé d'avoir remis en cause les frontières de l'Algérie. « Il n'a pas bonne presse dans l'opinion publique », ajoute la Tribune Dimanche, pour qui « le maintien en détention de Boualem Sansal n'arrangera pas les relations algéro-françaises, déjà au point mort ». Une autre affaire ravive les tensions entre les deux pays… Le journaliste sportif français Christophe Gleizes vient d'être condamné à sept ans de détention en Algérie pour « apologie du terrorisme ». « Il paie les mauvaises relations entre la France et l'Algérie, disent ses soutiens, qui veulent mobiliser le monde du football » explique la Tribune Dimanche qui voit en Christophe Gleizes, « une victime collatérale ». Il est poursuivi pour avoir interviewé un dirigeant aujourd'hui en exil de la Jeunesse Sportive de Kabylie, également à la tête d'une organisation considérée comme « terroriste » par les autorités algériennes. Christophe Gleizes était en résidence surveillée depuis 13 mois, mais les autorités françaises avaient demandé à ses proches « de rester discrets ». « Ce silence n'aura en rien été payant », constate la Tribune Dimanche. « Les soutiens du reporter de 36 ans ont donc décidé de passer à un ton plus offensif. » L'ONG Reporters sans frontières, « qui suit l'affaire depuis le début », « veut mobiliser le monde du football, sport roi en Algérie ». » Quelques clubs, comme l'OGC Nice ou le Paris FC, ont déjà apporté leur soutien au journaliste (…) La famille du reporter en appelle aussi à une implication de Zinédine Zidane, qui est d'origine algérienne ».  « Un coup de gueule » dans l'Express Celui de la journaliste Marion Van Renterghem, spécialiste de l'Europe, une Europe qui, dit-elle, « ne sait plus où elle habite ». « Chez elle, sur son propre continent, elle n'a pas les moyens militaires pour empêcher Vladimir Poutine d'envahir une nation souveraine et d'avoir des visées sur d'autres pays au-delà de l'Ukraine (…) Au Moyen-Orient (…) elle est exclue des négociations qui la concernent par son grand allié transatlantique lui-même, dont le président la méprise. » « Elle peine à trouver sa place dans un monde sans droit », regrette encore Marion Van Renterghem, « l'Europe de plus en plus dépassée par les rapports de force, un monde dans lequel les relations entre états ne dépendent plus de quelques grands prédateurs désinhibés (…) l'Europe se retrouve seule à prêcher dans un monde de brutes. » A-t-elle un moyen de renverser la vapeur ? Elle qui a « eu besoin de Trump et Poutine » pour prendre conscience de sa « paresse militaire » s'indigne encore la journaliste qui voit là « une dialectique diabolique » : « si l'Europe de demain devient enfin la puissance militaire qu'elle doit être pour assurer sa sécurité et le droit international, elle le devra à Trump et à Poutine - les prédateurs en chef - de ce même droit international ».  Des cochons qui donnent de l'espoir  Ce sont « des animaux médicaments », nous explique le Point, élevés « dans une porcherie ultramoderne de 4 000 mètres carrés, quelque part en Bretagne ». « Deux petites modifications génétiques les ont fait se rapprocher - un peu - de l'espèce humaine. Elles ont permis de transformer la descendance de porcs tout à fait ordinaires, en une lignée produisant dans son sang des anticorps qui soignent les humains ». Et ce n'est pas tout : ces cochons peuvent aussi devenir donneurs d'organes, même si la technique reste à perfectionner. Bref, l'humain a tout intérêt à regarder d'un œil nouveau, ces animaux roses à la queue en tire-bouchon.     Première baignades dans la Seine, à Paris C'était hier, et selon La Tribune Dimanche, « il régnait en fin de matinée une joyeuse effervescence, au pied de la Tour Eiffel ».  Il a tout de même fallu patienter 40 minutes, « la capacité de l'aire de baignade étant fixée à 150 personnes » explique le journal. Les baigneurs sont ravis, comme cette femme de 54 ans, qui s'exclame : « l'eau est chaude et on voit nos pieds ».  De quoi oublier la canicule de ces derniers jours... 

