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A meditation preached by Fr. Eric Nicolai at Ernescliff College on May 18, 2025. Upon entering the oratory, I notice the holy water font had a large artistically inscribed text just over the font itself, you can see it in large letters just as you dip your finger into the water: Domine, si vis, potes me mundare. Lord, if you wish, you can make me clean (Matt 8, 3). These are the beautiful words of a leper, who on his own initiative, elbowed his way through the crowd, he came up to Jesus and made this humble petition.Music: Michael Lee of Toronto.Thumbnail: Jean Marie Melchior Doze Jesus Healing the Leper, 1864, housed in the Musée des Beaux-Arts de Nîmes, located in Nîmes, France
durée : 00:59:04 - Toute une vie - par : Dominique Prusak - Né en 1926 à la frontière lituanienne, résistant contre l'occupant nazi à 16 ans, étudiant aux Beaux-Arts de Cracovie puis à l'école de cinéma de Lodz, Andrzej Wajda n'a eu de cesse de chercher et de montrer la vérité dans un système totalitaire soumis au diktat de la censure et au dogme communiste. - réalisation : Anna Szmuc
Spring art week just wrapped in New York City. Known for its extravagant floral displays and signature oysters and champagne, TEFAF is the fair with a vibe. This year, 91 exhibitors from 13 countries presented everything from antiquities to modern and contemporary art and design at the stately Park Avenue Armory. There's a real sense of passion here— dealers are eager to share the stories behind their works. Which brings us to today's episode, recorded live at the Thrill of the Chase panel with three very different cultural omnivores who personify Tefaf's ethos which span centuries and styles. Jeanne Greenberg Rohatyn‘s gallery Salon 94, has long blurred the lines between art and design. Housed in a Beaux-Arts townhouse on the Upper East Side she has presented everything from Rick Owens furniture to the recent Kennedy Yanko solo exhibitions. Adam Charlap Hyman, co-founder of Charlap Hyman & Herrero, brings a sweeping vision to interiors, furniture, architecture, and opera sets. He also curates, most recently Glass Subjects at R & Company which is currently on view. Alexandra Cunningham Cameron, Curator of Contemporary Design at the Cooper Hewitt, began her career in literature before turning to storytelling through objects. Her work explores symbolism, inclusion, and cultural memory. Together, they explore what makes an object irresistible. Is it beauty, rarity—or the story it tells? In this conversation, Artnet Studio's William Van Meter dig into the thrill of discovery, the elusive “X factor,” and how great objects help shape layered narratives.
(00:45) Premiere von «Countertime» am Opernhaus Zürich: Drei Choreografien, ein rebellischer Geist der 60er Jahre. Weitere Themen: (05:37) Der neue Papst gilt als unamerikanischster Kardinal unter den US-Amerikanern. (11:49) Sie war eine der wichtigsten Vermittlerinen afrikanischer Kunst in Europa. Die kamerunisch-schweizerische Künstlerin Koyo Kouoh. Nun ist sie gestorben. (15:48) «Wofür wir Töchter unsere Mütter brauchen» von Sarah Trentzsch ist wie ein Gespräch, das man zu lange aufgeschoben hat. Und nun endlich führt. (20:04) Eine Offenbarung: Doris Stauffers erste Einzelausstellung im Musée des Beaux-Arts.
S04E18 - La New York Public LibraryLa New York Public Library : Un temple du savoir au cœur de ManhattanLa New York Public Library, l'une des bibliothèques les plus emblématiques au monde, se dresse majestueusement sur la Cinquième Avenue, à l'angle de la 42e Rue, en plein cœur de Manhattan. Inaugurée en 1911, cette institution publique est bien plus qu'un simple lieu de lecture : c'est un symbole de savoir, de culture et d'accès à l'information pour tous.Son bâtiment principal, la Stephen A. Schwarzman Building, impressionne par son architecture de style Beaux-Arts. La façade en marbre blanc est gardée par deux célèbres lions de pierre, surnommés "Patience" et "Fortitude", qui sont devenus les fiers symboles de la bibliothèque. Dès l'entrée, le visiteur est accueilli par un hall majestueux menant à de vastes salles de lecture, dont la célèbre Rose Main Reading Room, avec ses plafonds ornés, ses longues rangées de tables en bois et ses lustres élégants.La bibliothèque abrite des millions de documents : livres, manuscrits rares, cartes, photographies, et archives historiques. Parmi ses trésors, on trouve une Bible de Gutenberg, les papiers de Malcolm X, ou encore des manuscrits originaux de Charles Dickens.Lieu d'étude, de recherche et de découverte, la New York Public Library est ouverte à tous, New-Yorkais comme visiteurs du monde entier. Elle accueille également de nombreuses expositions, conférences et événements culturels, perpétuant sa mission d'éducation et d'enrichissement intellectuel.Retrouvez tous les liens des réseaux sociaux et des plateformes du podcast ici : https://linktr.ee/racontemoinewyorkHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
En cette période de congé, la caravane de Ca vaut vraiment le Détour fait une petite pause pour mieux vaut divertir dès la rentrée et vous propose une série de rediffusions... Aujourd'hui : étape carolo du jeu de Walid avec Eric De Staercke, Manu di Pietro, François et Lola, pour apprendre en s'amusant, découvrir en souriant, et connaître ce que les carolos pensent de leur ville, et nous conseillent, pour dépasser les a priori. Et ce n'est pas le comédien originaire de la région Olivier Massart qui les contredira. Il rejoint le public du Palais des Beaux-Arts afin de lui aussi, dire ce qu'il pense de la ville et de son évolution, mais également pour présenter le dernier film dans lequel il joue : "Demain si tout va bien", de Ivan Goldschmidt avec Virginie Hocq, Olivier Massart, Bérangère Mcneese et David Macaluso. Un film vrai, intelligent, sensible et émouvant. Un feelgood movie avec des dialogues savoureux, quatre comédiens qui vous feront pleurer de rire et un humour à la belge. Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans un pays encore conservateur sur les questions de genre, la guerre force la société à faire bouger les lignes. Lutte contre les discriminations sur l'orientation sexuelle :En Ukraine, ils et elles se battent au même titre que leurs camarades hétérosexuels: les soldats et soldates LGBT n'ont pourtant pas encore les mêmes droits. Si les mentalités changent et évoluent vers davantage de tolérance et d'inclusion, il reste du chemin à parcourir et la guerre force le pays à l'introspection et à faire bouger les lignes : puisqu'ils risquent eux aussi leur vie pour défendre le pays les membres de la communauté militaire LGBT réclament l'égalité, et font passer leur message notamment en témoignant publiquement pour sensibiliser la société ukrainienne. Reportage, Emmanuelle Chaze.L'intolérance envers les personnes LGBT existe partout en Europe mais à des degrés divers. En Irlande, la loi garantit de nombreux droits, pourtant, et dans un contexte de crise aigüe du logement, des annonces de location ou colocation à Dublin affichent noir sur blanc qu'elles ne sont pas ouvertes à des locataires homosexuels ou transsexuels. Les explications de Clémence Pénard. En Italie, une boulangère militante défraie la chronique Dans le centre de l'Italie, une boulangère de la ville d'Ascoli Piceno est devenue malgré elle le symbole de tensions politiques bien réelles dans le pays. Elle été identifiée et contrôlée par la police à deux reprises pour avoir affiché sur la devanture de son commerce une banderole contre le fascisme à l'occasion du 25 avril, fête nationale anniversaire de la libération de l'Italie en 1945. Son histoire a fait le tour de la botte. Une manifestation était organisée ce week-end pour la soutenir et dénoncer un climat d'intimidation à l'encontre des militants anti-fascistes. Le récit de Cécile Debarge. « When we see us » à Bozar BruxellesAu Palais des Beaux-Arts de Belgique, une exposition explore les autoreprésentations noires à travers 150 tableaux et peintures figuratives. Des œuvres réalisées par 120 artistes africains ou issus de la diaspora (des Caraïbes, du Brésil, ou des États-Unis…). À l'origine du projet, Koyo Kouoh, directrice et commissaire en chef du Zeitz MOCAA au Cap, permet au visiteur de découvrir la peinture figurative panafricaine des années 1920 à nos jours. En couleurs, en joie et en musique : visite guidée avec Jean-Jacques Héry.
