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Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'Union des Entreprises de Proximité le 25 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à un marché du travail où les seniors peinent à trouver leur place, les invités de Marie Guerrier se questionnent pour transformer les défis de l'emploi des plus de 50 ans en opportunités. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à un marché du travail où les seniors peinent à trouver leur place, les invités de Marie Guerrier se questionnent pour transformer les défis de l'emploi des plus de 50 ans en opportunités. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Face à un marché du travail où les seniors peinent à trouver leur place, les invités de Marie Guerrier se questionnent pour transformer les défis de l'emploi des plus de 50 ans en opportunités. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne émission de Philippe Meyer, enregistrée en public à l'Union des Entreprises de Proximité le 25 mai 2025.Avec cette semaine :Jean-Louis Bourlanges, essayiste.Béatrice Giblin, directrice de la revue Hérodote et fondatrice de l'Institut Français de Géopolitique.Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien helvétique en ligne Blick.Lionel Zinsou, ancien Premier ministre du Bénin et président de la fondation Terra Nova.Les défis liés aux Frères musulmans, au narcotrafic, à l'immigration et à l'insécurité peuvent-ils être sérieusement relevés ou sont-ils condamnés à former la base de slogans électoraux ?Narcotrafic, insécurité, immigration, Frères musulmans, les défis ne manquent pas d'alimenter le débat public en France. Quasi-consensuelle, la proposition de loi visant à lutter contre le trafic de drogues a été définitivement adoptée par le Parlement, le 29 avril. Un succès pour le gouvernement, dont le projet a obtenu un large soutien des députés. Seuls quelques élus de gauche ont voté contre cette loi qui prévoit notamment un régime de détention strict pour les narcotrafiquants, l'anonymisation des agents pénitentiaires et la création en janvier 2026 d'un parquet national anti criminalité organisée, compétent sur les dossiers les plus graves et complexes sur le modèle du parquet national antiterroriste.Suscitant au contraire la controverse, l'ancien ministre de l'Intérieur adressé un tableau très noir de l'insécurité en France. Selon lui, « il n'y a plus de lieux safe » dans le pays : quartiers, centres-villes, périphéries urbaines, villages, lieux de culte, écoles, transports en commun, terrains de sport, une violence exacerbée et décomplexée touche l'ensemble de notre pays, en dépit des multiples lois votées sur la sécurité depuis vingt ans.Sur le défi de l'immigration, devenu une des questions centrales du débat national, l'essayiste Hakim El Karoui vient de réaliser un rapport pour Terra Nova intitulé « Les travailleurs immigrés. Avec ou sans eux ? » soulignant que « dans un contexte de vieillissement démographique » et avec les enjeux de renouvellement de la population active qui lui sont associés, « le recours à la main-d'œuvre étrangère sera décisif dans les années et qui viennent ». Réfutant la note de Terra Nova, le directeur de l'Observatoire de l'immigration et de la démographie assure dans le Figaro que la France n'a pas besoin de plus d'immigration.Autre défi, « Les Frères musulmans et l'islamisme politique en France », ont fait l'objet un rapport présenté mercredi lors d'un Conseil de défense à l'Élysée. Réalisé au premier semestre 2024 par un diplomate et un préfet, il décrit « un important réseau d'implantations », listant « 139 lieux de cultes affiliés aux Musulmans de France » et 55 proches de cette fédération, soit « 7% des 2.800 lieux de culte musulmans répertoriés sur le sol national », accueillant « en moyenne 91.000 fidèles le vendredi ». Pour les auteurs, « le danger d'un islamisme municipal, composite au plan idéologique mais très militant, avec des effets croissants dans l'espace public et le jeu politique local, apparaît bien réel ». Depuis sa publication, le document alimente un vif débat. Si l'anthropologue Florence Bergeaud-Blacker, chargée de recherche au CNRS, se félicite d'une « prise de conscience » salutaire, d'autres spécialistes dénoncent un usage politique du rapport et décrivent un mouvement en déclin, aussi bien à l'extérieur de nos frontières qu'à l'intérieur.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Cette semaine, les PME face au manque de données sur les marchés. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Raymond, fondateur et dirigeant de Jokosun Energies, entreprise de services d'accès à l'électrification de pirogues ou de bateaux à Dakar, Sénégal. Partie 2 : les PME face au manque de données sur les marchés- Serigne Barro, directeur général de P_i group qui regroupe trois entreprises spécialisées dans la digitalisation : People input (fournisseur d'innovation), Voice Africa (agence de communication) et dentsu (agence média). - Hadiatou Barry, présidente du groupe Akiba Finance, une banque digitale, Conakry, Guinée- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Domebi - Santrofi► Après Minuit - Wizkid & Tiakola.
Ce jeudi 22 mai, le nouveau statut d'ETI européen, un grand pas en avant dans la démarche de simplification de la vie des entreprises, a été abordé par Christian de Bossieu, professeur à Paris 1 Panthéon-Sorbonne, membre du Cercle des Économistes, Gilbert Cette, professeur d'économie à Néoma Business School, et Robin Rivaton, président de Stonal, dans l'émission Les Experts, présentée par Laure Closier sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
(00:00:37) La Pologne déploie son parapluie électoral contre la déstabilisation en ligne (00:05:33) Les entreprises doivent s'adapter aux nouvelles générations: interview Elodie Gentina (00:13:44) Le Mali est-il en train de basculer dans la dictature ?
