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durée : 00:26:58 - Côté Experts FB Normandie (Rouen) - Célia Levavasseur, pédiatre à l hopital du Belvédère . Mont Saint Aignan
durée : 00:02:16 - France Bleu Normandie Grand Angle FBN (Rouen)
Où l'on a parlé de recherches Google, de crues et de Mont Saint Aignan... mais pas que ! Jessie Varin https://www.instagram.com/jessievarin/ La Nouvelle Seine www.instagram.com/lanouvelleseine/ www.lanouvelleseine.com
Le podcast "Il était une fois l'entrepreneur" est l'ex podcast "l'apprenti", le podcast des histoires d'entrepreneurs. Tony Parker prend sa retraite sportive le 10 juin 2019. Heureux et comblé après plus de 20 ans de carrière dans le basket. C'est donc une nouvelle vie qui démarre. Le Tony basketteur laisse sa place au Tony entrepreneur. Et il met autant d'intensité dans l'un que dans l'autre. Il veut toujours gagner ! Tout démarre avec un papa basketteur professionnel américain qui joue en Europe et épouse une Néerlandaise. De leur union, naît Tony Parker et 2 autres enfants, TJ Parker et Pierre Parker. Très vite, c'est l'aîné, Tony qui s'occupe de ses frères quand ils se retrouvent seuls avec leur père après le divorce des parents. Tony se passionne pour le basket et apprend vite. C'est un gagneur à la mentalité de fer. Des minimes aux clubs de Rouen, Déville-lès-Rouen puis à Mont-Saint-Aignan, il passe toutes les étapes jusqu'en équipe de France de Basket. Il intègre l'INSEP à 14 ans où il rencontre Boris Diaw. Puis c'est le Paris Basket Racing en professionnel. Mais, en tant que meneur, il est dans l'ombre de Laurent Sciarra. L'année suivante, il devient titulaire. Mais finalement à l'âge de 20 ans, il décide de se lancer en NBA. En juin 2001, il est drafté en 21e position par les San Antonio Spurs avec Greg Poppovich à leur tête. Il est accueilli froidement par la star de l'équipe, Tim Duncan. Puis après une 1ère saison moyenne, Pop le titularise en meneur. Sa carrière décolle et il enchaîne les performances. Il gagne 4 titres NBA en 2003, 2005, 2007 et 2014. Il accumule les stats et devient une légende du basket français. Mais Tony Parker est aussi un entrepreneur. Il investit dans l'ASVEL dont il devient majoritaire et président en 2014. Puis il fait de nombreux autres investissements: immobilier, poker, vêtements, comédie musicale, une station de ski sous sa société Infinite Nine. Nine comme le numéro de son maillot aux Spurs. Plus rien n'arrête Tony Parker. Jean-Michel Aulas investit même dans l'ASVEL et les 2 hommes deviennent très proches. TP a un nouveau mentor. Le numéro 9 de Tony Parker est même retiré en 2019 chez les Spurs quelques mois après sa retraite sportive. Mais Tony ne sera jamais à la retraite. Inspire Média, le média des histoires d'entreprises et d'entrepreneurs Notes Tony Parker, au-delà de tous mes rêves - Aux éditions Solar La carrière de Tony Parker sera-t-elle aussi brillante dans les affaires que dans le basket ? Tony Parker : Fortune, Salaire et Carrière de TP9 | Riche Et Célèbre Fortune Tony Parker Stations de ski, académie de sport, voitures de luxes... L'extraordinaire fortune de Tony Parker Du sport aux affaires, Tony Parker ou l'art du rebond
