POPULARITY
Categories
Как вывески средневековых торговцев стали уличными указателями и почему с ними в XVI веке с ними боролись протестанты, а в XVIII веке — полиция
Au Japon, l'histoire des 47 rōnin est sans doute la plus célèbre des récits de loyauté et de vengeance. Elle s'est déroulée au tout début du XVIIIᵉ siècle et est devenue, au fil du temps, une véritable légende nationale.Tout commence en 1701. Le seigneur Asano Naganori est chargé d'accueillir un émissaire impérial au château d'Edo. Mais il est humilié à plusieurs reprises par Kira Yoshinaka, un haut fonctionnaire corrompu et arrogant. Perdant son sang-froid, Asano dégaine son sabre dans l'enceinte du château, un acte interdit. Pour cette faute, il est condamné au seppuku, le suicide rituel, et ses terres sont confisquées. Ses samouraïs se retrouvent soudain sans maître : ils deviennent des rōnin, des guerriers errants.Au lieu d'accepter leur sort, quarante-sept d'entre eux décident de venger leur seigneur. Pendant près de deux ans, ils dissimulent leurs intentions : certains se font passer pour des ivrognes ou des miséreux, afin de tromper la vigilance de Kira. Puis, une nuit de l'hiver 1703, ils passent à l'action. Ils attaquent la résidence de Kira, la prennent d'assaut et finissent par le trouver caché dans un réduit. Ils le forcent à se suicider, et ramènent sa tête au tombeau de leur maître, accomplissant ainsi leur devoir de fidélité.Mais leur geste les place en contradiction avec la loi. Le shogun, conscient de l'admiration populaire que suscite leur acte, hésite longuement. Finalement, il décide de les condamner au seppuku, afin de respecter la justice tout en leur accordant une mort honorable. Les 47 rōnin se donnent la mort avec dignité, et leur mémoire entre dans l'histoire.Pourquoi cette histoire est-elle devenue si célèbre dans le monde ? Parce qu'elle incarne des valeurs universelles : la loyauté, le sacrifice, l'honneur. Au Japon, elle est enseignée comme un modèle du bushidō, le code d'honneur des samouraïs. Des sanctuaires et des tombes, comme celles du temple Sengaku-ji à Tokyo, attirent encore des milliers de visiteurs. Et cette légende a inspiré innombrables pièces de théâtre kabuki, films, mangas et même productions hollywoodiennes.En résumé, l'affaire des 47 rōnin n'est pas seulement une anecdote de l'histoire japonaise : c'est un récit fondateur, qui résonne bien au-delà des frontières du Japon. Elle rappelle la force des valeurs collectives, mais aussi le prix parfois terrible de la fidélité absolue. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En Calamares en su tinta exploramos la historia de la Guerra a Muerte de 1813, la feroz proclama de Simón Bolívar que marcó un punto de quiebre en la Independencia de Venezuela y Colombia. En este especial repasamos los antecedentes del siglo XVIII, desde las transformaciones políticas y sociales de la Ilustración, las guerras europeas y coloniales, hasta llegar al momento decisivo en que Bolívar definió un camino radical: “o están conmigo o están contra mí”.
L'expression française « finir en eau de boudin » signifie qu'une affaire qui semblait bien engagée tourne mal ou se termine de façon décevante, presque ridicule. Mais pourquoi associer ce dénouement à du « boudin » et surtout à de l'« eau » ?L'explication vient de la cuisine traditionnelle. Le boudin, qu'il soit noir ou blanc, est une charcuterie préparée en remplissant une enveloppe (souvent l'intestin du porc) avec un mélange à base de sang, de viande ou de lait. Pour que le boudin prenne, il faut le cuire dans de l'eau bouillante. Or, si la peau se perce pendant la cuisson, la farce s'échappe et se répand dans l'eau. Résultat : au lieu d'un bon boudin bien compact, on obtient une bouillie liquide, informe et inutilisable. On dit alors que tout est parti « en eau de boudin ».C'est cette image culinaire qui a nourri la métaphore. Un projet peut sembler solide au départ, mais au moment décisif, il se « perce », se délite, et finit par se dissoudre, tout comme le boudin raté dans sa casserole. L'expression est attestée dès le XVIIIᵉ siècle et a rapidement quitté les cuisines pour s'imposer dans le langage courant.Passons à la seconde expression: « de but en blanc ».Aujourd'hui elle erst utilisée pour désigner quelque chose qui est dit ou fait brusquement, sans préparation ni détour. Par exemple : « Il m'a demandé, de but en blanc, si je comptais démissionner ».Son origine, en revanche, est militaire et assez parlante.Au XVIᵉ siècle, le mot but désignait la cible en tir à l'arc ou en artillerie. Quant au mot blanc, il ne renvoie pas à la couleur banale, mais au point blanc peint ou marqué au centre de la cible, servant à viser avec précision. Le « blanc » était donc la partie la plus visible, la plus claire, que le tireur devait atteindre.L'expression « tirer de but en blanc » signifiait donc tirer directement sur la cible, à courte distance, sans calcul compliqué de trajectoire. L'idée était qu'à cette portée, le tir pouvait aller droit au but, sans correction. Peu à peu, le sens figuré est apparu : faire quelque chose franchement, sans détour, sans précaution.Dès le XVIIᵉ siècle, on retrouve cette formule dans des textes littéraires avec ce sens figuré. Aujourd'hui, l'expression a totalement perdu son lien avec les armes à feu, mais garde cette idée d'action directe et soudaine.En résumé, « de but en blanc » nous vient du vocabulaire du tir et signifie littéralement « droit sur la cible ». Transposé dans le langage courant, cela traduit une parole ou une action spontanée, sans préambule, qui surprend par sa franchise. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Vamos con una entrevista a un autor muy querido en La Biblioteca Perdida. Juan Luis Gomar Hoyos nos presenta "Una canción de mar" (Desperta Ferro, 2025), una novela de aventuras ambientada en la penúltima década del siglo XVIII, un tiempo en la que la Armada Española todavía era una fuerza formidable. Con el Gran Asedio de Gibraltar de 1779 como fondo, embarcaremos con los protagonistas en el Santísima Trinidad, el más grande y artillado de su época. Capitaneando la entrevista, contaremos con Pello Larrinaga. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Au XVIIIᵉ siècle, Venise est la capitale de la fête, du mystère et des intrigues. Ses bals masqués et ses salons mondains attirent l'Europe entière. Parmi les multiples accessoires de cette société raffinée, un objet insolite se distingue : la moretta, un masque destiné aux femmes, qui a la particularité de les condamner… au silence.La moretta est un petit masque ovale, généralement en velours noir, qui recouvre entièrement le visage. Contrairement aux autres masques vénitiens, elle ne s'attache pas avec un ruban. Pour la maintenir, la femme devait serrer entre ses dents un bouton ou un petit bâtonnet placé à l'intérieur. Résultat : impossible de parler sans faire tomber le masque. Par essence, la moretta réduisait donc celle qui la portait au rôle d'observatrice muette.Mais pourquoi un tel objet a-t-il vu le jour ? L'usage de la moretta n'était pas seulement esthétique. Dans les salons et les fêtes, elle donnait aux femmes un air de mystère, de retenue, accentuant le pouvoir de séduction par l'absence de parole. Le silence forcé devenait un langage en soi, laissant place aux regards, aux gestes, aux attitudes. Elle protégeait aussi l'anonymat, permettant de circuler dans la haute société sans révéler son identité.Pourtant, cette fonction séductrice avait un revers. La moretta illustre aussi le statut des femmes dans la société vénitienne de l'époque : tenues d'être belles, intrigantes, mais surtout discrètes. En leur interdisant de parler, le masque les réduisait à un rôle d'apparence, d'énigme silencieuse, dans un univers dominé par les hommes.L'objet fascina les observateurs étrangers. Dans ses récits, Jean-Jacques Rousseau mentionne ces « femmes muettes » cachées derrière un masque noir, mystérieuses et frustrantes à la fois. Des gravures du XVIIIᵉ siècle montrent la moretta comme un accessoire à la mode, adopté par les dames de la noblesse, mais aussi par certaines courtisanes qui s'en servaient pour intriguer davantage.Avec le déclin de la République de Venise à la fin du XVIIIᵉ siècle et la fin progressive des grandes mascarades, la moretta disparaît peu à peu des usages. Elle reste toutefois dans l'histoire comme un symbole à double face : un accessoire de séduction raffiné, mais aussi un outil qui matérialisait la mise au silence des femmes dans une société hiérarchisée et codifiée.Aujourd'hui, on retrouve des morette dans les musées ou lors des reconstitutions du carnaval de Venise. Elles rappellent à quel point un simple masque peut révéler, mieux que de longs discours, les rapports de pouvoir d'une époque. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Esta madrugada hemos sacado del cajón el mantel de las ocasiones especiales, y hemos vestido la mesa de 'El Faro' para recibir al panel de expertos de este programa dedicado al 'mantel'. Entre las invitadas, Amalia Sánchez Sampedro, periodista de RTVE que presenció y cubrió el nacimiento de la Constitución. Nos ha hablado de los conocidos como 'Pactos del mantel', unos acuerdos que se hicieron a puerta cerrada para llegar a un consenso sobre el borrador de la Carta Magna española y que sellaron la democracia de este país. También nos ha acompañado Carlos G. Cano, responsable de Gastro SER, para explicarnos por qué cada vez más restaurantes, incluso con estrella Michelin, prescinden del mantel en sus mesas. Y en su sección, el pianista Alejandro Pelayo ha querido poner sobre la mesa la historia de Antonio Salieri, tal vez el músico más influyente del siglo XVIII.