Après d'autres patrons, l'homme le plus riche de France, Bernard Arnault, est auditionné ce mercredi par la Commission d'enquête du Sénat sur les aides publiques accordées aux grandes entreprises. Le PDG de LVMH qui avait fait une sortie remarquée en début d'année à propos du montant des impôts sur les sociétés, dénonçant une « taxe sur le made in France » qui « pousse à la délocalisation ». À quel point est-il difficile de lancer son activité en France ? Le salariat est-il favorisé par rapport à l'entrepreneuriat ? Cette culture peut-elle évoluer ? Pour en débattre :- Nadine Levratto, économiste et directrice de recherches au CNRS à l'Université Paris Nanterre- Philippe Mutricy, économiste, directeur des Études de Bpifrance.- Paul Grédigui, entrepreneur de 27 ans. Il a créé en octobre 2022 avec Martin Besnier une start-up, Holis, une société spécialisée dans le développement de solutions logicielles dédiées à l'analyse de cycle de vie (ACV). Grâce à une plateforme interactive, il mesure l'impact des produits sur l'environnement. Ils sont actuellement 18 salariés qui forment une équipe pluridisciplinaire composée d'ingénieurs en ACV, de développeurs full-stack, de data scientists et de spécialistes en réglementation environnementale.
Thibaut Victor-Michel, président de Novartis France, revient sur la volonté de Donald Trump de réduire de 30 à 80% le prix des médicaments aux Etats-Unis, et analyse les répercussions possibles d'une telle mesure sur l'industrie pharmaceutique et le marché européen.Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Charles Consigny, Zohra Bitan et Frédéric Farah débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
A l'occasion du huitième sommet de Choose France, Pascal Cagni, président du conseil de l'administration de Business France, met en lumière les avantages dont dispose l'Hexagone sur la scène internationale. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Que sont devenues les entreprises nées durant la période covid ? 5 ans après, BNP fait le bilan. Pour atteindre l'objectif européen de neutralité carbone d'ici 2050, une vaste rénovation du parc immobilier sera indispensable. Sébastien Buron partage son entretient avec Isabelle Mateos y Lago , la nouvelle économiste en chef de BNP Paribas. L'expert boursière Caroline Palumbo analyse les piètres résultats des marchés financiers. Bonne écoute !
François Monnier, directeur de la rédaction d'Investir, analyse la volonté de Donald Trump de faire baisser le prix des médicaments de 30 à 80% aux Etats-Unis. Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Selon le baromètre EY 2025, la France reste le pays européen le plus attractif pour les investisseurs étrangers. Mais derrière ce leadership affiché se cachent des signaux d'alerte. Moins de projets, tensions sur les coûts, et attentes fortes des entreprises en matière de stabilité et de simplification. Décryptage. Pour bien comprendre la position française, il faut d'abord élargir la focale à l'échelle européenne. En 2024, l'Europe a connu son plus faible niveau d'investissements directs étrangers (IDE) depuis neuf ans. Une contraction nette, causée par la faible croissance de la zone euro, la montée des tensions géopolitiques et l'essor des barrières commerciales. Pendant ce temps, les États-Unis poursuivent leur ascension. Leurs IDE y ont bondi de 20 %, portés par une croissance dynamique et une politique industrielle ambitieuse. En comparaison, les pays de l'Union européenne apparaissent fragilisés. Une France toujours en tête, mais sous pression La France reste pourtant en haut du podium européen pour la sixième année consécutive. Elle conserve ainsi son statut de pays le plus attractif du continent. Mais ce classement cache une réalité plus nuancée. Le nombre de projets d'investissements étrangers y a chuté de 14 % en un an. Résultat : moins de créations d'emplois et un essoufflement qui inquiète. Les raisons de cette baisse sont bien identifiées par les investisseurs : coût du travail trop élevé, prix de l'énergie dissuasif, complexité administrative, accès limité au foncier industriel, et manque de robotisation dans certaines filières. Autant de défis à relever pour redonner de l'élan à la dynamique économique. À lire aussiComment expliquer les difficultés de l'industrie européenne?Des atouts solides… et des attentes tout aussi fortes Face à ces fragilités, la France peut heureusement compter sur de solides atouts. Elle possède un grand marché intérieur – 67 millions de consommateurs –, des pôles scientifiques reconnus, des universités de qualité, des infrastructures performantes, une main-d'œuvre qualifiée et une qualité de vie qui séduit. Certains secteurs restent particulièrement porteurs, comme l'intelligence artificielle, les énergies renouvelables ou encore l'agroalimentaire. À l'inverse, l'industrie – notamment la chimie et l'automobile – subit de plein fouet les pressions sur les coûts. Les investisseurs internationaux attendent aujourd'hui un rétablissement de la confiance, une stabilité politique et budgétaire renforcée, et un accompagnement plus clair des pouvoirs publics. La dissolution de l'Assemblée nationale il y a près d'un an a laissé des traces. Enfin, pour faire face à la concurrence américaine, les chefs d'entreprise appellent à une véritable stratégie industrielle européenne. Ils demandent davantage de coordination à l'échelle des 27, qu'il s'agisse de réglementation ou de soutien financier. L'objectif : éviter que l'Europe ne joue en ordre dispersé, et perde du terrain face aux géants mondiaux. À lire aussiBudget 2025: la France à la veille d'une crise d'ampleur?
