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Alors que l'expérience et la compétence devraient être des atouts pour retrouver un emploi, la réalité est souvent plus complexe. Les femmes, victimes d'inégalités tout au long de leur carrière, sont également les premières victimes de l'âgisme sur le marché du travail. Passé un certain âge, beaucoup d'entre elles se heurtent à des stéréotypes persistants : «trop vieilles», «moins adaptables», ou «en fin de carrière». Quelles conséquences sur leur évolution professionnelle et leur sortie précoce de l'emploi ? Dans un contexte de vieillissement de la population active, les entreprises affichent désormais des politiques d'inclusion et de diversité. Comment faire évoluer les mentalités et les pratiques pour que l'âge ne soit plus perçu comme un handicap mais comme une richesse ? Comment mieux valoriser les compétences des femmes de plus de 50 ans et leur offrir de vraies perspectives jusqu'à la fin de la carrière professionnelle ? Avec : • Laetitia Vitaud, conférencière sur le futur du travail, experte au Laboratoire Welcome to the Jungle et autrice de L'atout âge - 64 clés pour transformer la réalité générationnelle (Éditions Eyrolles) • Agnès Molinier, autrice de J'ai passé l'âge ! : vieillir sans injonction, un nouveau défi au féminin (Éditions First). En fin d'émission, la chronique Écouter le monde, de Monica Fantini. Et si prendre du son avec son téléphone portable devenait aussi populaire que prendre des photos ? C'est le pari que Monica Fantini a fait avec l'écrivain Kiko Herrero. Il a enregistré, légendé et envoyé des fragments sonores de sa ville, avec son téléphone portable. Écoutez le premier album sonore d'un Parisien. Si vous aussi, vous souhaitez composer l'album sonore de votre ville avec Monica Fantini, vous pouvez lui écrire à : ecouterlevilles@rfi.fr Programmation musicale : ► Seya - Oumou Sangaré ► Dios Es Un Stalker - ROSALÍA.
L'officier supérieur en charge du recrutement de l'Armée de Terre nous explique le déroulement du processus d'engagement pour ce nouveau service national. Mis en place à partir de l'année prochaine, il concernera 1 800 volontaires. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode d'Horizons Tech by ENI, nous recevons Marie-Amélie Camarero, consultante en recrutement IT et fondatrice du cabinet Les Favoris. Elle nous raconte comment elle a bâti son parcours entre commerce, tech et entrepreneuriat, tout en partageant des clés précieuses pour anticiper les besoins du marché. Un échange éclairant sur les coulisses du recrutement dans la tech et les compétences qui feront la différence demain.LinkedIn : https://www.linkedin.com/in/marieameliecamarero/Site web : https://www.linkedin.com/company/les-favoris-recrutement-it/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. • Frédéric Guerengbo, créateur de Fredeyaourts, une entreprise formelle de production et de vente de yaourts en sachets, à Bangui, en République centrafricaine. Très généreux avec ses vendeurs de yaourts, Frédéric a du mal à tirer profit de son activité. Il est également confronté à la saisonnalité de ses produits. Partie 2 : Le pilotage financier : un enjeu de développement et de croissance pour les PME • Vanessa Adande, expert-comptable, fondatrice du cabinet de conseil financier Ellipsis. Présentatrice de la chronique Vanessa a dit, sur le média en ligne Upper • Safiétou Seck, créatrice et dirigeante de Sarayaa, une marque sénégalaise de vêtements haut de gamme, vendus à l'international • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. Programmation musicale : ► Amsterdam – Disiz ► Respire - Tribeqa.
Dans cette édition :Des salariés de l'opérateur téléphonique Orange à Marseille ont dû rester confinés à cause d'une bagarre entre dealers dans leur quartier, un problème récurrent de violences et de trafics illégaux dans ce secteur.Une fusillade a également eu lieu récemment dans les environs, poussant la direction d'Orange à fermer temporairement ses bureaux jusqu'à ce que la situation se calme.Le syndicat de police dénonce la puissance des réseaux de narcotrafiquants qui mettent en danger la sécurité des entreprises et des habitants du quartier.Une femme a été tuée et une autre grièvement blessée dans la Drôme dans une affaire liée au grand banditisme et au narcotrafic.Le gouvernement prévoit de réduire drastiquement le budget de communication de l'État pour montrer l'exemple face aux efforts demandés aux Français.Le débat sur l'installation de crèches de Noël dans les mairies refait surface, certains maires étant la cible de procédures judiciaires de la part d'élus ou d'associations qui s'y opposent.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Longtemps considéré comme un acteur en retrait face à la montée fulgurante d'OpenAI et à la domination écrasante de Nvidia sur les puces pour l'intelligence artificielle, Google revient aujourd'hui au premier plan. Grâce à ses propres processeurs conçus en interne, le géant de la Silicon Valley pourrait bien redéfinir l'équilibre des forces dans un secteur en pleine effervescence. Depuis plus de trois ans, Nvidia règne sans partage sur le matériel nécessaire à l'intelligence artificielle. Ses puces équipent les centres de données du monde entier et permettent d'entraîner les modèles les plus avancés. Mais cette situation quasi monopolistique a entraîné une forte dépendance des entreprises. La demande a explosé et les prix se sont envolés. Tout le secteur s'est mis en quête d'alternatives. C'est dans ce contexte que Google refait surface. Le groupe investit désormais plus de 90 milliards de dollars par an dans ses data centers et développe depuis des années ses propres puces IA, longtemps restées discrètes, car réservées à un usage interne. Tout a changé avec la présentation de Gemini 3, le nouveau modèle d'intelligence artificielle de Google. Ce modèle, salué comme l'un des plus performants au monde, tourne exclusivement sur les puces maison du groupe, sans recourir aux GPU Nvidia. Une rupture majeure qui démontre que le monopole de Nvidia peut être contourné. À lire aussiGoogle mise tout sur l'intelligence artificielle pour assurer son avenir Des puces ultra-optimisées qui séduisent Meta et d'autres géants Ces puces Google se distinguent par une spécialisation extrême. Elles sont optimisées pour les opérations qui composent près de 90% du travail d'une IA. Là où les puces Nvidia sont polyvalentes, celles de Google se concentrent sur une tâche unique, mais la réalisent de façon redoutablement efficace. Cette approche séduit désormais les plus grands acteurs du numérique. Meta, pourtant cliente de longue date de Nvidia, discute déjà avec Google d'un possible contrat pour utiliser ces puces dès 2027. Un signal fort : même les partenaires historiques de Nvidia envisagent d'autres options. Si ces négociations aboutissent, Google deviendrait non seulement un géant de la recherche et du cloud, mais aussi un vendeur de puces et un créateur de modèles IA. Une position unique dans le secteur. Une intégration verticale qui place Google en position dominante Google possède un atout que personne d'autre ne peut revendiquer à ce niveau : une intégration verticale totale. Le groupe peut créer ses propres puces, les installer dans ses data centers, entraîner ses modèles dessus, puis les distribuer instantanément auprès de centaines de millions d'utilisateurs à travers ses services (Recherche, YouTube, Android, etc.). Cette maîtrise complète de la chaîne de valeur donne à Google un avantage stratégique inégalé. Face à cela, les principaux concurrents réagissent. OpenAI poursuit son innovation, mais reste entièrement dépendante de Nvidia pour entraîner ses modèles. Nvidia, de son côté, conserve une avance technologique, mais se voit désormais talonné par ces nouveaux entrants accélérant à grande vitesse. Pour certains spécialistes, Google réunit la puissance technologique de Nvidia et la maîtrise logicielle d'OpenAI. Une combinaison redoutable, qui explique en partie pourquoi la capitalisation boursière du groupe a dépassé les 4 000 milliards de dollars. Le géant endormi s'est bel et bien réveillé — et semble aujourd'hui prêt à redéfinir l'avenir de l'intelligence artificielle.