Dans un pays encore conservateur sur les questions de genre, la guerre force la société à faire bouger les lignes. Lutte contre les discriminations sur l'orientation sexuelle :En Ukraine, ils et elles se battent au même titre que leurs camarades hétérosexuels: les soldats et soldates LGBT n'ont pourtant pas encore les mêmes droits. Si les mentalités changent et évoluent vers davantage de tolérance et d'inclusion, il reste du chemin à parcourir et la guerre force le pays à l'introspection et à faire bouger les lignes : puisqu'ils risquent eux aussi leur vie pour défendre le pays les membres de la communauté militaire LGBT réclament l'égalité, et font passer leur message notamment en témoignant publiquement pour sensibiliser la société ukrainienne. Reportage, Emmanuelle Chaze.L'intolérance envers les personnes LGBT existe partout en Europe mais à des degrés divers. En Irlande, la loi garantit de nombreux droits, pourtant, et dans un contexte de crise aigüe du logement, des annonces de location ou colocation à Dublin affichent noir sur blanc qu'elles ne sont pas ouvertes à des locataires homosexuels ou transsexuels. Les explications de Clémence Pénard. En Italie, une boulangère militante défraie la chronique Dans le centre de l'Italie, une boulangère de la ville d'Ascoli Piceno est devenue malgré elle le symbole de tensions politiques bien réelles dans le pays. Elle été identifiée et contrôlée par la police à deux reprises pour avoir affiché sur la devanture de son commerce une banderole contre le fascisme à l'occasion du 25 avril, fête nationale anniversaire de la libération de l'Italie en 1945. Son histoire a fait le tour de la botte. Une manifestation était organisée ce week-end pour la soutenir et dénoncer un climat d'intimidation à l'encontre des militants anti-fascistes. Le récit de Cécile Debarge. « When we see us » à Bozar BruxellesAu Palais des Beaux-Arts de Belgique, une exposition explore les autoreprésentations noires à travers 150 tableaux et peintures figuratives. Des œuvres réalisées par 120 artistes africains ou issus de la diaspora (des Caraïbes, du Brésil, ou des États-Unis…). À l'origine du projet, Koyo Kouoh, directrice et commissaire en chef du Zeitz MOCAA au Cap, permet au visiteur de découvrir la peinture figurative panafricaine des années 1920 à nos jours. En couleurs, en joie et en musique : visite guidée avec Jean-Jacques Héry.
durée : 01:28:30 - Relax ! du vendredi 02 mai 2025 - par : Lionel Esparza - On lui a déjà consacré plusieurs émissions, mais le Beaux-Arts Trio a tellement marqué nos oreilles et notre histoire musicale qu'on a toujours envie d'y revenir : il reste un modèle pour toutes les formations de musique de chambre. Petit tour de piste supplémentaire dans sa discographie...
durée : 01:28:30 - Relax ! du vendredi 02 mai 2025 - par : Lionel Esparza - On lui a déjà consacré plusieurs émissions, mais le Beaux-Arts Trio a tellement marqué nos oreilles et notre histoire musicale qu'on a toujours envie d'y revenir : il reste un modèle pour toutes les formations de musique de chambre. Petit tour de piste supplémentaire dans sa discographie...
Voir comme un papillon survolant un jardin. Voir l'herbe. Voir les formes et les couleurs, de jour comme de nuit. Le regard du plasticien Adrien Lucca se glisse dans les yeux d'un insecte, le grand sphinx de la vigne. Le voisinage avec la nature opère dans l'exposition inaugurale du nouvel espace de LMNO situé dans les pavillons historiques du Bois de la Cambre, à Bruxelles. Photo Adrien Lucca ©Pascal Goffaux L'Institut culturel d'architecture Wallonie-Bruxelles aborde au Musée des Beaux-Arts de Mons la question des Utopies et du vivre ensemble dans une installation de Luna Pittau et Camille Bleker qui revisite l'isolation acoustique. Photo ICA-Utopies ©Pam & Jenny & IA Réalisation Pascal Goffaux Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
« Nadia. La première fois que j'entends son nom, c'est dans la bouche d'un artiste algérien évoquant sa jeunesse. Il disait : à Alger, Nadia se déshabillait pour qu'on puisse la dessiner. Je reste stupéfaite. Quelle femme algérienne est capable d'un tel courage, d'une telle audace, celle de se dévêtir au nom de l'art dans un pays musulman ? » Un voyage sonore à la recherche de l'unique modèle vivant de l'École des Beaux-Arts d'Alger, Nadia. Une enquête. Un portrait contrasté. Une héroïne moderne et ambiguë, et en creux, le portrait de la société algérienne contemporaine, de l'Indépendance aux années noires. Un documentaire signé Seham Boutata et réalisé par Alexandra Kandy Longuet. La Vénus d'Alger a reçu le soutien de Gulliver. En co-production avec France Culture. Merci pour votre écoute Par Ouïe-Dire c'est également en direct tous les jours de la semaine de 22h à 23h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Par Ouïe-Dire sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/272 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
In this episode, Katy Didden and Abram Van Engen discuss the extraordinary leaps, narrative disjunctions, and temporal frames that fill Diaz's extraordinary ekphrastic poem, a reflection on Bruegel's painting, "Landscape with the Fall of Icarus" written in conversation with W.H. Auden's poem "Musée des Beaux Arts." "Two Emergencies," appears in My Favorite Tyrants (https://a.co/d/3IUlLmp) (University of Wisconsin Press 2014), winner of the 2014 Brittingham Prize in Poetry. For more poetry of Joanne Diaz, see also The Lessons (https://a.co/d/bZOFIOp) (Silverfish Review Press 2011), winner of the Gerald Cable Book Award. For W.H. Auden's "Musee des Beaux Artes (https://www.poetryfoundation.org/poems/159364/musee-des-beaux-arts-63a1efde036cd)" see The Poetry Foundation
Le portfolio est un incontournable dans le processus de candidature qu'il s'agisse d'écoles publiques ou privées. Il a pour but de confirmer visuellement ce que le candidat aura exprimé dans sa lettre d'une part, et d'autre part d'informer sur sa maturité de projet et son potentiel de créativité. Dans l'ensemble une première année en école d'art est considérée comme une année préparatoire, aussi l'élève sera sélectionné avant tout sur sa « maturité de projet (pourquoi le design produit ? quel créatif j'ai envie d'être demain ?...) mais également sur son ouverture au monde. S'assurer que le candidat a réfléchi au sens qu'il veut donner à ses études est essentiel. Ne l'oublions pas que les études supérieures sont un moyen de.. et non une fin ! En atteste la notion de « lettre de projet motivé » et les quatre questions de parcoursup.Il n'y a pas un book mais des booksLe savoir-faire de votre jeune est une condition nécessaire mais relative à chaque école. En effet, nombreux sont les parents qui se disent que mon fils/fille ne sait pas dessiner. Nous rappelons que le dessin est un moyen et non une fin ! En dehors des écoles d'animation et d'illustration, pas de sélection sur la maîtrise technique . Par contre, le croquis rapide est un plus pour toutes les écoles. Savoir utiliser le dessin comme un outil de prise de note, de recherche voilà ce qui intéresse les jurys. Montrer au jury que vous avez dépassé le dessin « activité de loisir » mais que vous pensez le dessin « médium ». Pour les écoles d'animation, la maitrise du dessin d'observation et du corps en mouvement sera cependant indispensable.Le portfolio n'est donc, pas qu'une succession de dessins, mais peut contenir une multitude d'autres formes d'expressions artistiques. Vidéos, photos, sculptures en photos, collages, enregistrements sonores.... » Le jury est très sensible au « concept de série ». Votre enfant doit, de préférence, travailler un même sujet sous de multiples formes.Abordons le reflet de la personnalité de l'élève et de ses centres d'intérêtIl est important que l'on voit que les travaux sont le fruit d'une recherche, d'une expérimentation, d'une réflexion plastique multiple. C'est un moyen de mettre en avant votre capacité de travail, d'approfondir un sujet et de créer des synergies avec vos spécialités choisies au lycée. Le candidat doit confirmer ce que tente de transmettre le lycée via l'épreuve du grand oral « travailler par transversalité de connaissances » . Créer c'est aller vers ce qui n'existe pas mais pour créer le monde de demain il faut s'intéresser à celui d'aujourd'hui!Révéler son potentiel de créativité et varier les techniques, les médiums…Le potentiel de créativité du candidat permettra au jury de sentir sa capacité à sortir de sa zone de confort et son appétence pour l'expérimentation plastique. Dans un book, il faut mettre en avant sa singularité et sa démarche artistique à travers ses planches. Mais attention ne vous enfermez pas dans « un style ». Le souci des examinateurs est de sentir le potentiel créatif de l'élève et non pas d'avoir en face d'eux des personnes enfermées dans leur écritureNe vous limitez pas aux visuels, renforcez vos dossiers d'écrits, d'annotations.... Dans chaque portfolio, les travaux doivent être accompagnés d'une intention ... « quel est le message que je souhaite faire passer ? » Expliquer sa démarche, sa recherche par des annotations, justifier ses recherches...Mais attention à ne pas décrire ce qui est présenté !Utilisez du vocabulaire technique adapté : harmonie colorée, matériaux, composition... l'examinateur a besoin de sentir que chacun de vos choix est réfléchi, a du sens...et cette utilisation d'un vocabulaire approprié sera un plus.La présentation en numérique ou sur papier, la mise en scène de votre travail est à soigner. Vous vous orientez vers des études du “sensible”. Pensez à raconter une histoire au travers de vos planches. Il est indispensable de soigner la qualité des visuels que vous présentez. Soignez l'éclairage et la composition !SENTIR LE POTENTIEL DE CRÉATIVITÉ DU CANDIDAT, VOIR LE PROCESSUS DE CREATION ET SURTOUT SA CURIOSITE ET SON OUVERTURE AU MONDE C'EST-CE QUE LE JURY ATTEND.La sélection des « réalisations » a donc son importance : donner du sens à ses choix. Il faut donner envie au jury, qui souvent le reçoit en amont de l'entretien, de rencontrer le candidat ou de le sélectionner lorsque la sélection est uniquement sur la base du dossier. C'est la raison pour laquelle le portfolio est un outil de cheminement . Il doit permettre au jury d'avoir une meilleure compréhension de vos démarches. En deux mots ce qui intéresse le jury c'est la réponse au pourquoi et au comment que vous allez lui apporter!Retrouvez d'autres épisodes sur le thème [LES ÉTUDES D'ART] sur AZIMUT, Parlons orientation
