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Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch - Nelly Chaby, créatrice de Macajou entreprise de fabrication de macarons à base de produits locaux à Cotonou, Bénin. Partie 2 : Financer les TPE, PME grâce aux diasporas - Felix Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et président de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) - Duplex Eric Kamgang, président et fondateur de Studely, société qui propose une solution complète à destination des étudiants afin de faciliter leur accès à l'enseignement supérieur français - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice) ► Abou Tall – Bats toi (playlist).
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch - Nelly Chaby, créatrice de Macajou entreprise de fabrication de macarons à base de produits locaux à Cotonou, Bénin. Partie 2 : Financer les TPE, PME grâce aux diasporas - Felix Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et président de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) - Duplex Eric Kamgang, président et fondateur de Studely, société qui propose une solution complète à destination des étudiants afin de faciliter leur accès à l'enseignement supérieur français - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice) ► Abou Tall – Bats toi (playlist).
La Cour des comptes de RDC a, dans un récent rapport, révélé que 37 entreprises minières ont minoré leur dotation aux communautés, occasionnant un manque à gagner de 97 millions de dollars. Selon le Code minier, chaque société doit verser à la communauté impactée par l'activité minière 0,3 % de son chiffre d'affaires pour des projets de développement. Le ministère des Mines exige des entreprises qu'elles rendent des comptes sous peine de sanctions. À Lubumbashi, par exemple, la société Ruashi Mining n'a versé que 22% du montant attendu. De notre correspondante à Lubumbashi, L'hôpital militaire de la Ruashi, à Lubumbashi, connaît des déficits en énergie électrique. Pourtant, depuis un an, il est doté d'une centrale photovoltaïque de 10 kilowatts, un projet financé par la dotation de la société Ruashi Mining. Mais cette centrale n'est pas opérationnelle car elle ne dispose pas des batteries nécessaires. « Il n'y a pas de financement. Notre partenaire Ruashi Mining n'a pas encore répondu à notre demande. Il nous doit plus de 5 millions. Comme vous le voyez, ils n'ont pas d'énergie électrique et [la centrale] ne peut pas fonctionner, les batteries ne répondent pas », regrette Christophe Kabwit, membre de la société civile locale. À quelques mètres de là, au centre social Ruashi 2, un bâtiment peint en blanc a été construit avec les mêmes fonds. Il doit abriter des ateliers équipés de 200 machines à coudre et de matériel informatique. Là aussi, les travaux sont à l'arrêt. Zacharie Kapenda, le directeur du centre social, est un peu déçu : « Il y avait de l'espoir parce que les travaux devaient prendre fin dans un délai de trois mois. Et on devait nous amener des machines pour la couture, l'informatique et la cuisine. » Une erreur de calcul ? En 2024, quatre projets ont été lancés dans la commune de Ruashi, à Lubumbashi. Il s'agit de la construction d'une école technique, d'ateliers du centre social et du montage des centrales photovoltaïques dans deux hôpitaux publics. Tous ces projets sont à ce jour inachevés. En plus de minorer la dotation de 0,3 % de son chiffre d'affaires, la société Ruashi Mining n'a décaissé que près de 22% du montant attendu, soit 1 201 000 $. Justin Nyembo est membre de l'organisme chargé de la gestion de la dotation. Il fait les comptes : « De 2018 à 2023, cela représente un montant de 6 130 000 $ que l'entreprise doit verser comme dotation. Aujourd'hui, nous réclamons à l'entreprise 5 111 000 $ pour que nous puissions achever les projets que nous avons amorcés. » Pour sa part, l'observatoire d'études et d'appui à la responsabilité sociale fait le suivi du respect du Code minier par les entreprises minières. « Du point de vue légal, il est de la responsabilité ou du devoir de l'entreprise de payer normalement pour être en ordre avec les lois du pays. Cela n'est pas discutable », affirme Freddy Kasongo, le directeur de l'observatoire. La société Ruashi Mining, quant à elle, rejette les allégations sur la minoration de ses déclarations sur le 0,3% de son chiffre d'affaires. Elle affirme qu'il s'agit d'une erreur de calcul. De son côté, le ministère des Mines, en charge du recouvrement de ces dotations, a dans une lettre récente menacé de sanctions si les montants dus ne sont pas acquittés. À lire aussiLa RDC signe un accord de principe avec l'entreprise américaine KoBold Metals sur l'exploration minière
durée : 00:43:47 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Mardi 15 juillet 2025, le Premier ministre François Bayrou a annoncé de nombreuses mesures visant à économiser 40 milliards d'euros dans le cadre du budget 2026 : jours fériés, réduction du nombre de fonctionnaires, niches fiscales, etc. Mais qu'en est-il des aides publiques aux entreprises ? - réalisation : François Richer, Vivian Lecuivre - invités : Nadine Levratto Économiste et directrice de recherches au CNRS; Olivier Redoulès Economiste, directeur des études de l'institut Rexecode
durée : 00:43:47 - Questions du soir d'été - par : Mattéo Caranta - Mardi 15 juillet 2025, le Premier ministre François Bayrou a annoncé de nombreuses mesures visant à économiser 40 milliards d'euros dans le cadre du budget 2026 : jours fériés, réduction du nombre de fonctionnaires, niches fiscales, etc. Mais qu'en est-il des aides publiques aux entreprises ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Nadine Levratto Économiste et directrice de recherches au CNRS; Olivier Redoulès Economiste, directeur des études de l'institut Rexecode
