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durée : 00:04:52 - Comme personne - Après 20 mois sous les bombes, la bande de Gaza est toujours inaccessible aux journalistes internationaux. Mohammed Zaanoun, photographe palestinien, a couvert les six premiers mois de la guerre avant de fuir aux Pays-Bas. Il était invité à l'Assemblée nationale par la France insoumise début juin.
durée : 00:04:52 - Comme personne - Après 20 mois sous les bombes, la bande de Gaza est toujours inaccessible aux journalistes internationaux. Mohammed Zaanoun, photographe palestinien, a couvert les six premiers mois de la guerre avant de fuir aux Pays-Bas. Il était invité à l'Assemblée nationale par la France insoumise début juin.
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
durée : 00:28:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le photographe SMITH présente actuellement une partie de son projet "Dami" à la galerie Leica. Prises au cœur des vignes, ces photographies explorent les résonances secrètes du vivant et les ramifications invisibles qui nous relient au monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Smith Photographe, cinéaste et plasticien français
J'ai l'immense plaisir de recevoir dans ce nouvel épisode Margaux Le Map, que vous connaissez peut-être déjà pour son œil affûté derrière l'objectif. Photographe outdoor reconnue, elle me reçoit sur ses terres d'origine en Alsace, au lendemain de sa toute première expérience sur 100 km, à l'occasion de l'Alsace Grand Est by UTMB.Margaux se livre sans filtre sur son parcours personnel, son amour pour la vie dehors et ce lien intime qu'elle entretient avec le trail – un sport qu'elle pratique avec passion, mais qu'elle tient volontairement à garder à sa juste place.On parle de son cheminement personnel, de ses débuts en photographie, de son besoin de créer, et de ce que courir lui apporte dans son travail : une compréhension plus fine de l'effort, des émotions, du terrain – autant d'éléments qu'elle capture avec authenticité dans ses images.Elle revient enfin avec émotion sur sa Course Épique : son premier 100 km sur l'Ultra-Trail des Païens Une course entre châteaux, forêts, doutes, accomplissements et qui a, comme toujours, été source de précieux apprentissages.Quel beau moment j'ai passé en sa compagnie, vous allez vous régaler !***Vous aimez écouter des histoires inspirantes en courant ? Alors je suis sûr que vous aimerez aussi apprendre en courant !Pour ça, je vous recommande le podcast Choses à savoir – Culture Générale : des podcasts courts, malins, parfaits pour stimuler votre cerveau pendant que vos jambes travaillent….Ecouter Choses à savoir sur :Spotify : https://open.spotify.com/show/3AL8eKPHOUINc6usVSbRo3Apple Podcasts : https://podcasts.apple.com/fr/podcast/choses-%C3%A0-savoir-culture-g%C3%A9n%C3%A9rale/id1048372492Deezer : https://www.deezer.com/fr/show/51298Castbox : https://castbox.fm/channel/6096563?***Course Épique, c'est le podcast running et trail qui vous fait vivre, dans chaque épisode, une histoire de course à pied hors du commun.
