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durée : 00:52:21 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - L'exil de Victor Hugo débute en décembre 1851 quelques jours après le coup d'Etat de Louis-Napoléon Bonaparte. Réfugié un temps sur l'île de Jersey, c'est à Guernesey, en 1855, que le poète pose ses valises. L'accompagnent sa femme Adèle, ses enfants et même sa maîtresse Juliette Drouet... - invités : Jean Marc HOVASSE - Jean-Marc Hovasse : Professeur de littérature française à Sorbonne Université et directeur de recherches au CNRS - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
La théorie de l'attachement est née des travaux de John Bowlby, dans le contexte de l'après-guerre, et a bouleversé notre compréhension des relations humaines. Inspiré par les recherches de Konrad Lorenz sur l'empreinte des oisons et d'Harry Harlow sur le besoin de contact des bébés singes, Bowlby a démontré que le besoin de sécurité affective est aussi vital que manger ou respirer. Ses observations sur les enfants séparés de leurs parents ont montré combien l'absence de soins affectifs pouvait freiner le développement social, émotionnel et cognitif. Ses travaux ont été confirmés et enrichis par Mary Ainsworth, qui a mis en évidence les trois premiers styles d'attachement grâce à son expérience de la “Strange Situation”, et par Mary Main, qui a identifié l'attachement désorganisé et créé l'Adult Attachment Interview.Aujourd'hui, ces découvertes nous rappellent que l'attachement n'est pas figé : il se construit et se répare tout au long de la vie, dans chaque relation significative.**********Retrouvez le texte de l'épisode sur notre blog.En vous abonnant sur Itunes pour recevoir les notifications et en nous laissant un avis, vous nous envoyez des bulles de bonheur !En suivant notre actu sur FB @2minutesdebonheur et sur insta @2minutesdebonheur, vous profiterez gratuitement de pleins de trucs, d'astuces et de mises en pratique liés au podcast de la semaine.Inscrivez-vous à la newsletter, vous serez ainsi notifié de nos nouveaux épisodes et vous recevrez un bon de réduction de 5% sur notre site.Et surtout, partagez nos épisodes à tous ceux qui veulent prendre le temps d'être heureux !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Premiers pas, premiers mots, premières chutes et premières colères. Autant d'émotions que traversent les enfants et qui sont essentielles pour leur développement. Au fond, qu'est-ce qu'apprendre ? Est-ce qu'il y a des apprentissages plus importants que d'autres ? Est-ce que ce qui compte, c'est l'accumulation de connaissances, le savoir ou les expériences vécues ? De quoi les enfants ont-ils besoin pour se développer et devenir des êtres humains heureux ? Dans cet épisode, Marine Revol dialogue avec Grégoire Borst, professeur de psychologie de l'enfant et de l'adolescent et directeur du Laboratoire de psychologie du développement et de l'éducation de l'enfant (CNRS), et recueille les témoignages de Zoé Hart et son fils, Mika. Ensemble, ils parlent du rôle du jeu, de l'importance des émotions, du pouvoir des erreurs, de “pédagogisation de la vie quotidienne” et des inégalités face aux apprentissages.Pour aller plus loin : Le film Captain Fantastic de Matt Ross (2016)Le documentaire Parenting : disaster style avec Zoé Hart La chanson Des nouvelles de Ben MazuéL'épisode de Faites des gosses “Faut-il laisser son enfant tomber ?”Faites des gosses est une production Louie Media, présentée par Marine Revol. Elle a écrit et tourné cet épisode. Il a été monté par Eléonore Claude et réalisé par Anna Buy. La musique est de Jean Thévenin. La prise de son et le mix sont du studio La Fugitive. Elsa Berthault est en charge de la production. Envoyez-nous vos questions, vos remarques et vos notes vocales à hello@louiemedia.comPour avoir des news de Louie, des recos podcasts et culturelles, abonnez-vous à notre newsletter en cliquant ici. Et suivez Louie Media sur Instagram, Facebook, Twitter.Vous souhaitez soutenir la création et la diffusion des projets de Louie Media ? Vous pouvez le faire via le Club Louie. Chaque participation est précieuse. Nous vous proposons un soutien sans engagement, annulable à tout moment, soit en une seule fois, soit de manière régulière. Au nom de toute l'équipe de Louie : MERCI ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Jean-Loup Bonnamy et Jeremstar débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Depuis plus de 30 ans, l'asbl Convivial agit à Bruxelles pour faciliter l'installation durable des réfugiés et primo-arrivants. Car s'intégrer passe par l'apprentissage de la langue, l'accès à l'emploi… mais avant tout par un toit. Le logement, première étape vers une vie digne et autonome, reste pourtant un défi immense.Convivial propose deux manières concrètes d'agir :Devenir “détecteur de logement”, c'est simplement rester attentif : signaler à l'association un panneau à louer, un bien libre mentionné dans une conversation, une annonce repérée… Autant de pistes précieuses pour trouver des logements disponibles. Pour le devenir : detecteurslogements@convivial.be ou 0488 20 31 05Être “propriétaire solidaire”, c'est accepter de louer un bien à un prix raisonnable, en partenariat sécurisé avec l'association. Convivial s'occupe de la garantie locative, des assurances, de la rédaction du bail et reste disponible en cas de souci, rassurant ainsi propriétaires comme locataires. Pour le devenir : proprietairessolidaires@convivial.be ou 0488 20 31 05Car pour les réfugiés, l'accès au logement est encore plus complexe : pas ou peu de réseau, méconnaissance du marché, préjugés de certains bailleurs… L'objectif de Convivial est clair : multiplier les opportunités grâce à des citoyens mobilisés et créer des mises en relation sécurisées.Intéressé ? Le 1er octobre, une soirée de rencontre aura lieu dans les locaux de Convivial à Anderlecht dès 18h30 (Place de la Vaillance 15D) Au programme : présentation du projet et témoignages de propriétaires déjà engagés.Vous aimez ce contenu ? Alors n'hésitez pas à vous abonner, à lui donner des étoiles et à partager ce podcast autour de vous. Ça nous aide à nous faire connaitre et à essaimer les idées constructives qui rendent le monde plus joli !Une chronique signée Leslie Rijmenams à retrouver (aussi) sur Nostalgie et www.nostalgie.be
OSE ta V2 passe le micro 🎙ï¸- le podcast des femmes qui osent !