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés, le lundi de Pâques et le 8 mai, afin de redresser les comptes publics et d'augmenter l'activité économique du pays.Cette mesure controversée suscite de vives réactions de la part de l'opposition politique, de la gauche au Rassemblement National, qui menacent de censurer le gouvernement.Le patronat soutient dans l'ensemble le plan de redressement budgétaire de Bayrou, qui comprend également le gel des dépenses de l'État et des collectivités, la suppression de 3000 postes de fonctionnaires, et des économies sur la santé et les prestations sociales.Les Français interrogés dans les rues de Lyon se montrent très attachés à la préservation des jours fériés, y voyant une atteinte à l'identité et à la mémoire collective du pays.Malgré les critiques, le Premier ministre reçoit le soutien de son camp politique et de certains économistes, qui saluent son courage et son pragmatisme face à la situation budgétaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les aides aux entreprises représentent 211 milliards d'euros par an, un des plus gros budget de l'État. C'est le résultat de la commission d'enquête sur les aides publiques aux entreprises au Sénat.▶ Le Média lance le plan "Riposte"
Dans cette édition :Le Premier ministre François Bayrou propose de supprimer deux jours fériés, le lundi de Pâques et le 8 mai, afin de redresser les comptes publics et d'augmenter l'activité économique du pays.Cette mesure controversée suscite de vives réactions de la part de l'opposition politique, de la gauche au Rassemblement National, qui menacent de censurer le gouvernement.Le patronat soutient dans l'ensemble le plan de redressement budgétaire de Bayrou, qui comprend également le gel des dépenses de l'État et des collectivités, la suppression de 3000 postes de fonctionnaires, et des économies sur la santé et les prestations sociales.Les Français interrogés dans les rues de Lyon se montrent très attachés à la préservation des jours fériés, y voyant une atteinte à l'identité et à la mémoire collective du pays.Malgré les critiques, le Premier ministre reçoit le soutien de son camp politique et de certains économistes, qui saluent son courage et son pragmatisme face à la situation budgétaire.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BFM STORY du lundi au jeudi de 17h à 19h avec Olivier Truchot & Alain Marshall. Deux heures pour faire un tour complet de l'actualité en présence d'invités pour expliquer et débattre sur les grands sujets qui ont marqué la journée.
Sera-t-il demandé aux salariés de travailler gratuitement ou non, avec la suppression de deux jours fériés ? Ce sera l'objet d'un arbitrage, probablement après de longues négociations. Selon la ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet, le fonctionnement de la suppression des jours fériés se basera sur celui du lundi de Pentecôte. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Pierre Rondeau.
François Monnier, directeur de la rédaction d'Investir, remarque que la Bourse continue d'évoluer dans un contexte mondial incertain. Malgré les tensions géopolitiques et économiques, les marchés restent portés par des dynamiques de fond et une vision à long terme des investisseurs. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À La Calera, une municipalité montagneuse près de Bogotá, les habitants s'opposent à Coca-Cola, qui exploite sept sources d'eau via sa filiale Indega. En pleine sécheresse historique causée par El Niño, les habitants ont subi des coupures d'eau pendant près d'un an, tandis que l'usine de mise en bouteille continuait son activité. C'est un reportage d'Eve-Marie Detoeuf. L'indignation est d'autant plus grande que la concession d'exploitation d'Indega, arrivée à échéance en décembre, pourrait être renouvelée malgré les contestations. Coca-Cola affirme puiser l'eau dans les nappes souterraines, mais une hydrologue critique sévèrement l'étude fournie par la multinationale, la jugeant biaisée et contradictoire. La situation divise désormais les habitants de La Calera. Tandis que certains défendent l'entreprise pour les emplois supposément créés, d'autres dénoncent une exploitation injuste d'une ressource vitale. Des artistes, des écologistes, et des villageois expriment leur tristesse face aux tensions causées par Coca-Cola. Ils sont pessimistes quant à une décision des autorités régionales, soupçonnées de favoritisme et de corruption. En 2024, Coca-Cola n'aurait payé que l'équivalent de 2 500 euros de redevance pour cette ressource précieuse, alimentant un sentiment d'injustice grandissant. Les gangs haïtiens sanctionnés par l'ONU Les Nations unies ont imposé des sanctions contre les coalitions de gangs haïtiens Viv Ansanm et Gran Grif, quelques semaines après leur désignation comme organisations terroristes par les États-Unis. C'est un des sujets abordés ce jeudi (10 juillet 2025) avec le rédacteur en chef du Nouvelliste, Frantz Duval. Ces sanctions permettent notamment à Interpol de lancer des poursuites internationales, peut-on lire dans le Nouvelliste. Elles interviennent dans un contexte d'escalade de la violence en Haïti, où les gangs multiplient les attaques armées, s'étendent au-delà de Port-au-Prince, et plongent le pays dans une crise humanitaire sans précédent. Aux États-Unis, des milliers de fonctionnaires fédéraux vivent dans la peur d'un licenciement massif Mardi dernier, la Cour suprême a validé le vaste plan de réorganisation de l'administration Trump, ouvrant la voie à des suppressions de postes. Selon Politico, ce jugement a profondément ébranlé des agents jusque-là convaincus d'être protégés par le droit de la fonction publique et les syndicats. « Tous mes amis se sont résignés au pire », confie un employé au ministère du logement. À l'agence de protection de l'environnement, certains se terrent au sous-sol pour fuir la tension. Déjà 3 000 départs volontaires ou retraites anticipées. Des services comme la justice environnementale sont démantelés. « Le gouvernement abandonne les communautés les plus polluées », dénonce un agent. Au ministère du Logement, les couloirs sont devenus silencieux, « comme après un décès ». La peur est encore plus vive au Département d'État : dans des groupes Signal, diplomates et agents s'inquiètent pour leur avenir, la sécurité nationale, et dénoncent une