Dans cette édition :Une fusillade mortelle a éclaté dans un petit village de la Drôme, Mercure-Holvaune, faisant une victime et une blessée grave, laissant les habitants sidérés par la présence du grand banditisme et du narcotrafic en milieu rural.Le site d'Orange à Marseille a dû être fermé pendant plus de deux semaines en raison de la proximité avec des points de deal et de la montée des tensions, obligeant les salariés à se confiner.Le budget de la Sécurité sociale est largement remanié par la majorité de droite au Sénat, avec notamment le remboursement intégral des fauteuils roulants pour les personnes handicapées, une réforme très attendue.La hausse des prix des matières premières, notamment du bœuf, impacte fortement les bouchers qui doivent répercuter ces augmentations sur leurs clients.Le suspense reste entier pour le titre de champion du monde de Formule 1, avec un final passionnant entre les pilotes Mercedes, McLaren et Red Bull.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. • Frédéric Guerengbo, créateur de Fredeyaourts, une entreprise formelle de production et de vente de yaourts en sachets, à Bangui, en République centrafricaine. Très généreux avec ses vendeurs de yaourts, Frédéric a du mal à tirer profit de son activité. Il est également confronté à la saisonnalité de ses produits. Partie 2 : Le pilotage financier : un enjeu de développement et de croissance pour les PME • Vanessa Adande, expert-comptable, fondatrice du cabinet de conseil financier Ellipsis. Présentatrice de la chronique Vanessa a dit, sur le média en ligne Upper • Safiétou Seck, créatrice et dirigeante de Sarayaa, une marque sénégalaise de vêtements haut de gamme, vendus à l'international • Didier Acouetey, consultant spécialisé dans le développement des entreprises. Programmation musicale : ► Amsterdam – Disiz ► Respire - Tribeqa.
Dans cette édition :Des salariés de l'opérateur téléphonique Orange à Marseille ont dû rester confinés à cause d'une bagarre entre dealers dans leur quartier, un problème récurrent de violences et de trafics illégaux dans ce secteur.Une fusillade a également eu lieu récemment dans les environs, poussant la direction d'Orange à fermer temporairement ses bureaux jusqu'à ce que la situation se calme.Le syndicat de police dénonce la puissance des réseaux de narcotrafiquants qui mettent en danger la sécurité des entreprises et des habitants du quartier.Une femme a été tuée et une autre grièvement blessée dans la Drôme dans une affaire liée au grand banditisme et au narcotrafic.Le gouvernement prévoit de réduire drastiquement le budget de communication de l'État pour montrer l'exemple face aux efforts demandés aux Français.Le débat sur l'installation de crèches de Noël dans les mairies refait surface, certains maires étant la cible de procédures judiciaires de la part d'élus ou d'associations qui s'y opposent.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Une fusillade mortelle a éclaté dans un petit village de la Drôme, Mercure-Holvaune, faisant une victime et une blessée grave, laissant les habitants sidérés par la présence du grand banditisme et du narcotrafic en milieu rural.Le site d'Orange à Marseille a dû être fermé pendant plus de deux semaines en raison de la proximité avec des points de deal et de la montée des tensions, obligeant les salariés à se confiner.Le budget de la Sécurité sociale est largement remanié par la majorité de droite au Sénat, avec notamment le remboursement intégral des fauteuils roulants pour les personnes handicapées, une réforme très attendue.La hausse des prix des matières premières, notamment du bœuf, impacte fortement les bouchers qui doivent répercuter ces augmentations sur leurs clients.Le suspense reste entier pour le titre de champion du monde de Formule 1, avec un final passionnant entre les pilotes Mercedes, McLaren et Red Bull.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au Congo-Brazzaville, les petites et moyennes entreprises ont beaucoup de peine à se financer pour croître et investir. Afin de les soutenir, la Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale pour le secteur privé, a accordé à Bank of Africa-Congo un prêt de 14,5 milliards de francs CFA (quelque 21 millions d'euros) qui doit donc servir à financer les entreprises locales. Avec notre correspondant à Brazzaville, Un certain nombre de PME dans la cible et qui devraient bénéficier de prêts font déjà des projets. Ilithe Ongania dirige depuis neuf ans le Système d'observation et de reconnaissance aéroterrestre et maritime ou SORAM. Aux yeux de ce patron de PME, la ligne de financement allouée par la SFI à Bank of Africa-Congo sera bénéfique, car au Congo-Brazzaville, les PME reçoivent encore assez peu de soutien. « Nous, les jeunes entreprises, nous avons besoin de grandir. Et, pour grandir, vous avez besoin d'un levier. Les leviers, il y en a beaucoup, mais le plus important généralement, c'est le financement. Dans la culture des banques commerciales de notre environnement, il est très difficile d'avoir accès à des crédits d'investissement », explique ce patron. Une frilosité des banques qui « freine le développement de nos entreprises ». Cet acteur espère que ce financement de la SFI va créer des opportunités pour « développer l'entreprise, devenir plus grand, investir parce qu'il y a un besoin de faire beaucoup plus d'investissements, afin de répondre aux différentes demandes qui sont là. » Au moins 10% des financements pour les femmes entrepreneuses Acquérir davantage de drones est l'un des objectifs de Soram, qui tient à satisfaire les besoins de ses différents clients. Selon les signataires de l'accord de prêt, au moins 10% seront dédiés aux entreprises dirigées par des femmes. Ce dont se réjouit Francine Nzamba, directrice générale de l'entreprise FN2 plus, qui exerce dans le graphisme et l'imprimerie. « Dans ce pays, il y a quand même des femmes qui entreprennent, mais nous ne sommes pas entendues. Nous voulons avoir une place, prendre une place dans l'économie congolaise. Si les banques commencent à nous accompagner dans notre développement, ça ne peut être qu'une bonne chose pour nous », lance-t-elle. Promotrice de la société Glacy Congo, spécialisée dans la transformation des fruits congolais en glaces, Christine Matondo connaît des difficultés d'approvisionnement en énergie, et elle fait déjà des projets. « J'espère qu'avec ce prêt, on va pouvoir passer aux panneaux solaires ; gagner en indépendance vis-à-vis de l'énergie. Je suis très confiante parce que je suis déjà bénéficiaire des services de la Bank of Africa », se félicite-t-elle. Les prêts vont jusqu'à 50 millions de francs CFA, l'équivalent de 76 000 euros, remboursables sur deux ans. Le taux d'intérêt, aux environs de 10%, est jugé satisfaisant par ces PME, qui n'obtiennent que très rarement un crédit. À lire aussiDévelopper les PME en Afrique: le défi de l'investissement