Bienvenue sur le podcast Future of Work with WO.MEN, le podcast de WO.MEN by NEOMA Alumni qui vous emmène explorer le futur du travail au travers des Alumni engagés pour faire évoluer notre rapport au travail. Dans ce premier épisode nous accueillons Perrine Morisseau, une étudiante de NEOMA Rouen ambitieuse et investie au quotidien pour faire du monde de demain un monde engagé ! Perrine rejoint NEOMA en 2020 à distance. Pendant sa première année elle prend la présidence des NATS : la NEOMA Alumni Team Support afin d'entretenir les relations entre les étudiants et les Alumnis de notre école, en parallèle et depuis 6 ans elle est engagée en tant que Conseillère Municipale à la mairie de Basse Goulaine. Perrine vient de rejoindre les équipes de Ferrero à Mont Saint Aignan pour un stage de 6 mois, un premier pas dans le monde du travail où les valeurs de transparence et de responsabilité comptent pour elle. Dans cet épisode nous découvrirons :
Comment était conçue la puberté à l’époque moderne, que ce soit du point de vue médical ou social ? Passion Modernistes RSS jQuery(document).ready(function($) { 'use strict'; $('#podcast-subscribe-button-498 .podcast-subscribe-button.modal-60b4074adee12').on("click", function() { $("#secondline-psb-subs-modal.modal-60b4074adee12.modal.secondline-modal-498").modal({ fadeDuration: 250, closeText: '', }); return false; }); }); Portrait Philippine Valois au micro de Passion Modernistes Philippine Valois travaille sur l’histoire médicale de la puberté au siècle des Lumières (XVIIIème siècle) dans sa thèse dirigée par Didier Boisson et co-encadrée par Nahema Hanafi au sein du Laboratoire TEMOS Angers. Dans cet épisode, elle raconte ce qui l’a motivé à travailler sur ce sujet et nous explique l’histoire de ce concept si particulier, du point de vue médical et social. Dans sa thèse, Philippine Valois veut comprendre comment les phénomènes physiologiques et biologiques de la puberté ont été compris par les médecins du XVIIIème, quels termes ils utilisent et quels imaginaires ils convoquent. Elle s’interroge aussi sur les incidences des représentations médicales, les maladies spécifiques, sur le quotidien des personnes pubères à cette époque ou encore les représentations sociales. Une définition compliquée de la puberté Annexe : Louis Binet (1744-1800), Les six âges de la fille. 1er âge, 1780-1782, Paris, Duchesne, taille douce, format inconnu. Bibliothèque nationale de France [en ligne].Le concept de puberté est en plein de construction à l’époque des Lumières. A noter que le concept d’adolescence tel que nous le concevons aujourd’hui ne naît qu’au XIXème siècle. Il y a une forte ambiguïté des auteurs sur les mots entre puberté, adolescence et nubilité, parfois utilisés comme synonymes ou contraires. Philippine Valois montre qu’en général pour les médecins du XVIIIème siècle, l’adolescence désigne une période de la vie et la puberté les phénomènes biologiques, même si pas toujours, avec des différences selon le sexe. En général, la puberté est définie comme une crise à la fois positive et négative. La transformation pubertaire est sensée soigner certains maux de l’enfance comme l’épilepsie, l’échauffement créé par la puberté pouvant, toujours selon les médecins du XVIIIème siècle, guérir certaines maladies. Mais c’est aussi une crise négative avec son lot de nouvelles maladies, car la puberté « trouble l’âme et le corps« , on commence à dire que l’adolescent éprouve du mal-être. Les médecins utilisent des termes parfois poétiques, comme « orage« , « tempête » ou même « révolution« , parce que l’on passe d’un enfant asexué à un être sexué. Le contexte des Lumières Toute cette vision de la