Historic site, exhibition hall in Paris, France
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Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Sous les verrières du Grand Palais tout juste réouvert, j'ai tendu mon micro à des créateurs joailliers extraordinaires, qui vous raconteront les bijoux créés spécialement à cette occasion, leur savoir-faire exceptionnel, leurs techniques artisanales, leurs matières précieuses, et l'inspiration qui les anime. Dans cet épisode découvrez Ulysse Allanic, un jeune joaillier créateur passionné par l'innovation, la mécanique et l'esthétique végétale. Il présente sa dernière œuvre : le collier Mérésis, un surprenant bijou d'art néo-cinétique entièrement articulé en argent massif, conçu comme une véritable sculpture portée.Ce qui distingue cette pièce, c'est son mécanisme d'automate intégré, inspiré des techniques horlogères et des automates du XIXe siècle. Un ressort spiral en acier trempé, alimente un mouvement qui active huit éléments du décor végétal. Ces composants se déploient lentement, créant un effet visuel de croissance et de respiration organique sur le corps de la personne qui le porte. Le collier met en scène un décor végétal d'inspiration tropicale, composé de six espèces emblématiques : l'arbre du voyageur, le bananier papillon, l'orchidée, la passiflore, la monstera deliciosa et la fougère. Chaque élément a été soigneusement façonné pour restituer la beauté vivante de la nature.L'argent est travaillé et texturé sertit tranches de malachite taillées et polies. Les pistils de la passiflore sont représentés par des fragments de lapis lazuli, tandis que ses vrilles en titane anodisé, d'un mauve lumineux, témoignent d'une maîtrise poussée des matériaux contemporains.Le fermoir du collier, parfaitement dissimulé dans le décor, s'ouvre par une simple pression sur une feuille précise de monstera. Ce détail illustre l'attention particulière portée à l'équilibre entre fonction, design et poésie mécanique.Ulysse Allanic a été sélectionné par le Rotary Club de Paris pour exposer sur leur stand, aux côtés de trois autres artisans d'art. Ce soutien lui permet de faire découvrir son univers créatif dans un lieu prestigieux, et de valoriser le savoir-faire artisanal français.Le collier Mérésis marque le début d'une collection en cours de développement, fondée sur les mêmes principes : une esthétique végétale et une mécanique vivante. Je suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes autour de mes Crush joailliers à Révélations. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et plein de bisous comme un bijou. Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette capsule spéciale du podcast Le Bijou comme un Bisou, je vous propose mes Crush joailliers de la 7ᵉ édition de Révélations, la biennale internationale des métiers d'art et de la création, organisée par Ateliers d'Art de France. Sous les verrières du Grand Palais tout juste réouvert, j'ai tendu mon micro à des créateurs joailliers extraordinaires, qui vous raconteront les bijoux créés spécialement à cette occasion, leur savoir-faire exceptionnel, leurs techniques artisanales, leurs matières précieuses, et l'inspiration qui les anime. Au milieu des 45 000 visiteurs, j'ai capté des instants uniques, des voix passionnées, et des récits vibrants autour du bijou contemporain, de la joaillerie d'art, et de l'innovation dans ces métiers d'art. Je n'ai évidemment pas pu enregistrer tous les joailliers, mais dans cette capsule, je vous partage ma sélection, précieuse et personnelle— entre passion, création et émotion.Dans cet épisode, Charlotte Romer nous raconte Studio C, son univers où le design industriel rencontre la joaillerie contemporaine. Elle nous raconte comment elle transforme l'aluminium anodisé en bijoux colorés, légers et puissants. Entre bleu électrique, rouge cuivré, noir profond et métal brut, ses créations jouent sur les contrastes entre matières mates et surfaces polies, signatures de son style.Ses inspirations ? L'aéronautique, l'architecture et la gemmologie, notamment à travers sa pièce emblématique inspirée d'une turbine, ornée d'une topaze de 16 carats.Charlotte nous parle aussi de :ses premiers bijoux usinés, devenus aujourd'hui des pièces sculptées à la main ;l'évolution de ses collections, notamment ses manchettes aux pierres taille rose ;la manière dont elle exploite la légèreté de l'aluminium pour créer des pièces imposantes mais confortables, comme ses boucles d'oreilles ou pendentifs sculptés ;sa première exposition au Salon Révélation au Grand Palais, un lieu en résonance parfaite avec son travail en métal coloré.Chaque création est une pièce unique, façonnée avec précision, que Charlotte réalise également sur demande.Pour découvrir son travail : Instagram — @studioc_jewelleryJe suis Anne Desmarest de Jotemps, et je donne une voix aux bijoux. Cette capsule spéciale comprend 9 épisodes . Pour continuer l'écoute, retrouvez-moi aussi sur mes deux autres podcasts : Il était une fois le bijou et Brillante.Pour ne rien manquer de mes prochaines interviews, récits et découvertes, pensez à vous abonner aux trois podcasts sur votre plateforme d'écoute préférée. Si cet épisode vous a plu, partagez-le sur vos réseaux sociaux et faites-le découvrir à celles et ceux qui aiment les bijoux, l'artisanat et la création joaillière.Et d'ici là… plein de bisous comme un bijou.Le Bijou comme un bisou est le podcast des histoires et de l'actualité de la joaillerie par Anne Desmarest de Jotemps, fondatrice de Il était une fois le bijouHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:09:53 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - À l'occasion de Grand Palais d'été, à Paris, Boris Charmatz propose "Cercles", un atelier chorégraphique en temps réel réunissant 200 danseurs. Entre énergie collective et singularités, le public est invité à suivre l'échauffement et la performance, jusqu'à une soirée DJ festive. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Boris Charmatz Chorégraphe français
Le titre de leur spectacle est à lui seul tout un programme : Israel et Mohamed. Par les temps qui courent, ça éveille la curiosité et l'envie d'y croire. Mais ils ne sont pas prestidigitateurs, juste très bons amis et complices de scène. Israel Galván est né à Séville dans une famille de danseurs de flamenco. Lui aussi, danseur et chorégraphe maintes fois récompensé, Mohamed El Khatib est auteur, metteur en scène, réalisateur et vient de créer Le grand palais de ma mère dans la Nef du Grand Palais. Ce qui les réunit, outre l'amitié, c'est un certain rapport, justement, à leurs familles et singulièrement à leurs pères. Le metteur en scène signe Israel et Mohamed, une pièce où se mêlent théâtre et danse, où deux hommes dialoguent à travers leurs pratiques artistiques différentes, pour l'un, le film documentaire, pour l'autre, la danse. Dans Touchée par les fées, la comédienne porte le récit, écrit par Marie Desplechin, d'une femme dont les luttes intimes et personnelles ont forgé le destin. Mohamed El Khatib, dramaturge et metteur en scène, et Ariane Ascaride, actrice, sont les invités de Sur le pont des arts. Israel et Mohamed est à voir au Cloître des Carmes du 10 au 23 juillet 2025. Touchée par les fées est un seul en scène qui se joue du 5 au 27 juillet 2025 à la Scala Provence. Au programme de l'émission : ► Reportage Damien Roucou nous parle de Tome 1 de Tom Baldetti. Avec une grande maîtrise de l'improvisation, l'humoriste décortique ses liens familiaux, ses peurs de l'enfance et les forces insoupçonnées d'un jeune adulte. ► Playlist du jour - Oum Kalthoum - Alf Leila We Leila - Feu ! Chatterton - Allons voir - Gianna Nannini - Volare.
Le titre de leur spectacle est à lui seul tout un programme : Israel et Mohamed. Par les temps qui courent, ça éveille la curiosité et l'envie d'y croire. Mais ils ne sont pas prestidigitateurs, juste très bons amis et complices de scène. Israel Galván est né à Séville dans une famille de danseurs de flamenco. Lui aussi, danseur et chorégraphe maintes fois récompensé, Mohamed El Khatib est auteur, metteur en scène, réalisateur et vient de créer Le grand palais de ma mère dans la Nef du Grand Palais. Ce qui les réunit, outre l'amitié, c'est un certain rapport, justement, à leurs familles et singulièrement à leurs pères. Le metteur en scène signe Israel et Mohamed, une pièce où se mêlent théâtre et danse, où deux hommes dialoguent à travers leurs pratiques artistiques différentes, pour l'un, le film documentaire, pour l'autre, la danse. Dans Touchée par les fées, la comédienne porte le récit, écrit par Marie Desplechin, d'une femme dont les luttes intimes et personnelles ont forgé le destin. Mohamed El Khatib, dramaturge et metteur en scène, et Ariane Ascaride, actrice, sont les invités de Sur le pont des arts. Israel et Mohamed est à voir au Cloître des Carmes du 10 au 23 juillet 2025. Touchée par les fées est un seul en scène qui se joue du 5 au 27 juillet 2025 à la Scala Provence. Au programme de l'émission : ► Reportage Damien Roucou nous parle de Tome 1 de Tom Baldetti. Avec une grande maîtrise de l'improvisation, l'humoriste décortique ses liens familiaux, ses peurs de l'enfance et les forces insoupçonnées d'un jeune adulte. ► Playlist du jour - Oum Kalthoum - Alf Leila We Leila - Feu ! Chatterton - Allons voir - Gianna Nannini - Volare.
