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C dans l'air du 7 novembre 2025 - Budget : pas de cadeaux à Noël…Aura-t-on un budget pour les fêtes de Noël ? À un mois et demi de la fin des débats sur le budget, le gouvernement s'échine à chercher des pistes pour réduire le déficit de la sécurité sociale (23 milliards d'euros). Dernière proposition polémique : diviser par deux l'enveloppe globale allouée à la prime de fin d'année pour les allocataires du Revenu de solidarité active (RSA). Pour faire simple, les 1,2 millions de bénéficiaires du RSA sans enfants ne la toucheraient plus. La mesure est loin d'être adoptée, mais le gouvernement cherche à tout prix à tailler dans les dépenses depuis l'annonce de la suspension de la réforme des retraites. Mercredi, les députés ont cette fois adopté la hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG) de 9,2 à 10,6 %. Malgré l'échec de la taxe Zucman, rejetée par l'Assemblée, la gauche continue à négocier avec la majorité.Ancien héraut des socialistes, candidat malheureux à l'élection présidentielle de 2017, Benoît Hamon commente depuis quelques mois la crise politique qui frappe la France. PDG de l'association Singa et président de la Chambre d'économie sociale et solidaire, il dénonce les coupes budgétaires pour les associations. Selon une étude menée en septembre par le mouvement associatif, 40 % des associations ont déclaré réduire leur masse salariale, et 9 % procéder à des licenciements ou à un plan de sauvegarde. "Très concrètement, on fait une économie sur le retour à l'emploi et la possibilité de travailler de dizaines de milliers de personnes déjà vulnérables", s'indigne Benoît Hamon. L'ancien socialiste dénonce également la "faute morale" consistant à s'attaquer au budget des classes populaires (via le RSA par exemple), plutôt qu'à taxer davantage les plus riches : "C'est révoltant en termes sociaux, mais c'est révoltant aussi sur le plan moral."Si les débats s'annoncent toujours houleux à l'Assemblée nationale, une bonne nouvelle est arrivée fin octobre dans les bureaux de Bercy. La croissance française atteint 0,5 % au troisième trimestre, en hausse par rapport aux deux trimestres précédents. Le ministre de l'économie Roland Lescure s'est félicité d'une "performance remarquable" : "Malgré les soubresauts politiques et les incertitudes internationales, nos entreprises investissent, exportent et font progresser le pays." Certaines ont même décidé de renationaliser leur production, à l'image de la manufacture horlogère Yema, 15 millions d'euros de chiffre d'affaires et 50 salariés, dont une trentaine en Suisse. Depuis l'annonce des droits de douane américains de 39% sur les exportations Suisse, l'entreprise a décidé de se concentrer sur le made in France. Une équipe de C dans l'air est allée à la rencontre de son patron.Qui pourrait être touché par les nouvelles taxes votées sur l'épargne salariale des Français ? Comment expliquer le mal-être du secteur associatif en France ? Et comment expliquer le regain de croissance de l'économie française ?LES EXPERTS :- Bruno Jeudy - Directeur délégué et éditorialiste - La Tribune Dimanche- Nathalie Mauret - Journaliste politique - Groupe EBRA- Benjamin Morel - Constitutionnaliste, professeur de droit public à l'Université Paris-Panthéon-Assas- Christine Kerdellant - Journaliste économique et essayiste
L’immigration clandestine au Québec pour survivre. Grosse opération policière. Premier chapitre du livre bleu. La guerre cmmerciale pourrait perdurer après Trump? Drapeau en berne aujourd’hui. Tour de table entre Isabelle Perron, Alexandre Dubé et Mario Dumont. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Ce matin, on parle de vos dernières grosses frayeurs. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Columbia, Harvard, UCLA, Brown, Stanford, MIT... Depuis son retour à la Maison Blanche, les universités américaines sont la cible de Donald Trump. Interdiction des programmes de diversité, d'équité et d'inclusion, révisions des contenus pédagogiques, censure de certains mots, fin des visas à des étudiants et chercheurs étrangers, menaces sur les avantages fiscaux, suppression ou gel des subventions... Le président américain multiplie les injonctions et mesures contre les campus qu'il accuse d'être des bastions du wokisme, où l'antisémitisme prospèrerait. Dernière tentative de s'immiscer dans la gouvernance des universités : un «pacte pour l'excellence académique» qui implique notamment de ne pas dépasser les 15% d'étudiants étrangers en échange de fonds fédéraux pour 9 universités. Dans les campus, la résistance s'organise au nom de la liberté académique. Mais cette bataille est bien culturelle pour Donald Trump qui affiche son mépris des élites universitaires. Les universités américaines sont de véritables moteurs de la croissance et de l'innovation, avec leurs missions éducatives et leurs gigantesques labos de recherche, irrigués par les talents du monde entier. Mais peuvent-elles gagner la bataille du savoir contre la croisade culturelle MAGA ? Avec : • Vincent Pons, économiste, professeur d'Économie à la Harvard Business School et cofondateur d'Explain • Laurie Bereau, maîtresse de conférence en Civilisation des États-Unis à l'Université Rennes 2. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction l'Argentine, avec notre correspondant Théo Conscience. Depuis le mois septembre, la chaîne de télévision publique pour enfants Paka paka diffuse Tuttle twins, un dessin animé importé des États-Unis qui promeut l'idéologie ultralibérale. Un nouvel outil dans l'arsenal du président Javier Milei au service de sa bataille culturelle. Programmation musicale : ► For My People - Joey Bada$$ ► Trop pressé - Apoutchou National ft. Yodé & Siro.
