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Vous l'avez forcément oublié... Ou alors vous êtes trop jeune pour connaitre le nom de Jean-Pierre Fourcade. Le ministre de l'Économie de Valérie Giscard-d 'Estaing est le dernier ministre sous la Ve République à avoir rendu un budget à l'équilibre. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 16 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous l'avez forcément oublié... Ou alors vous êtes trop jeune pour connaitre le nom de Jean-Pierre Fourcade. Le ministre de l'Économie de Valérie Giscard-d 'Estaing est le dernier ministre sous la Ve République à avoir rendu un budget à l'équilibre. Ecoutez L'angle éco de Pierre Herbulot du 16 juillet 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière émission de la saison
Comme tous les lundis à 7h, Tony et Romaric se retrouvent pour parler d'un sujet, et ça, pour vous bande de chiens ! Mais pas cette fois-ci ! Découvrez la Room de Tony de notre dernier live Youtube ! La Room, c'est cette séquence ou Tony répond à toutes les questions des abonnés en commentaires ! L'occaz' d'en connaitre encore plus sur votre chien, et les chiens en général ! Retrouvez toutes nos formations en ligne pour éduquer son chien sur : www.espritdog.comtiktok : https://www.tiktok.com/@espritdoginstagram : https://www.instagram.com/esprit.dog/facebook : https://www.facebook.com/espritdogproyoutube : https://www.youtube.com/@EspritDogHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pendant que les projecteurs sont braqués sur Apple Intelligence, la nouvelle ambition IA de Cupertino mêlant traitement local et cloud, la firme à la pomme avance sur un autre front, plus discret mais tout aussi stratégique : celui de la recherche ouverte et du rapprochement avec l'écosystème chinois.Dernière annonce en date, la publication sur la plateforme Hugging Face d'un modèle de langage baptisé DiffuCode-7B-cpGRPO, un outil conçu pour… programmer. Mais attention, ici, Apple sort des sentiers battus. Contrairement à la majorité des modèles génératifs classiques qui écrivent du code ligne par ligne, ce modèle mise sur la diffusion, une technique inspirée des générateurs d'images comme Stable Diffusion. Concrètement, le modèle part d'un squelette de code flou ou bruité, qu'il affine en plusieurs étapes, en tenant compte de l'ensemble du projet. Résultat : une génération potentiellement plus rapide et surtout plus cohérente sur des blocs entiers.Mais le plus intéressant, ce n'est pas la méthode. C'est l'origine. Car Apple ne part pas de zéro. Le modèle repose sur Qwen2.5-7B, un modèle open-source développé par le géant chinois Alibaba. Les ingénieurs d'Apple ont d'abord repris une version adaptée à la programmation, avant d'y greffer leur propre décodeur basé sur la diffusion et de le réentraîner à leur sauce. Une démarche bien loin de l'image d'Apple tout-puissant construisant chaque brique en interne. Ce choix d'Alibaba n'est pas anodin. Pour déployer Apple Intelligence en Chine, la firme américaine doit se plier aux réglementations locales, qui imposent l'utilisation de modèles approuvés par Pékin. Résultat : un partenariat stratégique avec Alibaba, qui adapte ses modèles pour tourner efficacement sur les puces Apple Silicon via le framework MLX.Et ce n'est pas tout : Apple a aussi regardé du côté de DeepSeek, une startup chinoise en pleine ascension. Si aucun accord n'a été signé, Tim Cook a salué la qualité de leurs modèles, preuve d'une veille technologique active et d'une reconnaissance de la montée en puissance de la Chine dans le domaine de l'IA. Apple, longtemps réputée pour son écosystème fermé, change de méthode. En s'appuyant sur des fondations open-source venues d'ailleurs, la firme montre qu'à l'heure de l'IA, même les géants ne peuvent plus avancer seuls. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La Chine et les États-Unis ont signé fin juin un accord pour mettre en pause leurs augmentations réciproques des droits de douane, ceci doit aussi permettre la reprise des exportations des terres rares chinoises, essentielles pour les secteurs automobiles et de la défense. Leur pause a en effet semé la panique et rappelé le dangereux contrôle de la Chine sur ces minerais stratégiques. Sept matériaux vous manquent, et l'industrie est affolée. C'est le constat amer de ces derniers mois : suite à l'imposition de droits de douane à la Chine par Donald Trump, Pékin a restreint en avril ses exportations de sept éléments dits rares, comme l'Yttrium ou le Scandium. Cela a semé la panique dans l'industrie automobile, qui en a grand besoin pour ses moteurs électriques ou ses systèmes de freinage. Les entreprises de défense en sont également très dépendantes pour leurs systèmes électroniques de guidage ou de propulsion. Panique ? Oui, car la Chine possède non seulement l'essentiel des réserves de ces terres rares, mais contrôle surtout plus de 90% de son raffinage : ces minerais sont très peu concentrés et leur extraction requiert un processus lourd et polluant, l'une des raisons pour lesquels les pays européens et les États-Unis n'ont pas investi dedans. Donald Trump a compris la menace. Il a suspendu son augmentation des droits de douane pour six mois, la Chine reprend donc doucement ses exportations de terres rares. La catastrophe semble évitée, mais cela rappelle que cette dépendance est insoutenable. Difficile, toutefois, de la réduire rapidement, notamment pour l'Europe qui compte des réserves très limitées, et seulement en Scandinavie. Certains fabricants, comme Mercedes, disent vouloir réduire leur utilisation de terres rares, mais il n'y a pour l'instant pas d'alternatives, surtout pour les aimants nécessaires aux voitures électriques. Autre solution, le recyclage : un consortium industriel regroupant quinze pays européens, appelé Reproduce, a été mis en place dans ce sens, mais n'a pas encore démarré ses travaux. Dernière option : aller chercher les minerais, comme l'a fait la Chine en Afrique et en Amérique latine. Et c'est certainement ce qu'aimerait faire Donald Trump en annexant le Groenland, car ce territoire possède les huitièmes plus grandes réserves mondiales de terres rares. À lire aussiMétaux critiques: Pékin accentue la pression sur Washington
On entre dans la dernière ligne droite avant la coupure estivale pour l'Arizona. Le gouvernement de Bart De Wever doit boucler des dossiers clés et faire voter la loi-programme, avant de pouvoir plier bagage. L'espoir renaît de voir un gouvernement bruxellois se former avant le 21 juillet. Le MR a fait, ce week-end, une proposition importante approuvée par cinq autres partis et par la N-VA. Les libéraux francophones désigneraient, sur leur propre quota, un secrétaire d'État issu de la société civile, mais NV-A compatible. Pour en parler, Bertrand Candelon, professeur de finances à l'UCLouvain, est l'invité du Brief. On fera aussi un point sur la guerre commerciale entre les États-Unis et l'Europe, qui s'est encore intensifiée ce week-end. Le président américain, Donald Trump, menace d'imposer des droits de douane de 30% sur toutes les importations européennes. Et puis, on évoquera la saison des résultats aux États-Unis qui s'ouvre avec les grandes banques américaines. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.