Garoua est l'une des plus grandes villes du Cameroun. Située dans le septentrion, à près de 1 000 km de la capitale Yaoundé, le chômage y est un réel défi. Certains se tournent vers l'entrepreneuriat. Ce qu'essaient de promouvoir les autorités à travers la politique d'import-substitution : produire localement plutôt que d'importer. Un pari qu'a fait Madame Kaltoumi dans sa petite coopérative qui s'est lancée dans la production de yaourts. Coup de projecteur sur cette entrepreneuse de Garoua. De notre envoyée spéciale à Garoua,« On est ici dans la salle de production. Là, on est en train de fabriquer le yaourt », présente madame Kaltoumi épouse Boubakari, transformatrice du lait. Elle nous invite à rentrer dans sa petite unité de production. À la manœuvre, Raphaël. Charlotte sur la tête et gants en latex, il remue le lait dans un bac en plastique. « Je suis en train de transformer le lait en yaourt. Il va nous falloir peut-être 4 h de temps maximum pour remplir les bouteilles puis on les chargera », détaille-t-il tout en continuant à touiller.Kaltoumi est une trentenaire, d'origine peule : « Le lait, c'est dans notre culture. Déjà petite, je savais comment faire de façon familiale. Je fermentais souvent le lait. Alors, je me suis dit pourquoi ne pas en faire un business qui peut, peut-être nous rapporter », se souvient-elle. Elle débute chez elle, produit à petite échelle, puis s'associe avec d'autres femmes en Groupe d'Initiative Commune. « J'avais commencé à la maison chez moi. Et après quelques années, on s'est constitué en GIC avec d'autres femmes parce que ça marchait. On n'a fait qu'augmenter [les quantités produites]. Le sachet de 500 francs et maintenant, c'est dans des bouteilles. Et on livre partout dans Garoua jusqu'à Maroua », explique-t-elle fièrement.De sens de l'entrepreneuriat, elle n'en manque pas. « Je me suis formée sur le net sur la fabrication du yaourt. Et il y a des formations que l'État a faites auxquelles j'ai participé. Dès qu'il y a une formation, je fais en sorte d'y participer », souligne l'entrepreneuse.Des freins au développementMais très vite la demande la dépasse. Dans le cadre de la Stratégie de développement du secteur rural du Cameroun, soutenu par le programme Acefa, de l'Agence française de développement, la productrice reçoit une aide financière de 6 millions de FCFA. Elle lui permet d'investir dans des frigos et d'avoir des locaux dédiés à la production. La façade du petit bâtiment affiche fièrement « Botte Kossam » – « le bienfait du lait ».Aujourd'hui, sa petite équipe de dix personnes produit 500 litres de yaourts par jour qui sont livrés dans les restaurants, les supermarchés ou des petites boutiques. Déjà, elle pense à la prochaine étape : investir dans des machines. « On est en train de voir puisque actuellement, on ne peut pas produire plus. C'est déjà le travail de toute une journée de 7h à 19h pour produire la quantité avec l'équipe que l'on a, décrit-elle. On est en train de penser à trouver certaines machines qui peuvent faciliter et qui va nous permettre d'augmenter la quantité produite parce qu'il y a quand même la demande. Avec la production de 500 litres, on n'arrive pas à satisfaire le marché. »Un développement qui ne va cependant pas de soi. Malgré des démarches auprès de plusieurs organismes de prêts, la petite coopérative ne parvient pas pour l'instant à obtenir les financements nécessaires.À lire aussiAu Cameroun, un engrais liquide bio cartonne et attire des centaines de planteurs
Marc Lhermitte, associé chez EY Consulting, présente en exclusivité sur Radio Classique le baromètre de l'attractivité de la France pour 2025Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec : Périco Légasse, journaliste. Yael Mellul, ancienne avocate. Et Juliette Briens, journaliste à L'Incorrect. - Après le succès d'audience rencontré cette année, Estelle Denis repart pour une nouvelle saison. Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs… En simultané sur RMC Story.
J'ai demandé à NotebookLM de revenir sur deux études qui confirment l'avancement des entreprises canadiennes en matière d'IA. Pour AWS, l'IA générative devance désormais la cybersécurité dans les budgets TI, avec un taux d'adoption de 89 %. IBM révèle que 72 % des PDG canadiens utilisent des agents d'IA et créent de nouveaux postes, malgré des défis d'implantation. L'ensemble reflète une transformation accélérée du monde du travail. Plus de détails : www.moncarnet.com
Ce mercredi 7 mai, Lorraine Goumot a reçu Nicolas Doze, éditorialiste BFM Business, Laurent Grassin, directeur des médias chez Boursorama, Karen-Laure Mrejen, fondatrice de Swaive, Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l'analyse des marchés chez eToro, Louis de Fels, DG chez Gay-Lussac Gestion, David Renan, trader, investisseur et formateur sur DR Bourse, Alain Pitous, senior Advisor ESG, Paul Bureau, directeur de l'offre Actifs numériques à la Banque Delubac & Cie, Nicolas Villet, directeur de BNP Paribas Épargne Retraite & Entreprises, et Romain Joudelat, fondateur de GreenPeak, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi 7 mai, Lorraine Goumot a reçu Antoine Fraysse-Soulier, responsable de l'analyse des marchés chez eToro, Louis de Fels, DG chez Gay-Lussac Gestion, David Renan, trader, investisseur et formateur sur DR Bourse, Alain Pitous, senior Advisor ESG, Paul Bureau, directeur de l'offre Actifs numériques à la Banque Delubac & Cie, Nicolas Villet, directeur de BNP Paribas Épargne Retraite & Entreprises, et Romain Joudelat, fondateur de GreenPeak, dans l'émission Tout pour investir sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 6 mai, la chute du marché européen de l'automobile, ainsi que les normes et les réglementations imposées dans le secteur, ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mardi 6 mai, la chute du marché européen de l'automobile, ainsi que les normes et les réglementations imposées dans le secteur, ont été abordées par Nicolas Doze dans sa chronique Doze d'économie dans l'émission Tout pour investir présentée par Lorraine Goumot sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Toujours accompagnée de Rémy Barret et sa bande, Estelle Denis s'invite à la table des français pour traiter des sujets qui font leur quotidien. Société, conso, actualité, débats, coup de gueule, coups de cœurs, sexo… En simultané sur RMC Story.