Je suis ravie de vous retrouver pour ce nouvel épisode d'Ose ta V2 passe le micro. Si je te dis qu'un "Manager, c'est bien plus qu'un titre sur un organigramme "C'est une responsabilité.Un équilibre fragile entre inspirer, fédérer, dépasser ensemble… sans jamais s'oublier soi.Et ça, Marie Ancenay l'a appris au fil de 15 années passées chez Danone.Des années à manager des équipes, à naviguer dans les défis du leadership ; non comme un rôle à tenir, mais comme un espace à incarner.En 2022, elle fait un choix radical :Quitter la voie toute tracée pour transformer une carrière brillante en une mission plus grande encore :→ créer son entreprise pour accompagner managers et dirigeants à inventer le leadership de demain.
Salaire, primes, heures supplémentaires... Derrière une fiche de paie, se cachent souvent de nombreuses interrogations. Mon employeur respecte-t-il bien le droit du travail ? Comment savoir si je suis payé à la juste hauteur de ce que prévoit la loi ? Autant de questions essentielles, mais pas toujours simples à démêler alors Me Anne Claire Moser le fait pour vous ! Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mickey Mouse, Cendrillon, Simba, Mary Poppins, Bambi ou encore les Aristochats… Ces personnages ont marqué des générations de millions d'individus à travers le monde. Coup de projecteur aujourd'hui sur Disney, le mastodonte du divertissement, dont l'exposition du centenaire fait escale à Paris jusqu'au 26 octobre, après avoir déjà tourné à Londres, Munich ou encore Séoul. C'est un contrat de 1923 qui signe les débuts officiels de l'entreprise créée par un jeune américain de 22 ans, Walt Disney et son frère Roy. « Ce qui marque la naissance de la Walt Disney Company, c'est le contrat que Walt et son frère Roy signent avec une distributrice de dessin animé, Margaret J. Winkler, raconte Sébastien Durand, expert français de Disney, Elle commande une première série de dessins animés, à ce jeune homme qui y est allé au culot. Elle lui commande six premiers cartoons. Il signe le contrat et c'est le 16 octobre 1923, et ça marque les débuts de ce qui est aujourd'hui la Walt Disney Company ». Un document que l'on peut voir dans la première salle de l'exposition, non loin des premières esquisses de Mickey Mouse. La célébrissime souris prendra vie cinq ans plus tard, explique Sébastien Durand : « Le cinéma parlant était tout nouveau et venait d'être inventé l'année précédente avec le chanteur de jazz. Walt Disney va tout miser sur cette idée de "on va sonoriser Mickey". Il va mettre sa maison en gage, il va hypothéquer tout ça parce que ça passe ou ça casse. Il a une toute petite équipe pour faire Mickey. Et la question qui va très vite se poser, c'est : qui va faire la voix de Mickey ? » C'est Walt lui-même qui prêtera sa voix à la souris les premières années. Autant de détails que l'on apprend dans cette exposition du centenaire. Et notamment la philosophie du fondateur, et parmi l'un de ses grands principes. La règle d'or, c'est l'art du récit, comme l'explique Becky Kline à la tête des archives Disney : « Dans tout ce que l'on fait, que ce soit une croisière, une attraction d'un des parcs, un film, une série télévisée, tout repose sur l'histoire que l'on raconte. Et cela, quelle que soit la forme choisie, que ce soit l'animation traditionnelle, en 2D, ou par ordinateur ou un livre, puisque l'on édite aussi des livres. On raconte des histoires. » On pourrait citer d'autres règles d'airains, comme l'importance de la musique et des chansons, ou le goût pour l'innovation. On peut voir, parmi les quelque 250 pièces, costumes ou accessoires exposés à Paris, une caméra spécialement conçue pour le premier long métrage d'animation de l'histoire, Blanche neige et les sept nains, en 1937. « Ils créent une caméra que l'on appelle la caméra multiplane, qui permet de mettre les différents plans verticaux. Et la caméra va se rapprocher. Vous savez, dans Blanche Neige, au début, on est dans la forêt, on s'approche du château, les arbres deviennent flous… Donc, il y a toujours eu ce mélange de technologie au service de l'histoire chez Disney, dès les débuts », analyse Sébastien Durand. Casques de Star Wars, robe rouge de Cruella, ou cheval de manège de Mary Poppins, des objets iconiques figurent également en bonne place, participant à la magie Disney jamais démentie depuis un centenaire. À lire aussiDisney, mastodonte du divertissement, célèbre son centenaire actuellement à Paris
