POPULARITY
Categories
durée : 00:03:51 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Les 48 heures accordées à Sébastien Lecornu pour former un nouveau “nouveau” gouvernement se sont écoulées… et résultat ? Je ne sais pas ce que vous en pensez mais ça passe drôlement vite 48 heures quand on s'amuse ! Et c'est pas fini ! Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C dans l'air du 1er octobre 2025 - Lecornu : pas de gouvernement et déjà un test dans la rueÀ peine nommé et déjà menacé. Alors qu'il devrait annoncer son nouveau gouvernement en fin de semaine, le Premier ministre Sébastien Lecornu voit peser sur lui la menace de la censure à deux semaines de l'examen par l'Assemblée nationale du projet de loi finances. Ces derniers jours, le nouveau locataire de Matignon a reçu les principales formations politiques, dont les socialistes avec qui il espère pactiser en vue d'éviter la censure. Pourtant, le représentant du PS est ressorti déçu des premières négociations. Vendredi, Sébastien Lecornu a confirmé dans le Parisien avoir écarté l'idée d'une taxe Zucman, le retour de l'Impôt sur la fortune ou la suspension de la réforme des retraites. "Si rien ne change, le résultat est déjà connu. Il y aura une censure, donc ce gouvernement tombera et il y aura vraisemblablement une dissolution", menace Olivier Faure, tandis que les députés Renaissance, dirigés par Gabriel Attal préparent déjà des élections législatives anticipées. Reste qu'il faut ménager le socle commun. Lundi, Sébastien Lecornu a dit que son futur gouvernement ferait des "propositions" de baisse d'impôts "notamment en faveur du travail".Dans l'attente d'une possible censure, les syndicats ne relâchent pas la pression et se préparent à une forte mobilisation jeudi, deux semaines après une première réussie (500 000 manifestants le 18 septembre). Les revendications des 8 organisations syndicales demeurent les mêmes : abandon du plan d'austérité de 44 milliards d'euros, suppression du report de l'âge à la retraite à 64 ans ou encore une meilleure justice fiscale. Parmi les principales figures de proue de ce mouvement, la secrétaire générale de la CGT, Sophie Binnet, mais aussi celle de la CFDT, Marylise Léon, réputée comme à l'écoute et mosdérée.Quand 68 % des Français se montrent favorables à la taxe Zucman, réclamée par la gauche, un homme s'y oppose. Entrepreneur ultralibéral, co-fondateur de la licorne Ledger, Eric Larchevêque veut alerter sur ce qu'il considère comme une mesure absurde. Selon lui, la plupart des entrepreneurs dont le patrimoine est composé d'actions, "c'est‑à‑dire en grande partie virtuel", seront incapables de payer cette taxe. Plus globalement, il estime que taxer davantage les riches ne changerait rien, car "la dette est colossale" et qu'un tel impôt ne ferait que fuir les chefs d'entreprises français.Sébastien Lecornu peut-il réussir à négocier un pacte de non censure avec la gauche ? Les syndicats peuvent-ils mettre davantage la pression sur le Premier ministre grâce à la mobilisation de demain ? Et pourquoi les entrepreneurs s'opposent à la taxe Zucman ?LES EXPERTS :- Jérôme JAFFRÉ - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Mathilde SIRAUD - Rédactrice en chef du service politique - Le Point- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info- Jérôme FOURQUET - Directeur du département Opinion - Institut de sondages IFOP
3 octobre 1990. L'Allemagne divisée depuis 1949 est désormais réunifiée, un peu moins d'un an après l'ouverture du Mur de Berlin en novembre 1989. Fin de 40 ans de partition du pays. 35 ans plus tard, que reste-t-il de l'ex-RDA ? À Berlin, des quantités de traces ont disparu, notamment de nombreux symboles politiques du régime. En province, le passé est-allemand est souvent plus visible. Aujourd'hui, une nouvelle génération semble redécouvrir la valeur architecturale et artistique de la RDA. Mais le débat reste vivace. L'ouest de l'Allemagne ne cède rien de son rejet du communisme. Et l'est du pays dénonce une forme de colonialisation par ses colocataires de l'Ouest. «Réunification allemande: 35 ans plus tard, que reste-t-il de la RDA ?», un Grand reportage de Nathalie Versieux.
Adopté il y a 25 ans, l'Agoa permet à 32 pays africains d'exporter des milliers de produits vers les États-Unis sans droits de douane. Mais il expire ce 30 septembre à minuit, sauf prolongation de dernière minute. Un bilan contrasté pour un accord crucial à la fois économique et géopolitique. En 2000, sous Bill Clinton, l'Agoa (African Growth and Opportunity Act) voit le jour avec un objectif clair : renforcer les relations commerciales entre les États-Unis et l'Afrique subsaharienne. Aujourd'hui, cet accord permet à 32 pays africains d'exporter plus de 6 000 produits sans droits de douane : biens manufacturés, textile, voitures sud-africaines, produits agricoles ou encore ressources minières. En contrepartie, ces pays doivent respecter certains critères : économie de marché, progrès en matière de gouvernance, de démocratie et de droits humains. C'est pourquoi la liste des membres évolue régulièrement. En 2023, les exportations africaines vers les États-Unis dans ce cadre ont atteint 10 milliards de dollars. Des résultats visibles, mais concentrés dans quelques pays Depuis son entrée en vigueur, l'Agoa a permis aux exportations africaines vers les États-Unis de progresser de 37% entre 2001 et 2021. Mais les bénéfices sont très inégalement répartis. L'Afrique du Sud en tire le plus grand profit avec ses voitures, ses agrumes et son vin. Viennent ensuite le Kenya et le Lesotho grâce au textile, ainsi que Madagascar dans une moindre mesure. Pour la majorité des autres pays, l'impact reste marginal. Pourtant, une fin brutale de l'Agoa aurait des conséquences lourdes, comme une perte de compétitivité, un recul des investissements et menaces sur des centaines de milliers d'emplois. Un avenir incertain face au retour du protectionnisme américain Au Kenya, 300 000 emplois du secteur textile sont menacés. Au Lesotho, l'Agoa a permis de bâtir la première industrie du pays, le vêtement, où se fournissent encore de grandes marques américaines. En Afrique du Sud, déjà frappée par un chômage supérieur à 30%, des dizaines de milliers d'emplois pourraient disparaître. Pour ces pays, l'Agoa est indéniablement une réussite, mais ses bénéfices restent concentrés. De leur côté, les investisseurs américains ont aussi profité de cette dynamique. Reste que Washington, à l'heure du protectionnisme et des droits de douane, revoit sa politique commerciale. Et si les États-Unis se retiraient un peu plus du terrain africain, un vide se créerait. Un vide que ne manquerait pas de combler la Chine, devenue paradoxalement l'ennemi numéro 1 de Donald Trump et le premier partenaire commercial de la majorité des pays du continent.
