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MichnaBeroura_028 Retrait des Tefilines by Shiour Yomi
C'est ce vendredi 27 juin que les ministres des Affaires étrangères de la RDC et du Rwanda doivent signer un accord de paix à Washington, en présence de leur homologue américain, Marco Rubio. Jusqu'à ce jour, à la demande des États-Unis, les termes de l'accord sont restés secrets. Mais le chercheur américain Jason Stearns a réussi à en connaître les grandes lignes. Jason Stearns est le co-fondateur de l'institut congolais de recherches Ebuteli. Il enseigne aussi à l'université Simon Fraser, au Canada. En ligne des États-Unis, il répond aux questions de Christophe Boisbouvier. RFI: Jason Stearns, quelles sont les grandes lignes de l'accord qui doit être signé ce vendredi ? Jason Stearns: On ne connaît pas le contenu exactement. Mais ce que nous pensons, c'est que ce sera un accord comme beaucoup d'autres accords dans les deux décennies passées entre le Rwanda et la RDC. Il sera basé sur le principe que le Rwanda se retire et que le Congo mène des opérations contre les FDLR, ce groupe de rebelles rwandais. Donc c'est le point, je pense, le plus important de l'accord. Parmi les points les plus controversés pendant les négociations, je pense, il y a eu le fait que cela soit mené simultanément, c'est à dire que le Rwanda retire ses troupes et que, d'une façon simultanée, la RDC commence les opérations contre les FDLR. Le problème avec cela, c'est que, comme c'est simultané, les deux côtés peuvent dire que l'autre n'a pas tenu ses promesses et que le Rwanda puisse dire que l'armée congolaise n'a pas assez fait contre les FDLR. Cela est d'autant plus vrai que les FDLR se trouvent, une grande partie au moins des FDLR, se trouvent sur le territoire contrôlé par le M23 et l'armée rwandaise actuellement. Donc c'est parmi les grands défis je pense, et il y a des autres aspects de l'accord aussi, le fait que le Rwanda devrait pousser le M23 à se retirer des grandes villes, dont Goma et Bukavu surtout, et le fait que le Congo devrait permettre aux M23 de se convertir en parti politique et de participer à la démocratie congolaise et, en même temps, le fait de laisser les combattants du M23 soit rejoindre un processus de démobilisation ou, au cas par cas, rejoindre l'armée nationale. Et à court terme, est-ce qu'il y a un mécanisme qui va s'assurer que l'armée rwandaise et les rebelles FDLR vont bien quitter le terrain du Nord et du Sud-Kivu ? Il y a un mécanisme conjoint de vérification qui sera mis en place par les deux pays avec une participation des États-Unis. Il faut dire que le calendrier pour la mise en œuvre de cet accord est ambitieux. Ça va se traiter dans les prochains trois mois. Et donc, pendant ces trois mois, il y aura une participation des États-Unis. Et je pense aussi que les pays de la sous-région pourraient justement veiller à ce que les deux côtés sont en train de mettre en œuvre les accords. Et si les États-Unis rentrent dans ce mécanisme conjoint, est-ce à dire que les satellites d'observation américains vont aider à vérifier tout ça ? Je pense, car c'est depuis 2023 que les États-Unis se sont vraiment engagés et je pense que ça va continuer pour la collecte des informations. Qu'est-ce qui garantit que l'armée rwandaise et les FDLR vont se retirer du champ de bataille ? Il n'y a pas de garantie comme tel. Donc je pense qu'il faut se poser la question : Qu'est-ce qui motive le Rwanda et la RDC à signer cet accord aujourd'hui ? Donc je pense qu'il y a des bâtons et des carottes. Les carottes sont surtout d'ordre économique. Donc, les Etats-Unis ont promis toute une série d'investissements dans la région. Côté minerai, il y a des compagnies privées américaines qui seraient prêtes à investir dans les mines à l'est de la RDC. Mais le traitement et l'exportation des minerais se feraient à partir du Rwanda. Donc comme ça, les deux côtés seraient encouragés d'investir dans la paix et pas dans l'instabilité. Alors l'un des problèmes, Jason Stearns, c'est que les rebelles du M23 ne sont pas conviés à la signature de l'accord de ce vendredi à Washington. Est-ce que ce n'est pas préoccupant ? C'est préoccupant dans le sens que le Rwanda pourra toujours dire que, voilà, ils ont tenu leur côté de l'accord. Si