Podcasts about reste

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Choses à Savoir ÉCONOMIE
Les paiements par carte vont-ils être tous taxés dès janvier 2026 ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 2:05


Depuis quelque temps, une vidéo devenue virale affirme qu'une nouvelle taxe frappera tous les paiements par carte bancaire en France à partir du 1er janvier 2026. Diffusée initialement par un compte appelé « Le Rapide », puis relayée sur Facebook, Instagram, YouTube et même dans des groupes de discussion, elle annonce l'instauration d'une « microtaxe transactionnelle » de 0,5 % sur chaque paiement électronique. Selon cette vidéo, aucun paiement n'échapperait à cette prétendue mesure : ni le sans contact, ni les paiements via smartphone, ni les achats en magasin, au restaurant ou en ligne. Plus on paierait par carte, plus on paierait de taxe, affirme la voix off.En réalité, cette annonce ne repose sur aucun fondement légal. Aucune trace d'une telle mesure n'existe sur les sites officiels comme Légifrance ou l'Assemblée nationale. Aucun amendement du projet de loi de finances pour 2026 ne mentionne l'idée de taxer chaque paiement par carte bancaire. Il s'agit donc d'une rumeur, dénuée de tout texte ou décision politique concrète.Pour autant, l'idée d'une microtaxe sur les transactions n'est pas entièrement nouvelle. Le ministère de l'Économie rappelle qu'un amendement allant dans ce sens avait été déposé l'an dernier dans le cadre du Projet de loi de financement de la Sécurité sociale pour 2025. Ce texte, porté par le sénateur Michel Canévet, proposait effectivement de taxer chaque paiement par carte. Mais il avait été rejeté par le Sénat, et aucune mesure de ce type n'a depuis été reprise ou soutenue par le gouvernement. Bercy confirme d'ailleurs qu'aucune décision n'est envisagée aujourd'hui pour créer une telle taxe.Cette idée de prélèvement sur les paiements électroniques a aussi été évoquée ailleurs, notamment en Suisse, où une initiative similaire avait été proposée en 2020. Toutefois, elle n'a jamais été appliquée non plus.Reste la question du fameux « 0,5 % » mentionné dans la vidéo. Ce pourcentage ne correspond pas à une taxe gouvernementale, mais aux frais que les commerçants paient déjà lorsqu'un client utilise une carte bancaire. Ces frais, qui peuvent varier entre 0,5 % et 1,5 % selon les cas, comprennent trois éléments : la commission d'interchange, les frais de réseau et la marge prélevée par la banque du commerçant. Ce coût est supporté par les professionnels, non par les particuliers, et il n'existe actuellement aucune mesure visant à y ajouter une taxe supplémentaire.En résumé, aucune taxe sur les paiements par carte n'entrera en vigueur en France en janvier 2026. La rumeur provient d'une confusion entre un amendement rejeté et les frais habituels payés par les commerçants. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Literatur - SWR2 lesenswert
Die Schatten der Franco-Vergangenheit in Spanien

Literatur - SWR2 lesenswert

Play Episode Listen Later Nov 17, 2025 3:59


In ihrem Band „Wohin mit Franco? Das Unbehagen in der spanischen Erinnerungskultur“ unternimmt Julia Schulz-Dornburg eine Reise zu kuriosen Erbstücken des Franquismus: den Reiterdenkmälern, mit denen dem Diktator Francisco Franco zu seinem Tod 1975 gehuldigt wurde. Sie sind längst aus der Öffentlichkeit verschwunden, doch ihre Reste wurden an diversen Orten Spaniens eingelagert. Rezension von Peter B. Schumann

Les bonnes choses
15 ans après son inscription à l'UNESCO, que reste-t-il du "repas gastronomique des Français" ?

Les bonnes choses

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 27:21


durée : 00:27:21 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - En novembre 2010, l'UNESCO inscrivait le “repas gastronomique des Français” au patrimoine immatériel de l'humanité. Une reconnaissance mondiale, mais pas un hommage réservé aux grands chefs : elle célèbre avant tout un art de vivre, celui de la table partagée. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Guy Savoy Chef cuisinier; Pascal Ory Historien, membre de l'Académie française

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel
Immigration : «La France reste quand même le pays du déni de réalité», dénonce Jean-Michel Salvatore

Le grand journal du week-end - Philippe Vandel

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 6:59


Invités : - Alexandre Malafaye, fondateur du think tank Synopia. - Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquant. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

France Culture physique
15 ans après son inscription à l'UNESCO, que reste-t-il du "repas gastronomique des Français" ?

France Culture physique

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 27:21


durée : 00:27:21 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - En novembre 2010, l'UNESCO inscrivait le “repas gastronomique des Français” au patrimoine immatériel de l'humanité. Une reconnaissance mondiale, mais pas un hommage réservé aux grands chefs : elle célèbre avant tout un art de vivre, celui de la table partagée. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Guy Savoy Chef cuisinier; Pascal Ory Historien, membre de l'Académie française

Le grand podcast de voyage
15 ans après son inscription à l'UNESCO, que reste-t-il du "repas gastronomique des Français" ?

Le grand podcast de voyage

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 27:21


durée : 00:27:21 - Les Bonnes Choses - par : Caroline Broué - En novembre 2010, l'UNESCO inscrivait le “repas gastronomique des Français” au patrimoine immatériel de l'humanité. Une reconnaissance mondiale, mais pas un hommage réservé aux grands chefs : elle célèbre avant tout un art de vivre, celui de la table partagée. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Guy Savoy Chef cuisinier; Pascal Ory Historien, membre de l'Académie française

Tout un monde - La 1ere
Que reste-t-il du terrorisme djihadiste international?

Tout un monde - La 1ere

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 19:32


(00:00:40) Que reste-t-il du terrorisme djihadiste international ? (00:09 :33) La science avance pour aider à mieux surmonter les traumatismes (00:14:22) La moitié des jeunes Grecs partis pendant la crise sont de retour

Géopolitique
Boualem Sansal libéré : la diplomatie l'a emporté sur la confrontation

Géopolitique

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 3:20


durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - C'est le changement politique à Paris, et la médiation allemande, qui ont permis la libération hier soir à Alger de l'écrivain Boualem Sansal et son départ pour Berlin. Une victoire de la diplomatie sur la confrontation. Reste encore à libérer le journaliste Christophe Gleizes, retenu en Algérie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

InterNational
Boualem Sansal libéré : la diplomatie l'a emporté sur la confrontation

InterNational

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 3:20


durée : 00:03:20 - Géopolitique - par : Pierre  Haski  - C'est le changement politique à Paris, et la médiation allemande, qui ont permis la libération hier soir à Alger de l'écrivain Boualem Sansal et son départ pour Berlin. Une victoire de la diplomatie sur la confrontation. Reste encore à libérer le journaliste Christophe Gleizes, retenu en Algérie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

L’Heure du Monde
Soudan : la « pire crise humanitaire au monde »

L’Heure du Monde

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 24:32


Trois semaines après les massacres, les témoignages de civils ayant fui la ville se multiplient et dépeignent l'ampleur des atrocités commises. Le 26 octobre, les Forces de soutien rapide (FSR), milice menée par le général Mohamed Hamdan Daglo, dit « Hemetti », ont repris la ville d'El-Fasher aux mains de l'armée régulière du Soudan, dirigée par le général Al-Bourhane.Dès le lendemain, des vidéos ont circulé sur les réseaux sociaux, puis dans les médias du monde entier montrant les soldats des FSR s'en prenant aux civils. Ceux qui sont parvenus à fuir parlent d'exécutions sommaires, de viols et de torture.Les deux généraux s'opposent depuis avril 2023 pour le contrôle du pays et de ses ressources. Les civils sont les premières victimes du conflit qui s'enlise depuis plus de deux ans au Soudan. Plus de 160 000 personnes ont été tuées, dix millions ont été déplacées, tandis que les maladies et la famine se développent, selon l'Organisation des Nations unies, qui parle de la « pire crise humanitaire au monde ».Quelles sont les origines de cette guerre ? Pourquoi les puissances régionales et occidentales ont-elles une part de responsabilité dans ce conflit ? Reste-t-il un espoir de résolution ? Eléments de réponse dans cet épisode de « L'Heure du Monde » avec Eliott Brachet, correspondant au Caire qui couvre le Soudan pour Le Monde.Un épisode d'Adélaïde Tenaglia. Réalisation : Thomas Zeng. Présentation et suivi éditorial : Jean-Guillaume Santi. Rédaction en chef : Adèle Ponticelli. Dans cet épisode : extrait du discours d'Antonio Guterres à Doha le 4 novembre 2025.Cet épisode a été diffusé le 13 novembre 2025. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

TOPFM MAURITIUS
Taux directeur maintenu à 4,5 % : « Le statu quo reste la meilleure option », selon l'économiste Manisha Dookhony

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:48


Taux directeur maintenu à 4,5 % : « Le statu quo reste la meilleure option », selon l'économiste Manisha Dookhony by TOPFM MAURITIUS

Le retour de Mario Dumont
Grève à la STM: il reste 36 heures pour une entente

Le retour de Mario Dumont

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 5:14


Une nouvelle grève pourrait paralyser le transport en commun en fin de semaine. Assermentation de la nouvelle mairesse de Montréal. Manifestation prévue aujourd’hui. Nouveau livre de Valérie Chevalier aujourd’hui. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr

Journal imprévisible
Musique et IA : il nous reste heureusement les imperfections humaines !

Journal imprévisible

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 7:01


Chaque jour, 40 000 morceaux générés par l'intelligence artificielle sortent, selon la plateforme de streaming Deezer. Un chiffre impressionnant qui amène à se demander ce qu'il reste d'humain dans la musique… Marc Bourreau a sa réponse et nous dresse une liste de morceaux devenus classiques grâce à leurs fausses notes ! Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

TOPFM MAURITIUS
« L'inflation reste la priorité absolue, aucun relâchement monétaire avant fin 2026 »

TOPFM MAURITIUS

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 1:20


« L'inflation reste la priorité absolue, aucun relâchement monétaire avant fin 2026 » by TOPFM MAURITIUS

La question info
10 ans après le 13-Novembre, que reste-t-il de Daesh?

La question info

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 3:06


La France commémorait ce jeudi les 10 ans des attentats du 13 novembre. 130 personnes ont perdu la vie à Paris et Saint-Denis dans des attaques terroristes, revendiquées par l'Etat islamique. 10 ans après que reste-t-il de cette organisation terroriste ? On pose la question à Patrick Sauce, chef du service international de BFMTV.

CHEFS
« ON M'A DIT : "ON VOUS A CHOISIE POUR VOTRE PURETÉ". ALORS JE RESTE FIDÈLE À MOI-MÊME. » - EUGÉNIE BÉZIAT - PARTIE 3

CHEFS

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 50:36


Dans cette dernière partie du portrait d'Eugénie Béziat, on entre dans le temps de la construction.Après les apprentissages et les doutes, viennent les choix forts, les premières places de cheffe, la Flibuste à Villefranche-sur-Mer, cette aventure hors du commun qui se conclura par une première étoile, puis l'appel du Ritz, et le saut dans un tout autre univers.La cheffe raconte comment elle a bâti sa confiance, comment elle a su s'affirmer sans rompre, imposer une voix sans hausser le ton.De la Méditerranée à la Place Vendôme, elle continue d'écrire une cuisine d'équilibre, entre rigueur et vibration, entre racines et modernité.Deux fois étoilée, elle signe aujourd'hui une partition unique : un dialogue entre l'Afrique et la France, entre la tradition et la liberté d'un regard neuf.

Estelle Midi
Le témoignage du jour – Fred, auditeur : "Je rentre environ 1 200€/semaine, une fois que j'ai fini de payer les taxes, sur le mois il me reste 40% de ce que j'ai gagné " - 12/11

Estelle Midi

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:32


Avec : Frédéric Hermel, journaliste RMC. Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. Et Jacques Legros, journaliste. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.

Chronique des Matières Premières
Derrière la hausse des prix à l'exportation, une production mondiale de vin en 2025 qui reste faible

Chronique des Matières Premières

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 2:04


La production de cette année s'annonce en légère hausse par rapport à 2024, mais 2024 était une année catastrophique. Alors que se tient à Belém la COP30, rappelons-le : c'est de nouveau le dérèglement climatique qui bouleverse les récoltes de raisin. Les données de tous les pays producteurs ne sont pas encore connues, mais l'Organisation internationale de la vigne et du vin anticipe une reprise de 3 % de la production mondiale de vin à quelque 232 millions d'hectolitres. Ce qui reste bien en deçà des moyennes récentes. Cette variation climatique est particulièrement marquée en France. Avec 35,9 millions d'hectolitres, la production hexagonale pourrait être la plus faible depuis 1957. La France n'est plus la première productrice mondiale de vin, c'est l'Italie La France cède ainsi son titre du premier producteur mondial de vin au profit de l'Italie qui prend la tête du classement avec 47,4 millions d'hectolitres de vin produits. Derrière la France, l'Espagne, très touchée par la sécheresse avec 29,4 mhl. Outre l'Italie, seuls les pays de l'Europe centrale et orientale, notamment la Slovaquie, la Croatie, la Roumanie ou la République tchèque, sortent leur épingle du jeu. Tout comme la Nouvelle-Zélande, l'Afrique du Sud et l'Argentine, dans l'hémisphère sud. Les faibles surplus de vins pour satisfaire les acheteurs « Après trois années de récolte en baisse, il y a évidemment moins de volumes disponibles à l'exportation. Et une légère hausse de la production cette année ne changera pas grand-chose », estime John Barker, directeur général de l'OIV. Résultat : les prix par bouteille exportée augmentent. Les nouveaux droits de douane américains devraient tirer encore davantage les prix vers le haut. L'impact des taxes Trump Pour l'instant, cela ne se sent pas trop parce que les importateurs de vin aux États-Unis ont beaucoup stocké, par anticipation de ces taxes. Mais en 2026, lorsqu'ils devront se réapprovisionner, les pays viticoles seront touchés, plus ou moins fort selon leur taux de change et leur exposition aux États-Unis, qui restent le premier marché de consommation de vin au monde. Dans ce contexte, « il n'est pas aisé de trouver des marchés alternatifs aux États-Unis », remarque le directeur général de l'OIV. Il faut s'attendre à ce que les importateurs et les distributeurs américains coopèrent davantage avec les producteurs et les exportateurs dans les pays d'origine pour atténuer l'impact des taxes Trump sur les prix. Cela dit, les producteurs explorent aussi de nouvelles opportunités ailleurs dans le monde. Les marchés tels que la Chine, l'Inde, les pays du Sud-Est asiatique, le Nigeria, l'Afrique du Sud, le Mexique ou encore le marché brésilien les intéressent de plus en plus. À lire aussiDroits de douane américains: pas d'exemptions pour le vin européen, qui sera taxé à 15%