durée : 00:05:52 - Fictions / Théâtre et Cie - Danse encore. Jusqu'au bout. Ils entrent et personne ne comprend. Ils tirent mais danse encore, danse jusqu'à ce que ce ne soit plus possible, jusqu'à ce que la lumière s'allume, pleins feux, et rende tout laid en faisant disparaître la magie des ombres et de l'abandon.
Columbia, Harvard, UCLA, Brown, Stanford, MIT... Depuis son retour à la Maison Blanche, les universités américaines sont la cible de Donald Trump. Interdiction des programmes de diversité, d'équité et d'inclusion, révisions des contenus pédagogiques, censure de certains mots, fin des visas à des étudiants et chercheurs étrangers, menaces sur les avantages fiscaux, suppression ou gel des subventions... Le président américain multiplie les injonctions et mesures contre les campus qu'il accuse d'être des bastions du wokisme, où l'antisémitisme prospèrerait. Dernière tentative de s'immiscer dans la gouvernance des universités : un «pacte pour l'excellence académique» qui implique notamment de ne pas dépasser les 15% d'étudiants étrangers en échange de fonds fédéraux pour 9 universités. Dans les campus, la résistance s'organise au nom de la liberté académique. Mais cette bataille est bien culturelle pour Donald Trump qui affiche son mépris des élites universitaires. Les universités américaines sont de véritables moteurs de la croissance et de l'innovation, avec leurs missions éducatives et leurs gigantesques labos de recherche, irrigués par les talents du monde entier. Mais peuvent-elles gagner la bataille du savoir contre la croisade culturelle MAGA ? Avec : • Vincent Pons, économiste, professeur d'Économie à la Harvard Business School et cofondateur d'Explain • Laurie Bereau, maîtresse de conférence en Civilisation des États-Unis à l'Université Rennes 2. En première partie de l'émission, l'école autour du Monde. Direction l'Argentine, avec notre correspondant Théo Conscience. Depuis le mois septembre, la chaîne de télévision publique pour enfants Paka paka diffuse Tuttle twins, un dessin animé importé des États-Unis qui promeut l'idéologie ultralibérale. Un nouvel outil dans l'arsenal du président Javier Milei au service de sa bataille culturelle. Programmation musicale : ► For My People - Joey Bada$$ ► Trop pressé - Apoutchou National ft. Yodé & Siro.
Présenté par Théo Ribeton avec Jérôme Momcilovic, Murielle Joudet, un heckler ressemblant fortement à Guillaume Orignac, et notre invité Stratis Vouyoucas : - Nouvelle vague de Richard Linklater (à partir de 03:07)- La Petite dernière de Hafsia Herzi (à partir de 24:35)- A House of Dynamite (à partir de 47:45)Enregistré le 31 octobre 2025 à Paris
Ecoutez Laissez-vous tenter avec Sophie Aurenche du 04 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tandis que Chenit rentre de vacances et s'informe des affaires courantes, une femme attend depuis des heures d'être entendue uniquement par le commissaire. Hélène le Royer lui raconte qu'elle a très peur de Georges, son mari à qui elle refuse le divorce malgré leur séparation depuis deux ans. Le mari a fait - d'après elle - deux tentatives de meurtre envers elle. Peu de temps après, le téléphone réveille le commissaire en pleine nuit. Il y a eu un meurtre chez Hélène Le Royer, or la victime n'est pas elle... mais Georges. Légitime défense ou machination ?***Fiction radiophonique diffusée dans l'émission «Les maîtres du mystère" de Germaine Beaumont et Pierre Billard – « Dernière tentative » – Réalisation Pierre Billard – Musique originale André Popp - Première diffusion le 20/07/1964 sur la Chaîne Inter Variété de l'ORTF – Avec : Bernadette Lange, Gérard Dourmel, Charles Maitre et Henri Crémieux – Un podcast INA.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, The Cinema Show a eu le privilège de recevoir une partie de l'équipe de « Arco », réalisé par Ugo Bienvenu. Félix de Givry, co-scénariste et producteur, ainsi qu'Arnaud Toulon, compositeur du long-métrage, sont donc revenus sur le processus de création de ce merveilleux film d'animation. Outre « Arco », les débats ont porté sur : « Kaamelott : Deuxième Volet (partie 1) » d'Alexandre Astier« La Petite dernière » de Hafsia HerziÉgalement au programme : Les news de la semaineLe débrief du Cinemed 2025Le quiz de The Cinema ShowLes Recos de l'équipe
