Historic site, exhibition hall in Paris, France
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The 2025 Low-Carbon Real Estate Exhibition brought together more than 12,500 professionals at the Grand Palais to tackle a common challenge: designing sustainable and desirable living spaces. In this new episode of Com d'Archi, we look back at this rapidly growing event, which enlightens architects on concrete solutions for low-carbon construction.This 4th edition of SIBCA has established itself as a showcase for architectural and construction innovations that support the ecological transition. Wood, recycled aluminum, bio-based or reused materials, health and quality of life as design drivers: the avenues are diversifying and becoming more refined. Architects, developers, engineers, designers, and manufacturers presented their advances and compared their visions in a fruitful dialogue that went beyond the field of real estate alone.From Redman to Care Promotion, SOPREMA to Sybois or CoolRoof, Vitra to inventive start-ups such as Anga, Ostrea, and Le Pavé, the ecosystem revealed its dynamism. The importance given to heritage, with the Grand Palais as a backdrop, also served as a reminder that decarbonization applies at all levels, from historic monuments to new neighborhoods.Despite political turmoil, the sector is proving its ability to mobilize creativity and collective intelligence. For architects, this trade show offers a compendium of inspiring practices and potential partners, all of which are resources for designing resilient, low-carbon spaces that are rich in quality of use. It is an event that confirms that architecture is at the heart of building a desirable future.__This English version was generated using AI with voice cloning, preserving the speaker' timbre and the natural French accent. We are currently testing this technology. Please excuse any imperfections. We are working to improve this system so that we can expand our broadcasts to multiple languages. But our favorite Esther will be back soon in English!Speakers : Anne-Charlotte Depondt Audio production comdarchipodcastImage teaser © Anne-Charlotte Depondt ___If you like the podcast do not hesitate:. to subscribe so you don't miss the next episodes,. to leave us stars and a comment :-),. to follow us on Instagram @comdarchipodcast to find beautiful images, always chosen with care, so as to enrich your view on the subject.Nice week to all of you ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Salon de l'Immobilier Bas-Carbone 2025 a réuni au Grand Palais plus de 12 500 professionnels autour d'un même défi : inventer des lieux de vie durables et désirables. Dans ce nouvel épisode de Com d'Archi, nous revenons sur ce rendez-vous en pleine croissance, qui éclaire les architectes sur les solutions concrètes pour bâtir bas-carbone.Cette 4e édition du SIBCA s'affirme comme une vitrine des innovations architecturales et constructives au service de la transition écologique. Bois, aluminium recyclé, matériaux biosourcés ou issus du réemploi, santé et qualité de vie comme moteurs de conception : les pistes se diversifient et s'affinent. Architectes, promoteurs, ingénieurs, designers et industriels ont exposé leurs avancées et confronté leurs visions, dans un dialogue fécond qui dépasse le seul champ immobilier.De Redman à Care Promotion, de SOPREMA à Sybois, de Vitra aux jeunes pousses inventives comme Anga, Ostrea ou Le Pavé, l'écosystème révèle son dynamisme. La place accordée au patrimoine, avec le Grand Palais en toile de fond, rappelle aussi que la décarbonation s'applique à toutes les échelles, du monument historique au quartier neuf.Malgré les turbulences politiques, le secteur prouve sa capacité à mobiliser créativité et intelligence collective. Pour les architectes, ce salon offre un condensé de pratiques inspirantes et de partenaires possibles, autant de ressources pour concevoir des espaces résilients, sobres en carbone, mais riches en qualité d'usage. Un rendez-vous qui confirme que l'architecture est au cœur de la fabrique d'un futur désirable.Audio comdarchipodcastImage teaser © comdarchipodcast ____Si le podcast COM D'ARCHI vous plaît n'hésitez pas :. à vous abonner pour ne pas rater les prochains épisodes,. à nous laisser des étoiles et un commentaire, :-),. à nous suivre sur Instagram @comdarchipodcast pour retrouver de belles images, toujours choisies avec soin, de manière à enrichir votre regard sur le sujet.Bonne semaine à tous ! Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Pour le trio mis à l'honneur dans une exposition du Centre Pompidou au Grand Palais, l'art était une fête, une rébellion joyeuse. Niki de Saint Phalle, franco-américaine, nous a marqué avec ses nanas plantureuses et colorées. Jean Tinguely nous laisse ses Meta Matics, des œuvres poétiques, en mouvement, des machines qui font descendre l'art de son piédestal. Tous les deux étaient liés par l'amitié, l'amour et par l'envie de révolutionner la pratique artistique. Il a aussi Pontus Hulten, grand directeur de musée, qui a travaillé avec Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, notamment en Suède, sur le projet de la Hon, une gigantesque nana de 28 mètres de long dans laquelle le visiteur pénètre et découvre des objets et même une fausse galerie d'art. Sophie Duplaix, conservatrice en chef des collections contemporaines au Musée national d'art moderne au Centre Pompidou, est l'invitée de Sur le pont des arts. L'exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten est à voir au Grand Palais jusqu'au 4 janvier 2026. Charlotte Barberon était également avec nous pour nous parler de son livre En plein ventre. Au programme de l'émission : ► Chronique Le hit de la semaine Mory Touré était dans nos studios pour nous parler de la sortie du prochain album d'Amadou et Mariam L'amour à la folie le 24 octobre prochain et du premier retour sur scène de Mariam en solo pour une grande tournée internationale. ► Playlist du jour Veronica Maggio – Backspegeln Aupinard – À deux
Pour le trio mis à l'honneur dans une exposition du Centre Pompidou au Grand Palais, l'art était une fête, une rébellion joyeuse. Niki de Saint Phalle, franco-américaine, nous a marqué avec ses nanas plantureuses et colorées. Jean Tinguely nous laisse ses Meta Matics, des œuvres poétiques, en mouvement, des machines qui font descendre l'art de son piédestal. Tous les deux étaient liés par l'amitié, l'amour et par l'envie de révolutionner la pratique artistique. Il a aussi Pontus Hulten, grand directeur de musée, qui a travaillé avec Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, notamment en Suède, sur le projet de la Hon, une gigantesque nana de 28 mètres de long dans laquelle le visiteur pénètre et découvre des objets et même une fausse galerie d'art. Sophie Duplaix, conservatrice en chef des collections contemporaines au Musée national d'art moderne au Centre Pompidou, est l'invitée de Sur le pont des arts. L'exposition Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten est à voir au Grand Palais jusqu'au 4 janvier 2026. Charlotte Barberon était également avec nous pour nous parler de son livre En plein ventre. Au programme de l'émission : ► Chronique Le hit de la semaine Mory Touré était dans nos studios pour nous parler de la sortie du prochain album d'Amadou et Mariam L'amour à la folie le 24 octobre prochain et du premier retour sur scène de Mariam en solo pour une grande tournée internationale. ► Playlist du jour Veronica Maggio – Backspegeln Aupinard – À deux
Réécoutez FG mix invite l'hôtel Régina de Paris avec Belle Boutique du lundi 1er septembre 2025 Situé en face du Musée du Louvre et surplombant le jardin des Tuileries, l'hôtel Regina Louvre est à proximité des principaux monuments parisiens : la tour Eiffel, le Palais Garnier, le Grand Palais, le Trocadéro, les Invalides, le Musée d'Orsay… Il se trouve en plein cœur de Paris, dans le quartier de la mode, du shopping et des musées. Les magasins de luxe de la rue St Honoré témoignent de l'esprit de créativité qui souffle tous les jours sur ce quartier de la capitale française. Chaque chambre a été soigneusement rénovée pour retrouver la splendeur du 19e siècle, alliant l'élégance traditionnelle et le confort moderne avec subtilité. Une partie des chambres donne sur une cour fleurie très calme ; l'autre donne sur le jardin des Tuileries et le Louvre. Peu d'hôtels parisiens offrent une vue aussi spectaculaire sur le musée d'Orsay, le musée du Louvre, le dôme des Invalides, la Tour Eiffel ou la verrière du Grand Palais.https://www.regina-hotel.com/Instagram : www.instagram.com/belleboutiqueeditsSoundcloud : @belleboutiqueFacebook : www.facebook.com/BelleBoutique.frYoutube : www.youtube.com/@BELLEBOUTIQUEPARIS
