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Une virée touristique, un voyage ferroviaire et poétique, aux quatre coins de notre beau pays. On va prendre l'air, et quelques vers. Épisode 2 : Emile Verhaeren et Alice Nahon Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...)
Nous sommes en 1898, à Vienne, au Palais de la Sécession. Le Sécession, c'est ce mouvement de renouveau des formes artistiques qui s'épanouit en Autriche et ailleurs en Europe sous différentes appellations, comme Art Nouveau ou Jugendstil. Depuis l'année précédente, le mouvement organise régulièrement des expositions et c'est au cours de l'une d'entre elles que le belge Fernand Khnopff, figure de proue du symbolisme, va accéder à une dimension réellement internationale. Fernand Khnopff que le poète Emile Verhaeren avait décrit en « clergyman en train de devenir dandy ». Figure énigmatique comme il est communément admis de le présenter, mais aussi paradoxal, égotique, solitaire et mondain. Sculpteur, poète, photographe, le créateur a mené une vie de démiurge dans un Bruxelles qui, au tournant des 19e et 20e siècles, était un phare de la vie culturelle. Une œuvre qui suscite l'admiration de ses contemporains mais qui , après sa mort en 1921, entrera dans une longue période d'oubli. Si depuis quelques années, elle a fait l'objet de quelques expositions prestigieuses, son auteur n'a pas livré toute sa part de mystère. Partons sur les traces du maître du symbole : Fernand Khnopff… Invité : Joël Goffin, historien de l'art. Sujets traités : Fernand Khnopff, Autriche, Art Nouveau, Jugendstil, symbolisme, Emile Verhaeren, Sculpteur, poète, photographe,exposition, maître Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.
"A inteligência foi dada ao Homem para duvidar" (Emile Verhaeren). Parece contraditório colocar as palavras inteligência e dúvida na mesma frase, mas para mim faz todo sentido. Quanto mais lemos, estudamos ou tentamos aprender algo, menos sabemos sobre aquele assunto. Além disso, aumenta ainda mais a certeza de que há muito mais coisas para aprender, das quais nem fazemos ideia. O problema é a forma como a dúvida é tratada no ambiente organizacional. Em um ambiente competitivo e complexo, parece que ter dúvida é um retrocesso. Mas, as pessoas que pensam desta forma ignoram a riqueza que há por trás das mentes que questionam.-A vida é uma jornada, com várias etapas e ciclos! E depois de muito tempo trabalhando com Coaching, eu aperfeiçoei a metodologia de coaching para ajudar você a encarar os desafios e promover o seu crescimento pessoal e profissional. Descubra a Jornada e seja Coach de si mesmo!A Jornada é muito mais do que um produto digital, é mais do que uma metodologia, é mais do que ferramentas, é a SUA HISTÓRIA! Acesse: https://ponteaofuturo.com.br/jornada/
Ecoutez un extrait de son poème Vieux menuisier interprété par Marc Brunet. L'enregistrement est à retrouver dans le CD Mes poèmes préférés volume 1 disponible sur Diffusia.fr
Ecoutez un extrait de son poème Les cathédrales interprété par Hélène Vauquois. L'enregistrement est à retrouver dans le CD Mes poèmes préférés volume 1 disponible sur Diffusia.fr
Un poème ou un extrait de livre : une lecture par jour
Léon Spilliaert était-il un visionnaire ? Nous sommes le 6 février 1909. Léon Spilliaert écrit à Jean De Mot, secrétaire du « Salon de Printemps », la seizième exposition organisée par la Société royale des Beaux-Arts au Palais du Cinquantenaire, à Bruxelles, entre le 13 mai et le 8 juin. Le peintre doit y envoyer une dizaine d'œuvres présentées, dans le catalogue, comme des "lavis et dessins rehaussés". Dans sa lettre, l’artiste belge, d’à peine vingt-huit ans, écrit : "Jusqu'à présent ma vie s'est passée, seule et triste, avec un immense froid autour de moi." En septembre de la même année, François Jollivet-Castelot né à Douai le 8 juillet 1874, féru de sciences occultes, décrit ainsi notre homme : "Presque inconnu encore, renfermé dans une fière modestie et méprisant la réclame, le jeune aquarelliste ostendais Léon Spilliaert, est un grand, un très grand artiste". Alors : qui était Léon Spilliaert dont le tragique, parfois, émane des toiles ? L’ami d’Emile Verhaeren, proche du milieu symboliste, le mélancolique que l’on apparente à l’américain Edward Hopper ? Plongeons dans son univers clair-obscur … Avec nous : Anne Hustache, historienne de l’art.
