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Avec À la recherche du père, la photographe Camille Lévêque expose une partie de son travail de recherche autour de la figure paternelle. À voir aux Rencontres photographiques d'Arles jusqu'au 5 octobre 2025. À lire aussiLa photographe Agnès Geoffray et ses images de jeunes filles insoumises
Avec À la recherche du père, la photographe Camille Lévêque expose une partie de son travail de recherche autour de la figure paternelle. À voir aux Rencontres photographiques d'Arles jusqu'au 5 octobre 2025. À lire aussiLa photographe Agnès Geoffray et ses images de jeunes filles insoumises
A l'ère de l'Intelligence artificielle et des réseaux sociaux, les photographes de presse se battent pour conserver leur place. Grégoire Perroud s'est intéressé à l'évolution du métier avec Laurent Gilliéron, rédacteur en chef adjoint chez Keystone et Julie Lachenal, photographe et vidéaste sur Instagram.
Photographe documentaire installé en Australie, Franck Gazzola raconte son parcours, de l'expatriation à la passion pour l'océan. À travers ses expéditions et ses images, il sensibilise à la beauté mais aussi à la fragilité des environnements marins.
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Maxime Légaré-Vézina s’est lancé à temps plein dans la photographie du monde animalier il y a 2 ans. Il a abandonné le monde des banques pour s’y consacrer et aujourd’hui, il ne regrette pas son choix. Il vient de remporter le prix du « Canadian Wildlife Photographer of the Year » décerné par le magazine Canadian Geographic. Entrevue avec Maxime Légaré-Vézina, photographe de nature. Regardez aussi cette discussion en vidéo via https://www.qub.ca/videos ou en vous abonnant à QUB télé : https://www.tvaplus.ca/qub ou sur la chaîne YouTube QUB https://www.youtube.com/@qub_radio Pour de l'information concernant l'utilisation de vos données personnelles - https://omnystudio.com/policies/listener/fr
Demain N'attend Pas fête ses 100 bougies ! Pas tout à fait ses 100 ans, mais déjà ses 100 épisodes. Toute une jeunesse
Je suis super heureuse de commencer cette 3e saison du podcast Le Moment avec deux femmes qui vivent la montagne comme une évidence absolue. Tout d'abord, Elise Poncet, athlète spécialisée en course en montagne et ski-alpinisme. Elle a été notamment vice-championne du monde de course en montagne en 2019, puis championne de France en 2022. Et tout récemment, en mai 2025, elle a battu le record d'ascension du Mont‑Blanc à ski, avec un aller‑retour entre l'église de Chamonix et le sommet en seulement 6 h 54 min 47 s — soit 34 minutes de moins que la précédente référence ! Rien que ça !Avec elle, Mélanie Cannac, photographe/réalisatrice spécialisée en escalade et sports outdoor. Elle a commencé par l'escalade en compétition et à un jour osé y associer son autre passion, la photographie. Elle vient notamment de réaliser un superbe doc « Ali Baba » (2025) sur l'escalade féminine.Vous allez entendre 2 femmes, 2 caractères, 2 parcours mais 1 passion commune, 1 complémentarité évidente et 1 belle amitié !Pour cet échange, nous nous sommes retrouvées au cœur de Chamonix, dans la House Of Mountains, un lieu pensé par i-Run & l'agence Fraich'Touch pour célébrer la montagne et le sport tout cet été, et on était bien ! Donc, merci à I-Run pour l'accueil et à la marque Arc'Teryx, sans qui cet épisode n'aurait pas été possible.Pour suivre Elise : https://www.instagram.com/poncet_elise/ Son record : https://www.youtube.com/watch?v=ILvQ8-YSHRgET Mélanie : https://www.instagram.com/melanie_nacnac/Le film Alibaba : https://www.youtube.com/watch?v=BngnwM8vTXI&t=7sPour nous suivre : https://www.instagram.com/lemomentpodcast/ et https://lemomentpodcast.com/ PS : Vos retours font vraiment plaisir ! Dites-moi ce qui vous a touché, inspiré ou fait sourire. Et si l'épisode vous a embarqué, pensez à le partager à celles et ceux qui aiment les aventures humaines, à grande foulée ou à pas mesurés. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans cet épisode, nous plongeons dans le monde complexe de la photographie de guerre avec Adrien Vautier, qui revient sur son parcours — des graffitis au milieu des supporters ultras jusqu'à sa passion pour la photographie, qui l'a mené depuis plusieurs années sur les zones de conflit.Témoin direct des réalités les plus brutales, Adrien partage son expérience, les dilemmes éthiques auxquels il est confronté, le poids émotionnel lié à la documentation de la souffrance humaine, et la frontière ténue entre narration et voyeurisme.___Comme pour chaque épisode, nous publions un zine ( FUZINE )de quarante pages en couleur, qui revient en images sur le travail de notre invité.Les bénéfices nous aident à couvrir les coûts de production du podcast.Disponible ici.___Et comme toujours :vous pouvez nous soutenir via la boutique ou Patreon,et venir échanger avec nous sur le forum.
