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Les endives au jambon Les endives ou chicons ont été découverts à Bruxelles en 1830 pendant la révolution belge / Un habitant de Bruxelles avait caché dans sa cave des plants de chicorée / quelques semaine plus tard, des feuilles avaient poussé / Sa culture a ensuite été mise au point en 1850 par le jardinier en chef de la société d'horticulture belge / Arrive à Paris 30 ans plus tard sous le nom d'endive de Bruxelles Ma version (lasagnes d'endives au jambon) : tailler grossièrement les endives et les faire cuire doucement dans une sauteuse (elles vont perdre leur eau) / réaliser une mornay (béchamel avec de parmesan) / mélanger avec les endives / alterner de couches de fines de tranches de jambon et de compoté d'endives à la béchamel / saupoudrer de parmesan et enfourner 30 min à 180° / passer au Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
La Commission européenne veut relier toutes les capitales du continent d'ici 2040 grâce à un vaste réseau ferroviaire à grande vitesse. Un projet colossal estimé à plus de 500 milliards d'euros, pensé comme une alternative écologique et stratégique à l'avion. Mais sa concrétisation s'annonce semée d'obstacles. Petit-déjeuner à Copenhague, déjeuner à Paris, puis dîner à Barcelone : c'est le rêve que nourrit Bruxelles avec son nouveau plan ferroviaire. La Commission européenne a dévoilé cette semaine un projet d'envergure visant à créer, d'ici 2040, un réseau à grande vitesse reliant toutes les capitales européennes. L'objectif : changer durablement la manière de voyager sur le continent. Le plan prévoit une réduction drastique des temps de trajet. Berlin - Copenhague passerait de 7 à 4 heures, Sofia - Athènes de 13h40 à 6 heures, et une liaison directe Paris - Lisbonne via Madrid deviendrait enfin possible. Derrière ces chiffres, une ambition, faire du train une alternative crédible à l'avion, notamment sur les distances inférieures à 1 000 kilomètres. À lire aussiLe rail européen à l'heure de la concurrence Un levier écologique et économique pour l'Union européenne Pour la Commission, le train est une pièce maîtresse de la transition écologique. Le secteur des transports représente près d'un quart des émissions européennes de CO2, et l'aviation court-courrier reste difficile à décarboner. Le TGV, lui, émet jusqu'à 20 fois moins de CO2 par passager-kilomètre qu'un vol domestique. Encore faut-il que l'électricité soit verte et que les trains soient bien remplis. Mais le projet dépasse la seule question environnementale. Il s'agit aussi de renforcer la compétitivité européenne et de fluidifier les échanges économiques sur le continent. Aujourd'hui, le réseau ferroviaire européen compte environ 12 000 kilomètres de lignes à grande vitesse, concentrées dans quatre pays : la France, l'Allemagne, l'Italie et l'Espagne. L'Europe centrale et orientale reste, elle, largement à la traîne. Pour combler ces écarts, Bruxelles prévoit 500 milliards d'euros d'investissements afin de tripler la taille du réseau, harmoniser les règles, simplifier la billetterie et ouvrir le marché à la concurrence. L'idée : faire baisser les prix et stimuler l'offre ferroviaire. À lire aussiQuel avenir pour le train à grande vitesse en Afrique? Entre ambitions et réalités : un chantier colossal à risque Sur le papier, l'initiative est séduisante. Mais les obstacles sont nombreux : infrastructures vieillissantes, financements incertains et volontés politiques inégales selon les États membres. Certains gouvernements peinent déjà à entretenir leur réseau existant et ne font pas de la grande vitesse une priorité. Pour le secteur ferroviaire, cette relance représente pourtant une opportunité industrielle majeure. Les grands constructeurs européens – Alstom, Siemens, Talgo ou CAF – pourraient en bénéficier. Les voyageurs, eux, espèrent surtout des réservations simplifiées et des correspondances fluides. Derrière ce plan se cache aussi une évolution des mentalités. De plus en plus d'Européens souhaitent voyager de manière plus durable. Et entre deux villes reliées en moins de trois heures, le train bat l'avion à plates coutures : la ligne Paris -Londres, par exemple, a conquis 80% du marché dès que le trajet est passé sous les 2h20. Reste que l'Europe accuse un sérieux retard face à la Chine ou au Japon, où les trains filent déjà à 350 km/h. L'Union, elle, plafonne à 200–250 km/h et avance à un rythme bien plus lent. Car si le train européen promet la grande vitesse, les projets, eux, progressent toujours à vitesse réduite.
En amont de la conférence, les Européens ont revu leurs ambitions à la baisse. Pourtant, un rapport de l'Agence européenne de l'environnement estime que si l'UE a fait avancer les choses sur le climat, elle doit faire davantage pour la protection et la résilience des espaces naturels. L'UE se présente avec un accord revu à la baisse C'est à la dernière minute que les pays européens ont trouvé un accord sur une feuille de route climatique d'ici à 2035 et 2040 pour ne pas arriver les mains vides, à la COP 30, au Brésil. Un accord à l'arraché mercredi matin (5 novembre 2025) à Bruxelles, assorti de nombreuses concessions qui en réduisent la portée. Ces concessions résultent d'un intense travail de lobbying mené notamment par l'Italie, assez frileuse sur ses ambitions climatiques. À Rome, les précisions d'Olivier Bonnel. En Albanie, la Vjosa et son parc national sont à nouveau menacés Les énergies fossiles et les activités industrielles accélèrent le réchauffement du climat, et détruisent aussi directement de nombreux écosystèmes, là où la réglementation est peu contraignante, ou peu appliquée. Il y a deux ans, le gouvernement albanais inaugurait le premier «Parc National de rivière sauvage en Europe». Une victoire pour les écologistes qui luttaient depuis plus de 10 ans pour protéger la Vjosa, un fleuve à la biodiversité exceptionnelle. Mais deux ans et demi plus tard, la survie de cet espace naturel est à nouveau menacée, comme l'a constaté Louis Seiller sur les bords du fleuve, dans le sud de l'Albanie. Le lac Balaton, en Hongrie, est lui aussi en danger Les Hongrois le surnomment la « mer du peuple », c'est le plus grand lac d'Europe, et un lieu de tourisme balnéaire très prisé. Mais son niveau d'eau est désormais très bas, car il subit de plein fouet les effets du changement du climat - des effets visibles à l'œil nu. Les précisions de Florence Labruyère. La revue de presse de Franceline Beretti L'Allemagne refuse de protéger les Afghanes et les Afghans qui ont travaillé pour le pays pendant la guerre ; l'Italie débat de la réforme de la justice, et la presse britannique s'intéresse à un jeune Français, prodige des jeux télévisés. Voyage au pays du «çay» Avec une consommation d'environ 4 kilos par personne et par an... C'est en Turquie, pays aux confluents de l'Europe et de l'Asie, que l'on boit le plus de thé au monde. Même si les Turcs ont adopté cette boisson assez récemment, elle est devenue incontournable dans leur vie sociale, mais aussi commerciale, politique... Partout, à toute occasion, dans les maisons, les magasins, les cafés, on boit du thé noir du matin au soir. À tel point que la production locale – pourtant au cinquième rang mondial – suffit tout juste à satisfaire les besoins du pays. À Ankara, Anne Andlauer nous emmène à la découverte de la culture du çay.
La traduction simultanée d'Apple arrive enfin en Europe en décembre. Aux Etats-Unis, j'ai testé cette fonction qui transforme les AirPods en véritables traducteurs personnels. Un véritable "game changer".Le rêve de la Tour de Babel devient réalitéApple déploie enfin en Europe sa fonction de traduction audio instantanée. Celle-ci sera disponible à partir de décembre 2025 sur les AirPods Pro 3 mais aussi sur les modèles précédents. Grâce à Apple Intelligence intégrée à iOS 26.1, la conversation est traduite en temps réel dans les écouteurs, sans passer par le cloud. J'ai pu tester cette fonction à New York : c'est bluffant. On parle en français, l'interlocuteur comprend immédiatement en anglais, et inversement. L'expérience reste fluide, naturelle et étonnamment fidèle.Comment fonctionne la traduction simultanéeLe système repose sur plusieurs briques technologiques : traitement audio intelligent, réduction du bruit et traduction locale grâce aux nouvelles puces A17 Pro et M4. Tout se passe sur l'iPhone, garantissant rapidité et confidentialité. Le service gère une dizaine de langues et fonctionne même si un seul utilisateur est équipé : l'écran affiche alors la traduction écrite en parallèle. C'est l'un des premiers exemples concrets d'intelligence artificielle embarquée et utile au quotidien.L'Europe, un défi technique et réglementaireSi cette innovation arrive avec trois mois de retard, c'est à cause d'un bras de fer entre Apple et Bruxelles. La réglementation européenne impose d'ouvrir le flux audio des appareils pour permettre à d'autres applications (comme Google Translate ou Duolingo) d'y accéder. Apple a dû créer une nouvelle API audio sécurisée pour préserver la vie privée tout en respectant la loi. Un compromis complexe, mais nécessaire.Une avancée… et un reculBonne nouvelle pour la traduction, mais mauvaise pour l'Apple Watch car Apple va supprimer en Europe la fonction de synchronisation automatique Wi-Fi entre iPhone et montre, faute d'accord réglementaire. Un petit changement, mais un gros symbole car c'est la première fois qu'une fonction existante disparaît du fait des règles européennes. Est-ce le début d'une triste série ? L'équilibre entre innovation, sécurité et souveraineté numérique n'a jamais été aussi fragile.-----------♥️ Soutienhttps://donorbox.org/monde-numerique
In apertura abbiamo l'accordo di Bruxelles sul green deal, quindi Francesco Bechis commenta l'arresto del generale torturatore Almasri in Libia, poi voliamo New York per commentare l'elezione del nuovo sindaco, prima con la giornata raccontata da Angelo Paura, poi con Anna Guaita e i commenti di Trump, da new York alla cronaca italiana con l'inviata Claudia Guasco e il futuro dello stadio di San Siro, la storia di sport di Massimo Boccucci ci racconta la lotta di un cestista italiano contro la leucemia, oggi con il Messaggero c'è l'inserto gratuito MoltoEconomia da Alessandra Camilletti alcune interessanti anticipazioni.