Louise est la personne la plus nostalgique, pas étonnant donc qu'elle ait été passionnée par l'exposition Mohamed El Khatib au Grand Palais où le salon d'une mamie l'a fait chialer.Pour écouter le 5ème Quarts d'Heure, abonnez-vous à Supercast : https://4quartsdheure.supercast.com/Abonnez-vous à 4 Quarts d'Heure sur :Apple PodcastsSpotifyDeezerPodcast AddictSuivez-nous sur Instagram :4 Quarts d'Heure : @4quartsdheureLouise : @petrouchka_Kalindi : @kalramphulAlix : @alixmrtnCamille : @camille.lorente Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
T'y comprends rien en art contemporain ?
durée : 00:01:18 - Les 80'' - par : Nicolas Demorand - Est-ce de l'art ou de l'air... du vent ? 80 secondes ce matin pour vous emmener à l'exposition au Grand Palais à Paris : "Euphoria, Art is in the Air". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
No último sábado (5), o Brasil foi tema de um grande baile em um dos lugares mais famosos de Paris. O samba, a capoeira e outros elementos da cultura brasileira tomaram conta do Grand Palais em mais uma ação do ano do Brasil na França. Sucesso desde que foi anunciado há algumas semanas, com ingressos gratuitos esgotados em poucos minutos após serem disponibilizados, o Grande Baile do Grand Palais não decepcionou os brasileiros que moram em Paris e muito menos os franceses e estrangeiros, que acompanharam fascinados as músicas, as danças e as fantasias que desfilaram sob a cúpula de vidro desse icônico monumento francês. “Está incrível esse carnaval no Grand Palais! O lugar é lindo, eu nunca tinha vindo e está todo mundo muito animado”, comentou a brasileira Aline Portugal. Já a pesquisadora russa Gulnara Zakharova contou que foi ao evento convidada por uma amiga brasileira e que se surpreendeu com a diversidade, bem como com os significados dos símbolos e fantasias da cultura das diversas regiões do Brasil. Ela elogiou ainda a beleza e a riqueza dos figurinos. “Eu adorei! Foi uma colega que me fez descobrir esse evento e eu realmente adorei o ambiente, a diversão total. Eu fiz uma maquiagem e eu adorei as músicas, as danças e as fantasias. É incrível! Paris é realmente um lugar que reúne todas as culturas e é muito bom poder participar de eventos como esse. Além disso, como russa, há muitas coisas em comum entre os dois países, até mesmo na música, no estilo, na maneira de festejar. Aqui eu me sinto em casa”, contou ela. Axé, frevo, samba e voguing Com apresentações de música e dança, com axé, frevo, samba, capoeira e até mesmo o voguing, o evento entregou uma grande mistura das representações culturais do país. A cantora Carla Visi, que levou ao Grand Palais os sucessos da banda baiana Cheiro de Amor e participou pela primeira vez da temporada do Brasil na França, falou sobre a oportunidade de trazer o axé para a capital francesa. “É uma felicidade imensa. A gente que trabalha cantando e levando a cultura de nosso país e principalmente da Bahia pelo mundo, quando a gente tem a oportunidade de celebrar essa cultura com tantos artistas, com performances maravilhosas e num espaço como esse, é muito emocionante”, disse. O grande baile do Grand Palais teve ainda shows de artistas como Puma Camillê, Karla Silva e Jorge Aragão, que se apresentaram para um público de cerca de duas mil pessoas. Trazendo uma mistura da capoeira de roda com a cultura do ballroom, Puma Camillê apresentou ancestralidade e voguing, numa performance ao som do berimbau que encantou e surpreendeu a plateia. “É muito importante que nossos corpos, pretos, trans, façam esse caminho para representar o Brasil com essa dimensão e essa grandeza, falando de ancestralidade, falando de tradição, de cultura negra e originária, na França, junto com o carnaval. E hoje, pela primeira vez na história, foram transportadas mais de 160 peças do carnaval do Brasil para cá para serem usadas (por membros) do Capoeira para Todes (projeto que reúne pessoas LGBTQIAP+ em um movimento de cultura popular e de resistência) representando o Brasil. Estamos muito honrados e muito felizes”, contou. Puma Camillê falou ainda sobre o fato de revolucionar as culturas ao unir dois movimentos bastante tradicionalistas e diferenciados, que são a roda de capoeira e a dança voguing. Perguntada se sofreu preconceito por misturar essas comunidades, ela disse que ainda sofre. “Eu não vou dizer que esse movimento quebra muros, mas ele cria pontes que conectam o tradicional da capoeira, desde os capoeiristas indígenas, pretos a pajés, Griots e Ialorixás a pessoas LGBT para além da dança. As figuras que normalmente são mandadas para fora de casa por essas com as quais estamos juntando (na capoeira)”, destacou. Confira mais algumas imagens do Grande Baile Brasileiro do Grand Palais.
Há mais de duas décadas colorindo as ruas da capital francesa, o Carnaval Tropical de Paris voltou a encantar o público neste domingo (6), com um desfile vibrante na icônica Avenida Champs-Élysées. O tema deste ano foi Amazônias, trazendo ao público presente a diversidade cultural que engloba a floresta e a urgência das questões ambientais, em plena temporada de verão europeu. Luiza Ramos, de Paris Cerca de 20 grupos participaram do tradicional concurso carnavalesco, inspirado nos desfiles das escolas de samba do Rio de Janeiro e São Paulo. Comunidades das Antilhas, Guiana Francesa, América Latina e Caribe se uniram para celebrar a mistura de culturas e reafirmar a importância da preservação ambiental. A escolha do tema também destaca o papel da Guiana Francesa, território ultramarino francês que compartilha com o Brasil uma vasta área de floresta amazônica. Segundo Joby Garnier, diretor do Carnaval Tropical, a proposta é unir festa e consciência: “Há 25 anos começamos esse carnaval em Paris com o apoio da prefeita e de muitos amigos. Hoje, celebramos o Ano do Brasil na França diante do Grand Palais e do Petit Palais. A Amazônia é a Guiana, é o Brasil, é tudo isso. Queremos que todas as diásporas participem. Chamamos de carnaval tropical porque é de todos os trópicos — e os parisienses também devem fazer parte disso”, disse Leia tambémGrand Palais de Paris anuncia programação brasileira inédita na temporada de 2025 após reformas Além da celebração, Garnier reforça o papel educativo do evento: “Vivemos em um mundo que precisa falar de ecologia. Não podemos oferecer nada sem conscientizar sobre o planeta. Já desperdiçamos tudo o que podíamos e agora precisamos consertar. Esse planeta nos pertence. São pequenos gestos coletivos como a escolha dos figurinos e a abordagem do aquecimento global que fazem a diferença. Fazer carnaval não significa ignorar os problemas. É um problema de todos nós”, afirma o diretor. Nesse contexto, os grupos carnavalescos optaram por materiais sintéticos e reutilizáveis na confecção das fantasias, como explicou o carnavalesco Marcelo Oliveira, da escola de carnaval G.R.E.S Azulinha, a segunda a desfilar na avenida. "Eu venho do Rio de Janeiro todos os anos desde 2022 para trazer nossa cultura nesta grande avenida Champs-Élysées, na cidade de Paris. A gente está usando muitas penas artificiais, para proteção dos animais, o que a gente chama de penas fakes", destacou o artista. Apesar da chuva fina e dos 18 °C, centenas de espectadores de todas as idades e origens compareceram para prestigiar o espetáculo. Ao longo de três quilômetros e quase cinco horas de desfile, a Champs-Élysées se transformou em um palco tropical, com dançarinos caribenhos, passistas brasileiras e muita música. Entre os presentes, a marfinense Beatrice Ceri, moradora de Paris há mais de 30 anos, compartilhou seu entusiasmo: “É meu quarto ano acompanhando o desfile. A atmosfera é sempre maravilhosa. A cada edição, há algo novo para descobrir. Eu adoro conhecer novas culturas — e, claro, gostaria muito de conhecer mais da cultura brasileira!”.
