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Clásica FM Radio - Podcast de Música Clásica
Sinfonías Clásicas Españolas | Hoy Toca

Clásica FM Radio - Podcast de Música Clásica

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 54:44


Carlos Iribarren | Las sinfonías clásicas llaman la atención de nuestros oyentes y tras haber grabado episodios con obras alemanas, checas, francesas e italianas, hoy es el turno de algunas joyas compuestas en España entre mediados del siglo XVIII y comienzos del XIX. Sus autores son conocidos en algunos casos: Juan Crisóstomo Arriaga es el mejor ejemplo y se le conoció, por varios motivos, como “El Mozart español”. Por otra parte, escucharemos piezas destacadas de compositores menos famosos como Luis Misón, Josep Nonó, Francisco Javier Moreno y María Luisa de Borbón, quien aparece en el célebre cuadro de Goya “La familia de Carlos IV”, pues era hija del rey de aquel momento en España. Así de variada y sorprendente es la nueva entrega de Hoy Toca, el programa de Clásica FM que te quiere sorprender.

Au cœur de l'histoire
De la cause des Noirs aux droits des femmes, qui était Olympe de Gouges ?

Au cœur de l'histoire

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 20:32


Virginie Girod vous fait découvrir une pionnière de la lutte pour l'émancipation féminine : Olympe de Gouges !Femmes de lettres, Olympe de Gouges a mis sa plume au service de ses convictions. En 1791, elle publie sa fameuse Déclaration des droits de la Femme et de la Citoyenne.Ce n'est d'ailleurs pas son seul combat : Olympe de Gouges lutte pour l'égalité de manière générale. Opposée à l'esclavage et la traite négrière, elle réfléchit aussi à la place des personnes âgées et des indigents dans notre société, ce qui là encore, est révolutionnaire.Elle n'aura cependant pas réussi à faire triompher ses idées de son vivant. Olympe de Gouges est guillotinée sous la Terreur pour sa proximité avec les Girondins. Longtemps, la pionnière des féministes françaises est restée dans l'ombre de l'Histoire, victime de critiques acerbes. Aujourd'hui, son buste trône à l'Assemblée nationale.En compagnie de Cécile Berly, historienne spécialiste du XVIIIème siècle et auteure du livre "Guillotinées" (éditions Passés Composés), Virginie Girod revient sur les nombreux combats qu'a menés cette héroïne de la Révolution française longtemps tombée dans l'oubli. (rediffusion)Au Cœur de l'Histoire est un podcast Europe 1.- Présentation : Virginie Girod - Production : Caroline Garnier et Nathan Laporte - Réalisation : Nicolas Gaspard- Composition de la musique originale : Julien Tharaud et Sébastien Guidis- Rédaction et Diffusion : Nathan Laporte et Clara Ménard- Visuel : Sidonie ManginHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La marche du monde
«Deberlinization», comment sortir de l'impasse coloniale ? (Épisode 2)

La marche du monde

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 48:29


Épisode 2 : Refaire l'histoire. Une conférence historique pour sortir de l'impasse coloniale soutenue par le griot de la jeunesse africaine Tiken Jah Fakoly, où intellectuels et artistes se sont retrouvés pour revisiter la Conférence berlinoise de 1885… quand ils ont partagé le monde. Mais comment refaire l'histoire ? Berlin 1885. Le chancelier allemand Otto von Bismarck convoque une conférence à Berlin afin d'organiser le partage du continent africain entre les puissances industrielles et militaires émergentes. Cette réunion, à laquelle participèrent quatorze pays européens, les États-Unis et l'Empire ottoman, visait principalement à préserver leurs intérêts extractivistes et commerciaux. Ce processus a conduit à une profonde fragmentation des structures politiques endogènes du continent africain, marquant durablement son histoire politique, économique et sociale. Pour les Africains, ce processus inaugura une ère de résistance et de lutte pour l'autodétermination. Berlin 2001. Mansour Ciss Kanakassy, ​​plasticien berlinois d'origine africaine, imagine le Laboratoire de Deberlinization. L'artiste développe des outils symboliques afin de tracer un chemin vers l'émancipation. Ce kit d'urgence comprend un Global Pass pour faciliter la liberté de circulation le monde, ainsi que l'AFRO, une monnaie imaginaire panafricaniste, libérée des contraintes du CFA (indexation sur les garanties de change et de la tutelle des banques centrales exogènes). À la croisée de la création artistique et de la critique sociale, le laboratoire de Deberlinization invite à la réflexion sur la possibilité (individuelle ou collective) d'une refonte du lien civil au sein et en dehors de l'État postcolonial. Berlin 2025. À l'initiative du Professeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikung, directeur de HKW, la Conférence Deberlinization s'inscrit dans la continuité de l'utopie performative imaginée par Mansour Ciss Kanakassy pour considérer les conditions possibles d'un récit alternatif sur l'ordre du monde et son avenir, une poétique transformatrice de la relation entre l'action créatrice et les formes de résistance, l'histoire, la mémoire, la prospective – bref, un champ d'expérience et un horizon d'attente. Dans ce second épisode, vous écoutez les voix de Bonaventure Soh Bejeng Ndikung (directeur et directeur artistique de Haus der Kulturen der Welt), Tiken Jah Fakoly, (chanteur et activiste) soutien de la manifestation, Célestin Monga, (professeur d'économie à Harvard), Simon Njami, (écrivain et commissaire d'exposition) et Yousra Abourabi, (professeure de sciences politiques à l'Université de Rabat). Pour écouter l'épisode 1 c'est ici. Un grand merci à toute l'équipe de HKW à Berlin et particulièrement à son directeur Bonaventure Soh Bejeng Ndikun pour nous avoir accordé ce grand entretien :     Valérie Nivelon : En introduction de cet évènement DEBERLINIZATION, vous avez demandé une minute de silence à la mémoire de Lawrence, un jeune Noir tué par des policiers au printemps 2025. Quel lien établissez-vous entre la mort de ce jeune homme et la conférence de Berlin de 1885 ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La mort de Lawrence est en fait un assassinat. Il a été tué par un policier et ce n'était pas par hasard, en fait, on lui a tiré dessus par derrière. Et la police a essayé de mentir en accusant Lawrence d'avoir attaqué un policier, ce qui s'est avéré faux. Il s'agit en fait de la longue histoire du racisme et de la déshumanisation, dont la Conférence de Berlin est un moment essentiel. Cette rencontre qui a eu lieu ici à Berlin en 1884-85 pour partager le continent africain sans les Africains, sans tenir aucunement compte de leur intérêt, sans aucun respect pour les cultures africaines et encore moins les êtres humains réduits au même niveau de statut que les machines pour travailler dans les plantations afin de créer des ressources pour l'Europe. C'est un acte de déshumanisation qui a été institutionnalisé dans cette conférence et qui a perduré dans les institutions, pas seulement en Europe, mais aussi en Afrique et un peu partout dans le monde. Donc la mort de Lawrence a un lien direct avec cette conférence.   Valérie Nivelon : Votre intérêt pour l'impact de la conférence de Berlin sur la déshumanisation des Africains ici en Allemagne, en Europe, mais aussi sur la brutalisation des sociétés africaines remonte-t-il à la création de Savvy Contemporary dont vous fêtez les 15 ans de création ?  Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Oui, c'est une très bonne question d'autant que Savvy a été fondé en 2009 pour une raison très simple, celle de notre invisibilité dans les institutions culturelles allemandes alors que la relation entre le continent africain et l'Europe est très forte. C'était très, très rare de voir les artistes, les penseurs des autres continents ici représentés à Berlin. Donc on a voulu tout simplement créer un espace où on peut présenter les philosophies plurielles du monde, les pensées du monde, les littératures, les poésies du monde. Et donc on a créé un espace qui n'est pas limité à une géographie, mais ouvert à tout le monde depuis Berlin, dont on ne peut pas négliger l'histoire. Des histoires multiples qui coexistent depuis bien avant la colonisation puisque le Royaume de Prusse a déjà des implantations coloniales au XVIIè siècle. Et donc en 2014, pour les 130 ans de la conférence de Berlin, on a invité le curateur camerounais Simon Njami pour imaginer une exposition sur cette histoire et il a fait une proposition qui était géniale «Nous sommes tous les Berlinois». C'était une belle provocation, mais c'était surtout dire : «Si le président américain J.F Kennedy pouvait dire «Je suis un Berlinois» en étant à Berlin pendant quelques heures en 1963 en pleine guerre froide, alors nous autres qui venions d'une Afrique violemment transformée par le Conférence de Berlin, sommes également des Berlinois !» Et on a fait cette exposition et une grande conférence où il y avait des sujets sur les projets, sur la restitution, sur les droits humains etc. Et il était clair que, en 2024-25, il fallait continuer à refaire l'Histoire ! Et ce n'est pas que l'histoire des Africains, c'est l'histoire du monde.   Valérie Nivelon : Lorsque vous créez l'espace, Savvy pour inscrire une géographie africaine ici à Berlin. Est-ce que vous vous sentez en communion avec Présence africaine, telle que Alioune Diop l'a conçu, c'est-à-dire pour inscrire un espace géographique africain à Paris à la sortie de la Deuxième Guerre mondiale ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung  Tout à fait. Ça procède du même état d'esprit. Alioune Diop a fondé la revue Présence africaine en 1947 à Paris, mais très vite des publications ont vu le jour sur le continent. Je pense à la revue Abbia, qui a été fondée au Cameroun en 1962, l'une des toutes premières revues de la culture postcoloniale fondée par le professeur Bernard Fonlon, Marcien Towa et Eldridge Mohammadou. Je pense également à Souffles, lancé en 1966 au Maroc, par des jeunes poètes et artistes peintres, mais aussi la Revue Noire, qui est plus récente mais qui était tellement importante pour pouvoir imaginer un lieu de fédération de nos savoirs. C'est dans cette généalogie intellectuelle que nous avons démarré Savvy, pas seulement avec un lieu, des expositions, mais aussi avec une publication Savvy journal. Donc ça, c'est un peu la généalogie intellectuelle de Savvy, sachant que nos références sont beaucoup plus nombreuses.   Valérie Nivelon : Ce que je trouve très intéressant, c'est l'affirmation d'une présence africaine par les Africains eux-mêmes. Et vous avez d'ailleurs tenu à rendre hommage à l'un des tout premiers Africains universitaires diplômés ici à Berlin. Est-ce que vous pouvez nous dire pourquoi vous tenez à ce que l'on se souvienne de lui ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Et bien, nous sommes dans mon bureau ici à Berlin, à la Maison des Cultures du Monde et en face de nous, une peinture d'un jeune Camerounais qui s'appelle Adjani Okpu-Egbe. Et sur cette peinture, on peut lire le nom Anton Wilhelm Amo, personnage tellement important dans notre histoire. Il a été kidnappé au début du XVIIIè siècle, dans son village situé dans l'actuel Ghana, et offert comme cadeau au duc de Brunswick-Lunebourg. Et il a été prénommé Anton comme le duc. Pouvez-vous imaginer qu'un être humain puisse être offert comme un cadeau ? Il a néanmoins reçu une éducation sérieuse et il a étudié au Collège de philosophie à l'Université de Halle. Anton Wilhem Amo est donc un ancien esclave devenu le premier Africain à avoir obtenu un doctorat dans une Université européenne ! Je considère qu'il fait partie de l'histoire de l'Allemagne et de l'Histoire de la philosophie en Allemagne alors qu'il a été effacé de l'histoire de la philosophie de l'Europe pour les raisons que nous connaissons tous. Mais c'est notre devoir de rendre visible son travail. Donc, en 2020, j'ai fait une exposition qui s'appelait The Faculty of Sensing, pour rendre hommage à l'une de ses thèses, et pour moi, c'était important. Pas seulement de faire connaitre sa biographie, mais aussi sa pensée. Et on a invité une vingtaine d'artistes de partout, du monde, et 90% n'avaient jamais entendu parler d'Anton Wilhem Amo.. ce n'est plus le cas !   Valérie Nivelon : Savvy Contemporary a été une expérience intellectuelle et artistique prémonitoire et quinze ans après sa création, vous dirigez La maison des cultures du monde et vous êtes également le premier Africain à diriger une institution culturelle européenne de cette envergure. 140 ans après le Conférence de Berlin, vous avez choisi de créer l'événement DEBERLINIZATION. Pourquoi avez-vous sollicité la présence de Mansour Ciss Kanakassy, à l'origine de ce concept ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : Je connais le travail de Mansour Ciss Kanakassy depuis longtemps et Mansour, qui est Sénégalais, a proposé un laboratoire de DEBERLINIZATION et sur l'affiche qu'il a créée pour l'annoncer, on peut voir la porte de Brandenburg à Berlin et la carte de l'Afrique. Et dans les différentes manifestations dans lesquelles il se produit, il propose ses billets AFRO, monnaie commune africaine qu'il a inventée en réponse au CFA. Son projet artistique est à la fois très provocateur et très concret, d'avant-garde. Comme James Baldwin le disait. «Quel est le rôle de l'artiste, c'est de poser des questions à des réponses qui sont déjà là». Et la question la plus importante du XXè siècle et XXIè siècle, c'est une question d'économie en fait et des moyens d'échange. Donc la monnaie. Mais comme vous le savez, la plupart des pays en Afrique francophone utilisent cette monnaie coloniale qui s'appelle le CFA. Pourtant, depuis l'indépendance, les grands politiciens panafricanistes comme Nkrumah, comme Olympio, comme Sankara ont toujours dit que l'Afrique ne peut sortir de la domination coloniale sans créer sa propre monnaie. Et ces nationalistes ont été soit renversés, soit assassinés. Donc on en est là. Les politiciens parlent, mais les artistes font. Mais la monnaie est aussi un vecteur de savoir, une archive. Donc si vous regardez les billets AFRO de Mansour, vous voyez l'image de Cheikh Anta Diop. Vous voyez l'image de Kwame Nkrumah. Vous voyez l'image de Sankara, de Bathily, d'Aminata Traoré, de celles et ceux qui ont œuvré pour le monde africain.   Valérie Nivelon : Est-ce que vous pouvez nous parler de votre conception de la culture ici à la Maison des cultures du monde, vous incarnez une présence africaine ici à Berlin, vous avez une responsabilité en tant que directeur d'une institution culturelle, que revendiquez-vous dans votre façon de penser cette DEBERLINIZATION ? Bonaventure Soh Bejeng Ndikung : La DEBERLINIZATION ne peut avoir un sens uniquement si c'est une expression pluridisciplinaire. Bien sûr, on a invité un économiste comme Célestin Monga, mais également des personnalités du monde de la culture.. Ça a toujours été important dans ma pratique de faire savoir que l'Université n'a pas le monopole de la fabrique des savoirs. Des artistes comme Tiken Jah Fakoly ou Didier Awadi sont des grands intellectuels aussi. Et ils arrivent à dire des choses que beaucoup d'autres personnes ne peuvent pas dire. J'ajoute qu'il a toujours été important pour moi de travailler dans l'univers de la poésie car les poètes nous donnent des clés de lecture pour pénétrer l'opacité du monde. Mais on invite aussi les scientifiques, les philosophes… je cherche à orchestrer un discours choral, polyphonique et pluridisciplinaire !!! C'est ma conception de la culture. Ce que nous avons souhaité avec Franck Hermann Ekra et Ibou Coulibaly Diallo (co-commissaires de DEBERLINIZATION ), c'est penser les archives du futur, je veux dire créer de nouvelles archives. Le projet DEBERLINIZATION a l'ambition d'impulser le remembrement de l'Afrique qui a été démembrée à Berlin en 1885, découpée, déchiquetée. Le Professeur Mamadou Diouf a parlé de la berlinization comme d'un déracinement profond. Donc ce qu'on a essayé de faire, c'est d'amener cette complexité ici à HKW, un lieu où on peut réfléchir. En ce qui me concerne, je veux passer le reste de ma vie à réfléchir à ce que veut dire être humain. Bon anniversaire à Savvy contemporary.   Découvrir La maison des cultures du monde et le programme Deberlinization.   À paraître : - Deberlinization – Refabulating the World, A Theory of Praxis - Deberlinization - Les presses du réel (livre). À lire : Le pari acoustique de Tiken Jah Fakoly. À écouter : Le concert acoustique de Tiken Jah Fakoly enregistré par RFI Labo salle Pleyel à Paris.