Les têtes d'affiches de Denise Epoté de TV5 Monde, comme chaque dimanche sur RFI, aujourd'hui avec Pierre Boudias. Notre première tête d'affiche est originaire de Zambie, Chilufya Mutale-Mwila est la co-fondatrice de «eShandi», une plateforme qui, depuis 2019, s'appuie sur l'intelligence artificielle pour évaluer la solvabilité des personnes non bancarisées. La Fintech propose également ses services au Zimbabwe, au Kenya et en Afrique du Sud. Notre seconde tête d'affiche, est elle originaire du Ghana. Titulaire d'un bachelor en génie informatique obtenu à l'université panafricaine du Ghana, Anaporka Adazabra est également diplômée de l'Institut de technologie d'Accra. Sa start-up phare, «Farm.IO Limited» propose des solutions numériques pour révolutionner l'agriculture en vue d'assurer la productivité et la durabilité.
Pillages, spoliation d'entreprises, banques à l'arrêt. La guerre a paralysé les activités économiques de l'est de la RDC. Les entrepreneurs espèrent beaucoup des pourparlers en cours à Washington. Le Rwanda et la RDC se sont donnés jusqu'au vendredi 2 mai pour parvenir à un projet d'accord de paix. Près de 90 entreprises qu'il accompagne ont mis la clé sous la porte à Bukavu, dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC). Jean-Paul Lokumu, consultant en entrepreneuriat, constate l'abattement et le sentiment d'abandon des patrons dans une région coupée du monde : « Lorsqu'il n'y a plus de liaisons aériennes, lorsque les banques ne fonctionnent plus, on ne peut même pas parler de climat des affaires pour le moment. »Appel aux financements, même sans les banquesJean-Paul Lokumu se fait le porte-voix des patrons des Kivu, qui espèrent une paix rapide. En attendant, ils demandent de l'aide : « Je fais appel aux ONG, aux structures de financement pour venir à notre rescousse. Même si les banques sont fermées, il y a la possibilité de travailler sur la résilience, de trouver une solution pour ces entrepreneurs. En tout cas, ils sont vraiment dans le besoin. » L'amélioration du climat des affaires, c'est un des crédos de l'exécutif congolais ces derniers mois. Lors d'un forum à Casablanca la semaine dernière, le ministre de l'Économie nationale, Daniel Mukoko Samba a invité les entrepreneurs étrangers à investir en RDC.Mi-avril, Thierry Katembwe, conseiller du président de la République Félix Tshisekedi, était, lui aussi, à Paris pour convaincre des entreprises françaises d'investir dans le pays. « La démarche est assez claire quand on sait que le pays va finir par être pacifié. On sait que tout est une question d'économie, tout est une question d'opportunités, insiste-t-il sous les ors de l'ambassade de RDC en France.Accor veut un hôtel à Goma« Aujourd'hui, on dit à tous ces investisseurs "Venez directement en RDC". On est en train de mettre en place une plateforme énorme pour que les différentes multinationales s'y retrouvent. On est très heureux aujourd'hui d'avoir des grosses boîtes françaises, les plus grosses boîtes américaines qui sont déjà engagées et donc on en veut encore plus ».Le Nord-Kivu intéresse toujours le groupe hôtelier français Accor qui a un projet d'hôtel Ibis Style à Goma. « Notre partenaire local a une parfaite lecture des dynamiques de développement que va connaître sa ville dans les années à venir. Il croit fortement à son potentiel et il faut se projeter, assure Réda Faceh, vice-président en charge du développement en Afrique centrale d'Accor. Il est clair qu'à l'instant T, c'est un peu compliqué, mais on est optimiste. La ville va connaître un dénouement heureux et c'est ce qu'on lui souhaite. On espère justement pouvoir développer très prochainement un hôtel, voire plusieurs à Goma, qui reste quand même une ville d'une taille assez importante ». La RDC cherche toujours à diversifier son économie. Mais c'est bien autour de ses précieux minerais critiques qu'un accord avec les États-Unis est en train d'être concoctéÀ lire aussiTrump, les 100 jours: les Grands Lacs et Donald Trump, diplomatie et business intimement liés À lire aussiRDC: début de l'évacuation de militaires et policiers congolais protégés par la Monusco à Goma
