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durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Avec le sommet régional de Tianjin et l'imposant défilé militaire prévu mercredi à Pékin, en présence de Vladimir Poutine et d'autres dirigeants non-occidentaux, la Chine de Xi Jinping montre son ambition de se poser en leader d'un « front du refus » de l'Amérique de Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Avec le sommet régional de Tianjin et l'imposant défilé militaire prévu mercredi à Pékin, en présence de Vladimir Poutine et d'autres dirigeants non-occidentaux, la Chine de Xi Jinping montre son ambition de se poser en leader d'un « front du refus » de l'Amérique de Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
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Commentaire de L'Évangile du jour Matthieu 25, 14-30 En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples cette parabole : « Un homme qui partait en voyage appela ses serviteurs et leur confia ses biens. À l'un il remit une somme de cinq talents, à un autre deux talents, au troisième un seul talent, à chacun selon ses capacités. Puis il partit. Aussitôt, celui qui avait reçu les cinq talents s'en alla pour les faire valoir et en gagna cinq autres. De même, celui qui avait reçu deux talents en gagna deux autres. Mais celui qui n'en avait reçu qu'un alla creuser la terre et cacha l'argent de son maître. Longtemps après, le maître de ces serviteurs revint et il leur demanda des comptes. Celui qui avait reçu cinq talents s'approcha, présenta cinq autres talents et dit : “Seigneur, tu m'as confié cinq talents ; voilà, j'en ai gagné cinq autres.” Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t'en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” Celui qui avait reçu deux talents s'approcha aussi et dit : “Seigneur, tu m'as confié deux talents ; voilà, j'en ai gagné deux autres.” Son maître lui déclara : “Très bien, serviteur bon et fidèle, tu as été fidèle pour peu de choses, je t'en confierai beaucoup ; entre dans la joie de ton seigneur.” Celui qui avait reçu un seul talent s'approcha aussi et dit : “Seigneur, je savais que tu es un homme dur : tu moissonnes là où tu n'as pas semé, tu ramasses là où tu n'as pas répandu le grain. J'ai eu peur, et je suis allé cacher ton talent dans la terre. Le voici. Tu as ce qui t'appartient.” Son maître lui répliqua : “Serviteur mauvais et paresseux, tu savais que je moissonne là où je n'ai pas semé, que je ramasse le grain là où je ne l'ai pas répandu. Alors, il fallait placer mon argent à la banque ; et, à mon retour, je l'aurais retrouvé avec les intérêts. Enlevez-lui donc son talent et donnez-le à celui qui en a dix. Car à celui qui a, on donnera encore, et il sera dans l'abondance ; mais celui qui n'a rien se verra enlever même ce qu'il a. Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres extérieures ; là, il y aura des pleurs et des grincements de dents !” » L'Amour Vaincra ! Fr. Paul Adrien d'Hardemare (op) Et l'aventure continue ! retrouvez : les vidéos sur
Legault veut interdire les prières dans les rues. Entrevue avec Stephen Brown, président-directeur général du Conseil national des musulmans canadiens (CNMC). Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Surprise hier : le Premier ministre français annonce qu'il va engager la responsabilité de son gouvernement sur son plan d'économies budgétaires. Ce sera le 8 septembre devant l'Assemblée nationale réunie en session extraordinaire. Seulement voilà, l'opposition est vent debout contre ce projet et elle votera la censure… Résultat, pointe Libération, « Bayrou s'auto-dissout : vu le niveau de sa cote de popularité et l'ampleur des mouvements sociaux qui se préparent, foutu pour foutu, François Bayrou a donc choisi de faire tapis en sollicitant ce vote de confiance. Suicidaire ou courageux, il y a sans doute un peu des deux dans cette annonce qui, après un bref moment de sidération, a été prise au mot par tous les partis d'opposition qui ont assuré qu'ils ne voteraient pas la confiance. » « François Bayrou seul contre tous », renchérit Le Figaro. « Il pariait sur un quitte ou double. Vainqueur, il serait sorti plus fort de cet épisode. On sait déjà que le plus probable semble devoir être la chute de son gouvernement ». Et pourtant, soupire Le Figaro, « son constat était sombre, mais lucide. Sa leçon était sévère, mais juste. En rappelant qu'il était le seul à se battre contre la dette depuis vingt ans, François Bayrou s'est bien sûr donné le beau rôle, mais, dans l'instant présent, son initiative - courageuse - mettait en jeu sa survie à Matignon. Il restera donc seul contre tous ». « Lui ou le chaos… » « Durant tout l'été, rappelle Le Soir à Bruxelles, François Bayrou avait prêché dans le désert pour convaincre les Français de soutenir son projet de budget pour 2026. Son plan, esquissé mi-juillet, prévoit 44 milliards d'euros d'économies, notamment via une “année blanche“ (le gel des dépenses sociales au niveau de 2025), une réforme de l'assurance-chômage et de la Sécurité sociale, mais surtout la suppression de deux jours fériés. Un chiffon rouge, pour 84 % des Français, selon l'institut de sondages Odoxa. (…) C'est donc lui ou le chaos, s'exclame Le Soir. Lui ou la dette. Et ce sera à chaque parlementaire, de chaque parti, d'en décider en son âme et conscience. Un pari qu'il n'a, à vrai dire, quasiment aucune chance de gagner sauf énorme coup de théâtre ». Et après ? Alors si l'Assemblée vote la censure, que peut-il se passer ? Réponse du Guardian à Londres : « les dirigeants de l'opposition ont déclaré qu'en cas de chute