Mickey Mouse, Cendrillon, Simba, Mary Poppins, Bambi ou encore les Aristochats… Ces personnages ont marqué des générations de millions d'individus à travers le monde. Coup de projecteur aujourd'hui sur Disney, le mastodonte du divertissement, dont l'exposition du centenaire fait escale à Paris jusqu'au 26 octobre, après avoir déjà tourné à Londres, Munich ou encore Séoul. C'est un contrat de 1923 qui signe les débuts officiels de l'entreprise créée par un jeune américain de 22 ans, Walt Disney et son frère Roy. « Ce qui marque la naissance de la Walt Disney Company, c'est le contrat que Walt et son frère Roy signent avec une distributrice de dessin animé, Margaret J. Winkler, raconte Sébastien Durand, expert français de Disney, Elle commande une première série de dessins animés, à ce jeune homme qui y est allé au culot. Elle lui commande six premiers cartoons. Il signe le contrat et c'est le 16 octobre 1923, et ça marque les débuts de ce qui est aujourd'hui la Walt Disney Company ». Un document que l'on peut voir dans la première salle de l'exposition, non loin des premières esquisses de Mickey Mouse. La célébrissime souris prendra vie cinq ans plus tard, explique Sébastien Durand : « Le cinéma parlant était tout nouveau et venait d'être inventé l'année précédente avec le chanteur de jazz. Walt Disney va tout miser sur cette idée de "on va sonoriser Mickey". Il va mettre sa maison en gage, il va hypothéquer tout ça parce que ça passe ou ça casse. Il a une toute petite équipe pour faire Mickey. Et la question qui va très vite se poser, c'est : qui va faire la voix de Mickey ? » C'est Walt lui-même qui prêtera sa voix à la souris les premières années. Autant de détails que l'on apprend dans cette exposition du centenaire. Et notamment la philosophie du fondateur, et parmi l'un de ses grands principes. La règle d'or, c'est l'art du récit, comme l'explique Becky Kline à la tête des archives Disney : « Dans tout ce que l'on fait, que ce soit une croisière, une attraction d'un des parcs, un film, une série télévisée, tout repose sur l'histoire que l'on raconte. Et cela, quelle que soit la forme choisie, que ce soit l'animation traditionnelle, en 2D, ou par ordinateur ou un livre, puisque l'on édite aussi des livres. On raconte des histoires. » On pourrait citer d'autres règles d'airains, comme l'importance de la musique et des chansons, ou le goût pour l'innovation. On peut voir, parmi les quelque 250 pièces, costumes ou accessoires exposés à Paris, une caméra spécialement conçue pour le premier long métrage d'animation de l'histoire, Blanche neige et les sept nains, en 1937. « Ils créent une caméra que l'on appelle la caméra multiplane, qui permet de mettre les différents plans verticaux. Et la caméra va se rapprocher. Vous savez, dans Blanche Neige, au début, on est dans la forêt, on s'approche du château, les arbres deviennent flous… Donc, il y a toujours eu ce mélange de technologie au service de l'histoire chez Disney, dès les débuts », analyse Sébastien Durand. Casques de Star Wars, robe rouge de Cruella, ou cheval de manège de Mary Poppins, des objets iconiques figurent également en bonne place, participant à la magie Disney jamais démentie depuis un centenaire. À lire aussiDisney, mastodonte du divertissement, célèbre son centenaire actuellement à Paris
durée : 00:55:37 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - 1944. Les Français fêtent la liberté enfin retrouvée, mais l'heure est aussi à la traque et à la punition pour ceux qui ont collaboré avec l'occupant. Ceux mais aussi celles. Car si la majorité des collabos jugés à la Libération sont des hommes, des femmes aussi vont payer le prix de leur trahison. - invités : Fabien Lostec - Fabien Lostec : Historien, chargé d'enseignement à l'Université Rennes 2 - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est à Strasbourg, au cœur des bureaux du CFCAL-Banque, que nous avons posé nos micros pour une nouvelle étape de Parlons Territoires, en partenariat avec Arkéa Banque Entreprises & Institutionnels. Cette émission a rassemblé des acteurs majeurs de l'immobilier et de l'aménagement, venus partager leur vision sur l'avenir du logement, la construction et la rénovation énergétique dans nos villes. Aux côtés d'Aurélien Deleu et de Sylvain Lévy-Valensi, nous avons eu le plaisir d'entendre : Éric Hartweg, Directeur général, SERS Alsace et SPL Deux-Rives Strasbourg Olivier Kinder, Directeur Général BOULLE Promotion - Président de la FPI Grand Est Édouard Sauer, Président, KS Groupe et du Comité Exécutif Emmanuel Rivière, Directeur de l'agence du climat sur l'Eurométropole de Strasbourg Ensemble, ils ont abordé des enjeux essentiels : la densification urbaine, la lutte contre l'artificialisation des sols (ZAN), les difficultés du logement neuf, les mutations des métiers de l'immobilier, mais aussi les leviers de la rénovation énergétique. Autant de thématiques cruciales qui dessinent l'avenir de nos territoires et questionnent la place du logement dans la transition écologique.