Une sélection d'œuvres d'art brut (une partie de la collection de Bruno Decharme donnée au Centre Pompidou en 2021) est exposée au Grand palais à Paris tout l'été et jusqu'au 21 septembre. L'art brut a été défini par Jean Dubuffet au milieu du XXe siècle, l'artiste collectionnait les œuvres de ces exclus, anonymes, aliénés, marginaux qui, sans formation artistique, inventent des univers qui touchent au cœur. Pour aller plus loin : « Art Brut » Dans l'intimité d'une collection au Grand Palais
Une sélection d'œuvres d'art brut (une partie de la collection de Bruno Decharme donnée au Centre Pompidou en 2021) est exposée au Grand palais à Paris tout l'été et jusqu'au 21 septembre. L'art brut a été défini par Jean Dubuffet au milieu du XXe siècle, l'artiste collectionnait les œuvres de ces exclus, anonymes, aliénés, marginaux qui, sans formation artistique, inventent des univers qui touchent au cœur. Pour aller plus loin : « Art Brut » Dans l'intimité d'une collection au Grand Palais
Do luminoso Grand Palais à galeria impressionista do Musée d'Orsay, vários artistas brasileiros apresentam as suas obras em Paris. No Grand Palais, as exposições Horizontes e Nosso Barco Tambor Terra oferecem cores, luz e uma convidativa instalação sonora onde o público toca instrumentos de percussão. Já no quinto piso do museu d'Orsay, Lucas Arruda surpreende com paisagens imaginadas entre Monet e Cézanne. Ao atravessar a entrada do Grand Palais, somos imediatamente envolvidos não só por uma obra de grande dimensão, mas também pela luz natural que entra pelo telhado de vidro. Essa luz cruza o espaço de exposição, reveste os painéis de madeira onde repousam textos descritivos e expõe as obras com uma luminosidade natural. As instalações de Ernesto Neto convidam-nos a mergulhar num universo sensorial: tecido, formas orgânicas, cores suaves e, sobretudo, instrumentos de percussão aos quais o público pode dar vida, criando a própria música. “Nosso Barco Tambor Terra” usa mais de 5,7 quilómetros de tecido brasileiro. O som ecoa no espaço, e de repente cada um de nós é parte integrante da obra, transformando a contemplação em participação activa. “O tambor originalmente é feito de um tronco de árvore com uma pele de animal. É a mistura do vegetal com o animal. Acho isso uma coisa muito linda”, descreve Ernesto Neto à jornalista Patrícia Moribe, acrescentando que o "nosso corpo tem um tambor que é o coração. Tum tum, tum tum. É ele que está a bater aqui". Mais do que uma instalação, a obra de Ernesto Neto parece representar um ritual. Os visitantes percorrem a obra como se percorressem uma clareira ancestral. Não há distância entre arte e corpo, há presença. O artista brasileiro lembra que a floresta “é a multi-natureza, é a vida, é ela que limpa o universo” e sublinha que "somos filhos de mães indígenas, de mães africanas que chegaram escravizadas. Somos frutos de uma transformação. E o conhecimento que nos resta é colectivo: é afro-indígena, é sabedoria de bem viver", conclui. Na exposição "Horizontes", lemos o nome de Marina Perez Simão, nascida em 1980 e residente em São Paulo. A artista brasileira partilha um ensaio visual, onde revela pinturas de cor intensa, cenários interiores. A exposição ocupa um recanto de luz diáfana, onde os campos de cor parecem pulsar, multiplicando-se sob o efeito dos raios solares que atravessam o telhado envidraçado. A entrada gratuita da exposição apresenta-se como um gesto de democratização: basta entrar e estar presente. Atravessamos Paris, do outro lado do rio Sena, chegamos ao Musée d'Orsay. Subindo o elevador, passando pelos corredores. No quinto piso, surgem quadros de Lucas Arruda. Não apenas expostos, mas estrategicamente posicionado no meio da galeria impressionista, ao lado de Monet, Cézanne, Corot, grandes nomes do impressionismo que imprimiram o imaginário da pintura de paisagem. O trabalho de Lucas Arruda, rotulado “Qu'importe le paysage”, que importa a paisagem, não retrata lugares reais: são paisagens que se revelam pela névoa, pelo mistério, por horizontes indefinidos. As obras parecem “familiares”, embora sejam imaginadas. “Fiquei muito feliz, mas também ansioso. Tive medo de parecer pretensioso”, confessa Lucas Arruda questionado por Patricia Moribe quanto à preparação da exposição. “Aos poucos fui entendendo que não se tratava de confronto, mas de continuidade. E isso trouxe-me alegria. A ideia de que alguém hoje ainda olha para a luz, para a paisagem, e continua a construir”, descreve. Lucas Arruda escolheu cada tela com cuidado. Algumas vieram da sua própria colecção, outras foram pensadas como espelhos invertidos das obras à sua volta. “Coloquei cinco ‘matas' em resposta às cinco catedrais. Pensei no monocromo como lugar sem centro, só sensação, só luz. E procurei criar pontes, como com as obras de Théodore Rousseau, que eu sinto tão próximas do que faço", explicou. Neste altar pictórico, o impacto é imediato e Lucas Arruda surge como uma nova voz, uma voz que questiona, que dialoga e reorganiza. Num museu dedicado ao tempo, a presença do artista brasileiro é travessia: de um Brasil interno, poético, contido, a um legado europeu secular. No final destas duas atmosferas: a travessia é física, sensorial e poética. Trata-se de um convite do Brasil a Paris para revisitar a paisagem, a memória, o ritmo e o toque. Nos dois museus, a arte brasileira revela-se como presença viva e capaz de iluminar não apenas os olhos dos visitantes, mas também os espaços históricos da cidade.
Vous écoutez le bilan critique, le format de Dramathis dans lequel je reviens sur tout ce que j'ai vu en juin au cinéma, dans les musées, les cabarets et autres salles de spectacle.Dans cet épisode, vous retrouverez :Inclassable ⁉️ : « Histoire du soldat » de Karelle Prugnaud au Théâtre du Châtelet, OVNI
Daldo Marte (La Habana, 1982) entró a la colección permanente del museo de arte contemporáneo de París, el Centro Georges Pompidou, con tres obras: un cuadro y dos esculturas. El artista protagonizó la inauguración de la exposición ‘Arte Bruto. En la intimidad de una colección' en el Grand Palais, a orillas del Sena.