Écoutez le chroniqueur François Gagnon parler des analyses des diverses institutions bancaires canadiennes, à l’émission de Jean-Sébastien Hammal.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
Connu pour des romans de science fiction majeurs comme Fondation, I, Robot, ou la Dernière question, Isaac Asimov est un écrivain américain né en 1920 et mort en 1992. Il était professeur de biochimie à l'université de Boston. De son vivant, il était déjà reconnu pour ses anticipations. En 1964 dans un article publié par le New York Times, il imaginait une visite à l'exposition universelle de 2014. Plus tard en 1983, le journal Toronto Star lui demandait d'imaginer le monde en 2019. Qui est Isaac Asimov ? Comment imaginait-il le futur ? Est-ce qu'il avait vu juste ? Écoutez la suite de cet épisode de Maintenant vous savez ! Un podcast Bababam Originals écrit et réalisé par Hugo de l'Estrac. À écouter ensuite : Qu'est-ce que le paradoxe de Fermi ? Les baleines pourraient-elles vraiment nous aider à communiquer avec les extraterrestres ? Comment reconnaître un texte généré par IA ? Retrouvez tous les épisodes de "Maintenant vous savez".Suivez Bababam sur Instagram. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Le podcast NBA CORNER se penche sur les dernières informations concernant l'intersaison, à commencer par la décision du Thunder de prolonger Chet Holmgren et Jalen Williams dans la foulée du nouveau contrat signé par Shai Gilgeous-Alexander quelques jours plus tôt. Josh et Charles s'expriment également sur la décision des Suns de Phoenix de prolonger Devin Booker pour une somme faramineuse, avant de parler des autres décisions prises à travers la ligue ces derniers jours. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dernière édition du Club de la saison avec la présence de nos invités Philippe Lombard et Jean-Paul Césari, pour notre plus grand plaisir. Les invités : Philippe Lombard et Jean-Paul Césari A l’approche de l’été,... Cet article Philippe Lombard et Jean-Paul Césari | Le Club #59 est apparu en premier sur VL Média.
Tu rêves de lancer un produit digital qui rapporte… sans y passer des mois ni construire une usine à gaz ?Et si tu pouvais générer 6 700 € en seulement 3 jours avec 3 emails, sans pub et sans réseaux sociaux ?Dans cet épisode, je te dévoile ma méthode pas à pas pour lancer et vendre un produit digital… avant même de l'avoir construit.Programme de l'épisode :
« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ». Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ». Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ». Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ». De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ».
« Qui l'eût cru ? Donald Trump qui s'intéresse subitement aux intérêts africains ! ». Ce cri de surprise feinte, voire ironique, c'est celui du Pays aujourd'hui, alors que le chef d'État s'apprête à accueillir cinq homologues du continent pour parler économie et commerce : le Sénégalais Bassirou Diomaye Faye, le Gabonais Brice Oligui Nguema, le Bissau-guinéen Umaro Sissoco Embalo, le Mauritanien Mohamed Ould Ghazouani et le Libérien Joseph Boakaï. Dernière étape en date d'une séquence décidément très africaine pour les États-Unis, puisque le journal burkinabè rappelle que, fin juin, « l'administration Trump avait réuni plusieurs chefs d'État et de gouvernement à Luanda en Angola » et qu' « il se dit également qu'un sommet plus large est prévu pour se tenir en septembre ». Au Gabon, l'Union, se félicite de cette réunion, véritable témoignage, selon le quotidien proche du pouvoir, « de la volonté de l'administration Trump d'institutionnaliser des partenariats gagnant-gagnant, (…) loin de toute forme d'aide ou d'assistance ». Une coopération équilibrée, vraiment ? Le Pays n'y croit pas trop… et Aujourd'hui au Faso non plus, avec cette interrogation : « pourquoi le choix de ces cinq pays, lesquels ont sans doute un partenariat avec l'oncle Sam, mais pas gigantesque au point d'être préférés par exemple à la RDC, au Rwanda ou au Kenya ? ». Pour Le Pays, si le président américain se met à courtiser ces États « qu'il a royalement ignorés au cours de son premier mandat », c'est que « quelque chose a changé » … tout simplement, juge le journal, Donald Trump a compris qu'il « pouvait faire de bonnes affaires avec l'Afrique ». Contrebalancer la montée en puissance des Brics Brics qui se sont, eux aussi, réunis cette semaine. Or, rappelle Aujourd'hui au Faso, ce regroupement informel est « l'alternative au mastodonte du système occidental et américain, » qui « essaie de se frayer un chemin »… Particulièrement face à un chef d'État « qui rythme la géopolitique mondiale » entre autres grâce à des « sanctions douanières punitives sur l'acier, les métaux [ou] le numérique ». Sanctions qui visent tout particulièrement l'Afrique du Sud… Et pour Jeune Afrique, il ne faut pas s'y tromper : cet « acharnement » pourrait bien, justement, « s'expliquer par l'appartenance [de Pretoria] au groupe des Brics », qui organisait son sommet juste avant que le couperet ne tombe. Le quotidien sud-africain Mail & Guardian met toutefois en garde contre toute position de victime : « la faute ne peut pas être placée uniquement sur les États-Unis ; les pays des Brics devraient aussi se regarder dans le miroir, et évaluer comment approfondir leurs interactions commerciales », actuellement limitées, juge le journal, « par les droits de douane prohibitifs qu'ils s'imposent les uns aux autres ». Qu'ils le veuillent ou non, ils n'ont pas le choix : « la posture ferme adoptée par les autorités américaines nécessite cette approche, qui est (…) vitale pour la durabilité à long terme des Brics ». Et Aujourd'hui au Faso ne dit pas autre chose : « c'est bien, ces grandes entités pour contrer le diktat des pays puissants, mais le continent devrait d'abord muscler des organisations telles l'Union africaine » pour faire valoir ses propres intérêts, face aux intérêts individuels des uns et des autres, car « le tout n'est pas égal à la somme des parties ». De nouvelles relations au détriment d'un partenaire historique L'Europe qui semble reléguée au second plan… D'où cette question de Jeune Afrique : le vieux continent « a-t-il encore un rôle à jouer » sur le sol africain ? À force d'« annonces peu concrètes », de « mauvaises cartes », et de refuser de reconnaître les parties les plus sombres de son histoire, le continent « perd du terrain », analyse l'hebdomadaire. D'autant que, sans chef d'orchestre et sans partition, l'Europe joue des « polyphonies inaudibles » et « donne l'impression d'hésiter » en n'étant plus ni « puissance militaire assumée, ni modèle politique envié, et sans soft power unifié ». Bref, l'Europe « prétend encore jouer le rôle de partenaire principal », alors même qu'elle risque, assène enfin l'hebdomadaire, « de sortir de l'histoire qui s'écrit », en se contentant de « "vendre" sa proximité historique ou ses valeurs ». En tout cas, conclut JA, « l'Afrique, elle, n'attend plus : elle choisit, refoule, renégocie ».