(entretien) Frédérique Veysset est photographe de MOOD et aime ce qui rend quelqu'un particulier, différent. Elle a shooté pour de nombreux magazines et apprécie de travailler avec les actrices. Jeune, elle commence à se soucier de son apparence et contrôle depuis son image. Si elle est satisfaite d'avoir recouru à la chirurgie esthétique, un peu, elle est plus réservée sur la médecine esthétique et pointe les injections qui transforment les visages. La photographe bouscule la notion d'invisibilité des quinquas et plus, comme l'idée qu'une femme serait plus belle à 20 ans qu'à 40. Ensemble, nous parlons de ce qu'est une bonne photo, du pouvoir des images, de beauté et d'âge bien sûr, qui est avant tout celui qu'on nous donne, des femmes qui l'inspirent, de transmission et d'estime de soi, de routine belle peau et de posture, clés d'une allure juvénile.@frederique_veyssetDernière parution : Ze French do it better, co-écrit avec Valérie de Saint Pierre (Flammarion)Podcast créé et réalisé par Isabelle SansonettiInstagram : @injonctionsetbistouriJournaliste, j'ai écrit sur la médecine et la chirurgie esthétiques pendant plus de vingt ans au magazine ELLE.Dans ce podcast Injonctions & Bistouri, créé en mai 2022, je reçois des personnes qui ont un jour décidé de corriger ce qui les dérangeait. Leur témoignage peut s'avérer une aide précieuse quand on envisage soi-même une intervention de médecine ou de chirurgie esthétique. J'échange aussi régulièrement avec des spécialistes et personnalités afin de cerner l'impact de ces procédures esthétiques qui embellissent, rajeunissent ou transforment.Je souhaite que ce partage d'expérience et ces échanges ouvrent des pistes pour débusquer les injonctions qui pèsent sur l'apparence et se réconcilier avec son corps, son âge, son image. Qu'on choisisse ou non de faire "quelque chose"Mon livre J'y vais, j'y vais pas (Editions Jean-Claude Lattès 2021) est désormais disponible en Livre de poche : https://www.livredepoche.com/livre/jy-vais-jy-vais-pas-9782253238430 Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sara est une maman de deux enfants et photographe autodidacte exerçant dans le Var avec pour spécialité les photos de naissance, de famille.Sara vient dans cet épisode vous parler dans une première partie de sa maternité qu'elle a traversé en douceur tant pour sa première naissance de maman que sa deuxième ; même si elle confie avoir cheminer entre les deux sur la physiologie de la naissance notamment. Notre échange s'axe surtout autour de son métier de photographe qu'elle exerce depuis 2012. Une passion du naturel transpire chacune de ses photos qu'elle pense et immortalise avec justesse. Sara revient sur ce nécessaire devoir de représentation lorsqu'on photographie les bébés notamment. "L'image a dans ce cas notamment un devoir de représentation dans le sens où elle fait partie du patrimoine visuel, de l'héritage de la famille. Ces photos de naissance racontent des choses..." (selon ses propres mots).Sara revient sur la photographie qui est un outil parmi d'autres d'ancrage et d'élévation. En ce sens, elle dépeint un autre outil libérateur qu'elle a découvert : le chant. Une autre manière de se libérer du regard de l'Autre notamment que l'on retrouve sur la palette d'outil artistique de Sara !Un épisode simple et doux sur la maternité de Sara et riche en réflexions sur les photos de nos bébés et de celles que l'on voit sur la toile où le bébé est parfois objetisé...Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS !Pour retrouver Sara sur Instagram : @sara.ami.photographePour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
J'ai l'immense plaisir de recevoir dans ce nouvel épisode Margaux Le Map, que vous connaissez peut-être déjà pour son œil affûté derrière l'objectif. Photographe outdoor reconnue, elle me reçoit sur ses terres d'origine en Alsace, au lendemain de sa toute première expérience sur 100 km, à l'occasion de l'Alsace Grand Est by UTMB.Margaux se livre sans filtre sur son parcours personnel, son amour pour la vie dehors et ce lien intime qu'elle entretient avec le trail – un sport qu'elle pratique avec passion, mais qu'elle tient volontairement à garder à sa juste place.On parle de son cheminement personnel, de ses débuts en photographie, de son besoin de créer, et de ce que courir lui apporte dans son travail : une compréhension plus fine de l'effort, des émotions, du terrain – autant d'éléments qu'elle capture avec authenticité dans ses images.Elle revient enfin avec émotion sur sa Course Épique : son premier 100 km sur l'Ultra-Trail des Païens Une course entre châteaux, forêts, doutes, accomplissements et qui a, comme toujours, été source de précieux apprentissages.Quel beau moment j'ai passé en sa compagnie, vous allez vous régaler ! Episode intégral disponible le mercredi 28 mai.***Course Épique, c'est le podcast running et trail qui vous fait vivre, dans chaque épisode, une histoire de course à pied hors du commun.
durée : 00:12:35 - L'invité de 7h50 du week-end - Après la mort du photographe franco-brésilien Sebastião Salgado, Alain Genestar, directeur de Polka Magazine, et le journaliste Pierre Haski saluent un homme d'exception, ce samedi sur France Inter.