Federico Rampini"La lezione del Giappone"Il Paese che anticipa le sfide dell'OccidenteMondadori Editorewww.mondadori.itIl mondo sta riscoprendo il Giappone. Un sintomo è il boom di visitatori, che sconvolge un paese poco abituato all'overtourism. È una riscoperta che ha molte facce. La rinascita dell'industria nipponica è quasi invisibile, nascosta in prodotti ad altissima tecnologia di cui nessuno può fare a meno. Più vistoso è invece il «soft power» di Tokyo, che dilaga da decenni nella cultura di massa: dai manga agli anime, dai videogame alla letteratura, dal cinema al J-pop, adolescenti e adulti occidentali assorbono influenze nipponiche talvolta senza neppure saperlo. Il sushi è ormai globale quanto la pizza. Se si elencano tutte le mode nate nel Sol Levante, colpisce un'analogia con quel che fu l'Inghilterra dei Beatles negli anni Sessanta. Persino la sua spiritualità, dallo shintoismo al buddismo zen, ha esercitato una presa potente su noi occidentali, anticipando l'ambientalismo e il culto della natura come «divinità diffusa». Il Giappone è soprattutto un laboratorio d'avanguardia per le massime sfide del nostro tempo: fu il primo a conoscere denatalità, decrescita demografica, aumento della longevità. Dentro le soluzioni che sperimenta per invecchiare bene c'è una lezione per tutti noi. Federico Rampini, che lo frequenta da oltre quarant'anni, ci guida in questo viaggio fra i misteri di una civiltà antichissima e affascinante, un paese che condensa modernità e rispetto della tradizione come nessun altro, e ciononostante deve far fronte a numerosi paradossi: il paradiso delle buone maniere può essere vissuto come una prigione di conformismo, tanto che alcuni decidono di scomparire, evaporando nel nulla. E come conciliare i tassi di criminalità più bassi del mondo con l'esistenza della temuta mafia Yakuza? Anche la sua centralità geopolitica è fondamentale. Ottant'anni di dibattito sull'atomica acquistano una prospettiva nuova, quando li si ricostruisce da Hiroshima. Per non parlare del futuro della Cina e della sfida che essa lancia all'Occidente: nessuno è in grado di decifrarlo meglio dei giapponesi, che hanno millecinquecento anni di esperienza. Il Sol Levante, inoltre, è stato il primo a sperimentare i fulmini del protezionismo americano, fin dagli anni Settanta, ispirando Donald Trump. In un mondo in cui sempre più paesi riscoprono il capitalismo di Stato, le politiche industriali, la geoeconomia, la lezione del Giappone, preziosa quanto silenziosa, è la mappa di un futuro che riguarda tutti noi.Federico Rampini, editorialista del «Corriere della Sera», è stato vicedirettore del «Sole 24 Ore» e corrispondente de «la Repubblica» a Parigi, Bruxelles, San Francisco, Pechino e New York. Ha insegnato alle università di Berkeley, Shanghai e alla Sda Bocconi. È membro del Council on Foreign Relations, think tank americano di relazioni internazionali. Come esperto di geopolitica è public speaker per The European House – Ambrosetti. Ha pubblicato più di venti saggi di successo, molti tradotti in altre lingue, come i bestseller Il secolo cinese (Mondadori 2005) e L'impero di Cindia (Mondadori 2006). Tra i più recenti, Fermare Pechino (Mondadori 2021), Suicidio occidentale (Mondadori 2022), La speranza africana (Mondadori 2023) e Grazie, Occidente!(Mondadori 2024). Con suo figlio Jacopo, attore, è andato in scena a teatro in Trump Blues e A cosa serve l'America, e ha scritto il romanzo Il gioco del potere (Mondadori 2025). Ha realizzato per La7 i programmi televisivi «Inchieste da fermo» e «Inchieste in movimento».Diventa un supporter di questo podcast: https://www.spreaker.com/podcast/il-posto-delle-parole--1487855/support.IL POSTO DELLE PAROLEascoltare fa pensarehttps://ilpostodelleparole.it/
En amont de la conférence, les Européens ont revu leurs ambitions à la baisse. Pourtant, un rapport de l'Agence européenne de l'environnement estime que si l'UE a fait avancer les choses sur le climat, elle doit faire davantage pour la protection et la résilience des espaces naturels. L'UE se présente avec un accord revu à la baisse C'est à la dernière minute que les pays européens ont trouvé un accord sur une feuille de route climatique d'ici à 2035 et 2040 pour ne pas arriver les mains vides, à la COP 30, au Brésil. Un accord à l'arraché mercredi matin (5 novembre 2025) à Bruxelles, assorti de nombreuses concessions qui en réduisent la portée. Ces concessions résultent d'un intense travail de lobbying mené notamment par l'Italie, assez frileuse sur ses ambitions climatiques. À Rome, les précisions d'Olivier Bonnel. En Albanie, la Vjosa et son parc national sont à nouveau menacés Les énergies fossiles et les activités industrielles accélèrent le réchauffement du climat, et détruisent aussi directement de nombreux écosystèmes, là où la réglementation est peu contraignante, ou peu appliquée. Il y a deux ans, le gouvernement albanais inaugurait le premier «Parc National de rivière sauvage en Europe». Une victoire pour les écologistes qui luttaient depuis plus de 10 ans pour protéger la Vjosa, un fleuve à la biodiversité exceptionnelle. Mais deux ans et demi plus tard, la survie de cet espace naturel est à nouveau menacée, comme l'a constaté Louis Seiller sur les bords du fleuve, dans le sud de l'Albanie. Le lac Balaton, en Hongrie, est lui aussi en danger Les Hongrois le surnomment la « mer du peuple », c'est le plus grand lac d'Europe, et un lieu de tourisme balnéaire très prisé. Mais son niveau d'eau est désormais très bas, car il subit de plein fouet les effets du changement du climat - des effets visibles à l'œil nu. Les précisions de Florence Labruyère. La revue de presse de Franceline Beretti L'Allemagne refuse de protéger les Afghanes et les Afghans qui ont travaillé pour le pays pendant la guerre ; l'Italie débat de la réforme de la justice, et la presse britannique s'intéresse à un jeune Français, prodige des jeux télévisés. Voyage au pays du «çay» Avec une consommation d'environ 4 kilos par personne et par an... C'est en Turquie, pays aux confluents de l'Europe et de l'Asie, que l'on boit le plus de thé au monde. Même si les Turcs ont adopté cette boisson assez récemment, elle est devenue incontournable dans leur vie sociale, mais aussi commerciale, politique... Partout, à toute occasion, dans les maisons, les magasins, les cafés, on boit du thé noir du matin au soir. À tel point que la production locale – pourtant au cinquième rang mondial – suffit tout juste à satisfaire les besoins du pays. À Ankara, Anne Andlauer nous emmène à la découverte de la culture du çay.
Avertisment din partea directorului FMI pentru Europa: modelul social european poate fi pus în pericol de creșterea economică limitată și acumularea datoriilor. Soluțiile, însă, țin de întărirea Uniunii, nu se slăbirea ei. În octombrie, FMI a estimat că PIB-ul zonei euro va crește cu 1,2% în acest an - o estimare ajustată în sus față de precedentele. Dar dincolo de această veste bună, rămân serioase semne de întrebare. Le-a sintetizat Alfred Kammer, directorul departamentului pentru Europa al Fondului Monetar Internațional, într-o conferință organizată de BCE la Bruxelles. El a atențiomat că dacă o creștere economică modestă va persista în zona euro iar datoria va continua să se mărească, modelul social european va fi în pericol. Acest avertisment trebuie le să dea de gândit decidenților europeni și naționali. Pentru că acest model social european este, până la urmă, marea forță de atracție a Uniunii, alături de sistemele extinse de libertăți. Vorbim despre accesul gratuit la educație, despre asigurările de sănătate, sistemele de pensii, sistemele de protecție socială, concediile plătite – de fapt, toată această plasă socială care, potrivit multora, face din Europa cel mai bun loc de trăit din lume. Măsurile tradiționale nu mai sunt suficiente Însă, așa cum avertizează reprezentantul FMI, pentru ca acest model să poată fi menținut, Europa are nevoie de măsuri semnificative spre a duce creșterea economică la un alt nivel. Pur și simplu, măsurile tradiționale de consolidare fiscală nu vor fi suficiente pentru a preveni explozia nivelurilor datoriei, punând în pericol modelul social al Europei. Iar pentru aceasta, trebuie găsite răspunsuri la multe probleme. Una ar fi cea a protecționismului - barierele comerciale intra-UE rămân ridicate - echivalentul a 44% pentru bunuri și 110% pentru servicii, spune reprezentantul FMI. Populația Europei este îmbătrânită și este nevoie de forță de muncă suplimentară. Iar lipsa unei piețe energetice unificate menține costurile ridicate și slăbește securitatea și reziliența energetică. Titlul discursului reprezentantului FMI la conferința BCE a fost, de asemenea, semnificativ: „Cum poate Europa să plătească pentru lucruri pe care nu și le poate permite” Auzind această intervenție a directorului FMI, mulți vor cânta prohodul Europei – iar unii o vor face cu un soi de satisfacție. Vorbim despre cei care preiau pe nemestecate propaganda rusească: Europa este o entitate îmbătrânită, decăzută și falită. Să nu mai vorbim că și ei sunt beneficiarii modelului social european, care se bazează, printre altele, pe libertatea de circulație a persoanelor, serviciilor sau a forței de muncă. De fapt, soluțiile propuse sunt exact împotriva a ceea ce propun euroscepticii: mai puțin protectionism național și piețe mai deschise, renunțarea la izolaționismul energetic sau o imigrație adaptată la nevoile economice. Și ar mai fi revizuirea bugetelor, reducerea cheltuielilor publice, limitarea serviciilor gratuite pentru cei care au cu adevărat nevoie și nu și le pot permite altfel. Măsuri care sunt atât de puternic contestate, din Franța până în România. În cele din urmă, modelul social european poate fi menținut prin reforme curajoase și prin întărirea Uniunii. Și nu poate fi replicat într-o țară anume, prin protecționism și izolarea de Europa. Ascultați rubrica ”Eurocronica”, cu Ovidiu Nahoi, în fiecare zi, de luni până vineri, de la 8.45 și în reluare duminica, de la 15.00, numai la RFI România
În Turcia, Ministerul Familiei și Serviciilor Sociale lucrează la un model local care ar restricționa utilizarea rețelelor sociale de către copiii sub vârsta de 16 ani. Se așteaptă ca regulamentul să fie discutat în Marea Adunare Națională a Turciei în lunile următoare, transmite radio Deutsche Welle în limba turcă. Ministrul familie din Turcia, Göktaş, a declarat că proiectul prevede un sistem care restricționează conturile de socializare pentru persoanele sub 16 ani, dar că mecanisme intermediare, cum ar fi verificarea vârstei și consimțământul părinților, sunt evaluate înainte de a interzice complet accesul. Ministrul a adaugat că inițial a fost sugerată o limită de vârstă de 13 ani, dar guvernul a recomandat ca limita să fie sub 16 ani, urmând concluziile cercetărilor din domeniu. Conform datelor din octombrie 2024 ale Institutului Turc de Statistică (TÜİK), 66,1% dintre copiii cu vârste cuprinse între 6 și 15 ani utilizează rețelele de socializare. Această rată ajunge la 79% în grupa de vârstă 11-15 ani.Multe țări din întreaga lume iau în considerare impunerea unor limite de vârstă pentru utilizarea rețelelor sociale de către copii, ca măsură de precauție împotriva potențialelor impacturi negative. Și Uniunea Europeană (UE) a făcut primul pas semnificativ în această direcție. La summitul UE care a avut loc la Bruxelles, șefii de stat și de guvern și-au exprimat sprijinul pentru impunerea unor limite de vârstă pe platformele de socializare precum TikTok și Instagram.O mare parte a bulgarilor sunt victimele unei campanii de propagandă împotriva adoptării monedei euro O mare parte a bulgarilor au devenit victime ale puternicului război hibrid purtat de ani de zile împotriva adoptării monedei euro în țară, relatează cotidianul Segà, citând un sondaj național realizat de agenția JTN. Daunele cauzate de propagandă sunt atât de grave, spun jurnaliștii de la sud de Dunăre, încât unul din patru cetățeni bulgari este convins că salariile și pensiile vor fi înjumătățite începând cu 1 ianuarie 2026. Propaganda îndelungată a partidului pro-moscovit Vazrajdane, care a cerut insistent chiar și un referendum împotriva adoptării monedei comune, a făcut ca aproape două treimi dintre bulgari să creadă că leva este o parte importantă a identității naționale. De fapt, leva nu a fost o monedă independentă de ani de zile deoarece Bulgaria se află încă din 1997 într-un Consiliu monetar în cadrul căruia leva este deja legată de euro la un curs fix.Societatea din Bulgaria rămâne profund divizată – aproximativ 40% dintre cetățeni susțin introducerea monedei euro și tot atâția sunt împotriva acesteia. În același timp, majoritatea oamenilor apreciază beneficiile practice – călătorii mai ușoare, prețuri mai transparente, economii mai sigure etc. Cea mai mare îngrijorare este creșterea prețurilor care s-ar datora monedei euro. Analizele economice nu arată o astfel de legătură cauzală, ci dimpotrivă: conform statisticilor Eurostat, cea mai mare inflație se înregistrează în țări precum Ungaria, Polonia și România, care nu intenționează să adopte moneda euro în viitorul apropiat. Studiul din Bulgaria arată că:- 82% dintre respondenți spun că comercianții majorează prețurile în mod nejustificat;- 78% sunt îngrijorați de inflație;- 74% își exprimă îngrijorarea că prețurile vor fi rotunjite în sus. Sondajul privind atitudinea bulgarilor cu privire la adoptarea monedei euro arată că cei cu nivel de educație mai scăzut sunt cei care se opun cel mai mult monedei comune.