du gouvernement, ils exigeraient la dissolution du Parlement et de nouvelles élections. Néanmoins, Emmanuel Macron, dont la décision surprise de dissoudre le Parlement en juin 2024 a produit une assemblée divisée en trois groupes opposés, Emmanuel Macron ne semble pas vouloir répéter l'expérience. Les analystes estiment qu'il tentera d'éviter de nouvelles élections anticipées, pointe encore le quotidien britannique, en cherchant plutôt à nommer un nouveau Premier ministre - bien que l'on puisse se demander qui pourrait être ce Premier ministre et comment il pourrait être plus efficace ». Gaza : encore un « crime de guerre » À la Une également, l'indignation après la nouvelle frappe israélienne hier à Gaza. Frappe sur l'hôpital Nasser de Khan Younès qui a fait plus de 20 morts dont 5 journalistes palestiniens. « Une caméra de Reuters a tout filmé, rapporte Le Monde. Face à la violence des images, l'armée israélienne a rapidement annoncé une enquête. Le Premier ministre, Benyamin Netanyahu, est aussi intervenu dans la soirée en exprimant ses regrets. “Israël accorde de la valeur au travail des journalistes, du personnel médical et de tous les civils“, a écrit le chef du gouvernement alors même, fulmine Le Monde, que tous les actes de l'État hébreu depuis vingt-deux mois témoignent du contraire – à commencer par l'interdiction faite aux reporters internationaux de se rendre dans l'enclave palestinienne de manière indépendante ». Enfin, Haaretz, quotidien israélien d'opposition, ne cache sa colère : « nous avons été témoins d'un crime de guerre retransmis en direct. Comment justifier des attaques répétées contre un hôpital, surtout lorsque le système de santé de Gaza est pratiquement paralysé, au milieu d'une crise humanitaire et d'une famine sans précédent dont le monde entier parle ? Comment expliquer le nombre de journalistes tués (245 depuis le début de la guerre) ? (…) Cette guerre doit cesser immédiatement, s'exclame encore Haaretz. Israël doit prendre conscience de la réalité, renoncer à son projet scandaleux d'occuper la ville de Gaza et signer un accord prévoyant la libération des otages et le retrait de ses troupes de la bande de Gaza ».
Tous les matins à 7h50 sur Chérie FM, Dimitri pose 3 questions sur l''actualité insolite ou légère des dernières 24 heures !
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durée : 00:03:31 - La planète des sciences - par : Daniel FIEVET - Retour sur deux études révélant des capacités insoupçonnées des rats... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est un véritable GUERRIER que je reçois dans ce 45ème épisode en la personne d'Antoine SCORTATORE. Antoine est un jeune homme plein de vie, dynamique...et cela s'entend dès qu'il prend la parole avec son petit accent du sud Ouest. Mais derrière cette joie de vivre, Antoine a traversé une terrible épreuve ! Il y a 3 ans, au retour d'une mission à l'étranger, et alors âgé de 23 ans, les médecins lui ont diagnostiqué un lymphome, une forme de CANCER ! Seulement 3 jours après l'annonce de cette maladie, il prenait le départ du MARATHON de LA ROCHELLE, sur lequel il réalisait son meilleur chrono sur la distance. Au cœur de son traitement, il s'est accroché et le sport l'a aidé….C'est même selon lui cette activité physique et son hygiène de vie de sportif qui lui ont permis de surmonter ce lymphome. Trois ans plus tard, Antoine n'a jamais été aussi en forme. Il enchaîne les séances et vient même de pulvériser son chrono sur Marathon. Tout un symbole pour lui ! Et aussi tout un symbole pour moi que de recevoir Antoine. Mon meilleur ami, Jérém que je salue au passage, a lui aussi été frappé par un lymphome. Mon papa ayant lui été emporté par cette fichue maladie…. Accrochez-vous pour cet épisode qui respire la joie de vivre et la bonne humeur avec Antoine que je remercie pour cet échange pétillant. Par ce podcast, je tenais à apporter mon soutien à toutes les personnes qui bataillent en ce moment & aux soignants qui les accompagnent ! Accrochez-vous ! Voici quelques liens via lesquels vous pourrez retrouver Antoine: - Page FACEBOOK : https://www.facebook.com/AntoineScTriathlon - Page INSTAGRAM : https://www.instagram.com/iron_toinou/?hl=fr ❤️ N'hésitez pas à me laisser un message , via les liens suivants : https://linktr.ee/acotedemespompes Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Dans cet épisode, je t'ouvre un espace où une autre réalité est possible.
Oser s'affirmer - avoir confiance en soi en tant que femme (hyper)sensible et anxieuse
Ces dernières années, j'ai accompagné des centaines de femmes à se libérer de leur acné persistante.Mais derrière ces boutons, il y avait autre chose : de la fatigue chronique, des ballonnements, des douleurs diffuses, des problèmes de cycle menstruel, parfois même une prise de poids inexpliquée.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Une femme est morte à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse dans cet incendie qui continue de progresser dans le massif des Corbières, dans l'Aude. Plus de 11 000 hectares sont partis en fumée depuis hier.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Une femme est morte à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse dans cet incendie qui continue de progresser dans le massif des Corbières, dans l'Aude. Plus de 11 000 hectares sont partis en fumée depuis hier.
durée : 00:14:45 - Journal de 8 h - Une femme est morte à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse dans cet incendie qui continue de progresser dans le massif des Corbières, dans l'Aude. Plus de 11 000 hectares sont partis en fumée depuis hier.