L'exposition « Niki de Saint-Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten » est l'histoire de deux artistes soutenus par un grand conservateur. Pontus Hulten est le premier directeur du Centre Pompidou. Le musée, fermé pour travaux jusqu'en 2030, revient ainsi sur une période florissante et utopique de son histoire grâce à l'amitié d'un commissaire et de deux artistes. C'est au Grand Palais jusqu'au 4 janvier. Si le couple d'artistes Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely marquent les premières décennies du Centre Pompidou, c'est aussi grâce à leur amitié avec le directeur atypique de l'époque Pontus Hulten. Il défend une vision anarchiste du musée : un lieu ludique ouvert à tous. L'exposition du Grand Palais revient sur cette époque enjouée et libre. « Pontus Hulten fait intervenir, notamment en 1977, les deux artistes Jean Tinguely, Niki de Saint-Phalle pour occuper le forum du Centre Pompidou avec une installation absolument extraordinaire : le crocodrome de Zig et Puce, raconte la commissaire Sophie Duplaix. Donc tout ça est évoqué dans l'exposition pour parler de cette histoire, histoire d'une institution, histoire aussi des liens entre conservateurs et artistes. On découvre un peu les coulisses de l'art. » Le crocodrome de Zig et Puce, c'est une sorte de fête foraine mêlant train fantôme, flipper géant et distributeurs gratuits de chocolat. Une ambiance joyeuse à l'encontre de l'objet commercialisable. C'est ce qui meut aussi Jean Tinguely aux machines productrices de mouvements gratuits en ces années 1970, synonymes de nouvelles technologies. « Le son se matérialise dans les machines, de façon complétement débridée, qui sont effectivement des machines inutiles et qu'on peut vraiment lire comme une critique, de cette mécanisation dont on nous explique qu'elle vise à améliorer notre quotidien », raconte Sophie Duplaix. Aux côtés des installations légères et poétiques de Tinguely trônent les œuvres gigantesques de Niki de Saint Phalle, dont certaines figurent seulement en image, car trop imposantes pour entrer dans le musée. Celle qui est connue pour ses nanas rondes et colorées a révolutionné l'art avec une puissance toute féminine « Elle va nous montrer effectivement que la femme peut tout à fait s'emparer de ce qui d'habitude est attribué aux hommes, comme par exemple les armes. Quand elle fait sa série des Tirs, tout au début des années 1960, poursuit Sophie Duplaix. Elle fait des reliefs, des panneaux qu'elle met à l'horizontal pour les recouvrir de poches de couleurs. Après, elle déverse du plâtre, pour que ce soit immaculé. Elle tire dessus et les poches de couleurs qu'elle a mises explosent. Elles font donc dégouliner la peinture sur le relief blanc immaculé. Ce qui est à la fois un pied de nez à la peinture traditionnelle, et aussi une affirmation du pouvoir féminin. » Un pied de nez aux conventions que l'exposition met joyeusement en avant. À lire aussiLa Révolte à l'oeuvre de Niki de Saint-Phalle
L'exposition « Niki de Saint-Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hulten » est l'histoire de deux artistes soutenus par un grand conservateur. Pontus Hulten est le premier directeur du Centre Pompidou. Le musée, fermé pour travaux jusqu'en 2030, revient ainsi sur une période florissante et utopique de son histoire grâce à l'amitié d'un commissaire et de deux artistes. C'est au Grand Palais jusqu'au 4 janvier. Si le couple d'artistes Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely marquent les premières décennies du Centre Pompidou, c'est aussi grâce à leur amitié avec le directeur atypique de l'époque Pontus Hulten. Il défend une vision anarchiste du musée : un lieu ludique ouvert à tous. L'exposition du Grand Palais revient sur cette époque enjouée et libre. « Pontus Hulten fait intervenir, notamment en 1977, les deux artistes Jean Tinguely, Niki de Saint-Phalle pour occuper le forum du Centre Pompidou avec une installation absolument extraordinaire : le crocodrome de Zig et Puce, raconte la commissaire Sophie Duplaix. Donc tout ça est évoqué dans l'exposition pour parler de cette histoire, histoire d'une institution, histoire aussi des liens entre conservateurs et artistes. On découvre un peu les coulisses de l'art. » Le crocodrome de Zig et Puce, c'est une sorte de fête foraine mêlant train fantôme, flipper géant et distributeurs gratuits de chocolat. Une ambiance joyeuse à l'encontre de l'objet commercialisable. C'est ce qui meut aussi Jean Tinguely aux machines productrices de mouvements gratuits en ces années 1970, synonymes de nouvelles technologies. « Le son se matérialise dans les machines, de façon complétement débridée, qui sont effectivement des machines inutiles et qu'on peut vraiment lire comme une critique, de cette mécanisation dont on nous explique qu'elle vise à améliorer notre quotidien », raconte Sophie Duplaix. Aux côtés des installations légères et poétiques de Tinguely trônent les œuvres gigantesques de Niki de Saint Phalle, dont certaines figurent seulement en image, car trop imposantes pour entrer dans le musée. Celle qui est connue pour ses nanas rondes et colorées a révolutionné l'art avec une puissance toute féminine « Elle va nous montrer effectivement que la femme peut tout à fait s'emparer de ce qui d'habitude est attribué aux hommes, comme par exemple les armes. Quand elle fait sa série des Tirs, tout au début des années 1960, poursuit Sophie Duplaix. Elle fait des reliefs, des panneaux qu'elle met à l'horizontal pour les recouvrir de poches de couleurs. Après, elle déverse du plâtre, pour que ce soit immaculé. Elle tire dessus et les poches de couleurs qu'elle a mises explosent. Elles font donc dégouliner la peinture sur le relief blanc immaculé. Ce qui est à la fois un pied de nez à la peinture traditionnelle, et aussi une affirmation du pouvoir féminin. » Un pied de nez aux conventions que l'exposition met joyeusement en avant. À lire aussiLa Révolte à l'oeuvre de Niki de Saint-Phalle
Episode Overview In this episode of The Design Vault, hosts Albert Shum and Thamer Abanami explore the extraordinary story of the Citroën DS, arguably the most audacious automobile ever created. Born from the devastation of post-WWII France, this revolutionary car emerged from an 18-year development odyssey that challenged every automotive convention. With insights from retired Apple and Motorola design leader Tim Parsey, who owned multiple DS models, this episode reveals how a dream team of engineers and designers created a vehicle so advanced it seemed to come from the future. From its magical hydropneumatic suspension to its aerodynamic sculpture-on-wheels aesthetic, the DS completely reimagined what a car could be. Original Air Date: August 26, 2025 Episode Length: 38:31 Hosts: Albert Shum, Thamer Abanami Guest: Tim Parsey (Former Apple, Motorola, Mattel Design Leader) Key Segments & Timestamps The Context: Post-War France's Design Challenge (00:20 - 03:58) Post-WWII devastation creating space for radical innovation Rough roads, high fuel taxes, and the culture of efficiency Charles de Gaulle's “grandeur” vision driving technological ambition How constraints became catalysts for breakthrough thinking The Automotive Landscape: A World Ripe for Disruption (03:58 - 06:10) American excess era: 42-inch tail fins and chrome measured by weight Germany's people's car philosophy with the Beetle Britain maintaining pre-war conservatism France's strategy to leapfrog rather than catch up Citroën's Culture of Radical Innovation (06:10 - 08:45) André Citroën's front-wheel-drive gamble with the Traction Avant The critical 1934 bankruptcy and Michelin's revolutionary takeover Pierre Boulanger's radical decision: “Keep engineers, fire accountants” The 2CV's parallel development funding DS ambitions The Dream Team (08:45 - 11:50) André Lefebvre: Aeronautical engineer with a backlog of innovations Paul Magès: Self-taught genius behind hydropneumatic suspension Flaminio Bertoni: Italian sculptor turned automotive stylist Why letting creative minds loose is “highly risky but necessary” The 18-Year Development Odyssey (11:50 - 16:21) Simple question: Why improve roads when you can improve cars? Secret development during WWII The hydropneumatic breakthrough: Gas compresses, liquid transmits Systems integration: One technology powering suspension, brakes, steering 40% of build cost invested in hydraulic complexity The Theatrical Launch: Paris 1955 (17:16 - 20:03) Grand Palais transformed into theater The silk sheet drops, crowds gasp 12,000 pre orders—a record until Tesla Model 3 The strategic 