C'est à Strasbourg, au cœur des bureaux du CFCAL-Banque, que nous avons posé nos micros pour une nouvelle étape de Parlons Territoires, en partenariat avec Arkéa Banque Entreprises & Institutionnels. Cette émission a rassemblé des acteurs majeurs de l'immobilier et de l'aménagement, venus partager leur vision sur l'avenir du logement, la construction et la rénovation énergétique dans nos villes. Aux côtés d'Aurélien Deleu et de Sylvain Lévy-Valensi, nous avons eu le plaisir d'entendre : Éric Hartweg, Directeur général, SERS Alsace et SPL Deux-Rives Strasbourg Olivier Kinder, Directeur Général BOULLE Promotion - Président de la FPI Grand Est Édouard Sauer, Président, KS Groupe et du Comité Exécutif Emmanuel Rivière, Directeur de l'agence du climat sur l'Eurométropole de Strasbourg Ensemble, ils ont abordé des enjeux essentiels : la densification urbaine, la lutte contre l'artificialisation des sols (ZAN), les difficultés du logement neuf, les mutations des métiers de l'immobilier, mais aussi les leviers de la rénovation énergétique. Autant de thématiques cruciales qui dessinent l'avenir de nos territoires et questionnent la place du logement dans la transition écologique.
- Camp des Canadiens de Montréal - Retour sur quelques espoirs à travers la LNH - Un joueur avec de l'expérience de la LAH... dans la NCAA? - Egor Shilov, la nouvelle sensation de la LHJMQ!
T'as fait quoi ces 6 dernières années ? Léa Bordier a publié 3 BD, produit des documentaires pour France TV, lancé et clôturé 2 podcasts tout en saisissant des instants de son quotidien avec son téléphone et son appareil photo. Autant dire qu'elle ne chôme pas !Comme beaucoup d'entre nous, j'ai découvert Léa à l'époque où elle travaillait chez MadmoiZelle.com et j'aimais déjà son esthétique colorée et sensible. Depuis, je suis son travail au gré de ses publications Instagram et de ses épisodes de podcasts (Cher Corps et Amours). Léa a toujours mêlé l'intime et ses engagements à ses créations. Elle a notamment réalisé le documentaire "IVG le droit d'en parler", auquel fait écho sa toute nouvelle BD "IVG, À nos corps libres". Tu pourrais croire qu'on en a beaucoup parlé, mais en réalité, on a surtout ri fort dans nos micros, parlé de la liberté créative du podcast, des photos qu'elle prend dans son quartier de Ménilmontant, de son rapport à la technique et à sa patte artistique, de sa façon de capturer les récits les plus intimes en faisant disparaître sa caméra et de ses envies de réaliser des clips de rap ! Pour découvrir le travail de Léa : https://www.leabordier.com/ POUR SOUTENIR LE PODCAST
Alors, ça fait quoi de couper les ponts avec sa famille ? Comment tu t'y es prise ? Quand as-tu su que c'était le bon moment ? Mais tu n'es pas triste, parfois ? Comment sais-tu que c'est vraiment fini ?Autant de questions que l'on me pose très régulièrement sur les réseaux sociaux, à chaque fois que j'évoque ma situation. Voici un épisode pour vous faire gagner, je l'espère, en clarté...Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
durée : 00:03:08 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Pourquoi les orages font-ils autant de bruit ? Léon, 9 ans, pose la question. Marie Dumont, docteure en sciences de l'environnement à Météo France, explique que le son du tonnerre est causé par la dilatation brutale de l'air, chauffé à 30 000 degrés par la foudre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Pourquoi les populations éprouvent-elles autant de difficultés pour se faire soigner en Afrique ? La question est au centre de ce numéro de l' Arbre à palabre. La mort le 8 septembre 2025 en RDC d'une jeune dame a relancé le débat sur l'accès aux soins dans les centres de santé en Afrique.