trahison. Des salles de réunion ont été réservées pour ce vendredi, jour probable des annonces officielles. Les conséquences de la taxe douanière de 50% sur les produits brésiliens décidée par Donald Trump Pour le site d'information G1, Donald Trump répète la formule du harcèlement et des représailles qu'il utilise contre ses adversaires politiques. « Cette fois, cependant, les échanges économiques ne peuvent pas servir de prétexte car les États-Unis ont un rare excédent commercial avec le Brésil ». Dans Carta Capital, un ancien ambassadeur brésilien s'insurge : il parle d'ingérence révoltante, de brutalité diplomatique, et estime que les États-Unis sont en train de devenir un adversaire du Brésil — une rupture avec deux siècles de relations diplomatiques. Il appelle à une réaction forte de la société civile brésilienne, et suggère au gouvernement Lula d'intensifier ses contacts avec les démocrates américains. L'embarras des bolsonaristes Selon Folha de Sao Paulo, plusieurs proches de l'ex-président reconnaissent, en privé, que cette décision « pose un vrai problème politique ». Officiellement, ils continuent de soutenir Donald Trump et tentent de rejeter la responsabilité de la mesure douanière sur le président Lula. C'est le cas de Tarcísio de Freitas ou Romeu Zema — deux candidats potentiels pour la prochaine élection présidentielle de 2026. Ils affirment que c'est le rapprochement de Lula avec la Chine, la Russie, l'Iran, Cuba ou encore le Venezuela qui aurait déclenché la réaction de Donald Trump. Washington à la recherche d'une stratégie à l'égard du Venezuela C'est à lire dans le New York Times. D'un côté, le secrétaire d'État Marco Rubio a tenté un accord avec Caracas : libérer des prisonniers politiques en échange du renvoi de 250 migrants vénézuéliens détenus au Salvador. Mais ces négociations ont été court-circuitées par… l'émissaire spécial de Donald Trump pour le Venezuela lui-même, Richard Grenell. Lui proposait tout autre chose : autoriser l'entreprise Chevron à reprendre ses activités pétrolières au Venezuela. Une offre plus alléchante pour le président Nicolas Maduro. Mais finalement, aucun accord n'a été conclu, et les 250 migrants vénézuéliens sont toujours détenus dans une prison de haute sécurité au Salvador. Le New York Times révèle que malgré ses déclarations, la Maison Blanche garde le contrôle sur ces détenus car ils sont utilisés comme monnaie d'échange. Premiers témoignages sur les conditions de détention au sein du «Alligator Alcatraz» Le Miami Herald publie un témoignage glaçant : un migrant mexicain, pourtant protégé par le programme DACA, car il est venu aux États-Unis lorsqu'il était encore mineur, s'est retrouvé enfermé dans le centre de détention situé en plein cœur des Everglades, en Floride. Il a été arrêté après un simple contrôle routier. Son avocat affirme ne pas connaître les raisons de sa détention. Et son client dénonce des conditions inhumaines : nourriture avariée, toilettes bouchées, chaleur étouffante sans climatisation, moustiques en pagaille, et interdiction de se doucher pendant quatre jours. Les autorités de Floride, elles, démentent en bloc : « des accusations totalement fausses », disent-elles. Mais l'affaire commence à faire grand bruit. Journal de la 1re En Martinique, la lutte contre le décrochage scolaire.
Donald Trump annonce taxer à 50% le cuivre à partir du 1er août. Il s'agit d'un matériau stratégique pour le secteur de la défense. Une décision que l'économiste et ancien président de l'autorité de la concurrence, Emmanuel Combe, juge contre-productive. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A 10h, ce mercredi 9 juillet 2025, les GG : Joëlle Dago-Serry, coach de vie, Didier Giraud, éleveur de bovins, et Jean-Loup Bonnamy, professeur de philosophie, débattent de : "211 milliards d'aides publiques aux entreprises : ça suffit ?".
Ce mercredi 9 juillet, le taux de défaillances des entreprises qui a augmenté et l'inquiétude des autorités concernant le stablecoin ont été abordés par Sylvain Orebi, président d'Orientis, Rafik Smati, président d'Objectif France, et Nathalie Janson, professeur à Neoma Business School, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 9 juillet, le rachat de 3% du capital d'EssilorLuxottica par Meta pour 3 milliards d'euros, et la demande de suivi de la commission d'enquête du Sénat sur les aides publiques aux entreprises, ont été abordés par Sylvain Orebi, président d'Orientis, Rafik Smati, président d'Objectif France, et Nathalie Janson, professeur à Neoma Business School, dans l'émission Les Experts, présentée par Nicolas Doze sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Isabelle Rouhan, présidente de l'Observatoire des métiers du futur, analyse l'évolution du monde du travail et estime que de nombreux nouveaux métiers continueront d'émerger. Cette vision optimiste s'accompagne de risques, puisque de nouvelles compétences seront nécessaires et les prochaines générations devront s'adapter. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Intéressé.e par notre formation Yaniro Leadership Program ? Prenez rendez-vous avec Yasmine ici !Voulez-vous former les managers avec la méthode do it yourself ? Obtenez toutes les ressources ici !Résumé de l'article
Eric Chenut, le président de la Mutualité Française, avance des pistes pour réduire le déficit de la Sécurité sociale : améliorer l'efficience du système, renforcer la lutte contre la fraude et freiner la financiarisation croissante de la protection sociale. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ce mardi 8 juillet, Jacques de La Rivière, PDG et cofondateur de Gatewatcher, et Gérôme Billois, associé en cybersécurité et confiance numérique au sein du cabinet Wavestone, se sont penchés sur la levée de fonds de 25 millions d'euros de Gatewatcher, l'obligation des entreprises à se renforcer en matière de cybersécurité, ainsi que les enjeux de souveraineté en matière de cybersécurité, dans l'émission Tech&Co Business présentée par Frédéric Simottel. Tech&Co Business est à voir ou écouter le mardi sur BFM Business.