Vi är precis hemma från Paris. Fransmän är inte så eleganta som de var och Champs-Elysées börjar likna Drottninggatan. Men parisare är i alla fall urbana. Vi såg David Hockneyutställningen, träffade en svensk konstnär och en svensk estetiker och avrundade med utställningen om bland andra Pontus Hultén, Moderna museets far, på Grand Palais. En annan fråga som väcktes av resan: varför lär sig små pojkar, särskilt om de har föräldrar från Mellanöstern, att de är ständiga kungar i baren, som kan göra vad som helst? Ingen bra idé. Ebba Busch talade också om män och kvinnor i sitt Almedalstal. Vi befarade det värsta, men det var inte så tokigt om man, som Susanna, läste talet. Trump räknar det som en stor seger att federala domare inte längre kan stoppa honom, annat än regionalt. Men det öppnar för ytterligare konflikt mellan USA:a olika delar, vilket är en stor fara. Lena Andersson har skrivit i Svenskan om "förbättringsraseriet" som leder till anonyma beslut som ställer till jättelika besvär. God läsning. Ilskan mot Jeff Bezos Venedigbröllop fångar något större: hur de många miljardärerna gjort livet dyrare och svårare på många sätt. Och Susanna har skrivit om Graydon Carter i Fokus. Han är en av våra ikoner. Johan ska tala om Nidbildens historia, en bok han håller på att skriva, på Gösta Wernermuseet i Simrishamn på tisdag. Kom och lyssna! Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Daldo Marte (La Habana, 1982) ha hecho su entrada en la colección permanente del museo de arte contemporáneo de París, el Centro Georges Pompidou, con tres obras: un cuadro y dos esculturas. El artista y performer protagonizó la inauguración de la exposición ‘Arte Bruto. En la intimidad de una colección' en el Grand Palais, a orillas del Sena. Con capacidades intelectuales especiales desde pequeño, Daldo Marte ha desarrollado un arte de forma autodidacta que le ha ayudado a expresarse con el mundo. Desde niño, empezó a crear, con todo lo que encontraba, en la calle juguetes que no podía comprar. Con esos materiales reclicados, sobre todo plástico, metal y caucho, Marte creó sus propios juguetes que con los años ha ido perfeccionando y evolucionando con figuras articuladas complejas hasta alcanzar el reconocimiento de grandes coleccionistas y ahora la entrada en una de las mecas del arte contemporáneo, el Centro Georges Pompidou de París, actualmente en obras por renovación hasta el 2030 y cuya programación, en parte, se ha trasladado al Grand Palais de la capital francesa. "Es importante como reconocimiento, pero también para la conservación, porque que entre una obra como la de un artista vivo como Daldo le garantiza que va a estar custodiada para las futuras generaciones, entra en la posteridad del arte contemporáneo", explica Rosmy Porter, promotor cultural internacional que ha acompañado a Daldo Marte en la valorización de su carrera artística a nivel mundial y que, sin bien siempre ha creído en el talento del artista, se muestra sorprendido por cómo se han acelarado las cosas en los últimos tiempos. La obra de Marte se reúne en el Pompidou con la de otros artistas cubanos como Wilfredo Lam, Agustín Cárdenas, Jesús González de Armas, Tania Bruguera o Kcho. Entran en la colección tres de sus obras. Uno de sus cuadros de la serie 'Guerra', un mural blanco con pequeñas figuras en miniatura en caucho negro y que representan los conflictos, que ve en las noticias en la televisión desde la infancia. La guerra es uno de los temas que más le preocupan a Marte desde siempre. "Quiero ayudar a que la gente sea consciente de que el mundo sería mejor sin guerra", explica. Las otras dos obras son dos esculturas, dos robots articulados que se ensamblan a modo de lego, con una técnica propia del artista cubano. Además de artista plástico, Marte ha transformado se timidez, que suponía un obstáculo, en una creatividad desbordante creando además máscaras y armaduras con las que encarna superhéroes en performances callejeras. Lo que le ayuda a enfrentar el desafío de la comunicación. "Me ayuda a ser mas extrovertido, más espontáneo y a dar lo mejor de mí", nos explica enmascarado con una de sus creaciones. De la marginalidad al reconocimiento institucional Si tres obras de Daldo Marte han entrado en la colección permanente del Pompiodu es gracias a la donación del coleccionista francés Bruno Decharme. Justamente 400 de las obras que ha donado se exponen hasta el 21 de septiembre en una muestra bautizada 'Arte Bruto, en la intimidad de una colección'. "Pasé bastante tiempo en Cuba y conocí a muchos artistas y a pesar de la situación sociopolítica complicada, sentí una energía, una fuerza vital que viene de todos estos artistas y particularmente del arte bruto. Daldo para mí es como un símbolo de todo esto, Daldo como artista que hace sus esculturas con caucho recuperado y Daldo como performer", explica a RFI Decharme. "Es alguien que también habla de la importancia de ayudar al mundo y de implicarse en grandes preocupaciones mundiales. Eso lo vemos muy a menudo con los grandes artistas de arte bruto. Se preocupan de todos nosotros, aunque no nos hablen directamente. Entrar al Pompidou significa que es un gran artista, Daldo Marte entre los más grandes", agrega el coleccionista. La inauguración de la exposición tuvo lugar el pasado 19 de junio y Daldo Marte protagonizó la apertura con una performance en la que entró en patines, vestido de súperhéroe y con una capa bicolor, blanca y negra simbolizando la paz y la guerra. Una presentación que incluyó el montaje en directo de uno de sus robots articulados. "La obra de Daldo es como la de un cronista que reproduce lo que ve en la televisión, el impacto que tiene en él la actualidad y de ahí viene el tema de la guerra", afirma Porter. "Hasta ser expuesto en los museos, ha dejado fragmentos de él en el camino" "En la performance del Grand Palais, él viene de la calle y llega hasta el museo, en el camino entrega flores de paz y guerra, eso representa cómo ha llegado de la calle hasta ser expuesto en los museos, ha dejado fragmentos de él en el camino. Por otro lado, lo interesante es el contraste entre el blanco y el negro de la obra. Su carrera ha sido una guerra para poder entrar en una institución y eso es muy interesante porque ha ido manejando eso de manera no conceptual", agrega el promotor cultural cubano. En los últimos meses, la actualidad en torno a la obra de Daldo Marte, ha experimentado un punto de inflexión a nivel internacional. El año pasado, se hizo su primera gran exposición individual en la Alcaldía de París, en el distrito XVI, con 250 m2 con sus obras. También participó en una exposición colectiva en el Museo de Arte Bruto de Lausana, Siuza, y una foto de Daldo en las calles de La Habana protagonizó el cartel de esa exhibición. Además, se ha publicado una reseña en la revista de arte de referencia 'Artension', titulada “El caballero errante de la Habana”, y un libro, “Daldo World. Marte Work”. (El mundo de Daldo. El trabajo de Marte) con un texto del director del Museo de Bellas Artes de Cuba, Jorge Antonio Fernández, que se refiere a Daldo como a un Quijote. Sin embargo, Daldo Marte no se siente del todo representado con el personaje de Miguel de Cervantes. "En parte sí y en parte no", nos cuenta. "En mi obra yo trato de representar cosas que siento, pero sin llegar a un punto de enajenación", afirma. Los planes de Daldo Marte no se acaban aquí. El artista cubano está ya empezando a trabajar con otros materiales, como el bronce y buscando que sus obras puedan entrar en las colecciones de otros centros de arte contemporáneo del mundo. #EscalaenParís también está en redes sociales Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Souheil Khedir, Vanille Foucher, Cyril Etienne, Gabriel Reigne. Gracias a Daldo Marte y al Grand Palais por su acogida.
Daldo Marte (La Habana, 1982) ha hecho su entrada en la colección permanente del museo de arte contemporáneo de París, el Centro Georges Pompidou, con tres obras: un cuadro y dos esculturas. El artista y performer protagonizó la inauguración de la exposición ‘Arte Bruto. En la intimidad de una colección' en el Grand Palais, a orillas del Sena. Con capacidades intelectuales especiales desde pequeño, Daldo Marte ha desarrollado un arte de forma autodidacta que le ha ayudado a expresarse con el mundo. Desde niño, empezó a crear, con todo lo que encontraba, en la calle juguetes que no podía comprar. Con esos materiales reclicados, sobre todo plástico, metal y caucho, Marte creó sus propios juguetes que con los años ha ido perfeccionando y evolucionando con figuras articuladas complejas hasta alcanzar el reconocimiento de grandes coleccionistas y ahora la entrada en una de las mecas del arte contemporáneo, el Centro Georges Pompidou de París, actualmente en obras por renovación hasta el 2030 y cuya programación, en parte, se ha trasladado al Grand Palais de la capital francesa. "Es importante como reconocimiento, pero también para la conservación, porque que entre una obra como la de un artista vivo como Daldo le garantiza que va a estar custodiada para las futuras generaciones, entra en la posteridad del arte contemporáneo", explica Rosmy Porter, promotor cultural internacional que ha acompañado a Daldo Marte en la valorización de su carrera artística a nivel mundial y que, sin bien siempre ha creído en el talento del artista, se muestra sorprendido por cómo se han acelarado las cosas en los últimos tiempos. La obra de Marte se reúne en el Pompidou con la de otros artistas cubanos como Wilfredo Lam, Agustín Cárdenas, Jesús González de Armas, Tania Bruguera o Kcho. Entran en la colección tres de sus obras. Uno de sus cuadros de la serie 'Guerra', un mural blanco con pequeñas figuras en miniatura en caucho negro y que representan los conflictos, que ve