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Dans cette édition :Première nuit dans la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil pour 17 narcotrafiquants transférés, avec pour objectifs d'empêcher la poursuite de leur trafic, la gestion de points de deal et la coordination d'assassinats, un défi sécuritaire gigantesque selon l'expert Frédéric Ploquin.Mobilisation des forces de l'ordre à Béziers pour lutter contre le trafic de drogue, avec des opérations de fouille de logements et de patrouilles visant à rétablir l'ordre et maintenir la pression sur les trafiquants.Rencontre entre le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Angela Merkel à Berlin, avec à l'ordre du jour les questions de défense et la menace de surtaxes douanières américaines.Retrait des États-Unis de l'UNESCO, accusée de prendre parti contre Israël et de promouvoir une idéologie mondialiste contraire à la politique "America First".Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Carl Meeus revient sur les enjeux d'un éventuel retrait de la loi sur les pesticides, notamment les néonicotinoïdes. Il analyse les conséquences scientifiques, sociales et politiques d'une telle décision, alors que la pression de la pétition citoyenne se fait sentir. Avec l'approche des élections municipales et présidentielle, ce sujet sensible pourrait avoir un impact important sur la dynamique politique française.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:14 - « Bain » de sang à Buzon - En juillet 2013, un retraité habitant le nord de la Bigorre réclame l'aide des secours. Son épouse est inconsciente après une chute dans la baignoire. A l'arrivée des pompiers, il est déjà trop tard. L'homme semble effondré mais plusieurs détails clochent… Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Le calme reste précaire à Soueïda en Syrie, après plusieurs journées de violences entre bédouins et druzes qui ont fait près de 600 morts selon l'OSDH. En France, François Bayrou propose un plan pour redresser les finances publiques. Parmi les pistes envisagées, la suppression de jours fériés, une année blanche et un gel des dépenses de l'Etat. Et puis, à la demande du président sénégalais Bassirou Diomaye Faye, les bases françaises présentes au Sénégal se retirent.
Face à une pénurie croissante de personnel qualifié, le gouvernement multiplie les appels aux retraités pour combler les manques dans plusieurs secteurs clés. Que ce soit dans l'éducation, la santé – notamment avec le rappel de Nursing Officers – ou encore dans le secteur du transport aérien avec Air Mauritius, cette stratégie suscite autant d'adhésion que d'interrogations. Car derrière cette mesure présentée comme pragmatique, une question de fond persiste : quelle place pour les jeunes diplômés dans ce dispositif ? S'agit-il uniquement d'une réponse à une urgence conjoncturelle, ou cela révèle-t-il un déséquilibre structurel plus profond dans la gestion des ressources humaines du secteur public ?
Pour débuter l'émission de ce mercredi 16 juillet 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Etienne Liebig, éducateur, débattent du sujet du jour : Retraités, salariés, malades... à vous de casquer !
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Budget, prêt à renoncer à deux jours fériés ?", "Retraités, salariés, malades... à vous de casquer !" et "Budget, le gouvernement doit-il tomber ?".
A 10h, ce mercredi 16 juillet 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, Antoine Diers, consultant auprès des entreprises, et Étienne Liebig, éducateur, débattent de l'agression d'un retraité aux émeutes racistes en Espagne.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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durée : 00:03:28 - L'invité de la rédaction de "ici Sud Lorraine" - Régis Crunchant, secrétaire départemental de la CGT en Meurthe-et-Moselle, est l'invité d'ICI Sud Lorraine ce mercredi 16 juillet après le plan d'économies présenté par François Bayrou. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Air Mauritius : le retour scandaleux des retraités aux postes clés – une insulte à la méritocratie, selon les employés de la compagnie by TOPFM MAURITIUS
À 22h, Perrine Storme fait le tour des images marquantes et des déclarations fortes de la journée. Du lundi au jeudi, Julie jusqu'à minuit fait vivre l'info du soir avec chroniqueurs, invités et éditorialistes.
