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Latest podcast episodes about belges

Par Jupiter !
Le prince de la sécu (histoire belge)

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 3:02


durée : 00:03:02 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Laissez-moi vous raconter la belle histoire du prince Laurent de Belgique, le frère du roi des Belges, qui estime que son travail pour la monarchie doit lui ouvrir des droits (pourquoi pas, mais déjà à ce stade, j'ai mis “monarchie” et “travail” dans la même phrase).

Le Billet de Charline
Le prince de la sécu (histoire belge)

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Apr 15, 2025 3:02


durée : 00:03:02 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - Laissez-moi vous raconter la belle histoire du prince Laurent de Belgique, le frère du roi des Belges, qui estime que son travail pour la monarchie doit lui ouvrir des droits (pourquoi pas, mais déjà à ce stade, j'ai mis “monarchie” et “travail” dans la même phrase).

Un Jour dans l'Histoire
Louise d'Orléans, première reine des Belges

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Apr 10, 2025 25:32


Née le 3 avril 1812 à Palerme en Sicile, Louise d'Orléans deviendra la première reine des Belges en 1832, en épousant Léopold 1er, fondateur de la dynastie, sur le trône depuis 1831, à la suite de l'indépendance territoriale et politique de la Belgique en 1830. Le 21 juillet précisément, date qui deviendra celle de la fête nationale belge. Nous allons nous pencher en compagnie de Christine Pinchart, et son invité ,Julien Devos, directeur du TREMA à Namur Sujets traités : Louise d'Orléans, reine, Léopold 1er, dynastie, Sicile, Palerme Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Belges du Bout du Monde

Bienvenue dans l'Afrique en miniature #Cameroun chez Isabelle Timba, docteur à Yaoundé, avec l'étoile montante du stand-up Sarah Lélé et le Red Lion Nelson Onana Née au Cameroun, Isabelle Timba se passionne dès le plus jeune âge pour la médecine. Arrivée chez nous à dix-sept ans pour suivre son cursus universitaire, elle acquiert la nationalité belge en même temps que son diplôme d'hépato-gastro-entérologue. Il y a vingt-cinq ans, elle opère un retour dans la capitale de son pays natal. Une enfance passée entre Anderlecht et Braine-le-Château, une éducation biculturelle, des études de droits et de sciences politiques, c'est le cocktail détonnant qui propulse Sarah Lélé sur scène. Son spectacle ‘La Mauvaise Education' bouscule les tabous dans une avalanche de rires. Né en Suède d'un scientifique camerounais et d'une mère belge, Nelson Onana est issu d'une famille de cinq enfants. Jonglant entre les études de médecine et le sport de haut niveau, cet hockeyeur a notamment participé avec les Red Lions aux JO de Paris. Chaque dimanche, découvrez de nouveaux horizons avec Adrien Joveneau et ses invités du bout du monde, à 9 heures sur La Première et à volonté sur RTBF Auvio.be Cameroun - 06/04/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les histoires de 28 Minutes
Redéfinition pénale du viol, inéligibilité de Le Pen, Grok : Le Club 28'

Les histoires de 28 Minutes

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 46:00


L'émission 28 minutes du 04/04/2025 Ce vendredi, Jean-Mathieu Pernin décrypte l'actualité avec le regard de nos clubistes : Pascal Blanchard, historien, Blanche Leridon, directrice éditoriale de l'Institut Montaigne, Aziliz Le Corre, rédactrice en chef "Opinions" au JDD, et le dessinateur Thibaut Soulcié.  Le consentement inscrit dans la définition légale du viol : une avancée majeure ? Ce mardi 1 avril, les députés ont inscrit la notion de consentement dans la définition légale du viol. Ce terme, popularisé avec le mouvement MeToo, est revenu avec fracas lors du procès des viols de Mazan. Le viol était auparavant défini comme "tout acte de pénétration sexuelle (...) commis par violence, contrainte, menace ou surprise", la loi considère désormais qu'il s'agit de tout acte "non consenti". Le consentement doit donc être "libre, éclairé, spécifique, préalable et révocable" et "ne peut être déduit du seul silence ou de la seule absence de réaction de la victime". Cette nouvelle définition ambitionne de couvrir les cas de viol sous emprise chimique ou en état de sidération. Mais elle interroge jusque dans les associations féministes : va-t-elle faire davantage peser la charge de la preuve sur la victime ? Serait-elle "l'arbre qui cache la forêt des biais sexistes et du manque de moyens de la justice", comme le dénonçait un collectif d'associations féministes et de députés ?Après le procès Le Pen, faut-il supprimer l'inéligibilité immédiate ?La condamnation de Marine Le Pen à 5 ans d'inéligibilité à exécution provisoire, pour avoir détourné 4 millions d'euros, n'a pas fini de faire débattre. François Bayrou se dit "troublé", prêt à ouvrir une "réflexion", tout en précisant que c'est "le Parlement qui doit s'en saisir". Une occasion inespérée pour Éric Ciotti, allié du Rassemblement national, qui entend faire passer une proposition de loi abrogeant l'exécution provisoire lors de la niche parlementaire de son groupe, le 26 juin. La question réside dans la possible adoption de cette loi : si l'intention des députés RN est claire, il en est autrement pour le reste de l'hémicycle. Opposition chez certains macronistes, dont la députée Maud Bregeon qui fustige une proposition de loi qui "a pour unique but d'arranger les affaires de Marine Le Pen". Du côté des Républicains, le député Vincent Jeanbrun ne veut pas donner "le sentiment que l'on change la loi quand elle ne convient pas aux politiques". Ces positions rejoignent celles de l'opinion publique : près des deux tiers des Français trouvent justifiée la peine de Marine Le Pen. Constance Lagrange est autrice et illustratrice de BD et publie "On peut rire de tout (sauf de sa mère)" aux éditions Dargaud. Elle  consacre ses planches à ses origines juives, au travers d'histoires humoristiques mettant en scène des enfants, des vieux couples, des rabbins, des belles-mères, etc. Un humour typiquement juif qui est le thème central de cet ouvrage car "les juifs aiment rire, et d'abord d'eux-mêmes", préface l'historien Ivan Jablonka.Comment réagir face à la lubie douanière de Donald Trump ? Après avoir annoncé des droits de douane records pour presque tous les pays du monde, allant de 10 à 49 %, la marche à suivre n'est pas claire. Chez les anglo-saxons, l'heure est aux dissensions : les Britanniques cherchent à conclure un accord qui permettrait "d'atténuer l'impact" des tarifs douaniers, mais les Australiens ne cachent pas leur colère face à leur allié : "Un ami n'agit pas de cette manière", tance Anthony Albanese, Premier ministre australien. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says.Les réseaux sont inondés d'un énième épisode de "french bashing" depuis quelques jours. C'est une chanson de Lady Gaga dont le "I don't want to be friends" se métamorphose en "I don't want to be french" qui enflamme TikTok. Il n'en fallait pas plus pour que des Américains, Belges et Italiens sautent sur l'occasion. Dans l'hexagone, la réponse ne s'est pas fait attendre. C'est le Point com de Marjorie Adelson."Vous pouvez demander ce que vous voulez à Grok", fanfaronnait encore Elon Musk il y a quelques jours. Pourtant, cette IA conversationnelle et générative de X (dont le milliardaire est le propriétaire) ne semble pourtant pas lui faire de cadeaux. C'est l'histoire de la semaine de Claude Askolovitch.Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur les manœuvres militaires chinoises autour de Taïwan ; les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 04 avril 2025 Présentation Jean-Mathieu Pernin Production KM, ARTE Radio

Le Brief
Massacre à Wall Street | Les entreprises belges revoient leur stratégie | 50 ans de Microsoft

Le Brief

Play Episode Listen Later Apr 4, 2025 12:52


Le monde n'a pas encore digéré les droits de douane annoncés par le président américain Donald Trump. Wall street a connu sa pire séance depuis 2020 hier. Ces mesures font craindre une récession pour l'économie mondiale. En Belgique, les entreprises font leurs comptes et revoient leur stratégie en urgence. Microsoft fête aujourd'hui ses 50 ans. Comment cette entreprise a révolutionné l'informatique mondiale? Nous le verrons dans cette édition. Le Brief, le podcast matinal de L'Echo Ce que vous devez savoir avant de démarrer la journée, on vous le sert au creux de l’oreille, chaque matin, en 7 infos, dès 7h. Le Brief, un podcast éclairant, avec l’essentiel de l’info business, entreprendre, investir et politique. Signé L’Echo. Abonnez-vous sur votre plateforme d'écoute favorite Apple Podcast | Spotify | Podcast Addict l Castbox | Deezer | Google PodcastsSee omnystudio.com/listener for privacy information.

Trends-Tendances podcast
L'Europe prête à riposter, la création d'un fonds Défense et les industries belges qui paient plus cher l'électricité dans Z sur 7

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Apr 3, 2025 18:26


Dans ce nouvel épisode, l'Europe n'a pas voulu de cette guerre commerciale déclenchée par Donald Trump, mais d'après la Présidente de la Commission européenne, elle se sent prête à riposter. 4 milliards : c'est ce que la Belgique doit trouver pour atteindre 2 % du PIB en dépenses militaires. Jan Jambon avance une solution : la création d'un fonds Défense pour soutenir l'industrie du secteur. Les industriels belges paient plus cher l'électricité que leurs voisins. La raison ? Des coûts de transport qui ont explosé.Dans le dossier du Trends-Tendances de cette semaine, Xavier Beghin nous parle de la Belgique qui durcit le ton contre le tabac.Côté bourse, nous parlons de la politique tarifaire de Donald Trump. 

Choses à Savoir ÉCONOMIE
Que vont doivent cacher les buralistes belges ?

Choses à Savoir ÉCONOMIE

Play Episode Listen Later Mar 31, 2025 2:10


Aujourd'hui, nous parlons d'une nouvelle mesure entrée en vigueur ce mardi 1er avril en Belgique. Elle ne touche pas directement votre portefeuille… mais bien vos yeux. Désormais, les paquets de cigarettes ne peuvent plus être exposés à la vue des clients dans les bureaux de tabac. Rideaux, vitres opaques, portes coulissantes : les buralistes doivent cacher tous les produits liés au tabac.L'objectif est clair : réduire l'attrait de la cigarette, notamment chez les plus jeunes. Mais cette stratégie est-elle vraiment efficace ? Et comment est-elle vécue sur le terrain ? C'est ce qu'on va voir ensemble.En Belgique, la lutte contre le tabagisme ne date pas d'hier. Et elle passe, entre autres, par une hausse régulière des prix.En novembre dernier, le prix du paquet est passé de 8 à 11,50 euros. Une augmentation significative qui aligne davantage la Belgique sur les tarifs français.Ce levier économique vise à dissuader la consommation, en particulier chez les plus jeunes, plus sensibles au prix. À noter que depuis 2016, le prix des cigarettes a globalement augmenté de plus de 40 % en Belgique.Malgré ces efforts, la Belgique reste un pays où l'on fume beaucoup.Selon la Fondation contre le Cancer, environ 24 % de la population fumait encore en 2022, dont 19 % quotidiennement. En moyenne, un fumeur belge consomme 14 cigarettes par jour.Des chiffres qui montrent que le chemin est encore long. Et c'est justement pour enrayer cette dynamique que les autorités misent désormais sur des stratégies comportementales, comme la réduction de la visibilité des produits du tabac.Sur le terrain, ce sont les buralistes qui doivent s'adapter. Et cette nouvelle règle change pas mal de choses dans leur quotidien.Prenons l'exemple de Maxence Provost, buraliste installé à Callicanes, à la frontière franco-belge. Il a anticipé la mesure en installant des vitres opaques pour cacher les paquets. Résultat : plus rien n'est visible côté client — ni les marques, ni les prix.Et cela complique le quotidien : « Il y a beaucoup de clients qui sont surpris », explique-t-il. « Maintenant, les prix, ils ne peuvent plus les voir. Ils ne peuvent plus voir la marque. »Cela implique aussi plus de pas à faire, plus de gestes, et beaucoup plus de questions à gérer : « Vous avez telle marque ? C'est à combien ? C'est en 20 ou 25 unités ? » Des informations qu'on pouvait deviner en un coup d'œil, et qu'il faut désormais demander.Certains buralistes, comme Maxence, s'interrogent : « On vend du tabac ici, alors pourquoi le cacher ? »Et les clients ne sont pas plus convaincus : « Ça ne change rien. Ceux qui fument continueront de fumer », estime l'un d'eux. D'autres vont jusqu'à trouver la mesure « un peu ridicule ».Pourtant, il faudra bien s'y plier, car l'amende en cas de non-respect est salée : au moins 2.000 euros. De quoi convaincre même les plus réticents. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.

Les Belges du Bout du Monde

Nous débarquons à Taiwan avec Gilles Lorrain, cuisinier à Taipei, Flora Zelada, cheffe de cuisine chez Refoodgees, un projet d'insertion socio-professionnelle initié par Arthur Fogel à Saint-Gilles et à la Villa Empain. Originaire de Linkebeek, Gilles Lorrain est un bourlingueur dans l'âme. A trente-cinq ans, il a déjà vécu et travaillé en Belgique, en France, au Canada et en Australie avant de poser sa valise dans la capitale taiwanaise. Cela fait un an et demi que ce chef a ouvert le ‘Resto Nomade', il offre simplement à ses clients la découverte de notre culture culinaire. Flora Zelada fait des études d'hôtellerie au Brésil. Elle travaille à Sao Paulo mais elle désire élargir ses horizons et débarque à Bruxelles. A la recherche d'un poste avec du sens, elle croise la route de Arthur Fogel, véritable couteau-suisse de l'Horeca et son projet d'insertion ‘Refoodgees', elle lui emboite le pas. Dans deux restaurants, ils œuvrent au partage des cultures par la cuisine et forment les primo-arrivants aux métiers de l'Horeca. Chaque dimanche, Adrien Joveneau fait tomber les murs et jette des ponts entre les cultures à 9 heures sur La Première et en tous lieux et tout temps sur Auvio.be et les autres plateformes de téléchargement Taiwan - 30/03/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Matin Première
Être fan des Diables dans les années 2000

Matin Première

Play Episode Listen Later Mar 25, 2025 5:32


Maxime Lampole pose une réflexion humoristique et sarcastique sur le parcours du football belge, entre espoirs et déceptions. Maxime exprime son scepticisme face à la récente victoire contre l'Ukraine, soulignant que la Belgique a souvent eu des périodes de gloire éphémères, comme dans les années 2010 avec une "génération dorée", mais que les succès n'ont jamais duré longtemps. Il compare cette époque à celle des années 2000, où l'équipe belge était médiocre, avec des matchs angoissants contre des équipes comme l'Écosse et la Finlande. Il critique également les joueurs et entraîneurs du passé, tout en soulignant que les jeunes générations bénéficient aujourd'hui d'un meilleur environnement pour soutenir l'équipe. En conclusion, Maxime évoque la résilience des Belges, prêts à affronter les défis à venir, malgré l'incertitude du futur football belge. Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Belges du Bout du Monde

Les Belges du bout du monde mettent le cap sur le Texas avec Christophe Hardenne, mécano de Chênée devenu entrepreneur au grand cœur à Austin. Il sera en duplex avec BJ Scott, ambassadrice de la Province de Liège. Issu d'un milieu modeste, Christophe Hardenne vit une enfance difficile. Adolescent, il travaille comme serveur et tente de s'en sortir tout en aidant ses proches. Armé de courage, il décide alors de tenter sa chance à Miami. Son horizon s'ouvre, il migre à Austin, il ouvre une entreprise de rénovation et aussi une école de moto-cross dans laquelle il offre désormais des stages à des enfants précarisés. Musicienne généreuse, BJ Scott a aussi connu une adolescence mouvementée. A 17 ans, elle quitte sa famille pour sillonner l'Amérique, guitare à la main. Arrivée en Belgique cinq ans plus tard, elle trouve sa place et son public. Elle décide alors de s'établir définitivement dans notre petit pays. Chaque dimanche, Adrien Joveneau tisse des liens entre pays et cultures à 9 heures sur La Première et en tout temps et tous lieux sur Auvio.be et les autres plateformes de téléchargement U.S.A - 23/03/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les Interviews PLM
11e RAMa en exercice Kurun : Episode 10 : Un exercice international, exemple avec les JTAC Belges

Les Interviews PLM

Play Episode Listen Later Mar 21, 2025 1:43


Le chef de corps nous parlais de relation avec des détachements alliés Belges et britannique, je me rapproche justement du détachement belge.