les M23 ne mettent pas l'accord en œuvre, ce n'est pas leur problème, comme ils ne contrôlent pas les M23. Or, nous savons que le Rwanda a une forte implication dans la gestion du M23, si on peut le dire ainsi. Mais le Rwanda pourrait toujours nier cela. Alors en effet, le gouvernement congolais espère que, si l'armée rwandaise se retire du terrain, le M23 va s'effondrer. Mais est-ce que c'est si simple que cela ? Ce n'est pas si simple dans le sens que, dans les mois passés, le M23, surtout depuis la prise de Goma, a mené des opérations très sérieuses pour recruter des milliers de nouvelles recrues, pour amener toute l'élite locale dans des camps de formation, pour mettre en place une administration parallèle sur le terrain avec des services de taxation, des services d'administration pour peser sur les chefs coutumiers, afin qu'ils se réorientent vers le M23. Donc il sera difficile de démanteler tout cela. Et donc je pense qu'il est important, pas seulement que l'accord soit signé, mais que, dans la mise en œuvre de cet accord, il y ait un suivi, pas seulement des Etats-Unis, mais de tous les autres acteurs impliqués de la sous-région et des Nations Unies et de l'Union africaine pour veiller à ce que le M23 aussi rejoigne le processus de paix. Avec Joseph Kabila et Corneille Nangaa ? Leur sort n'a pas été évoqué par cet accord, donc c'est parmi les grandes inconnues. À lire aussiVers un accord de paix RDC-Rwanda le 27 juin: «Nous espérons que, cette fois-ci, ce soit la bonne»
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Pour débuter l'émission de ce jeudi 26 juin 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, et Flora Ghebali, militante écologiste, débattent du sujet du jour : Des Chèques-Vacances pour les fonctionnaires retraités.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Avec : Pierre Rondeau, économiste. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Robert Sebbag, infectiologue à la Pitié-Salpêtrière. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Avec : Jacques Legros, ancien présentateur du 13H. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Pierre Rondeau, expert en économie du sport. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneuse. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
C dans l'air l'invité du 20 juin 2025 avec Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe du magazine Capital, spécialiste des placements.Le taux d'épargne en France n'a jamais été aussi élevé depuis la fin des années 70. Parmi les épargnants, il y a une partie de la population qui met beaucoup d'argent de côté : les retraités. Le taux d'épargne des revenus en moyenne atteint 18,8%, c'est inédit depuis 45 ans. Si on met de côté la période Covid et qu'on regarde les chiffres plus précisément, on s'aperçoit que le taux d'épargne chez les plus de 70 ans monte à 25%. Les deux tiers de l'argent qui a été mis de côté ces derniers mois est parti gonfler les comptes d'épargne des retraités. Comment l'expliquer ? Le pouvoir d'achat des retraités s'est amélioré deux fois plus vite que celui des salariés. Les retraites étant indexées sur l'inflation, on a dépassé les 6% d'augmentation en 2024. En revanche, les salaires, eux, n'ont progressé que de 3%. Aujourd'hui, l'inflation se stabilise, donc il y a bien un gain de pouvoir d'achat et il est beaucoup plus important pour les retraités.En matière de consommation et de croissance, les conséquences sont importantes, car les retraités consomment moins que les familles qui travaillent. Et ils épargnent par sécurité, en raison de l'incertitude géopolitique, mais aussi pour assurer l'avenir de leurs enfants, en transmettant un héritage. Autre fait d'importance : l'envie de ne pas faire peser trop fort la maison de retraite pour ne pas peser sur leurs enfants. La croissance en France reposant beaucoup sur la consommation, le taux d'épargne explique en partie le fait que l'économie française patine, avec une prévision de croissance de 0,7% en 2025 selon l'Insee.Mireille Weinberg, rédactrice en chef adjointe du magazine Capital, spécialiste des placements, nous expliquera pourquoi les Français, et en particulier les retraités, ont en ce moment une préférence pour les placements sûrs, et s'ils ont raison d'adopter cette attitude.