Dans cet épisode, nous répondons à la question souvent posée par les adolescents désirant s'orienter vers des études d'art : Comment trouver son style graphique ?Le dessin ce n'est pas une question de don! C'est avant tout une question de travail, de persévérance et d'observation ! Autrement dit, c'est avant tout une éducation de l'œil !Le dessin ce n'est pas simplement reproduire graphiquement une image. C'est traduire graphiquement un ressenti. « Avoir un style graphique » c'est raconter une histoire par le biais d'un prisme . Trouver son style, son écriture est un vaste programme. Il n'y a pas de formule magique, trouver son identité graphique demande du travail et du temps. Par ailleurs, on ne trouve pas « son style ». Le style évolue en permanence tout au long de son parcours et de ses projets. S'il n'y a pas de solution unique pour trouver sa singularité graphique, il y a néanmoins une posture à adopter que l'on pourrait axer autour de 3 mots clef « observer -analyser- synthétiser ».Observez : on ne se construit pas seul mais par un ensemble d'influences que l'on a choisies et sélectionnées. Ouvrez-vous constamment à de nouveaux horizons, enrichissez vos sources d'inspiration, vos références. En deux mots constituez-vous une banque de données mentales d'images, de formes, de couleurs... Aussi la première chose à faire est d'être curieux de tout, et d'observer ce qui vous entoure. Ne soyez pas sélectif. C'est tout cela qui va nourrir votre créativité, votre singularité graphique. Pour consolider cette observation, ayez un carnet en permanence sur vous (ou bien dans votre téléphone) et analyser, notez, dessinez, collez tout ce qui vous interpelle, vous intéresse, vous touche, vous plait ou vous déplait....et prenez le temps de vous interroger sur les raisons de cette “interpellation”. Devenez des éponges.Osez copier mais pas trop! ou autrement dit faites vos gammes. Copiez des sujets aussi divers que possible. La copie est une étape dans la construction de son trait mais attention ! «Il faut Copier pour mieux s'en détacher ».Plus vous allez copier un sujet, répéter encore et encore cette copie, plus vous allez vous détacher du savoir-faire et irez vers le ressenti. Ne l'oubliez pas, la copie n'est qu'un exercice et il faut s'en détacher. Le dessin n'est pas de la copie c'est l'expression graphique d'une émotion! Ingres disait “Il n'y a pas un sujet qui se ressemble, voyez - y son caractère propre”. Dernier point de vigilance sur la copie : elle ne doit pas être publiée mais doit servir uniquement en guise d'exercice d'entraînement.Voyez en 3D: Il est essentiel, pour développer sa singularité graphique, de travailler son dessin à partir d'objets en réel. Cessez donc de travailler à partir de photos, ou pire, d'images “Pinterest”. Traduire en plan un objet en volume - par le jeu d'ombre et lumière- les formes- les aplats de couleurC'est la clef pour progresser et trouver son style graphique,Audace : Redevenez un enfant. Les enfants découvrent chaque jour de nouvelles choses. Pourquoi ? Parce qu'ils essaient et se trompent ! Comment ? grâce au jeu. Alors jouez! Les enfants apprennent par le jeu et en posant des questions. A l'aide de leur imaginaire, ils créent des liens pour produire des choses inédites. Faites de même, jouez, redevenez des enfants. Retrouver cette âme d'enfant, vous permettra alors de dessiner, libre de la conformité dans laquelle petit à petit en devenant un adulte, vous plongez.Sortez de vos habitudes : la capacité à se projeter vers l'inconnu est un grand atout pour stimuler la créativité. Vous avez l'habitude de dessiner avec un crayon et si vous décidiez de croquer ce qui est devant vous avec le medium incongru. Par exemple un coton tige, un morceau de cageot, du café, du vernis à ongle....Remettez en question vos choix : interrogez-vous – allez vers vos zones d'inconfort ! Ayez une attitude d'aventurier. Par exemple : sur une période donnée, découpez, prenez des photos, des publicités... qui vous plaisent. Reprenez ensuite chaque image et dressez une liste ou représentez graphiquement ce que chaque projet vous inspire.Lâchez prise : sortez de ce souci de bien faire : acceptez de rester dans le flou, et ne rentrez pas trop vite dans les détails lorsque vous dessinez. Par exemple: tracez un rond sur votre feuille de papier. A partir de ce cercle dessinez tout ce qui vous passe par la tête et qui pourrait se dessiner à partir de ce cercle (animaux, objets, lieux, personnages célèbres...) cet exercice pourra être reproduit avec d'autant de forme de votre choix.Trouver son style demande du travail, du temps, de la persévérance et du lâché prise. Pour cela, soyez rigoureux (copier tous les jours), curieux du monde qui vous entoure (tous les jours notez une chose qui vous a interpelée) et ambitieux pour vous-même (si vous ne vous fixez pas d'objectif vous risquez de perdre votre motivation).Et faites et refaites les même sujets pour lâchez prise, vous libérer de la contrainte technique et ainsi vous exprimer librement avec votre propre style !Retrouvez d'autres épisodes sur le thème [LES ÉTUDES D'ART] sur AZIMUT, Parlons orientation
Vous êtes nombreux à découvrir aujourd'hui les demandes spécifiques des DNMADE selon les mentions que vous avez sélectionnées sur Parcoursup. Nous vous apportons quelques clefs pour répondre aux attentes de façon pertinente et retenir l'attention du jury de sélection. En complément de votre dossier Parcoursup, il vous est demandé, pour tous les DNMADE, un CARNET de 10 pages au maximum. L'enjeu de cette demande plastique est d'identifier :Votre ouverture sur le monde,Votre potentiel de créativité,Votre capacité à mobiliser vos connaissances pour les mettre au service de votre créativité,Votre appétence/maturité pour la mention viséeAussi le lycéens sera évalué.e sur :· La pertinence de ses sources d'inspirations/références· La variété de ses propositions plastiques (vidéos, photos, collages, dessins, maquettes..)· L'audace et les moyens plastiques utilisés,· La justesse de son argumentation,· La maturité esthétique de ses planches et/de votre argumentationLe carnet a pour objectif de cerner le candidat, au-delà des mots et des bulletins de notes ou plus précisément de pressentir quel créateur de demain il pourra être. Aussi, le jury cherche avant toute chose à identifier votre capacité à porter une réflexion constructive. Il vous faut argumenter, justifier vos propos. Cependant ne l'oublions pas le DNMADE est une formation -comme d'ailleurs toutes les écoles publiques- ou les places sont rares (120 places en moyenne pour 4000 candidatures) aussi le jury souhaite t -il s'assurer que le candidat a mûrement réfléchi aux motivations qui l'anime.Pour cela quelques conseils· Identifier 3-5 compétences qui vous caractérisent. Ne pas se contenter de faire une « liste ». Étayer chacune de ses qualités ou activités de manière précise afin de permettre au jury de pressentir la singularité du « créatif » de demain dont il étudie la candidature.· Étudier avec précision 3-5 scènes de film, extraits de livre ...à utiliser pour conforter sa capacité d'analyse, son aptitude à utiliser ses connaissances de manière transversale et sa curiosité. Mieux vaut avoir peu de références mais être précis dans ses propos. C'est souvent le détail qui est la clef du succès.· Relever quelques faits d'actualité qui puissent montrer sa curiosité au monde. Le créateur de demain doit avant tout être sensible au monde d'hier et aujourd'hui.· Booster votre culture artistique : N'ayez pas en tête uniquement ce que on appelle les artistes «boite de chocolat !! » vous êtes jeune, intéressez-vous aux créateurs d'aujourd'hui. Difficile d'acquérir en quelques mois une culture artistique « universelle ». Alors ne soyez pas trop ambitieux mais précis. Concentrez-vous sur la compréhension de la démarche de 3 à 5 artistes qui puissent, d'une manière ou d'une autre, illustrer vos propos.Comment procéder ?1. Trouvez les renseignements qui décrivent avec précision la singularité de chaque mention et soulignez en les mots clefs pour bien comprendre les spécificités pédagogiques des DNMADE, leurs enjeux pédagogiques mais également la singularité de la mention pour laquelle vous postulez2. Avant de réaliser ses planches, rédiger une note d'intention. Celle-ci doit répondre en quelques sortes aux questions : Qui ? Quoi ? Pourquoi ? Qu'est-ce que ?Pour cela :· Qu'est-ce que je veux dire ?· Pourquoi tel moyen plastique ?· En quoi cela répond à mon intention/message3. Varier les formats, les médiums,Sur chaque page mettre plusieurs images qui se réfèrent au même projet (ex: un croquis d'intention, des recherches, une photo de maquette ou encore une série (série de photo, série de collage, série thématique ou formelle)Il ne s'agit pas de mettre un « beau dessin » par planche/page mais plutôt d'exprimer une idée, de soulever une problématique plastiquement.4. Etre synthétique et allez à l'essentiel, se demander pour chaque page, si la planche est compréhensible d'un coup d'œil. Autant vous dire que le jury ne va pas rentrer dans les détails.5. Textes et visuels ne font qu'un : Un titre ou une phrase d'explication ou des textes courts viennent appuyer graphiquement sa composition, mais doivent former un tout. Éviter les pages « exposé » où le texte est dissocié de l'image.6. Pensez à faire circuler le regard : eh oui !! l'espace vide est aussi important que le reste. Le jury va jeter un œil rapide sur vos pages, alors accrocher son regard par une composition où pleins et vides ont leur place et leur sens.La mise en page est personnelle, elle doit refléter son univers. Il n'y a pas de carnet type donc pas de modèle à suivre.7. Une fois ses planches réalisées, demander à quelqu'un de son entourage de les lire et ce qu'il comprend de la démarche et retient du candidat.En deux mots, montrer sa maturité et dépasser le « j'aime je n'aime pas » « c'est beau c'est pas beau»! Le carnet n'est pas une accumulation de réalisations ou de dessins. L'élève doit montrer sa maturité et compréhension des enjeux des Arts appliqués.