puberté s’inscrit dans le mouvement des Lumières, un mouvement à la fois culturel et philosophique, une période où l’éducation des enfants devient un sujet prioritaire. L’Émile de Rousseau est notamment une référence pour les médecins de l’époque, dont le chapitre 4 est consacré à l’adolescence. C’est aussi un contexte de « dégénérescence de l’espèce humaine« , formulée entre autres par Buffon en 1766 : pour lui, on pourrait expliquer toutes les variations entre les individus par une dégénération d’une espèce originelle. Une vision bien sûr profondément raciste, et les médecins ont dans ce sens un discours alarmant sur les problèmes démographiques et la faiblesses des enfants. Et à la fin du XVIIIème siècle, les débuts du mouvement hygiéniste dénoncent le mode de vie oisif des élites socio-culturelles. Il est par exemple constaté que les jeunes filles qui vivent dans ces milieux fastes étaient réglées plus précocement ou ont des problèmes de menstruations. Et dans le reste de l’épisode… Dans le reste de l’épisode, on parle notamment des différences entre les hommes et les femmes, de la vision de la masturbation, des maladies propres à la puberté, du contrôle des corps adolescents par les médecins et la société, et de comment Philippine Valois travaille sur ses sources pour sa thèse. Nicolas Lancret, L’Adolescence, 1707-1708, Paris, N. De Larmessin, estampe. Bibliothèque Nationale de France. [en ligne]. Pour en savoir plus sur le sujet de l’épisode, on vous conseille de lire : Michel Bernos, Yvonne Knibiehler, Elisabeth Ravoux-Rallo et Eliane Richard, De la pucelle à la minette : les jeunes filles, de l’âge classique à nos jours, Paris, Temps actuels, 1983 Scarlett Beauvalet-Boutouyrie et Emmanuelle Berthiaud, Le rose et le bleu, Paris, Belin, 2016 Patrice Huerre, Martine Pagan-Reymond et Jean-Michel Reymond, L’adolescence n’existe pas, Paris, O. Jacob, 1997 Thomas Laqueur, Le sexe en solitaire, Paris, Gallimard, 2005 Agnès Thiercé, Histoire de l’adolescence, Paris, Belin, 1999. Juan Jiménez-Salcedo, « L’hygiénisme au XVIIIe siècle et l’éducation des jeunes filles », in Bernard Bodinier, Martine Gest, Paul Pasteur et Marie-Françoise Lemmonier-Delpy (dir.), Genre & Éducation : Former, se former, être formée au féminin, Mont-Saint-Aignan, Presses universitaires de Rouen et du Havre, coll. « Éducation », 2018, pp. 141-152. Karen Harvey, « Le Siècle du sexe ? Genre, corps et sexualité au dix-huitième siècle (vers 1650-vers 1850) », Clio. Femmes, Genre, Histoire, 2010, no 31, pp. 207-238. Gabrielle HOUBRE, Le corps des jeunes filles de l’Antiquité à nos jours, edi8, 2010, 189 p. Dans cet épisode vous avez pu entendre les extraits des œuvres suivantes : « Chantez dans ce riant bocage », extrait de « Les Génies ou les Caractères de l’Amour » par la compositrice Mademoiselle Duval L’échange des princesses, film de 2017 Ouverture de « Fleur d’épine » composée par Marie-Emmanuelle Bayon Rockollection – Laurent Voulzy Si cet épisode vous a intéressé vous pouvez aussi écouter : Épisode 19 – Laura et les malades dans la peinture néerlandaise Épisode 15 – Isabelle et les médecins à Paris au XVIIIème siècle Épisode 12 – Paul-Arthur et les épidémies au XVIIIème siècle Épisode 3 – Johana et les sages-femmes en Alsace Ce très beau générique a été réalisé par Julien Baldacchino (des podcasts Stockholm Sardou, Radio Michel, Bulle d’art…) et par Clément Nouguier (du podcast Au Sommaire Ce Soir).