Guvernul de la Chișinău caută soluții pentru criza generată de cota mare pe piața moldovenească a companiei rusești Lukoil, ajunsă sub sancțiunile americane. Vicepremierul pentru infrastructură, Vladimir Bolea, a dat asigurări să aeroportul internațional Chișinău nu va rămâne fără combustibil, chiar dacă Lukoil este singurul furnizor pentru aeroport. „Căutăm soluții pe trei paliere distincte: rețeaua de benzinării, infrastructura de depozitare en-gros și, cu prioritate, infrastructura vitală de pe teritoriul aeroportului pentru a asigura stabilitatea pieței și securitatea energetică a țării”, spune Vladimir Bolea. Temele ediției: - Închiderea Centrului cultural rus din R.Moldova, prima decizie a noului Guvern de la Chișinău. Un interviu realizat de Liliana Barbăroșie cu ministrul Culturii, Cristian Jardan. - Cum și dacă poate deveni România refugiu pentru cetățenii moldoveni. Cronica semnată de jurnalistul Euronews România, Vitalie Cojocari. - Cum funcționează programul de stagii în instituțiile publice, care oferă tinerilor poziții în Guvernul, Parlamentul și Președinția Republicii Moldova. După trei luni, cei mai buni au posibilitatea să se angajeze fără concurs. Un reportaj de Ecaterina Tanasiiciuc. - Tensiunile religioase din nordul Moldovei ajung din nou în instanță. Șase locuitori din Grinăuți, raionul Rîșcani, au fost trimiși în judecată, acuzați că l-au agresat pe preotul care a decis trecerea bisericii din sat la Mitropolia Basarabiei. Un reportaj de Denis Chirtoca și Cătălin Volconovici. - Președinta Parlamentului European, Roberta Metsola, începe astăzi o vizită oficială de două zile în Republica Moldova - Comisia Electorală Centrală de la Chișinău a inițiat verificarea finanțării Blocului Patriotic, bloc care a adus în Legislativ 26 de deputați socialiști și comuniști. Există suspiciuni că acesta ar fi primit finanțare ilegală din Rusia. - Comisia pentru politică externă din noul parlament suspendă activitatea grupurilor parlamentare de prietenie cu Rusia și Belarus, pe durata războiului de agresiune al Federației Ruse împotriva Ucrainei - Cetățenii Republicii Moldova vor putea solicita online toate actele de stare civilă, la prețuri mai mici decât la ghișeu. Știrile zilei: Cabinetul de miniștri condus de premierul Alexandru Munteanu a avut miercuri dimineața prima ședință după învestire, iar primul punct pe agendă a fost denunțarea Acordului cu Guvernul Federației Ruse privind funcționarea Centrului Cultural rus în R.Moldova. Înainte de ședință, noul premier a anunțat primele sale vizite externe – prima va fi la București, iar detaliile vizitei sunt acum în pregătire. A doua vizită va fi la Bruxelles, a anunțat Alexandru Munteanu, fără să dea datele concrete pentru care se pregătesc aceste vizite. *** Președinta Parlamentului European, Roberta Metsola, începe joi o vizită oficială de două zile în Republica Moldova. Aceasta va susține vineri un discurs în plenul legislativului moldovean, cu ocazia constituirii noii componențe, pro-europene, a Parlamentului. Roberta Metsola se va întâlni cu oficialii moldoveni și va participa la o întâlnire cu tinerii la Liceul „Spiru Haret” din Chișinău. *** Comisia Electorală Centrală de la Chișinău a inițiat verificarea finanțării Blocului Patriotic și a Partidului Inima Moldovei, bloc care s-a plasat pe locul doi la parlamentare și a adus în Legislativ 26 de deputați socialiști și comuniști. Potrivit Comisiei electorale, controlul se va desfășura până pe 31 martie 2026 și se va încheia cu întocmirea unor rapoarte pentru fiecare formațiune politică. Autoritățile moldovene au suspiciuni rezonabilă că formațiunile din Blocul Patriotic ar fi primit finanțări netransparente din Federația Rusă, ceea ce a influențat campania electorală și rezultatul alegerilor. *** Comisia pentru politică externă din noul parlament de la Chișinău suspendă activitatea grupurilor parlamentare de prietenie cu Rusia și Belarus, pe durata războiului de agresiune al Federației Ruse împotriva Ucrainei, transmite IPN. Anunțul a fost făcut de președinta comisiei, Doina Gherman, care a subliniat că decizia reflectă angajamentul Republicii Moldova față de valorile democrației și respectarea suveranității statelor. „Credem cu tărie în necesitatea menținerii grupurilor de prietenie cu statele care respectă suveranitatea, independența și integritatea teritorială a țării, precum și demnitatea umană și libertatea”, a declarat Doina Gherman. *** Poliția anunțat despre o captură record de arme și muniții, în timpul unei operațiuni ce viza un caz de șantaj. Potrivit anchetei, în timpul perchezițiilor au fost descoperite și ridicate 16 arme de foc, inclusiv mitraliere și puști, dar și arme cu lunetă, aproximativ zece mii de cartușe, 5 grenade și 2 aruncătoare, camuflate și ascunse în perete. De asemenea, au fost ridicate 3 pașapoarte cu aceeași fotografie, dar identități diferite, și alte obiecte interzise. Urmare a probelor acumulate patru persoane au fost reținute pentru a stabili circumstanțele și proveniența armamentului. Armele și munițiile capturate la Chișinău urmau să fie folosite pentru destabilizări în Republica Moldova, declară ministra Afacerilor Interne, Daniela Misail-Nichitin. Nu este clar în acest moment cum a ajuns arsenalul la Chișinău. „Mecanismele pot fi diferite. Ele pot intra în țară și din Ucraina, dar avem și situații când ele ajung din țări ale Uniunii Europene. Totodată, avem și situații când și regiunea din stânga Nistrului este folosită în acest sens”, a subliniat ministra Afacerilor Interne, Daniela Misail-Nichitin. *** Cetățenii Republicii Moldova vor putea solicita online toate serviciile de stare civilă, la prețuri mai mici decât la ghișeu. Noul sistem „Acte de stare civilă” al Agenției Servicii Publice (ASP) va permite înregistrarea nașterilor, căsătoriilor, divorțurilor sau schimbarea numelui direct de pe calculator sau telefon, cu semnătură electronică. Potrivit unui comunicat al ASP, actele eliberate în format digital vor avea aceeași valoare juridică precum documentele tipărite și vor putea fi recepționate în MCabinetul personal al cetățeanului sau livrate prin sistemul MDelivery. Modernizarea sistemului va aduce mai multă comoditate și transparență, reducând timpul de așteptare și eliminând necesitatea prezentării documentelor pe suport de hârtie, notează instituția.
C'est un projet discret, mais hautement stratégique : l'euro numérique vient de franchir une nouvelle étape. Bruxelles a annoncé cette semaine un calendrier clair pour la création de cette future monnaie digitale, pensée comme un antidote à la domination des géants américains du paiement, Visa et Mastercard, mais aussi comme un rempart face à la montée en puissance des stablecoins adossés au dollar.Selon le plan dévoilé, la phase pilote de l'euro numérique devrait débuter en 2027, à condition qu'un cadre légal soit adopté au niveau européen dès l'année prochaine. Si tout se déroule comme prévu, les citoyens du Vieux Continent pourraient commencer à l'utiliser dès 2029. Pour Piero Cipollone, membre du directoire de la Banque centrale européenne, il ne s'agit pas d'un simple projet technologique, mais bien d'un « effort collectif pour préparer l'avenir du système monétaire européen ».Mais derrière l'enthousiasme des institutions, les banques commerciales grincent des dents. Leur crainte : voir les particuliers transférer une partie de leurs dépôts vers cette nouvelle monnaie numérique émise directement par la BCE, ce qui fragiliserait leurs ressources. Pour rassurer le secteur, Bruxelles prévoit un plafond de détention fixé à 3 000 euros par personne, un seuil censé éviter la fuite des capitaux… mais qui pourrait être révisé à l'avenir.En toile de fond, l'euro numérique illustre un bras de fer économique et politique. D'un côté, l'Europe veut réduire sa dépendance aux systèmes de paiement étrangers. De l'autre, les banques défendent leurs marges et misent sur le développement de stablecoins libellés en euros comme alternative. Entre souveraineté monétaire et réticences du secteur financier, la route vers l'euro numérique promet d'être longue Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Baptiste Lambert et Olivier Mouton dialoguent au sujet de l'avenir de la Wallonie et de Bruxelles, en invitant parfois un politique pour l'interpeller. Les Trends-Tendances podcasts rassemblent tous les podcasts de Trends-Tendances et de Trends Z francophone. Les journalistes vous proposent différents podcasts sur les thèmes qui dominent notre monde et notre société. Sous différents angles et avec un accent clair sur l'économie et les entreprises, sur les affaires, les finances personnelles et les investissements. De manière indépendante, pertinente, toujours constructive et tournée vers l'avenir. Hosted by Simplecast, an AdsWizz company. See https://pcm.adswizz.com for information about our collection and use of personal data for advertising.
Le 61ème épisode de Nourrir l'Europe revient sur la conférence du 17 octobre qui a réuni à Bruxelles tous les acteurs du Réseau d'information comptable agricole, le RICA. L'occasion de fêter les 60 ans du réseau mais aussi de se tourner vers l'avenir avec l'évolution du RICA en Réseau d'information sur la durabilité économique des exploitations agricoles ou RIDEA. Si la base de données comptables a joué un rôle capital pour évaluer l'impact des politiques agricoles et les ajuster, elle a aussi permis aux agriculteurs d'avoir une vue d'ensemble de leur gestion. Quant au monde académique, on ne compte plus les travaux de recherche rendus possibles par ces données de terrain communes à tous les États-membres. En intégrant des données environnementales et sociales, le RIDEA veut refléter l'évolution récente de la Politique agricole commune. Seuls les agriculteurs qui se porteront volontaires seront sollicités. Pour bien comprendre la valeur ajoutée du RICA et du RIDEA, Nourrir l'Europe a tendu son micro, dans les allées de la conférence, à Patrizia Engelhart-Getzinger, une jeune agricultrice autrichienne qui alimente le réseau en données depuis des années. Katre Kirt, qui dirige l'unité RICA/RIDEA au Centre estonien de recherche et de connaissances rurales, nous parle des défis rencontrés par les collecteurs de données dans son pays. Alessandra Kirsch, ingénieure agronome et docteure en économie et politique agricole en France, nous explique comment le RICA a alimenté ses travaux de recherche, encore utiles aujourd'hui à la Commission européenne. Enfin, Bence Tóth, chef adjoint de l'unité Analyse et Perspectives de la direction générale de l'agriculture et du développement rural de la Commission européenne explique le calendrier de mise en place du RIDEA et répond aux questions soulevées par les autres invités du podcast.