Escucha los asuntos que encontré sobre demandas judiciales en la Nueva Galicia del siglo XVII y XVIII sobre esclavos.
Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand on pense aux symboles de la République française, l'image de Marianne s'impose immédiatement : une figure féminine coiffée du bonnet phrygien, incarnation de la liberté et de la nation. Les États-Unis, eux aussi, ont eu leur équivalent au XIXᵉ siècle : Columbia, une allégorie féminine qui personnifia longtemps l'Amérique avant que l'Oncle Sam ne lui vole la vedette.Le nom « Columbia » dérive de Christophe Colomb, perçu à l'époque comme le découvreur du Nouveau Monde. Dès la fin du XVIIIᵉ siècle, on utilise ce nom pour désigner poétiquement les États-Unis. Dans les discours, la poésie ou les chansons patriotiques, Columbia représente la jeune république américaine, indépendante de la Grande-Bretagne. On la retrouve notamment dans des vers de Philip Freneau ou dans des journaux politiques de la période révolutionnaire.Visuellement, Columbia prend la forme d'une femme noble, souvent drapée à l'antique comme une déesse grecque ou romaine. Comme Marianne, elle incarne à la fois la liberté, la vertu et la force de la nation. On la représente parfois avec une lance, un bouclier frappé de l'aigle américain, ou tenant la bannière étoilée. Elle est à la fois guerrière et protectrice, symbole d'une nation jeune mais ambitieuse.Tout au long du XIXᵉ siècle, Columbia devient omniprésente dans la culture populaire. On la voit sur les affiches de recrutement, les gravures, les caricatures politiques et même dans les salles de classe. Elle incarne l'idéalisme américain, le progrès, mais aussi l'expansion territoriale. Pendant la guerre de Sécession, on l'utilise pour symboliser l'unité retrouvée du pays. Après 1870, elle apparaît régulièrement aux côtés de « Brother Jonathan » (autre personnage symbolisant l'Américain ordinaire) avant que l'Oncle Sam ne s'impose définitivement comme figure nationale.Le cinéma a d'ailleurs prolongé ce mythe : le logo de la société Columbia Pictures, créé dans les années 1920, reprend cette figure féminine, debout, drapée comme une déesse, tenant une torche lumineuse. Preuve que, même si Columbia a perdu sa centralité politique, elle a survécu comme image culturelle durable.Pourquoi a-t-elle été éclipsée ? Au tournant du XXᵉ siècle, l'Oncle Sam, caricature masculine plus directe et plus identifiable, incarne mieux la puissance militaire et industrielle des États-Unis. Columbia, figure allégorique et classique, apparaissait peut-être trop abstraite face à une Amérique en pleine modernisation.En résumé, Columbia fut la Marianne américaine : une femme symbolisant liberté et république, héritière des mythes antiques, utilisée pour unir et inspirer la nation. Même oubliée, elle continue de briller à travers l'iconographie du cinéma et les archives d'une Amérique en quête de symboles. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Escucha los asuntos que encontré sobre demandas judiciales en la Nueva Galicia del siglo XVII y XVIII sobre esclavos.
Co dzieje się z narodem, gdy traci państwo - ale nie pamięć? Ten odcinek to opowieść o życiu Polaków pod zaborami i o tym, jak przez całe pokolenia podtrzymywali w sobie wiarę, że „Polska nie zginęła”! Partnerem tego odcinka jest Bank Millennium, oferujący Konto Mój Biznes z kartą debetową Visa dla jednoosobowych działalności gospodarczych i wspierający przedsiębiorców w prowadzeniu biznesów od samego ich początku. Szczegóły TUTAJ ✨
Sermon notes
Autrice féministe et professionnelle du marketing, Solène Cornec explore le lien intime entre maternité et création. Comment le corps, l'imaginaire et l'écriture se transforment-ils quand on devient mère ? Un échange sensible sur la santé des femmes, la liberté et la transmission.Dans cet épisode de Cheminements, nous accueillons Solène Cornec, autrice engagée de Destin de sorcières, un livre qui redonne voix à quinze femmes accusées de sorcellerie entre le XIVᵉ et le XVIIIᵉ siècle, avec des illustrations d'Aline Bureau.Depuis son appartement parisien, Solène mène une double vie : experte marketing le jour, écrivaine la nuit. Nous parlons d'un autre bouleversement fondateur : la maternité. Une expérience ni évidente ni obligatoire, mais qui, quand elle survient, transforme profondément le corps, la santé des femmes, l'identité, la création et notre manière d'habiter le monde.À travers son vécu, Solène interroge : comment on devient mère, comment on reste autrice, et comment on vit les deux — parfois en fusion, parfois en tension. L'épisode convoque des voix phares de la pensée féministe :Adrienne Rich (Of Woman Born / De l'Institution à l'Expérience) : « La naissance d'un enfant, loin d'être la fin d'un processus créatif, en est le commencement. »Rachel Cusk (Un travail à plein temps / A Life's Work) : « La maternité n'est pas une condition qu'on apprend. C'est quelque chose qu'on devient. »Nancy Huston : « Accoucher d'un enfant et accoucher d'un livre, c'est aussi douloureux et jouissif l'un que l'autre. »On parle de représentations et de peurs avant la grossesse, de ce que la gestation et l'accouchement traversent dans le corps et l'esprit, de l'écriture pendant la grossesse, de l'urgence créative après la naissance, de l'équilibre (ou déséquilibre) entre vie littéraire et vie familiale, d'une chambre à soi (coucou Virginia Woolf), de pression sociale, de solitude, mais aussi de puissance et de transmission.Enfin, nous questionnons l'impact de la maternité sur Destin de sorcières : sans cette expérience, le livre aurait-il été le même ? Ce regard transforme-t-il la façon dont Solène lit la solitude, la liberté et la puissance des femmes qu'elle raconte ?Lien du livre de Solène : https://www.editionsmilan.com/livres/79441-destins-de-sorcieres-15-femmes-15-esprits-libres-15-vies-meurtries/
Y cerrando el mes de septiembre radiofonicamente hablando de Un buen día para viajar, hoy domingo día 28 tendremos las horas más viajeras de la radio de Asturias, para iniciar el gran Alberto Campa viene acompañado de otra gran viajera, Pilar Espejo, para irnos a conocer Costa Rica y sus maravillas artísticas y paisajísticas que no son pocas…en nuestras salidas por España vamos con esa sección quincenal que nos trae Ignacio Bosch director del Parador de Cangas de Onís por todo el país con el trasfondo de los Paradores, así que en esta ocasión vamos a esas hermosas y evocadoras tierras segovianas para conocer en profundidad las maravillas del Parador de la Granja que encierra mucha historia tras sus muros y unos paisajes únicos…llegará a continuación Grandes Personajes y Viajeros de la Historia y la pianista, profesora musical y gran investigadora Marta Torres nos trae un gigante de la música, Ludwing Van Beethoven que tuvo una vida digna de ser conocida…y cerramos con el investigador Diego Fernández Méndez que nos trae un tema interesantísimo sobre la importancia que tuvo en los siglos XVII y XVIII la preciosa población de Puerto de Vega, no os dejará indiferente…dos horas de radio, viajes e historia en Rpa!!