Radio foot internationale
Éliminatoires Coupe du Monde 2026 : les grands débuts de Thomas Tuchel et Rudi Garcia !

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 48:30


Au  programme de Radio Foot internationale (16h10 TU - 17h10 Paris) : - Deux nouveaux sélectionneurs en poste, Rudi Garcia pour les Belges, Thomas Tuchel pour les Anglais. À quoi doit-on s'attendre pour les débuts de ces deux entraîneurs de renom ? ; - Le Cameroun et Madagascar ont ouvert le bal des rencontres de qualification de la zone Afrique. ; - La diffusion de la Ligue 1 n'aura pas été de tout repos cette saison. ; - Un passage de l'interwiew de Meschack Elia du FC Nantes, interrogé par Ndiassé Sambé, sera diffusé dans l'émission.  - C'est une nouvelle ère qui s'ouvre pour la Belgique ainsi que pour l'Angleterre avec deux nouveaux sélectionneurs en poste, Rudi Garcia pour les Belges, Thomas Tuchel pour les Anglais.À quoi doit-on s'attendre pour les débuts de ces deux entraîneurs de renom ?- Le Cameroun et Madagascar ont ouvert le bal des rencontres de qualification de la zone Afrique. Débrief de ces rencontres, et projection sur celles à venir- La diffusion de la Ligue 1 n'aura pas été de tout repos cette saison. Le diffuseur DAZN n'a pas atteint son objectif d'abonnés. Ce qui contraint la chaine à faire des opérations commerciales ces derniers jours.Le championnat de France à la télévision, pourquoi est-ce si compliqué ?- Un passage de l'interview de Meschack Elia du FC Nantes, interrogé par Ndiassé Sambé, sera diffusé dans l'émission. Pour en parler autour d'Olivier Pron, nos consultants : Frank Simon, Eric Rabesandratana et Patrick Juillard. Réalisation/TCR : Saliou Diouf/Laurent Salerno - Matthieu Degueldre.

Radio Foot Internationale
Éliminatoires Coupe du Monde 2026 : les grands débuts de Thomas Tuchel et Rudi Garcia !

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 48:30


Au  programme de Radio Foot internationale (16h10 TU - 17h10 Paris) : - Deux nouveaux sélectionneurs en poste, Rudi Garcia pour les Belges, Thomas Tuchel pour les Anglais. À quoi doit-on s'attendre pour les débuts de ces deux entraîneurs de renom ? ; - Le Cameroun et Madagascar ont ouvert le bal des rencontres de qualification de la zone Afrique. ; - La diffusion de la Ligue 1 n'aura pas été de tout repos cette saison. ; - Un passage de l'interwiew de Meschack Elia du FC Nantes, interrogé par Ndiassé Sambé, sera diffusé dans l'émission.  - C'est une nouvelle ère qui s'ouvre pour la Belgique ainsi que pour l'Angleterre avec deux nouveaux sélectionneurs en poste, Rudi Garcia pour les Belges, Thomas Tuchel pour les Anglais.À quoi doit-on s'attendre pour les débuts de ces deux entraîneurs de renom ?- Le Cameroun et Madagascar ont ouvert le bal des rencontres de qualification de la zone Afrique. Débrief de ces rencontres, et projection sur celles à venir- La diffusion de la Ligue 1 n'aura pas été de tout repos cette saison. Le diffuseur DAZN n'a pas atteint son objectif d'abonnés. Ce qui contraint la chaine à faire des opérations commerciales ces derniers jours.Le championnat de France à la télévision, pourquoi est-ce si compliqué ?- Un passage de l'interview de Meschack Elia du FC Nantes, interrogé par Ndiassé Sambé, sera diffusé dans l'émission. Pour en parler autour d'Olivier Pron, nos consultants : Frank Simon, Eric Rabesandratana et Patrick Juillard. Réalisation/TCR : Saliou Diouf/Laurent Salerno - Matthieu Degueldre.

Chronique Economique
Orienter l'épargne des Belges vers la défense, une fausse et très mauvaise idée !

Chronique Economique

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 3:44


Mobiliser l'épargne des Belges pour financer le secteur de La Défense ? Arrêtez le sketch ! L'argent des Belges ne dort et n'attend pas d'être dirigé vers le réarmement. Arrêtons de faire croire à la population qu'il y a un trésor caché qu'on va enfin libérer. On entend souvent et partout en ce moment qu'on va mobiliser l'épargne des Belges ou des Européens pour financer le réarmement de notre bon vieux continent. Franchement, qui croit encore à cette histoire ? Comme si des milliards dormaient bien sagement sur des comptes en banque, en mode on attend patiemment qu'un ministre vienne nous réveiller pour aller sauver l'Europe. Spoiler alert, cet argent ne dort pas. Non seulement il bosse déjà, mais en plus si on le détourne vers l'armement, ça va forcément coincer quelque part. Et ça, bizarrement, personne n'en parle. Mobiliser l'épargne des Belges ou des Européens, ça veut surtout dire en priver d'autres. Premier constat l'épargne des Belges, ce n'est pas un matelas. C'est un moteur. Parce que oui, quand vous mettez votre argent sur un compte d'épargne ou une assurance vie, il ne prend pas des vacances aux Bahamas en attendant des jours meilleurs. Il bosse, il tourne, il finance… Mots-Clés : crédits immobiliers, maison, emprunte, banque, entreprises, PME, machine, crédit financé, projets, infrastructure, transition énergétique, coffre, obligations d'Etat, innovation, parking, autoroute, armement, défense, conséquences, chars d'assaut, missiles, taux d'intérêt, emprunt, cash, transition écologique, énergies renouvelables, tech verte, planète, booster, financement, secteurs, vases communicants, basique, lever de la dette, relouer, budget, impôts, dépenses sociales, niches fiscales, vendre, illusion, cagnotte secrète, déplacement de flux, pans de l'économie, réarmer l'Europe, choix politique, prioritaire, menace, russe, conséquences, final. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankxDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Chronique économique M3
Mobiliser l'épargne des Belges pour financer le secteur de la Défense ?

Chronique économique M3

Play Episode Listen Later Mar 20, 2025 3:24


Amid Faljaoui nous dévoile les coulisses des entreprises et passe en revue les grands événements de l'actualité économique. Merci pour votre écoute Vous pouvez nous écouter à tout moment sur www.rtbf.be/musiq3 Retrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be : Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est presque sérieux
Virton vaut vraiment le Détour (2) : Jean Maquel, roi du pâté gaumais

C'est presque sérieux

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 38:27


Bienvenue à Virton, où l'on passe la récré de midi, dans ce jeu qui mêle convivialité et culture, avec Walid, Madeleine Baudot et Corentin Candi et les joueurs du jour, Valérie et Gérald ! On parle James Bond et consommation d'alcool, premier pas du premier roi des Belges, Gaulois et Jeux olympiques, on rebaptise les maisons du coin et on imagine un titre de livre avec les candidats qui nous dressent aussi un portrait insolite de leur commune, et la raison pour laquelle elle est si chère à leur cœur. Et notre star du jour n'est autre que Jean Maquel, roi du pâté gaumais 2024 ! À Virton, se déroukle chaque année fin décembre un concours singulier : une compétition où les participants doivent avaler le plus de pâté gaumais possible en seulement 20 minutes. Ils peuvent boire du café ou de l'Orval pour les aider. En 2024, c'est Jean Maquel qui s'est imposé, avec un impressionnant score de 1200 grammes ! Merci pour votre écoute Salut les copions, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Salut les copions sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/19688 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Entrez sans frapper
Bagarre : The Lumineers vs Naughty by Nature

Entrez sans frapper

Play Episode Listen Later Mar 18, 2025 15:49


Laurent Mathieu vs Xavier Vanbuggenhout Quelle est la meilleure chanson dont le titre est une interjection ? À quel point êtes-vous sensible à la météo ? Répondez à l'aide d'une chanson. Le Centre de crise National va inviter les Belges à se munir d'un "kit d'urgence" en cas de crise ou de menace. Il devra être composé d'une pharmacie de base, d'une bouteille d'eau, d'un chargeur GSM, d'un briquet, etc. Et si on y ajoutait une chanson ? Quel titre voudriez-vous emporter dans votre kit d'urgence ? C'est la Saint-Joseph. Quelle est la plus belle chanson interprétée par un Joseph ou l'une de ses variantes (Joséphine, Joe, Youssef, Youssouf, Youssoupha…) ? Merci pour votre écoute Entrez sans Frapper c'est également en direct tous les jours de la semaine de 16h à 17h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes et les émission en version intégrale (avec la musique donc) de Entrez sans Frapper sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/8521 Abonnez-vous également à la partie "Bagarre dans la discothèque" en suivant ce lien: https://audmns.com/HSfAmLDEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Vous pourriez également apprécier ces autres podcasts issus de notre large catalogue: Le voyage du Stradivarius Feuermann : https://audmns.com/rxPHqEENoir Jaune Rouge - Belgian Crime Story : https://feeds.audiomeans.fr/feed/6e3f3e0e-6d9e-4da7-99d5-f8c0833912c5.xmlLes Petits Papiers : https://audmns.com/tHQpfAm Des rencontres inspirantes avec des artistes de tous horizons. Galaxie BD: https://audmns.com/nyJXESu Notre podcast hebdomadaire autour du 9ème art.Nom: Van Hamme, Profession: Scénariste : https://audmns.com/ZAoAJZF Notre série à propos du créateur de XII et Thorgal. Franquin par Franquin : https://audmns.com/NjMxxMg Ecoutez la voix du créateur de Gaston (et de tant d'autres...) Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Tendances Première
Petites trouvailles belges à la foire du livre de Bruxelles, la sélection de livres Jeunesse de Déborah Danblon

Tendances Première

Play Episode Listen Later Mar 17, 2025 8:14


Petites trouvailles belges à la foire du livre de Bruxelles, la sélection de livres Jeunesse de Déborah Danblon : Carl Norac illustré par Mandana Sadat – Tupilaks ! – Éditions & Jérôme Camil illustré par Zibelinbelt – La révolution des lucioles – Éditions Alice Jeunesse Ludo De Boer – Comment survivre à Noël avec son ex ? – Éditions Hugo poche New Romance Stéphanie Mangez – Ma vie à la sauce anglaise – Éditions Oskar https://debbiedebbiedeb.wordpress.com/2025/03/17/petites-trouvailles-belges-a-la-foire-du-livre-de-bruxelles/ Merci pour votre écoute Tendances Première, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 10h à 11h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes de Tendances Première sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/11090 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Love Story
NOS CRÉATIONS ORIGINALES | Les amants diaboliques belges

Love Story

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 63:49


Vous aimez A la folie pas du tout, le podcast Bababam Originals qui vous plonge dans les histoires d'amour qui ont marqué des générations ? Vous allez adorer nos autres créations originales ! Aujourd'hui, on vous invite à découvrir Home(icides), le podcast Bababam Originals qui raconte les récits de drames familiaux meurtriers qui ont marqué les esprits. Bonne écoute ! Dans cette saison, Caroline Nogueras vous emmène en Corse, en Belgique et même aux Etats-Unis avec un jeune couple machiavélique, prêt à tout pour se procurer beaucoup d'argent… Même à tuer. Cette histoire, c'est celle d'Aurore Martin et Peter Uwe Schmitt, deux amants éperdus qui voulaient devenir riches… Un podcast Bababam Originals Ecriture : Virginie Guedj Voix : Caroline Nogueras Réalisation : Mathew Roques Production et diffusion : Bababam Originals En partenariat avec upday.  Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - Les difficultés des ménages belges diminuent, la mesure du plafond étudiant et l'investissement immobilier en Espagne

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Mar 15, 2025 12:22


Pour la deuxième année consécutive, les ménages belges signalent une diminution de leurs problèmes financiers. C'est l'une des conclusions d'un sondage mené par Testachats auprès de 3000 Belges. La baisse des prix de l'énergie en serait la principale raison. Dès cet été, le régime des jobs étudiants sera élargi. Le plafond étudiant passe de 475 à 650 heures. Une mesure critiquée par certains syndicats qui y voient une concurrence déloyale aux employés. Le Belge a toujours une brique dans le ventre. Selon les chiffres de BNP Paribas, plus d'un Belge sur 10 est multipropriétaire. Si la Belgique reste le choix numéro 1, l'Espagne vient de supplanter la France pour l'achat d'une seconde résidence à l'étranger.

Les Belges du Bout du Monde

Bienvenue au Sénégal, pays de la Teranga, chez Charlotte Taminiaux, gérante des Manguiers de Guéréo, avec le businessman Marvin Ndiaye et la créatrice Valérie Cornelis Charlotte Taminiaux est une belgo-burundaise installée à Guéréo à 80 kilomètres au sud de Dakar. Des études de gestion en tourisme, des voyages au Sénégal depuis l'enfance, un mari entrepreneur franco-ivoirien, tout cela fait un joli cocktail qui donne naissance à une passion pour la gestion de lodges sur une terre accueillante et un petit bout d'un an qui porte déjà en lui cinq nationalités « Fauché à 18 ans, millionnaire à 23 » c'est le titre accrocheur du livre de Marvin Ndiaye. Ce jeune citoyen du monde, d'origine belgo-indo-sénégalaise, démarre, dans la cuisine de sa mère, une affaire de livraison de plats préparés. En créant Fresheo, il prépare son avenir. Il nous parlera de cette vie semée d'embuches, de réussites et de son envie de redonner de l'espoir à la jeune génération Attachée de Presse, Valérie Cornelis, travaille dans le milieu culturel. A l'issue de la trentaine, on lui diagnostique une ménopause précoce. Son rêve de maternité s'envole mais sa résilience la pousse à développer un projet de mode basé sur un échange Belgique-Sénégal et à soutenir un enfant sur place pour lui offrir un beau tremplin dans la vie Chaque dimanche, Adrien Joveneau vous invite à jeter des ponts entre les nations, une saine émulation à écouter à 9 heures sur La Première et en baladodiffusion sur RTBF Auvio.be Sénégal - 16/03/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Grand angle
Grand Baromètre : La fusée PTB a repris vigueur

Grand angle

Play Episode Listen Later Mar 14, 2025 12:00


Le PTB qui remonte, fortement, en Wallonie alors que l'axe gouvernemental se tasse. Sophie Wilmès toujours en haut du hit-parade des personnalités politiques. Le Grand Baromètre Le Soir-Ipsos-RTL sonde les intentions des Belges, quelques semaines après la mise en place du gouvernement Arizona. Que faut-il en penser ? Dans un nouvel épisode de ‘La Loupe', Justine Sow a posé la question à Bernard Demonty, chef du pôle ‘Pouvoirs' du Soir et Martin Buxant, référent politique RTLINFO.

