Podcasts about entreprises

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Les têtes d'affiches de Denise Epoté
Sékou Ouedraogo (Burkina Faso) et Douglas Mbiandou (Cameroun)

Les têtes d'affiches de Denise Epoté

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 3:32


Dans le palmarès cette semaine, deux innovateurs qui se distinguent par la qualité de leurs travaux, qui font de l'Afrique une terre d'excellence scientifique. Sur la première marche du podium cette semaine, un ingénieur originaire du Burkina Faso, diplômé de l'école d'ingénieurs Polytechnique de Nantes, Sékou Ouedraogo, possède également un master de l'Ecole Nationale des Mines de Paris et un troisième cycle en relations internationales approfondies du Centre d'études diplomatiques et stratégiques de Paris. Passionné d'aérospatiale, son ambition est de faire de ce secteur un outil de développement pour le continent. La seconde tête d'affiche, est également ingénieur, originaire du Cameroun. Douglas Mbiandou est diplômé de l'Institut national des sciences appliquées (INSA) Lyon. Après avoir développé des applications en France, en Suisse et aux États-Unis il y a 20 ans, il a fondé Osgi, un centre de formation spécialisé dans les technologies Java, Web et mobile.

Ai-je le droit ? - Roland Perez
Les entreprises investissent dans la pierre pour loger leurs salariés

Ai-je le droit ? - Roland Perez

Play Episode Listen Later Nov 16, 2025 3:43


Conseils, tendances du marché… Samedi et dimanche, dans Europe 1 Matin Week-end, Christophe Bordet revient sur l'actualité immobilière.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vivre ailleurs
Gapsmoov, spécialiste de l'accompagnement interculturel et créateur du décodeur de cultures

Vivre ailleurs

Play Episode Listen Later Nov 15, 2025 6:34


Créé en 2020, Gapsmoov est un organisme spécialisé dans la communication et le management interculturels. Avec son « décodeur de cultures », il aide à décrypter les comportements des partenaires étrangers dans les missions à l'international. Thibaut Issindou est le cofondateur, avec Virginie Deshayes, de Gapsmoov.  À lire aussiLes enjeux de l'interculturel en expatriation

L’invité de l’économie
Le plan de rémunération d'Elon Musk pour Tesla est « un défi immense » selon François Monnier, directeur de la rédaction d'Investir

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 14, 2025 6:59


Le gigantesque projet de mille milliards de dollars sur dix ans a été validé par le conseil d'administration de l'entreprise malgré l'opposition certains actionnaires. François Monnier nous éclaire sur ce défi immense que relève l'entrepreneur. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

7 milliards de voisins
Culture d'entreprise, management, rémunération en Afrique, que faut-il savoir avant de revenir ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 48:30


Selon un rapport de la Banque mondiale, les transferts d'argent des Africains vivant à l'étranger vers l'Afrique ont atteint 100 milliards de dollars en 2024, soit 6% du PIB africain. Au-delà des fonds investis, ce sont aussi leurs compétences qu'ils veulent proposer. De nombreux membres des diasporas africaines ont pour projet de s'installer sur le continent africain ou revenir dans leur pays d'origine pour y travailler. Beaucoup de pays cherchent d'ailleurs à les attirer via des programmes d'aide au retour. Alors que les économies africaines sont encore largement informelles, le continent offre néanmoins une réalité bien différente aux professionnels des diasporas qui n'ont, pour la plupart, connu que des entreprises occidentales. Rentrer au pays est à la fois source d'opportunités et de défis pour les jeunes talents.  Comment manager dans un contexte africain pluriel ? Quelles sont les attentes salariales réalistes ? Comment naviguer entre esprit d'entreprise occidentale et contraintes locales africaines ?  Émission réalisée à l'occasion de la 12ème édition des Journées Nationales de la Diaspora et de l'Afrique (JNDA) qui se déroule à Paris, le 15 novembre 2025. Avec : • Vanessa Tchoubia, spécialiste des Affaires réglementaires chez L'Oréal. Nommée conseillère au commerce extérieur de la France • Lionel Kili, ingénieur en Aéronautique et consultant senior aéronautique, industrie et défense pour la société de conseil ELITYS. Enseignant en master à l'IPSA (Institut polytechnique des sciences avancées). Coordinateur France du Réseau ivoirien des diplômés de la diaspora • Aniela Ve Kouakou, fondatrice du cabinet de recrutement et de conseils Agiloya Afrique. Partenaire des JNDA. Un extrait de notre série de podcasts Le succès des repats avec l'épisode consacré à Jean-Baptiste Okonda, fondateur de Kintacos. Tous les épisodes de la série sont à retrouver en cliquant ici. En fin d'émission, nous parlerons d'un amendement déposé dans le cadre du projet de Loi de Finances en France, qui vise à aligner la TVA sur les bouteilles à usage unique à 20%. Actuellement, la TVA est à 5,5% sur ces produits. Nous en parlerons avec Muriel Papin, déléguée générale de l'association No plastic in My Sea.   Programmation musicale : ► Ça fait mal - Kedjevara  ► Se Acabó - Mezcal Bomba.

7 milliards de voisins
Culture d'entreprise, management, rémunération en Afrique, que faut-il savoir avant de revenir ?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 48:30


Selon un rapport de la Banque mondiale, les transferts d'argent des Africains vivant à l'étranger vers l'Afrique ont atteint 100 milliards de dollars en 2024, soit 6% du PIB africain. Au-delà des fonds investis, ce sont aussi leurs compétences qu'ils veulent proposer. De nombreux membres des diasporas africaines ont pour projet de s'installer sur le continent africain ou revenir dans leur pays d'origine pour y travailler. Beaucoup de pays cherchent d'ailleurs à les attirer via des programmes d'aide au retour. Alors que les économies africaines sont encore largement informelles, le continent offre néanmoins une réalité bien différente aux professionnels des diasporas qui n'ont, pour la plupart, connu que des entreprises occidentales. Rentrer au pays est à la fois source d'opportunités et de défis pour les jeunes talents.  Comment manager dans un contexte africain pluriel ? Quelles sont les attentes salariales réalistes ? Comment naviguer entre esprit d'entreprise occidentale et contraintes locales africaines ?  Émission réalisée à l'occasion de la 12ème édition des Journées Nationales de la Diaspora et de l'Afrique (JNDA) qui se déroule à Paris, le 15 novembre 2025. Avec : • Vanessa Tchoubia, spécialiste des Affaires réglementaires chez L'Oréal. Nommée conseillère au commerce extérieur de la France • Lionel Kili, ingénieur en Aéronautique et consultant senior aéronautique, industrie et défense pour la société de conseil ELITYS. Enseignant en master à l'IPSA (Institut polytechnique des sciences avancées). Coordinateur France du Réseau ivoirien des diplômés de la diaspora • Aniela Ve Kouakou, fondatrice du cabinet de recrutement et de conseils Agiloya Afrique. Partenaire des JNDA. Un extrait de notre série de podcasts Le succès des repats avec l'épisode consacré à Jean-Baptiste Okonda, fondateur de Kintacos. Tous les épisodes de la série sont à retrouver en cliquant ici. En fin d'émission, nous parlerons d'un amendement déposé dans le cadre du projet de Loi de Finances en France, qui vise à aligner la TVA sur les bouteilles à usage unique à 20%. Actuellement, la TVA est à 5,5% sur ces produits. Nous en parlerons avec Muriel Papin, déléguée générale de l'association No plastic in My Sea.   Programmation musicale : ► Ça fait mal - Kedjevara  ► Se Acabó - Mezcal Bomba.