Les enfants de chœur vous régalent, le dimanche matin, avec son humour un rien grinçant, un brin impertinent mais toujours ravageur et imprévisible. De semaine en semaine, toute l'équipe se retrouve dans une salle quelque part en Wallonie ou à Bruxelles avec un invité connu et un public très nombreux venu pour rire à gorge déployée ! Autour de Michaël Pachen, une équipe de chroniqueurs mixte vous propose de passer un dimanche matin sous le signe de l'humour et de la bonne humeur, rendez-vous de 09h00 à 10h30 avec Les enfants de chœur… Merci pour votre écoute Les Enfants de Choeurs, c'est également en direct tous les matins de la semaine vers 8h15 sur www.rtbf.be/vivacité Retrouvez tous les épisodes des Enfants de Choeur sur notre plateforme Auvio.be https://auvio.rtbf.be/emission/les-enfants-de-ch-ur-19357 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 5 novembre 2025 : En dépit du tollé et du scandale suscités par la vente de poupées sexuelles à caractère pédopornographique sur son site, le géant de l'e-commerce asiatique Shein a ouvert ce mercredi sa première boutique physique et permanente au BHV, à Paris. Une première mondiale pour la marque de fast-fashion, qui revendique 25 millions de clients en France.Plusieurs dizaines de personnes avaient fait la queue dans la matinée devant l'entrée principale du grand magasin, par « curiosité » ou parce que « c'est moins cher ». « Shein, non merci », pouvaient lire les passants de l'autre côté de la rue, en haut de l'Hôtel de Ville, sous la fenêtre de l'élu écologiste – et candidat à la mairie de Paris – David Belliard.Cette ouverture, « à la veille du salon du Made in France, en ce mois du Made in France, est une provocation », avait affirmé lundi le PDG du groupe Système U sur le plateau de C dans l'air. C'est « une erreur stratégique » et « un danger », a déploré ce mercredi le ministre de la Ville, Vincent Jeanbrun, sur TF1. Son collègue chargé de l'Industrie, Sébastien Martin, a, lui, dénoncé sur Public Sénat chez Shein « une stratégie (…) d'agressivité qui est aussi une politique d'attaque de nos valeurs », tout en pointant du doigt, en creux, le BHV.Face à la tempête, Frédéric Merlin assume son choix : « J'aimerais relever l'hypocrisie générale : on parle d'une marque achetée par 25 millions de Français. » L'homme d'affaires a également avancé un argument choc pour défendre sa stratégie commerciale : « Quand j'ouvre un Primark dans un centre commercial, avec des prix équivalents à ceux de Shein et des produits fabriqués dans les mêmes usines, ce qui fonctionne autour, c'est le premium. »En début d'après-midi, le gouvernement a annoncé « une procédure de suspension » de la plateforme, à la suite du scandale des poupées à caractère pédopornographique. L'exécutif a précisé qu'« un premier point d'étape devra être fait par les ministres dans les 48 prochaines heures ».L'arrivée de la plateforme, fondée en 2012 en Chine et désormais basée à Singapour, cristallise aussi les tensions autour de la régulation du commerce en ligne et de la mode jetable ultra-éphémère. Élus, associations et acteurs du secteur textile français ont fustigé son implantation dans l'Hexagone. En cause : la mauvaise qualité, la dangerosité et parfois même l'illégalité de certains produits vendus sur la plateforme.Des députés ont annoncé le dépôt prochain d'une proposition de résolution transpartisane européenne, actuellement en cours de rédaction, afin de demander à Bruxelles et au gouvernement français de se montrer plus sévères à l'égard de Shein, devenu le symbole de l'impuissance publique face à la déferlante des produits « made in China » en Europe.Aux États-Unis, Donald Trump a signé mardi un texte, diffusé par la Maison-Blanche, qui abaisse de 20 % à 10 % une surtaxe douanière imposée sur de nombreux produits chinois, en représailles à l'action jugée insuffisante de Pékin contre le trafic de fentanyl et d'autres opioïdes vers les États-Unis. Cette baisse était prévue dans un accord récemment scellé à Busan, en Corée du Sud, entre le président américain et son homologue chinois Xi Jinping. Le président des États-Unis, qui avait menacé d'annuler son sommet d'aujourd'hui avec le numéro un chinois – leur première rencontre depuis 2019 – et d'imposer 100 % de droits de douane, a été contraint de reculer, Pékin ayant déployé sa carte maîtresse : le contrôle des terres rares.LES EXPERTS :- NICOLAS BOUZOU - Économiste – Directeur fondateur du cabinet de conseil Asterès et chroniqueur à L'Express - SYLVIE MATELLY - Économiste, directrice de l'Institut Jacques Delors et auteure de Géopolitique de l'économie - VALÉRIE NIQUET - Spécialiste de la Chine - Fondation pour la Recherche Stratégique- LUCIE ROBEQUAIN - Directrice de la rédaction - La Tribune et La Tribune Dimanche
I ministri dell'Ambiente dell'Ue hanno raggiunto a Bruxelles un accordo sul clima che fissa l'obiettivo di ridurre del 90% le emissioni rispetto ai livelli del 1990 entro il 2040. Dopo 24 ore di trattative, solo Slovacchia, Ungheria e Polonia si sono opposte, mentre Belgio e Bulgaria si sono astenuti. L'Italia, inizialmente contraria, ha sostenuto il compromesso finale. La proposta della Commissione europea rappresenta una tappa intermedia verso la neutralità climatica del 2050. È stata introdotta la possibilità per gli Stati membri di utilizzare crediti internazionali fino al 5% per compensare le emissioni, una misura fortemente voluta dall'Italia, mentre Germania, Spagna e Paesi nordici spingevano per il limite al 3%. Questi crediti, legati a progetti ambientali come riforestazione o investimenti in rinnovabili, dovranno essere di alta qualità. È inoltre previsto che dal 2030 si possa valutare l'uso di un ulteriore 5% di crediti domestici. Rinviata infine al 2028 l'estensione del sistema Ets 2 al trasporto stradale e al riscaldamento degli edifici. Su richiesta italiana, il testo riconosce il ruolo dei biocarburanti e dei carburanti a basse emissioni nella decarbonizzazione dei trasporti, come confermato dal commissario europeo al Clima, Wopke Hoekstra. Ne parliamo con Adriana Cerretelli, editorialista Il Sole 24 Ore Bruxelles.La manifattura resiste ai dazi, in calo ma verso ripresaIl 2025 sarà un anno di transizione per la manifattura italiana, con un calo del fatturato deflazionato dell'1%, meno marcato rispetto al -2,6% medio del biennio precedente. Il fatturato nominale resterà elevato, a 1.120 miliardi di euro. La debolezza dell'industria è comune anche ad altri Paesi europei, in particolare la Germania. Nel biennio 2026-2027 è attesa una ripresa moderata (+1% medio annuo) grazie al miglioramento della domanda europea, al rientro dell'inflazione e alla ripartenza tedesca. I settori più dinamici nel 2025 saranno la farmaceutica (+3%), l'elettrotecnica (+1,7%) e alimentare e bevande (+1,1%), mentre moda (-3,5%) e autoveicoli e moto (-9%) resteranno in difficoltà. Dal 2026, la crescita sarà trainata dai comparti legati alla doppia transizione digitale ed ecologica: elettronica e meccanica (+2,2%), autoveicoli (+2%), elettrotecnica (+1,9%), largo consumo (+1,7%), farmaceutica (+1,5%) e alimentare (+0,7%). Anche il sistema moda tornerà lievemente positivo (+0,4%). Secondo De Felice, il sistema manifatturiero italiano mostra capacità di adattamento e potenziale di ripresa in un contesto di forte cambiamento. Interviene Gregorio De Felice, capo economista e responsabile Studi e Ricerche di Intesa Sanpaolo.Cerved, Made in Italy vale quasi metà dell'export nazionaleLe imprese del made in Italy, circa 76 mila, hanno generato nel 2023 ricavi per 637 miliardi di euro e occupato quasi 2 milioni di persone, con una crescita del 4,3% rispetto al 2014, superiore al +3,7% dell'intera manifattura. Secondo il Monitor Cerved, che analizza i settori chiave come agroalimentare, moda, arredo, meccanica, trasporti e farmaceutica, queste aziende mostrano solidità patrimoniale e finanziaria e una forte vocazione all'export. Pur rappresentando solo il 7,8% delle società di capitali italiane, generano il 47,2% dell'export nazionale, pari a 200 miliardi di euro nel 2023. La crescita dovrebbe proseguire con un leggero aumento dei ricavi (+0,2%) nel 2025 e un +1,7% nel 2026. Tuttavia, la sfida principale sarà mantenere la competitività in un contesto segnato da dazi americani e tensioni geopolitiche. Lo studio evidenzia l'importanza di investimenti in innovazione, sostenibilità e diversificazione dei mercati, puntando su India, Sud-Est asiatico e Africa. «La capacità innovativa delle imprese sarà decisiva per restare competitive», sottolinea il ceo di Cerved, Luca Peyrano. Passa nei nostri studi Regina Corradini D'Arienzo, amministratore delegato e direttore generale di SIMEST.
Pour cette 42è édition des Assises de la Traduction, l'Association Atlas ouvre le débat sur le thème de la censure et de l'autocensure dans la traduction. Traduire, est-ce trahir ? Comment dire ce qui ne peut s'écrire dans certains contextes ? Depuis plus de 40 ans, les Assises de la Traduction réunissent à Arles, traducteurs et passionnés de littérature, auteurs et amoureux de langues. Cette année, le thème retenu est «Traduire sous contraintes». Un thème que connait bien Arezou Dadvar, traductrice. Elle a traduit King-Kong Théorie de Virginie Despentes en persan : «un projet assez difficile depuis le début. Je trouvais ce texte unique. Je me suis lancée dans cette traduction, j'avais proposé cette traduction à cinq éditeurs qui ont tous refusé. Finalement, je me suis autocensurée en traduisant et ai proposé une version modifiée, mais cette version n'a pas passé la censure. Je suis allée voir un éditeur à Paris». En effet, Tinouche Nazmjou publie depuis Paris des auteurs iraniens ou afghans qui écrivent en langue persane et qui sont censurés dans leurs pays. Les thèmes liés au désir, à la passion et les mots du sexe, ou liés à l'alcool, sont proscrits dans les écrits : «Les écrivains envoient leurs textes au Bureau de la Censure et des gens jugent leurs écrits pour savoir s'ils sont conformes aux lois islamiques du pays. Ce sont donc parfois des pages qui sont arrachées ou des écrits qui sont totalement censurés, mais il y a énormément de moyens de détourner cette censure. On va ruser et trouver un «code» entre le lecteur et le traducteur». Si la censure est un thème majeur de la rencontre de cette année, la contrainte est également inhérente à la difficulté que peut rencontrer un traducteur face à des poèmes ou des auteurs tels que James Joyce qu'on a décrits comme «intraduisibles». Xavier Luffin est, entre autres, traducteur littéraire de l'œuvre de l'écrivain soudanais Abdelaziz Baraka Sakin — dont le romain Le corbeau qui m'aimait a été publié aux éditions Zulma «Un texte difficile à traduire, car il y a de nombreux dialectes qu'il faut réussir à restituer». Invités : - Arezou Dadvar, traductrice du français vers le persan et traductologue. Elle travaille sur la sociologie de la traduction littéraire en Iran et notamment sur les thèmes de la liberté expression et de la traduction littéraire - Tinouche Nazmjou, traducteur, éditeur, metteur en scène. Il a créé sa Maison d'édition Naakojaa (qui veut dire «Utopia» en persan) en 2012 et édite des auteurs persans et des traductions d'ouvrages en persan interdits en Iran. Il est désormais «interdit de plume» en Iran - Xavier Luffin, membre du Conseil de l'ATLAS (Association pour la promotion de la traduction littéraire), professeur de Littérature arabe à l'Université Libre de Bruxelles. Les 42è Assises de la traduction littéraire : «Traduire sous contraintes» se tiendront à Arles les 7, 8 et 9 novembre 2025. Et comme chaque semaine, la chronique de Lucie Bouteloup décrypte les expressions de la langue française ! Cette semaine, «on essuie les plâtres !». Une chronique enregistrée avec Géraldine Moinard des éditions Le Robert, et toujours avec la complicité des enfants de la classe de CM2 de l'École élémentaire Vulpian à Paris ! Programmation musicale : L'artiste Aya Nakamura avec le titre «La femme alpha».
Pour cette 42è édition des Assises de la Traduction, l'Association Atlas ouvre le débat sur le thème de la censure et de l'autocensure dans la traduction. Traduire, est-ce trahir ? Comment dire ce qui ne peut s'écrire dans certains contextes ? Depuis plus de 40 ans, les Assises de la Traduction réunissent à Arles, traducteurs et passionnés de littérature, auteurs et amoureux de langues. Cette année, le thème retenu est «Traduire sous contraintes». Un thème que connait bien Arezou Dadvar, traductrice. Elle a traduit King-Kong Théorie de Virginie Despentes en persan : «un projet assez difficile depuis le début. Je trouvais ce texte unique. Je me suis lancée dans cette traduction, j'avais proposé cette traduction à cinq éditeurs qui ont tous refusé. Finalement, je me suis autocensurée en traduisant et ai proposé une version modifiée, mais cette version n'a pas passé la censure. Je suis allée voir un éditeur à Paris». En effet, Tinouche Nazmjou publie depuis Paris des auteurs iraniens ou afghans qui écrivent en langue persane et qui sont censurés dans leurs pays. Les thèmes liés au désir, à la passion et les mots du sexe, ou liés à l'alcool, sont proscrits dans les écrits : «Les écrivains envoient leurs textes au Bureau de la Censure et des gens jugent leurs écrits pour savoir s'ils sont conformes aux lois islamiques du pays. Ce sont donc parfois des pages qui sont arrachées ou des écrits qui sont totalement censurés, mais il y a énormément de moyens de détourner cette censure. On va ruser et trouver un «code» entre le lecteur et le traducteur». Si la censure est un thème majeur de la rencontre de cette année, la contrainte est également inhérente à la difficulté que peut rencontrer un traducteur face à des poèmes ou des auteurs tels que James Joyce qu'on a décrits comme «intraduisibles». Xavier Luffin est, entre autres, traducteur littéraire de l'œuvre de l'écrivain soudanais Abdelaziz Baraka Sakin — dont le romain Le corbeau qui m'aimait a été publié aux éditions Zulma «Un texte difficile à traduire, car il y a de nombreux dialectes qu'il faut réussir à restituer». Invités : - Arezou Dadvar, traductrice du français vers le persan et traductologue. Elle travaille sur la sociologie de la traduction littéraire en Iran et notamment sur les thèmes de la liberté expression et de la traduction littéraire - Tinouche Nazmjou, traducteur, éditeur, metteur en scène. Il a créé sa Maison d'édition Naakojaa (qui veut dire «Utopia» en persan) en 2012 et édite des auteurs persans et des traductions d'ouvrages en persan interdits en Iran. Il est désormais «interdit de plume» en Iran - Xavier Luffin, membre du Conseil de l'ATLAS (Association pour la promotion de la traduction littéraire), professeur de Littérature arabe à l'Université Libre de Bruxelles. Les 42è Assises de la traduction littéraire : «Traduire sous contraintes» se tiendront à Arles les 7, 8 et 9 novembre 2025. Et comme chaque semaine, la chronique de Lucie Bouteloup décrypte les expressions de la langue française ! Cette semaine, «on essuie les plâtres !». Une chronique enregistrée avec Géraldine Moinard des éditions Le Robert, et toujours avec la complicité des enfants de la classe de CM2 de l'École élémentaire Vulpian à Paris ! Programmation musicale : L'artiste Aya Nakamura avec le titre «La femme alpha».