Jean-François de Galaup, comte de La Pérouse, est l'un des grands explorateurs français du XVIIIᵉ siècle, resté célèbre autant pour ses découvertes que pour sa disparition mystérieuse. Né en 1741 à Albi, il se distingue très tôt dans la marine royale, notamment pendant la guerre de Sept Ans. Courageux, cultivé, apprécié de ses hommes, il attire l'attention du roi Louis XVI, passionné de géographie et d'exploration.En 1785, le souverain lui confie une mission prestigieuse : réaliser une expédition scientifique et cartographique autour du monde, dans l'esprit des voyages de James Cook. À bord de deux frégates, La Boussole et L'Astrolabe, La Pérouse embarque avec des marins, des savants, des ingénieurs et des artistes. L'objectif est triple : cartographier des terres inconnues, étudier les peuples rencontrés, et enrichir les connaissances scientifiques de la France.Pendant trois ans, son voyage est un succès. La Pérouse explore le Chili, l'île de Pâques, Hawaï, l'Alaska, la Californie, le Kamtchatka, le Japon, la Corée, les Philippines, les Samoa et l'Australie. Il décrit avec précision les rivages, les sociétés rencontrées et recueille d'innombrables données scientifiques. Ses lettres et journaux, envoyés au fur et à mesure, passionnent l'Europe éclairée.Mais en 1788, après avoir quitté Botany Bay en Australie, les navires disparaissent. Pendant près de quarante ans, leur sort demeure un mystère. La légende naît : où est passé La Pérouse ? A-t-il sombré en mer, été massacré par des insulaires, ou s'est-il réfugié sur une île perdue ?Ce n'est qu'en 1826 que l'on retrouve des traces de l'expédition. L'explorateur irlandais Peter Dillon découvre des débris aux îles Vanikoro, dans l'archipel des Salomon. Les navires de La Pérouse s'y seraient fracassés sur les récifs. Quelques survivants auraient vécu quelque temps avec les habitants avant de disparaître définitivement.La Pérouse incarne depuis l'archétype de l'explorateur romantique : savant, marin courageux, mais englouti par le mystère. Son nom demeure dans la toponymie mondiale – le détroit de La Pérouse entre Sakhaline et Hokkaidō, ou encore le cap La Pérouse à Hawaï.Aujourd'hui, son destin fascine toujours : à la fois triomphe scientifique et tragédie humaine, son expédition symbolise la soif de découvertes des Lumières, mais aussi les dangers immenses que réservait l'océan au XVIIIᵉ siècle. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En este episodio de Grandes Maricas de la Historia, viajamos a la Roma del siglo XVIII para conocer la vida de Caterina Vizzani, que acabó su vida viviendo como Giovanni Bordoni: un hombre amado por mujeres, respetado en sus trabajos y temido por su habilidad para seducir. Desde su primer amor adolescente con Margherita hasta su trágico final junto a Maria, su última pareja, Giovanni desafió el orden sexual y de género de su tiempo con una coherencia que todavía hoy nos interpela. A través de su biografía, repasamos el contexto político, social y médico de la época, el papel de la medicina en la vigilancia del género y la tensión entre deseo, identidad y moral dominante. Analizamos cómo su historia fue narrada por el médico Giovanni Battista Bianchi con una inusual empatía y, más tarde, distorsionada por John Cleland para convertirla en una advertencia moral. Entre amores apasionados, fugas nocturnas, autopsias que desmienten prejuicios y funerales convertidos en procesiones populares, Giovanni Bordoni se revela como una figura profundamente queer antes de que existiera el lenguaje para nombrarlo. Un testimonio de que lo trans y lo no binario no son invenciones modernas, sino realidades históricas que la norma ha intentado borrar… sin conseguirlo del todo. Las músicas del episodio: https://open.spotify.com/playlist/2jzhKgtHEw3txcX59bn8r0?si=bc4cd3b70c394444
Cartas desde La Tacita es un viaje en el tiempo a través de la literatura de los viajeros y románticos que pisaron Cádiz y dejaron plasmada su experiencia en alguno de sus libros. Con el humanista Joaquín Bonnemaison, seguimos minuciosamente los pasos de esos ilustres visitantes que recorrieron las calles gaditanas y quedaron prendados por esta ciudad y su gente. Los jueves a partir de las 13:10h en Hoy por Hoy Cádiz
祝オトラジ初・秋の大動画句会 兼題は「秋風」「月見」 DJ3人が俳句を作り点をつけあいます リスナーの良句も発表 第一回オンライン句会の勝者は? 意外なエロ句で点数を集めたのは? 好評なら第二回もあるのでリアクションよろしくね ■ぬるい肌舐めてゆくなり秋の風 これは事後の句です......衣良 ▼早川洋平主宰イベント情報(NEW!) \インタビューや対話って、こんなに楽しい!/ 「会う力」体験セミナー、オンライン開催! ・インタビューや対話の実践の場がほしい方(初心者も経験者もOK) ・『会う力』を読んで興味が湧いた方 プロインタビュアー・早川洋平と一緒に、実際に"会って話す"ワークを体験。 参加者同士の交流もあり、はじめての方も、おひとりでも安心して楽しめます。 ▼【平日昼開催】9/29(月) https://pro.form-mailer.jp/lp/9bf2e8a3339048 ▼【土曜開催】9月20日(土) https://pro.form-mailer.jp/lp/bd1f21f7339051 *どちらも内容は同じです。ご都合のよい日にどうぞ! ★お知らせ「過去の名作アーカイブを無料公開!」 (第16弾:2025年8月2日〜9月30日まで! https://x.gd/su9PB) 第83回 『戦争は女の顔をしていない』を徹底的に語り尽くす 第232回 史上最大の悪人ヒトラーとは何者か?なぜ高卒の絵描き志望の軍人が合法的に先進国ドイツの独裁者になれたのか 第251回 日本を抜いて世界第3位ドイツは本当に天国?超難民大国ドイツの苦悩も語ります...... ▶番組の全編視聴方法 ①YouTubeメンバーシップ http://bit.ly/youtuotorazi ②Apple サブスク https://bit.ly/Apple_otoraji ③ニコニコ動画 http://bit.ly/nicootorazi ④オーディオブック →vol.1(1~100回) https://audiobook.jp/audiobook/260800 →vol.2(101回~) https://audiobook.jp/audiobook/262371 →vol.3(201回~) https://audiobook.jp/audiobook/266961 ▶石田衣良の書籍情報 新刊『男女最終戦争 池袋ウエストゲートパークXX』(文藝春秋) https://amzn.to/3yXsEMJ 文庫『ペットショップ無惨 池袋ウエストゲートパークXVIII』(文藝春秋) https://amzn.to/3z3cEsv 文庫『心心 東京の星、上海の月』(KADOKAWA) https://amzn.to/4n87z6r 文庫『禁猟区』(集英社) https://amzn.to/4lahXJ4 ▶早川洋平の書籍情報 人生は、もっと自由にデザインできる 早川洋平 著『会う力』(新潮社)好評発売中! ➡詳細(特典&試し読み):https://yohei-hayakawa.com/auchikara.html ▶オトラジで取り扱ってほしいテーマ募集中です https://forms.gle/H6Wz9N2kR5atoRVM7 ▶メールレター登録(サイン会・新刊予定をお届けします!) http://ishidaira.com/ ▶『著者の声』配信開始! https://bit.ly/3quYEj5 ▶早川洋平から石田衣良へのインタビューシリーズ https://youtube.com/playlist?list=PLh7eiOWS7pyiTBDN_YtbwfQF0g6g7MjGJ 【石田衣良への「人生相談」&ご意見・ご感想投稿フォーム】 ①YouTube メンバーシップ http://bit.ly/otoraziqa1 ②ニコニコ動画 会員様 http://bit.ly/otorazinico ③一般の方 http://bit.ly/otoraziqa2 *有料会員の方のご質問を優先して、番組内でご質問を取り上げさせていただきます。 ▶お問い合わせ https://forms.gle/rw7AwUAFXU4BXGZR6 【石田衣良】いしだ・いら 1960年東京生まれ。84年に成蹊大学を卒業後、広告制作会社勤務を経て、フリーのコピーライターとして活躍。97年『池袋ウエストゲートパーク』でオール読物推理小説新人賞を受賞し作家デビュー。 2003年『4TEEN』で直木賞を受賞。06年『眠れぬ真珠』で島清恋愛文学賞、 13年『北斗、ある殺人者の回心』で中央公論文芸賞を受賞。『アキハバラ@DEEP』『美丘』など著書多数。 ■Webサイト https://ishidaira.com/ 【早川洋平】はやかわ・ようへい 1980年、横浜生まれ。中国新聞記者等を経て2008年起業。 羽生結弦、吉本ばなな、髙田賢三、ケヴィン・ケリーら各界のトップランナーから市井の人々まで国内外分野を超えてインタビューを続ける。 13年からは戦争体験者の肉声を発信するプロジェクト『戦争の記憶』にも取り組む。 『We are Netflix Podcast@Tokyo』『横浜美術館「ラジオ美術館」』『石田衣良「大人の放課後ラジオ」』等メディアプロデュースも多数。 インタビューメディア『LIFE UPDATE』配信中。 ■プロインタビュアー早川洋平Webサイト https://yohei-hayakawa.com/ ■『会う力:シンプルにして最強の「アポ」の教科書』(新潮社) https://amzn.to/40U5sdq 【小野寺美咲】おのでら・みさき 1995年、横浜生まれ。吉本興業勤務等を経て2023年よりWEBライターとして独立。スポーツ選手、経営者、市井の方への取材や、記事制作、電子書籍の原稿執筆を行う他、企業研修のファシリテーター等も務める。2025年より、神奈川・北九州の2拠点で活動している。 ■Webサイト https://onoderamisaki.themedia.jp/ Otorazi_298-podcast.mp3
Dans l'Europe du XVIIIᵉ siècle, un nom suscite fascination et crainte : Cagliostro. Derrière ce personnage aux mille visages se cache Giuseppe Balsamo, né à Palerme en 1743. Aventurier, escroc, guérisseur autoproclamé, alchimiste et occultiste, il devient l'une des figures les plus énigmatiques de son temps.Cagliostro se rend célèbre d'abord par son talent à jouer des apparences. Doté d'un charisme certain et d'un verbe flamboyant, il parcourt l'Europe en se présentant comme comte, mage ou médecin. À Londres, à Strasbourg, à Varsovie ou encore à Saint-Pétersbourg, il attire curieux et puissants grâce à ses promesses de guérison miraculeuse, ses séances de magnétisme et ses expériences d'alchimie. Ses remèdes, parfois efficaces, souvent mystérieux, lui donnent une réputation de thaumaturge.Mais ce n'est pas tout. Cagliostro se rapproche des loges maçonniques et fonde son propre rite, la « maçonnerie égyptienne », où il mêle symbolisme, rites initiatiques et pratiques occultes. Dans une Europe avide d'ésotérisme et de secrets, il séduit de nombreux adeptes, renforçant son aura de prophète moderne.Sa célébrité atteint cependant son apogée à Paris, à la fin des années 1780, lors de la fameuse affaire du collier de la reine. Cette escroquerie retentissante, qui éclabousse Marie-Antoinette, alimente les rumeurs et la haine contre la monarchie. Bien que son rôle réel soit resté mineur, le nom de Cagliostro est associé à l'intrigue. Emprisonné à la Bastille puis finalement acquitté, il en sort auréolé d'une réputation sulfureuse. L'opinion publique voit en lui soit un génie des arcanes, soit un charlatan dangereux.Sa fin est moins glorieuse. De retour à Rome, il est arrêté par l'Inquisition en 1789, accusé d'hérésie et de pratiques occultes. Condamné à la prison à vie, il meurt en 1795 dans la forteresse de San Leo.Pourquoi Cagliostro reste-t-il célèbre ? Parce qu'il incarne à lui seul les ambiguïtés de son siècle : entre foi dans les sciences nouvelles et fascination pour l'occultisme, entre rationalité des Lumières et goût pour le mystère. Il symbolise aussi l'Europe d'avant la Révolution française, marquée par la crédulité, la soif de merveilleux et la peur des complots.De Giuseppe Balsamo à Cagliostro, le personnage a inspiré d'innombrables récits, de la littérature romantique aux études historiques. Charmeur, imposteur, guérisseur, mystique… il demeure une énigme vivante, et c'est bien ce qui explique sa célébrité durable. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Merche Nodar achéganos “O Rural Esquecido” unha sección que pon en valor o que moitas veces queda fóra do foco urbano: natureza, arquitectura, lugares, oficios antigos, tradicións vividas, costumes locais, personaxes que deixaron a súa pegada no noso rural e historias que resoan entre muros, camiños ou campos. Un espazo para rescatar palabras, memoria e vida desta paisaxe que moldeou a nosa identidade, para escoitar, lembrar e gardar o que somos tamén grazas ao rural. 🔊"Partimos tomando de referencia o libro de Bertolo e Ferro, Torres, Pazos e Casas fidalgas da Estrada". 🔊"Ramón Covián Otero mais Herminia Varela foron Premio Nacional de natalidade con 17 fillos". 🔊"Dolores Otero García tivo varios fillos, entre eles Ramón Valenzuela Otero, escritor e politico galeguista. E o seu irmán Alfonso Valenzuela Otero que é o avó do Presidente da Xunta Alfonso Rueda Valenzuela". 📢Localización e tipoloxía. O Pazo/Casa da Mota está no lugar da Mota, parroquia de San Martiño de Riobó (A Estrada). É unha casa señorial galega dos séculos XVI–XVIII, coñecida tamén como Casa dos Otero. Ten capela, amplo corpo principal e elementos característicos (cruceiro, varanda/soportal), sendo un dos inmobles civís máis salientables do concello. 💡Orixes documentadas. A liñaxe documentada arrinca con Simón Armas e Xoana de Castro (século XVII). A transmisión cara aos Otero prodúcese a través de Cristina Pesqueiras Armas, que casa en Riobó o 5-2-1708 con Domingo Otero García (natural de Arnois). ✔️Consolidación (século XVIII). O morgado do pazo da Mota fundouno Xoán Otero (1716–1799), que organiza o patrimonio familiar arredor da casa. Este estudo é a referencia académica principal sobre a propiedade. ✔️Séculos XIX–XX: proxección local. A casa mantivo un papel destacado na vida municipal. As fontes locais lembran a Ramón Otero (alcalde da Estrada en varias ocasións) e ao seu fillo Gumersindo Otero (alcalde, deputado provincial e gobernador de Ourense), coa capela familiar na quinta. ✔️Vinculacións e contorna (Otero, Cobián, Luces). A documentación municipal salienta que na zona existiron varias casas señoriais (dos Oteros, Cobián e Luces). Ademais, recóllense relacións económicas no XIX entre Ramón Cobián e Ramón Otero da casa da Mota. 🎙️Se che gustan os contidos "SUSCRÍBETE" ao podcast👍 👉MÁIS ENTREVISTAS: https://www.ivoox.com/podcast-salta-da-cama_sq_f1323089_1.html 👉Máis Información e outros contidos: ✔️Facebook: https://www.facebook.com/PabloChichas ✔️Twitter: https://twitter.com/pablochichas ✔️Instagram: https://www.instagram.com/pablochichas/ ✔️ TikTok: https://www.tiktok.com/@pablochichas
Merche Nodar achéganos “O Rural Esquecido” unha sección que pon en valor o que moitas veces queda fóra do foco urbano: natureza, arquitectura, lugares, oficios antigos, tradicións vividas, costumes locais, personaxes que deixaron a súa pegada no noso rural e historias que resoan entre muros, camiños ou campos. Un espazo para rescatar palabras, memoria e vida desta paisaxe que moldeou a nosa identidade, para escoitar, lembrar e gardar o que somos tamén grazas ao rural. Hoxe falamos con Esperanza Fernández, xornaleira na Casa Fidalga da Mota. 🔊"Á casa da Mota íbamos a traballar ao xornal, Pilar miña irmán máis eu, ás veces meu irmán Severino tamén. Pagábannos 15 pesetas máis a comida". 🔊"Había tres casas, a de Doña Mercedes, Doña Jesusa e a de Doña Pura. Nós íbamos para a de Doña Pura a pañar as patacas, o millo, esfollar, meter a herba... Eu tiña 14 anos". 🔊"A comida que nos daban era o que se lle chamaba a comida das festas. Para nós era unha festa ir a traballar para alí, íbamos máis pola comida que polos cartos". 📢Localización e tipoloxía. O Pazo/Casa da Mota está no lugar da Mota, parroquia de San Martiño de Riobó (A Estrada). É unha casa señorial galega dos séculos XVI–XVIII, coñecida tamén como Casa dos Otero. Ten capela, amplo corpo principal e elementos característicos (cruceiro, varanda/soportal), sendo un dos inmobles civís máis salientables do concello. 💡Orixes documentadas. A liñaxe documentada arrinca con Simón Armas e Xoana de Castro (século XVII). A transmisión cara aos Otero prodúcese a través de Cristina Pesqueiras Armas, que casa en Riobó o 5-2-1708 con Domingo Otero García (natural de Arnois). ✔️Consolidación (século XVIII). O morgado do pazo da Mota fundouno Xoán Otero (1716–1799), que organiza o patrimonio familiar arredor da casa. Este estudo é a referencia académica principal sobre a propiedade. ✔️Séculos XIX–XX: proxección local. A casa mantivo un papel destacado na vida municipal. As fontes locais lembran a Ramón Otero (alcalde da Estrada en varias ocasións) e ao seu fillo Gumersindo Otero (alcalde, deputado provincial e gobernador de Ourense), coa capela familiar na quinta. ✔️Vinculacións e contorna (Otero, Cobián, Luces). A documentación municipal salienta que na zona existiron varias casas señoriais (dos Oteros, Cobián e Luces). Ademais, recóllense relacións económicas no XIX entre Ramón Cobián e Ramón Otero da casa da Mota. 🎙️Se che gustan os contidos "SUSCRÍBETE" ao podcast👍 👉MÁIS ENTREVISTAS: https://www.ivoox.com/podcast-salta-da-cama_sq_f1323089_1.html 👉Máis Información e outros contidos: ✔️Facebook: https://www.facebook.com/PabloChichas ✔️Twitter: https://twitter.com/pablochichas ✔️Instagram: https://www.instagram.com/pablochichas/ ✔️ TikTok: https://www.tiktok.com/@pablochichas
Depuis des siècles, l'acier de Damas fascine. On raconte qu'une lame forgée avec ce métal pouvait trancher un foulard de soie en plein vol, ou encore couper en deux une plume ou une armure. Mais qu'est-ce qui se cache derrière cette réputation presque mythique ?Une origine mystérieuseContrairement à ce que son nom laisse penser, l'acier de Damas n'a pas forcément été inventé à Damas, en Syrie. Le terme désigne plutôt des lames produites entre le IIIᵉ et le XVIIᵉ siècle au Moyen-Orient, réputées pour leur résistance et leur tranchant exceptionnels. Elles étaient forgées à partir d'un acier venu d'Inde et du Sri Lanka, appelé wootz. Ce matériau contenait une quantité élevée de carbone, ce qui conférait à la lame une dureté remarquable.Des motifs uniquesL'une des caractéristiques les plus célèbres de ces lames, ce sont les motifs en surface, semblables à des vagues ou à des arabesques. Ils apparaissaient naturellement lors du travail du métal, en raison de la microstructure de l'acier, faite de bandes de carbures de fer. Ces motifs n'étaient pas qu'esthétiques : ils signalaient une organisation interne du métal qui contribuait à ses qualités mécaniques.Le secret perduMais comment exactement ces forgerons parvenaient-ils à obtenir un tel acier ? Le mystère reste entier. Dès le XVIIIᵉ siècle, la filière indienne du wootz s'est éteinte, et avec elle le savoir-faire. Les tentatives européennes de reproduction n'ont jamais donné un résultat équivalent.Au XXᵉ siècle, des analyses microscopiques modernes ont révélé que l'acier de Damas contenait parfois des nanotubes de carbone et des structures à l'échelle nanométrique, formées accidentellement lors de la forge. Ces structures renforçaient la solidité et la flexibilité de la lame. Or, les forgerons médiévaux ignoraient évidemment la nanotechnologie ! Ils suivaient simplement des recettes empiriques très précises : températures de chauffe, vitesse de refroidissement, proportion d'impuretés… Un savoir transmis oralement, et perdu avec le temps.Mythe et renaissanceAujourd'hui, de nombreux couteliers fabriquent ce qu'on appelle de « l'acier damassé ». Mais il s'agit souvent d'une autre technique : souder et replier des couches d'acier de qualité différente pour obtenir un beau motif. Résultat : l'esthétique rappelle l'acier de Damas, mais ce n'est pas la même chose.En conclusionL'acier de Damas reste une énigme partiellement résolue. On sait qu'il devait sa supériorité à la composition particulière du wootz indien et à des procédés de forge complexes. Mais l'alchimie exacte, celle qui donnait à ces lames leur réputation presque magique, demeure insaisissable. Et c'est peut-être cela qui fait tout son charme : un mélange de science, d'art et de légende. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En la sección de Etnografía de A Vivir Cantabria hablamos de 'los zapateros de Cabezón de la Sal'. La antropóloga Araceli González ha documentado la existencia de varios maestros zapateros en el siglo XVIII, que dieron lugar a una industria local ya desaparecida. Muchos de estos artesanos llegaron a vender calzado de cuero en tierras de Castilla.