Le Collège national des Gynécologues obstétriciens français a décidé d’attribuer un nouveau label aux maternités qui s’engagent à mettre la bienveillance au centre de leurs activités, et qui acceptent la transparence sur leurs pratiques. Suivi de la grossesse, prise en charge post-natale et, bien sûr, déroulement de l’accouchement… Nous revenons aujourd’hui sur les différentes phases de l’accouchement : des premiers signes jusqu’à ce que le cordon ombilical soit coupé (les contractions, le travail, l’expulsion, la délivrance). Quel est le rôle de la sage-femme ? Quels sont les cas particuliers qui nécessitent impérativement la présence d’un obstétricien ? Comment améliorer la sécurité et le ressenti pour la mère comme pour l’enfant aux premières heures de sa vie ? Pr Israël Nisand, professeur émérite de Gynécologie Obstétrique à l’Université de Strasbourg et président du Collège national des Gynécologues & Obstétriciens FrançaisDr Patrick Fournet, gynécologue-obstétricien à Mont-Saint-Aignan, près de Rouen. Pilote du Projet LABELLISATION MATERNYS du CNGOF (Collège national des gynécologues et obstétriciens français). Sa maternité est la première à avoir obtenu le label, dans le cadre de la démarche de « bientraitance » Dr Jean-Paul Dossou, chercheur au CERRHUD - Centre de Recherche en Reproduction Humaine et en Démographie, à Cotonou, au Bénin Sylvie Coché, sage-femme à Lyon. Auteure de Poussez Madame ! Les confessions illustrées d’une sage-femme, aux éditions de l’Opportun. En fin d’émission, nous retrouvons Dr Catherine Solano, sexologue, qui répondra à une question d’auditeur.
Benoît Rouly est un autodidacte. Une mauvaise chute à cheval lors de son 2ème cours d’équitation l’année de ses 10 ans (1990) lui fera sécher les leçons du mercredi pour aller assister, sans en parler à ses parents, aux entrainements du jeune Thimothée Anciaume qui s’exerce toutes les semaines dans l’enceinte réservée aux propriétaires des écuries de la SHUR à Mont Saint Aignan. Benoît devient le groom du jeune prodige et va pendant 10 ans accompagner l’étoile montante dans tous ses déplacements en concours. C’est l’école de la débrouille ou il faut bosser dur et savoir réparer un pare choc avec un bout de ficelle quand le van est en panne sur une autoroute au fin fond de l’Italie… François Josse, un des propriétaires de chevaux, le fait rentrer dans sa boîte comme technicien de base, à 20 ans, en région parisienne. Benoît apprend rapidement, gravit les échelons, passant par le contrôle qualité et le commerce. A 24 ans il monte avec son pote Evrard et le soutien de la banque Martin Maurel une première boite de nettoyage de climatisation qui cartonne et grossit très vite. Un peu trop vite pour Benoît dont l’aura de chef d’entreprise familiale et paternaliste est mal à l’aise. En 2006 il vend ses parts et fonde une 2ème boîte dans le même secteur, cette fois associé à son petit frère Antoine Rouly. Cleaneol est lancée et la suite de cette histoire est à écouter dans cet épisode palpitant. Benoît nous recommande la lecture de la revue Harvard Business Review. Nous citons dans cet épisode Philippe Bloch, BFM Business, Stéphane Soumier, les podcast Le gratin et Génération do it yourself. Cet épisode est le plus long que j’ai enregistré 1h55 ! (Matthieu Stefani sors de mon corps ! ;) Je remercie le restaurant le p’tit Zinc et son patron Arnaud Demerseman pour l’accueil lors de cet enregistrement. Arnaud, il va falloir que l’on se croise ! Enfin je remercie Jean Baptiste Vargas pour la mise en relation.
C'est en Normandie que je me trouve, précisément sur une célèbre colline, le Mont Saint-Aignan. Célèbre colline mais aussi célèbre commune près de Rouen, notamment pour abriter le plus grand site universitaire de la région. Ce choix de lieu sans doute parce que la personne en face de moi nous invite à prendre de la hauteur. Et je ne dis pas ça parce qu'elle fait deux fois ma taille. Animatrice radio et télé, rédactrice, formatrice et ambassadrice d'un monde nouveau et plus vert, médiatrice, conférencière, bonne vivante mais aussi mère ; certains diraient d'elle qu'elle est boulimique, cumularde, mais moi je la perçois comme une passionnée. D'une grâce, d'un charme et d'un dynamisme qui font l'unanimité, elle a fait de son nom et son visage une marque, SA marque ! Elle s'appelle Rebecca ARMSTRONG.