durée : 00:02:54 - Bientôt chez vous - Officiellement, l'association qui l'a créé, a été "fondée sur le partage d'un héritage européen". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:38 - C'est une chanson - par : Frédéric Pommier - Tout cet été, nous réécoutons les entretiens de Frédéric Pommier. Aujourd'hui, c'est avec le clarinettiste Pierre Génisson. Il évoque "Si seulement je pouvais lui manquer" de Calogero, une chanson de 2004 dont les paroles résonnent singulièrement chez lui. (Rediffusion de l'émission du 06/05/2025) Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
L'hydrogène se décline en vert, gris, noir, blanc… Pourtant, il reste toujours incolore. Ces couleurs, c'est pour désigner sa provenance. Et surtout, son impact environnemental. Vert, il est produit par électrolyse de l'eau, avec de l'électricité décarbonée : propre. Noir ou gris, il vient du charbon ou du gaz fossile : polluant. Quant à l'hydrogène blanc, lui, il dort sous terre, encore très peu exploité.Problème : 95 % de l'hydrogène produit dans le monde en 2023 est encore gris ou noir. Seulement 1 million de tonnes d'hydrogène vert, sur 97 au total. La faute au prix. Produire de l'hydrogène propre coûte entre 1,5 et 6 fois plus cher que sa version fossile. Et pourtant, l'hydrogène est présenté comme la solution pour décarboner l'industrie lourde, le transport aérien, ou la chimie. À condition qu'il soit vraiment propre. Sinon, on déplace juste le problème.Malgré tout, la production d'hydrogène vert décolle. En 2021, la capacité mondiale d'électrolyse n'était que de 0,6 gigawatt. En 2024, on est passé à 5,2. Et si les projets annoncés se concrétisent, ce sera 520 GW d'ici 2030. Une multiplication par cent. L'enjeu est immense. Et dans cette course mondiale, un leader s'impose : la Chine. Fin 2024, elle assurait 70 % de la production mondiale d'hydrogène vert. Loin devant l'Europe (15 %) et les États-Unis (6 %). Pire : la Chine fabrique aussi 60 % des électrolyseurs de la planète. Elle contrôle donc la matière et la machine. L'Europe, elle, est en retard. En 2020, elle visait 6 GW de capacité installée dès 2024. Résultat : à peine 0,8. Objectif corrigé pour 2030 : 40 GW et 10 millions de tonnes d'hydrogène vert produit. Autant que la production totale actuelle… mais encore très majoritairement fossile.Et pendant que la Chine avance, l'Europe parle. Mais l'enjeu est crucial. Car derrière l'hydrogène, il y a une bataille industrielle. Un enjeu stratégique. Qui maîtrisera la production, contrôlera une partie de l'énergie de demain. Hydrogène vert ou gris, ce n'est pas qu'une affaire de chimie. C'est une affaire de souveraineté. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
A l'occasion des championnats du monde de natation
Imaginez une petite fille, perchée sur un rocher, avec toujours un carnet à la main, dans une forêt du nord de l'Ontario. Elle s'appelle Margaret. Son terrain de jeu ? Les arbres, les rivières, et les bruits d'animaux. Pas de télévision, pas de bibliothèque municipale, encore moins de cinéma. Seulement quelques livres, une radio à piles et beaucoup, beaucoup d'imagination.Connaissez-vous l'histoire de Margaret Atwood ? Juliette Livartowski raconte.Connaissez-vous l'histoire est un podcast de Binge Audio écrit et raconté par Juliette Livartowski. Autrice : Juliette Livartowski. Réalisation : Paul Bertiaux. Production : Charlotte Baix et Juliette Livartowski. Edition : Marie Foulon. Générique : François Clos et Thibault Lefranc. Identité sonore Binge Audio : Jean-Benoît Dunckel (musique) et Bonnie El Bokeili (voix). Identité graphique : Sébastien Brothier (Upian). Direction des programmes : Joël Ronez.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Slovaquie en direct, Magazine en francais sur la Slovaquie
Bloc d'informations. Femmes de science, 5e partie. Zuzana Zelinkova. La santé mentale s'aggrave non seulement au sein de la population slovaque.
Les trois-quarts de la commune seraient sous le contrôle des gangs criminels, ce qui fait fuir la population et empêche les agriculteurs de travailler. Reportage. Depuis le début de l'année, les gangs armés multiplient leurs attaques contre la commune de Kenscoff, ce qui a fait fuir plus de 30 000 personnes, confie le maire de la ville, Jean Massillon, à notre correspondant à Port-au-Prince, Peterson Luxama. Cette violence a aussi perturbé toute la production agricole, et cela menace donc l'alimentation de la région. « Les gangs armés ont forcé les paysans et les agriculteurs à fuir. Ils ont pris leurs animaux, incendié leurs maisons, et leur ont fait perdre tout ce qu'ils possédaient. C'est la première fois dans toute l'histoire de cette ville que des habitants se plaignent de faim », témoigne le coordinateur de la plateforme nationale des paysans haïtiens. Jean-Louis Durant. Le reportage complet de Peterson Luxama. Au Chili, un sommet pour protéger les droits des citoyens face aux abus des nouvelles technologies. Les présidents et chefs de gouvernement du Chili, du Brésil, de la Colombie, de l'Uruguay et de l'Espagne se réunissent pour le sommet « Democracy Forever », qui vise à lancer un mouvement citoyen de protection contre la domination des entreprises des nouvelles technologies et leurs influences politiques lors d'élections, entre autres. « L'Amérique latine et le Brésil, particulièrement, prennent de