En este escalofriante DÍAS EXTRAÑOS, atravesamos el velo entre la leyenda y la realidad para descubrir la verdad sobre los vampiros humanos. Desde Jure Grando, el primer vampiro documentado oficialmente en 1656, hasta Richard Chase, el Vampiro de Sacramento que aterrorizó California en los años 70, exploramos casos reales que superan cualquier ficción. Analizamos el vampirismo clínico como condición psiquiátrica, desentrañamos las explicaciones científicas detrás de las epidemias vampíricas del siglo XVIII, y revelamos la inquietante realidad de las 15.000 personas que hoy se identifican como "vampiros reales" en Estados Unidos: ¿psicosis, parafilia o algo más oscuro? Un viaje de por los expedientes policiales, informes forenses y documentos históricos que demuestran que, a veces, la realidad muerde más fuerte que la ficción. Maldiciones musicales, con Luis Antonio Muñoz. Ciclismo y política, con Oscar Fábrega. Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Incydenty dronowe w Polsce i na Litwie. Kolejne ataki na Ukrainę. Przyszłość relacji między Warszawą a Kijowem.Olga Siemaszko (Wilno): wzmożony ruch na granicy litewsko-białoruskiej po zamknięciu tej polsko-białoruskiejArtur Żak (Lwów): ostrzały zachodniej UkrainyMichał Potocki (Dziennik Gazeta Prawna): Ukraina uruchamia kontrolowany eksport broni; źródła napięć polsko-ukraińskich i jak naprawić relacje między naszymi państwami
Historia kościoła na św. Krzyżu sięga XII wieku. Jednak z tamtego okresu niewiele pozostało. Praktycznie wszystko spłonęło bowiem podczas wielkiego pożaru w XVIII wieku. Skąd czerpano wzorce budując pierwszą świątynię i w jakich okolicznościach przybyli tu benedyktyni. Opowiadają o tym Cezary Jastrzebski i Robert Szumielewicz.
Quienes tengan ya bastantes años de edad, recordarán que aquella música que se hizo entre los siglos XVII y XVIII, llamada música barroca, o del barroco, volvió a ponerse de moda en los años 60 y 70 del siglo pasado. De moda en los auditorios de todo el mundo e influenciando a jóvenes compositores y grupos del llamado pop. Bien..Lo que son las cosas. la industria fonográfica, sin saber por qué, ha vuelto a poner de moda el barroco. Es el estilo musical que más se edita, y como es lógico los músicos y auditorios suelen programarlo con mucha frecuencia. Mirando en las redes he contabilizado hasta 20 antologías recientes con el título de BAROQUE CLASSICS. Y el programa aprovechará esa circunstancias para dedicar nuestra hora musical a su historia y la historia de sus 10 compositores más famosos, sus piezas más populares.
Le mot “Australie” évoque pour nous un vaste continent peuplé de kangourous, de déserts et de récifs coralliens. Mais sais-tu que ce nom vient d'un continent… qui n'a jamais existé ? La mystérieuse Terra Australis.Un continent imaginaireDès l'Antiquité, certains savants imaginent qu'il doit exister une grande masse de terres dans l'hémisphère sud, afin d'équilibrer celles déjà connues au nord. Cette idée traverse les siècles et, au Moyen Âge, les cartographes européens la reprennent : sur leurs cartes, ils dessinent une immense terre méridionale, qu'ils baptisent Terra Australis Incognita — littéralement, la “terre australe inconnue”. On la place vaguement au sud de l'océan Indien, parfois reliée à l'Antarctique, parfois décalée vers le Pacifique. Bref, c'est une hypothèse géographique devenue un mythe.L'époque des grandes découvertesÀ partir du XVe siècle, les navigateurs portugais, espagnols, puis hollandais partent explorer le monde. Leurs cartes mentionnent souvent cette Terra Australis, même si personne ne l'a jamais foulée. Et lorsque les Européens commencent à aborder les côtes de ce que nous appelons aujourd'hui l'Australie — les Hollandais au XVIIᵉ siècle, puis plus tard James Cook au XVIIIᵉ —, ils associent naturellement cette terre réelle à la légendaire masse australe de leurs cartes.Du mythe au nom officielAu départ, les Hollandais parlent de New Holland pour désigner cette région. Mais l'idée d'une terre du sud persiste. En 1814, l'explorateur britannique Matthew Flinders publie ses récits de voyage et propose officiellement le nom Australia. Pourquoi ? Parce que ce mot, déjà utilisé par certains cartographes et savants, rappelait clairement la Terra Australis tout en étant plus simple, plus moderne. Le gouverneur britannique Lachlan Macquarie adopte le terme en 1817, et à partir de 1824, il devient le nom officiel du continent.Un héritage toujours visibleAujourd'hui, le nom Australie porte donc la trace d'un mythe géographique. La “Terra Australis” n'existait pas, mais elle a donné son nom à une terre bien réelle. C'est un exemple fascinant de la manière dont les rêves et les hypothèses des savants peuvent marquer l'histoire, au point de baptiser un continent entier.ConclusionL'Australie doit son nom non pas à une réalité géographique, mais à une idée : celle d'équilibrer le monde. La “Terra Australis” était une invention, mais son héritière est bien tangible. Comme quoi, même les fictions cartographiques peuvent laisser des traces indélébiles dans notre langage et notre imaginaire. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
VOV1 - Dự thảo Báo cáo chính trị Đại hội đại biểu lần thứ XVIII Đảng bộ thành phố Hà Nội xác định, bảo vệ môi trường là một trong 5 lĩnh vực ưu tiên cần tập trung thực hiện giai đoạn 2025 - 2030. Chính vì vậy, cùng với những vấn đề quan trọng khác vấn đề bảo vệ môi trường được đặc biệt quan tâm.
Dos médicos (Two Doctors) es un relato de terror del escritor inglés M.R. James (1862-1936), publicado en la antología de 1919: Un fantasma delgado y otros (A Thin Ghost and Others). Dos médicos, nos sitúa en pleno siglo XVIII, donde dos médicos, el doctor Abell y el doctor Quinn, llevan adelante su práctica en Islington, actualmente parte de Londres, de forma sumamente cuestionable. De hecho, el doctor Abell parece mucho más interesado en el ocultismo que en la medicina. SPOILER El doctor Quinn comienza a sufrir terribles pesadillas, a tal punto que toda su vida se altera irreversiblemente. Finalmente muere en circunstancias poco claras y, desde luego, uno de los principales implicados es el doctor Abell. Análisis de: El Espejo Gótico https://elespejogotico.blogspot.com/2009/11/dos-medicos-mr-james.html Texto del relato extraído de: https://elespejogotico.blogspot.com/2009/11/dos-medicos-mr-james.html Musicas: - 01. Mind Tricks - Experia (Epidemic) - 02. Dark Music - The Sealed Kingdom (Epidemic) Nota: Este audio no se realiza con fines comerciales ni lucrativos. Es de difusión enteramente gratuita e intenta dar a conocer tanto a los escritores de los relatos y cuentos como a los autores de las músicas. ¿Quieres anunciarte en este podcast? Hazlo con advoices.com/podcast/ivoox/352537 Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
Recomendados de la semana en iVoox.com Semana del 5 al 11 de julio del 2021
Dos médicos (Two Doctors) es un relato de terror del escritor inglés M.R. James (1862-1936), publicado en la antología de 1919: Un fantasma delgado y otros (A Thin Ghost and Others). Dos médicos, nos sitúa en pleno siglo XVIII, donde dos médicos, el doctor Abell y el doctor Quinn, llevan adelante su práctica en Islington, actualmente parte de Londres, de forma sumamente cuestionable. De hecho, el doctor Abell parece mucho más interesado en el ocultismo que en la medicina. SPOILER El doctor Quinn comienza a sufrir terribles pesadillas, a tal punto que toda su vida se altera irreversiblemente. Finalmente muere en circunstancias poco claras y, desde luego, uno de los principales implicados es el doctor Abell. Análisis de: El Espejo Gótico https://elespejogotico.blogspot.com/2009/11/dos-medicos-mr-james.html Texto del relato extraído de: https://elespejogotico.blogspot.com/2009/11/dos-medicos-mr-james.html Musicas: - 01. Mind Tricks - Experia (Epidemic) - 02. Dark Music - The Sealed Kingdom (Epidemic) Nota: Este audio no se realiza con fines comerciales ni lucrativos. Es de difusión enteramente gratuita e intenta dar a conocer tanto a los escritores de los relatos y cuentos como a los autores de las músicas. ¿Quieres anunciarte en este podcast? Hazlo con advoices.com/podcast/ivoox/352537
Giovanna Pinna"Lettere sull'educazione estetica dell'uomo"Festival Filosofiawww.festivalfilosofia.itFestival Filosofia, CarpiVenerdì 19 settembre 2025, ore 10:00la lezione dei classiciGiovanna PinnaLettere sull'educazione estetica dell'uomodi Friedrich SchillerQuale ideale formativo incarna “l'anima bella” di Schiller? Questa lezione mostra come la figura dell'anima bella unisca rigore morale e inclinazione affettiva, indicando nella bellezza e nell'arte strumenti di libertà interiore dal valore universale.Giovanna Pinna è professoressa di Estetica e Filosofia teoretica presso l'Università del Molise, dove dal 2005 insegna anche Letteratura tedesca. È stata Research Fellow presso la Italian Academy for Advanced Studies (Columbia University), con una ricerca sul rapporto tra estetica e antropologia nella filosofia di Hegel. I suoi interessi di ricerca si concentrano sull'estetica letteraria e filosofica, con particolare attenzione alla cultura tedesca tra XVIII e XIX secolo. Ha pubblicato numerosi studi su autori quali G.W.F. Hegel, F.W.J. Schelling, F. Schiller, F. Schlegel, K.W.F. Solger, L. Tieck, di cui ha tradotto e curato edizioni sia in Italia sia in Germania. Si occupa di teorie estetiche moderne, della filosofia dell'idealismo tedesco, delle filosofie del sublime e del tragico e dei fondamenti antropologici dell'arte, approfondendo anche il rapporto arte-natura, la teoria della tragedia e del romanzo, l'estetica dell'immagine. Recentemente, ha sviluppato un nuovo filone di ricerca dedicato alla filosofia dell'invecchiamento e alla gerontologia umanistica. Di Friedrich Schiller ha tradotto e curato numerose opere, tra cui Il corpo e l'anima. Scritti giovanili (Roma 2012) e L'educazione estetica (nuova ed. riveduta e aggiornata, Palermo 2020, 1a ed. 2009). Tra i suoi libri: Senilità. Immagini della vecchiaia nella cultura occidentale (con Hans Georg Pott, Alessandria 2011); Introduzione a Schiller (Roma-Bari 2012).IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarewww.ilpostodelleparole.itDiventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.