[ROUTINES & RITUELS] Bien respirer pour aller mieux avec Stéphanie Brillant, journaliste et autrice du livre L'incroyable pouvoir du souffle. Fatigue, stress, toxiques, grossesse, ménopause ou andropause… Autant de facteurs qui peuvent perturber la mémoire et la concentration. Saviez-vous que votre respiration peut activer certaines zones du cerveau et soutenir vos fonctions cognitives ? Dans cet épisode, Stéphanie Brillant nous dévoile deux techniques simples pour améliorer la concentration, réguler le système nerveux et favoriser un meilleur sommeil, essentiel à la santé cérébrale.Pendant 4 semaines, Stéphanie Brillant explore les incroyables bienfaits de la respiration consciente et nous propose des pratiques simples à intégrer au quotidien. Retrouvez ses actualités sur le site de l'Académie du Souffle. Une citation avec Stéphanie Brillant : "Les difficultés d'attention sont liées à une respiration dysfonctionnelle, notamment la bouche ouverte."Thèmes abordés lors du podcast avec Stéphanie Brillant : 00:00Introduction03:05Bouche ouverte et difficultés d'attention03:40Exercice pour réguler le système nerveux05:54Exercice pour favoriser la concentrationÀ réécouter :3 règles d'or pour bien respirer et être en pleine santé !Exercice de respiration anti-stressAvant-propos et précautions à l'écoute du podcast Découvrez Objectif Métamorphose, notre programme en 12 étapes pour partir à la rencontre de soi-même.Recevez chaque semaine l'inspirante newsletter Métamorphose par Anne GhesquièreSuivez nos RS : Insta, Facebook & TikTokAbonnez-vous sur Apple Podcast / Spotify / Deezer / CastBox / YoutubeSoutenez Métamorphose en rejoignant la Tribu MétamorphosePhoto DR Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:56:52 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - 1871. Arthur Rimbaud, 17 ans, vient de fuguer de chez sa mère à Charleville et débarque à Paris. Dès son arrivée le jeune génie fascine ses aînés mais la fascination tourne vite à l'hostilité. Il multiplie les provocations et très vite bouleverse la vie rangée d'un autre poète : Paul Verlaine. - invités : Henri Scepi - Henri Scepi : Professeur de littérature française du 19e siècle à la Sorbonne nouvelle. Il dirige le Centre de recherche sur les poétiques du 19e (CRP19) - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
[PARTENAIRE] Mieux consommer, sans se compliquer la vie, c'est possible Greenweez, ce sont +180 000 produits bio et engagés livrés chez vous, sans abonnement. Testez l'appli ou leur sur greenweez.com
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur et président de l'association "Tous Uniques Tous Unis", Charles Consigny, avocat, et Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
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Avec : Pierre Rondeau, économiste. Emmanuelle Dancourt, journaliste indépendante. Et Périco Légasse, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Fin août, l'ex-premier ministre François Bayrou lâchait une bombe budgétaire : la charge de la dette est devenue le premier poste de dépense de l'État français, devant l'éducation et la défense. Avec 66 milliards d'euros d'intérêts annuels et une dette par habitant qui frôle les 50 000 euros, les finances publiques apparaissent plus fragiles que jamais.Pour mesurer concrètement cette dérive, un outil citoyen fait beaucoup parler de lui : l'Horloge de la Dette publique. Derrière ce site gratuit, une start-up française, Living Republic, qui a imaginé un compteur géant affichant en temps réel la dette nationale. Et les chiffres donnent le vertige : plus de 3 410 milliards d'euros défilent sans interruption, l'équivalent de 49 633 euros par Français, nourrissons compris.Au-delà de l'effet visuel, la plateforme propose des indicateurs détaillés : ratio dette/PIB de 115,5 %, déficit 2025 estimé à 92,5 milliards, charges d'intérêts de 44 milliards. Des données mises à jour à la seconde, qui rendent palpable une réalité économique souvent dissimulée derrière les discours politiques. Chaque tic du compteur symbolise l'enfoncement du pays dans le rouge, donnant un poids psychologique à cette spirale financière. Le site va plus loin en détaillant la dette des grands services publics : 50 milliards pour EDF, 30,1 milliards pour les hôpitaux, près de 24 milliards pour SNCF Réseau. Autant de montants qui s'additionnent à la dette souveraine, rappelant que le problème dépasse largement le seul budget de l'État.Dans ce contexte tendu, François Bayrou a annoncé qu'il demanderait un vote de confiance le 8 septembre. Les marchés n'ont pas tardé à réagir : le CAC40 a chuté de 1,59 % le soir même, bien davantage que les autres places européennes. Un signe clair de l'inquiétude des investisseurs, alors qu'une éventuelle chute du gouvernement n'est pas à exclure. Avec son compteur en ligne, l'Horloge de la Dette publique offre une leçon de transparence démocratique. Elle sort les chiffres des rapports poussiéreux pour les projeter sous les yeux de tous, à l'heure où le pays s'interroge sur les efforts à venir et sur l'avenir même de son exécutif. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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Dans cette nouvelle Bubble, nous avons le plaisir de tendre le micro à Marc Dannaud, artiste au service de l'expression des collectifs.Marc défend une vision profondément universelle de l'art : un langage qui nous re-unit, une dimension que nous portons tous en nous mais que nous oublions trop souvent. Un langage du corps, de l'intuition et de la création partagée.Marc propose aux organisations une expérience inédite : co-créer une œuvre collective, conçue pour et avec celles et ceux qui la vivent.Mais pourquoi créer ensemble ? Pour faire du bien, tisser des liens et explorer ce qui fait sens — pour l'organisation, l'équipe, le collectif.Qu'est-ce qui nous relie ? Qu'est ce qui nous inspire ? Qu'avons-nous à faire ensemble ? Autant de questions qui s'explorent non pas par le mental, mais par un langage universel et sensible. Un chemin qui ouvre de nouvelles manières de s'approprier le réel.Pour la première fois, “les mots ne sont pas générateurs de la création, mais ils viennent la commenter.”Dans ce processus artistique se déploie quelque chose de profondément régénérateur. En se rassemblant autour d'une œuvre-totem, la proposition est d'incarner un message, une culture, une vision commune.Et Marc nous le rappelle avec justesse : se poser la question de la représentation, c'est aller jusqu'au bout du sens.Un épisode inspirant pour celles et ceux qui cherchent à remettre du vivant et du sensible au cœur de leurs collectifs.Belle écoute !