L’invité de l’économie
« La green tech se passe aujourd'hui en Chine », souligne la directrice exécutive de la RSE d'Orange, Elizabeth Tchoungui

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 13, 2025 7:16


La directrice exécutive de la RSE du groupe, Elizabeth Tchoungui révèle les grands enjeux pour l'entreprise. En effet, Orange est le seul opérateur français à avoir envoyé deux négociateurs pour cette COP 30 de Belém. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Quel est le coût du «shutdown» pour l'économie des États-Unis?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 3:01


La Chambre des représentants américaine doit se prononcer ce mercredi sur un texte de financement qui pourrait mettre fin au plus long « shutdown » de l'histoire du pays. Si le déblocage politique semble à portée de main, l'impact économique, lui, est déjà lourd avec plus de 10 milliards de dollars de pertes de production, une croissance ralentie et une confiance mise à rude épreuve. Depuis plus de six semaines, l'État fédéral américain fonctionne au ralenti. Faute d'accord entre la Maison Blanche et le Congrès sur le budget 2026, une grande partie des administrations, agences et programmes publics sont à l'arrêt. Le Congressional Budget Office (CBO), organe indépendant du Congrès, a livré une première estimation : l'économie américaine pourrait perdre entre 7 et 14 milliards de dollars de production, soit un peu plus de 10 milliards selon les projections médianes. Sur le trimestre d'automne – octobre, novembre, décembre –, le cabinet EY-Parthenon évalue déjà la perte de croissance à 0,8 point de pourcentage ; un chiffre qui peut sembler faible, mais qui représente des dizaines de milliards de dollars d'activité économique en moins. Ce shutdown est désormais le plus long de l'histoire américaine, dépassant celui de 2019 sous Donald Trump. Et contrairement aux précédentes fermetures temporaires, celui-ci intervient dans un contexte économique déjà tendu : croissance molle, inflation persistante et confiance des consommateurs affaiblie. Fonctionnaires, entreprises, ménages : une économie au ralenti Derrière ces chiffres se cachent des réalités très concrètes. Plus de 750 000 fonctionnaires fédéraux ont été placés en congé forcé ou continuent de travailler sans rémunération. Leur pouvoir d'achat s'effondre avec des conséquences directes sur la consommation locale. Dans les zones dans lesquelles les emplois publics sont nombreux — Washington, Virginie, Maryland — les commerces, restaurants et services de proximité voient leur chiffre d'affaires chuter. Les contrats publics sont, eux aussi, suspendus, touchant des milliers d'entreprises privées qui dépendent des commandes de l'État. Pour certaines petites sociétés sous-traitantes, la trésorerie est déjà exsangue : les paiements gelés mettent en péril des emplois et freinent la reprise de l'investissement. Les programmes sociaux sont également frappés de plein fouet. Les retards de versement d'allocations, notamment du programme d'aide alimentaire SNAP, pénalisent les ménages les plus modestes. Pour des millions d'Américains, cela signifie moins de dépenses dans les supermarchés, donc une baisse de la demande. Le programme Head Start, qui soutient la scolarisation des jeunes enfants, a dû fermer plusieurs centres, empêchant certains parents de travailler. Enfin, la publication de nombreux indicateurs économiques a été suspendue pendant la fermeture, faute de personnel. Or ces statistiques – emploi, inflation, production industrielle – servent de boussole aux entreprises, aux marchés financiers et à la Réserve fédérale. Sans ces données, les investisseurs naviguent à vue. Résultat : un climat d'incertitude budgétaire et institutionnelle qui pèse sur la confiance et complique les décisions économiques. Des pertes en partie irrattrapables, malgré une reprise attendue Si le vote de ce mercredi met effectivement fin au blocage, la reprise de l'activité devrait être rapide dans la plupart des agences fédérales. Les fonctionnaires seront payés rétroactivement, les contrats réactivés et les programmes sociaux relancés. Mais, préviennent les économistes, toutes les pertes ne seront pas compensées. Le CBO estime qu'une partie de la production disparue — entre 7 et 14 milliards de dollars — ne sera jamais récupérée, notamment à cause de la baisse de productivité, de la perte de confiance et des retards administratifs qui freinent durablement les investissements. Chaque jour supplémentaire de fermeture creuse davantage le manque à gagner. Au-delà de 40 jours, le blocage pourrait amputer la croissance annuelle américaine de près de 2 points sur le trimestre, selon plusieurs instituts. « Même si l'administration rouvre demain, le mal est fait », résume un économiste d'EY. Une économie fragilisée sur fond de tensions politiques Ce shutdown intervient à un moment délicat pour les États-Unis. L'économie reste solide en apparence, mais les fondamentaux se dégradent : croissance molle, taux d'épargne en baisse, inflation qui résiste autour de 3 %. Pour de nombreux Américains, cette paralysie est un révélateur des fragilités structurelles du pays : une dépendance croissante aux dépenses fédérales, une instabilité politique chronique et un fossé entre les élus de Washington et le quotidien des ménages. Même si les aéroports rouvrent, les salaires sont versés et les aides sociales reprennent, les séquelles économiques et sociales resteront visibles plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Les retards de paiement s'accumulent, les entreprises devront reconstituer leurs stocks, et les ménages endettés peineront à retrouver un équilibre. Le vote attendu ce mercredi pourrait donc ramener le fonctionnement de l'État à la normale, mais il ne suffira pas à effacer les dégâts. Ce shutdown historique restera comme un signal d'alarme : celui d'une économie américaine capable de s'affaiblir de l'intérieur, non pas à cause d'un choc extérieur, mais à force de blocages politiques répétés. À lire aussi«Shutdown» aux États-Unis: quelles conséquences économiques pour les Américains et les marchés?

L'Empreinte
Comment les entreprises peuvent-elles faire du lien territorial un levier stratégique de leur engagement ? Avec Réseau Alliances

L'Empreinte

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 26:13


Et si les transformations concrètes, qu'elles soient écologiques, sociales ou économiques, se jouaient plutôt au niveau des territoires ? En effet, attendre des solutions venues “d'en haut”, semble aujourd'hui compliqué, au vu de la crise politique actuelle. En revanche, les territoires ouvrent le champ des possibles : l'entreprise ancrée localement est un outil agile et efficace de transformation. Les acteurs économiques du territoire peuvent impulser des synergies collectives et utiles pour la transition. C'est dans cet état d'esprit, que le World Forum for a responsible economy, organisé par Réseau Alliances, a été à l'origine de grands projets régionaux comme la Troisième Révolution Industrielle – rev3, le Social Business Nord de France – SoBizHub, ou le mouvement B Corp en Hauts-de-France. S'entourer de réseaux locaux, nationaux et internationaux, regroupant des organisations et des experts reconnus en matière de développement durable permet, chaque année, de faire connaître les bonnes pratiques d'entreprises les plus innovantes en matière de RSE. Dans cet épisode, nous allons essayer de comprendre comment les entreprises peuvent-elles faire du lien territorial un levier stratégique de leur engagement ? Pour répondre à cette problématique, j'ai le plaisir de recevoir Jean-Pierre Letartre qui a présidé Réseau Alliances de 2019 à 2024 - et donc le World Forum - aujourd'hui Président d'honneur mais également Président d'Entreprises & Cités, du MEDEF Lille Métropole, du Groupe IRD et du Comité Grand Lille. Bonne écoute !