Send us a textWe made it. This is the final episode in the 101 Weight Loss Truths series. After 18 episodes, we've come to the end, and these last three truths are the ones that mean the most to me.Here's what I cover in this episode:99. Have a singular focus and accept that you don't have a choice When I was fighting for my life in a hospital bed, I didn't have the luxury of options. I had to focus. And the truth is, that same kind of clarity is what helped me lose over 200 pounds, and then over a hundred. In this segment, I talk about what it really means to narrow your focus and stop giving yourself a back door to escape through.100. There is no backward, only forward This was the hardest one to record. It's something I used as a lifeline during my recovery and something I still rely on now. When you're trying to change your life, you can't keep looking over your shoulder. You've got to deal with where you are now and figure out what to do next. The past matters, but it doesn't get to decide your future.101. You've totally got this I say it every week, and I mean it every time. Whether you believe in yourself or not, I believe in you. You can do this, even if it's hard, even if you've failed before, even if you're not sure where to begin. You don't have to be perfect. You just have to keep going.Thank you for coming with me through all 101 truths. This series might be over, but your journey is just getting started.Looking for help on your weight loss journey? I've created a couple of resources:• My NEW Membership Community Flamingo Forum! Join HERE: https://charlotte-skanes.mykajabi.com/disruptor-our-community• My Immersive Weight Loss Experience: Sustainable 7• My Cookbook 'Disruptor'• Free Guide ‘Getting Started for the Last Time'• Weight Loss Workbook Disruptor, find anywhere in the world on Amazon by searching “Disruptor Charlotte Skanes”•Get Started For The Last Time LIVE Webinar Replay Sign-Up - free Spread Sprinkle Pour worksheets WebsiteInstagramYoutube...
Muchas de las aportaciones de las mujeres a la ciencia se han adjudicado históricamente a sus colegas hombres o sencillamente se han ocultado en cualquier rincón de un laboratorio. Las protagonistas de este documental son ejemplos paradigmáticos. Ángeles Alvariño, española, es precursora de la investigación oceanográfica especializada en plancton y descubridora de 22 especies de estos microscópicos organismos marinos. Jeanne Barret, botánica empírica francesa, fue la primera mujer que circunnavegó la tierra y recolectó especies de plantas desconocidas como la buganvilla. La primera desarrolló su labor en el siglo XVIII y la segunda, en el XX. El programa, con guion de Ana José Cancio y realización de Mayca Aguilera, presenta ambas biografías en paralelo; separadas doscientos años pero conectadas por el océano, la ciencia y la necesidad de romper moldes en ámbitos vedados para las mujeres. Por primera vez en un medio de comunicación español suena la voz de la propia Ángeles Alvariño, cedida por el Archivo Municipal de A Coruña. Además, participan Ángeles Leira, hija de la oceanógrafa gallega; Alberto González-Garcés, biólogo marino y autor del libro 'Ángeles Alvariño, investigadora marina de relevancia mundial'; la especialista en botánica María Teresa Tellería, responsable de la biografía novelada de Jeanne Barret titulada 'Sin permiso del rey'; y Christel Mouchard, experta en mujeres exploradoras y autora de 'La aventurera de L’Étoile'.Escuchar audio
„The Testament of Ann Lee” w reżyserii Mony Fostvold z Amandą Seyfried w roli głównej podbił festiwal filmowy w Wenecji. Poprzez muzykę i taniec opowiada o XVIII-wiecznej mistyczce, która założyła radykalny Kościół szejkersów.Autorka: Adriana ProdeusArtykuł przeczytasz pod linkiem: https://www.vogue.pl/a/the-testament-of-ann-lee-recenzja-filmu
Momentos. Recorremos la geografía y sus músicas. Todos los podcast aquí: https://slumdar2.wordpress.com/musica-sin-usura/ (192 kbps) CANAL SLUM INTERIOR SESSION: https://play.vargasdelmoral.com/share/xMiEyNbTBR#/ TIMELINE AND TRACK LIST [00:00:00] – 01. a great big world with jason mraz - darling it's over [00:04:16] – 02. russel walder - faith embrace [00:09:22] – 03. lp - lost on you [00:15:03] – 04. eileen ivers - bygone days [00:20:54] – 05. edith piaf - non, je ne regrette rien [00:23:54] – 06. james taylor - carolina in my mind [00:27:41] – 07. oi va voi - refugee [00:31:56] – 08. dinah washington - what a diff'rence a day made [00:34:23] – 09. frankie goes to hollywood - the power of love [00:39:48] – 10. wendy carlos - funeral of queen mary [00:42:15] – 11. mary black - no frontiers [00:46:48] – 12. jimi hendrix - experiencepurple haze [00:43:30] – 13. michael kiwanuka - love & hate [00:57:05] – 14. duke ellington & john coltrane - in a sentimental mood [00:00:00] – 15. van morrison & the chieftains - shenandoah [01:01:09] – 16. yazoo - only you [01:05:37] – 17. jackson browne - stay [01:12:30] – 18. barón rojo - siempre estás allí [01:18:44] – 19. steve earle - this city [01:22:02] – 20. ibrahim maalouf - beirut
It's time to call in with all your weirdest, nuttiest, and most mind-bending questions, from giants to the gyrations of James T. Kirk.
La pimienta es hoy un condimento muy común y de precio asequible, esencial en cocinas de todo el mundo, pero no siempre fue así. Proviene de la región de Malabar, en el sur de la India y se convirtió en un importante motor de la economía y el comercio durante miles de años. Desde la antigüedad, la pimienta fue un producto valioso y muy demandado. En el Egipto de los faraones se usaba en la cocina, pero también en ritos de momificación tal y como los arqueólogos pudieron comprobar cuando encontraron dos granos de pimienta en las fosas nasales de la momia de Ramsés II. De Egipto pasó a otras zonas del Mediterráneo. En Grecia era bien conocida, pero su alto coste limitaba su consumo a los que eran muy ricos. Debía ser tan cara que no aparece ni siquiera mencionada en el antiguo testamento Su escasez se debía a que había que traerla desde la India mediante una ruta muy larga que iba por el mar Rojo y el mar Arábigo. Se desconocía, además, de que planta en concreto provenía. En tiempos del Imperio Romano ese comercio se expandió como nunca antes. Los romanos, que habían creado una gran zona comercial en el Mediterráneo, importaron durante siglos grandes cantidades de pimienta que transformó su gastronomía y la economía del imperio. La conquista romana de Egipto en el 30 a.C. les abrió el mar Rojo de par en par. Eso les facilitaba el acceso directo a la India. De como las flotas romanas llegaban hasta la India da fe un diario de viaje del siglo I, el "Periplo del mar eritreo", en el que el autor detalla las rutas comerciales, los puertos de recalada y los productos con los que había que comerciar. La pimienta siguió siendo costosa, pero su preció descendió, lo que hizo de esta especia un condimento muy popular en la Roma imperial. Tras la caída del imperio romano, bizantinos, persas y árabes se fueron sucediendo en el control del comercio con la India. En el siglo IX, los árabes ya eran los dueños de la ruta entre los puertos indios de Malabar y los del golfo Pérsico y el mar Rojo. La pimienta se integró en la cocina islámica y fue incluso elogiada por eruditos como Avicena. Una vez en las costas del Mediterráneo, venecianos y genoveses monopolizaban su distribución. Su escasez la convirtió en uno de los símbolos de riqueza más visibles de la Europa medieval. Los reyes y aristócratas la empleaban en la cocina y trataban de que sus existencias de pimienta fuesen muy visibles en los banquetes. Cualquiera con dinero estaba dispuesto a pagar por ella, algo que hizo prosperar a las repúblicas marítimas italianas que se encargaban de traerla desde los puertos del Levante. La caída de Constantinopla en 1453 encareció aún más el producto porque los otomanos elevaron los peajes. Eso empujó a los portugueses, que ya estaban explorando la costa africana, a buscar rutas alternativas. En 1498 Vasco da Gama llegó a Calicut acabando así con el monopolio que durante siglos habían tenido árabes y venecianos. Durante más de un siglo los portugueses establecieron en la India factorías fortificadas como la de Goa, desde donde controlaban el comercio de pimienta ahuyentado a los competidores. Eso redujo sustancialmente los precios en Europa ya que se eliminaban los intermediarios. Se llevaron también su cultivo a Brasil, lo que redundó en un incremento de la oferta. Pero seguía siendo interesante desde el punto de vista comercial, por lo que otras potencias como los Países Bajos, Inglaterra y Francia entraron en el mercado con sus compañías de las Indias Orientales. En sólo unas décadas consiguieron que llegase tanta pimienta a los mercados europeos que su precio descendió hasta convertir la otrora deseada especia en una commodity más. En el siglo XVIII la pimienta ya era algo cotidiano, pero había conseguido cambiar el mundo. Gracias a ella prosperaron ciudades como Lisboa y Ámsterdam, los beneficios obtenidos por su venta financiaron todo tipo de innovaciones y fue la palanca que los europeos utilizaron para establecerse en Asia hasta bien entrado el siglo XX. En El ContraSello: 0:00 Introducción 4:21 El imperio de la pimienta 1:08:49 Vlad Tepes "el empalador" 1:17:51 ¿Qué sabían los alemanes del Holocausto?" Bibliografía: “Las especias: Historia de una tentación” de Jack Turner - https://amzn.to/3HWOGng “Especias” de Roger Crowley - https://amzn.to/4n2GqB5 “Historia de las especias” de Román Hereter - https://amzn.to/3JFekxk “El origen de las especias” de Thomas Reinerstensen - https://amzn.to/4209GQR #FernandoDiazVillanueva #pimienta #especias Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
durée : 00:32:10 - Les Nuits de France Culture - par : Christine Goémé - Par Alain Veinstein - Avec Michel Delon (professeur émérite de littérature française du XVIIIè siècle à l'Université Paris IV-Sorbonne, auteur de "L'invention du boudoir") - Réalisation Bernard Treton - réalisation : Virginie Mourthé
Invité: Wolf Feuerhahn. Le mot "progrès" a longtemps été synonyme dʹespoir. Il est aujourdʹhui disputé. Pour les uns, il incarne la science et lʹavenir ; pour dʹautres, une course à la consommation. Comment sa perception a changé depuis le XVIIIᵉ siècle? En quoi est-ce révélateur de nos luttes et de nos visions du monde? Pour en parler Tribu reçoit Wolf Feuerhahn, historien, directeur de recherche au CNRS et enseignant. Il publie "Progrès" aux éditions Anamosa.