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Chaque semaine dans l'émission, Olivier Dauvers répond aux questions des auditeurs ! Josseline ne comprend pas pourquoi, dans son marché, le prix des pêches est aussi changeant. Olivier Dauvers lui explique dans la question conso ! Tous les jours, retrouvez en podcast les meilleurs moments de l'émission "Ça peut vous arriver", sur RTL.fr et sur toutes vos plateformes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:59 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - Joseph Kessel, échappant de peu à une arrestation début 1943, réussit à rejoindre l'Angleterre et les rangs de la France Libre. Pour ce juif russe, immigré longtemps apatride, qui avait fait de la France sa patrie d'adoption, le combat contre Hitler et pour la liberté sonnait comme une évidence. - invités : Olivier Weber - Olivier Weber : Ecrivain-voyageur, grand reporter - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
À la fin du XIXᵉ siècle, le public français est passionné par les faits divers. Meurtres, vols, infanticides ou affaires sordides captivent les lecteurs des journaux. Mais l'imprimé n'est pas le seul média de l'époque : la chanson joue un rôle clé.Les complaintes criminelles sont de longs textes chantés, souvent imprimés sur des feuilles volantes vendues dans les foires, sur les marchés ou à la sortie des tribunaux. Pour quelques centimes, le badaud pouvait acheter ces “petits formats” qui racontaient un crime, la capture du criminel et parfois son exécution. Les colporteurs les chantaient à la criée pour attirer les passants.Une fonction sociale et moraleCes complaintes avaient une double fonction :1. Informer : dans un monde où la presse populaire est encore chère ou inaccessible à une partie du peuple, la complainte permet de diffuser rapidement l'histoire d'un crime.2. Moraliser : la plupart de ces chansons se terminent par une leçon de morale, rappelant que le crime ne paie pas et qu'il conduit à la honte, à la prison ou à l'échafaud.Elles n'étaient donc pas seulement du divertissement, mais aussi un outil de contrôle social, renforçant l'autorité et les valeurs dominantes.Un engouement populaireLe succès est énorme. Certaines complaintes circulent à des dizaines de milliers d'exemplaires. L'affaire Troppmann, par exemple — un jeune homme condamné en 1870 pour un massacre familial d'une rare violence — inspira de nombreuses chansons criminelles, reprises dans tout le pays.Le public est friand de détails : description des crimes, paroles prêtées aux meurtriers repentants, récit de leur procès ou de leur exécution. Ces complaintes jouent sur l'émotion et le sensationnalisme, un peu comme nos documentaires télévisés ou podcasts criminels d'aujourd'hui.Héritage et disparitionAu début du XXᵉ siècle, avec l'essor de la presse à un sou puis de la radio, les complaintes criminelles déclinent. Mais elles laissent un héritage direct : le goût pour la narration du crime, le mélange d'horreur et de fascination, et l'idée que chaque affaire devient une histoire à raconter au grand public.Aujourd'hui, chercheurs et ethnomusicologues s'intéressent à ces textes qui documentent autant la criminalité que l'imaginaire populaire. Certaines archives, notamment à la Bibliothèque nationale de France, conservent des feuillets imprimés et même des partitions.En résumé : les complaintes criminelles sont les ancêtres des chroniques judiciaires et du true crime moderne. Elles ont transformé le fait divers en spectacle chanté, à la fois populaire, moralisateur et terriblement captivant. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je partage avec vous 10 leçons de vie qui ont profondément transformé ma manière de voir les choses. Des rappels simples mais puissants, que je garde comme de véritables boussoles au quotidien.On parle de l'importance du repos, de pourquoi l'action est l'antidote à l'anxiété, de la façon d'apprivoiser la peur, de la nécessité de mieux se connaître, de lâcher le jugement des autres, ou encore d'oser demander de l'aide.Autant de clés concrètes pour vivre une vie plus alignée, plus libre et plus sereine !
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Ce 10 septembre, c'est la grande journée " bloquons tout ". Et ça fait très peur à Martin. Autant, ça le dérange pas que les transports ou les grandes surfaces puissent être bloquées, autant il redoute que le mouvement ait la très mauvaise idée de bloquer les bars. C'est pourquoi il lance un nouveau mouvement : la coordination contre-bloquiste.
Paul Delair et Caroline Dublanche explorent le concept de "décompensation" en psychologie, un terme souvent méconnu mais crucial pour comprendre certaines crises psychiques. À travers le témoignage poignant de Dominique, ils discutent des causes, des manifestations et des prises en charge possibles de ces ruptures d'équilibre psychique. Qu'est-ce qui peut déclencher une décompensation ? Peut-elle toucher tout le monde ? Et comment y faire face ? Autant de questions essentielles abordées dans cet échange. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.frHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
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Chez Ninkasi, les cuisiniers ne se contentent pas de cuisiner : ils deviennent de véritables contrôleurs de gestion. Inventaires, analyse des écarts, respect des fiches techniques, gestion des frigos… Autant de compétences qui transforment leur quotidien et participent directement à la performance de chaque service.Un passage dans l'enseigne lyonnaise est même vu comme une école incontournable pour qui rêve d'ouvrir son propre restaurant : hygiène, management, contrôle de gestion… un bagage précieux pour entreprendre.Un témoignage inspirant sur la puissance de l'intelligence collective et la formation par l'expérience, à découvrir dans l'épisode complet.PAR JULIEN HATTONEntrepreneur depuis 2010 (à ses 23 ans), Julien vous propose chaque semaine une rencontre avec un entrepreneur qui partage son parcours, la réalité de l'entrepreneuriat et comment concrètement il a fait.