durée : 00:06:24 - L'invité d'ici Matin - Le procès de l'attentat de Romans-sur-Isère a débuté lundi 27 octobre, le verdict est attendu le 7 novembre. On en parle avec le journaliste de ICI Drôme-Ardèche, qui suit le procès depuis le premier jour. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
On a tous en nous quelque chose de Robert Doisneau. De ce baiser de l'hôtel de ville qu'une copine avait en poster dans sa chambre ou un pote dans son kot, une affiche sur un mur, une couverture de farde de cours. Cette image a fait plus que le tour du monde, c'est un vrai tube, celui qui a fait connaître le nom d'un artiste dont la destinée n'est justement pas d'être connu de tous. Tout a commencé au printemps 1950 quand le magazine américain Life demande à Doisneau un reportage photo sur l'amour à la parisienne. Car c'est bien connu, les Américains le savent, que les Français ont une façon de vivre qu'ils n'imaginent pas, qu'on ne tolérerait pas aux Etats-Unis. Les hommes et les femmes n'hésitent pas à s'embrasser dans la rue, mieux, ou pire, personne n'y prête attention. Et donc dans ce numéro de Life qui, croyez-moi, va faire grand bruit et circuler partout suscitant fantasmes et envie de voir Paris, bref qui va créer un véritable mythe, on voit donc en grand sur la page de gauche, un homme et une femme s'embrasser sur un escalier, au milieu de la foule. Ah non, ce n'est pas le fameux baiser de l'hôtel de ville. Lui, il partage la page suivante avec d'autres clichés dont celui des amants qui se bécottent sur un banc public sous le regard d'une vieille dame en noir, bien en évidence. Non, coincé entre deux photos en haut de page, et recadré, ne permettant pas de reconnaître l'hôtel de ville, ce cliché ne ressort pas du lot de toutes ces images réalisées par Doisneau et qui ont fait rêver ou choqué plus d'un Américain. Et puis on oublie tout ça dans les années 60, 70, jusqu'à ce qu'un éditeur, en 1985, demande à Robert Doisneau, les droits pour en faire un poster. Doisneau signe mais quand même, il doute que ça marche. Des milliers et des milliers de cartes postales, affiches et une foule de produits dérivés plus tard, sa fortune faite et tombée du ciel sans prévenir, Doisneau profite de cette notoriété mondiale inattendue et sur le tard, quand un couple lui intente un procès, lui reprochant d'avoir utilisé leur image. Mais devant le tribunal, c'est un Robert Doisneau bien embêté qui vient leur dire qu'ils se trompent, ce n'est pas eux qu'il a photographié 40 ans plus tôtmais deux comédiens du cours Simon auxquels il avait proposé de poser pour 500 francs de l'époque. Françoise, la modèle, vient d'ailleurs confirmer à la barre, tenant dans les mains un tirage original signé par l'artiste. Le procès remporté par Doisneau casse un peu le mythe. Mais il est bien la preuve que l'artiste avait raison de recourir à deux modèles pour illustrer le Paris romantique cher aux Américains. Il n'avait pas le droit d'exploiter l'image de deux personnes à leur insu. Et demander le consentement des gens dans la rue aurait autant brisé la spontanéité. Le fait que vous n'ayez probablement pas entendu parler de cette affaire judiciaire illustre parfaitement la totale réussite de cette image, le mouvement, l'attitude des passants impassibles qui, eux, n'étaient pas dans le coup. Dernière preuve, s'il en faut : en novembre 2015, on a vu s'afficher Place de la République en réponse aux attentats qui venaient de blesser Paris, la photo du baiser de l'hôtel de ville avec cette légende : Même pas mal !
Braine-l'Alleud : Helena triomphe aux NRJ Music Awards. Nivelles : Rupture de canalisation et effondrement d'un trottoir dans le quartier de la Maillebotte. Nivelles : L'Urban Trail de Nivelles affiche déjà complet. Dernières places à gagner sur les réseaux sociaux d'Ultrason.
