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Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Antoine Diers et Étienne Liebig débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
MichnaBeroura_025-13b Retrait des Tefilines suite by Shiour Yomi
Issu d'une famille d'agriculteurs, Clément grandit dans la campagne Tarnaise. D'abord attiré par le foot, il découvre réellement le rugby au collège, et c'est en suivant ses copains qu'il décide de prendre sa première licence. Il débute à Cagnac les Mines avant de rapidement rejoindre un Sporting Club Albigeois en pleine ascension !Franchissant les étapes une à une, il atteint le groupe pro après sa majorité. Pensionnaire de l'équipe de France -20, il fait par ailleurs sa place en Pro D2, et monte même une saison en Top 14.En 2013, son diplôme d'ingénieur en poche, il quitte le Tarn et prend la direction de l'Union Bordeaux Bègles où il s'imposera, et sera même sélectionné à 8 reprises avec le XV de France.Retraité des terrains en 2024 après 17 saisons en tant que joueur pro, Clément a la particularité d'avoir quasiment toujours travaillé à coté de sa brillante carrière rugbystique.Pas particulièrement doué, c'est un forçat de travail, un véritable besogneux, aujourd'hui reconverti dans un domaine plutôt inattendu : l'ostréiculture !Très proche de sa famille et des siens, Clément est un personnage authentique… il est pour ainsi dire, franc du collier, et c'est aussi ce qui a fait sa force.J'ai passé un superbe moment en sa compagnie, en témoignent la richesse et la durée de notre échange... et je suis certain que vous allez vous aussi vous régaler !Bonne écoute !-----------------------------
Depuis son Béarn natal, Philippe n'a toujours eu qu'une idée en tête : devenir joueur de rugby ! Pour cause, il démarre dès Poussins dans ce qui va devenir le club de sa vie : la Section Paloise.Franchissant les étapes une à une, il frappe dès sa majorité à la porte de l'équipe Première.Durant les années 1990, dans un rugby encore amateur, sa hargne et son envie de bien faire en font rapidement un élément capital des Verts et Blanc.Depuis 1997, il demeure d'ailleurs le premier Capitaine à avoir mené la Section Paloise en Coupe d'Europe.Retraité des terrains en 1998, Philippe est par la suite devenu entraineur, d'abord à la Section, puis ailleurs dans le Béarn, à Orthez ou Oloron. En 2014, il intègre en parallèle le staff de l'équipe Nationale Belge, participant à faire progresser les Diables Rouges durant 4 belles années.Aujourd'hui, et comme ce fût le cas pendant toute sa carrière, Philippe travaille pour la Mairie de Pau, et exerce un métier dans lequel il a évolué et se régale au quotidien.Vous allez l'entendre, il ne passe pas par 4 chemins pour donner son ressenti et j'ai adoré passer ce moment en sa compagnie.Bonne écoute !-----------------------------
durée : 00:05:08 - Déjà debout - Ce matin l'invité Déjà debout est Philippe Pras, retraité qui organise la troisième édition de du Festival des P'tits Loups, les 6 et 7 juin prochains à St Haon le Chatel.
durée : 00:05:08 - Déjà debout - Ce matin l'invité Déjà debout est Philippe Pras, retraité qui organise la troisième édition de du Festival des P'tits Loups, les 6 et 7 juin prochains à St Haon le Chatel.
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Aujourd'hui, Didier Giraud, Emmanuel de Villiers et Joëlle Dago-Serry débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Au programme : Faut-il baisser le coût du travail par la création de la TVA sociale ? // La CNAV a t'elle raison de durcir les contrôles sur les retraités algériens ?
Céline Géraud, accompagnée de la rédaction d'Europe 1, propose chaque midi un point complet sur l'actualité suivi de débats entre invités et auditeurs.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Élina Dumont, Didier Giraud et Antoine Diers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:02:24 - franceinfo seniors - par : Frédérique Marié - Selon la 3ème étude de Silver Alliance (collectif d'entreprises dédiées au bien vieillir), les deux tiers des plus de 65 ans estiment que leur pouvoir d'achat a diminué depuis leur départ à la retraite.