Si quelqu'un incarne la fusion parfaite entre voyage et gastronomie en France, c'est bien Julie Andrieu. Photographe devenue critique gastronomique, auteure et figure incontournable de la télévision, elle a fait de la cuisine son ticket d'entrée pour explorer le monde.Derrière ses airs d'héroïne hitchcockienne se cache une exploratrice insatiable qui a fait de la cuisine son plus beau prétexte à voyager. Du Liban au Kirghizistan, des marchés secrets du Brésil aux trattorias romaines, elle collectionne depuis vingt ans les rencontres improbables et les découvertes culinaires les plus audacieuses.Elle nous livre les secrets des cinq saisons de "Fourchette et Sac à Dos" - ces années où elle parcourait le monde à la rechercher de nouvelles saveurs et de renocntres dingues.Une conversation à cœur ouvert qui nous emmène aussi dans les coulisses des "Carnets de Julie", jusqu'à son dernier coup de cœur : quatre mois d'expatriation à Rome avec ses enfants.Une conversation sans filtre avec une passionnée qui a transformé sa curiosité en métier.**************************************Si cet épisode vous a plu, n'hésitez pas à nous laisser 5 étoiles sur Spotify ou un commentaire sur Apple Podcasts. Ce serait vraiment un sacré coup de pouce pour nous !Retrouvez-nous sur @beauvoyage pour encore plus de contenu !**************************************Production : Sakti ProductionsMusique : Chase The Mississipi, Michael ShynesVous êtes une marque et vous souhaitez collaborer avec Beau Voyage ? Ecrivez-nous : mariegarreau@saktiproductions.com Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Chaque 19 août, le monde célèbre la Journée mondiale de la photographie, une initiative du site World Photo Day. Cette date rend hommage à l'invention du daguerréotype en 1839, marquant la naissance officielle de la photographie moderne. Depuis, l'image a parcouru un long chemin : de la chambre noire aux appareils numériques, en passant par l'argentique, la photographie a évolué au rythme des innovations techniques et artistiques. Photographe depuis 1996, Jean-François Agathe aussi connu comme Rasfran témoigne : « J'ai commencé avec des appareils manuels. Il fallait tout apprendre soi-même. Aujourd'hui, la technologie a fait un bond, mais le matériel reste coûteux. » Il souligne surtout l'impact de l'intelligence artificielle, expliquant qu'autrefois, tout était fait manuellement. Aujourd'hui, il suffit de quelques clics pour générer ou retoucher une image. Une révolution, selon lui, qui transforme profondément notre rapport à la création. Jean-François Agathe remarque également un engouement croissant chez les jeunes pour la photographie, mais tient à nuancer : « Beaucoup sont passionnés, mais certains se lancent juste pour pouvoir dire qu'ils sont photographes. Avoir un bon appareil ne suffit pas. Il faut du professionnalisme, de la rigueur et du respect pour ce métier. » Son message aux jeunes est clair : « Respectez cette profession, respectez le domaine de la photographie, car c'est un art à part entière. »