Une promenade hallucinée dans la ville confinée. L'activité s'est retirée, et la ville est sur le flanc comme un bateau sur l'estran. Le canot dérive dans un espace à la fois tangible et mental, dans les rues dehors, mais aussi dans les angoisses, dedans. La ville n'est pas seulement rendue à la nature et au silence, elle est encore pleine des bruits et des misères qui l'habitent. Réalisé par Americo Mariani et Ludovic Mepa. Avec le poème La ville d' Emile Verhaeren et des textes des auteurs. Avec les voix de Clélia Amalric / Emmanuelle Tornero / Jean-Baptiste Barra / Eric Leclerc La prise de son ambisonique a été rendue possible par Julien Tardieu de la Maison des Sciences de l'Homme de Toulouse. Kaye Mortley a réalisé une pièce courte pour Le grain des choses, qui vient de clôturer sa moisson fin décembre. Un écho de nos villes aussi, nos villes malmenées par le silence, Le président Macron dans la pluie, des crépitements, des pas,… une angoisse et beaucoup de beauté, c’est La ronde, de Kaye Mortley
“Léon Spilliaert (1881-1946)” lumière et solitudeau Musée d'Orsay, Parisdu 13 octobre 2020 au 10 janvier 2021Interview de Anne Adriaens-Pannier, experte de Léon Spilliaert, auteur du catalogue raisonné et conservateur honoraire des Musées royaux des beaux-arts de Bruxelles et de Leïla Jarbouai, conservatrice des arts graphiques, musée d'Orsay, commissaires de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, le 12 octobre 2020, durée 12'03, © FranceFineArt.Extrait du communiqué de presse :Commissaires : Anne Adriaens-Pannier, experte Léon Spilliaert, auteur du catalogue raisonné et conservateur honoraire des Musées royaux des beaux-arts de Bruxelles Leïla Jarbouai, conservatrice des arts graphiques, musée d'OrsayDepuis la rétrospective du centenaire de la naissance de l'artiste, organisée aux Galeries Nationales du Grand Palais il y a presque quarante ans, une exposition en 1997-1998 (Paris, Musée-Galerie de la Seita) et une autre en 2003 (Douai, musée de la Chartreuse de Douai) ainsi qu'une présentation de ses autoportraits en 2007 au musée d'Orsay, Léon Spilliaert n'a pas bénéficié en France d'une exposition montrant l'essentiel de son oeuvre.L'exposition se concentrera sur les années les plus intenses de la création de Spilliaert, entre 1900 et 1919 et déclinera un nombre limité de thèmes, à partir d'ensembles constituant des variations autour d'un même sujet ou de mêmes questionnements artistiques. Il ne s'agit pas d'une rétrospective monographique qui voudrait aborder tous les aspects, variés et inégaux, de l'oeuvre de Spilliaert, mais d'une exposition qui vise à faire pénétrer le visiteur-regardeur dans l'atmosphère intense et si particulière de l'artiste, fondée sur quelques leitmotive très personnels et obsessionnels. Entre interrogations métaphysiques et culture flamande, Spilliaert crée des oeuvres inclassables, qui tissent des liens avec le symbolisme et l'expressionnisme contemporains, et semblent annoncer, dans ses paysages les plus radicaux, simplifiés à l'extrême, l'abstraction géométrique et le minimalisme. Quasiment autodidacte, formé