en las noticias en la televisión desde la infancia. La guerra es uno de los temas que más le preocupan a Marte desde siempre. "Quiero ayudar a que la gente sea consciente de que el mundo sería mejor sin guerra", explica. Las otras dos obras son dos esculturas, dos robots articulados que se ensamblan a modo de lego, con una técnica propia del artista cubano. Además de artista plástico, Marte ha transformado se timidez, que suponía un obstáculo, en una creatividad desbordante creando además máscaras y armaduras con las que encarna superhéroes en performances callejeras. Lo que le ayuda a enfrentar el desafío de la comunicación. "Me ayuda a ser mas extrovertido, más espontáneo y a dar lo mejor de mí", nos explica enmascarado con una de sus creaciones. De la marginalidad al reconocimiento institucional Si tres obras de Daldo Marte han entrado en la colección permanente del Pompiodu es gracias a la donación del coleccionista francés Bruno Decharme. Justamente 400 de las obras que ha donado se exponen hasta el 21 de septiembre en una muestra bautizada 'Arte Bruto, en la intimidad de una colección'. "Pasé bastante tiempo en Cuba y conocí a muchos artistas y a pesar de la situación sociopolítica complicada, sentí una energía, una fuerza vital que viene de todos estos artistas y particularmente del arte bruto. Daldo para mí es como un símbolo de todo esto, Daldo como artista que hace sus esculturas con caucho recuperado y Daldo como performer", explica a RFI Decharme. "Es alguien que también habla de la importancia de ayudar al mundo y de implicarse en grandes preocupaciones mundiales. Eso lo vemos muy a menudo con los grandes artistas de arte bruto. Se preocupan de todos nosotros, aunque no nos hablen directamente. Entrar al Pompidou significa que es un gran artista, Daldo Marte entre los más grandes", agrega el coleccionista. La inauguración de la exposición tuvo lugar el pasado 19 de junio y Daldo Marte protagonizó la apertura con una performance en la que entró en patines, vestido de súperhéroe y con una capa bicolor, blanca y negra simbolizando la paz y la guerra. Una presentación que incluyó el montaje en directo de uno de sus robots articulados. "La obra de Daldo es como la de un cronista que reproduce lo que ve en la televisión, el impacto que tiene en él la actualidad y de ahí viene el tema de la guerra", afirma Porter. "Hasta ser expuesto en los museos, ha dejado fragmentos de él en el camino" "En la performance del Grand Palais, él viene de la calle y llega hasta el museo, en el camino entrega flores de paz y guerra, eso representa cómo ha llegado de la calle hasta ser expuesto en los museos, ha dejado fragmentos de él en el camino. Por otro lado, lo interesante es el contraste entre el blanco y el negro de la obra. Su carrera ha sido una guerra para poder entrar en una institución y eso es muy interesante porque ha ido manejando eso de manera no conceptual", agrega el promotor cultural cubano. En los últimos meses, la actualidad en torno a la obra de Daldo Marte, ha experimentado un punto de inflexión a nivel internacional. El año pasado, se hizo su primera gran exposición individual en la Alcaldía de París, en el distrito XVI, con 250 m2 con sus obras. También participó en una exposición colectiva en el Museo de Arte Bruto de Lausana, Siuza, y una foto de Daldo en las calles de La Habana protagonizó el cartel de esa exhibición. Además, se ha publicado una reseña en la revista de arte de referencia 'Artension', titulada “El caballero errante de la Habana”, y un libro, “Daldo World. Marte Work”. (El mundo de Daldo. El trabajo de Marte) con un texto del director del Museo de Bellas Artes de Cuba, Jorge Antonio Fernández, que se refiere a Daldo como a un Quijote. Sin embargo, Daldo Marte no se siente del todo representado con el personaje de Miguel de Cervantes. "En parte sí y en parte no", nos cuenta. "En mi obra yo trato de representar cosas que siento, pero sin llegar a un punto de enajenación", afirma. Los planes de Daldo Marte no se acaban aquí. El artista cubano está ya empezando a trabajar con otros materiales, como el bronce y buscando que sus obras puedan entrar en las colecciones de otros centros de arte contemporáneo del mundo. #EscalaenParís también está en redes sociales Un programa coordinado por Florencia Valdés, realizado por Souheil Khedir, Vanille Foucher, Cyril Etienne, Gabriel Reigne. Gracias a Daldo Marte y al Grand Palais por su acogida.
Découvrez comment créer un arc-en-ciel avec Luz et Noa ! Dans cet épisode, Luz et Noa vous embarquent dans une aventure pour accomplir la mission qu'ils ont reçue de la part de Finn le lutin : retrouver son chaudron rempli de pièces d'or qui lui a été volé par une sorcière. La voleuse lui a dit qu'elle l'avait caché au pied d'un arc-en-ciel mais s'en approcher va être source d'aventures ! Les Enquêtes fantastiques de Luz et Noa, une création audio originale coproduite par Milan presse, GrandPalaisRmn et le Palais de la découverte, à l'occasion de l'exposition Transparence, présentée au Palais des enfants et coproduite par le Grand Palais et le Palais de la découverte (Universcience). Crédits : Scénario : Sarah Barthère. Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Direction de production : Alexia Neveu. Réalisation : Agence audio créative. Avec les voix d'Alexia Neveu et de Margaux Rinaldi. Droits réservés.
La Minute Crooner Attitude, le billet d'humeur de Jean-Baptiste Tuzet, tous les jours de la semaine, 9 h 15 et 19 h 15 sur Crooner Radio. Plus d'informations et podcasts www.croonerradio.frHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le maloya est une musique traditionnelle de La Réunion. Le groupe Votia, créé par Marie-Claude Philéas-Lambert, en est l'un des dignes représentant. De père en fille d'abord mais aussi de mère en fils, c'est une passion familiale et un héritage que perpétue Marie Claude Phileas Lambert avec Votia. L'héritage du Maloya de La Réunion transmis par son père qui en était un des maîtres, feu Gramoun Lélé. Le maloya, c'est un chant, une danse et même une transe devenue l'un des emblèmes de l'ile de l'océan Indien. Une célébration de la joie de vivre et un chant de résistance associé à la période de l'esclavage. Celui de Votia s'inscrit dans la tradition de l'est de La Réunion. Un maloya caillou dit Marie Claude Phileas comme sur l'album qui vient de sortir Vié Kaz. Le groupe Votia est l'invité de Sur le pont des arts. Ils seront en concert à Paris au 360 le 24 juin 2025. Au programme de l'émission : ► Reportage Solène Gardré nous emmène danser avec l'exposition Clubbing. À l'intérieur des 1 200m2 du Grand Palais immersif à Paris, l'artiste Pierre Giner a imaginé un parcours retraçant l'histoire des premières nuits underground jusqu'aux dernières tendances des musiques électroniques actuelles. ► Playlist du jour - Votia - Dan ker lele - Votia - Zour lan - Votia - Vlé kaz - Votia - Dinibe.
Plongez dans la mer des Caraïbes avec Luz et Noa où vit la minuscule méduse Turritopsis nutricula, translucide et immortelle ! Dans cet épisode, Luz et Noa vous embarquent dans une aventure pour accomplir la mission qu'ils ont reçue de la part d'Alma la sirène : sauver Mamilou, sa grand-mère adorée. Malade, elle ne veut plus quitter son lit, ne s'alimente plus et ne boit plus. La Turritopsis nutricula a une vertu extraordinaire. Mais pourra-t-elle sauver Mamilou ? Les Enquêtes fantastiques de Luz et Noa, une création audio originale coproduite par Milan presse, GrandPalaisRmn et le Palais de la découverte, à l'occasion de l'exposition Transparence, présentée au Palais des enfants et coproduite par le Grand Palais et le Palais de la découverte (Universcience). Crédits : Scénario : Sarah Barthère. Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Direction de production : Alexia Neveu. Réalisation : Agence audio créative. Avec les voix d'Alexia Neveu et de Margaux Rinaldi. Droits réservés.
Partez avec Luz et Noa à la recherche de la fleur squelette ! Dans cet épisode, Luz et Noa vous embarquent dans une aventure pour accomplir la mission qu'ils ont reçue de la part du célèbre musicien M. Stradivarius : sauver son chat Mi Bémol. Il s'est fait mordre par un serpent vitrail. La fleur squelette est la seule à pouvoir contrer les effets du venin. Les Enquêtes fantastiques de Luz et Noa, une création audio originale coproduite par Milan presse, GrandPalaisRmn et le Palais de la découverte, à l'occasion de l'exposition Transparence, présentée au Palais des enfants et coproduite par le Grand Palais et le Palais de la découverte (Universcience). Crédits : Scénario : Sarah Barthère. Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Direction de production : Alexia Neveu. Réalisation : Agence audio créative. Avec les voix d'Alexia Neveu et de Margaux Rinaldi. Droits réservés.
Partez à la recherche d'une grenouille de verre avec Luz et Noa ! Dans cet épisode, Luz et Noa vous embarquent dans une aventure pour accomplir la mission qu'ils ont reçue de la part de Guarana, la chamane de la tribu des Piripkura : retrouver son talisman « repousse-chupacabra ». Il a été avalé par une grenouille de verre. Seul ce talisman éloignait le chupacabra une créature maléfique qui s'en prend au troupeau de chèvres de la tribu chaque nuit. Les Enquêtes fantastiques de Luz et Noa, une création audio originale coproduite par Milan presse, GrandPalaisRmn et le Palais de la découverte, à l'occasion de l'exposition Transparence, présentée au Palais des enfants et coproduite par le Grand Palais et le Palais de la découverte (Universcience). Crédits : Scénario : Sarah Barthère. Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Direction de production : Alexia Neveu. Réalisation : Agence audio créative Qude. Avec les voix d'Alexia Neveu et de Margaux Rinaldi. Droits réservés.