Fabrice Bonnifet est une figure de la RSE en France. Patron du C3D, le collège des directeur du développement durable, il vient de lancer "Gen Act", une association qui réunit pour la première fois toutes celles et ceux qui veulent transformer les entreprises de l'intérieur afin de les rendre compatibles avec les limites planétaires. Objectif : faire basculer les modèles d'affaires. "Au bout d'un moment, ce sera tellement ringard de rester sur le monde d'avant que tout le monde va s'y mettre !", n'hésite-t-il pas à prédire. Alors, que sont ces entreprises à visée régénérative ? Que propose Gen Act pour ses membres afin de leur permettre de monter en compétence ? Réponse dans ce podcast. Bonne écoute avec Impact Positif.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amazon célèbre ses 25 ans en France. L'occasion de revenir sur son impact économique avec la création de 25 000 emplois et un investissement de 25 milliards d'euros. L'entreprise a transformé l'accès aux produits pour les Français, peu importe la localisation. Elle fait face à des défis internationaux, notamment les droits de douane américains et la concurrence croissante des sites chinois comme Shein et Temu. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Quand Olivier Le Blainvaux crée Technofounders, il ne cherche pas simplement à lancer une startup mais souhaite bâtir un modèle capable de transformer des travaux de recherches scientifiques en entreprises solides, rentables et utiles à la société.Son constat est simple : la France regorge de chercheurs brillants, mais leurs innovations restent trop souvent confinées dans les laboratoires.Avec Technofounders, il veut accélérer leur passage vers le monde réel, en apportant aux chercheurs les compétences entrepreneuriales et les moyens financiers nécessaires pour développer leurs technos.Mais avant d'en arriver là, Olivier trace un parcours impressionnant : il passe par Polytechnique, rejoint ensuite McKinsey, puis entre chez Rocket Internet, un startup studio international, où il passe près de trois ans. C'est là qu'il co-fonde Jumia, aujourd'hui considéré comme l'équivalent d'Amazon en Afrique. Cette première expérience lui ouvre les yeux sur la puissance d'un modèle capable de mutualiser des ressources — en financement, en stratégie, en développement commercial — pour aider des entrepreneurs à aller plus vite et plus loin.En 2015, il fonde Technofounders.L'idée ? Sourcer les technologies les plus prometteuses, recruter très tôt des profils entrepreneuriaux. Puis, aller tester le plus rapidement le marché pour confronter la techno à des cas d'usage réels et évaluer son potentiel business.Si les signaux sont positifs, la startup est officiellement lancée. Elle bénéficie alors d'un accompagnement structuré, avec des ressources humaines, financières et méthodologiques pour accélérer son développement et maximiser ses chances de succès.Aujourd'hui, Technofounders c'est :12 startups créées dans les secteurs de la santé, l'agriculture, la chimie des matériaux, le spatial, la sécurité, l'IA et les semi-conducteurs.Plus de 50 millions d'euros levésDes succès comme Cerbair, NeoFarm, Ion XMais tout n'a pas été simple et des galères, Olivier en a connu :Entre l'apprentissage de la vente de matériel sensible, un entrepôt brûlé et la recherche du modèle optimal de valorisation, découvrez son parcours !Intrigué(e) ?Arpentez les coulisses de Technofounders dans l'épisode de La Galère. Bonne écoute !
Amazon célèbre ses 25 ans en France. L'occasion de revenir sur son impact économique avec la création de 25 000 emplois et un investissement de 25 milliards d'euros. L'entreprise a transformé l'accès aux produits pour les Français, peu importe la localisation. Elle fait face à des défis internationaux, notamment les droits de douane américains et la concurrence croissante des sites chinois comme Shein et Temu. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Louise ne croit ni au capitalisme, ni à la croissance verte. Elle a accepté le challenge proposé par son éditeur et elle est partie à la rencontre de dirigeants qui veulent réconcilier leurs entreprises avec le vivant. Les six chefs d'entreprise qu'elle nous présente sont engagés dans la Convention des Entreprises pour le Climat. La CEC (Convention des Entreprises pour le Climat) regroupe 1250 entreprises pour 120 milliards d'euros de chiffre d'affaires. Créée en 2020, elle souhaite rendre irrésistible la bascule vers l'économie régénérative.La philosophe et sociologue Dominique Méda a dit de ce livre : "Une lueur d'espoir dans une époque qui en manque". Louise Browaeys a déjà publié des romans et essais, notamment La Dislocation en 2020, puis La Reverdie en 2023. De formation agronome, elle anime en entreprise des formations à la permaculture et elle est mère de deux enfants. Le mot de l'éditeurQuand j'ai rencontré Eric Duverger, le fondateur de la Convention des Entreprises pour le Climat, j'ai été impressionné par son ambition. Il avait l'air d'y croire, nous nous sommes revus plusieurs fois, mais quelque chose me gênait. Je n'arrivais pas à comprendre comment des entreprises centenaires comme Renault Trucks, qui vend des camions, pouvaient devenir régénératives. Je lui ai proposé d'accueillir une autrice pendant 6 mois, qui irait rencontrer les entrepreneurs engagés dans leur transformation, leurs équipes, actionnaires, à la recherche de voix différentes du parfaite, sceptique au départ, mais curieuse de mieux comprendre, et capable de nous emporter par