Écoutez l'essentiel des Amateurs de sports du 29 septembre: Martin McGuire et Dany Dubé réagissent au camp d’entraînement du Canadien et posent un regard critique sur certains choix de l'organisation. «C’est pas un bon message qu’on le retranche plus tôt…» – Dany Dubé Martin McGuire lève le ton sur le cas de Joshua Roy qui semble avoir été dépassé par d'autres joueurs dans la hiérarchie. Pendant ce temps, le Tricolore est toujours à la recherche d’un ailier capable de complémenter le duo Dach-Laine, mais ce ne sera pas Demidov, du moins pas pour l’instant. Et selon McGuire, pas de surprise à prévoir : Florian Xhekaj prendra le chemin de Laval une fois le calendrier préparatoire terminé. Le segement de Tony Marinaro Oliver Kapanen a un potentiel plus élevé que Joe Veleno, selon Marinaro, mais attention, il ne cache pas son admiration pour les aptitudes naturelles de Veleno : bon patin, bon flair… Reste qu’il devra gagner sa place. Et une question persiste : Kent Hughes, ex-agent de Veleno, aurait-il influencé sa signature à Montréal? Canadiens vs Sénateurs : Qui a la meilleure équipe? L’avenir semble plus rose à Montréal, mais dans le présent? « Une série en 7.» Et Marinaro ne s’en cache pas : il est vice-président autoproclamé (après ses parents!) du fan-club de Lane Hutson. Pour lui, Hutson est dans la même classe que Cale Makar et Quinn Hughes en termes d’impact offensif chez les jeunes défenseurs et il pourrait bien faire mal paraître plusieurs dirigeants de l’équipe américaine qui l’ont sous-estimé. Stéphane Waite, l'ex-entraîneur des gardiens des Canadiens et analyste chez Cogeco Media, jette un regard lucide sur le camp de Joshua Roy et sur la situation des gardiens à Montréal. «Très difficile pour Roy de se frayer un chemin dans le top 6, et il n’a pas l’identité d’un bottom 6», tranche Waite. Son camp? Décevant, mais il rappelle qu’il n’a que 22 ans et qu’il serait prématuré d’abandonner l’espoir de la LNH. Waite suggère une piste concrète : donner à Roy des minutes en désavantage numérique avec le Rocket de Laval. «Ça lui donnerait un outil de plus dans son coffre.» Côté gardiens, il reste encore des décisions à prendre. Jakub Dobeš et Kaapo Kähkönen sont toujours dans le décor, et Waite analyse les options qui s’offrent au CH à l’approche des dernières coupures. Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
durée : 00:02:39 - Le coup de cœur, ici Orléans - Le 3 octobre prochain, la salle Blareau de Sully-sur-Loire accueillera la comédie déjantée "Je préfère qu'on reste ennemies", un spectacle signé Cocottes Productions. À 20h30, deux anciennes amies se retrouvent après dix ans d'absence et plongent dans une aventure haute en couleur. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Sept maroquiniers éthiopiens étaient récemment à Paris pour présenter leur travail. Objectif : se faire connaître, convaincre des acheteurs et franchir les obstacles qui freinent leur entrée sur le marché européen. « Je fabrique des sacs, des carnets, des ceintures et d'autres accessoires. Comme vous pouvez le voir, je crée aussi bien des articles féminins que masculins, ainsi que des produits mixtes et unisexes », raconte Milki Aberra, cofondateur de la marque Tibeb Leather Works. Il a un atelier de maroquinerie et deux boutiques à Addis-Abeba. Et, tout sourire, le voilà à Paris dans un salon de mode pour tenter de trouver des débouchés à sa production et valoriser enfin le cuir éthiopien. « Il est un peu difficile de trouver une clientèle régulière. Nous avons bien un client à l'export sur le marché américain, mais pas encore en Europe. C'est un peu compliqué, car il y a trop de normes et de spécifications à respecter avant de pouvoir exporter vers l'Europe. Donc oui, c'est assez difficile de pénétrer le marché européen », reconnait Milki Aberra. Une « marque-pays » nommée Éthiopie Impossible pour l'instant de trouver ses créations en Europe : elles ne sont pas distribuées. Pour que cela devienne une réalité, Milki Aberra et six autres maroquiniers éthiopiens sont appuyés par le Centre de promotion des importations des Pays-Bas. Une organisation gouvernementale où travaille Jan Willem Richelmann : « On retravaille le dessin pour réaliser le goût européen. Les collections se sont améliorées chaque année. Et aussi, quand ils viennent à Paris, le marché les reconnaît. Donc chaque fois, vendre "la marque-pays", ça marche mieux. Et ça se traduit en business. » Mais encore faut-il pouvoir venir. Le visa court séjour permettant l'entrée dans l'espace Schengen regroupant 29 États européens est très difficile à obtenir. Un frein supplémentaire à l'exportation pour les entrepreneurs africains. Sans visa, très peu d'achats « Pour les affaires en particulier, c'est très difficile, témoigne Milki Aberra, par exemple, moi, on m'a refusé deux fois, en 2023 et en 2024, je n'ai pas pu venir à ce salon. C'est la première fois que je viens. C'est important pour nous d'avoir des échanges en face à face pour trouver plus de clients ». Résultat de ce séjour parisien pour Milki Aberra : quelques contacts pris, mais, à ce jour, aucun client n'a confirmé de commande ferme. Si le cuir éthiopien reste très prisé par les grandes marques occidentales et chinoises, l'artisanat et la création locale peinent à percer en Europe. Reste les États-Unis, et malgré de nouveaux droits de douane de 10 % supplémentaires, les experts estiment que l'Éthiopie s'en sort plutôt bien face à ses concurrents, comme le Bangladesh ou le Vietnam. À lire aussiMode : comment développer le potentiel du secteur du cuir sur le continent ?
Avec : Périco Légasse, journaliste. Juliette Briens, journaliste à l'Incorrect. Et Robert Sebbag, médecin. - Accompagnée de Charles Magnien et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
L'Ukraine est le plus grand exportateur mondial d'huile de tournesol et la France, le premier producteur de l'Union européenne. Les prix de l'huile de tournesol restent élevés, alors que la récolte de cette année s'annonce une fois de plus réduite. Les prévisions ne sont pas bonnes. Et ce aussi bien dans l'Union européenne qu'en Ukraine, alors que les récoltes de tournesols se poursuivent jusqu'à la fin septembre. Après un été chaud et sec qui a entravé le développement des graines, les cultivateurs français, mais aussi roumains, hongrois ou encore bulgares, s'attendent à une production limitée. Elle est néanmoins un peu plus généreuse que l'an passé. La troisième pire récolte de cette décennie Cela pourrait à nouveau être une des pires récoltes de tournesol que l'UE ait connue ces dix dernières années. En effet, 8,6 millions de tonnes d'huile de tournesol devraient être produites, cette année, selon Argus Media, à peine mieux qu'en 2024 (8,3 millions de tonnes). Alors qu'en 2020 la production européenne a atteint 9,8 millions de tonnes. « Les prix de l'huile de tournesol sont bien plus élevés qu'il y a dix ans. Et comme les récoltes n'ont que très légèrement augmenté, les prix restent à un haut niveau. Une tonne d'huile de tournesol vaut actuellement autour de 1 109 euros, alors que l'hiver dernier, elle valait 1 200 euros la tonne », précise Sébastien Poncelet, analyste chez Argus Media France. Rien à voir cependant avec le pic à 2 700 euros la tonne, après l'agression russe de l'Ukraine, en février 2022. À titre de comparaison : en 2020, à Rotterdam qui est la place de la cotation des huiles, l'huile de tournesol valait en moyenne 700 euros la tonne. L'impact de la guerre en Ukraine Quant à l'Ukraine, les zones de conflit couvrent souvent les zones agricoles, ce qui n'arrange pas les choses. On s'attend à une récolte de 12,9 millions de tonnes, une production là-aussi un peu supérieure à celle de l'année passée (12,3 millions de tonnes, en 2024), d'après les chiffres d'Argus Media. Alors qu'avant la guerre, l'Ukraine produisait jusqu'à 15 millions de tonnes. « Le marché d'huile de tournesol ukrainien reste malgré tout soutenu », note l'expert. Les prix évoluent à des niveaux comparables à ceux de l'UE. La diminution de l'offre d'oléagineux, l'an dernier, comme l'huile de palme ou celle de colza, a également alimenté cette hausse des prix. Cette année, la faible récolte de tournesol devrait être partiellement remplacée par son concurrent, le colza, dont la production s'annonce très bonne. Reste à savoir quel effet cela aura sur les prix. À lire aussiMaroc: la sécheresse fait exploser le prix de l'huile d'olive, en passe de devenir un produit de luxe