Partez avec Luz et Noa à la découverte d'icebergs translucides aux milles nuances bleues et blanches ! Dans cet épisode, Luz et Noa vous embarquent dans une aventure pour accomplir la mission qu'ils ont reçue de la part de l'elfe Sven, un elfe : libérer la reine Freya, kidnappée par des trolls. Elle a été enfermée dans un bloc de glace par un enchantement maléfique ! Les Enquêtes fantastiques de Luz et Noa, une création audio originale coproduite par Milan presse, GrandPalaisRmn et le Palais de la découverte, à l'occasion de l'exposition Transparence, présentée au Palais des enfants et coproduite par le Grand Palais et le Palais de la découverte (Universcience). Crédits : Scénario : Sarah Barthère. Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Direction de production : Alexia Neveu. Réalisation : Agence audio créative Qude. Avec les voix d'Alexia Neveu et de Margaux Rinaldi. Droits réservés.
Partez à la recherche de quartz hyalin, appelé aussi cristal de roche avec Luz et Noa ! Dans cet épisode, Luz et Noa vous embarquent dans une aventure pour accomplir la mission qu'ils ont reçue de la part de Dolma et Diki, les parents d'un petit yéti de 4 ans qui fait d'horribles cauchemars. Une légende ancienne raconte qu'une pierre transparente qui vient des profondeurs de la Terre, le quartz hyalin, chasserait les mauvais rêves si de la lumière en jaillit. Les Enquêtes fantastiques de Luz et Noa, une création audio originale coproduite par Milan presse, GrandPalaisRmn et le Palais de la découverte, à l'occasion de l'exposition Transparence, présentée au Palais des enfants et coproduite par le Grand Palais et le Palais de la découverte (Universcience). Crédits : Scénario : Sarah Barthère. Direction éditoriale : Aurélya Guerrero. Direction de production : Alexia Neveu. Réalisation : Agence audio créative. Avec les voix d'Alexia Neveu et de Margaux Rinaldi. Droits réservés.
Le maloya est une musique traditionnelle de La Réunion. Le groupe Votia, créé par Marie-Claude Philéas-Lambert, en est l'un des dignes représentant. De père en fille d'abord mais aussi de mère en fils, c'est une passion familiale et un héritage que perpétue Marie Claude Phileas Lambert avec Votia. L'héritage du Maloya de La Réunion transmis par son père qui en était un des maîtres, feu Gramoun Lélé. Le maloya, c'est un chant, une danse et même une transe devenue l'un des emblèmes de l'ile de l'océan Indien. Une célébration de la joie de vivre et un chant de résistance associé à la période de l'esclavage. Celui de Votia s'inscrit dans la tradition de l'est de La Réunion. Un maloya caillou dit Marie Claude Phileas comme sur l'album qui vient de sortir Vié Kaz. Le groupe Votia est l'invité de Sur le pont des arts. Ils seront en concert à Paris au 360 le 24 juin 2025. Au programme de l'émission : ► Reportage Solène Gardré nous emmène danser avec l'exposition Clubbing. À l'intérieur des 1 200m2 du Grand Palais immersif à Paris, l'artiste Pierre Giner a imaginé un parcours retraçant l'histoire des premières nuits underground jusqu'aux dernières tendances des musiques électroniques actuelles. ► Playlist du jour - Votia - Dan ker lele - Votia - Zour lan - Votia - Vlé kaz - Votia - Dinibe.
durée : 02:00:14 - Les Matins du samedi - par : Nicolas Herbeaux - Cette semaine, dans les Matins du samedi, on s'intéresse à ce qu'on appelle l'ère de la post-vérité avec les chercheurs Mickaël Lainé et Charles Mercier. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Anne Bouillon Avocate au barreau de Nantes, spécialisée dans le droit des femmes et les violences conjugales; Michaël Lainé Maître de conférences en économie à l'Université Paris 8; Charles Mercier Maître de conférences en histoire contemporaine à l'université de Bordeaux; Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:19:30 - France Culture va plus loin le samedi - par : Nicolas Herbeaux, Pauline Chanu - Du 26 juin 2025 au 10 janvier 2026, le Grand Palais réunit pour une exposition inédite les artistes Niki de Saint Phalle et Jean Tinguely, camarades puis couple de créateurs, et le premier patron du Centre Pompidou à son ouverture en 1977, le suédois Pontus Hulten. - réalisation : Jean-Christophe Francis - invités : Sophie Duplaix Conservatrice en chef des Collections contemporaines au Musée national d'art moderne, Centre Pompidou, Paris.
durée : 00:16:13 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de la magistrale exposition "Art brut. Dans l'intimité d'une collection" organisée au Grand Palais à Paris et coproduite par le Centre Pompidou, qui rassemble 400 œuvres issues d'une donation du cinéaste Bruno Decharme. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
durée : 00:27:17 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu du débat critique, deux expositions : "Art brut. Dans l'intimité d'une collection" au Grand Palais avec le Centre Pompidou, et "Nous autres, Donna Gottschalk, Hélène Giannecchini avec Carla Williams" au BAL. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
For the “Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely and Pontus Hulten” exhibition at the Grand Palais, this podcast looks back at the links between Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely and Pontus Hulten. Driven by a shared vision of art for all, they created extraordinary, ephemeral works that have had a lasting impact on art and museums.Direction: Clara Gouraud, Delphine CoffinRecording: Ivan GarielTexts by Niki de Saint Phalle: ‘Hon', ‘Notre collaboration' and ‘Portrait de Pontus', Readings: Claire Olivier, Darrell Di Fiore, Marine Dorandeu, Marianne BergesThis exhibition is a coproduction of Centre Pompidou and Grand Palais. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:28:49 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le metteur en scène Mohamed El Khatib présente actuellement une large rétrospective de ses dix dernières années de création au Grand Palais. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Mohamed El Khatib Metteur en scène
Pour l'exposition « Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely et Pontus Hulten », au Grand Palais, ce podcast revient sur les liens qui unissent les deux artistes Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, et l'homme de musée Pontus Hulten. Tous trois portés par une vision commune d'un art pour tous, ils sont à l'origine d'œuvres hors normes, éphémères, qui ont durablement changé l'art et le musée.Avec Sophie Duplaix, commissaire de l'exposition, Bloum Cardenas, petite-fille de Niki de Saint Phalle, et Andres Pardey, directeur délégué du musée Tinguely.CréditsRéalisation : Clara Gouraud, Delphine CoffinEnregistrement et mixage : Ivan GarielTextes de Niki de Saint Phalle : « Hon », « Notre collaboration » et « Portrait de Pontus », Lectures : Claire Olivier, Darrell Di FioreExtraits des films Cataloga de Marco di Castri et Jean Tinguely par Pierre-André Boutang et Jean-Denis Bonan, 1988Merci à Sophie Duplaix, Bloum Cardenas et Andres Pardey Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Světová výstava, nemocnice za první světové války a naposledy i dějiště olympijských her. To je Grand Palais neboli Velký palác – secesní perla uprostřed Paříže, která letos slaví 125 let. Ohromná prosklená střecha dělá z této budovy největší skleník na světě. A teď se po čtyřech letech generální rekonstrukce opět otevírá veřejnosti.
Světová výstava, nemocnice za první světové války a naposledy i dějiště olympijských her. To je Grand Palais neboli Velký palác – secesní perla uprostřed Paříže, která letos slaví 125 let. Ohromná prosklená střecha dělá z této budovy největší skleník na světě. A teď se po čtyřech letech generální rekonstrukce opět otevírá veřejnosti.Všechny díly podcastu Zápisník zahraničních zpravodajů můžete pohodlně poslouchat v mobilní aplikaci mujRozhlas pro Android a iOS nebo na webu mujRozhlas.cz.
durée : 00:45:38 - La 20e heure - par : Eva Bester - Le performeur, Olivier Saillard, présente “Les vêtements de Renée”, performance-mode au Grand Palais, en hommage à sa mère. L'historien de la mode a concocté un spectacle se voulant être un moment de réflexion sur le vêtement et le rapport intime que nous pouvons entretenir avec lui.