L'artiste Marion Augusto est photographe, elle est intervenue dans une classe de CP de l'école Sainte Foy. Elle a guidé les enfants dans une exploration du cyanotype, une technique ancienne mêlant art et science. En lien avec son projet en cours « La Vallée Heureuse », elle a fait dialoguer paysages réels et imaginaires, négatifs et positifs, fleurs et cigognes migratrices, créant un pont inattendu entre le Maroc et l'AlsaceLien vers l'article complet : https://www.azur-fm.com/news/selestat-l-art-a-l-ecole-une-immersion-dans-la-creation-artistique-2485Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Est-ce qu'on peut devenir photographe sans rien y connaître en technique ? La réponse me semble plutôt claire quand j'entends Salomé Alfonsi raconter son parcours de Directrice Artistique et photographe ! Salomé a signé la cover du podcast De l'amour et du seum, des sons de Nizar Zekri , les visuels de l'édition estivale des Meufs que je veux ken de Rosa Bursztein. Elle réalise des portraits glamour et ensoleillés inspirés des 70s et des cagoles qu'elle admire. Ensemble, on a parlé de sa découverte de la photo, de son lien étroit avec le podcast et la musique, de la réalité de la vie de freelance, et je lui ai peut-être demandé de repenser la cover du Cloclo Club... Pour suivre Salomé : > Instagram> Son siteOn mentionne :> Sir Romy> Nizar ZekriPOUR SOUTENIR LE PODCAST
Mon invité d'aujourd'hui est un photographe de mariage très enthousiaste. Ça se ressent et il se définit lui-même comme tel. Il est aussi sur-actif, ce qui lui permet de toujours se dépasser et de se lancer dans plein de choses. C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois le photographe de mariage Manuel Velasquez.Mon interview avec Manuel va notamment vous faire découvrir :♦ Son elevator pitch très réfléchi♦ Comment l'ultra trail l'aide beaucoup dans sa vie et son travail♦ Comment se libérer du syndrome de l'imposteurLes liens de mon invité :https://manuelvz.com/https://www.instagram.com/manuelvelasquezvz/https://www.facebook.com/manuel.velasquez.5439087-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
Merci à Greg d'être venu sur plateau de LEGEND ! Greg Finck est photographe de mariage de luxe depuis 10 ans. Il vient nous raconter ses anecdotes les plus folles. Il a photographié un mariage qui a coûté 60 millions d'euros. Il a travaillé sur le mariage d'un marchand d'arme Bulgare. Il a déjà vu un marié quitter la cérémonie après le discours de sa femme et même des gens louer un “faux père” pour la cérémonie.Visitez son site ➡️ https://www.gregfinck.com/Retrouvez Greg sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/gregfinck/?hl=frAinsi que sur son TikTok ➡️: https://www.tiktok.com/@gregfinckRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/25ZbLczvDNgPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Quand le corps impose le rythme… faut-il renoncer à ses rêves ou réinventer son organisation ?
Aliocha a passé plusieurs semaines en Arctique, sous le soleil de minuit. Une expérience marquante, qu'il a retranscrite dans une série de photographies aux couleurs presque irréelles : jaunes profonds, bleus tranchants, lumière suspendue. Je l'ai découvert récemment à l'occasion d'une exposition, et son travail m'a tout de suite happée, visuellement, puis par les mots posés sur cette aventure.Dans notre échange, on a parlé de regard, d'enfance, d'instants figés et de perte de repères. De cette impression que le temps perd sa ligne, sa logique familière. De la photographie comme trace, comme mémoire sensible, comme manière de capter l'intensité d'un moment.Avec beaucoup de sincérité, Aliocha évoque aussi son rapport au rythme, au trop-plein, à la difficulté de s'arrêter. Et cette intuition que, parfois, le temps répare.Merci à lui pour cet échange suspendu.Découvrez son travail ici : @aliochaboiOn se retrouve sur Instagram @impermanentpodcast @leonieragot Musique @labrigade._ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En plus des audio sexe, nous accueillons des personnalités qui font vivre l'érotisme. Dans cet épisode inspirant du Son du Désir, nous recevons Léonie Stolberg, photographe passionnée, militante du body positivisme et créatrice d'images puissantes mettant en lumière la beauté des corps dans toute leur diversité.