Palestras e Estudos do Ceasa
Nos Domínios da Mediunidade - Apontamentos à margem - Cap. XVIII - 29.10.2025 - Gilberto Mesquita

Palestras e Estudos do Ceasa

Play Episode Listen Later Nov 1, 2025 35:06


Estudo  do Livro Nos Domínios da Mediunidade - CEASA - Centro Espírita Abel Sebastião de Almeida - Rio de Janeiro - Brasil

DianaUribe.fm
Pueblos Patrimonio de Colombia V: Monguí, Villa de Leyva y Barichara

DianaUribe.fm

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 55:03


Bienvenidos a un nuevo capítulo de nuestra serie de los pueblos patrimonio de Colombia. Hoy exploramos tres joyas coloniales: Barichara, Villa de Leyva y Mongu. Descubriremos este legado histórico, arquitectónico y cultural. Barichara, uno de los pueblos más lindos de nuestro país, Villa de Leyva, un tesoro colonial en el corazón de Boyacá y Monguí, una población que junta naturaleza, saber artesanal y devoción. Caminaremos por las calles de piedra que nos hablan de los siglos XVII y XVIII, y sentiremos cómo las leyendas, el arte y paisajes de cada lugar los convierten en espacios vivos de nuestra identidad nacional. Agradecimientos a Laura Fuya (Villa de Leyva), Wilson Morales (Monguí), Alejandra Espinosa Uribe (Barichara) Notas del episodio: La página de la Red de pueblos patrimonio de Colombia Un acercamiento al mundo de la cultura Guante Aquí una reseña sobre los muiscas, uno de los pueblos "raíces" del altiplano cundiboyacense Barichara: un pueblo de encanto Villa de Leyva: la "ciudad madre" Monguí: "el pueblo más lindo de Boyacá" Sigue mis proyectos en otros lugares: YouTube ➔ youtube.com/@DianaUribefm Instagram ➔ instagram.com/dianauribe.fm Facebook ➔ facebook.com/dianauribe.fm Sitio web ➔ dianauribe.fm Twitter ➔ x.com/DianaUribefm LinkedIn ➔ www.linkedin.com/in/diana-uribe Agradecimientos a: la Red de Pueblos Patrimonio de Colombia Fontur Ministerio de Comercio, Industria y Turismo Gracias de nuevo a nuestra comunidad de patreon por apoyar la producción de este episodio. Si quieres unirte, visita www.dianauribe.fm/comunidad

Poniendo las Calles
01:30H | 30 OCT 2025 | Poniendo las Calles

Poniendo las Calles

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 30:00


El programa de radio analiza varios temas. Se comenta sobre el libro de Rodri y la actualidad del fútbol, incluyendo el Real Madrid, Vinicius y la actuación de Fermín. Se repasa la polémica en el partido Español-Elche con la mención de Carme Farré y el estilo de retransmisión de Alba Oliveros. En Fórmula 1, se destaca la invitación de Fernando Alonso a Aitana al box de Aston Martin y una canción dedicada a ellos. Se menciona el programa "Línea de Cal" y el concurso "El jamón de Pedrito Martín". En "Tiempo de Juego" de COPE, hay una ronda informativa caótica. Carlos Moreno, "El Pulpo", en "Poniendo las Calles" de COPE, aborda el hallazgo de un tesoro de un barco español del siglo XVIII en Florida, con la participación del arqueólogo Michelle Estefanile, quien subraya la diferencia entre el valor histórico y comercial de estos descubrimientos, poniendo como ejemplo Pompeya. Finalmente, se invita a la audiencia a compartir cuál es su mayor tesoro personal.

RdMCast
RdMCast #526 – Especial Scream Queens: Mia Goth

RdMCast

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 71:18


De origem multicultural, a neta da atriz brasileira Maria Gladys, Mia Goth, é nossa última Scream Queen de outubro! Estreando nas telonas em 2013, com o polêmico Ninfomaníaca, a quase brasileira trabalhou sem parar, fazendo parceria com diretoras, uma dobradinha com a Anya Taylor-Joy, muito horror, e muito filme… bizarro, pra dizer o mínimo. Passando por um spa nos alpes, por uma casa no interior dos EUA, pelo século XVIII e até mesmo pelo espaço, a intérprete de Maxine Minx e Pearl se consolidou como uma das queridinhas do horror atual. Nesse episódio em sua homenagem, discutimos sua filmografia e alguns de seus rumos futuros, visto que ela já está confirmada em algumas grandes produções fora do horror. Mas não se preocupem, se tem uma coisa que a Mia Goth gosta de fazer é nos surpreender – e nos aterrorizar.O RdMCast é produzido e apresentado por: Gabriel Braga, Thiago Natário e Gabi Larocca.Apoie o RdM e receba recompensas exclusivas: https://apoia.se/rdmCITADOS NO PROGRAMA:Ninfomaníaca – Volume 2 (2013)O Sobrevivente (2015)Evereste (2015)A Cura (2016)O Segredo de Marrowbone (2017)High Life: Uma Nova Vida (2018)Suspiria (2018)Emma (2020)Mayday (2021)X – A Marca da Morte (2022)Pearl (2022)The House (2022)Piscina Infinita (2023)Maxxxine (2024)Frankenstein (2025)A Odisseia (2026)Star Wars: Starfighter (2027)Citações off topic:Melancolia (2011)O Chamado (2002)Mickey 17 (2025)Emma (1996)Rivais (2024)O Menu (2022)A Colina Escarlate (2015)Ilha do Medo (2010)Lars von Trier — “I understand Hitler…”EPISÓDIOS CITADOS:RdMCast #232 – Ilha do Medo: o Horror em ScorseseRdMCast #322 – Embate Horror Japonês: O Chamado X O GritoRdMCast #409 – 7 ótimos filmes de horror no espaçoRdMCast #382 – Saga Crepúsculo (feat. Mabê)RdMCast #495 – Mickey 17 e o Horror social em Bong Joon-hoRdMCast #310 – Suspiria e a Trilogia das Três MãesRdMCast #387 – X, Pearl e porque Mia Goth é uma estrelaRdMCast #463 – MaXXXineRdMCast #502 – Franquia VHS: aliens, found footage e fitas amaldiçoadasRdMCast #421 – O mundo bizarro de CronenbergzinhoRdMCast #338 – Os Monstros de Guillermo Del ToroSiga o RdMYoutube: https://www.youtube.com/c/Rep%C3%BAblicadoMedoInstagram: @republicadomedoTwitter: @RdmcastEntre em contato através do: contato@republicadomedo.com.brLoja do RdMConheça nossos produtos: https://lojaflutuante.com.br/?produto=RdmPODCAST EDITADO PORFelipe LourençoESTÚDIO GRIM – Design para conteúdo digitalPortfólio: https://estudiogrim.com.br/Instagram: @estudiogrimContato: contato@estudiogrim.com.br

Discípulo y profeta
Musica para el encuentro, parte XVIII

Discípulo y profeta

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 56:00


Conducido por el cantautor Rafael Moreno, es un encuentro de oración, canto y reflexión para renovar nuestro compromiso con Cristo Jesús, que nos invita a ser siempre discípulos y profetas de su reino. Cada semana desde su propio estudio de grabación este gran productor, compositor y músico católico cantará y tocará en vivo sus más exitosos temas musicales. No te pierdas la oportunidad de tener tu propio asiento en este nuevo programa de evangelización donde la fe y la música se unirán para que puedas ser discípulo y profeta.