Trends-Tendances podcast
Z sur 7 - droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium à 25 %, la dette mondiale a augmenté de 50 % et les voitures Miles disparaissent des routes belges

Trends-Tendances podcast

Play Episode Listen Later Mar 13, 2025 19:01


Dans ce nouvel épisode, découvrez que face aux droits de douane américains sur l'acier et l'aluminium, désormais à 25 %, l'Europe contre-attaque. En une décennie, la dette mondiale a augmenté de 50 %. Un fardeau colossal qui pèse désormais trois fois le PIB mondial. Les voitures Miles disparaissent des routes belges, le leader allemand dénonce le vandalisme à Bruxelles.Dans le dossier Trends-Tendances de cette semaine, le journaliste Pierre-Henri Thomas revient sur les répercussions des décisions du Président Trump. Côté bourse, Thomas Leclercq, de la banque Degroof-Petercam, revient sur les chiffres de l'inflation américaine et sur la volatilité des marchés. Il évoque également la hausse importante du rendement sur le Bund allemand.

Affaire suivante
[INÉDIT] Antonio Ferrara: comment les autorités ont arrêté à nouveau "le roi de la belle"

Affaire suivante

Play Episode Listen Later Mar 7, 2025 13:40


Antonio Ferrara a été arrêté le 27 février dernier en Belgique avec une bande de braqueurs. Ensemble, ils sont soupçonnés d'avoir tenté de braquer à main armée un centre-fort en Allemagne. Un projet déjoué grâce à une coopération européenne: Français et Belges ont suivi pendant de longs mois Antonio Ferrara et ses complices. Ronald Guintrange et Florine Silvant, journaliste à BFM Radio, reçoivent dans Affaire Suivante Joaquim Pueyo, maire d'Alençon et ancien directeur des prisons de Fresnes et Fleury-Mérogis. Production et rédaction: Charlotte Lesage, journaliste police-justice de BFMTV.com.

Les Belges du Bout du Monde

Nous débarquons au Québec, chez le belge Raphaël Dahl, conseiller en transition environnementale à Montréal, aussi écrivain-voyageur et Luca Pharand, un québécois qui tisse des liens culturels entre la belle province et notre plat pays Né d'un père suédois et d'une mère belge, Raphaël Dahl étudie les sciences politiques, se spécialise en histoire et relations internationales. Après avoir bourlingué dans divers pays d'Asie tout en évitant l'avion, il décide de s'expatrier au Québec sans jamais avoir traversé la ‘flaque' auparavant. Agent de spectacle et professeur d'anglais au collège Notre-Dame de Kain, Luca Pharand arrive chez nous après avoir rencontré une Belge à Montréal. Il se veut être une courroie de transmission culturelle entre la Belgique et le Québec mais aussi avec la France. Pour compléter cet univers francophone, Gauthier Seys, animateur de l'émission et du podcast ‘Les Français dans le monde' poussera la porte de notre studio pour nous faire part de ses expériences ‘au bout du monde'. Chaque dimanche, Adrien Joveneau repousse avec vous les limites des frontières et vous offre un voyage au bout du monde, sur La Première à 9 heures ou en tout temps et tous lieux sur RTBF Auvio.be Canada - 09/03/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Le journal RTL
RTL ÉVÉNEMENT - Une nouvelle méga-usine de frites surgelées dans la Somme

Le journal RTL

Play Episode Listen Later Feb 28, 2025 3:25


Les Hauts-de-France ont la frite, la frite surgelée surtout. Dans ce secteur, les investissements se multiplient, notamment étrangers. En quelques années, plus d'un milliard d'euros ont été investis. Il y avait le géant McCain, qui compte déjà deux usines, mais de nouveaux acteurs arrivent, principalement des acteurs Belges. Les mégastructures sortent de terre. De quoi évidemment réjouir les agriculteurs. Romaric Cayet s'est rendu à Péronne, dans la Somme, où la marque belge Ecofrost a décidé de construire une méga-usine. Elle fera des frites surgelées pour la France, mais aussi l'Italie et l'Espagne. Le projet est immense. Ecoutez RTL Evènement avec Romaric Cayet du 28 février 2025.

Les Belges du Bout du Monde

Enfourchons nos bicyclettes pour vivre à Kigali l'arrivée du Tour du Rwanda 2025, avec Simon Hupperetz, conseiller technique auprès de la fédération rwandaise de cyclisme, Joseph Ndwaniye, écrivain passionné par la petite reine et la juriste et sociologue Donatille Karurenzi Vacciné au rayon de bicyclette, Simon Hupperetz est né dans la région de Malmédy. Cela fait huit ans qu'il partage sa passion au pays des mille collines et aujourd'hui il nous emmène dans son univers Joseph Ndwaniye est originaire de Kibuye. Infirmier, il travaille d'abord dans les hôpitaux rwandais avant de venir compléter sa formation en Belgique. Arrivé chez nous il y a vingt ans, il prend soin des patients des cliniques Saint Luc à Bruxelles et mets sa plume inspirée au service des lecteurs du Vif sous forme de chronique. Il vient aussi nous présenter son dernier ouvrage réalisé avec Paul De Gobert ‘Les Milles Collines à Coups de Pédale' L'adolescence de Donatille Karurenzi est brisée par le génocide du Rwanda. Elle livre cette douloureuse période de sa vie dans le livre ‘Un Génocide en Héritage'. Arrivée chez nous par amour, elle travaille comme conseillère chez Solidaris et enseigne le kinyarwanda aux enfants de l'école Umuco dans la région liégeoise. Pour reconnecter ces jeunes à leur histoire, elle les emmène sur les traces de ce massacre et permet la réalisation du documentaire de la RTBF ‘La force des racines' qui a reçu, fin 2024, le Prix du Journalisme de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Chaque dimanche, Adrien Joveneau vous ouvre de nouveaux horizons et jette des ponts entre les cultures avec les Belges du bout du monde à 9 heures sur la Première mais aussi en podcast à volonté sur Auvio.be Rwanda - 02/03/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Par Jupiter !
Le MeToorbillon de la vie (avec JUST VOX ! )

Par Jupiter !

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 3:26


durée : 00:03:26 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - A la veille des César, hommage au cinéma avec Frédéric Fromet qui a troqué sa guitare contre un autre instrument à cordes, vocales celui-là… JUST VOX, un groupe de 4 voix et un beatboxer. Ils sont Belges, Golden Buzzer à “La France a un incroyable talent !”

Le Billet de Charline
Le MeToorbillon de la vie (avec JUST VOX ! )

Le Billet de Charline

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 3:26


durée : 00:03:26 - Charline explose les faits - par : Charline Vanhoenacker - A la veille des César, hommage au cinéma avec Frédéric Fromet qui a troqué sa guitare contre un autre instrument à cordes, vocales celui-là… JUST VOX, un groupe de 4 voix et un beatboxer. Ils sont Belges, Golden Buzzer à “La France a un incroyable talent !”

Matin Première
Les comédies belges

Matin Première

Play Episode Listen Later Feb 27, 2025 6:55


La chronique de Jérémy Carré Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Un Jour dans l'Histoire
Raymond Gérome

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Feb 22, 2025 9:20


Né en 1920 à Bruxelles, Raymond Gérome suit les cours de l'École d'Art dramatique Charles Dullin et s'installe à Paris en 1954. Pendant de longues années, il jouera au cinéma et côtoiera de grands acteurs français tels que Jean-Paul Belmondo, Bourvil, Catherine Deneuve et Marcello Mastroianni. Passionné de théâtre, Raymond Gérome fonde en 1941 les Jeunesses Théâtrales de Belgique. Il mettra en scène de nombreux spectacles, notamment pour la Comédie-Française. Il s'est éteint en 2002 à l'âge de 81 ans. On l'écoute en 1965 dans une série consacrée aux Belges installés à Paris, c'est une archive de la Sonuma. Sujets traités : Raymond Gérome, Jean-Paul Belmondo, Bourvil, Catherine Deneuve ,Marcello Mastroianni, cinéma, théâtre, Comédie-Française Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Les Belges du Bout du Monde

Nous débarquons dans le pays de Bella Vita avec le comédien, auteur, metteur en scène et traducteur Pietro Pizzuti et le designer automobile Paul Breuer Né dans la région de Verviers, Paul Breuer est un créatif comme ses parents, ébéniste et fleuriste. Sortant de ses études à Saint Luc, il commence tout en bas de l'échelle en décrochant un stage dans une carrosserie à Turin. Devenu un des premiers designers belges à travailler dans la botte, il dessine pour Fiat, Alfa-Romeo et Maserati Pietro Pizzuti a le même âge que les boules de l'Atomium. Arrivé tout petit à Bruxelles, il a joué sur toutes les scènes du Royaume et après quarante-sept années passées sur les planches, il a toujours le feu sacré. Actuellement au théâtre des Martyrs avec la pièce ‘rue des Italiens', il incarne un enfant extirpé de sa Sicile natale devenu adulte en Belgique, un rôle qui lui sied à merveille Chaque dimanche, offrez-vous un peu de ciel bleu avec Adrien Joveneau et les Belges du bout du monde à 9 heures sur La Première ou quand vous le désirez sur RTBF Auvio.be Italie - 23/02/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Les lectures de Mediapart

Cliquez ici pour accéder gratuitement aux articles lus de Mediapart : https://m.audiomeans.fr/s/P-UmoTbNLs Des dizaines de milliers de Belges ont défilé jeudi à Bruxelles contre les mesures défendues par leur nouveau gouvernement, visant les droits des femmes, des précaires et des migrants en particulier. Les syndicats promettent une longue « résistance ». Un article de Ludovic Lamant, publié le 13 février 2025, lu par Christine Pâris.

Les Belges du Bout du Monde

Nous jetons l'ancre au large de Chios en Grèce, chez Dimitris Giannodis retourné sur la terre insulaire de son grand-père et Nikolas Koulepis, arrivé à Bruxelles par amour... Né à Bruxelles, Dimitris Giannodis est anthropologue de la musique et de la danse. Pour renouer avec l'histoire familiale, il décide de faire le chemin inverse de son Papou venu travailler dans les mines à La Louvière. Depuis une dizaine d'années, passionné des chants et des danses du Dodécanèse, il est retourné vivre sur l'île de ses ancêtres Nikolas Koulepis grandit à Rhodes, élevé par sa mère. Il commence à travailler vers douze ans enchainant les petits boulots pour subvenir au besoin de la famille. A l'âge de seize ans, il décroche un boulot dans un hôtel et découvre la pâtisserie. Sur son île, il rencontre Pauline qui étudie à Bruxelles. Arrivé pour des vacances dans notre capitale, ses plans sont chamboulés. Secondé par celle qui est devenue son épouse, ce grand travailleur monte un atelier où la tradition française côtoie avec raffinement les saveurs grecques Chaque dimanche, Adrien Joveneau jette des ponts entre les cultures à la rencontre de ceux qui ont osé le changement. A 9 heures sur La Première et en podcast parmi des centaines de destinations sur RTBF Auvio.be Grèce - 16/02/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Radio foot internationale
Ligue des Champions : coup d'envoi des barrages

Radio foot internationale

Play Episode Listen Later Feb 11, 2025 48:30


Radio Foot, à 16h10-21h10 T.U. au sommaire ce mardi : - La Ligue des Champions à l'heure des barrages aller, et des projecteurs braqués sur un sommet précoce dans cette nouvelle formule : Manchester City/Real Madrid. ; - Autres rencontres du jour : Juventus Turin/PSV Eindhoven, les hommes de Peter Bosz marquent le pas après un début de saison canon. ; - Sporting/Dortmund, les Lisboètes de Gyökeres face aux Schwarz-Gelben de Guirassy ; - Les matches de mercredi : Monaco/Benfica, retrouvailles entre 2 équipes qui visaient la qualification directe. - La Ligue des Champions à l'heure des barrages aller, et des projecteurs braqués sur un sommet précoce dans cette nouvelle formule : Manchester City/Real Madrid. L'un des 2 ténors restera sur le carreau dans 8 jours ! Les SkyBlues, à 7 points du podium de Premier League, connaissent une saison éprouvante. Les inusables Merengues, plombés par une succession de blessures en défense, peinent à trouver un équilibre collectif. La coupe d'Europe va-t-elle transcender ces 2 géants ? - Guardiola vs Ancelotti, le Catalan « est l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur », dixit le « Mister ». Haaland/Mbappé, une saison en forme de montagnes russes, le Norvégien va-t-il enfin marquer contre les Blancos ? Vinicius en manque d'efficacité, tandis que Rodrygo, son compatriote, est en forme.- Autres rencontres du jour : Juventus Turin/PSV Eindhoven, les hommes de Peter Bosz marquent le pas après un début de saison canon. Les Turinois veulent capitaliser sur leur dynamique offensive, et leur atout Kolo Muani - Sporting/Dortmund, les Lisboètes de Gyökeres face aux Schwarz-Gelben de Guirassy. Largué en championnat, le BVB de Niko Kovac a un pedigree européen affirmé, et compte bien se rattraper !- Les matches de mercredi : Monaco/Benfica, retrouvailles entre 2 équipes qui visaient la qualification directe. La défense monégasque devra museler Pavlidis, attaquant vedette des Aigles. - Celtic/Bayern, les Allemands étonnants absents du top 8 ! Un défi de taille pour les «Hoops» de Brendan Rogers. - Le Club Bruges accueille Bergame. Des absents côté Dea, pour faire face aux défis posés par les Belges. - Feyenoord/AC Milan, Santiago Gimenez, le gaucher mexicain, va retrouver ses ex coéquipiers dans l'antre bouillant de Rotterdam ! Pour débattre avec Olivier Pron : Manu Terradillos, David Lortholary et Ludovic Duchesne. Technique/réalisation Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Radio Foot Internationale
Ligue des Champions : coup d'envoi des barrages

Radio Foot Internationale

Play Episode Listen Later Feb 11, 2025 48:30


Radio Foot, à 16h10-21h10 T.U. au sommaire ce mardi : - La Ligue des Champions à l'heure des barrages aller, et des projecteurs braqués sur un sommet précoce dans cette nouvelle formule : Manchester City/Real Madrid. ; - Autres rencontres du jour : Juventus Turin/PSV Eindhoven, les hommes de Peter Bosz marquent le pas après un début de saison canon. ; - Sporting/Dortmund, les Lisboètes de Gyökeres face aux Schwarz-Gelben de Guirassy ; - Les matches de mercredi : Monaco/Benfica, retrouvailles entre 2 équipes qui visaient la qualification directe. - La Ligue des Champions à l'heure des barrages aller, et des projecteurs braqués sur un sommet précoce dans cette nouvelle formule : Manchester City/Real Madrid. L'un des 2 ténors restera sur le carreau dans 8 jours ! Les SkyBlues, à 7 points du podium de Premier League, connaissent une saison éprouvante. Les inusables Merengues, plombés par une succession de blessures en défense, peinent à trouver un équilibre collectif. La coupe d'Europe va-t-elle transcender ces 2 géants ? - Guardiola vs Ancelotti, le Catalan « est l'un des meilleurs, si ce n'est le meilleur », dixit le « Mister ». Haaland/Mbappé, une saison en forme de montagnes russes, le Norvégien va-t-il enfin marquer contre les Blancos ? Vinicius en manque d'efficacité, tandis que Rodrygo, son compatriote, est en forme.- Autres rencontres du jour : Juventus Turin/PSV Eindhoven, les hommes de Peter Bosz marquent le pas après un début de saison canon. Les Turinois veulent capitaliser sur leur dynamique offensive, et leur atout Kolo Muani - Sporting/Dortmund, les Lisboètes de Gyökeres face aux Schwarz-Gelben de Guirassy. Largué en championnat, le BVB de Niko Kovac a un pedigree européen affirmé, et compte bien se rattraper !- Les matches de mercredi : Monaco/Benfica, retrouvailles entre 2 équipes qui visaient la qualification directe. La défense monégasque devra museler Pavlidis, attaquant vedette des Aigles. - Celtic/Bayern, les Allemands étonnants absents du top 8 ! Un défi de taille pour les «Hoops» de Brendan Rogers. - Le Club Bruges accueille Bergame. Des absents côté Dea, pour faire face aux défis posés par les Belges. - Feyenoord/AC Milan, Santiago Gimenez, le gaucher mexicain, va retrouver ses ex coéquipiers dans l'antre bouillant de Rotterdam ! Pour débattre avec Olivier Pron : Manu Terradillos, David Lortholary et Ludovic Duchesne. Technique/réalisation Laurent Salerno - David Fintzel/Pierre Guérin.

