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durée : 00:06:01 - Comment transcrire un mouvement de danse sur le papier ? - par : Louis-Valentin Lopez - Systèmes de notation, carnets, manuels à danser... Plus de 250 pièces sont exposées depuis ce week-end au musée des Beaux-Arts et d'Archéologie de Besançon. Reportage.
Déjà disponible GRATUITEMENT pour les membres premium Patréon COULEUR VEGETALE + à l'année ICI : https://www.patreon.com/c/artecovert/membershipSinon il sera prochainement en vente
This week The Frick Collection will reopen its doors to the public after a renovation and restoration of nearly five years and a cost of $220 million dollars. Visitors will again see the elegant Beaux Arts mansion once occupied by Gilded Age industrialist Henry Clay Frick and his wife and daughter. They will also see the priceless collection of masterworks of art from the Renaissance through the 19th century, much of acquired by Frick himself. In this episode, a companion show to the Bowery Boys "House of Beauty: The Story of the Frick Collection", Carl talks with managing educator Caitlin Henningsen about her work researching the domestic staff who worked in the mansion, just who they were and what their roles in the household were. They also speak about how Frick thought about blending art with domestic space in several of his homes and what he wanted to achieve with this mansion before it became a museum after his death in 1919. Caitlin and Carl also discuss, thanks to extraordinary archival records, how the Fricks entertained in a grand Gilded Age style in the very dining room visitors see today. Find PART ONE over at the Bowery Boys podcast House of Beauty: The Story of the Frick Collection
Nous explorons la richesse des couleurs végétales à travers des échanges inspirants avec deux experts, Florent Valentin et Dominique Cardon. Ensemble, nous allons découvrir comment ces pigments végétaux peuvent transformer notre approche de la biodiversité et de l'agriculture tinctoriale en France.Florent nous partage ses expériences au Jardin de Lauris, le plus grand conservatoire de plantes tinctoriales en France, où il travaille sur l'acclimatation de ces précieuses espèces. Quelles sont les limites à prendre en compte pour réussir cette acclimatation? Quels critères sont essentiels pour introduire des colorants biosourcés dans notre écosystème? Florent nous éclaire sur l'importance d'enrichir notre biodiversité avec des plantes d'autres territoires, tout en respectant l'équilibre fragile de notre environnement.Dominique, quant à lui, apporte son expertise sur les défis rencontrés dans le domaine de la teinture végétale. Il souligne l'importance d'éduquer les jeunes générations à la sensibilité des couleurs végétales et à la richesse des fibres naturelles que nous offre la nature. À travers ses paroles, nous ressentons la passion commune pour la couleur et l'urgence de transmettre ce savoir-faire ancestral.Les discussions ne s'arrêtent pas là! Nous explorons également des échanges internationaux qui mettent en lumière la collaboration entre passionnés de la teinture végétale. Comment ces initiatives peuvent-elles renforcer notre communauté et promouvoir l'utilisation des tanins, de l'indigo et de la garance dans nos pratiques quotidiennes?À la fin de cet épisode, nous vous donnerons des nouvelles excitantes sur des événements à venir et un appel à la communauté pour soutenir l'initiative de la couleur végétale. Rejoignez-nous pour cet échange enrichissant et engageant, où chaque nuance de couleur nous rapproche un peu plus de notre nature.Pour plus d'informations sur les plantes tinctoriales, les colorants végétaux et les pratiques durables, n'hésitez pas à consulter notre site web. Belle écoute!
Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, plongez dans l'univers fascinant de la couleur végétale et des plantes tinctoriales avec notre invitée, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée. À travers une exploration riche et colorée, Pauline nous invite à découvrir la symbolique des couleurs au sein de différentes cultures, mettant en lumière la diversité des perceptions qui existent à travers le monde."Les couleurs ne sont pas seulement des pigments, elles racontent des histoires." C'est avec cette citation en tête que Pauline débute son voyage à travers les teintes qui nous entourent. En s'intéressant tout d'abord au rouge, elle nous révèle ses associations avec le bonheur et la prospérité en Chine, tout en explorant ses significations variées en Inde, en Occident et en Afrique. Ce n'est qu'un aperçu des trésors que recèle la teinture végétale et les plantes tinctoriales.Au fil de l'épisode, nous découvrons d'autres couleurs emblématiques : le bleu, souvent synonyme de paix en Occident, mais qui revêt une signification spirituelle en Amérique latine. Le vert, symbole de croissance et de santé, mais également associé à l'infidélité en Chine, nous rappelle combien la couleur peut être chargée de nuances culturelles. Le jaune, qui évoque la royauté en Chine, se juxtapose à ses connotations de lumière et de jalousie en Occident. Chaque couleur, qu'elle soit issue de l'indigo, de la garance ou d'autres colorants biosourcés, porte en elle une richesse historique et culturelle que Pauline nous aide à déchiffrer.Cet épisode ne se limite pas à une simple analyse des couleurs ; il nous invite également à réfléchir à l'importance de comprendre ces différences pour mieux appréhender l'art et la culture. Les colorants végétaux, les pigments végétaux et la coloration capillaire végétale prennent ainsi tout leur sens dans cette quête de connaissance et de respect des traditions.Pour les passionnés de jardinage, Pauline évoque également l'idée d'un jardin tinctorial, un espace où l'on peut cultiver des plantes offrant une palette de couleurs naturelles. En fin de compte, cet épisode de ArtEcoVert est une véritable ode à la beauté de la nature et à la richesse des cultures à travers le prisme des couleurs de plantes.Ne manquez pas cette occasion d'approfondir vos connaissances sur la teinture végétale et les plantes tinctoriales ! Écoutez cet épisode inspirant et engageant, et laissez-vous emporter par la magie des couleurs. Belle écoute à vous tous !
Yvette's stay at the Pont Royal Hotel, a former “writer's residence” turned hotel and later expanded to its impressive destination status, was enhanced by her opportunity to interview the general manager, Frederic Legallois. The hotel is located on the Left Bank of the Seine River, where artists and intellectuals of the early and mid-20th century held court on café terraces in Saint-Germain-des-Prés. This neighborhood is a postcard-perfect vision of Paris: a grand, boutique-filled boulevard; café terraces practically made for people-watching; former residences turned into hotels; antique shops and bookstores spilling out on cobblestoned squares. Yvette enjoyed the hotel staff's attentiveness to quality service, the art on display and the jazz performance in the hotel's well-appointed bar and lounge. The hotel's proximity to museums and gardens allowed Yvette to enjoy the beautifully manicured Jardin du Luxembourg, which dates back 400 years, and the Musee d'Orsay. The Musee d'Orsay, which was originally established with loans from the Louvre, now claims the largest collection of impressionist and post-impressionist art in the world. Taking over a former Beaux-Arts railway station along the Seine River, this Museum holds masterpieces, which Yvette had an opportunity to enjoy, like Vincent van Gogh's “The Starry Night” and Edouard Manet's “The Luncheon on the Grass” and a very special find for Yvette, the American artist's James McNeill Whistler's “Whistler Mother.”