durée : 00:50:25 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui, dans Affaires Sensibles, David Hamilton, photographe et prédateur - réalisé par : Helene Bizieau
durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe
Poursuivre l'exploration de l'art de l'attention avec Reza : « l'attention fait partie intégrale du travail de photographe » La photographie est une histoire d'attention. Une manière de capter l'instant, de saisir la lumière, de révéler l'invisible. Reza Deghati -il signe ses œuvres de son nom d'artiste Reza-, photo-reporter de renom, parcourt le monde depuis des décennies, armé de son objectif et d'un regard habité par l'humanité. Ses images racontent des vies, des résistances, des espoirs, et nous invitent à voir autrement. J'ai été extrêmement émue, et honorée, de recevoir ce grand homme à mon micro. Le regard qu'il porte sur le monde est singulier, comme son parcours et son travail. Son rapport à l'attention est essentiel, engagé et il le partage avec nous avec beaucoup de grâce. J'espère que cette conversation vous touchera autant que moi.Après des études d'architecture, il se spécialise en parallèle pour la photo, discipline pour laquelle il se fait remarquer, et arrêter, très tôt, vers 16 ans et bien avant la révolution islamique Iranienne. Il doit quitter l'Iran dès 1981 car ses photographies gênent, et ne peut pas, depuis, remettre les pieds dans son pays. Mais il parcourt le monde avec son objectif, et ses photographies montrent le chaos de la guerre de ses ravages et du désarroi des êtres humains pris dans la tourmente. L'année 1991 marque le début pour Reza d'une longue et étroite collaboration avec la revue National Geographic. Ses photographies ont fait l'objet de 25 couvertures du magazine. "Je ne suis pas photographe de guerre, je suis correspondant de paix " Dans cet épisode de L'Art de l'Attention, nous parlons de ce que signifie vraiment « regarder » : comment prêter attention au monde, comment raconter une histoire en une seule image, comment témoigner sans trahir. Avec Reza, l'attention devient un engagement, une éthique, une poésie. Quelques citations extraites de notre conversation avec Reza :« L'attention fait partie intégrale du travail de photographe »« J'écris l'histoire des autres, j'essaie de mettre ma photographie au service de l'histoire des autres, qui n'ont pas de voix »,« On va défendre qqchose qu'on aime »,« La photographie est comme une peinture, elle a ses règles aussi.»Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Jessica Rispal, photographe et dominatrice, explore un érotisme et un sexe cru, esthétique et politique. Entre BDSM, autoportrait et mise en scène du désir, un épisode troublant, intime et captivant.Ici, la photographie devient un terrain de jeu charnel, artistique et politique : corps ligotés, cellophane, chambres d'hôtel et parkings deviennent des scènes intimes où la création s'empare du BDSM, du nu, de la transgression et de la pudeur.
Il y a quelques semaines, à l'occasion de l'Université de la Terre, j'ai eu la joie d'animer une conversation entre d'immenses artistes que j'admire profondément : le dessinateur Enki Bilal, le photographe de guerre Reza, le photographe sous marin Laurent Ballesta, la documentariste Anastasia Mikova et le journaliste culturel Adrien Rivierre. C'était un moment de grâce, où la magie de la rencontre était palpable.Je suis heureuse aujourd'hui de vous partager le replay de cet échange, accessible en vidéo sur https://www.youtube.com/@demainnattendpas et en audio sur toutes les plateformes de podcast Demain N'attend Pas Ensemble, on a parlé :du rôle de l‘art dans les temps obscurs que nous traversons, des raisons qui les ont amenés à s'engager, des dangers du digital dans notre rapport au monde et dans notre rapport à la vérité, de leur conviction profonde que le geste de l'artiste tient dans sa capacité à nous relier et à nous émouvoir et que ce n'est pas près d'être substitué par une IA…Installez-vous confortablement et laissez la magie opérer… Vous allez vous régaler !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le musée Maillol à Paris accueille une rétrospective exceptionnelle de Robert Doisneau, dévoilant plus de 350 clichés du célèbre photographe. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", l'exposition explore 50 ans de l'œuvre de Doisneau, mettant en lumière sa capacité unique à capturer l'extraordinaire dans le quotidien. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Mourad Boudjellal et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Tous les jours dans Culture Médias, Thomas Isle dresse le portrait sonore de l'invité. Ce mercredi, c'est Anny Duperey, actrice, photographe et autrice du livre «Respire, c'est de l'iode» publié le 4 avril aux éditions du Seuil.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'artiste et photographe malgache Rijasolo expose pour la première fois à Paris à la Fondation H ses photos artistiques. Loin du photojournalisme qu'il pratique depuis 25 ans, le lauréat du concours World Press Photo 2022 de la région Afrique, (avec son reportage « La guerre du Zébu »), nous propose un autre aspect de son travail, plus personnel et plus subjectif. Dans « La nuit porte la lumière », titre de son exposition, Rijasolo explore l'invisible, la nuit vibrante de vie et les contradictions des Malgaches. À lire aussi«La nuit porte la lumière»: le photographe malgache Rijasolo expose à la Fondation H, à ParisÀ lire aussiRijasolo, un oeil insulaire
Cet épisode est un extrait du podcast publié lundi dernier. En moins de 10 minutes, il te permettra de capter les plus beaux messages de l'épisode avec Alexis Rosenfeld.Un extrait qui je l'espère, remplacera Instagram pendant ta pause de 10mn, se retrouvera dans tes oreilles avant de t'endormir, ou à ton réveil pour commencer ta journée dans la joie. Si ce passage te plait et que tu as envie d'en connaître plus sur mon invité de la semaine, l'épisode en entier t'attend chaudement sur Nouvel Œil.
Rendre visible l'invisible : voilà le métier d'Alexis Rosenfeld. Ou plutôt sa passion, devenue sa mission, et puis finalement sa vie. En fait, il est photographe. Mais pas n'importe quel photographe. Un photographe dans un monde féérique, jusqu'au jour où il a compris que l'irréversible existait. A travers ses images, il éveille les consciences face à la dégradation des océans. En 2018, en partenariat avec l'UNESCO, il a initié le projet « 1 OCEAN », qui vise à explorer, comprendre et émerveiller par l'image.Bref, vous l'aurez compris, Alexis plonge dans les eaux du monde pour déceler et relever à la surface les beautés fragiles.Avec lui sur Nouvel Œil, on parle de curiosité, de beauté, et d'océans.J'espère que cette écoute t'aidera à rendre visible l'invisible. Belle écoute ! ☀️ ---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Retrouvez ici la Parenthèse Enchantée.Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
durée : 00:05:27 - Déjà debout - par : Mathilde MUNOS - David Tatin, photographe animalier dans le Luberon.
Bonjour à tous et bienvenue sur DM&V, j'espère que vous allez pour le mieux.Aujourd'hui je reçois un invité que beaucoup d'entre vous attendaient avec impatience : Morgan Saignes, Un des photographes horlogers les plus talentueux du moment, bien connu pour avoir shooté les plus belles pièces sous l'égide Fratello ! Dans cet épisode tout en simplicité, Morgan revient sur sa passion pour les montres : Comment tout cela est né, comment la photo est arrivée, comment a-t'il rejoint l'équipe Fratello mais aussi quelles sont ses pièces préférées, après en avoir eu plusieurs centaines, voire plusieurs milliers entre les mains... Evidemment, nous ne pouvions faire cet épisode sans parler du projet VPC...déjà un Blockbuster (bientôt la revue sur DM&V) Cet épisode est, comme d'habitude, disponible en version audio sur toutes les plateformes de podcast mais également en vidéo sur ma chaine Youtube Des Montres & Vous. Si vous aimez la chaine et son contenu, N'hésitez pas à liker, à vous abonner et à activer les notifications pour ne rien louper et pour aider DM&V à progresser. Pour ceux qui écoutent en version podcast, pensez à laisser une note 5 étoiles et un commentaire, ça fait toujours plaisir. Bonne écoute ! Voici les références abordées lors de cet épisode : - Silo, la série disponible sur Apple TV (2 saisons) - Foundation, la série disponible sur Apple TV (2 saisons) - Dark Matter, la série disposable sur Apple TV (1 saison) L'insta de Morgan : morgansaignes