The Reconciled Church / Daughters of Zion Ministries
The Study of Proverbs Part XVIII Proverbs 11:1-10 10.29.2025

The Reconciled Church / Daughters of Zion Ministries

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 59:33


Почему мы еще живы
Разводить до бесконечности: полная история гомеопатии

Почему мы еще живы

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 45:08


Гомеопатию разоблачали с момента её появления в XVIII веке, но эти лекарства по-прежнему отлично продаются. Может быть, она все-таки работает? А что там с эффектом плацебо? И почему Елена Малышева готова драться с гомеопатами? В первом эпизоде седьмого сезона разбираемся в одном из самых удивительных медицинских явлений, которое за двести лет своего существования так и не получило однозначного и всех устраивающего легального статуса.Эксперт эпизода: Вика Буева, провизор, кандидат фармацевтических наук, автор блога в телеграме https://t.me/buewa Слушать подкаст «Время и деньги»: https://music.yandex.ru/album/18837614 

Authentic Biochemistry
Ischemic Stroke XVIII 26 October 25 Authentic Biochemistry Podcast Dr Daniel J Guerra

Authentic Biochemistry

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 56:09


ReferencesProc Natl Acad Sci U S A. 2023 Jan30;120(6):e2219630120.Cells. 2023 Mar 14;12(6):896Guerra, DJ. 2025. Unpublished LecturesHunter, R. 1974 Tales of the Great Rum Runnershttps://music.youtube.com/watch?v=E7Dc_cJQzKw&si=EpCSXN61dFWr5K0ZIbid. Dry Dusty Road.https://music.youtube.com/watch?v=Jj7VoM6LvVw&si=U1geVxRp_-5ZYtFRMozart, WA, 1778. Concerto for Flute Harp and Orchestra in C Major K.299https://music.youtube.com/watch?v=nheif2BuFz0&si=NKLWDFAzlA8ztX8e

Catalisadores
Ep 51 - Benjamin Constant: Guardião da Liberdade em Tempos de Instabilidade

Catalisadores

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 13:35


Em meio ao turbilhão político e cultural do final do século XVIII e início do XIX, destaca-se Benjamin Constant de Rebecque (1767–1830) como uma voz que buscou o equilíbrio entre os extremos da tirania monárquica e do radicalismo revolucionário. Nascido na Suíça e educado na tradição protestante, Constant tornou-se um dos mais refinados pensadores do liberalismo — não como ideologia política de mercado, mas como fundamento espiritual e institucional da convivência civilizada. Sua relevância não é apenas histórica, mas profundamente eclesiológica e escatológica. Diante dos desafios contemporâneos enfrentados pela Igreja Adventista do Sétimo Dia, o pensamento de Constant oferece paralelos, mas também limites: sua defesa das liberdades formais precisa ser complementada por um impulso bíblico, espiritual, apostólico e profético — algo essencial para uma igreja que vive sob a expectativa do breve retorno de Cristo e que estrutura sua liderança de forma representativa e missionária. A tensão entre liberdade e ordem, entre instituição e carisma, entre prudência e profecia, exige mais do que equilíbrio político: exige fidelidade escatológica.

Professor HOC
BOMBA POPULACIONAL: O PESADELO DE MALTHUS - HISTÓRIA DO DINHEIRO EP. 8

Professor HOC

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 17:37


No fim do século XVIII, Thomas Malthus lançou a ideia mais incômoda da economia: populações crescem em ritmo mais rápido do que a produção de alimentos — e, sem freios, a miséria volta sempre. Neste vídeo, partimos do “Scrooge” de Dickens para entender por que Malthus virou o “estraga-prazeres” da era vitoriana, como sua aritmética (população x alimentos) dialogou com a “lei de ferro dos salários” de Ricardo e por que utopistas como Owen, Fourier e Saint-Simon rejeitaram esse pessimismo. Depois, mostramos o que a história fez com essa tese: medicina, saneamento, produtividade agrícola, energia a vapor e a Revolução Industrial desmontaram os velhos limites; a renda disparou, a mortalidade caiu e a própria fertilidade encolheu — invertendo a profecia malthusiana.No final, você sai com um mapa simples: o que Malthus acertou, o que errou e o que ainda importa para entender crescimento, pobreza e demografia hoje. Comente: qual parte da tese malthusiana você acha que ainda se aplica — e onde ela falha de vez?

il posto delle parole
Sofia Villano - Il "Divino" Guido Reni

il posto delle parole

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 18:29


Sofia VillanoIl "divino" Guido Reni In occasione del 450° anniversario della nascita,l'esposizione presenta un nucleo di opere che documenta l'apprezzamento della corte sabauda, fin dalla nascita delle collezioni ducali e nel corso dei secoli, tra il Seicento e l'Ottocento, per l'arte di Guido Reni. Per la prima volta, dopo un complesso intervento di restauro, viene presentata la pala raffigurante l'Assunzione della Vergine, riscoperta nella chiesa parrocchiale di Abbadia Alpina, frazione di Pinerolo (TO), testimonianza della prima attività romana dell'artista. A cura di Annamaria Bava e Sofia Villano.Fino al 18 gennaio 2026, nello Spazio Scoperte dei Musei Reali di Torino, al secondo piano della Galleria Sabauda, la mostra Il “divino” Guido Reni nelle collezioni sabaude e sugli altari del Piemonte rende omaggio al pittore emiliano, in occasione dei 450 anni dalla sua nascita. La rassegna, curata da Annamaria Bava e Sofia Villano, presenta oltre venti opere tra dipinti, disegni e incisioni che documentano le diverse fasi della carriera del pittore, dagli anni giovanili alla piena maturità. Al nucleo di opere provenienti dalle collezioni dei Musei Reali, si aggiungono tre significativi prestiti dal territorio piemontese e dal Musée des Augustins di Tolosa.L'esposizione illustra l'apprezzamento della corte sabauda, fin dalla nascita delle collezioni ducali, per la pittura classicista bolognese e nello specifico per l'arte di Guido Reni (1575-1642), che già i suoi contemporanei chiamavano “il divino Guido”. Lo stile di Guido Reni, composto e luminoso, incentrato sull'armonia delle forme e sulla celebrazione di una bellezza ideale desunta dai modelli scultorei dell'antichità e dall'arte sublime dei grandi maestri del Rinascimento, doveva essere particolarmente congeniale alla ricerca di maestosità ed eleganza nella progettazione della decorazione e dell'arredo delle residenze sabaude e degli altari di corte. Il percorso espositivo si apre con le opere del maestro entrate nelle collezioni ducali nel Seicento; tra queste, le due versioni di Marsia scorticato da Apollo: quella originariamente collocata nella “Camera delle Muse” del Palazzo Ducale, successivamente requisita dalle truppe napoleoniche nel 1799 e attualmente al Musée des Augustins di Tolosa, e la sua replica seicentesca conservata nella Galleria Sabauda. L'invenzione si distingue per la forza con cui Guido Reni traduce in immagine un celebre episodio tratto dalle Metamorfosi di Ovidio, ovvero la punizione inflitta da Apollo al satiro Marsia, colpevole di aver osato sfidarlo in una gara musicale. La composizione è dominata dalla figura idealizzata di Apollo, incarnazione della bellezza classica e della razionalità divina, in netto contrasto con il corpo martoriato e il volto straziato di Marsia, simbolo della tracotanza punita.Oltre che per la sua forza visiva, il dipinto si segnala per il valore simbolico: la vittoria dell'intelletto e dell'armonia apollinea sulla brutalità e sull'eccesso, un tema caro alla cultura dell'epoca e in linea con le riflessioni che dovevano svolgersi nell'Accademia romana dei Desiosi, fondata dal cardinale Maurizio di Savoia, che ricevette in dono l'opera originale dal cardinale Alessandro d'Este per legato testamentario.Appassionato mecenate e raffinato collezionista, il principe cardinale Maurizio di Savoia, soggiornò per lunghi periodi a Roma, dove ebbe modo di frequentare gli ambienti culturali della corte di papa Urbano VIII Barberini. Grande estimatore della pittura classicista, a lui si devono importanti commissioni ad artisti bolognesi, spesso legate a sofisticate e complesse scene allegoriche.Alla committenza del prelato sabaudo si può far risalire la tela con San Maurizio che riceve la palma del martirio, proveniente dal Santuario di Santa Maria dei Laghi di Avigliana (TO), luogo di antica devozione mariana e meta di pellegrinaggi, sostenuto dai Savoia con doni e offerte nel corso del Seicento come strumento di legittimazione religiosa e politica. L'impianto figurativo vede San Maurizio al centro della scena, in uniforme da legionario romano, con il volto circondato da un'aura luminosa che ne sottolinea la santità. Deposta la spada ai suoi piedi, riceve la palma del martirio da un cherubino, mentre sullo sfondo si scorge la drammatica battaglia della legione tebana da lui guidata. Nel percorso artistico di Guido Reni, il San Maurizio si colloca negli anni 1615 - 1618, in un momento di transizione nel linguaggio del maestro, dal rigore classicista del periodo precedente verso una pittura più morbida e pastosa. Un piccolo olio su rame che ritrae un'allegoria della Fama, caratterizzato da una grande raffinatezza cromatica e formale, apparteneva invece agli averi personali della duchessa di Savoia Cristina di Francia, vedova di Vittorio Amedeo I, che forse lo aveva ricevuto in dono alla fine del 1638 dal marchese Filippo San Martino d'Agliè, suo intimo consigliere. Considerata opera autografa di Guido Reni nei primi inventari e cataloghi a stampa della Reale Galleria di Torino, La Fama sembrerebbe piuttosto attribuibile alla mano di Giovanni Giacomo Sementi, collaboratore del maestro bolognese. Altre importanti tele di Guido Reni appartenevano alle raccolte di pittura del principe Eugenio di Savoia Soissons, abilissimo stratega, comandante in capo dell'esercito asburgico, ma anche raffinato bibliofilo e collezionista di opere d'arte, tra cui alte testimonianze della pittura bolognese di gusto classicista, conservate nelle sue dimore viennesi, il Palazzo di Città e la magnifica residenza extraurbana del Belvedere. Tra i dipinti confluiti nelle collezioni reali dopo la sua morte, grazie all'acquisto di re Carlo Emanuele III, e tuttora esposte in Galleria Sabauda, spiccano il San Giovanni Battista, capolavoro della tarda maturità dell'artista, il San Girolamo, collocabile anch'esso all'ultimo periodo della sua produzione e la Morte di Lucrezia, tema particolarmente frequentato dal pittore.Giunge, invece, dalle raccolte del ramo cadetto dei Savoia Carignano e viene trasferito nel Palazzo Reale di Torino nel 1831 per volere del re Carlo Alberto, il quadro raffigurante una Lotta tra amorini e putti baccanti. L'opera è considerata una seconda versione, verosimilmente autografa, della tela di analogo soggetto eseguita da Guido Reni per il marchese Ludovico Facchinetti di Bologna, oggi conservata alla Galleria Doria Pamphilj di Roma. Una parte della rassegna è dedicata a significativi esempi dell'attività incisoria di Guido Reni appartenenti al fondo di grafica della Galleria Sabauda, come una Madonna con Bambino e san Giovannino e una Sacra famiglia con due angeli in volo, composizioni ariose, di grande eleganza formale e dal segno sicuro e leggero, colme di un sentimento di devozione e tenerezza. I legami del maestro con l'editoria sono documentati dai Dissegni degl'apparati fatti in Bologna per la venuta di N.S. Papa Clemente VIII l'anno MDXCVIII intagliati da Guido Reni, pubblicati per la prima volta a Bologna nel 1598 da Vittorio Benacci, e di cui la Galleria Sabauda conserva il frontespizio e nove tavole dell'edizione senza data stampata sempre a Bologna presso Gioseffo Longhi.A questi fogli, si aggiungono due raffinati disegni a carboncino e pietra rossa attribuiti a Guido Reni presenti nelle raccolte della Biblioteca Reale: uno Studio per una testa di frate in estasi e uno Studio di testa di giovane donna avente sul verso Studi di mani, che mostrano la straordinaria maestria e inventiva del pittore per il tratto delicato, attento alla grazia delle espressioni, all'equilibrio delle proporzioni e alla resa morbida e sfumata del chiaroscuro. La mostra si completa con l'esposizione della maestosa pala raffigurante l'Assunzione della Vergine, appena riscoperta nella chiesa parrocchiale di Abbadia Alpina, frazione di Pinerolo (TO). La presenza del dipinto di Guido Reni fin dall'inizio del Seicento nell'antica e ricchissima abbazia benedettina intitolata a Santa Maria, riedificata nel XVIII secolo e oggi chiesa parrocchiale di San Verano, dà conto di un episodio di committenza di grande interesse. La tela giunse in Piemonte grazie al desiderio dell'abate Ruggero Tritonio di omaggiare la chiesa, di cui nel 1589 era divenuto abate commendatario, abbellendola con l'invio da Roma di un'opera appositamente richiesta a Guido Reni e da lui realizzata tra il 1605 e il 1606.Il dipinto viene esposto al pubblico per la prima volta dopo un complesso intervento di restauro, eseguito dal Laboratorio di Cesare Pagliero sotto la direzione della Soprintendenza Archeologia Belle Arti e Paesaggio per la città metropolitana di Torino, con il sostegno del Ministero della Cultura e della Diocesi di Pinerolo. La tela costituisce un tassello importante della fortuna del maestro emiliano sul territorio piemontese e documenta una preziosa testimonianza della prima attività romana dell'artista, quando il giovane pittore entra in contatto anche con la moderna pittura di Caravaggio.    IL “DIVINO” GUIDO RENI NELLE COLLEZIONI SABAUDE E SUGLI ALTARI DEL PIEMONTETorino, Musei Reali, Galleria Sabauda | Spazio Scoperte (Piazzetta Reale, 1)11 ottobre 2025 – 18 gennaio 2026Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/