Dans cette exposition, une large sélection d'œuvres d'art brut est présentée au Grand Palais du 19 juin au 21 septembre 2025. Les deux commissaires de l'exposition et collectionneurs, Barbara Safarova et Bruno Decharme, nous parlent de leur passion pour l'art brut, de leur collection et de leur donation d'un fonds d'œuvre au Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, commissaire associée, témoigne de l'entrée de ces œuvres dans la collection du Musée national d'art moderne.Réalisation : Delphine CoffinMontage et mixage : Ivan GarielRemerciements à Bruno Decharme, Barbara Safarova et Cristina AgostinelliCette exposition est une coproduction du Grand Palais et du Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
In this exhibition, a wide selection of art brut works is presented at the Grand Palais from June 19 to September 21, 2025.The exhibition's two curators and collectors Barbara Safarova and Bruno Decharme, talk about their passion for this art form, their collection and their donation of a body of work to the Centre Pompidou. Cristina Agostinelli, associate curator, talks about the entry of these works into the collection of the Musée national d'art moderne.Realization: Delphine CoffinEditing and mixing: Ivan GarielVoices: Marianne Berges, Marine Dorandeu, Julie Micheron, Olivier RaynalThanks to Bruno Decharme, Barbara Safarova and Cristina AgostinelliThis exhibition is coproducted by Grand Palais and Centre Pompidou Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Le Grand Palais est lʹun des monuments les plus emblématiques de Paris, un monument qui va beaucoup faire parler de lui puisquʹil rouvre ses portes au mois de juin. Le grand palais était fermé depuis mars 2021 en raison de travaux pour le moderniser tout en préservant son architecture unique. Pour parler de lʹhistoire du monument, Johanne Dussez sʹentretient avec Gilles Plum, Docteur en Histoire de lʹArt et auteur de nombreux ouvrages sur le Grand Palais.
A host of exhibitions and events this month and next celebrate the 100th anniversary of the birth of the Swiss artist Jean Tinguely, one of the godfathers of kinetic and auto-destructive art. Ben Luke speaks to Roland Wetzel, the director of the Tinguely Museum in Basel about the artist's life and work, and the events marking the centenary. In Rotterdam in the Netherlands, Fenix, a museum about migration, has just opened, featuring a dramatic stainless steel tornado form on its roof. We discuss the museum with its director, Anne Kremers. And this episode's Work of the Week is by an immigrant artist, Ben Shahn, who was born in modern-day Lithuania but travelled as a child to the US, where he became a leading painter associated with Social Realism. Among his greatest achievements was the mural The Meaning of Social Security, painted between 1940 and 1942 in Washington D.C. to reflect the benefits of the then-recent Social Security Act. Shahn is the subject of a major show that opened this week at the Jewish Museum in New York. We speak to Laura Katzman, the co-curator of the exhibition with the Jewish Museum's Stephen Brown, about Harvesting Wheat (1941), Shahn's study for one of the figures in the mural.The Tinguely Museum in Basel, Switzerland, has a permanent display of his work; Scream Machines–Art Ghost Train, by Rebecca Moss and Augustin Rebetez, Tinguely Museum, until 30 August; Mechanics and Humanity: Eva Aeppli and Jean Tinguely, Lehmbruck Museum, Duisburg, Germany, until 24 August; Niki de Saint Phalle & Jean Tinguely: Myths & Machines, Hauser & Wirth Somerset, Bruton, UK, until 1 February 2026; Niki de Saint Phalle, Jean Tinguely, Pontus Hultén, Grand Palais, Paris, 20 June-4 January 2026.The Fenix museum is open now.Ben Shahn: On Nonconformity, Jewish Museum, New York, 23 May-12 October. The book accompanying it published on 3 June by Princeton University Press, priced $45.00/£38.00.The Meaning of Social Security murals:https://art.gsa.gov/artworks/637/the-meaning-of-social-security?ctx=3bc918796c456cc8fb8e3d3f033918d4249d0ce6&idx=6https://livingnewdeal.org/sites/wilbur-j-cohen-building-shahn-frescoes-washington-dc/#lg=1&slide=1 Hosted on Acast. See acast.com/privacy for more information.
Comment se connecter au moment présent et profiter de l'énergie collective ?Nous avons tous vu les images de la finale d'escrime franco-française aux Jeux Olympiques de Paris, sous la nef du Grand Palais. Manon Apithy-Brunet a affronté sa camarade Sara Balzer en finale et décroché l'or. Un aboutissement, après la 4e place à Rio en 2016 et la médaille de bronze à Tokyo en 2021.Nous avons eu la chance de la rencontrer peu de temps après la sortie de son documentaire “Derrière le masque”, dans lequel elle partage sa préparation aux Jeux Olympiques, à la fois physique et mentale.Dans cet épisode, elle revient sur les moments les plus marquants de sa carrière :8:37 : comment elle a réussi à dépasser sa frustration de la 4e place aux Jeux Olympiques de Rio pour devenir championne du monde,14:36 : comment elle s'est remotivée pour la petite finale en 2021 grâce aux mots de son mari - escrimeur lui aussi, Boladé Apithy21:40 : les conseils de préparation mentale de Stéphane Limousin et de la championne Clarisse Agbegnenou, qui lui servent au quotidien,23:15 : son “burn-out” de l'escrime et sa luxation de l'épaule,30:06 : sa médaille olympique aux Jeux de Paris 2024.Ses bonnes pratiques en matière de santé mentale :Se reconnecter au plaisir : après sa défaite en demi-finale aux Jeux de Tokyo, Manon pense ne pas pouvoir retourner sur la piste pour la petite finale. L'appel de son mari, Boladé Apithy, la reconnecte à son amour de l'escrime pour aller décrocher la médaille de bronze.S'entourer d'experts (psychologue, préparateur mental) pour travailler sa motivation et sa confiance en soi.Tirer parti de son environnement : le jour de la finale des Jeux de Paris, Manon s'imagine dans une grosse bulle pour se concentrer tout au long de la journée ; mais une fois sur le plateau, elle ouvre cette bulle pour capter l'énergie du public. Canaliser ses pensées, en se constituant une feuille de route en amont des moments de tension, à lire pour se re-concentrer dans la dernière ligne droite. Bonne écoute !À propos du podcast :On parle volontiers de “mental” dans le sport de haut niveau : mental de champion, victoire au mental, mental d'acier. Mais quelle place y a-t-il pour la santé mentale ?Dans Les Secrets du Mental, nous partons à la rencontre d'athlètes de haut niveau qui partagent avec nous les vives émotions de leur carrière : les moments heureux, mais aussi les mauvaises passes, les blessures, les passages à vide… ces moments dont on parle peu.Vous allez aussi découvrir comment ils prennent soin de leur mental au quotidien.
Ce week-end, le Grand Palais à Paris accueille l'événement "Change Now", dédié à transformer positivement le monde. Tout le monde peut y contribuer en adoptant une consommation responsable, notamment en choisissant des produits de marques "engagées". Ecoutez Olivier Dauvers : Les secrets de la conso du 25 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition universelle des solutions pour la planète qui se tient actuellement jusqu'à samedi au Grand Palais, à Paris. Nous donnons la parole aux femmes entrepreneures engagées dans le changement écologique par et pour les femmes sur le continent africain. Car l'économie sera verte si elle est enfin inclusive. Alors que les femmes et les filles sont les premières victimes de la sécheresse ou de la pollution, elles sont pourtant les actrices clés de la transition climatique dans leur communauté sur le terrain. Comment développer le leadership féminin dans les emplois verts ? Quels sont les progrès à faire dans l'accès équitable aux ressources, à l'éducation et à la formation ? Une émission à l'occasion du sommet ChangeNOW, l'exposition des solutions pour la planète, qui se tient du 24 au 26 avril au Grand Palais à Paris. Avec :• Cathy Latiwa, juriste, conseillère en programmes, experte en inclusion et en genre, fondatrice de l'ONG Latiwa development Foundation et co-fondatrice du projet BuildHerAfutureAfrica. Ambassadrice globale du réseau d'affaires Makutano • Sarah Kayiranga, directrice et fondatrice de JumCare, une société de conseils aux entreprises du secteur industriel• Carole Tankeu, co-fondatrice et directrice générale du Bureau d'études et de conseil Sustainable Solutions-S2 Services basé à Douala au Cameroun et spécialisé en gouvernance environnementale et sociale, genre, énergie et développement durable. Fondatrice et présidente du réseau Women for Sustainable Energy and Climate Action dont l'objectif principal est d'accompagner les femmes d'Afrique Centrale dans les industries de l'énergie et de l'environnement en participant aux activités de développement de carrière.• Clémence Betesuku, fondatrice de The uplift agency, société de conseils qui aide les TPE et PME dans l'adoption de pratiques plus durables et plus éco-responsables. Et co-fondatrice de l'association Break the mold, qui accompagne les entrepreneurs africains à impact dans leur préparation à la levée de fonds, à travers un programme de trois mois. En fin d'émission, la chronique Écouter le monde de Monica Fantini. Premier épisode d'une nouvelle série consacrée au son de la voix humaine. Programmation musicale :► Sankara - Samira Brahmia ► Omorfo Mou – Stella.