Avec : Pierre Rondeau, expert en économie du sport. Périco Legasse, journaliste. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
On est dans la dernière ligne droite concernant les discussions entre les Etats-Unis et l'Union européenne au sujet des droits de douanes. L'objectif, c'est de ne pas avoir un niveau trop élevé de taxes à la fin ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On est dans la dernière ligne droite concernant les discussions entre les Etats-Unis et l'Union européenne au sujet des droits de douanes. L'objectif, c'est de ne pas avoir un niveau trop élevé de taxes à la fin ?Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La guerre en Ukraine a révélé la puissance de destruction des drones. Le week-end dernier, la Russie a mené une série d'attaques de drones sur les villes de Kiev, Soumy et Odessa. La plus massive perpétrée depuis l'invasion du pays en 2022. L'Ukraine qui demande plus de moyens de défense anti-aériens, investit aussi énormément dans la recherche et la production de drones. Le 1er juin 2025, la destruction d'une dizaine de bombardiers russes, situés à plusieurs milliers de kilomètres, par 117 petits drones ukrainiens à quatre hélices avait créé la surprise. Une expertise que Kiev souhaite mettre en avant. Emmanuelle Chaze. Des drones voiliers dans la Baltique C'est dans ce contexte critique que les pays de l'Otan se réarment. Le Danemark commence à s'équiper de nouveaux drones voiliers qui fonctionnent à l'énergie éolienne et solaire. Leur but surveiller la mer baltique. Ottilia Ferey s'est rendue le mois dernier à Koge, à une quarantaine de kilomètres de Copenhague, où deux de ces drones ont pris la mer... La mobilisation des serbes contre Vucic Direction la Serbie où depuis novembre, depuis l'accident tragique de la gare de Novi Sad, les étudiants manifestent. Ils accusent le gouvernement du président Vucic de corruption et demandent sa démission... Une nouvelle étape vient d'être franchie alors que la mobilisation ne faiblit pas. Louis Seiller. Le Prosecco dans la tourmente des droits de douane Dernière ligne droite dans les négociations avec l'administration Trump, qui menace toujours d'imposer des droits de douane de 50% au 1er août 2025. Parmi les secteurs à risque le secteur viticole en Italie. Le pays est devenu le premier exportateur mondial de vin pour la quantité et le second pour le chiffre d'affaires. Au contraire de la tendance mondiale, l'Italie a vu sa production augmenter et c'est un vin pétillant le Prosecco qui tire remarquablement bien son épingle du jeu. Une success story fragilisée aujourd'hui par les incertitudes sur le commerce mondial. Reportage en Vénétie sur les terres du Prosecco d'Olivier Favier. Les leçons des attentats du 7 juillet 2005 à Londres C'était il y a tout juste 20 ans. À Londres, une série d'attentats islamistes dans le métro et un bus, faisait 52 morts et plus de 750 blessés. Le plus grand attentat commis au Royaume-Uni en dehors du terrorisme de l'Ira. Aujourd'hui, la menace terroriste est elle encore plus forte ? À Londres, Marie Billon.
"On a fait un Google Slide : La Dernière Chance" (vidéo ici)Je reçois Ben Gauthier - cofondateur et CEO de Comeen - une plateforme pour booster l'expérience collaborateur au bureau.Ben a tout connu : la belle croissance, les levées de fonds, la presque mort de Comeen, le confinement, le pivot, le lancement aux États-Unis presque sur un coup de tête, la stratégie multiproduit...Il me raconte comment avec Comeen ils ont atteint 3 millions d'ARR avec une équipe de 32 personnes, après avoir démarré avec une simple idée pendant leurs études.
La guerre en Ukraine a révélé la puissance de destruction des drones. Le week-end dernier, la Russie a mené une série d'attaques de drones sur les villes de Kiev, Soumy et Odessa. La plus massive perpétrée depuis l'invasion du pays en 2022. L'Ukraine qui demande plus de moyens de défense anti-aériens, investit aussi énormément dans la recherche et la production de drones. Le 1er juin 2025, la destruction d'une dizaine de bombardiers russes, situés à plusieurs milliers de kilomètres, par 117 petits drones ukrainiens à quatre hélices avait créé la surprise. Une expertise que Kiev souhaite mettre en avant. Emmanuelle Chaze. Des drones voiliers dans la Baltique C'est dans ce contexte critique que les pays de l'Otan se réarment. Le Danemark commence à s'équiper de nouveaux drones voiliers qui fonctionnent à l'énergie éolienne et solaire. Leur but surveiller la mer baltique. Ottilia Ferey s'est rendue le mois dernier à Koge, à une quarantaine de kilomètres de Copenhague, où deux de ces drones ont pris la mer... La mobilisation des serbes contre Vucic Direction la Serbie où depuis novembre, depuis l'accident tragique de la gare de Novi Sad, les étudiants manifestent. Ils accusent le gouvernement du président Vucic de corruption et demandent sa démission... Une nouvelle étape vient d'être franchie alors que la mobilisation ne faiblit pas. Louis Seiller. Le Prosecco dans la tourmente des droits de douane Dernière ligne droite dans les négociations avec l'administration Trump, qui menace toujours d'imposer des droits de douane de 50% au 1er août 2025. Parmi les secteurs à risque le secteur viticole en Italie. Le pays est devenu le premier exportateur mondial de vin pour la quantité et le second pour le chiffre d'affaires. Au contraire de la tendance mondiale, l'Italie a vu sa production augmenter et c'est un vin pétillant le Prosecco qui tire remarquablement bien son épingle du jeu. Une success story fragilisée aujourd'hui par les incertitudes sur le commerce mondial. Reportage en Vénétie sur les terres du Prosecco d'Olivier Favier. Les leçons des attentats du 7 juillet 2005 à Londres C'était il y a tout juste 20 ans. À Londres, une série d'attentats islamistes dans le métro et un bus, faisait 52 morts et plus de 750 blessés. Le plus grand attentat commis au Royaume-Uni en dehors du terrorisme de l'Ira. Aujourd'hui, la menace terroriste est elle encore plus forte ? À Londres, Marie Billon.