durée : 00:46:43 - Le Masque et la Plume - par : Rebecca Manzoni - “La disparition de Josef Mengele” de Kirill Serebrennikov, “La Petite Dernière” de Hafsia Herzi, “L'Étranger” de François Ozon, “La Femme la plus riche du monde” de Thierry Klifa, “Springsteen : Deliver Me from Nowhere”... Quels sont les films à aller voir dans les salles obscures cette semaine ? - invités : Marie SAUVION, Christophe Bourseiller, Franck Finance-Madureira, Ava Cahen - Marie Sauvion : Journaliste, membre du Cercle (Canal +), Christophe Bourseiller : Historien, animateur et critique de cinéma, Franck Finance-Madureira : Journaliste indépendant, consultant en communication, Ava Cahen : Journaliste et critique de cinéma - réalisé par : Stéphane LE GUENNEC Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:06:24 - Le Masque et la Plume - par : Jérôme Garcin - Le dernier film d'Hafsia Herzi d'après le roman de Fatima Daas est-il "le rayon de soleil dont on a besoin en ce moment" ? Ou "un film ennuyeux et plein de clichés" ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 01:17:56 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - "Pier Paolo Pasolini, le procès interdit" est un documentaire en trois parties réalisé en 2009. Le dernier volet s'intitule "Dernières prophéties : cannibalisme, esclavage et capitalisme" avec en archive la voix de Pasolini s'exprimant sur ses films "Théorème", "Porcherie", parmi d'autres. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Pier Paolo Pasolini Cinéaste italien; Anne Wiazemsky Écrivaine et comédienne (1947-2017); Hervé Joubert-Laurencin Professeur en études cinématographiques à l'université de Paris Nanterre, codirecteur du département des arts du spectacle et de l'unité de recherches "HAR", traducteur et spécialiste de l'œuvre de Pier Paolo Pasolini; Bertrand Levergeois; René de Ceccatty Auteur, traducteur, éditeur; René Schérer; Pierre Clémenti
« De la Tyrannie en Amérique ». C'est la couverture du Nouvel Obs cette semaine. Un dossier sur les débuts du second mandat de Donald Trump, élu le 5 novembre 2024, il y a un an. Et ce titre « De la Tyrannie en Amérique » évoque la fracture du système démocratique américain ébranlée depuis le retour au pouvoir de Trump, bien loin du célèbre ouvrage d'Alexis de Tocqueville De la démocratie en Amérique, publié au XIXè siècle. Ainsi, commente le Nouvel Obs, le président américain « transforme la plus vieille démocratie du monde, en régime illibéral ». Dès janvier dernier, le Financial Times avait pu voir clair sur l'avenir du pays, le jour de l'investiture : « Le contraste entre Trump et ses prédécesseurs signale plus un changement de régime qu'un simple transfert de pouvoir ». Et depuis, les péripéties ont été nombreuses depuis le retour du Roi à la Maison Blanche, comme résume une manifestante du mouvement « No Kings » (« Pas de roi en Amérique ») avec ces quelques mots : « Louis XVI a dit "L'État, c'est moi". C'est exactement comme ça que Trump voit les choses ». Louis XVI et « La doctrine du Gangster » Le Nouvel Obs revient sur ce qu'il appelle « La doctrine du Gangster ». Ainsi, Trump « s'est servi d'Elon Musk comme d'un idiot utile, en le nommant à la tête d'un département à l'Efficacité gouvernementale pour licencier des dizaines de milliers d'employés fédéraux et fermer des agences telles que l'USAID, chargée de l'aide étrangère. Il a imposé le nationalisme chrétien blanc comme la nouvelle idéologie nationale, interdit les termes "diversité", "équité", "inclusion", (…) a attaqué ses opposants, mais amnistié ses amis, à commencer par les émeutiers du Capitole. » Que dire des droits humains et des minorités sur le sol américain ? Le président a également « asphyxié l'audiovisuel public, instrumentalisé la culture, réécrit l'histoire » Le Nouvel Obs s'intéresse aussi aux antivax au pouvoir. En fait, souligne le magazine, « Quand la réalité ne lui plaît pas, il la change. » Les États-Unis sont par ailleurs sortis de l'Accord de Paris sur le Climat et de l'Organisation mondiale de la Santé. Et ce n'est pas fini… Dernièrement, l'assassinat de Charlie Kirk, érigé en martyr national, a lancé une nouvelle phase dans la consolidation du pouvoir Trumpien. « Objectif : rendre l'opposition inopérante avant les midterms. Une vaste opération de redécoupage a été lancée (…) pour priver les démocrates de futurs sièges aux Congrès » Ainsi, « L'adversaire désigné, c'est "l'extrémisme de gauche", "les antifas", des appellations assez floues – Vous l'aurez compris – pour s'en prendre à toute l'opposition, accusée de promouvoir la violence politique responsable de la mort de Charlie Kirk. » Et ceux en travers de sa route, ont fini par se faire inculper. L'ex-directeur du FBI James Comey, la procureur générale de New York Laetitia James, son ancien conseiller à la sécurité nationale James Bolton. Reste cette question : Ira-t-il jusqu'à déclencher l'Insurrection Act autorisant le déploiement de l'armée dans le pays ? Trump a déjà envoyé la garde nationale dans les bastions démocrates : Washington, Portland, Chicago… Washington, devenu un « laboratoire de la dictature » détaille dans un nouvel article Le Nouvel Obs : Trump montre qu'il peut « soumettre une ville ayant voté à 92 % contre lui et repousser les limite du pouvoir exécutif en profitant de sa vulnérabilité » car la capitale n'est pas un État et n'a pas de représentation au Capitole, ni de contrôle sur son budget. Trump veut