Les études d'animation connaissent depuis quelques années un engouement croissant. A juste titre d'ailleurs ! En effet est-il nécessaire de rappeler que dans cette ère du numérique dans laquelle nous vivons, ces secteurs sont en plein boom et l'animation jouit d'une belle marge de progression. Télévision, cinéma, jeux vidéo, web.... Les animateurs sont partout et pas seulement dans le domaine du divertissement !Voyons dans un premier temps les domaines concernés par les études d'animations et les différents diplômes existants Animation 2D : Réaliser des films d'animation 2DAnimation 3 D: Réaliser des films d'animation/jeux vidéos en images de synthèseUX designer : Concevoir des solutions et des expériences pour des utilisateursModeleur 3D : Donner vie au conceptPour se former à l'animation votre jeune aura le choix➢ d'intégrer une école privée ou publique (vous pourrez trouver la liste des écoles privées les plus demandées sur le site du reca-animation.com) Les étapes de diplômes seront d'une part un bachelor /équivalent Licence( 3 ans – 180 ECTS) puis 2 ans pour obtenir le diplôme de l'école équivalent Master➢ de faire un DMNADE (diplôme d'état en 3 ans)Parmi les DNMADE l'on distinguera 2 MentionsForme à la création numérique dans les domaines du graphisme, de l'animation/ Il s'agit de Concevoir de sites web / des Applications pour mobile, ou encore de Réaliser de jeux vidéo, de design d'interface, de motion design -18 établissements en FranceForme à l'acquisition des techniques d'animation 2D et 3D/ -7 établissements en FranceVous trouverez la liste des établissements sur ce site indispensable à vos recherches https://andea.fr/Mais au fait, L'animation de quoi s'agit-il et quels sont les attentes des jurys ?En 3 points :Raconter une histoireFaire vivre des personnagesPlanter un décorCes 3 points devraient à eux seuls vous suffire pour comprendre quels sont les attentes des jurys des écoles et comment, dès aujourd'hui, vous préparer pour intégrer des écoles telles que les Gobelins, Rubikaa, Méliès, EMCA, Lisaa, Artfix, ENSAD....et tant d'autres en France comme à l'international.Comment se préparer ?Avoir des dispositions pour l'écriture : Montrer votre goût pour l'écriture par l'illustration d'histoire courte, des ébauches de scénarios, des recueils de textes choisis, des notes personnelles.... Par conséquent avoir une bonne culture générale.Mettre en avant votre potentiel de créativité : Vous allez être amené à créer des univers aussi riches que variés tant dans l'expression plastique que dans le genre. Aussi mettez en avant votre appétence pour expérimenter différents médiums plastiques : carnets de croquis, modelage, photographies, vidéo, maquette, animations...Révéler votre maîtrise du dessin en insistant particulièrement sur votre sens de l'observation et du mouvement. : mettez en votre avant maitrise ou aptitude à la composition, la perspective, votre sûreté du trait, votre sensibilité à capter le corps en mouvement. Il ne s'agit pas tant de maîtriser l'anatomie des personnages que d'être en mesure de traduire un corps vivant, en mouvement en quelques traits.Pensez volume et décor: Surtout ne vous cantonnez pas uniquement aux personnages. Le décor, le contexte dans lequel se déroule tout scénario est primordial. Aussi travailler ces points, interroger les jeux/films par leur contexte géographique et dans vos projets portez une attention particulière à l'environnement.L'animation comme toute discipline des arts appliqués, c'est mettre sa créativité au service d'une contrainte donnée, ou dit autrement, répondre à une cible, un besoin en tenant compte d'un contexte. Il ne s'agit donc pas de créer pour créer selon ses envies, ses « inspirations » ! Votre ouverture au monde qui vous entoure, votre intérêt pour la création contemporaine, votre capacité à vous inspirer de réalisations contemporaines seront indispensable pour convaincre le jury de vous sélectionner.Aussi la préoccupation des jurys sera aussi forte de s'assurer de vos appétences graphiques que de votre curiosité au monde et votre culture générale. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, bien souvent pour intégrer une école d'animation, le jury cherchera d'une manière ou d'une autre (entretien – épreuve de dissertation/story board) à identifier des candidats riches de ces compétences : Maitriser une méthode de travail de recherche graphiqueSavoir analyser l'information et conceptualiser une idéeÊtre capable de faire des choix et de les justifierÊtre capable d'utiliser son sens critiqueSavoir travailler en équipe ou bien seul.eRien de mieux pour illustrer ce point que de vous partager un récent sujet d'école ainsi que les critères d'évaluation « Un magicien enseigne à son apprenti un tour de magie » Illustrez en couleur ce thème. Technique libre et traditionnelle (sauf huile et pastels secs), sur un format A4 présentant une marge de 10mm.Critères d'évaluation :La pertinence de la réponse,La qualité de la compositionLa qualité du dessin (construction et trait)La qualité technique et harmonie coloréeDernier point et non des moindres : la maitrise de l'anglais est un plus et bien souvent indispensable pour intégrer une école. Bon nombre d'écoles comme Artfix ,Rubika par exemple, vous demanderont de vous exprimer en Anglais ou vous proposerons un test écrit.Vous l'avez compris, le dessin, la créativité, la culture générale sont les clefs pour se donner le choix et intégrer l'école de ses rêves . Cela ne s'acquiert pas du jour au lendemain. Alors plus de temps à perdre, dès le lycée, lancez-vous !
Choisir une école d'art c'est avant tout bien cerner la différence entre arts appliqués et beaux-arts. Pourquoi ? Simplement parce que les formations et leur finalité n'ont rien à voir d'une part, et d'autres part les attentes des jurys ne sont pas similaires !Alors Arts appliqués et Beaux-Arts quelle différence ?• Les arts appliqués c'est mettre sa créativité au service d'une contrainte donnée qui peut être de différents ordres : matériau -forme – fonction -contexte. Aussi seront regroupés sous la désignation d'arts appliqués ce qui touche au produit, à l'espace, au numérique, au graphisme, à la mode…• Les beaux-arts – en vision très simplifiée- est une démarche artistique plastique totalement libre, avant tout conceptuelle puisqu'il s'agit de traduire via un médium sa visio du « beau » - ou dit autrement exprimer plastique une « problématique » - « un concept ».• Le DNMADE, diplôme d'état niveau licence- est une formation en 3 ans qui vous permettra d'acquérir une expertise technique dans un domaine des arts appliqués. Pour comprendre la finalité pédagogique du DNMADE, sachez qu'il a pour objectif pédagogique l'équivalent du BTS « formation courte, professionnalisante pour se donner le choix de rentrer dans la vie active ou une poursuite d'étude ».• Nous pouvons évoquer une dernière voie à savoir les arts plastiques. Cette licence permettra avant tout d'acquérir des connaissances solide en histoire de l'arts, philosophie, esthétique et de vous sensibiliser aux différents mode d'expression plastique (photos videos, modelage, peinture, sculpture..)afin de vous permettre de mener une réflexion sur la pratiqueAussi pour faire son choix d'école sera-t-il essentiel d'identifier son processus de création et de cerner si votre enfant se sent plus à l'aise dans un processus créatif « fermé » pour répondre à un besoin, une approche théorique de la création plastique ou un processus créatif libre cherchant à exprimer sa vision du beaux.A noter que de plus en plus d'écoles de beaux-arts proposeront en cours de parcours des spécialisations relevant des arts appliqués. Un site vous permettra de vous y retrouver https://andea.fr/Public ou privé les critères d'admission?Les écoles de beaux-arts sont en France toutes des formations publiques. Pour y postuler vous devrez passer par Parcoursup, envoyer un portfolio et ensuite selon les écoles, vous aurez une épreuve plastique et une épreuve culturelle. Vous trouverez également quelques écoles d'arts appliqués (telles que l'Ensad, St étienne, la hear .., ) – né du Bahaus- publiques.Les critères d'admission pour ces formations seront avant tout basés sur la culture générale, l'intérêt pour la création contemporaine et le potentiel de créativité du candidat. Les écoles ne recherchent pas des « artistes » mais des jeunes qui montreront au travers de leur portfolio, une forte capacité à « soulever une problématique » en appui de leur connaissance, et à l'exprimer plastiquement de façon « singulière ». Le portfolio limité à 10 pages maximum en moyenne, privilégiera alors, peu de projets mais un ensemble de propositions plastiques autour d'une même idée nourries de références. A titre d'exemple le sujet de l'an passé (2022) à l'ensad « UBIQUITÉ »Les écoles privées sont de plus en plus sur Parcoursup , néanmoins quelques écoles restent hors Parcoursup. Parmi les écoles privées vous pourrez identifier :• Des écoles post bacs généralistes dans un premier temps avec une spécialisation au fur à mesure des années.• Des écoles spécialisées dès la première année dans un ou deux domaines. Généralement les écoles d'animation- jeux vidéos et les doubles diplômes « design-Espace »• Des écoles avec des partenariats avec d'autres formations en commerce- ingénierie..• Des écoles qui ont privilégié une ouverture à l'international ou bilinguePour intégrer une école privée- parcoursup ou non- le candidat sera amené à présenter à minima un portfolio avec pour certaines écoles des exigences particulières (8 à 15 pages max) une lettre de « projet motivé » et passera un entretien. Pour certaines écoles les jeunes auront un sujet d'épreuve plastique à traiter dans un temps donné (chez soi ou en présentiel selon les écoles)Vous l'aurez compris candidater dans une école d'art ne s'improvise pas. Nous avons la chance en France, d'avoir un très grand choix entre public et privé et de très grande qualité.Faites vos choix en privilégiant les essentiels :• Votre projet à l'issue de votre formation• Votre potentiel de créativité• La structure pédagogique de la formation
Cet épisode fait partie du thème [Les études d'art], nous répondons à la question : Pourquoi faire une prépa d'art ?Intégrer une école d'art n'est pas toujours facile, l'accès y est assez sélectif : qu'elles soient publiques ou privées, les prépas d'art sont un bon moyen pour aider à passer les concours d'entrée de ces établissements.D'une durée d'un an, ces classes vont permettre aux étudiant.es de bien cibler les écoles sélectionnées et parfaire leurs dossiers de travaux artistiques en vue de ces concours.