Dans cet épisode de Balades en France, William Lémergie vous emmène explorer trois lieux emblématiques, chacun marqué par une histoire unique et un charme particulier.Premier arrêt : les Jardins Secrets de Vaud, en Haute-Savoie.Mélina Nieto, petite-fille des créateurs, nous ouvre les portes de ce jardin hors du commun, véritable oasis mêlant inspirations orientales et occidentales. On y découvre des fleurs rares, des plantes étonnantes, et de petits palais nichés dans la verdure — le fruit du travail passionné d'une famille investie.Deuxième étape : la verrerie de Biot, dans les Alpes-Maritimes.Considérée comme le berceau du verre soufflé, cette verrerie emblématique nous dévoile les secrets du verre "bulé", une spécialité locale. Avec Anne Lechaczynski, directrice de l'entreprise, on suit tout le processus de fabrication, du four à la pièce finale, dans un lieu chargé d'histoire.Dernière halte : la maison de Jules Verne, à Amiens.Pierre Stépanoff, directeur des musées d'Amiens, nous raconte la vie fascinante de cet écrivain visionnaire. Dans cette demeure, où l'on retrouve manuscrits, objets personnels et mobilier d'époque, c'est tout un pan de l'histoire littéraire qui prend vie.Au fil de cette balade, laissez-vous surprendre par la richesse du patrimoine français, entre créativité, savoir-faire artisanal et héritage culturel. Une immersion captivante à ne pas manquer !Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet ouvrage de synthèse, efficace dans la méthode et convaincant dans la démonstration, fait état d'un « tournant matériel » (material turn) qui s'est produit dans les années 1980-1990 presque simultanément en Europe et aux États-Unis en tenant compte de la prise permanente qu'exercent les humains sur le monde matériel et réciproquement.Il a popularisé l'expression de culture matérielle. Sous les effets croisés des questions féministes, écologiques et technologiques, il a rebondi vers les années 2010 en développant de nouvelles thématiques. Céline Rossellin-Bareille et Jean-Pierre Warnier – anthropologues – ont activement participé à ce mouvement au sein du groupe de recherche « Matière à Penser » (MàP).Leur approche consiste à conjoindre le corps, les objets et les environnements que de nombreux chercheurs dissocient trop souvent les uns des autres. Notre prise sur la culture matérielle se fait par des conduites qui impliquent inséparablement sensori-motricité, cognition et affects aux puissants effets de subjectivation.Cet ouvrage, à jour de l'abondante littérature internationale disponible tout en s'en démarquant, prend le relai d'une publication de 1999 (Construire la culture matérielle) et renouvelle les résultats de plus de 30 années de réflexion.Céline Rosselin-Bareille est professeure à l'Université Picardie Jules Verne et membre de l'UR 4287 Habiter le Monde. Avec Marie-Pierre Julien, elle a publié : La Culture Matérielle, Paris, La Découverte, coll. Repères, 2005 ; Le sujet contre les objets… tout contre. Ethnographies de cultures matérielles, Paris, CTHS, 2009.Jean-Pierre Warnier (Ph.D., Univ. of Penn, Docteur ès Lettres) a mené l'essentiel de ses recherches en Afrique où il a été sensibilisé aux cultures matérielles et sensori-motrices en tant que microtechnologies du pouvoir. Dernières publications : Régner au Cameroun. Le Roi-Pot, Paris, CERI-Karthala, 2009 ; et Dix ans de bonheur. Un couple bourgeois à l'Age des extrêmes, Paris, CERI-Karthala, 2023.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Entre ! Geek est un podcast de la galaxie savoureuse Galaxie Pop, rejoignez nous sur discordVous pouvez retrouver toutes nos productions à cette adresse https://linktr.ee/galaxiepop !Envie de nous laisser un petit mot audio sur cette épisode : vous pouvez le faire à cette adresse ou directement pour le démontage de rotule Oui il y a beaucoup de bruits parasites
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière émission de la saison 2024-2025, sans invité·e, mais en équipe quasi-complète pour vous faire des recommandations d'activités pendant l'été ! Émission diffusée le 5 juillet 2025 sur Radio Campus Paris. Au programme :– La chronique de Tizona qui tente de dédiaboliser le jeu mobile, voire même de lui rendre ses lettres de noblesses !– La recommandation estivale de Marion.– La recommandation estivale de Calypso.– 1ère pause musicale : Legacy of the Fremen composé par Knut Avenstroup Haugen pour l'OST de Dune: Awakening.– La chronique de Quineapple qui a tendu son micro aux acheteur·euses day one de la Switch 2.– La recommandation estivale de Léa.– La recommandation estivale de Lazare.– 2ème pause musicale : Schala's Theme composé par Mitsuda Yasunori pour l'OST de Chrono Trigger.– La chronique de Léa dans laquelle elle invoque le trope ultime de la narration : le monomythe.– La recommandation estivale de Ache.– La recommandation estivale de Tizona.– 3ème pause musicale : Lake composé par sunnydaze pour l'OST de "Rusted Moss".– La chronique de Marion avec laquelle elle termine la saison sur une note joyeuse grâce à The Plucky Squire du studio All Possible Futures.– Le blindtest sur "Les jeux de construction" par Lazare– Musique de clôture : Different Sun composé par Amos Roddy pour l'OST de Citizen Sleeper 2: Starward Vector. Casting :– Ache, chroniqueuse– Anna Rivière, chroniqueuse– Calypso Meszaros, chroniqueuse– Lazare Jolly, réalisateur, monteur et responsable technique– Léa Talbot, chroniqueuse– Marion Haza, chroniqueuse– Mehdi Magueur, chargé des entretiens avec l'invité·e– Quineapple, chroniqueuse– Tizona, chroniqueuse– Vincent Boutin, programmateur musical Production : Pixel Up! en partenariat avec Radio Campus Paris.
Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La Table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez. Cette semaine, Laurent Mariotte est entouré d'Yves Camdeborde, le chef bistronome de la bande et d'Olivier Poels, l'expert en bonnes bouteilles et rédacteur en chef adjoint de la Revue du Vin de France. Quel est votre goût de la semaine ? C'est la question rituelle posée par Laurent Mariotte. Ça peut être une saveur qui a marqué gustativement leur semaine, un restaurant qui leur a tapé dans l'œil, un plat qu'ils ont cuisiné ou qu'on leur a concocté. L'occasion de découvrir de nouveaux goûts ou de nouvelles adresses, des coups de cœur mais aussi, pour eux, de passer des coups de gueule. Laurent Mariotte revient sur le goût de la griotte, cette cerise aigrelette qu'il a cueillie dans son jardin dans les Vosges. Il en fait des confitures et des bocaux. Olivier Poels évoque l'immortelle, aussi appelée plante au curry. Si à l'origine, sa fleur était destinée à l'agrément des jardins, les chefs et les connaisseurs l'utilisent dans leur plat grâce aux notes épicées qu'elles renferment. Yves Camdeborde nous conseille le restaurant le Domaine Les Terres Promises, à La Roquebrussanne (Var) pour son panorama et pour sa cuisine menée par Paul-Jean Lapaque, passé par de grandes maisons étoilées. L'addition n'excède pas plus de 40 euros pour entrée, plat et dessert. Cette semaine, Laurent Mariotte et sa bande racontent des salades et pas n'importe lesquelles : celles qui ont marqué notre histoire culinaire, à commencer par la célèbre salade César qui date de 1924, première fois servie à Tijuana au Mexique. C'est Cesar Cardini, un restaurateur italo-américain installé dans cette ville mexicaine qui aurait l'idée de cette salade improvisée lorsqu'il a vu arriver une vague de clients américains le jour de la fête nationale (le 4 juillet). Autre salade qui a marqué la gastronomie, c'est