durée : 00:03:49 - L'invité des programmes de "ici Sud Lorraine" : Les Rencontres Urbaines de Nancy RUN avec Susana Gallego-Cuesta Directrice du Musée des Beaux-Arts
Dernière étape carolo du jeu de Walid avec Eric De Staercke, Manu di Pietro, François et Lola, pour apprendre en s'amusant, découvrir en souriant, et connaître ce que les carolos pensent de leur ville, et nous conseillent, pour dépasser les a priori. Et ce n'est pas le comédien originaire de la région Olivier Massart qui les contredira. Il rejoint le public du Palais des Beaux-Arts afin de lui aussi, dire ce qu'il pense de la ville et de son évolution, mais également pour présenter le dernier film dans lequel il joue : "Demain si tout va bien", de Ivan Goldschmidt avec Virginie Hocq, Olivier Massart, Bérangère Mcneese et David Macaluso. Un film vrai, intelligent, sensible et émouvant. Un feelgood movie avec des dialogues savoureux, quatre comédiens qui vous feront pleurer de rire et un humour à la belge. Bref, une dernière étape, et pas des moindres, à Charleroi. Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Savez-vous que l'indigo, cette couleur végétale emblématique, a traversé les siècles et les continents pour devenir un pilier de l'agriculture tinctoriale moderne ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale et les plantes tinctoriales. Ensemble, nous plongeons dans l'univers fascinant des pigments végétaux, en explorant non seulement l'indigo, mais aussi d'autres trésors comme la garance et les tanins.Pauline partage avec nous son expertise sur l'exportation des produits de couleur végétale, en mettant en lumière l'importance cruciale de garantir la naturalité de ces colorants biosourcés. À travers une analyse approfondie des méthodes modernes telles que la chromatographie et le dosage par HPLC, elle compare ces techniques à des approches plus traditionnelles, offrant ainsi une perspective enrichissante sur l'évolution de la teinture végétale.Mais ce n'est pas tout ! L'épisode inclut également des témoignages précieux d'experts tels que Laura et Amandine Roussier, fondatrices de Le Champ des Couleurs, ainsi que des représentants de Green'ing, une entreprise qui œuvre déjà dans 35 pays pour promouvoir les colorants végétaux. Ces intervenants partagent des conseils pratiques sur la documentation nécessaire pour l'exportation, les numéros d'identification, et la perception de la France sur le marché mondial des colorants naturels.Nous aborderons également les défis et les opportunités que présente l'agriculture tinctoriale à l'international, soulignant l'importance de la science et de l'expertise dans le domaine des couleurs végétales. Cet épisode est un véritable appel à l'engagement pour un développement durable et une innovation dans le secteur de la teinture végétale.Alors, êtes-vous prêt à découvrir les nuances infinies que nous offrent les plantes tinctoriales ? Rejoignez-nous pour une conversation enrichissante qui stimule à la fois l'esprit et les sens. N'oubliez pas de consulter les liens utiles partagés dans la description pour approfondir vos connaissances sur ce sujet passionnant. Belle écoute !
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets des plantes tinctoriales et la magie de la couleur végétale? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome et passionnée de couleur végétale, nous invite à plonger dans l'univers fascinant de l'agriculture tinctoriale à travers la septième journée de la quinzaine dédiée à cette pratique ancestrale. Au programme, quatre intervenants d'exception qui partagent leurs connaissances et expériences. Dahlia Milon, agricultrice canadienne, nous livre ses astuces low-tech pour démarrer une exploitation agricole de plantes tinctoriales. Elle nous montre comment cultiver ces trésors de la nature tout en respectant l'environnement. Gabriel Beaulieu, également du Canada, nous présente un annuaire des acteurs clés du domaine, facilitant ainsi l'accès à des ressources précieuses pour tous ceux qui souhaitent s'initier à la teinture végétale. Azéret Robles, venue du Mexique, nous transporte dans l'histoire de la couleur végétale, évoquant des plantes emblématiques telles que le bleu maya et la cochenille. Elle met en lumière les liens fascinants entre plantes tinctoriales et plantes médicinales, et nous rappelle l'importance de ces connexions pour notre bien-être et notre culture. Enfin, Julia Tabakhova nous offre un aperçu enrichissant de son livre sur l'indigo, nous permettant d'approfondir notre compréhension de cette plante fascinante et de ses pigments végétaux uniques.Pour ne rien manquer, cet épisode se termine avec l'annonce d'une prochaine rencontre avec Florent Valentin et Dominique Cardon, deux experts passionnants qui nous éclaireront davantage sur le monde des colorants biosourcés et des fibres naturelles. Ne ratez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur l'agriculture tinctoriale, les nuances de la teinture, et les merveilles que nous offrent les plantes. Que vous soyez novice ou expert, cet épisode d'ArtEcoVert est une véritable invitation à explorer les richesses de la nature et à redécouvrir les colorants végétaux qui embellissent notre quotidien. Pour plus d'informations et de ressources, n'hésitez pas à consulter notre site et à rejoindre notre communauté. Belle écoute !
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets fascinants de la teinture végétale et des plantes tinctoriales ? Dans cet épisode captivant d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée, qui nous guide à travers l'univers vibrant de l'agriculture tinctoriale. Ensemble, nous plongeons dans les richesses des colorants biosourcés et des pigments végétaux, tout en explorant les nuances infinies que la nature a à offrir.Rejoignez-nous pour une discussion enrichissante avec nos invités, Louis Lévis de Terratec et Réjeanne Morgantini de l'Atelier Paysan. Louis nous éclaire sur les solutions mécanisées et les aides disponibles pour les agriculteurs, tandis que Réjeanne souligne l'importance cruciale de l'autonomie des agriculteurs dans le choix de leurs outils et pratiques. Ensemble, ils partagent leur expertise sur la culture des plantes tinctoriales, allant du semis à la récolte, en passant par le désherbage et le conditionnement, un véritable parcours au cœur des fibres naturelles et des colorants végétaux.« La couleur est l'âme de la nature », dit Pauline, et cet épisode illustre parfaitement comment les plantes comme l'indigo et la garance peuvent transformer notre approche de la teinture. Vous découvrirez comment ces nuances peuvent enrichir non seulement notre palette, mais aussi notre compréhension de l'agriculture durable.Nous vous invitons également à rejoindre notre communauté Patreon pour accéder à des ressources exclusives sur la filière tinctoriale. Ensemble, nous pouvons promouvoir des solutions pratiques et adaptées aux besoins des agriculteurs, tout en renforçant l'importance de la collaboration dans le développement de l'agriculture tinctoriale.Ne manquez pas cette occasion unique d'apprendre et de vous inspirer des experts du domaine. Écoutez dès maintenant cet épisode d'ArtEcoVert et plongez dans le monde fascinant des teintures végétales et des plantes tinctoriales. Belle écoute !
On n'est pas dans la discothèque, mais c'est tout de même bagarre au Palais des Beaux-Arts entre Kevin et Christian en ce mercredi : ils s'affrontent, mais dans la joie et la bonne humeur, aidés chacun par leur partenaire (Manu di Petro et Eric De Staercke) pour répondre aux questions de Walid et tenter de gagner le grand prix ! On parle de Charlie Chaplin invité à Charleroi, du temps qui passe, de la durée de vie des billets de banque, et du regard que chacun porte sur la cité carolo. Il sera aussi question de regard, d'œil, d'angle et de lumière en compagnie d' America Parra Smart, responsable du Service des Publics du Musée de la Photo Photographie. Installé à Mont-sur-Marchienne (Charleroi) dans un ancien carmel rénové en 1995, il propose une histoire de la photographie et de ses techniques en relation avec celle des images. Avec ses 6.000 m², il est le plus vaste musée dédié à la photographie en Europe ! A ne pas manquer ! https://www.museephoto.