Les Belges du Bout du Monde
Iles Canaries - La Palma

Les Belges du Bout du Monde

Play Episode Listen Later Feb 7, 2025 45:40


Les ingénieurs peuvent aussi être poètes, changer de vie et vouloir changer le monde. Cadre-supérieur métamorphosé en artiste-écrivain, Pedro Correa arrose ses racines ibériques avec Caroline Hollander, bruxelloise devenue agricultrice bio sur La Isla Bonita. Petit-fils de maçon, né en Espagne, Pedro Correa est devenu docteur en sciences appliquées, manager dans un multinationale en Belgique avant de tout plaquer pour se consacrer entièrement à ses passions : la photo, la peinture et l'écriture. Son premier ouvrage ‘Matins Clairs' était une invitation à la décroissance et ce vendredi, sort ‘Le Cercle des Héros Anonymes' qui balance entre thriller et roman d'apprentissage ! Caroline Hollander a élu domicile sur un appendice du territoire espagnol, l'île de La Palma. Un petit coin de paradis où elle est arrivée alors que sa fille ainée avait 9 mois. Cela fera bientôt trente qu'elle vit de l'agriculture 100 % biologique dans ce havre de paix où elle a créé l'entreprise Vidaviva Ecofood. Adrien Joveneau vous invite à découvrir les pépites qui font briller notre petite Belgique aux quatre coins du monde, tous les dimanches à 9 heures sur La Première et tous les jours en podcast sur RTBF Auvio.be Iles Canaries - 09/02/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Matin Première
Les ventes en librairies indépendantes francophones belges ont progressé en 2024

Matin Première

Play Episode Listen Later Feb 7, 2025 7:31


L'actu culture-média de ce vendredi 07 février: Faut-il interdire les réseaux sociaux chez les enfants? La question divise la majorité flamande et ne fait pas l'unanimité en Fédération Wallonie Bruxelles. Une série documentaire autour de l'artiste Prince a été annulée par son commanditaire, la plateforme Netflix A quelques jours de la 97e cérémonie des oscars, un article de la revue Variety pose une question : l'Académie des Oscars a-t-elle peur du sexe? À Bozar, l'exposition "When We See Us" offre des regards africains sur la vie quotidienne des personnes noires Une bonne nouvelle pour le livre, les ventes en librairies indépendantes francophones belges ont progressé en 2024 Présenté par Nicolas Bogaerts Merci pour votre écoute N'hésistez pas à vous abonner également aux podcasts des séquences phares de Matin Première: L'Invité Politique : https://audmns.com/LNCogwPL'édito politique « Les Coulisses du Pouvoir » : https://audmns.com/vXWPcqxL'humour de Matin Première : https://audmns.com/tbdbwoQRetrouvez tous les contenus de la RTBF sur notre plateforme Auvio.be Retrouvez également notre offre info ci-dessous : Le Monde en Direct : https://audmns.com/TkxEWMELes Clés : https://audmns.com/DvbCVrHLe Tournant : https://audmns.com/moqIRoC5 Minutes pour Comprendre : https://audmns.com/dHiHssrEt si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Les Belges du Bout du Monde

Nous débarquons chez les Inuits avec l'aventurier Gilles Denis, parti pour un triathlon de cinq mois au Groenland et Pia Bailleul, anthropologue à Sciences Po passionnée par la vie sur la plus grande île du monde Spécialiste en climatologie, Gilles Denis est physicien de formation. Sur les traces d'Adrien de Gerlache, Alain Hubert et Dixie Dansercoer, ce jeune entrepreneur est devenu un aventurier professionnel. Parti arpenter le Groenland avec son compère Nathan Goffart, il a réalisé Nanok, un documentaire retraçant leur expédition. Afin de contribuer à la recherche scientifique, ils ont récolté une série d'échantillons pendant leur périple. Pia Bailleul a passé plusieurs mois à étudier sur les enjeux politiques et sociaux des ressources et des activités minières au Groenland. Passionnée par la vie sur place, elle nous livre son ressenti sur ce territoire très convoité, aujourd'hui sous les feux de l'actualité géopolitique. Amandine Pekel, conseillère économique et commerciale à l'AWEX est allée en mission au Groenland, elle nous présente les projets développés sur place, par des entreprises wallonnes, dans le domaine éolien, optique et gestion des déchets. Chaque dimanche, élargissez vos horizons avec Adrien Joveneau et ses Belges du bout du monde à 9 heures sur La Première et à volonté parmi les centaines d'épisodes disponibles sur Auvio.be Groenland - 02/02/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Un Jour dans l'Histoire
1848 ou l'apogée de Léopold 1er

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Jan 30, 2025 38:33


Nous sommes le 29 janvier 1848. Alexis de Tocqueville, philosophe, voyageur, auteur d'un ouvrage majeur de la pensée politique intitulé « De la démocratie en Amérique », Tocqueville acteur des événements révolutionnaires qui secouent la France et l'Europe à cette époque, s'adresse aux députés. Dans son ouvrage intitulé « Souvenirs », il rapporte son discours. Il dit : « Est-ce que vous ne ressentez pas, par une sorte d'intuition instinctive qui ne peut pas s'analyser, mais qui est certaine, que le sol tremble de nouveau en Europe ? Est-ce que vous ne sentez pas… que dirais-je ?… un vent de révolution qui est dans l'air ? (…) ma conviction profonde et arrêtée, c'est que les mœurs publiques se dégradent ; c'est que la dégradation des mœurs publiques vous amènera dans un temps court, prochain peut-être, à des révolutions nouvelles. Est-ce donc que la vie des rois tient à des fils plus fermes et plus difficiles à briser que celle des autres hommes ? » En février 1848, en effet, une révolution chasse Louis-Philippe du trône de France. Dans la foulée, les autres monarchies européennes vacillent. C'est ce que l'on appelle le « printemps des peuples » qui s'étend de l'Allemagne à l'Italie, en passant par l'empire des Habsbourg. Au milieu de la tourmente, la Belgique, indépendante depuis seulement dix-huit ans, reste un pays en paix, avec une constitution libérale et quelques réformes sociales inédites. Le premier roi des Belges a-t-il jouer un rôle déterminant ? Léopold Ier a-t-il évité l'annexion à la France ? Comment la Belgique a-t-elle gardé le cap dans un océan de tempêtes ? Avec nous : François Roelants du Vivier, ancien député européen, député bruxellois et sénateur. « L'année du roi, 1848 – Léopold Ier, l'apogée d'un règne » ; éd.Mols Sujets traités : Léopold 1er, Alexis de Tocqueville, révolution, Louis-Philippe, trône, monarchie, Belgique, roi Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Euradio
Le crash de l'avion et les casques bleus belges

Euradio

Play Episode Listen Later Jan 28, 2025 3:20


Capsules audio, à retrouver dans l'exposition pédagogique de Géopolis sur le Rwanda. Photo : CC BY-NC-SA 2.0, Colette Braekman par Internaz

Les Belges du Bout du Monde

Bienvenue au Cambodge avec Claire Robaye, directrice de l'ONG Douleurs Sans Frontières à Phnom Penh et Yipoon Chiem, artiste, danseuse, chorégraphe, interprète et musicienne installée à Bruxelles Claire Robaye débarque en Asie du Sud-Est il y a neuf ans, elle passe d'abord cinq années au Myanmar qu'elle quitte lors du coup d'état militaire de 2021. Rentrée en Belgique, elle se met notamment au service des personnes sinistrées par les inondations. Installée depuis deux ans dans la capitale cambodgienne, elle dirige une équipe de quatorze personnes, prodiguant des soins de santé palliatifs et psychologiques à des patients atteints de cancer en zone rurale ou dans l'impossibilité d'accéder à une aide médicale La famille de Yipoon Chiem est originaire du Cambodge. A la suite du génocide sous Pol Pot, elle fuit et atterrit dans la région de La Louvière. Cela fait maintenant trente ans que Yipoon vit en Belgique où elle exprime et exporte sa sensibilité au travers de la danse, de la musique et d'une abondance de projets artistiques Chaque dimanche avec Adrien Joveneau, suivez les chemins empruntés les Belges du bout du monde sur La Première à 9 heures ou en tout temps et tous lieux en podcast sur Auvio.be Cambodge - 26/01/25 Merci pour votre écoute Les Belges du bout du Monde, c'est également en direct tous les dimanches de 9h à 10h sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez l'ensemble des épisodes des Belges du bout du Monde sur notre plateforme Auvio.be : https://auvio.rtbf.be/emission/432Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Un Jour dans l'Histoire
Le roi, c'est moi ! La transmission du pouvoir monarchique

Un Jour dans l'Histoire

Play Episode Listen Later Jan 20, 2025 36:27


Nous sommes le 26 janvier 1889. Philippe, comte de Flandres, écrit à son frère, Léopold II : « Le poste de roi des Belges est bien difficile, on ne saurait trop s'y préparer. » En effet, le roi n'ayant pas eu d'autres fils que le prince Léopold, mort à l'âge de 9 ans, c'est bien Philippe qui est devenu son successeur constitutionnel … jusqu'au décès de celui-ci, en 1905. Les deux fils de Philippe seront d'ailleurs également préparés à régner : Baudoin, qui meurt d'une pneumonie, à 21 ans, en 1991, et Albert, qui sera le cinquième héritier de la couronne jusqu'en 1909, année de la mort de son oncle et du début de son règne. Pas simple, la succession d'un monarque, en Belgique et ailleurs. Quelles en sont les règles ? Quels sont les pièges à éviter ? Les conditions à remplir ? Depuis les rois carolingiens, plongeons-nous dans les siècles et allons-y voir d'un peu plus près… Avec nous : Nicolas SIMON, co-auteur de l'ouvrage « La transmission du pouvoir monarchique – Entre droits et devoirs, du Moyen Âge à nos jours » ; éd. ASP. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement.

Chronique Economique
Comment sortir de cette routine de l'ingouvernabilité belge ? Une réalité qui coûte cher !

Chronique Economique

Play Episode Listen Later Jan 16, 2025 3:44


Depuis 221 jours, la Belgique patiente, sans gouvernement fédéral. Une habitude ? Peut-être, mais une habitude très coûteuse : 1117 euros par seconde, selon les experts. Et surtout, un risque pour l'avenir. Entre ironie et analyse incisive, découvrez les solutions recensées et leurs limites pour sortir de cette spirale infernale. Aujourd'hui ça fait 221 jours que les Belges ont voté, 221 jours et toujours pas de gouvernement fédéral. Alors certes, ce n'est pas la première fois qu'on a ce genre de record. Souvenez-vous, en 2010-2011, on a tenu 541 jours sans gouvernement et à l'époque, on était même devenu une attraction internationale avec des concours de barbes entre politiciens pour marquer le coup. Quelle fierté ! Mais trêve d'ironie, ce n'est plus amusant du tout. En fait, selon certains politologues belges, la Belgique a passé un quart des 20 dernières années sans gouvernement de plein exercice. Vous avez bien lu un quart du temps. Alors imaginez une entreprise ou un poste clé resterait vacant pendant 25% du temps. Vous pensez bien qu'elle ne tiendrait pas très longtemps. Ce blocage coûte cher, très cher. On parle même de 1117 € par seconde selon certaines estimations, c'est vertigineux. Et pendant ce temps-là, la dette publique gonfle comme un ballon de baudruche. Les réformes nécessaires attendent et les Belges continuent d'attendre. Alors que fait-on ? Mots-Clés : éternel, bras de fer, communautaire, économique, politique, institutionnel, option, portefeuille, dotation publique, partis politiques, négociations, travailleur, boulot, salaire, pénaliser, partis d'opposition, blocages, politologue, allocations de chômage, chômeurs, emploi, urne, danger, alerte, danger, score, résultat, instabilité, minoritaire, abaisser, seuil de confiance, voter des lois, chance, solutions, limite, routine, ingouvernabilité, force, spécialité nationale, chocolat, frites, Michel Audiard, police, Sainte Vierge, résumé, situation, film, réalité, euros, normalité, compteur. --- La chronique économique d'Amid Faljaoui, tous les jours à 8h30 et à 17h30. Merci pour votre écoute Pour écouter Classic 21 à tout moment i: https://www.rtbf.be/radio/liveradio/classic21 ou sur l'app Radioplayer Belgique Retrouvez tous les épisodes de La chronique économique sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/802 Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Découvrez nos autres podcasts : Le journal du Rock : https://audmns.com/VCRYfsPComic Street (BD) https://audmns.com/oIcpwibLa chronique économique : https://audmns.com/NXWNCrAHey Teacher : https://audmns.com/CIeSInQHistoires sombres du rock : https://audmns.com/ebcGgvkCollection 21 : https://audmns.com/AUdgDqHMystères et Rock'n Roll : https://audmns.com/pCrZihuLa mauvaise oreille de Freddy Tougaux : https://audmns.com/PlXQOEJRock&Sciences : https://audmns.com/lQLdKWRCook as You Are: https://audmns.com/MrmqALPNobody Knows : https://audmns.com/pnuJUlDPlein Ecran : https://audmns.com/gEmXiKzRadio Caroline : https://audmns.com/WccemSkAinsi que nos séries :Rock Icons : https://audmns.com/pcmKXZHRock'n Roll Heroes: https://audmns.com/bXtHJucFever (Erotique) : https://audmns.com/MEWEOLpEt découvrez nos animateurs dans cette série Close to You : https://audmns.com/QfFankx

Les Grosses Têtes
PÉPITE - Quand la reine des Belges est choquée par le Chat de Philippe Geluck

Les Grosses Têtes

Play Episode Listen Later Jan 13, 2025 2:01


Au détour d'une visite d'exposition en 2004, la reine des Belges s'est retrouvée très gênée face au Chat de Philippe Geluck... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.