Les Grandes Gueules du Sport
La Une des GG : Vingegaard doit-il tout tenter la première semaine ? - 06/07

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 28:36


Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h00 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette
À la Une du JDD : les négociations sur le cas de la Nouvelle-Calédonie à l'Elysée

Toute l'info du week-end - Bernard Poirette

Play Episode Listen Later Jul 6, 2025 2:27


Chaque dimanche, un journaliste du "Journal du dimanche" livre son édito dans la matinale week-end.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Atelier des médias
La post-réalité à la une du cahier de tendances de Méta-Media : entretien avec Kati Bremme

Atelier des médias

Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 30:47


Kati Bremme, directrice de l'innovation à France Télévisions et rédactrice en chef de Méta-media.fr, est l'invitée de L'atelier des médias pour discuter du dernier numéro du cahier de tendances de France Télévisions. Son titre : Bienvenue en post-réalité, une époque marquée par l'IA générative et ses défis pour les médias. Kati Bremme définit la « post-réalité » : ce monde où l'IA générative produit des contenus « plus vrais que la réalité », où des images et des vidéos quasi indiscernables du réel inondent internet, créant une « hyperréalité » où « l'illusion est plus crédible ». Cela instaure un « doute numérique » constant : tout contenu en ligne est par défaut suspecté d'avoir été généré. Ce flux inclut le « slop », ce « nouveau spam » composé de contenus créés par IA et générés en masse. Les IA, basées sur des probabilités, « hallucinent » sans distinguer le vrai du faux. Elles facilitent la « propagande assistée par intelligence artificielle » et l'usurpation d'identité médiatique pour désinformer. Face au « doute numérique » généralisé – il concerne près d'un internaute sur deux –, les médias publics doivent affirmer leur rôle de « média de confiance ». Leur valeur réside non pas dans la génération de contenu IA, mais dans la vérification des faits et la « relation humaine avec nos publics », rappelle Kati Bremme. Le journaliste devient « créateur de sens », au-delà de la curation d'informations omniprésentes. Il doit « décrypter, mettre dans le contexte » et « incarner l'information ». Ceci exige un retour au « terrain comme seule épreuve tangible du réel », pour reprendre les mots de Fabrice Arfi, journaliste à Médiapart, pour une confrontation directe à la réalité et aux personnes, démarche différenciante. Les IA conversationnelles deviennent en quelque sorte un « nouveau public » pour les journalistes, remâchant leurs contenus. Cela ouvre la voie aux « formats liquides » qui s'adaptent aux utilisateurs. Dans ce contexte, l'IA offre un « dividende d'intimité » : les internautes se permettent de lui poser des questions bêtes, sachant qu'ils ne vont pas être jugés – tout l'inverse des réseaux sociaux. Cependant, l'hyperpersonnalisation menace de créer des « bulles solipsistes », enfermant l'individu dans son raisonnement, ce qui nuit au débat démocratique. Face à l'hégémonie des géants technologiques, les médias sont dans une situation « perdant-perdant ». Aussi, iI est crucial de comprendre les intérêts économiques, d'être transparent sur l'utilisation de l'IA... et de chercher des alternatives, explique Kati Bremme.

WDR 2 Comedy Podcast
Jünter erklärt "Dalai Lama"

WDR 2 Comedy Podcast

Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 0:51


"Obwohl er schon 14-mal wiedergeboren wurde, hat der Dalai Lama meistens gute Laune und lacht laut über seine eigenen Witze." Von Uli Winters.

Les Grandes Gueules du Sport
La Une des GG : Le Tour de France est-il vraiment joué d'avance ? - 05/07

Les Grandes Gueules du Sport

Play Episode Listen Later Jul 5, 2025 25:22


Pas de temps de s'échauffer, les "Grandes Gueules du Sport" démarrent fort dès 9h00 : la UNE c'est l'actu brûlante du sport, entre infos, analyses et débats.