#BEZPIECZNIK
S06E05 Kawiarnia – trzecia przestrzeń.

#BEZPIECZNIK

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 39:59


S06E05 Kawiarnia – trzecia przestrzeń.W tej rozmowie bierzemy pod lupę kawiarnie – miejsca, które są czymś więcej niż tylko lokalami gastronomicznymi. Rozmawiamy o koncepcji „trzeciej przestrzeni”, która staje się pomostem między domem a pracą, tworząc idealne warunki do spotkań, odpoczynku i pracy w otoczeniu innych ludzi. Zastanowimy się, jak historia i ewolucja kawiarni ukształtowały ich dzisiejszy charakter, oraz jak architektura, wystrój i atmosfera wpływają na poczucie bezpieczeństwa. Partnerem tego odcinka jest CoffeeDesk – miejsce, które łączy wszystko to, co dobre: zapach świeżo mielonej kawy, piękne akcesoria i uważność na jakość. To właśnie w ich kawiarni na Wilczej w Warszawie lubiłę wpadać na matche na grochu. Ale CoffeeDesk to też sklep, z którego regularnie korzystam. Chcąc uzupełnić zapasy ulubionej kawy mojego męża, kupić dla siebie matchę lub zieloną herbatę, a czasami coś ekstra czyli akcesoria. Mam też dla Was prezent na kod: JURGA dostajecie 50 zł zniżki na zakupy od 250 zł, a kod jest ważny na wszystkie produkty i działa do końca listopad. Jeśli Wy też lubicie takie rytuały, to przesłuchajcie odcinek do końca, ponieważ mam dla Was prezent.  A tymczasem zapraszam na rozmowę z moją fantastyczna gościnią Olgą Drendą.Olga Drenda – antropolożka, pisarka, eseistka i tłumaczka. Autorka książek „Duchologia polska”, „Wyroby”, "Słowo humoru", a także „Czyje jest nasze życie” z Bartłomiejem Dobroczyńskim i "Książki o miłości" z Małgorzatą Halber. Zajmuje się antropologią codzienności, kulturą materialną i przemianami społecznymi po 1989 roku. Laureatka Nagrody Literackiej Gdynia i finalistka Paszportów „Polityki”.Menu wiedzy do odcinka: Oldenburg, Ray. The Great Good Place: Cafes, Coffee Shops, Bookstores, Bars, Hair Salons, and Other Hangouts at the Heart of a Community. Paragon House, 1989 - To jest fundamentalna pozycja wprowadzająca i definiująca koncepcję "Trzeciego Miejsca".Pendergrast, Mark. Uncommon Grounds: The History of Coffee and How It Transformed Our World. Basic Books, 2010. - Obszerna i szczegółowa historia kawy, która zawiera wiele informacji o roli kawiarni jako ośrodków społecznych, politycznych i intelektualnych w Europie i na świecie.Ellis, Aytoun. The Penny Universities: A History of the Coffee-Houses. Secker and Warburg, 1956. - Klasyczna pozycja opisująca rozwój i znaczenie angielskich kawiarni w XVII i XVIII wieku, zwanych "uniwersytetami za pensa".Where to Drink Coffee (Autorzy: Liz Clayton i Avidan Grossman) - To przewodnik i album w jednym, który zawiera zbiór polecanych, często niszowych i architektonicznie ciekawych kawiarni z całego świata (od Tokio po Kopenhagę). Jest aktualizowany i ma bardzo nowoczesny, specialty coffee charakter.The World Atlas of Coffee: From Beans to Brewing (Autor: James Hoffmann) - Choć jest to przede wszystkim kompendium wiedzy o ziarnach i metodach parzenia, zawiera szczegółowe sekcje poświęcone naczyniom i sprzętowi (filiżanki, kubki, drip, chemex, aeropress). Jest to biblia dla każdego, kto chce zrozumieć, jak różne naczynia wpływają na smak i percepcję kawy.

Francia hoy
Montevideo retumba en París con los tambores de la "Rueda de Candombe"