Moïse Sfez est un jeune entrepreneur à succès dans la restauration rapide haut de gamme. À 30 ans, il dirige Homer Food Group, avec 15 restaurants et des projets d'expansion à Londres. Sfez partage son parcours, de ses débuts modestes à son succès international, notamment grâce à son célèbre Lobster Roll, élu meilleur sandwich au homard du monde. Il évoque au micro de RTL ses ambitions futures, notamment aux États-Unis, et sa nouvelle aventure avec le cheesecake basque. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Moïse Sfez est un jeune entrepreneur à succès dans la restauration rapide haut de gamme. À 30 ans, il dirige Homer Food Group, avec 15 restaurants et des projets d'expansion à Londres. Sfez partage son parcours, de ses débuts modestes à son succès international, notamment grâce à son célèbre Lobster Roll, élu meilleur sandwich au homard du monde. Il évoque au micro de RTL ses ambitions futures, notamment aux États-Unis, et sa nouvelle aventure avec le cheesecake basque. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Moïse Sfez est un jeune entrepreneur à succès dans la restauration rapide haut de gamme. À 30 ans, il dirige Homer Food Group, avec 15 restaurants et des projets d'expansion à Londres. Sfez partage son parcours, de ses débuts modestes à son succès international, notamment grâce à son célèbre Lobster Roll, élu meilleur sandwich au homard du monde. Il évoque au micro de RTL ses ambitions futures, notamment aux États-Unis, et sa nouvelle aventure avec le cheesecake basque. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Moïse Sfez est un jeune entrepreneur à succès dans la restauration rapide haut de gamme. À 30 ans, il dirige Homer Food Group, avec 15 restaurants et des projets d'expansion à Londres. Sfez partage son parcours, de ses débuts modestes à son succès international, notamment grâce à son célèbre Lobster Roll, élu meilleur sandwich au homard du monde. Il évoque au micro de RTL ses ambitions futures, notamment aux États-Unis, et sa nouvelle aventure avec le cheesecake basque. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'IA l'IA l'IA ! Un épisode très B2B cette semaine, avec une question centrale : les entreprises françaises, grandes et petites, sont-elles en retard en matière d'intelligence artificielle ? On parle aussi d'une super IA médicale, des voitures pas tout à fait autonomes de Tesla et du premier appel téléphonique cellulaire au Canada et en France.
Ce jeudi 3 juillet, François Sorel a reçu Lucas Perraudin, fondateur de AI Partners et ancien directeur de Meta Reality Labs, Jérôme Marin, fondateur de Cafetech.fr, et Didier Sanz, journaliste spécialisé en informatique. Ils se sont penchés sur Perplexity qui lance un abonnement IA à 200 dollars par mois, la grande offensive des entreprises pour reporter la régulation sur l'IA en Europe, la compétition entre Starlink et Eutelsat pour équiper les TGV de WI-FI, ainsi que le partenariat entre France TV et Amazon Prime Vidéo, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
L'été est là ! Alors que 84 départements sont en alerte canicule et que les vacances scolaires approchent à grand pas, je vous propose d'écouter ou de réécouter cet épisode qui porte sur le soleil, ses dégâts et les crèmes solaires qui peuvent nous protéger.L'exposition aux rayons (UV) reste l'un des principaux facteurs de risque de cancers de la peau, notamment le mélanome. “Avec les UV, le vrai danger, c'est de ne pas se protéger” telle est la campagne lancée par la FEBEA, la Fédération des Entreprises de la Beauté.
Embarquez sur les routes des vacances avec "La France bouge" ! Aurélien Fleurot reçoit Guillaume Hérent, directeur général d'APRR, pour découvrir les coulisses des grands départs estivaux. Comment APRR gère le trafic triplé et innove avec le péage en flux libre ou la recharge ultra-rapide ? Cet épisode vous présente aussi Marin Champenois (Up&Charge) et sa recharge par induction, ainsi que Fabien Pierlot (Coyote) qui fête les 20 ans de son entreprise d'aide à la conduite. Préparez vos trajets d'été en toute sérénité ! Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invités : - Gabrielle Cluzel, écrivaine - Éric Naulleau, essayiste et journaliste - Docteur Jean-Paul Hamon - Gilbert Collard, ancien député européen - Laurent Menin, vice-Président de L'union Nationale des Entreprises de Coiffeurs Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Têtes d'affiche de Denise Epoté de TV5MONDE, comme chaque dimanche sur RFI, avec Nicolas Brousse. Sur la première marche de notre podium cette semaine un duo d'innovateurs originaires du Burkina Faso : Joseph Théodore Sandwidi et William Palé. Portés par leur passion pour la culture, le financier et l'informaticien ont lancé en 2024 « Sanbbiz » une application pour organiser vos sorties culturelles. Notre seconde tête d'affiche est originaire du Gabon. Prisca Bivigou Gangou possède un master 2 en gestion des affaires juridiques et fiscales obtenu à l'université africaine de Management. Après une formation à Grasse, capitale mondiale de la parfumerie elle obtient une attestation de parfumeur amateur et en 2018 lance Yoma une marque de parfum à base d'essences locales.