Ce week-end, plusieurs milliers de ces avions n'ont pas pu décoller en raison d'un problème sécuritaire lié à des radiations solaires. Un incident rapidement résolu par une mise à jour logicielle. L'ancien navigateur sur les avions de la patrouille maritime revient sur cet événement face auquel Airbus n'a pris aucun risque.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
De Marion, je connaissais surtout les jus d'exception qu'elle créée pour Oscar & Céleste, notre conversation m'a permis d'explorer d'autres facettes de son parcours et de son activité. Depuis peu Marion propose de la mixologie végétale et Oscar & Céleste a rejoint le Collège Culinaire de France, un collectif militant et indépendant composé de restaurants et producteurs artisans. De la photographie, à la communication et l'entrepreneuriat qui est entré tôt dans sa vie, jusqu'à la création d'Oscar & Céleste en 2017, nous avons voyagé ensemble dans le temps et avons remonté le fil des passions de Marion. Ensemble nous avons parlé de savoir faire un smoothie équilibré, de créer des jus bon pour notre santé et bons à déguster. Nous avons parlé de voir le beau partout, de se réjouir de tout ce qui est autour de nous, de la couleur comme source d'inspiration, de la mémoire des goûts sur notre palet et de créer des discussions et des passerelles avec d'autres professionnels du goût et de la mixologie. Nous avons également abordé l'importance de la transmission que Marion réalise pleinement en donnant des cours dans différentes écoles lilloises. Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast indépendant, n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous ! Maintenant, je laisse la place à cette conversation singulière et enthousiasmante, que j'ai eu la joie d'enregistrer avec Marion.Bonne écoute ! Sa recommandation culturelle :L'album Sound & Color d'Alabama Shakes Sa recommandation d'invités :Judith Turpin de SoleidaeTom Bertrand, le fondateur de CremoirCécile Girerd Jory la fondatrice de Vitamin'herbe Montage et mixage réalisés par la talentueuse Pauline FilippelliHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le président Emmanuel Macron a annoncé la création d'un nouveau service militaire volontaire dès 2023, avec 3 000 jeunes attendus l'année prochaine et 50 000 à l'horizon 2035.Deux détenus se sont évadés de la prison de Dijon en utilisant des lames pour scier les barreaux et des draps, profitant d'une porte ouverte le matin pour le personnel.La direction d'Orange a décidé de fermer ses locaux du quartier sensible de Saint-Mauront à Marseille pendant au moins deux semaines en raison de l'insécurité et de la montée des tensions liées au trafic de drogue.L'ARCOM a rejeté les accusations de Reporters sans frontières contre CNews concernant un manque de pluralisme politique dans ses programmes.À Bruxelles, la traditionnelle crèche de Noël sur la Grand-Place a été remplacée par des mannequins en tissu sans visage, suscitant de vives critiques de la part d'élus locaux.Le demi de mêlée du Stade Toulousain, Antoine Dupont, va faire son retour à la compétition après 9 mois d'absence suite à une grave blessure au genou.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors que le « Black Friday » bat son plein ce vendredi 28 novembre, un acteur de cet événement fait la Une de l'actualité économique. Le groupe chinois JD.com s'apprête à entrer dans le capital du groupe Fnac-Darty, via le rachat de l'actionnaire allemand Ceconomy. Une opération qui suscite l'attention de l'État et interroge sur les ambitions chinoises en Europe. C'est un gros coup pour JD.com et il est malin. Pour imposer sa présence sur le sol européen, la stratégie a été affinée. Il n'achète pas directement des actions Fnac-Darty mais s'apprête à reprendre Ceconomy, distributeur allemand et détenteur de 22% du capital du groupe français. Avec cette opération, JD.com deviendrait mécaniquement le deuxième actionnaire de Fnac-Darty, juste derrière le milliardaire tchèque Daniel Kretinsky. Une arrivée qui ne passe pas inaperçue. Elle intervient alors que la France cherche déjà à endiguer la montée en puissance de plates-formes chinoises comme Shein, Temu ou AliExpress. Voir débarquer un géant du e-commerce chinois dans le capital d'un groupe culturel français déstabilise donc autant qu'elle interroge. Un actif culturel qui inquiète l'État français Le ministre de l'Économie l'a rappelé : Fnac-Darty n'est pas une enseigne comme les autres. C'est un acteur culturel majeur, ancré dans la vie quotidienne des Français, présent à la fois en ligne et dans un dense réseau de magasins. Livres, CD, produits techniques, électroménager, services. Difficile de trouver un foyer français qui n'ait jamais acheté dans l'une de ces enseignes. Pour autant, Fnac-Darty ne fait pas partie des secteurs officiellement protégés par le contrôle strict des investissements étrangers. Mais l'État a néanmoins décidé de suivre ce dossier de très près. Un accord a ainsi été conclu. JD.com devra rester un actionnaire « dormant », c'est-à-dire sans rôle dans la gestion du groupe. Également, le géant chinois s'engage à ne pas dépasser les 22% de participation, limitant ainsi toute tentative de prise de contrôle. Derrière ces conditions, une même crainte : que Fnac-Darty ne finisse, à terme, sous pavillon chinois. Une opération stratégique pour JD.com face à un marché chinois saturé Si cette actualité éveille autant d'intérêt, c'est aussi parce que JD.com cherche à s'imposer en Europe. Troisième acteur du e-commerce chinois, doté d'une excellente réputation en matière de fiabilité et de logistique, le groupe fait face à une concurrence féroce avec Alibaba ou Temu. Les marges se réduisent, le marché arrive à saturation et l'international devient une nécessité. Ces dernières années, JD.com a d'ailleurs tenté plusieurs percées en Europe, sans succès, comme le projet de rachat de la chaîne britannique Argos ou encore une tentative d'entrée au capital de Currys, autre distributeur d'électronique au Royaume-Uni. L'opération Ceconomy-Fnac-Darty constitue donc un premier pas concret, loin d'être anecdotique. Avec son expertise colossale en matière de logistique intégrée et de contrôle de la chaîne d'approvisionnement, JD.com pourrait pousser Fnac-Darty à adapter sa stratégie, notamment face à Amazon, omniprésent en Europe. Mais cette entrée au capital illustre aussi quelque chose de plus large. D'abord, la montée en puissance technologique de la Chine, la bataille logistique mondiale entre géants américains et asiatiques, la fragilité des distributeurs européens et le rôle croissant des États dans la protection de leurs entreprises.