Et si la tech s'attaquait enfin au pouvoir d'achat des retraités ?Skarlett, c'est le nouveau pari de Benjamin Gaignault, cofondateur d'Ornikar, qui après avoir digitalisé le permis de conduire, s'attaque à un autre marché “puant” comme il dit : celui des jeunes de plus de 60 ans.Dans cet épisode, Benjamin raconte comment tout a commencé autour d'un déjeuner, lorsqu'on lui parle de l'opportunité business autour du viager. Une intuition. Un marché. Une mission.Car Skarlett ne se limite pas à réinventer le viager. C'est une plateforme de services pensée pour améliorer le pouvoir d'achat des retraités, en combinant des solutions de liquidité immobilière et une offre de mutuelle adaptée à ceux qui quittent la vie active.L'ambition est claire : anticiper l'héritage, valoriser la pierre, préserver l'autonomie. Et surtout, ne jamais oublier l'utilisateur.Car chez Benjamin, le client est une obsession de chaque instant. L'UX n'est pas une surcouche, mais un levier de valeur, dans l'expérience comme dans la relation. Il le dit sans détour : “La valeur de ce que je crée passe uniquement par l'expérience utilisateur.”Il revient aussi sur les origines du projet avec ses deux associés. Leur ADN ? Trois entrepreneurs aguerris, complémentaires, mais avec une règle d'or : même driver, et un leader désigné. Sinon, ça ne marche pas.Tout au long de l'échange, Benjamin partage aussi les leçons tirées de sa première aventure avec Ornikar – les recrutements trop tôt, les erreurs d'association, le rôle de l'ego, et ce que ça coûte de désapprendre la politesse pour être crédible dans le business.Il assume ses contradictions : le goût du fric, mais pas pour être riche – pour être libre. Le besoin de monter encore et encore des boîtes. Et l'envie de transmettre, peut-être un jour, grâce une école d'entrepreneuriat “sans bullshit”.Bref, encore un épisode sans langue de bois où Benjamin nous raconte tout, sans détour, sans bullshit.Un podcast conçu par FeuilleBlanche, producteur de médias, podcasts et récits stratégiques pour les boites.À vos écouteurs
durée : 00:04:51 - L'invité de "ici Maine" - Le club Questions pour un champion du Mans est "consterné" par la décision de France Télévisions de ne plus diffuser le jeu historique en semaine, à partir de la rentrée 2025. Une émission qui a "sauvé de la solitude" la présidente Danièle Réolid-Meignan "pendant l'épidémie du Covid". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Radio Foot Internationale – Mardi 8 juillet 2025 - À suivre à 16h10 TU et 21h10 TU sur RFI ! : - OL : verdict attendu sous 24h ! ; - Mbappé – Nasser : fin de conflit ? ; - EURO 2025 en Suisse : premières leçons ! OL : verdict attendu sous 24h ! Lyon espère faire annuler sa relégation en Ligue, 2. 200 millions d'euros en jeu, l'avenir du club suspendu à la décision de la DNCG en appel. L'OL peut-il sauver sa peau ? Mbappé – Nasser : fin de conflit ? Retrait de plainte, rencontre discrète ?… Le climat se détend entre les deux hommes. Trêve durable ou simple pause à la veille du choc entre le PSG et le Real Madrid au Mondial des Clubs ! EURO 2025 en Suisse : premières leçons ! France surprenante, Espagne impressionnante, Italie solide… bilan des premières joutes. Qui fait figure de favori ? Présentation : Annie Gasnier | Édition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Yoro Mangara, Hervé Penot, Ludovic Duchesne.
Radio Foot Internationale – Mardi 8 juillet 2025 - À suivre à 16h10 TU et 21h10 TU sur RFI ! : - OL : verdict attendu sous 24h ! ; - Mbappé – Nasser : fin de conflit ? ; - EURO 2025 en Suisse : premières leçons ! OL : verdict attendu sous 24h ! Lyon espère faire annuler sa relégation en Ligue, 2. 200 millions d'euros en jeu, l'avenir du club suspendu à la décision de la DNCG en appel. L'OL peut-il sauver sa peau ? Mbappé – Nasser : fin de conflit ? Retrait de plainte, rencontre discrète ?… Le climat se détend entre les deux hommes. Trêve durable ou simple pause à la veille du choc entre le PSG et le Real Madrid au Mondial des Clubs ! EURO 2025 en Suisse : premières leçons ! France surprenante, Espagne impressionnante, Italie solide… bilan des premières joutes. Qui fait figure de favori ? Présentation : Annie Gasnier | Édition : David Fintzel | TCR : Laurent Salerno | Consultants : Yoro Mangara, Hervé Penot, Ludovic Duchesne.