Stati Uniti: Mandani eletto sindaco di New York.A Gaza si continua a morire, arrestata l'ex procuratrice militare israeliana per aver diffuso immagini di una prigione.Sudan, la guerra che non si ferma.Filippine devastate dal tifone Kalmaegi.Belgio, droni paralizzano gli aeroporti di Bruxelles e Liegi.Corea del Nord, addio a Kim Yong-nam.Iran libera due cittadini francesi dopo tre anni di prigioniaQuesto e molto altro nel notiziario di Radio Bullets a cura di Barbara Schiavulli Introduzione: L'America che Trump teme: New York elegge il suo primo sindaco socialista
E dopo l'apertura sui redditi dei parlamentari, da Bruxelles Gabriele Rosana fa le pagelle ai paesi che vorrebbero entrare nella comunità europea, quindi l'America con Anna Guaita che tratteggia la figura Dick Cheney morto ieri a Jackson, l'ampia pagina della cronaca parte con l'inviata Claudia Guasco e il caso dell'accoltellatore folle con una clamorosa decisione di un giudice, quindi con le inviate Valeria Di Corrado e Alessia Marani e il crollo della Torre dei Fori a Roma e un documento decisivo per l'inchiesta, per la storia di Sport Massimo Boccucci ci porta sui campi da tennis per le sfide italiane e chiudiamo con momenti di Gloria, rubrica di Gloria Satta e il punto sulle casse del cinema con una sorpresa
Președinta Maia Sandu declară la Bruxelles că este imperios necesar ca UE să găsească în următoarele luni o soluție pentru a debloca negocierile pentru aderarea Republicii Moldova și Ucrainei. „Cel mai bun mod de a apăra pacea Europei este de a-i extinde spațiul de pace. Dacă Moldova rămâne în afara Uniunii, va continua să fie o verigă lipsă în securitatea UE și a Ucrainei, iar Rusia se va regrupa și va lovi din nou. „Cetățenii noștri trebuie să vadă, prin fapte, că ușa Europei este deschisă — și că locul Moldovei este înăuntru”, a mai declarat președinta Maia Sandu la Bruxelles. Temele ediției: - Amenințările pe online la adresa jurnaliștilor au devenit o regulă în Republica Moldova, în campaniile electorale în mod special, dar și atunci când aceștia abordează subiecte incomode sau publică investigații. Cum se poate proteja un jurnalist și ce pot face autoritățile pentru ca amenințările să nu degenereze în agresiuni fizice? Invitata Moldova Zoom de astăzi este jurnalista Mariana Rață, moderatoare a emisiunii de investigație „Cutia Neagră” la TV8. Un interviu realizat de Liliana Barbăroșie. - Cine și câți sunt dușmanii aderării Republicii Moldova la UE din România? Un răspuns de la jurnalistul Euronews România, Vitalie Cojocari. - La Iași, peste 200 de tineri din Republica Moldova învață de la zero, la un curs facultativ, ce înseamnă integrarea europeană. Un reportaj de Ecaterina Tanasiiciuc. - Cabinetul de miniștri condus de premierul Alexandru Munteanu ține prima ședință după învestire. - Președinta Parlamentului European, Roberta Metsola, efectuează pe 6 și 7 noiembrie o vizită oficială la Chișinău - Republica Moldova a fost marți în centrul discuțiilor la Bruxelles. - Economia moldovenească rămâne în stagnare pe fundalul provocărilor globale. Știrile zilei: Cabinetul de miniștri condus de premierul Alexandru Munteanu ține miercuri prima ședință după învestire. Unul din primele proiecte ale noului Executiv este cel de denunțare a Acordului cu Guvernul Federației Ruse privind funcționarea Centrului Cultural rus, care funcționează la Chișinău. Acordul a intrat în vigoare încă în 2001, iar acum autoritățile moldovene subliniază că, în contextul actualei situații geopolitice, continuarea funcționării Centrului Cultural rus poate fi utilizată de Federația Rusă pentru promovarea unor narative distorsionate. Noul Guvern va examina și proiectul care prevede aprobarea Acordului cu Guvernul României privind controlul coordonat pe teritoriul român, pe ambele sensuri de control, în punctul feroviar de trecere a frontierei de stat Cantemir (Republica Moldova) – Fălciu (România), semnat la București la 1 octombrie 2025. *** Comisia Europeană a prezentat marți raportul de extindere, o evaluare detaliată a progreselor înregistrate în ultimul an de statele candidate pentru aderarea la UE, raport care spune că Republica Moldova este țara care a înregistrat cele mai multe progrese în ultimul an, în pofida încercărilor de interferență din partea Rusiei. *** Președinta Maia Sandu declară la Bruxelles că Republica Moldova își dorește să rămână țară democratică și parte a lumii libere, statut pe care i-l poate asigura doar calitatea de membru al UE, mai ales că Rusia nu va renunța la intenția de a o deturna, chiar dacă a pierdut ultimele trei alegeri în Republica Moldova. Aflată într-o vizită de lucru la Bruxelles, Maia Sandu a participat și la o conferință dedicată subiectului extinderii Uniunii Europene, organizată de Euronews. Iar la finalul vizitei șefa statului a găzduit un eveniment dedicat Republicii Moldova, cu sute de oficiali și reprezentanți ai instituțiilor europene. Maia Sandu a declarat la eveniment că Moldova este pregătită pentru următorul pas în aderare și că Europa nu-și mai poate permite zone gri nesigure. „Cel mai bun mod de a apăra pacea Europei este de a-i extinde spațiul de pace. Dacă Moldova rămâne în afara Uniunii, va continua să fie o verigă lipsă în securitatea UE și a Ucrainei”, a declarat Maia Sandu. Rusia se va regrupa și va lovi din nou — căutând noi vulnerabilități, învățând din eșecuri, rafinându-și metodele. „Cetățenii noștri trebuie să vadă, prin fapte, că ușa Europei este deschisă — și că locul Moldovei este înăuntru”, a mai declarat președinta Maia Sandu la Bruxelles. Mai multe detalii despre discuțiile de la Bruxelles – în program. *** Președinta Parlamentului European, Roberta Metsola, efectuează o vizită oficială în Republica Moldova, în perioada 6 – 7 noiembrie. Aceasta va susține un discurs în plenul legislativului moldovean, cu ocazia constituirii noii componențe, pro-europene, a Parlamentului. Roberta Metsola se va întâlni cu oficialii moldoveni și va participa la o întâlnire cu tinerii la Liceul „Spiru Haret” din Chișinău. *** Economia Republicii Moldova rămâne în stagnare pe fundalul provocărilor globale, în timp ce inflația, deși încă ridicată, urmează un trend descendent. Sunt constatările ediției de toamnă a raportului de țară a Grupului Băncii Mondiale la Chișinău. Raportul constată deteriorarea poziției externe a Republicii Moldova, dar și oportunitățile pe care procesul de integrare europeană le oferă pentru reforme și creștere economică, transmite Radio Chișinău. Banca Mondială notează că în primele nouă luni, nivelul mediu al inflației a fost de aproximativ 8%, peste ținta de 5 la sută a Băncii Naționale, din cauza prețurilor la energie, servicii și produse alimentare. Pentru acest an experții estimează o creștere economică modestă de aproape 1,5 la sută, susținută de investiții și de creșterea veniturilor populației. Deficitul bugetar ar urma să fie de aproximativ 4,4 la sută din Produsul Intern Brut (PIB), sub limita planificată. Unul din principalele obiective declarate de noul guvern de la Chișinău, condus de economistul Alexandru Munteanu, este dezvoltarea economică a Republica Moldova, puternic marcată de consecințele războiului din Ucraina.
¡La fiesta del vino mexicano está por comenzar! En este episodio, nos adentramos en la 9ª edición del México Selection by Concours Mondial de Bruxelles, que se celebrará del 17 al 22 de noviembre de 2025 en la ciudad de Chihuahua. Con la participación especial de Carlos Borboa, sommelier, periodista y director del certamen, exploramos cómo este evento se ha convertido en el principal escaparate de la calidad y diversidad de los vinos, espirituosos y, por primera vez, cervezas mexicanas. Descubre cómo este concurso promueve la excelencia, la competencia sana y el reconocimiento internacional de nuestros productos, elevando el prestigio del vino mexicano en el mundo.
durée : 00:03:02 - Côté Belgique Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cette saison du balado ne serait possible sans l'appui de nos partenaires : la Chaire de recherche du Canada sur la gouvernance sécuritaire des corps, la mobilité et les frontières (CRC-GSCMF) et le Centre de recherche interdisciplinaire sur la diversité et la démocratie (CRIDAQ). Nous remercions également le Conseil de recherche en sciences humains du Canada, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM), la Faculté de droit et de l'Université de Sherbrooke et l'AGECSDUS.Dans cet épisode, le balado Jasons Critique explore les tensions, les allers-retours et les complémentarités entre la théorie critique du droit et les réalités du terrain migratoire, à travers le parcours de Mathilde du Jardin, juriste et chercheuse engagée. Doctorante à l'Université libre de Bruxelles, Mathilde du Jardin travaille sur la criminalisation de la migration dite clandestine, en interrogeant les dispositifs juridiques qui prétendent prévenir ou sanctionner la « facilitation » de cette migration. À partir d'une approche empirique et critique, elle montre comment le droit se transforme en outil de répression, brouillant les frontières entre protection, assistance et criminalisation. L'épisode questionne le positionnement du/de la chercheur·e face à des dispositifs juridiques ambigus et parfois violents. Comment concilier distance analytique et engagement critique ? Quel rôle peut jouer la recherche dans la transformation des pratiques ? La discussion aborde également les difficultés rencontrées par les praticien·ne·s confronté·e·s à des logiques d'exclusion systémique. Enfin, l'échange met en lumière l'importance de la réflexivité, du travail de terrain et de la collaboration interdisciplinaire pour penser un droit plus juste et plus responsable, à l'écoute des réalités migrantes.