Dans cette édition :Un des deux détenus évadés de la prison de Dijon a été interpellé, l'autre est toujours en fuite.Orange ferme temporairement son site de Marseille en raison d'une montée des tensions dans le quartier de Saint-Moron.L'Assemblée nationale a adopté en première lecture une proposition de loi visant à nationaliser ArcelorMittal.Aucun emploi ne sera supprimé avec le passage sous bannière Intermarché et Netto de 300 supermarchés Auchan.Un attentat terroriste a eu lieu à Washington, faisant une victime militaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Un des deux détenus évadés de la prison de Dijon a été interpellé, l'autre est toujours en fuite.Orange ferme temporairement son site de Marseille en raison d'une montée des tensions dans le quartier de Saint-Moron.L'Assemblée nationale a adopté en première lecture une proposition de loi visant à nationaliser ArcelorMittal.Aucun emploi ne sera supprimé avec le passage sous bannière Intermarché et Netto de 300 supermarchés Auchan.Un attentat terroriste a eu lieu à Washington, faisant une victime militaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :Le président Emmanuel Macron a annoncé la création d'un nouveau service militaire volontaire dès 2023, avec 3 000 jeunes attendus l'année prochaine et 50 000 à l'horizon 2035.Deux détenus se sont évadés de la prison de Dijon en utilisant des lames pour scier les barreaux et des draps, profitant d'une porte ouverte le matin pour le personnel.La direction d'Orange a décidé de fermer ses locaux du quartier sensible de Saint-Mauront à Marseille pendant au moins deux semaines en raison de l'insécurité et de la montée des tensions liées au trafic de drogue.L'ARCOM a rejeté les accusations de Reporters sans frontières contre CNews concernant un manque de pluralisme politique dans ses programmes.À Bruxelles, la traditionnelle crèche de Noël sur la Grand-Place a été remplacée par des mannequins en tissu sans visage, suscitant de vives critiques de la part d'élus locaux.Le demi de mêlée du Stade Toulousain, Antoine Dupont, va faire son retour à la compétition après 9 mois d'absence suite à une grave blessure au genou.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le directeur de la rédaction du magazine Investir revient sur ces entreprises qui à l'image des organismes vivants mutent pour s'adapter à leur environnement. Pour illustrer ce phénomène, il prend l'exemple de l'entreprise américaine Alphabet, qui occupe maintenant quasiment toute la chaîne de valeur de l'IA. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce 141 ème épisode de DigitalFeelnig, je me pose sur l'analyse et les chiffres clés de l'usage de l'IA en fonction des études et de ce que je constate sur le terrain.L'Intelligence Artificielle est devenue un pilier stratégique du marketing, de la communication et de la performance globale des entreprises françaises. Pourtant, derrière le bruit médiatique, les chiffres racontent une histoire plus nuancée. Le taux d'adoption progresse, mais reste encore limité à certaines typologies d'organisations très digitalisées.Voici un panorama complet, fondé sur les données 2024-2025 (INSEE, Ipsos, DGE), pour comprendre où en est la France, quels usages progressent réellement, et quelles opportunités se dessinent pour les entreprises.1. Adoption de l'IA en entreprise : une progression réelle mais encore minoritaireEn 2024, 10 % des entreprises françaises de plus de 10 salariés déclaraient utiliser au moins une technologie d'IA — contre 6 % en 2023.➡️ Une croissance nette en un an, signe d'un changement d'ère.L'adoption reste cependant très contrastée selon la taille et le secteur :33 % des entreprises de plus de 250 salariés utilisent l'IA ;42 % des entreprises du secteur information-communication y ont recours.Les technologies les plus déployées sont :l'analyse de langage écrit (NLP) : 44 %le machine learning & la data avancée : 41 %Ce que cela révèle :Les entreprises qui adoptent le plus l'IA sont celles déjà matures sur la data, l'automatisation ou la transformation digitale. Une majorité de PME et TPE reste encore en retrait.2. Usage individuel : l'IA générative s'installe dans le quotidienSelon Ipsos (2025), plus de 75 % des utilisateurs d'IA générative l'emploient au moins une fois par semaine, dans leurs activités :professionnelles (emailing, veille, rédaction, analyse)éducativespersonnellesEn clair : même si l'IA n'est pas encore massivement intégrée dans toutes les entreprises, elle est déjà largement adoptée par les individus, ce qui prépare un basculement culturel majeur.3. Secteurs et cas d'usage où l'IA crée le plus de valeur en 2025L'IA est particulièrement pertinente dans les secteurs :information-communicationservices techniques et spécialisésmarketing, data, conseilindustrie (automatisation, optimisation, vision)L'écosystème français se renforce :La France figure désormais dans le top 5 mondial du Global AI Index.Une dynamique forte pousse startups, laboratoires, clusters et French Tech à accélérer.Applications à forte valeur ajoutée :automatisation des tâches marketing (rédaction, segmentation, scoring)optimisation opérationnelleanalyse prédictivegénération créative multimédiaagents IA capables d'exécuter des workflows autonomes4. Freins et défis : pourquoi l'adoption reste encore limitéeMalgré la dynamique, trois freins majeurs persistent :1. Taille des entreprisesLes TPE/PME manquent souvent :de compétences internes,d'infrastructures data,d'un cadre de gouvernance clair.2. Fracture numériqueLes écarts sont importants entre secteurs innovants et entreprises traditionnelles.3. Besoin massif de formationLa montée en compétences sur :les modèles génératifs,l'orchestration d'agents IA,la data literacy,devient un enjeu national.Les initiatives publiques (stratégie nationale IA, programmes Bpifrance) vont dans le bon sens, mais les freins structurels demeurent.Conclusion : la France avance — mais l'IA n'est pas encore généralisée dans les entreprisesL'IA est présente, mais pas encore démocratisée.Les grandes entreprises avancent vite, les PME explorent progressivement, tandis que les individus adoptent rapidement les outils génératifs.Pour les dirigeants, marketeurs et entrepreneurs, la priorité est désormais de :✔ identifier les bons usages,✔ développer compétences et gouvernance,✔ mesurer l'impact business,sans suivre aveuglément le buzz technologique.L'ère de l'IA stratégique vient juste de commencer.Soutenez le podcast✅ Abonnez-vous à DigitalFeeling sur LinkedIn✅ Rejoignez la newsletter : substack.com/@elodiechenol✅ Laissez 5 ⭐ sur Apple Podcasts ou Spotify
### Comment transformer une entreprise avec agilité ? Avez-vous déjà pensé à ce qui motive un leader à quitter une carrière entrepreneuriale pour se lancer dans le conseil, puis dans un grand groupe industriel ? Dans cet épisode de "Disruption Inside", Aurélie Gallet accueille Nour Mejri, Chief Strategy Officer chez Rexel, pour explorer son parcours atypique et inspirant. Nour partage les valeurs qui l'ont guidée tout au long de sa carrière, notamment la curiosité et le goût du risque, et comment ces valeurs l'ont poussée à embrasser des opportunités variées et à influencer des décisions clés dans les entreprises où elle a travaillé.Nour Mejri a débuté sa carrière en tant qu'entrepreneure dans le secteur du e-commerce avant de rejoindre le Boston Consulting Group (BCG) pour relever de nouveaux défis. Aujourd'hui, en tant que Chief Strategy Officer chez Rexel, elle est responsable de la stratégie, de l'innovation et de la transformation du groupe. Nour est également passionnée par l'engagement dans l'écosystème technologique, ce qui alimente sa capacité à innover et à s'adapter dans un environnement en constante évolution.L'épisode plonge dans les défis et les stratégies de transformation de Rexel, un leader mondial dans la distribution de produits et services pour le secteur électrique. Nour explique comment Rexel s'efforce de différencier son offre à travers l'innovation, l'utilisation de l'intelligence artificielle pour optimiser le pricing, et le développement de services à valeur ajoutée. Elle aborde également les enjeux de durabilité, notamment à travers des initiatives comme l'Eco-score, et partage sa vision sur l'avenir de l'industrie de l'électrification. Enfin, Nour discute de l'importance de créer des ponts entre les grandes entreprises et les PME pour favoriser l'innovation et la croissance durable.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - L'ONG Amnesty International appelle jeudi les entreprises mondiales du textile et les gouvernements de quatre pays d'Asie à mettre en place des actions pour respecter les droits des ouvriers du secteur et leur assurer des salaires décents.