500-customer beta program with dedicated engineers Living with Revolutionary Complexity (20:03 - 23:05) The infamous “mushroom brake” and its quirks Tim's near-death experience “Marking territory with hydraulic fluid” Why the experience had to be driven to be understood The Meditative Magic: What Made DS Special (23:05 - 27:03) “Like gliding around… a meditative experience” Magic carpet ride over speed bumps Why no other manufacturers copied the formula Engineering complexity as competitive moat Evolution and Variants (27:03 - 28:55) From “frog eyes” to swiveling directional headlights (1967) Power progression: DS 19, DS 21, DS 23 Safari wagons, Pallas luxury, SM with Maserati power “Frogs have personality. Fairings don't.” Design Philosophy: Engineering as Art (28:55 - 32:39) Perfect tension between engineering and sculptural beauty Authentic aerodynamics vs. American “rocket ship” styling Three-dimensional airflow management with under-car panels Flush door handles decades before Tesla Interior as Living Room (32:39 - 35:20) Four interior lights creating ambient atmosphere Bench seats and column-mounted gear shifter maximizing space Single-spoke steering wheel for unobstructed view Dashboard-mounted mirror at natural eye level Personal Connection: Tim's First DS Story (35:20 - 38:27) £30 for two broken cars to make one working DS Brilliant engineering: body panels removable with single bolts Digging holes in frozen ground to replace hydraulic lines The devotion that revolutionary design inspires Legacy and Lessons for Modern Innovators (38:27 - 38:31) Showing possibilities people never imagined The courage to exist “outside of time” Why serving people sometimes means ignoring market research Dream teams without financial constraints Connect With The Design Vault The Design Vault explores iconic products from the innovation-rich 1970s-early 2000s, extracting strategic insights for today's designers, engineers, and business leaders. Each episode combines nostalgic storytelling with actionable lessons for modern product development. Subscribe: Available on all major podcast platforms including Spotify, Apple, and more Follow us: Instagram: @thedesignvaultpodcast, LinkedIn: Thamer Abanami, Albert Shum We'd love to hear your thoughts, episode ideas and feedback via the links above. Credits Hosts: Albert Shum and Thamer Abanami Guest: Tim Parsey Editor: Rachel James Intro Music: Red Lips Media LLC Brand Design: Rafael Poloni
Réécoutez FG mix invite l'hôtel Régina de Paris avec Belle Boutique du lundi 18 août 2025 Situé en face du Musée du Louvre et surplombant le jardin des Tuileries, l'hôtel Regina Louvre est à proximité des principaux monuments parisiens : la tour Eiffel, le Palais Garnier, le Grand Palais, le Trocadéro, les Invalides, le Musée d'Orsay… Il se trouve en plein cœur de Paris, dans le quartier de la mode, du shopping et des musées. Les magasins de luxe de la rue St Honoré témoignent de l'esprit de créativité qui souffle tous les jours sur ce quartier de la capitale française. Chaque chambre a été soigneusement rénovée pour retrouver la splendeur du 19e siècle, alliant l'élégance traditionnelle et le confort moderne avec subtilité. Une partie des chambres donne sur une cour fleurie très calme ; l'autre donne sur le jardin des Tuileries et le Louvre. Peu d'hôtels parisiens offrent une vue aussi spectaculaire sur le musée d'Orsay, le musée du Louvre, le dôme des Invalides, la Tour Eiffel ou la verrière du Grand Palais.https://www.regina-hotel.com/Tracklist1 - Nickee B - The French Touch2 - Change Request & Saucy Lady - Be Dramatic3 - 7Dreams - My Mind4 - Parcels - IknowhowIfeel5 - Charades - Gimme the Funk (Belle Boutique Re-Edit)6 - Flush - Come Back Baby7 - Raw Silk - Do It To The Music (Dr Packer Multi Track Mix) 8 - Satin Jackets feat. David Harks - Shadow Of You9 - A-Ha - Hunting High and Low (Belle Boutique Re-Edit)10 - Satin Jackets - Athena (feat. Anduze) [Extended M11 - Walterino & Jamie Lewis - Cosmic Funk (The Dukes Main Mix) 12 - Kraak & Smaak - Centro de Placer (Extended Mix) 13 - Beach Boys (The) - Kokomo (Belle Boutique Re-Edit)Instagram : www.instagram.com/belleboutiqueeditsSoundcloud : @belleboutiqueFacebook : www.facebook.com/BelleBoutique.frYoutube : www.youtube.com/@BELLEBOUTIQUEPARIS
Yatika Starr Fields, 2025. Portrait © Tom Fields 2025 Born in 1980 in Tulsa, Yatika Starr Fields is a member of the Cherokee, Creek and Osage tribes, as well as a member of the Bear Clan. Yatika Fields studied landscape painting at the University of Oklahoma's Sienna, Italy summer program before enrolling at the Art Institute of Boston from 2001 to 2004. While living on the East Coast, the artist developed a keen interest in street art. His dynamic, vibrant graffiti works quickly attracted attention, generating public and private mural commissions across the country from Portland to Oklahoma City, Phoenix, Santa Fe, and Bentonville. In 2018, he completed Astonishment of Perception, a monumental site-specific mural in downtown Bentonville, as part of Crystal Bridges Museum's Art for a New Understanding (2018–2019). Spanning the side of Cripps Law Firm's two-story building, the work depicts lady justice peeking from behind her blindfold, highlighting the dissonance between America's ideals and its judicial system in practice. Like many of Fields's works, the mural blends abstract and stylistic elements, figuration, and allegorical narrative, all in a dynamic, saturated Pop-palette. After joining the water protectors at the Dakota Access Pipeline in 2016, Fields began to give the Indigenous history of hope and struggle a greater focus in his work. In the 2017 series Tent Metaphor Standing Rock, the artist recovered tents after the infamous February 22, 2017 police raid on the protesters, sewing the recovered material into shapes resembling coffins, sleeping bags, or kites. Fields first worked with tents—a mainstay of middle-class camping holidays— after witnessing Seattle's brightly colored homeless encampments. His interest only increased after noticing the structure's role in modern protest movements. The artist recombines the vivid material into traditional Indigenous patterns, anti-pipeline slogans like “Stop the Black Snake,” and into dynamic, compelling abstract compositions. In its totality, the series blurs the boundaries between political polemic and abstraction, between distress, resistance, and hope. The painting, America Realized (2017), also memorializes the experience at Standing Rock. The composition is explosive: Torrents of ice and fire swirl through prayer ties and collapsing tents, recounting the freezing weather, police force, and fires that the activists braved at Oceti Sakowin, the central camp in Cannon Ball, North Dakota. A surveillance drone flies across the top of the expansive canvas packed with razor wire, floodlights, and debris. The scale of the 6- by-6-foot composition allows for Fields to replicate the embodied, fluid performance of mural and street art. As in graffiti works, Fields blurs the line between abstraction and representation, creating stylistic compositions out of recognizable elements, and setting them against dynamic, swirling fields of color and twisting forms. Fields has participated in over 43 solo and group exhibitions at venues across the United States and Europe, including: the Southern Plains Indian Museum, (2008, Anadarko, Oklahoma); Chiaroscuro Contemporary (2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, Santa Fe); BlueRain Gallery (2015, 2016, 2018, Santa Fe); Peabody Essex Museum, (2015–2016, Salem, MA); Rainmaker Gallery (2017, Bristol, UK); the Grand Palais (2018, Paris); the Philbrook Museum (2018, Tulsa); the Crystal Bridges Museum of American Art (Bentonville, 2019); and the Gilcrease Museum, (2019, Tulsa). Fields's paintings are featured in the collections of many museums across the country, including: the Heard Museum (Phoenix); the Hood Museum (Dartmouth College); Oklahoma State Museum of Art; the Peabody Essex Museum; and the Sam Noble Museum (University of Oklahoma). Yatika Starr Fields, Tahlequah, 2025 Polyester, nylon, aluminum rod and tyvek 67 x 50 inches 170.2 x 127 cm Yatika Starr Fields, Impermanence, 2025 Polyester,