plus en plus une position pour la régulation des réseaux sociaux », explique Nicole Sanchotene, postdoctorante et chercheuse au NetLab, laboratoire sur internet et les réseaux sociaux de l'Université fédérale de Rio de Janeiro (UFRJ), interrogée par Henrique Valadarès. Et le sommet à Santiago est l'image d'« un effort collectif et un effort d'interaction, palpable notamment au Brésil, mais aussi en Argentine et au Chili ». « Le Brésil peut être un leader de ce mouvement », analyse-t-elle en avançant comme guise d'exemple « le dernier vote de la Cour suprême : c'est une page très importante qui a été tournée. On a vraiment avancé vers la responsabilisation des plateformes. » Face à cela, une étude montre les limites de l'intelligence artificielle : « l'intelligence artificielle ne parle pas maya», dénonce le quotidien El Pais. Son correspondant au Mexique révèle une étude qui vient de paraitre, sur l'aisance de l'IA dans six grandes langues amérindiennes: le quechua, le quiché, le maya, le guarani, le nahuatl et l'aymara. Chacune d'entre elles a plusieurs millions de locuteurs, mais l'IA semble les délaisser. Au mieux, elle les baragouine. «Seulement la moitié des réponses aux questions posées dans ces langues sont correctes, et encore, très courtes et basiques», explique le quotidien. Il existe aussi un biais culturel. «Les réponses font référence au contexte occidental, même quand les questions sont posées dans les langues autochtones». Cette lacune viendrait-elle du fait que ces langues seraient peu importantes ? Alors pourquoi l'IA parle bien plus couramment le basque, qui compte moins d'un million de locuteurs ? Un biais de l'occident, encore une fois... Pourtant, les enjeux peuvent être vitaux, conclut El Pais : un meilleur accès de l'IA peut permettre de développer la télémédecine dans ces communautés, comme chez les Quechuas, où le taux de mortalité infantile est de 44 pour 1000 naissances. L'IA, bien utilisée, pourrait aussi sauver des vies. La guerre entre Harvard et l'administration Trump arrive au tribunal Après des années d'affrontements, le procès s'ouvre ce lundi. Harvard accuse l'administration de violer ses droits constitutionnels en coupant environ 2 milliards de dollars de financement fédéral. Un sujet éminemment politique : le Washington Post publie une grande frise historique de cette confrontation, et rappelle ainsi que Donald Trump en a fait un argument de campagne, depuis son discours de juillet 2023, dans lequel il promet de lutter contre «la gauche radicale» et lance une guerre totale contre «les maniaques et lunatiques», afin de «reconquérir» les universités comme Harvard. Mais c'est la radio publique NPR qui donne à entendre ce qui est en jeu ces jours ci : NPR publie un reportage où on entend Kari Nadeau, médecin et professeure d'Harvard, qui mène une étude clinique de sept ans pour réduire les allergies mortelles chez les enfants. Une recherche totalement suspendue aujourd'hui. «C'est une perte pour toutes les équipes», témoigne cette professeure, «mais nous sommes encore plus inquiets pour les patients en cours d'essais cliniques». «Ces enfants avaient commencé un traitement, l'arrêter les met en danger mortel», alerte la médecin sur NPR. En espérant que ces voix et ces histoires humaines soient entendues par les juges de Boston. Dans le sud des États-Unis, la crainte après l'extension d'un centre de migrants En Géorgie, les autorités ont validé le mois dernier l'agrandissement du centre de Folkson. Il triplera de capacités, pour arriver à 3 000 places, ce qui en ferait le plus important du pays. Mais des organisations de défense des droits s'y opposent, notamment en raison des enjeux de santé... Reportage d'Edward Maille. Le plus grand narcotrafiquant équatorien est arrivé aux États-Unis « Hasta nunca, Fito », titre le quotidien équatorien Espresso, en reprenant les mots du président, « À jamais ! ». Daniel Noboa se réjouit ainsi de l'extradition réussie de Adolfo Macías Villamar, alias «Fito», décrit comme le criminel le plus dangereux d'Équateur. Fito doit être présenté ce lundi à un juge de New York, qui l'informera des sept charges retenues contre lui, et entre autres du trafic de près de quatre tonnes de cocaïne vers les États-Unis. Le quotidien équatorien El Universo rappelle que l'une des conditions pour cette extradition est que ce trafiquant supposé ne soit pas condamné à la peine de mort, qui a été abolie en Équateur depuis plus d'un siècle. Au Venezuela, on célèbre le retour de migrants expulsés des États-Unis Ils avaient été les premières victimes de la répression de Donald Trump, et envoyés sans procès au Salvador. 252 Vénezuéliens, accusés par Washington d'être des criminels, sont rentrés ce week-end, grâce à un échange à trois bandes : le Salvador, où ils se trouvaient, libère les Vénézuéliens, le Venezuela libère dix citoyens américains, dont un Franco- Américain. À Caracas, la télévision Telesur célèbre l'arrivée des ex-détenus, par un dessin où l'on voit des hommes broyés, sous le drapeau américain, qui se relèvent, fiers, en retrouvant leur patrie. Ce qui n'est pas indiqué dans les médias de ce pays au gouvernement autoritaire, et que détaille la BBC en espagnol), c'est que cet accord a aussi forcé Caracas à libérer plus d'une dizaine de prisonniers politiques, enfermés pour s'être opposés au gouvernement de Maduro.