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, je reçois Eliott Grunewald, un typographe spécialisé dans les fontes de titrages ou ornementales. Eliott fait des études pluridisciplinaires aux Beaux-Arts de Lyon, puis en Type Design à l'ECAL. En master 2, il prépare déjà sa sortie d'école en bossant à mi-temps pour une fonderie. Il nous raconte comment les choses se sont faites petit à petit pour arriver à la création de sa fonderie OTT (Ornemental & Title Type), une fonderie sans aucune fonte de labeur. Les créations typo d'Eliott sont très singulières, très typées. Il a choisi cette pratique typographique parce qu'elle laisse plus de place à la liberté et à la spontanéité. Ce qui ne l'empêche pas de faire des recherches sur des anciennes typo pour se les réapproprier et les emmener ailleurs. Bonne écoute ! ➡️ @ornemental_title_type ott-foundry.comLes références et noms cité.es :- Olivier Lebrun- Alex Balgiu- Thierry Chancogne- Damien Gauthier- Mathieu Cortat- 205tf- Lan Party- Swiss TypefacesType in use : Rigaldon de Eliott Grunewald, disponible sur ott-foundry.com20% de remise sur StickerApp avec le code GRAPHICMATTER20 (valable tout le mois d'avril 25)Pour faire un don et soutenir le podcast.Pour vous inscrire à la newsletter mensuelle de Graphic Matter.Pour suivre le podcast @graphicmatterpodcastMerci pour votre soutien, on se retrouve toutes les deux semaines pour une nouvelle rencontre. Conception, production, curation, graphisme : Louise GomezHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cette semaine, toute l'équipe de Ca vaut vraiment le détour pose ses valises, ses micros et ses feuilles de questions à Charleroi, commune au riche passé industriel qui est aussi la commune la plus peuplée de Wallonie. Parmi ces personnes, deux ont choisi de jouer en ce lundi, Linda et Anne, soutenues par Manu di Pietro (régional de l‘étape) et Eric De Staercke, et répondre aux questions capillotractées de Walid. Quant à l'invitée du jour, il s'agit de Marie Noble, directrice du PBA de Charleroi, paquebot magnifique et imposant qui rythme depuis près de 70 ans la vie culturelle de la cité carolo ! On parle de son histoire, d'une profession étonnante qu'on ne trouve presque nulle part ailleurs, et d'un avenir qui pourrait aussi faire la part belle à la bande dessinée et à la fameuse école de Marcinelle ! https://www.pba.be/ Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 01:48:28 - Soft Power - par : Frédéric Martel - Face à la montée de l'intelligence artificielle, de l'illibéralisme et à la catastrophe écologique, quels mondes les artistes inventeront-ils en 2035 ? - réalisation : Alexandra Malka - invités : Fabrice Bousteau Directeur de Beaux Arts magazine; Rebecca Lamarche-Vadel Directrice de Lafayette Anticipations - la Fondation d'entreprise Galeries Lafayette
Êtes-vous prêt à découvrir les secrets des couleurs végétales et à plonger dans l'univers fascinant des plantes tinctoriales ? Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale, nous emmène au cœur de la quinzaine de l'agriculture tinctoriale. À travers des témoignages enrichissants de trois intervenants, nous explorerons les merveilles des colorants biosourcés et des pigments végétaux qui transforment notre rapport à la couleur.Le docteur Henri-Joseph, pionnier de l'indigo en Guadeloupe, nous dévoile l'histoire d'un bleu exceptionnel, avec un taux d'indigotine record, et propose une agriculture repensée, en harmonie avec la nature. Sa passion pour l'indigo et son engagement envers les pratiques durables nous rappellent l'importance de cultiver des plantes tinctoriales qui nourrissent non seulement notre créativité, mais aussi notre planète.Maeri Andriamanantena, expert en plantes de la région Réunion-Madagascar, nous fait découvrir des colorants incroyables, notamment un vert difficile à stabiliser. Sa quête des nuances parfaites nous invite à réfléchir sur les défis que représente la teinture à partir de fibres naturelles et sur l'importance de la recherche dans ce domaine.Enfin, Mariana Royer de Guyane, fondatrice du laboratoire Biostratège, partage son expérience de construction d'une filière durable reliant agriculture et industrie. À travers son parcours, elle explore les pigments végétaux et les colorants végétaux qui peuvent transformer notre manière de concevoir la production textile. Son engagement pour une agriculture tinctoriale durable est une source d'inspiration pour tous ceux qui souhaitent allier passion et respect de l'environnement.Dans cet épisode, nous aborderons également les enjeux futurs pour transformer ces initiatives locales en un marché global. Comment fédérer les acteurs autour de cette filière et garantir sa pérennité ? Pauline invite tous les auditeurs à rejoindre la communauté de l'agriculture tinctoriale et à s'abonner à son contenu pour rester informés des dernières avancées dans le domaine.
Êtes-vous prêt à découvrir l'univers fascinant de la teinture végétale et des plantes tinctoriales ? Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome et passionnée par la couleur végétale. Ensemble, nous plongeons dans la quinzaine de l'agriculture tinctoriale, une initiative qui met en lumière les richesses des colorants biosourcés et des pigments naturels. Pauline nous guide à travers des projets inspirants en France et en Europe, où la culture du pastel retrouve ses lettres de noblesse.Au programme, des échanges enrichissants avec des experts tels que Denise Lambert, qui partage son expérience de plus de 40 ans dans la culture du pastel. Son témoignage sur l'innovation dans les débouchés de cette couleur est une véritable leçon de passion et de persévérance. Nous découvrons également Tristan, un jardinier irlandais, qui nous parle de son travail de recherche variétale sur les plantes tinctoriales, et d'Anna Airena d'Italie, qui évoque des projets d'agriculture innovante et les défis rencontrés par les teinturiers industriels.Un autre point fort de cet épisode est la contribution de Nathalie Le Turc des Canaries, qui aborde les défis liés à la cochenille et souligne l'importance de la biodiversité végétale. À travers ces témoignages, nous réalisons combien il est crucial de favoriser la coopération entre agriculteurs et industriels pour structurer la filière de la couleur végétale. La teinture à base de fibres naturelles, comme l'indigo et la garance, devient alors un symbole d'engagement pour un avenir durable.Ensemble, nous explorons les nuances et les possibilités infinies des colorants végétaux et des tanins, tout en mettant en avant des exemples inspirants de différents pays. Que vous soyez passionné par les jardins, l'agriculture tinctoriale ou simplement curieux d'en apprendre plus sur les pigments végétaux, cet épisode est fait pour vous !Ne manquez pas cette occasion d'enrichir vos connaissances sur la teinture végétale et d'écouter des experts partager leurs expériences. Pour des liens utiles et des ressources supplémentaires, restez à l'écoute et plongez dans l'univers d'ArtEcoVert. Belle écoute !
durée : 00:28:36 - Les Midis de Culture - par : Marie Sorbier - Touche-à-tout, Hélène Delprat cherche, peint, sculpte, attend, s'y remet, colle, déplace, barbouille, un truc par jour et jour après jour, elle compose une œuvre singulièrement fourmillante. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Hélène Delprat Artiste plasticienne. Professeur aux Beaux-Arts de Paris (Les explorateurs/ Les inventeurs).
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - Dans le cadre de l'opération '100 œuvres qui racontent le climat', le musée des Beaux-Arts de Tours accueille un Sisley pour mettre en lumière la disparition de paysages depuis la fin du XIXe siècle. Conséquence du changement climatique, la neige et les hivers rigoureux sont devenus rarissimes.
durée : 00:04:44 - Le Reportage de la rédaction - Dans le cadre de l'opération '100 œuvres qui racontent le climat', le musée des Beaux-Arts de Tours accueille un Sisley pour mettre en lumière la disparition de paysages depuis la fin du XIXe siècle. Conséquence du changement climatique, la neige et les hivers rigoureux sont devenus rarissimes.
Saviez-vous que la couleur végétale peut transformer non seulement nos textiles, mais aussi notre façon de percevoir et de respecter la nature ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée de couleur végétale, nous plonge dans l'univers fascinant des plantes tinctoriales et de leurs applications variées. Découvrez comment la teinture végétale, à travers des colorants biosourcés comme l'indigo et la garance, peut redéfinir l'artisanat et le textile tout en préservant notre environnement.Ce quatrième jour de la quinzaine de l'agriculture tinctoriale, sponsorisée par Greening, met en lumière les contributions précieuses des continents africains et asiatiques. Au programme, des intervenants de choix : David Santandreux nous partage son expérience sur l'indigoterie au Maroc, où les techniques traditionnelles de teinture révèlent toute la richesse des pigments végétaux. Miwa Saito nous transporte au Japon pour nous parler de la culture de la persiquaire, une plante aux nuances fascinantes. Arumi Sujiura, quant à elle, évoque la garance Akane, une espèce presque disparue, et Elisabeth, connue sous le nom de Betty Beautiful Life, aborde des projets innovants de culture de l'indigo en Thaïlande.Nous explorerons également les méthodes d'agriculture durable, les défis auxquels font face les cultivateurs et l'importance cruciale des communautés dans la culture des plantes tinctoriales. Ce dialogue enrichissant nous rappelle que la teinture végétale n'est pas seulement une technique, mais un véritable art de vivre en harmonie avec notre environnement.Pauline vous invite à rejoindre notre communauté sur Patreon pour accéder à des replays et à des témoignages captivants sur la couleur végétale. Ensemble, découvrons comment les fibres naturelles, les tanins et les colorants végétaux peuvent nous offrir une palette de couleurs respectueuse de la planète.Ne manquez pas cette occasion d'en apprendre davantage sur la beauté et la richesse de la teinture végétale ! Belle écoute !