La fin du Pinel fait sombrer la promotion immobilière. Au 1er trimestre 2025, les ventes aux investisseurs particuliers se sont effondrées de 41 %. En cause : la disparition du dispositif Pinel, pilier de l'investissement locatif neuf. Malgré un léger rebond des ventes aux accédants, le marché reste à l'arrêt. Retrait massif d'opérations, chute de l'offre, ventes en berne : la FPI alerte sur un secteur en crise, dans l'attente d'un vrai sursaut politique.
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Aujourd'hui, Zohra Bitan, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Thomas Schnell reçoit Benoît Perrin, le directeur de l'association Contribuables Associés, pour décrypter une mesure controversée du gouvernement : la suppression de l'abattement fiscal de 10% sur les revenus des retraités. Benoît Perrin explique en quoi consiste cet abattement et pourquoi le gouvernement souhaite s'en débarrasser dans sa quête d'économies. Selon lui, cette niche fiscale représente environ 5 milliards d'euros, une somme non négligeable dans l'effort budgétaire de 40 milliards que le gouvernement s'est fixé. Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:13:04 - Emmanuel Macron "ne prendra aucune décision" de retrait de Légion d'honneur à Nicolas Sarkozy
durée : 00:02:31 - Le brief politique - Le parti de Jordan Bardella, en opération séduction depuis des années, commence à faire basculer le vote des retraités, d'après la fondation Jean Jaurès.
durée : 00:02:10 - Le vrai ou faux - Pour faire des économies, le gouvernement envisage de supprimer l'abattement fiscal de 10% sur les pensions de retraites. Franceinfo a essayé de calculer combien de retraités seraient effectivement touchés par une telle mesure.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 23/04/2025, il réagit aux propos d'Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics qui vise l'abattement fiscal des retraités pour l'assainissement des finances publiques. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 23/04/2025 Retour des mines antipersonnel : une militante sonne l'alerte mondialeDepuis le 18 mars, cinq pays européens ont annoncé vouloir sortir du traité d'Ottawa qui interdit l'usage des mines antipersonnel depuis 1997 et les définit comme "conçues pour exploser du fait de la présence, de la proximité ou du contact d'une personne et destinées à mettre hors de combat, blesser ou tuer une ou plusieurs personnes". La Lituanie, la Pologne, l'Estonie, la Lettonie et la Finlande ont fait marche arrière face à la crainte d'un conflit militaire avec la Russie de Vladimir Poutine. Ratifié par 164 pays, ce traité avait entériné le recul de leur utilisation, qui touche des civils dans 85 % des cas. Si ces retraits ont suscité des réactions frileuses de la part des autres pays signataires, des ONG se mobilisent pour maintenir l'interdiction des mines antipersonnel. C'est notamment le cas d'Handicap International qui a enjoint le gouvernement français à agir. Anne Héry est chargée de plaidoyer et des relations institutionnelles depuis plus de quinze ans pour cette ONG. L'un de ses principaux combats est la fin de l'utilisation des armes explosives en zones peuplées, comme les mines antipersonnel qu'elle qualifie "d'armes des lâches". Le retour de la conflictualité va-t-il enterrer le droit humanitaire international ?Déficit budgétaire : faut-il faire payer les retraités ? Toujours à la recherche de 40 milliards d'euros pour combler le déficit, le gouvernement de François Bayrou multiplie les pistes. Récemment, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a émis l'hypothèse de revenir sur l'abattement fiscal des retraités. Institué en 1977, il permet aux retraités de réduire leur revenu imposable de 10 %, une mesure calquée sur l'abattement censé couvrir les frais professionnels des salariés. Chaque année, il représente un manque à gagner de 4 milliards pour l'État. Sa possible suppression fait débat tant la question est liée aux équilibres politiques. Les retraités représentent 14 millions d'électeurs, un socle électoral dont peu de partis peuvent se passer. Les oppositions, de tous bords confondus, ont fait part de leur désaccord : "18,5 millions de retraités vont payer plus d'impôts et 500 000 retraités, qui n'étaient pas encore imposables, vont le devenir", a dénoncé Marine Tondelier (EELV), alors que Laurent Jacobelli (RN) surenchérit en invoquant "un motif de censure possible". Pour le gouvernement, les équilibres politique et financier sont précaires.Marjorie Adelson nous emmène en Californie, où un groupe d'adolescents a organisé une course de spermatozoïdes pour sensibiliser au déclin de la fertilité masculine. Marie Bonnisseau nous raconte une histoire de foi à l'heure du numérique : Carlo Acutis, mort en 2006 à l'âge de 15 ans, sera bientôt canonisé pour devenir le saint patron des internautes.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