MichnaBeroura_029 Bénédiction sur le retrait des Tefilines by Shiour Yomi
Retrait non consenti de préservatif, harcèlement, menaces: les personnes exerçant le travail du sexe en Suisse subissent fréquemment des violences. Pourquoi? Quels sont leurs droits? Qui sont-elles? Eclairage avec Carine Maradan, collaboratrice scientifique à ProCore, le réseau national de défense des droits des travailleuses et travailleurs du sexe en Suisse. On écoute aussi le témoignage d'Alexia, travailleuse du sexe indépendante à Genève. Episode initialement diffusé le 6 mars 2025. Journaliste: Juliane Roncoroni Réalisatrice: Luana Biadici >> Pour aller plus loin: - "Travailleuse du sexe et 'sans papier': le récit de Kelly", podcast "Let's talk about Sex Work" (en ligne). - "Travailleuse du sexe entre la Suisse et la France: le récit d'Aurore", podcast "Let's talk about Sex Work" (en ligne). - "En Belgique, les travailleuses du sexe sont protégées par des contrats de travail, une première mondiale", Le Temps, 3 décembre 2024 (en ligne). - "Les archives militantes de la prostituée Grisélidis Réal ouvertes au public", RTSinfo, 1er avril 2019 (en ligne). Nous écrire ou nous proposer des questions: +41 79 134 34 70 ou pointj@rts.ch
Voici l’essentiel de l’épisode du jeudi 3 juillet 2025 pour l’émission Le Midi: Les restaurateurs pourront imposer une pénalité maximale de 10 $ par personne en cas de réservation fantôme, à partir du 17 juillet prochain; L’Europe est mal armée pour faire face aux effets du dérèglement climatique, que ce soit sur les villes, le bâti, les rythmes scolaires ou les conditions de travail; Vingt-quatre vaches ayant fui une ferme du Bas-Saint-Laurent samedi soir sont retrouvées; Retrait de la taxe sur les produits numériques: réels gains pour Mark Carney face à Donald Trump?; Charlotte Cardin devient la muse de L’Oréal Paris pour la France et le Canada; L’inspection d’une propriété peut vous donner un pouvoir de négociation. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Au menu de la troisième heure des GG du mercredi 2 juillet 2025 : "Budget : faut-il augmenter les impôts des retraités ?", avec Didier Giraud, éleveur de bovins, Barbara Lefebvre, professeure d'histoire-géographie, et Emmanuel de Villiers, entrepreneur.