TORQ PODCAST - FRANCAIS
490. Hilux vs Tacoma : le pickup que Toyota garde pour le reste du monde | TORQ

TORQ PODCAST - FRANCAIS

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 16:09


Hilux vs Tacoma : le pickup que Toyota garde pour le reste du mondeTORQ - Épisode 490Le Toyota Hilux 2025 se modernise encore : nouveaux moteurs diesel, version hybride 48V, et même un Hilux 100 % électrique qui arrive.Pendant ce temps, au Canada, on a le Tacoma 2025 – plus gros, plus techno, mais réservé à l'Amérique du Nord.Dans cet épisode TORQ, on compare les deux légendes Toyota :

apolut: Standpunkte
Fehlgeleitete Seuchenpanik | Von Felix Feistel

apolut: Standpunkte

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 20:44


Ein Standpunkt von Felix Feistel.Die Vogelgrippe bei Kranichen und infolgedessen auch bei Nutzgeflügel scheint kein Ende zu finden. Bereits seit Mitte Oktober wird von Ausbrüchen der Krankheit berichtet und mehrere Landkreise im Nord-Osten Deutschlands ergriffen schon bald erste Maßnahmen. Darunter der Landkreis Vorpommern-Greifswald, der nach dem vermeintlichen Nachweis von H5N1 bei gerade einmal zwei Kranichen eine Allgemeinverfügung erließ. Die Kraniche, die sich aktuell auf ihrem Weg in den Süden befinden und dabei Zwischenstation in Deutschland machen, sollen in diesem Jahr besonders von der Vogelgrippe betroffen sein. (1) Befürchtet wird, dass die Tiere auch Nutzgeflügel in großem Umfang anstecken könnten, wenn die Tiere sich auf abgeernteten Feldern niederlassen, um dort die Reste zu fressen.Die Dynamik der Krankheit nimmt zu – zumindest medial. Der rbb hat sogar einen Liveticker eingerichtet, in dem er die neuesten Meldungen berichtet. (2) Hier erfahren wir, dass bereits am Montag den 3. November fast eine Millionen Nutztiere vorsorglich getötet wurden. Zehn Bundesländer seien mittlerweile betroffen, in denen jeweils Nutztiere gekeult werden mussten. Diese vorsorgliche Tötung erfolgt in der Regel mittels Vergasens oder per Einschläferung. Bei den Massen an zu tötendem Geflügel ist es aber unmöglich, jedem einzelnen Tier eine Spritze zu geben. In diesem industriellen Umfang kann also nur auf mobile Gaskammern gesetzt werden. Die Tötung und Entsorgung von Tieren ist an sich schon ein ethisch fragwürdiges Unterfangen. So werden Tiere und Tierbestandteile unter Anderen zu Mehlen und Fetten verarbeitet, die dann in Alternativbrennstoffe für Kraftwerke und die Zementindustrie, sowie in Biokraftstoffen zum Einsatz kommen. (3)Die Spitzenwerte aus der Saison 2021, in der über zwei Millionen Nutztiere getötet wurden, sind damit zwar noch nicht erreicht – allerdings erwartet Christina Kühn, Präsidentin des Friedrich-Löffler-Instituts in absehbarer Zeit keine Entspannung der Lage. (4) Die Veterinärämter seien stark ausgelastet, und die Bergung toter Wildtiere bleibe wichtig. Allerdings sind bis jetzt bereits mehr Nutztiere vorsorglich getötet worden, als Kraniche an der angeblichen Vogelgrippe gestorben sind. Zwar schreiben die Medien in teils bildhafter Lyrik vom tragischen Tod ungezählter Tiere, (5) aber wie viele es eigentlich genau sind wird nicht beziffert. Im Linumer Teichland wurde die Zahl der toten Kraniche bis zum 2. November mit bis zu 2500 beziffert. Dabei handelt es sich allerdings lediglich um eine Erwartung und eine Schätzung. Genaue Zahlen werden nicht kommuniziert. Auch im Nordwesten Brandenburgs „erwartete“ man lediglich Todeszahlen unter Kranichen im fünfstelligen Bereich – genauer um die 10.000 was das absolute Minimum ist, um überhaupt vom fünfstelligen Bereich sprechen zu können. (6) Das FLI, das auch das nationale Referenzlabor für H5N1 darstellt, berichtet bislang von 250 eingesandten Tierkadavern, die positiv auf H5N1 getestet worden seien.Die Kraniche, so die allgemeine Erklärung, haben die Krankheit in die Tierhaltung eingetragen, wodurch sich die Vögel in der Tierhaltung angesteckt haben. Diese Theorie ist sehr verbreitet, allerdings gibt es bislang keinen schlüssigen und kausalen Nachweis dafür, dass eine solche Infektionskette überhaupt besteht. Dennoch wird nun vermehrt von Ausbrüchen der Vogelgrippe in Geflügelbetrieben berichtet, wobei die Vögel immer schon getötet werden, bevor sie überhaupt Symptome entwickeln oder an der vermeintlichen Krankheit sterben können. Die Vogelgrippe-Panik wirkt tief hinein in die Gesellschaft, sodass bereits jede tote Möwe zu einem Verdachtsfall wird. (7) Auch Haustiere sollen nun in ständiger Gefahr schweben, durch Kontakt zu erkrankten Vögeln selber zu erkranken und gegebenenfalls sogar zu sterben. (8) Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.

Productif au quotidien
De gros changements arrivent sur le podcast (découvre quoi)

Productif au quotidien

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 11:58


Après bientôt 6 ans à animer le podcast Productif au quotidien chaque semaine, de gros changements arrivent dans quelques semaines...Un tout nouveau concept repensé et amélioré.

L'Heure H
Lebensborn : fabriquer l'enfant parfait pour le Reich

L'Heure H

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 39:45


En 1935, Himmler crée les Lebensborn : des maternités nazies visant à faire naître une « race aryenne parfaite ». Sous couvert de soins et de protection, ces établissements sélectionnent des femmes « racialement pures » pour enfanter les futurs nazis. Les enfants, parfois arrachés à leur mère, sont élevés dans une idéologie de haine. Deux Lebensborn sont installés à Lamorlaye (France) et Wégimont (Belgique), où naissent des centaines de bébés. À la Libération, les nazis fuient avec ces enfants. Certains seront adoptés, d'autres envoyés dans des orphelinats ou perdus à jamais. Après-guerre, les enfants des Lebensborn découvrent un passé lourd de silence, de rejet ou de mensonge. Quelques mères tentent de retrouver leur enfant, d'autres refusent de revivre ce passé. Jugés à Nuremberg, les responsables Lebensborn échappent à toute condamnation. Reste une génération entière marquée par un projet eugéniste sans précédent. Merci pour votre écoute Vous aimez l'Heure H, mais connaissez-vous La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiK , une version pour toute la famille.Retrouvez l'ensemble des épisodes de l'Heure H sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/22750 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : Un jour dans l'Histoire : https://audmns.com/gXJWXoQL'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvVous aimez les histoires racontées par Jean-Louis Lahaye ? Connaissez-vous ces podcast?Sous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppv36 Quai des orfèvres : https://audmns.com/eUxNxyFHistoire Criminelle, les enquêtes de Scotland Yard : https://audmns.com/ZuEwXVOUn Crime, une Histoire https://audmns.com/NIhhXpYN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