Dans cet épisode, on explique pourquoi un shooting photo peut coûter aussi cher et on montre se qui se cache derrière de tels tarifs.(00:00) Intro + jingle(00:25) Le prix d'un photographe(02:51) Comment un photographe calcule son tarif(05:12) Offres photo packagées(07:28) Tu payes pour la patte du photographe(13:01) Raisonnement salarié vs. indép(14:45) Acheter une vision stratégiqueBienvenue sur LA DIFF, le podcast qui démystifie le branding et la communication pour les entrepreneurs les plus audacieux. On est Morgane Tubiana, Mathilda Perrot et Wesley Joachim. Notre mission, c'est d'accompagner les entrepreneurs qui veulent créer une image de marque puissante pour atteindre leurs objectifs. Bref, si tu veux plier le game avec ta boîte, tu es au bon endroit.Si tu kiffes LA DIFF, abonne-toi pour recevoir les prochains épisodes et laisse-nous un avis sur Spotify ou Apple Podcasts. Merci
Aux Rencontres photographiques d'Arles 2025, Agnès Geoffray et Vanessa Desclaux explorent les parcours de jeunes filles qualifiées de « déviantes » ou « d'inéducables ». L'exposition Elles obliquent, elles obstinent, elles tempêtent est le fruit de deux ans de travail dans les archives départementales de la Gironde, de l'Oise ou de la Somme en France pour enquêter sur ces « écoles de préservation » qui ont enfermé des jeunes filles en France jusqu'au début des années 1950. À lire aussiAnn-Christine Woehrl magnifie les femmes accusées de sorcellerie au Ghana
Aux Rencontres photographiques d'Arles 2025, Agnès Geoffray et Vanessa Desclaux explorent les parcours de jeunes filles qualifiées de « déviantes » ou « d'inéducables ». L'exposition Elles obliquent, elles obstinent, elles tempêtent est le fruit de deux ans de travail dans les archives départementales de la Gironde, de l'Oise ou de la Somme en France pour enquêter sur ces « écoles de préservation » qui ont enfermé des jeunes filles en France jusqu'au début des années 1950. À lire aussiAnn-Christine Woehrl magnifie les femmes accusées de sorcellerie au Ghana
Mon invité d'aujourd'hui, vous le verrez, ne se laisse pas faire. Il a commencé la formation il y a pas mal d'années mais a conservé très longtemps son travail à plein temps en parallèle. Est-ce que ça a été si simple à gérer pour lui ? C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois le photographe de mariage Aurélien Kirchner.Mon interview avec Aurélien va notamment vous faire découvrir :♦ Comment il a géré son travail à plein temps et la formation♦ Ce qu'il ressent vis-à-vis du syndrome de l'imposteur♦ Le grand débat des objectifs zoom contre les fixesLes liens de mon invité :https://aurelien-kirchner.fr/https://www.instagram.com/aurelien_kirchner/https://www.facebook.com/AurelienKirchnerPhotographiehttps://www.youtube.com/@aurelien_kirchner---------------------------Sommaire :0:00 Présentation2:02 Elevator pitch4:21 Ton parcours34:55 Arrivé dans le grand saut, tu te mets beaucoup de freins52:54 Qu'as-tu mis en place depuis que tu as quitté ton job ?1:00:11 Parlons des réseaux sociaux1:26:43 Tu penses ne jamais avoir eu le syndrome de l'imposteur1:49:09 L'IA, est-ce que ça te fait peur ?2:07:58 Zoom vs Fixe et Questions de fin-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
Épisode 96 déjà disponible pour les abonnés Patreon.Rejoins-nous et soutiens le podcast pour seulement 6 € par mois : accès aux épisodes en avant-première et aux coulisses du podcast.C'est ICI.