In this special playlist of the Le Bijou comme un Bisou podcast, I present my crush jewelers from the 7th edition of Révélations, the international biennial exhibition of arts and crafts organized by Ateliers d'Art de France. Under the glass roofs of the newly reopened Grand Palais, I interviewed extraordinary jewelers, who will tell you about the jewelry they created especially for this occasion, their exceptional craftsmanship, their artisanal techniques, their precious materials, and the inspiration that drives them. Amidst the 45,000 visitors, I captured unique moments, passionate voices, and vibrant stories about contemporary jewelry, art jewelry, and innovation in these crafts. Of course, I couldn't record all the jewelers, but in this Playlist, I share with you my precious and personal selection—between passion, creation, and emotion. Welcome to the spirit of the Great Exhibitions and enjoy listening to my crush jewelers at the heart of Révélations.In this episode, Joy Harvey, co-founder of La Luce Gioielleria, tells us that she founded her jewelry house to be a joyful jewelry brand, designed for all women and easy to wear. In a new collection, she decided to use digital design to take her creations to the next level. She scanned the jewelry and its opposite to create jewelry stands that allow you to display your jewelry at home and admire it even when you're not wearing it. Because jewelry is a work of art in its own right and deserves to be admired as such. Name of this collectible jewelry are Dead flowers, Medusa, Anemone, Flower Necklace.This is her first time exhibiting at Révélations, and she is delighted to be among so many designers and artists because she has been selected to represent Italian design, which she is very honored by. I'm Anne Desmarest de Jotemps, and I give jewelry a voice. This special playlist includes nine episodes about my crush jewelers at Révélations. To continue listening, you can also find me on my two other podcasts: Il était une fois le bijou, the jewelry-themed podcast and Brillante, the podcast about women who make jewelry brilliant. To make sure you don't miss any of my upcoming interviews, stories, and discoveries, be sure to subscribe to all three podcasts on your favorite listening platform. If you enjoyed this episode, share it on your social media and introduce it to those who love jewelry, craftsmanship, and jewelry design. Until then... lots of love and bisou comme un bijou. Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France.Dans cet épisode, Patrice Fabre, joaillier parisien, créateur depuis 1981, raconte son amour pour Paris et les bijoux. Patrice Fabre s'est fait connaître dès les années 1980 avec une collection audacieuse mêlant béton armé, or et diamant — un contraste radical qui lui a valu plusieurs distinctions, notamment lors des concours internationaux DIA (Diamond International Award) organisés par De Beers.Pour sa troisième fois au salon Révélation, dans le Grand Palais restauré, un lieu qu'il considère comme profondément lié à son identité parisienne, il a imaginé une pièce emblématique : un bijou baptisé "Paris", à la fois broche et pendentif, réalisé en argent ou or, serti de diamants. Cette création est directement inspirée de l'architecture parisienne : la verrière du Grand Palais, la Tour Eiffel, ou encore la pyramide du Louvre. Un hommage vibrant à la capitale, à la fois structuré et symbolique, presque une Révélation !Parallèlement à ce travail très géométrique, il poursuit sa recherche autour de l'aluminium anodisé, un matériau qu'il affectionne pour ses couleurs franches, en particulier le rouge, difficile à obtenir autrement. Avec ce matériau, ses collections joaillières s'inspirent de la nature. Cette année, il s'inspire des paysages du Sud de la France, région où il prévoit de s'installer bientôt. Ses dernières pièces évoquent les oliviers, les cerises, les trèfles à quatre feuilles ou encore les bouquets de fleurs. Influencé par le Land Art, notamment les œuvres d'Andy Goldsworthy, il crée aussi des bijoux plus aériens et libres, comme une bague sculpturale, presque végétale, à la frontière entre nature et abstraction.Ce va-et-vient entre l'urbain et le végétal, est au cœur de son univers. Il revendique des bijoux ludiques, légers, faciles à porter, montés sur fils élastiques, sans fermoirs, pensés pour le confort autant que pour la beauté.Après avoir exposé dans le monde entier — des États-Unis au Japon — il confie que revenir à Paris, dans le Grand Palais est un moment fort, comme un retour aux sources, dans un lieu qui célèbre à la fois la mémoire, la structure… et Paris !Je suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes autour de mes Crush joailliers à Révélations. Pour continuer l'écoute, retrouvez-moi aussi sur mes deux autres podcasts : Il était une fois le bijou, le podcast thématique de la joaillerie et Brillante, le podcast des femmes qui font briller la joaillerie.Pour ne rien manquer de mes prochaines interviews, récits et découvertes, pensez à vous abonner aux trois podcasts sur votre plateforme d'écoute préférée. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et d'ici là… plein de bisous comme un bijou.Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Dans cet épisode, Sophie Autard, bijoutière et graveuse, lauréate 2025 du Prix de la Jeune Création Métiers d'Art des Ateliers d'Art de France raconte ses créations pensées autour du mouvement et de la transformation, du contenu et du contenant et ornés de 2 techniques de gravure.Elle utilise 2 techniques de gravure : la gravure florentine, qui capte intensément la lumière sur le métal, et une gravure à l'encre cuite qui ancrent les motifs dans le métal. Elle a imaginé un bracelet coulissant, composé de deux éléments superposés. Le bracelet intérieur est gravé d'un motif narratif qui se déploie comme une histoire en mouvement. Chaque bijou devient alors un objet cinétique, révélant une part cachée à celui qui le manipule.Sophie Autard conçoit ses bijoux en dialogue avec leurs écrins. Elle développe ainsi des boîtes précieuses dans lesquelles le bijou se cache ou se dévoile. Une œuvre dans l'œuvre, où le contenant sublime le contenu.Exemple, la sphère contenant deux alliances, intégrées à la structure externe. Une fois les alliances retirées, la sphère révèle deux oiseaux Inséparables sculptés dans du bois de noyer, qui viennent se nicher l'un contre l'autre, métaphore de l'amour indissociable.Autre création remarquable : un papillon tridimensionnel, aux ailes en argent gravé, dont le corps est sculpté. Les ailes se détachent pour devenir des boucles d'oreilles, poursuivant le jeu de transformation entre objet d'art et bijou portable.Elle revisite aussi la pomme de senteur médiévale, en créant une sphère sculptée qui, une fois retournée, s'ouvre comme une fleur, révélant une porcelaine, écrin olfactif, gardien d'un sillage précieux.Enfin, elle évoque son icosaèdre, inspiré des volumes de Léonard de Vinci. Cette forme géométrique à 20 faces s'ouvre via de minuscules charnières pour dévoiler, à l'intérieur, un paysage gravé et en 3D: une scène marine animée d'un voilier et d'une mouette en plein vol. Un monde contenu dans une forme mathématique parfaite.Grâce à sa distinction au Prix de la Jeune Création, elle participe cette année à Révélation, au Grand Palais où face à la verrière, est en parfaite résonance avec son univers. Je suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes autour de mes Crush joailliers à Révélations. Pour continuer l'écoute, retrouvez-moi aussi sur mes deux autres podcasts : Il était une fois le bijou, le podcast thématique de la joaillerie et Brillante, le podcast des femmes qui font briller la joaillerie.Pour ne rien manquer de mes prochaines interviews, récits et découvertes, pensez à vous abonner aux trois podcasts sur votre plateforme d'écoute préférée. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et d'ici là… plein de bisous comme un bijou.Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Dans cet épisode, Thierry Vendome raconte les quatre nouveaux colliers, réalisés et présentés à Révélations. Tout d'abord une grande cravate verte, composée de dioptase du Congo, variscite, opale d'Éthiopie et uvarovite, semée de diamants. Jouant avec la transparence et les volumes, c'est une pièce spectaculaire et sculpturale.Autre bijou, un collier d'azurite accompagné de perles baroques blanches. Il s'est amusé à faire dialoguer deux matières opposées : la précision du cristal et la douceur organique des perles. L'ensemble est rehaussé de zircons bleus, de diamants, le tout monté sur du platine, un métal qu'il affectionne particulièrement en ce moment, autant pour sa noblesse que pour la richesse des possibilités qu'il offre.Il présente également un collier de turquoises d'Arménie, naturellement métallisées, associées à des roches d'or jaune brut. Une pièce entièrement articulée et souple, pensée pour le mouvement.Enfin, un collier construit autour d'azurite bleue, de tanzanites violettes et de perles baroques, dans un design très contemporain, structuré, graphique, coloré.Son travail repose avant tout sur le choix des matières, leur intensité, leur lumière. Il cherche à créer des bijoux qui ont de l'impact, qui s'imposent, sans compromis.C'est la deuxième fois que Thierry Vendome participe à Révélation, après une première exposition en 2023, mais c'est la première fois qu'il expose au Grand Palais. Un moment très fort pour lui, chargé d'émotion : en 1972, alors âgé de 7 ans, il avait accompagné son père, exposant au Salon des artistes décorateurs, dans ce même lieu. Il se souvient avec émotion de cet après-midi passé au milieu des œuvres de Vasarely, Soto, et des grandes figures du design de l'époque. Ce jour-là, il se sentait projeté dans le futur. Revenir aujourd'hui, en tant que créateur, est pour lui une très forte et belle émotion. Je suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes autour de mes Crush joailliers à Révélations. Pour continuer l'écoute, retrouvez-moi aussi sur mes deux autres podcasts : Il était une fois le bijou, le podcast thématique de la joaillerie et Brillante, le podcast des femmes qui font briller la joaillerie.Pour ne rien manquer de mes prochaines interviews, récits et découvertes, pensez à vous abonner aux trois podcasts sur votre plateforme d'écoute préférée. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et d'ici là… plein de bisous comme un bijou.Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Dans cet épisode, découvrez Alix Dumas, joaillère contemporaine spécialisée en haute joaillerie d'artiste. Fondatrice de sa maison éponyme, elle crée exclusivement des pièces uniques, à la frontière entre art, sculpture et bijou.Son travail se déploie selon deux axes forts : le volume et la couleur. En travaillant la matière, Alix Dumas positionne chaque bijou dans l'espace, mais aussi sur le corps, avec une attention constante à la fluidité et au mouvement. Elle modèle, taille, assemble, cherchant toujours une interaction vivante entre forme et portabilité.La couleur est au cœur de sa démarche artistique. Elle se manifeste d'abord à travers les pierres naturelles, posées sur fond noir pour révéler tout leur potentiel : nuances, brillance, texture. Mais la couleur s'exprime aussi via des matériaux novateurs :Le titane, pour sa légèreté et sa capacité à offrir un spectre changeant de teintes par anodisation.Searenn, un matériau composite à base de coquillages recyclés des côtes bretonnes, doux au toucher, évoquant à la fois la céramique et la pierre.La céramique, utilisée pour enrichir ses compositions chromatiques et créer des dialogues inattendus avec les pierres. Parmi ses créations les plus emblématiques : la bague Éternité Nuit. Une pièce-sculpture qui dévoile les pierres sous tous les angles, y compris leur revers – une approche rare et volontairement assumée. Cette bague en volute colorée fait littéralement le tour du doigt et de l'espace, abolissant les limites entre recto et verso.À l'occasion du Salon Révélations au Grand Palais, Alix Dumas dévoile une nouvelle création baptisée Souvenir de Ceylan : une paire de boucles d'oreilles spectaculaires mêlant titane anodisé vert, opales lumineuses, et un pendentif en dégradé de diamants du jaune au rouge profond. Une œuvre vibrante et poétique, inspirée du jardin exotique du Sri Lanka où vit sa soeur.Alix Dumas conçoit chaque pièce unique comme une expérience sensorielle, où le métal s'efface pour laisser place à la lumière, à la forme et à l'émotion. Chaque bijou est pensé pour être à la fois porté et contemplé, dans un jeu permanent entre matière, couleur et mouvement. Je suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes autour de mes Crush joailliers à Révélations. Pour continuer l'écoute, retrouvez-moi aussi sur mes deux autres podcasts : Il était une fois le bijou, le podcast thématique de la joaillerie et Brillante, le podcast des femmes qui font briller la joaillerie.Pour ne rien manquer de mes prochaines interviews, récits et découvertes, pensez à vous abonner aux trois podcasts sur votre plateforme d'écoute préférée. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et d'ici là… plein de bisous comme un bijou.Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Sous les verrières du Grand Palais tout juste réouvert, j'ai tendu mon micro à des créateurs joailliers extraordinaires, qui vous raconteront les bijoux créés spécialement à cette occasion, leur savoir-faire exceptionnel, leurs techniques artisanales, leurs matières précieuses, et l'inspiration qui les anime. Dans cet épisode découvrez Ulysse Allanic, un jeune joaillier créateur passionné par l'innovation, la mécanique et l'esthétique végétale. Il présente sa dernière œuvre : le collier Mérésis, un surprenant bijou d'art néo-cinétique entièrement articulé en argent massif, conçu comme une véritable sculpture portée.Ce qui distingue cette pièce, c'est son mécanisme d'automate intégré, inspiré des techniques horlogères et des automates du XIXe siècle. Un ressort spiral en acier trempé, alimente un mouvement qui active huit éléments du décor végétal. Ces composants se déploient lentement, créant un effet visuel de croissance et de respiration organique sur le corps de la personne qui le porte. Le collier met en scène un décor végétal d'inspiration tropicale, composé de six espèces emblématiques : l'arbre du voyageur, le bananier papillon, l'orchidée, la passiflore, la monstera deliciosa et la fougère. Chaque élément a été soigneusement façonné pour restituer la beauté vivante de la nature.L'argent est travaillé et texturé sertit tranches de malachite taillées et polies. Les pistils de la passiflore sont représentés par des fragments de lapis lazuli, tandis que ses vrilles en titane anodisé, d'un mauve lumineux, témoignent d'une maîtrise poussée des matériaux contemporains.Le fermoir du collier, parfaitement dissimulé dans le décor, s'ouvre par une simple pression sur une feuille précise de monstera. Ce détail illustre l'attention particulière portée à l'équilibre entre fonction, design et poésie mécanique.Ulysse Allanic a été sélectionné par le Rotary Club de Paris pour exposer sur leur stand, aux côtés de trois autres artisans d'art. Ce soutien lui permet de faire découvrir son univers créatif dans un lieu prestigieux, et de valoriser le savoir-faire artisanal français.Le collier Mérésis marque le début d'une collection en cours de développement, fondée sur les mêmes principes : une esthétique végétale et une mécanique vivante. Je suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes autour de mes Crush joailliers à Révélations. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et plein de bisous comme un bijou. Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Sous les verrières du Grand Palais tout juste réouvert, j'ai tendu mon micro à des créateurs joailliers extraordinaires, qui vous raconteront les bijoux créés spécialement à cette occasion, leur savoir-faire exceptionnel, leurs techniques artisanales, leurs matières précieuses, et l'inspiration qui les anime. Au milieu des 45 000 visiteurs, j'ai capté des instants uniques, des voix passionnées, et des récits vibrants autour du bijou contemporain, de la joaillerie d'art, et de l'innovation dans ces métiers d'art. Je n'ai évidemment pas pu enregistrer tous les joailliers, mais dans cette capsule, je vous partage ma sélection, précieuse et personnelle— entre passion, création et émotion.Dans cet épisode, Charlotte Romer nous raconte Studio C, son univers où le design industriel rencontre la joaillerie contemporaine. Elle nous raconte comment elle transforme l'aluminium anodisé en bijoux colorés, légers et puissants. Entre bleu électrique, rouge cuivré, noir profond et métal brut, ses créations jouent sur les contrastes entre matières mates et surfaces polies, signatures de son style.Ses inspirations ? L'aéronautique, l'architecture et la gemmologie, notamment à travers sa pièce emblématique inspirée d'une turbine, ornée d'une topaze de 16 carats.Charlotte nous parle aussi de :ses premiers bijoux usinés, devenus aujourd'hui des pièces sculptées à la main ;l'évolution de ses collections, notamment ses manchettes aux pierres taille rose ;la manière dont elle exploite la légèreté de l'aluminium pour créer des pièces imposantes mais confortables, comme ses boucles d'oreilles ou pendentifs sculptés ;sa première exposition au Salon Révélation au Grand Palais, un lieu en résonance parfaite avec son travail en métal coloré.Chaque création est une pièce unique, façonnée avec précision, que Charlotte réalise également sur demande.Pour découvrir son travail : Instagram — @studioc_jewelleryJe suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes . Pour continuer l'écoute, retrouvez-moi aussi sur mes deux autres podcasts : Il était une fois le bijou et Brillante.Pour ne rien manquer de mes prochaines interviews, récits et découvertes, pensez à vous abonner aux trois podcasts sur votre plateforme d'écoute préférée. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et d'ici là… plein de bisous comme un bijou.Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:53 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - À l'occasion de Grand Palais d'été, à Paris, Boris Charmatz propose "Cercles", un atelier chorégraphique en temps réel réunissant 200 danseurs. Entre énergie collective et singularités, le public est invité à suivre l'échauffement et la performance, jusqu'à une soirée DJ festive. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Boris Charmatz Chorégraphe français