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Les États-Unis et le Japon font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 2:08


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
La Une de Rothen s'enflamme : L'Olympique lyonnais survivra-t-il à cette épreuve ? – 04/07

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 25:36


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Revue de presse Afrique
À la Une: blocus annoncé par le JNIM à Kayes et Nioro, au Mali

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 4, 2025 4:09


C'est une « nouvelle menace pour la stabilité », écrit Afrik.com. Le site d'information nous rappelle que le JNIM, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, affilié à al-Qaïda, « accuse les habitants de Kayes et de Nioro d'avoir collaboré avec l'armée malienne lors d'opérations récentes ». « Dans des messages audios en peul et en bambara », poursuit Afrik.com, « les djihadistes menacent de couper tous les axes routiers menant à ces villes, et promettent de tuer tout homme intercepté sur ces routes ». Ce qui ne va pas sans susciter de nombreuses craintes. Afrik.com énumère : « coupures d'approvisionnement, entrave à la mobilité, pression psychologique sur les populations et défi sécuritaire majeur pour l'état malien (…) Le JNIM « cherche à semer la peur, affaiblir le moral des troupes et élargir son emprise à des régions jusqu'à présent épargnées », conclut le site d'information. Unité et solidarité Dans le même temps, la presse malienne met l'accent sur la réaction des autorités de Bamako face aux assauts jihadistes. « Face à une offensive coordonnée visant sept localités, les forces maliennes ont riposté avec fermeté », annonce Maliweb qui précise : « Plus de 80 assaillants neutralisés, et de nombreux équipements saisis par l'armée malienne ». Bamako va plus loin en affirmant que les attaques jihadistes « sont sponsorisées par des états visant à freiner la progression de l'Alliance des Etats du Sahel ». Bamada.net, de son côté, publie l'appel lancé par Choguel Maïga. L'ancien Premier ministre lance, nous dit-on, « un appel vibrant à l'unité nationale face à la terreur » et il exprime « sa profonde gratitude envers les jeunes de Kayes qui, à ses yeux, incarnent le courage et la solidarité de l'ensemble de la jeunesse malienne ». « Face à l'adversité, c'est l'unité qui triomphe », ajoute l'ex-Premier ministre. « Les FAMA infligent de lourdes pertes aux groupes armés », titre pour sa part, Sahel Tribune, au-dessus d'une photo montrant des soldats casqués, arme au poing, et salut « le professionnalisme et l'engagement remarquables » des forces armées maliennes. Pneus brûlés À la Une de la presse africaine également, le Sénégal et l'émotion provoquée par la mort de deux jeunes hommes à Cambérène, un quartier de Dakar, où la population accuse la police d'être à l'origine de la mort de deux jeunes hommes par noyade. « 3ᵉ nuit à Cambérène : la commune étouffe sous les cendres : pneus brûlés, colère sourde », titre Dakar Actu, qui s'est rendu sur place et raconte : « la route était fermée, les pavés fumants, des pneus brûlés au centre de la chaussée et aux alentours, presque personne. Ni forces de sécurité, ni protestataires visibles. Une scène quasi irréelle ». « Est-ce une coïncidence ? » interroge Dakar Actu, « ou un effet direct du discours prononcé par le président Bassirou Diomaye Faye, qui a catégoriquement dénoncé les violences et l'utilisation abominable d'un homme comme bouclier humain ? » Dakar Actu estime en tout cas, « qu'une chose est indéniable. La voix de la jeunesse de Cambérène ne s'est pas tue. Mais au cœur de la colère, subsiste une certaine forme de discipline. Pas de magasin dévalisé, pas de produit volé, pas de boutique assaillie. Malgré tout l'honneur de la commune semble sauvegardé ». Bouclier humain Des évènements qui ont été marqués par une image, dont parle également la presse sénégalaise. Cette image, précise Sénénews c'est celle « d'un jeune homme au visage couvert de sang, assis au milieu des forces de l'ordre à Cambérène ». C'est lui que la presse appelle « le bouclier humain ». « Devenue virale, cette photo incarne la tension extrême qui règne dans ce quartier populaire de Dakar », nous explique Sénénews. Le jeune homme a par la suite été interviewé par Sunugal 24. Il parle de « calvaire » et raconte avoir « été violemment interpellé lors d'affrontements entre jeunes manifestants et policiers. » Selon lui, « il a été battu avant d'être exhibé publiquement et utilisé comme bouclier humain pour décourager les protestataires ».