durée : 00:25:39 - Diane Kurys, réalisatrice - Dans son nouveau film "Moi qui t'aimais", la réalisatrice de "Diabolo Menthe" raconte la relation entre Simone Signoret et Yves Montand : un couple uni jusqu'à la mort de l'actrice, malgré les infidélités du chanteur. Un film tendre et sincère, bien que contesté par certains descendants du couple. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Héritage direct de la Seconde Guerre mondiale, la conquête spatiale fascine autant qu'elle interroge. Propulsée par un élan technologique, scientifique et philosophique, elle s'est accompagnée d'une réflexion sur l'inéluctabilité de cette quête. Tout commence dans les années 1940 : les ingénieurs allemands, auteurs des V2, sont recrutés par les grandes puissances. Leurs recherches, conçues pour des missiles balistiques, servent bientôt à un combat inédit. La guerre froide se transforme en course à la suprématie technologique : l'URSS frappe avec Sputnik en 1957 puis Gagarine en 1961, les États-Unis répondent avec la Lune en 1969. Ces exploits issus de missiles reconvertis nourrissent l'imaginaire collectif, mais restent l'apanage de quelques États — puis d'entreprises comme SpaceX. Aujourd'hui, si la propulsion touche ses limites, les applications commerciales se multiplient : satellites de communication, GPS, observation de la Terre, télescopes spatiaux. La conquête façonne nos vies autant que nos savoirs. Les sondes explorent planètes et astéroïdes, enrichissant notre vision du cosmos au moment même où l'artificialisation de la vie nous coupe de la nature environnante et intérieure. Mais rien ne suscite plus de passion que le vol habité et la colonisation. Malgré défis physiologiques, techniques et financiers, la science-fiction entretient le rêve d'un destin humain écrit ailleurs. Reste une question : si cet objectif est atteint, il ne le sera pas par tous, mais par certains peuples, certaines civilisations. Est-ce une nécessité évolutive ou un fantasme coûteux ? Et, en cas de succès, que ferons-nous ? Créer un monde nouveau, répéter les erreurs terrestres, ou partir pour mieux revenir, forts de l'expérience acquise ? Pour aborder ce sujet, nous recevons : ▸ Christophe Belleval, astrophysicien et maître de conférences. Après un début de carrière dans l'industrie, il a réalisé une première thèse de doctorat, à l'invitation du Professeur Jacques Blamont, cofondateur du Centre national d'études spatiales (CNES), qui souhaitait renouveler les méthodes de conception et de réalisation de systèmes spatiaux innovants. Il est de même titulaire d'un doctorat d'astrophysique à l'Observatoire de Paris en radioastronomie. Il est auditeur du Centre des hautes études de l'Armement (CHEAr) et publie des articles scientifiques dans la revue Éléments. ▸ Et Gersende Bessède, écrivain de science-fiction, techno-accélérationniste et ancienne assistante de Maurice Dantec. Vous pourrez retrouver les chroniques des auditeurs de l'Iliade : ▸ "Perspectives identitaires" de Raphaël Ayma, auditeur de la promotion Frédéric Mistral de l'Institut Iliade. ▸ Autour d'un vers, le rendez-vous poétique de Frédérique de Saint-Quio, auditrice de la promotion Homère. ▸ Les chroniques musicales de Pierre Leprince, auditeur de la promotion Patrick Pearse de l'Iliade. ▸ La boussole artistique de Gabrielle Fouquet.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Recycler, c'est transformer un déchet en ressource. Mais des chercheurs de l'université de Copenhague ont décidé d'aller plus loin : utiliser le plastique non seulement pour limiter la pollution, mais aussi pour lutter contre le réchauffement climatique. Leur découverte, publiée dans Science Advances, ouvre une piste inattendue.Le plastique en question, c'est le PET, omniprésent dans nos vies : bouteilles, emballages alimentaires, cartes bancaires, voire prothèses médicales. Problème, il finit trop souvent en décharge, où il se décompose en microplastiques qui polluent sols, rivières et atmosphère. Les chimistes danois, eux, ont mis au point une technique utilisant l'éthylènediamine, une molécule déjà connue pour capter le dioxyde de carbone. Résultat : le PET est décomposé en un nouveau matériau, baptisé BAETA, qui se révèle au moins aussi efficace que les technologies actuelles pour piéger le CO₂.Concrètement, quand les fumées industrielles passent par un filtre rempli de BAETA, le CO₂ est capturé. Une fois le matériau saturé, un simple chauffage suffit pour libérer le gaz, qui peut alors être concentré, stocké ou réutilisé. L'efficacité du BAETA est ainsi régénérée, et le cycle peut recommencer. Atout supplémentaire : cette technologie ne concurrence pas le recyclage classique. Elle s'appuie sur le PET le plus difficile à traiter, comme les plastiques colorés, mélangés ou dégradés… y compris ceux qui flottent dans les océans. Le procédé présente deux autres avantages majeurs. D'abord, il fonctionne à température ambiante, là où d'autres matériaux de captage du CO₂ nécessitent des conditions beaucoup plus énergivores. Ensuite, il reste performant sur une large plage de températures, de l'air ambiant jusqu'à 150 °C, ce qui permet de l'installer directement en sortie d'usine.Les chercheurs assurent que leur technologie peut passer à l'échelle industrielle. Reste à convaincre des investisseurs. Car au-delà de l'innovation scientifique, c'est une opportunité économique : transformer un déchet encombrant en ressource stratégique pour dépolluer l'air et les océans. « Les problèmes environnementaux ne sont pas isolés, et les solutions ne doivent pas l'être non plus », résume Jiwoong Lee, professeur de chimie à Copenhague. Le plastique, ennemi de la planète, pourrait bien devenir un allié contre le changement climatique. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Bureau du plan et le comité de monitoring ont remis leur rapport annuel. Et cela déclenche, comme chaque année, le marathon budgétaire. Le Fédéral et les entités fédérées vont devoir remettre leur devoir à la Commission européenne pour le 15 octobre au plus tard. Et ce ne sera pas simple. L'exercice n'est jamais facile, mais cette année, sans doute encore moins que d'habitude. Le Premier ministre parle d'un gigantesque "col hors catégorie". L'heure est à l'assainissement des finances publiques au Fédéral comme dans les entités fédérées. Avec un parfum d'austérité comme ce que l'on a connu dans les années 1980 ou 1990. Mais les situations financières sont-elles comparables? Nous verrons cela avec mon invité ce matin, Eric Dor, le directeur des études économiques de l'IÉSG School of Management de Lille et spécialiste des finances publiques. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Cette semaine, IDÉES reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue «Esprit», partenaire de l'émission. Dans son numéro de septembre, cette revue de haut vol dont la devise est «comprendre un monde qui vient» consacre un dossier au socialisme aujourd'hui, au cœur de la conversation avec Pierre-Édouard Deldique. «Barbarie ou socialisme», tel est le titre de ce numéro. Emprunté à Rosa Luxemburg, il résonne comme un cri d'alarme face aux dérives contemporaines. L'expression «socialisme ou barbarie», forgée au début du XXè siècle, est ici inversée pour souligner une inquiétude : ne reste-t-il aujourd'hui que la barbarie ? Dans leur introduction, les coordinateurs du dossier, Jonathan Chalier et Michaël Fœssel, font preuve d'une grande lucidité : «quelle que soit la manière dont on l'aborde (scientifique, utopique, démocratique ou morale), le socialisme ne s'impose plus comme une solution évident», écrivent-ils. Pourtant, il existe selon eux une voix d'avenir avec les «projets écosocialistes» qui «associent une prise de conscience des impasses du productivisme et la nécessité d'y répondre par une transformation démocratique des rapports économiques et sociaux». Il s'agirait de renouer avec une vision du socialisme qui articule, émancipation politique, transformation des rapports sociaux, refus de la logique prédatrice du capitalisme, réhabilitation du droit et de la solidarité. Ce numéro s'inscrit dans la tradition critique de «Esprit », cette revue fondée en 1932, mêlant philosophie, sociologie et engagement. Michaël Fœssel, Axel Honneth et Bruno Karsenti y proposent des analyses profondes sur les pathologies de la liberté, la reconnaissance et les impasses de la modernité politique. À lire aussi l'éditorial du numéro qui est plaidoyer en faveur de l'Europe. Son titre ? «Cap sur l'Europe». Il est question de tout cela dans ce nouveau numéro d'IDÉES en compagnie d'Anne-Lorraine Bujon. Programmation musicale : - Thiefs - Make a fist - Ablaye Cissoko, Cyrille Brotto - Nina.
Moin, moin ihr Mannis und Mannienchen.Die Tore der Reste Rampe sind wieder weit geöffnet, um euch das Warten zur nächsten Männerrunde zu versüßen!Link zum Shop von "Das Bier"https://www.das-bier.com/maennerrundeKontakt: diemaennerrunde@web.deUnterstützt uns bei Patreon.comhttps://www.patreon.com/diemaennerrundeTwitter: @DieMaennerundeInstagram:https://www.instagram.com/die_maennerrunde_podcastFacebook:https://www.facebook.com/Maennerrunde.PodcastYouTube Kanal:https://www.youtube.com/channel/UCk6hDwJfdAyJa71gFS_UsEAWir verwenden gemafreie Musik von bluevalley.de the music companyhttps://www.bluevalley.de/index.php
Invité : - Antonin André, journaliste politique au JDD Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, IDÉES reçoit Anne-Lorraine Bujon, la directrice de la revue «Esprit», partenaire de l'émission. Dans son numéro de septembre, cette revue de haut vol dont la devise est «comprendre un monde qui vient» consacre un dossier au socialisme aujourd'hui, au cœur de la conversation avec Pierre-Édouard Deldique. «Barbarie ou socialisme», tel est le titre de ce numéro. Emprunté à Rosa Luxemburg, il résonne comme un cri d'alarme face aux dérives contemporaines. L'expression «socialisme ou barbarie», forgée au début du XXè siècle, est ici inversée pour souligner une inquiétude : ne reste-t-il aujourd'hui que la barbarie ? Dans leur introduction, les coordinateurs du dossier, Jonathan Chalier et Michaël Fœssel, font preuve d'une grande lucidité : «quelle que soit la manière dont on l'aborde (scientifique, utopique, démocratique ou morale), le socialisme ne s'impose plus comme une solution évident», écrivent-ils. Pourtant, il existe selon eux une voix d'avenir avec les «projets écosocialistes» qui «associent une prise de conscience des impasses du productivisme et la nécessité d'y répondre par une transformation démocratique des rapports économiques et sociaux». Il s'agirait de renouer avec une vision du socialisme qui articule, émancipation politique, transformation des rapports sociaux, refus de la logique prédatrice du capitalisme, réhabilitation du droit et de la solidarité. Ce numéro s'inscrit dans la tradition critique de «Esprit », cette revue fondée en 1932, mêlant philosophie, sociologie et engagement. Michaël Fœssel, Axel Honneth et Bruno Karsenti y proposent des analyses profondes sur les pathologies de la liberté, la reconnaissance et les impasses de la modernité politique. À lire aussi l'éditorial du numéro qui est plaidoyer en faveur de l'Europe. Son titre ? «Cap sur l'Europe». Il est question de tout cela dans ce nouveau numéro d'IDÉES en compagnie d'Anne-Lorraine Bujon. Programmation musicale : - Thiefs - Make a fist - Ablaye Cissoko, Cyrille Brotto - Nina.