durée : 00:02:36 - C'est mon boulot - C'est une première en France. L'Autorité de la concurrence vient de sanctionner 4 entreprises pour des pratiques de non-débauchage de salariés. Elles s'étaient mutuellement interdit de solliciter et de recruter leurs employés respectifs. Comment le pot aux roses a-t-il été découvert ? Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Vendredi 27 juin, la forte activité sur les marchés de la dette d'entreprises a été abordée par Emmanuel Lechypre, éditorialiste BFM Business, Alain Pitous, senior advisor ESG, Valentine Ainouz, responsable de la stratégie taux chez Amundi Institute, et Éric Lewin, président d'EL Finance, reçus par Marc Fiorentino dans l'émission C'est Votre Argent sur BFM Business. Retrouvez l'émission le vendredi et réécoutez-la en podcast.
Une étude du cabinet McKinsey révèle les profondes répercussions des mesures douanières américaines sur les échanges internationaux. Alors que la Chine perd du terrain, l'Europe s'impose comme un acteur central dans la nouvelle cartographie commerciale mondiale Depuis le 2 avril, les droits de douane imposés par Donald Trump restent en vigueur. Même s'ils font moins la une de l'actualité, leurs effets sont toujours bien réels. Le cabinet McKinsey vient de publier une étude qui confirme l'impact majeur de ces mesures sur le marché mondial. Initiée par les États-Unis, cette guerre douanière cible en priorité la Chine. Tous les produits fabriqués dans ce pays et importés sur le sol américain sont désormais taxés à hauteur de 30 %. Pour les autres pays, la taxe est fixée à 10 %. Ces règles modifient en profondeur les dynamiques commerciales. Selon McKinsey, une tendance forte se dégage: le « friendshoring ». Cette stratégie consiste à privilégier les échanges avec les alliés géopolitiques. La conséquence, c'est celle-ci, les importations américaines en provenance de Chine ont chuté de 34,5 % depuis le mois d'avril. Face à cette baisse, l'Organisation mondiale du commerce a dû revoir ses prévisions. Au lieu d'une hausse attendue de 2,7 %, le commerce mondial devrait reculer de 0,2 % cette année. Le monde entre ainsi dans une phase de fragmentation économique. À lire aussiPourquoi l'Union européenne veut accélérer les négociations avec Trump? L'Europe, pivot d'un nouvel équilibre mondial Face à la baisse des exportations vers les États-Unis, la Chine redirige sa production vers l'Europe. Paradoxalement, cette guerre commerciale profite donc au Vieux Continent. D'après McKinsey, les pays européens pourraient fournir jusqu'à 55 % du marché mondial d'exportation destiné à remplacer les produits chinois aux États-Unis. En d'autres termes, l'Europe serait en mesure de couvrir un besoin sur deux en produits substituts. Cependant, certains secteurs restent hors de portée. Dans le manufacturier et l'électronique, ce sont les pays d'Asie du Sud-Est qui prennent l'avantage. De leur côté, les consommateurs américains risquent de subir un déficit d'approvisionnement estimé à plus de 100 milliards de dollars. Cela pourrait entraîner des pénuries sur des produits essentiels comme les ordinateurs portables, les smartphones ou les écrans, mais aussi une hausse généralisée des prix. À lire aussiLe reste du monde se prépare à une inondation de produits chinois bon marché Vers une bipolarisation économique ? Cette recomposition des flux commerciaux pourrait dessiner un monde économique à deux vitesses : d'un côté, les pays qui maintiennent des liens avec la Chine ; de l'autre, ceux qui s'en détachent. L'enjeu devient alors de trouver de nouveaux partenaires ou de renforcer ceux déjà établis. Pour l'Europe, cela représente une opportunité majeure : ses exportations vers les États-Unis pourraient augmenter de 200 milliards de dollars. Mais cette dynamique reste à double tranchant. Car la Chine, en se tournant vers l'Europe, y intensifie également sa présence commerciale. Un défi pour les industriels européens, qui doivent jongler entre nouvelle demande américaine et concurrence asiatique accrue.
Tous les matins à 7h10, l'actualité économique avec Emmanuel Lechypre.