Aujourd'hui, Antoine Diers, Joëlle Dago-Serry et Jérôme Marty débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
MichnaBeroura_028 Retrait des Tefilines by Shiour Yomi
C'est ce vendredi 27 juin que les ministres des Affaires étrangères de la RDC et du Rwanda doivent signer un accord de paix à Washington, en présence de leur homologue américain, Marco Rubio. Jusqu'à ce jour, à la demande des États-Unis, les termes de l'accord sont restés secrets. Mais le chercheur américain Jason Stearns a réussi à en connaître les grandes lignes. Jason Stearns est le co-fondateur de l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il enseigne aussi à l'université Simon Fraser, au Canada. En ligne des États-Unis, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Jason Stearns, quelles sont les grandes lignes de l'accord qui doit être signé ce vendredi ? Jason Stearns: On ne connaît pas le contenu exactement. Mais ce que nous pensons, c'est que ce sera un accord comme beaucoup d'autres accords dans les deux décennies passées entre le Rwanda et la RDC. Il sera basé sur le principe que le Rwanda se retire et que le Congo mène des opérations contre les FDLR, ce groupe de rebelles rwandais. Donc c'est le point, je pense, le plus important de l'accord. Parmi les points les plus controversés pendant les négociations, je pense, il y a eu le fait que cela soit mené simultanément, c'est à dire que le Rwanda retire ses troupes et que, d'une façon simultanée, la RDC commence les opérations contre les FDLR. Le problème avec cela, c'est que, comme c'est simultané, les deux côtés peuvent dire que l'autre n'a pas tenu ses promesses et que le Rwanda puisse dire que l'armée congolaise n'a pas assez fait contre les FDLR. Cela est d'autant plus vrai que les FDLR se trouvent, une grande partie au moins des FDLR, se trouvent sur le territoire contrôlé par le M23 et l'armée rwandaise actuellement. Donc c'est parmi les grands défis je pense, et il y a des autres aspects de l'accord aussi, le fait que le Rwanda devrait pousser le M23 à se retirer des grandes villes, dont Goma et Bukavu surtout, et le fait que le Congo devrait permettre aux M23 de se convertir en parti politique et de participer à la démocratie congolaise et, en même temps, le fait de laisser les combattants du M23 soit rejoindre un processus de démobilisation ou, au cas par cas, rejoindre l'armée nationale. Et à court terme, est-ce qu'il y a un mécanisme qui va s'assurer que l'armée rwandaise et les rebelles FDLR vont bien quitter le terrain du Nord et du Sud-Kivu ? Il y a un mécanisme conjoint de vérification qui sera mis en place par les deux pays avec une participation des États-Unis. Il faut dire que le calendrier pour la mise en œuvre de cet accord est ambitieux. Ça va se traiter dans les prochains trois mois. Et donc, pendant ces trois mois, il y aura une participation des États-Unis. Et je pense aussi que les pays de la sous-région pourraient justement veiller à ce que les deux côtés sont en train de mettre en œuvre les accords. Et si les États-Unis rentrent dans ce mécanisme conjoint, est-ce à dire que les satellites d'observation américains vont aider à vérifier tout ça ? Je pense, car c'est depuis 2023 que les États-Unis se sont vraiment engagés et je pense que ça va continuer pour la collecte des informations. Qu'est-ce qui garantit que l'armée rwandaise et les FDLR vont se retirer du champ de bataille ? Il n'y a pas de garantie comme tel. Donc je pense qu'il faut se poser la question : Qu'est-ce qui motive le Rwanda et la RDC à signer cet accord aujourd'hui ? Donc je pense qu'il y a des bâtons et des carottes. Les carottes sont surtout d'ordre économique. Donc, les Etats-Unis ont promis toute une série d'investissements dans la région. Côté minerai, il y a des compagnies privées américaines qui seraient prêtes à investir dans les mines à l'est de la RDC. Mais le traitement et l'exportation des minerais se feraient à partir du Rwanda. Donc comme ça, les deux côtés seraient encouragés d'investir dans la paix et pas dans l'instabilité. Alors l'un des problèmes, Jason Stearns, c'est que les rebelles du M23 ne sont pas conviés à la signature de l'accord de ce vendredi à Washington. Est-ce que ce n'est pas