Sara Favriau est avant tout sculpteuse : une cabane, une pirogue, un arc, un arbre… sont des éléments qui font partie de son vocabulaire formel et conceptuel, et portent leur propre dramaturgie.L'artiste interroge à la fois l'œuvre et son écosystème ; sa circularité comme un arbre-pirogue qui traverse une mer, pour retrouver une forêt. Elle convoque des formes, des symboles et des procédés de nature populaire pour les transposer. Le bois est l'un de ses matériaux de prédilection, qu'il soit envisagé à une macro ou micro-échelle. Sara Favriau est diplômée des Beaux-Arts de Paris (atelier Penone) en 2007. Elle est représentée par la Galerie Maubert où elle présente actuellement l'exposition L'aveu musclé.Conversation avec Audrey IllouzLauréate du Prix des Amis du Palais de Tokyo 2015, Sara Favriau y présente en 2016 l'exposition La redite en somme, ne s'amuse pas de sa répétition singulière. En 2017, elle expose au Château de Chaumont, à Independent Brussels et effectue une résidence en partenariat avec le ministère de la Culture et le CNEAI. En 2018, elle participe à la première Biennale de Bangkok Beyond Bliss en tant qu'invitée d'honneur. En 2019, elle effectue la résidence French Los Angeles Exchange (FLAX) et participe à la première Biennale de Rabat. En 2020 commence une collaboration sur le temps long avec l'INRAe et des biologistes de l'Unité des Forêts Méditerranéenne. Elle est invitée à la Villa Noailles pour le Festival International de la Mode où elle expose une installation d'arbres sculptés issus d'une parcelle de forêt à côté de Marseille étudiée par l'INRAe . En 2021, un arbre-pirogue traverse la mer Méditerranée, depuis les salins des Pesquiers à Hyères, vers la Fondation Carmignac sur l'Ile de Porquerolles. En 2021/2022, elle effectue une résidence de la Royal Commission RCU and French Agency Afalula, opérée par Manifesto, à AlUla en Arabie Saoudite.Son travail est présent dans de nombreuses collections publiques : FMAC (collection de la ville de Paris), FDAC Essonne, FRAC Normandie Caen, FRAC Centre, MAC VAL (installation pérenne), BAB (Bangkok Art Biennale).Amphithéâtre des LogesJeudi 6 février 2025Crédit photo : © Anaïs Veignant
Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, Pauline Leroux reçoit David Damour, un artiste et auteur profondément passionné par la couleur végétale et les pigments naturels. Dès l'âge de 7 ans, David a été fasciné par la peinture, mais c'est au fil des années qu'il a découvert l'univers fascinant des plantes tinctoriales. Ensemble, ils plongent dans l'importance des pigments extraits de plantes et de minéraux, ainsi que les défis liés à leur résistance à la lumière. « La couleur est une poésie que nous pouvons toucher », déclare David, soulignant ainsi l'essence même de son art. Au cours de cette discussion enrichissante, David partage ses expériences et ses connaissances sur les techniques d'extraction des pigments, la différence entre les divers liants artistiques, et l'impact des UV sur les œuvres d'art. Ils évoquent également des plantes emblématiques telles que la sophora et le coquelicot, véritables trésors de la teinture végétale, et l'importance de la transmission des savoirs autour de la couleur végétale.David présente ses livres et ses ressources en ligne, tout en révélant ses projets futurs, dont l'ambitieux projet de créer un musée dédié aux pigments naturels. Ce projet vise à célébrer les couleurs de plantes et à sensibiliser le public à l'importance des colorants biosourcés et des fibres naturelles dans notre quotidien. Cet épisode est une véritable invitation à explorer le monde des colorants végétaux, en mettant en lumière des techniques artisanales et des savoir-faire ancestraux. Les auditeurs découvriront comment la teinture naturelle et l'utilisation de pigments végétaux peuvent transformer non seulement l'art, mais aussi notre rapport à la nature et à la durabilité. Ne manquez pas cette belle plongée dans l'univers des couleurs naturelles et des techniques artistiques qui les entourent. Que vous soyez artiste, passionné de design, ou simplement curieux des merveilles du monde végétal, cet épisode d'ArtEcoVert vous apportera des clés pour mieux comprendre la richesse des plantes tinctoriales et leur potentiel créatif. Pour approfondir vos connaissances, n'hésitez pas à explorer les liens utiles partagés dans la description. Préparez-vous à être inspiré par cette conversation fascinante et à découvrir des perspectives nouvelles sur la coloration capillaire végétale et les tanins. Belle écoute ! Pauline
Savez-vous que la couleur végétale peut transformer non seulement nos textiles, mais aussi notre rapport à la nature et à l'environnement ? Dans cet épisode d'ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Michel Garcia, un expert passionné de la teinture végétale et des plantes tinctoriales. Ensemble, nous plongerons dans l'univers fascinant des colorants végétaux, où l'indigo et la garance révèlent leurs secrets ancestraux et leur potentiel infini.Michel nous rappelle l'importance d'une approche holistique dans la pratique de la teinture. Il évoque la nécessité de relocaliser la production de colorants, un enjeu crucial face aux conséquences de la colonisation et aux ravages de la monoculture qui ont épuisé nos terres. À travers des discussions techniques et des exemples concrets, il met en lumière le rôle essentiel de l'agriculture durable et de la conservation des ressources naturelles. Comment les déchets de certaines cultures peuvent-ils être valorisés pour extraire des pigments végétaux ? C'est une des questions passionnantes que nous aborderons, en explorant la notion de covalorisation.Dans cet épisode, nous découvrons également comment les tanins et d'autres composants des plantes peuvent être utilisés pour créer des encre végétale et des colorants biosourcés. Michel Garcia nous met en garde contre les dérives du consumérisme dans le domaine de la teinture, tout en appelant à une pratique respectueuse de l'environnement et à la valorisation des savoirs traditionnels. Êtes-vous prêt à redécouvrir les nuances et les richesses des fibres naturelles ?Rejoignez-nous pour une conversation enrichissante qui vous donnera envie d'explorer les jardins de la couleur végétale et d'adopter une approche plus consciente de la teinture. Cet épisode d'ArtEcoVert est une invitation à réfléchir sur notre impact écologique tout en célébrant la beauté et la diversité des plantes tinctoriales. N'oubliez pas de partager vos réflexions et vos expériences avec nous ! Belle écoute,Pauline
Les études d'animation connaissent depuis quelques années un engouement croissant. A juste titre d'ailleurs ! En effet est-il nécessaire de rappeler que dans cette ère du numérique dans laquelle nous vivons, ces secteurs sont en plein boom et l'animation jouit d'une belle marge de progression. Télévision, cinéma, jeux vidéo, web.... Les animateurs sont partout et pas seulement dans le domaine du divertissement !Voyons dans un premier temps les domaines concernés par les études d'animations et les différents diplômes existants Animation 2D : Réaliser des films d'animation 2DAnimation 3 D: Réaliser des films d'animation/jeux vidéos en images de synthèseUX designer : Concevoir des solutions et des expériences pour des utilisateursModeleur 3D : Donner vie au conceptPour se former à l'animation votre jeune aura le choix➢ d'intégrer une école privée ou publique (vous pourrez trouver la liste des écoles privées les plus demandées sur le site du reca-animation.com) Les étapes de diplômes seront d'une part un bachelor /équivalent Licence( 3 ans – 180 ECTS) puis 2 ans pour obtenir le diplôme de l'école équivalent Master➢ de faire un DMNADE (diplôme d'état en 3 ans)Parmi les DNMADE l'on distinguera 2 MentionsForme à la création numérique dans les domaines du graphisme, de l'animation/ Il s'agit de Concevoir de sites web / des Applications pour mobile, ou encore de Réaliser de jeux vidéo, de design d'interface, de motion design -18 établissements en FranceForme à l'acquisition des techniques d'animation 2D et 3D/ -7 