Pour ce deuxième épisode de cette série d'été, je vous emmène à la rencontre de Ginnie-Line Darcq, une âme poétique et sensible, qui met son regard et ses émotions au service de celles et ceux qu'elle photographie. Je me souviens de notre première rencontre et avant cela, des émotions qui m'avaient saisie en découvrant ses projets photographiques. Pendant notre conversation, Ginnie-Line nous partage son parcours, la façon dont la photographie est devenue son medium de prédilection, les projets dans lesquels elle s'investit et aussi les rêves qu'elle formule. Ginnie-Line a développé depuis l'enfance une proximité et un lien singulier avec la nature et le vivant, qu'elle a choisit de mettre en lumière dans son travail. Ginnie-Line nous parle de ses sources d'inspiration, des photographes qu'elle chérit comme Justine Hern, co fondatrice du magazine Bobine et de son métier, de ses choix et de la liberté qui la guide aujourd'hui telle une boussole. Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast indépendant, n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous ! Maintenant, je laisse la place à cette conversation inspirante et réconfortante, que j'ai eu la joie d'enregistrer avec Ginnie-Line.Bonne écoute ! Ses recommandations culturelles:Nomadland, le merveilleux film de Chloé ZhaoLes fleurs sauvages, une série de Sarah Lambert avec Sigourney WeaverLà où chantent les écrevisses, un film d'Olivia Newman. Ce film est issu du roman éponyme de Delia OwensEcouter Tamino sous la pluie Ses recommandations d'invités :Emilie, l a fondatrice de la ferme florale, A l'ombre des fougèresAugustin Deridder, fondateur de Juin fait le linLes frères Cotes, qui ont développé une micro ferme bio en permaculture à Sainghin en MélantoisHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et si une photo pouvait changer une vie ?Dans cet extrait, Yann Arthus-Bertrand raconte comment un simple déclic, une image, une rencontre, un vol en hélico, a bouleversé sa trajectoire.De la Terre vue du ciel à la fondation GoodPlanet, en passant par Human et Home, il partage ce moment où l'image devient engagement, et où la beauté du monde éveille la conscience.Un récit vibrant, lucide, habité par l'envie farouche de ne pas abandonner. Ni la planète, ni les humains.La suite dès lundi matin !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
durée : 00:09:54 - France Culture va plus loin (l'Invité(e) des Matins d'été) - par : Julie Gacon, Sarah Masson - Qu'est-ce qui fait un bon père ? Et un mauvais ? A l'occasion de la sortie de son dernier livre "À la recherche du père”, la photographe Camille Lévêque interroge la figure du père dans la société, à travers une exposition visible dans le cadre des rencontres d'Arles jusqu'au 5 octobre prochain. - réalisation : Sam Baquiast, Vivian Lecuivre - invités : Camille Lévêque Photographe, éditrice et artiste visuelle
durée : 02:00:35 - Les Matins d'été - par : Julie Gacon, Sarah Masson - . - réalisation : Sam Baquiast - invités : Patricia Perennes Économiste spécialiste du transport ferroviaire et consultante auprès des collectivités pour le cabinet Trans-Missions; Sophie Bessis Historienne, spécialiste de l'Afrique subsaharienne et du Maghreb; Camille Lévêque Photographe, éditrice et artiste visuelle
Dans cet épisode, je t'invite à plonger dans l'univers de Cédric Pollet, un botaniste-photographe pas comme les autres, qui nous révèle les arbres comme tu ne les as probablement jamais vus.Il existe de nombreux photographes de nature, de forêts, d'arbres… mais Cédric est le premier à avoir consacré tout son travail à un sujet unique : les écorces.Quels arbres ont les plus belles écorces ? À quoi servent-elles ? Qu'ont-elles à nous apprendre sur la vie des arbres… et sur le fonctionnement même du vivant sur Terre ?Depuis 25 ans, Cédric explore ce territoire de textures, de formes et de couleurs. Je t'ouvre la porte, dans cet épisode, à son univers botanique fantastique.Les