Déjà disponible GRATUITEMENT pour les membres premium Patréon COULEUR VEGETALE + à l'année ICI : https://www.patreon.com/c/artecovert/membershipSinon il sera prochainement en vente
This week The Frick Collection will reopen its doors to the public after a renovation and restoration of nearly five years and a cost of $220 million dollars. Visitors will again see the elegant Beaux Arts mansion once occupied by Gilded Age industrialist Henry Clay Frick and his wife and daughter. They will also see the priceless collection of masterworks of art from the Renaissance through the 19th century, much of acquired by Frick himself. In this episode, a companion show to the Bowery Boys "House of Beauty: The Story of the Frick Collection", Carl talks with managing educator Caitlin Henningsen about her work researching the domestic staff who worked in the mansion, just who they were and what their roles in the household were. They also speak about how Frick thought about blending art with domestic space in several of his homes and what he wanted to achieve with this mansion before it became a museum after his death in 1919. Caitlin and Carl also discuss, thanks to extraordinary archival records, how the Fricks entertained in a grand Gilded Age style in the very dining room visitors see today. Find PART ONE over at the Bowery Boys podcast House of Beauty: The Story of the Frick Collection
Nous explorons la richesse des couleurs végétales à travers des échanges inspirants avec deux experts, Florent Valentin et Dominique Cardon. Ensemble, nous allons découvrir comment ces pigments végétaux peuvent transformer notre approche de la biodiversité et de l'agriculture tinctoriale en France.Florent nous partage ses expériences au Jardin de Lauris, le plus grand conservatoire de plantes tinctoriales en France, où il travaille sur l'acclimatation de ces précieuses espèces. Quelles sont les limites à prendre en compte pour réussir cette acclimatation? Quels critères sont essentiels pour introduire des colorants biosourcés dans notre écosystème? Florent nous éclaire sur l'importance d'enrichir notre biodiversité avec des plantes d'autres territoires, tout en respectant l'équilibre fragile de notre environnement.Dominique, quant à lui, apporte son expertise sur les défis rencontrés dans le domaine de la teinture végétale. Il souligne l'importance d'éduquer les jeunes générations à la sensibilité des couleurs végétales et à la richesse des fibres naturelles que nous offre la nature. À travers ses paroles, nous ressentons la passion commune pour la couleur et l'urgence de transmettre ce savoir-faire ancestral.Les discussions ne s'arrêtent pas là! Nous explorons également des échanges internationaux qui mettent en lumière la collaboration entre passionnés de la teinture végétale. Comment ces initiatives peuvent-elles renforcer notre communauté et promouvoir l'utilisation des tanins, de l'indigo et de la garance dans nos pratiques quotidiennes?À la fin de cet épisode, nous vous donnerons des nouvelles excitantes sur des événements à venir et un appel à la communauté pour soutenir l'initiative de la couleur végétale. Rejoignez-nous pour cet échange enrichissant et engageant, où chaque nuance de couleur nous rapproche un peu plus de notre nature.Pour plus d'informations sur les plantes tinctoriales, les colorants végétaux et les pratiques durables, n'hésitez pas à consulter notre site web. Belle écoute!
Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, plongez dans l'univers fascinant de la couleur végétale et des plantes tinctoriales avec notre invitée, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée. À travers une exploration riche et colorée, Pauline nous invite à découvrir la symbolique des couleurs au sein de différentes cultures, mettant en lumière la diversité des perceptions qui existent à travers le monde."Les couleurs ne sont pas seulement des pigments, elles racontent des histoires." C'est avec cette citation en tête que Pauline débute son voyage à travers les teintes qui nous entourent. En s'intéressant tout d'abord au rouge, elle nous révèle ses associations avec le bonheur et la prospérité en Chine, tout en explorant ses significations variées en Inde, en Occident et en Afrique. Ce n'est qu'un aperçu des trésors que recèle la teinture végétale et les plantes tinctoriales.Au fil de l'épisode, nous découvrons d'autres couleurs emblématiques : le bleu, souvent synonyme de paix en Occident, mais qui revêt une signification spirituelle en Amérique latine. Le vert, symbole de croissance et de santé, mais également associé à l'infidélité en Chine, nous rappelle combien la couleur peut être chargée de nuances culturelles. Le jaune, qui évoque la royauté en Chine, se juxtapose à ses connotations de lumière et de jalousie en Occident. Chaque couleur, qu'elle soit issue de l'indigo, de la garance ou d'autres colorants biosourcés, porte en elle une richesse historique et culturelle que Pauline nous aide à déchiffrer.Cet épisode ne se limite pas à une simple analyse des couleurs ; il nous invite également à réfléchir à l'importance de comprendre ces différences pour mieux appréhender l'art et la culture. Les colorants végétaux, les pigments végétaux et la coloration capillaire végétale prennent ainsi tout leur sens dans cette quête de connaissance et de respect des traditions.Pour les passionnés de jardinage, Pauline évoque également l'idée d'un jardin tinctorial, un espace où l'on peut cultiver des plantes offrant une palette de couleurs naturelles. En fin de compte, cet épisode de ArtEcoVert est une véritable ode à la beauté de la nature et à la richesse des cultures à travers le prisme des couleurs de plantes.Ne manquez pas cette occasion d'approfondir vos connaissances sur la teinture végétale et les plantes tinctoriales ! Écoutez cet épisode inspirant et engageant, et laissez-vous emporter par la magie des couleurs. Belle écoute à vous tous !
Yvette's stay at the Pont Royal Hotel, a former “writer's residence” turned hotel and later expanded to its impressive destination status, was enhanced by her opportunity to interview the general manager, Frederic Legallois. The hotel is located on the Left Bank of the Seine River, where artists and intellectuals of the early and mid-20th century held court on café terraces in Saint-Germain-des-Prés. This neighborhood is a postcard-perfect vision of Paris: a grand, boutique-filled boulevard; café terraces practically made for people-watching; former residences turned into hotels; antique shops and bookstores spilling out on cobblestoned squares. Yvette enjoyed the hotel staff's attentiveness to quality service, the art on display and the jazz performance in the hotel's well-appointed bar and lounge. The hotel's proximity to museums and gardens allowed Yvette to enjoy the beautifully manicured Jardin du Luxembourg, which dates back 400 years, and the Musee d'Orsay. The Musee d'Orsay, which was originally established with loans from the Louvre, now claims the largest collection of impressionist and post-impressionist art in the world. Taking over a former Beaux-Arts railway station along the Seine River, this Museum holds masterpieces, which Yvette had an opportunity to enjoy, like Vincent van Gogh's “The Starry Night” and Edouard Manet's “The Luncheon on the Grass” and a very special find for Yvette, the American artist's James McNeill Whistler's “Whistler Mother.”