établissements en FranceVous trouverez la liste des établissements sur ce site indispensable à vos recherches https://andea.fr/Mais au fait, L'animation de quoi s'agit-il et quels sont les attentes des jurys ?En 3 points :Raconter une histoireFaire vivre des personnagesPlanter un décorCes 3 points devraient à eux seuls vous suffire pour comprendre quels sont les attentes des jurys des écoles et comment, dès aujourd'hui, vous préparer pour intégrer des écoles telles que les Gobelins, Rubikaa, Méliès, EMCA, Lisaa, Artfix, ENSAD....et tant d'autres en France comme à l'international.Comment se préparer ?Avoir des dispositions pour l'écriture : Montrer votre goût pour l'écriture par l'illustration d'histoire courte, des ébauches de scénarios, des recueils de textes choisis, des notes personnelles.... Par conséquent avoir une bonne culture générale.Mettre en avant votre potentiel de créativité : Vous allez être amené à créer des univers aussi riches que variés tant dans l'expression plastique que dans le genre. Aussi mettez en avant votre appétence pour expérimenter différents médiums plastiques : carnets de croquis, modelage, photographies, vidéo, maquette, animations...Révéler votre maîtrise du dessin en insistant particulièrement sur votre sens de l'observation et du mouvement. : mettez en votre avant maitrise ou aptitude à la composition, la perspective, votre sûreté du trait, votre sensibilité à capter le corps en mouvement. Il ne s'agit pas tant de maîtriser l'anatomie des personnages que d'être en mesure de traduire un corps vivant, en mouvement en quelques traits.Pensez volume et décor: Surtout ne vous cantonnez pas uniquement aux personnages. Le décor, le contexte dans lequel se déroule tout scénario est primordial. Aussi travailler ces points, interroger les jeux/films par leur contexte géographique et dans vos projets portez une attention particulière à l'environnement.L'animation comme toute discipline des arts appliqués, c'est mettre sa créativité au service d'une contrainte donnée, ou dit autrement, répondre à une cible, un besoin en tenant compte d'un contexte. Il ne s'agit donc pas de créer pour créer selon ses envies, ses « inspirations » ! Votre ouverture au monde qui vous entoure, votre intérêt pour la création contemporaine, votre capacité à vous inspirer de réalisations contemporaines seront indispensable pour convaincre le jury de vous sélectionner.Aussi la préoccupation des jurys sera aussi forte de s'assurer de vos appétences graphiques que de votre curiosité au monde et votre culture générale. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle, bien souvent pour intégrer une école d'animation, le jury cherchera d'une manière ou d'une autre (entretien – épreuve de dissertation/story board) à identifier des candidats riches de ces compétences : Maitriser une méthode de travail de recherche graphiqueSavoir analyser l'information et conceptualiser une idéeÊtre capable de faire des choix et de les justifierÊtre capable d'utiliser son sens critiqueSavoir travailler en équipe ou bien seul.eRien de mieux pour illustrer ce point que de vous partager un récent sujet d'école ainsi que les critères d'évaluation « Un magicien enseigne à son apprenti un tour de magie » Illustrez en couleur ce thème. Technique libre et traditionnelle (sauf huile et pastels secs), sur un format A4 présentant une marge de 10mm.Critères d'évaluation :La pertinence de la réponse,La qualité de la compositionLa qualité du dessin (construction et trait)La qualité technique et harmonie coloréeDernier point et non des moindres : la maitrise de l'anglais est un plus et bien souvent indispensable pour intégrer une école. Bon nombre d'écoles comme Artfix ,Rubika par exemple, vous demanderont de vous exprimer en Anglais ou vous proposerons un test écrit.Vous l'avez compris, le dessin, la créativité, la culture générale sont les clefs pour se donner le choix et intégrer l'école de ses rêves . Cela ne s'acquiert pas du jour au lendemain. Alors plus de temps à perdre, dès le lycée, lancez-vous !
On va parler cactus, perruque, poésie, plongée en apnée, absurde, rap dans Place des Fêtes. On va se promener en trottinette électrique le long de la Corniche Kennedy, ou peut-être sur la côte polonaise, en se racontant les souvenirs de nos voyages passés en compagnie d'Antonin Appaix. Après un EP, Aquaplanning en 2020 et un album en 2023, Néoprène, Antonin Appaix a sorti cet automne, Cactus Boy, EP de 8 titres de pop aux idées larges. Diplômé des Beaux-Arts, plasticien, Antonin Appaix a fait ses débuts dans la scène punk rock marseillaise, avant de trouver une nouvelle maison avec le label francilien, Cracki Records, qui s'est donné pour mission de réenchanter la pop française.
Artist Claire Tabouret studied at the École des Beaux-Arts, Paris. Motivated by a sensitivity to the passing of time and the floodgates of vulnerability opened by human relationships, Tabouret's painting practice is paced between periods of productive urgency and quiet reflection, and animated by layers, fabrics, and full, loose brushstrokes. Her hydrous palette is suspended somewhere in the ether between the synthetic hues of makeup and subdued tones of the earth, simultaneously referencing the natural and artificial ingredients of representation. Tableaux depicting bodies in confrontation, portraits, paintings of assemblies of people from young debutants to migrants at sea, and landscapes are often washed in color fields, alternately evoking ine possibility of anywhere and site specificity.She and Zuckerman discuss her studio practice and a typical day, where her ideas come from, living in California, comfort and risk, ‘fluff,' motherhood, music, what art has to teach us, and her selection to design new, contemporary stained-glass windows for the newly renovated Notre Dame Cathedral.
durée : 00:58:17 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Les interdits alimentaires évoquent souvent la religion, mais des régimes non religieux, comme le végétarisme, émergent aussi. Ces choix questionnent nos habitudes : pourquoi tout ce qui est comestible n'est-il pas consommé ? Et pourquoi considère-t-on certains aliments comme comestibles ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Olivier Assouly Enseignant à l'Institut français de la mode à Paris, ainsi qu'à l'école des Beaux-Arts d'Angers, rattaché au laboratoire ACTE de l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne; Florence Burgat Philosophe, directrice de recherche à l'ENS
Die Galeristin Alice Pauli brachte ab 1961 Kunst nach Lausanne, nun widmet sich eine Ausstellung der einflussreichen Sammlerin und Mäzenin. Und: der Verein FemaleClassics bringt mehr Komponistinnen auf Spiel- und Lehrpläne. Alice Pauli hob Lausanne auf die Landkarte der Kunstwelt. In den späten 1950er Jahren war das gesellschaftliche Interesse an Kunst in Lausanne gering. Wer Geld hatte, gab es nicht unbedingt für Kunst aus. Alice Pauli brachte Lausanne die Lust an Kunst bei. Die Frau, die ursprünglich aus der Uhrenbranche kam, eröffnete 1961 eine Galerie, die sehr erfolgreich war. Und sie wurde eine wichtige Unterstützerin für die Plateform 10, das neue Museumsquartier in Lausanne. Eine Ausstellung im «Musée cantonal des Beaux-Arts» würdigt Alice Pauli. Frauen komponieren genauso gute Musik wie Männer. Dennoch stehen Komponistinnen viel seltener als Komponisten auf den Spielplänen von Berufsorchestern oder in Lehrplänen. Aus Empörung darüber gründete die Bratschistin Meredith Kuliew vor drei Jahren den Verein FemaleClassics. Der vermittelt Wissen zu Komponistinnen aller Epochen, veranstaltet jährlich ein eigenes Festival mit frauenkomponierter Musik und kritisiert Schweizer Berufsorchester für zu wenig diverse Spielpläne. Was sagen das Sinfonieorchester Basel und das Berner Symphonieorchester dazu?
durée : 00:07:57 - franceinfo junior - Alors qu'un de ses tableaux est mis en vente mardi, les enfants de franceinfo junior posent toutes leurs questions sur le street-artiste Banksy. Pour leur répondre : Fabrice Bousteau, directeur de la rédaction de "Beaux-Arts magazine".