Chaque semaine, la fast fashion inonde les rayons : vêtements à bas prix, vite portés, vite jetés. Mais à quel coût pour la planète, les travailleurs et notre manière de consommer ? Friperies, marques éthiques, upcycling ou location… Les alternatives existent. Reste à savoir : peut-on allier style et responsabilité sans tomber dans la surconsommation ? Avec : - Sihem Dekhili, professeure en Marketing durable, directrice de recherche et responsable de l'Institut MECE - Mode Ethique et Consommation Ecologique à l'ESSCA de Strasbourg,autrice du livre Mode Durable, éditions Pearson France- Audrey Millet, ancienne styliste, chercheuse associée au CNRS et docteure en histoire, autrice de l'ouvrage Le livre noir de la mode : Création, production, manipulation, éditions Les PérégrinesRetrouvez tous nos contenus, articles et épisodes sur rcf.frSi vous avez apprécié cet épisode, participez à sa production en soutenant RCF.Vous pouvez également laisser un commentaire ou une note afin de nous aider à le faire rayonner sur la plateforme.Retrouvez d'autres contenus d'économie et société ci-dessous :Silence, on crie : https://audmns.com/jqOozgUOù va la vie ? La bioéthique en podcast : https://audmns.com/UuYCdISContre courant : https://audmns.com/swImDAMAu bonheur des herbes : https://audmns.com/XPVizmQSacré patrimoine : https://audmns.com/TNJhOETEnfin, n'hésitez pas à vous abonner pour ne manquer aucun nouvel épisode.À bientôt à l'écoute de RCF sur les ondes ou sur rcf.fr !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Top Resa 2025 : Le tourisme mauricien brille à Paris et capte l'attention des compagnies aériennes… « Maurice reste la destination préférée des Français », affirme le ministre Richard Duval by TOPFM MAURITIUS
➜ Comment devenir libre géographiquement et indépendant financièrement en 3 mois : https://bit.ly/4bwZSQa===========================À l'ère de l'IA, tu peux légitimement te demander quelles compétences il serait judicieux d'apprendre, car l'impression générale et que l'IA peut faire le Job de tout le monde. Je te partage dans cet épisode, les compétences que tu devrais apprendre en 2025 pour gagner des milliers d'euros chaque mois.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les trois pays de l'Alliance des États du Sahel (AES) – Burkina Faso, Mali et Niger – ont annoncé lundi leur retrait immédiat du traité de la Cour pénale internationale (CPI). Une décision radicale, justifiée par la dénonciation d'une « justice sélective » et d'un « instrument de répression néocoloniale. » « Ce retrait s'inscrit dans la stratégie souverainiste des trois pays sahéliens et leur rupture assumée avec les institutions occidentales, relève Afrik.com. Ces derniers mois, le Burkina, le Mali et le Niger se sont rapprochés de partenaires alternatifs, en particulier la Russie, dont le président Vladimir Poutine fait lui-même l'objet d'un mandat d'arrêt de la CPI, depuis le début du conflit en Ukraine. » Qui plus est, souligne encore Afrik.com, « l'annonce de ce retrait a lieu à un moment où les armées de l'AES sont accusées, par des ONG internationales, de graves violations des droits humains dans leur lutte contre les groupes terroristes affiliés à Al-Qaïda et à l'État islamique. » Dans l'ombre de Moscou L'influence de la Russie est manifeste, pointe Le Monde Afrique : « l'initiative des trois pays sahéliens a trouvé un écho sous la plume d'Oleg Nesterenko, décrit par Reporters sans frontières comme un “entrepreneur de l'influence russe à l'international“. Peu après l'annonce du retrait des trois pays de la CPI, il saluait la décision sur un site malien en ligne. “L'ère des puissances occidentales, autrefois campées en suzeraines vis-à-vis d'États africains réduits au statut de vassaux, est révolue et ne doit en aucun cas se reproduire“, écrivait-il. » « Fin avril, rappelle Le Monde Afrique, le vice-président du conseil de sécurité de Russie Dmitri Medvedev, envisageait la création d'un “organe juridique alternatif à la CPI“, qui serait établi par exemple dans le cadre des BRICS, disait-il, après avoir critiqué le mandat d'arrêt pour crimes de guerre émis en mars 2023 par la CPI contre Vladimir Poutine et cinq autres responsables russes de la guerre en Ukraine. » Une Cour pénale sahélienne des droits de l'Homme ? En attendant, poursuit Le Monde Afrique, « les trois États (de l'AES) ont annoncé la création d'une Cour pénale sahélienne des droits de l'homme pour y juger les crimes de masse, le terrorisme et le crime organisé, et la construction d'une prison de haute sécurité ». « Une Cour pénale sahélienne ! Pourquoi pas ? », s'exclame le quotidien Aujourd'hui au Burkina Faso. « L'idée fait son bonhomme de chemin. Elle pourrait d'ailleurs s'inspirer des Cours africaines de Dakar qui ont jugé Hissène Habré ou de la version des Gacaca du Rwanda ; en tout cas une justice endogène qui tiendrait compte des us et coutumes et des réalités sahéliennes. Loin des salles froides et aseptisées de la CPI, pourrait se substituer une justice rendue d'abord par les Africains sur le sol africain », martèle Aujourd'hui. En effet, pointe encore le quotidien burkinabé, « la CPI n'a jamais pu se défaire de cette image qui lui colle à la peau : celle d'une justice internationale pour juger les Africains. Jamais un Occidental n'a été devant les juges de La Haye à fortiori dans les 9 m² d'une cellule de Scheveningen. Ça fait tout de même bizarre ! », clame-t-il erronément. Désamorcer toute enquête gênante ? Reste, tempère Le Monde Afrique, que « la CPI n'enquête ni au Niger, ni au Burkina Faso, mais seulement au Mali. C'est Bamako qui l'avait saisi en juillet 2012, lors de l'occupation de Tombouctou et du nord du pays par les groupes jihadistes. Depuis, deux ex-cadres de la police du groupe Ansar Eddine ont été jugés et condamnés pour des crimes commis après la prise de Tombouctou en 2012. Et un mandat d'arrêt a été émis en 2017 contre Iyad Ag Ghali, l'émir du GSIM, l'un des plus puissants groupes jihadistes sahéliens. » « Mais les soupçons ne concernent pas seulement les groupes jihadistes, relève pour sa part Le Point Afrique : ONG et experts de l'ONU accusent aussi les forces armées burkinabè et maliennes d'exécutions sommaires de civils. Et pour WakatSéra, à Ouagadougou, cette rupture avec La Haye apparaît ainsi comme une façon de “désamorcer toute enquête gênante“ visant les armées locales. Human Rights Watch a, en effet, documenté plusieurs massacres imputés à ces forces, que la CPI aurait pu être amenée à examiner. »
À partir du 7 juin 2026, les entreprises françaises devront se plier à une nouvelle règle : la transparence salariale. Cette obligation découle d'une directive européenne, qui sera transposée en droit français d'ici cette date. L'idée est claire : réduire les inégalités de rémunération au sein des entreprises, un sujet longtemps considéré comme sensible, voire tabou, en France.Concrètement, les salariés pourront demander à connaître le niveau de rémunération associé à leur poste, les critères retenus pour fixer les augmentations ou les promotions, ainsi que la moyenne des salaires de leurs collègues exerçant la même fonction. Un outil qui devrait permettre à ceux qui se sentent sous-payés d'obtenir des explications, voire de revendiquer un ajustement. La règle va encore plus loin : si un écart supérieur à 5 % est constaté entre deux salariés occupant un poste équivalent et qu'aucune justification objective n'est apportée, l'entreprise aura l'obligation de le corriger.Cette directive introduit aussi des obligations différenciées selon la taille des structures. Les sociétés de plus de 250 salariés devront publier chaque année un rapport détaillant les écarts de rémunération, de l'échelon le plus bas jusqu'aux postes de direction. Pour les entreprises comprises entre 100 et 250 salariés, ce rapport sera exigé tous les trois ans. En dessous de 100 salariés, en revanche, aucune obligation de publication n'est prévue.Autre changement majeur : la transparence ne s'arrête pas aux salaires existants, elle touche aussi le recrutement. Les offres d'emploi devront indiquer clairement la rémunération proposée. Les mentions vagues comme « salaire selon profil » ou « selon expérience » disparaîtront. Par ailleurs, il sera interdit de demander à un candidat son salaire antérieur : la rémunération devra correspondre au poste, et non à l'historique du candidat.Bien sûr, cette transparence peut avoir des effets ambivalents. D'un côté, elle pourrait nourrir des tensions internes, alimenter des comparaisons permanentes entre collègues et fragiliser la cohésion des équipes. De l'autre, elle représente un levier puissant pour instaurer plus d'égalité, lutter contre les discriminations de genre, d'origine ou d'âge, et accroître la motivation des salariés en leur donnant la certitude que leurs efforts sont justement valorisés.Reste une limite de taille : même si les écarts devront être corrigés, les perspectives d'augmentation globale restent faibles. Comme le rappellent les experts, en 2026, les hausses de salaire ne devraient pas dépasser les 2 %. La transparence viendra donc surtout rééquilibrer les rapports de force… sans pour autant bouleverser les enveloppes globales. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:14:15 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Avec "Finistère", Anne Berest poursuit sa grande exploration des transmissions invisibles et ses interrogations autour de la trans-généalogie. De quoi hérite-t-on ? - réalisation : Laurence Malonda - invités : Virginie Bloch-Lainé Productrice à France Culture, critique littéraire, romancière. ; Antoine Leiris Journaliste
Voici le RÉCAP D+ du 22 septembre 2025, le flash info du trail signé Distances+ présenté par Franck Berteau et Chloé Rebaudo, à écouter en quelques minutes chaque lundi.Au sommaire cette semaine : la victoire de Mathieu Blanchard sur la Barkley Fall Classic qui lui octroie un ticket pour l'édition 2026 de la Barkley Marathons. Reste à savoir si le Franco-Canadien souhaitera en bénéficier. Dans l'actualité également, la grande forme des Français sur le Wildstrubel by UTMB, en Suisse, et la fin d'une longue semaine en Italie, sur les sentiers du Val d'Aoste, où s'est déroulé le Tor des Géants.