son écriture. Le projet était risqué, Louise avait carte blanche, et personne ne savait où on allait. Par chance, le projet a réveillé quelque chose de personnel, et la relation à son père est devenue le fil directeur. Le résultat m'a donné des frissons. Je pense n'avoir jamais lu un texte aussi captivant sur l'entreprise. J'espère qu'il vous plaira, qu'il vous donnera une occasion de garder l'espoir, et de mieux comprendre notre rôle à tous dans la transformation vitale en cours. Avec une postface d'Eric Duverger, fondateur de la CEC (Convention des Entreprises pour le Climat)Comment détourner un banc de poissons - Enquête sur un mouvement qui nous réconcilie avec le vivant de Louise Browaeys - Éditions L'arbre qui marcheAcheter le livre sur les site des libraires indépendants Les libraireshttps://www.leslibraires.fr/livre/24303496-comment-detourner-un-banc-de-poissons-louise-browaeys-arbre-marche
Amazon célèbre ses 25 ans en France. L'occasion de revenir sur son impact économique avec la création de 25 000 emplois et un investissement de 25 milliards d'euros. L'entreprise a transformé l'accès aux produits pour les Français, peu importe la localisation. Elle fait face à des défis internationaux, notamment les droits de douane américains et la concurrence croissante des sites chinois comme Shein et Temu. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amazon célèbre ses 25 ans en France. L'occasion de revenir sur son impact économique avec la création de 25 000 emplois et un investissement de 25 milliards d'euros. L'entreprise a transformé l'accès aux produits pour les Français, peu importe la localisation. Elle fait face à des défis internationaux, notamment les droits de douane américains et la concurrence croissante des sites chinois comme Shein et Temu. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Amazon célèbre ses 25 ans en France. L'occasion de revenir sur son impact économique avec la création de 25 000 emplois et un investissement de 25 milliards d'euros. L'entreprise a transformé l'accès aux produits pour les Français, peu importe la localisation. Elle fait face à des défis internationaux, notamment les droits de douane américains et la concurrence croissante des sites chinois comme Shein et Temu. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les têtes d'affiches de Denise Epoté de TV5 Monde, comme chaque dimanche sur RFI, aujourd'hui avec Simon Bourtembourg. Notre première tête d'affiche est originaire du Maroc : Hamza Cherkaoui est le responsable de la transformation digitale au sein de l'Autorité marocaine de la supervision des entreprises d'assurance et de réassurance et challenges IRD. La plateforme qu'il a mise au point a révolutionné la gestion des déclarations réglementaires. Une innovation qui lui a valu le deuxième prix de l'African SEO Awards dans la catégorie Innovation. Notre seconde tête d'affiche est originaire du Mali. Du haut de ses 17 ans, Ousmane Dicko dirige depuis deux ans la première entreprise nationale spécialisée dans l'automatisation du service client, fonctionnant à 100 % avec l'intelligence artificielle. Un patron atypique qui est convaincu que, grâce à l'IA, l'Afrique connaîtra une nouvelle ère entrepreneuriale.
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
durée : 00:06:13 - La Terre au carré - par : Mathieu Vidard - A la une des médias aujourd'hui Olivier Monod, journaliste pour le quotidien Libération, parle de la responsabilité des entreprises pétrolières dans le changement climatique. - réalisé par : Jérôme BOULET
Chaque mois, le coach Didier Acouetey, président d'AfricSearch, conseille un jeune entrepreneur sur ses difficultés. En deuxième partie, débat avec des patrons de PME du continent. Les PME dans l'agroalimentaire en Afrique : trop petites pour survivre ? Cette émission est une rediffusion du 11 septembre 2024. Partie 1 : conseils à un jeune entrepreneur- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch- Ousmanou Sheou, fondateur de l'Établissement Ousmashe, entreprise de transformation et commercialisation de céréales et tubercules en farines, Garoua, Cameroun. Partie 2 : Les PME agroalimentaires en Afrique : trop petites pour survivre ? Face à des marchés et des besoins immenses, comment augmenter les volumes, créer des alliances et fabriquer des géants ?- Ayité Ajavon, directeur de Ahoenou, start-up agroalimentaire togolaise qui produit et commercialise des bouillons culinaires 100% naturels sous la marque Africube, Libreville, Gabon- Riantsoa Mialiranindra, 30 ans, ingénieur chimiste et co-fondatrice et présidente de Sakafo entreprise de transformation de fruits et légumes à Antananarivo, Madagascar- Didier Acouetey, président du cabinet AfricSearch. Programmation musicale : ► Ghanaian Stallion – Finish Line (ft. Patrice)► Abou Tall – Bats toi (playlist).