L'émission 28 minutes du 03/03/2025 La vie, l'amour, la mort : tout n'est qu'une histoire de molécules !Pour expliquer comment nous, être humains, ne sommes initialement qu'une masse de molécules, le chimiste Marcel Hibert opère avec des Apéricubes, des cure-dents et des olives autour d'un mojito. Dans son nouveau livre “La Vie, l'Amour, la Mort. Le Grand Coït moléculaire” (éditions Tana), il s'attache à démontrer que “la vie s'explique par les sept milliards de milliards d'atomes et 270 millions de milliards de milliards de molécules (dont 90 % de molécules d'eau)” qui composent notre corps. Autre mystère qu'il cherche à lever : l'amour. Comment expliquer scientifiquement que deux êtres humains tombent amoureux ? Marcel Hibert évoque une théorie selon laquelle l'être humain choisirait son partenaire en fonction d'un patrimoine génétique différent du sien. “L'amour serait désir, et le désir serait manque selon Platon, mais manque de quoi ?” Marcel Hibert pose une hypothèse : ce manque résulterait d'un sevrage “à l'ocytocine et aux endorphines qui ont imprégné notre cerveau de nourrisson”. Clash Trump-Zelensky : l'Europe condamnée à se défendre sans les Américains ?La guerre en Ukraine est à un tournant majeur. Les dirigeants européens se sont réunis dimanche 2 mars à Londres, alors que les États-Unis semblent abandonner progressivement leurs alliés historiques. Cette réunion succède à la rencontre sans précédent entre le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le président américain Donald Trump, avec son vice-président J.D. Vance, qui a donné lieu à une passe d'armes historique devant les caméras du monde entier. “Vous jouez avec la vie de millions de personnes. Vous jouez avec la Troisième Guerre mondiale. [...] Ce que vous faites est très irrespectueux pour ce pays qui vous a soutenu”, a sermonné Donald Trump à son homologue ukrainien dans le bureau Ovale de la Maison Blanche. Après cette dispute, de nombreux pays européens ont réaffirmé leur soutien à l'Ukraine. “Il y a un agresseur : la Russie. Il y a un peuple agressé : l'Ukraine. Nous avons tous eu raison d'aider l'Ukraine et de sanctionner la Russie”, a rappelé Emmanuel Macron sur X. Réunis à Lancaster House, les Européens cherchent désormais à s'accorder sur un plan de paix. Un “moment unique pour la sécurité de l'Europe“ a déclaré le Premier ministre britannique Keir Starmer, en ouvrant la réunion.On en débat avec Théo Verdier, co-directeur de l'Observatoire Europe à la Fondation Jean Jaurès, Florian Louis, historien des relations internationales et Christine Dugoin-Clément, chercheuse à la Chaire Risques de l'IAE Paris-Sorbonne.Enfin, Xavier Mauduit nous raconte l'histoire de la statue du taureau d'Avrigney, vieille de 2 000 ans, qui a été accidentellement brisée par un agent d'entretien au musée des Beaux-Arts de Besançon. Marjorie Adelson revient sur la popularité grandissante de l'Antarctique. Autrefois réservé aux scientifiques et aux aventuriers solitaires, le continent attire de plus en plus de monde, au détriment de la faune locale.28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 3 mars 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
Saviez-vous que les PFAS, ces substances per- et polyfluoroalkyles, sont souvent qualifiés de "polluants invisibles" et peuvent avoir des conséquences désastreuses sur notre santé et notre environnement ? Dans cet épisode captivant du podcast ArtEcoVert, nous avons le plaisir d'accueillir Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par la couleur végétale et les plantes tinctoriales. Elle nous éclaire sur l'impact des PFAS, notamment leur utilisation dans les cosmétiques et les textiles, et les dangers qu'ils représentent, allant jusqu'à des problèmes de santé graves tels que le cancer et l'infertilité.La France a récemment pris une mesure historique en interdisant la fabrication et la vente de produits contenant des PFAS à partir de 2026. Pauline souligne l'importance cruciale de cette loi face à un problème de pollution qui nous concerne tous. En parallèle, elle nous invite à réfléchir aux alternatives durables que peuvent offrir la teinture végétale et les colorants biosourcés. En effet, même si la couleur végétale ne remplace pas directement les propriétés des PFAS, elle ouvre la voie vers un avenir plus respectueux de notre planète.Dans cet épisode, découvrez comment les pigments végétaux, tels que l'indigo et la garance, ainsi que les tanins issus de nos plantes, peuvent transformer notre approche de la couleur et de la teinture. Pauline partage également des astuces pour intégrer des fibres naturelles et des colorants végétaux dans nos vies quotidiennes, tout en préservant la beauté des nuances tinctoriales. Elle nous encourage à nous informer et à agir collectivement pour faire pression sur les industries afin de favoriser des pratiques plus durables.Ne manquez pas cette discussion enrichissante qui allie expertise technique et engagement pour un monde meilleur. Ensemble, explorons comment le végétal peut devenir une réponse aux défis environnementaux actuels. Pour en savoir plus sur la teinture végétale et les plantes tinctoriales, et pour découvrir comment nous pouvons tous contribuer à un avenir plus vert, écoutez cet épisode inspirant d'ArtEcoVert.Pour plus d'informations et de ressources, n'hésitez pas à consulter notre site web et nos réseaux sociaux. Belle écoute !Allez regarder par curiosité la carte du monde des hotspots ICIBlast Regardez le film Dark Water pour mieux comprendre !
(00:00:41) Helena Hefti hat buchstäblich einen «coolen» Job. Sie bietet Atem- und Kältetrainings an sowie Coachings für körperliche und mentale Stärke. Daneben geht sie im Winter gerne wandern – im Bikini. Helena Hefti war heute unser Morgengast. Weitere Themen: (00:13:46) Ukrainekrieg, Konflikt im Nahen Osten, steigende Mietpreise und Krankenkassenprämien: Generationenbarometer 2025 zeigt, was Schweizer Bevölkerung umtreibt. (00:17:52) 200 Jahre Brailleschrift: Zum Jubiläum erscheint neues Spiel «Braille mit Weile». (00:22:47) Lausanne ehrt Kunstmäzenin Alice Pauli mit grosser Ausstellung im Musée des Beaux Arts. (00:26:52) Graphic Novel «Tsai Kun-lin» bietet Einblick in Taiwans komplexe Geschichte und das Leben des verstorbenen Schriftstellers.