au contact de la collection du libraire bruxellois Edmond Deman, inspiré par la littérature de ses contemporains Emile Verhaeren et Maurice Maeterlinck, Léon Spilliaert dessine et peint à l'encre des figures fantomatiques, désincarnées et solitaires et des visages-masques aux yeux hagards et hallucinés qui évoquent parfois l'univers d'Edvard Munch.Comme d'autres artistes du tournant du siècle, et pour reprendre le titre d'un pastel de Lucien Lévy-Dhurmer conservé au musée d'Orsay, Léon Spilliaert est un « explorateur perdu », explorateur de l'inconscient et des angoisses existentielles de l'individu au moment où les sciences humaines se développent pour avancer dans la compréhension de la psyché. Dans son oeuvre, réalisé presque exclusivement sur papier, il mélange différentes techniques graphiques, crayons, fusain, encre de Chine, pastel, craie, aquarelle et gouache. L'encre de Chine est son matériau de prédilection, dont il explore la transparence, la liquidité et la noirceur pour traduire son monde intérieur ancré dans une ville particulière, Ostende, où il a passé l'essentiel de sa vie. Cette cité portuaire du plat pays, baignée par les vents et le flux et le reflux de la mer du Nord, où s'affrontent l'architecture rectiligne des digues et des brises- lames, et l'infinie variation des éléments, est, en effet, l'un des principaux personnages de son oeuvre qui y puise une part de sa puissance d'évocation et de sa dramaturgie.L'exposition, centrée sur les oeuvres les plus radicales et originales de Spilliaert, se déroulera en plusieurs temps, organisés par séries chrono-thématiques où les oeuvres seront rassemblées suivant leurs rapports plastiques. Elle débutera et se terminera par l'évocation des liens profonds de l'artiste avec la littérature et réunira de magnifiques ensembles d'intérieurs, d'autoportraits, de paysages et de figures.Elle montrera la variété des pratiques plastiques de l'artiste, usant du papier et de l'encre sur des formats très variés : il dessine dans des livres, réalise des pastels et craies de couleur très picturaux, pratique la lithographie, et, au sein d'une production à la gamme de couleurs restreinte, il multiplie les nuances subtiles de noirs d'où émerge la lumière. Autour des quatre chefs-d'oeuvre de l'artiste conservés dans les collections du musée d'Orsay (deux paysages nocturnes d'Ostende, des figures de Carnaval et un saisissant autoportrait), l'exposition réunira environ 90 oeuvres, issues de collections particulières et de collections de musées belges et états-uniens. Voir Acast.com/privacy pour les informations sur la vie privée et l'opt-out.
Pat Donnez praat met Rik Hemmerijck, historicus en gek van Emile Verhaeren. Afbakeningen in de tijd hebben altijd iets artificieels, zegt Rik Hemmerijckx, historicus en conservator van het Verhaeren Museum. Je probeert iets te vatten wat niet te vatten valt. Wat zegt dat? De roaring twenties of de swinging sixties of de Post-Coronatijden? Rik is gepokt en gemazeld door de sociale geschiedenis van ons land, hij is Boonfan en kan niet zwijgen over Emile Verhaeren. Wie?