La petite voix
[REPLAY] L'auteur qui nous invite au silence intérieur – Thierry Janssen

La petite voix

Play Episode Listen Later Jan 7, 2025 72:57


Première diffusion le 7 octobre 2019J'ai l'immense plaisir de recevoir Thierry Janssen, ancien chirurgien et désormais psychothérapeute, auteur et directeur de l'Ecole de la présence thérapeutique.C'est un entretien vibrant et plein d'espoir en la vie que je vous propose aujourd'hui. Un entretien où il est question de spiritualité et d'éveil de la conscience… Un entretien avec un homme d'une grande sagesse. Tellement sage qu'il accepte justement de ne pas l'être.Vous avez choisi ici la version longue de l'entretien, et vous avez raison : vous allez pouvoir laisser toutes ces paroles inspirantes vous embarquer…Avec Thierry, nous allons parler du jour où il a quitté brutalement son poste de chirurgien, d'une brève incursion dans le monde de la mode, d'une autre mode -celle du développement personnel- et de ses excès, de sa formation auprès d'une guérisseuse américaine, de comment il est devenu presque malgré lui psy, de son expérience mystique du silence intérieur, de l'acceptation qui n'est pas la résignation, de l'Ecole de la présence thérapeutique qu'il dirige à Bruxelles et d'amour bien sûr ! Notes sur l'épisode:- Le site de l'Ecole de la Présence Thérapeutique : https://edlpj.org/- La page Facebook de Thierry : www.facebook.com/thierry.janssen.98- Le livre de Thierry dont on parle dans l'entretien : Ecouter le silence à l'intérieur – Les éditions L'Iconoclaste- Son rituel bien-être : tenir un journal dans lequel noter chaque jour ses émotions- Son conseil lecture : « Après l'extase, la lessive » de Jack Kornfield RETRANSCRIPTION DE L'EPISODE AVEC THIERRY JANSSEN Quel bonheur de revenir ici, d'être là, derrière mon micro, et de vous avoir, vous, de l'autre côté. C'est donc parti pour une deuxième saison de ce podcast.00:01:34Et pour la lancer, je vous propose une rencontre avec un invité de marque. Pas seulement parce qu'il est connu, que vous avez peut-être lu certains de ses ouvrages ou assisté à l'une de ses conférences. Thierry Janssen est un invité de marque car il nous ouvre à la spiritualité avec la sagesse de celui qui sait qu'il n'est justement pas sage. Celui qui a un jour été chirurgien renommé. Il a découvert que la guérison passe aussi par le soin des émotions et de l'âme. Il a cheminé pour apprendre à s'écouter, à prendre le temps de se connecter à lui-même, quitte à se mettre en retrait lorsque c'était nécessaire. Et puis un jour, il a vécu une expérience mystique, celle du silence intérieur, comme il la raconte dans son dernier ouvrage.00:02:20Un moment de grâce, d'une puissance indescriptible pendant lequel il a goûté à l'amour pur, à l'universalité. Bienvenue dans la saison 2 de La Petite Voix. Bienvenue dans cet épisode très inspirant, vibrant, plein d'espoir en la vie. Avec Thierry, nous allons parler d'une fulgurance de conscience qui l'a décidé à quitter son job à l'hôpital de Bruxelles en quelques minutes, d'une enfance marquée par une grande sensibilité, de sa rencontre déterminante avec une guérisseuse américaine et de l'acceptation qui rend libre et créatif. Bonjour Thierry et bienvenue dans La Petite Voix. Bonjour. Je suis vraiment enchantée de vous recevoir et ravie d'ouvrir avec vous la deuxième saison de ce podcast. Ensemble, aujourd'hui, nous allons parler de votre cheminement initiatique que vous évoquez dans vos livres et en particulier le dernier qui est un très beau livre qui s'appelle Écoutez le silence à l'intérieur.00:03:20Il est paru l'an dernier aux éditions Iconoclast. Thierry, on ne vous présente plus. Vous êtes psychothérapeute et désormais fondateur de l'école de la présence thérapeutique à Bruxelles. Vous êtes également un auteur connu et reconnu. Déjà, huit livres, je crois, à votre actif sur des sujets qui sont liés au développement personnel. Mais c'est d'ailleurs un terme et même une mode dont vous vous méfiez, et on va avoir l'occasion d'y revenir dans notre entretien. Ce que je n'ai pas encore dit, c'est que vous avez également été médecin. Vous étiez même un chirurgien renommé jusqu'au jour où je crois que vous aviez environ 35 ans. Vous avez compris que vous ne vous étiez pas très bien. Vous n'épanouissiez plus dans ce rôle aussi prestigieux était-il.00:04:02Est-ce que vous pouvez revenir sur cette journée particulière et cette fulgurance de conscience, comme vous l'appelez ? Oui, c'était le 5 janvier 1998. Et je ne dirais pas que j'ai compris quelque chose ce jour-là. J'ai juste écouté. J'ai écouté d'abord une voix, très clairement, qui a résonné en moi et un ressenti très profond qui m'a dit que je ne pouvais plus rester là. En fait, j'ai écouté une voice qui m'a dit que je ne pouvais plus rester là. Pendant des années, j'avais consacré toute mon énergie à cette carrière médicale et chirurgicale. Et sans m'en rendre compte, je m'étais enfermé dans un système de fonctionnement très contraignant, très violent, quelque part. Et je n'avais jamais fait de travail sur moi, donc je n'avais pas non plus le recul pour comprendre tout ça.00:04:48Et je travaillais dans un hôpital universitaire à Bruxelles et j'ai décidé de le quitter tout en restant au sein de la même université pour prendre des fonctions avec de plus grandes responsabilités dans l'un des autres hôpitaux de cette université. Et le 5 janvier 1998, lorsque j'ai pris mes fonctions, je promets qu'une heure avant, je ne savais pas, même cinq minutes avant, je ne savais pas que j'allais arrêter mon métier, mais j'étais dans l'ascenseur avec la dame qui devenait ma secrétaire et elle me parlait, et j'avais l'impression qu'elle parlait une langue étrangère, je ne comprenais rien. Et je suis rentré dans mon nouveau bureau et j'ai vraiment entendu cette voix qui est ma voix, c'est comme quand je m'entends vous parler maintenant, et cette voix a dit « si tu vas mourir ».00:05:39Et j'ai écrit ma lettre de démission au doyen de la faculté de médecine. Et en fait, j'ai simplement dit « je ne suis pas la personne pour occuper le poste que je vous ai demandé d'occuper, je ne peux pas tricher avec moi, je ne peux pas tricher avec vous ». Et donc, je remets ma démission. Et puis, j'ai quitté le poste. Je suis allé à l'hôpital en remettant cette lettre à un des chefs de clinique du service. Quand je suis arrivé à la maison, déjà dans la voiture, j'ai eu un contact avec la personne avec qui je vivais et je lui ai dit « mais c'est de la folie, qu'est-ce que tu es en train de faire ? ».00:06:11Je lui ai dit « je ne sais pas, mais je sais ce que je ne ferai plus ». Et j'ai le sentiment qu'aujourd'hui, c'est comme si je renaissais ou que je naissais consciemment. À la radio, il y avait une chanson qui disait « ceci est le premier jour du reste de ta vie ». Et ça a vraiment fait sens. Et ça m'a plongé dans une sorte de sentiment d'euphorie qui a perduré pendant certainement 10 jours. Et puis, j'ai commencé à avoir très peur. Les questions sont revenues en fait. Mais ce n'étaient pas des questions. C'était que tout d'un coup, je étais face à un immense vide parce que toute ma vie avait été remplie par ce projet.00:06:52C'est un projet qui était né quand j'avais l'âge de 5 ans, le jour où ma mère m'a montré le chirurgien qui l'avait opéré. Et je suis dit « Moi, je vais faire ça ». D'accord. J'étais programmée, même si j'ai eu longtemps un doute parce que j'avais une passion qui est née pratiquement au même âge, vers 5-6 ans, une passion pour la civilisation de l'Égypte ancienne. Et longtemps, j'ai hésité entre m'orienter vers l'égyptologie ou vers la chirurgie. Et à 18 ans, je suis commencé la chirurgie parce que c'est un métier qui ne paraissait plus ouvert vers les autres. Et qui servait plus, quelque part, que simplement s'intéresser aux antiquités. Mais en même temps, c'était un piège parce que je ne voulais pas être médecin, je voulais être chirurgien. Ça m'a demandé énormément d'efforts, d'investissements.00:07:40Et je n'ai jamais réfléchi à tout ça. J'ai juste agi comme ça, sans doute pour réparer plein de choses, comme nous tous, on a des raisons très névrotiques de s'investir. Rires. J'ai mis beaucoup d'énergie pour réparer des blessures du passé. Mais en même temps, ce 5 janvier 1998, je crois que j'étais vraiment arrivé à la limite de ce que je pouvais m'imposer. Parce que finalement, je m'étais imposé beaucoup de choses. Beaucoup d'efforts, beaucoup de contraintes. Et très peu de plaisir, finalement. C'est ce que vous appeliez dans votre livre, vous faites référence à cette période comme ça, en disant Thierry, ambitieux et perfectionniste, c'est ça ? Oui. Oui. Parce que j'avais développé une personnalité assez rigide, perfectionniste, et donc aussi à cheval sur beaucoup de règles.00:08:30Comme nous tous, j'ai développé cette personnalité pour essayer de m'adapter, pour essayer de survivre et d'être aimé. C'était une façon de rentrer dans les rangs, de ne pas décevoir, d'être un bon petit garçon. Parce que très jeune, j'ai senti que je n'étais pas forcément différent des autres, mais qu'en tout cas, j'avais des particularités en moi qui n'étaient pas forcément acceptées par les autres. Et en particulier, une très grande sensibilité. Et donc, cette grande sensibilité m'a permis d'être à l'écoute, de sentir les autres, les autres sentaient que je les sentais. Enfant, les amis de mes parents venaient me parler de leurs problèmes de couple. Oui, mais je crois que ça arrive souvent. Je ne sais pas si ça arrive souvent, mais en tout cas, moi, c'était mon quotidien. Mais vraiment.00:09:12Et je pense que j'avais des avis très sages. Mais ça, je crois que ça arrive très souvent. La plupart des enfants ont cette grande sagesse au fond d'eux parce qu'ils ne sont pas dans l'analyse, justement. Ils ne sont pas dans l'essai de compréhension. Ils sont dans la perception immédiate des choses sans jugement. Et ils ont un avis plein de bon sens par rapport à ces choses. Et du coup, ça fait de moi une personne à l'écoute et au service et dans l'aide. Et donc, le métier de chirurgien. Et puis après, tout ce que j'ai fait, finalement, a tourné autour de ça. Combien d'années avez-vous été médecin et chirurgien ? Presque 13 ans. Presque 13 ans. D'accord. Donc, ce qui est intéressant dans votre parcours, vous avez eu cette première vie professionnelle où, en fait, vous étiez là pour soigner, on va dire, le corps.00:10:03Et puis, vous allez nous expliquer comment, après cette première expérience, vous avez décidé de soigner plutôt l'esprit à travers la psychologie. Qu'est-ce qui s'est passé dans votre parcours ? Je n'ai rien décidé du tout. Et je sais que ça peut paraître étrange d'entendre ça, mais c'est vraiment ce qui m'est arrivé et ce qui m'arrive encore aujourd'hui. C'est-à-dire que lorsque j'ai quitté la profession de chirurgien, j'ai juste écouté cette voix, j'ai juste écouté une immense tension en moi qui s'est relâchée automatiquement, immédiatement. Et j'ai senti que c'était juste. Il ne m'a pas fallu de courage, mais j'ai eu la bonne inspiration d'écouter. Alors après, votre question, c'est comment vous en êtes arrivé à, à retourner manifestement vers le soin, l'accompagnement des autres à travers la démarche du psychothérapeute ? Oui.00:10:53À nouveau, je n'ai pas décidé. À savoir que quand j'ai quitté le métier de chirurgien, il fallait que je vive, il fallait que je mange. J'ai entendu qu'il y avait un couturier italien, il s'appelle Giorgio Armani, qui cherchait un directeur pour sa marque Emporio en France. J'ai dit moi, je vais faire ça. Mais aujourd'hui, avec le recul, je me rends compte qu'il y avait, plusieurs choses dans ce poste. C'était d'abord l'aspect prestigieux. Je rachetais quelque chose que j'avais abandonné. Et aux yeux des autres, ça me rassurait de me dire : voilà, j'aurai quand même une carrière prestigieuse dans le monde de la mode. Il y avait ça. Il y avait Paris, qui était une façon de m'extraire de mon milieu bruxellois où on me condamnait.00:11:37Mes amis, qui étaient beaucoup, pour la plupart des médecins, étaient vraiment très violents à mon égard par rapport à cela. Oui, j'allais vous demander comment votre entourage a vécu, ce virage de chirurgien à directeur chez Armani ? Une violence incroyable, des jugements. Mais je peux comprendre, ça doit faire très peur, quelqu'un qui semble perdre l'honneur. Mais moi, au fond de moi, je savais que c'était juste. Et j'ai perdu beaucoup d'amis à ce moment-là. Mais voilà. Et j'ai envoyé ma lettre de motivation au président, au directeur général de Giorgio Armani à Milan. Et j'ai dit : 'Vous allez me prendre pour un fou, je dirigeais un service hospitalier, mais je pense que je suis la bonne personne pour occuper le poste chez Emporio Armani à Paris.' Et j'ai été engagé.00:12:28On m'a envoyé à Milan. Et là, on m'a remis vendeur. Et là, je me suis vu en train de mettre des épingles pour confectionner un ourlet, un pantalon. Et en me voyant mettre ces épingles, je me suis dit, Thierry, il y a deux mois, tu pratiquais la chirurgie, tu utilisais des aiguilles pour recoudre la peau des gens. Et ici, tu utilises des aiguilles pour mettre des ourlets. Et tout de suite, il y a une voix qui m'a, ma voix bien sûr, qui m'a dit, c'est ta dignité, Thierry. Tu travailles, tu avais besoin de travailler et tu fais quelque chose qui construit ton futur. Sois fière. Oui. Et il n'y a pas. Et c'est ce jour-là que j'ai vraiment compris que ce n'est pas ce qu'on fait qui compte dans la vie, c'est qui on est quand on fait quelque chose.00:13:11Et peu importe le métier que l'on a, même s'il est contrôlé. Il n'est pas considéré par certains comme pas intéressant ou dégradant. C'est qui on est comme personne pendant qu'on fait ce métier, quand on agit dans le monde. Vous en parlez beaucoup dans votre livre, c'est très fort, de cette différence entre ce que c'est qu'être et ce que c'est faire. Oui, oui. Exister vient de extarer, se poster à l'extérieur. C'est la posture que l'on a pour vivre dans le monde, en interaction, en relation avec les autres. Mais ça nous fait porter des masques, et ça nous fait jouer des rôles, et ça nous fait adopter tout un système de défense qui construit ce qu'on appelle une personnalité. Et cette personnalité, nous y sommes totalement identifiés parce que notre mental crée cette entité qu'on appelle « moi » et « ego » en latin.00:14:04Et en fait, on est souvent totalement identifiés à cette personnalité parce qu'on n'a que comme souci d'exister. Mais il y a une dimension plus profonde dans la vie qui n'est pas d'exister à travers ce qu'on fait, ce qu'on montre, ce qu'on dit, c'est d'être, tout simplement. Et le noyau de l'être, c'est pas le mental qui pense, qui bavarde, qui raconte une histoire, un autre sujet. Être, c'est simplement laisser la conscience s'éveiller en nous, cette conscience qui est pure présence et qui est pure acceptation de ce qui est, parce que la conscience ne pense pas. C'est pas le mental. Et du coup, je reviens sur votre cours, à ce moment-là, dans cet atelier en Italie, chez Armani, vous prenez conscience de cette différence entre ce que c'est qu'être et ce que c'est faire ?00:14:58À l'époque, ce que j'ai compris, c'est que Thierry, tu n'es pas ce que tu fais, tu es Thierry qui fait ça maintenant, mais tu peux faire plein de choses dans ta vie. Et ce que tu fais maintenant, tu dois en être fier, parce que c'est ce qui te permet d'avancer et de progresser. Dans ton existence. Et alors, combien de temps a duré ce métier dans la mode et chez Armani ? Disons qu'après, j'ai pris mes fonctions à Paris et j'ai occupé cette fonction pendant presque neuf mois. Et j'ai été licencié. Et ce qui est drôle, c'est qu'à l'époque, le directeur général d'Armani m'a dit : vous n'avez pas la culture de l'entreprise. Et il avait totalement raison.00:15:41Et surtout, je ne me laissais pas faire, parce que c'est quand même un monde où il y a beaucoup d'égo, beaucoup de blessures, beaucoup de