Francia hoy

Play Episode Listen Later Oct 27, 2025 22:44


Cada primer domingo del mes, el Café du Village, en el distrito 13 de París, se llena del ritmo afro-uruguayo del candombe. "La Rueda de Candombe", inspirada en el fenómeno montevideano, reúne a músicos latinoamericanos y franceses que, entre tambores y guitarras, recrean una tradición que es al mismo tiempo celebración, memoria y resistencia. Reportaje de Mariana Rivera Ramírez para RFI. Es común en las familias candomberas de Uruguay que, después de un asado, la sobremesa termine entre guitarras y tambores. Esa atmósfera musical es la que se recrea en el Café du Village, en París, el primer domingo de cada mes desde mayo pasado. Situado en el distrito 13 de París, muy cerca de la Place d'Italie, un grupo de músicos hace los últimos ajustes en ese café, antes de iniciar la Rueda de Candombe uruguaya. Es el momento de acomodar cables, hacer las pruebas de sonido y todo ello, por supuesto, compartiendo el mate. Cuatro de ellos son uruguayos, hay dos franceses y una argentina. Cada quien tiene su propio proyecto musical o se dedica a otros oficios, pero el denominador común es el candombe. Joaquín Fernández es un músico itinerante que viaja con su proyecto solista de canciones, en cuyo repertorio el candombe ocupa un lugar central. Está de paso por París y, como acostumbra en cada ciudad que visita, se reúne con otros músicos para tocar. Allí organizó la Rueda de Candombe, inspirado por el éxito del formato en Montevideo. "Me fascina la estructura del candombe, la forma que adquiere (...) El formato del círculo, el canto en círculo, se ve en varias culturas afro-indígenas de Latinoamérica. Ver ese elemento incorporado al candombe me pareció algo muy bueno y muy efectivo, muy práctico de trabajar", expresa Fernández. La Rueda de Candombe en la capital uruguaya, a la que alude Joaquín, fue un verdadero fenómeno que estalló a fines de 2024. Todo comenzó en un bar, luego de que dos amigos —Caleb Amado y Rolando Fernández, alias Rolo— regresaran de un viaje a Río de Janeiro. Inspirados en las fervientes "Rodas de Samba" brasileñas, "se nos empezó a cruzar por la cabeza la idea de intentar hacer algo parecido con nuestra música", recuerda Rolo. Así decidieron adaptar ese formato y crear su propia Rueda de Candombe. "Teníamos más preguntas que certezas sobre si iba a funcionar. Por ejemplo, si habría repertorio suficiente. En las rodas de samba cariocas las canciones se encadenan durante mucho rato: hay un repertorio gigantesco. Por suerte, esa fue una de las dudas que tuvo una respuesta muy feliz. Se generó un fenómeno muy lindo", cuenta. Ese éxito los llevó a cruzar el Atlántico con su proyecto. Rolo Fernández habló con RFI durante una parada en París, tras la presentación de la Rueda de Candombe en el Festival de Cannes 2025. Allí animaron la fiesta charrúa de la delegación uruguaya participante en el certamen. La convocatoria fue tal que muchas personas de la comunidad uruguaya viajaron desde otras ciudades, como París o Barcelona, para unirse a la Rueda de Candombe en Niza, al pie de un yate en la Riviera francesa. Para Fernández, conceder una entrevista sobre el candombe en esa ciudad, tan lejos de Uruguay, “para cualquier uruguayo es una manera de llevarlo a casa”. Esa sensación de hogar de la que habla Rolo es quizás lo que hace que los tambores del candombe retumben también, a casi once mil kilómetros de Montevideo, en tierras francesas. "Lo amo desde lo más profundo de mi ser"   El fenómeno de las Ruedas Candomberas resuena desde hace un tiempo en París, en el Café du Village, punto de encuentro musical el primer domingo de cada mes. RFI estuvo en la segunda rueda, en junio. Ese día, Joaquín y su grupo de amigos preparaban el espacio para el cierre de la tarde: una mesa central, los tambores, dos guitarras y un par de micrófonos. Jimena Laje dejó Buenos Aires hace más de veinte años huyendo de la crisis económica del Corralito. En París formó el grupo "La Milongón", con el que interpreta milongas, tangos y candombe. Gracias al ritmo de su país vecino, se reencontró con la música y hoy integra la Rueda de Candombe. Laje era mesera en un restaurante cuando conoció a Léo Melo, cantante de Los Maniseros: "Vivía enfrente mío, realmente enfrente. Fue una casualidad (...) Y empecé a aprender de a poquito el chico, el tambor. También sigo aprendiendo otros tambores, piano y repique. Pero el instrumento que prefiero es el tambor. Lo sigo eligiendo y lo amo desde lo más profundo de mi ser". Emmanuel Brun, alias Manu, es otro de los integrantes. Francés, creció en una zona multicultural de París. "Era 'Le Tour du Monde'. Una especie de vuelta al mundo en 80 edificios, porque en cada uno vivía gente de distintos lugares", bromea. Este francés se enganchó al candombe a los 15 años  Gracias a ese entorno, Manu asumió una identidad plural. Se impregnó de la cultura uruguaya desde joven: "Me conecté con el candombe cuando tenía 15 años. Fui a la casa de un amigo uruguayo del liceo a comer tortas fritas. Puso un casete con música uruguaya y candombe. Desde ese día me volví loco con esa música". Esa pasión lo llevó a dejar el bajo y empezar a tocar tambor. Su historia remite a las décadas de 1970 y 1980, cuando la dictadura uruguaya forzó al exilio a unas 380 mil personas. La ciudad donde creció, Fontenay-sous-Bois, en el Val-de-Marne, acogió a muchas familias que huían de las dictaduras de Chile y Uruguay. El candombe, medio de expresión y resistencia de los esclavizados, sigue siendo un vínculo con la memoria para la comunidad uruguaya exiliada en Francia. Así lo expresa Manu: "Mi camino en este género tiene que ver con la militancia. El candombe es una herramienta política y cultural, ligada a formas de resistencia. Me acerqué a activistas afrouruguayos y trabajé con ellos para reescribir la historia del país, para visibilizar los aportes de las poblaciones africanas, afrodescendientes y afroamericanas en la identidad uruguaya. Es una militancia cultural, una lucha pacífica pero no pasiva". Sonidos de resistencia y herencia afrouruguaya Apostar por el formato circular aportó una novedad que generó el boom, pero el candombe se remonta al siglo XVIII, cuando Montevideo fue designada por la corona española como puerto de introducción de esclavos en el sur del Virreinato del Río de la Plata. A fines de ese siglo, un tercio de la población de la ciudad era afrodescendiente. Para sobrellevar la represión, las comunidades se reunían alrededor de los tambores, en las llamadas Salas de Nación, donde recreaban los rituales de sus tierras con música y danza. Con el tiempo, y debido a la estigmatización de la cultura negra, el valor ritual se fue perdiendo. El candombe quedó restringido a los antiguos conventillos, viviendas colectivas de inquilinato. Más adelante, las comparsas de candombe se integraron al carnaval nacional. Hoy los tambores alegran las angostas calles de los barrios Sur y Palermo. El candombe, con sus variaciones rítmicas, es la columna vertebral de muchas canciones uruguayas. Y la Rueda de Candombe es hoy otra plataforma para difundir ese cancionero. "Hace quizás 70 u 80 años, los compositores montevideanos comenzaron a crear canciones con este ritmo. En la Rueda de Candombe tocamos de corrido unas diez o doce canciones por vuelta, todas enlazadas mientras los tambores son el hilo conductor", explica Rolo. Para quienes nacieron en Uruguay, escuchar su música en el extranjero aporta un fuerte sentido de identidad y pertenencia. El candombe es de la calle, no de la universidad  Vicente Pérez, conocido como "Vicho", vive en Francia desde hace más de cinco años. Para él, las nuevas Ruedas de Candombe en París lo reconectan con su impulso natural de tocar y cantar en comunidad: "En Uruguay, en mi tiempo libre, salía a la calle a tocar el tambor y a bailar con mis amigos. Eso en Francia es difícil de encontrar. Desde que llegué sentí que algo me faltaba. Con las Ruedas de Candombe encontré eso que me faltaba. También lo había sentido con las Ruedas de Samba, aunque no es lo mismo. Ambas crean un espacio de libertad, de música y de disfrute", comenta. En el agitado ritmo de París, la convocatoria a la segunda Rueda de Candombe, en junio, fue un éxito. Pasadas las siete de la tarde, la comunidad uruguaya y latina empezó a ocupar todas las sillas del colorido Café du Village. Esa convivencia musical rompe la famosa cuarta pared del escenario, un objetivo de los candomberos que idearon la rueda de Montevideo. Rolo se muestra complacido de que el fenómeno latinoamericano genere eco en París: "Me parece maravilloso y también necesario. Empezamos con la misión de mostrar nuestra música, pero con el tiempo entendimos que había otra misión: la del punto de encuentro", dice Rolo. Para Vicho, el candombe mantiene su esencia popular: "La escuela del candombe es la calle. Uno aprende porque tiene un amigo que toca, o porque en su familia hay tambores, o porque alguien le prestó uno. No es algo que se estudie en la facultad, aunque ojalá algún día sí. Se necesita la transmisión oral, compartir entre amigos y familia para que el conocimiento no se pierda", subraya. Comunión alrededor de los tambores  En medio de la Rueda de Candombe en París, Manu explica al público, en francés, la función de los tres tambores que crean la polirritmia: "Hay tres tambores de tamaños distintos. El más grande, el más grave, se llama tambor piano y lleva la base. El del medio, el repique, es con el que más se improvisa. Y el más agudo, el chico, marca el tiempo y el norte. Eso es candombe". Los primeros tambores, construidos por los esclavos africanos, eran de troncos ahuecados o maderas recicladas de barriles, con un cuero clavado en la boca superior. Vicho explica que ese tambor tradicional sigue vivo y que el calor es esencial para su afinación: "El fuego tiene un lugar muy importante. Antes de tocar, hacemos un fuego y ponemos los tambores alrededor. El fuego sirve también para afinar el tambor". "Hoy tenemos tambores de todos los materiales, con parches y sonidos diversos. Pero hay algo que permanece. No sé si es la relación con el ritmo del cuerpo o algo del espíritu de los pueblos africanos que viajó por el mundo con esos tambores", agrega Vicho. Esa reflexión se hace palpable cuando los tambores inundan el local parisino y se forma un espacio de complicidad. El público, que al principio se mostraba tímido, terminó apartando las sillas para formar un trencito humano alrededor de los músicos. Tres amigas colombianas compartieron la sorpresa de asistir por primera vez a una rueda de candombe. "No me lo esperaba para nada", dijo una. "Estas son las fiestas a las que me tienen que invitar siempre", agregó otra. Un músico francés comentó que comprendió mejor la herencia afrouruguaya del ritmo gracias a las explicaciones. Para muchos —argentinos, mexicanos o costarricenses— fue su primer encuentro con el candombe; para la comunidad uruguaya, una cita con su patria. El candombe es bueno para la salud  Aquella noche fue la segunda Rueda de Candombe en París. Más que un concierto, se sintió como un espacio de comunión, de unión y de pertenencia, en palabras de Joaquín: "Yo creo que la salud puede venir un poco desde ese lado: tocar, bailar, cantar y formar parte de un grupo”. Para Jimena Laje, las ruedas son un punto de encuentro sanador: "A mí lo que me pasa es que me cura; pase lo que pase, cualquier dolor o problema. Cuando toco el tambor me siento regenerada, como nueva". "La música es un impulso vital muy primitivo, algo que está muy dentro de uno", reflexiona Rolo. "El corazón está todo el tiempo percutiendo y marcando el ritmo de nuestras vidas. Lo que sucede en la rueda es casi mántrico: uno se deja llevar por ese maravilloso ritmo y trasciende, por un rato, este plano de lo real”. Cada Rueda de Candombe en París suena a Montevideo. La comunidad uruguaya en el exilio espera ya la próxima fecha. Mientras tanto, en la Plaza España de la Ciudad Vieja de Montevideo, el fenómeno sigue efervescente: donde haya un uruguayo, seguirán sonando los tambores y las canciones de Rubén Rada, Chabela Ramírez, Eduardo Da Luz o Jaime Roos.

Just Cheesy: The Podcast!
206 Spooky

Just Cheesy: The Podcast!

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 11:24 Transcription Available


** Trigger warning - We talk about death, the occult, phobias and other adult themes in this episode. It's spooky season and Cheesy and Fondue learn about ominous writings and trials by cheese. We talk death cheese, and curses that turn travelers into beasts. We find out some tall cheese tales, phobias and of course, we tell a very cheesy joke!Find us at www.justcheesy.com and everywhere you enjoy social media! https://linktr.ee/JustCheesy***Newsly is the sponsor of this episode! Go to https://newsly.me to download the free app and listen to articles, podcasts and digital radio! Get a FREE 1-Month Premium Subscription by using promo code CHEESY. Start listening today! ***Why is cheddar the most dangerous of all the cheeses? Because it is very sharp!Show Notes https://culturecheesemag.com/cheese-iq/witchy-wheys-cast-spells-and-predict-the-future-with-cheese/https://jag.journalagent.com/ejm/pdfs/EJM-89577-CASE_REPORT-SONMEZ.pdfhttps://burialsandbeyond.com/2020/03/24/death-cheese-a-short-history/https://www.ccel.org/ccel/schaff/npnf102.iv.XVIII.18.html?highlight=cheese#highlighthttps://en.wikipedia.org/wiki/Trial_by_ordeal#:~:text=By%20ingestion,-Main%20articles:%20Corsned&text=Franconian%20law%20prescribed%20that%20an,by%20Regino%20of%20Prüm%20ca.https://www.wearethemighty.com/mighty-history/craziest-medieval-germanic-ordeals/?utm_source=chatgpt.comhttps://www.pcrm.org/news/blog/five-frightful-facts-about-cheesehttps://share.upmc.com/2016/11/treating-foot-odor/https://www.dimockdairy.com/ecommerce/ghost-pepper-cheese.htmlhttps://www.worldoftales.com/European_folktales/Dutch_folktale_2.htmlhttps://www.oddlyweirdfiction.com/2016/02/welsh-rarebit-tales-by-harle-oren.html

MOC HISTORII
Klasztor w Imbramowicach cz. 3

MOC HISTORII

Play Episode Listen Later Oct 26, 2025 38:33


Klasztor sióstr Norbertanek obchodzi jubileusz 800 – lecia istnienia. Zanim jednak stanął tu klasztor, miejsce to kryło dawne grodzisko, owiane tajemnicą i legendami, z których jedna łączy się z postacią założyciela zakonu norbertanek. Na początku XVIII wieku miał tu miejsce tragiczny w skutkach pożar. Zakonnice zapisały się w historii Polski, biorąc udział w wydarzeniach Insurekcji Kościuszkowskiej. Do Imbramowic zapraszają Cezary Jastrzębski i Robert Szumielewicz. 