Louise est la personne la plus nostalgique, pas étonnant donc qu'elle ait été passionnée par l'exposition Mohamed El Khatib au Grand Palais où le salon d'une mamie l'a fait chialer.Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur :Apple PodcastsSpotifyDeezerPodcast AddictSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Kalindi : @kalramphulAlix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:01:18 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Est-ce de l'art ou de l'air... du vent ? 80 secondes ce matin pour vous emmener à l'exposition au Grand Palais à Paris : "Euphoria, Art is in the Air". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Une sélection d'œuvres d'art brut (une partie de la collection de Bruno Decharme donnée au Centre Pompidou en 2021) est exposée au Grand palais à Paris tout l'été et jusqu'au 21 septembre. L'art brut a été défini par Jean Dubuffet au milieu du XXe siècle, l'artiste collectionnait les œuvres de ces exclus, anonymes, aliénés, marginaux qui, sans formation artistique, inventent des univers qui touchent au cœur. Pour aller plus loin : « Art Brut » Dans l'intimité d'une collection au Grand Palais
durée : 02:00:14 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse à ce qu'on appelle l'ère de la post-vérité avec les chercheurs Mickaël Lainé et Charles Mercier. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anne Bouillon Avocate au barreau de Nantes, spécialisée dans le droit des femmes et les violences conjugales; Michaël Lainé Maître de conférences en économie à l'Université Paris 8; Charles Mercier Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Bordeaux; Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:19:30 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Pauline Chanu - Du 26 juin 2025 au 10 janvier 2026, le Grand Palais réunit pour une exposition inédite les artistes Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, camarades puis couple de créateurs, et le premier patron du Centre Pompidou à son ouverture en 1977, le suédois Pontus Hulten. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:27:17 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu du débat critique, deux expositions : "Art brut. Dans l'intimité d'une collection" au Grand Palais avec le Centre Pompidou, et "Nous autres, Donna Gottschalk, Hélène Giannecchini avec Carla Williams" au BAL. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
durée : 00:16:13 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de la magistrale exposition "Art brut. Dans l'intimité d'une collection" organisée au Grand Palais à Paris et coproduite par le Centre Pompidou, qui rassemble 400 œuvres issues d'une donation du cinéaste Bruno Decharme. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
For the “Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely and Pontus Hulten” exhibition at the Grand Palais, this podcast looks back at the links between Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely and Pontus Hulten. Driven by a shared vision of art for all, they created extraordinary, ephemeral works that have had a lasting impact on art and museums.Direction: Clara Gouraud, Delphine CoffinRecording: Ivan GarielTexts by Niki de Saint Phalle: ‘Hon', ‘Notre collaboration' and ‘Portrait de Pontus', Readings: Claire Olivier, Darrell Di Fiore, Marine Dorandeu, Marianne BergesThis exhibition is a coproduction of Centre Pompidou and Grand Palais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le metteur en scène Mohamed El Khatib présente actuellement une large rétrospective de ses dix dernières années de création au Grand Palais. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Mohamed El Khatib Metteur en scène
Pour l'exposition « Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Pontus Hulten », au Grand Palais, ce podcast revient sur les liens qui unissent les deux artistes Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, et l'homme de musée Pontus Hulten. Tous trois portés par une vision commune d'un art pour tous, ils sont à l'origine d'œuvres hors normes, éphémères, qui ont durablement changé l'art et le musée.Avec Sophie Duplaix, commissaire de l'exposition, Bloum Cardenas, petite-fille de Niki de Saint Phalle, et Andres Pardey, directeur délégué du musée Tinguely.CréditsRéalisation : Clara Gouraud, Delphine CoffinEnregistrement et mixage : Ivan GarielTextes de Niki de Saint Phalle : « Hon », « Notre collaboration » et « Portrait de Pontus », Lectures : Claire Olivier, Darrell Di FioreExtraits des films Cataloga de Marco di Castri et Jean Tinguely par Pierre-André Boutang et Jean-Denis Bonan, 1988Merci à Sophie Duplaix, Bloum Cardenas et Andres Pardey Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Světová výstava, nemocnice za první světové války a naposledy i dějiště olympijských her. To je Grand Palais neboli Velký palác – secesní perla uprostřed Paříže, která letos slaví 125 let. Ohromná prosklená střecha dělá z této budovy největší skleník na světě. A teď se po čtyřech letech generální rekonstrukce opět otevírá veřejnosti.
Světová výstava, nemocnice za první světové války a naposledy i dějiště olympijských her. To je Grand Palais neboli Velký palác – secesní perla uprostřed Paříže, která letos slaví 125 let. Ohromná prosklená střecha dělá z této budovy největší skleník na světě. A teď se po čtyřech letech generální rekonstrukce opět otevírá veřejnosti.Všechny díly podcastu Zápisník zahraničních zpravodajů můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
durée : 00:45:38 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le performeur, Olivier Saillard, présente “Les vêtements de Renée”, performance-mode au Grand Palais, en hommage à sa mère. L'historien de la mode a concocté un spectacle se voulant être un moment de réflexion sur le vêtement et le rapport intime que nous pouvons entretenir avec lui.
In this exhibition, a wide selection of art brut works is presented at the Grand Palais from June 19 to September 21, 2025.The exhibition's two curators and collectors Barbara Safarova and Bruno Decharme, talk about their passion for this art form, their collection and their donation of a body of work to the Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, associate curator, talks about the entry of these works into the collection of the Musée national d'art moderne.Realization: Delphine CoffinEditing and mixing: Ivan GarielVoices: Marianne Berges, Marine Dorandeu, Julie Micheron, Olivier RaynalThanks to Bruno Decharme, Barbara Safarova and Cristina AgostinelliThis exhibition is coproducted by Grand Palais and Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cette exposition, une large sélection d'œuvres d'art brut est présentée au Grand Palais du 19 juin au 21 septembre 2025. Les deux commissaires de l'exposition et collectionneurs, Barbara Safarova et Bruno Decharme, nous parlent de leur passion pour l'art brut, de leur collection et de leur donation d'un fonds d'œuvre au Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, commissaire associée, témoigne de l'entrée de ces œuvres dans la collection du Musée national d'art moderne.Réalisation : Delphine CoffinMontage et mixage : Ivan GarielRemerciements à Bruno Decharme, Barbara Safarova et Cristina AgostinelliCette exposition est une coproduction du Grand Palais et du Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Grand Palais est lʹun des monuments les plus emblématiques de Paris, un monument qui va beaucoup faire parler de lui puisquʹil rouvre ses portes au mois de juin. Le grand palais était fermé depuis mars 2021 en raison de travaux pour le moderniser tout en préservant son architecture unique. Pour parler de lʹhistoire du monument, Johanne Dussez sʹentretient avec Gilles Plum, Docteur en Histoire de lʹArt et auteur de nombreux ouvrages sur le Grand Palais.