Dernière étape carolo du jeu de Walid avec Eric De Staercke, Manu di Pietro, François et Lola, pour apprendre en s'amusant, découvrir en souriant, et connaître ce que les carolos pensent de leur ville, et nous conseillent, pour dépasser les a priori. Et ce n'est pas le comédien originaire de la région Olivier Massart qui les contredira. Il rejoint le public du Palais des Beaux-Arts afin de lui aussi, dire ce qu'il pense de la ville et de son évolution, mais également pour présenter le dernier film dans lequel il joue : "Demain si tout va bien", de Ivan Goldschmidt avec Virginie Hocq, Olivier Massart, Bérangère Mcneese et David Macaluso. Un film vrai, intelligent, sensible et émouvant. Un feelgood movie avec des dialogues savoureux, quatre comédiens qui vous feront pleurer de rire et un humour à la belge. Bref, une dernière étape, et pas des moindres, à Charleroi. Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets des plantes tinctoriales et la magie de la couleur végétale? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome et passionnée de couleur végétale, nous invite à plonger dans l'univers fascinant de l'agriculture tinctoriale à travers la septième journée de la quinzaine dédiée à cette pratique ancestrale. Au programme, quatre intervenants d'exception qui partagent leurs connaissances et expériences. Dahlia Milon, agricultrice canadienne, nous livre ses astuces low-tech pour démarrer une exploitation agricole de plantes tinctoriales. Elle nous montre comment cultiver ces trésors de la nature tout en respectant l'environnement. Gabriel Beaulieu, également du Canada, nous présente un annuaire des acteurs clés du domaine, facilitant ainsi l'accès à des ressources précieuses pour tous ceux qui souhaitent s'initier à la teinture végétale. Azéret Robles, venue du Mexique, nous transporte dans l'histoire de la couleur végétale, évoquant des plantes emblématiques telles que le bleu maya et la cochenille. Elle met en lumière les liens fascinants entre plantes tinctoriales et plantes médicinales, et nous rappelle l'importance de ces connexions pour notre bien-être et notre culture. Enfin, Julia Tabakhova nous offre un aperçu enrichissant de son livre sur l'indigo, nous permettant d'approfondir notre compréhension de cette plante fascinante et de ses pigments végétaux uniques.Pour ne rien manquer, cet épisode se termine avec l'annonce d'une prochaine rencontre avec Florent Valentin et Dominique Cardon, deux experts passionnants qui nous éclaireront davantage sur le monde des colorants biosourcés et des fibres naturelles. Ne ratez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur l'agriculture tinctoriale, les nuances de la teinture, et les merveilles que nous offrent les plantes. Que vous soyez novice ou expert, cet épisode d'ArtEcoVert est une véritable invitation à explorer les richesses de la nature et à redécouvrir les colorants végétaux qui embellissent notre quotidien. Pour plus d'informations et de ressources, n'hésitez pas à consulter notre site et à rejoindre notre communauté. Belle écoute !
Savez-vous que l'indigo, cette couleur végétale emblématique, a traversé les siècles et les continents pour devenir un pilier de l'agriculture tinctoriale moderne ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale et les plantes tinctoriales. Ensemble, nous plongeons dans l'univers fascinant des pigments végétaux, en explorant non seulement l'indigo, mais aussi d'autres trésors comme la garance et les tanins.Pauline partage avec nous son expertise sur l'exportation des produits de couleur végétale, en mettant en lumière l'importance cruciale de garantir la naturalité de ces colorants biosourcés. À travers une analyse approfondie des méthodes modernes telles que la chromatographie et le dosage par HPLC, elle compare ces techniques à des approches plus traditionnelles, offrant ainsi une perspective enrichissante sur l'évolution de la teinture végétale.Mais ce n'est pas tout ! L'épisode inclut également des témoignages précieux d'experts tels que Laura et Amandine Roussier, fondatrices de Le Champ des Couleurs, ainsi que des représentants de Green'ing, une entreprise qui œuvre déjà dans 35 pays pour promouvoir les colorants végétaux. Ces intervenants partagent des conseils pratiques sur la documentation nécessaire pour l'exportation, les numéros d'identification, et la perception de la France sur le marché mondial des colorants naturels.Nous aborderons également les défis et les opportunités que présente l'agriculture tinctoriale à l'international, soulignant l'importance de la science et de l'expertise dans le domaine des couleurs végétales. Cet épisode est un véritable appel à l'engagement pour un développement durable et une innovation dans le secteur de la teinture végétale.Alors, êtes-vous prêt à découvrir les nuances infinies que nous offrent les plantes tinctoriales ? Rejoignez-nous pour une conversation enrichissante qui stimule à la fois l'esprit et les sens. N'oubliez pas de consulter les liens utiles partagés dans la description pour approfondir vos connaissances sur ce sujet passionnant. Belle écoute !
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets fascinants de la teinture végétale et des plantes tinctoriales ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée, qui nous guide à travers l'univers vibrant de l'agriculture tinctoriale. Ensemble, nous plongeons dans les richesses des colorants biosourcés et des pigments végétaux, tout en explorant les nuances infinies que la nature a à offrir.Rejoignez-nous pour une discussion enrichissante avec nos invités, Louis Lévis de Terratec et Réjeanne Morgantini de l'Atelier Paysan. Louis nous éclaire sur les solutions mécanisées et les aides disponibles pour les agriculteurs, tandis que Réjeanne souligne l'importance cruciale de l'autonomie des agriculteurs dans le choix de leurs outils et pratiques. Ensemble, ils partagent leur expertise sur la culture des plantes tinctoriales, allant du semis à la récolte, en passant par le désherbage et le conditionnement, un véritable parcours au cœur des fibres naturelles et des colorants végétaux.« La couleur est l'âme de la nature », dit Pauline, et cet épisode illustre parfaitement comment les plantes comme l'indigo et la garance peuvent transformer notre approche de la teinture. Vous découvrirez comment ces nuances peuvent enrichir non seulement notre palette, mais aussi notre compréhension de l'agriculture durable.Nous vous invitons également à rejoindre notre communauté Patreon pour accéder à des ressources exclusives sur la filière tinctoriale. Ensemble, nous pouvons promouvoir des solutions pratiques et adaptées aux besoins des agriculteurs, tout en renforçant l'importance de la collaboration dans le développement de l'agriculture tinctoriale.Ne manquez pas cette occasion unique d'apprendre et de vous inspirer des experts du domaine. Écoutez dès maintenant cet épisode d'ArtEcoVert et plongez dans le monde fascinant des teintures végétales et des plantes tinctoriales. Belle écoute !
On n'est pas dans la discothèque, mais c'est tout de même bagarre au Palais des Beaux-Arts entre Kevin et Christian en ce mercredi : ils s'affrontent, mais dans la joie et la bonne humeur, aidés chacun par leur partenaire (Manu di Petro et Eric De Staercke) pour répondre aux questions de Walid et tenter de gagner le grand prix ! On parle de Charlie Chaplin invité à Charleroi, du temps qui passe, de la durée de vie des billets de banque, et du regard que chacun porte sur la cité carolo. Il sera aussi question de regard, d'œil, d'angle et de lumière en compagnie d' America Parra Smart, responsable du Service des Publics du Musée de la Photo Photographie. Installé à Mont-sur-Marchienne (Charleroi) dans un ancien carmel rénové en 1995, il propose une histoire de la photographie et de ses techniques en relation avec celle des images. Avec ses 6.000 m², il est le plus vaste musée dédié à la photographie en Europe ! A ne pas manquer ! https://www.museephoto.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, toute l'équipe de Ca vaut vraiment le détour pose ses valises, ses micros et ses feuilles de questions à Charleroi, commune au riche passé industriel qui est aussi la commune la plus peuplée de Wallonie. Parmi ces personnes, deux ont choisi de jouer en ce lundi, Linda et Anne, soutenues par Manu di Pietro (régional de l‘étape) et Eric De Staercke, et répondre aux questions capillotractées de Walid. Quant à l'invitée du jour, il s'agit de Marie Noble, directrice du PBA de Charleroi, paquebot magnifique et imposant qui rythme depuis près de 70 ans la vie culturelle de la cité carolo ! On parle de son histoire, d'une profession étonnante qu'on ne trouve presque nulle part ailleurs, et d'un avenir qui pourrait aussi faire la part belle à la bande dessinée et à la fameuse école de Marcinelle ! https://www.pba.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:48:28 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Face à la montée de l'intelligence artificielle, de l'illibéralisme et à la catastrophe écologique, quels mondes les artistes inventeront-ils en 2035 ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Fabrice Bousteau Directeur de Beaux Arts magazine; Rebecca Lamarche-Vadel Directrice de Lafayette Anticipations - la Fondation d'entreprise Galeries Lafayette
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets des couleurs végétales et à plonger dans l'univers fascinant des plantes tinctoriales ? Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale, nous emmène au cœur de la quinzaine de l'agriculture tinctoriale. À travers des témoignages enrichissants de trois intervenants, nous explorerons les merveilles des colorants biosourcés et des pigments végétaux qui transforment notre rapport à la couleur.Le docteur Henri-Joseph, pionnier de l'indigo en Guadeloupe, nous dévoile l'histoire d'un bleu exceptionnel, avec un taux d'indigotine record, et propose une agriculture repensée, en harmonie avec la nature. Sa passion pour l'indigo et son engagement envers les pratiques durables nous rappellent l'importance de cultiver des plantes tinctoriales qui nourrissent non seulement notre créativité, mais aussi notre planète.Maeri Andriamanantena, expert en plantes de la région Réunion-Madagascar, nous fait découvrir des colorants incroyables, notamment un vert difficile à stabiliser. Sa quête des nuances parfaites nous invite à réfléchir sur les défis que représente la teinture à partir de fibres naturelles et sur l'importance de la recherche dans ce domaine.Enfin, Mariana Royer de Guyane, fondatrice du laboratoire Biostratège, partage son expérience de construction d'une filière durable reliant agriculture et industrie. À travers son parcours, elle explore les pigments végétaux et les colorants végétaux qui peuvent transformer notre manière de concevoir la production textile. Son engagement pour une agriculture tinctoriale durable est une source d'inspiration pour tous ceux qui souhaitent allier passion et respect de l'environnement.Dans cet épisode, nous aborderons également les enjeux futurs pour transformer ces initiatives locales en un marché global. Comment fédérer les acteurs autour de cette filière et garantir sa pérennité ? Pauline invite tous les auditeurs à rejoindre la communauté de l'agriculture tinctoriale et à s'abonner à son contenu pour rester informés des dernières avancées dans le domaine.