Republica Moldova își propune să încheie negocierile de aderare la Uniunea Europeană pînă în 2028, un proiect pe care Comisia Europeană îl consideră „ambițios dar realizabil”. În raportul pe tema extinderii Uniunii Europene, publicat în 4 noiembrie, Comisia îi recomandă accelerarea reformelor și deschiderea a trei dosare de negociere, din cele șase. Raportul analizează evoluțiile a zece țări care doresc aderarea la Uniunea Europeană. Am vorbit despre situaţia şi perspectivele de aderare ale Republicii Moldova cu analistul de politică internațională Mihai Isac.Mihai Isac: „Din nefericire, una dintre armele folosite de Federaţia Rusă împotriva statului Republica Moldova este corupţia. Prin intermediul corupţiei din sistemul de justiţie, de pildă, serviciile de spionaj de la Moscova nu permit lansarea unor reforme structurale rapide. Aplicarea unor astfel de tactici de către grupurile cu interese obscure din interiorul sistemului de justiţie din Republica Moldova, cu sprijinul serviciilor de spionaj de la Moscova, au întîrziat extrem de mult acest pas al reformelor. A fost nevoie ca autorităţile să conceapă un mecanism prin care astfel de obstacole să poată fi depăşite. Îndemul permanent din partea înalţilor oficiali de la Bruxelles, din partea oficialilor de la Bucureşti dar şi din alte cancelarii europene către Republica Moldova este de a grăbi pasul reformelor, mai ales pe fondul acutizării situaţiei de securitate din regiune.” Cît de euroentuziaşti, cît de eurosceptici sînt moldovenii?Mihai Isac: „Electoratul din Republica Moldova a votat masiv pentru ideea europeană. Şi aici nu vorbim doar de voturile obţinute de Partidul Acţiune şi Solidaritate (PAS) – care de fapt, sînt voturi obţinute de Europa la Chişinău, deci putem spune că în 28 septembrie 2025 Uniunea Europeană a cîştigat alegerile din Republica Moldova, nu neapărat PAS –, dar, dacă ne uităm la rezultatele obţinute de diferite partide care au participat la alegeri, aproximativ trei pătrimi din electorat a votat, sub o formă sau alta, visul european, a votat pentru partide care clamează apartenenţa la familia politică europeană sau susţin integrarea europeană a Republicii Moldova.”Apasă PLAY pentru a asculta interviul integral!O emisiune de Adela Greceanu și Matei Martin Un produs Radio România Cultural
La priorità data al Pnrr ha rallentato l'attuazione dei fondi di coesione 2021-2027: al 31 agosto 2025 la spesa è ferma a 6 miliardi, pari all'8% dei 74,8 miliardi disponibili. Le risorse impegnate raggiungono il 27,1%. La Commissione ha autorizzato la riallocazione di una parte dei fondi verso nuove priorità come difesa, energia, alloggi e resilienza idrica, concedendo un prefinanziamento aggiuntivo e un anno di proroga per la spesa, fino al 2030. La cabina di regia guidata da Tommaso Foti ha esaminato rimodulazioni per 2,6 miliardi di quota Ue: 887 milioni agli alloggi, 729 milioni alle reti idriche, 278 milioni alla transizione energetica, 204 milioni alla piattaforma Step, 196 milioni a difesa e infrastrutture a duplice uso e 361 milioni alla formazione e occupazione. Sullo sfondo cresce la preoccupazione per un possibile accentramento della governance da parte della Commissione Ue: l'assessore lombardo Guido Guidesi avverte che la Lombardia rischierebbe di perdere 4,4 miliardi, penalizzando imprese, formazione e ricerca. La Regione ha partecipato a Bruxelles alla manifestazione della Cohesion Alliance contro la centralizzazione dei fondi. Le nuove regole Ue introducono la possibilità di finanziare progetti legati alla sicurezza e alla mobilità militare, ma l'adesione resta su base volontaria. Ne parliamo con Guido Guidesi, assessore allo Sviluppo economico di Regione Lombardia.Shutdown, Stati Uniti nel caos: sospensione di servizi sociali e aeroporti bloccatiNegli Stati Uniti lo shutdown prosegue da oltre un mese, paralizzando servizi pubblici e trasporti. La riunione d'urgenza convocata dal vicepresidente JD Vance non è bastata a rassicurare compagnie aeree e sindacati: oltre 800mila dipendenti federali sono senza stipendio da quattro settimane. I disagi toccano aeroporti, scuole, servizi per l'infanzia, tribunali e perfino i fondi alimentari per 42 milioni di americani. La crisi nasce dallo scontro politico tra Repubblicani e Democratici sul bilancio federale. Trump, in viaggio in Asia, ha lasciato Washington senza guida e attacca l'opposizione definendola responsabile del caos. I Repubblicani puntano a usare lo shutdown per ridurre la spesa sociale e tagliare personale pubblico, mentre i Democratici restano divisi. Nei trasporti la situazione è critica: 63mila controllori e addetti alla sicurezza lavorano senza paga, mentre cresce il timore di un collasso del sistema in vista del Ringraziamento. Andiamo dietro la notizia con Alessandro Plateroti, Direttore Newsmondo.itCome sta andando il mercato del Petrolio? Le sanzioni alla Russia influiranno sul prezzo?Opec+ ha deciso un nuovo aumento della produzione di 137mila barili al giorno dopo quelli di settembre e ottobre. L'incremento sarà sospeso da gennaio a marzo 2026 per motivi stagionali, ma resta l'obiettivo di 1,65 milioni di barili aggiuntivi giornalieri. I prezzi restano deboli: il Wti è a 60,98 dollari al barile e il Brent a 64,77 dollari. Il calo riflette l'incertezza sulla domanda cinese e l'impatto delle sanzioni Usa sul petrolio russo. Opec+ continua a monitorare il mercato con prudenza per evitare eccessi di offerta. La strategia di lungo periodo mira a riconquistare quote di mercato perse a favore degli Stati Uniti. Il 18 novembre è previsto un incontro tra Mohammed bin Salman e Donald Trump, che chiede un aumento della produzione per contenere i prezzi dei carburanti. Chevron prevede ulteriori ribassi nel 2026, mentre la prossima riunione Opec+ è fissata per il 30 novembre. Ne parliamo insieme a Sissi Bellomo, Il Sole 24 Ore.OpenAI sigla un accordo da 38 miliardi con Amazon per i servizi CloudOpenAI ha firmato un accordo settennale da 38 miliardi di dollari con Amazon Web Services per accedere a un'enorme capacità di calcolo basata su GPU Nvidia, necessaria per l'addestramento dei modelli di intelligenza artificiale. L'intesa arriva dopo quella con Microsoft e rafforza la posizione di OpenAI come attore chiave nel settore globale dell'AI. Amazon punta a consolidare il suo primato nel cloud in un momento di ristrutturazione interna e tagli di personale. Per OpenAI, ormai trasformata in una public benefit company, l'accordo segna il passaggio definitivo da laboratorio di ricerca a colosso industriale. Secondo stime interne, l'azienda prevede investimenti infrastrutturali fino a 1.400 miliardi di dollari. "L'infrastruttura di AWS sarà la spina dorsale delle ambizioni di OpenAI", ha dichiarato il CEO di AWS Matt Garman. Approfondiamo la questione con Biagio Simonetta, Il Sole 24 Ore.
durée : 00:22:49 - " Mikado ", l'operette de Arthur et Sullivan - Créé en 1885, Le Mikado marque l'apogée du tandem. Très célèbre dans le monde anglo-saxon et germanophone, il est resté longtemps méconnu en France. Après une première version en 1889 à Bruxelles, il fut redécouvert avec une adaptation radiophonique en 1965, puis sur scène à Tours en 1992. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Quʹon les aime ou quʹon les déteste, nos cheveux font partie de notre identité. Bruns, roux, blonds, raides, crépus ou ondulés, nos quelque 120 000 follicules pileux sont uniques. Pourtant, le haut de notre tête subit beaucoup dʹinjonctions dont on ne se débarrasse pas si facilement: les cheveux doivent être courts quand on est un garçon, lisses quand on est une femme noire, teints quand on est une femme qui vieillit. Les hommes, eux, complexent face à leur crâne dégarni. Pourquoi les cheveux sont-ils liés à la beauté et la jeunesse éternelles? Comment sont-ils devenus un outil de résistance et dʹaffirmation de soi? Pourquoi est-ce si douloureux quand on les perd? Production : Raphaële Bouchet Réalisation : David Golan Les invité.es sont : Elizabeth Fischer, professeure à la HEAD à Genève, spécialiste de lʹhistoire culturelle de lʹapparence et de la mode & Valérie Piette, professeure d'histoire à l'Université Libre de Bruxelles
Hendrickx Ntela is a Liège-based dancer and choreographer of Congolese origin, specializing in urban styles like Hip Hop, Krump, Dancehall, Kuduro, and AfroHouse. A founding member of the all-female collective One Nation and the international Krump group Gully Fusion, she is a pioneer of Belgian Krump performance and event organization, including Ch'eza Street Battle and Krump Date. Hendrickx has collaborated with artists like Camille Lellouche and Jean Dujardin, choreographed for Netflix's La Nouvelle École, and toured internationally with her original work Blind. She is an associate artist at Théâtre National de Bruxelles and continues to shape hip hop dance culture worldwide.
A settembre l'export extra-Ue dell'Italia cresce del 9,9% grazie soprattutto alle commesse navali e al forte aumento delle vendite verso gli Stati Uniti (+34,4%), trainate da forniture una tantum e, in misura minore, dai prodotti farmaceutici. L'import dagli Usa cresce però ancora di più, +76,8%, contribuendo alla riduzione dell'avanzo commerciale che nei primi nove mesi dell'anno scende a 35,1 miliardi di euro contro i 45,4 del 2024. Crescono le esportazioni di energia, beni strumentali e di consumo non durevoli, mentre calano i beni durevoli. In aumento anche le vendite verso paesi OPEC, Giappone e Svizzera, mentre arretrano Russia, Turchia, Regno Unito e Mercosur. L'Italia conferma la propria vitalità nei mercati extra-Ue, ma resta esposta al rincaro delle importazioni e al rischio di squilibri commerciali con i principali partner. Il commento è di Matteo Zoppas - presidente ICE - Agenzia per la promozione all'estero e l'internazionalizzazione delle imprese italianeUe stretta tra Cina e UsaSul fronte della guerra commerciale si respira un rinnovato ottimismo dopo l'annuncio dell'accordo quadro Usa-Cina, che dovrebbe essere formalizzato da Trump e Xi Jinping giovedì in Corea del Sud. Tuttavia, l'Unione Europea resta in posizione scomoda tra Washington, che pretende lealtà, e Pechino, partner commerciale fondamentale soprattutto per Germania, Francia e Italia. Proprio giovedì, mentre Trump e Xi si incontreranno, una delegazione cinese sarà a Bruxelles per discutere con la Commissione europea delle restrizioni sulle terre rare, materie prime di cui la Cina controlla il 60% dell'estrazione e il 90% della lavorazione. Le tensioni diplomatiche sono crescenti: il ministro degli Esteri tedesco Wadephul ha cancellato il viaggio in Cina dopo che Pechino ha annullato gran parte degli incontri previsti, segnale del deterioramento dei rapporti nonostante l'interscambio bilaterale resti elevato. Al summit Ue, Macron ha invocato l'uso dello strumento anti-coercizione per rispondere alla pressione cinese, mentre von der Leyen ha annunciato a Berlino il piano RESourceEU, destinato a garantire all'Europa l'accesso a fonti alternative di materie prime strategiche per difesa, automotive, aerospazio e AI. Ne parliamo con Adriana Cerretelli, Il Sole 24 Ore Bruxelles Auto Ue, "mancano chip, stop della produzione imminente"L'industria automobilistica europea rischia un imminente blocco produttivo per la carenza di microchip, dopo il divieto cinese di esportare i semiconduttori Nexperia. L'Acea, associazione dei costruttori europei, denuncia che le scorte stanno per esaurirsi e che alcune case prevedono già fermi alle linee di assemblaggio. I chip più colpiti sono quelli semplici, indispensabili per le centraline dei sistemi elettrici. Trovare fornitori alternativi richiederà mesi, mentre gli effetti sull'industria potrebbero manifestarsi in pochi giorni. L'Acea chiede una soluzione diplomatica urgente, e il commissario europeo Sefcovic è in contatto continuo con Pechino per sbloccare la situazione. Da Bruxelles, il ministro Adolfo Urso rilancia la proposta di un Chips Act 2 per rafforzare l'autonomia strategica europea e proteggere le filiere industriali dal rischio di interruzioni. Il commento è di Gian Primo Quagliano, Direttore Generale Centro Studi Promotor
Le président américain veut aligner les prix des médicaments aux États-Unis sur les plus bas pratiqués dans le monde.Un plan qui pourrait soulager les patients américains, mais peser lourd sur le portefeuille et l'accès aux traitements des Européens. Donald Trump justifie sa politique par un constat : les prix des médicaments aux États-Unis sont en moyenne plus de quatre fois supérieurs à ceux pratiqués dans les autres pays développés, selon la Rand Corporation, un institut de recherche américain. Cette différence s'explique par l'absence de régulation nationale. Les laboratoires fixent librement leurs tarifs, et les compagnies d'assurance privées négocient ensuite les remboursements, souvent sans réel pouvoir de contrainte. Résultat, les traitements sont vendus beaucoup plus chers qu'en Europe, où les prix sont encadrés par les autorités publiques. Pour corriger cette distorsion, Donald Trump veut désormais que les prix américains soient alignés sur les plus bas tarifs pratiqués à l'étranger. Une réforme qui, sur le papier, paraît bénéfique pour les patients américains. Mais dans les faits, elle risque de bouleverser tout l'équilibre mondial de l'industrie pharmaceutique. À lire aussiLes États-Unis piégés par leur dépendance aux médicaments indiens? Un effet de vase communicant : les laboratoires pourraient se détourner de l'Europe Le problème, c'est que le marché américain représente à lui seul la principale source de revenus des grands groupes pharmaceutiques. Si les prix baissent aux États-Unis, les laboratoires verront leurs marges chuter sur leur marché principal. Et pour compenser, ils pourraient relever leurs prix en Europe ou retarder la mise sur le marché de nouveaux traitements. Certains géants du secteur, comme Pfizer ou AstraZeneca, ont déjà annoncé revoir leurs stratégies de commercialisation sur le Vieux Continent. D'autres entreprises hésitent même à s'y implanter, ou exigent désormais davantage de contrôle dans les négociations de prix avec les autorités de santé. L'Europe, où les tarifs sont encadrés pays par pays et souvent bien plus bas qu'ailleurs, risque ainsi de devenir un marché secondaire pour les géants de la pharma. Un paradoxe pour un continent qui cherche justement à rester attractif et innovant dans le domaine de la santé. À lire aussiComment l'Union européenne compte éviter les pénuries de médicaments? Souveraineté pharmaceutique, un défi plus que jamais stratégique pour l'Europe Face à cette situation, Bruxelles reste prudente. La Commission européenne dit suivre de près l'évolution du dossier américain. Mais cette tension arrive à un moment charnière : l'Union révise actuellement sa législation pharmaceutique, en vigueur depuis 2004, afin de renforcer la compétitivité du secteur et réduire la dépendance aux importations. Depuis la pandémie de Covid-19, les Vingt-Sept ont pris conscience de leur fragilité : les principes actifs viennent majoritairement d'Asie, et une partie de l'innovation pharmaceutique dépend encore largement des États-Unis. Or, la politique actuelle de Donald Trump, en poussant à la relocalisation et à la défense des intérêts américains, risque d'accentuer cette dépendance européenne. La véritable question est donc celle-ci : qui paiera le prix de cette nouvelle guerre du médicament ? L'Europe, en acceptant de payer plus cher pour conserver l'accès à l'innovation ? Ou bien le monde pharmaceutique lui-même, s'il finit, à force de logique de court terme, par étouffer l'innovation et la coopération internationale ?