Aujourd'hui, Jean-Loup Bonnamy, Fatima Aït-Bounoua et Mourad Boudjellal débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
C dans l'air du 19 avril 2025 : Face à Trump et la Chine : nos entreprises en dangerLES EXPERTS :- Nicolas BARRÉ - Directeur de la rédaction - « Politico »- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- Amy GREENE - Experte associée à l'institut Montaigne - Auteure de « L'Amérique face à ses fractures »- Frédéric CHARILLON - Professeur de relations internationales – Université Paris Cité et Essec - Auteur de « Géopolitique de l'intimidation »
C dans l'air du 19 avril 2025 : Face à Trump et la Chine : nos entreprises en dangerL'escalade entre les Etats-Unis et la Chine sur l'épineux contentieux des droits de douane peut-elle cesser ? Depuis le 2 avril et l'annonce par Donald Trump de la nouvelle politique commerciale américaine, les deux géants se livrent un bras de fer sans merci et les tarifications ont explosé. Les droits de douane imposés par Washington aux produits chinois atteignent ainsi aujourd'hui 145%, quand 125% sont imposés par Pékin aux produits américains. Un léger infléchissement semble néanmoins se produire ces derniers jours. Jeudi, Donald Trump a en effet annoncé qu'il ne fallait pas exagérer. Car, selon lui, si les droits de douane sont trop élevés, les gens n'achèteront tout simplement plus. Il pourrait donc finalement être prêt à les baisser dans le cadre d'un accord avec son rival. Donald Trump se dit par ailleurs confiant sur la signature d'un accord avec les pays de l'Union européenne.C'est que la stratégie mise en place depuis plusieurs semaines par le locataire de la Maison Blanche ne fonctionne pas. L'économie américaine et les marchés financiers réagissent mal aux annonces de ces dernières semaines. Jerome Powell, le président de la Banque centrale américaine, la Fed, prévoit ainsi une inflation accrue et un ralentissement économique. De nombreux spécialistes vont même jusqu'à annoncer une récession. En quelques jours, Donald Trump a vu sa crédibilité être largement remise en question.Les répercussions de cette guerre commerciale concernent l'Union européenne dans son ensemble et la France en particulier. Ce que redoutent désormais nombre d'acteurs économiques, c'est que la Chine et l'Asie submergent le Vieux continent sous un flot gigantesque de marchandises à bas coût. Car le continent asiatique, déjà en situation de surproduction, aurait un besoin d'autant plus vital d'écouler sa production en cas de fermeture du marché américain. Pour les entreprises positionnées sur le même segment que leurs homologues chinoises, le risque est grand. Une équipe de C dans l'air a rencontré un producteur de tancarville, mais aussi la société Le Slip français, qui fabrique des vêtements en France. Ces deux entreprises ont jusqu'alors réussi à concurrencer les produits chinois. Leurs dirigeants nous livrent leur sentiment sur la situation actuelle.Aux Etats-Unis, le département de l'efficacité gouvernementale (Department of Government Efficiency, DOGE) d'Elon Muk est loin d'être arrivé à ses objectifs. Il devait réaliser 2 000 milliards de dollars de coupes budgétaires. Mais sur l'ensemble des économies annoncées, seulement 15% ont effectivement été mises en place. Si des chiffres bien plus avantageux ont été annoncés, ils sont, d'après une enquête du New York Times, injustifiés ou tout simplement faux. Elon Musk, le fantasque milliardaire à la tête de cette opération commando qui a en partie fait long feu, va sans doute sortir du dispositif. Ces propres entreprises privées sont en effet en situation délicate depuis plusieurs semaines.Donald Trump a-t-il vraiment une stratégie solide dans la guerre commerciale qu'il compte mener ?En France, quelle stratégie adopter pour les entreprises directement en concurrence avec la production asiatique ?Le passage d'Elon Musk au gouvernement est-il un échec ?LES EXPERTS :- Nicolas BARRÉ - Directeur de la rédaction - « Politico »- Gaëlle MACKE - Directrice déléguée de la rédaction - « Challenges »- Amy GREENE - Experte associée à l'institut Montaigne - Auteure de « L'Amérique face à ses fractures »- Frédéric CHARILLON - Professeur de relations internationales – Université Paris Cité et Essec - Auteur de « Géopolitique de l'intimidation »
Née en Espagne, la Kings League est un tournoi bien marketé qui monte dans le football. Dans « La Story », le podcast d'actualité des « Echos », Margaux Boulte et ses invités expliquent comment ses matchs à 7 joueurs, plus rapides et sur des terrains plus petits emballent le public et les annonceurs.Retrouvez l'essentiel de l'actualité économique grâce à notre offre d'abonnement Access : abonnement.lesechos.fr/lastoryLa Story est un podcast des « Echos » présenté par Margaux Boulte. Cet épisode a été enregistré en avril 2025. Rédaction en chef : Clémence Lemaistre. Invités : Cécile Thibaud (correspondante des « Echos » à Madrid) et Yann Duvert (journaliste au service Entreprises des « Echos »). Réalisation : Willy Ganne. Chargée de production et d'édition : Michèle Warnet. Musique : Théo Boulenger. Identité graphique : Upian. Photo : IPA/Sipa. Sons : ZackNaniTV, Domingo Replay, Kings League France, AminematueLive, direnslm. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mercredi 16 avril, François Sorel a reçu Luc Julia, directeur scientifique de Renault Group, Jean Schmitt, président de Jolt Capital, et Frédéric Simottel, journaliste BFM Business. Ils se sont penchés sur les coulisses d'Apple Plans, la situation actuelle d'Aldebaran, spécialiste français des petits robots, et l'ambition de la France d'avoir un cloud souverain, dans l'émission Tech & Co, la quotidienne, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au jeudi et réécoutez-la en podcast.