C'est notre empreinte
Comment les entreprises peuvent-elles faire du lien territorial un levier stratégique de leur engagement ? Avec Réseau Alliances

C'est notre empreinte

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 26:13


Et si les transformations concrètes, qu'elles soient écologiques, sociales ou économiques, se jouaient plutôt au niveau des territoires ? En effet, attendre des solutions venues “d'en haut”, semble aujourd'hui compliqué, au vu de la crise politique actuelle. En revanche, les territoires ouvrent le champ des possibles : l'entreprise ancrée localement est un outil agile et efficace de transformation. Les acteurs économiques du territoire peuvent impulser des synergies collectives et utiles pour la transition. C'est dans cet état d'esprit, que le World Forum for a responsible economy, organisé par Réseau Alliances, a été à l'origine de grands projets régionaux comme la Troisième Révolution Industrielle – rev3, le Social Business Nord de France – SoBizHub, ou le mouvement B Corp en Hauts-de-France. S'entourer de réseaux locaux, nationaux et internationaux, regroupant des organisations et des experts reconnus en matière de développement durable permet, chaque année, de faire connaître les bonnes pratiques d'entreprises les plus innovantes en matière de RSE. Dans cet épisode, nous allons essayer de comprendre comment les entreprises peuvent-elles faire du lien territorial un levier stratégique de leur engagement ? Pour répondre à cette problématique, j'ai le plaisir de recevoir Jean-Pierre Letartre qui a présidé Réseau Alliances de 2019 à 2024 - et donc le World Forum - aujourd'hui Président d'honneur mais également Président d'Entreprises & Cités, du MEDEF Lille Métropole, du Groupe IRD et du Comité Grand Lille. Bonne écoute !

L’invité de l’économie
Alexis Lanternier, DG de Deezer : « Nous avons un outil fiable pour détecter les musiques générées par IA »

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 12, 2025 8:00


La justice allemande vient de condamner le créateur de ChatGPT dans un litige qui l'opposait à l'équivalent de la SACEM. Pour Alexis Lanternier, directeur général de Deezer, la génération de morceaux par l'intelligence artificielle est un sujet énorme face auquel la plateforme de streaming a dû mettre en place des outils afin de détecter ces chansons. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Experts
Les Experts : Fiscalité, alerte sur l'attractivité - 11/11

Les Experts

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 25:20


Ce mardi 11 novembre, les alertes sur l'attractivité de la France face à la menace fiscale pour les entrepreneurs et l'exil fiscal qui peut placer le pays en sursis ont été abordés par Gilbert Cette, professeur d'économie à Neoma Business School, Erwann Tison, chargé d'enseignement à l'Université de Strasbourg, et Victor Lequillerier, économiste et vice-président du Think Tank "BSI Economics" dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

De cause à effets, le magazine de l'environnement
Funérailles écologiques : l'enterrement végétal comme un retour à la terre

De cause à effets, le magazine de l'environnement

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 58:55


durée : 00:58:55 - De cause à effets, le magazine de l'environnement - par : Aurélie Luneau - Les pratiques funéraires diffèrent selon les pays et cultures. Parmi elles, la terramation ou enterrement végétal, est pour l'heure interdite en Europe, mais semble répondre aux attentes d'une partie des citoyens prêts à retourner à la terre. Comment se définit la terramation ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Pierre Berneur Ingénieur, consultant -dans le domaine de la Responsabilité Sociale des Entreprises-. Co-fondateur et président de l'association Humo Sapiens.; Cléo Duponcheel Entrepreneure de pompes funèbres, membre du Collectif 'Les Morts de la Rue', Présidente de l'association 'Compostez-moi !', formatrice.; Martin Julier Costes Socio-anthropologue, chercheur indépendant et associé à l'Université Grenoble Alpes.

L’invité de l’économie
« Les fondamentaux de l'attractivité de la France sont toujours reconnus par les investisseurs » selon le consultant Nicolas Lioliakis

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 7:29


La France est-elle en train de perdre la confiance des investisseurs étrangers ? L'auteur du classement de l'attractivité des grandes économies, Nicolas Lioliakis, y répond et, bonne nouvelle, il semble plutôt optimiste !Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

01 Business Forum - L'Hebdo
La RFE, tournant pour les entreprises – 11/11

01 Business Forum - L'Hebdo

Play Episode Listen Later Nov 11, 2025 32:12


Mardi 11 novembre, Frédéric Simottel a reçu Damien Charrier, président du Conseil National de l'Ordre des Experts-Comptables, Bruno Vaffier, directeur général de Cegid, et Frédéric Genta, professeur à l'ESCP, président Europe d'Azura Partners, dans l'émission Tech&Co Business sur BFM Business. Retrouvez l'émission le samedi et réécoutez la en podcast.

L'entrepreneuriat, c'est du sport !
Renaud GHIA de TIXEO - La sécurité des communications, un enjeu stratégique pour toutes les entreprises

L'entrepreneuriat, c'est du sport !

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 35:06


L’invité de l’économie
COP 30 : L'importance capitale de la conférence de Belém dix ans après les accords de Paris

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 10, 2025 7:35


Elle démarre aujourd'hui au Brésil et s'étend sur onze jours. Neil Makaroff, expert des politiques climatiques européennes à la Fondation Jean Jaurès, nous détaille les enjeux de grande importance cette année de la conférence organisée par l'ONU. Retour sur les accords de Paris, actions à mener sur les dix prochaines années, menace de l'administration américaine : les sujets sont vastes. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les têtes d'affiches de Denise Epoté
Gayane Faye pour «Gaindesat-1A» et Wafa Rhallam pour «SmartGlobe»

Les têtes d'affiches de Denise Epoté

Play Episode Listen Later Nov 9, 2025 3:23


Comme chaque dimanche sur RFI, c'est l'heure de découvrir les Têtes d'affiches de Denise Epoté, cette semaine avec Arthur Ponchelet. Dans le palmarès cette semaine, deux innovateurs qui se distinguent par la qualité de leurs travaux, qui font de l'Afrique une terre d'excellence scientifique. Le premier est originaire du Sénégal. Diplômé de l'École nationale supérieure des mines et de la géologie avec une spécialité en physique mécanique, Gayane Faye est titulaire d'un doctorat en télédétection spatiale obtenue à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar. Il est le coordonnateur du projet Sensat qui a produit et exploité le premier satellite du Sénégal, « Gaindesat-1A ». Votre seconde tête d'affiche est originaire du Maroc. Ingénieur en construction, Wafa Rhallam est diplômée en génie mécanique et titulaire d'un master en entrepreneuriat de l'INSEEC à Paris. Elle a conçu « SmartGlobe », un logiciel d'informatique pour réduire la consommation et la facture d'énergie.

L’invité de l’économie
Des marchés relativement tièdes face à la nouvelle annonce d'OpenAI

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 6:30


La société qui est derrière ChatGPT a annoncé cette semaine la signature d'un contrat géant avec Amazon Web Services afin d'utiliser son cloud. Une nouvelle qui n'a pas engendré d'engouement particulier dans l'ensemble de l'IA de la tech et des marchés financiers. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vivre ailleurs
Le Volontariat international en entreprise fête ses 25 ans

Vivre ailleurs

Play Episode Listen Later Nov 7, 2025 6:57


Business France, la structure publique qui œuvre à l'internationalisation de l'économie française, a célébré cette semaine les 25 ans du Volontariat international en entreprise (VIE). Il s'agit d'un dispositif qui connecte les entreprises et les jeunes désireux de faire une mission professionnelle à l'étranger. Stéphane Alisse, directeur du programme VIE chez Business France, s'exprime.