Êtes-vous prêt à découvrir l'univers fascinant de la teinture végétale et des plantes tinctoriales ? Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome et passionnée par la couleur végétale. Ensemble, nous plongeons dans la quinzaine de l'agriculture tinctoriale, une initiative qui met en lumière les richesses des colorants biosourcés et des pigments naturels. Pauline nous guide à travers des projets inspirants en France et en Europe, où la culture du pastel retrouve ses lettres de noblesse.Au programme, des échanges enrichissants avec des experts tels que Denise Lambert, qui partage son expérience de plus de 40 ans dans la culture du pastel. Son témoignage sur l'innovation dans les débouchés de cette couleur est une véritable leçon de passion et de persévérance. Nous découvrons également Tristan, un jardinier irlandais, qui nous parle de son travail de recherche variétale sur les plantes tinctoriales, et d'Anna Airena d'Italie, qui évoque des projets d'agriculture innovante et les défis rencontrés par les teinturiers industriels.Un autre point fort de cet épisode est la contribution de Nathalie Le Turc des Canaries, qui aborde les défis liés à la cochenille et souligne l'importance de la biodiversité végétale. À travers ces témoignages, nous réalisons combien il est crucial de favoriser la coopération entre agriculteurs et industriels pour structurer la filière de la couleur végétale. La teinture à base de fibres naturelles, comme l'indigo et la garance, devient alors un symbole d'engagement pour un avenir durable.Ensemble, nous explorons les nuances et les possibilités infinies des colorants végétaux et des tanins, tout en mettant en avant des exemples inspirants de différents pays. Que vous soyez passionné par les jardins, l'agriculture tinctoriale ou simplement curieux d'en apprendre plus sur les pigments végétaux, cet épisode est fait pour vous !Ne manquez pas cette occasion d'enrichir vos connaissances sur la teinture végétale et d'écouter des experts partager leurs expériences. Pour des liens utiles et des ressources supplémentaires, restez à l'écoute et plongez dans l'univers d'ArtEcoVert. Belle écoute !
durée : 00:28:36 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Touche-à-tout, Hélène Delprat cherche, peint, sculpte, attend, s'y remet, colle, déplace, barbouille, un truc par jour et jour après jour, elle compose une œuvre singulièrement fourmillante. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Hélène Delprat Artiste plasticienne. Professeur aux Beaux-Arts de Paris (Les explorateurs/ Les inventeurs).
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - Dans le cadre de l'opération '100 œuvres qui racontent le climat', le musée des Beaux-Arts de Tours accueille un Sisley pour mettre en lumière la disparition de paysages depuis la fin du XIXe siècle. Conséquence du changement climatique, la neige et les hivers rigoureux sont devenus rarissimes.
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - Dans le cadre de l'opération '100 œuvres qui racontent le climat', le musée des Beaux-Arts de Tours accueille un Sisley pour mettre en lumière la disparition de paysages depuis la fin du XIXe siècle. Conséquence du changement climatique, la neige et les hivers rigoureux sont devenus rarissimes.
Saviez-vous que la couleur végétale peut transformer non seulement nos textiles, mais aussi notre façon de percevoir et de respecter la nature ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée de couleur végétale, nous plonge dans l'univers fascinant des plantes tinctoriales et de leurs applications variées. Découvrez comment la teinture végétale, à travers des colorants biosourcés comme l'indigo et la garance, peut redéfinir l'artisanat et le textile tout en préservant notre environnement.Ce quatrième jour de la quinzaine de l'agriculture tinctoriale, sponsorisée par Greening, met en lumière les contributions précieuses des continents africains et asiatiques. Au programme, des intervenants de choix : David Santandreux nous partage son expérience sur l'indigoterie au Maroc, où les techniques traditionnelles de teinture révèlent toute la richesse des pigments végétaux. Miwa Saito nous transporte au Japon pour nous parler de la culture de la persiquaire, une plante aux nuances fascinantes. Arumi Sujiura, quant à elle, évoque la garance Akane, une espèce presque disparue, et Elisabeth, connue sous le nom de Betty Beautiful Life, aborde des projets innovants de culture de l'indigo en Thaïlande.Nous explorerons également les méthodes d'agriculture durable, les défis auxquels font face les cultivateurs et l'importance cruciale des communautés dans la culture des plantes tinctoriales. Ce dialogue enrichissant nous rappelle que la teinture végétale n'est pas seulement une technique, mais un véritable art de vivre en harmonie avec notre environnement.Pauline vous invite à rejoindre notre communauté sur Patreon pour accéder à des replays et à des témoignages captivants sur la couleur végétale. Ensemble, découvrons comment les fibres naturelles, les tanins et les colorants végétaux peuvent nous offrir une palette de couleurs respectueuse de la planète.Ne manquez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur la beauté et la richesse de la teinture végétale ! Belle écoute !
Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, Pauline Leroux reçoit David Damour, un artiste et auteur profondément passionné par la couleur végétale et les pigments naturels. Dès l'âge de 7 ans, David a été fasciné par la peinture, mais c'est au fil des années qu'il a découvert l'univers fascinant des plantes tinctoriales. Ensemble, ils plongent dans l'importance des pigments extraits de plantes et de minéraux, ainsi que les défis liés à leur résistance à la lumière. « La couleur est une poésie que nous pouvons toucher », déclare David, soulignant ainsi l'essence même de son art. Au cours de cette discussion enrichissante, David partage ses expériences et ses connaissances sur les techniques d'extraction des pigments, la différence entre les divers liants artistiques, et l'impact des UV sur les œuvres d'art. Ils évoquent également des plantes emblématiques telles que la sophora et le coquelicot, véritables trésors de la teinture végétale, et l'importance de la transmission des savoirs autour de la couleur végétale.David présente ses livres et ses ressources en ligne, tout en révélant ses projets futurs, dont l'ambitieux projet de créer un musée dédié aux pigments naturels. Ce projet vise à célébrer les couleurs de plantes et à sensibiliser le public à l'importance des colorants biosourcés et des fibres naturelles dans notre quotidien. Cet épisode est une véritable invitation à explorer le monde des colorants végétaux, en mettant en lumière des techniques artisanales et des savoir-faire ancestraux. Les auditeurs découvriront comment la teinture naturelle et l'utilisation de pigments végétaux peuvent transformer non seulement l'art, mais aussi notre rapport à la nature et à la durabilité. Ne manquez pas cette belle plongée dans l'univers des couleurs naturelles et des techniques artistiques qui les entourent. Que vous soyez artiste, passionné de design, ou simplement curieux des merveilles du monde végétal, cet épisode d'ArtEcoVert vous apportera des clés pour mieux comprendre la richesse des plantes tinctoriales et leur potentiel créatif. Pour approfondir vos connaissances, n'hésitez pas à explorer les liens utiles partagés dans la description. Préparez-vous à être inspiré par cette conversation fascinante et à découvrir des perspectives nouvelles sur la coloration capillaire végétale et les tanins. Belle écoute ! Pauline
Savez-vous que la couleur végétale peut transformer non seulement nos textiles, mais aussi notre rapport à la nature et à l'environnement ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Michel Garcia, un expert passionné de la teinture végétale et des plantes tinctoriales. Ensemble, nous plongerons dans l'univers fascinant des colorants végétaux, où l'indigo et la garance révèlent leurs secrets ancestraux et leur potentiel infini.Michel nous rappelle l'importance d'une approche holistique dans la pratique de la teinture. Il évoque la nécessité de relocaliser la production de colorants, un enjeu crucial face aux conséquences de la colonisation et aux ravages de la monoculture qui ont épuisé nos terres. À travers des discussions techniques et des exemples concrets, il met en lumière le rôle essentiel de l'agriculture durable et de la conservation des ressources naturelles. Comment les déchets de certaines cultures peuvent-ils être valorisés pour extraire des pigments végétaux ? C'est une des questions passionnantes que nous aborderons, en explorant la notion de covalorisation.Dans cet épisode, nous découvrons également comment les tanins et d'autres composants des plantes peuvent être utilisés pour créer des encre végétale et des colorants biosourcés. Michel Garcia nous met en garde contre les dérives du consumérisme dans le domaine de la teinture, tout en appelant à une pratique respectueuse de l'environnement et à la valorisation des savoirs traditionnels. Êtes-vous prêt à redécouvrir les nuances et les richesses des fibres naturelles ?Rejoignez-nous pour une conversation enrichissante qui vous donnera envie d'explorer les jardins de la couleur végétale et d'adopter une approche plus consciente de la teinture. Cet épisode d'ArtEcoVert est une invitation à réfléchir sur notre impact écologique tout en célébrant la beauté et la diversité des plantes tinctoriales. N'oubliez pas de partager vos réflexions et vos expériences avec nous ! Belle écoute,Pauline
Artist Claire Tabouret studied at the École des Beaux-Arts, Paris. Motivated by a sensitivity to the passing of time and the floodgates of vulnerability opened by human relationships, Tabouret's painting practice is paced between periods of productive urgency and quiet reflection, and animated by layers, fabrics, and full, loose brushstrokes. Her hydrous palette is suspended somewhere in the ether between the synthetic hues of makeup and subdued tones of the earth, simultaneously referencing the natural and artificial ingredients of representation. Tableaux depicting bodies in confrontation, portraits, paintings of assemblies of people from young debutants to migrants at sea, and landscapes are often washed in color fields, alternately evoking ine possibility of anywhere and site specificity.She and Zuckerman discuss her studio practice and a typical day, where her ideas come from, living in California, comfort and risk, ‘fluff,' motherhood, music, what art has to teach us, and her selection to design new, contemporary stained-glass windows for the newly renovated Notre Dame Cathedral.