rivalités, et tout ça sur un fond de nécessité de rentabilité, de performance et d'argent. Mais j'avais juste besoin de ça pour me rassurer, pour me prouver que je pouvais faire autre chose, ne pas être identifié qu'aux chirurgiens que j'avais été. Mais après, ça m'a aussi permis de recevoir une assez importante indemnité. Et je me suis dit, Thierry, maintenant, tu n'as plus d'excuses. Tu as besoin de temps pour comprendre ce qui t'arrive. Et j'ai dit, investis sur toi, parce que tu es le seul avec qui tu resteras jusqu'au bout. C'est peut-être la chose la plus intelligente que j'ai faite dans ma vie, réellement. C'était très sage.00:16:30Et puis, pendant une année, je suis resté à Paris. Et ça a été une année d'éveil, dans le sens où tous mes sens étaient ouverts. Je sentais le parfum des roses dans les jardins des Tuileries, mais à des mètres et des mètres de distance. Je voyais des choses que je n'avais jamais remarquées auparavant. J'étais tout ouvert au monde et très joyeux, même si une partie de moi vivait des peurs ou de l'inconfort par rapport au futur. Mais tout de suite, je revenais dans ce présent. Et je disais, non, non, c'est bien, c'est juste, je me sens bien. Et j'ai commencé à écrire un roman qui, en fait, était la résurgence de toutes mes passions d'adolescent et d'enfant. Égypte ancienne, notamment. J'ai envoyé ce texte à de nombreuses maisons d'édition.00:17:14Il y en a trois qui ont répondu en disant : il faut continuer à écrire, mais il faut laisser de la place à vos personnages. Je pourrais peut-être choisir le mode de l'essai. Et effectivement, deux ans plus tard, j'écrivais mon premier essai. Comme quoi, c'était des bons éditeurs. Donc, en fait, ce qui est étonnant, on vit quand même dans un monde où on court tout le temps. Je ne sais pas après quoi, mais en tout cas, on court. Et vous, vous avez réussi. À ce moment-là, à entendre que, justement, il fallait arrêter ce rythme-là et juste prendre ce temps pour vous sans nécessairement d'objectif ou quoi, mais juste vivre ce qu'il y avait à vivre à l'instant T.00:17:52Et vous savez, je crois que le fait d'avoir lâché tout cet investissement, ce métier, ça a libéré quelque chose d'enorme et je ne pouvais pas réfléchir. Et à l'époque, ce qui était juste, c'était de prendre ce temps. En fait, j'ai l'impression, quand on prononce cette phrase, ce moment sabbatique, je ne sais pas comment le qualifier autrement, vous avez créé cet espace-là pour la conscience. Oui, je n'ai rien créé du tout. C'est, c'est l'ego. C'est encore notre mental et notre personne, notre moi qui pense que c'est lui qui crée les choses. En fait, non. C'est justement parce que mon mental s'est calmé que la conscience a pu s'éveiller en moi. C'est la conscience qui est en nous tous. Mais que nous n'écoutons pas, que nous ne laissons pas s'éveiller, parce que notre mental prend trop de place dans ses identifications à notre petite personne.00:18:43Et c'est pour ça que la méditation est si puissante. Chaque fois qu'on calme le mental, donc on calme l'ego, la conscience peut s'éveiller. On parle beaucoup dans le développement personnel, etc., de lâcher prise. Très mal compris, parce que lâcher prise, c'est encore presque un acte. Je décide qu'il faut que je lâche. Non, non, non, non, non. Lâcher prise, c'est laisser être les choses comme elles sont et ne pas les contredire et les écouter. Parlons-en, puisque vous évoquez le développement spirituel. Je voulais faire cet aparté sur cette mode et ce que vous appelez vous parfois l'ego spirituel. Oui, parce que vous avez dit développement spirituel, mais je pense que vous vouliez dire développement personnel. Oui, absolument, pardon. Pour moi, c'est vraiment très, très important.00:19:28Parce que vous voyez, depuis le XIXe siècle, en Occident, on a tout un courant qui est né, qu'on appelle le courant d'abord de la psychanalyse et de la psychologie, qui s'est intéressé à la construction de la personnalité, à la construction du moi, et qui, du coup, a pu répondre à pas mal d'interrogations. Le problème, c'est que dans une culture comme la nôtre, où l'intellect, le mental, a été tant valorisé, cette psychologie a donné lieu à ce qu'on a appelé le mouvement du développement personnel, et même récupéré par le coaching pour en faire des personnes plus efficaces, plus performantes, notamment dans le travail. Tout ça n'est pas négatif, je ne critique pas. Mais par contre, j'essaie de regarder, de monter un petit peu au sommet de la montagne ou dans l'hélicoptère pour avoir une vision plus large.00:20:18Et comprendre que le développement personnel, il y a un grand piège là-derrière, c'est que ça devient un développement de l'ego. Et du coup, on voit des gens qui font plein de stages, qui font plein de démarches de développement personnel pour mieux se connaître, mais qui deviennent terriblement intransigeantes, qui deviennent terriblement tournées vers elles-mêmes, et qui finalement oublient que cette petite personne que nous sommes, elle fait partie d'un beaucoup plus grand ensemble, et que nous devrions mettre cette personne au service de plus grand qu'elle, ce plus grand que nous, qui est en nous. C'est l'essence de l'être, c'est la vie en nous, c'est conscience. Et cet esprit, l'esprit de la vie. Et du coup, là, nous ne rentrons plus dans le développement personnel, mais dans quelque chose de spirituel.00:21:06Et je crois qu'il n'y a pas de chemin de développement personnel qui va vraiment à son accomplissement sans s'intégrer dans une démarche d'approfondissement spirituel. Et de la même manière, il n'y a pas de développement, ou plutôt d'approfondissement spirituel, sans avoir un regard du côté du développement personnel. Donc, psychologie et spiritualité vont ensemble, et se nourrissent l'une l'autre, et sont le gardien-fou de l'une et de l'autre. En fait, ce que j'entends dans la pure conscience dont vous parlez, dans la spiritualité, il y a vraiment quelque chose d'universel qui nous dépasse ? Bon, ce sont des mots incompréhensibles quand on en fait l'expérience. C'est cette expérience du silence, justement, dont nous regardons le monde sans le juger, sans le commenter, juste en l'accueillant pour ce qu'il est.00:21:58Et cet accueil dans cet espace de pure conscience n'est possible que quand le cœur est ouvert. Comme je dis, ce sont des mots, mais quand on en fait l'expérience, ça devient vraiment une évidence. Du coup, je reviens sur votre parcours pour savoir comment vous avez cheminé jusqu'à cette pure conscience. Je crois qu'à un moment donné dans ce cheminement, vous avez suivi pendant quatre ans une formation aux États-Unis auprès d'une, je ne sais pas si le terme est bon, mais une guérisseuse américaine, c'est ça ? Oui, oui, c'est plus qu'une histoire, c'est un moment important. Donc, j'avais travaillé pour Armani à Paris et puis je restais vivre une année dans une forme de retraite où j'ai écrit un roman. Puis je me laissais être au monde. J'étais dans le présent absolu, c'était incroyable.00:22:47Et dans ce présent absolu, j'ai découvert un livre qui m'a bouleversé, qui s'appelait « Le pouvoir bénéfique des mains », écrit par une Américaine qui s'appelle Barbara Paulinan. Et cette femme avait été physicienne à la NASA et la façon dont elle écrivait me parlait énormément. Pourtant le sujet qu'elle abordait était totalement en dehors des sentiers battus du monde dit rationnel, puisqu'elle parlait de champs d'énergie. Mais le livre était tellement bien structuré et ce qu'elle disait résonnait tellement avec ce que j'avais ressenti depuis l'enfance que j'ai été vraiment bouleversée. Et j'ai commencé à rencontrer des gens, et notamment une femme qui me dit « Oh, moi, en vous voyant, je me dis que vous devriez aller dans l'école où va ma mère ». J'ai dit « Votre mère va dans quelle école ?00:23:35». Elle m'a dit « Votre mère va dans une école aux États-Unis créée par une physicienne de la NASA qui s'intéresse aux champs d'énergie et au chakra. » Et je venais de lire le livre. Cette information venait à moi, j'ignorais qu'il y avait cette école, et donc finalement je me suis retrouvée dans cette école. Et je peux dire une chose par rapport à ça, c'est que j'ai trouvé un endroit confrontant, parce que d'abord, la culture était un peu « New Age ». J'imagine que pour l'ancien chirurgien que vous étiez, évidemment, on vous emmenait dans un monde beaucoup moins cartésien et scientifique, du coup. Et en même temps, il était peut-être plus cartésien et plus scientifique que beaucoup de monde scientifique parce qu'il était basé sur l'expérience.00:24:15Et c'était vraiment les expériences qui nous permettaient de nous poser des questions et d'apporter des réponses. Là, dans cette école, où on était, en formation pour devenir des guérisseurs et non pas simplement des soigneurs, ils nous étaient demandés de faire l'expérience. C'était quatre ans, à raison d'une semaine toutes les cinq semaines, et là-bas, j'ai découvert que c'était un endroit où j'allais travailler sur moi, essayer de comprendre ma personnalité, mais pas que intellectuellement, j'allais la comprendre dans mon corps, dans l'énergie, la façon dont mon corps utilisait cette énergie. Donc c'était une école où il y avait de la danse, du yoga, du Qigong, des thérapies psychocorporelles, j'ai tapé sur des coussins, j'ai hurlé, j'ai pleuré. Je suis arrivé, je regardais les autres, j'ai dit « Mon Dieu, les pauvres, ils ont l'air bien mal en point.00:25:03» Mais deux mois plus tard, j'étais avec eux en train de pleurer parce que j'avais quitté mon masque de sérénité. Si je reviens à ce qu'on disait tout à l'heure, vous aviez appris à être et pas seulement à faire dans cette école. Exactement. Et cette école était très bien construite. TIC était utilisée, était très puissante, et du coup, on ne pouvait pas échapper à vraiment se regarder. Très souvent, dans la vie, on triche. Et là, c'était très difficile de tricher. Oui. Et ce qui est intéressant, c'est toute la dimension du corps que vous évoquez. On voit bien qu'en fait, le corps, c'est vraiment l'endroit où les émotions ne trichent pas et le mental peut se raconter ce qu'il veut. Le corps, lui, il est dans une vérité.00:25:47Vous savez, le corps, pour moi, c'est quelque chose de central depuis tout petit. Quand j'étais enfant, j'avais un corps déformé. Les autres enfants s'en moquaient beaucoup. Et j'avais cette grande sensibilité. J'ai été contraint à faire de la gymnastique médicale trois heures par jour, trois jours par semaine. C'était très contraignant. Et en fait, j'ai appris à aimer dans mon corps grâce à deux choses. Tout d'abord, la danse. J'ai commencé très jeune dans ma chambre. Et la deuxième chose, c'est la sexualité. J'ai eu une sexualité très jeune. Ça m'a permis d'habiter mon corps, d'avoir envie d'y rester, de se rendre compte que ce n'était pas qu'un lieu de souffrance, mais c'était aussi un lieu de plaisir. Et vous évoquiez l'émotion tout à l'heure.00:26:34En fait, l'émotion est un phénomène corporel. C'est un signal qui nous renseigne sur la qualité de nos expériences, qui nous dit ça c'est bon, ça c'est pas bon pour nous. Et donc, effectivement, tout ce travail fait à l'école de Barbara Brennan autour du corps et de l'énergie me parlait énormément. Je me suis rendu compte que ce n'était pas par hasard que j'avais choisi le métier de chirurgien parce que c'était vraiment un moyen d'être en contact avec le tangible. Et je crois qu'il n'y a pas de chemin spirituel valable, réel, tant qu'il n'est pas profondément incarné. Et c'est peut-être un grand travers de l'Occident qui a développé une spiritualité déconnectée du corps. Et du coup, une spiritualité très mentale, mais le mental, je l'ai dit, ce n'est pas l'esprit, ce n'est pas la conscience.00:27:27Donc, c'est une spiritualité qui n'est pas profondément accomplie. Et je sais que ça va heurter d'entendre ça, ça va heurter certaines personnes, mais vraiment, je les invite à réfléchir à ça. Parce que comment peut-on dire que nous avons développé une spiritualité et ne pas ressentir dans notre corps le mal-être et la souffrance que c'est de voir les autres dans la souffrance. Tant que nous n'avons pas ressenti la souffrance dans notre corps, nous ne pouvons pas être en empathie et en compassion pour l'autre. C'est très très important qu'on revienne à une spiritualité profondément incarnée. Et Lorient nous attire de ce point de vue-là. Il a privilégié la présence à l'expérience à travers l'expérience méditative, l'immersion dans la réalité telle qu'elle est, cette expérience mystique où le mental ne vient pas analyser mais simplement laisse sa conscience percevoir.00:28:23C'est très très important qu'on revienne à une spiritualité profondément incarnée. Je reviens à votre formation que vous avez suivie aux Etats-Unis auprès de cette guérisseuse. Après cela, vous revenez en Europe, peut-être en Belgique pour être psychothérapeute ? En fait, je suis à peine revenu à Bruxelles avant même de me rendre dans cette école aux Etats-Unis. Il y a des personnes qui avaient constaté un changement chez moi et me disaient : 'Tu ne veux pas parler à mon père ou à ma sœur ou à mon frère.' Un jour, il y a une dame qui m'a demandé de voir son mari qui était mourant. Il se trouve que cet accompagnement que j'ai eu auprès de lui a été quelque chose de fort, tant pour lui que pour moi et pour sa famille.00:29:20À partir de là, il y a une sorte de bouche à oreille qui s'est installée très rapidement au point où, en deux ou trois mois de temps, j'avais un temps plein d'occupation. Je ne voyais absolument pas cela comme une profession. Pour moi, demander de l'argent était quelque chose de très compliqué. Mettre une valeur sur mon temps et sur mon éventuelle compétence était très compliqué. Donc, je n'ai pas du tout demandé d'argent pour cette activité. À l'époque, mon compagnon, qui n'appréciait pas trop que je vienne à la maison avec toutes ces personnes, m'a loué une loge de concierge dans laquelle je me suis installé et j'ai commencé à voir les gens là dans une forme de consultation ; je ne me sentais pas du tout légitime pour en faire une profession.00:30:09C'est un jour, une dame qui me a tendu un billet de 50 euros à l'époque, c'était 2 000 francs belges, parce que tout cela c'était en 1999-2000 et elle me tend un billet de 2 000 francs belges. Je dis non, non, je ne peux pas accepter cela et elle me dit si, si, si, vous devez accepter cela parce que vous m'apprenez la prospérité de mon âme mais je vais vous apprendre la prospérité de votre portefeuille. Mais du coup, cela m'a posé un problème parce que je me suis dit mais voilà, dans une profession, j'ai commencé et comme je ne me sentais pas légitime, j'ai voulu écrire mon premier ouvrage, Le travail d'une vie, dans lequel je racontais simplement comment j'aborde notre personnalité et ce qu'il y avait au-delà, c'est-à-dire le fond de l'être.00:31:00Et ce livre a été accepté chez Robert Laffont. Oui, cela a créé une forme comme cela de dynamique positive. J'étais débordé de demandes de consultation et deux ans plus tard, j'ai décidé de mettre un terme à cette consultation pour quelques semaines voire quelques mois, parce que je voulais écrire un autre livre, que j'ai intitulé Vivre en paix. C'était suite à l'effondrement des tours du World Trade Center à New York en 2001. J'avais besoin d'écrire ce livre sur la paix, la paix en soi, la paix avec les autres, la paix dans le monde. La peur qui est le contraire de l'amour, enfin toute cette thématique-là et finalement le livre a été publié et je suis très heureux parce qu'encore aujourd'hui je reçois du courrier de lecteurs qui sont accompagnés, qui sont inspirés par ce livre qui est très simple mais qui est une façon d'entrer dans cette démarche.00:31:53Ce n'est que quatre ans plus tard que j'ai senti ce besoin d'écrire un livre qui venait réconcilier en moi le médecin puis ce thérapeute et j'avais besoin de faire ce pont et j'ai écrit La solution intérieure vers une