Le site web de Morgan : morgansaignes.comHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je vous invite à partir à la découverte du travail de Cédric Pollet, un botaniste-photographe pas comme les autres qui nous fait voir les arbres comme on ne les a jamais vu ! S'il existe de nombreux photographes de nature, de forets, d'arbres, Cédric est le premier photographe a avoir dédié tout son travail aux seules écorces d'arbres.Quels sont les arbres qui ont les plus belles écorces ? À quoi servent-elles ? Qu'ont elles à nous apprendre sur les arbres ? Sur le fonctionnement de la vie sur terre ?C'est tout cet écosystème de questionnements et de mystères que Cédric Pollet touche du doigts avec sa pratique depuis 25 ans… et j'essaie dans cet épisode de nous permettre d'entrer dans cet univers botanique fantastique !Des écorces d'arbres, nous en croisons tous les jours et pourtant c'est un sujet encore très peu exploré par les botanistes. Nous sommes à l'aube de belles découvertes, Cédric nous l'explique très bien !Son crédo ? Quand on aime quelque chose, on le protège. À travers ces photos, son but est que nous puissions regarder autrement les arbres, que leur beauté nous touche et que nous les aimions en retour.Depuis l'écorce à bisous, en passant par celle reprenant toutes les couleurs de l'arc en ciel ou encore le retour de savoir-faire ancestraux comme celui du tissage d'écorces de tilleul, voilà un épisode rempli de fabuleuses surprises !Très bonne écoute !—
Dans l'histoire de la photographie, rares sont les clichés qui ont le pouvoir de révéler une vérité interdite. C'est pourtant ce qu'a accompli Li Zhensheng, un photographe chinois qui a risqué sa vie pour préserver la mémoire d'une période sombre de son pays. Pendant la Révolution culturelle (1966-1976), il a secrètement documenté des scènes que le régime de Mao préférait cacher. Pour éviter leur destruction, il les a dissimulées… sous le plancher de son appartement. Un photographe sous surveillance Dans les années 1960, Li Zhensheng est photojournaliste pour le Heilongjiang Daily, un journal de propagande basé dans le nord-est de la Chine. Comme tous les médias de l'époque, ce journal ne publie que des images glorifiant la Révolution culturelle et exaltant Mao Zedong. Li est donc chargé d'immortaliser les parades, les réunions politiques et les portraits d'un peuple fidèle au régime. Mais très vite, il est témoin d'une autre réalité. Il assiste aux humiliations publiques, aux autodafés d'ouvrages considérés comme bourgeois, aux procès populaires et aux persécutions menées contre ceux qui sont qualifiés d'ennemis du peuple. Officiellement, il doit photographier ces événements pour le journal. Mais secrètement, il conserve les clichés censurés, refusant d'effacer les preuves des violences commises. Un trésor caché sous le plancher Craignant que ses négatifs ne soient découverts et détruits, Li Zhensheng prend une décision audacieuse : il enterre plus de 30 000 photos sous le plancher de son appartement. Ces images sont des documents uniques montrant la face sombre de la Révolution culturelle : des intellectuels la tête rasée, contraints de défiler avec des pancartes humiliantes, des foules déchaînées brûlant des temples et des enseignants battus par leurs propres élèves. Pendant des années, ces clichés restent cachés. Ce n'est qu'après la fin de la Révolution culturelle que Li peut récupérer ses négatifs. En 2003, il publie un livre, Red-Color News Soldier, qui dévoile au monde entier ces images poignantes. Un témoignage inestimable Grâce à son courage, Li Zhensheng a sauvé une part essentielle de l'histoire chinoise, permettant aux générations futures de voir ce que le régime voulait effacer. Son travail reste aujourd'hui une référence incontournable pour comprendre cette période de terreur et d'endoctrinement de masse. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:55:56 - Autant en emporte l'Histoire - par : Stéphanie DUNCAN - D'une beauté originale, brune aux yeux noirs mélancoliques, Tina Modotti, fille d'ouvriers italiens qui connut l'usine à douze ans avant de conquérir le Nouveau Monde, fait partie de ces femmes des années 1920 qui nous fascinent pour leur liberté sexuelle, leur engagement artistique et politique.