Jean-Marie Colombani et Géraldine Woessner réagissent au transfert de Léa Salamé de France Inter au 20h de France 2. Ils y voient un bouleversement dans le sort de l'élection présidentielle 2027 puisque l'amplification de la présence médiatique de Léa Salamé signifierait une invisibilisation de Raphaël Glucksmann dans la sphère politique, notamment au sein de la gauche. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les plus gros épargnants du pays sont les retraités, c'est ce que montrent les dernières statistiques de l'INSEE. Le taux d'épargne des français s'est élevé au premier trimestre de cette année à 18,8% des revenus... C'est du jamais vu depuis 1979 si on exclue la période COVID. Les deux tiers des sous qui ont été mis de côté ces derniers mois sont allés garnir les comptes épargne des plus de 65 ans et ça n'est pas une bonne nouvelle pour la croissance du pays. Ecoutez L'angle éco de Martial You du 19 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A la lecture des derniers chiffres de l'Insee, l'épargne abondante des retraités briderait la croissance française. Alors que la conjoncture est dégradée et l'environnement géopolitique imprévisible, les ménages ont-ils raison d'épargner autant ? Réponse avec Charles Sannat, fondateur du site insolentiae. Ecorama du 19 juin 2025, présenté par David Jacquot sur Boursorama.com Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Étienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Le patron de Renault s'en va, le salon du Bourget ouvre ses portes… Rattrapez l'actualité économique du jour avec notre podcast 120 secondes. Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
MichnaBeroura_025-13b Retrait des Tefilines suite by Shiour Yomi
Issu d'une famille d'agriculteurs, Clément grandit dans la campagne Tarnaise. D'abord attiré par le foot, il découvre réellement le rugby au collège, et c'est en suivant ses copains qu'il décide de prendre sa première licence. Il débute à Cagnac les Mines avant de rapidement rejoindre un Sporting Club Albigeois en pleine ascension !Franchissant les étapes une à une, il atteint le groupe pro après sa majorité. Pensionnaire de l'équipe de France -20, il fait par ailleurs sa place en Pro D2, et monte même une saison en Top 14.En 2013, son diplôme d'ingénieur en poche, il quitte le Tarn et prend la direction de l'Union Bordeaux Bègles où il s'imposera, et sera même sélectionné à 8 reprises avec le XV de France.Retraité des terrains en 2024 après 17 saisons en tant que joueur pro, Clément a la particularité d'avoir quasiment toujours travaillé à coté de sa brillante carrière rugbystique.Pas particulièrement doué, c'est un forçat de travail, un véritable besogneux, aujourd'hui reconverti dans un domaine plutôt inattendu : l'ostréiculture !Très proche de sa famille et des siens, Clément est un personnage authentique… il est pour ainsi dire, franc du collier, et c'est aussi ce qui a fait sa force.J'ai passé un superbe moment en sa compagnie, en témoignent la richesse et la durée de notre échange... et je suis certain que vous allez vous aussi vous régaler !Bonne écoute !-----------------------------
Pour le vieillissement démographique, le Japon a une longueur d'avance. Pour y faire face, il explore des voies qui sont profondément différentes de celles de la France. C'est donc avec grande curiosité que j'ai interviewé Midori Maki. Elle est 100%bilingue et biculturelle.Elle a étudié et travaille dans les deux pays et, en tant que consultante franco-japonaise, s'attache à faire comprendre la richesse de ces deux cultures.Je l'interroge sur trois aspects culturels et sociétaux qui structurent le pays et la vie citoyenne.Le rapport au travail, la volonté de participer à la vie collectiveexpliquent-ils que 33 % des personnes âgées de 70 à 75 anstravaillent encore ? La place des personnes âgées dans les entreprises et la sociétéà combien s'élèvent les retraites ? quel taux de pauvreté des 65+ ?quelle est la place de la solidarité familiale et intergénérationnelle ?Quel est le rôle respectif des hommes et des femmes dans la société ? La division traditionnelle sexuée des responsabilités (=les hommes travaillent, les femmes sont au foyer) perdure-t-elle, comme peut le faire penser le très médiocre classement international du Japon en terme d'égalités F/H ?Midori conclut en disant qu'il ne s'agit pas, d'un côté ou l'autre, de donner des leçons mais bien plutôt de comprendre que ce qui paraît définitif et immuable dans un pays ne l'est pas et que d'autres façons de penser sont possibles.REFERENCESla situation précaire des femmes japonaises âgéesLe monde En Asie, le taux de pauvreté des personnes âgées ne diminue pas. Classement mondial 2024 sur l'égalité des sexes : le Japon 118ème, la France 22èmeSi cet épisode vous a plu, vous pouvez vous abonner à Plaff sur votre plateforme d'écoute préférée et également vous abonner sur mon site (encart disponible en bas de chaque page) afin de recevoir la newsletter pour vous informer de la sortie de chaque nouvel épisode et du nom de l'invitée.http://plaffpodcast.fr/ Si vous aimez les podcasts 50 ans et toutes ses dents et Vieilles en puissance, Plaff - Place aux femmes fortes est aussi pour vous, c'est sûr !