écorces, nous en croisons tous les jours, et pourtant elles restent un sujet peu étudié par les scientifiques. Nous sommes à l'aube de découvertes passionnantes, et Cédric nous explique pourquoi.Son credo est simple et puissant : quand on aime quelque chose, on le protège. Avec ses photographies, il veut que notre regard change, que la beauté des arbres nous touche… pour que nous les aimions davantage, et que nous ayons envie de les défendre.De l'« écorce à bisous », aux écorces qui concentrent toutes les couleurs de l'arc-en-ciel, en passant par la redécouverte de savoir-faire anciens comme le tissage d'écorces de tilleul… cet épisode est une promenade pleine de merveilles inattendues.Très belle écoute—Les dates des prochaines expositions de Cédric : https://cedric-pollet.com/fr/exposLe lien pour découvrir ses livres : https://cedric-pollet.com/fr/livres
Photographe pictorialiste bordelais issu du graphisme, des Beaux-Arts et ancien directeur artistique dans la publicité, Nicolas Seurot gravite autour de la peinture et de la gravure depuis sa jeunesse. Il nous explique sa démarche créative aux côtés de Deftom. Nicolas Seurot flirte avec la peinture picturale et plus précisément, la peinture classique et romantique depuis son enfance.Ancien élève de l'ECV de Bordeaux et des Beaux-Arts, puis directeur artistique dans la publicité, il explique ce qu'est le pictorialisme, son mouvement de prédilection et source d'inspiration dans ses œuvres photographiques zn mettant en avant sa propre sensibilité : « Le pictorialisme est un très vieux courant né à l'époque où la photo venait d'apparaître et effectivement, il y a eu tout un mouvement d'artistes quiavaient des photographes, qui faisaient des photos classiques en continuant sur ce chemin de la photo ; d'autres se sont dit en fait que la photo allait servir d'outil pour obtenir un rendu artistique et pictorialiste ». La photo, argentique ou numérique, pour se rapprocher au maximum de la peinture et, Nicolas en reste passionné mais iladmet que ce mouvement a été laissé à l'abandon. « Le pictorialisme, ça a été une mode comme il y en a eu dans la peinture à différents époques ». Lui qui a évolué dans l'univers de la publicité et réalisé bon nombre de campagnes a pu vivre l'importance de l'image et de rester justement à la mode, au fait des dernières techniques. Il rappelle aussi que certains cinéastes sont issus de la photo comme Ridley Scott et Tony Scott ou encore David Fincher. La publicité permet d'être plus libre et d'expérimenter sans cesse. En tout cas, c'est un délencheur de créativité !Nicolas a basculé dans la photo et exprime son amour pour le classicisme et le romantisme, pour les rencontres aussi, tout en explorant la lumière comme il le résume joliment « la photo, c'est comme un voyage, ce sont des rencontres avec des paysages et cette lumière à disposition, souvent exceptionnelle ».Comme il y avait de nombreux jeunes dans la pub, il s'entoure de jeunes dans son métier. « Je suis là pour proposer mon truc, pour diriger un peu la chose mais je m'entoure de jeunes talents. Et c'est ça, la force : on sait où aller chercher les bonnes idées pour perdurer. »Parti aux Etats-Unis, voyage qu'il voulait faire depuis lontemps, Nicolas s'est passionné pour l'univers des cowboys et du rodéo sur fond de paysages typiques de l'Amérique au coeur du Texas d'abord puis du Montana, du Wyoming ou encore du Colorado... Il y a rapporté de belles séries de photos dont une avec un rancher rencontré dans un bar. Situé à Yellowstone, son ranch de 2 500 hectares illustre bien cette immensité américaine. Nicolas retient aussi « le sens de hospitalité américaine car ce rancher a consacré sa journée à ma visite, aux côtés de sa femme et de sa fille, pour me faire visiter les lieux. Ce fut un moment exceptionnel ».Il a aussi gardé un bon souvenir des Texans.Les photos sont subjuguées par le papier d'art que Nicolas utilise, en particulier son préféré, le papier italien, qui embellit les sujets et les couleurs et restituant l'âme de chacune des images de ce photographe qui capture l'authentique. A découvrir dans ses deux magnifiques ouvrages d'ailleurs, Grits et Echos from The Roockies. D'autres œuvres sont aussi à découvrir, d'autres voyages, d'autres clichés, d'autres projets dont Nicolas extrait toujours la substantielle moelle...Retrouvez :Deftom Nicolas Panajou.fr