durée : 00:58:17 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Les interdits alimentaires évoquent souvent la religion, mais des régimes non religieux, comme le végétarisme, émergent aussi. Ces choix questionnent nos habitudes : pourquoi tout ce qui est comestible n'est-il pas consommé ? Et pourquoi considère-t-on certains aliments comme comestibles ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Olivier Assouly Enseignant à l'Institut français de la mode à Paris, ainsi qu'à l'école des Beaux-Arts d'Angers, rattaché au laboratoire ACTE de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Florence Burgat Philosophe, directrice de recherche à l'ENS
Die Galeristin Alice Pauli brachte ab 1961 Kunst nach Lausanne, nun widmet sich eine Ausstellung der einflussreichen Sammlerin und Mäzenin. Und: der Verein FemaleClassics bringt mehr Komponistinnen auf Spiel- und Lehrpläne. Alice Pauli hob Lausanne auf die Landkarte der Kunstwelt. In den späten 1950er Jahren war das gesellschaftliche Interesse an Kunst in Lausanne gering. Wer Geld hatte, gab es nicht unbedingt für Kunst aus. Alice Pauli brachte Lausanne die Lust an Kunst bei. Die Frau, die ursprünglich aus der Uhrenbranche kam, eröffnete 1961 eine Galerie, die sehr erfolgreich war. Und sie wurde eine wichtige Unterstützerin für die Plateform 10, das neue Museumsquartier in Lausanne. Eine Ausstellung im «Musée cantonal des Beaux-Arts» würdigt Alice Pauli. Frauen komponieren genauso gute Musik wie Männer. Dennoch stehen Komponistinnen viel seltener als Komponisten auf den Spielplänen von Berufsorchestern oder in Lehrplänen. Aus Empörung darüber gründete die Bratschistin Meredith Kuliew vor drei Jahren den Verein FemaleClassics. Der vermittelt Wissen zu Komponistinnen aller Epochen, veranstaltet jährlich ein eigenes Festival mit frauenkomponierter Musik und kritisiert Schweizer Berufsorchester für zu wenig diverse Spielpläne. Was sagen das Sinfonieorchester Basel und das Berner Symphonieorchester dazu?
durée : 00:07:57 - franceinfo junior - Alors qu'un de ses tableaux est mis en vente mardi, les enfants de franceinfo junior posent toutes leurs questions sur le street-artiste Banksy. Pour leur répondre : Fabrice Bousteau, directeur de la rédaction de "Beaux-Arts magazine".
Listener Tadd Williams often sees the 16th Street Station from I-880. It's a huge, stately building in the Beaux-Arts style. It's looking a little rundown now, but it was clearly once dazzling. In today's episode, we explore how this spot was important to West Oakland's Black community and the Civil Rights Movement. And we get a promising update on it's future. Additional Reading How Oakland's 16th Street Station Helped Build West Oakland and the Modern Civil Rights Movement Transcript of this episode Legacy of the Pullman Car Porters Sign up for our newsletter Enter our Sierra Nevada Brewing Company monthly trivia contest Your support makes KQED podcasts possible. You can show your love by going to https://kqed.org/donate/podcasts This story was reported by Azul Dahlstrom-Eckman. Bay Curious is made by Olivia Allen-Price, Katrina Schwartz and Christopher Beale. Additional support from Jen Chien, Katie Sprenger, Maha Sanad, Alana Walker, Holly Kernan and the whole KQED family.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Maryvonne de Saint-Pulgent et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 octobre 2024.Le sixième et dernier épisode de notre série consacrée à Notre-Dame avec Maryvonne de Saint-Pulgent interroge la légende qui fait de Notre-Dame une « cathédrale du peuple », construite par le peuple de Paris. Notre invitée montre que les artisans de Notre-Dame étaient très qualifiés, et que la cathédrale illustre ce qui se fait de mieux pour tous les corps d'état.Enfin, cet épisode évoque la restauration menée par Viollet-le-Duc au XIXe siècle, ainsi que la manière dont il a été amené à travailler à cette restauration. Il aborde les raisons ayant poussé à la création du service des monuments historiques. Sont discutés également les reproches faits par l'Académie des Beaux-Arts à cette restauration.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
Helen McNicoll was a Canadian painter who had a significant influence on the rise of Impressionism in that country. McNicoll, who lost her hearing in childhood, was quite successful as an artist, though her career and life were short. Research: Anderson, Jocelyn. “William Brymner: Life & Work.” Art Canada Institute. https://www.aci-iac.ca/art-books/william-brymner/biography/ Atanassova, Katerina. “Helen McNicoll: In Search of Light.” National Gallery of Canada. 5/4/2023. https://www.gallery.ca/magazine/your-collection/helen-mcnicoll-in-search-of-light Babbs, Verity. “Painting Bought for $2,700 Revealed to Be $390,000 Masterpiece.” Artnet. 10/23/2024. https://news.artnet.com/art-world/fake-or-fortune-helen-mcnicoll-painting-2557012 Burton, Samantha. “Helen McNicoll: Life and Work.” Art Canada Institute. https://www.aci-iac.ca/art-books/helen-mcnicoll/biography/ Canadian Women Artists History Initiative. “MCNICOLL, Helen Galloway.” https://cwahi.concordia.ca/sources/artists/displayArtist.php?ID_artist=105 Goodman, Rachel. “Renowned Canadian artist’s painting that was lost for over 100 years discovered by U.K. artist.” Now Toronto. 10/6/2024. https://nowtoronto.com/news/renowned-canadian-artists-painting-that-was-lost-for-over-100-years-discovered-by-u-k-artist/ “Death Cuts Short Promising Career.” The Gazette (Montreal, Quebec, Canada). Mon, Jun 28, 1915. Page 5 Haworth, Lorna Helen. “A History of McKay School for the Deaf.” Master’s Thesis. McGill University. 1960. Huneault, Kristina. “Impressions of difference: the painted canvases of Helen McNicoll.” Art History. April 2004. Luckyj, Natalie. “Helen McNicoll : a Canadian Impressionist.” Art Gallery of Ontario. 1999. Luckyj, Natalie. “McNICOLL, HELEN GALLOWAY,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 14, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed January 14, 2025, https://www.biographi.ca/en/bio/mcnicoll_helen_galloway_14E.html. Musee National des Beaux Arts du Quebec. “Musee National des Beaux Arts du Quebec.” https://www.mnbaq.org/en/exhibition/helen-mcnicoll-1306 Musée national des beaux-arts du Québec. “Helen McNicoll. An impressionist Journey A celebration of light!.” Canadian Newswire. 6/19/2024. https://www.newswire.ca/news-releases/helen-mcnicoll-an-impressionist-journey-a-celebration-of-light--811205352.html Nash, Julie. “Defining Moments: Mary Cassatt and Helen McNicoll in 1913.” At Herstory. 8/8/2023. https://artherstory.net/defining-moments-mary-cassatt-and-helen-mcnicoll-in-1913/ Prakash, A.K. "Independent Spirit: Early Canadian Women Artists." Queen's Quarterly, vol. 116, no. 3, fall 2009, pp. 354+. Gale General OneFile, link.gale.com/apps/doc/A211717399/GPS?u=mlin_n_melpub&sid=bookmark-GPS&xid=f5c4f4e2. Accessed 13 Jan. 2025. Widd, Thomas. “History of the Protestant Institution for Deaf-Mutes, Montreal, Canada.” American Annals of the Deaf and Dumb. Vol. 22, No. 4. October 1877. https://www.jstor.org/stable/44401559 See omnystudio.com/listener for privacy information.