Afrique Économie
Une levée de fonds record pour la start-up gabonaise Pozi

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 2:21


La start-up gabonaise Pozi a levé 650 000 euros début octobre, une première dans l'histoire du pays. Une levée de fonds rare dans un environnement où l'Afrique francophone reste largement en marge des investissements : en 2025, les États de la région ne devraient capter pas plus de 15% du total des financements destinés aux start-up du continent. « C'est un outil d'aide à la décision qui permet d'optimiser son exploitation de flottes. » C'est ainsi que Loïc Kapitho, cofondateur de Pozi, résume le concept de sa jeune entreprise. « Ce qui est nouveau dans notre approche, c'est le fait de proposer des tableaux de bord de manière, on va dire native, qui sont orientés plutôt décideurs, donc financiers- exploitants. Ce qui est nouveau, c'est que notre métier en général repose sur des profils un petit peu techniques, des geeks en entreprise qui vont faire du suivi en temps réel », décrypte-t-il. Pouvoir tracer ses véhicules et optimiser leurs déplacements, tout cela grâce à une interface simple d'utilisation ; voici le concept de Pozi, explique Loïc Kapitho. « On a un sujet de sécurité, on a un sujet de localisation, mais de plus en plus, c'est surtout un sujet d'optimisation. Un cas d'usage serait par exemple les chantiers qui grandissent. Vous avez de plus en plus de chantiers, des routes, des buildings qui nécessitent de l'agrégat, du sable. Et en règle générale, ce sont ces flux qu'on essaie d'optimiser pour être sûr qu'on n'a pas de perte en route, pour être sûr que les engins sont bien utilisés, avec un bon taux d'occupation sur les chantiers, pour être sûrs aussi qu'on n'a pas de surconsommation de tout ce qui va être carburant. Grâce aux datas collectées, en fait, on fournit aux financiers et aux décideurs des tableaux qui leur permettent d'être sûrs que leur exploitation est optimisée », poursuit le cofondateur. Avant d'en arriver là, c'est sur fonds propres que la start-up a fait ses débuts. Lever des fonds dans la région reste difficile, explique Loïc Kapitho : « C'est difficile parce qu'on n'a pas une culture du risque et de l'investissement dans la tech, en Afrique centrale. En règle générale, on est plutôt portés par les secteurs traditionnels. Ce sont des économies dites rentières, donc avec énormément de capitaux dans les infrastructures, dans le milieu d'extraction minière ou du pétrole. Et donc, en général, les investisseurs s'intéressent plutôt à ces gros projets d'infrastructures, des projets d'énergie, et très peu sont portés sur les startups. La difficulté réside dans le fait qu'il y a très peu d'acteurs, sinon aucun acteur spécialisé. Et donc, on a quasiment obligation d'aller regarder sur des marchés qui ont plus de latitude, plus de culture d'investissement dans la tech. L'Afrique de l'Ouest, à ce titre, a un peu plus de maturité. » Lever des fonds, un défi en Afrique centrale Sur le continent, quatre pays – le Kenya, le Nigeria, l'Afrique du Sud et l'Égypte – attirent près de 80% des financements. Il n'est pas simple pour les autres de tirer leur épingle du jeu, confirme Maxime Bayen, associé chez Catalyst Fund :  « Ce qui est étonnant, c'est la géographie, puisque c'est depuis 2019 la première startup au Gabon qui lève plus de 100 000 dollars de financement. Sur le cas spécifique du Gabon, en fait, c'est un petit marché, avec une taille de population et un PIB assez restreints par rapport au reste de l'Afrique. Et en fait, c'est ça qui est très corrélé avec le financement de startup. » Mais pour lui, le signal est positif : « Il faut une première startup, il faut une première levée de fonds qui va ensuite indiquer à d'autres fondateurs, à d'autres entrepreneurs que c'est possible. On peut être entrepreneur tech au Gabon et lever des fonds. C'est extrêmement encourageant et plutôt prometteur pour la suite. » Être implantée localement tout en ayant la capacité de développer son modèle à grande échelle a sans doute convaincu la société de capital-risque Saviu Fund d'investir dans Pozi.

L’invité de l’économie
Sommet du G7 en France : « Il est majeur pour nous d'occuper l'espace international » selon Véronique Torner, présidente du Numeum

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 7:51


Le syndicat va prendre la présidence du Tech7 qui représente les acteurs du numérique au sein des pays du G7. À cette occasion, sa présidente aborde les grands dossiers que Numeum souhaite faire avancer sous sa direction. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Jeunes Pousses : le rendez-vous de l'innovation positive et à impact
Accélérer la transition climatique : construire et évaluer les plans de transition des entreprises avec ACT® - Romane Delevoie (Ademe) et Simon Allain (Initiative ACT)

Jeunes Pousses : le rendez-vous de l'innovation positive et à impact

Play Episode Listen Later Nov 6, 2025 17:24


La transition écologique des entreprises est un enjeu majeur pour atteindre les objectifs climatiques fixés à l'horizon 2050. Mais par où commencer ? Quelles trajectoires suivre ? Et comment s'assurer que les efforts engagés sont vraiment à la hauteur des défis ?

La chronique de Benaouda Abdeddaïm
Le monde qui bouge - L'Interview : Les sanctions financières, outil géopolitique - 05/11

La chronique de Benaouda Abdeddaïm

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 6:01


Ce mercredi 5 novembre, Aurélien Zachayus, président d'AP Solutions IO, était l'invité d'Annalisa Cappellini dans Le monde qui bouge - L'Interview, de l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier. Ils ont notamment abordé les risques liés aux sanctions imposées par un pays aux entreprises et les décisions à prendre dans un tel contexte. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Aujourd'hui l'économie
Un an après la réélection de Donald Trump, qui paie vraiment ses taxes douanières?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 3:12


Un an après sa réélection, Donald Trump revendique une Amérique plus forte grâce à ses taxes douanières massives. Le président promettait que la Chine, l'Europe et les autres pays « paieraient » pour redresser l'économie américaine. Mais les chiffres montrent une tout autre réalité : ce sont bien les entreprises et les consommateurs américains qui supportent la facture. Lors de sa campagne, Donald Trump assurait vouloir « faire payer la Chine, l'Europe et tous ceux qui profitent de l'Amérique ». Selon lui, ces droits de douane ne coûteraient rien aux Américains. Le principe était simple : taxer les produits importés pour protéger les entreprises nationales, réduire le déficit commercial et financer des baisses d'impôts. Mais la réalité économique, elle, s'est montrée bien différente. En pratique, les exportateurs étrangers ne paient pas ces droits de douane. Ce sont les importateurs américains – distributeurs, industriels, commerçants – qui s'en acquittent auprès du Trésor. Et quand la facture devient trop lourde, elle finit par se répercuter sur les consommateurs. À lire aussiSur la piste d'une machine à café pour comprendre les effets des taxes douanières de Trump Les entreprises américaines en première ligne Les données du Peterson Institute for International Economics sont claires : jusqu'à l'été 2025, ce sont les entreprises américaines qui ont absorbé la plus grande part du coût de ces surtaxes, notamment dans la distribution, l'automobile et l'électronique. Les recettes douanières ont, elles, explosé, avec plus de 100 milliards de dollars encaissés par le gouvernement entre janvier et juillet 2025, contre seulement 70 milliards sur toute l'année 2024. Mais cet argent vient… des entreprises américaines elles-mêmes. Des géants comme Apple ou Nike ont tenté de maintenir leurs prix de vente stables, en réduisant leurs marges. Mais cet équilibre n'a pas tenu. Les coûts additionnels ont fini par être transférés aux consommateurs. Résultat : les prix à la consommation augmentent et le pouvoir d'achat recule. À lire aussiDroits de douane: Donald Trump gagne-t-il vraiment la guerre commerciale? Un impôt déguisé pour les ménages américains Les économistes de l'université de Yale estiment que ces taxes coûtent en moyenne 3 800 dollars par an à chaque ménage américain. Autrement dit, une nouvelle forme d'impôt indirect, qui pèse d'autant plus lourd sur les foyers modestes. Et le phénomène touche bien au-delà des produits importés. De nombreux biens estampillés made in USA sont, eux aussi, concernés, car leurs composants ou leurs pièces détachées proviennent de l'étranger. Presque tout ce qui est consommé sur le territoire est donc indirectement surtaxé. Donald Trump, lui, reste triomphant. Il affirme que sa politique « rapporte des milliards à l'Amérique ». Et c'est vrai que les recettes douanières devraient dépasser 300 milliards de dollars d'ici à la fin de l'année. Mais ces milliards proviennent avant tout du portefeuille des entreprises et des ménages américains. À lire aussiDroits de douane de Trump: pourquoi il est quasi impossible de les abandonner Une Amérique qui taxe le monde… mais se taxe elle-même En définitive, les taxes de Donald Trump frappent bien les importations du monde entier, mais ce sont les Américains qui passent à la caisse. Les droits de douane gonflent les recettes fédérales, tout en alimentant l'inflation et en grignotant le pouvoir d'achat. Le paradoxe est total : le président voulait faire payer les autres, mais un an après son retour au pouvoir, c'est l'Amérique elle-même qui paie la note.