Je suis coach. Mon métier, c'est d'accompagner les femmes à travers leurs tempêtes. Mais aujourd'hui, c'est moi qui traverse la mienne.Dans cet épisode, je te parle sans filtre. Pas de notes, pas de plan. Seulement ce que je vis : l'effondrement d'une vie que j'aimais, le vide, les priorités qui changent, la douleur qui prend toute la place — et les choix qu'on fait pour rester debout, sans se trahir.Je ne te donne pas de leçon. Je t'invite à écouter une femme qui vit un bouleversement profond, et qui a décidé de le traverser en conscience. Peut-être que ça t'aidera à traverser le tien.--Je t'édifie et t'apporte encore plus de valeur ici :Télécharge gratuitement mon guide pour réfléchir de manière claire et structuréeMa chaîne YouTubeBooke un RDV gratuit Mon compte InstagramMa newsletter--
Invités : - Valérie Boyer, sénatrice Les Républicains des Bouches-du-Rhône - Nathan Devers, écrivain et philosophe - Raphaël Stainville, directeur adjoint de la rédaction du JDD Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de Ces questions que tout le monde se pose, je lis la lettre de Justine. Justine se décrit elle-même comme étant la "bonne copine". Elle aime rendre service, aider les autres dès qu'elle le peut, et elle en a même fait son métier en devant travailleuse sociale. Seulement voilà, ces dernières années, elle se sent un peu débordée par ses bonnes intentions. On lui confie beaucoup de choses, on l'appelle à n'importe quelle heure, et si elle a le malheur de dire qu'elle n'a pas le temps pour aider, les autres lui en veulent beaucoup et elle culpabilise. Elle aimerait trouver un équilibre entre le fait d'être présente pour ses proches, sans s'oublier au passage. Alors à travers l'histoire de Justine, et toujours dans l'espoir d'aider aussi toutes celles et ceux qui écouteront cet épisode, j'essaie aujourd'hui de répondre aux questions que tout le monde se pose… sur le fait d'aider les autres.N'hésitez pas à vous abonner à ce podcast, me suivre sur les réseaux sociaux sous le nom de Maud Ankaoua, ou consulter mon site internet https://www.maud-ankaoua.com. N'oubliez pas que si vous avez vous-même des questions, ou s'il y a des sujets que vous aimeriez que j'aborde dans un futur épisode, vous pouvez m'écrire ou m'envoyer une note vocale à l'adresse podcast.eyrolles@gmail.com. Vous retrouverez toutes ces informations dans le texte de description de l'épisode. Je serais également ravie de vous retrouver en librairie avec mes trois romans, Kilomètre Zéro, Respire ! Le Plan est toujours parfait et Plus jamais sans moi.Autrice & Animatrice : Maud Ankaoua Production : Éditions EyrollesRéalisation : Margaux Rol & Céline Malvo de l'Atelier ENLMontage & Mixage : Marthe CunyMusique : Martijn De BoerHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Mexique, le loup bénéficie aussi d'une protection. Depuis les années 2000, quelques individus ont été réintroduits dans les montagnes de l'État de Chihuahua. Là-bas, c'est une région de « rancheros ». Dans ces montagnes et ces grandes plaines, l'élevage de bovin est l'une des activités principales. On pourrait croire que le loup n'y serait donc pas le bienvenu, mais au lieu de s'opposer à la présence du prédateur, quelques « rancheros » s'impliquent. Ils l'encouragent et participent aux efforts de conservation. « Ici, il y a une trace de loup. » Seulement repérables par des yeux aguerris, quelques empreintes se dessinent dans la poussière brune. « Là, regarde ici, la trace est fraîche. Il est allé par là. Et là, il y a d'autres traces de biches. » Jaime Ruffo est vacher. Dans ce grand ranch perché à 2 300 mètres d'altitude, il garde 300 bovins qui évoluent en semi-liberté entre des roches abruptes et la foret. Ici, il fait partie des « pro loups ». « Ils ont été libérés ici et il ne s'est rien passé. Vraiment, ça n'a rien changé ! J'ai passé toute ma vie ici avec ces animaux, donc personne ne peut me raconter des histoires. Le loup n'a pas fait tant de mal. Je vous dis qu'il y a d'autres animaux qui attaquent beaucoup plus les troupeaux comme les pumas et les coyotes. » « Rapprocher les loups et les éleveurs » Un peu plus bas dans la plaine, le biologiste Cristian Aguilar a fait le pari de rallier les éleveurs à la cause du loup. En créant une coopérative, il les aide à vendre une viande biologique deux fois plus cher. Ainsi, quand ils gagnent correctement leur vie, ils sont davantage disposés accepter la présence du prédateur. « On est arrivés avec l'idée romantique de sauver le loup, mais on ne voyait pas les problématiques des producteurs. On leur disait : « Vous devez protéger les loups, car c'est une espèce en voie d'extinction… » Et eux, ils nous répondaient : " Oui, mais tu te rends compte que je n'ai pas déjeuné et que mes enfants ont le ventre vide parce que l'élevage est en crise ! " Donc, nous devons régler les problèmes de chacun pour trouver le moyen de conserver les loups et que ce soit un succès. Avant, on faisait en sorte d'éloigner les loups des troupeaux. Aujourd'hui, on travaille pour rapprocher les loups et les éleveurs. » Nostalgique de la faune disparue, et convaincu que le loup a sa place sur ce territoire, Alonso Olivas a même décidé de libérer des loups sur ses propres terres : « Moi, je suis très content, car les loups aiment mon ranch. Ils viennent souvent me rendre visite. Bien sûr, j'ai eu quelques problèmes au début, mais maintenant, c'est bon. J'ai tout mis en ordre. J'aime bien aller voir les images des pièges photographiques. J'adore voir d'où ils sortent, où ils sont et combien. » L'espèce du loup mexicain Canis lupus baileyi, présent aux États-Unis et au Mexique s'était complètement éteinte au sud de la frontière dans les années 1980, victime des campagnes d'extermination. Aujourd'hui, on estime qu'une cinquantaine d'individus arpentent les montages du nord du Mexique. À lire aussiY a-t-il trop de loups en Europe ?