Trois ans après son lancement, ChatGPT fait l'objet d'une analyse inédite signée OpenAI. Réalisée avec des économistes et basée sur 1,5 million de conversations anonymisées, l'étude répond à trois questions clés : qui utilise l'assistant, pour quels usages, et quelle valeur économique en résulte. Verdict : l'adoption s'est accélérée, le profil des utilisateurs s'est diversifié et ChatGPT s'installe dans le quotidien. Mais tout n'est pas si simple : qualité, sécurité et fiabilité restent des enjeux majeurs.Premier enseignement : l'usage s'est démocratisé. Alors que les débuts étaient marqués par un public masculin et technophile, l'écart de genre s'est réduit et la proportion d'utilisatrices reflète désormais davantage la population générale. Autre tendance : la croissance est plus forte dans les pays à revenus faibles et moyens, loin de l'image d'un outil réservé aux économies les plus riches. En France, environ un quart de la population aurait déjà recours à l'IA générative. Mais la diffusion ne dit pas tout de la maturité. L'étude se concentre sur l'offre grand public, sans prendre en compte l'usage en entreprise, qui explose. Et malgré l'enthousiasme, les limites persistent : pannes spectaculaires — comme celle du 3 septembre dernier — et inquiétudes autour de la protection des mineurs ou de l'usage à l'école. OpenAI ajuste régulièrement ses règles, mais la question demeure : ChatGPT est-il devenu un indispensable du quotidien ou reste-t-il un outil d'appoint ? L'analyse distingue trois grands usages. « Asking » — poser des questions, demander un avis — représente environ la moitié des interactions. « Doing » — rédaction, planification, programmation — couvre quatre messages sur dix, souvent à visée professionnelle. Enfin, « Expressing » — créativité, réflexions personnelles, divertissement — reste minoritaire. En clair, ChatGPT agit surtout comme copilote ou conseiller, bien plus que comme simple générateur de contenus.Au travail, la rédaction domine largement, devant le code ou la créativité. Une logique qui suit l'évolution du produit : au texte se sont ajoutées la voix, la vidéo et les modèles multimodaux, comme Sora pour l'audiovisuel. Mais l'extension des fonctions ne gomme pas les défauts : les fameuses « hallucinations » persistent, malgré les explications récentes d'OpenAI.Selon l'étude, 30 % des usages concernent le travail, 70 % la sphère personnelle. Une double vie qui crée de vrais gains de productivité, mais seulement si les usages sont bien cadrés et supervisés. Reste la grande inconnue : la valeur créée. Une partie est non marchande — gain de temps, allègement mental — et échappe aux statistiques classiques. Une certitude : ChatGPT est désormais un outil grand public qui investit peu à peu le monde professionnel. La prochaine étape ? Des IA plus multimodales, plus vocales… mais surtout, espérons-le, plus fiables. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans la nouvelle version de notre podcast Sur le Fil, qui devient hebdomadaire.Chaque samedi nous explorons une thématique importante après un petit tour de l'actualité à retenir pour la semaine à venir, d'où notre nouveau nom "La semaine sur le fil".Au sein de l'Agence France-Presse on parle du "fil" pour évoquer le flux ininterrompu de dépêches venant des quatre coins du monde que nous distribuons aux médias abonnés.Et la semaine prochaine, sur notre "fil", on va parler beaucoup de l'Organisation des Nations unies, fondée en 1945.Avec une forte hausse de la conflictualité mondiale, l'ONU est en crise, accusée de coûter cher et d'être bien trop loin de sa vocation de maintien de la paix.Le multilatéralisme, au cœur de son fonctionnement, est attaqué de toutes parts, y compris par trois des cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU : la Chine, la Russie et les Etats-Unis.Washington a décidé de quitter une nouvelle fois l'Unesco, une agence de l'ONU essentielle en matière d'éducation et de culture. Le président américain Donald Trump avait déjà quitté l'Unesco lors de son premier mandat. Et les Etats-Unis ont aussi, pour la deuxième fois, dénoncé les Accords de Paris sur le climat, négociés sous l'égide de l'ONU. C'est dans ce contexte que l'organisation internationale fête ses 80 ans et que se tient la semaine prochaine à l'ONU un sommet crucial pour les Palestiniens.Alors, l'ONU sert-elle encore à quelque chose ?Pour en parler Maxime Mamet a discuté avec Vincent Pouliot, enseignant-chercheur à l'Université de Montréal, Chloé Maurel, historienne, elle aussi spécialiste de l'ONU et chercheuse associée à la Sorbonne. Et la correspondante de l'AFP au siège des Nations unies à New York, Amélie Bottolier-Depois.Réalisation: Maxime Mamet et Michaëla Cancela-KiefferArchives sonores : ONU et AFPTVC'est l'histoire d'un pauvre : exposition sur Coluche et les Restos du Coeur, à voir au Musée d'histoire de Marseille jusqu'au 5 octobre. Puis à Nantes, à l'Hôtel du département de Loire-Atlantique, du 13 octobre au 22 novembre.La semaine sur le fil est le podcast hebdomadaire de l'AFP. Vous avez des commentaires ? Ecrivez-nous à podcast@afp.com. Vous pouvez aussi nous laisser une note vocale par Whatsapp au + 33 6 79 77 38 45. Si vous aimez, abonnez-vous, parlez de nous autour de vous et laissez-nous plein d'étoiles sur votre plateforme de podcasts préférée pour mieux faire connaître notre programme` Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Invités : - Jean-Michel Salvator, chroniqueur politique et communiquant. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, chef d'entreprise, Jérôme Marty, médecin généraliste, et Zohra Bitan, cadre de la fonction publique, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Dimanche, en clôture de la 5e journée de Ligue 1, se déroulera OM-PSG au Vélodrome ! Il s'agit du premier Classique de la saison et du premier depuis le sacre du PSG en Ligue des Champions en mai dernier. La rivalité est-elle toujours aussi vivace entre les deux clubs ? Ecoutez La tentation sport avec Le Service des Sports du 19 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les manuels sont essentiels à la réussite scolaire des enfants. Avec plus de 320 millions d'élèves, le marché du livre scolaire en Afrique est estimé à au moins 13 milliards de dollars. Un marché encore largement dominé par des éditeurs étrangers, avec souvent des filiales locales ou des coéditions. Dans certains pays, notamment anglophones, des éditeurs nationaux parviennent à passer les barrages des appels d'offre et des commandes publiques. Reste le problème d'acheminer réellement les livres jusque dans les salles de classe. Quelles solutions pour éditer et distribuer des manuels conçus par l'Afrique ? Comment inclure les systèmes éducatifs et les enseignants dans ces démarches nationales ? Un sujet qui va bien au-delà de l'école, quand on sait que pour des éditeurs africains, les manuels scolaires, constituent l'essentiel de leur chiffre d'affaire. Cela signifie que la vie intellectuelle, littéraire du continent est impactée par la survie des éditeurs nationaux. Avec : • Vincent Bontoux, consultant auprès de divers bailleurs de fonds (Banque mondiale, Banque asiatique de Développement, Banque islamique de Développement, Enabel, feue USAID, etc.) sur des projets de manuels scolaires dans les pays en développement (principalement en Afrique, mais aussi dans le Pacifique et en Amérique latine), en collaboration avec les gouvernements nationaux • Michel Levenez, consultant pour des éditeurs français et acteur de l'édition et de la commercialisation du livre sur le continent africain depuis plus de 30 ans • Anges Félix N'Dakpri, fondateur et gérant de Gad Éditions, commissaire général du Salon International du Livre d'Abidjan (SILA) et président d'honneur de l'Association des Editeurs de Côte d'Ivoire (ASSEDI). En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation, avec Marie Raichvarg, directrice du développement institutionnel, en charge des enquêtes auprès des adolescents chez Acadomia. Elle nous présente les résultats d'une étude récemment publiée : Réseaux sociaux – la majorité des adolescents prête à s'autoréguler. Programmation musicale : ► Totem – Lamomali ► Katam - Diamond Platnumz.