même rebaptiser la scène culturelle en « Trump Kennedy Center »… il en a déjà pris la présidence et a placé ses proches au conseil d'administration. Sur sa politique internationale, l'hebdomadaire souligne : « l'admirateur de Vladimir Poutine et de Xi Jinping a abandonné son rôle de rempart contre le despotisme. Au contraire, il a assis sa puissance sur le rapport de force, par le chantage aux droits de douane ou par les armes, comme en Iran. » Kim Jung-un ou « la résurrection d'un paria », sur fond de guerre en Ukraine Et justement, protégé par Moscou et Pékin, un dictateur est scruté de près par Donald Trump. Il s'est même rendu indispensable à Vladimir Poutine depuis le début de la guerre en Ukraine. Kim Jung-un ou « la résurrection d'un paria » titre l'Express, qui analyse à quel point l'invasion russe en Ukraine a été une bénédiction pour le leader nord-coréen. Lui qui était reparti les mains vides de son second sommet avec Donald Trump à Hanoï. « Dès le début du conflit en Ukraine, Kim comprend qu'il peut tirer profit de la situation. (…) Avec la Syrie, il est le seul à reconnaître les Républiques de Louhansk et Donetsk, annexées par la Russie. Manquant désespérément de devises (…) il livre jusqu'à 40 % des munitions tirées par les Russes » entre octobre 2023 et avril 2025. Ajoutez à cela plus d'une centaine de missiles pour la seule année 2025, la signature d'un traité de défense mutuelle en juin 2024, puis 10 000 soldats nord-coréens pour aider les Russes à reprendre les zones de la région ukrainienne de Koursk. Des soldats traités comme de la chair à canon. Conséquences : « Les livraisons à Moscou sont ensuite montées en gamme, grâce à l'afflux de devises russes, qui permet à Pyongyang de relancer sa production d'armes ». De quoi inquiéter les occidentaux car « Moscou pourrait en effet permettre à Kim de réaliser son rêve : développer un sous-marin lanceur d'engin à propulsion nucléaire ». Quoi qu'il en soit, c'est un immense succès diplomatique pour la Corée du Nord. Sachant que la Russie avait voté les sanctions du Conseil de Sécurité de l'ONU contre son voisin à la suite de son premier essai nucléaire en 2006. Pyongyang « mise ainsi sur la volonté de Pékin et Moscou de bousculer l'ordre mondial dominé par les États-Unis. » « Son but est de devenir une puissance nucléaire comparable à celle de la France », souligne un chercheur. Ainsi, un ex-diplomate nord-coréen qui a fait défection en 2016 analyse la stratégie de Kim Jung-un dans l'Express : « La Corée du Nord est convaincue que si elle prouve que ses armes nucléaires peuvent détruire le territoire américain, les États-Unis finiront par venir à négocier. Pyongyang pourrait alors proposer de démanteler les installations capables de cibler les États-Unis. En échange, ceux-ci retireraient leurs troupes de Corée du Sud et leurs sanctions. » La Finlande face à Poutine Moscou et Pyongyang se sont donc rapprochés à l'occasion de la guerre en Ukraine, tandis que la Finlande, elle, se prépare au pire. Au pire, c'est-à-dire à la guerre contre la Russie. Membre de l'Otan, la Finlande partage la plus longue frontière terrestre avec Moscou. Un envoyé spécial du Point raconte l'état d'esprit des Finlandais qui peuvent notamment apercevoir le paysage russe depuis leur maison. « S'ils envoient des drones, ma maison sera la première à exploser » témoigne une certaine Saara Wilhems, depuis son cottage en bois. Après avoir entendu un hélicoptère tournoyer toute une nuit, elle raconte qu'au matin, en ouvrant sa voiture, elle comprend qu'une présence étrangère rodait : le siège de sa voiture est baissé. Pour elle, c'est sûr, une personne « cherchait à se cacher ». Elle « connaît la rumeur. Cette fois, elle est convaincue que des agents russes pénètrent en Finlande par les forêts et les lacs. » La Finlande, disposerait de près d'un million de réservistes, « parmi lesquels 280 000 hommes équipés et prêts à combattre. Un record en Europe pour une nation de 5 millions et demi d'habitants ». Le service militaire connaît un certain succès. Il est obligatoire pour les hommes, volontaire pour les femmes, et un tiers de la population se dit favorable au service universel. La Finlande dispose aussi du plus vaste réseau de bunkers en Europe, de quoi accueillir 87 % de la population.
durée : 00:04:47 - Classic & Co - par : Anna Sigalevitch - Anna Sigalevitch nous parle ce matin des trois dernières sonates de Beethoven que le pianiste américain Jonathan Biss jouera au Théâtre des Champs Elysées mardi prochain, le 4 novembre. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Guillaume Meurice is back ! Après avoir été viré de France Inter, il a lancé la Dernière chez Radio Nova avec Aymeric Lompret, Juliette Arnaud et Pierre-Emmanuel Barré pour faire de l'éducation populaire à coup d'humour satirique !SOMMAIRE01:51 Questions mitraillettes06:52 De France Inter à Radio Nova10:01 La Dernière : émission d'éducation populaire11:35 Comment devenir moins cons ?15:47 Faire des câlins à l'extrême-droite21:01 La chronique de Guillaume Meurice22:50 L'équipe de la Dernière sur Nova (Aymeric Lompret, Juliette Arnaud et Pierre-Emmanuel Barré)23:48 L'humour satirique25:06 Sa BD : La contre-révolte sans précédent (avec Sandrine Deloffre)29:22 Pourquoi Meurice écrit des BD satiriques ?__Le site officiel de Soif de Sens.Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:20 - Journal de 7 h - Et la tendance se poursuit.