celle de Michel Guérard. Créée en 1968 par le chef étoilé alors propriétaire du restaurant Le Pot-au-Feu à Asnières, cette salade composée agite la sphère de la haute-cuisine en associant le foie gras et la truffe, au contact même de la vinaigrette, ce qui crée un léger scandale à l'époque : « J'ai osé mélanger le foie gras et le vinaigre, se souvient-il en riant, et cela a provoqué des cris d'otarie au sein de la vieille garde” confiera-t-il au Monde quelques années plus tard.” Dernière salade, souvent galvaudée au grand dam des Niçois, c'est la fameuse salade niçoise. Elle prend ses origines dans la cuisine populaire des habitants de la côte d'Azur car elle mêle essentiellement des légumes qui poussent aisément dans les potagers. Son histoire remonte au XIXème siècle, lorsque les pêcheurs locaux et les paysans commençaient à composer ce plat avec les produits frais qu'ils avaient sous la main. Elle a été ensuite codifiée si bien que la ville de Nice en a rédigée la recette officielle. Après l'histoire, place à la pratique : quelle est la recette de la vinaigrette classique ? Par quoi je peux remplacer le vinaigre de vin ? Comment faire de la salade un repas complet avec différentes textures en bouche ? Laurent Mariotte, Yves Camdeborde et Olivier Poels font le tour de la salade pour vous donner des idées et varier les plaisirs en été. Comme dans chaque épisode, l'équipe de la table des bons vivants continue de jouer avec vous. Laurent Mariotte vous fait écouter un son en rapport avec la cuisine… à vous de le découvrir. Pour jouer avec nous, envoyez un SMS avec le mot “CUISINE” au 7 39 21 (3 x 0.75 € + coût du SMS). Comme chaque semaine, Laurent Mariotte reçoit un invité. Cette semaine, c'est la journaliste culinaire Emmanuelle Jary. Connue pour ses vidéos de visite de restaurant, elle dirige la revue C'est meilleur quand c'est bon depuis deux ans. Elle est des nôtres pour présenter son nouveau hors-série consacré au Tour de France. Le plat du jour est signé Clément Richevaux, chef à la tête du restaurant la Chtite Brigitte situé dans la rue des bouchers à Lille. A l'occasion du Tour du France qui démarre à Lille, le chef nous présente trois recettes typiques du Nord, à déguster à l'apéro ou en buffet froid : rollmops, langue Lucullus et un fromage frais maison agrémenté de betteraves, de chicorée et de framboises. Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la journaliste Emmanuelle Jary. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle dévoile en partie son adresse secrète. Le goût de la griotte, une table dans le Var et une plante aux parfums de curry Des produits de saison et des conseils, Laurent Mariotte et ses bons vivants sont là pour la septième saison de La Table des Bons vivants ! Une émission pour vous aider à bien manger et comprendre ce que vous mangez. Cette semaine, Laurent Mariotte est entouré d'Yves Camdeborde, le chef bistronome de la bande et d'Olivier Poels, l'expert en bonnes bouteilles et rédacteur en chef adjoint de la Revue du Vin de France. Quel est votre goût de la semaine ? C'est la question rituelle posée par Laurent Mariotte. Ça peut être une saveur qui a marqué gustativement leur semaine, un restaurant qui leur a tapé dans l'œil, un plat qu'ils ont cuisiné ou qu'on leur a concocté. L'occasion de découvrir de nouveaux goûts ou de nouvelles adresses, des coups de cœur mais aussi, pour eux, de passer des coups de gueule. Laurent Mariotte revient sur le goût de la griotte, cette cerise aigrelette qu'il a cueillie dans son jardin dans les Vosges. Il en fait des confitures et des bocaux. Olivier Poels évoque l'immortelle, aussi appelée plante au curry. Si à l'origine, sa fleur était destinée à l'agrément des jardins, les chefs et les connaisseurs l'utilisent dans leur plat grâce aux notes épicées qu'elles renferment. Yves Camdeborde nous conseille le restaurant le Domaine Les Terres Promises, à La Roquebrussanne (Var) pour son panorama et pour sa cuisine menée par Paul-Jean Lapaque, passé par de grandes maisons étoilées. L'addition n'excède pas plus de 40 euros pour entrée, plat et dessert. Les Bons Vivants racontent leurs meilleures salades Cette semaine, Laurent Mariotte et sa bande racontent des salades et pas n'importe lesquelles : celles qui ont marqué notre histoire culinaire, à commencer par la célèbre salade César qui date de 1924, première fois servie à Tijuana au Mexique. C'est Cesar Cardini, un restaurateur italo-américain installé dans cette ville mexicaine qui aurait l'idée de cette salade improvisée lorsqu'il a vu arriver une vague de clients américains le jour de la fête nationale (le 4 juillet). Autre salade qui a marqué la gastronomie, c'est celle de Michel Guérard. Créée en 1968 par le chef étoilé alors propriétaire du restaurant Le Pot-au-Feu à Asnières, cette salade composée agite la sphère de la haute-cuisine en associant le foie gras et la truffe, au contact même de la vinaigrette, ce qui crée un léger scandale à l'époque : « J'ai osé mélanger le foie gras et le vinaigre, se souvient-il en riant, et cela a provoqué des cris d'otarie au sein de la vieille garde” confiera-t-il au Monde quelques années plus tard.” Dernière salade, souvent galvaudée au grand dam des Niçois, c'est la fameuse salade niçoise. Elle prend ses origines dans la cuisine populaire des habitants de la côte d'Azur car elle mêle essentiellement des légumes qui poussent aisément dans les potagers. Son histoire remonte au XIXème siècle, lorsque les pêcheurs locaux et les paysans commençaient à composer ce plat avec les produits frais qu'ils avaient sous la main. Elle a été ensuite codifiée si bien que la ville de Nice en a rédigée la recette officielle. Après l'histoire, place à la pratique : quelle est la recette de la vinaigrette classique ? Par quoi je peux remplacer le vinaigre de vin ? Comment faire de la salade un repas complet avec différentes textures en bouche ? Laurent Mariotte, Yves Camdeborde et Olivier Poels font le tour de la salade pour vous donner des idées et varier les plaisirs en été. Le buffet froid lillois de Clément Richevaux Le plat du jour est signé Clément Richevaux, chef à la tête du restaurant la Chtite Brigitte situé dans la rue des bouchers à Lille. A l'occasion du Tour du France qui démarre à Lille, le chef nous présente trois recettes typiques du Nord, à déguster à l'apéro ou en buffet froid : rollmops, langue lucullus et un fromage frais maison agrémenté de betteraves, de chicorée et de framboises. Emmanuelle Jary dévoile (à moitié) son adresse secrète Laurent Mariotte, comme chaque semaine, passe l'invité sur le grill des Bons vivants. Cette semaine, c'est la journaliste Emmanuelle Jary. Quel est le goût de votre enfance ? Quels sont les ingrédients que vous avez toujours dans votre frigo ? Ce sont quelques-unes des questions qui sont posées. Elle dévoile en partie son adresse secrète. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C'est à la Une du Washington Post : « Le Hamas accepte un cessez-le-feu à Gaza, et demande des garanties américaines sur les pourparlers pour mettre fin à la guerre ». En Israël, le Jerusalem Post précise que le cabinet de sécurité israélien se réunira ce soir. De son côté, Haaretz a obtenu une copie du projet d'accord : il prévoit que « Donald Trump s'engage à poursuivre les négociations jusqu'à un accord final et garantira le respect du cessez-le-feu par Israël ». L'accord prévoit aussi une libération des otages israéliens selon un calendrier précis : huit otages vivants seraient libérés le premier jour de la trêve, et les deux autres le 50ᵉ jour. S'ensuit un décompte macabre : cinq corps seraient restitués le 7ᵉ jour du cessez-le-feu, cinq le 30ᵉ jour et les huit autres le 60ᵉ jour. L'accord prévoit également que « l'aide humanitaire à Gaza reprendra immédiatement après que le Hamas aura accepté le cessez-le-feu, qu'elle sera importante et livrée en quantité suffisante, conformément à l'accord de cessez-le-feu précédent signé le 19 janvier » … Dernière précision fournie par Haaretz et elle a son importance : « Le président Donald Trump devrait annoncer personnellement le cessez-le-feu ». Un chiffre qui interroge À lire également dans la presse internationale ce matin : un article sur les demandes d'asile en Allemagne. Un article du journal die Welt, qui annonce « une chute spectaculaire du nombre de demandeurs d'asile en Allemagne ». « Pour la première fois depuis des années, l'Allemagne n'est plus le pays d'Europe qui compte le plus de demandeurs d'asile ». « Un rapport confidentiel de la Commission européenne, fait état d'une forte baisse des demandes », explique le quotidien allemand. Ainsi, « entre le 1er janvier et le 30 juin, le nombre de demandes d'asile a chuté de 43 % par rapport à l'année dernière ». Et l'Allemagne n'est pas un cas unique. Le nombre de demandeurs d'asile a « globalement diminué », mais dans de moindres proportions, dans les pays de l'UE, ainsi qu'en Norvège et en Suisse. Comment cela s'explique-t-il ? Cela s'explique, selon Lena Düpont, experte en migration, interrogée par die Welt, « par les accords conclus avec d'importants pays d'Afrique du Nord, comme la Tunisie et l'Égypte, qui en échange de programmes d'aide, dont certains se chiffrent en milliards », ont accru la surveillance à leurs frontières. Cela ne va pas sans écueil. Comme avec la Libye, notamment. Elle aussi a conclu un accord de partenariat avec l'Union européenne, mais tangue sous l'effet de la guerre civile. De nombreux migrants ou réfugiés (ils seraient actuellement 90 000 en Libye) tentent de fuir le pays. Jouer des coudes Enfin, le coup d'envoi aujourd'hui du Tour de France cycliste… Le Tour de France, une affaire d'hommes, qu'ils soient coureurs ou commentateurs. Mais des femmes parviennent tout de même à se faire une place. C'est le cas de Marion Rousse, ancienne coureuse devenue commentatrice pour France Télévision, mais aussi directrice du Tour de France femmes. La Croix s'est intéressée à son parcours, celui « d'une femme qui, à 33 ans, incarne la féminisation d'un milieu longtemps exclusivement masculin ». Interrogée, Marion Rousse explique pourquoi elle a arrêté sa carrière à seulement 24 ans. Parce qu'à l'époque, « il n'y avait que deux ou trois filles qui étaient rémunérées, et c'étaient toujours les mêmes qui gagnaient les courses ». La Croix lui demande alors « si elle a des regrets de ne pas avoir pu vivre du cyclisme ». « Au contraire », répond Marion Rousse, « je suis très fière d'apporter ma pierre à l'édifice pour que, justement, les cyclistes actuelles n'aient pas à vivre ce que j'ai vécu ». Alors qu'elle, a dû « jouer des coudes ». « J'ai toujours évolué dans ce milieu d'hommes qui est celui du vélo », poursuit Marion Rousse. « Mais j'ai toujours eu la force de caractère de ne pas me laisser faire. Oui, je suis une femme et alors ? Je sais aussi parler de vélo »… Et elle conclut : « je vois quand même une vraie évolution, il y a de plus en plus de journalistes femmes dans le sport, et la parole s'est libérée ».
durée : 00:06:32 - Sur la route avec - Reportage à Bordeaux sur les bords de la Garonne pour la répétition hebdomadaire de la fanfare sauvage. Dernière étape du tour de piste hexagonal de Giv Anquetil avec une fanfare militante. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
REDIFF - Jack Unterweger, célèbre écrivain, journaliste et exemple de réhabilitation après 15 ans de prison, a dupé tout le monde, tuant 11 femmes après sa sortie de prison. Astrid Wagner, avocate à Vienne en Autriche, est la dernière femme a avoir vécu avec elle. Elle raconte leur histoire. Dans ce podcast inédit, découvrez un supplément de l'émission de "L'heure du crime". Questions oubliées, ou qui n'ont pas pu être posées à l'antenne, Justine Vignaux reste en studio avec l'invité(e) de Jean-Alphonse Richard, pour en savoir plus sur l'affaire du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Auditeurs du soir : ANNE : 22H49/23H41 Anne s'interroge sur le mode de vie des gens qui se coupent de leurs proches CLAUDE : 23H41/00H25 Ex-pensionnaire violenté d'un orphelinat type Betharram, Claude est révolté par la justice de ces affaires. ANTOINE : 00H29/00H44 Habitué de l'émission, Antoine salue une dernière fois Olivier! CAROLINE : 00H48/01H00 La belle mère méchante de Caroline va hérité de l'intégralité du leg de son défunt père. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En France, on valorise le confort et la stabilité. Mais est-ce vraiment ce qu'on veut ? Dans cet épisode, on parle de travail, de reconversion et de ce moment où l'on se demande : suis-je aligné·e avec ce que je fais ? Entre désirs profonds, peurs du vide et poids du regard des autres, on explore ce qui nous empêche parfois de changer… et ce qui pourrait, peut-être, nous rendre plus vivants. Interactive Transcript and Vocab Helper Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership Open the Interactive Transcript (https://play.easyfrench.fm/episodes/df71aon3hyh9r9eq4jlaw) Download transcript as HTML (https://www.dropbox.com/scl/fi/df71aon3hyh9r9eq4jlaw/easyfrenchpodcast151_transcript.html?rlkey=cf8bdglgbu5k8itifdky1pmg9&st=csuycx47&dl=1) Download transcript as PDF (https://www.dropbox.com/scl/fi/hljtrol4h97vaq5e67m1p/easyfrenchpodcast151_transcript.pdf?rlkey=wgnwscpcbrgmeyhs62mbehimc&st=9xk1zye0&dl=1) Download vocab as text file (https://www.dropbox.com/scl/fi/r5aeftdosuiua9ozk4ksb/easyfrenchpodcast151_vocab.txt?rlkey=2orc7w5h4wdx7h1xy16h9mj74&st=jrsfgeuh&dl=1) Download vocab as text file with semicolons (https://www.dropbox.com/scl/fi/579320tyztmffqqlwz7at/easyfrenchpodcast151_vocab-semicolon.txt?rlkey=ugbdliligtcktg2ceqldkw1fz&st=9gtv725y&dl=1) (for flashcard apps) Subscribe using your private RSS feed to see the transcript and vocabulary helper right in your podcast app while you listen. Show Notes D'après une histoire vraie (https://www.amazon.fr/Dapr%C3%A8s-histoire-vraie-Delphine-Vigan/dp/2253068632/ref=asc_df_2253068632/?tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=701435855454&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=6279751800155859311&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=c&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=9056136&hvtargid=pla-565556881438&psc=1&mcid=e13b3819c7be34599df824aa3419d2e1&tag=googshopfr-21&linkCode=df0&hvadid=701435855454&hvpos=&hvnetw=g&hvrand=6279751800155859311&hvpone=&hvptwo=&hvqmt=&hvdev=c&hvdvcmdl=&hvlocint=&hvlocphy=9056136&hvtargid=pla-565556881438&psc=1&hvocijid=6279751800155859311-2253068632-&hvexpln=0) de Delphine de Vigan Petit Pays (https://www.amazon.fr/Petit-Pays-Ga%C3%ABl-Faye/dp/2253070440/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=12NK859J8FMJP&dib=eyJ2IjoiMSJ9.MAg2M3tnoXSn383kMcO7-Gl5DvCltw_Trkkf4RSAOoKfGm_lJf58Zakqfly8s4BMi2JDs-tVDIKmRvFO_zODVrTbhyPfkQVZ8hDY5QsLN8S0SNXuPjmjV8CO0sdYwRyP8kpvnTHUsBmLVdBLjf96nTiIvsmSXPN9pRAqjjPFEkXIcpertiPyvK_tKs4nUjWGC1HKKhgCVtXADhD4PM76NhtDBmMhQX6-EfS_01S4LPc.i3DWCPy5VbBlpI_-dmMBGIcwmJ2wUI02Y6THsq_LOXQ&dib_tag=se&keywords=petit+pays&qid=1751444500&s=books&sprefix=petit+pays%2Cstripbooks%2C164&sr=1-1) de Gaël Faye Transcript Judith: [0:17] Bonjour