Une plongée dans les coulisses économiques franco-australiennes avec Inès Abderrahmane et l'innovation française au cœur des échanges.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - L'ONG Amnesty International appelle jeudi les entreprises mondiales du textile et les gouvernements de quatre pays d'Asie à mettre en place des actions pour respecter les droits des ouvriers du secteur et leur assurer des salaires décents.
durée : 00:14:51 - Journal de 8 h - L'ONG Amnesty International appelle jeudi les entreprises mondiales du textile et les gouvernements de quatre pays d'Asie à mettre en place des actions pour respecter les droits des ouvriers du secteur et leur assurer des salaires décents.
Dans ce tout premier épisode de la saison 3 de Parlement ultramarin, Laetitia Limmois plonge au cœur d'un sujet brûlant : le budget 2026 et ses conséquences majeures pour nos territoires ultramarins.Entre tensions politiques dignes d'une série — démission historique d'un Premier ministre, changement de gouvernement express, bras de fer parlementaire — et menaces sur un dispositif essentiel à l'économie ultramarine, la Lodéom, l'épisode décortique avec clarté un moment politique décisif.Pourquoi le budget des outre-mer baisse-t-il ? Pourquoi la réforme de la Lodéom a-t-elle enflammé députés et chefs d'entreprise ? Quels impacts concrets pour les petites entreprises locales ? Et comment les élus ultramarins ont-ils réussi à faire reculer le gouvernement ?Un épisode dense, vivant et indispensable pour comprendre les enjeux économiques qui façonneront les outre-mer en 2026.À écouter absolument pour saisir les coulisses d'une bataille politique qui n'est pas près de s'arrêter.Abonnez-vous pour soutenir la production de Tann ! C'est un montant libre ! https://liberapay.com/tannaudioHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode de La Voix des RH, Vincent Hagenbourger – DAF/DRH à temps partagé et créateur de contenus liant chiffres et RH, Charlotte Devin – experte en performance RH chez Ayming et Ketsia Tetegan – consultante en gestion de l'absentéisme, plongent au cœur d'un sujet aussi stratégique que coûteux pour les entreprises : l'absentéisme et son véritable impact financier.À partir des enseignements du 17ᵉ Baromètre Ayming de l'Absentéisme et de l'Engagement, nos trois intervenants décryptent :Combien coûte réellement l'absentéisme — entre coûts directs (remplacements, heures supplémentaires, charges administratives) et coûts cachés liés à la désorganisation, la perte de productivité ou encore la hausse des cotisations.Les mécanismes d'indemnisation des arrêts maladie et accidents du travail, ainsi que les récentes évolutions légales (réforme du plafond IJSS).Les conséquences à court, moyen et long terme : maintien de salaire, subrogation, taux AT/MP, et hausse potentielle des cotisations de prévoyance.Et surtout, les bonnes pratiques pour maîtriser ces coûts : pilotage des IJSS, suivi rigoureux des arrêts, sécurisation des déclarations, et investissement dans la prévention et les conditions de travail.Un épisode dense et concret, nourri de chiffres clés et d'exemples terrain, pour aider les DRH, responsables paie et dirigeants à mieux comprendre les leviers de réduction du coût de l'absentéisme.CRÉDITS : La Voix des RH est un podcast de l'entreprisewww.ayming.frRéalisation – Création – Production : agencewww.lesanneesfolles.coHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le fondateur de la start-up industrielle française nous explique le fonctionnement de sa technologie qui permet de stocker du carbone pendant une très longue période. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À quand une politique d’achat auprès des entreprises québécoises? Affaires et société avec Philippe Richard Bertrand, expert en commercialisation et en technologies et co animateur du balado Prends pas ça pour du cash à QUB. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radioPour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Une plongée dans les coulisses économiques franco-australiennes avec Inès Abderrahmane et l'innovation française au cœur des échanges.