ExplicitNovels
The Time Riders: Part 2

ExplicitNovels

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025


The Time Riders: Part 2 When you've got a time machine, practice makes perfect. Based on a post by BiscuitHammer, in 16 parts. Listen to the Podcast at Explicit Novels. Always The Student. Mark was lying on his back, panting while Becky squirmed and writhed on top of him, moaning in pleasure. His hands were on her opulent tits, kneading them just how she loved it. The lovers were covered in sweat as she ground her cunt down onto his cock, taking him deep inside. He matched her sensual rhythm, pushing up while she pressed down, squeezing his shaft with each thrust he made. "Yes, Mark;” she gasped, her hands resting on his chest while she writhed on him shamelessly. It didn't matter that she was his former high school Physics teacher, or even that she still was, in a sense, she was committed to fucking him because she'd promised herself she'd enjoy this, and Becky did her damdest to always follow her own advice. "Yes, baby, right there;” Becky now began gyrating her hips in a circle on top of him, interrupting the rhythm that would certainly had led to both of them cumming and she wanted to prolong this session. She felt Mark regain control of himself, adapting to the new pace, although he continued to molest her tits, pinching and tugging on her nipples. Her flawless skin glistened with her exertions, the wonderful scent of a woman making love permeating the air. "Hmm, good boy," she purred, smiling down at him. "You're learning." "I've got the best teacher I could ask for." Mark replied, grinning back. "Forget all the time travel stuff you're helping me figure out, you're amazing in bed, Becky. I've never cum so hard before, not like when I'm with you." "You're so sweet, darling," she cooed, reveling in the feel of his throbbing cock deep inside her. Ever since that night he'd snuck into her home and failed so miserably at trying to seduce her so she would change his Physics grade, they'd become ardent lovers, with her being nearly as addicted to their sex as he was. "You make me cum really hard too, just so you know. And the gift you brought me back from London was so thoughtful. How would you like to fuck me next?" Mark nodded, pondering her question. He had indeed brought her back a gift, from London in the 1880's. He'd come back with a lovely dress from the period and a bottle of Italian wine. Even though she had never accompanied him on a temporal trip (except that very first one, to prove he had a time machine at all), she seemed to have an innate understanding of how to time travel without screwing things up, which was very easy. He took hold of her hips and slowly rolled her onto her stomach. She purred as she pushed her legs together and then knelt over her thighs. She put her chin on her arms and sighed as he pulled her ass cheeks apart and pushed his cock down into her cunt. Her clamped legs made her feel tighter than ever and he groaned in pleasure as he bottomed out. Keeping himself up on his hands, his back arched so that she was pinned beneath him, he began to piston his hips, fucking his teacher. "Oh, Mark;” she murmured. "It's so good this way. Your cock feels so wonderful inside me." "Uh, God;” he breathed, shuddering as she squeezed her cheeks together, clamping her cunt around him as he thrust. "I never wanna stop fucking you." "I don't want you to," she gasped as he hit her sweet spot. "And because you; oh; have your time machine; we can find a way; to fuck forever;” She squirmed and writhed beneath him while he pushed up and down on her, both of them getting slick with sweat. They groaned and panted together. He leaned down and bit her shoulder Becky keened in pleasure. Trembling, she arched her hips, pushing up against him. She could feel his cock twitching and swelling inside her. "Gonna cum;” he breathed, pushing down and straining. "Uh! Yes, cum in me, Mark!" she wailed. She pressed her face into a pillow as she screamed, feeling her student's cum spurting inside and filling her spasming cunt. Mark shook and groaned loudly, so glad they were in her house and could be as loud as they needed to be. Her slammed his hips down onto her, tingling pleasure blossoming through him. Mark collapsed on top of her, both of them limp and breathing heavily. He reached under Becky and put his hands on her tits, squeezing gently. She hummed and undulated her soft cheeks beneath him, milking his cock for all of his cum, her wet cunt wanting every last drop. They said nothing for several minutes, just lying there in bliss. Becky finally slowly turned over, Mark's cock slipping out of her and they wrapped their arms around each other, kissing deeply. He pushed his still-hard cock back in and moved back and forth gently inside her and she squeezed him in rhythm. Tongues tangled and they hummed contentedly into one another's mouths. "God, I want to find a way to have multiples of you fucking me all at once," she purred, smiling into his eyes and caressing his cheek. "One in my cunt, one in my ass, another in my mouth; hmm, that sounds heavenly." "Yeah, but won't I, like, blow up spontaneously, or collapse the universe if I encounter myself?" he asked somewhat warily. He liked the idea of fucking all Becky's holes, but not if it made everything go boom. She giggled and bopped his nose. "Silly. Why are you asking me? You're the one with access to this time-travel police force. What did you say they were called? TEA?" "Yeah, they said they're called the Temporal Enforcement Agency." Mark confirmed. "I called them Teabaggers and they didn't think that was funny." "Oh, be nice to them, darling," she chided gently. "After all, they're protecting the timeline for crazy kids like you." "Yeah, I guess," he admitted, knowing she was infinitely more sensible than him about these things. She was already so much smarter at this temporal stuff than he was. The only reason his little trip to 1800's London went well was because she'd prepped him and made him think it through. "Getting myself killed is apparently pretty easy." "Boo, and then we couldn't fuck anymore," she said, sounding sad. "And even if you stopped time-travelling tomorrow, I'd still want to fuck you. You've unleashed a demon in me." "I know it," he laughed. "I have to rest a few days after our marathon fuck sessions, only to come back in your next day to keep up with your libido. Not that I'm complaining, mind." She giggled. "Well I do love to fuck," she agreed. "Maybe one day, I'll go with you. I'd love to fuck in a harem bath house or a Parisian brothel." Mark rolled off her and lay on his back, staring at the ceiling. He could almost see the steam rising off them. As tricky as time travel was, he never would have ended up in bed with his Physics teacher if it hadn't been for his time machine. "That chronometer the agents gave me comes in really handy," he said, his thoughts drifting. "It actually gives me little warnings if I'm getting too close to another temporal event. It means I can't do some things I'd like to do, but things get complicated." She smiled. "You said they called it 'the Limelight Effect' or getting clock hammered, depending on what you were trying to do." He nodded. "They didn't like it when I called it 'clock-blocking'." "You said they had no sense of humor." Becky mused. "But maybe practicing with your Holmes Field Device in minor ways will help." He turned and looked at her. "How so?" "Well," she began, turning on her side to look at him, her hand propping up her head. Her nipples gently kissed the skin of his arm. "How about you take me out for dinner? We'll pick a low-traffic area, somewhere time travelers don't go. You said that your chronometer dials are difficult to physically turn and the Holmes Field device always skews numbers if you're trying to get anywhere that would prove troublesome." He considered what she was saying. "So, take you to some remote village in the past where no one else is ever interested in going. We can try finessing my control of the device." She nodded. "Precisely. I don't know about you, but I speak flawless French, we could visit a little village in France's past and we could get some dinner. You could learn how to deal with the locals, get a feel for what you'll have to do if you keep travelling the time stream." "It's weird how you can say words like 'time stream' so naturally, like it's normal," he sighed. "Still, you're right, careful practice is probably a good thing." "It'll be fun," she said, reaching over and taking hold of his hip to turn him into her. Her tits were now squashed to his chest, his soft cock against her gooey cunt. "How bad a teacher can I be for this? You made it through my physics class without tearing a hole in reality." "And yet I failed," he sighed. "I doubt I can fuck my way out of every bit of trouble I get myself into." She giggled and took his hand, pulling him off the bed and leading him to the bathroom. She sat down on the toilet to pee while she stroked his cock gently, She shivered as she peed, feeling his cum trickling of her, pulling him closer and taking him in her mouth. She hummed as she bobbed back and forth, enjoying their mingled taste. Mark had to admit that he was enjoying how relaxed she was around him now that they were lovers. "So," she said finally, pulling his cock out of her mouth with a quiet pop. "We'll shower and get cleaned up. Then we'll head to the public library to figure out where and what we're doing. Anybody asks, I'll say I'm helping you with your schoolwork." He smiled slyly, feeling a familiar tingle in his cock at the thought of showering with her. This was going to be a good night. "So here's a question," she remarked as she watched Mark get dressed in the outfit they'd bought for the occasion, hidden from prying eyes in her basement, where he kept the Holmes Field Device. They'd visited a costume shop and found clothing that was a good fit for the period they were visiting, that being France in the 1600's. "Did they ever tell you about any contacts you can make in the time stream? You know, like dealers?" He looked at her quizzically. "Dealers?" "Sure," she said, nodding. "There must be time-travelers who make their living by providing goods and services to other travelers. I mean, you need to be able to get money and supplies somewhere, so that you don't stick out like a sore thumb, right?" "Yeah, that'd make sense," he admitted. "I mean, I got lucky when I tried going to London and got that dress, I managed to pawn off some knick-knacks I'd brought with me, because I didn't know how else to pay for anything. And they thought I was just some ignorant American. I got out a lot quicker than I thought I would." "I think we should find out," she reasoned. "If you're going to do this, you should really learn how to find what you need." "Exactly how much time-travelling do you think I'm gonna be doing?" he asked, giving her a wry look before continuing to put on his new outfit. "Well, we know you have no future as a physicist, maybe you'll find something you're good at in the time stream," she giggled, making him sigh. She moved forward to help him get into his clothes, since he clearly had no idea what he was doing. "And even if you don't know how to find a dealer, I'm willing to bet that they'll know how to find a traveler." He couldn't argue with that logic and stood still while she corrected his attire, kissing his nose as she finished. He then watched as she got into her own period garb, doing so much more efficiently than he had done. She saw him looking at her and winked. "In spite of my physics major, I also did a lot of work in theater," she quipped, holding her top loosely in place over her opulent tits. "I've been in Les Mis a few times, so I know my way around period garb." "I feel bad about you bringing that jewelry to trade for money," he said, wishing he had more to offer. He didn't just yet, however. "Oh, they're nothing, it's just old gold I never wear," she said dismissively. "I'd probably just end up selling them in a pawn shop at some point. This way, at least it's getting some use. I sell these things I never wear, we get the proper currency, then we go and have some fun. I don't see how this can be a bad thing." "I guess I just feel like it should be me paying." Mark murmured, trying not to blush. "Silly," she giggled again. "You're an eighteen year-old boy. What one earth could you possibly have accumulated that the time stream would be interested in?" "Well, you got me there," he sighed, giving up and letting her continue. "Maybe I'll make it big in the time stream and then I can keep you buying you the presents you deserve." "Ooh, you honey-dripper," she cooed, smiling and kissing his nose before stepping back and examining him. "Well, you're starting to look the part. I'll use some gel in your hair to tousle it a little and then I think we're probably as close as we can get, since neither of us has syphilis or tuberculosis." He waited while she fixed his hair and then took care of her own, pulling her golden locks back in a bow. She was wearing a peasant dress, one that accentuated her small waist and large bust. His outfit, was more akin to a gentleman of northern Europe, with a blue vest and white breeches that he found rather tight, especially around the crotch. "So, milord," she lilted, threading her arm through his and smiling at him. "Shall we sally forth?" He nodded and walked over toward the time machine, his chronometer in hand. 17th Century, France. "Combien allez-vous me donner pour ce pendentif?" Becky asked the owner of the dingy little shop they were standing in. Candles flickered on the walls, dimly illuminating the musty room. The shop-owner, a wizened little man wearing crooked spectacles, looked up her with rheumy eyes. He held out a gnarled hand and she gently put the dull gold bangle into it. Her brought it close to his face, examining it intently. He weighed it in his palm and then scratched the inner surface, testing its contents. He licked his lip as he considered her offering. Finally he put it down. "Onze Louis," he declared, nodding. "Onze Louis, quatre livres, douze sous et vingt-et-trois deniers." Mark looked at Becky, who was considering what he had told them. After a few seconds, she seemed to think he was being reasonable. "Bien. Tout en livres et sous, s'il vous plait." The man counted out one hundred and sixty-six sous and pushed them across the counter. His eyes widened slightly as she pushed a gold necklace and two rings to him for appraisal. Half an hour later, they exited the shop with a small purse containing the equivalent of nearly fifty Louis, a small fortune by the standards of the period and their locale. "Here you go, milord," she said sweetly, pressing the purse into his palm. "It's only appropriate that you carry our funds, since you're the one cosplaying as the aristocracy." "Except my French sucks balls." Mark muttered as they walked down the dirt road. It was mid-morning and they'd arrived in a fallow field outside the town. Google maps indicated that it was empty in the modern day and online archive maps from France in 1652 indicated that it was much the same way back then. With careful calculations of time and distance, they'd arrived without incident. "Well, you speak Spanish, so we'll pretend you're from Madrid or something," she said simply, holding his arm again. "And I'll be the lusty French tart from Rouen who travels with you, keeping you enamored with our fair country." "You'd be stupidly good at Larp, you're really getting into this," he sighed. Larp?” Live action role playing. Any other hidden talents I should know about?" Mark inquired. "If I told you then they wouldn't be surprises," she pointed out. "We women love to be mysterious." "Well, at least you're a woman, most of the girls I know who do that stuff are just crazy." "That's because they're teenage girls, who are, by definition, 'bugfuck insane'." Becky added. "A lot of women are too, I suppose, but at least there's a chance our hormones have straightened out. Probably not much different here, except for the mortality rate." They walked down the cobblestone rode, attracting the occasional stare as they walked into the town. They stopped a stout, middle-aged man and asked where they might get some decent food and accommodations. "You are dressed rather unusually to be walking," he said, looking at Mark. "You seem to be a gentleman of quality, sir. I am the town's physician and apothecary, my name is Henri. And yours, monsieur?" Mark stuttered. "Mark, uh; mon nom; es;” "Marco," Becky interjected suddenly, relieving him of the burden of struggling to make his name known in French. "He is Senor Marco Del Strade, and he is a baron from Valencia." "I thought I was from Madrid." Mark whispered out of the side of his mouth. "Shut the fuck up, I'm thinking on the fly here!" she hissed back. "What did the Spaniard say?" asked the portly physician. "That didn't sound Spanish." "A curse of our association," she said sweetly, beaming a radiant smile at him. "The baron speaks no French, and I no Spanish, so we communicate en Anglais, with which we both have some facility." "A rather unusual arrangement," grunted the man. "Nonetheless, it would not do for our humble town to allow a gentleman of quality to not be looked after. I would recommend L'Auberge Des Loups." "The Wolves' Inn?" Mark muttered out loud, knowing enough French to get that translation. "That doesn't sound too safe." "Be at ease, my friends," Henri said, chuckling. "The wolf is on our town coat of arms, and the Inn is our most reputable establishment. If you have the money, they will give you what you need." He turned and pointed down the road. "There, you can see the inn from this spot. The two-story building with the gambrel roof and all the smoke coming out of the chimney. See it?" "Yes, good sir, and we thank you." Becky said, curtseying before smiling at the man and putting his rather fat, gout-ridden hand in hers. "For all of your help." "Ah, well, yes," he said, blushing and withdrawing his hand from hers. "When you go to the inn, tell the proprietor that Henri sent you. This will make things easier for you." And with that, the man waddled off. "He seemed nice, I guess," Mark mused as they resumed their trek into the town. "I mean, I missed a lot of what you two said, but it seemed to agree with you." "We just need to mention his name when we get to the inn and that'll apparently make our lives easier." Becky replied, thinking how quaint everything was. She couldn't believe she was actually in seventeenth century France! But then, she was fucking her former student who was a time-traveler, so clearly anything was possible. She had already promised herself she would enjoy every moment of this experience. She'd chosen the year as carefully as possible, noting that there were no major Plague outbreaks mentioned and she had insisted they bring very discretely concealed medications with them. Ignoring the stares of the townsfolk, they continued down the main street until they reached the inn. They tacitly avoided stepping in the various effluences that trickled between the cobblestones and stepped over the unconscious peasants who were sprawled in the middle of the street before opening the faded green doors and entering. Dark and musty, lit by wall sconces and an ancient wrought-iron chandelier overhead in which guttered many candles, the large common room was like something out of an HBO special, minus the lighting budget. Large, round table dominated the space, while a great hearth and a long counter encompassed most of the back wall. Lots of sun-browned peasant faces turned to look at them while some stringed instrument plunked away from a corner. The place smelled of smoke and what was probably body odor. Still ignoring the stares, Becky led Mark up to the counter, behind which stood a surly-looking man with a black moustache and beard. He observed them with interest as they approached. Mark stood silently while Becky addressed the man in French. "My lord the Baron is looking for clean and welcoming accommodations for the night," she began, indicating Mark. "Henri sent us to you, saying that you were the establishment in this town worthy of his business." "If you can pay, then yes, we will be able to room you comfortably," he answered, looking at Mark. "Our best room is one livre per night. I assume the baron can afford this?" She looked at Mark now. "A single night is one livre. Those'd be the silver coins. Get one out and just give it to him, without showing how much you actually have." Mark nodded and fished out one of the coins indicated, putting it on the counter for the proprietor to inspect. Satisfied, the man nodded. "This will cover the room. If his lordship has need of a bath or food, we can provide these things as well." "Fresh food?" she asked pointedly. "Only the freshest for the lord," laughed the man loudly, causing people nearby to chuckle. "Is he a mute?" "No, he is Spanish and speaks no French," she said flatly, fixing the man with a hard look. "You can speak to me, his servant, if you feel the need to communicate. You can bring him food now, and your finest wine, good sir." She then turned and took Mark's arm, leading him over to an empty table in the corner, once again ignoring the gazes that followed them. She sat down and sighed, nodding. "We'll eat and then see about the room and a bath," she declared, looking around and taking everything in. "If it's big enough, I'm sure we can get into all sorts of trouble in the tub." "I'd like that," he said, finally relaxing. "I'm glad you're taking to this so easily, because I'm way out of my element. London in the 1880's was hard enough, and all I was doing was pretending I was an American traveler. France in the time of the Louis the Sun King, that's a little out of my league." "Don't worry, once you hit your stride, you'll do fine," she said gently, patting his hand. "I've just had more weird experiences over the course of my life than you have and am adapting a little quicker is all." A jug of wine, two goblets, some hearty bread with butter and some onions and cheese was brought over by a wench who looked like John Rhys-Davies in drag. She belched and tottered off, having delivered her goods. "Although I'm not so sure about adapting to that." Becky said, shaking her head to clear it of the image. She unstopped the jug and poured the dark red wine into their goblets while Mark portioned out the bread, butter, cheese and onions. They both dug in, finally realizing how hungry they were. "Oh, wow, that's good," Becky remarked, looking into her goblet, having tried the wine. "Just remember to eat a lot of bread and butter, Mark, or you'll have the hangover from hell." He'd never had a wine quite like this before and they quickly polished off the jug before ordering another. They finished their bread and cheeses before being presented with a roasted suckling pig and two pheasants, stuffed with local herbs. They enjoyed eating, but the wine was strong enough to eventually get through all the food they'd lined their stomachs with. Becky was giggling and tipsy within the hour. "I can't beli; believe we're here in France," she said, her head tilted to one side. "An' we're gonna fuck; in the tub; an' then in our room, because; because; defiling the timeline; sounds like fun. It's fun, you know, to fuck across history;” "It is," Mark agreed, not as drunk as Becky but still feeling rather buzzed. His tongue felt thick from the wine, which she had explained was not treated with any modern pasteurization process and therefore would be full of tannins and sediments they would need to account for or suffer an assured hangover. "And you're the person I'd want to do it with, Becks;” Becky giggled and slid her hand along his leg, finally arriving at his crotch and giving the bulged contained in the tight breeches a squeeze. "You're not; not a time cop; you're a time cock; timeless cock;” Some musicians had come in a few minutes earlier and were sitting in another corner of the common room. They struck up a lively tune on their lutes, fiddles and a small drum. Becky's eyes lit up as the music reached them. "Oh, I love this song!" she said loudly in English before hopping up from the table and dancing her way with abandon into the middle of the room. People watched on and began to clap and cheer as she stood on a table and began capering. "How the hell does she know this song?" Mark wondered, frowning as he watched his Physics teacher begin to dance and sing. Ah! Si mon moine voulait danser! Ah! Si mon moine voulait danser! Un capuchon je lui donnerais Un capuchon je lui donnerais Danse, mon moine, danse! Tu n'entends pas la danse Tu n'entends pas mon moulin, lon la Tu n'entends pas mon moulin marcher. Mark watched in wonder as she tottered back over and flopped onto the bench next to him, breathing heavily and perspiring. She grinned at him lopsidedly and winked, still obviously rather inebriated. "Why did you know the lyrics to that song?" he asked, utterly baffled. She poured herself more wine and drained her goblet in one gulp, with a very loud Gluck! noise. Clearly, she was intent on partying. "Went to; a Catholic school; run by nunsh;” she slurred, trying to fill her cup again. "Lotsh of shingin' to; keep our little teen girl mindsh; off sheksh; Fuckin' love that shong, used to shing that shong; all the' time; fuckin'; great to dansh to;” "Yes, I noticed," he said, nodding and smiling. "You were almost flashing your tits and your cunt at the; the patrons;” "They can peek; but no touchy;” she said, taking another drink. "Thish pushy; only for you; I think; we'll shee;” She turned and looked at him, her eyes glazed