Comenzamos el nuevo ciclo de Historias con una entrevista al historiador Daniel Mendiola, autor de The Mosquito Confederation: A Borderlands History of Colonial Central America. Este libro, centrado en el siglo XVIII, invita a repensar la construcción de los imperios y las fronteras tanto en el pasado como en el presente. Mendiola es doctor en Historia Latinoamericana por la Universidad de Houston (2018). Tras desempeñarse como Faculty Fellow en el Centro de Estudios Latinoamericanos y del Caribe de la Universidad de Nueva York, se incorporó a Vassar College en 2021. Ha publicado varios artículos en inglés y español en revistas como el Anuario de Estudios Centroamericanos y la Hispanic American Historical Review. Historias conversó con Mendiola sobre su investigación del Reino Mosquito, una poderosa confederación indígena que en el siglo XVIII desafió a los colonizadores españoles e ingleses, plasmada en su libro The Mosquito Confederation, un estudio exhaustivo sobre este reino y su papel en la historia atlántica.
Comenzamos el nuevo ciclo de Historias con una entrevista al historiador Daniel Mendiola, autor de The Mosquito Confederation: A Borderlands History of Colonial Central America. Este libro, centrado en el siglo XVIII, invita a repensar la construcción de los imperios y las fronteras tanto en el pasado como en el presente. Mendiola es doctor en Historia Latinoamericana por la Universidad de Houston (2018). Tras desempeñarse como Faculty Fellow en el Centro de Estudios Latinoamericanos y del Caribe de la Universidad de Nueva York, se incorporó a Vassar College en 2021. Ha publicado varios artículos en inglés y español en revistas como el Anuario de Estudios Centroamericanos y la Hispanic American Historical Review. Historias conversó con Mendiola sobre su investigación del Reino Mosquito, una poderosa confederación indígena que en el siglo XVIII desafió a los colonizadores españoles e ingleses, plasmada en su libro The Mosquito Confederation, un estudio exhaustivo sobre este reino y su papel en la historia atlántica.
Mergulhamos na fascinante história da pirataria e da predação marítima entre os séculos XVI e XIX, explorando as diferenças entre os oceanos Atlântico e Índico! Neste SciCast, desvendamos o que define pirataria, passamos por figuras que moldaram o comércio colonial, desafiaram impérios e serviram de material para histórias, mitos e lendas. No Atlântico, a Era de Ouro da pirataria, marcada por nomes como Barba Negra e Anne Bonny, foi impulsionada pelo lucrativo mercado do açúcar e pelo tráfico de escravizados. No Índico, senhores do mar como Ching Shih e os Marakkars dominavam rotas comerciais com estratégias únicas, aproveitando as monções. Da origem do Jolly Roger às raízes da pirataria nas talassocracias antigas, descubra como esses rebeldes dos mares conectaram continentes e inspiram até hoje a cultura pop, de Jack Sparrow a One Piece. Seja bem vindo à bordo dessa aventura histórica! Patronato do SciCast: 1. Patreon SciCast 2. Apoia.se/Scicast 3. Nos ajude via Pix também, chave: contato@scicast.com.br ou acesse o QRcode: Sua pequena contribuição ajuda o Portal Deviante a continuar divulgando Ciência! Contatos: contato@scicast.com.br https://twitter.com/scicastpodcast https://www.facebook.com/scicastpodcast https://instagram.com/scicastpodcast Fale conosco! E não esqueça de deixar o seu comentário na postagem desse episódio! Expediente: Produção Geral: Tarik Fernandes e André Trapani Equipe de Gravação: Gustavo Rebello, Marcelo de Matos, Rodolfo Neto, Marcelo Pedraz, Rita Kujawski, Maria Oliveira Citação ABNT: Scicast #658: Pirataria no Atlântico e no Índico. Locução: Gustavo Rebello, Marcelo de Matos, Rodolfo Neto, Marcelo Pedraz, Rita Kujawski, Maria Oliveira. [S.l.] Portal Deviante, 25/08/2025. Podcast. Disponível em: https://www.deviante.com.br/podcasts/scicast-658 Imagem de capa: Captura do Pirata, Barba Negra, 1718, por Jean Leon Gerome Ferris. A pintura representa a batalha entre o pirata e o Tenente Maynard na baía de Ocracoke, no pico da Época Dourada da Pirataria. Por Jean Leon Gerome Ferris - http://www.neatorama.com/2007/10/22/pirate-lore-7-myths-and-trrrrruths-about-pirates/, Domínio público, https://commons.wikimedia.org/w/index.php?curid=8643114 Expotea: https://expotea.com.br/https://www.instagram.com/expoteabrasil/ Referências e Indicações Sugestões de literatura: FERNÁNDEZ RODRÍGUEZ, María. El pirata de ficción: Historia y teoría de un mito transmedial. 2022. Tese (Doutorado em Español: Investigación Avanzada en Lengua y Literatura) – Departamento de Lengua Española, Área de Teoría de la Literatura y Literatura Comparada, Facultad de Filología, Universidad de Salamanca, Salamanca, 2022. Orientador: Javier Sánchez Zapatero. REIS, Ernesto. Piratas no Atlântico Sul. 1. ed. São Paulo: Giostri, 2012. 108 p. ISBN-10: 8581080871 QUEIROZ, Camila Acosta. “Making his men believe he was a devil incarnate”: gênero, hidrarquia e masculinidade na pirataria moderna através de general history of the pyrates (Atlântico, século XVIII). Dissertação (Mestrado em História), Universidade Federal de Santa Maria. Santa Maria, 2024. Disponível em: https://repositorio.ufsm.br/handle/1/31894. Rediker, Marcus. Villains of All Nations: Atlantic Pirates in the Golden Age (2004). Aborda como a economia marítima e o imperialismo criaram as condições ideais para a pirataria florescer no Atlântico. Cordingly, David. Under the Black Flag: The Romance and the Reality of Life Among the Pirates (1995). Descreve a interação entre impérios coloniais, comércio atlântico e pirataria, com ênfase nas rotas comerciais vulneráveis. O autor descreve a transição dos caçadores de gado para piratas, explicando como o termo “bucaneiro” (do francês boucanier) veio dos métodos indígenas de defumar carne. Linebaugh, Peter & Rediker, Marcus – The Many-Headed Hydra (2000). Examina o papel da pirataria dentro das redes de trabalho forçado e comércio imperial. Woodard, C. (2007). The Republic of Pirates: Being the True and Surprising Story of the Caribbean Pirates and the Man Who Brought Them Down. Harcourt. Johnson, C. (1724). A General History of the Pyrates. Edição moderna: Dover Publications, 1999. Earle, P. (2007). The Sack of Panamá: Captain Morgan and the Battle for the Caribbean. Thomas Dunne Books. Talty, S. (2005). Empire of Blue Water: Captain Morgan’s Great Pirate Army. Crown Publishers. Kelsey, H. (1998). Sir Francis Drake: The Queen’s Pirate. Yale University Press. "Jolly Roger" no Oxford Companion to Ships and the Sea, editado por Peter Kemp, 1988. Konstam, Angus. Piracy: The Complete History. Osprey Publishing, 2008. Sugestões de filmes: Our Flag Means Death (série) One Piece (anime) Tintin, Arco do Segredo do Licorne + Tesouro de Rackam, o Terrível Sugestões de links: Sobre bucaneiros: https://www.britannica.com/topic/buccaneer Sugestões de games: Assassin’s Creed: Black Flag See omnystudio.com/listener for privacy information.