Créateur de contenu, ce nouveau métier permet aujourd'hui à de jeunes Camerounais de générer des revenus conséquents et de gravir les échelons dans la société. Leurs contenus sur les réseaux sociaux, Facebook, YouTube, TikTok influencent leur entourage. Les marques les sollicitent et grâce à des contrats de plus en plus juteux, certains réussissent à créer des entreprises. « Bonjour… vous avez fini avec les photos ? ». Depuis avril dernier, la créatrice de contenu Frida Choco Bronze passe ses journées ici au quartier Ndogbong de Douala, dans un appartement de trois pièces transformé en maison de production. « Nous sommes installés ici depuis trois mois. On fait des photos… La création de contenus a changé ma vie. » Monique production, en hommage à sa maman décédée, est l'aboutissement d'un rêve pour Frida. Après six ans passés sur les réseaux sociaux, elle cumule plus d'un million d'abonnés. Une popularité qu'elle a capitalisée. Désormais, elle est à la tête de sa propre société. « Aujourd'hui, nous gagnons entre 800 et un million [de francs CFA] par mois », estime son collègue Matip, qui gère l'entreprise. Les créateurs de contenus camerounais s'exportent Plusieurs créateurs de contenus sont ciblés par les marques qui en font des ambassadeurs. « Le créateur de contenus doit avant tout travailler sa crédibilité, souligne Leroufa Ndam, qui possède un catalogue riche d'une dizaine de créateurs. Le plus gros contrat que j'ai négocié est de plus 15 millions [de francs CFA]. » Aujourd'hui, les créateurs de contenus camerounais exportent leurs talents. Ils nouent des collaborations avec des Ivoiriens, Gabonais ou encore Congolais. Une démarche internationale qui fait grimper leur valeur. À lire aussiTunisie: les créateurs de contenu sur les réseaux sociaux en quête de statut
durée : 00:37:45 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Malgré les réformes, les seniors peinent toujours à retrouver ou garder un emploi. En cause : stéréotypes tenaces, discriminations structurelles et dispositifs mal utilisés. Faut-il repenser le travail après 50 ans ? - réalisation : François Richer - invités : Dominique Carlac'h Cheffe d'entreprise, co-présidente du Comité Sport Medef et membre du conseil exécutif du Medef; Annie Jolivet Économiste du travail, chercheuse au Centre du travail et de l'emploi du CNAM.
durée : 00:37:45 - Questions du soir : le débat - par : Quentin Lafay, Stéphanie Villeneuve - Malgré les réformes, les seniors peinent toujours à retrouver ou garder un emploi. En cause : stéréotypes tenaces, discriminations structurelles et dispositifs mal utilisés. Faut-il repenser le travail après 50 ans ? - réalisation : François Richer - invités : Dominique Carlac'h Cheffe d'entreprise, co-présidente du Comité Sport Medef et membre du conseil exécutif du Medef; Annie Jolivet Économiste du travail, chercheuse au Centre du travail et de l'emploi du CNAM.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Martial You et ses experts débattent de l'omniprésence du smartphone en entreprise. Entre perturbation de la productivité et enjeux de santé, le téléphone portable soulève de nombreuses questions sur notre rapport au travail. Les invités : - Benoît SERRE, vice-président de l'ANDRH. - Jean-Claude Delgènes, économiste et PDG du cabinet Technologia. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Depuis l'automne 2024, le gouvernement canadien et celui du Québec ont imposé des restrictions sur l'embauche des travailleurs étrangers temporaires. Le traitement des demandes est désormais plus long, parfois ces demandes sont suspendues voire refusées. Face à cette situation, de nombreuses entreprises québécoises tirent la sonnette d'alarme. Reportage de Nafi Alibert. Le reportage met en lumière le parcours d'un patron d'usine, Nicolas, confronté à l'impossibilité de faire revenir un contremaître mexicain, faute de permis renouvelé à temps. Le Programme des travailleurs étrangers temporaires, essentiel pour pallier la pénurie de main-d'œuvre, est aujourd'hui plombé par des délais, des refus et une complexité croissante qui met en péril l'activité économique dans plusieurs secteurs. Avec plus de 115 000 postes vacants, les employeurs, notamment dans les régions éloignées, dépendent de plus en plus de ces travailleurs venus du Mexique, du Guatemala ou du Togo. La Fédération des chambres de commerce du Québec demande de faciliter leur embauche, elle dénonce un système à bout de souffle. Malgré les appels à augmenter le nombre de personnes autorisées à s'installer au Québec, le gouvernement québécois invoque une saturation des services publics et la crise du logement pour justifier ses restrictions. Dans ce climat incertain, des travailleurs comme Kabir, venu du Burkina Faso, nourrissent l'espoir de pouvoir rester au Québec. Les décisions politiques attendues à l'automne sont donc cruciales pour l'avenir de ces travailleurs et pour la survie de nombreuses entreprises québécoises. Des femmes emprisonnées au Mexique, victimes d'abus policiers et de torture Au Mexique, les femmes représentent une minorité oubliée dans les prisons : seulement 6% de la population carcérale, mais près de la moitié d'entre elles attendent encore leur jugement. C'est le cas de Keren Ordonez, arrêtée sans mandat en 2015 alors qu'elle venait d'accoucher. Elle s'est confiée à notre correspondante Marine Lebegue. Séquestrée, torturée, contrainte