Afrique Économie
Le Tchad nouveau bénéficiaire d'une garantie de ses importations prioritaires associant Proparco et Ecobank

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 2:14


L'annonce a été faite à Casablanca cette semaine, à l'occasion de la cinquième édition de l'Africa Financial Industry Summit (AFIS). Le Tchad entre dans un dispositif qui permettra d'assurer le financement des importations de première nécessité vers le pays sahélien. Une garantie offerte par Proparco aux opérations commerciales, financées par Ecobank Tchad. Avec en ligne de mire le développement des PME tchadiennes. L'enveloppe de Proparco, 10 millions d'euros renouvelables à chaque opération sur trois ans, servira à garantir le financement des importations indispensables aux entreprises tchadiennes. « Le Tchad a besoin d'importer énormément de produits, que ce soient des machines, des matières premières agricoles, de l'engrais, etc., souligne Djalal Khimdjee, directeur général délégué de cette filiale de l'Agence française de développement dédiée au secteur privé. L'objectif de ce type de financement, c'est de concentrer notre garantie sur les produits de première nécessité et les machines, pour que les PME se développent. » Aider les PME Partenaire de Proparco dans le dispositif, Ecobank sera l'interlocuteur des entreprises tchadiennes sur place. « La plupart du temps, elles doivent payer les importations en cash ou ne peuvent tout simplement pas se le permettre, explique le PDG de la banque panafricaine, Jeremy Awori. Avec cette facilité, on va regarder chaque demande, certaines dans l'agriculture, la santé, l'éducation, probablement dans les industries de la tech, et regarder comment l'entreprise s'en sort. » Rassurer les fournisseurs Cette garantie, créée en 2018, a déjà permis une centaine d'opérations dans quatre autres pays africains, dont la Guinée. Dans ce dernier pays, le dispositif a soutenu une PME de produits agricoles guinéenne qui voulait importer de l'emballage depuis l'Europe pour faciliter ses propres exportations. « Le fournisseur européen réclamait l'assurance d'un paiement avant d'expédier cet emballage, se rappelle le patron de la banque. Ecobank a émis la lettre de crédit au client guinéen, Proparco l'a soutenue avec une garantie de "trade finance". Cette combinaison a rassuré le fournisseur qui a expédié le produit. Et la PME l'a reçu sans avoir besoin de décaisser l'argent à l'avance. » Produits de première nécessité  La garantie, 125 millions d'euros renouvelables au total, a contribué à réduire le risque et donc le coût du financement des importations de riz au Liberia, mais aussi de rendre plus abordables les achats d'engrais et de médicaments pour le Malawi. D'autres pays d'Afrique devraient y être intégrés prochainement.

Le brief éco
Malgré la crise politique, les entreprises françaises restent bien cotées dans la presse internationale

Le brief éco

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 2:24


durée : 00:02:24 - Le brief éco - Les entreprises françaises du CAC 40 conservent une image globalement positive dans la presse internationale, selon un nouveau baromètre du "soft power" médiatique réalisé par pressrelations. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Inspiration RH avec Harmonie Mutuelle
Télétravail : un terrain propice aux addictions ?

Inspiration RH avec Harmonie Mutuelle

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 8:44


Télétravail, hyperconnexion, isolement… Les nouvelles formes d'organisation du travail modifient nos repères et peuvent favoriser l'apparition de comportements addictifs : écrans, nourriture, workaholisme ou consommation de produits. Entre prévention, accompagnement et repérage des signaux faibles, les entreprises ont un rôle clé à jouer pour protéger la santé de leurs collaborateurs et instaurer un équilibre durable entre performance et bien-être. Hervé Kercret, patient expert en addictologie, partage son expérience et ses conseils pour comprendre et prévenir ces nouvelles vulnérabilités.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

SMART IMPACT
L'art : outil de transformation des entreprises ?

SMART IMPACT

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 13:18


Introduire l'art dans les entreprises pour améliorer les conditions de travail des salariés et sensibiliser aux questions environnementales, ce sont les missions de Bail Art Projects et de l'association Artborescences. Ces deux organisations démontrent en quoi l'art peut faire partie des politiques RSE des entreprises. ----------------------------------------------------------------------- SMART IMPACT - Le magazine de l'économie durable et responsable SMART IMPACT, votre émission dédiée à la RSE et à la transition écologique des entreprises. Découvrez des actions inspirantes, des solutions innovantes et rencontrez les leaders du changement.

L’invité de l’économie
Succès des entreprises françaises à l'international : quel est le rôle des mécanismes des financement et garanties ?

L’invité de l’économie

Play Episode Listen Later Nov 5, 2025 8:21


Philippe Mills représente la face cachée du succès des entreprises françaises à l'international. Le directeur général de la SFILS (banque publique de développement) nous explique sa mission en coulisses dans le montage financier de ces gros contrats. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Grandes Gueules
La fermeté du jour - Charles Consigny : "Si on ne prenait pas sa retraite à 25 ans dans ces entreprises... je ne veux plus personne dans les bureaux en dessous de 50 ans. Crois-moi, il y aura de la sécurité dans les transports" - 03/11

Les Grandes Gueules

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 2:13


Aujourd'hui, Laura Warton Martinez, sophrologue, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.

Les Experts
Les Experts : France, une croissance en trompe-l'œil ? - 03/11

Les Experts

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 23:21


Ce lundi 3 novembre, les difficultés rencontrés par la croissance économique française et les conséquences du budget 2026 sur les entreprises ont été abordés par Markus Kerber, avocat et professeur de finances publiques à Berlin, Léonidas Kalogeropoulos, PDG de Médiation & Arguments, et Denis Payre, président de Nature & People First, dans l'émission Les Experts, présentée par Raphaël Legendre sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Aujourd'hui l'économie
Comment les géants du pétrole arrivent à tirer leur épingle du jeu, malgré la baisse des prix du brut?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 3:26