L'émission 28 minutes du 23/04/2025 Déficit budgétaire : faut-il faire payer les retraités ? Toujours à la recherche de 40 milliards d'euros pour combler le déficit, le gouvernement de François Bayrou multiplie les pistes. Récemment, Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, a émis l'hypothèse de revenir sur l'abattement fiscal des retraités. Institué en 1977, il permet aux retraités de réduire leur revenu imposable de 10 %, une mesure calquée sur l'abattement censé couvrir les frais professionnels des salariés. Chaque année, il représente un manque à gagner de 4 milliards pour l'État. Sa possible suppression fait débat tant la question est liée aux équilibres politiques. Les retraités représentent 14 millions d'électeurs, un socle électoral dont peu de partis peuvent se passer. Les oppositions, de tous bords confondus, ont fait part de leur désaccord : "18,5 millions de retraités vont payer plus d'impôts et 500 000 retraités, qui n'étaient pas encore imposables, vont le devenir", a dénoncé Marine Tondelier (EELV), alors que Laurent Jacobelli (RN) surenchérit en invoquant "un motif de censure possible". Pour le gouvernement, les équilibres politique et financier sont précaires.On en débat avec Gaëlle Macke, directrice déléguée de la rédaction de Challenges ; Agathe Le Berder, secrétaire générale adjointe de la CGT Ingé Cadre Tech et François Geerolf, économiste à l'OFCE.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 23 avril 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
C dans l'air du 22 avril 2025 : Impôts : les retraités vont-ils plus payer ?Comment renflouer les caisses de l'État de 40 milliards d'euros ? C'est l'équation sur laquelle planche Bercy, avec la préparation du budget 2026, dont l'objectif est une réduction du déficit à 4,6 % l'an prochain. Parmi les pistes envisagées se trouvent les niches fiscales. Elles sont 467 au total et coûtent 85 milliards d'euros à l'État chaque année. Bercy veut en supprimer au moins 50 et n'écarte aucune hypothèse. Pas même celle de mettre les retraités à contribution via la suppression de l'abattement fiscal de 10 % dont ils bénéficient.Créé en 1978 par le gouvernement de Raymond Barre, cet abattement fiscal accorde à chaque retraité une déduction automatique de 10 % sur ses revenus (dans la limite de 4.399 euros) annuels au moment de la déclaration. Ce qui se traduit in fine par une baisse d'impôt. Dans Le Parisien, la ministre des Comptes publics ne s'est pas dit contre une remise en cause de cet abattement fiscal, estimant "que ce n'est pas votre âge qui doit définir votre contribution". "Je pense, à titre personnel, qu'on ne peut pas indéfiniment mettre à contribution les actifs pour financer les nouvelles dépenses sociales liées au vieillissement", a ajouté Amélie de Montchalin.La suppression de cette niche fiscale permettrait à l'État de récupérer près de 5 milliards d'euros. Plus précisément, la Cour des comptes estime à 4,494 milliards d'euros le coût de cette mesure pour l'État en 2023, ce qui en fait la quatrième niche fiscale la plus coûteuse, derrière le crédit d'impôt en faveur de la recherche (CIR), une aide aux entreprises (7,2 milliards) ; le crédit d'impôt pour l'emploi d'un salarié à domicile (5,9 milliards) et la détermination du résultat imposable des entreprises de transport maritime en fonction du tonnage de leurs navires (dispositif mis en place pour protéger les armateurs face à la concurrence asiatique, 5,6 milliards). La Cour des comptes déplorait dans un précédent rapport une "articulation insuffisante" entre les dépenses fiscales et les objectifs des politiques publiques qu'elles