Pour consulter le magazine en ligne : COULEUR VEGETALE N°1Êtes-vous prêt à plonger dans l'univers fascinant de la couleur végétale ? Dans cet épisode spécial du podcast ArtEcoVert, nous célébrons le deuxième anniversaire de l'émission avec une invitée exceptionnelle : Pauline Leroux, ingénieure agronome passionnée par les plantes tinctoriales et la teinture végétale. Elle nous révèle son nouveau projet innovant, le magazine Couleur Végétale, qui promet d'enrichir nos échanges autour de la couleur végétale et d'offrir une plateforme d'expression pour tous ceux qui souhaitent partager leurs idées au-delà du format audio.Ce magazine sera un véritable carrefour d'idées, rassemblant des articles sur des thématiques variées telles que la teinture, l'agriculture tinctoriale, et l'histoire des colorants. Pauline nous rappelle l'importance de démocratiser l'accès à la couleur végétale pour les entreprises et les curieux, en rendant le savoir accessible à tous. Dans cet épisode, elle évoque les différents thèmes qui seront abordés dans les futurs numéros du magazine et invite les auditeurs à participer activement en proposant des articles et des retours pour améliorer les prochaines éditions.Le numéro inaugural du magazine sera gratuit, tandis que les suivants seront payants, servant de guide pour explorer les nombreuses applications de la couleur végétale. Imaginez un monde où l'indigo, la garance, et les pigments végétaux prennent vie à travers des créations uniques, où les fibres naturelles s'illuminent de teintes vibrantes. C'est ce que ArtEcoVert et le magazine Couleur Végétale souhaitent offrir à tous ceux qui s'intéressent à la coloration capillaire végétale, aux colorants biosourcés, et à l'univers des tanins.Pauline nous partage également une citation inspirante : "La couleur est la langue des plantes, et chaque teinte raconte une histoire." Avec ce nouvel espace d'expression, elle espère rassembler une communauté engagée autour de la teinture végétale et des plantes tinctoriales, tout en restant à l'affût des dernières tendances dans le domaine. N'attendez plus pour rejoindre cette aventure colorée et contribuer à la discussion !⭐Plus de contenus, plus d'échanges, plus de partages, allez sur Patreon : https://www.patreon.com/ArtEcoVert
Listener Tadd Williams often sees the 16th Street Station from I-880. It's a huge, stately building in the Beaux-Arts style. It's looking a little rundown now, but it was clearly once dazzling. In today's episode, we explore how this spot was important to West Oakland's Black community and the Civil Rights Movement. And we get a promising update on it's future. Additional Reading How Oakland's 16th Street Station Helped Build West Oakland and the Modern Civil Rights Movement Transcript of this episode Legacy of the Pullman Car Porters Sign up for our newsletter Enter our Sierra Nevada Brewing Company monthly trivia contest Your support makes KQED podcasts possible. You can show your love by going to https://kqed.org/donate/podcasts This story was reported by Azul Dahlstrom-Eckman. Bay Curious is made by Olivia Allen-Price, Katrina Schwartz and Christopher Beale. Additional support from Jen Chien, Katie Sprenger, Maha Sanad, Alana Walker, Holly Kernan and the whole KQED family.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Maryvonne de Saint-Pulgent et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 4 octobre 2024.Le sixième et dernier épisode de notre série consacrée à Notre-Dame avec Maryvonne de Saint-Pulgent interroge la légende qui fait de Notre-Dame une « cathédrale du peuple », construite par le peuple de Paris. Notre invitée montre que les artisans de Notre-Dame étaient très qualifiés, et que la cathédrale illustre ce qui se fait de mieux pour tous les corps d'état.Enfin, cet épisode évoque la restauration menée par Viollet-le-Duc au XIXe siècle, ainsi que la manière dont il a été amené à travailler à cette restauration. Il aborde les raisons ayant poussé à la création du service des monuments historiques. Sont discutés également les reproches faits par l'Académie des Beaux-Arts à cette restauration.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.fr
RAVEL: Trío para violín, violoncello y piano en La menor (27.54). M. Pressler (p.), I. Cohen (vl.), B. Greenhouse (vc.). Trío Beaux Arts. Introducción y Allegro para arpa, flauta, clarinete y cuerdas (11.05). U. Holliger (arp.), P.-L. Graf (fl.), H.-R. Stalder (cl.), Die Kammermusiker Zurich. Là-bas, vers l’église (5 Mélodies populaires grecques) (1.32). E. Ameling (sop.), R. Jansen (p.).Escuchar audio
Helen McNicoll was a Canadian painter who had a significant influence on the rise of Impressionism in that country. McNicoll, who lost her hearing in childhood, was quite successful as an artist, though her career and life were short. Research: Anderson, Jocelyn. “William Brymner: Life & Work.” Art Canada Institute. https://www.aci-iac.ca/art-books/william-brymner/biography/ Atanassova, Katerina. “Helen McNicoll: In Search of Light.” National Gallery of Canada. 5/4/2023. https://www.gallery.ca/magazine/your-collection/helen-mcnicoll-in-search-of-light Babbs, Verity. “Painting Bought for $2,700 Revealed to Be $390,000 Masterpiece.” Artnet. 10/23/2024. https://news.artnet.com/art-world/fake-or-fortune-helen-mcnicoll-painting-2557012 Burton, Samantha. “Helen McNicoll: Life and Work.” Art Canada Institute. https://www.aci-iac.ca/art-books/helen-mcnicoll/biography/ Canadian Women Artists History Initiative. “MCNICOLL, Helen Galloway.” https://cwahi.concordia.ca/sources/artists/displayArtist.php?ID_artist=105 Goodman, Rachel. “Renowned Canadian artist’s painting that was lost for over 100 years discovered by U.K. artist.” Now Toronto. 10/6/2024. https://nowtoronto.com/news/renowned-canadian-artists-painting-that-was-lost-for-over-100-years-discovered-by-u-k-artist/ “Death Cuts Short Promising Career.” The Gazette (Montreal, Quebec, Canada). Mon, Jun 28, 1915. Page 5 Haworth, Lorna Helen. “A History of McKay School for the Deaf.” Master’s Thesis. McGill University. 1960. Huneault, Kristina. “Impressions of difference: the painted canvases of Helen McNicoll.” Art History. April 2004. Luckyj, Natalie. “Helen McNicoll : a Canadian Impressionist.” Art Gallery of Ontario. 1999. Luckyj, Natalie. “McNICOLL, HELEN GALLOWAY,” in Dictionary of Canadian Biography, vol. 14, University of Toronto/Université Laval, 2003–, accessed January 14, 2025, https://www.biographi.ca/en/bio/mcnicoll_helen_galloway_14E.html. Musee National des Beaux Arts du Quebec. “Musee National des Beaux Arts du Quebec.” https://www.mnbaq.org/en/exhibition/helen-mcnicoll-1306 Musée national des beaux-arts du Québec. “Helen McNicoll. An impressionist Journey A celebration of light!.” Canadian Newswire. 6/19/2024. https://www.newswire.ca/news-releases/helen-mcnicoll-an-impressionist-journey-a-celebration-of-light--811205352.html Nash, Julie. “Defining Moments: Mary Cassatt and Helen McNicoll in 1913.” At Herstory. 8/8/2023. https://artherstory.net/defining-moments-mary-cassatt-and-helen-mcnicoll-in-1913/ Prakash, A.K. "Independent Spirit: Early Canadian Women Artists." Queen's Quarterly, vol. 116, no. 3, fall 2009, pp. 354+. Gale General OneFile, link.gale.com/apps/doc/A211717399/GPS?u=mlin_n_melpub&sid=bookmark-GPS&xid=f5c4f4e2. Accessed 13 Jan. 2025. Widd, Thomas. “History of the Protestant Institution for Deaf-Mutes, Montreal, Canada.” American Annals of the Deaf and Dumb. Vol. 22, No. 4. October 1877. https://www.jstor.org/stable/44401559 See omnystudio.com/listener for privacy information.
Au sommaire de l'émission :Le projet de budget 2025 sera examiné à l'Assemblée nationale cet après-midi, avec le risque d'une motion de censure déposée par la France Insoumise, les écologistes et les communistes.Un homme a été tué par balle à Marseille, près d'un point de deal situé à proximité d'une école, illustrant la problématique du narco-banditisme dans la région.Un nouveau musée des Beaux-Arts a été inauguré dans un quartier populaire de Rennes, dans l'espoir de favoriser la mixité sociale, mais l'opposition dénonce une opération de communication.L'ADEME, l'agence de la transition écologique, fait polémique en recommandant de ne laver les jeans qu'après 15 utilisations, suscitant des critiques sur le bien-fondé de telles préconisations.Les marchés boursiers européens ont ouvert en net recul après les annonces de Donald Trump sur de nouveaux droits de douane visant les produits européens.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd'hui, il revient sur cette zone de deal qui encercle le musée des beaux-arts de Rennes. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur les grandes thématiques développées dans l'émission du jour. Vous voulez réagir ? Appelez-le 01.80.20.39.21 (numéro non surtaxé) ou rendez-vous sur les réseaux sociaux d'Europe 1 pour livrer votre opinion et débattre sur grandes thématiques développées dans l'émission du jour.
Ana Gonzalez, Photo byJuan Moore Ana González's artistic practice celebrates the landscapes of her native Colombia and her partnerships with the indigenous communities dedicated to their preservation. Her work serves as a vibrant tribute to the sensory richness and cultural significance of these environments whilst highlighting their crucial role in historic ecosystems. Her oeuvre bridges multiple disciplines, including painting, photography, and sculpture. In her work González references to the 18th-century naturalist Alexander von Humboldt and his exploration of the interconnectedness of all living systems. Her Devastations series features textiles onto which the artist prints photographs of Colombia's vulnerable environments which she then partially unravels by hand. The works preserve these spaces as sites of power, abundance, and renewal while referencing the slow disappearance of ancient ecologies. González has worked closely with Colombian Indigenous communities, leading social and humanitarian initiatives with the Sierra Nevada de Santa Marta communities, the Nukak people of Guaviare, and Misak women in Cauca. In collaboration with Cartier and the Amazon Conservation Team, González founded a health and social project in the Colombian Amazon. In November 2024 they completed a healthcare center in Murui Muina, Umancia, an indigenous settlement positioned at the intersection of three key regions: Putumayo, Caquetá, and Amazonas. Ana González is a graduate in architecture from Universidad de Los Andes in Bogotá, Colombia. She pursued advanced studies in Art and Gender at Trinity College in Dublin, Ireland, and completed a master's in arts and media, focusing on Photography, Printing, and Publishing, at both the École Nationale Supérieure des Beaux-Arts and the École Supérieure de Commerce de Paris in France. Her work is part of significant private and public collections, including the Patricia Phelps de Cisneros Collection, the Havremagasinet Länskonsthall Museum in Sweden, the National Museum of Colombia, the Bogotá Museum of Modern Art (MAMBO), the Santa Barbara Museum of Art, CA, the JP Morgan Chase Art Collection, NY, the Bancolombia Art Collection and the Museo de la Universidad de Antioquia, Medellín, Colombia. She currently lives and works in Bogotá. Ana González, PALMAS DE CERA (WAX PALM TREES), 2024 sublimation printing on roughened tarp 58 1/4 x 58 11/16 inches. © Ana González Courtesy Sean Kelly, New York/Los Angeles. Ana González, RÍO VAUPÉS (RIVER IN THE AMAZON FOREST), 2024, sublimation printing on roughened tarp, 21 5/8 x 27 9/16 inches. © Ana González Courtesy Sean Kelly, New York/Los Angeles. Ana González, KYBA (DREAM), 2024, diptych graphite and acrylic on canvas. canvas: 63 x 47 1/4 inches (160 x 120 cm) each. © Ana González Courtesy Sean Kelly, New York/Los Angeles.