A host of exhibitions and events this month and next celebrate the 100th anniversary of the birth of the Swiss artist Jean Tinguely, one of the godfathers of kinetic and auto-destructive art. Ben Luke speaks to Roland Wetzel, the director of the Tinguely Museum in Basel about the artist's life and work, and the events marking the centenary. In Rotterdam in the Netherlands, Fenix, a museum about migration, has just opened, featuring a dramatic stainless steel tornado form on its roof. We discuss the museum with its director, Anne Kremers. And this episode's Work of the Week is by an immigrant artist, Ben Shahn, who was born in modern-day Lithuania but travelled as a child to the US, where he became a leading painter associated with Social Realism. Among his greatest achievements was the mural The Meaning of Social Security, painted between 1940 and 1942 in Washington D.C. to reflect the benefits of the then-recent Social Security Act. Shahn is the subject of a major show that opened this week at the Jewish Museum in New York. We speak to Laura Katzman, the co-curator of the exhibition with the Jewish Museum's Stephen Brown, about Harvesting Wheat (1941), Shahn's study for one of the figures in the mural.The Tinguely Museum in Basel, Switzerland, has a permanent display of his work; Scream Machines–Art Ghost Train, by Rebecca Moss and Augustin Rebetez, Tinguely Museum, until 30 August; Mechanics and Humanity: Eva Aeppli and Jean Tinguely, Lehmbruck Museum, Duisburg, Germany, until 24 August; Niki de Saint Phalle & Jean Tinguely: Myths & Machines, Hauser & Wirth Somerset, Bruton, UK, until 1 February 2026; Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hultén, Grand Palais, Paris, 20 June-4 January 2026.The Fenix museum is open now.Ben Shahn: On Nonconformity, Jewish Museum, New York, 23 May-12 October. The book accompanying it published on 3 June by Princeton University Press, priced $45.00/£38.00.The Meaning of Social Security murals:https://art.gsa.gov/artworks/637/the-meaning-of-social-security?ctx=3bc918796c456cc8fb8e3d3f033918d4249d0ce6&idx=6https://livingnewdeal.org/sites/wilbur-j-cohen-building-shahn-frescoes-washington-dc/#lg=1&slide=1 Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
When we last spoke with Australian taekwondo athlete Leon Sejranovic at the end of 2023, he was riding high off his World Championship success that saw him win a bronze medal. Full of confidence and in red hot form, Sejranovic headed into his first ever Olympics as a genuine medal threat and a chance to break a 24-year medal drought for Australia in taekwondo at the Olympics. Unfortunately for Sejranovic it wasn't to be, with the 22-year-old bowing out in the repechage round. Despite his disappointment from Paris, Sejranovic is pushing hard towards LA in 2028 and achieving his dream of an Olympic medal, and in another great chat with him he goes over just how he is bouncing back from Paris and why he will be an even bigger threat at his second Olympics in just over three years time. He also talks about all of his Olympic experiences on the ground, find out just what it was like to compete in the Grand Palais and learn just why Timothée Chalamet may be a big part of his future. It's a chat that you won't want to miss, so get to listening!
Comment se connecter au moment présent et profiter de l'énergie collective ?Nous avons tous vu les images de la finale d'escrime franco-française aux Jeux Olympiques de Paris, sous la nef du Grand Palais. Manon Apithy-Brunet a affronté sa camarade Sara Balzer en finale et décroché l'or. Un aboutissement, après la 4e place à Rio en 2016 et la médaille de bronze à Tokyo en 2021.Nous avons eu la chance de la rencontrer peu de temps après la sortie de son documentaire “Derrière le masque”, dans lequel elle partage sa préparation aux Jeux Olympiques, à la fois physique et mentale.Dans cet épisode, elle revient sur les moments les plus marquants de sa carrière :8:37 : comment elle a réussi à dépasser sa frustration de la 4e place aux Jeux Olympiques de Rio pour devenir championne du monde,14:36 : comment elle s'est remotivée pour la petite finale en 2021 grâce aux mots de son mari - escrimeur lui aussi, Boladé Apithy21:40 : les conseils de préparation mentale de Stéphane Limousin et de la championne Clarisse Agbegnenou, qui lui servent au quotidien,23:15 : son “burn-out” de l'escrime et sa luxation de l'épaule,30:06 : sa médaille olympique aux Jeux de Paris 2024.Ses bonnes pratiques en matière de santé mentale :Se reconnecter au plaisir : après sa défaite en demi-finale aux Jeux de Tokyo, Manon pense ne pas pouvoir retourner sur la piste pour la petite finale. L'appel de son mari, Boladé Apithy, la reconnecte à son amour de l'escrime pour aller décrocher la médaille de bronze.S'entourer d'experts (psychologue, préparateur mental) pour travailler sa motivation et sa confiance en soi.Tirer parti de son environnement : le jour de la finale des Jeux de Paris, Manon s'imagine dans une grosse bulle pour se concentrer tout au long de la journée ; mais une fois sur le plateau, elle ouvre cette bulle pour capter l'énergie du public. Canaliser ses pensées, en se constituant une feuille de route en amont des moments de tension, à lire pour se re-concentrer dans la dernière ligne droite. Bonne écoute !À propos du podcast :On parle volontiers de “mental” dans le sport de haut niveau : mental de champion, victoire au mental, mental d'acier. Mais quelle place y a-t-il pour la santé mentale ?Dans Les Secrets du Mental, nous partons à la rencontre d'athlètes de haut niveau qui partagent avec nous les vives émotions de leur carrière : les moments heureux, mais aussi les mauvaises passes, les blessures, les passages à vide… ces moments dont on parle peu.Vous allez aussi découvrir comment ils prennent soin de leur mental au quotidien.