sont censées soutenir – quand leurs effets concrets sont connus et appelé à procéder à la revue de l'ensemble des dépenses fiscales d'ici 2027.Alors que va décider le gouvernement ? Si le Premier ministre a fixé avant le 14 juillet la date butoir pour dévoiler ses grandes orientations, le premier président de la Cour des comptes n'a pas attendu pour pousser un coup de gueule. Lors de la présentation son rapport sur le résultat du budget 2024 de l'État, Pierre Moscovici a étrillé la gestion budgétaire des derniers mois. Il a également regretté l'impossibilité pour son institution de certifier les comptes de État "sans des réserves très significatives", dénonçant le "refus persistant de l'administration d'appliquer les principes et normes comptables communément acceptés". L'institution de la rue Cambon déplore "5 anomalies significatives", autrement dit des comptes sous-évalués ou surévalués « sur plusieurs milliards d'euros", mais aussi 11 insuffisances ou incertitudes, sur lesquelles les magistrats financiers ont été incapables de "réconcilier les chiffres". Dans ces conditions, Pierre Moscovici s'interroge sur l'attitude à adopter lors des prochains exercices budgétaires, si ses observations continuent d'être prises "à la légère" et prévient : "en l'absence de progrès significatifs en 2025, la Cour pourrait être amenée à en tirer les conséquences […] autrement dit à ne pas certifier les comptes". L'ancien ministre de l'Économie a d'ailleurs fait la comparaison avec le monde privé. " J'imagine la situation d'une entreprise où le commissaire aux comptes certifierait les comptes avec de fortes réserves ou ne les certifierait pas, et où le conseil d'administration dirait on s'en fiche. Ce n'est pas sérieux !"Du coté des entreprises également, plusieurs grands patrons français ont donné de la voix ces derniers jours face à l'exécutif à Paris et à Bruxelles. Bernard Arnault, PDG du numéro un mondial du luxe LVMH, qui avait dénoncé en février une taxation française pénalisant le "Made in France", a mené la charge jeudi dernier contre l'UE et les "bureaucrates" de Bruxelles. L'Union européenne, selon lui, "n'est pas dirigée par un pouvoir politique […] mais par un pouvoir bureaucratique qui passe son temps à éditer des réglementations", rendant "pas facile" la création d'une "zone de libre-échange" entre les États-Unis et l'UE - une zone à laquelle il s'est dit comme Elon Musk "favorable". Le même jour le directeur général de L'Oréal, Nicolas Hieronimus a évoqué parmi les pistes pour faire face aux droits de douane américains la possibilité de relocaliser "une partie" de la production aux États-Unis. Le PDG de TotalEnergies Patrick Pouyanné s'est lui attaqué dans les colonnes du Figaro magazine au "millefeuille administratif du pays". "Quand il faut trois ans pour faire une ferme solaire aux États-Unis, cela prend sept ans en France. Et pour un projet dix fois plus petit !", selon lui.À rebours de ces positions, Michel-Édouard Leclerc, le président du comité stratégique des centres E.Leclerc, a estimé qu'"il ne faut pas que Bernard Arnault, que Rodolphe Saadé, le président de CMA CGM (qui s'est affiché début mars dans le Bureau ovale avec Donald Trump pour annoncer 20 milliards d'investissements aux États-Unis sur 4 ans) ou Schneider Electric (qui avait dit fin mars compter investir plus de 700 millions de dollars d'ici 2027 aux États-Unis, NDLR) aillent signer leur accord avant que l'Europe n'ait négocié, sinon on a l'air minable". "Je lance un appel à Bernard Arnault : Fais société, fais nation", a-t-il ajouté.Pendant ce temps, Donald Trump poursuit sa guerre commerciale et accentue sa pression sur le président de la Fed, Jerome Powell. "Si je veux qu'il parte, il va partir très vite croyez-moi", a lancé le locataire de la Maison-Blanche jeudi dernier. Une menace réitérée lundi : "Il peut y avoir un RALENTISSEMENT de l'économie à moins que 'Monsieur le retardataire', cet immense looser, ne baisse les taux d'intérêt, MAINTENANT", a-t-il écrit sur son réseau Truth Social. Jerome Powell a pourtant été nommé par Donald Trump en 2017, puis reconduit par Joe Biden en 2022. Son mandat s'étend désormais jusqu'en mai 2026. Mais depuis son retour au pouvoir, le républicain reproche au patron de la Fed de ne pas baisser