Aujourd'hui, Fatima Aït Bounoua, Antoine Diers et Bruno Poncet débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Les manuels sont essentiels à la réussite scolaire des enfants. Avec plus de 320 millions d'élèves, le marché du livre scolaire en Afrique est estimé à au moins 13 milliards de dollars. Un marché encore largement dominé par des éditeurs étrangers, avec souvent des filiales locales ou des coéditions. Dans certains pays, notamment anglophones, des éditeurs nationaux parviennent à passer les barrages des appels d'offre et des commandes publiques. Reste le problème d'acheminer réellement les livres jusque dans les salles de classe. Quelles solutions pour éditer et distribuer des manuels conçus par l'Afrique ? Comment inclure les systèmes éducatifs et les enseignants dans ces démarches nationales ? Un sujet qui va bien au-delà de l'école, quand on sait que pour des éditeurs africains, les manuels scolaires, constituent l'essentiel de leur chiffre d'affaire. Cela signifie que la vie intellectuelle, littéraire du continent est impactée par la survie des éditeurs nationaux. Avec : • Vincent Bontoux, consultant auprès de divers bailleurs de fonds (Banque mondiale, Banque asiatique de Développement, Banque islamique de Développement, Enabel, feue USAID, etc.) sur des projets de manuels scolaires dans les pays en développement (principalement en Afrique, mais aussi dans le Pacifique et en Amérique latine), en collaboration avec les gouvernements nationaux • Michel Levenez, consultant pour des éditeurs français et acteur de l'édition et de la commercialisation du livre sur le continent africain depuis plus de 30 ans • Anges Félix N'Dakpri, fondateur et gérant de Gad Éditions, commissaire général du Salon International du Livre d'Abidjan (SILA) et président d'honneur de l'Association des Editeurs de Côte d'Ivoire (ASSEDI). En ouverture d'émission : L'école autour du monde, l'actualité de l'éducation, avec Marie Raichvarg, directrice du développement institutionnel, en charge des enquêtes auprès des adolescents chez Acadomia. Elle nous présente les résultats d'une étude récemment publiée : Réseaux sociaux – la majorité des adolescents prête à s'autoréguler. Programmation musicale : ► Totem – Lamomali ► Katam - Diamond Platnumz.
On n'oublie jamais vraiment la personne qui nous a fait vibrer pour la première fois ou ce tout premier baiser d'adolescence… que ce soit un bon ou mauvais souvenir. Parce que démarrer sa vie amoureuse sur une belle histoire ou sur une déception, ça peut vraiment marquer et influencer nos relations plus tard, une fois adulte. Pourquoi une relation impacte-t-elle toute une vie ? Pourquoi compare-t-on constamment nos relations au premier amour ? Quel est l'impact d'un premier amour sain ? Écoutez la suite de cet épisode de "Maintenant vous savez". Un podcast Bababam Originals, écrit et réalisé par Laura Taouchanov. À écouter aussi : Faisons-nous l'amour assez souvent ? La “maladie de l'amour” existe-t-elle vraiment ? Pourquoi n'a-t-on pas d'appétit quand on est amoureux ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez". Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
À Berlin, le gouvernement veut s'attaquer à une institution allemande : le paiement en liquide, qui concerne encore 53% des transactions, contre 43% en France. Son projet ? Amener tous les commerces à s'équiper d'un terminal de paiement par carte bancaire. Reste deux écueils : l'opposition des commerçants d'une part, la vétusté des infrastructures de l'autre. Un reportage à retrouver en format long dans l'émission Accents d'Europe. À lire aussiUn pays peut-il totalement se passer d'argent liquide?
Imaginez un Wi-Fi capable de franchir les murs, là où les ondes les plus courtes se brisent d'ordinaire. C'est la promesse qu'esquissent des chercheurs de Princeton, qui viennent de tester avec succès un faisceau “Airy” piloté par intelligence artificielle. Leur découverte pourrait ouvrir la voie à un successeur crédible du Wi-Fi 7, alors que la bande sous-térahertz s'impose comme le nouvel eldorado du sans-fil.Dans leur expérience, un réseau neuronal a appris à sculpter l'onde radio pour lui faire suivre une trajectoire courbe, un peu comme une balle liftée au tennis. Résultat : le signal contourne un obstacle en temps réel, sans s'effondrer. Trois microsecondes suffisent au système pour réagir lorsqu'un passant s'interpose. Une réactivité permise par une approche « informée par la physique » qui évite des calculs trop lourds. Concrètement, de simples modules actifs de metasurface reconfigurent phase et amplitude du signal, sans miroir ni mécanique complexe. Les résultats impressionnent : là où un balayage classique perd des dizaines de décibels, le lien reste stable, même hors champ visible. L'essai a été mené à 120 GHz, une fréquence clé pour la prochaine génération de Wi-Fi. Pour passer du laboratoire aux box domestiques, deux défis demeurent : miniaturiser ces plaques actives et réduire leur consommation. Le saut de performance, lui, fait rêver. Quand le Wi-Fi 7 plafonne à 46 gigabits par seconde sur un canal de 320 MHz, la bande sous-térahertz ouvre la perspective de débits au téraoctet par seconde. De quoi envisager des usages aujourd'hui hors de portée : réalité virtuelle sans câble, streaming en 16K, robotique collaborative. Ici, ce n'est plus la portée qui compte, mais la stabilité du lien à courte distance. Si le marché suit, les premiers routeurs capables de “plier” leurs ondes pourraient apparaître d'ici la fin de la décennie. Reste à standardiser les algorithmes, adapter les protocoles WLAN et produire des metasurfaces abordables. En attendant, une chose est sûre : dans le futur du Wi-Fi, les murs ne feront plus la loi. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Cʹest à la fin de lʹannée 2022 que lʹentrée de la sépulture a été localisée et les experts pensaient alors quʹelle menait à la tombe dʹune épouse royale. Mais en pénétrant enfin dans le tombeau, tout a changé, à la vue dʹun fragment de plafond étoilé jaune sur fond bleu, un élément réservé exclusivement aux chambres des pharaons. Que dire de cette découverte ? Qui était Thoutmosis II ? Reste-t-il encore des tombeaux oubliés ? Pour répondre à ces questions, Johanne Dussez reçoit lʹégyptologue Florence Quentin, autrice de nombreux ouvrages dont " LʹEgypte ancienne - Vérités et légendes " éditions Perrin. Sujets traités : Thoutmosis II,tombe, époouse, royale, Egypte, pharaons. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Troisième et dernière partie de notre long podcast en hommage à David Lynch. Bien entendu, il reste quelques perles à défendre, comme les formidables LOST HIGHWAY et UNE HISTOIRE VRAIE. Mais il faut également reconnaître que c'est à cette époque-là que le réalisateur de BLUE VELVET et ELEPHANT MAN perd Julien Dupuy, Stéphane Moïssakis et Rafik Djoumi dans les méandres de son cinéma, notamment dès MULHOLLAND DRIVE (considéré comme un classique indéniable aujourd'hui) et INLAND EMPIRE. Reste quelques émotions dans TWIN PEAKS : THE RETURN que l'ami Érich Vogel souhaitait défendre dans cette dernière partie. Bon voyage, David Lynch !Retrouvez toutes nos émissions sur http://www.capturemag.frPour nous soutenir, il y a deux adresses :PATREON : https://www.patreon.com/capturemagTIPEEE : https://www.tipeee.com/capture-magLISEZ CAPTURE MAG !Toutes nos revues sont disponibles dans les librairies, les magasins de produits culturels et sites marchands.Akileos : https://bit.ly/AkilsCMCapture Mag est sur LETTERBOXD : https://letterboxd.com/CaptureMag/En MP3 sur Acast : https://bit.ly/3v6ee7sSur SPOTIFY : https://spoti.fi/3PJYnF3Sur DEEZER : https://bit.ly/2wtDauUSur APPLE podcasts : https://apple.co/2UW3AyO#twinpeaks #DavidLynch #MulhollandDrive Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Acheter un logement en France relève souvent du parcours du combattant. Avec des prix qui ne cessent de grimper et des ménages dont le budget est sous pression, une tendance s'impose : pour accéder à la propriété, il faut aujourd'hui s'endetter beaucoup plus longtemps qu'avant.Le règne des prêts longue duréeLes chiffres de l'Observatoire Crédit Logement-CSA sont clairs : en 2025, le crédit immobilier sur 25 ans est devenu la norme. En août, plus de 67 % des prêts accordés s'étalent sur cette durée, contre moins de 47 % en 2019. À l'inverse, les prêts de 20 ans ne représentent plus que 18,7 % des dossiers, alors qu'ils comptaient encore pour près d'un tiers il y a six ans. Autrement dit, la durée des crédits atteint désormais des records historiques.Pourquoi les Français s'endettent plus longtempsCe basculement s'explique par un double effet. D'abord, la hausse continue des prix de l'immobilier oblige les ménages à emprunter des montants plus élevés. Ensuite, les taux d'intérêt, bien que revenus autour de 3 %, ne suffisent pas à alléger la facture mensuelle. Résultat : les banques allongent les durées pour rendre les mensualités supportables.En août 2025, la durée moyenne d'un crédit immobilier s'élève à environ 22 ans. Pour l'achat d'un logement neuf, elle atteint 263 mois, quasiment le même chiffre que pour l'ancien (262 mois). L'idée est d'« amortir » le choc du prix d'achat en étalant les remboursements, comme le souligne le rapport de l'Observatoire : cette stratégie permet « d'atténuer les conséquences de la remontée du coût des opérations financées » qui pèse lourdement sur la capacité d'achat.Un écart de taux qui pousse au long termeAutre raison du succès des prêts très longs : l'écart de taux entre 15, 20 ou 25 ans est minime. En septembre, un crédit sur 15 ans se négociait à 3,01 %, contre 3,08 % pour un prêt sur 25 ans. Face à une différence aussi faible, beaucoup de ménages préfèrent choisir la durée la plus longue, afin de réduire la pression mensuelle et de pouvoir viser un bien plus grand ou mieux situé.Un phénomène appelé à durer ?Les experts estiment que cette tendance pourrait s'installer durablement. Car si les prix ne redescendent pas, les banques n'ont guère d'autre solution que d'allonger encore les durées pour maintenir le marché solvable. Reste que s'endetter sur un quart de siècle n'est pas sans conséquence : cela signifie des intérêts plus élevés et une liberté financière plus réduite à long terme. Mais pour beaucoup de Français, c'est aujourd'hui le seul ticket d'entrée vers la propriété. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Joëlle Dago-Serry, Jérôme Marty et Jean-Loup Bonnamy débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Boooring ! Voilà un bon descriptif d'épisode pour ce mois-ci. Si vous n‘aimez pas Drag Race France, passez votre chemin, c'est un épisode spécial ! Et si vous aimez, bah bon courage…
Soixante et un conflits dans 36 pays. Un nombre de victimes inégalé depuis la fin de la Guerre froide. Le dernier rapport de l'Institut de recherche sur la paix d'Oslo est formel: le nombre de conflits armés est au plus haut depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. De nombreux gouvernements se réarment ou revoient leur budget militaire à la hausse. En Suisse, le Conseil fédéral et le Parlement veulent doubler le budget de l'armée d'ici à 2032. Dans ce contexte, où sont passés les pacifistes qui manifestaient en masse en 2003 contre la guerre en Irak par exemple? Comment définir le pacifisme aujourd'hui ? Quand le prôner ? Pourquoi continuer à le défendre? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Les invité.es Aline Müller Assistante et doctorante en histoire contemporaine au Département d'histoire générale de l'Université de Genève. Sa thèse (en cours) porte sur l'engagement des femmes pour la paix et le désarmement nucléaire en Europe occidentale pendant la dernière phase de la guerre froide (1976-1991). & Thomas Hippler Philosophe, historien, professeur d'histoire contemporaine à l'université de Caen Normandie. Directeur de l'Institut Pour la Paix (IPP).