and her skin flush from her exertions. "We're here; together, Mark, but; if you; ya' shee a girl ya' wanna fuck; I'm okay with; with that. "Jus' don' get the crabs!" She had broken into a snickering fit, pressing her forehead against the table as she tried to not fall over completely. Mark was chuckling and feeling really good watching how silly his teacher was being. She looked up suddenly, trying to wear a serious expression. "But one thing," she cautioned, holding up a finger and wagging it at one of the Marks she was looking at. There were three of them, so she chose the one in the middle. "No, moren one thing, but th' one thing'sh; important;” She leaned forward to whisper to him. "Keep your dicky in your pantsh unlesh; unlesh you know she'sh eighteen; 'cush the lawsh right now; 'she prolly legal to fuck 'em younger; but; you're from our time; our time;” She glowered at him drunkenly. "An' we don' fuck 'em if they're not eighteen; ya' got it?" He nodded. "Eighteen or older. Got it. And you can; miss, you can' "Not mish," she interrupted, waving away his comment. "Becky. Not fuckin' mish, remember?" "Sorry," he intoned, letting out a belch and patting his chest. The wine and cheese tasted great but were really fucking with him. "I'll be better; remember;” "Well, what wash it I can do?" she asked. "You were gonna; shay; I could do; what wash it?" Mark thought about that for a moment, unable to push through the wine-induced haze in his head. "I don' remember;” They both broke into laughter, much to the amusement of nearby patrons. Becky had her head on the table again, giggling until Mark slammed his palm on it in an expression of entertainment, shocking her and making her yelp. They looked at one another and burst into more fits of laughter. They'd drained another jug and polished off the pig and pheasants. Mark felt incredibly full, and drunk. Becky could barely stand up and she asked Mark to take her arm and lead them over to the proprietor behind the long counter once again. She shook her head a few times to clear it and he waited patiently for her to speak. "Shir, we'll be needing the bath now, and our room," she said slowly, making sure she could be understood. "Would you be so kind ash to show ush the way?" He tilted his head slightly. "Comment?" "You just spoke to him in English, Becks." Mark told her. Her glassy eyes widened and she squeezed her eyes shut, willing herself not to die of embarrassment. "For fuck's sakes;” she muttered. She took a deep breath and repeated herself in labored French. He nodded and led them up the back, away from the common room. It took Becky fifteen minutes to get up the single flight of stairs because it wouldn't stop spinning. Mark sighed as he sat in the large, round wooden tub, his arms resting on the side while his hands gripped the rim. The steaming water splashed over the side as he shuddered and groaned loudly, cumming. Spent, he sank back onto the small ledge and breathed heavily. The water stirred and Becky surfaced, exhaling. Her golden hair clung to her wetly and her glorious tits glistened. She grinned at her student. "See?" she declared, obviously pleased as she pulled her hair over her shoulders. "Told you I could make you cum before having to surface for air." "Jesus, you must've been down there over two minutes," he breathed, never ceasing to be stunned by her carnal skills. "How the hell do you hold your breath that long?" Becky cricked her neck and settled onto Mark's lap, her arms around his neck. She gave him a peck on the nose. "Lots of cardio and physical training." "Obviously." Mark agreed. "Not that I'm complaining, mind." "Hmm, didn't think you would," she purred. "But only half of this equation has been solved, big boy. I haven't cum yet. Since you're friend down there is taking a nap, how good are you at holding your breath?" "Not that good," he chuckled. "I'm happy to lick your cunt, but you'll need to keep it above water." She smiled and rolled her eyes before getting off his lap. He moved aside and allowed her to kneel on the little ledge he'd been sitting on, leaning over the rim of the tub and resting her forearms on it. She looked back at him and winked while wiggling her sexy, toned behind him. Her cuntlips were dripping and looked inviting. Mark knelt in the middle of the tub, behind Becky's ass and took hold of it, kissing the wet cheeks. Becky cooed and squirmed under the attention, one of her hands cupping a tit and squeezing it. She could feel Mark's lips and tongue moving slowly inward toward her core. She bit her lip and sighed. He touched her cunt, kissing it gently and sliding his tongue up and down the twat, which parted easily before him. Her heard her moan and tasted her tang as he pushed inside her while using his thumbs to pull her inner thighs apart so he could get further into his teacher's snatch. She shivered and pushed back against him, eager for more. "Hmm, Mark;” she cooed, her eyes shut as she felt his tongue inside her. "Yes, right there, lover. Oh, you really know how to use your tongue;” He smiled at her compliment and pulled his tongue out to massage her clit with it, rolling around the little bud and making her gasp sharply. He slid a finger inside her, followed by another and she groaned. He could feel her cunt tightening around his digits and began to push them back and forth slowly while he nibbled and sucked her clit. Becky shuddered again and leaned down, biting at her knuckle while squeezing her tit harder, massaging it vigorously. Mark lashed her clit while fingering her tight twat and then slid a single finger into her ass. Her breath caught in her throat and she gripped the ledge of the tub, her fingers raking along the iron-bound wood. "Fuck, Mark," she whimpered. "Yes, make me cum. I want to cum in your mouth!" Mark worked her cunt harder, sliding the fingers back and forth, pushing in deeper each time. His tongue massaged her clit relentlessly or he sucked on it. She was squirming and writhing back against him, groaning unashamedly. He was beyond caring if anyone heard them at this point. Becky was panting heavily now, her eyes glazing over as she ground her ass against Mark's face, feeling his fingers in her cunt and her ass, wiggling and pushing her closer and closer to orgasm. She would miss his cum inside her, but she would surely get it before long, Mark was developing good stamina under her guidance. She arched her back and moaned loudly as she began to cum, pleasure blossoming through her from her cunt and out to her fingers and toes. Her body shook while she climaxed, the wet, gooey ecstasy of colors in her mind letting her; Invasion. There was a smash, like wood splintering, the creak of worn metal. Her eyes snapped open in confusion, the unreal delight of her orgasm draining away as men in masks and dark clothes surged into the room, at least five of them and more shadows in the hallway. Most were holding knives or small clubs, but she saw the one in front carrying a heavy flintlock pistol. Even in the darkness of the room, lit only by candles around the wall, she could see the wicked scar on his cheek. "Arrêtez! Reste tranquille et je ne te tuerai pas!" he rasped, pointing his pistol at her while his comrades moved into the room and began searching for something. "Qui es-tu?" Becky demanded, getting angry not only about the intruders, but the fact that her orgasm was slipping away. She could feel Mark still kneeling behind her, looking on in shock at what was happening. "Tais-toi, salope!" the man barked, moving toward her and drawing a wicked knife from his belt, his men now ransacking the room. He placed the point of the knife at her throat and Mark felt a cold fear run up his spine. "Do not speak to me in that tone if you' He never finished the sentence as Becky grabbed the wrist of the hand holding the knife and twisted, hard. The man with the scar yelped as he lost his grip on the knife and the blonde woman leapt out of the tub, her knee smashing into his face. He staggered backward and then went flying as her foot slammed into his ribcage. He crashed through a table and this got the attention of the thugs he'd brought with him. They all looked in shock at the naked blonde tigress for a moment and then surged in on her, knives and cudgels ready. "A little help here, hero!" Becky shrilled as she scampered away from the incoming bandits. "This isn't sex, don't make me do all the work!" "Hey now!" Mark protested, half-rising out of the relative protection of the tub because of her taunt. "It's not like you do all' "Goddammit, Mark!" Becky shouted as she ducked the swing of a club and punched her attacker in the balls. "You'd better hope they kill us, because if I survive, I'm going to crack open your skull and suck your brain out with a straw! Help me!" Mark came to his senses and vaulted over the side of the tub, trying not to think about the fact that he was buck naked and rushing toward his teacher and her assailants. He crashed into the smallest man, bearing him to the ground and winding him. Not sure what else to do, he began punching the bandit, knocking his cloth mask askew so he could not see. The man struggled wildly to get out from underneath his naked foe. "Huh!" Mark choked out as another thug grabbed him by the throat from behind and started pulling him off the man he was on top of. He could feel his tongue beginning to bulge out of his mouth and was thinking he must look incredibly foolish, like Jabba the Hutt when Princess Leia strangled him with the chain. He couldn't die like that. He couldn't. With a limp dick and a swollen tongue? In front of Becky? He'd taken some karate, although he was no expert. His skin was still wet and he went limp, using sudden deadweight to break his attacker's hold on his throat, although he hissed in pain when he felt the man's ragged nails crease through his skin as he lost his grip. With a thud! Mark hit the floor and did the only thing he could think of doing; he grappled onto the man and took him down in a rough tumble. He desperately rolled until he was on top and rammed his knee into the man's stomach. He heard the man wheeze but then sparks exploded behind his eyes as something cracked across the back of his head. He didn't fall over but scrambled away in a panic, wishing he could see in the darkness or that the room would stop spinning. Becky landed in a heap on top of him, knocking him back to the floor. She was still naked and incredibly angry from the sounds of her. "That's it, buster!" she roared as she surged back to her feet and charged her attacker. Mark dazedly looked over and watched as his teacher sprinted across the room, her foe giving chase. She leapt in the air and to the wall, her foot making contact. Before anyone was ready, she sprang backward, smashing her foot across the man's jaw in a roundhouse kick that they must have heard on the edge of town. The man went down like a sack of flour. "Alright, who's next?" she shouted, standing in the middle of the room, naked and scratched up. She grabbed a pewter jug and slammed it backward into the head of a man coming up behind her. He went down. "I didn't know you did parkour!" Mark called out as he tackled another thug from behind, taking him to the floor. "I do a lot of things to take out my sexual frustrations!" she snapped back, picking up a bench and throwing it at two assailants to keep them off-balance. "Parkour, jiu-jutsu, archery, Krav-Maga. I was kind of hoping that fucking would allow me to vent a little steam!" "I can see why!" Mark said as he smashed the man's face into the floor repeatedly. Even in his weirdest dreams, he'd never imagined fighting French bandits while buck naked. He wondered if the Temporal Enforcement Agency would be up his ass about this incident. "Oh, shut up!" she shrilled, kicking a man between the legs from behind and then suplexing him after he doubled over in pain. The floor splintered with the impact, but Becky rolled to her feet and grabbed his cudgel. "You still owe me an orgasm, mister!" "Okay, okay!" Mark said hastily. A sallow man confronted him, wearing an eye-mask, who brandished a knobbed club. The bandit grinned at him, clearly intent on bashing his head in. Thinking quickly, Mark stood and looked somber, clasping his fist in his hand and bowing, like they did in his mom's tai chi class. The bandit looked confused for a moment before Mark bowed again and then made a motion urging the bandit to do the same. Still not sure what was happening but wanting to get on with things, the bandit bowed at the waist clumsily. Mark broke a chair over his head before grabbing the cudgel and rushing to Becky's side. "So very nice of you to join me," Becky panted as they faced off against the three remaining intruders, who were trying to surround them. Mark and Becky backed up toward the outer wall, the window behind them. The men closed in. There was a groan and a clatter as the man with the scar on his cheek slowly got to his feet from the pile of broken furniture he'd been laying in and approached them, his henchmen parting to make way for him. "Pour votre arrogance, je vous verrai mort." he growled, pointing his pistol at Mark. Trapped, Mark squeezed his eyes shut; click! Mark blinked and opened his eyes. The scar-faced man was scowling at his pistol, which was letting off a small tuft of smoke but had failed to go off. Was the powder wet? With a roar of fury, Becky was on him. "Get the other three!" she yelled as she rearranged his face. "I've got this one!" Too bewildered to be afraid and exhilarated to be alive, Mark charged the remaining three thugs, who were all backing away in confusion. None of this had gone according to plan, the majority of their fellow bandits were strewn around the room, beaten unconscious by a naked man and a crazy blonde hellion with big tits and a shaved cunt. "C'est des conneries!" she raged as she beat the man around the room, showing no mercy. "I came to the Sun King's France to drink wine, have a good time and get laid! And you fuckers just had to try and rob me, didn't you? All sorts of peasants to pick on, but no! You thought you'd get lucky with two strangers! Well va te faire enculer, pal!" Mark lost track of the whirlwind of violence his teacher had become while he ducked the swipe of a knife and then kicked the leg out from under a thug, dislocating his knee and dropping him. He whirled around and got lucky with the cudgel, cracking it across the jaw of another man, who spun like a top and fell to the ground. He was beginning to notice that he was taller than just about all these men, often by a significant margin. Some were barely taller than Becky. Had nutrition really been that bad in this era? The last one got desperate and lunged at him, but Mark twisted and used his foe's momentum to send him sailing past and smashing into the window. The unconscious man slumped halfway through the shutter and the sounds of commotion in the street below reached him. He shouldn't have been surprised that they were causing a stir. He looked around the room to see if any other foes were standing, but saw only sprawled bodies everywhere, some stirring slightly. The only other sound was that of a face being punched. He looked over to see Becky squatting on the scarred man's chest, grappling into his collar and socking him repeatedly in the mouth while swearing in French. "Nique ta mere!" thump! "Oh, you really pissed me off!" she growled as she huiled the man up by the shirt and dragged him stumbling over to the tub, where she pushed his head under the water. He thrashed about in a panic before she let him back up, gasping for air. "You like that?" she shouted, thumping his head off the side of the tub several times for emphasis. "Ya' think it's funny to barge into a girl's room when she's about to get her rocks off? Is that it?" She shoved his head back underwater again, waiting until he was thrashing around in terror again before pulling him back out and dragging him over to the bed. She threw him against it so that he was kneeling, supported by the straw-stuffed mattress as he swooned. "Hold him down, Mark;” she growled. Unsure of what to do aside from comply, Mark got on the bed and pinned the man's arms against the mattress, putting all his weight on them to keep him in place. He watched in growing confusion as Becky knelt behind the man and yanked his breeches down, exposing his pock-marked behind. She found his flintlock pistol and glared at it for a moment before fiddling with the mechanism, cocking it. The man's eye flared wide and he howled in pain and horror as she pushed the barrel inside his ass. "Alright, buttercup," she said with a sweetness that oozed cruelty. "You're going to explain who told you to come and rob us. And if you don't, I pull the trigger and put your brains on the ceiling." Mark warily shuffled aside on the bed, away from the top of the man's skull. "Do you understand me?" Becky asked quietly, giving the pistol a jiggle. "Probably not," Mark said, trying to sound conciliatory. "You're speaking English again." Becky realized he was right and swore under her breath. Rather than say it all again in French, she decided to just get to the point. She pressed the pistol in an inch further, ignoring the resistance she encountered. "Dites-mois qui vous a envoye," she growled. "Tell me or I blow an asshole in the top of your head." "Henri!" the scar-faced man gasped and whimpered. "He told us you would be here and you have much money!" "Oh, did he now?" Becky growled, forgetting to speak French as she glared at the bandit. "I am going to eat that man's children;” She roughly grabbed the man and spun him around to face her, without removing the pistol muzzle from his ass. His face was pale with fright and artfully rearranged by her fist. He was still leaning back against the bed, not daring to move, breathing heavily. "Maintenant," Becky began, still glowering at him. "You're going to tell me where to' She paused as she looked down at the man's crotch and saw that he was sporting a throbbing erection. "Are you fucking kidding me?" she shouted angrily, yanking the pistol out of his ass and then slamming the grip across his head with a loud crack! The bandit's eyes rolled into his head and he slumped to the ground, very unconscious. "Huh," Mark said as he glanced down at the prone villain. "I guess guys really can get erections from that sort of thing. I thought it was bullshit." "It ought to be, under these circumstances," Becky groused, folding her arms and looking pissed off. "You don't spring wood when a girl's got a gun shoved up your ass, especially after you try to rob her! I don't feel the least bit bad about not giving him a reach-around. Fucker;” "Would you really have pulled the trigger and blown his brains out?" he asked somewhat nervously. "Oh, of course, not," she snorted, giving him a wry look. "I'm not a monster." "You sure fight like one." Mark said, using his hand to indicate the carnage around the room. Bad guys were strewn everywhere, and he was pretty sure he couldn't claim most of them. "Well, they had it coming," she sniffed. "They interrupted my orgasm. It's just rude." She then turned and looked at him, her expression much softer. "Thank you, Mark, for all your help. You saved me, I couldn't have done it on my own." "Yeah, well, you wouldn't have been in danger if I hadn't brought you here in that damn time machine." Mark said, a feeling of guilt washing over him. She knelt next to him on the bed and hugged him close, their bodies pressing together. She smiled at him and kissed his nose. "Don't be sad," she cooed. "I haven't had this much adventure in ages." Mark smirked. "If you've got romps in your past that compare to this, I wanna hear about them." "Oh, you'll need to do a lot more fucking to coax those out of me, young man," she whispered, reaching down between them to take gentle hold of his cock and begin stroking. "But maybe I won't make it too difficult for; Mark, it's very rude to stare off into space while a girl is trying to seduce you. Mark?" "I'm not staring off into space, Becks." Mark said, staring past her shoulder. "Oh, really?" she asked, putting her hands on her hips and looking annoyed, still kneeling in front of him. "Then what is so fascinating that even my tits can't distract you?" He indicated a direction behind her with a nod. "Voyeurs." Becky turned her head slowly and looked across the room at the door. Her eyes narrowed as she noticed several dark shapes in the hallway, gazing into the room in astonishment. With a sigh, she got off the bed, grabbed a candle that hadn't been destroyed and walked over to the door, clearly beyond caring that she was still naked. She could see men and women now, backing up uncertainly at her approach. She also spied one particular silhouette, large and with a big beard, lurking near the back and trying to not be seen. "Oh no you don't, pal," she called out, snapping her fingers and then pointing at the man before making a beckoning motion. "Get your sorry ass over here;” Henri, the peasant girls, and hospitality. Mark sighed in pleasure and took another drink from the jug of wine he was holding, trying to not spill any. He pulled his lips away and looked down his body. He was sitting in a large, plush bed, blissfully naked. Between his legs, a local girl with dark brown hair girl was bobbing her mouth up and down on his cock ardently, clearly interested in pleasing him. "This one's the innkeeper's daughter?" he mused, enjoying her mouth. She paused sucking on him for a moment to look up and smile eagerly before returning to her task. "She loves cock for sure." "She's one of his daughters," Becky agreed, propped up beside him, equally naked and holding the head of a girl who was lying between her legs, her face buried in the blonde's cunt, which she was licking hungrily. "This is the other one." "You frightened him so badly that he's letting us fuck his daughters?" Mark laughed. "He's given us his personal quarters, given us all the food and drink we want and we can fuck his daughters?" "What can I say, I'm persuasive." Becky grunted, shivering and grinding herself into the face of the daughter. "He'll let us stay for the week, he doesn't want word getting around that a noble had a fiasco in his inn. He'd probably give us his wife, too, if I demanded it. We're too close to Paris and word would get around and wreck his business." "If trashing that room and leaving bandits everywhere doesn't, nothing would." Mark breathed, holding the girl by the hair. "Seriously, it looks like Metallica stayed in that room now. What'll we do about that Henri asshole?" "I'll think of it later, I'm a little busy." Becky hissed, squirming and knotting her fingers in the peasant girl's hair. "Uh, it's been so long, since a girl ate me." "You had a sexy phase? I didn't know you liked girls." Mark said, smirking at her. "Back in high school, maybe," Becky admitted. "Haven't been with one since then." "But I do have a question," he said, focusing past the daughter's wicked mouth. "In all the hassle and afterward, I never asked the innkeeper how old his daughters were." "So?" Becky gasped, eyes squeezed shut and bucking her hips. "Well, what if they're not eighteen? You said yourself that we have to hold ourselves to the standards of the time we come from, right?" "You're thinking of that now?" she groaned through clenched teeth. "I; fuck; Mark, it's 1640 right now. That means these girls can't be any less than three hundred and ninety-two in our time. Good enough?" "Good enough!" he laughed. Rationalization seemed to be a handy skill when you were time travelling. He looked over and saw Becky pull the girl away from her crotch and rustle over to him. He stayed still while she straddled his lap, facing down his body. With one hand, she took hold of his cock and held it steady while she positioned herself above it. The two sisters, every bit as naked as them, nestled on the bed below his legs, pressing against one another's sides. They grinned at one another and kissed, their tongues tangling as they waited for Becky to continue. With a sigh, his teacher lowered herself onto his cock, the mushroom head splitting her wet lips before sliding inside her. She sunk down with a groan until he was in to the hilt. She then slowly laid herself back against him, allowing Mark fondle her tits while she squirmed and writhed on him. The sisters moved in and began licking at his cock or kissing her cunt lips and clit while the two guests fucked. "Oh, Heaven;” Becky purred as she caressed his cheek, turning her head to kiss him, their tongues slithering around while she undulated slowly on his lap. "This is what time travel's all about;” Mark held her with one hand, fondling her tits and pinching her nipples while his other hand found the wine jug and poised it just over her torso. She hummed in pleasure as he trickled the dark red liquid over her fair skin, letting it cascade down her exquisite form. One of the sisters noticed and knelt up, beginning to lick it off Becky's tits and stomach while the other noisily slurped it from the Mark's cock and Becky's cunt. "God, forget the Sun King's France, we belong in Caligula's Rome," Becky moaned, shivering in delight at how decadent they were being. "We'll need to; hmm; we'll need to find time to attend an orgy, Mark; how's your Latin?" "Not as good as yours, I imagine," he replied, his tongue still swirling around with hers while they fucked. "But I'd be happy to learn it if we can attend a real orgy." He put the jug of wine aside and used both hands to molest her again, squeezing her tits and gripping her skin. Becky writhed and him, pressing down with her hips, shuddering as the two sisters licked her and nipped at her skin. She begged the universe n