PETcast História
#105: Existe uma mãe ideal?

PETcast História

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 59:34


Existe uma mãe ideal? No PETCAST #105 as petianas Kamile Lima e Luiza Fagundes recebem a professora Karoline Carula e a doutoranda Ingrid Job para responder essa pergunta sob ótica da interseccionalidade de classe e raça.No episódio, é abordado pontos como o surgimento do conceito de mãe ideal e sua disseminação no Rio de Janeiro escravista, bem como o papel da imprensa.Ao final, foi realizado um paralelo entre séc XIX e contemporaneidade, analisando as construções de discursos que utilizam a maternidade.

Catalisadores
Ep 49 - Edmund Burke: Tradição, Prudência e Preservação da Identidade na Igreja

Catalisadores

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 21:10


Ao analisarmos a natureza da liderança eclesiástica e da governança denominacional, frequentemente nos deparamos com a tensão entre conservar e reformar. Essa tensão atravessa séculos e persiste como uma das questões mais urgentes do cristianismo institucional. No caso da Igreja Adventista do Sétimo Dia (IASD), que carrega tanto uma herança profética quanto uma estrutura representativa mundial, o desafio torna-se ainda mais sensível. O pensamento de Edmund Burke, pensador conservador do século XVIII, oferece uma lente significativa para explorar essa tensão — embora exija, ao mesmo tempo, uma crítica robusta, sobretudo quando seus princípios são absolutizados como paradigma universal.

La Biblioteca de Alejandría
Los 15 de Winchester Bibliotecario Podcast - Episodio exclusivo para mecenas

La Biblioteca de Alejandría

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 64:59


¡Vótame en los Premios iVoox 2025! Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! En 1780, un comando compuesto por quice de los mejores hombres del ejército español fueron encarcelados por un delito que no habían cometido, bueno eran del ejército enemigo. No tardaron en fugarse de la prisión en la que se encontraban recluidos. Hoy, buscados por la Royal Navy, sobreviven como pueden. Si tiene algún problema y puede encontrarlos, quizás pueda contratarlos. Estos son los 15 de Winchester. Tonterias aparte, en este podcast os queremos contar la historia de una fuga increíble por parte de un grupo de españoles que como consecuencia de la guerra anglo española, fueron atrapados como prisioneros y llevados a una prisión en suelo británico. Hoy entre otras cosas, os contaremos como pensamos que lograron escapar y llegar hasta tierra aliada. La historia es una excusa para hablar de muchas situaciones y de cómo era el mundo en el siglo XVIII. Esperamos que disfrutéis de este podcast que hemos preparado para nuestros fans. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

Christ For You
Sermon - Trinity XVIII 2025

Christ For You

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 10:15


The sermon from the Eighteenth Sunday after Trinity by Pastor Atkinson.

All Saints Sermons
Fr. Sean's Trinity XVIII Sermon

All Saints Sermons

Play Episode Listen Later Oct 19, 2025 12:33


A sermon for Trinity 18 preached by Fr. Sean McDermott at All Saints Anglican Church in Charlottesville, Virginia on Sunday, October 19, 2025.

VOV - Chương trình thời sự
Thời sự 18h 16/10/2025: Tổng Bí thư Tô Lâm - Hà Nội phải kiến tạo một mô hình quản trị hoàn toàn mới

VOV - Chương trình thời sự

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 56:57


VOV1 - Sáng 16/10, Đại hội đại biểu Đảng bộ thành phố Hà Nội lần thứ XVIII, nhiệm kỳ 2025-2030 khai mạc trọng thể tại Trung tâm Hội nghị Quốc gia với sự tham gia của 550 đại biểu tiêu biểu, đại diện cho gần 500.000 đảng viên của 136 đảng bộ trực thuộc Thành ủy Hà Nội.

VOV - Chương trình thời sự
Thời sự 6h 16/10/2025: Khai mạc Đại hội đại biểu Đảng bộ thành phố Hà Nội lần thứ XVIII

VOV - Chương trình thời sự

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 27:44


- Khai mạc Đại hội đại biểu Đảng bộ thành phố Hà Nội lần thứ 18, nhiệm kỳ 2025-2030 .- Việt Nam đặt mục tiêu bảo đảm vững chắc an ninh năng lượng quốc gia, giảm phát thải cho phát triển kinh tế-xã hội và bảo vệ môi trường sinh thái.- Bộ Giáo dục và Đào tạo khẳng định, thông tin đóng cửa, giải tán cơ sở giáo dục ngoài công lập là sai sự thật- Pakistan và Afghanistan đạt thỏa thuận về một lệnh ngừng bắn tạm thời sau cuộc không kích và giao tranh trên bộ giữa hai nước.- Trong chương trình, Đài Tiếng nói Việt Nam có bình luận nhan đề “ Phát huy trí tuệ toàn dân, đồng lòng kiến tạo tương lai đất nước” đề cập việc lấy ý kiến góp ý vào Dự thảo văn kiện trình Đại hội đại biểu toàn quốc lần thứ 14 của Đảng

VOV - Việt Nam và Thế giới
Tin trong nước - Ba đột phá để Hà Nội chuyển mình trong kỷ nguyên đổi mới, sáng tạo

VOV - Việt Nam và Thế giới

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 3:51


VOV1 - Đại hội đại biểu Đảng bộ thành phố Hà Nội lần thứ XVIII diễn ra trong bối cảnh Thủ đô bước vào giai đoạn phát triển mới, với khát vọng vươn lên mạnh mẽ, trở thành trung tâm lớn về kinh tế, văn hóa, khoa học, giáo dục và sáng tạo của cả nước, xứng đáng là trái tim của Việt Nam.

VOV - Việt Nam và Thế giới
Tin trong nước - Đại hội Đảng bộ thành phố Hà Nội: Hạnh phúc luôn là đích đến của xã hội tiến bộ

VOV - Việt Nam và Thế giới

Play Episode Listen Later Oct 16, 2025 2:32


VOV1 - Tại Đại hội đại biểu Đảng bộ thành phố Hà Nội lần thứ XVIII, một nội dung mới được nhiều đại biểu quan tâm trong Báo cáo chính trị trình Đại hội là bổ sung tiêu chí “Hạnh phúc”, coi hạnh phúc của người dân là một trong những thước đo quan trọng trong phát triển Thủ đô văn minh, hiện đại.

Choses à Savoir SANTE
Qu'est-ce que le “ver de dent” ?

Choses à Savoir SANTE

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 1:38


Pendant des siècles, un mal de dents n'était pas seulement une douleur : c'était, croyait-on, l'œuvre d'un petit intrus terrifiant… le « ver de dent ».Cette croyance est l'une des plus anciennes de l'histoire de la médecine. On en trouve la trace chez les Sumériens il y a plus de 5 000 ans, mais aussi chez les Mayas, dans les textes hindous, et même en Europe, où elle s'est maintenue jusqu'au XVIIIᵉ siècle. Partout, l'idée était la même : si une dent fait mal, c'est parce qu'un ver minuscule s'y est installé et la ronge de l'intérieur.Les symptômes semblaient confirmer cette théorie. Une rage de dents donne l'impression que quelque chose creuse et gratte à l'intérieur. Et comme on ne pouvait pas voir ce qui se passait réellement, l'explication du ver était la plus logique. Certaines descriptions anciennes affirment même que l'on pouvait apercevoir le ver en retirant un morceau de dent cariée… en réalité, il s'agissait souvent de nerfs ou de débris de tissus, mal interprétés.Cette idée du « ver de dent » a influencé les pratiques médicales pendant des siècles. Dans de nombreuses cultures, les guérisseurs tentaient de chasser le parasite à l'aide de rituels, de plantes, ou même de fumigations censées faire sortir le ver de sa cachette. En Europe médiévale, on pouvait appliquer sur la dent malade des mélanges de miel, de cendres ou d'herbes, dans l'espoir d'« étouffer » le coupable.Il faut attendre l'essor de la médecine moderne et surtout l'invention du microscope, au XVIIᵉ siècle, pour que la théorie soit sérieusement remise en question. On découvre alors que les véritables responsables ne sont pas des vers, mais des bactéries, qui dégradent l'émail et provoquent des caries. Au XVIIIᵉ siècle, la science finit par balayer la vieille croyance, même si elle reste encore vivace dans certaines régions du monde.Aujourd'hui, l'histoire du « ver de dent » peut nous sembler naïve. Mais elle illustre bien une constante : quand la science ne peut pas encore expliquer un phénomène, l'imagination prend le relais. Et dans le cas du mal de dents, il fallait bien trouver une raison à cette douleur insupportable.En résumé, si nos ancêtres ont cru si longtemps aux vers de dents, c'est parce que la douleur était réelle, mais les moyens d'observation manquaient. Une croyance universelle, qui rappelle à quel point la médecine a parcouru un long chemin pour comprendre et traiter la douleur dentaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

MHT Seminary Sermons & Podcasts
Sermon: Pentecost XVIII - Rosary as a Prayer of Thanksgiving, by Rev. Philip Eldracher

MHT Seminary Sermons & Podcasts

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 15:27


Given on the Eighteenth Sunday after Pentecost, 2025.

Calamares en su tinta
La guerra a muerte: Bolívar y el nacimiento de una nación - 2° Parte

Calamares en su tinta

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 50:10 Transcription Available


En este segundo episodio del especial sobre la “Guerra a Muerte”, exploramos las raíces históricas y políticas que llevaron a Simón Bolívar a proclamar una de las consignas más radicales de la independencia americana.

Cathedral Church of The Advent
Craig Smalley | Pentecost XVIII | October 12, 2025

Cathedral Church of The Advent

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 15:10


By Craig Smalley

pentecost xviii craig smalley
Cathedral Church of The Advent
Tom Murray | Pentecost XVIII | October 12, 2025

Cathedral Church of The Advent

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 13:51


No es un día cualquiera
No es un día cualquiera - La Alboreá con Andrés Salado

No es un día cualquiera

Play Episode Listen Later Oct 12, 2025 24:39


El 9 de octubre de 2025 celebramos el Día Mundial de la Visión, una fecha que ha servido de inspiración para el nuevo programa de nuestro director de orquesta, Andrés Salado, titulado La Alboreá: Música a ciegas. Esta propuesta artística nos invita a reflexionar sobre la relación entre la música y la percepción, más allá de lo visual.Paradójicamente, esta inspiración no fue posible para Georg Friedrich Haendel, quien, además de sufrir un delicado estado de salud, enfrentó graves problemas de visión. A lo largo de los años, se sometió a varias intervenciones quirúrgicas, siendo la última a manos del controvertido oculista John Taylor.Taylor, más que un médico, era un personaje pintoresco: viajaba por Europa en su carromato, operando ojos con una temeridad que dejaba a muchos pacientes peor de lo que estaban. Haendel no fue la excepción. Tras la operación, quedó completamente ciego y aún más debilitado. Curiosamente, Johann Sebastian Bach también fue intervenido por Taylor, con el mismo trágico desenlace: la ceguera total.Sin embargo, la historia de la música está llena de ejemplos de artistas que, a pesar de la ceguera, lograron carreras brillantes. Es el caso de María Teresa von Paradis, compositora vienesa del siglo XVIII, quien perdió la vista a los tres años. Su talento la llevó a recorrer Europa ofreciendo conciertos y componiendo decenas de obras. Y más cerca de nuestro tiempo, encontramos la historia de Andrea Bocelli. Nació con glaucoma congénito, pero fue un accidente jugando al fútbol —un balonazo en la cabeza a los 12 años— lo que le dejó completamente ciego. Para cualquier niño, ese momento podría haber significado el fin de muchos sueños. Pero en Bocelli despertó algo más profundo: una necesidad de expresarse a través de su voz. Escuchar audio