Merci à Yan Morvan d'être venu nous raconter les anecdotes exceptionnelles derrière ses photos dans les zones les plus dangereuses du monde.Retrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/EXPf740P-FEPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWVx Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans ce nouvel épisode, je tends mon micro à un homme qui, lui, tend son objectif. Amir Belkhir est un photographe marseillais qui documente les marges, capte l'essentiel et rend visible les invisibles. Son travail est un cri doux : “Regardez-nous comme on est ! » Amir je l'ai découvert par hasard sur Instagram et j'ai été saisie par la beauté de ses clichés ! J'y vois la jeunesse marseillaise, la fierté, la lumière crue et belle de cette ville. J'y vois un oeil précis, sensible et militant même. Marseille a besoin d'artistes comme lui, qui montrent sans trahir. Et nous, on a besoin d'écouter ceux qui voient mieux que nous parfois. Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fondateur du premier établissement lithographique belge important. Nous sommes le 16 septembre 1839, de retour de Paris, où il a découvert un nouveau procédé de photographie, le daguerréo type,un homme passionné, érudit, curieux de tout, réussit la première photographie belge. C'est une vue de la place des barricades, à Bruxelles. Cet homme ingénieux et fantasque, qui fit aussi entrer les musées dans une nouvelle ère, s'intéressa à toutes les nouveautés de son temps et en imagina quelques unes, s'appelle Marcellin Jobard. Marie-Christine Claes , Docteur en histoire de l'art, Responsable de l'infothèque - Département Documentation à l'Institut royal du Patrimoine artistique. Sujets traités : Marcellin Jobard, lithographe, photographe, musée Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dorothée Perkins est photographe et réalisatrice. Elle a publié tout récemment un livre appelé "Paris-Tokyo mon amour" aux éditions La Martinière dont elle a écrit les textes et réalisé les photos. Dans ce livre, elle va à la rencontre de Japonais vivant en France et d'amoureux du Japon exerçant en France une activité liée à leur pays de cœur. C'est dans ce cadre que notre fondatrice Mathilda Motte a rencontré Dorothée, car elle a eu l'honneur de passer derrière son objectif. Lors de leur rencontre, Dorothée confiait que, comme pour Mathilda avec la Maison du Mochi, ce livre était une manière de maintenir le lien avec le Japon après y avoir vécu. Mathilda eut donc très envie à son tour de lui poser des questions !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nourrie par la littérature et venue à la photographie par l'iconographie, Estelle Decléènne s'est appropriée l'éthique de l'urbex pour mieux se libérer de ses codes. Son extrême sensibilité, sa disponibilité à l'Autre, qu'il soit visible ou invisible, ont fait le reste. Photographe des lieux oubliés, abandonnés — souvent des lieux d'aliénation —, elle donne une matérialité aux traces, au vivant, à la mémoire. Si « ce sont les écrivains qui [lui] ont appris à regarder », c'est bien la puissance poétique de son regard qui redonne leur identité à ses disparus que l'on ne voit pas mais qui sont pourtant omniprésents. Photographe de la contre-archive comme elle se définit elle-même (« Je vais à rebrousse-poil de l'Histoire »), Estelle Decléènne voit le sublime dans le banal et produit des images d'où le sacré émerge sans qu'il soit convoqué. Il entre à pas feutrés comme un rais de lumière d'été à travers des feuillages d'un jardin ombragé.