Drôles de dames
Lewandowski is back ! Même à 37 ans, ça reste un des meilleurs buteurs du monde pour Edgar Groleau – 10/11

Drôles de dames

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 5:36


Toute l'actu des sélections nationales et des championnats anglais, espagnol, italien et allemand avec nos légendaires "Drôles de Dames" : Julien Laurens, Fred Hermel, Polo Breitner et Johann Crochet.

Revue de presse française
À la Une: les résistantes ukrainiennes face à l'occupation russe

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 4:56


Le Nouvel Obs les appelle « les résistantes de l'ombre ». « Dans les territoires occupés par les Russes », nous dit l'hebdomadaire, « l'opposition s'organise et les femmes sont en première ligne. Et la répression est inouïe ». Elle vise parfois de simples gestes : comme « porter un vernis à ongles jaune et bleu (les couleurs de l'Ukraine) ou un post anti-russe sur Instagram, un partage de pétition ou encore des slogans griffonnés sur un mur ». « Sur ce front qui ne dit pas son nom », poursuit le Nouvel Obs, « les femmes sont en première ligne. Parce qu'elles connaissent les rues, les visages, les habitudes des habitants. Parce qu'on se méfie moins d'elles. Mais surtout parce qu'elles refusent la soumission ».   Certaines agissent seules, d'autres se sont organisées en réseau et « mènent clandestinement des actions non-violentes ». Il s'agit parfois de « transmettre des coordonnées GPS » ou « d'observer des convois militaires ». Le Nouvel Obs a rencontré l'une de ces résistantes ukrainiennes, Aliona Romanenko, arrêtée et torturée par les Russes, et désormais réfugiée à Kiev, « en zone libre ». Elle évoque ces moments de captivité où « on la forçait à creuser sa propre tombe ». « J'étais surtout triste pour mes proches », dit-elle, « mais j'étais en paix avec moi-même. J'ai fait ce qui devait l'être. Je le referai sans hésiter ».  Otages d'Alger La presse s'intéresse également au sort de deux Français, un écrivain et un journaliste, emprisonnés en Algérie. La photo de Boualem Sansal s'affiche en Une du Journal du Dimanche, avec ce titre : « Un an déjà. Un an après l'emprisonnement de l'écrivain franco-algérien, âgé et malade, la mobilisation ne faiblit pas pour réclamer la libération de "l'otage d'Alger" ». Pour Le Journal du Dimanche, Boualem Sansal est certes un écrivain, mais surtout « un lanceur d'alerte qui aura foré et révélé ce totalitarisme qui vient, le totalitarisme islamiste. Sansal dérange autant à Alger qu'à Paris, il tient en effet un langage de vérité dont on sait par expérience qu'il n'est pas toujours bon à tenir ».  Le Nouvel Obs de son côté, a choisi de mettre en avant celui qu'il appelle « l'autre otage du régime algérien » : le journaliste Christophe Gleize « dont le nom est moins connu que celui de Boualem Sansal, mais le sort, aussi inquiétant. Entré en Algérie en mai 2024, afin de réaliser un reportage sur le club de football JS Kabylie, le journaliste français purge une peine de sept ans de prison pour "apologie du terrorisme". Son procès en appel se tiendra le 3 décembre », nous explique le Nouvel Obs. Pour Le Journal du Dimanche, les deux hommes, Christophe Gleize et Boualem Sansal, « sont les prisonniers d'une relation exécrable entre la France et l'Algérie », « otages innocents d'un régime de plus en plus crispé envers la France ». Les parents de Christophe Gleize, eux, se veulent « optimistes » et le Nouvel Obs met en avant les quelques signes qui pourraient changer la donne. Avec notamment, le remplacement au ministère français de l'Intérieur de Bruno Retailleau, « très virulent contre le régime algérien », par Laurent Nunez. L'hebdomadaire espère visiblement que celui-ci sera plus diplomate. Traducteur ou maçon Que nous réserve l'Intelligence Artificielle ? « Avec l'IA, la fin des cadres », annonce Marianne, annonce illustrée par un dessin, où l'on voit un robot penché sur un ordinateur, alors qu'un humain passe l'aspirateur à ses pieds. Selon l'hebdomadaire, le phénomène a déjà commencé : Marianne évoque « des charrettes d'où débordent des cols blancs et des Bac + 5 ». Marianne qui a réalisé à partir de plusieurs études, un petit tableau, avec d'abord « les 10 professions les plus menacées ». Arrivent en tête, traducteur, historien, mathématicien, et même, en dixième position, journaliste…   Dans les professions qui devraient être épargnées, on trouve, notamment, les ouvriers du bâtiment, les femmes de ménage ou les dentistes. C'est tout simple, nous explique l'ingénieur en IA Aymeric Roucher : « Seuls les métiers où l'intervention humaine est indispensable résisteront ». Reste évidemment à savoir ce que l'on entend par « intervention humaine ». Aymeric Roucher nous donne son point de vue sans hésiter : « Tous les métiers qui peuvent se faire en télétravail, et qui sont donc des métiers numérisables seront assez vite transformés en profondeur par l'IA… ». Quant à ce qui restera indéniablement lié à l'humain, l'ingénieur évoque « la main d'un artiste », « la conscience d'un juge », ou encore « la sollicitude d'un soignant. Ce sont autant de parts humaines qu'on ne remplacera pas par des IA » ajoute-t-il. Une concession qui ne suffit pas vraiment à envisager l'avenir avec optimisme...