Ce week-end, le Grand Palais à Paris accueille l'événement "Change Now", dédié à transformer positivement le monde. Tout le monde peut y contribuer en adoptant une consommation responsable, notamment en choisissant des produits de marques "engagées". Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
BONUS
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
Ce week-end, le Grand Palais à Paris accueille l'événement "Change Now", dédié à transformer positivement le monde. Tout le monde peut y contribuer en adoptant une consommation responsable, notamment en choisissant des produits de marques "engagées". Cette saison dans "RTL Matin", Olivier Dauvers part à la quête des bonnes affaires et vous livre ses secrets pour éviter les arnaques et devenir un consommateur avisé ! Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La révolution industrielle au 19e siècle, est-ce que c'est un avancée ou un traumatisme qui nous habite encore ? Note: merci à @EdwinVan57 de l'avoir souligné. En 1871 la France a perdu l'Alsace et la Moselle et non la Lorraine entière. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Maxime Testart de @laratplace et Laurent Turcot https://www.youtube.com/@laratplace Montage et réalisation: Laurent Turcot Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl 00:00 Introduction 02:30 C'est quoi la Révolution industrielle ? 06:14 Les origines au 18e siècle 12:23 Pourquoi la Grande-Bretagne ? 23:04 Des innovations qui changent le monde 29:30 Toujours plus vite et plus loin 33:31 Des villes industrielles 41:29 Deuxième révolution industrielle 46:17 Une source de conflits 56:05 Conclusion Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Roland Marx, La révolution industrielle en Grande-Bretagne, Paris, Armand Colin, 1992 (1970). Nadège Sougy et Patick Verley, « La première industrialisation (1750-1880) » Documentation photographique, janvier-février 2008 Patrick Verley, La révolution industrielle, Paris, Gallimard, 1997 (1985). Jean-Pierre Rioux, La révolution industrielle 1780-1880, Paris, 1989 (1971). Chantal Beauchamp. Révolution industrielle et croissance économique au 19e siècle, Paris, Ellipses, 1997. Jean-Pierre Rioux et Dominique Redor, La révolution industrielle en Grande-Bretagne, Paris, Hatier, 1980. J.M. Roberts et O.A. Westad, Histoire du monde. 3. L'Âge des révolutions, Paris, Perrin, 2016. Joel Mokyr (dir.), The British Industrial Revolution: An Economic Perspective, Westview Press, 2018. Riello, Giorgio. Cotton: The Fabric That Made the Modern World. Cambridge: Cambridge University Press, 2013. E. P. Thompson, The Making of the English Working Class, Vintage, 1980 (1963). Smith, Bonnie G. et al. World in the Making: A Global History. New York: Oxford University Press, 2019. Jürgen Osterhammel, La transformation du monde, une histoire globale du XIXe siècle, Paris, Nouveau Monde. 2017 (2009 Louis Chevalier, Classes laborieuses et classes dangereuses pendant la première moitié du XIXe siècle, Paris, Plon, 1958. E. J. Hobsbawm, Histoire économique et sociale de la Grande-Bretagne. tome 2, de la révolution industrielle à nos jours, Paris, Seuil, 1977 (1968). E. J. Hobsbawm, Industry and Empire: From 1750 to the Present Day. 1999. Sidney Pollard, Peaceful Conquest: The Industrialization of Europe, 1760–1970, Oxford, Oxford University Press, 1981. David S. Landes, Richesse et pauvreté des nations. Pourquoi des riches ? Pourquoi des pauvres ?, Paris, Albin Michel, 2000 (1998) Jean-Charles Asselain, Histoire économique de la France du XVIIIe siècle à nos jours. Paris, Points, 2011, (1984), Emma Griffin, A Short History of the British Industrial Revolution, London, Bloomsbury, 2010. N. F. R. Crafts, British Economic Growth during the Industrial Revolution, Clarendon Press, 1985 François Crouzet, Histoire de l'économie européenne, 1000-2000, Albin Michel, Paris, 2000 Paul Bairoch, Révolution industrielle et sous-développement, Paris, éd. de l'E.H.E.S.S., 1974 (1963). https://fr.wikipedia.org/wiki/Puddlage Jean-Charles Asselain, « Révolution industrielle » [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : https://www-universalis-edu-com.biblioproxy.uqtr.ca/encyclopedie/revolution-industrielle/ Samir Amin. « Industrie » - Industrialisation et formes de société [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Francis Demier. « Multiplication des inventions » [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. https://www.geo.fr/histoire/quest-ce-que-la-revolution-industrielle-208173 « LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE | Je révise avec toi | #08 », Je révise avec toi, 8 mars 2023. « LA SECONDE RÉVOLUTION INDUSTRIELLE | Je révise avec toi | #40 », Je révise avec toi, 7 mai 2023. « Révolution industrielle : Le Charbon, Moteur de la Puissance Britannique | Partie 1 | SLICE HISTOIRE », SLICE Histoire, 30 septembre 2024. « L'Industrialisation », RÉCIT Univers social, 20 août 2019. « L'HISTOIRE PAR L'IMAGE | La révolution industrielle », Grand Palais, 2 octobre 2020. « Coal, Steam, and The Industrial Revolution: Crash Course World History #32 » CrashCourse, 20 août 2012. Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #revolutionindustrielle #revolutionaryinventions #industrialrevolution #industrialrevolution
Hello les besties, aujourd'hui c'est debrief pendant 55' du premier solo hyrox d'Amélie en catégorie open. J'espère que vous apprécierez ce format bisous les girls !! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 11 avril 2025 : Régine Hatchondo, présidente du Centre national du livreAujourd'hui débute le festival du Livre à Paris, au Grand Palais. Plus de 100.000 visiteurs sont attendus jusqu'à dimanche inclus. Un événement qui se déroule dans un contexte morose pour la lecture. D'après le dernier baromètre du Centre national du livre (CNL), mené par Ipsos, seuls 45% des Français déclarent lire quotidiennement, sur format numérique ou papier. Les 50-64 ans sont ceux qui décrochent" le plus, avec une baisse de 15 points par rapport à la dernière étude du CNL, publiée en 2023.Autre chute vertigineuse, les Français lisent en moyenne dix-huit livres par an, quatre de moins qu'il y a deux ans. On atteint même huit ouvrages en moins chez les 15-24 ans et les plus de 65 ans. Ce sont les 25-34 ans qui redressent la barre, avec vingt-sept livres lus en moyenne sur un an, soit plus du double des 35-49 ans, la tranche d'âge qui en lit le moins. L'ennemi principal de la lecture, ce sont les écrans : les Français passent quasiment autant de temps par jour (3 h 21) devant un écran qu'ils le font par semaine (3 h 40) à lire un livre. Mais même quand les Français lisent, ils gardent leur smartphone à portée de main. Plus d'un quart d'entre eux envoient des messages, vont sur les réseaux sociaux ou regardent des vidéos tout en lisant. Régine Hatchondo, directrice du Centre national du livre, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur la pratique des Français en matière de lecture, et appellera à un "sursaut" face aux écrans. Le Centre national du livre appelle notamment les Français à lire au moins un quart d'heure par jour.
durée : 01:04:02 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - Alors que se tient le Festival du livre de Paris jusqu'au 13 avril, La Conversation littéraire de ce jour a lieu en direct du Grand Palais où vous pouvez nous retrouver au studio Radio France. Les lettres marocaines sont à l'honneur. - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Driss Ksikes Écrivain, dramaturge, chercheur.; Hajar Azell Romancière. ; Mahi Binnebine Peintre et romancier.
Ça vous dit de voir Tomy, Bolduc … et même Céline Kallmann ?Rdv au Grand Palais dimanche 13 avril 2025 à partir de 10h. Le Grand Palais se situe 7 avenue Winston Churchill, 75008 Paris. Le Festival du Livre de Paris est accessible aux personnes à mobilité réduite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:29 - Un monde connecté - par : François Saltiel - L'exposition "Pixels" au Grand Palais Immersif est consacrée à l'artiste digital Miguel Chevalier. Ici le terme "immersif" n'est pas galvaudé, car le spectateur peut jouer et interagir avec le virtuel. Une véritable symbiose avec les œuvres qui réagissent à nos moindres gestes.
Send us a textAhh, Paris! Every February, the classic and collector car world converges on the City of Lights for Rétromobile- a massive assemblage of the best offerings in every category of automobilia. It's also the site of Bonhams Cars Grand Palais auction, which has something for every taste, from the horseless carriages of the 19th Century to the supercars of today. In this episode, Eric Minoff of Bonhams Cars joins us with a bevy of selections from this year's catalogue. Some of the picks may surprise you, from vintage racers to turbo titans. You're sure to find a favorite, so listen and bid accordingly.VISIT BONHAMS CARS and follow along:https://cars.bonhams.com/auction/30406/les-grandes-marques-du-monde-and-224-paris/BONUS LISTEN! Maurice Merrick and Michael Emery on the SLOW BAJA Podcast:https://podcasts.apple.com/us/podcast/slow-baja/id1511808843?i=1000678950029BECOME A PATRON:https://www.buymeacoffee.com/hpheritageSUBSCRIBE to Horsepower Heritage on YouTube:https://www.youtube.com/@horsepowerheritageFIND US ON THE WEB:https://www.horsepowerheritage.comINSTAGRAM: @horsepowerheritageHORSEPOWER HERITAGE is created, produced and hosted by Maurice Merrick.Get in touch with Maurice:https://horsepowerheritage.com/contactSupport the showHELP us grow the audience! SHARE the Podcast with your friends!