Zärtliche Cousinen
Atzes Sommer!

Zärtliche Cousinen

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 0:31


Atze Schröder hat Sommer, so wie wir alle, aber er erzählt aus seinem Leben die schönsten Geschichten, die lustigsten Anekdoten, intime Geständnisse und haut natürlich seine Lieblingspromis in die Pfanne, so wie wir ihn kennen. Atze Schröder in bester Laune für euch im Sommer.

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
Israël, Etats-Unis et Espagne font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 3:11


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
La Une de Rothen s'enflamme : Pogba à la Coupe du Monde en 2026, vous y croyez ? – 03/07

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 18:10


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Revue de presse Afrique
À la Une: le projet de nouvelle Constitution en Guinée

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 3, 2025 2:53


« Le flou entourant les conditions d'éligibilité à la présidence de la République de Guinée se dissipe, peu à peu », écrit Guinéenews. Le mandat présidentiel sera fixé à sept ans, renouvelable une seule fois. Une « avancée majeure », selon Oyé Béavogui, ancien secrétaire général par intérim du Parti démocratique de Guinée – Rassemblement démocratique africain (PDG-RDA), proche du pouvoir. Selon lui, cet allongement du mandat présidentiel « offre aux dirigeants le temps nécessaire pour se consacrer aux vraies priorités du pays », rapporte Guinéematin. « Un mandat de cinq ans ne sert pas à grand-chose », renchérit Alhoussein Maganera Kaké, le coordinateur général de la Synergie GDM 2025, lui aussi proche du pouvoir. « Vous avez deux ans de campagne, puis, une fois élu, un an pour identifier les cadres et les nommer. Il vous reste à peine deux ans pour travailler. Et en deux ans, on ne peut rien faire », précise-t-il dans le Djely. Africaguinée retient, de son côté, que l'un des aspects cruciaux de ces dispositions réside « dans l'immunité civile et pénale accordée aux anciens présidents pour les actes commis durant l'exercice régulier de leurs fonctions ». Mamadi Doumbouya, candidat ? Il s'était engagé à ne pas se représenter, mais la perspective inquiète Ibrahima Diallo, membre du Front national pour la défense de la Constitution. Elle remettrait « en cause la crédibilité et la légitimité de tout le processus, quelle que soit la qualité du texte proposé. Notre énergie collective doit désormais être dirigée vers un seul objectif : empêcher la candidature » du président de la transition, explique-t-il dans un entretien à Guinée7. Dans son éditorial, le site d'informations burkinabè Wakat Sera ironise : « Ainsi donc, sauf tsunami, Mamadi Doumbouya se présentera à la prochaine élection présidentielle », tout en rappelant que le président de la transition s'est engagé à ne pas se présenter. Jeune Afrique se montre tout aussi dubitatif sur la position qu'adoptera le général, « ce mandat allongé servira-t-il à Mamadi Doumbouya, très probable candidat », s'interroge le magazine. Inquiétude après la disparition de l'USAID « Le désengagement américain fait craindre une résurgence des épidémies » au Libéria. Reportage dans le Point dans ce pays qui détient « désormais le titre de pays africain le plus touché par ces coupes budgétaires liées à la disparition de l'Agence américaine pour le développement. Tous financements confondus, elles représentaient 3% du revenu national brut, « les professionnels de santé redoutent en l'état une détérioration de la situation épidémique ». Et le VIH est « loin de constituer le seul objet de préoccupation », précise le Point, le Mpox est « en arrière-plan ». « Bien que le centre épidémique de la variole du singe demeure en Afrique centrale, la transmission du virus s'est récemment accélérée au Liberia, où les autorités publiques ont recensé près de 900 cas suspectés depuis janvier 2025. » « Les Africains sommés d'être des grands garçons responsables », titre Aujourd'hui au Faso dans son éditorial. L'avenir de l'aide humanitaire en Afrique s'écrit en pointillé, selon Le Pays qui met en exergue cette citation de Cicéron qui « a traversé les âges depuis la Rome antique » : « L'argent est le nerf de la guerre. » Le site rappelle que faute d'argent, le Programme alimentaire mondial « menace de fermer des camps de réfugiés au Soudan où l'organisation onusienne est très active en raison du conflit armé qui déchire le pays depuis plus de deux ans ». Mais le Pays appelle « l'Afrique à prendre ses responsabilités en travaillant à éviter les situations de conflit qui contribuent à retarder le développement du continent, en plus de plonger les populations dans la précarité et la tourmente », conclut le site burkinabè.