Op 27 november 1916 staat de beroemde Belgische dichter Emile Verhaeren in het station van Rouen, waar het vanwege de oorlogsomstandigheden een drukte van jewelste is. Verhaeren wil naar huis, naar zijn vrouw Marthe. Nog voor de trein stopt, springt hij op de trede van een wagon. Hij probeert een deur open te krijgen, verliest zijn greep, valt, komt onder de wielen terecht.Van dichters wordt wel eens gezegd dat zij "visionairen" zijn. Heeft Emile Verhaeren, die zo vaak over locomotieven schreef, zijn dood voorvoeld... "in de wilde wind van november"? Verhaeren stond bekend als een sociaal auteur, maar schreef ook liefdesgedichten, en ontpopte zich in volle Grote Oorlog tot een volbloed patriottisch schrijver. Zijn laatste woorden zouden dan ook bestemd geweest zijn voor "Ma femme! Ma patrie!"Verhaeren ligt samen met zijn Marthe begraven in zijn geboortedorp Sint-Amands, met uitzicht op de Schelde."Ceux qui vivent d'amour, vivent d'éternité..." schreef hij. Is Emile Verhaeren, precies 100 jaar na zijn dood, teruggekeerd naar Sint-Amands? In de hoop daar ook Marthe terug te vinden?An Staels stelde een onderzoek in naar het mysterie van "de zonderlinge figuur van Sint-Amands", die de stem heeft gekregen van Patrick Bernauw. Hij schreef het scenario en voerde de regie van deze poëtische, magisch-realistische impressie, waarin ook Emile zelf niet mocht ontbreken: hij declameert op de hem kenmerkende wijze zijn gedicht Le Vent. Fernand Bernauw (www.naami.be) tekende voor soundscape en muzikale omkadering. Dit is een herneming van een van de eerste producties op deze podcast, uit 2016. Mysterieus België heette toen nog de Utopia Podcast.
'Zo kon hij in Oostende geen pier, geen reling zien, of hij moest aan Spilliaert denken. Gezond kon dat toch niet zijn', schrijft Hugo Claus in Belladonna. De Koninklijke Gaanderijen zijn gebouwd door Leopold II, maar het is Léon Spilliaert die de zuilengang verzekert van een eeuwig leven. Spilliaert groeit op in de familiezaak, een parfumwinkel in de Kapellestraat. Als hij naam begint te maken als schilder, zijn Emile Verhaeren en Stefan Zweig bij de eerste kopers. Zijn marines en stillevens zijn de verbeelding van wat Duitsers unheimlich noemen. Constant Permeke groeit op in Oostende, verhuist naar Jabbeke en maakt carrière in Sint-Martens-Latem. Maar als zoon van de zee zal hij zijn leven lang een band hebben met Oostende en de vissersbevolking, die hij zo onnavolgbaar schildert.
'Zo kon hij in Oostende geen pier, geen reling zien, of hij moest aan Spilliaert denken. Gezond kon dat toch niet zijn', schrijft Hugo Claus in Belladonna. De Koninklijke Gaanderijen zijn gebouwd door Leopold II, maar het is Léon Spilliaert die de zuilengang verzekert van een eeuwig leven. Spilliaert groeit op in de familiezaak, een parfumwinkel in de Kapellestraat. Als hij naam begint te maken als schilder, zijn Emile Verhaeren en Stefan Zweig bij de eerste kopers. Zijn marines en stillevens zijn de verbeelding van wat Duitsers unheimlich noemen. Constant Permeke groeit op in Oostende, verhuist naar Jabbeke en maakt carrière in Sint-Martens-Latem. Maar als zoon van de zee zal hij zijn leven lang een band hebben met Oostende en de vissersbevolking, die hij zo onnavolgbaar schildert.
Herneming van een poëtisch audiodrama uit 2016. Is de beroemde dichter Emile Verhaeren, exact 100 jaar na zijn dood, teruggekeerd naar zijn geboortedorp?
Klara herdenkt de dichter en auteur Emile Verhaeren die 100 jaar geleden overleed
Klara herdenkt de dichter en auteur Emile Verhaeren die 100 jaar geleden overleed
De literaire Scheldetocht “Escaut! Escaut!” vertrekt in Antwerpen, want deze stad met zijn haven, met zijn oprukkende industrie aan de Schelde, met zijn kooplui en zijn middenstand heeft de dichter Emile Verhaeren en zijn schrijverskompanen geïnspireerd.