BONUS
La révolution industrielle au 19e siècle, est-ce que c'est un avancée ou un traumatisme qui nous habite encore ? Note: merci à @EdwinVan57 de l'avoir souligné. En 1871 la France a perdu l'Alsace et la Moselle et non la Lorraine entière. Adhérez à cette chaîne pour obtenir des avantages : https://www.youtube.com/channel/UCN4TCCaX-gqBNkrUqXdgGRA/join Script: Maxime Testart de @laratplace et Laurent Turcot https://www.youtube.com/@laratplace Montage et réalisation: Laurent Turcot Pour soutenir la chaîne, au choix: 1. Cliquez sur le bouton « Adhérer » sous la vidéo. 2. Patreon: https://www.patreon.com/hndl 00:00 Introduction 02:30 C'est quoi la Révolution industrielle ? 06:14 Les origines au 18e siècle 12:23 Pourquoi la Grande-Bretagne ? 23:04 Des innovations qui changent le monde 29:30 Toujours plus vite et plus loin 33:31 Des villes industrielles 41:29 Deuxième révolution industrielle 46:17 Une source de conflits 56:05 Conclusion Musique issue du site : epidemicsound.com Images provenant de https://www.storyblocks.com Abonnez-vous à la chaine: https://www.youtube.com/c/LHistoirenousledira Les vidéos sont utilisées à des fins éducatives selon l'article 107 du Copyright Act de 1976 sur le Fair-Use. Sources et pour aller plus loin: Roland Marx, La révolution industrielle en Grande-Bretagne, Paris, Armand Colin, 1992 (1970). Nadège Sougy et Patick Verley, « La première industrialisation (1750-1880) » Documentation photographique, janvier-février 2008 Patrick Verley, La révolution industrielle, Paris, Gallimard, 1997 (1985). Jean-Pierre Rioux, La révolution industrielle 1780-1880, Paris, 1989 (1971). Chantal Beauchamp. Révolution industrielle et croissance économique au 19e siècle, Paris, Ellipses, 1997. Jean-Pierre Rioux et Dominique Redor, La révolution industrielle en Grande-Bretagne, Paris, Hatier, 1980. J.M. Roberts et O.A. Westad, Histoire du monde. 3. L'Âge des révolutions, Paris, Perrin, 2016. Joel Mokyr (dir.), The British Industrial Revolution: An Economic Perspective, Westview Press, 2018. Riello, Giorgio. Cotton: The Fabric That Made the Modern World. Cambridge: Cambridge University Press, 2013. E. P. Thompson, The Making of the English Working Class, Vintage, 1980 (1963). Smith, Bonnie G. et al. World in the Making: A Global History. New York: Oxford University Press, 2019. Jürgen Osterhammel, La transformation du monde, une histoire globale du XIXe siècle, Paris, Nouveau Monde. 2017 (2009 Louis Chevalier, Classes laborieuses et classes dangereuses pendant la première moitié du XIXe siècle, Paris, Plon, 1958. E. J. Hobsbawm, Histoire économique et sociale de la Grande-Bretagne. tome 2, de la révolution industrielle à nos jours, Paris, Seuil, 1977 (1968). E. J. Hobsbawm, Industry and Empire: From 1750 to the Present Day. 1999. Sidney Pollard, Peaceful Conquest: The Industrialization of Europe, 1760–1970, Oxford, Oxford University Press, 1981. David S. Landes, Richesse et pauvreté des nations. Pourquoi des riches ? Pourquoi des pauvres ?, Paris, Albin Michel, 2000 (1998) Jean-Charles Asselain, Histoire économique de la France du XVIIIe siècle à nos jours. Paris, Points, 2011, (1984), Emma Griffin, A Short History of the British Industrial Revolution, London, Bloomsbury, 2010. N. F. R. Crafts, British Economic Growth during the Industrial Revolution, Clarendon Press, 1985 François Crouzet, Histoire de l'économie européenne, 1000-2000, Albin Michel, Paris, 2000 Paul Bairoch, Révolution industrielle et sous-développement, Paris, éd. de l'E.H.E.S.S., 1974 (1963). https://fr.wikipedia.org/wiki/Puddlage Jean-Charles Asselain, « Révolution industrielle » [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Disponible sur : https://www-universalis-edu-com.biblioproxy.uqtr.ca/encyclopedie/revolution-industrielle/ Samir Amin. « Industrie » - Industrialisation et formes de société [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. Francis Demier. « Multiplication des inventions » [en ligne]. In Encyclopædia Universalis. https://www.geo.fr/histoire/quest-ce-que-la-revolution-industrielle-208173 « LA RÉVOLUTION INDUSTRIELLE | Je révise avec toi | #08 », Je révise avec toi, 8 mars 2023. « LA SECONDE RÉVOLUTION INDUSTRIELLE | Je révise avec toi | #40 », Je révise avec toi, 7 mai 2023. « Révolution industrielle : Le Charbon, Moteur de la Puissance Britannique | Partie 1 | SLICE HISTOIRE », SLICE Histoire, 30 septembre 2024. « L'Industrialisation », RÉCIT Univers social, 20 août 2019. « L'HISTOIRE PAR L'IMAGE | La révolution industrielle », Grand Palais, 2 octobre 2020. « Coal, Steam, and The Industrial Revolution: Crash Course World History #32 » CrashCourse, 20 août 2012. Autres références disponibles sur demande. #histoire #documentaire #revolutionindustrielle #revolutionaryinventions #industrialrevolution #industrialrevolution
Hello les besties, aujourd'hui c'est debrief pendant 55' du premier solo hyrox d'Amélie en catégorie open. J'espère que vous apprécierez ce format bisous les girls !! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air l'invitée du 11 avril 2025 : Régine Hatchondo, présidente du Centre national du livreAujourd'hui débute le festival du Livre à Paris, au Grand Palais. Plus de 100.000 visiteurs sont attendus jusqu'à dimanche inclus. Un événement qui se déroule dans un contexte morose pour la lecture. D'après le dernier baromètre du Centre national du livre (CNL), mené par Ipsos, seuls 45% des Français déclarent lire quotidiennement, sur format numérique ou papier. Les 50-64 ans sont ceux qui décrochent" le plus, avec une baisse de 15 points par rapport à la dernière étude du CNL, publiée en 2023.Autre chute vertigineuse, les Français lisent en moyenne dix-huit livres par an, quatre de moins qu'il y a deux ans. On atteint même huit ouvrages en moins chez les 15-24 ans et les plus de 65 ans. Ce sont les 25-34 ans qui redressent la barre, avec vingt-sept livres lus en moyenne sur un an, soit plus du double des 35-49 ans, la tranche d'âge qui en lit le moins. L'ennemi principal de la lecture, ce sont les écrans : les Français passent quasiment autant de temps par jour (3 h 21) devant un écran qu'ils le font par semaine (3 h 40) à lire un livre. Mais même quand les Français lisent, ils gardent leur smartphone à portée de main. Plus d'un quart d'entre eux envoient des messages, vont sur les réseaux sociaux ou regardent des vidéos tout en lisant. Régine Hatchondo, directrice du Centre national du livre, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur la pratique des Français en matière de lecture, et appellera à un "sursaut" face aux écrans. Le Centre national du livre appelle notamment les Français à lire au moins un quart d'heure par jour.
Ça vous dit de voir Tomy, Bolduc … et même Céline Kallmann ?Rdv au Grand Palais dimanche 13 avril 2025 à partir de 10h. Le Grand Palais se situe 7 avenue Winston Churchill, 75008 Paris. Le Festival du Livre de Paris est accessible aux personnes à mobilité réduite. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:29 - Un monde connecté - par : François Saltiel - L'exposition "Pixels" au Grand Palais Immersif est consacrée à l'artiste digital Miguel Chevalier. Ici le terme "immersif" n'est pas galvaudé, car le spectateur peut jouer et interagir avec le virtuel. Une véritable symbiose avec les œuvres qui réagissent à nos moindres gestes.