nouvelle médecine du corps et de l'esprit. Est-ce qu'on peut faire une parenthèse là-dessus ? C'est très intéressant ce point-là que vous soulevez dans ce livre sur est-ce que vous, l'ancien chirurgien, vous comprenez pourquoi la médecine classique avec des guillemets a tant de difficultés à appréhender les approches plus alternatives ? Oui, parce que c'est l'intellect, le mental qui définit cette personne que nous sommes. Il est dans la peur et il a besoin de dominer, de comprendre pour dominer le monde et il est dans un paradigme finalement de combat ; toute une économie s'est mise en place là autour où finalement on a beaucoup d'intérêt à créer des moyens de réparer ou de pallier à des manques, mais où finalement on dépense très peu d'énergie à prévenir le problème.00:33:04Il y a toute une activité économique qui se développe. Les hôpitaux sont aujourd'hui gérés comme des usines, parce qu'il y a des intérêts économiques. Ce faisant, nous ne respectons pas la nature et notre propre nature. Nous sommes une émanation de la nature nous faisons partie de la nature nous sommes la nature. Chercher le bonheur en niant la nature, c'est nier nous-mêmes. Et on voit aujourd'hui le mode de vie que nous nous imposons pour avoir ce confort qui est finalement presque une anesthésie générale. C'est sûr que la vie est plus douce, mais en même temps nous sommes de plus en plus fragiles face à la difficulté et à la souffrance. Et donc, nous avons besoin de plus en plus de confort.00:33:45Pendant ce temps-là, de plus en plus, nous consommons ces moyens d'être dans le confort, mais nous n'écoutons pas qui nous sommes vraiment. Nous nous imposons des rythmes de vie au nom de ce confort qui sont absolument délirants. Quand vous voyez les gens dans le métro le matin fatigués parce qu'ils n'ont pas dormi assez. Parce qu'ils ont dû déposer les enfants à la crèche tôt le matin, et qu'ils ont encore une heure de trajet à faire avant d'arriver sur leur lieu de travail, un lieu de travail où il y aura une tension énorme et ils ne seront pas heureux. Et on s'impose ça, et on reprend le même chemin le soir, et on reprend ses enfants à la crèche, et on les laisse devant la télévision ou une tablette pendant qu'on réchauffe un plat qui est plein de pesticides et de substances dont il ne faudrait pas se couper dans leur alimentation.00:34:28Mais tout ça est délirant, et il ne faut pas s'étonner d'avoir de plus en plus de gens qui font des burn-out. Et ce burn-out est comme un appel de la vie en eux qui dit : 'Non, arrête'. Arrête de t'imposer tout ça et puis des gens qui ont des dépressions et puis malheureusement des gens qui ont des maladies physiques aussi comme le cancer, qui est clairement une conséquence de tout ce mode de vie. Et dans votre dernier livre, vous parlez beaucoup justement de cette idée d'aller peut-être finalement vers plus de dépouillement, plus de simplicité et vous posez la question : là où est le vrai progrès ? Est-ce que finalement le vrai progrès, c'est pas le silence ? Vous savez le vrai progrès, c'est l'approfondissement spirituel, c'est-à-dire le contact avec l'esprit, c'est-à-dire avec la conscience.00:35:12C'est de voir vraiment ce qui est, d'arrêter d'être aveuglé par nos croyances et que quand on a une crise en face de soi, on se pose les bonnes questions. C'est Einstein qui disait on ne peut pas résoudre un problème avec une façon de penser qui a créé le problème, et ça, c'est le vrai progrès. Mais tant que nous serons pris dans cette idée que nous sommes tout-puissants, que nous pouvons créer un monde et le façonner comme nous le voulons, et bien nous connaîtrons de plus en plus de tensions, De mal-être parce que nous serons de plus en plus déconnectés de notre propre nature et de la nature en général. Mais peut-être que c'est la nature justement qui va nous rappeler à l'ordre, c'est la nature qui va nous imposer sa loi.00:35:52Je crois que si l'espèce humaine ne le fait pas, elle disparaîtra. Mais ce ne sera pas la première espèce à disparaître de la surface de cette planète, et ce n'est pas grave en soi. Lorsque on réfléchit. Par contre, l'humanité a peut-être là une opportunité d'évolution, et cette évolution, personnellement, peut-être que certains vont trouver mon propos délirant. Mais je crois qu'elle ne peut se faire sans un approfondissement spirituel, et tous les êtres qui dans leur propre vie ont manifesté quelque chose de spectaculaire, vers plus d'apaisement, plus de simplicité effectivement, et plus de retour à l'essence et à l'essentiel. Ce sont les êtres qui ont vécu ce parcours de connexion à l'esprit en eux, c'est-à-dire la conscience, lorsque je parle de la conscience j'insiste que c'est la conscience et non ma conscience, c'est cette conscience paisible, silencieuse et qui accepte ce qui est tel que c'est.00:36:50En fait, il y a vraiment quelque chose d'universel, c'est-à-dire que à la fois ça ne nous appartient pas et en même temps ça nous appartient à tous, oui, et c'est la beauté du message de toutes les spiritualités. Je ne parle pas des religions qui sont des interprétations mentales de l'expérience spirituelle, et l'expérience spirituelle, elle naît de l'expérience mystique. L'expérience mystique, c'est un éblouissement, c'est un éveil de la conscience en nous qui voit la réalité qui l'embrasse pleinement. Cette ouverture, cette illumination se produit dans la vie de chacun, quelque part. Mais malheureusement, dans nos cultures, il n'est pas valorisé, il a même été considéré comme délirant. On a encore tendance à croire à pathologiser l'expérience mystique, alors que c'est une expérience qui est commune, naturelle pour l'être humain, et qui lui donne accès à un niveau de conscience qui est celui de la pure conscience.00:37:44Et ça, je pense que quand on a connu ça dans sa vie, ça donne non seulement une vraie lucidité sur le monde, Sur soi aussi, mais ça donne une grande paix. Est-ce que vous pouvez puisqu'on évoque les expériences mystiques ? Est-ce que vous pouvez me parler de cette expérience que vous partagez dans votre dernier livre sur le silence intérieur ? Comment, dans un contexte qui pourtant ne s'y prêtait a priori pas, vous avez rencontré ce silence intérieur ? Ah moi je croyais que j'avais déjà connu des vrais éveils de la conscience et je vous promets j'en suis le premier étonné. Et je ne l'ai pas recherché mais ça s'est produit en 2012. J'étais à mon bureau, en train de me préparer à travailler sur l'ordinateur parce qu'à l'époque j'écrivais une chronique pour Psychologie Magazine.00:38:39J'étais assis en face de l'ordinateur dans mon bureau. et tout d'un coup il y a eu un bruit de travaux dans la rue c'était notamment un marteau piqueur et tout de suite mon mental m'a dit ah mais je ne vais pas pouvoir écrire ma chronique parce que avec ce bruit là je ne vais pas pouvoir me concentrer et je me suis dit non Thierry il faut que tu calmes ce mental et le meilleur moyen que tu as pour le faire c'est de revenir à ta méditation j'étais en train d'essayer de calmer le mental par cette auto-régulation en constatant simplement les émotions, les sensations, les pensées qui surgissaient en moi et tout d'un coup, alors que j'entendais encore les bruits du marteau piqueur, j'entendais ce qu'il y avait au-delà, au-delà des bruits.00:39:24Au-delà des bruits, il n'y a que du silence. C'était énorme, parce que je l'ai vraiment entendu, mon corps l'a senti et j'ai vraiment à ce moment-là compris que le silence n'est pas l'absence de bruit, c'est l'espace dans lequel tous les bruits apparaissent et disparaissent. Que le silence ne peut pas être créé, parce que il est de toute éternité. Il était là avant que j'existe, il sera encore là après que j'ai fini d'exister. Le silence est tout simplement il est cette conscience et c'était énorme. Ça s'est répercuté dans mon corps par un sentiment d'ouverture de ma poitrine, enfin. Pas un sentiment, une sensation, une grande chaleur et une grande paix, c'est pas descriptible, parce que de toute façon ça vient d'un espace qui est au-delà des mots.00:40:08C'est vraiment la connexion avec l'énergie pure de la vie et l'énergie pure de la vie. C'est l'amour, c'est l'énergie qui fait tourner les planètes, les unes autour des autres. C'est l'énergie qui fait la cohésion de nos cellules dans notre corps. C'est l'énergie qui relie tout et ça ne m'a pas quitté, ça ne me quitte plus, même pendant ces moments difficiles où je voyais ma personnalité agitée avec ses conditionnements. Ses peurs, sa névrose, sa tendance parfois un peu dépressive, il y avait un endroit beaucoup plus profond que ça qui regardait ça. Est-ce que ça veut dire que cette expérience finalement, ce moment que vous nous décrivez avec les travaux, ce moment d'accès au silence à la pure conscience, ça dure finalement, certainement quoi, quelques secondes ?00:40:53Oui, je crois que ça a duré très très peu de secondes et en fait ça s'est achevé quand tout d'un coup, moi je vis une expérience pure, c'est trop drôle, j'en ai ri. Figurez-vous qu'il y a beaucoup de recherches scientifiques qui ont été faites sur cette expérience dite mystique. La science a bien montré qu'il y a des zones du cerveau qui sont désactivées, notamment les zones de la conscience, des limites de notre personne et de notre orientation dans l'espace et le temps. Donc, le mystique n'est pas un malade mental. Des études ont montré qu'il y a une grande partie de la population qui lui propose des mots pour décrire son expérience, qui dit mais moi j'ai fait cette expérience et je vois bien que avec le livre Écoutez le silence à l'intérieur où je parle de cela, beaucoup de gens me disent mais moi je connais ça, j'ai vécu ça, merci, ça me parle.00:41:49Je ne me sens pas seul. Je reviens justement à votre ouvrage, vous évoquez bien sûr cet amour universel dont nous avons parlé. Mais derrière cette notion, il y a aussi l'acceptation et l'observation, c'est un distinguo très clair sur le fait que accepter ce n'est pas se résigner. Et vous expliquez au contraire combien il y a une grande liberté à être dans cette conscience-là, oui, parce que effectivement beaucoup de gens se disent si j'accepte cette situation, alors je ne vais plus évoluer, je vais me résigner... mais non, pas se résigner ! La résignation est un des grands facteurs de dépression. Effectivement, il y a une grande liberté dans cette conscience de la vie, parce que on voit ce qui est, on l'accueille, on ne peut pas le nier.00:42:40Mais après, on a une responsabilité, c'est-à-dire une habilité à apporter des réponses. On peut faire quelque chose avec ce qui est et on redevient créateur dans cet espace de la conscience qui est en nous, qui est en chacun de nous. Il y a l'espace source de la création : est-ce que je continue à fonctionner comme j'ai toujours fonctionné ou est-ce que je mets quelque chose d'autre en place vu que j'ai constaté que ce que je faisais aboutissait à des impasses ou à des conséquences négatives ? Et quand on est relié à cette vie comme ça, pure en nous, il y a une émotion qui est là. Qui est la joie et cette joie n'est pas le contentement, elle ne dépend pas de quelque chose d'extérieur à nous.00:43:25Cette joie, je l'ai entendue, je l'ai sentie lorsque j'entendais le marteau piqueur et les silences qu'il y avait au-delà. Et le vrai lâcher prise, c'est juste dire : 'ok', je me laisse glisser dans ce qui est et je l'accepte pleinement, tout en sachant que je ne devrais pas me résigner. Car lorsque j'aurai accepté, quelque chose de joyeux en moi va se remettre en mouvement et je pourrai créer quelque chose à partir de ça. En fait, ce qui est formidable dans la manière dont vous présentez cette expérience là, c'est qu'on entend bien qu'il y a cet accès, cette plongée possible dans Le silence intérieur dans la pure conscience, mais ça ne vous sort pas de la réalité du quotidien. On entend qu'en fait, vous êtes aussi confronté, je ne sais pas, au stress d'un rendez-vous peut-être, de dénervement, quand c'est dans des embouteillages.00:44:23Pour autant, vous allez vous plonger, vous allez avoir accès à ce silence intérieur pour décanter. Est-ce que c'est comme ça que ça se passe ? Absolument, mais je reformulerai ça en disant que ce n'est pas que j'ai accès à ce silence, c'est que je laisse ce silence se révéler et qui est le 'je' qui laisse ce silence se révéler ? Eh bien, c'est ma petite personnalité avec ses modes de fonctionnement, ses conditionnements, ses a priori, ses discours tout fait et ses peurs. Bien sûr, d'accord donc ça, c'est chouette de vous l'entendre dire en fait. Vous n'êtes pas devenu un homme différent et complètement imperturbable aux aléas de la vie, petit ou grand. En réalité, vous les vivez de manière très humaine et je les vis non seulement de façon bien sûr humaine comme nous tous mais très intense parce que quand la conscience est là, eh bien, on peut pas tricher une émotion désagréable.00:45:23Elle est vraiment désagréable, mais elle se dissout, elle se dissout dans cet espace de conscience, dans cet espace d'accueil, mais c'est vrai. ce que vous dites parce que quelque part quand j'ai publié écouter le silence à l'intérieur où je raconte notamment un adultère que j'ai commis entre guillemets il y a des gens qui m'ont dit vous vous avec votre sagesse votre chemin vous en êtes encore là je dis mais oui surtout surtout je suis là je suis un être humain je suis vivant et je dois regarder qui je suis et essayer de faire quelque chose avec ça et essayer de faire le moins de mal possible à moi et aux autres mais en étant honnête avec moi et les autres et c'est tout un c'est00:46:03pour moi c'est la seule vraie spiritualité c'est d'être dans cette réalité là donc on voit Bien qu'on n'est pas à l'abri des aléas, vous parlez même dans votre livre de la nuit noire de l'âme que vous avez vécue, vous de manière vraiment très douloureuse, parce qu'en fait, après cette expérience extatique, en fait, vous avez appris à vos dépens que ce n'était pas un état d'éveil définitif, oui, oui, effectivement. Et ce qui s'est produit, c'est que, après la publication de Confidences d'un homme en quête de cohérence, en 2012, j'ai eu un passage à vide, mais ce livre était tellement authentique et tellement honnête que j'avais l'impression d'avoir tout dit, et ma personnalité était comme perdue, parce que comment elle Allait faire pour continuer à exister, maintenant que tout était dévoilé, déposé, et c'était comme une mort.00:46:58Pendant plusieurs semaines, j'étais vraiment pas bien. Fin d'année, tout d'un coup, il y a quelque chose qui s'est réveillé en moi, et je me suis dit : 'Mais dans le fond, Thierry, ça fait des années qu'on te demande de transmettre, et c'est peut-être temps de créer une forme d'enseignement.' Mais je savais que si je faisais ça, Ça serait une école, j'avais ce nom qui venait de l'école de la présence thérapeutique mais en attendant je ne me sentais pas très légitime pour rentrer dans un projet comme celui-là et je me suis dit peut-être que le moyen c'est de prendre une retraite et pas partir, pas aller en Égypte comme je faisais ou rester là où je vis, mais juste constater et voir si j'ai un espace intérieur suffisamment paisible et silencieux pour accueillir ce qui est.00:47:45Mais tout de suite j'ai voulu profiter de ce temps de retraite et de non activité professionnelle et en fait j'ai voulu profiter de ce temps pour écrire, pour écrire à propos de la fameuse expérience de ce silence, je n'arrivais pas à écrire je ne trouvais pas les mots en fait j'étais beaucoup plus identifié à l'auteur que je ne le croyais et le fait de ne pas pouvoir écrire c'est comme si je n'existais plus de nouveau et du coup je me suis un peu entêté et à un moment donné c'était tellement une souffrance que j'ai quand même passé plusieurs mois à aller à mon bureau je m'asseyais à la table de travail et je restais jusqu'au soir à ne rien faire et00:48:24j'avais un ami qui disait mais Thierry tu es en grande dépression et j'ai dit oui