Jean-Jacques Farré, auprès des photos à Libération et Télérama, partage son parcours, depuis ses débuts à l'AFP jusqu'au lancement de la revue LIKE en 2020. Il nous parle des évolutions technologiques qui ont rendu la création de revues plus accessible, les relations entre photographes et rédactions, et partage ses conseils pour publier ou créer une revue. Bonne écoute !1'18 – Né dans la banlieue de Grenoble, issu d'une famille ouvrière immigrée espagnole. Marqué par des profs militants qui cherchaient à enseigner à tout le monde.3'00 – Sa découverte de la presse : un voisin postier de nuit lui ramenait des journaux. Il découpait les photos et les colonnes pour recréer des pages.5'00 – Reçoit un appareil photo comme cadeau de communion. Poussé par un camarade, il passe et réussit le concours des Beaux-Arts de Saint Etienne.7'13 – Écrit au rédacteur en chef du journal Le Progrès de Saint-Étienne pour accompagner les photographes. Commence un travail au labo photo le week-end, gagnant plus que son père.11'30 – Participe à des mouvements sociaux à Saint-Étienne, écrit des articles et remplace des correspondants.15'50 – Comprend qu'il veut devenir journaliste. Monte à Paris avec une lettre de recommandation du Progrès et entre à l'AFP.16'30 – À l'AFP, travaille au labo photo et découvre le monde des photographes de l'agence.23'00 – Arrivée au journal Libération : met de l'ordre dans les archives photo et participe à la création de maquettes avec les directeurs artistiques du journal.24'30 – Joie de collaborer avec des photographes comme Gilles Favier, Depardon, Doisneau, Salgado. Confiance totale entre les différentes équipes : photographes, maquettistes et rédacteurs.31'45 – Intègre Télérama en 1996, monte un service photo dans les règles de l'art, puis revient en freelance, travaillant sur des projets variés.40'00 – Lancement de la revue LIKE en 2020, un projet personnel qui rassemble ses apprentissages et met en avant les récits des photographes.46'40 – Grâce aux avancées technologiques, produire une revue est plus accessible. Partenariat avec son imprimeur, Shira, pour assurer qualité et coûts raisonnables.50'40 – Gestion du modèle économique de la revue LIKE : boutique en ligne, incitations aux abonnements, et communication quotidienne avec les abonnés.55'45 – Découvre l'importance des tables de vente dans les salons pour promouvoir la revue, devenant un moteur principal de son développement.1'00'00 – Conseils pour les photographes : proposer tous les genres et restituer les images de façon claire. Mention spéciale pour Alice Pallot et Marine Lagnier.1'06'30 – Protocole pour être publié : se baser sur les sorties de livres photos et offrir un panorama large des pratiques photographiques.1'08'15 – Conseils pour créer une revue : s'appuyer sur ses compétences, ne pas hésiter à copier pour apprendre, et se perfectionner au fil du temps.1'11'10 – Accessibilité des techniques actuelles : être curieux et généreux. Le retour immédiat des lecteurs permet de progresser rapidement.1'15'10 – Le prochain numéro de LIKE (n°19) sort en janvier, accompagné d'un hors-série.Le site de la LIKE : https://www.touslesjourscurieux.fr/Abonnez-vous à ma Newsletter-> Newsletter les Voix de la PhotoPour devenir partenaire du podcast : https://bit.ly/sponsoriserLVDLPPour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans le supplément de ce samedi, Grand reportage week-end vous emmène en République démocratique du Congo. Pourquoi l'art contemporain congolais s'impose de plus en plus sur les marchés internationaux. Des artistes comme Freddy Nsimba, Vitshois ou encore Ndolé et Chéri Samba sont aujourd'hui exposés dans les plus galeries les plus prestigieuses du monde… Mais comment expliquer cet essor ? Pour le comprendre, il faut se rendre à l'Académie des Beaux-Arts, où ont été formés la majorité des artistes congolais. L'institution publique fête ses 80 ans et jouit d'une solide réputation à l'échelle mondiale. (Rediffusion) Après avoir été sous l'influence du pouvoir de Mobutu, l'Académie s'efforce depuis plusieurs décennies de se détacher des stéréotypes d'un art « exotique » ou « africain », pour inventer un langage artistique congolais à part entière.« L'art contemporain en République Démocratique du Congo : affirmer son identité pour mieux s'exporter », un Grand reportage d'Aurélie Bazzara-Kibangula.À Cuba, les artistes en situation critiqueCuba traverse en ce moment l'une des pires crises économiques et sociales de son histoire. Tout se fait rare : nourriture, essence, biens de consommation et services publics. Le 11 juillet 2021, les manifestations les plus importantes depuis plusieurs décennies ont ébranlé le pays, et ont montré au régime que la population ne lui faisait plus confiance. Les artistes ont été les fers de lance de ce mouvement de contestation, utilisant leur art pour critiquer les travers de la dictature. Mais dans un pays autoritaire où la police du gouvernement traque les dissidents, s'exposer publiquement peut mener droit à la prison. (Rediffusion)« À Cuba, les artistes en situation critique », un Grand reportage de Nicolas Celnik.
En République démocratique du Congo, pourquoi l'art contemporain congolais s'impose de plus en plus sur les marchés internationaux. Des artistes comme Freddy Nsimba, Vitshois ou encore Ndolé et Chéri Samba sont aujourd'hui exposés dans les plus galeries les plus prestigieuses du monde… Mais comment expliquer cet essor ? Pour le comprendre, il faut se rendre à l'Académie des Beaux-Arts, où ont été formés la majorité des artistes congolais. L'institution publique fête ses 80 ans et jouit d'une solide réputation à l'échelle mondiale. (Rediffusion) Après avoir été sous l'influence du pouvoir de Mobutu, l'Académie s'efforce depuis plusieurs décennies de se détacher des stéréotypes d'un art « exotique » ou « africain », pour inventer un langage artistique congolais à part entière.«L'art contemporain en République Démocratique du Congo : affirmer son identité pour mieux s'exporter», un Grand reportage d'Aurélie Bazzara-Kibangula.
Stéphane Bern raconte, à l'occasion des 105 ans de sa disparition, Auguste Renoir, le peintre fou de couleurs qui s'est plu à peindre des figures - et des femmes en particulier - plus que des paysages, se distinguant ainsi de ses amis "impressionnistes", ces peintres - dont il s'est, pour certains, lié d'amitié lorsque l'artisan qu'il était est entré aux Beaux-Arts - qui forment un groupe à la pointe de l'art qui fait parler de lui mais qui peine aussi à gagner sa vie, un groupe dont il finit par s'éloigner pour aller trouver l'inspiration ailleurs... Quelles étaient ses habitudes de peinture ? Quelles sont les particularités de ses oeuvres ? Quel héritage a-t-il laissé aux artistes des générations suivantes ? Pour en parler, Stéphane Bern reçoit Stéphane Guégan, conseiller scientifique auprès de la Présidence du Musée d'Orsay.