La ContraHistoria
Goya Velazquez

La ContraHistoria

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 29:42


¡Vótame en los Premios iVoox 2025! España ha dado grandes pintores, entre ellos Diego Velázquez y Francisco de Goya. Velázquez, sevillano del siglo XVII, murió en Madrid en 1660 y fue enterrado en la iglesia de San Juan Bautista, pero se demolió a principios del siglo XIX, por lo que se perdieron sus restos. A pesar de que se han intentado encontrar en varias ocasiones no ha habido éxito. Se especula que pudo ser trasladado al convento de San Plácido, donde en 1994 se halló un cuerpo con características similares, pero no se ha podido confirmar. Goya, aragonés de los siglos XVIII y XIX, murió en 1828 en Burdeos, donde se exilió en 1824 huyendo del régimen de Fernando VII. Aquejado de sordera y problemas de salud, pintó muchas obras maestras. Fue enterrado en el cementerio de la Chartreuse en una tumba compartida. En 1888, al repatriar sus restos a Madrid, se descubrió que faltaba su cráneo, un misterio que sigue sin resolver. Sus restos pasaron por la Colegiata de San Isidro y la Sacramental de San Justo, hasta llegar en 1919 a la ermita de San Antonio de la Florida, donde había pintado sus frescos en 1798. Esta ermita, hoy un pequeño museo, es su lugar de descanso final, aunque la ausencia de su cráneo y la modestia del sitio generaron cierta polémica en su momento. Para proteger los frescos, se construyó una ermita gemela en 1925. Ambos pintores, genios indiscutibles han tenido destinos dispares: los de Velázquez, perdidos quizá para siempre. Los de Goya, tras un ajetreado periplo terminaron en un lugar muy ligado a su obra. Tanto la ermita de San Antonio de la Florida y la plaza de Ramales en Madrid son hoy los sitios que recuerdan a los dos maestros. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

La ContraCrónica
Goya-Velázquez

La ContraCrónica

Play Episode Listen Later Oct 10, 2025 29:42


¡Vótame en los Premios iVoox 2025! España ha dado grandes pintores, entre ellos Diego Velázquez y Francisco de Goya. Velázquez, sevillano del siglo XVII, murió en Madrid en 1660 y fue enterrado en la iglesia de San Juan Bautista, pero se demolió a principios del siglo XIX, por lo que se perdieron sus restos. A pesar de que se han intentado encontrar en varias ocasiones no ha habido éxito. Se especula que pudo ser trasladado al convento de San Plácido, donde en 1994 se halló un cuerpo con características similares, pero no se ha podido confirmar. Goya, aragonés de los siglos XVIII y XIX, murió en 1828 en Burdeos, donde se exilió en 1824 huyendo del régimen de Fernando VII. Aquejado de sordera y problemas de salud, pintó muchas obras maestras. Fue enterrado en el cementerio de la Chartreuse en una tumba compartida. En 1888, al repatriar sus restos a Madrid, se descubrió que faltaba su cráneo, un misterio que sigue sin resolver. Sus restos pasaron por la Colegiata de San Isidro y la Sacramental de San Justo, hasta llegar en 1919 a la ermita de San Antonio de la Florida, donde había pintado sus frescos en 1798. Esta ermita, hoy un pequeño museo, es su lugar de descanso final, aunque la ausencia de su cráneo y la modestia del sitio generaron cierta polémica en su momento. Para proteger los frescos, se construyó una ermita gemela en 1925. Ambos pintores, genios indiscutibles han tenido destinos dispares: los de Velázquez, perdidos quizá para siempre. Los de Goya, tras un ajetreado periplo terminaron en un lugar muy ligado a su obra. Tanto la ermita de San Antonio de la Florida y la plaza de Ramales en Madrid son hoy los sitios que recuerdan a los dos maestros. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

Arzamas
Рекламный ход. Лекция 2. Монстры и ребусы в Париже

Arzamas

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 14:33


Как вывески средневековых торговцев стали уличными указателями и почему с ними в XVI веке с ними боролись протестанты, а в XVIII веке — полиция

Entendez-vous l'éco ?
La taxe Zucman au miroir de l'Ancien Régime

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later Oct 6, 2025 3:07


durée : 00:03:07 - Le Fil éco - Arnaud Orain interroge notre idéal démocratique et l'impôt sur les ultra-riches. La taxe Zucman rappelle les débats du XVIIIᵉ siècle, quand Forbonnais conseillait Silhouette : renflouer l'État en frappant la fortune, pas le revenu. Sommes-nous tous égaux devant la fortune ? - réalisation : Françoise Le Floch

Choses à Savoir
Pourquoi l'histoire des 47 rōnins est-elle si célèbre ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 2:25


Au Japon, l'histoire des 47 rōnin est sans doute la plus célèbre des récits de loyauté et de vengeance. Elle s'est déroulée au tout début du XVIIIᵉ siècle et est devenue, au fil du temps, une véritable légende nationale.Tout commence en 1701. Le seigneur Asano Naganori est chargé d'accueillir un émissaire impérial au château d'Edo. Mais il est humilié à plusieurs reprises par Kira Yoshinaka, un haut fonctionnaire corrompu et arrogant. Perdant son sang-froid, Asano dégaine son sabre dans l'enceinte du château, un acte interdit. Pour cette faute, il est condamné au seppuku, le suicide rituel, et ses terres sont confisquées. Ses samouraïs se retrouvent soudain sans maître : ils deviennent des rōnin, des guerriers errants.Au lieu d'accepter leur sort, quarante-sept d'entre eux décident de venger leur seigneur. Pendant près de deux ans, ils dissimulent leurs intentions : certains se font passer pour des ivrognes ou des miséreux, afin de tromper la vigilance de Kira. Puis, une nuit de l'hiver 1703, ils passent à l'action. Ils attaquent la résidence de Kira, la prennent d'assaut et finissent par le trouver caché dans un réduit. Ils le forcent à se suicider, et ramènent sa tête au tombeau de leur maître, accomplissant ainsi leur devoir de fidélité.Mais leur geste les place en contradiction avec la loi. Le shogun, conscient de l'admiration populaire que suscite leur acte, hésite longuement. Finalement, il décide de les condamner au seppuku, afin de respecter la justice tout en leur accordant une mort honorable. Les 47 rōnin se donnent la mort avec dignité, et leur mémoire entre dans l'histoire.Pourquoi cette histoire est-elle devenue si célèbre dans le monde ? Parce qu'elle incarne des valeurs universelles : la loyauté, le sacrifice, l'honneur. Au Japon, elle est enseignée comme un modèle du bushidō, le code d'honneur des samouraïs. Des sanctuaires et des tombes, comme celles du temple Sengaku-ji à Tokyo, attirent encore des milliers de visiteurs. Et cette légende a inspiré innombrables pièces de théâtre kabuki, films, mangas et même productions hollywoodiennes.En résumé, l'affaire des 47 rōnin n'est pas seulement une anecdote de l'histoire japonaise : c'est un récit fondateur, qui résonne bien au-delà des frontières du Japon. Elle rappelle la force des valeurs collectives, mais aussi le prix parfois terrible de la fidélité absolue. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Calamares en su tinta
¿Qué fue la Guerra a Muerte de 1813 proclamada por Simón Bolívar?

Calamares en su tinta

Play Episode Listen Later Oct 5, 2025 48:56 Transcription Available


En Calamares en su tinta exploramos la historia de la Guerra a Muerte de 1813, la feroz proclama de Simón Bolívar que marcó un punto de quiebre en la Independencia de Venezuela y Colombia. En este especial repasamos los antecedentes del siglo XVIII, desde las transformaciones políticas y sociales de la Ilustración, las guerras europeas y coloniales, hasta llegar al momento decisivo en que Bolívar definió un camino radical: “o están conmigo o están contra mí”.

Choses à Savoir
Pourquoi dit-on “finir en eau de boudin” et “de but en blanc” ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 2:12


L'expression française « finir en eau de boudin » signifie qu'une affaire qui semblait bien engagée tourne mal ou se termine de façon décevante, presque ridicule. Mais pourquoi associer ce dénouement à du « boudin » et surtout à de l'« eau » ?L'explication vient de la cuisine traditionnelle. Le boudin, qu'il soit noir ou blanc, est une charcuterie préparée en remplissant une enveloppe (souvent l'intestin du porc) avec un mélange à base de sang, de viande ou de lait. Pour que le boudin prenne, il faut le cuire dans de l'eau bouillante. Or, si la peau se perce pendant la cuisson, la farce s'échappe et se répand dans l'eau. Résultat : au lieu d'un bon boudin bien compact, on obtient une bouillie liquide, informe et inutilisable. On dit alors que tout est parti « en eau de boudin ».C'est cette image culinaire qui a nourri la métaphore. Un projet peut sembler solide au départ, mais au moment décisif, il se « perce », se délite, et finit par se dissoudre, tout comme le boudin raté dans sa casserole. L'expression est attestée dès le XVIIIᵉ siècle et a rapidement quitté les cuisines pour s'imposer dans le langage courant.Passons à la seconde expression: « de but en blanc ».Aujourd'hui elle erst utilisée pour désigner quelque chose qui est dit ou fait brusquement, sans préparation ni détour. Par exemple : « Il m'a demandé, de but en blanc, si je comptais démissionner ».Son origine, en revanche, est militaire et assez parlante.Au XVIᵉ siècle, le mot but désignait la cible en tir à l'arc ou en artillerie. Quant au mot blanc, il ne renvoie pas à la couleur banale, mais au point blanc peint ou marqué au centre de la cible, servant à viser avec précision. Le « blanc » était donc la partie la plus visible, la plus claire, que le tireur devait atteindre.L'expression « tirer de but en blanc » signifiait donc tirer directement sur la cible, à courte distance, sans calcul compliqué de trajectoire. L'idée était qu'à cette portée, le tir pouvait aller droit au but, sans correction. Peu à peu, le sens figuré est apparu : faire quelque chose franchement, sans détour, sans précaution.Dès le XVIIᵉ siècle, on retrouve cette formule dans des textes littéraires avec ce sens figuré. Aujourd'hui, l'expression a totalement perdu son lien avec les armes à feu, mais garde cette idée d'action directe et soudaine.En résumé, « de but en blanc » nous vient du vocabulaire du tir et signifie littéralement « droit sur la cible ». Transposé dans le langage courant, cela traduit une parole ou une action spontanée, sans préambule, qui surprend par sa franchise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Podcast La Biblioteca Perdida
El Gran Sitio de Gibraltar "Una canción de mar" - Juan Luis Gomar Hoyos | Entrevistas LBP