Selon le dernier rapport de la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD), l'Europe vieillit à un rythme tel que, sans action rapide, le niveau de vie pourrait reculer dans les prochaines décennies. Depuis plusieurs décennies, l'Europe vieillit. La pyramide des âges, autrefois en forme de triangle – beaucoup de jeunes à la base, peu de personnes âgées au sommet – ressemble aujourd'hui davantage à une amphore, voire à un tonneau. La population active, celle des 15-64 ans, se réduit tandis que la proportion de seniors augmente rapidement. Selon la BERD, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, si rien ne change, le vieillissement retirera environ 0,36 point de croissance par an d'ici à 2050 dans une large partie de l'Europe. Sur le temps long, l'impact est considérable : c'est un risque clair de baisse du niveau de vie. Dans une économie, ce sont les actifs qui produisent l'essentiel de la richesse et qui financent les retraites ainsi qu'une partie importante des dépenses publiques. Quand leur nombre diminue relativement au reste de la population, la richesse produite par habitant finit par stagner, voire reculer. À lire aussiLa démographie ou l'enjeu économique de ces dix prochaines années Pourquoi le vieillissement pèse sur le niveau de vie Trois raisons principales expliquent ce ralentissement. D'abord, la plus évidente : moins de travailleurs, c'est moins de production. La croissance est mécaniquement freinée. Ensuite, les entreprises investissent en fonction de la demande future. Si la population active stagne ou diminue, les entreprises sont moins incitées à construire de nouvelles usines et à acheter de nouveaux équipements. Résultat : la productivité est plus faible. Enfin, lorsque les jeunes générations se réduisent, c'est l'innovation elle-même qui s'essouffle : moins de chercheurs, moins d'entrepreneurs et moins d'inventeurs, avec, à terme, moins de croissance. L'Europe n'est pas le seul continent concerné, mais elle est l'un des plus exposés. La Chine, le Japon ou encore la Corée du Sud connaissent des dynamiques similaires. Au Moyen-Orient et en Afrique du Nord, la fenêtre démographique se refermera d'ici à une dizaine d'années : ces pays vieilliront à leur tour. À l'inverse, l'Afrique subsaharienne, très jeune, pourrait profiter d'un volant de croissance, à condition de créer suffisamment d'emplois productifs. Quelles solutions pour atténuer les effets du vieillissement ? Plusieurs leviers existent, même s'ils ne suffiront pas chacun isolément. La première solution, souvent impopulaire, consiste à travailler plus longtemps. Reculer l'âge de la retraite permet d'augmenter le nombre d'actifs. Un autre levier majeur est d'améliorer la participation des femmes au marché du travail. Dans certains pays, elles restent sous-représentées. Réduire cet écart pourrait compenser une grande partie de la baisse démographique. La BERD évoque aussi l'immigration. Un sujet sensible, mais potentiellement efficace, est d'accueillir davantage de main-d'œuvre en âge de travailler. Cela permettrait de contrebalancer la diminution des actifs. Enfin, investir dans l'innovation demeure essentiel. L'Histoire montre que la technologie peut compenser une partie du manque de main-d'œuvre. Mais l'Europe reste en retard sur la Chine ou les États-Unis. Pour autant, prévient la BERD, aucune de ces solutions ne suffira seule. Le défi est immense et concerne un nombre croissant de pays. L'enjeu sera de combiner ces leviers pour limiter au maximum l'impact du vieillissement sur le niveau de vie des prochaines décennies.
La Libye est toujours divisée entre un Gouvernement d'unité nationale (GUN), installé à Tripoli, et un Gouvernement de stabilité nationale (GSL), basé à Benghazi. Pour accélérer la reconstruction libyenne, chacune des entités a créé une zone économique spéciale sur la côte méditerranéenne : celle de Misrata à l'ouest et celle de Syrte à l'est. Les représentants de ces zones franches se sont retrouvés dans la même enceinte à Paris, invités par la France à faire la promotion de la Libye auprès des entreprises françaises. C'est une première. L'événement Ambition Africa, à Paris, est sponsorisé par la « Misurata Free Zone » (zone franche de Misrata), une émanation du Gouvernement d'unité nationale (GUN) de Tripoli, en Libye. Le directeur général de cette zone franche de l'ouest libyen, Ayman Hmeida Al-Derwish, en fait la promotion auprès des investisseurs français : « Il s'agit d'une zone de 750 hectares comprenant un port et la zone d'investissement, précise-t-il. C'est l'un des plus grands ports libyens. Il reçoit près de 65% des marchandises entrant en Libye. Récemment, la zone franche de Misrata s'est tournée vers les services pétrochimiques, dans le port. » Les investisseurs y bénéficient d'une exonération totale des droits de douane et des taxes pendant la durée de leur investissement, ainsi que de la pleine propriété de l'entreprise au sein de la zone franche. L'ouest mise sur le port de Misrata, l'est sur l'aéroport de Syrte L'autorité rivale, le Gouvernement de stabilité nationale (GSL) de l'est libyen, n'est pas en reste. Le directeur de son Agence nationale de développement, Mahmud Elforjan, fait la promotion, lui, de la zone franche autour du nouvel aéroport de Syrte : « L'aéroport de Syrte est un aéroport vital au centre de la Libye, plaide-t-il. Il accueille plus de trois millions de voyageurs par an et il est situé à un point stratégique reliant l'est et l'ouest de la Libye et reliant la mer Méditerranée au cœur de l'Afrique. Les entreprises françaises sont invitées à investir et à travailler avec nous dans les domaines de la reconstruction, des infrastructures, de l'agriculture, de la logistique et du commerce, dans le cadre des nombreux projets que nous lancerons prochainement. » « Les entreprises françaises ne sont pas visibles en Libye » Pour l'heure, les investisseurs français sont largement doublés par leurs concurrents en Libye. « Tous nos concurrents y sont : les Italiens, les Allemands, les Espagnols, les Américains, les Turcs, les Égyptiens, les Chinois, etc. Les entreprises françaises ne sont pas présentes ou pas visibles en Libye, déplore Philippe Garcia, le directeur Afrique du Nord de Business France, l'agence publique chargée d'accompagner les entreprises françaises à l'étranger. Partant de ce constat, notre rôle, depuis 2023 – et on l'accentue cette année et en 2026 –, c'est de voir à quel point toutes les opportunités qu'on nous présente, à l'est comme à l'ouest, sont sérieuses, et elles le sont. Quels sont les délais de réalisation ? Quels sont les financements mis à disposition ? Notre boulot, c'est aussi de dérisquer l'activité des entreprises françaises. » La division de la Libye en deux entités politiques n'est pas ou plus un problème ni pour l'ambassadeur de France, ni pour Business France, qui a signé un protocole d'accord avec les deux zones franches libyennes. L'agence française organisera également, au premier semestre 2026, un tour de France pour les importateurs libyens de biens de consommation, afin de leur faire découvrir les produits français. À lire aussiLibye: Misrata, après la guerre, les affaires