préoccupant ? C'est préoccupant dans le sens que le Rwanda pourra toujours dire que, voilà, ils ont tenu leur côté de l'accord. Si les M23 ne mettent pas l'accord en œuvre, ce n'est pas leur problème, comme ils ne contrôlent pas les M23. Or, nous savons que le Rwanda a une forte implication dans la gestion du M23, si on peut le dire ainsi. Mais le Rwanda pourrait toujours nier cela. Alors en effet, le gouvernement congolais espère que, si l'armée rwandaise se retire du terrain, le M23 va s'effondrer. Mais est-ce que c'est si simple que cela ? Ce n'est pas si simple dans le sens que, dans les mois passés, le M23, surtout depuis la prise de Goma, a mené des opérations très sérieuses pour recruter des milliers de nouvelles recrues, pour amener toute l'élite locale dans des camps de formation, pour mettre en place une administration parallèle sur le terrain avec des services de taxation, des services d'administration pour peser sur les chefs coutumiers, afin qu'ils se réorientent vers le M23. Donc il sera difficile de démanteler tout cela. Et donc je pense qu'il est important, pas seulement que l'accord soit signé, mais que, dans la mise en œuvre de cet accord, il y ait un suivi, pas seulement des Etats-Unis, mais de tous les autres acteurs impliqués de la sous-région et des Nations Unies et de l'Union africaine pour veiller à ce que le M23 aussi rejoigne le processus de paix. Avec Joseph Kabila et Corneille Nangaa ? Leur sort n'a pas été évoqué par cet accord, donc c'est parmi les grandes inconnues. À lire aussiVers un accord de paix RDC-Rwanda le 27 juin: «Nous espérons que, cette fois-ci, ce soit la bonne»
Pour débuter l'émission de ce jeudi 26 juin 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, et Flora Ghebali, militante écologiste, débattent du sujet du jour : Des Chèques-Vacances pour les fonctionnaires retraités.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Robert Sebbag, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Jacques Legros, ancien présentateur du 13H. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Pierre Rondeau, expert en économie du sport. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneuse. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
C dans l'air l'invité du 20 juin 2025 avec Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe du magazine Capital, spécialiste des placements.Le taux d'épargne en France n'a jamais été aussi élevé depuis la fin des années 70. Parmi les épargnants, il y a une partie de la population qui met beaucoup d'argent de côté : les retraités. Le taux d'épargne des revenus en moyenne atteint 18,8%, c'est inédit depuis 45 ans. Si on met de côté la période Covid et qu'on regarde les chiffres plus précisément, on s'aperçoit que le taux d'épargne chez les plus de 70 ans monte à 25%. Les deux tiers de l'argent qui a été mis de côté ces derniers mois est parti gonfler les comptes d'épargne des retraités. Comment l'expliquer ? Le pouvoir d'achat des retraités s'est amélioré deux fois plus vite que celui des salariés. Les retraites étant indexées sur l'inflation, on a dépassé les 6% d'augmentation en 2024. En revanche, les salaires, eux, n'ont progressé que de 3%. Aujourd'hui, l'inflation se stabilise, donc il y a bien un gain de pouvoir d'achat et il est beaucoup plus important pour les retraités.En matière de consommation et de croissance, les conséquences sont importantes, car les retraités consomment moins que les familles qui travaillent. Et ils épargnent par sécurité, en raison de l'incertitude géopolitique, mais aussi pour assurer l'avenir de leurs enfants, en transmettant un héritage. Autre fait d'importance : l'envie de ne pas faire peser trop fort la maison de retraite pour ne pas peser sur leurs enfants. La croissance en France reposant beaucoup sur la consommation, le taux d'épargne explique en partie le fait que l'économie française patine, avec une prévision de croissance de 0,7% en 2025 selon l'Insee.Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe du magazine Capital, spécialiste des placements, nous expliquera pourquoi les Français, et en particulier les retraités, ont en ce moment une préférence pour les placements sûrs, et s'ils ont raison d'adopter cette attitude.