Voici un extrait de l'épisode de demain avec Guillaume Meurice de la Dernière sur Radio Nova !SOMMAIRE01:51 Questions mitraillettes06:52 De France Inter à Radio Nova10:01 La Dernière : émission d'éducation populaire11:35 Comment devenir moins cons ?15:47 Faire des câlins à l'extrême-droite21:01 La chronique de Guillaume Meurice22:50 L'équipe de la Dernière sur Nova (Aymeric Lompret, Juliette Arnaud et Pierre-Emmanuel Barré)23:48 L'humour satirique25:06 Sa BD : La contre-révolte sans précédent (avec Sandrine Deloffre)29:22 Pourquoi Meurice écrit des BD satiriques ?__Le site officiel de Soif de Sens.Soutenir Soif de Sens via Tipeee.__Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:05:20 - Journal de 7 h - Et la tendance se poursuit.
durée : 00:02:21 - France Inter sur le terrain - Après 60 ans d'activité, la maternité des Lilas, en Seine-Saint-Denis, ferme définitivement ses portes ce vendredi soir. Cet établissement emblématique, fondé en 1964, temple de la naissance au naturel, était en grande difficulté financière depuis plusieurs années. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 29 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout le monde me trouvait sublime, phénoménale. Je n'en revenais pas. J'étais enfin consacrée. Mais pour compenser cette joie, aberrante, il me fallait expier. Rester un corps souffrant. Ça a commencé au niveau des pieds, ils enflaient dans les chaussures. Dans « Avale », on suit deux parcours, celui de Lame, une jeune comédienne montante qui découvre aux portes du succès qu'elle est atteinte d'une mystérieuse maladie de peau, et Tom, un jeune homme désœuvré et tourmenté, obnubilé par la jeune actrice jusqu'à développer pour elle une obsession dévorante, angoissante et malsaine. Chacun, dans l'écriture, a sa langue propre. Écrit à la façon d'un polar ou d'un thriller, par moment gore, inspiré et nourri du parcours et de l'expérience personnelle de Séphora Pondi sans être pour autant de l'auto-fiction, le roman explore les thématiques du harcèlement, de la vie d'actrice et de tout ce qu'elle implique dans sa corporéité la plus brute, ainsi que la question du désir sous toutes ses déclinaisons. Invitée : Séphora Pondi, actrice franco-camerounaise. Elle grandit en banlieue parisienne dans un environnement modeste, où elle découvre très tôt le goût de la lecture et de la scène. Après une formation théâtrale à l'École départementale de théâtre de l'Essonne, elle rejoint le programme « Premier Acte » de Stanislas Nordey au théâtre de la Colline, avant d'intégrer l'École régionale d'acteurs de Cannes et Marseille (ERACM). En septembre 2021, elle devient pensionnaire de la Comédie-Française. Artiste polyvalente, elle travaille actuellement au scénario d'un long-métrage et prépare sa première mise en scène, l'adaptation de Bestioles de Lachlan Philpott. « Avale », publié en 2025 aux éditions Grasset, est son premier roman. Programmation musicale : La colère - Dernière fois ► Séphora Pondi est à l'affiche d'Hécube, pas Hécube de Tiago Rodrigues au théâtre 13E Art dans le XIIIe Arrondissement de Paris du 21 mars au 2 mai 2026.
Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 28 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tout le monde me trouvait sublime, phénoménale. Je n'en revenais pas. J'étais enfin consacrée. Mais pour compenser cette joie, aberrante, il me fallait expier. Rester un corps souffrant. Ça a commencé au niveau des pieds, ils enflaient dans les chaussures. Dans « Avale », on suit deux parcours, celui de Lame, une jeune comédienne montante qui découvre aux portes du succès qu'elle est atteinte d'une mystérieuse maladie de peau, et Tom, un jeune homme désœuvré et tourmenté, obnubilé par la jeune actrice jusqu'à développer pour elle une obsession dévorante, angoissante et malsaine. Chacun, dans l'écriture, a sa langue propre. Écrit à la façon d'un polar ou d'un thriller, par moment gore, inspiré et nourri du parcours et de l'expérience personnelle de Séphora Pondi sans être pour autant de l'auto-fiction, le roman explore les thématiques du harcèlement, de la vie d'actrice et de tout ce qu'elle implique dans sa corporéité la plus brute, ainsi que la question du désir sous toutes ses déclinaisons. Invitée : Séphora Pondi, actrice franco-camerounaise. Elle grandit en banlieue parisienne dans un environnement modeste, où elle découvre très tôt le goût de la lecture et de la scène. Après une formation théâtrale à l'École départementale de théâtre de l'Essonne, elle rejoint le programme « Premier Acte » de Stanislas Nordey au théâtre de la Colline, avant d'intégrer l'École régionale d'acteurs de Cannes et Marseille (ERACM). En septembre 2021, elle devient pensionnaire de la Comédie-Française. Artiste polyvalente, elle travaille actuellement au scénario d'un long-métrage et prépare sa première mise en scène, l'adaptation de Bestioles de Lachlan Philpott. « Avale », publié en 2025 aux éditions Grasset, est son premier roman. Programmation musicale : La colère - Dernière fois ► Séphora Pondi est à l'affiche d'Hécube, pas Hécube de Tiago Rodrigues au théâtre 13E Art dans le XIIIe Arrondissement de Paris du 21 mars au 2 mai 2026.