C'est à la Une d'APAnews : « La deuxième réunion du Comité conjoint de suivi du traité de paix dans l'est de la RDC, signée le 27 juin dernier, s'est tenue mercredi à Washington ». Y participaient : la RDC, le Rwanda, les États-Unis, le Qatar, le Togo et l'Union africaine. Autant de participants qui ont reconnu « des lenteurs dans la mise en œuvre de certains volets de l'accord ». « Les discussions », poursuit l'Agence de Presse Africaine, « ont porté sur la violence récente dans l'est de la RDC et sur les mesures concrètes à prendre, pour assurer le respect des dispositions de l'accord ». Afrik.com, de son côté, cite le Département d'état américain, qui parle de « retards significatifs », alors que « des violences continuent d'ensanglanter l'est congolais, où les rebelles de l'AFC/M23 continuent de régner en maître dans les deux Kivu », précise le site d'information. « À ce stade », conclut Afrik.com, « l'Accord de Washington semble illustrer plus une dynamique diplomatique qu'une transformation concrète de la crise sécuritaire. Reste à savoir si la volonté politique des signataires pourra se traduire en actes tangibles dans les prochains mois, condition indispensable pour espérer une paix durable dans l'est congolais ». Matériel de fabrication russe Autre pays en proie à la violence : le Mali, où l'armée reçoit du nouveau matériel. « Le Mali se modernise » titre Bamada.net. « L'armée malienne reçoit du matériel militaire de pointe ». « Blindés, chars et camions ont été aperçus, provenant du port de Conakry. Ces matériels, de fabrication russe sont destinés à renforcer les capacités opérationnelles des FAMA (les forces armées maliennes) et à lutter efficacement contre toute menace pesant sur la paix et la stabilité du Mali », ajoute Bamada.net. Pas de chiffres sur ces livraisons d'armes, effectuées, précise l'Agence de Presse Africaine, « dans un contexte de multiplication des attaques jihadistes, notamment par engins explosifs improvisés, causant de lourdes pertes parmi les militaires et les civils ». Premier octobre Le Mali où, par ailleurs la rentrée scolaire se prépare. Rentrée fixée au premier octobre, « malgré les défis », remarque le Journal du Mali, qui s'inquiète : « Entre les pluies encore présentes, les milliers d'écoles fermées, et la suspension des subventions aux établissements catholiques, l'année scolaire s'annonce fragile ». D'autant que, rappelle le Journal du Mali, « la saison des pluies n'est pas encore terminée. Si les précipitations s'intensifient, la question d'un report (comme l'année dernière) pourrait à nouveau se poser, même si aucune décision officielle n'a encore été envisagée dans ce sens ». Pour le Journal du Mali, la situation de l'éducation reste préoccupante, « plus de 2 000 écoles sont fermées, fermetures liées à l'insécurité, aux catastrophes naturelles et aux faiblesses structurelles du système éducatif ». Gratitude Enfin, la tragédie du funiculaire de Lisbonne : un Marocain figure parmi les rescapés. Un Marocain qui a aidé une Française à s'extirper des débris du funiculaire, juste après la catastrophe. Afrik.com nous raconte la fin de la course folle du funiculaire, « la vitesse qui augmente, les freins qui ne répondent plus, le wagon qui sort de ses rails et fonce droit vers la façade d'un immeuble ». « Le Marocain », poursuit le site d'information, « légèrement blessé au bras a été projeté contre une barre métallique. Autour de lui, des corps, des sanglots, des appels à l'aide », et donc cette Française, « qui pendant quelques instants a perdu connaissance et qui est coincée sous un siège renversé, il va la dégager, aidé par un autre passager ». Le Marocain et la Française, précise Afrik.com, « ont accepté de témoigner anonymement dans un média local. Tous deux expriment une même gratitude : être en vie. »
Confrontée à des droits de douane punitifs de 50% imposés par les États-Unis sous l'impulsion de Donald Trump, l'Inde a choisi de ne pas riposter frontalement. Le gouvernement de Narendra Modi déploie une stratégie intérieure : alléger la fiscalité pour soutenir la consommation et amortir le choc sur la croissance. Les nouvelles taxes américaines résonnent comme une onde de choc pour les industriels indiens. 50% sur chaque produit importé d'Inde. Ces surtaxes douanières menacent les exportations, avec à la clé des risques de baisse de la production, de suppressions d'emplois et, en bout de chaîne, d'un ralentissement de la croissance. Déjà en repli par rapport à 6,5% l'an dernier, celle-ci pourrait s'affaiblir encore. Face à cette pression, New Delhi cherche à rassurer à la fois les entreprises et les consommateurs. Une réforme fiscale pour redonner du pouvoir d'achat La réponse de Narendra Modi passe par une refonte de la taxe sur les biens et services (GST). Actuellement structurée en quatre tranches – 5%, 12%, 18% et 28% – et jugée lourde administrativement, elle serait simplifiée en deux paliers : 5% pour les biens essentiels et 18% pour la majorité des autres produits. Avec moins de paperasse pour les entreprises et des prix allégés pour les ménages, le gouvernement espère un effet de relance rapide. Les économistes estiment que cette réforme pourrait ajouter 0,6% au PIB, soit plusieurs dizaines de milliards de dollars. Mais elle priverait l'État d'au moins 16 milliards de dollars de recettes fiscales annuelles, selon HSBC. Un pari fiscal et diplomatique risqué Ce manque à gagner inquiète particulièrement les États indiens, qui en supporteraient plus de 70% et réclament des compensations. Pour équilibrer la réforme, le gouvernement prévoit un taux de 40% sur les produits de luxe et de « péché » tels que le tabac ou les voitures haut de gamme. Au-delà de la relance interne, cette politique vise aussi à attirer des investissements étrangers indispensables au développement du pays. Reste que ce pari fiscal est risqué : il engage l'équilibre budgétaire, institutionnel et diplomatique de l'Inde, et pourrait influencer sa place sur la scène mondiale dans les années à venir. À lire aussiDroits de douane: les produits indiens désormais taxés à 50% à leur entrée aux États-Unis
Crises de financement, déplacements et retours forcés, négociation de paix à Doha : de retour à Genève après une tournée dans les Grands Lacs, le patron du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés est le Grand invité Afrique de RFI ce mardi 2 septembre. Filippo Grandi appelle à dépolitiser la question des réfugiés dans la région et ne cache pas ses inquiétudes.