Jean-Marie Colombani et Géraldine Woessner réagissent au transfert de Léa Salamé de France Inter au 20h de France 2. Ils y voient un bouleversement dans le sort de l'élection présidentielle 2027 puisque l'amplification de la présence médiatique de Léa Salamé signifierait une invisibilisation de Raphaël Glucksmann dans la sphère politique, notamment au sein de la gauche. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les plus gros épargnants du pays sont les retraités, c'est ce que montrent les dernières statistiques de l'INSEE. Le taux d'épargne des français s'est élevé au premier trimestre de cette année à 18,8% des revenus... C'est du jamais vu depuis 1979 si on exclue la période COVID. Les deux tiers des sous qui ont été mis de côté ces derniers mois sont allés garnir les comptes épargne des plus de 65 ans et ça n'est pas une bonne nouvelle pour la croissance du pays. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 19 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Étienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Issu d'une famille d'agriculteurs, Clément grandit dans la campagne Tarnaise. D'abord attiré par le foot, il découvre réellement le rugby au collège, et c'est en suivant ses copains qu'il décide de prendre sa première licence. Il débute à Cagnac les Mines avant de rapidement rejoindre un Sporting Club Albigeois en pleine ascension !Franchissant les étapes une à une, il atteint le groupe pro après sa majorité. Pensionnaire de l'équipe de France -20, il fait par ailleurs sa place en Pro D2, et monte même une saison en Top 14.En 2013, son diplôme d'ingénieur en poche, il quitte le Tarn et prend la direction de l'Union Bordeaux Bègles où il s'imposera, et sera même sélectionné à 8 reprises avec le XV de France.Retraité des terrains en 2024 après 17 saisons en tant que joueur pro, Clément a la particularité d'avoir quasiment toujours travaillé à coté de sa brillante carrière rugbystique.Pas particulièrement doué, c'est un forçat de travail, un véritable besogneux, aujourd'hui reconverti dans un domaine plutôt inattendu : l'ostréiculture !Très proche de sa famille et des siens, Clément est un personnage authentique… il est pour ainsi dire, franc du collier, et c'est aussi ce qui a fait sa force.J'ai passé un superbe moment en sa compagnie, en témoignent la richesse et la durée de notre échange... et je suis certain que vous allez vous aussi vous régaler !Bonne écoute !-----------------------------
Depuis son Béarn natal, Philippe n'a toujours eu qu'une idée en tête : devenir joueur de rugby ! Pour cause, il démarre dès Poussins dans ce qui va devenir le club de sa vie : la Section Paloise.Franchissant les étapes une à une, il frappe dès sa majorité à la porte de l'équipe Première.Durant les années 1990, dans un rugby encore amateur, sa hargne et son envie de bien faire en font rapidement un élément capital des Verts et Blanc.Depuis 1997, il demeure d'ailleurs le premier Capitaine à avoir mené la Section Paloise en Coupe d'Europe.Retraité des terrains en 1998, Philippe est par la suite devenu entraineur, d'abord à la Section, puis ailleurs dans le Béarn, à Orthez ou Oloron. En 2014, il intègre en parallèle le staff de l'équipe Nationale Belge, participant à faire progresser les Diables Rouges durant 4 belles années.Aujourd'hui, et comme ce fût le cas pendant toute sa carrière, Philippe travaille pour la Mairie de Pau, et exerce un métier dans lequel il a évolué et se régale au quotidien.Vous allez l'entendre, il ne passe pas par 4 chemins pour donner son ressenti et j'ai adoré passer ce moment en sa compagnie.Bonne écoute !-----------------------------
durée : 00:05:08 - Déjà debout - Ce matin l'invité Déjà debout est Philippe Pras, retraité qui organise la troisième édition de du Festival des P'tits Loups, les 6 et 7 juin prochains à St Haon le Chatel.
durée : 00:05:08 - Déjà debout - Ce matin l'invité Déjà debout est Philippe Pras, retraité qui organise la troisième édition de du Festival des P'tits Loups, les 6 et 7 juin prochains à St Haon le Chatel.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:13:04 - Emmanuel Macron "ne prendra aucune décision" de retrait de Légion d'honneur à Nicolas Sarkozy
durée : 00:02:10 - Le vrai ou faux - Pour faire des économies, le gouvernement envisage de supprimer l'abattement fiscal de 10% sur les pensions de retraites. Franceinfo a essayé de calculer combien de retraités seraient effectivement touchés par une telle mesure.
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
durée : 00:39:09 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que le gouvernement souhaite élargir le champ des efforts budgétaires, la participation des retraités revient dans le débat : peut-on revoir leur contribution sans remettre en cause l'équilibre entre les générations ? - réalisation : François Richer - invités : Antoine Levy Professeur d'économie à la Haas School of Business de l'Université Berkeley de Californie; Monika Queisser Cheffe de la division des politiques sociales à l'OCDE, membre du Conseil d'Orientation des Retraites; Henri Sterdyniak Économiste, co-fondateur de l'OFCE et du groupe des Economistes atterrés
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h, ce mardi 22 avril 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de : Les retraités doivent-ils passer à la caisse ?