Chaque jour, retrouvez le journal de 8h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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✨ Briller sans éblouir : l'art subtil de se mettre en valeur au travailSe faire remarquer sans passer pour prétentieux·se ? Un vrai casse-tête pour beaucoup de professionnels, notamment en France, où l'on valorise la discrétion plus que l'autopromotion.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Emmanuel de Villiers et Flora Ghebali débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ecoutez L'édito d'Etienne Gernelle du 25 juin 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque matin, Maurine nous dévoile des chiffres surprenants. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, nous recevons l'une des plus jeunes personnalités invitée sur le podcast. À tout juste 15 ans, Brune Faivre incarne déjà l'avenir du saut d'obstacles français. Cavalière poney au talent brut, elle affole les compteurs, les classements… et les réseaux sociaux. On ne parle que d'elle. En 2024, elle a marqué les esprits en remportant le Grand Prix Excellence aux championnats de France, avant de briller à l'international aux côtés de son fidèle Qopper der Lenn, avec qui elle a participé à plusieurs Coupes des nations et porté les couleurs de la France jusqu'aux championnats d'Europe.Ce qui nous a frappé chez Brune, au-delà de son palmarès déjà impressionnant, c'est sa détermination tranquille, son regard clair sur ce qu'elle veut, et cette maturité rare quand elle parle de ses chevaux, de ses objectifs, de la rigueur que demande ce sport. Aujourd'hui, elle découvre pas à pas le monde du cheval, avec curiosité, ambition et une grande envie d'apprendre.Dans cet épisode, elle revient sur son parcours, ses premiers pas, son lien unique avec Qopper, son regard sur la compétition et ses rêves en grand. On y découvre une compétitrice, mais aussi une ado attachante, sincère, pleine d'humilité et de détermination. Une rencontre précieuse, avec une cavalière qui, sans aucun doute, n'a pas fini de faire parler d'elle.Voici un extrait de notre conversation. L'intégralité de cet échange sera disponible ce mercredi.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui 23/06/2025, il revient sur l'intoxication alimentaire survenu dans l'Aisne. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour une deuxième année de suite, les Panthers de la Floride ont eu le dessus sur les Oilers d'Edmonton et ils ont remporté la Coupe Stanley. Qu'est-ce qui manque aux Oilers? Sam Bennett met la main sur le trophée Conn-Smythe... L'attaquant, qui pourrait devenir joueur autonome, va toucher le gros lot. Mais est-ce que ce sera en Floride ou ailleurs? Et le grand ménage se poursuit chez les Rangers. Après Chris Kreider, qui sera le prochain à partir? Ce sont quelques-uns des sujets de ce nouvel épisode de Sortie de zone animé par Jérémie Rainville, qui est en compagnie d'Antoine Roussel du 98.5, ainsi que Guillaume Lefrançois et Simon-Olivier Lorange, de La Presse. Le sommaire Bloc 1 1:00 - Les Panthers, trop forts pour la ligue. 7:20 - Sam Bennett remporte le Conn-Smythe. Est-ce que les Panthers doivent tout faire pour le garder? 17:30 - Au cours des six dernières saisons, la Coupe Stanley a été gagnée par une équipe de la Floride quatre fois. Est-ce que les taxes, qui sont très basses dans cet État, représentent un avantage? Bloc 2 26:00 - Les Oilers l'échappent pour une deuxième année de suite. Quelle est la solution? 39:00 - Quelle doit être la priorité pour les Oilers? Evan Bouchard ou Connor McDavid? Bloc 3 49:00 - Chris Kreider passe des Rangers aux Ducks. Le ménage se poursuit à New York.Voir https://www.cogecomedia.com/vie-privee pour notre politique de vie privée
A 10h, ce lundi 16 juin 2025, les GG : Éléonore Lemaire, chanteuse lyrique et professeure d'aïkido, Charles Consigny, avocat, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : "Trafic : guetteur à seulement 10 ans".
En Corée du Sud, les semi-conducteurs font la richesse du pays, mais aussi la souffrance de nombreux travailleurs. Exposés à des produits chimiques, les ouvriers des usines de semi-conducteurs dénoncent un manque de protection qui provoque de nombreux cancers. Un problème sur lequel de nombreuses entreprises ferment les yeux. Après 20 ans de carrière passée à Samsung, Jeong Hyang-suk porte un constat amer sur son travail qui l'a poussée à démissionner en 2015 : « J'étais fière de travailler pour Samsung, mais cela a failli me tuer. Quand je suis arrivée dans l'entreprise après le lycée, je n'avais pas eu de formation sur les dangers de ce métier. On ne savait pas les risques, on allait dans l'inconnu ». Sur les chaînes de production des semi-conducteurs, elle et ses collègues ont été exposés pendant des années à des produits chimiques dangereux entraînant notamment des cancers. Des maladies dont souffrent encore Jeong Hyang-suk et ses anciens collègues : « J'ai fait deux fausses couches, eu des problèmes d'infertilité et deux tumeurs, l'une à l'utérus et l'autre à la tête. Je suis encore aujourd'hui sous traitement. Autour de moi aussi, les gens tombaient malades. Mes deux supérieurs, l'un a eu un cancer de la peau, l'autre un cancer du poumon, ils en sont morts. J'ai aussi vu une collègue accoucher d'un enfant mort-né. Une cheffe d'équipe est décédée très vite, sans que l'on sache de quelle maladie il s'agissait. Avec le recul, on pense que c'était peut-être une leucémie. À l'époque, on ne connaissait pas cette maladie. Elle n'avait que 24 ou 25 ans. Ça m'a choquée ». À lire aussiCorée du Sud: le gouvernement dépose un projet de loi pour augmenter la durée de travail hebdomadaire Plusieurs centaines de produits chimiques différents sont utilisés dans les usines de semi-conducteurs de n'importe quelle entreprise du secteur. Seulement, en Corée du Sud, la législation autorise les sociétés à garder secrète la liste exacte des composants utilisés. Une mesure pour se protéger de la concurrence mais qui ne permet pas de demander des mesures de protection adéquates. Lee Jong-ran, de l'association Sharps, qui regroupe d'anciens employés du secteur, témoigne de la difficulté à mieux protéger les ouvriers : « Samsung par exemple, après avoir été condamné en justice en 2018, s'est excusé pour le manque de protection et a promis des améliorations. Mais dans le même temps, l'entreprise a décidé de sous-traiter une grande partie de sa production à des sociétés externes qui sont moins regardantes et ne peuvent tenir Samsung pour responsable. Le problème s'est déplacé ». Aujourd'hui encore, les travailleurs des usines de semi-conducteurs ont deux à trois fois plus de chance de développer un cancer à cause des produits chimiques. Les syndicats et la communauté scientifique appellent à lever le secret industriel autour des composants de fabrication. À lire aussiLa Corée du Sud investit pour devenir un leader des semi-conducteurs liés à l'IA
Les Sondages du matin, c'est tous les matins à 6H10 et 8H40.