Édouard de Meyrac, CEO d'Artefact, revient sur les objectifs du sommet Adopt AI face à une intelligence artificielle qui évolue à pleine vitesse.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Easy Talent, filiale de Valtus Group, accompagne les entreprises grâce à des experts opérationnels capables d'intervenir en 48 heures. Sous l'impulsion d'Emmanuel Fretti, l'entreprise connaît une croissance rapide en répondant aux besoins urgents des PME, ETI et grands groupes. Sa force : un sourcing permanent de talents et une culture entrepreneuriale agile. Easy Talent apporte des compétences clés pour sécuriser les projets critiques, renforcer les équipes et piloter les transformations. Une solution moderne qui s'inscrit pleinement dans un monde professionnel en quête d'adaptabilité et de résultats immédiats.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Abel Boyi, éducateur, Laura Warton Martinez, sophrologue, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce mardi 25 novembre, la crainte des entreprises allemandes d'être concurrencées par l'armée a été abordée par Annalisa Cappellini dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Les autorités de Tunis s'en sont félicitées : les investissements étrangers ont augmenté de 28 % dans le pays sur les neuf premiers mois de 2025, grâce aux secteurs de l'énergie et de l'industrie. Mais les petites et moyennes entreprises (PME) tunisiennes bénéficient très peu de ces financements. L'an dernier, elles ont connu des investissements en hausse de 12 %, un chiffre qui reste insatisfaisant selon les entrepreneurs et les économistes. De notre correspondante à Tunis, « Pour répondre aux aspirations du peuple tunisien en emplois, en liberté et en dignité, nous sommes conscients qu'il subsiste encore beaucoup d'entraves à l'investissement et que d'autres réformes restent à entreprendre », admet le ministre de l'Économie Samir Abdelhafidh, lors d'un colloque sur l'investissement et l'attractivité économique. Car des freins perdurent encore pour l'investissement en Tunisie, malgré une croissance remarquée cette année. Depuis 2018, les autorités ont pourtant supprimé une cinquantaine d'autorisations auxquelles les investisseurs devaient auparavant se soumettre. Mais les problèmes de logistique, de numérisation, les lourdeurs structurelles et un manque de cadre juridique clair sont toujours des obstacles, observe la femme d'affaires Wafa Makhlouf : « Beaucoup de marchés sont encore fermés, régulés ou contrôlés par des oligopoles. Donc, cela empêche l'arrivée de nouveaux acteurs et bride la concurrence. Même si on libère les secteurs, sans un cadre juridique clair et stable, les investisseurs resteront méfiants. » L'économiste Ridha Chkoundali souligne également la nécessité de réformes plus profondes pour améliorer l'investissement dans les entreprises locales. « Sur le plan institutionnel, les taux d'intérêt sont trop élevés, les marchés financiers financent très peu les investissements, la charge fiscale est très élevée pour les entreprises formelles face à une économie informelle très développée », détaille l'expert. Dans la nouvelle loi de finances discutée au Parlement, l'investissement est très focalisé sur les « entreprises communautaires » : les coopératives à but social lancées par le président de la République. « Le projet de loi de finances 2026 considère que la croissance ne peut provenir pour une grande part que des entreprises communautaires. Il met à leur disposition des mesures très incitatives, mais aussi, il prévoit quelques lignes de financement à montant très faible pour les petites et moyennes entreprises ou les petits agriculteurs, détaille Ridha Chkoundali. Il me semble que les entreprises communautaires ne peuvent en aucun cas remplacer le secteur privé, et ils ne peuvent être qu'un complément. » Aujourd'hui, le pays compte 230 entreprises communautaires, dont 60 sont actives. Mais il est encore trop tôt pour mesurer leur impact dans l'économie. À lire aussi«Tout le monde sort malade»: à Gabès, la colère des ouvriers du Groupe chimique tunisien
Hubert Cotté, directeur général de Workday France, est l'invité du podcast « Tech the Lead ». Il témoigne de l'impact de l'IA sur les fonctions RH, finances, juridiques et plus généralement sur l'organisation du travail, depuis l'arrivée fracassante de Chat-GPT. Journaliste : Yves Vilaginés | Réalisation : Feuille Blanche – Loris Jeacomine | Musique : Titouan Le GalAnnonce politique : Le sponsor est Instagram, qui fait partie de Meta Platforms Ireland Ltd. Cette annonce est en lien avec les réflexions des États membres de l'UE en faveur d'une majorité numérique commune pour accéder aux services en ligne.Consulter toutes les informations relatives à la transparence sur https://eur-lex.europa.eu/eli/reg/2024/900/oj/eng Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:02:36 - C'est mon boulot - C'est un chantier majeur qui arrive à grands pas : la directive européenne sur la transparence des salaires. La France est censée transposer ce texte dans le droit français d'ici juin prochain. Peu d'entreprises se sont emparées du sujet. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
C'est inédit : le commerce français monte au front contre Shein. 12 fédérations de commerces et une centaine de marques lancent une action judiciaire d'ampleur contre l'enseigne chinoise pour concurrence déloyale. Écoutez Bernard Cherki, président du directoire de Mondial Tissus et président de l'Alliance du commerce.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 02:29:33 - Les Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - - réalisation : Félicie Faugère
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 17 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:35:50 - Le 18/20 · Le téléphone sonne - Le Sommet Choose France a ouvert ses portes pour sa 9e édition. Cette fois-ci, elle est destinée aux entreprises françaises. Mais quelques doutes subsistent ; l'investissement, l'attractivité ou l'emploi… Et d'autres sujets encore, on parle avec Eric Renard, Emmanuel Duteil et Olivier Schiller. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 17 novembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité : Michel Picon, président de l'U2P (L'Union des Entreprises de Proximité) Jacques Serais remplace Alexandre le Mer ce lundi 17 novembre 2025. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans le palmarès cette semaine, deux innovateurs qui se distinguent par la qualité de leurs travaux, qui font de l'Afrique une terre d'excellence scientifique. Sur la première marche du podium cette semaine, un ingénieur originaire du Burkina Faso, diplômé de l'école d'ingénieurs Polytechnique de Nantes, Sékou Ouedraogo, possède également un master de l'Ecole Nationale des Mines de Paris et un troisième cycle en relations internationales approfondies du Centre d'études diplomatiques et stratégiques de Paris. Passionné d'aérospatiale, son ambition est de faire de ce secteur un outil de développement pour le continent. La seconde tête d'affiche, est également ingénieur, originaire du Cameroun. Douglas Mbiandou est diplômé de l'Institut national des sciences appliquées (INSA) Lyon. Après avoir développé des applications en France, en Suisse et aux États-Unis il y a 20 ans, il a fondé Osgi, un centre de formation spécialisé dans les technologies Java, Web et mobile.