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis son Béarn natal, Philippe n'a toujours eu qu'une idée en tête : devenir joueur de rugby ! Pour cause, il démarre dès Poussins dans ce qui va devenir le club de sa vie : la Section Paloise.Franchissant les étapes une à une, il frappe dès sa majorité à la porte de l'équipe Première.Durant les années 1990, dans un rugby encore amateur, sa hargne et son envie de bien faire en font rapidement un élément capital des Verts et Blanc.Depuis 1997, il demeure d'ailleurs le premier Capitaine à avoir mené la Section Paloise en Coupe d'Europe.Retraité des terrains en 1998, Philippe est par la suite devenu entraineur, d'abord à la Section, puis ailleurs dans le Béarn, à Orthez ou Oloron. En 2014, il intègre en parallèle le staff de l'équipe Nationale Belge, participant à faire progresser les Diables Rouges durant 4 belles années.Aujourd'hui, et comme ce fût le cas pendant toute sa carrière, Philippe travaille pour la Mairie de Pau, et exerce un métier dans lequel il a évolué et se régale au quotidien.Vous allez l'entendre, il ne passe pas par 4 chemins pour donner son ressenti et j'ai adoré passer ce moment en sa compagnie.Bonne écoute !-----------------------------
durée : 00:05:08 - Déjà debout - Ce matin l'invité Déjà debout est Philippe Pras, retraité qui organise la troisième édition de du Festival des P'tits Loups, les 6 et 7 juin prochains à St Haon le Chatel.
durée : 00:05:08 - Déjà debout - Ce matin l'invité Déjà debout est Philippe Pras, retraité qui organise la troisième édition de du Festival des P'tits Loups, les 6 et 7 juin prochains à St Haon le Chatel.
Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Thomas Schnell reçoit Benoît Perrin, le directeur de l'association Contribuables Associés, pour décrypter une mesure controversée du gouvernement : la suppression de l'abattement fiscal de 10% sur les revenus des retraités. Benoît Perrin explique en quoi consiste cet abattement et pourquoi le gouvernement souhaite s'en débarrasser dans sa quête d'économies. Selon lui, cette niche fiscale représente environ 5 milliards d'euros, une somme non négligeable dans l'effort budgétaire de 40 milliards que le gouvernement s'est fixé. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:04 - Emmanuel Macron "ne prendra aucune décision" de retrait de Légion d'honneur à Nicolas Sarkozy
durée : 00:02:31 - Le brief politique - Le parti de Jordan Bardella, en opération séduction depuis des années, commence à faire basculer le vote des retraités, d'après la fondation Jean Jaurès.
durée : 00:02:10 - Le vrai ou faux - Pour faire des économies, le gouvernement envisage de supprimer l'abattement fiscal de 10% sur les pensions de retraites. Franceinfo a essayé de calculer combien de retraités seraient effectivement touchés par une telle mesure.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 23/04/2025, il réagit aux propos d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics qui vise l'abattement fiscal des retraités pour l'assainissement des finances publiques. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
durée : 00:39:09 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que le gouvernement souhaite élargir le champ des efforts budgétaires, la participation des retraités revient dans le débat : peut-on revoir leur contribution sans remettre en cause l'équilibre entre les générations ? - réalisation : François Richer - invités : Antoine Levy Professeur d'économie à la Haas School of Business de l'Université Berkeley de Californie; Monika Queisser Cheffe de la division des politiques sociales à l'OCDE, membre du Conseil d'Orientation des Retraites; Henri Sterdyniak Économiste, co-fondateur de l'OFCE et du groupe des Economistes atterrés
A 10h, ce mardi 22 avril 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de : Les retraités doivent-ils passer à la caisse ?
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:38 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le député du Loiret et porte-parole du Rassemblement national Thomas Ménagé est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il est notamment revenu sur la suppression de l'abattement fiscal des retraités.
durée : 00:54:38 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le député du Loiret et porte-parole du Rassemblement national Thomas Ménagé est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il est notamment revenu sur la suppression de l'abattement fiscal des retraités.
Olivier Babeau analyse en détail les avantages et les inconvénients des deux principaux systèmes de retraite : la répartition et la capitalisation. À travers des exemples concrets, il montre que la capitalisation peut s'avérer plus avantageuse à long terme, malgré les aléas des marchés financiers. Il répond également aux critiques de certains responsables politiques de gauche qui remettent en cause le système de capitalisation. Une discussion approfondie sur un sujet économique majeur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour débuter l'émission de ce lundi 14 avril 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Fatima Aït Bounoua, professeur de français, débattent du sujet du jour : Retraités, travailleurs... prêts à vous serrer la ceinture ?