Les Sondages du matin, c'est tous les matins à 6H10 et 8H40.
Attention aux termes que l'on peut employer lorsqu'on parle d'un chef de l'État. Il faut éviter l'injure qui tombe souvent sous le coup de la loi. C'est le cas au Sénégal. Et ce matin, le vocable qui est à la Une de la presse dakaroise, c'est « gougnafier »… « Gougnafier, le mot de trop », s'exclame Walf Quotidien en première page. L'ex-chef de cabinet du président Macky Sall, Moustapha Diakhaté, a été placé en garde à vue hier après-midi et poursuivi pour offense au chef de l'État. Tout est parti d'une photo, où l'on voit les trois plus hauts personnages de l'État, à savoir le président Bassirou Diomaye Faye, le Premier ministre Ousmane Sonko et le président de l'Assemblée nationale Malik N'Diaye, marchant côte à côte, au Centre international de conférences Abdou Diouf à Dakar. Moustapha Diakhaté a critiqué publiquement cette photo, en affirmant que le président de la République ne devait pas marcher au même niveau que le Premier ministre et le président de l'Assemblée nationale. D'après son avocat, cité par Walf Quotidien, « c'est une violation du protocole de la République. Car ce protocole voudrait que le président soit devant, suivi du président de l'Assemblée nationale, lui-même suivi du Premier ministre. » Ce qui explique pourquoi l'opposant a qualifié les trois hommes de « gougnafiers », dans le sens d'« ignorants » du protocole. Et « d'après lui, pointe le journal, le mot gougnafier n'est pas offensant. » Glissement de sens… Seulement voilà, si l'on consulte un dictionnaire, gougnafier veut dire rustre, goujat, ou encore bon à rien… Résultat, pointe Walf : « À moins que l'Autorité judiciaire ne mette de l'eau dans son vin, l'ancien président du groupe parlementaire Benno Bokk Yakaar fonce droit vers la prison. Auditionné hier par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles, Moustapha Diakhaté a été placé en garde à vue en attente de son face-à-face avec le maître des poursuites. Il est poursuivi pour offense au chef de l'État et à des personnes ayant les prérogatives du chef de l'État. » Il encourt, précise encore le journal, « une peine de 3 mois à 1 an et de 20 000 à 100 000 francs d'amende. » Prisonnier politique ? Alors l'opposition a aussitôt réagi… Dans les colonnes du quotidien 24 Heures, Thierno Alassane Sall du parti La République des valeurs, s'insurge : « L'insécurité est la hantise des populations, les braquages se multiplient, mais le pouvoir s'illustre dans la traque de celles et ceux qui ne pensent pas comme lui. (…) Avec le Pastef (le parti présidentiel), qui avait promis de supprimer le délit d'offense au chef de l'État, on n'en est pas à un reniement près. (…) Moustapha Diakhaté rejoint le lot des prisonniers politiques. » « Libérez Moustapha Diakhaté, lance pour sa partThierno Bocoum, président de Agir-Les leaders, et cessez de vous ridiculiser. Vous êtes censés diriger un pays, pas fuir la critique. (…) Dans une République digne de ce nom, rien ne justifie qu'un citoyen soit convoqué pour avoir exprimé des opinions, même dures, dès lors qu'elles n'incitent ni à la haine ni à la violence. » Malaise démocratique ? Alioune Tine, fondateur de l'ONG Afrikajom Center, réclame aussi la libération immédiate de Moustapha Diakhaté. Ses propos sont rapportés notamment par le site d'information Seneweb : « À force de convoquer des opposants politiques, des activistes ou des journalistes à la division des investigations criminelles ou à la Cybercriminalité pour poser ce genre de question, on finira par créer un vrai malaise démocratique. (…) Ça ne nous change guère du passé. (…) La prison finira par fabriquer des héros politiques, poursuit Alioune Tine. Le passage obligé pour gagner plus de valeur, de considération et de reconnaissance sociale. La fonction d'un opposant est précisément de critiquer, de déprécier ceux qui gouvernent avec le lexique qui lui convient. » Jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? Enfin, La Nouvelle Tribune à Cotonou élargit le problème : « L'affaire relance un débat ancien, mais toujours sensible : jusqu'où peut aller la critique politique dans un État de droit ? À l'heure où les réseaux sociaux amplifient les voix discordantes et où les figures publiques expriment leurs opinions en dehors des canaux classiques, les institutions sont confrontées à un dilemme. Faut-il laisser libre cours à toutes les opinions, au risque de fragiliser la stabilité ? Ou faut-il poser des balises, au risque de restreindre la liberté d'expression ? La convocation de Diakhaté intervient dans un moment où plusieurs voix critiques, issues du monde politique ou de la société civile, dénoncent un climat d'intimidation croissante. (…) Cette situation illustre un paysage démocratique où la parole publique devient un champ de bataille, et où les institutions judiciaires sont perçues, à tort ou à raison, comme des instruments politiques. »
Laurent Nunez, préfet de police de Paris, répond aux questions de Sonia Mabrouk au sujet de la mort d'une surveillante d'un collège de Nogent qui a été tuée au couteau par un adolescent de 14 ans, de l'épidémie d'attaques au couteau, des premières propositions sur les portiques à l'entrée des écoles, de l'interdiction des réseaux sociaux ou encore de l'interdiction de la vente de couteaux aux mineurs, des violences intervenues après la victoire du PSG, des peines prononcées contre les émeutiers et des appels à la violence contre les forces de l'ordre. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:25:12 - Mikko Franck, chef d'orchestre (4/5) - par : Christian Merlin - Le chef d'orchestre finlandais Mikko Franck dirige l'Orchestre Philharmonique de Radio France depuis 2015. Dans cet entretien mené par Christian Merlin, ce solitaire sociable lève un coin du voile sur un tempérament positif forgé par les épreuves, et sur sa conception de la direction d'orchestre. - réalisé par : Gilles Blanchard