Hélène. Hélène: [0:19] Salut Judith, salut tout le monde. Judith: [0:22] Comment ça va aujourd'hui ? Hélène: [0:23] Ça va bien et toi ? Judith: [0:25] Ça va, ça va. Aujourd'hui, j'aimerais qu'on rentre directement dans le vif du sujet qui m'a été inspirée par le message que l'on a reçu de la part de Francesco. Hélène: [0:37] Alors, on va commencer par écouter ce message. Francesco: [0:40] Salut Hélène, salut Judith. Tout d'abord, merci pour votre travail. Cela m'a beaucoup aidé à progresser en français. Ensuite, je voudrais partager mon avis sur votre récent podcast sur l'échec que j'ai trouvé très intéressant. Dernièrement, je me suis rendu compte à quel point les idées reçues des autres peuvent fausser notre regard sur les mots et sur nous-mêmes. Je suis au chômage depuis deux ans et quand j'ai perdu mon travail, tout le monde a exprimé une sorte de deuil pour moi, parce qu'il était bien renuméré, avec beaucoup de bonus, etc. Et ça me fait un peu réfléchir à quel point les gens sont apparemment obsédés par l'argent, par la stabilité économique. Pourtant, la plupart poursuivent des valeurs qui ne sont pas vraiment les leurs, comme acheter une maison, avoir un bon travail, etc. Et évidemment, c'est possible que, quand on échoue, on devrait d'abord réfléchir si c'était vraiment un échec ou juste une tentative de se découvrir soi-même et de chercher ce qu'on veut vraiment de la vie. A priori, de ce que les gens vont chercher habituellement. Merci pour votre attention. Hélène: [2:02] Merci pour ce message, Francesco. Très sage, je pense. On voit que tu as pris beaucoup de recul sur ce qui t'est arrivé. Et c'est vrai que ça pose une question un peu taboue, un peu difficile à explorer parce que ça remet beaucoup de choses en question. Et donc, je suis très contente que ce message t'ait donné l'idée qu'on parle de ça aujourd'hui. Judith: [2:26] Eh bien, du coup, c'est parti. Et encore merci Francesco pour ton message. Support Easy French and get interactive transcripts, live vocabulary and bonus content for all our episodes: easyfrench.fm/membership
Vous pensiez partir l'esprit tranquille et à la dernière minute, le propriétaire ou l'agence annule votre location. Quels recours existent-ils pour vous ? Et comment éviter que cela ne gâche totalement vos vacances ? Réponses dans ce podcast, avec Maître Emma Leoty. Chaque samedi, retrouvez un nouveau podcast de la "Règle d'or", présentée par l'une des avocates de l'émission "Ça peut vous arriver".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière de la saison pour Ultranöuk derrière les platines du studio qui, cette fois-ci, en solo pour un set bien musclé ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dernière soirée Planète Rap de Djadja & Dinaz ! Avec une grosse session live...
Assurances, conso, nouvelles technologies… "On en parle" vous oriente dans tout ce qui fait votre quotidien. Au programme aujourd'hui: 1. Nestlé Waters condamné pour "tromperie" 2. 450 kilos sur un vélo? Nouvelles règles pour nouveaux modes de transport 3. Réaliser des menus bon marché 4. Guichet: vacances à l'arrache? Les bons plans pour l'été
durée : 00:02:06 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Nicolas Demorand partage une histoire lue dans la revue The Atlantic : le portrait d'un homme qui n'a pas (et n'a jamais eu) de smartphone. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Gims, Dadju, Tayc... Depuis deux ans, Madagascar voit défiler de plus en plus de figures de la scène R'n'B et du rap. Derrière cette tendance, il y a la volonté d'une poignée d'acteurs de créer un écosystème économique et culturel, capable d'appuyer ce genre d'événements. Dernière illustration en date avec le concert de Tiakola. Le chanteur français, réputé pour son rap mélodieux, a réuni ce mois-ci 4 800 personnes dans la capitale malgache, Antananarivo. « Tiakola Tiakola Tiakola ! ». Il est 19h30 au Palais des Sports et la foule est en liesse. Devant deux écrans géants, Tiakola établit la première connexion avec son public malgache sur l'un de ses classiques, Si J'Savais. En coulisse, depuis plusieurs mois, un natif de Madagascar œuvre à la venue du rappeur sur l'île. Et Nasser Goulamhoussen a de quoi convaincre : son agence Nas Prod est réputée pour l'organisation des concerts d'Aya Nakamura, Dadju ou encore Gims en Afrique. « Il s'agit vraiment de participer à ce tournant économique que prend Madagascar, explique Sonia Ali-Ahmed, directrice de production au sein de la société. En participant à l'attractivité du pays par le biais de l'offre culturelle. La décision de prendre ce tournant, en termes de production, est partie d'un constat simple : il y avait beaucoup de manquements. Donc, on s'est dit : ''Pourquoi pas nous ?'' On a la compétence, on sait le faire, on le fait déjà dans d'autres pays. » « De plus en plus qualitatif » Tiakola poursuit un show millimétré que rien ne peut venir perturber. Pas même les délestages en cours au même moment dans la capitale. Depuis cinq ans, des progrès logistiques et techniques ont permis de maîtriser les défis locaux. « Ce qui est proposé devient de plus en qualitatif, observe Tojo Rabe, coordinateur général de KP Event, agence d'événementiel malgache et co-organisatrice de l'événement. C'est ce que nous, on aspire à faire en faisant des sets et de la cinématographie autour des concerts. Avant, par exemple, il y avait très peu d'écrans pendant les concerts. Maintenant, les artistes passent, les autres voient, et je pense que ça inspire. Ce sera beaucoup plus facile de capter de nouveaux artistes. On est vraiment optimiste. » Améliorer l'accueil des artistes Après avoir orchestré main dans la main le concert de Tayc et Dadju en 2024, et celui de Tiakola cette année, Nas Prod et KP Event entendent unir leurs forces sur d'autres productions. D'un côté, l'expertise et le réseau à l'international, de l'autre, la maîtrise de la réalité locale. « Tout ce qui manque à Madagascar pour commencer à être comme l'Afrique du Sud, la Côte d'Ivoire ou encore le Sénégal, c'est encore plus d'événements avec des standards dans l'accueil et le traitement des artistes, juge Eliott Randriamandriato, confondateur de Hype Mada, un collectif qui soutient la culture urbaine à Madagascar. La scène des concerts doit encore gagner en professionnalisation. Et je pense qu'on a beaucoup à apprendre de l'extérieur. Il faut être capable de les loger et de les emmener au concert dans de bonnes conditions, faire en sorte que ça commence à l'heure. Je pense que si on prend ces standards et qu'on met en avant le local ici, ça explose. » Le futur de la scène musicale sur l'île dépendra aussi du pouvoir d'achat de la population. Pour la majeure partie d'entre elle, aujourd'hui, assister à un concert national est déjà un luxe. À lire aussiÀ Madagascar, le concert de Tiakola met en lumière une scène locale en mal de visibilité
durée : 00:02:44 - C'est mon boulot - La revue "Travail et emploi", financée par le ministère du Travail, lance un appel à contributions. Elle invite les chercheurs en sciences sociales français et européens à scruter les évolutions récentes du rapport au travail. Car si l'on entend beaucoup parler de reconversions, de refus de CDI, de désengagement ou d'aspirations nouvelles, il manque des études objectives pour mesurer finement ces phénomènes. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce matin, on vous demande la dernière blague faîte entre collègues. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière soirée Planète Rap de Attaching Boy ! Avec une session live incroyable...