Ecoutez L'angle éco de François Lenglet du 15 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Bis repetita. Deux ans et demi après le Qatargate, un nouveau scandale ébranle le Parlement européen. Le géant chinois des telecoms Huawei est soupçonné d'avoir soudoyé des parlementaires pour influencer les décisions de l'Union européenne sur la 5G. À l'époque du Qatargate, l'institution européenne avait pourtant annoncé une série de mesures pour garantir son intégrité et plus de transparence. Mais leur mise en application se heurte à la nouvelle majorité politique en place depuis les élections de juin dernier. De notre correspondante à Strasbourg,En décembre 2022, au moment du scandale du Qatargate, tout le Parlement européen ne parlait plus que de cela et s'en indignait. Mais l'affaire Huawei n'a pas le même retentissement, comme le déplore Daniel Freund, eurodéputé vert allemand : « Il y a des employés qui ont été arrêtés, 23 appartements et bureaux qui ont été perquisitionnés par la justice belge. C'est devenu tellement banal, tellement ordinaire. Pour moi, le lobbying fait partie de la démocratie. En tant que politique, on a besoin de recommandations aussi, des positions des ONG environnementales, des entreprises. Mais il y a une zone grise. On a le droit d'accepter des cadeaux, on peut se faire inviter ».Une zone grise que connaît bien le principal mise en cause dans l'affaire Huawei, Valerio Ottati. Avant de devenir lobbyiste pour le géant chinois, il avait travaillé comme assistant parlementaire auprès d'eurodéputés italiens. Pour éviter les dérives, des mesures fortes avaient pourtant été annoncées dans la foulée des révélations du Qatargate, ce que nous rappelle la médiatrice du Parlement européen Teresa Anjinho. « Par exemple, l'obligation pour les anciens députés d'attendre six mois avant d'aller travailler dans le privé pour éviter qu'ils utilisent leurs liens avec le Parlement. On a aussi acté la création d'un comité d'éthique interinstitutionnel. L'idée étant d'avoir les mêmes règles dans toutes les institutions européennes et de créer une culture commune en matière de transparence et d'intégrité », énumère-t-elle.La création de ce comité d'éthique interinstitutionnel a été actée il y a un an, à l'issue d'un vote du Parlement, mais depuis, plus rien. La faute aux conservateurs du Parti populaire européen (PPE), selon Daniel Freund qui est à l'initiative de ce comité. « Les conservateurs ici au Parlement – le PPE – bloquent tout. C'est le vice-président PPE qui ne convoque pas la première réunion, la même semaine où des employés du groupe PPE se font arrêter par la police pour accusation de corruption, ils essaient de démanteler toute l'architecture anti-corruption du Parlement européen. Franchement, cela me choque », dénonce-t-il.Interrogé sur les raisons de ce blocage, l'eurodéputé allemand conservateur du PPE, Sven Simon, par ailleurs vice-président de la commission des affaires constitutionnelles du Parlement européen, évoque des raisons politiques. « Entre-temps, il y a une élection. Si la nouvelle majorité n'est pas en faveur de ce comité, elle peut faire voter sa suppression. Par ailleurs, nous craignons que ce comité ne respecte pas la séparation des pouvoirs et qu'il soit instrumentalisé pour écarter l'opposition politique », argumente-t-il. Pour la médiatrice du Parlement, c'est un mauvais signal envoyé aux citoyens européens qui sont de plus en plus défiants envers les institutions, de l'Union européenne notamment.À lire aussiLa société Huawei soupçonnée par la justice belge de corruption au Parlement européen
Matthieu Brunet est président de ZéfalÀ sa sortie de l'école X-Telecom Paris, l'une des formations d'ingénieurs les plus prestigieuses au monde, Matthieu aurait pu envisager une carrière prometteuse dans la tech ou l'aérospatiale.Mais en 2007, c'est à l'appel de l'entreprise familiale, transmise de génération en génération depuis près de 140 ans, qu'il a répondu.Et ce qui devait être un passage éclair pour aider la famille s'est transformé en véritable aventure entrepreneuriale, portée par une passion profonde pour le vélo et une vision claire pour faire évoluer la marque dans une industrie en pleine mutation.19 ans plus tard, Matthieu est toujours aux commandes de Zéfal, aux côtés de son frère Aurélien. Ensemble, ils portent une mission forte : apporter plus de sérénité aux cyclistes, tout en défendant une production locale et en préservant des savoir-faire industriels français — un choix stratégique ambitieux dans un contexte économique mondial incertain.--Vendez votre vélo plus vite en toute sérénité sur buycycle et économisez 30% sur les frais du vendeur avec le code ENROUELIBRE30 ou via ce lien buycycle.com/enrouelibrepodcast--Pour accompagner vos projets dans le vélo avec des spécialistes et augmenter vos chances de succès, faites appel à LINE en réservant un appel avec moi directement sur agenceline.fr-Les chapitres de l'épisode.00:01 Teaser01:15 Présentation de Matthieu Brunet05:12 Combien d'autres générations chez Zéfal?06:28 La passion de Matthieu pour le vélo15:00 L'histoire de l'entreprise et de Zéfal45:35 Zéfal aujourd'hui51:48 Comment sont imaginés les produits59:00 Opportunités et challenges de produire en France01:34:55 Utilisation du plastique Vs engagements environnementaux01:41:07 L'activité bidons chez Zéfal01:53:06 Les causes chères à Zéfal01:58:16 Le jeu concours En Roue Libre X Zéfal02:01:27 Un prochain invité?02:01:42 Le challenge du Tourmagne02:07:07 Que lui souhaiter pour la suite02:07:58 Remerciements02:11:24 OutroLes liens de l'épisode:Le Challenge du Tourmagne : tourmagne.bikeNwc : thenwc.org/La Marc Doyen : facebook.com/LaMarcDoyen---En Roue Libre sur le web:Soutenez le travail d'En Roue Libre sur la plateforme Tipeee: tipeee.com/enrouelibreAbonnez-vous à la newsletter En Roue Libre ici: bit.ly/newsletterEnRoueLibreSuivez En Roue Libre sur Instagram :instagram.com/enrouelibrepodcast/Suivez-moi sur Linkedin : linkedin.com/in/taillo/Visitez le site enrouelibre.ccHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.