ses taux assez vite. Une baisse des taux pourrait doper la croissance, alors que les États-Unis viennent d'imposer des droits de douane à presque tous les pays du monde. Mais la Fed préfère prendre son temps afin de ne pas prendre le risque d'aggraver l'inflation qui est repartie à la hausse. Des tensions persistantes entre le président américain et Jerome Powell qui inquiètent les marchés. La Bourse de Wall Street a fini en forte baisse lundi et le dollar poursuit sa dégringolade face aux principales devises mondiales.LES EXPERTS : - PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l'Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - CAROLINE MICHEL-AGUIRRE - Grand reporter au service politique - Le Nouvel Obs - NATHALIE SAINT-CRICQ - Editorialiste politique - France Télévisions - OLIVIA DETROYAT - Journaliste économique - Le Figaro
durée : 00:39:09 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que le gouvernement souhaite élargir le champ des efforts budgétaires, la participation des retraités revient dans le débat : peut-on revoir leur contribution sans remettre en cause l'équilibre entre les générations ? - réalisation : François Richer - invités : Antoine Levy Professeur d'économie à la Haas School of Business de l'Université Berkeley de Californie; Monika Queisser Cheffe de la division des politiques sociales à l'OCDE, membre du Conseil d'Orientation des Retraites; Henri Sterdyniak Économiste, co-fondateur de l'OFCE et du groupe des Economistes atterrés
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Emmanuel de Villiers débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A 10h, ce mardi 22 avril 2025, les GG : Flora Ghebali, entrepreneure dans la transition écologique, Charles Consigny, avocat, et Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, débattent de : Les retraités doivent-ils passer à la caisse ?
Ecoutez RTL Soir avec Agnès Bonfillon et Yves Calvi du 22 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:39:09 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Alors que le gouvernement souhaite élargir le champ des efforts budgétaires, la participation des retraités revient dans le débat : peut-on revoir leur contribution sans remettre en cause l'équilibre entre les générations ? - réalisation : François Richer - invités : Antoine Levy Professeur d'économie à la Haas School of Business de l'Université Berkeley de Californie; Monika Queisser Cheffe de la division des politiques sociales à l'OCDE, membre du Conseil d'Orientation des Retraites; Henri Sterdyniak Économiste, co-fondateur de l'OFCE et du groupe des Economistes atterrés
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:54:38 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le député du Loiret et porte-parole du Rassemblement national Thomas Ménagé est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il est notamment revenu sur la suppression de l'abattement fiscal des retraités.
durée : 00:54:38 - Questions politiques - par : Carine BECARD, Fabienne Le Moal - Le député du Loiret et porte-parole du Rassemblement national Thomas Ménagé est l'invité de Questions politiques ce dimanche. Il est notamment revenu sur la suppression de l'abattement fiscal des retraités.
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Benjamin Amar, professeur d'histoire-géographie. Élise Goldfarb, entrepreneure. Et Frédéric Hermel, journaliste RMC. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Paul Lahcene et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
Olivier Babeau analyse en détail les avantages et les inconvénients des deux principaux systèmes de retraite : la répartition et la capitalisation. À travers des exemples concrets, il montre que la capitalisation peut s'avérer plus avantageuse à long terme, malgré les aléas des marchés financiers. Il répond également aux critiques de certains responsables politiques de gauche qui remettent en cause le système de capitalisation. Une discussion approfondie sur un sujet économique majeur.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, dans la première heure des Grandes Gueules, les GG sont revenues sur "Retraités, travailleurs... prêts à vous serrer la ceinture ?", avant d'échanger leur point de vue dans le "On s'en fout, on s'en fout pas".