Dernière semaine de cette expérience de lâcher-prise, et elle n'a pas été de tout repos, ceux qui me suivent sur les réseaux sociaux le savent...Lien vers mon livre "Écrire l'humour" :https://www.amazon.fr/%C3%89crire-lhumour-Christine-Berrou/dp/B0BB65QKZX/ref=sr_1_1?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=36XRDIP3O22J7&dib=eyJ2IjoiMSJ9.2R2GKlw_dvBCBkBXTzFcBg.nLcRm3XoaX8QpXDSiXuYr6oNenVBFPCGZfOll22-kUg&dib_tag=se&keywords=%C3%A9crire+l%27humour+berrou&qid=1756745047&sprefix=%C3%A9crire+l%27humour+berrou%2Caps%2C75&sr=8-1Liens vers mon autre podcast "Le Mois de la guerrière" :Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/le-mois-de-la-guerri%C3%A8re/id1738987638Spotify : https://open.spotify.com/show/5V93IbBEOPv1W3QJ1jRHZKIMPORTANT : Il y a parfois un soucis avec Spotify, je vous informe donc que vous pouvez télécharger Apple Podcasts même si vous n'êtes pas client Apple.IMPORTANT 2 : Ce sont des abonnements payants (Avec 3 jours d'essai gratuit sur Apple Podcasts, vous pouvez donc tout écouter en 3 jours gratuitement ;) , mais si vous vous engagez au moins sur un mois, ça me permet de financer Gamberge, de ne plus payer mes techniciens occasionnels, mon matériel ou mes déplacements de ma poche
Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 27 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin dans son édito, Vincent Trémolet de Villers revient sur l'actualité politique du jour. Ce lundi, il s'intéresse aux débats autour du Budget 2026 et des nouvelles propositions des différents partis. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bim, bam, badaboum, l'équipe cinéphile de Radio Germaine revient pour vous parler des deux sorties qui nous ont le plus intéressé la semaine passée :Arco, de Ugo Bienvenu, qui nous raconte les pérégrinations du personnage éponyme propulsé en 2075La Petite dernière, d'Hafsia Herzi, qui explore le parcours d'une jeune femme musulmane et lesbienne.Présentatrice : JulietteChroniqueur.euses : Aris, Arthur, Julien et Daphné.
durée : 00:14:34 - Journal de 12h30 - Le président américain Donald Trump est en route pour sa tournée en Asie. Il doit rencontrer jeudi prochain son homologue chinois pour des dernières discussions commerciales, avant l'entrée en vigueur de droits de douane. - invités : Richard Banégas Professeur de science politique à Sciences Po et chercheur au CERI
Invités : - Jean-Michel Fauvergue, ancien chef du RAID et auteur de «Ni capitulation ni résignation, osons le courage» aux éditions Fayard. - Eliott Mamane, chroniqueur politique. - Victor Eyraud, journaliste politique à Valeurs Actuelles. - Antoine Fenech, journaliste et chroniqueur. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque samedi, dans CLAP !, Laurie Cholewa donne la parole aux critiques, qui commentent les sorties de la semaine. Les auditeurs ont également rendez-vous avec le journal des sorties, et les chiffres du box-office.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:34 - Journal de 12h30 - Le président américain Donald Trump est en route pour sa tournée en Asie. Il doit rencontrer jeudi prochain son homologue chinois pour des dernières discussions commerciales, avant l'entrée en vigueur de droits de douane. - invités : Richard Banégas Professeur de science politique à Sciences Po et chercheur au CERI
Charif Majdalani est écrivain et professeur à l'Université Saint-Joseph à Beyrouth. Il est l'auteur d'une dizaine de livres dont «Histoire de la grande maison» (Seuil, 2005), «Villa des femmes» (Seuil, prix Jean Giono 2015), «Beyrouth 2020 : Journal d'un effondrement» (Actes Sud, prix spécial du jury Femina 2020) et «Dernière Oasis» (Actes Sud, 2021). Son nouveau roman «Le nom des rois» (Stock) a été sélectionné pour le Prix Goncourt 2025. « Et d'un seul coup, le monde qui servait de décor à tout cela s'écroula. J'en avais été un témoin distrait, mais le bruit qu'il provoqua en s'effondrant me fit lever la tête et ce que je vis alors n'était plus qu'un univers de violence et de mort. C'est de celui-là que je suis devenu contemporain. J'avais été, durant des années, dispensé d'intérêt pour ce qui se passait autour de moi par ma passion des atlas, par les royautés anciennes et inutiles et par les terres lointaines et isolées, les berceaux de vieux empires oubliés. Désormais, l'histoire se faisait sous mes yeux et je la trouvais moche, roturière et vulgaire. » (Charif Majdalani) Éditions Stock. Un an après les attaques perpétrées au Liban à l'automne 2024, dix-sept auteurs, tous liés au pays, prennent la plume. Que ce soit sous forme de nouvelle, de lettre, d'article, d'illustration, de poème, de récit ou de souvenir, ils unissent leurs voix pour nous offrir un magnifique recueil collaboratif en soutien au pays du Cèdre. Préface de Céline Bentz. Au Liban, 1,9 million d'enfants et leurs familles font face à une crise humanitaire sans précédent. L'UNICEF est sur le terrain pour leur apporter eau potable, nutrition, soins de santé, éducation et soutien psychosocial. En achetant ce livre, vous contribuez directement au soutien de ces actions vitales. Aidez-les à répondre à l'urgence ! UNICEF 1 livre acheté = 500 comprimés de purification d'eau (Le Livre de Poche).