Podcast La Biblioteca Perdida

Play Episode Listen Later Oct 3, 2025 54:46


Vamos con una entrevista a un autor muy querido en La Biblioteca Perdida. Juan Luis Gomar Hoyos nos presenta "Una canción de mar" (Desperta Ferro, 2025), una novela de aventuras ambientada en la penúltima década del siglo XVIII, un tiempo en la que la Armada Española todavía era una fuerza formidable. Con el Gran Asedio de Gibraltar de 1779 como fondo, embarcaremos con los protagonistas en el Santísima Trinidad, el más grande y artillado de su época. Capitaneando la entrevista, contaremos con Pello Larrinaga. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi un masque vénitien imposait-il le silence aux femmes ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Oct 2, 2025 2:28


Au XVIIIᵉ siècle, Venise est la capitale de la fête, du mystère et des intrigues. Ses bals masqués et ses salons mondains attirent l'Europe entière. Parmi les multiples accessoires de cette société raffinée, un objet insolite se distingue : la moretta, un masque destiné aux femmes, qui a la particularité de les condamner… au silence.La moretta est un petit masque ovale, généralement en velours noir, qui recouvre entièrement le visage. Contrairement aux autres masques vénitiens, elle ne s'attache pas avec un ruban. Pour la maintenir, la femme devait serrer entre ses dents un bouton ou un petit bâtonnet placé à l'intérieur. Résultat : impossible de parler sans faire tomber le masque. Par essence, la moretta réduisait donc celle qui la portait au rôle d'observatrice muette.Mais pourquoi un tel objet a-t-il vu le jour ? L'usage de la moretta n'était pas seulement esthétique. Dans les salons et les fêtes, elle donnait aux femmes un air de mystère, de retenue, accentuant le pouvoir de séduction par l'absence de parole. Le silence forcé devenait un langage en soi, laissant place aux regards, aux gestes, aux attitudes. Elle protégeait aussi l'anonymat, permettant de circuler dans la haute société sans révéler son identité.Pourtant, cette fonction séductrice avait un revers. La moretta illustre aussi le statut des femmes dans la société vénitienne de l'époque : tenues d'être belles, intrigantes, mais surtout discrètes. En leur interdisant de parler, le masque les réduisait à un rôle d'apparence, d'énigme silencieuse, dans un univers dominé par les hommes.L'objet fascina les observateurs étrangers. Dans ses récits, Jean-Jacques Rousseau mentionne ces « femmes muettes » cachées derrière un masque noir, mystérieuses et frustrantes à la fois. Des gravures du XVIIIᵉ siècle montrent la moretta comme un accessoire à la mode, adopté par les dames de la noblesse, mais aussi par certaines courtisanes qui s'en servaient pour intriguer davantage.Avec le déclin de la République de Venise à la fin du XVIIIᵉ siècle et la fin progressive des grandes mascarades, la moretta disparaît peu à peu des usages. Elle reste toutefois dans l'histoire comme un symbole à double face : un accessoire de séduction raffiné, mais aussi un outil qui matérialisait la mise au silence des femmes dans une société hiérarchisée et codifiée.Aujourd'hui, on retrouve des morette dans les musées ou lors des reconstitutions du carnaval de Venise. Elles rappellent à quel point un simple masque peut révéler, mieux que de longs discours, les rapports de pouvoir d'une époque. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

El Faro
El Faro | Mantel

El Faro

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 140:47


Esta madrugada hemos sacado del cajón el mantel de las ocasiones especiales, y hemos vestido la mesa de 'El Faro' para recibir al panel de expertos de este programa dedicado al 'mantel'. Entre las invitadas, Amalia Sánchez Sampedro, periodista de RTVE que presenció y cubrió el nacimiento de la Constitución. Nos ha hablado de los conocidos como 'Pactos del mantel', unos acuerdos que se hicieron a puerta cerrada para llegar a un consenso sobre el borrador de la Carta Magna española y que sellaron la democracia de este país. También nos ha acompañado Carlos G. Cano, responsable de Gastro SER, para explicarnos por qué cada vez más restaurantes, incluso con estrella Michelin, prescinden del mantel en sus mesas. Y en su sección, el pianista Alejandro Pelayo ha querido poner sobre la mesa la historia de Antonio Salieri, tal vez el músico más influyente del siglo XVIII.

Culture en direct
À la recherche de la bibliothèque perdue, avec Vanessa de Senarclens

Culture en direct

Play Episode Listen Later Oct 1, 2025 58:33


durée : 00:58:33 - Le Book Club - par : Marie Richeux - Dans son dernier récit, Vanessa de Senarclens se lance dans une enquête vertigineuse : celle du destin d'une bibliothèque fondée au XVIIIᵉ siècle et dont les 16000 ouvrages ont été dispersés à travers l'Europe. Retraçant la trajectoire de ces livres, elle raconte aussi une page d'histoire oubliée. - réalisation : Vivien Demeyère - invités : Vanessa de Senarclens Historienne spécialiste de la littérature française

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Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi Columbia a-t-elle été la Marianne américaine ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 2:24


Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir
Pourquoi Columbia a-t-elle été la Marianne américaine ?

Choses à Savoir

Play Episode Listen Later Sep 29, 2025 2:24


Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Podcast Historyczny
Naród bez Państwa - Historia Polski 1795-1864 [Zabory, Legiony, Napoleon, Powstania]

Podcast Historyczny

Play Episode Listen Later Sep 28, 2025 182:27


Co dzieje się z narodem, gdy traci państwo - ale nie pamięć? Ten odcinek to opowieść o życiu Polaków pod zaborami i o tym, jak przez całe pokolenia podtrzymywali w sobie wiarę, że „Polska nie zginęła”! Partnerem tego odcinka jest Bank Millennium, oferujący Konto Mój Biznes z kartą debetową Visa dla jednoosobowych działalności gospodarczych i wspierający przedsiębiorców w prowadzeniu biznesów od samego ich początku. Szczegóły TUTAJ ✨

Dr. Craig Johnson | Bethel Christian Fellowship Podcast
The Name of the Lord XVIII – Rachum Ve Chanun – Merciful and Gracious

Dr. Craig Johnson | Bethel Christian Fellowship Podcast

Play Episode Listen Later Sep 28, 2025 48:34


Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi La Pérouse hante-t-il encore les océans ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Sep 25, 2025 2:22


Jean-François de Galaup, comte de La Pérouse, est l'un des grands explorateurs français du XVIIIᵉ siècle, resté célèbre autant pour ses découvertes que pour sa disparition mystérieuse. Né en 1741 à Albi, il se distingue très tôt dans la marine royale, notamment pendant la guerre de Sept Ans. Courageux, cultivé, apprécié de ses hommes, il attire l'attention du roi Louis XVI, passionné de géographie et d'exploration.En 1785, le souverain lui confie une mission prestigieuse : réaliser une expédition scientifique et cartographique autour du monde, dans l'esprit des voyages de James Cook. À bord de deux frégates, La Boussole et L'Astrolabe, La Pérouse embarque avec des marins, des savants, des ingénieurs et des artistes. L'objectif est triple : cartographier des terres inconnues, étudier les peuples rencontrés, et enrichir les connaissances scientifiques de la France.Pendant trois ans, son voyage est un succès. La Pérouse explore le Chili, l'île de Pâques, Hawaï, l'Alaska, la Californie, le Kamtchatka, le Japon, la Corée, les Philippines, les Samoa et l'Australie. Il décrit avec précision les rivages, les sociétés rencontrées et recueille d'innombrables données scientifiques. Ses lettres et journaux, envoyés au fur et à mesure, passionnent l'Europe éclairée.Mais en 1788, après avoir quitté Botany Bay en Australie, les navires disparaissent. Pendant près de quarante ans, leur sort demeure un mystère. La légende naît : où est passé La Pérouse ? A-t-il sombré en mer, été massacré par des insulaires, ou s'est-il réfugié sur une île perdue ?Ce n'est qu'en 1826 que l'on retrouve des traces de l'expédition. L'explorateur irlandais Peter Dillon découvre des débris aux îles Vanikoro, dans l'archipel des Salomon. Les navires de La Pérouse s'y seraient fracassés sur les récifs. Quelques survivants auraient vécu quelque temps avec les habitants avant de disparaître définitivement.La Pérouse incarne depuis l'archétype de l'explorateur romantique : savant, marin courageux, mais englouti par le mystère. Son nom demeure dans la toponymie mondiale – le détroit de La Pérouse entre Sakhaline et Hokkaidō, ou encore le cap La Pérouse à Hawaï.Aujourd'hui, son destin fascine toujours : à la fois triomphe scientifique et tragédie humaine, son expédition symbolise la soif de découvertes des Lumières, mais aussi les dangers immenses que réservait l'océan au XVIIIᵉ siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Choses à Savoir HISTOIRE
Pourquoi Cagliostro est-il célèbre ?

Choses à Savoir HISTOIRE

Play Episode Listen Later Sep 23, 2025 2:21


Dans l'Europe du XVIIIᵉ siècle, un nom suscite fascination et crainte : Cagliostro. Derrière ce personnage aux mille visages se cache Giuseppe Balsamo, né à Palerme en 1743. Aventurier, escroc, guérisseur autoproclamé, alchimiste et occultiste, il devient l'une des figures les plus énigmatiques de son temps.Cagliostro se rend célèbre d'abord par son talent à jouer des apparences. Doté d'un charisme certain et d'un verbe flamboyant, il parcourt l'Europe en se présentant comme comte, mage ou médecin. À Londres, à Strasbourg, à Varsovie ou encore à Saint-Pétersbourg, il attire curieux et puissants grâce à ses promesses de guérison miraculeuse, ses séances de magnétisme et ses expériences d'alchimie. Ses remèdes, parfois efficaces, souvent mystérieux, lui donnent une réputation de thaumaturge.Mais ce n'est pas tout. Cagliostro se rapproche des loges maçonniques et fonde son propre rite, la « maçonnerie égyptienne », où il mêle symbolisme, rites initiatiques et pratiques occultes. Dans une Europe avide d'ésotérisme et de secrets, il séduit de nombreux adeptes, renforçant son aura de prophète moderne.Sa célébrité atteint cependant son apogée à Paris, à la fin des années 1780, lors de la fameuse affaire du collier de la reine. Cette escroquerie retentissante, qui éclabousse Marie-Antoinette, alimente les rumeurs et la haine contre la monarchie. Bien que son rôle réel soit resté mineur, le nom de Cagliostro est associé à l'intrigue. Emprisonné à la Bastille puis finalement acquitté, il en sort auréolé d'une réputation sulfureuse. L'opinion publique voit en lui soit un génie des arcanes, soit un charlatan dangereux.Sa fin est moins glorieuse. De retour à Rome, il est arrêté par l'Inquisition en 1789, accusé d'hérésie et de pratiques occultes. Condamné à la prison à vie, il meurt en 1795 dans la forteresse de San Leo.Pourquoi Cagliostro reste-t-il célèbre ? Parce qu'il incarne à lui seul les ambiguïtés de son siècle : entre foi dans les sciences nouvelles et fascination pour l'occultisme, entre rationalité des Lumières et goût pour le mystère. Il symbolise aussi l'Europe d'avant la Révolution française, marquée par la crédulité, la soif de merveilleux et la peur des complots.De Giuseppe Balsamo à Cagliostro, le personnage a inspiré d'innombrables récits, de la littérature romantique aux études historiques. Charmeur, imposteur, guérisseur, mystique… il demeure une énigme vivante, et c'est bien ce qui explique sa célébrité durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.