Rothen s'enflamme
La Une de Rothen s'enflamme : Franck Mc Court est-il reconnu à sa juste valeur à Marseille ? – 02/07

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 23:57


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Revue de presse Afrique
À la Une: ces attaques au Mali que l'armée assure avoir repoussées

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Jul 2, 2025 4:15


« 7 attaques coordonnées, plus de 80 terroristes neutralisés et un véritable arsenal de guerre récupéré », titre Maliweb... Des attaques qui ont visé les positions de l'armée dans les villes de Kayes, Nioro du Sahel et Niono, dans le sud du pays, le long des frontières sénégalaise et mauritanienne. Le Jnim, le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans, a revendiqué ces attaques. Des images montrent « des véhicules calcinés, des munitions saisies, des corps de terroristes entassés dans des pick-up et d'autres étalés en file indienne dans certaines localités », rapporte Maliweb. « À Kayes, c'est au cœur de l'appareil administratif régional que l'ennemi s'est attaqué », poursuit le site internet précisant que « la résidence du gouverneur et un commissariat ont été ciblés ». « L'armée malienne fait face, depuis plusieurs années, à une insécurité grandissante, malgré les promesses de stabilité formulées par les autorités de transition dirigées par le colonel Assimi Goïta », note de son côté, Afrik.com. Le site rappelle que le mois de juin a été « particulièrement sanglant ». « Des groupes armés ont attaqué les positions des Fama à Mahou, Tessit mais aussi à Tombouctou ». Des infrastructures militaires ont aussi été visées rappelle le média en ligne, ce qui montre « la capacité de nuisance et la mobilité des groupes jihadistes ». La région de Kayes est vitale pour l'économie malienne Le poste-frontière de Diboli, à la lisière du Sénégal, a aussi été attaqué, précise Le Monde qui cite un homme d'affaires bamakois pour qui, « les jihadistes veulent perturber le ravitaillement du Mali et une économie déjà fébrile ». Un couvre-feu de 30 jours a été décrété. Il interdit toute circulation de 21h à 6h du matin dans le territoire de Kayes. Ce qui « aura inévitablement des répercussions sur les activités économiques et commerciales transfrontalières » selon des transporteurs sénégalais interrogés par Dakaractu. En Algérie, quel espoir pour Boualem Sensal ? L'écrivain franco-algérien vient de voir sa condamnation à 5 ans de prison ferme confirmée en appel par la justice algérienne, notamment pour « atteinte à l'unité nationale » pour des propos sur l'appartenance de l'ouest algérien au Maroc. « Va-t-il rester en prison ou sera-t-il gracié le 5 juillet ? Le suspense va durer encore quelques jours », écrit Jeune Afrique qui envisage les différentes options possibles. Boualem Sensal peut se pourvoir en cassation. « Dans ce cas, l'écrivain resterait en prison. C'est le scénario noir qui ferait basculer la relation franco-algérienne dans la pire des situations », poursuit le magazine. Sa condamnation intervient « dans un contexte de vives tensions diplomatiques entre la France et l'Algérie », rappelle Afrik.com. « Ses proches et son avocat espèrent le convaincre de ne pas s'engager dans cette voie », rapporte le Monde. « Le gouvernement français, de son côté, a joué la carte de l'apaisement, (...) le ministre des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, a rappelé une nouvelle fois le souhait de la France, d'un "geste d'humanité" au regard "de l'âge et de l'état de santé" de l'auteur de 80 ans, soigné pour un cancer de la prostate ». L'autre scénario tient donc à une grâce présidentielle qui pourrait lui être accordée le 5 juillet, à l'occasion de la fête de l'indépendance. « Sa condamnation définitive ce mardi 1er juillet peut, paradoxalement, ouvrir la voie vers une issue salutaire dont seul le président algérien Abdelmadjid Tebboune détient la clé », écrit le Point. « L'espoir d'une mesure humanitaire en faveur d'un écrivain âgé et malade. C'est ce qu'espèrent ses proches, ses amis… et ceux qui travaillent des deux côtés à sauver ce qui peut être sauvé des relations franco-algériennes », conclut le magazine. Au Sénégal, le concours du plus beau mouton du pays Organisé chaque année en périphérie de Dakar, « il rassemble les éleveurs les plus passionnés autour d'un seul objectif désigner la bête la plus majestueuse. Et comme chaque année, c'est un Ladoum qui a raflé les honneurs », précise le site. Une race « hors norme, synonyme d'élégance et de puissance, continue d'imposer son règne sur le monde de l'élevage sénégalais ». Pour la sixième fois, c'est Niang Ballo, qui a décroché le titre du plus beau mouton du Sénégal. Une « notoriété qui vaut de l'or, indique Afrik.com, certains spécimens peuvent ainsi se vendre à plusieurs millions de francs CFA ».