Ce podcast inédit de Chroniques Criminelles nous entraine en Belgique, en plein cœur de Bruxelles. En juin 2017, trois corps massacrés à coup de couteau sont découverts dans un entrepôt de tissus. Rapidement, la police détermine qu'il s'agit de trois membres d'une même famille, les Storme. Il y a le père, la mère et leur fille. Une famille de notables belges, apparemment sans histoires. Ils découvrent aussi que le fils de 19 ans, Léopold, a miraculeusement échappé au massacre… A moins qu'il n'ait quelque chose à voir avec le drame ? Soupçonné, arrêté et accusé, il clame son innocence et affirme être un survivant. Alors, victime d'une effroyable erreur judiciaire ou menteur et manipulateur ?La réponse dans ce podcast inédit de Chroniques Criminelles, raconté par Jacques PradelHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lors de la conférence de presse sur le casse du Louvre, les deux suspects ont partiellement reconnu les faits et risquent d'être mis en examen dans les prochaines heures, selon Marie Belot. La procureure Laure Beccuau a lancé un appel : "Il est encore temps de rendre les bijoux." Arlette Chabot évoque des réformes ratifiées par le Parlement européen, comme la fin du permis de conduire à vie en 2032, avec un renouvellement tous les dix à quinze ans et un certificat médical après 70 ans. Elle évoque aussi la fin du découvert bancaire automatique prévue pour 2024. Isabelle Gounin souligne la réussite de Nvidia, dont la valorisation boursière a dépassé les 5 000 milliards de dollars, un record illustrant l'appétit des investisseurs pour l'intelligence artificielle. Abnousse Shalmani analyse la visite de Donald Trump au Japon, un modèle de diplomatie "à la sauce Trump", afin de convaincre Donald Trump de rester l'ami du Japon, et de sceller l'entrée de la dame de fer japonaise dans le club des leaders populistes nationalistes. Du lundi au vendredi, à partir de 18h, David Pujadas apporte toute son expertise pour analyser l'actualité du jour avec pédagogie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire. La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery. Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge. Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre. Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits. Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto. Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.
Des ballons gonflés à l'hélium qui perturbent le trafic aérien en Lituanie, des drones qui imposent la fermeture des aéroports en Allemagne, au Danemark, ou en Norvège. Les attaques hybrides se multiplient sur le continent... et avec elles, la nécessité de se préparer au pire. La ville de Chelm, dans l'est de la Pologne frontalière avec l'Ukraine en sait quelque chose. En septembre 2025, des drones puis une alerte aérienne ont semé la panique parmi les habitants. Depuis, on recense tous les abris souterrains et on forme les citoyens à la sécurité et la gestion de crise. C'est le reportage d'Adrien Sarlat. Les questions migratoires dans la campagne législative néerlandaise Les Néerlandais sont appelés aux urnes demain (29 octobre 2025) pour élire leur Parlement... des élections qui sont suivies de près en Europe car elles pourraient voir une victoire encore plus importante du parti d'extrême droite PVV, de Geert Wilders. Il avait pourtant claqué la porte de la coalition en juin dernier... Mais si le leader a peu de chance de nouer un accord avec d'autres partis, ses idées anti-migrants se sont imposé dans la campagne... À Bruxelles, Jean-Jacques Hery. Le succès d'un biopic sur Berlinguer C'est un phénomène cinématographique et politique que personne n'avait vu arriver. Le film «La grande ambition», du réalisateur italien Andrea Segre a déjà attiré 700 000 spectateurs dans les salles. Le film qui raconte cinq années de la vie d'Ernesto Berlinguer à la tête du parti communiste italien, résonne pour une partie de la jeunesse. C'est la chronique de Cécile Debarge. Les Canaries plutôt favorables au traité avec le Mercosur Un nouveau traité de libre échange entre l'Europe et quatre États d'Amérique latine. L'accord avec le Mercosur suscite beaucoup de débats et de la colère, surtout en France, de nombreux agriculteurs craignent une concurrence déloyale pour la viande, le soja ou le sucre. Mais ailleurs, en Europe, on se réjouit plutôt de nouveaux débouchés. C'est le cas dans l'archipel espagnol des Canaries. C'est le reportage de Nicolas Kirilowits. Les coulisses de Bruxelles avec le média Contexte Et au niveau de la politique européenne, il faudra attendre 2026 pour savoir si cet accord pourra passer. En France, le syndicat agricole le plus puissant, la FNSEA, pousse le président Emmanuel Macron à utiliser son droit de veto. Arthur Bamas suit de près les négociations autour de cet accord pour le média Contexte, il nous explique pourquoi le président français n'a plus le pouvoir de bloquer ce texte.
Nous sommes le 29 octobre 1928. Ouvrons le journal « Vers l'Avenir » qui consacre, ce jour-là, un article à l'inauguration, place d'Armes à Namur, d'un monument à la mémoire de Léopold II. La famille royale a fait le déplacement pour l'occasion. La statue, qui figure un souverain tout en barbe, debout, bien campé sur ses deux jambes, les bras croisés derrière le dos, le regard fier et porté sur l'horizon, est l'œuvre du jeune Victor Demanet, né à Givet; le socle, lui est dessiné par Georges Hobé. A propos de ce dernier, justement, le journal rappelle un fait ayant eu lieu vingt-trois ans plus tôt, au moment des célébrations des septante-cinq ans de la jeune Belgique. On peut lire : « Lors des festivités jubilaires de 1905 (…) le roi signala qu'il conviendrait de remplacer, par une constructions majestueuse, les installations provisoires et rudimentaires de notre stade ? C'est alors que, sous l'impulsion et sur les indications du roi lui-même, le bel artiste qu'est l'architecte Georges Hobé réalisa le magnifique ensemble des projets de transformation de Namur ». Quel hommage ! Mais qui était Georges Hobé, architecte, à l'époque, internationalement célébré ? Connu, aujourd'hui, pour la série de grands travaux menés dans ce qui n'était pas encore la capitale wallonne. On sait, finalement, peu de choses de cet autodidacte très soucieux du lien entre bâtit et environnement. Partons sur ces traces … Invité : Raymond Balau, architecte, urbaniste. Auteur de « Georges Hobé a-t-il modernisé Namur ? » ; éd. Archives photographiques namuroises. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 24 octobre 2025 : Face à Poutine, Trump passe à l'offensive« Des sanctions énormes ». C'est ainsi que Donald Trump a qualifié les sanctions économiques inédites qu'il s'apprête à prendre contre la Russie et ses deux grandes compagnies pétrolières. « À chaque fois que je parle avec Vladimir, cela ne mène nulle part », a déclaré le président des États-Unis. Le chef du Kremlin admet un impact possible sur l'économie russe, tout en prévenant que toute livraison de missiles Tomahawk de Washington vers l'Ukraine serait considérée comme une escalade majeure.Dans ce contexte, les Européens se rassemblent pour faire bloc derrière l'Ukraine. Réunis hier à Bruxelles (en présence de Zelensky) puis aujourd'hui à Londres, les Vingt-Sept discutent de l'accélération de leur réarmement et de la livraison d'armes de longue portée à Kiev. L'accord sur l'utilisation des avoirs russes gelés dans l'Union a quant à lui été renvoyé à décembre. Pour aider l'Ukraine, la Commission européenne voudrait en effet utiliser les avoirs russes “immobilisés” par les sanctions occidentales. Le Premier ministre belge se montre là-dessus méfiant : c'est à Bruxelles que se trouve Euroclear, la société internationale de dépôts de fonds qui gère des dizaines de milliards d'euros d'actifs russes.De son côté, le chef d'état-major des armées françaises l'assure : la France doit être « prête à un choc face à la Russie dans trois, quatre ans ». L'Otan, lui, se prépare déjà. Une simulation de débarquement a eu lieu en juin dernier. Plus de trois mille militaires français et étrangers ont participé à cet exercice militaire dans l'Atlantique et dans la Manche. Les forces françaises étaient à la manœuvre de cet exercice de préparation opérationnelle baptisé Polaris 25.Enfin, du côté du Venezuela, la pression américaine continue, officiellement dans le cadre d'une opération contre le narcotrafic. Face au déploiement de bateaux de guerre dans les Caraïbes, et neuf attaques ayant fait au total 37 morts, Nicolás Maduro cherche à apaiser les tensions avec Trump et a réitéré ses appels à la paix. « Non à la guerre des fous !» a-t-il lancé.Alors, les sanctions économiques de Trump envers la Russie seront-elles efficaces ? L'utilisation par l'Europe des avoirs gelés russes est-elle risquée ? À quoi joue Trump au Venezuela ?LES EXPERTS :- Dominique TRINQUAND - ancien chef de la mission militaire française auprès de l'ONU, auteur D'un monde à l'autre (Robert Laffont)- Anthony BELLANGER - Journaliste, éditorialiste et spécialiste des questions internationales sur Franceinfo TV- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste à Ouest France- Marie JÉGO - Journaliste spécialiste de la Russie au Monde, ancienne correspondante à Moscou
Il testo della manovra, approvato dal Governo è stato bollinato dalla Ragioneria generale e firmato dal capo dello Stato: va ora all'esame del Senato in prima lettura. Si tratta di una misura esigua nel suo importo finale (18,7 miliardi) e stretta dalla priorità di mantenere un profilo di estrema prudenza per quel che riguarda i conti pubblici, con il deficit che già quest'anno dovrebbe ridursi attorno al 3% del Pil aprendo così la strada all'uscita anticipata dalla procedura di infrazione per disavanzo eccessivo aperta da Bruxelles. Quindi giudizio positivo per quanto riguarda la tenuta dei conti ma per quanto riguarda gli stimoli all'economia e il sostegno alla classe media impoverita dall'inflazione? Il commento è affidato a Giuseppe Russo, economista e direttore del Centro Einaudi.