Mathieu photographie les animaux du monde entier. Il nous partage ses techniques et ses anecdotes de rencontre face aux animaux de la savane. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard présente le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatima Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes à visages découverts, en tenues traditionnelles et débarrassées de leur burqa, tandis que la Française Oriane Zerah nous fait découvrir la passion des hommes pour les fleurs dans un pays ravagé par la violence. À lire aussiOriane Zerah photographie la passion des fleurs des afghans en régime taliban
À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard présente le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatima Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes à visages découverts, en tenues traditionnelles et débarrassées de leur burqa, tandis que la Française Oriane Zerah nous fait découvrir la passion des hommes pour les fleurs dans un pays ravagé par la violence. À lire aussiOriane Zerah photographie la passion des fleurs des afghans en régime taliban
durée : 00:43:10 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Nice transforme sa 6ᵉ Biennale des Arts en Biennale des Arts et de l'Océan. Deux artistes y plongent avec force et poésie : Manon Lanjouère, avec "Les Particules : le conte humain d'une eau qui meurt", et Ugo Schiavi, avec "La Zone de Minuit". - réalisation : Laurence Malonda, Thomas Beau, Louise André - invités : Manon Lanjouère Photographe; Hélène Guenin Directrice du MAMAC à Nice; Ugo Schiavi Artiste
durée : 02:00:58 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère
Il aurait pu sombrer dans toutes les dépendances. Il a choisi la plus rare: celle au flow, ce moment suspendu où tout devient instinct, où la chute devient maîtrise, où l'adrénaline calme au lieu d'exciter. Photographe de luxe la semaine, champion de Wingsuit, le week-end Adrien Devillette transforme le vide intérieur en ligne de fuite, mais pas pour fuir... pour rester en vie. Un épisode en apesanteur entre ciel et terre, où on va voir comment on remplace une redescente, par une bonne grosse chute libre.
Il a une gueule d'ange, il parle bien, et c'est un photographe au talent reconnu. Mais d'après certaines jeunes femmes, ce serait surtout un impitoyable prédateur sexuel.Son nom ? Salim Berrada. Son terrain de chasse ? Les réseaux sociaux et les applis de rencontre. D'après ses déclarations, ce sont plus de 600 jeunes femmes qu'il aurait ainsi rencontrées…Toutes celles qui l'accusent racontent la même histoire : la promesse d'un shooting photo et une soirée qui vire au cauchemar, entre viols et attouchements…Lui crie son innocence. Mais les enquêteurs en sont convaincus : pour attirer ses proies, il avait mis au point un stratagème bien huilé. Lequel ?La réponse dans ce podcast inédit de Chroniques Criminelles, raconté par Jacques Pradel.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:06 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de l'exposition "Nous autres, Donna Gottschalk et Hélène Giannecchini avec Carla Williams", présentée au BAL à Paris. Un dialogue entre trois femmes de trois générations, entre trois artistes du queer et du minoritaire, entre photographie, littérature et histoire de l'art. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
REDIFF - Mathieu Courdesses, photographe animalier, parcourt le monde pour capturer des images d'animaux sauvages, au péril de sa vie. Son dernier voyage en Afrique du Sud lui a permis de photographier des lions à crinière brune et un oryctérope rare, après des années de recherche! À travers ses récits, il témoigne des dangers rencontrés et de son engagement pour la conservation des espèces menacées. On peut retrouver toutes ses aventures sur sa chaine YouTube. et ses photos dans le livre "Green and Wild" (publié chez Dashbook)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de l'émission du jour : Mathieu Courdesses, photographe animalier, raconte au micro de Faustine Bollaert ses aventures à travers le monde pour capturer des images exceptionnelles d'animaux sauvages. Entre frayeurs et rencontres insolites, il nous plonge dans un univers fascinant, où chaque cliché raconte une histoire unique!. Le second "héros" s'appelle Youssef. A 20 ans, il est accusé à tort d'un vol à main armée et passe deux ans en prison, malgré des preuves d'innocence ignorées. Après avoir fui la justice, il est finalement condamné à 10 ans avant d'être innocenté en 2009. Aujourd'hui, il se consacre à l'écriture et au théâtre, déterminé à partager son expérience et à reconstruire sa vie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:52 - Comme personne - Après 20 mois sous les bombes, la bande de Gaza est toujours inaccessible aux journalistes internationaux. Mohammed Zaanoun, photographe palestinien, a couvert les six premiers mois de la guerre avant de fuir aux Pays-Bas. Il était invité à l'Assemblée nationale par la France insoumise début juin.
durée : 00:04:52 - Comme personne - Après 20 mois sous les bombes, la bande de Gaza est toujours inaccessible aux journalistes internationaux. Mohammed Zaanoun, photographe palestinien, a couvert les six premiers mois de la guerre avant de fuir aux Pays-Bas. Il était invité à l'Assemblée nationale par la France insoumise début juin.