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1
L'Espagne, le Royaume-Uni et la Turquie font la Une de la presse internationale

La revue de presse internationale - Les correspondants d'Europe 1

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 2:48


Chaque jour, les correspondants d'Europe 1 font le tour de l'actualité internationale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Rothen s'enflamme
La Une de Rothen s'enflamme : Êtes-vous en train de basculer sur la Coupe du monde des Clubs ? – 01/07

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Jul 1, 2025 20:27


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

Revue de presse française
À la Une: les enfants volés d'Ukraine

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Jun 29, 2025 5:15


Eclipsée par la situation au Moyen-Orient, la guerre en Ukraine a presque disparu des colonnes des journaux et des hebdomadaires français. Toutefois, l'Express publie donc cet article intitulé : « Comment Poutine enlève et russifie les enfants ukrainiens ». « Plusieurs dizaines de milliers de jeunes Ukrainiens ont été volés par la Russie, depuis le début du conflit, en violation complète du droit international », explique l'hebdomadaire. Qui nous raconte l'histoire d'Oleksander, 12 ans… Le jeune garçon habitait Marioupol, avec sa mère, depuis portée disparue. Il a été conduit dans un camp dit « de filtration » à Donetsk, en territoire occupé. Un mois plus tard, raconte l'Express, « sa grand-mère Lioudmila qui cherchait partout sa fille et son petit-fils, reçoit un appel : « Mamie, viens me chercher, implore une petite voix dans le combiné. C'est Oleksander ».   Tous deux réussiront à regagner « l'Ukraine libre ». Mais ce cas « reste exceptionnel », prévient l'Express qui précise : « depuis 2022, les autorités russes organisent le transfert forcé de milliers d'enfants ukrainiens des territoires occupés, vers la Russie ». Dans quel but ? « Les Ukrainiens », explique l'Express, « estiment que cette campagne de rééducation et d'adoption sert à créer une réserve d'hommes pour l'armée. De nombreux garçons, n'étaient encore que des enfants lorsque la Russie a occupé la Crimée en 2014. (…) Onze ans plus tard, certains d'entre eux ont rejoint l'armée russe de force, mais aussi volontairement, convaincus par la propagande russe ». Soyons nombreux Et l'Express publie un appel « à sauver les enfants volés d'Ukraine ». Appel signé du philosophe Bernard-Henri Lévy, de l'écrivain Salman Rushdie, ou encore du chanteur Sting. « Des milliers d'enfants ont été arrachés à leur famille et à leur terre » disent-ils. « Ce ne sont pas des enfants perdus. Ce sont des enfants volés, kidnappés par les forces d'occupation russes, enlevés à leurs parents, à leurs écoles, à leur langue, à leur vie ». Les signataires disent vouloir s'adresser avant tout « aux parents ». « À tous ceux qui imaginent ce que peut signifier le kidnapping d'un enfant qui ne reviendra peut-être jamais. Soyons nombreux, très nombreux (…) à le dire d'une même voix, clairement et sans trembler : les enfants d'Ukraine ne sont pas négociables. Il faut exiger leur retour. Maintenant ». Un appel que l'on peut signer sur le site lexpress.fr Qui pour remplacer les mollahs ? Le Nouvel Obs de son côté, s'interroge sur la situation en Iran. « Le régime des mollahs peut-il tomber ? » se demande l'hebdomadaire, qui remarque : « Frappée par les Américains, pilonnée et infiltrée par Israël, la République islamique est plus que jamais affaiblie, à l'intérieur et à l'extérieur de ses frontières (…) le 7 octobre a fait plonger les alliés régionaux de l'Iran (Hamas, Hezbollah, Houtis…) le plaçant dans sa position la plus vulnérable depuis des décennies ». Cela augure-t-il de la fin du régime des mollahs ? Pas forcément : pour le Nouvel Obs, « la République islamique est loin d'être à terre ». Interrogé, l'historien Philippe Droz-Vincent parle « d'un état structuré, avec une élite issue du clergé et des réseaux sécuritaires relativement cohérents. Pour que le régime tombe, il faut désorganiser tout ça », estime-t-il. Quant à savoir qui pourrait remplacer les mollahs, la question est pour le moment sans réponse, selon le Nouvel Obs, qui estime « qu'aucune opposition, ni à l'intérieur ni à l'extérieur du pays, ne semble en mesure de proposer une alternative viable et crédible ». L'hebdomadaire estime que « seul le mouvement Femme, Vie, Liberté pourrait jouer un rôle ». Mais souligne qu'il a été tellement réprimé qu'il n'a pas pu s'organiser. Le politologue Karim Emile Bitar, redoute, lui, « une situation chaotique, avec un pouvoir diffus et une population fragmentée ». « Le vide, après la destruction », conclut le Nouvel Obs. Prisonniers politiques et otages Le Point s'intéresse également à l'Iran, et s'interroge sur la prison d'Evin, prison de sinistre réputation où sont incarcérés opposants et otages occidentaux. Une prison visée par l'armée israélienne, le 23 juin, frappe qui a fait 71 morts, annonce ce matin Téhéran. Pourquoi viser cette prison, qui n'a rien à voir avec les capacités nucléaires de l'Iran ? Le Point cite « une source diplomatique israélienne », selon laquelle « Israël a fait comprendre au régime mais aussi aux iraniens qu'il est temps que quelque chose soit fait, pour ouvrir la porte de la prison des détenus politiques iraniens et des otages occidentaux ». Des otages occidentaux dont les familles sont inquiètes, c'est le cas de celles des deux Français Cécile Kohler et Jacques Paris, détenus en Iran depuis plus de trois ans. Certes, les autorités françaises « ont reçu l'assurance de Téhéran que les deux prisonniers, qu'elles considèrent comme des otages d'État, n'ont pas été blessés ». Mais les familles s'inquiètent « de n'avoir aucun signe de vie et aucun moyen d'entrer en contact avec eux ». Le Point a par ailleurs reçu une lettre envoyée depuis l'intérieur de la prison évoquant « l'existence de blessés », « que les autorités pénitentiaires refusent de transférer à l'extérieur, les laissant ainsi sans soin ni assistance ». Une information qui donne une idée de ce qui a pu se passer dans la prison d'Evin.