durée : 00:57:38 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - De Yodé et Siro à Tiken Jah Fakoly, la scène musicale ivoirienne a longtemps été le lieu d'expression des oppositions au pouvoir en place ou des appels à la concorde face aux guerres civiles. Comment évolue-t-elle à mesure qu'elle se développe et s'industrialise ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Léo Montaz Chercheur en anthropologie politique au laboratoire d'anthropologie des mondes contemporains de l'université libre de Bruxelles; Sarah Andrieu Maîtresse de conférences en anthropologie à l'université Côte d'Azur
Nous sommes le 26 avril 1937, à Bruxelles. Ce jour-là, vingt et une jeunes femmes juives prennent, clandestinement, le train en direction de l'Espagne républicaine, alors en pleine guerre civile. Leur motivation principale est la lutte active contre le fascisme. Arrivées à Barcelone quelques jours plus tard, certaines d'entre elles sont photographiées sur la place de Catalunya devant l'Hôtel Colón, alors quartier général du Parti communiste. Le projet est de se rendre à Onteniente, une petite ville entre Valence et Alicante, où elles travailleront comme aides-soignantes à l'hôpital militaire "El Belga". Ces "mamás belgas" comme on les nommera, vont se dévouer aux victimes de la guerre, mais aussi militer pour leur idéal d'un monde plus juste. Après la dissolution des Brigades internationales et la coupure du territoire républicain en deux par les nationalistes, les volontaires décideront de rester et de travailler jusqu'à la fin de la guerre. Mais face à l'effondrement définitif de la République en janvier 1939, les aides-soignantes seront contraintes de fuir. De retour en Belgique, elles n'auront qu'un bref répit avant l'invasion allemande en mai 1940, et plusieurs d'entre elles rejoindront la résistance contre l'occupant nazi. Elles seront treize qui seront envoyées dans les camps d'extermination nazis. Qui étaient ces femmes courageuses ? Revenons sur leur lutte oubliée : la lutte des « Mamas belgas »… Avec nous : Sven Tuytens, journaliste, correspondant en Espagne pour la VRT. « Las mamas belgas – La lutte ignorée de jeunes femmes contre Franco et Hitler » ; éd. Territoires de la Mémoire. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A Mosca piovono sanzioni. Dopo l'inasprimento delle sanzioni annunciato ieri da Donald Trump, oggi, come prevedibile, il business del petrolio russo viene colpito anche dall'Unione europea. Al Consiglio europeo di stamattina, oltre ad aver rinforzato le penalità economiche, i 27 hanno anche discusso del muro di droni e della protezione del fianco orientale. Ne parliamo con Beda Romano, corrispondente de Il Sole 24Ore a Bruxelles, e con Carolina De Stefano, professoressa di Storia e politica russa alla Luiss Guido Carli.
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, entrepreneur, Charles Consigny, avocat, et Joëlle Dago-Serry, coach de vie, débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
durée : 00:20:16 - Journal de 12h30 - A Bruxelles , un nouveau conseil européen destiné à soutenir, de manière sonnante et trébuchante, l'Ukraine face à son agresseur russe. Et puis on se rendra également à Moscou pour connaître la réaction du Krémlin, après que l'administration américaine a décidé hier soir de sanctions directes.
Au sommaire de Radio foot internationale à 16h10 TU : - Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. ; - 3è journée de phase de Ligue, suite. ; Une victoire pour le foot ? Javier Tebas fait machine arrière... Écoutez le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. Scores fleuves à Barcelone, Eindhoven et Leverkusen. 6 buteurs différents pour le PSG qui a enregistré des retours contre le Bayer, entame mieux sa campagne européenne que l'an passé. Sans-faute d'Arsenal, impitoyable face à l'Atlético, et de l'Inter. Les Milanais prolifiques à Bruxelles (4-0), où ils affrontaient l'USG. 3è journée de phase de ligue, suite : les leaders de L1 en déplacement à Lisbonne. De Zerbi souhaite que l'OM affiche «la même personnalité face au Sporting qu'au Vélodrome», fasse preuve d'humilité et de courage face aux Leões, 2ès du championnat, dans un stade chauffé à blanc. Les Olympiens vont croiser un ancien du club, le Colombien Luis Suarez, une des menaces pour la défense phocéenne. - Encore un club anglais à Monaco. Désormais entrainés par Sébastien Pocognoli qui manque de repères, les Rouge et Blanc devront tout donner contre Tottenham, comme face aux Cityzens début octobre. Mais les Spurs, vainqueurs de la C3 ont acquis de la stabilité avec Thomas Franck. - L'affiche Real Madrid/Juventus Turin, un classique continental souvent disputé. Battus à Côme, 7ès de Serie A, les Bianconeri peuvent-ils obtenir un bon résultat au Bernabeu ? Xabi Alonso en quête d'un match référence, possède un buteur en feu ! - Déplacement des Reds à Francfort. Hugo Ekitiké de retour sur la pelouse de l'Eintracht, un terrain que Frimpong et Wirtz connaissent bien aussi. Brillant par séquences, Liverpool va-t-il prendre 3 points en Allemagne ? Une victoire pour le foot ? Après la protestation des joueurs initiée par le Syndicat des footballeurs espagnols, le promoteur du match délocalisé à Miami entre Villarreal et le Barça a fini par jeter l'éponge. Javier Tebas fait machine arrière, mais le boss de la Liga déplore ce qu'il estime être une opportunité de développement pour le championnat. Les joueurs y voient une décision injuste au plan sportif. Côté Serie A, où des voix s'élèvent aussi, le match AC Milan/Côme prévu en Australie reste maintenu. Pour débattre avec Sophiane Amazian : Dominique Sévérac, Marco Martins et Naïm Moniolle. Technique/réalisation : Laurent Salerno. - Préparation : Pierre Guérin. Écoutez sur RFI le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Le son sera accessible à partir de 00h05, heure de Paris.
Au sommaire de Radio foot internationale à 16h10 TU : - Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. ; - 3è journée de phase de Ligue, suite. ; Une victoire pour le foot ? Javier Tebas fait machine arrière... Écoutez le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Ligue des Champions, soirée record hier (43 buts) sur les terrains. Scores fleuves à Barcelone, Eindhoven et Leverkusen. 6 buteurs différents pour le PSG qui a enregistré des retours contre le Bayer, entame mieux sa campagne européenne que l'an passé. Sans-faute d'Arsenal, impitoyable face à l'Atlético, et de l'Inter. Les Milanais prolifiques à Bruxelles (4-0), où ils affrontaient l'USG. 3è journée de phase de ligue, suite : les leaders de L1 en déplacement à Lisbonne. De Zerbi souhaite que l'OM affiche «la même personnalité face au Sporting qu'au Vélodrome», fasse preuve d'humilité et de courage face aux Leões, 2ès du championnat, dans un stade chauffé à blanc. Les Olympiens vont croiser un ancien du club, le Colombien Luis Suarez, une des menaces pour la défense phocéenne. - Encore un club anglais à Monaco. Désormais entrainés par Sébastien Pocognoli qui manque de repères, les Rouge et Blanc devront tout donner contre Tottenham, comme face aux Cityzens début octobre. Mais les Spurs, vainqueurs de la C3 ont acquis de la stabilité avec Thomas Franck. - L'affiche Real Madrid/Juventus Turin, un classique continental souvent disputé. Battus à Côme, 7ès de Serie A, les Bianconeri peuvent-ils obtenir un bon résultat au Bernabeu ? Xabi Alonso en quête d'un match référence, possède un buteur en feu ! - Déplacement des Reds à Francfort. Hugo Ekitiké de retour sur la pelouse de l'Eintracht, un terrain que Frimpong et Wirtz connaissent bien aussi. Brillant par séquences, Liverpool va-t-il prendre 3 points en Allemagne ? Une victoire pour le foot ? Après la protestation des joueurs initiée par le Syndicat des footballeurs espagnols, le promoteur du match délocalisé à Miami entre Villarreal et le Barça a fini par jeter l'éponge. Javier Tebas fait machine arrière, mais le boss de la Liga déplore ce qu'il estime être une opportunité de développement pour le championnat. Les joueurs y voient une décision injuste au plan sportif. Côté Serie A, où des voix s'élèvent aussi, le match AC Milan/Côme prévu en Australie reste maintenu. Pour débattre avec Sophiane Amazian : Dominique Sévérac, Marco Martins et Naïm Moniolle. Technique/réalisation : Laurent Salerno. - Préparation : Pierre Guérin. Écoutez sur RFI le 2è Radio foot ce soir à 21h10 TU pour le debrief de la suite et la fin de la 3è journée de Ligue des Champions. Le son sera accessible à partir de 00h05, heure de Paris.
In vista del Consiglio europeo di domani, la Presidente del Consiglio Giorgia Meloni si è rivolta alla Camere. Tanti i temi di scontro con le opposizioni. Parliamo di questo e dei temi del vertice di Bruxelles insieme al nostro Sergio Nava, in diretta da Strasburgo.Tra i temi discussi in Camera e Senato anche la manovra, ormai arrivata alla versione definitiva. Con noi Alberto Orioli, editorialista de Il Sole 24 Ore. Ancora un femminicidio a Milano: una donna aggredita dall'ex compagno è deceduta dopo alcune ore in ospedale. Ci racconta questo dramma Marco Oliva, giornalista. Altra serata di Champions League: stavolta in campo Atalanta e Juventus. Ci aggiorna il nostro Dario Ricci.
La zwanze, fondé sur l'absurde et l'ironie, est bien loin des plaisanteries triviales auxquelles on l'associe parfois. Dès le XIXe siècle, des artistes et clubs bruxellois ont multiplié les farces et happenings critiques, mêlant satire sociale et esprit dada avant l'heure. On explore aujourd'hui cette tradition méconnue, entre moquerie tendre et surréalisme engagé avec Eliane Van den Ende, autrice de « La Zwanze – L'humour comme identité belge » paru aux éditions Artha. Sujets aborbés : Histoire, zwanze, Belgique, Bruxelles, art, peinture, exposition, humour, critique, culture, Louis Ghémar Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
BGVV-1650_Thầy Thuyết Giảng _Bruxelles_23-09-1989Vô Vi Podcast-Vấn ĐạoVô Vi Podcast-Bài GiảngVô Vi Podcast-Nhạc Thiền
Bien avant Google, Wikipedia ou Internet, deux visionnaires belges ont imaginé un système pour rassembler tous les savoirs du monde. À la fin du XIXᵉ siècle, Paul Otlet et Henri La Fontaine, juristes et humanistes, conçoivent à Bruxelles un projet d'une ambition vertigineuse : le Répertoire bibliographique universel (RBU). Leur idée ? Créer une base de données mondiale recensant chaque livre, article, découverte et document publié sur Terre. Un rêve de connaissance totale, bien avant l'ère numérique.Le projet voit le jour en 1895, dans le sillage du positivisme et de l'idéalisme scientifique de l'époque. Otlet et La Fontaine croient en un monde où la paix et le progrès viendraient de la mise en commun du savoir. Pour cela, ils inventent un système révolutionnaire de classification : la Classification décimale universelle (CDU), encore utilisée aujourd'hui dans certaines bibliothèques. Chaque information reçoit un code numérique, permettant de la retrouver et de la relier à d'autres, selon un principe qui annonce déjà les liens hypertextes d'Internet.Le Répertoire bibliographique universel devient rapidement gigantesque. Dans leurs bureaux, des dizaines de collaborateurs compilent, à la main, des fiches cartonnées de 12,5 × 7,5 cm. Chacune décrit un livre, un article ou une donnée scientifique. En quelques années, le projet dépasse les 12 millions de fiches, soigneusement rangées dans des tiroirs métalliques. Pour consulter une information, les chercheurs du monde entier peuvent écrire une lettre : le centre de documentation leur envoie alors, par courrier, les références demandées. Autrement dit, une forme primitive de moteur de recherche humain, avec du papier et des timbres à la place des algorithmes et des câbles.Otlet rêve même d'aller plus loin : il imagine une « cité mondiale du savoir », où chacun pourrait consulter à distance des millions de documents via des écrans connectés. Dans ses carnets, il dessine des machines de lecture à distance, combinant électricité, téléphone et microfilm — une vision étonnamment proche des ordinateurs en réseau.Mais la Seconde Guerre mondiale interrompt le projet ; une partie du répertoire est détruite. Le reste est aujourd'hui conservé au Mundaneum, à Mons, surnommé parfois « le Google de papier ».Ainsi, bien avant l'informatique, un Belge a rêvé d'Internet. Paul Otlet n'a pas inventé le Web, mais il en a conçu l'esprit : celui d'un monde où le savoir circule librement, pour relier les esprits plutôt que les écrans. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.