de signer de faux aveux, elle a passé plus de neuf ans en détention préventive avant d'être acquittée. Son histoire, marquée par les abus policiers, les lenteurs judiciaires et la discrimination, illustre les nombreuses défaillances du système pénal mexicain envers les femmes. Libérée en avril 2025, Keren tente aujourd'hui de reconstruire sa vie et de renouer avec sa fille qu'elle n'a pas vue grandir. Son avocate, dénonce une justice sexiste, où les mères sont jugées selon des stéréotypes de genre. Elle rappelle que le cas de Keren n'est pas isolé : de nombreuses femmes se retrouvent incarcérées pendant des années sans preuves ni procès équitable. Pour elles, la sortie de prison marque le début d'un autre combat, face à une société machiste et peu clémente envers les ex-détenues. Comment Donald Trump a minutieusement orchestré les frappes contre les sites nucléaires en Iran ? C'est à lire dans le New York Times : alors qu'il annonçait publiquement vouloir attendre « deux semaines » avant de décider d'un éventuel bombardement, les préparatifs militaires étaient déjà en cours. En coulisses, Donald Trump avait pris la décision de frapper, notamment sous l'influence de l'opération israélienne contre l'Iran qu'il admirait. Pendant que son entourage politique spéculait sur ses intentions — et que certains, comme l'ancien conseiller Stephen Bannon, espéraient le faire reculer —, le président poursuivait en réalité une stratégie visant à désorienter l'Iran et l'opinion publique. Pour tromper l'ennemi, deux groupes de bombardiers B-2 ont été envoyés : l'un vers le Pacifique pour servir de leurre visible sur les radars civils, l'autre, sans transpondeur, vers l'Iran, où ils ont effectué des frappes dans la nuit du samedi 21 au dimanche 22 juin 2025 sur les sites nucléaires de Fordo, Natanz et Isfahan. Les électeurs MAGA soutiennent la politique étrangère de Donald Trump Pour le Washington Post, contrairement à ce qui était souvent dit, les électeurs MAGA n'étaient pas si divisés que cela sur la décision de frapper les installations nucléaires iraniennes. Les sondages montrent un soutien massif des sympathisants de Donald Trump à cette action militaire. Une majorité d'électeurs MAGA plaident en fait pour une politique étrangère fondée sur la force militaire et les valeurs américaines. Ils approuvent même des projets expansionnistes, comme récupérer le canal de Panama ou intégrer le Groenland aux États-Unis. Le Washington Post conclut que les voix isolationnistes au sein du mouvement MAGA incarnées par des figures comme l'ex-journaliste Tucker Carlson ou la députée Marjorie Taylor Greene, sont marginales. Cuba : une manifestation d'étudiants réprimée Le gouvernement cubain a réprimé une vague de protestations inédite menée par des étudiants contre la hausse des prix d'Internet. C'est à lire dans El Pais. Confrontées aux revendications sur la connexion à Internet et les tarifs imposés par l'opérateur étatique ETECSA, les autorités ont opté pour une intimidation silencieuse : arrestations, interrogatoires, menaces de représailles, et pressions sur les familles. Les étudiants dénoncent une répression discrète mais efficace qui les a obligés d'arrêter leur grève. Mais selon El Pais, ce mouvement étudiant, bien que réprimé, marque un tournant. Il a permis à de nombreux jeunes de faire l'expérience de la contestation et d'élargir leur mobilisation à des thèmes plus larges : fracture numérique, liberté d'expression, pauvreté généralisée, coupures d'électricité, et inefficacité du modèle économique Journal de la 1ère Le centre hospitalier de Marie-Galante tire la sonnette d'alarme face à la pénurie de médecins urgentistes.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Martial You et ses experts débattent de l'omniprésence du smartphone en entreprise. Entre perturbation de la productivité et enjeux de santé, le téléphone portable soulève de nombreuses questions sur notre rapport au travail. Les invités : - Benoît SERRE, vice-président de l'ANDRH. - Jean-Claude Delgènes, économiste et PDG du cabinet Technologia. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode de "Tout savoir sur", Martial You et ses experts débattent de l'omniprésence du smartphone en entreprise. Entre perturbation de la productivité et enjeux de santé, le téléphone portable soulève de nombreuses questions sur notre rapport au travail. Les invités : - Benoît SERRE, vice-président de l'ANDRH. - Jean-Claude Delgènes, économiste et PDG du cabinet Technologia. Dans "Tout savoir sur", du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Têtes d'affiches de Denise Epoté de TV5 Monde, comme chaque dimanche sur RFI, cette semaine avec Grégoire Morelli. Deux femmes sont à l'honneur cette semaine. La première est originaire de l'île Maurice. Diplômée en gestion de l'université de Maurice, Mélissa Labonte a fait ses armes dans l'univers de l'hospitalité. En 2020 à la faveur de la crise sanitaire elle crée « Simply Good Food », une offre digitale au service des restaurateurs et des amateurs de cuisine saine. Votre seconde tête d'affiche est originaire du Gabon. Après des études en génie-civil, Gaëlle Massounga Gipsy a également suivi des formations en design et en informatique puis intégré un incubateur afin de se lancer dans l'entrepreneuriat durable, levier de transformation sociale. « Magic Citron » est le nom de sa start up.