Les p't**s bateaux
Est-ce que lorsqu'on fait des galipettes, notre cerveau bouge ou reste-t-il immobile ?

Les p't**s bateaux

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 3:55


durée : 00:03:55 - Les P'tits Bateaux - par : Camille Crosnier - Marie, 10 ans, voudrait savoir si, quand on saute ou qu'on fait des galipettes, nous cerveau bouge ? Steven Laureys est neurologue, il lui répond. Il explique que faire des galipettes, c'est très chouette, mais il faut faire attention à la tête. - invités : Steven Laureys - Steven Laureys : Neurologue, directeur de recherche au Fonds de la recherche scientifique (FNRS) et fondateur du Coma science Group au centre de recherche de l'université de Liège - réalisé par : Stéphanie TEXIER Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Géopolitique, le débat
L'Irak cherche sa voie, entre Téhéran et Washington

Géopolitique, le débat

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 48:29


Ce sera le 6è scrutin depuis la chute de Saddam Hussein en 2003 : les Irakiens s'apprêtent à voter, ce mardi 11 novembre 2025, aux élections législatives pour désigner, parmi plus de 7 000 candidats, les 329 députés du Conseil des représentants. L'issue du scrutin ouvrira la voie à des négociations pour désigner le Premier ministre, poste actuellement occupé, depuis 2022, par Mohammed Chia al-Soudani, candidat à un nouveau mandat. Ces élections interviennent peu de temps après le cessez-le-feu entre Israël et le Hamas à Gaza, l'affaiblissement du Hezbollah au Liban, la chute de Bachar el-Assad en Syrie. Autant d'événements qui font de Bagdad un carrefour stratégique au Moyen-Orient. Le voisin iranien l'a bien compris et espère conserver son influence en Irak, tout comme les États-Unis, justement soucieux de limiter le rayonnement de Téhéran. Et entre ces deux alliés opposés, beaucoup d'Irakiens souhaiteraient, eux, que leur pays trace sa propre route… Reste à savoir si la classe politique partage réellement cette volonté.    Invités - Myriam Benraad, politologue, spécialiste du Moyen-Orient. Auteure de ce livre : L'Irak par-delà toutes les guerres (Le Cavalier bleu) - Pierre-Jean Luizard, directeur de recherche émérite au CNRS, historien des islams au Moyen-Orient. Auteur de cet ouvrage : Les racines du chaos. Cinq États arabes en faillite (Tallandier) - Adel Bakawan, directeur de l'European Institute for Studies on the Middle East and North Africa (EISMENA). Auteur de ce livre : La décomposition du Moyen-Orient. Trois ruptures qui ont fait basculer l'histoire (Tallandier).

Les journaux de France Culture
Après une semaine de pression, Shein échappe à la suspension en France mais reste sous surveillance des autorités

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 15:07


durée : 00:15:07 - Journal de 12h30 - Arès avoir supprimé de son site tous les produits illicites, le géant du commerce en ligne échappe à la suspension en France mais reste sous "surveillance rapprochée" du gouvernement. - invités : Pierre Boilley Professeur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

Le journal de 12h30
Après une semaine de pression, Shein échappe à la suspension en France mais reste sous surveillance des autorités

Le journal de 12h30

Play Episode Listen Later Nov 8, 2025 15:07


durée : 00:15:07 - Journal de 12h30 - Arès avoir supprimé de son site tous les produits illicites, le géant du commerce en ligne échappe à la suspension en France mais reste sous "surveillance rapprochée" du gouvernement. - invités : Pierre Boilley Professeur à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

La libre antenne
La libre antenne - Comme le reste de sa famille Laura est en proie à des problèmes d'alcool qu'elle veut résoudre

La libre antenne

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 24:26


Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes de Roland Perez. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche, mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Culture en direct
Pascal Rambert : "La mort de quelqu'un, les grandes histoires d'amour, c'est ce qu'il reste in fine de nos vies."

Culture en direct

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 28:20


durée : 00:28:20 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Pascal Rambert, l'auteur contemporain français le plus joué à l'étranger, présente au Festival d'Automne sa nouvelle création Les Conséquences. Après "Clôture de l'amour", le metteur en scène explore ce qui demeure après la rupture et les mots de trop : ces conséquences qui façonnent nos existences. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Pascal Rambert auteur et metteur en scène

Aujourd'hui l'économie
Train à grande vitesse: l'Europe met 500 milliards sur la table pour relier toutes ses capitales d'ici 2040

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 3:29


La Commission européenne veut relier toutes les capitales du continent d'ici 2040 grâce à un vaste réseau ferroviaire à grande vitesse. Un projet colossal estimé à plus de 500 milliards d'euros, pensé comme une alternative écologique et stratégique à l'avion. Mais sa concrétisation s'annonce semée d'obstacles. Petit-déjeuner à Copenhague, déjeuner à Paris, puis dîner à Barcelone : c'est le rêve que nourrit Bruxelles avec son nouveau plan ferroviaire. La Commission européenne a dévoilé cette semaine un projet d'envergure visant à créer, d'ici 2040, un réseau à grande vitesse reliant toutes les capitales européennes. L'objectif : changer durablement la manière de voyager sur le continent. Le plan prévoit une réduction drastique des temps de trajet. Berlin - Copenhague passerait de 7 à 4 heures, Sofia - Athènes de 13h40 à 6 heures, et une liaison directe Paris - Lisbonne via Madrid deviendrait enfin possible. Derrière ces chiffres, une ambition, faire du train une alternative crédible à l'avion, notamment sur les distances inférieures à 1 000 kilomètres. À lire aussiLe rail européen à l'heure de la concurrence Un levier écologique et économique pour l'Union européenne Pour la Commission, le train est une pièce maîtresse de la transition écologique. Le secteur des transports représente près d'un quart des émissions européennes de CO2, et l'aviation court-courrier reste difficile à décarboner. Le TGV, lui, émet jusqu'à 20 fois moins de CO2 par passager-kilomètre qu'un vol domestique. Encore faut-il que l'électricité soit verte et que les trains soient bien remplis. Mais le projet dépasse la seule question environnementale. Il s'agit aussi de renforcer la compétitivité européenne et de fluidifier les échanges économiques sur le continent. Aujourd'hui, le réseau ferroviaire européen compte environ 12 000 kilomètres de lignes à grande vitesse, concentrées dans quatre pays : la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. L'Europe centrale et orientale reste, elle, largement à la traîne. Pour combler ces écarts, Bruxelles prévoit 500 milliards d'euros d'investissements afin de tripler la taille du réseau, harmoniser les règles, simplifier la billetterie et ouvrir le marché à la concurrence. L'idée : faire baisser les prix et stimuler l'offre ferroviaire. À lire aussiQuel avenir pour le train à grande vitesse en Afrique? Entre ambitions et réalités : un chantier colossal à risque Sur le papier, l'initiative est séduisante. Mais les obstacles sont nombreux : infrastructures vieillissantes, financements incertains et volontés politiques inégales selon les États membres. Certains gouvernements peinent déjà à entretenir leur réseau existant et ne font pas de la grande vitesse une priorité. Pour le secteur ferroviaire, cette relance représente pourtant une opportunité industrielle majeure. Les grands constructeurs européens – Alstom, Siemens, Talgo ou CAF – pourraient en bénéficier. Les voyageurs, eux, espèrent surtout des réservations simplifiées et des correspondances fluides. Derrière ce plan se cache aussi une évolution des mentalités. De plus en plus d'Européens souhaitent voyager de manière plus durable. Et entre deux villes reliées en moins de trois heures, le train bat l'avion à plates coutures : la ligne Paris -Londres, par exemple, a conquis 80% du marché dès que le trajet est passé sous les 2h20. Reste que l'Europe accuse un sérieux retard face à la Chine ou au Japon, où les trains filent déjà à 350 km/h. L'Union, elle, plafonne à 200–250 km/h et avance à un rythme bien plus lent. Car si le train européen promet la grande vitesse, les projets, eux, progressent toujours à vitesse réduite.

Edition Zukunft
Warum Postbusse jetzt Insekten sammeln

Edition Zukunft

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 17:10


Über 3.400 Insektenarten leben in vier österreichischen Bundesländern – das zeigt ein Forschungsprojekt der Universität Innsbruck, bei dem Linienbusse als mobile Sammler dienten. Die Methode klingt ungewöhnlich: Windschutzscheiben werden abgewischt, die Reste landen im Labor, und mittels DNA-Analyse lässt sich bestimmen, welche Arten durch die Landschaft fliegen. Michael Traugott vom Institut für Zoologie der Universität Innsbruck spricht über die Rolle von Insekten in Ökosystemen, den Einfluss der Klimaerwärmung auf ihre Verbreitung und darüber, warum sich gerade Busse für ein großflächiges Monitoring eignen. Unter den Funden: eine Heuschreckenart, die seit den 1960er-Jahren in Österreich als ausgestorben galt, sowie invasive Schädlinge wie die Marmorierte Baumwanze.

Revue de presse Afrique
À la Une: «deux» présidents au Cameroun

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 4:07


C'est du moins ce qu'affirme l'opposant Issa Tchiroma Bakary, dont les propos sont rapportés notamment par le Journal du Cameroun. « Issa Tchiroma Bakary mentionne l'existence d'un "président élu par le peuple camerounais", c'est-à-dire lui-même, et "un président nommé par le Conseil constitutionnel", c'est-à-dire Paul Biya ». Reste que dans le même temps, pointe le Journal du Cameroun, « les institutions préparent l'investiture de Paul Biya. (Ce sera ce jeudi à midi). Ce vent contraire qui souffle sur les déclarations de l'opposant, qui continue (donc) de contester les résultats officiels du scrutin, pousse à se demander jusqu'où il pourra aller. Lui qui, pressentant son arrestation prochaine, est annoncé avoir pris ses quartiers dans un pays voisin, affirme le site camerounais. Et dont certains soutiens, en particulier les avocats Me Michèle Ndoki et Me Felix Agbor Balla, ont aussi préféré s'exiler pour éviter le sort réservé à certains leaders comme Anicet Ekane, Djeukam Tchameni, le Pr Aba'a Oyono et bien d'autres soutiens de l'opposant qui sont en détention depuis quelques jours ». Issa Tchiroma Bakary au Nigeria ? Issa Tchiroma Bakary serait donc à l'étranger, en l'occurrence au Nigeria. C'est ce que croient savoir plusieurs sites d'information, notamment Actu Cameroun qui publie une lettre du cinéaste camerounais Jean-Pierre Bekolo. Une lettre adressée au président nigérian, Bola Tinubu, et dans laquelle il lui demande de ne pas livrer Issa Tchiroma Bakary au régime de Yaoundé. En voici un extrait : « ne cédez pas à une demande d'extradition qui livrerait non pas un homme à ses bourreaux, mais, en mépris de la justice et de la conscience humaine, tout un peuple camerounais qui a voté pour lui. Lorsque le régime de Yaoundé viendra invoquer le droit, rappelez-lui ses propres violations du droit international et des droits fondamentaux ». Tensions et répression « Malgré le calme précaire observé à Yaoundé, le pays reste traversé par les tensions nées de la contestation des résultats de la présidentielle du 12 octobre. C'est ce que constate Jeune Afrique. Les vidéos montrant des affrontements entre manifestants et forces de l'ordre continuent d'affluer sur les réseaux sociaux. Hier, la plupart des grandes villes du pays ont vécu leur troisième journée "ville morte", à la suite de l'appel lancé en fin de semaine dernière par Tchiroma Bakary, dont il est difficile de quantifier le suivi ». Le site Actu Cameroun donne des chiffres : plus de 2000 personnes auraient interpellées et seraient gardées à vue dans les prisons camerounaises. C'est ce rapporte Me Alain Ndam, coordonnateur du Collectif de défense des régions du Centre et du Sud, un collectif d'avocats. D'après lui, nombre de personnes arrêtées seraient blessés et un tiers d'entre elles seraient des mineurs. Biya « imperturbable » En tout cas, ce jeudi donc, « Paul Biya va prêter serment comme président du Cameroun pour la neuvième fois », relève le Journal du Cameroun. « Cela fait déjà 43 ans que le rituel se répète dans des contextes différents. D'abord pour succéder au président démissionnaire, puis pour avoir la légitimité populaire après la succession de 1982, plus tard pour confirmer son leadership dans un espace pluraliste après 1990 et enfin pour consolider sa domination sur la scène politique nationale depuis les années 2000. (…) Et cette année, les violences post-électorales viennent installer de nouveaux défis sociopolitiques ainsi qu'économiques à l'entame du huitième mandat ». Paul Biya qui reste « imperturbable », pointe Le Pays au Burkina Faso. « Il n'a jamais été aussi proche, à 92 ans et après plus de quatre décennies de règne, de réaliser son rêve de mourir au pouvoir et de bénéficier d'obsèques nationales. Quant au renouveau générationnel, il pourra toujours attendre au Cameroun, où le peuple est dans la résignation au point de s'en remettre à l'œuvre de Dame nature pour espérer voir arriver l'alternance ». Défis majeurs… « Et chaque jour davantage, relève Le Monde Afrique, jusque dans les rangs du pouvoir, on doute de la capacité de Paul Biya de pouvoir répondre aux multiples défis du pays. Des défis pourtant majeurs et pas seulement socio-économiques. Les régions anglophones et séparatistes du Nord-Ouest et du Sud-Ouest affichent un calme trompeur, imposé par la force publique. L'Extrême-Nord reste vulnérable aux intrusions des groupes islamistes basés au Nigeria voisin. C'est l'unité même du pays qui est en jeu. Une unité menacée dont le président rabâche pourtant à longueur de slogans qu'il en est le meilleur garant ».