Dernière partie du road trip : les Bestjobers terminent leur boucle dans les Rocheuses entre grands lacs, cascades vertigineuses et rencontres inattendues.Une tétée sur les hauteurs du lac LouiseAccès réglementé au lac Moraine et ses eaux turquoiseLes chutes Takakkaw dans le parc YohoUn ours noir croisé à BanffCanmore pour finir en douceur, loin de la foule
Rubrique:nouvelles Auteur: jacques-futrelle Lecture: Christiane-JehanneDurée: 49min Fichier: 45 Mo Résumé du livre audio: Dernière nouvelle du Recueil Le Gong mystérieux, Cet enregistrement est mis à disposition sous un contrat Creative Commons.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le sujet fort de l'actualité foot du jour vu par Jérôme Rothen et la Dream Team.
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« Son remplacement était en cours depuis des mois. Il est désormais officiellement finalisé, pointe Le Monde Afrique. Vendredi dernier, le groupe russe Wagner a annoncé sur sa principale chaîne Telegram son "retour chez lui" après avoir "accompli" sa mission au Mali, où ses mercenaires étaient présents depuis décembre 2021. Ce départ ne signifie pas la fin de la présence russe dans le pays pour autant : elle est dorénavant incarnée par Africa Corps, le dispositif mis en place par le ministère de la Défense russe pour gérer ses intérêts en Afrique depuis la mort, en août 2023, de l'influent Evgueni Prigojine, fondateur de Wagner, qui avait osé défier le pouvoir de Vladimir Poutine deux mois plus tôt. »Mission accomplie…Alors « mission accomplie », claironne Wagner… « Ce succès affiché est pourtant très relatif, relève Le Monde Afrique. Trois ans et demi après l'arrivée au Mali des mercenaires russes – qui ont pu être jusqu'à 2 500 –, de larges pans du territoire restent sous contrôle des groupes djihadistes. Ces dernières semaines, le GSIM, affilié à al-Qaïda, est à l'offensive et a infligé d'importantes défaites à l'armée malienne, notamment à Boulikessi, dans le centre du pays, où il a revendiqué avoir tué au moins une centaine de militaires le 1er juin. S'il a remporté une victoire symbolique en reprenant Kidal, fief des rebelles touaregs, dans le nord du Mali, en novembre 2023, Wagner a aussi essuyé huit mois plus tard une de ses pires défaites dans la zone voisine de Tin Zaouatine, où au moins 84 de ses hommes ont été tués, selon les rebelles. Les "musiciens", ainsi que les hommes de Wagner se surnomment, se sont aussi illustrés par leurs nombreux massacres de civils, à commencer par celui de Moura, dans le centre du pays, où au moins 500 personnes ont été tuées fin mars 2022, d'après un bilan établi par les Nations unies. »Dans la presse malienne, le départ de Wagner n'est pas commenté. Les opérations menées par les mercenaires russes étaient passées sous silence la plupart du temps. La part belle revenant aux Fama, aux Forces armées maliennes, au fil des déclarations de l'état-major, reprises scrupuleusement par les médias locaux. Dernière information en date délivrée par l'armée malienne : le démantèlement par bombardement aérien de cinq bases terroristes dans l'ouest du pays ce week-end. Les détails de l'opération sont à lire dans Malijet.… ou échec ?A contrario, la presse algérienne commente largement ce départ de Wagner. Et pour elle, le bilan est largement négatif.Témoin ce commentaire de Mabrouk Kahi, professeur de sciences politiques et de relations internationales à l'université de Ouargla (sud algérien), dans les colonnes d'El Khabar et dont les propos sont repris dans Le Point Afrique : « Les conditions internes au Mali montrent que Wagner a échoué dans sa mission, affirme-t-il, subissant de lourdes défaites aux côtés de l'armée malienne face aux groupes armés touaregs et même terroristes. De nombreux éléments de Wagner ont été tués ou capturés, ce qui a gravement porté atteinte à la réputation du groupe. Les conditions naturelles n'étaient pas non plus favorables au groupe russe, dont les équipements sophistiqués sont difficiles à utiliser dans des régions désertiques hostiles. À cela s'ajoute le manque d'adaptation aux terrains locaux. Toutes ces raisons ont fait du retrait une nécessité, fruit d'un échec et de l'incapacité à atteindre les objectifs fixés. »Brutalité…Interrogé par le site algérien TSA, Akram Kharief, fondateur du site Menadefense, est sur la même ligne : certes, reconnait-il, « les mercenaires de Wagner ont fait ce que personne n'a pu faire avant, c'est-à-dire ramener le calme dans la région des trois frontières et prendre plusieurs villes du nord, y compris le bastion des Azawadiens, Kidal. Mais en réalité, ils ont agi avec tellement de brutalité que la majorité des Maliens du nord aujourd'hui ont basculé dans le camp séparatiste. De plus, la situation sécuritaire ne s'est pas améliorée, Bamako est encerclée par Katiba Macina, les attaques contre les bases des Fama au nord sont quotidiennes et Wagner a échoué par deux fois à prendre Tinzaouatène. Leur bilan est donc mince. Ils quittent le Mali sans victoire. »Scepticisme…Enfin, on revient au Monde Afrique qui constate qu'à Bamako, ce passage de témoin entre Wagner et Africa Corps « suscite le scepticisme de certains militaires, qui voyaient en Wagner un instrument plus efficace, plus flexible, et dont ils connaissaient les chefs et les rouages – en plus d'en tirer de probables gains financiers. "Le Mali perd au change, estime un officier malien sous couvert d'anonymat. Entre les hommes de Wagner et ceux d'Africa Corps, ce ne sera pas le même degré d'engagement ni d'intensité. Les premiers connaissaient bien notre terrain. Les seconds seront sous la tutelle, forcément plus lourde et bureaucratique, de l'armée russe". »
"On voit bien que la France pendant des années a voulu faire des têtes bien faites, bien remplies, mais a oublié tout le reste et on voit que la santé mentale se détériore, que les enfants n'ont pas confiance en eux".Dans cet extrait, Solenne Bocquillon-Le Goaziou, fondatrice de Soft Kids et spécialiste du développement des compétences psychosociales, dresse un état des lieux sans détour du niveau de la France en matière de compétences de vie (soft skills) chez les enfants.Elle explique la notion de compétences psychosociales — la confiance en soi, la gestion des émotions ou encore la coopération — et revient sur l'importance cruciale de ces aptitudes pour s'adapter au monde de demain. Solenne met en lumière les chiffres préoccupants : la France se classe parmi les derniers pays de l'OCDE sur la confiance des enfants en leurs capacités ou encore sur la gestion de l'anxiété, révélant ainsi un manque historique d'accompagnement dans ce domaine.À travers son expertise, elle souligne pourquoi il est urgent d'agir pour intégrer pleinement ces compétences dans l'éducation et permettre à chaque enfant, sans distinction, de les cultiver dès le plus jeune âge.Dans cet épisode table ronde soutenu par Bloomdayz, nous mettrons en lumière pourquoi et comment les vacances sont le moment idéal pour développer ces compétences fondamentales, clés de la réussite et du bien-être des enfants.L'épisode intégral est à retrouver sur toutes les plateformes d'écoutes de podcast le 05/06/2025.