Pour débuter l'émission de ce lundi 14 avril 2025, les GG : Charles Consigny, avocat, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Fatima Aït Bounoua, professeur de français, débattent du sujet du jour : Retraités, travailleurs... prêts à vous serrer la ceinture ?
durée : 00:02:50 - Ma vie au boulot - Ce samedi, Sandrine Foulon s'est passionnée pour une base de données inédite de l'Institut des Politiques Publiques qui permet de connaître l'âge de départ en retraite d'une personne, non pas en fonction de l'âge mais plutôt du métier qu'elle exerce. Quels enseignements tirer de cette étude ?
Les galaxies meurent plus tôt que prévu Les brèves du jour Grand invité: François Pilet, auteur et médecin généraliste retraité
Petit Jurassien, Julien est dans un premier temps attiré par la pêche et la pétanque. Mais suivant son papa et ses copains au stade, il mord rapidement dans le rugby, du côté de Dole ! Retenu dans les sélections locales, il passe une saison à Dijon avant de revenir dans son club formateur et d'être remarqué par un recruteur d'Oyonnax alors en Fédérale 1. Apprenant patiemment, il monte alors en Pro D2 et s'impose petit à petit dans le Haut Bugey où il disputera 5 belles saisons.En 2007, devenu une référence à son poste, il prend la direction du Béarn, plus précisément de la Section Paloise, qu'il marquera de son empreinte durant une décennie et dont il deviendra le fier Capitaine. Longtemps dans l'antichambre de l'Elite, il touche son rêve du doigt en 2015, en montant en Top 14 avec les Verts et Blancs. Retraité du rugby pro en 2017, Julien a continué de jouer à Morlaàs en Fédérale 2, tout en se familiarisant avec le rôle d'entraineur !Conciliant aujourd'hui son travail de chauffeur-livreur avec l'entrainement, on peut dire qu'il a une vie bien rythmée ! Une vie qui ne l'a d'ailleurs pas épargné, et trop souvent mis à l'épreuve. Julien est un dur au mal, dans tous les sens du terme, un vrai vaillant.Parti de loin, il sait le chemin parcouru et les obstacles surmontés, qui ont renforcé son grand attachement à son cercle familial et amical.Je me suis vraiment régalé en compagnie de Julien (et je ne dis pas ça uniquement parce qu'il était pilier…
Ecoutez Le 2ème œil d'Alex Vizorek du 31 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez Le 2ème œil d'Alex Vizorek du 31 mars 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le 29 mars 1973, le président des États-Unis Richard Nixon annonçait la fin du retrait des troupes américaines encore présentes au Vietnam. Un événement qui aura aussi des répercussions profondes sur la politique internationale et la perception du pouvoir américain dans le monde.
Avec : Christian Bourreau, président de l'Union française des retraités. - Tous les matins à 8h10, le parti pris argumenté d'un invité sur un sujet d'actualité, avec les témoignages et les réactions des auditeurs de RMC en direct au 3216.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Charles Consigny et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Des échanges au plus haut niveau se sont déroulés cette semaine pour trouver un accord de trêve en Ukraine, mais rien ne semble faire fléchir Vladimir Poutine. La trêve précaire au Proche Orient n'est plus. La guerre et des morts dans la bande de Gaza, mais aussi l'incertitude pour les otages détenus par le Hamas. En cette semaine de la francophonie, trois pays, le Niger, le Mali et le Burkina Faso, ont annoncé leur sortie de l'OIF, l'Organisation internationale de la Francophonie.