Accents d'Europe
Le droit d'interrompre volontairement une grossesse reste très controversé à travers l'Europe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 19:30


L'accès à cet acte médical également. Même dans les pays où l'IVG est légale, le parcours est parfois semé d'embûches, ou des groupes de pression tentent de revenir en arrière. Nous faisons le point en Espagne et en Pologne. (Émission du mercredi 5 novembre 2025) L'IVG est revenue en force dans le débat politique en Espagne, un pays pourtant en pointe dans la protection des femmes et la défense de leurs droits, lorsque l'opposition de droite a défendu, il y a quelques semaines, une théorie scientifiquement non vérifiée : il existerait un syndrome post-avortement, qui causerait par exemple de l'alcoolisme et il faudrait en informer les femmes désireuses d'interrompre leur grossesse. Face au tollé suscité par cette initiative, le gouvernement de Pedro Sanchez est monté au créneau, et il a annoncé qu'à l'instar de la France, il demanderait au Parlement de graver le droit à l'IVG dans la Constitution. Même si, en l'absence de majorité parlementaire, le succès de l'initiative est aléatoire... Reportage à Madrid signé Diane Cambon. Les pays les plus protecteurs de l'accès à l'IVG au sein de l'UE sont la Suède, la France, et les Pays-Bas, tandis qu'en bas de classement, on retrouve Malte, Andorre et la Pologne. Varsovie détient depuis longtemps la palme des restrictions avec une loi très sévère qui a encore été durcie, ces dernières années. La question de l'avortement a pourtant été au cœur des débats politiques, lors des dernières élections...  Les explications d'Adrien Sarlat.   La chronique musique de Vincent Théval :  Bulgarian Cartrader, Palace Gates.   En Moldavie, un photographe arpente les campagnes pour reconstituer le patrimoine visuel du pays Un projet d'envergure, même pour un petit État de moins de 2 millions et demi d'habitants. Le but : faire découvrir ou redécouvrir l'histoire moldave dans des zones rurales en proie à l'exode. Et également : faire renaître la culture au-delà des narrations imposées par les différents régimes qui se sont succédé au pouvoir. Pour cela, Victor Organ va de village en village, collecte d'anciens clichés et monte des expositions. Son travail réveille le passé complexe de Moldavie et il éclaire ses fractures actuelles. Reportage, Maria Gerth-Niculescu

Accents d'Europe
Le droit d'interrompre volontairement une grossesse reste très controversé à travers l'Europe

Accents d'Europe

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 19:30


L'accès à cet acte médical également. Même dans les pays où l'IVG est légale, le parcours est parfois semé d'embûches, ou des groupes de pression tentent de revenir en arrière. Nous faisons le point en Espagne et en Pologne. (Émission du mercredi 5 novembre 2025) L'IVG est revenue en force dans le débat politique en Espagne, un pays pourtant en pointe dans la protection des femmes et la défense de leurs droits, lorsque l'opposition de droite a défendu, il y a quelques semaines, une théorie scientifiquement non vérifiée : il existerait un syndrome post-avortement, qui causerait par exemple de l'alcoolisme et il faudrait en informer les femmes désireuses d'interrompre leur grossesse. Face au tollé suscité par cette initiative, le gouvernement de Pedro Sanchez est monté au créneau, et il a annoncé qu'à l'instar de la France, il demanderait au Parlement de graver le droit à l'IVG dans la Constitution. Même si, en l'absence de majorité parlementaire, le succès de l'initiative est aléatoire... Reportage à Madrid signé Diane Cambon. Les pays les plus protecteurs de l'accès à l'IVG au sein de l'UE sont la Suède, la France, et les Pays-Bas, tandis qu'en bas de classement, on retrouve Malte, Andorre et la Pologne. Varsovie détient depuis longtemps la palme des restrictions avec une loi très sévère qui a encore été durcie, ces dernières années. La question de l'avortement a pourtant été au cœur des débats politiques, lors des dernières élections...  Les explications d'Adrien Sarlat.   La chronique musique de Vincent Théval :  Bulgarian Cartrader, Palace Gates.   En Moldavie, un photographe arpente les campagnes pour reconstituer le patrimoine visuel du pays Un projet d'envergure, même pour un petit État de moins de 2 millions et demi d'habitants. Le but : faire découvrir ou redécouvrir l'histoire moldave dans des zones rurales en proie à l'exode. Et également : faire renaître la culture au-delà des narrations imposées par les différents régimes qui se sont succédé au pouvoir. Pour cela, Victor Organ va de village en village, collecte d'anciens clichés et monte des expositions. Son travail réveille le passé complexe de Moldavie et il éclaire ses fractures actuelles. Reportage, Maria Gerth-Niculescu

Les Grandes Gueules
L'hypocrisie du jour - Antoine Diers : "C'est une mascarade. Tout le monde veut qu'on reste en stand-by jusqu'en 2027. Chacun sait que le budget ne sortira pas. Aucun groupe n'a cherché de compromis. Chacun voulait être le

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 1:39


Aujourd'hui, Antoine Diers, consultant, Didier Giraud, agriculteur, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Revue de presse Afrique
À la Une: la spirale de la violence au Soudan

Revue de presse Afrique

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 4:12


Malgré les appels au cessez-le-feu et à des négociations, le cauchemar se poursuit au Soudan. Après la chute d'El-Fasher il y a dix jours, tombée entre les mains des milices FSR, c'est toujours l'exode au Darfour pour des milliers de civils. Le Sudan Times rapporte ainsi que « sur les 70.000 personnes environ qui ont pu fuir la ville, plus de 5.000 sont arrivées à Tawila, à l'ouest d'El Fasher, dont plus d'un millier ont été blessés par balles. (…) Les autorités civiles s'efforcent de leur fournir abri et assistance, (…) et ont renouvelé leur appel aux organisations internationales et aux agences d'aide humanitaire pour qu'elles viennent en aide. » La ville de Tawila abriterait déjà plus de 650.000 déplacés d'après l'ONU. Et « alors que la communauté internationale condamne les exactions inhumaines commises par les milices FSR sur les populations d'El-Fasher, plusieurs autres villes de la province du Darfour viennent de tomber entre les mains des paramilitaires, constate WakatSéra au Burkina Faso. Et les mêmes atrocités vont certainement monter crescendo, jetant encore de l'huile sur le brasier soudanais. » Responsables ou tout du moins complices… Reste que certains, au sein de cette même communauté internationale qui condamne les massacres donc, certains ne sont pas exempts de tout reproche… « Après dix-huit mois d'un siège qui a affamé près de 200.000 civils et après des centaines de bombardements meurtriers menés par les FSR, la catastrophe d'El-Fasher était prévisible. Mais était-elle évitable ? », s'interroge Le Monde Afrique. Le Monde Afrique qui pointe la responsabilité en premier lieu des Émirats arabes unis : « pour la plupart des observateurs, il est impossible que les Émirats n'aient pas été informés de la préparation de l'offensive de leurs alliés paramilitaires sur le terrain. Dans le sillage des massacres d'El-Fasher, leur implication dans la guerre au Soudan est au cœur de l'attention, tout comme la complicité passive de leurs alliés européens. » En effet, pour la chercheuse soudanaise Kholood Khair, interrogée par Le Monde Afrique, « les États occidentaux disent ne pas savoir quoi faire pour arrêter la crise. Mais la réalité est que le niveau d'intérêts mutuels des Occidentaux avec les Émirats arabes unis – sur d'autres terrains, notamment en Ukraine ou à Gaza – les retient d'agir. » D'ailleurs, poursuit le journal, « l'implication incontestable des Émirats arabes unis dans la guerre au Soudan suscite un silence gêné de la plupart de ses partenaires occidentaux, alors que des armes européennes ont été livrées par leur allié émirati aux FSR. Des équipements militaires français fabriqués par les groupes KNDS France et Lacroix équipant des véhicules blindés émiratis sont utilisés au Soudan, ainsi que des armes de fabrication britannique, canadiennes ou encore bulgares. Ces transferts entrent en violation de l'embargo européen. » Le Soudan : « un champ d'expérimentation pour puissances cyniques » Dans une tribune publiée par Le Point Afrique, plusieurs personnalités soudanaises, acteurs de la société civile, juristes, artistes, disent leur indignation : « le Soudan n'est plus un pays, affirment-ils : c'est devenu un champ d'expérimentation pour puissances cyniques et propagandes concurrentes. (…) L'ONU ne peut se contenter de “déplorer et condamner les violences“, poursuivent-ils. Il lui revient de saisir la CPI pour entamer des procédures à l'encontre des chefs de guerre. L'embargo sur toutes les armes arrivant au Soudan devrait être exigé. Une coalition internationale comprenant notamment les pays arabes et les Occidentaux devrait se constituer pour obtenir tout d'abord un cessez-le-feu immédiat et l'accès à l'aide humanitaire. Mais, au-delà, affirment encore les auteurs de cette tribune, l'objectif est de parvenir à des négociations de paix auxquelles il est indispensable d'inclure ceux qui croient encore en un autre Soudan : celui des femmes qui refusent le voile imposé, des jeunes qui rêvent d'un État de droit, des citoyens qui défendent la liberté et qui n'appartiennent à aucun camp. » Enfin, on revient à WakatSéra à Ouagadougou qui nous livre cette réflexion pour le moins désabusée : « tant que les ramifications internationales de ces affrontements entre troupes de généraux assoiffés de pouvoir, continueront d'exister et de se multiplier, aucun espoir de pacification et de paix dans cette région ne sera permis. »

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi Winston Churchill reste-t-il un héros… controversé ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 2:37


Winston Churchill demeure l'un des visages les plus emblématiques du XXᵉ siècle. Premier ministre britannique pendant la Seconde Guerre mondiale, il incarne la résistance face à l'Allemagne nazie. Ses discours galvanisants, son courage et sa détermination ont fait de lui un symbole de liberté. Pourtant, derrière cette figure héroïque se cache un homme dont certaines positions politiques et morales suscitent aujourd'hui une profonde controverse.Car si Churchill fut le sauveur de la démocratie européenne, il fut aussi, selon de nombreux historiens, le produit et le défenseur d'un empire colonial profondément inégalitaire. En 1937, lors de la Commission Peel chargée d'examiner l'avenir de la Palestine mandataire, il déclara sans détour qu'il ne voyait « aucun tort » à ce que des peuples autochtones — les Aborigènes d'Australie ou les Amérindiens d'Amérique — aient été remplacés par une « race plus forte et de meilleure qualité ». Pour lui, la domination britannique n'était pas seulement légitime : elle relevait d'un ordre naturel des choses.Mais c'est en Inde, joyau de l'Empire, que ses choix politiques ont eu les conséquences les plus tragiques. En 1943, une famine d'une ampleur catastrophique frappe la province du Bengale. Environ trois millions de personnes meurent de faim. Les causes sont multiples — mauvaises récoltes, guerre, blocages des transports —, mais les archives montrent que Churchill refusa sciemment d'envoyer les cargaisons de blé disponibles dans les colonies voisines. Il justifia ce choix par des considérations racistes : selon lui, « les Indiens se reproduisent comme des lapins » et « étaient de toute façon mal nourris ».Pendant que des familles entières mouraient dans les rizières, le gouvernement britannique continuait d'exporter du riz indien pour nourrir ses troupes et ses alliés. Interpellé par ses ministres sur la gravité de la situation, Churchill répondit par des sarcasmes : il demanda pourquoi Gandhi n'était pas encore mort de faim.Aujourd'hui, ces propos ternissent l'image d'un héros longtemps présenté sans nuance. Pour beaucoup d'historiens, il faut reconnaître Churchill dans toute sa complexité : un stratège exceptionnel et un orateur de génie, mais aussi un homme pétri de préjugés raciaux et d'un colonialisme brutal.Ainsi, l'héritage de Churchill reste double. Il fut le défenseur du monde libre… mais pas de tous les peuples libres. Une gloire bâtie sur la victoire, et une ombre que l'Histoire, désormais, ne peut plus ignorer. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

L'oeil de...
Philippe Caverivière : "Le budget Lecornu c'est le yaourt à la cerise qui reste seul au fond du frigo"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 5:01


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 04 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

RTL Matin
Philippe Caverivière : "Le budget Lecornu c'est le yaourt à la cerise qui reste seul au fond du frigo"

RTL Matin

Play Episode Listen Later Nov 4, 2025 5:01


Ecoutez L'oeil de Philippe Caverivière du 04 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Revue de presse française
À la Une: «De la Tyrannie en Amérique»