Malgré la baisse des cours du brut, les géants du pétrole continuent à enregistrer des bénéfices. La forte augmentation des quotas de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (Opep+) et l'anticipation d'un excédent d'offre ont pesé sur les cours. Et pourtant, TotalEnergies a vu son bénéfice net bondir de plus de 60 % au troisième trimestre, à 3,7 milliards de dollars. Comment le groupe français y est parvenu ? En augmentant les volumes. La production d'hydrocarbures du géant français a augmenté de plus de 4 %. Mais aussi en améliorant les marges grâce au raffinage en Europe. TotalEnergies est présent sur toute la chaîne de valeur du pétrole et du gaz, de l'extraction aux activités de raffinage. Si les cours mondiaux de l'or noir ont reculé entre juillet et septembre, les marges européennes sur le raffinage des carburants, elles, ont bondi de plus de 300 %. Et pour cause : l'embargo de l'Union européenne sur les importations de carburants issus du pétrole russe avait restreint l'offre au moment où la demande de diesel augmentait pendant la saison des départs en vacances. Les raffineries ont tourné à plein régime. Les dividendes distribués aux actionnaires Les marges ainsi engrangées permettent à TotalEnergies de choyer ses actionnaires. Et ce via le rachat d'actions qui permet d'accroître le bénéfice par action et soutenir le cours de l'entreprise en bourse. Après 2,3 milliards de dollars de rachats d'actions réalisés au troisième trimestre, un nouveau programme de rachat de titres jusqu'à 1,5 milliard de dollars a été annoncé par le groupe français fin septembre. Son concurrent britannique Shell a, lui aussi, annoncé de généreuses distributions à ses actionnaires, d'un montant nettement supérieur au français. C'est la production record au large des côtes brésiliennes qui a permis au groupe britannique d'augmenter ses bénéfices à 5,32 milliards de dollars. Bénéfices supérieurs aux attentes Pour ExxonMobil et Chevron, deux géants du secteur pétrolier aux États-Unis, des bénéfices supérieurs aux attentes grâce, une fois de plus, à une production record. Dans ce contexte, les pétroliers mettent un frein à leurs investissements. Selon le cabinet Wood Mackenzie, les investissements globaux des majors devraient reculer de 4 % en 2025, à un peu plus de 340 milliards de dollars. Moins d'investissements dans les énergies vertes Ce qui n'est pas sans conséquence pour la transition énergétique. C'est l'effet pervers de la baisse des cours du pétrole. Les grands groupes cherchent à préserver la rentabilité et la confiance des investisseurs aux dépens de leurs engagements en faveur des énergies renouvelables. Le groupe britannique BP, notamment, confirme avoir réduit de moitié ses financements bas-carbone. Cela inquiète les défenseurs du climat à une semaine de la COP30 qui s'ouvre au Brésil le 10 novembre prochain. 2024 a été une année la plus chaude jamais enregistrée depuis le début de l'ère industrielle.

Pascal Praud et vous
Donald Trump menace d'intervenir militairement au Nigéria et un déluge de taxes pour les grandes entreprises : L'Heure des Pros du 03/11/2025

Pascal Praud et vous

Play Episode Listen Later Nov 3, 2025 47:01


Chaque jour, entre 9h et 10h, retrouvez Pascal Praud dans L'Heure des Pros en direct sur CNews et Europe 1. Ce lundi, il s'intéresse à Donald Trump qui menace d'intervenir militairement au Nigéria et au déluge de taxes pour les grandes entreprises. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

8.30 franceinfo:
Taxe Zucman, ultrariches et entreprises... Le "8h30 franceinfo" de Gabriel Zucman

8.30 franceinfo:

Play Episode Listen Later Oct 31, 2025 23:24


durée : 00:23:24 - 8h30 franceinfo - Gabriel Zucman, économiste et directeur de l'Observatoire européen de la fiscalité, était l'invitée du "8h30 franceinfo", vendredi 31 octobre 2025. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.

Afrique Économie
Sénégal: les PME se disent étouffées par le système des compteurs électriques prépayés

Afrique Économie

Play Episode Listen Later Oct 30, 2025 2:19


Au Sénégal, le Premier ministre Ousmane Sonko a promis lundi 27 octobre une baisse prochaine des tarifs de l'électricité, face à la multiplication des plaintes sur la cherté de la vie. Au cœur des crispations : les compteurs d'électricité prépayés utilisés par 72% des clients de la Senelec, la société nationale d'électricité. Connus sous le nom de Woyofal, ils sont critiqués pour leur système de tarification opaque, jugé responsable de lourdes factures énergétiques. En première ligne, les petites et moyennes entreprises peinent à faire face.  De notre correspondante à Dakar, Dans le quartier populaire de Ouest Foire, à Dakar, Talabiou Kanté jette, l'air écœuré, des poulets, yaourts et autres produits glacés à l'arrière de sa boutique. « J'ai éteint le frigo pour faire des économies et certains produits sont gâtés, se lamente-t-il. C'est une grosse perte pour nous ». Censé aider les clients à maîtriser leur consommation au Sénégal, le compteur prépayé utilisé par le commerçant est au contraire devenu un gouffre financier : en un an, avec les mêmes équipements, sa facture énergétique a doublé. En rayon, le prix de ses volailles vient de flamber de quelques centaines de francs CFA. « Le client ne comprend pas que ça n'est pas notre faute si certains prix ont augmenté. C'est à l'État de nous aider parce que la souffrance, n'est pas que pour nous. La population aussi souffre. » Dans ce café du quartier résidentiel de Mermoz, la climatisation tourne en continu. Cette entreprise de taille moyenne peut se le permettre. Par chance, elle utilise encore les anciens compteurs de la Senelec, préservés de toute instabilité des tarifs. « Pour l'entreprise ici, on est gagnant parce que c'est stable : 1,5 million [francs CFA] en août 2024 et 1,5 million en août 2025 », se félicite Tété Diallo, cheffe comptable de la société, en consultant les factures, « Ça freine l'économie des PME et des startups ! » Sur les compteurs prépayés mis en cause, à l'inverse, la consommation est incontrôlable. Les kilowattheures s'épuisent à toute vitesse. Les recharger coûte cher. Une situation intenable pour les entrepreneurs. « Aujourd'hui, le moindre bénéfice qu'ils font, ils en profitent pour couvrir leurs charges, souligne Mohamed Diallo, secrétaire général de Noo Lank, collectif engagé contre la cherté de l'électricité. Ça freine l'économie des PME et des startups, car aujourd'hui, ils ne peuvent plus le supporter ! » La Senelec dément toute hausse des tarifs de l'énergie. Elle explique les lourdes factures par la consommation propre des usagers, en hausse face à la période de chaleur. Une version rejetée par Mohamed Diallo, qui réclame une tarification plus juste et transparente. « Il y a de la tension partout : le pouvoir d'achat des Sénégalais est menacé, il y a la problématique des finances publiques. Si on y ajoute la problématique de l'électricité, les Sénégalais ne peuvent plus tenir ! » Face à la colère et à l'incompréhension, la Commission de régulation du secteur de l'énergie (CRSE) a annoncé début octobre l'ouverture d'une enquête indépendante sur ces compteurs prépayés. Ses conclusions doivent être publiées prochainement. À lire aussiSénégal: le gouvernement veut baisser les prix de l'électricité, du gaz et du carburant sans aggraver la dette

Les Experts
Les Experts : Taxation, les grandes entreprises épinglées ? - 29/10

Les Experts

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 25:49


Ce mercredi 29 octobre, la hausse de la surtaxe votée par l'Assemblée sur les bénéfices des grandes entreprises, ainsi que les conséquences du budget 2026 sur l'économie française, ont été abordées par Guillaume Dard, président de Montpensier Arbevel, Emmanuel Combe, professeur à l'université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et à la Skema Business School, et Jean-Pierre Petit, président des Cahiers Verts de l'Économie, dans l'émission Les Experts, présentée par Ludovic Desautez sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Mon Carnet, l'actu numérique
{RÉFLEXION} - Stéphane Ricoul : l'IA et la valeur des entreprises

Mon Carnet, l'actu numérique

Play Episode Listen Later Oct 29, 2025 9:44


Stéphane Ricoul s'attaque à une question cruciale : l'intelligence artificielle crée-t-elle ou compresse-t-elle la valeur des entreprises ? Lorsque des tâches passent de 100 heures à 40 grâce à l'IA, comment redistribuer le gain : au client, au fournisseur ou à un acteur tiers ?