Gersois pur jus, petit fils et fils de rugbymen, c'est dès l'enfance que Jean-Baptiste tombe dans la marmite ovale !Pétri de qualités, il fait ses classes à Auch et en franchit les échelons un à un jusqu'à en atteindre l'équipe première peu après sa majorité ! En 2004, il est l'un des grands artisans du titre Auscitain en Pro D2 ! La saison suivante, il termine meilleur réalisateur du Top 16, remporter le Bouclier Européen et honore sa première cape avec France A.C'est alors que la Capitale de Gascogne devient un peu trop petite pour lui, et qu'il prend la direction de Clermont Ferrand où il passera une saison, avant de filer à Lyon, Bourg en Bresse et Béziers où il a terminé sa carrière professionnelle.Retraité des terrains depuis 2014, Jean-Baptiste est un très, très bon vivant, qui a pleinement profité de sa jeunesse. D'ailleurs, il a pris conscience un petit peu tard du niveau d'exigence que représente le rugby professionnel, et ça lui aura joué quelques tours.Aujourd'hui, Jean-Baptiste est un père de famille calme et apaisé. Superbement reconverti dans l'immobilier, il est de retour dans le Sud-Ouest, et ne rate évidemment aucune occasion de remettre les pieds dans son Gers.Quel bon moment on a passé ! Jean-Baptiste n'est vraiment pas le dernier pour déconner, et j'ai adoré l'honnêteté et le recul dont il fait preuve.Bonne écoute !-----------------------------
« La décision a été prise hier », nous dit Africanews. « Les soldats de la Communauté de développement de l'Afrique Australe vont quitter la République Démocratique du Congo, « décision prise lors d'un sommet virtuel de la SADC. » « La mission de la SADC fait ses valises », nous dit-on, « sans avoir atteint son objectif : aider au retour de la paix dans l'est du pays. Au contraire, les rebelles du M23 appuyés par le Rwanda ont gagné du terrain, prenant les localités de Goma dans le Nord-Kivu et Bukavu, dans le Sud-Kivu. » Sur le plan des négociations, à présent, négociations entre le gouvernement congolais et le M 23 qui doivent débuter mardi prochain, Afrique.com parle de « tournant décisif » alors que jusqu'à présent, toute négociation semblait « impossible ». « Mais, remarque Afrik.com, la détérioration de la situation sur le terrain, l'intensification des violences et l'ampleur de la crise humanitaire, ont fini par imposer un changement de cap. Le président congolais, contraint par le poids du conflit, a accepté d'ouvrir la voie à des négociations directes, sous l'égide de la médiation angolaise ».Aveu de faiblesseDes négociations entre la RDC et le M 23, dont la perspective n'est pas du goût de tout le monde. Actualité.cd donne la parole à l'ODEP, l'Observatoire de la dépense publique, une organisation de la société civile, qui dit « craindre que la participation du président congolais aux discussions de Luanda, soit perçue comme un aveu de faiblesse, compromettant davantage la position du pays sur la scène diplomatique ». « Toute initiative de dialogue », estime l'ODEP, « doit se faire dans un cadre qui préserve les intérêts fondamentaux de la RDC et garantisse sa souveraineté ». L'ODEP qui prévoit, à une date qui n'est pas encore connue, « une marche pacifique », « une mobilisation symbolique » pour, ajoute Actualité.cd, « affirmer le rejet catégorique de toute tentative de soumission ou d'asservissement du pays ».Plaintes sans suiteDans la presse africaine également, « le racket routier ». C'est un article de Bamada.net au Mali, selon lequel « les Maliens vivant dans les milieux ruraux sont exposés à des excès de tous genres de la part de certains agents de l'État ». « Racket routier », « abus d'autorité », énumère Bamada.net, selon lequel « les abus s'observent notamment sur les axes routiers stratégiques. A chaque poste de contrôle, les policiers et gendarmes arrêtent les gens pour des vérifications qui n'en finissent pas ». Et ce n'est pas tout : « il y a pire que le racket en milieu rural », ajoute Bamada.net, « ce sont des agents de sécurité qui sont soupçonnés de braquage, entre les cercles de Banamba et Kolokani ». Le racket, « un danger qui guette l'AES, l'Alliance des États du Sahel », estime le site d'information malien, qui ajoute : « on se demande comment le gouvernement malien n'arrive pas à trouver un début de solution à ces abus d'autorité », « ces pratiques qui minent les efforts d'intégration de l'AES. » « Les autorités de ces pays sont régulièrement saisies des plaintes des victimes » remarque Bamada.net, « mais celles-ci restent sans suite ».Femmes résistantesDirection le Sénégal, avec cet article de Sénéplus. Article intitulé « La clé des garçons, le trousseau des filles », signé d'une enseignante-chercheure, Fatoumata Bernadette Sonko, à l'occasion de la « Quinzaine des femmes », organisée au Sénégal. « Une période » nous dit-elle, « qui allie paillettes et reconnaissance ». Mais Fatoumata Bernadette Sonko a bien d'autres choses à dire. Regrettant que « les filles soient condamnées à s'épanouir dans le silence, au moment où les garçons sont préparés à s'approprier l'espace public, à parler pour exister, voir à brasser de l'air pour se donner de l'importance ». Qu'en est-il des filles et des femmes ? « Elles sont biberonnées à la résignation tranquille et à la tétanie » s'indigne Fatoumata Bernadette Sonko, « elles savent que les serrures de leurs portes sont d'une fragilité extrême en raison des maltraitances institutionnelle, sociale, économique et médiatique ». « Hors de question », ajoute toutefois l'enseignante sénégalaise, « de sombrer dans le découragement, le mot de ralliement est : Résistances ».