Dans trois semaines, le 21 septembre, très exactement 6 millions 768 mille 458 électeurs, incluant les résidents à l'étranger, seront appelés aux urnes pour se prononcer sur le projet de nouvelle Constitution. Ce chiffre définitif du fichier électoral biométrique permanent a été donné par la Direction générale des Élections, précise le site Guinée 7, « après les opérations de vérification et de correction des listes électorales. » Hier, rapporte le site Guinée News, pour marquer le lancement de la campagne, une marche a été organisée dans les rues de Kaloum (l'une des communes de Conakry), « en soutien total au CNRD » au pouvoir, le Comité National du Rassemblement et du Développement. « Des milliers de participants, vêtus de blanc, se sont rassemblés sur l'esplanade du Palais du Peuple avant de défiler calmement en direction du boulevard Telly Diallo. Cette marche blanche symbolise, pointe Guinée News, la volonté de promouvoir la paix, l'unité, et le développement, en s'inscrivant dans la vision et les réformes engagées par le CNRD. Le choix de la couleur blanche n'est pas anodin ; il représente la pureté des intentions et l'espoir d'un avenir radieux pour la nation guinéenne, loin des clivages politiques du passé. » Parallèlement, certains poids-lourds du gouvernement ont commencé à donner de la voix : « les Ministres Djami Diallo et Bouna Sylla ont appelé à voter largement en faveur du oui », rapporte AfricaGuinée. L'opposition muselée… Reste que « cette campagne pour le référendum constitutionnel du 21 septembre s'ouvre dans un climat tendu. » C'est ce que souligne Afrik.com. « La suspension des principaux partis réduit le pluralisme et renforce les soupçons d'un passage en force du général Doumbouya. L'opposition et la société civile appellent à manifester, malgré les risques de violences. Sous pression, les médias dénoncent des restrictions qui limitent le débat public. » C'est le cas du site d'information guinéen Ledjely : « l'UFDG de Cellou Dalein Diallo et le RPG d'Alpha Condé, suspendus depuis le 22 août, (…) annoncent des manifestations à partir de vendredi prochain (5 septembre, date symbolique, puisque ce sera le 4e anniversaire de la prise de pouvoir de Mamadi Doumbouya). Mais il ne faut guère se faire d'illusions, soupire Ledjely : en l'absence de leurs leaders respectifs, contraints à l'exil depuis des années, il est peu probable que les militants répondent massivement à l'appel. D'autant plus que le ministre de l'Administration du territoire et de la Décentralisation a mis en garde contre toute tentative de semer le trouble, et que les partis suspendus se sont vu interdire toute activité. » Quelle participation ? Alors, « dans les faits, constate Ledjely, les partisans du oui règneront donc en maîtres sur le terrain durant les deux prochaines semaines. Mais, prévient le site guinéen, cela pourrait se traduire par un faible engouement populaire, notamment de la part de ceux dont les opinions n'auront pas eu d'espace pour s'exprimer. (…) Le texte adopté pourrait (donc) symboliquement porter la marque de la fracture qui traverse le pays. (…) Et se traduire par un faible taux de participation au référendum du 21 septembre. (…) Et ce serait une tare congénitale, s'exclame Ledjely, que certains pourraient toujours lui reprocher. Il faut rappeler qu'en la matière, le référendum fondateur de septembre 1958 avait enregistré un taux de participation de plus de 85 %, tandis que celui de décembre 1990 — comparable à celui attendu le 21 septembre prochain — avait mobilisé un peu plus de 97 % des électeurs inscrits. » Doumbouya : « une forme d'exercice solitaire du pouvoir » Jeune Afrique, pour sa part, fait le point sur la garde rapprochée de Mamadi Doumbouya. Jeune Afrique répertorie les proches du général, militaires ou civils, officiels ou dans l'ombre, « politiciens dévoués et conseillers du soir. » Ils sont moins d'une vingtaine. Principalement rassemblés au sein d'une nouvelle institution. En effet, précise le site panafricain, « pour “sécuriser“ le vote référendaire et “répondre avec efficacité à tous les défis sécuritaires“, Mamadi Doumbouya s'est doté d'un Conseil supérieur de défense et de sécurité nationale. Tous ses membres ont posé, le 18 août dernier, pour la photo de famille à l'issue de sa première réunion. En première ligne, quelques figures civiles bien connues devant un parterre d'hommes en tenue, parmi lesquels les indéboulonnables du CNRD. Qu'ils soient ministres ou militaires, plusieurs de ces hommes sont au cœur du dispositif du général pour se maintenir au pouvoir après l'avoir conquis par la force. Mais Mamadi Doumbouya semble plus méfiant que jamais, relève encore Jeune Afrique. “Il est difficile de s'y retrouver, tant le président s'enferme de plus en plus dans une forme d'exercice solitaire du pouvoir“, remarque un observateur à Conakry. “Doumbouya, glisse un ancien ministre, souffre de la complotite aiguë guinéenne, qui explique aussi qu'il s'est refermé sur lui-même. »
C dans l'air du 30 août 2025 - Bayrou peut-il encore sauver sa tête ? « J'exercerai mon mandat jusqu'à son terme ». Emmanuel Macron a répondu à ceux qui évoquent une présidentielle anticipée après la très probable chute de son Premier ministre le 8 septembre. Une manière de tordre le cou aux menaces de destitutions lancées par Jean-Luc Mélenchon. Le chef de l'Etat n'a en revanche rien dit sur la possibilité d'une nouvelle dissolution, se contentant de soutenir le locataire de Matignon, et de louer son budget « lucide et courageux ».Reste donc dix jours à François Bayrou pour tenter de convaincre les parlementaires de voter la confiance. Mais la gauche et le RN semble avoir déjà tourné la page de ce gouvernement. Hier soir, les Socialistes ont présenté un budget alternatif (basé sur une taxation des très hauts patrimoines), et se sont dit prêts à prendre le relais à Matignon. La rentrée sera en tout cas agitée, entre crise politique et calendrier social chargé. Les syndicats se sont mis d'accord sur une journée de mobilisation le 18 septembre.Mais ce qui inquiète le gouvernement est l'ampleur que pourrait prendre le mouvement « Bloquons Tout », qui prévoit de mettre le pays à l'arrêt le 10 septembre. Ce mouvement, qui a émergé au sein l'extrême-droite et dans les sphères complotistes, séduit maintenant la gauche. C dans l'air est allé à la rencontre d'anciens Gilets Jaunes de Besançon. Financièrement pris à la gorge, ils prévoient de se mobiliser avec autant de ferveur qu'en 2018.Pendant ce temps, en Champagne, les viticulteurs craignent pour l'avenir. Avec des vendanges démarrées prématurément, et des droits de douane de 15% imposés par Trump, ils redoutent que l'instabilité politique à venir n'aggrave encore la situation. L'activité économique a déjà ralenti, c'est ce qu'ils observent auprès de leurs clients. Les ventes baissent, ne faisant qu'accroître leur colère envers une classe politique incapable de dialoguer pour l'intérêt collectif. Alors, Bayrou a-t-il encore une chance de sauver sa tête le 8 septembre ? Jusqu'où ira le mouvement « Bloquons Tout » ? Comment l'Etat peut-il aider les viticulteurs ? LES EXPERTS :- Olivier BEAUMONT - Chef-adjoint du service politique du Parisien - Aujourd'hui en France- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique au Point- Rachel GARRAT-VALCARCEL - Journaliste politique- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur de l'Institut de sondages Odoxa
Für den einen ist schon “Mahlzeit”, für den anderen noch mitten in der Nacht. Denn während Felix sich schon ins Marathon-Fieber ballert (Save the date! 21. September in Berlin), führt Toni noch eine weitere Woche Lotterleben in Madrid – bis endlich die Schule der Kids wieder anfängt. Und trotz der maximal unterschiedlichen Ausgangstemperatur dauert es keine 10 Minuten (bzw. eine knappe zweite Halbzeit), bis die Brüder plötzlich beide Newcastle United ihre heiße und inbrünstige Liebe schwören. Und das sind nur die Reste der Begeisterung am Vorabend, als Toni mit roter Birne frenetisch jeden Einwurf der Magpies bejubelte. Toni will jetzt Vereinsmitglied werden! Zwischendurch klingelt noch Sandro Wagner durch, erzählt von Augsburgs neuen Plänen und seiner Trainer-Handschrift, während Toni schon mal den Bundesliga-Kracher nächste Woche gegen Bayern einordnet. Und weil's noch nicht reicht, geht's zum Schluss um Real Madrid, Xabi Alonso und die Frage, ob der Perez eigentlich Geduld gelernt hat. Kurz: eine Folge, die man sich auch bei 16 Grad und Nieselregen bis zum letzten Kilometer anhören kann. Du möchtest mehr über unsere Werbepartner erfahren? [**Hier findest du alle Infos & Rabatte!**](https://linktr.ee/luppentv) Für Werbe- und Partnerschaftsanfragen im Podcast EINFACH MAL LUPPEN meldet euch hier: werbung@studio-bummens.de
durée : 00:59:32 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Après un retour sur l'accord commercial conclu cet été entre Donald Trump et Ursula Von der Leyen, nous reviendrons sur la fabrique de l'expertise économique avec Béatrice Cherrier. - réalisation : Camille Mati - invités : François Chimits Responsable des projets Europe à l'Institut Montaigne ; Sylvie Matelly Economiste et directrice de l'Institut Jacques Delors; Béatrice Cherrier Historienne de l'économie, chargée de recherche au CREST, CRNS et Ecole Polytechnique
durée : 00:57:59 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - C'est avec Hegel, au 19e siècle, que le présent a été désigné comme l'objet de la philosophie. « Seul le présent est frais, tout le reste est terne », disait-il. Pourquoi a-t-il accordé une telle importance au présent ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Jean-François Kervégan Professeur émérite de philosophie à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et membre honoraire de l'Institut Universitaire de France; Emmanuel Renault Professeur de philosophie à l'université Paris Nanterre