Dans cet épisode, je vous emmène dans une paisible ville portuaire japonaise, bordée de montagnes et de traditions. En ce 1er juin 2004, une journée d'école ordinaire vire au cauchemar. Deux élèves disparaissent, et ce que découvre une surveillante va glacer le sang de tout un pays. Un crime choquant, commis à huis clos… par l'une des leurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Bienvenue dans Les Fabuleux Destins, le podcast pour découvrir des histoires vraies et étonnantes. Cette semaine, à l'occasion du Festival de Cannes, cap sur le cinéma : Un tournage qui vire au chaos, un film devenu légendaire pour de mauvaises raisons, ou encore une œuvre maudite dès son clap de départ… Plongez dans les récits les plus fous de l'histoire du 7ᵉ art. Un tournage maudit À sa sortie, le film l'Exorciste connaît un succès retentissant. Encore aujourd'hui, il est le 3e film d'horreur le plus lucratif de l'histoire. Certains critiques déplorent un usage à outrance des effets spéciaux et du langage injurieux. Mais la plupart lui accordent le statut de classique du cinéma. C'est une référence que tout le monde connaît, même si beaucoup n'ont jamais osé le regarder… Seulement, ce que le grand public ignore, c'est que le tournage s'est fait dans des circonstances peut-être aussi horrifiques que le film lui-même… Pour découvrir d'autres récits passionnants, cliquez ci-dessous : [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : combat contre l'Apocalypse (1/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : la bombe mentale (2/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : massacres et sauvetages (3/4) [INÉDIT] Paul Watson, une vie d'engagement : l'ennemi public des braconniers (4/4) Une production Bababam Originals Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Les touristes doivent normalement payer cher et braver des climats froids pour avoir une chance de voir une aurore, mais le week-end dernier, de nombreuses personnes à travers le monde n'ont eu qu'à lever les yeux.Traduction :Tourists normally have to pay big money and brave cold climates for a chance to see an aurora, but last weekend many people around the world simply had to look up. Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Quand Manon Olivon quitte la Bretagne avec son mari et leurs deux enfants, elle est sur le point de réaliser un rêve immense : ouvrir un restaurant français à New York, dans le quartier de Soho. Le projet de toute une vie, le fruit de plusieurs années de travail, d'économies, de sacrifices.Mais à quelques semaines du départ, tout s'effondre. Un week-end d'adieux vire au cauchemar. Son mari disparaît.Ce drame, Manon le vit de plein fouet. Et dans la foulée, elle découvre qu'elle a tout perdu : son mari, leur projet, et leurs économies investies dans un bail new-yorkais que le propriétaire refuse de lui rembourser, malgré les circonstances.Dans cet épisode bouleversant de French Expat, Manon revient sur les jours qui ont changé sa vie. Elle raconte le choc, le deuil brutal, la survie en mode débrouille, la solitude face aux galères administratives… Mais aussi la force qu'elle puise dans ses enfants, les élans de solidarité venus d'inconnus, et l'espoir ténu de pouvoir un jour se relever. Un projet à deux, devenu un combat en solo. Le rêve américain n'a pas eu lieu — ou pas encore. Mais ce rêve brisé ne signe pas la fin de l'histoire. Seulement le début d'une autre.Si vous souhaitez soutenir Manon Olivon et ses enfants, voici le lien vers leur cagnotte en ligne.French Expat est un podcast de French Morning qui raconte les parcours de vie des Français établis hors de France. Retrouvez-le sur toutes les plateformes d'écoute : Spotify, Apple Podcast, Deezer, Google Podcast, Podcast Addict, Amazon Music. Cet épisode est raconté, produit et réalisé par Anne-Fleur Andrle, habillé et mixé par Alice Krief. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Claus von Stauffenberg est l'héritier d'une famille allemande aristocratique. En 1943, alors qu'il sert en Afrique du Nord, une opération dangereuse lui coute son bras droit, deux doigts de la main gauche et l'un de ses yeux. Il est convaincu que s'il a eu la vie sauve, c'est pour débarrasser l'Allemagne d'Hitler. Intégré comme chef d'État-major, il participe régulièrement à des réunions militaires en sa présence. Le 20 juillet 1944, il passe à l'action et dépose une mallette chargée d'explosifs au pied du Führer, avant de s'éclipser. Convaincu qu'il vient de tuer Hitler, il rejoint l'aéroport et s'envole pour Berlin afin de lancer l'opération Walkyrie. Seulement, Hitler a survécu. Alors que la nouvelle se répand, l'armée se retourne contre les officiers conjurés. Jugé en urgence, Von Stauffenberg est fusillé avec ses complices. Le 20 juillet 1944, une poignée d'officiers allemands rebelles a bien failli tuer Hitler. Au sein même de la Wehrmacht, les membres de l'opération Walkyrie sentent que le Führer mène le pays à sa perte. Dans un récit inédit, Virginie Girod vous plonge au cœur de l'histoire de ce complot contre le régime nazi. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.