Décidément cette Vuelta 2025 fera parler d'elle. Le Tour d'Espagne aura vu quelques tourmentes la toucher. Et côté sportif, c'est celle du cas Juan Ayuso, coureur pour la formation UAE Team Emirates, coéquipier de Tadej Pogacar, qui a déclaré que c'était "une dictature" au sein de cette équipe, qui aura fait parler. En effet, UAE a annoncé que ce dernier quitterait la formation à la fin de la saison, alors que l'Espagnol assure que cette annonce aurait dû être faite à la fin du dernier Grand Tour de la saison. Cela ne lui a pas plu, et il s'en est plaint aux journalistes. Dans Grand Plateau aujourd'hui, nous allons nous demander ce que nous dit ce cas sur le cyclisme, quelles sont les limites de ces méga-team, est-il compliqué dans des équipes comme celles-ci de trouver sa place et être entièrement satisfait quand on est un jeune prodige du vélo ? Autant de questions auxquelles Georges Quirino, Maria Azé, Pierre-Yves Leroux et Jérôme Pineau vont tenter de répondre. Production : Roxanne LacuskaRéalisation : Julie Deroo
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De l'achat de son mini 6.50 à l'arrivée de son deuxième Vendée Globe fin janvier 2025, il s'est écoulé... à peine une décennie.Quel parcours que celui de Clarisse Crémer : marqué par des succès sportifs (victoires et podiums sur le circuit Mini, double finisheuse du Vendée Globe) mais aussi des épreuves personnelles et médiatiques qui l'ont profondément transformée. À 35 ans, elle parle avec beaucoup de sincérité de sa vie de navigatrice, de femme et de mère, entre passion de la mer et quête d'équilibre.Ses débuts sont atypiques : issue d'une famille parisienne aisée, passée par HEC, cofondatrice d'une start-up, elle découvre la course au large presque par hasard, dans le sillage de son compagnon Tanguy Le Turquais, avant de s'y engouffrer avec une énergie impressionnante. Mini-Transat, Figaro, puis le Vendée Globe : en dix ans, sa trajectoire fulgurante l'amène au plus haut niveau d'un sport où la légitimité se construit souvent dès l'enfance.Clarisse revient ensuite sur son premier tour du monde en solitaire, bouclé en 2021 à la 12ᵉ place, sous les couleurs de Banque Populaire. Un immense défi, vécu avec des doutes et un sentiment d'imposture, mais aussi comme une révélation intime : la compétition, dit-elle, n'efface jamais sa relation « presque spirituelle » avec la mer. C'est ce mélange de fragilité et de combativité qui la pousse à vouloir repartir, malgré les obstacles.Elle aborde sans détour les épisodes plus sombres, les "affaires" qui la touchent : la rupture avec son ancien sponsor au moment de sa grossesse, les polémiques qui s'ensuivent, puis les accusations de triche un an plus tard, dont elle sera blanchie avec Tanguy Le Turquais. Autant de tempêtes médiatiques qui ont failli la faire renoncer, mais qu'elle décrit comme autant d'occasions d'apprendre à s'affirmer, à dire non et à tracer sa voie.Enfin, elle raconte son second Vendée Globe à bord de L'Occitane, vécu cette fois avec une forme de sérénité. Malgré les avaries et la fatigue, elle savoure le simple fait d'être seule en mer, dans une vie réduite à l'essentiel. À l'arrivée, confie-t-elle, c'est la première fois qu'elle s'est sentie vraiment fière d'elle.Une fierté forgée par l'expérience, les coups encaissés, et le choix assumé de continuer à naviguer, coûte que coûte.Diffusé le 5 septembre 2025Générique : In Closing – Days PastPost-production : Grégoire LevillainHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:55:12 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie Duncan - Militante anarchiste, institutrice aux idées féministes, Louise Michel reste l'une des figures majeures de la Commune de Paris. Cette fiction de Christine Spianti est suivie d'un entretien entre Stéphanie Duncan et Xavière Gauthier, philosophe, autrice et spécialiste de Louise Michel. - réalisé par : Anne WEINFELD Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est à la Une d'APAnews : « La deuxième réunion du Comité conjoint de suivi du traité de paix dans l'est de la RDC, signée le 27 juin dernier, s'est tenue mercredi à Washington ». Y participaient : la RDC, le Rwanda, les États-Unis, le Qatar, le Togo et l'Union africaine. Autant de participants qui ont reconnu « des lenteurs dans la mise en œuvre de certains volets de l'accord ». « Les discussions », poursuit l'Agence de Presse Africaine, « ont porté sur la violence récente dans l'est de la RDC et sur les mesures concrètes à prendre, pour assurer le respect des dispositions de l'accord ». Afrik.com, de son côté, cite le Département d'état américain, qui parle de « retards significatifs », alors que « des violences continuent d'ensanglanter l'est congolais, où les rebelles de l'AFC/M23 continuent de régner en maître dans les deux Kivu », précise le site d'information. « À ce stade », conclut Afrik.com, « l'Accord de Washington semble illustrer plus une dynamique diplomatique qu'une transformation concrète de la crise sécuritaire. Reste à savoir si la volonté politique des signataires pourra se traduire en actes tangibles dans les prochains mois, condition indispensable pour espérer une paix durable dans l'est congolais ». Matériel de