La historia de la ciencia no es solo para expertos; nos revela cómo la humanidad, a través de la curiosidad y el ingenio, ha desvelado los misterios del universo. Entenderla nos permite apreciar cómo el pensamiento crítico y el descubrimiento han moldeado nuestro mundo, desde la medicina hasta la tecnología actual. Hemos entrevistado a Daniel Torregrosa, autor del libro "Historia de la ciencia y la tecnología" (Pinolia)En este programa hemos recuperado el resto de secciones. En nuestros Destinos con ciencia, hemos viajado con Esther García a Eindhoven, conocida como “Lichtstad” (en neerlandés, “la ciudad de la luz”), ya que fue aquí donde a finales del s. XIX nació la empresa Philips, fabricante de bombillas. Ahora se dedica a electrónica y asistencia sanitaria. Con Humberto Bustince analizamos los problemas que hay que superar para el completo desarrollo de la Inteligencia Artificial: explicabilidad, interpretabilidad, adaptabilidad y sostenibilidad . Con Montse Villar hemos conocido más a fondo uno de los proyectos astronómicos más ambiciosos y prometedores: el SKA, el radiotelescopio más sensible jamás construido con el que podremos asomarnos a la infancia del universo. José Luís Trejo nos habló de la influencia del estrés en el cerebro a través de la microbiota intestinal (823). Y Eulalia Pérez Sedeño nos acercó a la biografía de Elizabeth Carter, poetisa y traductora británica del siglo XVIII que tradujo el libro de Algarotti sobre la óptica de Newton, una obra encuadrada en la denominada literatura científica para damas, tan popular en aquella época.Escuchar audio
En la segunda mitad del siglo XVI las provincias septentrionales de los Países Bajos controlados por los Habsburgo se rebelaron contra el monarca, que en aquel momento era Felipe II de España. Esta rebelión, cuya motivación fue religiosa, tuvo importantes consecuencias en la historia de Europa ya que, tras varias décadas de guerra, estas provincias consolidaron su independencia creando un Estado de nuevo cuño: la república de las Siete Provincias Unidas. Se trataba de una entidad política con un sistema de gobierno muy particular, una confederación que combinaba un Gobierno republicano encarnado en los Estados Generales, y una suerte de monarca elegible, el estatúder, que se encargaba de los asuntos militares. Tan pronto como consiguió la independencia, la recién nacida república comenzó a enriquecerse y expandirse por el mundo. La base de su prosperidad fue la apertura y el pragmatismo. Los Países Bajos se convirtieron en un gigantesco emporio comercial gracias a su estratégica ubicación geográfica y a una serie de innovaciones financieras como el Banco y la Bolsa de Ámsterdam, pioneras del capitalismo. Las Compañías de las Indias Orientales y Occidentales, corporaciones con tanto poder comercial como militar, permitieron a la República romper los monopolios de España y Portugal en el Atlántico y el Índico y forjar un gran imperio colonial. La sociedad neerlandesa, entretanto, asistió al ascenso de una burguesía urbana que adoptó valores calvinistas como el trabajo, el ahorro y la austeridad que se reflejaban en su cultura y estilo de vida. Pero, aunque el calvinismo era la religión oficial, la república practicó cierta tolerancia religiosa que atrajo a comerciantes y pensadores de toda Europa y contribuyó a su prosperidad al evitar conflictos internos y fomentar el comercio. Este ambiente de relativa libertad intelectual dio lugar a un florecimiento cultural y científico. El arte, impulsado por la burguesía como nueva mecenas, se alejó de los temas religiosos y aristocráticos para centrarse en la vida cotidiana y los paisajes. Maestros como Rembrandt, Vermeer o Frans Hals revolucionaron la pintura con su realismo y dominio de la luz. En el ámbito científico, figuras como Christiaan Huygens y Anton van Leeuwenhoek hicieron descubrimientos fundamentales. La cartografía neerlandesa, impulsada por las necesidades de los navegantes y el comercio, se convirtió en el referente mundial gracias a la precisión y la belleza de los mapas que realizaban geógrafos como Gerardus Mercator, Abraham Ortellius o Willem Blaeu. Los años de esplendor neerlandés comenzaron a declinar a finales del siglo XVII. En 1672, que ha pasado a la historia como el "año del desastre”, la República fue atacada simultáneamente por Francia e Inglaterra y consiguieron resistir de milagro. A lo largo del siglo XVIII, fueron perdiendo su preeminencia ultramarina ante el auge de potencias como Gran Bretaña. Las guerras en el continente, entretanto, eran continuas y muy costosas. El fin de la república llegó en 1795 con la invasión francesa. A pesar de su ocaso, el legado que dejaron aquellos neerlandeses de los siglos XVI y XVII llega hasta nuestros días. Sentaron las bases del capitalismo moderno e hicieron grandes contribuciones a la ciencia y a la historia del arte. En El ContraSello: 0:00 Introducción 3:45 El esplendor de Holanda 1:10:57 La guerra de sucesión austriaca 1:21:00 Josefina Bonaparte Bibliografía: - "The dutch golden age" de Helmer J. Helmers - https://amzn.to/46S1LZf - "Dutch Golden Age" de Jan Blanc - https://amzn.to/46S1QMx - "History of the Dutch Golden Age" de Junior Scofield - https://amzn.to/3HAr2wG - "The Frigid Golden Age" de Dagomar Degroot - https://amzn.to/45QwWTF · Canal de Telegram: https://t.me/lacontracronica · “Contra la Revolución Francesa”… https://amzn.to/4aF0LpZ · “Hispanos. Breve historia de los pueblos de habla hispana”… https://amzn.to/428js1G · “La ContraHistoria de España. Auge, caída y vuelta a empezar de un país en 28 episodios”… https://amzn.to/3kXcZ6i · “Lutero, Calvino y Trento, la Reforma que no fue”… https://amzn.to/3shKOlK · “La ContraHistoria del comunismo”… https://amzn.to/39QP2KE Apoya La Contra en: · Patreon... https://www.patreon.com/diazvillanueva · iVoox... https://www.ivoox.com/podcast-contracronica_sq_f1267769_1.html · Paypal... https://www.paypal.me/diazvillanueva Sígueme en: · Web... https://diazvillanueva.com · Twitter... https://twitter.com/diazvillanueva · Facebook... https://www.facebook.com/fernandodiazvillanueva1/ · Instagram... https://www.instagram.com/diazvillanueva · Linkedin… https://www.linkedin.com/in/fernando-d%C3%ADaz-villanueva-7303865/ · Flickr... https://www.flickr.com/photos/147276463@N05/?/ · Pinterest... https://www.pinterest.com/fernandodiazvillanueva Encuentra mis libros en: · Amazon... https://www.amazon.es/Fernando-Diaz-Villanueva/e/B00J2ASBXM #FernandoDiazVillanueva #holanda #paisesbajos Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
durée : 00:57:09 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Antoine Ravon - Diderot a laissé 780 lettres qui nous renseignent sur ses amours, ses enthousiasmes, ses idées fixes, sur sa pensée philosophique, sa politique, son esthétique et son rapport aux femmes. - réalisation : Riyad Cairat - invités : Franck Salaün Professeur de littérature française du XVIIIème siècle à l'Université de Montpellier; Florence Lotterie Professeure de littérature du 18ème siècle à l'Université de Paris
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! Décimo séptima y última meditación de una convivencia de agregadas del Opus Dei celebrada en Julio y Agosto de 2025, predicada en el viernes de la XVIII semana del Tiempo Ordinario. En el Evangelio el Señor nos anima a ser generosos con nuestra vida, nuestro tiempo, nuestro corazón: «el que pierda su vida por mí, la encontrará». Toda vocación implica una plena disponibilidad del corazón, para atender las necesidades de los demás por amor a Dios.Escucha este episodio completo y accede a todo el contenido exclusivo de Meditaciones diarias. Descubre antes que nadie los nuevos episodios, y participa en la comunidad exclusiva de oyentes en https://go.ivoox.com/sq/874295
Agradece a este podcast tantas horas de entretenimiento y disfruta de episodios exclusivos como éste. ¡Apóyale en iVoox! Décimo sexta meditación de una convivencia de agregadas del Opus Dei celebrada en Julio y Agosto de 2025, predicada en el jueves de la XVIII semana del Tiempo Ordinario. En el Evangelio de hoy, Jesús reprende a Pedro por pretender apartarle del camino de la Cruz, y le reprocha que piense como los hombres y no como Dios. Realmente, tenemos que pedir al Espíritu Santo que nos conceda la sabiduría de entender que, cuando topamos con la cruz, es una oportunidad para amar la Voluntad del Padre, identificarnos con Cristo, y corredimir a todos los hombres.Escucha este episodio completo y accede a todo el contenido exclusivo de Meditaciones diarias. Descubre antes que nadie los nuevos episodios, y participa en la comunidad exclusiva de oyentes en https://go.ivoox.com/sq/874295
Meditación grabada en el tercer día de una convivencia de agregadas del Opus Dei, sobre el Evangelio del viernes de la XVIII semana del Tiempo Ordinario. Jesús anima a negarse a sí mismo, a tomar la cruz, a perder la vida... pero por ir tras Él, seguirle y encontrar la Vida, con mayúsculas. Podemos aplicar estas ideas a nuestra vocación profesional, que hemos de convertir en oración, la oración de las obras.