peut-être que tu me vois comme dépressif et moi je crois que la plupart des dépressions ce sont des nuits noires de l'âme et moi je vois bien mon ego ne veut pas lâcher je ne sais pas comment faire pour lâcher mais je sais que je vais lâcher à un moment donné ça a été peut-être l'expérience La plus forte qui m'a donné le plus de confiance en moi et en la vie, c'est extraordinaire. Vous étiez très observateur, vous le viviez évidemment profondément, d'ailleurs vous disiez : 'J'ai vu le diable.' Enfin, on sent quelque chose de terriblement douloureux, des vrais monstres avec des addictions, c'était vraiment douloureux.00:49:00Et du coup, il y avait quand même ce petit pas de côté qui vous sauve. La conscience était là parfois, je riais de moi. J'avais des gens bien intentionnés qui me disaient : 'Mais Thierry, pars en voyage' et en fait non, parce que je me disais : 'Si tu te distrais, tu vas partir dans autre chose.' Et il y a quelque chose à Traverser ici n'échappe pas à ça, et ça se faisait naturellement, sauf que ça a quand même duré plusieurs mois. Un matin, c'est incroyable : un matin, je me suis réveillé, j'ai dit : 'Je crois que c'est fini.' Je sentais de la joie en moi, je sentais que je retournais dans le monde. Puis, j'ai mis le site de l'école en ligne dans la semaine qui a suivi.00:49:48Donc, le projet du coup prenait forme, ah oui, il était là, en quelques heures. Alors, après, il y a eu la mise en ligne du site, et puis tous ces gens qui voulaient s'inscrire. Puis, l'école a commencé, quelques mois plus tard. Et alors, pardon, on va reparler de l'école dans quelques minutes, mais du Coup, c'est aussi à ce moment-là que vous avez écrit la version que moi j'ai sous les yeux là de ce livre. Écouter le silence à l'intérieur ça a pris encore une année mais une année où j'étais sage dans le sens où je ne suis pas obstiné à vouloir écrire, je me suis rendu compte que la première année que j'ai passé avec les élèves à l'école où je les invitais à plonger dans ce silence intérieur a été très bénéfique parce qu'elle m'a totally décomplexé elle m'a montré que c'était pas que pour moi que ça fonctionnait et ça m'a donné une forme de confiance, où j'ai arrêté de vouloir expliquer et je suis parti sur le ton du témoignage.00:50:50en tout cas je trouve que vous apportez un éclairage très intéressant sur la manière dont on peut traverser une crise de vie quelle qu'elle soit d'ailleurs mais on peut parfois avoir tendance à vouloir la fuir en partant en voyage en prenant des médicaments en se noyant dans le travail et vous ce que vous avez fait à ce moment là c'est au contraire vous y êtes allé complètement oui et c'est au contraire de ce que notre société propose on réussit à développer une économie sur la vente de moyens de ne pas se sentir avec des vagues ou avec un inconfort dans le corps du coup inévitablement on a tendance à aller vers ça c'est dommage De vouloir y échapper sans comprendre ce que ça vient nous dire, et c'est les bouddhistes qui disent ça si justement la douleur est inévitable, elle fait partie de la vie.00:51:43La douleur psychologique comme la douleur physique, mais la souffrance est évitable et elle l'est à condition qu'on ne s'identifie pas à sa douleur, mais qu'on la regarde. Et du coup on peut en sortir. Quand on embrasse la vie, quand on la prend comme elle est, après on peut faire quelque chose. On est vraiment pas dans la résignation, parce que la vie, la vie a sa logique et sa logique, c'est la vie. Oui, c'est toujours plus de vie. Donc ça veut dire qu'elle va toujours favoriser les êtres qui veulent être vivants ça va se faire à travers des rencontres des résonances avec des personnes qui vont nous reconnaître, Que nous allons reconnaître des synergies entre les énergies qui vont se réunir pour apporter plus de vie et on part dans une logique très positive.00:52:35Vous parliez de la créativité qui peut naître de la vie et du coup je voulais revenir sur sur ce que vous avez créé, vous qui êtes l'école de la présence thérapeutique. Est-ce que vous pouvez me rappeler un peu en quoi elle consiste et à qui elle s'adresse ? Alors je l'ai ouverte à Bruxelles parce que Bruxelles d'abord c'est la ville où je vis, où je n'ai plus tant voyagé et m'utiliser comme je l'avais déjà fait. Donc ça se passe à Bruxelles. Après l'idée, je vous dis : c'est pas quelque chose que j'ai réfléchi, c'est quelque chose qui a vraiment émergé en moi et en fait dans cette inspiration d'emblée. Il y avait Thierry, tu vas ouvrir une école mais elle sera d'abord adressée aux personnes qui sont dans la relation d'aide et de soins donc des médecins, des infirmières, des kinésithérapeutes, des ostéopathes.00:53:22des psychothérapeutes, des gens qui pratiquent alors des médecines beaucoup moins conventionnelles, comme par exemple le Reiki. Tous ces gens se retrouvent dans des classes de 20 à 25 personnes et ils découvrent d'abord que'ils avaient tous une intention commune, qui était d'aider. Mais leur personnalité parfois les empêche d'aller dans cette intention et qu'ils deviennent juste des prestataires de services ou de soins, et que ça finit par dénaturer l'acte même de la guérison et l'école de la présence thérapeutique. Car effectivement, elle s'adresse aux gens qui sont censés apporter un peu de guérison dans le monde. Le premier outil de la guérison, ce n'est pas le thérapeute. C'est sa présence, pas à un niveau très subtil, pas simplement à travers les mots ou à travers les gestes. C'est son champ d'énergie qui change quelque chose.00:54:10Au plus on va s'intéresser à ces sujets, là au plus on va comprendre que la nature n'est pas que dans la matière ou dans les mouvements. Elle est aussi dans la présence d'une intention qui est là, qui est palpable. Mais en attendant, l'école s'adresse essentiellement aux soignants, même si maintenant on commence à l'ouvrir à d'autres gens, parce qu'il y a tellement de gens qui veulent dans le secteur des affaires. De l'entreprise dans le secteur de l'éducation, mais moi j'ai commencé tout seul. Puis, la première année, on a eu tellement de demandes que j'ai accepté 60 personnes. 3 classes de 20, sachant qu'elles allaient rester pendant 3 ans, parce que et que chaque année j'aurais de nouvelles classes qui arriveraient, parce que d'emblée j'ai senti qu'il fallait aussi proposer quelque chose qui allait en profondeur.00:54:59C'était pas du tout une critique de ma part, mais il faut quand même se rendre compte qu'on propose aujourd'hui beaucoup de week-ends de développement personnel qui ont une fonction très bénéfique qui réveille les gens, qui ouvre des perspectives, qui met en mouvement... mais il faut aussi des lieux où on va en profondeur. Et donc d'emblée il y avait un axe dans l'école qui serait un programme de 3 ans et ça s'est imposé à moi que ça allait s'appeler l'initiation et accompagnement à la présence thérapeutique, et l'initiation, c'est important. Je sais que ce mot peut faire peur, parce qu'on dit, mais enfin c'est qu'on est dans quelle secte ? Dans toutes les cultures traditionnelles, le futur soignant il subit une initiation qui est faite de rituels...00:55:41Mais quand on regarde un petit peu comment ces rituels sont organisés d'une culture à l'autre, ils viennent tous réveiller la même chose, c'est à dire une collection avec notre nature profonde et un dépassement. De nos peurs pour aller au-delà de cette construction de l'ego et rentrer en contact avec cette Prajna, cette inspiration, cet esprit, cette conscience qui nous rend plus sages. On a des outils extraordinaires aujourd'hui, on a des gens hyper compétents. Très très bien formés, mais qu'est-ce qu'ils font-ils avec ce qu'ils ont appris ? Au service de quoi le mettent-ils donc ? L'école est bien sûr une école spirituelle. Je sais que ça peut faire bondir certaines personnes, mais en même temps je vois que ce mot est beaucoup moins gros aujourd'hui comme il l'était il y a 15-20 ans.00:56:27Alors que la spiritualité est un des fondements de notre humanité. Cette compréhension de l'esprit des êtres et des choses et nier ça c'est tellement dommage et ça revient beaucoup comme vous le dites. Il y a eu un mouvement ces dernières années très fort qui répond certainement à une forme de quête de sens. Vous savez, ça doit passer par une pédagogie. Il y a quelques années, je déjeunais avec John Kabat-Zinn, cet homme qui a fait ce travail remarquable d'introduire une manifestation sous sa forme de pleine conscience. Je lui disais : « Mais pourquoi lors d'une intervention que nous avions faite, lorsque-il avait répondu à une personne qui posait clairement une question par rapport à la spiritualité, pourquoi n'avait-il pas prononcé le mot spiritualité ?00:57:11» Il m'avait dit : « Non, mais tu sais, c'est un mot quand même un peu sulfureux et pas toujours bien compris. » Je lui disais : « Oui, mais alors c'est à nous de faire une pédagogie, expliquer ce que ça veut dire. » En fait, il m'avait dit : « Oui, mais c'est un travail pour la prochaine génération. » Il avait raison, c'est un travail pour la prochaine génération, tellement l'humain pour cette méditation de la pleine conscience. Mais je fais partie de la génération et vous le faites, c'est ça. Je ne serai pas le seul, je ne suis pas le seul, parce qu'il y aura de plus. En plus de gens qui parleront comme ça, puisque revenir à comprendre l'esprit des êtres et des choses est indispensable.00:57:47En fait, j'ai l'impression qu'on est en train de vivre un retour aux sources. D'ailleurs, vous l'évoquez quand vous parlez de la source, vous parlez des cultures ancestrales, aborigènes, etc. En fait, on revient à ce qu'eux ont pleinement vécu et vivent encore pleinement, oui, complètement, complètement. Eux ne sont pas déconnectés nous sommes singulièrement déconnectés et on nie même nos racines. On oublie nos ancêtres, on oublie d'où on vient. Et donc l'école de la présence thérapeutique elle avait cette volonté de proposer un parcours profond et à côté de ça aussi, quand même des ouvertures vers le grand public qui ne pouvait pas forcément aller tout de suite à cette profondeur à travers des ateliers d'éveil de reconnexion à la vie, des ateliers très joyeux, très festifs où on danse, on chante.00:58:38Mais on médite l'école aujourd'hui, elle accueille 75% de français qui viennent de tous les coins de France, elle accueille 15% de Belges, puis des gens qui viennent d'un peu partout. Il y en a qui viennent du Maroc, de la Réunion, enfin de pays où il y a la langue francophone et d'usage. C'est une très belle aventure et je suis très, très admiratif et touché, vraiment touché par le travail que font les élèves qui viennent dans cette école. Ils ont entre 21 ans, le plus jeune à 21 ans, c'est un étudiant messie, et des gens qui ont 70 ans et qui ont des carrières derrière eux, certains ont publié des livres, sont reconnus des psychanalystes, des psychiatres, des médecins.00:59:29Et je suis très, comme je disais, admiratif, touché de voir des êtres humains qui ont cet engagement, surtout la première année parce que la première année c'est soi avec soi, c'est redécouvrir le moi, l'ego et très souvent ils souffrent de découvrir tout ça en eux. On ne veut pas regarder tout ça et quand le cœur commence à s'ouvrir alors non seulement on peut voir chez soi, on commence à mieux voir chez l'autre. On n'est plus du tout dans le jugement et on rentre dans une démarche de vraie guérison. Et puis la deuxième année, c'est vraiment le rapport à l'autre. La troisième, c'est à ce qui est entre moi et l'autre, c'est-à-dire cet invisible qui n'est visible qu'à l'œil du cœur, disait Saint-Exupéry. Mais c'est tout ce que cette école propose donc voilà.01:00:08C'est une belle aventure, on ne sait pas où elle va mener. Aujourd'hui, je commence à être entouré ; j'essaye d'avoir un noyau autour duquel l'école peut continuer à grandir et à s'enrichir d'autres sensibilités, d'autres présences. C'est tout un travail et que je découvre moi-même dans la transmission à ces membres du noyau que j'appelle les pépins du noyau et enfin, une jolie petite équipe maintenant et puis ceux qui ne participent pas à l'école mais qui y ont passé trois ans et bien ils vont retourner dans leur vie avec quelque chose. Je dis toujours que ce n'est pas l'école qui leur a donné quelque chose, ils ont eu l'occasion de récupérer, de redécouvrir quelque chose qui était déjà au fond d'eux ; et avec cette chose-là, Très souvent, je constate qu'ils ont des projets très créatifs dans leurs univers respectifs, quel que soit le domaine du soin ou de leur intervention dans la société.01:01:02Ils créent des choses très belles. Qu'est-ce qu'on peut souhaiter pour cette école de la présence thérapeutique dans les prochaines années, Thierry ? Que moi, pour commencer, et que les personnes qui se joignent à ce projet ne soient pas un obstacle à son épanouissement. Le grand danger dans ce genre d'entreprise, c'est que le fondateur et les gens qui finissent par s'y raccrocher à ce projet utilisent le projet pour leurs ambitions personnelles, et que du coup, il l'empêche parfois de se développer. Ce travail de conscience se fait au quotidien, parce que sans ça, ce genre d'entreprise est voué à l'échec. Je ne dis pas que ça réussira, mais c'est ce que je souhaite pour cette école. Et pour vous, Thierry, qu'est-ce qu'on peut vous souhaiter pour les années à venir ?01:01:54Alors, je pourrais faire une sortie très dans la lignée de ce que je viens de dire d'être la bonne personne, mais c'est quelque chose de beaucoup plus personnel que on peut me souhaiter. C'est ce que j'ai vraiment besoin pour continuer à porter ce projet ou accompagner ce projet. C'est une oasis, c'est un endroit où je suis en totale confiance avec une personne et d'être nourri de ce partage, de ce sentiment de communiquer et d'être regardé avec bienveillance par l'autre. Donc voilà, il faut me souhaiter une vie personnelle, privée épanouie et pleine d'amour. Et bien je vous le souhaite. Je termine par quelques petites questions actuelles à notre entretien, puisque le podcast s'appelle La Petite Voix. Je suis obligée de vous poser la question : est-ce que vous êtes souvent connecté à votre propre petite voix ?01:02:46Oui, cette petite voix, je l'entends. Je suis souvent connecté à elle, mais je ne l'écoute pas toujours et alors je suis parfois encore très, très fort dans les argumentations pour ne pas l'écouter et je peux me raconter des histoires. Et je crois que on se raconte beaucoup d'histoires pour ne pas écouter la petite voix sage au fond de nous, de temps en temps. Quand je constate ça, j'essaye de calmer ce mental et alors s'installe un immense doute. La petite voix parfois se fait absente et c'est bon de rester dans ce doute parce que souvent alors ce que la petite voix voulait nous dire apparaît d'une autre manière. Mon autre question, je voulais savoir quel livre éclairait particulièrement votre chemin de vie, s'il y en a un ?01:03:40Contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, je n'ai pas beaucoup lu. C'est suite à un rêve que j'ai fait je sais pas si je l'ai raconté dans notre long entretien. J'ai fait un rêve quand j'avais 17 ans. Parce que enfant, j'ai énormément lu. J'ai beaucoup lu de livres sur l'Antiquité, l'Égypte et tout ça aussi. Et puis je me suis intéressé au bouddhisme. Et surtout après la mort de mon cousin qui était aussi très, très proche et qui s'est tué dans un accident de moto à 8 ans. J'en avais 17, et après sa mort, j'ai commencé non seulement à lire encore davantage et beaucoup plus de philosophie de métaphysique, De spiritualité, ça a duré 2 ans. Puis un jour, j'ai fait un rêve. Dans le rêve, je marchais dans l'allée centrale d'une cathédrale

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Les Grosses Têtes
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Quand Laurent Ruquier pose une question sur les Belges, les "Grosses Têtes" partent en vrille... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.