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Retraités, travailleurs... prêts à vous serrer la ceinture ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
durée : 00:02:50 - Ma vie au boulot - Ce samedi, Sandrine Foulon s'est passionnée pour une base de données inédite de l'Institut des Politiques Publiques qui permet de connaître l'âge de départ en retraite d'une personne, non pas en fonction de l'âge mais plutôt du métier qu'elle exerce. Quels enseignements tirer de cette étude ?
Les galaxies meurent plus tôt que prévu Les brèves du jour Grand invité: François Pilet, auteur et médecin généraliste retraité
Petit Jurassien, Julien est dans un premier temps attiré par la pêche et la pétanque. Mais suivant son papa et ses copains au stade, il mord rapidement dans le rugby, du côté de Dole ! Retenu dans les sélections locales, il passe une saison à Dijon avant de revenir dans son club formateur et d'être remarqué par un recruteur d'Oyonnax alors en Fédérale 1. Apprenant patiemment, il monte alors en Pro D2 et s'impose petit à petit dans le Haut Bugey où il disputera 5 belles saisons.En 2007, devenu une référence à son poste, il prend la direction du Béarn, plus précisément de la Section Paloise, qu'il marquera de son empreinte durant une décennie et dont il deviendra le fier Capitaine. Longtemps dans l'antichambre de l'Elite, il touche son rêve du doigt en 2015, en montant en Top 14 avec les Verts et Blancs. Retraité du rugby pro en 2017, Julien a continué de jouer à Morlaàs en Fédérale 2, tout en se familiarisant avec le rôle d'entraineur !Conciliant aujourd'hui son travail de chauffeur-livreur avec l'entrainement, on peut dire qu'il a une vie bien rythmée ! Une vie qui ne l'a d'ailleurs pas épargné, et trop souvent mis à l'épreuve. Julien est un dur au mal, dans tous les sens du terme, un vrai vaillant.Parti de loin, il sait le chemin parcouru et les obstacles surmontés, qui ont renforcé son grand attachement à son cercle familial et amical.Je me suis vraiment régalé en compagnie de Julien (et je ne dis pas ça uniquement parce qu'il était pilier…
Ecoutez Le 2ème œil d'Alex Vizorek du 31 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Le 29 mars 1973, le président des États-Unis Richard Nixon annonçait la fin du retrait des troupes américaines encore présentes au Vietnam. Un événement qui aura aussi des répercussions profondes sur la politique internationale et la perception du pouvoir américain dans le monde.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Des échanges au plus haut niveau se sont déroulés cette semaine pour trouver un accord de trêve en Ukraine, mais rien ne semble faire fléchir Vladimir Poutine. La trêve précaire au Proche Orient n'est plus. La guerre et des morts dans la bande de Gaza, mais aussi l'incertitude pour les otages détenus par le Hamas. En cette semaine de la francophonie, trois pays, le Niger, le Mali et le Burkina Faso, ont annoncé leur sortie de l'OIF, l'Organisation internationale de la Francophonie.
Gersois pur jus, petit fils et fils de rugbymen, c'est dès l'enfance que Jean-Baptiste tombe dans la marmite ovale !Pétri de qualités, il fait ses classes à Auch et en franchit les échelons un à un jusqu'à en atteindre l'équipe première peu après sa majorité ! En 2004, il est l'un des grands artisans du titre Auscitain en Pro D2 ! La saison suivante, il termine meilleur réalisateur du Top 16, remporter le Bouclier Européen et honore sa première cape avec France A.C'est alors que la Capitale de Gascogne devient un peu trop petite pour lui, et qu'il prend la direction de Clermont Ferrand où il passera une saison, avant de filer à Lyon, Bourg en Bresse et Béziers où il a terminé sa carrière professionnelle.Retraité des terrains depuis 2014, Jean-Baptiste est un très, très bon vivant, qui a pleinement profité de sa jeunesse. D'ailleurs, il a pris conscience un petit peu tard du niveau d'exigence que représente le rugby professionnel, et ça lui aura joué quelques tours.Aujourd'hui, Jean-Baptiste est un père de famille calme et apaisé. Superbement reconverti dans l'immobilier, il est de retour dans le Sud-Ouest, et ne rate évidemment aucune occasion de remettre les pieds dans son Gers.Quel bon moment on a passé ! Jean-Baptiste n'est vraiment pas le dernier pour déconner, et j'ai adoré l'honnêteté et le recul dont il fait preuve.Bonne écoute !-----------------------------