En 2026, la directive européenne relative à la transparence des rémunérations entrera en vigueur. Les employeurs des pays de l'Union auront désormais l'obligation «d'informer les demandeurs d'emploi du salaire de départ ou de la fourchette de rémunération initiale des postes publiés». Une nouvelle réglementation aux allures de révolution, selon Astrid Panosyan-Bouvet, ministre du Travail et de l'Emploi en France. Il faut dire que la fameuse question «Combien tu gagnes?» est largement tabou pour les Français. Censée apporter plus d'équité au sein des entreprises, la transparence salariale, n'en annonce pas moins un véritable bouleversement sur les marchés du travail européens. Avec en premier lieu, la manière dont les entreprises vont recruter et fidéliser leurs talents. La façon dont elles vont aussi assumer leurs responsabilités quand leurs employés découvriront le salaire de leurs collègues. Les discussions à la machine risquent de s'animer... Au-delà des questions d'égalité de revenus, quelles seront les conséquences de la transparence sur l'évolution de carrière ? Les salariés ne vont-ils pas perdre leur pouvoir de négociation ? Et les salaires, seront-ils plutôt tirés vers le haut ou vers le bas ? Avec • Elise Penalva-Icher, sociologue de l'économie, professeur à Paris Dauphine PSL et autrice de La frustration salariale (éditions Sorbonne Université Presse, 2024) • Sandrine Dorbes, experte en stratégie de rémunération et conférencière, fondatrice de la société de conseil How Much et autrice de La rémunération n'est pas qu'une question d'argent (Dunod 2025). Un micro-trottoir d'Adam Saïdane qui est allé parler salaire et égalité salariale dans les rues de Paris. La transparence des revenus : qu'en pense la génération Z ? Notre reporter Adam Saïdane a profité de la pause déj' dans le parc d'un quartier d'affaires à Issy-les-Moulineaux pour poser la question à 2 jeunes employées dans l'audiovisuel : Noëlys, 25 ans et Imane, 24 ans. Très inspirées par le sujet tandis que leurs collègues masculins ont préféré fuir son micro. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Tanguy Lacroix. • Le blogueur béninois Emmanuel Codjo déplore les violences et discriminations contre les albinos en Afrique. • Moïse Kamguen, blogueur camerounais, estime que la Résistance française contre le nazisme a commencé à Douala avec le général Leclerc. Programmation musicale : ► Bend your back – Maureen ► Faje 'a Vede - Ngasa Ngasa.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Mourad Boudjellal et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
En 2026, la directive européenne relative à la transparence des rémunérations entrera en vigueur. Les employeurs des pays de l'Union auront désormais l'obligation «d'informer les demandeurs d'emploi du salaire de départ ou de la fourchette de rémunération initiale des postes publiés». Une nouvelle réglementation aux allures de révolution, selon Astrid Panosyan-Bouvet, ministre du Travail et de l'Emploi en France. Il faut dire que la fameuse question «Combien tu gagnes?» est largement tabou pour les Français. Censée apporter plus d'équité au sein des entreprises, la transparence salariale, n'en annonce pas moins un véritable bouleversement sur les marchés du travail européens. Avec en premier lieu, la manière dont les entreprises vont recruter et fidéliser leurs talents. La façon dont elles vont aussi assumer leurs responsabilités quand leurs employés découvriront le salaire de leurs collègues. Les discussions à la machine risquent de s'animer... Au-delà des questions d'égalité de revenus, quelles seront les conséquences de la transparence sur l'évolution de carrière ? Les salariés ne vont-ils pas perdre leur pouvoir de négociation ? Et les salaires, seront-ils plutôt tirés vers le haut ou vers le bas ? Avec • Elise Penalva-Icher, sociologue de l'économie, professeur à Paris Dauphine PSL et autrice de La frustration salariale (éditions Sorbonne Université Presse, 2024) • Sandrine Dorbes, experte en stratégie de rémunération et conférencière, fondatrice de la société de conseil How Much et autrice de La rémunération n'est pas qu'une question d'argent (Dunod 2025). Un micro-trottoir d'Adam Saïdane qui est allé parler salaire et égalité salariale dans les rues de Paris. La transparence des revenus : qu'en pense la génération Z ? Notre reporter Adam Saïdane a profité de la pause déj' dans le parc d'un quartier d'affaires à Issy-les-Moulineaux pour poser la question à 2 jeunes employées dans l'audiovisuel : Noëlys, 25 ans et Imane, 24 ans. Très inspirées par le sujet tandis que leurs collègues masculins ont préféré fuir son micro. En fin d'émission, la rubrique Mondoblog chez les voisins avec Tanguy Lacroix. • Le blogueur béninois Emmanuel Codjo déplore les violences et discriminations contre les albinos en Afrique. • Moïse Kamguen, blogueur camerounais, estime que la Résistance française contre le nazisme a commencé à Douala avec le général Leclerc. Programmation musicale : ► Bend your back – Maureen ► Faje 'a Vede - Ngasa Ngasa.
durée : 00:05:45 - Déjà debout - À 5h45, Pascale Fotius, directrice de transformations auprès de grandes entreprises, est l'invitée Déjà Debout. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:05:45 - Déjà debout - À 5h45, Pascale Fotius, directrice de transformations auprès de grandes entreprises, est l'invitée Déjà Debout. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:59:04 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine, Bruno Baradat - Le secteur de l'humanitaire, qui s'est structuré dans les années 1980, subit aujourd'hui les coupes de divers bailleurs et privilégie la “localisation” de l'aide, compromettant l'insertion professionnelle de celles et ceux qui souhaitent allier carrière et quête de sens. - réalisation : Françoise Le Floch - invités : Vincent Pradier Docteur en sciences de gestion à l'IAE (Institut d'Administration des Entreprises) de l'Université Paris-Sorbonne; Ludovic Joxe Coordinateur de projet pour Médecins Sans Frontières, sociologue et chercheur associé au CEPED (Centre Population et Développement)
Olivier Babeau analyse en détail la proposition de loi visant à instaurer une "taxe Zucman" sur les très gros patrimoines. Il explique pourquoi cette mesure, bien qu'elle semble séduisante, pourrait en réalité avoir des effets dévastateurs sur l'investissement et l'innovation en France. Il met en garde contre les illusions que peut susciter cette taxe, qui risquerait de fragiliser les entreprises et de pousser les plus riches à l'exil fiscal.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.