Un mois après le retour de Donald Trump à la Maison Blanche ses partisans se retrouvent pour célébrer son bilan dans l'euphorie à Washington à l'occasion de la CPAC, cette grande conférence annuelle des républicains s'est ouverte hier et doit durer quatre jours à Washington. Les trumpistes sont particulièrement galvanisés par le « démantèlement » en cours de l'État fédéral, avec leur allié Elon Musk. Retraitée venue du Texas, Suzanne résume le sentiment d'enthousiasme général partagé par les partisans de Donald Trump croisé dans les allées de la CPAC de Washington. « C'est Noël tous les jours ! C'est ce que je me dis en me réveillant ! Même si la moitié des réformes ne voit pas le jour, c'est génial ». La CPAC, cette grande kermesse annuelle entièrement dédiée au culte de Donald Trump. Ses partisans sont encore plus galvanisés qu'à l'accoutumée, tous émerveillés par son bilan. Grand-mère du Delaware, Robin se réjouit du démantèlement en règle de l'État fédéral, qu'elle préfère appeler l'État profond et dont les fonctionnaires seraient, selon elle, corrompus, inutiles et inféodés aux démocrates. « Il affronte ce que tout le monde appelle l'État profond. On a voté pour élire le président des États-Unis, le Sénat et la Chambre. Mais on n'a pas élu l'État profond. Et pourtant, ce sont eux qui dirigent notre pays. Mais ils n'ont pas plus le droit de diriger ce pays que moi. Je suis une électrice. Je n'ai pas voté pour ces personnes. Je n'ai pas choisi ces gens de l'État profond ! ».Elon Musk, l'homme de la situationEt selon cette designeuse d'intérieure retraitée, Elon Musk serait l'homme de la situation. « Je ne peux pas imaginer meilleure personne pour faire ce travail. Il n'est pas impliqué dans le jeu. C'est l'homme le plus riche du monde. Il n'a rien à voir là-dedans. Je ne sais pas s'il fait ça par altruisme ou par amour de l'Amérique. Mais je pense qu'il déteste le gaspillage d'argent public. C'est un homme d'affaires ! Il est comme Trump ! En bon homme d'affaires, il sait qu'on ne peut pas diriger une entreprise et avoir des déficits comme ceux de l'Amérique, et réussir ».Le premier mois de Trump : un bilan qui exacerbe les divisionsEt Donald Trump promet de redistribuer aux Américains 20% de l'argent économisé par les coupes budgétaires d'Elon Musk. Nathalie retraité, elle aussi, compte beaucoup sur ces retombées. « L'argent de nos impôts a été détourné. Ça aussi c'est important. J'ai de la famille qui est âgée, et une grande partie de cet argent pourrait être utilisé pour eux, tout cet argent pourrait servir pour leur sécurité sociale, ils pourraient prendre cet argent et le donner aux gens qui sont en fin de vie pour qu'ils n'aient pas à vivre avec seulement 2 000 dollars par mois ». Apres un mois a la Maison Blanche le bilan de Donald Trump comble autant les trumpistes qu'il tétanise l'autre l'Amérique, celle qui n'a pas voté pour lui.À lire aussiDéclarations fracassantes, décisions chocs: Trump, un mois de mandat mené à un rythme effréné
durée : 00:06:02 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Série : Alors que la Cour des comptes remet son diagnostic sur l'état financier des retraites, focus sur le niveau de vie des retraités actuels et le débat sur les moyens publics que l'on consacre à cette classe d'âge. De quoi battre en brèche le pseudo-conflit de génération.