Le 30 novembre dernier s'est tenue, dans l'enceinte de la Maison de l'Université de Mont-Saint-Aignan, une table ronde ayant pour postulat de départ la question suivante : « Séries et cinéma : confrontation ou complémentarité ? ». Organisée par la Licence professionnelle Métiers de la médiation culturelle de l'Université de Rouen, celle-ci a réuni Sylvaine Bataille, docteure en littérature anglaise, Pierre Ziemniak, assistant exécutif auprès des producteurs de la série Le Bureau des légendes, et moi-même. Le médium télévisuel se transforme à une vitesse vertigineuse, à tel point que l’on en vient à se demander si la « bulle » spéculative entourant la production de séries à succès potentiellement international ne va pas finir par éclater. Plus que jamais, il apparaît donc propice de s’interroger sur la nature de l’objet sériel et sur ce qui nous pousse (ou non) à continuer de vouloir l’explorer. C’est ce que nous vous proposons de faire dans le cadre de cette table ronde articulée assez librement autour de trois axes : historique, esthétique et économique. De la série française des premiers temps aux récentes couvertures des Cahiers du cinéma dédiées à la troisième saison de Twin Peaks, le spectre est large et les pistes de réflexion, pour le moins foisonnantes. Qu’on se le dise : qu’elles se regardent sur grand écran, sur tablette ou sur smartphone, les séries télévisées n’ont pas encore fini de faire parler d’elles…
Le 30 novembre dernier s'est tenue, dans l'enceinte de la Maison de l'Université de Mont-Saint-Aignan, une table ronde ayant pour postulat de départ la question suivante : « Séries et cinéma : confrontation ou complémentarité ? ». Organisée par la Licence professionnelle Métiers de la médiation culturelle de l'Université de Rouen, celle-ci a réuni Sylvaine Bataille, docteure en littérature anglaise, Pierre Ziemniak, assistant exécutif auprès des producteurs de la série Le Bureau des légendes, et moi-même. Le médium télévisuel se transforme à une vitesse vertigineuse, à tel point que l’on en vient à se demander si la « bulle » spéculative entourant la production de séries à succès potentiellement international ne va pas finir par éclater. Plus que jamais, il apparaît donc propice de s’interroger sur la nature de l’objet sériel et sur ce qui nous pousse (ou non) à continuer de vouloir l’explorer. C’est ce que nous vous proposons de faire dans le cadre de cette table ronde articulée assez librement autour de trois axes : historique, esthétique et économique. De la série française des premiers temps aux récentes couvertures des Cahiers du cinéma dédiées à la troisième saison de Twin Peaks, le spectre est large et les pistes de réflexion, pour le moins foisonnantes. Qu’on se le dise : qu’elles se regardent sur grand écran, sur tablette ou sur smartphone, les séries télévisées n’ont pas encore fini de faire parler d’elles…
Le 30 novembre dernier s'est tenue, dans l'enceinte de la Maison de l'Université de Mont-Saint-Aignan, une table ronde ayant pour postulat de départ la question suivante : « Séries et cinéma : confrontation ou complémentarité ? ». Organisée par la Licence professionnelle Métiers de la médiation culturelle de l'Université de Rouen, celle-ci a réuni Sylvaine Bataille, docteure en littérature anglaise, Pierre Ziemniak, assistant exécutif auprès des producteurs de la série Le Bureau des légendes, et moi-même. Le médium télévisuel se transforme à une vitesse vertigineuse, à tel point que l'on en vient à se demander si la « bulle » spéculative entourant la production de séries à succès potentiellement international ne va pas finir par éclater. Plus que jamais, il apparaît donc propice de s'interroger sur la nature de l'objet sériel et sur ce qui nous pousse (ou non) à continuer de vouloir l'explorer. C'est ce que nous vous proposons de faire dans le cadre de cette table ronde articulée assez librement autour de trois axes : historique, esthétique et économique. De la série française des premiers temps aux récentes couvertures des Cahiers du cinéma dédiées à la troisième saison de Twin Peaks, le spectre est large et les pistes de réflexion, pour le moins foisonnantes. Qu'on se le dise : qu'elles se regardent sur grand écran, sur tablette ou sur smartphone, les séries télévisées n'ont pas encore fini de faire parler d'elles…