Selon un rapport de la Banque mondiale, les transferts d'argent des Africains vivant à l'étranger vers l'Afrique ont atteint 100 milliards de dollars en 2024, soit 6% du PIB africain. Au-delà des fonds investis, ce sont aussi leurs compétences qu'ils veulent proposer. De nombreux membres des diasporas africaines ont pour projet de s'installer sur le continent africain ou revenir dans leur pays d'origine pour y travailler. Beaucoup de pays cherchent d'ailleurs à les attirer via des programmes d'aide au retour. Alors que les économies africaines sont encore largement informelles, le continent offre néanmoins une réalité bien différente aux professionnels des diasporas qui n'ont, pour la plupart, connu que des entreprises occidentales. Rentrer au pays est à la fois source d'opportunités et de défis pour les jeunes talents. Comment manager dans un contexte africain pluriel ? Quelles sont les attentes salariales réalistes ? Comment naviguer entre esprit d'entreprise occidentale et contraintes locales africaines ? Émission réalisée à l'occasion de la 12ème édition des Journées Nationales de la Diaspora et de l'Afrique (JNDA) qui se déroule à Paris, le 15 novembre 2025. Avec : • Vanessa Tchoubia, spécialiste des Affaires réglementaires chez L'Oréal. Nommée conseillère au commerce extérieur de la France • Lionel Kili, ingénieur en Aéronautique et consultant senior aéronautique, industrie et défense pour la société de conseil ELITYS. Enseignant en master à l'IPSA (Institut polytechnique des sciences avancées). Coordinateur France du Réseau ivoirien des diplômés de la diaspora • Aniela Ve Kouakou, fondatrice du cabinet de recrutement et de conseils Agiloya Afrique. Partenaire des JNDA. Un extrait de notre série de podcasts Le succès des repats avec l'épisode consacré à Jean-Baptiste Okonda, fondateur de Kintacos. Tous les épisodes de la série sont à retrouver en cliquant ici. En fin d'émission, nous parlerons d'un amendement déposé dans le cadre du projet de Loi de Finances en France, qui vise à aligner la TVA sur les bouteilles à usage unique à 20%. Actuellement, la TVA est à 5,5% sur ces produits. Nous en parlerons avec Muriel Papin, déléguée générale de l'association No plastic in My Sea. Programmation musicale : ► Ça fait mal - Kedjevara ► Se Acabó - Mezcal Bomba.
La Chambre des représentants américaine doit se prononcer ce mercredi sur un texte de financement qui pourrait mettre fin au plus long « shutdown » de l'histoire du pays. Si le déblocage politique semble à portée de main, l'impact économique, lui, est déjà lourd avec plus de 10 milliards de dollars de pertes de production, une croissance ralentie et une confiance mise à rude épreuve. Depuis plus de six semaines, l'État fédéral américain fonctionne au ralenti. Faute d'accord entre la Maison Blanche et le Congrès sur le budget 2026, une grande partie des administrations, agences et programmes publics sont à l'arrêt. Le Congressional Budget Office (CBO), organe indépendant du Congrès, a livré une première estimation : l'économie américaine pourrait perdre entre 7 et 14 milliards de dollars de production, soit un peu plus de 10 milliards selon les projections médianes. Sur le trimestre d'automne – octobre, novembre, décembre –, le cabinet EY-Parthenon évalue déjà la perte de croissance à 0,8 point de pourcentage ; un chiffre qui peut sembler faible, mais qui représente des dizaines de milliards de dollars d'activité économique en moins. Ce shutdown est désormais le plus long de l'histoire américaine, dépassant celui de 2019 sous Donald Trump. Et contrairement aux précédentes fermetures temporaires, celui-ci intervient dans un contexte économique déjà tendu : croissance molle, inflation persistante et confiance des consommateurs affaiblie. Fonctionnaires, entreprises, ménages : une économie au ralenti Derrière ces chiffres se cachent des réalités très concrètes. Plus de 750 000 fonctionnaires fédéraux ont été placés en congé forcé ou continuent de travailler sans rémunération. Leur pouvoir d'achat s'effondre avec des conséquences directes sur la consommation locale. Dans les zones dans lesquelles les emplois publics sont nombreux — Washington, Virginie, Maryland — les commerces, restaurants et services de proximité voient leur chiffre d'affaires chuter. Les contrats publics sont, eux aussi, suspendus, touchant des milliers d'entreprises privées qui dépendent des commandes de l'État. Pour certaines petites sociétés sous-traitantes, la trésorerie est déjà exsangue : les paiements gelés mettent en péril des emplois et freinent la reprise de l'investissement. Les programmes sociaux sont également frappés de plein fouet. Les retards de versement d'allocations, notamment du programme d'aide alimentaire SNAP, pénalisent les ménages les plus modestes. Pour des millions d'Américains, cela signifie moins de dépenses dans les supermarchés, donc une baisse de la demande. Le programme Head Start, qui soutient la scolarisation des jeunes enfants, a dû fermer plusieurs centres, empêchant certains parents de travailler. Enfin, la publication de nombreux indicateurs économiques a été suspendue pendant la fermeture, faute de personnel. Or ces statistiques – emploi, inflation, production industrielle – servent de boussole aux entreprises, aux marchés financiers et à la Réserve fédérale. Sans ces données, les investisseurs naviguent à vue. Résultat : un climat d'incertitude budgétaire et institutionnelle qui pèse sur la confiance et complique les décisions économiques. Des pertes en partie irrattrapables, malgré une reprise attendue Si le vote de ce mercredi met effectivement fin au blocage, la reprise de l'activité devrait être rapide dans la plupart des agences fédérales. Les fonctionnaires seront payés rétroactivement, les contrats réactivés et les programmes sociaux relancés. Mais, préviennent les économistes, toutes les pertes ne seront pas compensées. Le CBO estime qu'une partie de la production disparue — entre 7 et 14 milliards de dollars — ne sera jamais récupérée, notamment à cause de la baisse de productivité, de la perte de confiance et des retards administratifs qui freinent durablement les investissements. Chaque jour supplémentaire de fermeture creuse davantage le manque à gagner. Au-delà de 40 jours, le blocage pourrait amputer la croissance annuelle américaine de près de 2 points sur le trimestre, selon plusieurs instituts. « Même si l'administration rouvre demain, le mal est fait », résume un économiste d'EY. Une économie fragilisée sur fond de tensions politiques Ce shutdown intervient à un moment délicat pour les États-Unis. L'économie reste solide en apparence, mais les fondamentaux se dégradent : croissance molle, taux d'épargne en baisse, inflation qui résiste autour de 3 %. Pour de nombreux Américains, cette paralysie est un révélateur des fragilités structurelles du pays : une dépendance croissante aux dépenses fédérales, une instabilité politique chronique et un fossé entre les élus de Washington et le quotidien des ménages. Même si les aéroports rouvrent, les salaires sont versés et les aides sociales reprennent, les séquelles économiques et sociales resteront visibles plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Les retards de paiement s'accumulent, les entreprises devront reconstituer leurs stocks, et les ménages endettés peineront à retrouver un équilibre. Le vote attendu ce mercredi pourrait donc ramener le fonctionnement de l'État à la normale, mais il ne suffira pas à effacer les dégâts. Ce shutdown historique restera comme un signal d'alarme : celui d'une économie américaine capable de s'affaiblir de l'intérieur, non pas à cause d'un choc extérieur, mais à force de blocages politiques répétés. À lire aussi«Shutdown» aux États-Unis: quelles conséquences économiques pour les Américains et les marchés?
Ce mardi 11 novembre, les alertes sur l'attractivité de la France face à la menace fiscale pour les entrepreneurs et l'exil fiscal qui peut placer le pays en sursis ont été abordés par Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, Erwann Tison, chargé d'enseignement à l'Université de Strasbourg, et Victor Lequillerier, économiste et vice-président du Think Tank "BSI Economics" dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.