Ce mercredi 22 octobre sortait en salles LA PETITE DERNIERE, le nouveau film d'Hafsia Herzi, adapté du roman de Fatima Daas. L'histoire de Fatima, une jeune femme musulmane, qui découvre son homosexualité.Animation : Mariana AgierParticipantes : Mariana Agier, Noémie Attia, Victoria Faby, Diane LestageRéalisation, montage, son : Mariana AgierGénérique : © SorocinéMusique : Antonin Agier et Hugo CardonaHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:20 - Le Regard culturel - par : Zoé Sfez - Hafsia Herzi signe une adaptation réussie du roman de Fatima Daas. Portée par l'interprétation de Nadia Melliti, la réalisatrice évite l'écueil du "film à sujet", et plutôt qu'un simple coming-out lesbien, livre un film d'apprentissage, qui laisse à son héroïne sa part de mystère.
durée : 00:04:20 - Le Regard culturel - par : Zoé Sfez - Hafsia Herzi signe une adaptation réussie du roman de Fatima Daas. Portée par l'interprétation de Nadia Melliti, la réalisatrice évite l'écueil du "film à sujet", et plutôt qu'un simple coming-out lesbien, livre un film d'apprentissage, qui laisse à son héroïne sa part de mystère.
durée : 00:08:25 - Nouvelles têtes - par : Mathilde Serrell - Lauréate du Prix d'interprétation au Festival de Cannes pour "La petite dernière", troisième long-métrage de Hafsia Herzi, le destin de Nadia Melliti, étudiante en troisième année de STAPS, a changé, entre études et carrière naissante au cinéma. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:15:17 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Avec "La Petite dernière", Hafsia Herzi signe un récit d'émancipation à la fois pudique et incandescent. Basé sur le livre éponyme de Fatima Daas, le film retrace le parcours d'une jeune femme en quête de liberté, entre l'amour des siens et le désir de s'en affranchir. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sandra Onana Critique française de cinéma; Antoine Leiris Journaliste
durée : 00:27:23 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Aujourd'hui au menu de notre débat critique, comme tous les mercredis : du cinéma avec "La Petite dernière" de Hafsia Herzi, primé au dernier Festival de Cannes & le réalisateur russe Kirill Serebrennikov revient après son "Limonov, La Ballade" avec "La Disparition de Josef Mengele" - réalisation : Laurence Malonda - invités : Antoine Leiris Journaliste; Sandra Onana Critique française de cinéma
In this week's film show, Manon Kerjean and Dheepthika Laurent look at Nadia Melliti's performance as an Arab woman struggling with her sexual identity in "La Petite Dernière", a film for which she won best actress at the Cannes Film Festival. We also look at François Ozon's daring, bold adaptation of Albert Camus' masterpiece "L'Étranger" and discuss the technical prowess of "L'Homme qui rétrécit", a film starring Oscar-winning actor Jean Dujardin. Finally, we check out Isabelle Huppert's new film, "La femme la plus riche du monde", a biopic loosely inspired by L'Oréal heiress Liliane Bettencourt.
Ecoutez Laissez-vous tenter avec Le Service Culture du 22 octobre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:18:42 - Disques de légende du mercredi 22 octobre 2025 - Claudio Arrau a longtemps attendu avant d'enregistrer Schubert, en particulier les trois dernières sonates qu'il a gravées avec toutes les précautions du monde sur quatre années entre 1978 et 1982, à près de 80 ans. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ce matin, on évoque votre dernière grosse claque. Une série, un film, un voyage, un livre... On vous écoute ! Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dernière étape du voyage : Paradise Island, pour deux jours de plaisir avant le retour.Après la sérénité de Long Island, place à la folie du parc aquatique de l'Atlantis Resort.
Tous les matins dans Europe 1 Bonjour, Laurent Tessier revient sur le meilleur de l'émission de Pascal Praud et vous de la veille et vous livre en avant-première les sujets sur lesquels vous pourrez réagir en direct entre 11h et 13h, au 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou sur nos réseaux sociaux. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:48:31 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle - Journée spéciale Robert Badinter sur France Inter avec aujourd'hui dans Affaires Sensibles, les deux jours durant lesquels les Français, profondément divisés sur la peine de mort, assistent heure par heure, en direct, à son abolition à l'Assemblée nationale. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.