Revue de presse française

Play Episode Listen Later Nov 2, 2025 4:52


« De la Tyrannie en Amérique ». C'est la couverture du Nouvel Obs cette semaine. Un dossier sur les débuts du second mandat de Donald Trump, élu le 5 novembre 2024, il y a un an. Et ce titre « De la Tyrannie en Amérique » évoque la fracture du système démocratique américain ébranlée depuis le retour au pouvoir de Trump, bien loin du célèbre ouvrage d'Alexis de Tocqueville De la démocratie en Amérique, publié au XIXè siècle. Ainsi, commente le Nouvel Obs, le président américain « transforme la plus vieille démocratie du monde, en régime illibéral ». Dès janvier dernier, le Financial Times avait pu voir clair sur l'avenir du pays, le jour de l'investiture : « Le contraste entre Trump et ses prédécesseurs signale plus un changement de régime qu'un simple transfert de pouvoir ». Et depuis, les péripéties ont été nombreuses depuis le retour du Roi à la Maison Blanche, comme résume une manifestante du mouvement « No Kings » (« Pas de roi en Amérique ») avec ces quelques mots : « Louis XVI a dit "L'État, c'est moi". C'est exactement comme ça que Trump voit les choses ». Louis XVI et « La doctrine du Gangster » Le Nouvel Obs revient sur ce qu'il appelle « La doctrine du Gangster ». Ainsi, Trump « s'est servi d'Elon Musk comme d'un idiot utile, en le nommant à la tête d'un département à l'Efficacité gouvernementale pour licencier des dizaines de milliers d'employés fédéraux et fermer des agences telles que l'USAID, chargée de l'aide étrangère. Il a imposé le nationalisme chrétien blanc comme la nouvelle idéologie nationale, interdit les termes "diversité", "équité", "inclusion", (…) a attaqué ses opposants, mais amnistié ses amis, à commencer par les émeutiers du Capitole. » Que dire des droits humains et des minorités sur le sol américain ? Le président a également « asphyxié l'audiovisuel public, instrumentalisé la culture, réécrit l'histoire » Le Nouvel Obs s'intéresse aussi aux antivax au pouvoir. En fait, souligne le magazine, « Quand la réalité ne lui plaît pas, il la change. » Les États-Unis sont par ailleurs sortis de l'Accord de Paris sur le Climat et de l'Organisation mondiale de la Santé. Et ce n'est pas fini… Dernièrement, l'assassinat de Charlie Kirk, érigé en martyr national, a lancé une nouvelle phase dans la consolidation du pouvoir Trumpien. « Objectif : rendre l'opposition inopérante avant les midterms. Une vaste opération de redécoupage a été lancée (…) pour priver les démocrates de futurs sièges aux Congrès » Ainsi, « L'adversaire désigné, c'est "l'extrémisme de gauche", "les antifas", des appellations assez floues – Vous l'aurez compris – pour s'en prendre à toute l'opposition, accusée de promouvoir la violence politique responsable de la mort de Charlie Kirk. » Et ceux en travers de sa route, ont fini par se faire inculper. L'ex-directeur du FBI James Comey, la procureur générale de New York Laetitia James, son ancien conseiller à la sécurité nationale James Bolton. Reste cette question : Ira-t-il jusqu'à déclencher l'Insurrection Act autorisant le déploiement de l'armée dans le pays ? Trump a déjà envoyé la garde nationale dans les bastions démocrates : Washington, Portland, Chicago… Washington, devenu un « laboratoire de la dictature » détaille dans un nouvel article Le Nouvel Obs : Trump montre qu'il peut « soumettre une ville ayant voté à 92 % contre lui et repousser les limite du pouvoir exécutif en profitant de sa vulnérabilité » car la capitale n'est pas un État et n'a pas de représentation au Capitole, ni de contrôle sur son budget. Trump veut même rebaptiser la scène culturelle en « Trump Kennedy Center »… il en a déjà pris la présidence et a placé ses proches au conseil d'administration. Sur sa politique internationale, l'hebdomadaire souligne : « l'admirateur de Vladimir Poutine et de Xi Jinping a abandonné son rôle de rempart contre le despotisme. Au contraire, il a assis sa puissance sur le rapport de force, par le chantage aux droits de douane ou par les armes, comme en Iran. » Kim Jung-un ou « la résurrection d'un paria », sur fond de guerre en Ukraine Et justement, protégé par Moscou et Pékin, un dictateur est scruté de près par Donald Trump. Il s'est même rendu indispensable à Vladimir Poutine depuis le début de la guerre en Ukraine. Kim Jung-un ou « la résurrection d'un paria » titre l'Express, qui analyse à quel point l'invasion russe en Ukraine a été une bénédiction pour le leader nord-coréen. Lui qui était reparti les mains vides de son second sommet avec Donald Trump à Hanoï. « Dès le début du conflit en Ukraine, Kim comprend qu'il peut tirer profit de la situation. (…) Avec la Syrie, il est le seul à reconnaître les Républiques de Louhansk et Donetsk, annexées par la Russie. Manquant désespérément de devises (…) il livre jusqu'à 40 % des munitions tirées par les Russes » entre octobre 2023 et avril 2025. Ajoutez à cela plus d'une centaine de missiles pour la seule année 2025, la signature d'un traité de défense mutuelle en juin 2024, puis 10 000 soldats nord-coréens pour aider les Russes à reprendre les zones de la région ukrainienne de Koursk. Des soldats traités comme de la chair à canon. Conséquences : « Les livraisons à Moscou sont ensuite montées en gamme, grâce à l'afflux de devises russes, qui permet à Pyongyang de relancer sa production d'armes ». De quoi inquiéter les occidentaux car « Moscou pourrait en effet permettre à Kim de réaliser son rêve : développer un sous-marin lanceur d'engin à propulsion nucléaire ». Quoi qu'il en soit, c'est un immense succès diplomatique pour la Corée du Nord. Sachant que la Russie avait voté les sanctions du Conseil de Sécurité de l'ONU contre son voisin à la suite de son premier essai nucléaire en 2006. Pyongyang « mise ainsi sur la volonté de Pékin et Moscou de bousculer l'ordre mondial dominé par les États-Unis. » « Son but est de devenir une puissance nucléaire comparable à celle de la France », souligne un chercheur. Ainsi, un ex-diplomate nord-coréen qui a fait défection en 2016  analyse la stratégie de Kim Jung-un dans l'Express : « La Corée du Nord est convaincue que si elle prouve que ses armes nucléaires peuvent détruire le territoire américain, les États-Unis finiront par venir à négocier. Pyongyang pourrait alors proposer de démanteler les installations capables de cibler les États-Unis. En échange, ceux-ci retireraient leurs troupes de Corée du Sud et leurs sanctions. » La Finlande face à Poutine Moscou et Pyongyang se sont donc rapprochés à l'occasion de la guerre en Ukraine, tandis que la Finlande, elle, se prépare au pire. Au pire, c'est-à-dire à la guerre contre la Russie. Membre de l'Otan, la Finlande partage la plus longue frontière terrestre avec Moscou. Un envoyé spécial du Point raconte l'état d'esprit des Finlandais qui peuvent notamment apercevoir le paysage russe depuis leur maison. « S'ils envoient des drones, ma maison sera la première à exploser » témoigne une certaine Saara Wilhems, depuis son cottage en bois. Après avoir entendu un hélicoptère tournoyer toute une nuit, elle raconte qu'au matin, en ouvrant sa voiture, elle comprend qu'une présence étrangère rodait : le siège de sa voiture est baissé. Pour elle, c'est sûr, une personne « cherchait à se cacher ». Elle « connaît la rumeur. Cette fois, elle est convaincue que des agents russes pénètrent en Finlande par les forêts et les lacs. » La Finlande, disposerait de près d'un million de réservistes, « parmi lesquels 280 000 hommes équipés et prêts à combattre. Un record en Europe pour une nation de 5 millions et demi d'habitants ». Le service militaire connaît un certain succès. Il est obligatoire pour les hommes, volontaire pour les femmes, et un tiers de la population se dit favorable au service universel. La Finlande dispose aussi du plus vaste réseau de bunkers en Europe, de quoi accueillir 87 % de la population.

ONU Info

Pour l'Envoyé spécial de l'ONU pour la région des Grands Lacs, Huang Xia, la Conférence de soutien à la paix et à la prospérité dans la région, organisée à Paris le 30 octobre par la France et le Togo, a été un succès à plusieurs égards.L'événement a réuni un large éventail d'acteurs — dirigeants africains, représentants régionaux et internationaux, ainsi que de nombreuses organisations humanitaires —, illustrant la mobilisation constante de la communauté internationale et rappelant que la crise dans l'est de la République démocratique du Congo n'est pas oubliée.La Conférence a mobilisé environ 1,5 milliard de dollars de promesses de dons pour l'aide humanitaire. Huang Xia exhorte désormais les partenaires à concrétiser ces engagements et à acheminer rapidement l'aide vers les populations les plus touchées. Il appelle également à renforcer les efforts conjoints afin de mettre fin une bonne fois pour toutes aux conflits récurrents dans la région des Grands Lacs.  (Extrait sonore : Huang Xia, Envoyé spécial spécial de l'ONU pour la région des Grands Lacs)

Krimpodden
Nerids ekskjæreste dømt

Krimpodden

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 23:30


I en rettssal i Laos, iført blå fangedrakt og håndjern, sitter mannen som nå er dømt for å ha drept norske Nerid Høiness. Tor-Erling Thømt Ruud og journalistkollegaene Natalie Remøe Hansen og Maren Olava Hütt forteller om de dramatiske timene i retten.

InPower - Motivation, Ambition, Inspiration
Pourquoi on se trompe sur le reste du monde ? avec le géopolitologue Pascal Boniface

InPower - Motivation, Ambition, Inspiration

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 14:16


Dans un monde de plus en plus complexe et instable on peut avoir la sensation d'être perdu ou avoir envie de céder à des simplifications extrêmes pour comprendre. Mais si tout était plus compliqué que ça ?Dans cet extrait, Pascal Boniface explique pourquoi nos repères occidentaux faussent souvent notre lecture du monde de la Chine à l'Afghanistan et comment nos valeurs, qu'on croit universelles, ne le sont pas forcément. Si cet extrait vous a plu retrouvez l'épisode complet ici : https://shows.acast.com/inpower/episodes/peut-on-encore-eviter-une-guerre-mondiale-avec-le-geopolitol Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Baywatch Berlin
Kokstaxi wider Willen

Baywatch Berlin

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 72:16


Nur eine Lampe steht auf dem Tisch am Ende des Raumes. Ihre Birne macht die letzten Atemzüge und flackert ihrem Ende entgegen. Vor mir sitzt im Halbdunkel Klaas Heufer-Umlauf. Mit einer Kreditkarte teilt er einen Berg Kokain in vier Reihen. Die goldene Amex schabt und kratzt dabei über den Tisch. „Nur ein Spinnenbeinchen, Schmitti“…haucht er mit erschöpfter Stimme. Seine Stimmbänder ermattet wie die Glut der Birne, sein Klang nasal und leer. Blut tropft auf das weiße Pulver, färbt es rot. Gegen den Widerstand der zähen Flüssigkeit aus der Nase, zieht der Moderator, das Pulver irgendwie hoch. Über die Schleimhäute gelangt es ins Gehirn und Klarheit legt sich sanft über die Selbstzweifel, alle Unsicherheit wird erstickt. Vakuum für die Gedanken, die Gefühle erfrieren. Während Klaas schwebt, zieht Schmitti das „Spinnenbein“, dazu die roten Reste. Auch er verschwindet in der eigenen Unendlichkeit. Inneres Exil. Wie eine Lupe wirken die Tränen vor meinen Augen. Sie vergrößern das Elend vor mir. Zwei Freunde, zu Eis erstarrt. Aus Klaas Nase tropft das Blut. Schmittis Tätowierungen eitrig. Die Zigarette in seiner Hand glimmt in die Haut seines Zeigefingers. Wo hatte dieser Zerfall begonnen? Ich wühle in meiner Erinnerung. Mein Herz stoppt. Es war die Aufnahme der Folge „Kokstaxi wider Willen“ als wir beschlossen hatten, drogenabhängig zu werden, damit wir unserem langweiligen Leben eine für eine Netflix Dokumentation spannende Wendung verpassen. Eben jene Wendung, die den Zuschauern die Pupillen weiten und den Atem stocken lassen. Der Beifall des geifernden Publikums ist nun gewiss. Potenzierter Voyeurismus. Stunde Null für den Spannungsbogen. Die Asche für den Phoenix. Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? Hier findest du alle Infos & Rabatte: https://linktr.ee/BaywatchBerlin

Les Grandes Gueules
L'histoire du jour - Fondateur du Gueuleton : "On faisait 1 gueuleton par semaine dans notre appart à Bordeaux et le reste de la semaine on mangeait des pâtes" - 30/10

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 3:40


Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géographie, Bruno Poncet, cheminot, et Didier Giraud, agriculteur de Saône-et-Loire, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Rothen s'enflamme
Jean-Jacques, supporter du PSG : "Dembele reste indiscutable" – 29/10

Rothen s'enflamme

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 4:30


Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.

L'oeil de...
Essai réussi d'un missile russe à propulsion nucléaire : "si Vladimir nous envoie son missile, il nous reste environ 3 heures à vivre"

L'oeil de...

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 2:36


Ecoutez Le Cave' réveil avec Alex Vizorek du 27 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C dans l'air
Benjamin Morel - Budget: Lecornu seul contre tous?

C dans l'air

Play Episode Listen Later Oct 25, 2025 10:44


C dans l'air l'invité du 24 octobre 2025 avec Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas.Dans la nuit de mercredi à jeudi, le volet recettes du projet de loi de finances a été rejeté en commission des finances, ce qui augure de débats houleux en séance à l'Assemblée, dont le coup d'envoi a été donné aujourd'hui à 15h. Le Premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a d'ores et déjà prévenu que "si dans les toutes prochaines heures, en gros jusqu'à lundi prochain, il n'y avait pas d'évolution sensible sur le texte, en réalité, ce serait terminé". Mais le Premier ministre, qui sera particulièrement présent sur les bancs de l'Assemblée et qui a donné le coup d'envoi de l'examen de la partie recettes du budget, a assuré, selon des propos rapportés par Le Parisien, qu'il fallait "être mobiles, être adeptes de la guerre de mouvement plutôt que de la guerre de tranchées." De son côté Marine Le Pen, présidente du groupe RN à l'Assemblée nationale dénonce un "théâtre", un "sketch préparé entre le gouvernement et le Parti socialiste", "Un scenario a été écrit. Les décors sont de Sébastien Lecornu, les textes de Olivier Faure."Reste à savoir si des compromis pourront tout de même être trouvés pour donner un budget à la France et ainsi éviter au gouvernement de recourir à une loi spéciale ou, chose inédite, aux ordonnances. En effet, Sébastien Lecornu a fait le choix de renoncer au 49-3 pour satisfaire les socialistes, sur lesquels reposent la responsabilité de faire tomber, ou non, le gouvernement.Benjamin Morel, constitutionnaliste et maître de conférences à l'université Panthéon Assas, sera notre invité ce soir pour nous livrer son éclairage sur le début de l'examen de la partie recettes du budget pour 2026 à l'Assemblée nationale. Il est l'auteur de "Le nouveau régime. Ou l'impossible parlementarisme", paru aux éditions Passés composés.