fabrication russe Autre pays en proie à la violence : le Mali, où l'armée reçoit du nouveau matériel. « Le Mali se modernise » titre Bamada.net. « L'armée malienne reçoit du matériel militaire de pointe ». « Blindés, chars et camions ont été aperçus, provenant du port de Conakry. Ces matériels, de fabrication russe sont destinés à renforcer les capacités opérationnelles des FAMA (les forces armées maliennes) et à lutter efficacement contre toute menace pesant sur la paix et la stabilité du Mali », ajoute Bamada.net. Pas de chiffres sur ces livraisons d'armes, effectuées, précise l'Agence de Presse Africaine, « dans un contexte de multiplication des attaques jihadistes, notamment par engins explosifs improvisés, causant de lourdes pertes parmi les militaires et les civils ». Premier octobre Le Mali où, par ailleurs la rentrée scolaire se prépare. Rentrée fixée au premier octobre, « malgré les défis », remarque le Journal du Mali, qui s'inquiète : « Entre les pluies encore présentes, les milliers d'écoles fermées, et la suspension des subventions aux établissements catholiques, l'année scolaire s'annonce fragile ». D'autant que, rappelle le Journal du Mali, « la saison des pluies n'est pas encore terminée. Si les précipitations s'intensifient, la question d'un report (comme l'année dernière) pourrait à nouveau se poser, même si aucune décision officielle n'a encore été envisagée dans ce sens ». Pour le Journal du Mali, la situation de l'éducation reste préoccupante, « plus de 2 000 écoles sont fermées, fermetures liées à l'insécurité, aux catastrophes naturelles et aux faiblesses structurelles du système éducatif ». Gratitude Enfin, la tragédie du funiculaire de Lisbonne : un Marocain figure parmi les rescapés. Un Marocain qui a aidé une Française à s'extirper des débris du funiculaire, juste après la catastrophe. Afrik.com nous raconte la fin de la course folle du funiculaire, « la vitesse qui augmente, les freins qui ne répondent plus, le wagon qui sort de ses rails et fonce droit vers la façade d'un immeuble ». « Le Marocain », poursuit le site d'information, « légèrement blessé au bras a été projeté contre une barre métallique. Autour de lui, des corps, des sanglots, des appels à l'aide », et donc cette Française, « qui pendant quelques instants a perdu connaissance et qui est coincée sous un siège renversé, il va la dégager, aidé par un autre passager ». Le Marocain et la Française, précise Afrik.com, « ont accepté de témoigner anonymement dans un média local. Tous deux expriment une même gratitude : être en vie. »
Maud Maréchal, 20 ans, brûlée vive dans une petite ville de la région parisienne. Un assassinat barbare...Une terrifiante punition. En général, les enquêteurs manquent de suspects mais dans le cas présent, c'est tout le contraire. Il y en a trop. Autant d'hommes qui auraient pu avoir une raison de faire périr la jeune femme dans les flammes. Mais douze ans après, l'assassin court toujours. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Maud Maréchal, 20 ans, brûlée vive dans une petite ville de la région parisienne. Un assassinat barbare...Une terrifiante punition. En général, les enquêteurs manquent de suspects mais dans le cas présent, c'est tout le contraire. Il y en a trop. Autant d'hommes qui auraient pu avoir une raison de faire périr la jeune femme dans les flammes. Mais douze ans après, l'assassin court toujours. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Philadelphia Eagles pourraient bien réaliser un doublé en NFL cette saison. Jouer un Super Bowl ? Très plausible. Le gagner ? Ca reste à voir.Pour cet épisode de pronostics qui vient conclure l'intersaison, notre équipe se prête au jeu de la boule de cristal. Quelles seront les surprises et déceptions de la saison ? Qui gagnera sa division ? Qui se hissera au Super Bowl et qui sera champion ? Autant de questions auxquelles Victor Roullier et Raoul Villeroy répondent. Avec un bonus pour le MVP de la saison.Bonne écoute ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Les féminicides sont en hausse en Suisse. On en recense 23 depuis le début de l'année. Comment on l'explique? Pourquoi ça continue? Décryptage avec Mathilde Boyer, avocate-stagiaire et doctorante à l'Université de Lausanne, où elle écrit une thèse sur la façon dont le droit pénal traite les violences conjugales, et avec Valérie Vuille, directrice de l'association DécadréE, institut de recherche et de formation sur l'égalité de genre dans les médias. Journaliste: Juliane Roncoroni Réalisation: Antoine Weissenbach Besoin d'aide? Le site www.violencequefaire.ch propose un service de conseil en ligne professionnel, anonyme et gratuit. D'autres Point J à écouter : - Comment vont les garçons (série Adolescence)?, 31 mars 2025 - Comment lutter vraiment contre les féminicides?, 2 novembre 2021 - Pourquoi des hommes tuent des femmes?, 13 septembre 2022 Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
Dans cet épisode de 5 minutes de français, Émilie et Judith s'intéressent à une ville qui fascine le monde entier : Paris. Monuments, gastronomie, art […] L'article Pourquoi Paris attire autant de touristes ? – 5 minutes de français est apparu en premier sur Français avec Pierre.