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
durée : 00:28:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le photographe SMITH présente actuellement une partie de son projet "Dami" à la galerie Leica. Prises au cœur des vignes, ces photographies explorent les résonances secrètes du vivant et les ramifications invisibles qui nous relient au monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Smith Photographe, cinéaste et plasticien français
Sara est une maman de deux enfants et photographe autodidacte exerçant dans le Var avec pour spécialité les photos de naissance, de famille.Sara vient dans cet épisode vous parler dans une première partie de sa maternité qu'elle a traversé en douceur tant pour sa première naissance de maman que sa deuxième ; même si elle confie avoir cheminer entre les deux sur la physiologie de la naissance notamment. Notre échange s'axe surtout autour de son métier de photographe qu'elle exerce depuis 2012. Une passion du naturel transpire chacune de ses photos qu'elle pense et immortalise avec justesse. Sara revient sur ce nécessaire devoir de représentation lorsqu'on photographie les bébés notamment. "L'image a dans ce cas notamment un devoir de représentation dans le sens où elle fait partie du patrimoine visuel, de l'héritage de la famille. Ces photos de naissance racontent des choses..." (selon ses propres mots).Sara revient sur la photographie qui est un outil parmi d'autres d'ancrage et d'élévation. En ce sens, elle dépeint un autre outil libérateur qu'elle a découvert : le chant. Une autre manière de se libérer du regard de l'Autre notamment que l'on retrouve sur la palette d'outil artistique de Sara !Un épisode simple et doux sur la maternité de Sara et riche en réflexions sur les photos de nos bébés et de celles que l'on voit sur la toile où le bébé est parfois objetisé...Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS !Pour retrouver Sara sur Instagram : @sara.ami.photographePour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:35 - L'invité de 7h50 du week-end - Après la mort du photographe franco-brésilien Sebastião Salgado, Alain Genestar, directeur de Polka Magazine, et le journaliste Pierre Haski saluent un homme d'exception, ce samedi sur France Inter.
Merci à Greg d'être venu sur plateau de LEGEND ! Greg Finck est photographe de mariage de luxe depuis 10 ans. Il vient nous raconter ses anecdotes les plus folles. Il a photographié un mariage qui a coûté 60 millions d'euros. Il a travaillé sur le mariage d'un marchand d'arme Bulgare. Il a déjà vu un marié quitter la cérémonie après le discours de sa femme et même des gens louer un “faux père” pour la cérémonie.Visitez son site ➡️ https://www.gregfinck.com/Retrouvez Greg sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/gregfinck/?hl=frAinsi que sur son TikTok ➡️: https://www.tiktok.com/@gregfinckRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/25ZbLczvDNgPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:50:25 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui, dans Affaires Sensibles, David Hamilton, photographe et prédateur - réalisé par : Helene Bizieau
durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe
Il y a quelques semaines, à l'occasion de l'Université de la Terre, j'ai eu la joie d'animer une conversation entre d'immenses artistes que j'admire profondément : le dessinateur Enki Bilal, le photographe de guerre Reza, le photographe sous marin Laurent Ballesta, la documentariste Anastasia Mikova et le journaliste culturel Adrien Rivierre. C'était un moment de grâce, où la magie de la rencontre était palpable.Je suis heureuse aujourd'hui de vous partager le replay de cet échange, accessible en vidéo sur https://www.youtube.com/@demainnattendpas et en audio sur toutes les plateformes de podcast Demain N'attend Pas Ensemble, on a parlé :du rôle de l‘art dans les temps obscurs que nous traversons, des raisons qui les ont amenés à s'engager, des dangers du digital dans notre rapport au monde et dans notre rapport à la vérité, de leur conviction profonde que le geste de l'artiste tient dans sa capacité à nous relier et à nous émouvoir et que ce n'est pas près d'être substitué par une IA…Installez-vous confortablement et laissez la magie opérer… Vous allez vous régaler !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.