Les Experts
Les Experts : Taxation, les grandes entreprises épinglées - 28/10

Les Experts

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 25:40


Ce mardi 28 octobre, la surtaxe des bénéfices des entreprises a été abordée par Dany Lang, enseignant-chercheur en économie à Sorbonne-Paris Nord, Ronan Le Moal, fondateur d'Epopée Gestion, fonds d'investissements régional, et François Ecalle, fondateur de FipEco.fr, dans l'émission Les Experts, présentée par Ludovic Desautez sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.

Les journaux de France Culture
L'Assemblée nationale vote une surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises

Les journaux de France Culture

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 14:54


durée : 00:14:54 - Journal de 7 h - En plein examen sur la partie recettes du budget, le gouvernement a surpris en proposant cette surtaxe censée rapporter 2 milliards d'euros supplémentaires.

Le journal de 7h00
L'Assemblée nationale vote une surtaxe sur les bénéfices des grandes entreprises

Le journal de 7h00

Play Episode Listen Later Oct 28, 2025 14:54


durée : 00:14:54 - Journal de 7 h - En plein examen sur la partie recettes du budget, le gouvernement a surpris en proposant cette surtaxe censée rapporter 2 milliards d'euros supplémentaires.

L'info en intégrale - Europe 1
Projet du budget du RN : «Diminuer les impôts des entreprises et des particuliers, c'est relancer l'emploi» estime Laurent Jacobelli

L'info en intégrale - Europe 1

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 7:59


Invité : - Laurent Jacobelli, député de Moselle et porte-parole du Rassemblement national Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Aujourd'hui l'économie
Comprendre le rôle et l'influence des agences de notation dans la finance mondiale

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 24, 2025 3:07


Alors que Moody's s'apprête à rendre son verdict sur la note de la France, la question du pouvoir des agences de notation refait surface. Redoutées par les États, observées par les marchés, parfois critiquées pour leur opacité, ces institutions financières privées influencent toujours la confiance des investisseurs. Mais leur pouvoir est-il aussi grand qu'on le dit ? Imaginons un bulletin scolaire. Sauf qu'au lieu d'élèves, ce sont des entreprises, des collectivités ou des États qui y figurent. Les agences de notation, un peu comme des professeurs, attribuent une note de confiance : AAA pour les plus fiables, C pour ceux proches du défaut de paiement. Leur mission est simple, évaluer la capacité d'un emprunteur à rembourser sa dette. En clair, est-ce qu'on peut lui prêter sans prendre trop de risque ? Une bonne note, c'est un taux d'intérêt plus bas. Une mauvaise, un crédit plus cher. Pour les entreprises, c'est souvent une question de survie. Pour les États, c'est plus symbolique, mais pas toujours sans conséquence. Des notes médiatisées, mais souvent anticipées À chaque dégradation de note, comme celle que pourrait subir la France, les médias s'en emparent aussitôt. Mais dans les faits, les marchés financiers anticipent souvent ces décisions. La dernière baisse de la note française par Moody's n'a eu aucun effet visible sur les taux d'intérêt. Les investisseurs avaient déjà intégré la dégradation et relevé les taux bien avant l'annonce. Pourquoi alors tout ce bruit ? Parce que ces notes sont devenues un rituel médiatique. Faciles à comprendre – comme un bulletin d'école –, elles traduisent en une lettre la complexité d'une économie nationale. Cependant, si un pays change de catégorie de risque, les effets peuvent être beaucoup plus concrets : certains investisseurs institutionnels, contraints par leurs règles internes, cessent alors de prêter. Et c'est là que le cercle vicieux s'installe. Plus les taux montent, plus la dette coûte cher, et plus la note risque d'être encore abaissée. Un pouvoir réel, mais de plus en plus contesté Depuis la crise financière de 2008, la réputation des agences de notation a été sérieusement écornée. On leur reproche une opacité persistante, des méthodes contestées, et une tendance à amplifier les crises plutôt qu'à les prévenir, comme lors du cas grec au début des années 2010. Leur approche, souvent jugée trop marquée par des standards occidentaux, pose aussi problème. Sur le continent africain, plusieurs pays dénoncent des notations qui ne reflètent pas la réalité de leurs économies, tout en conditionnant leur accès aux marchés internationaux. Malgré ces critiques, le pouvoir des agences demeure. Elles continuent d'influencer les perceptions des investisseurs, des médias et parfois des politiques. Un pouvoir fondé moins sur la contrainte que sur la crédibilité qu'on leur accorde. Car dans la finance mondiale, la confiance reste la meilleure des notes.

7 milliards de voisins
Entreprendre en Afrique: financer les TPE, PME grâce aux diasporas

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 48:30


Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas.  Cette émission est une rediffusion du 21 juillet 2025.   Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch - Nelly Chaby, créatrice de Macajou entreprise de fabrication de macarons à base de produits locaux à Cotonou, Bénin.   Partie 2 : Financer les TPE, PME grâce aux diasporas - Felix Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et président de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) - Duplex Eric Kamgang, président et fondateur de Studely, société qui propose une solution complète à destination des étudiants afin de faciliter leur accès à l'enseignement supérieur français - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch.   Programmation musicale :  ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice) ► Abou Tall – Bats-toi (playlist).

7 milliards de voisins
Entreprendre en Afrique: financer les TPE, PME grâce aux diasporas

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 23, 2025 48:30


Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, financer les TPE, PME grâce aux diasporas.  Cette émission est une rediffusion du 21 juillet 2025.   Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch - Nelly Chaby, créatrice de Macajou entreprise de fabrication de macarons à base de produits locaux à Cotonou, Bénin.   Partie 2 : Financer les TPE, PME grâce aux diasporas - Felix Edoh Kossi Amenounve, directeur général de la Bourse Régionale des Valeurs Mobilières (BRVM) et président de l'Association des Bourses Africaines (ASEA) - Duplex Eric Kamgang, président et fondateur de Studely, société qui propose une solution complète à destination des étudiants afin de faciliter leur accès à l'enseignement supérieur français - Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch.   Programmation musicale :  ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice) ► Abou Tall – Bats-toi (playlist).

7 milliards de voisins
Comment faire face à l'incompétence de son patron?

7 milliards de voisins

Play Episode Listen Later Oct 21, 2025 48:30


Savoir prendre des décisions, communiquer, encourager l'innovation et la créativité, déléguer, fédérer son équipe... Cette liste non exhaustive énumère les qualités d'un bon manager. Pourtant, certains managers semblent parvenir au sommet de la hiérarchie sans en avoir aucune. Ce phénomène a même un nom aux racines grecques, la «kakistocratie», que l'on pourrait traduire par «la direction par les incompétents». Un management par le pire qui a de multiples manifestations et de nombreuses conséquences au sein des organisations. Car l'incompétence des chefs se répercute inévitablement sur leurs collaborateurs : surcharge de travail pour compenser, perte de confiance, frustration, manque de motivation... D'un autre côté, le poste de manager semble faire de moins en moins rêver. Selon une étude du cabinet anglais Robert Walters, publié en 2024, 52% de la génération Z (15-30 ans) ne veut pas être manager. Une tendance qui pourrait peut-être expliquer la mise en place de ces «kakistocraties», car si les bons éléments ne veulent pas diriger, il ne restera que les médiocres... Comment faire revenir la compétence au sommet ? Et comment parvenir à dialoguer avec sa direction même quand elle a des lacunes ?   Cette émission est une rediffusion du 2 juin 2025. Avec : ►Gaël Chatelain-Berry, écrivain et podcasteur. Auteur de Mon boss est nul mais je le soigne ! Comment transformer le pire patron en manager bienveillant (First, 2025). Créateur du podcast Happy work sur le bien-être au travail ►Isabelle Barth, professeure agrégée de l'Université de Strasbourg en Science de gestion, chercheuse en science du Management, conférencière et autrice de La Kakistocratie ou le pouvoir des pires (Éditions EMS, 2024).   Programmation musicale : Jahkasa - Kakistrocratie Kazy Lambist et Lulu Gainsbourg - L'Intranquillité.  

Aujourd'hui l'économie
Plénum 2025 du Parti communiste chinois: quels enjeux pour l'économie de la Chine?

Aujourd'hui l'économie

Play Episode Listen Later Oct 20, 2025 3:45


Alors que s'est ouvert à Pékin le quatrième plénum du Parti communiste chinois, le pays fait face à une croissance en berne et à des défis économiques majeurs. Durant quatre jours, les dirigeants du parti doivent poser les bases du prochain plan quinquennal, feuille de route stratégique pour la période 2026-2030. Depuis ce lundi, les quelque 370 membres du Comité central du Parti communiste chinois sont réunis à huis clos à Pékin pour une session décisive. Ce plénum, quatrième depuis le Congrès de 2022, doit définir les grandes orientations économiques du pays. Mais l'ambiance n'est pas à l'euphorie. Les chiffres publiés dans la nuit sont mauvais - une croissance de seulement 4,8% au troisième trimestre, le rythme le plus faible depuis un an. La Chine n'est plus dans la phase d'expansion triomphante qu'elle a connue dans les années 2000. La croissance, autrefois à deux chiffres, devrait plafonner entre 5 et 6% en 2026, selon les projections officielles. Les investissements directs étrangers se sont effondrés de près de 30% en 2024, la crise immobilière continue d'asphyxier les finances locales, et le chômage des jeunes reste élevé. À cela s'ajoute la guerre commerciale relancée par Donald Trump, qui pèse lourdement sur les exportations. Dans ce contexte, Xi Jinping doit prouver que le Parti garde la main et, surtout, qu'il a un plan pour relancer la deuxième économie mondiale. Ce plénum doit poser les fondations du 15ᵉ plan quinquennal chinois, qui couvrira la période 2026-2030. À lire aussiLa guerre commerciale de Donald Trump redessine les exportations chinoises Trois axes pour relancer la machine chinoise Le premier objectif, c'est la relance de la consommation intérieure. Les Chinois épargnent beaucoup et consomment peu. Pour Pékin, il faut désormais stimuler la demande des ménages afin de soutenir une croissance plus équilibrée. Aujourd'hui, les exportations restent le principal moteur de richesse, un modèle risqué dans un contexte international incertain. Deuxième axe : la modernisation industrielle et technologique. Le Parti mise sur les secteurs stratégiques - semi-conducteurs, robotique, biotechnologie et surtout intelligence artificielle. L'idée est claire : devenir autosuffisant et sécuriser les chaînes d'approvisionnement pour faire face aux États-Unis, qui multiplient les restrictions sur les technologies sensibles. Enfin, troisième priorité : la transition écologique. Paradoxalement, Pékin est à la fois premier émetteur mondial de CO₂ et leader mondial du solaire et des batteries électriques. L'économie verte est perçue comme le nouveau moteur industriel chinois, à la fois pour des raisons environnementales et géopolitiques. Des précédents historiques et un modèle à réinventer Les plénums ont toujours joué un rôle crucial dans l'histoire économique de la Chine. Le plus célèbre reste celui de décembre 1978, où Deng Xiaoping lança la politique de la « porte ouverte » : introduction de la propriété privée, ouverture aux investissements étrangers et création des zones économiques spéciales. Ce tournant marqua l'entrée de la Chine dans l'économie mondiale, jusqu'à devenir, en quelques décennies, la deuxième puissance mondiale. Autre moment clé : le plénum du début des années 1990, qui posa les bases de la restructuration des entreprises d'État et prépara l'adhésion à l'Organisation mondiale du commerce, intervenue en 2001. Mais aujourd'hui, le modèle chinois montre ses limites. La planification, qui a fait le succès du pays, se heurte à une conjoncture plus complexe : endettement élevé, consommation en berne, démographie déclinante et rivalité stratégique avec les États-Unis. Le défi de Xi Jinping est immense : relancer la croissance sans creuser la dette, restaurer la confiance des ménages sans relâcher le contrôle du Parti, et maintenir la compétitivité industrielle sans déclencher de nouvelles guerres commerciales. Ces quatre jours de plénum seront donc scrutés de près. Car si, dans le passé, ces réunions étaient souvent synonymes de rupture et de réinvention, celle-ci pourrait bien être celle d'une Chine en mutation, cherchant un nouvel équilibre entre puissance, stabilité et modernité. À lire aussi«Plenum» du Parti communiste en Chine: Pékin se cherche un nouveau cap économique

Entendez-vous l'éco ?
La lente adoption de l'IA dans les entreprises européennes

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later Oct 15, 2025 5:45


durée : 00:05:45 - Le Journal de l'éco - par : Anne-Laure Chouin - Alors que l'on assiste à un emballement des innovations et applications dans les entreprises américaines, l'Europe qui a fait le choix de la régulation voit ses entreprises adopter les outils d'IA bien plus lentement. Une entreprise sur dix en utilise quand les autres tardent à poser un cadre.

Entendez-vous l'éco ?
Brève histoire de la politique de l'offre : les aides aux entreprises, béquilles du capitalisme français

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 25:53


durée : 00:25:53 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Dans "Toujours moins ! L'obsession du coût du travail ou l'impasse stratégique du capitalisme français" (éd. La Découverte, octobre 2025), Clément Carbonnier s'intéresse aux raisons et aux conséquences de la stratégie d'abaissement du coût du travail opérée en France depuis les années 1980. - réalisation : Sorj Leroy - invités : Clément Carbonnier Professeur d'économie à l'université Paris 8, Vincennes-Saint Denis, co-directeur de l'axe "Politiques socio-fiscales" du LIEPP (Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques)

Entendez-vous l'éco ?
Spéciale Prix Nobel d'économie 2025 // Politique fiscale : les aides aux entreprises, béquilles du capitalisme français

Entendez-vous l'éco ?

Play Episode Listen Later Oct 13, 2025 58:47


durée : 00:58:47 - Entendez-vous l'éco ? - par : Aliette Hovine - Comme chaque semaine, zoom sur l'actualité avec l'annonce ce 13 octobre du prix Nobel d'économie 2025. Nous poursuivons ensuite notre histoire de la politique de l'offre (ép. 2/2) avec Clément Carbonnier, qui s'intéresse à l'abaissement du coût du travail opéré en France depuis les années 1980. - réalisation : Sorj Leroy - invités : Béatrice Cherrier Historienne de l'économie, directrice de recherche au CREST et à l'Ecole Polytechnique; Clément Carbonnier Professeur d'économie à l'université Paris 8, Vincennes-Saint Denis, co-directeur de l'axe "Politiques socio-fiscales" du LIEPP (Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques); Sylvie Rivot Professeur des université à l'Université de Haute-Alsace (Mulhouse) et membre du laboratoire de recherche BETA à Strasbourg; Céline Antonin Economiste senior à l'OFCE; Guillaume Vallet Professeur en sciences économiques à l'Université Grenoble Alpes