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Photographe pictorialiste bordelais issu du graphisme, des Beaux-Arts et ancien directeur artistique dans la publicité, Nicolas Seurot gravite autour de la peinture et de la gravure depuis sa jeunesse. Il nous explique sa démarche créative aux côtés de Deftom. Nicolas Seurot flirte avec la peinture picturale et plus précisément, la peinture classique et romantique depuis son enfance.Ancien élève de l'ECV de Bordeaux et des Beaux-Arts, puis directeur artistique dans la publicité, il explique ce qu'est le pictorialisme, son mouvement de prédilection et source d'inspiration dans ses œuvres photographiques zn mettant en avant sa propre sensibilité : « Le pictorialisme est un très vieux courant né à l'époque où la photo venait d'apparaître et effectivement, il y a eu tout un mouvement d'artistes quiavaient des photographes, qui faisaient des photos classiques en continuant sur ce chemin de la photo ; d'autres se sont dit en fait que la photo allait servir d'outil pour obtenir un rendu artistique et pictorialiste ». La photo, argentique ou numérique, pour se rapprocher au maximum de la peinture et, Nicolas en reste passionné mais iladmet que ce mouvement a été laissé à l'abandon. « Le pictorialisme, ça a été une mode comme il y en a eu dans la peinture à différents époques ». Lui qui a évolué dans l'univers de la publicité et réalisé bon nombre de campagnes a pu vivre l'importance de l'image et de rester justement à la mode, au fait des dernières techniques. Il rappelle aussi que certains cinéastes sont issus de la photo comme Ridley Scott et Tony Scott ou encore David Fincher. La publicité permet d'être plus libre et d'expérimenter sans cesse. En tout cas, c'est un délencheur de créativité !Nicolas a basculé dans la photo et exprime son amour pour le classicisme et le romantisme, pour les rencontres aussi, tout en explorant la lumière comme il le résume joliment « la photo, c'est comme un voyage, ce sont des rencontres avec des paysages et cette lumière à disposition, souvent exceptionnelle ».Comme il y avait de nombreux jeunes dans la pub, il s'entoure de jeunes dans son métier. « Je suis là pour proposer mon truc, pour diriger un peu la chose mais je m'entoure de jeunes talents. Et c'est ça, la force : on sait où aller chercher les bonnes idées pour perdurer. »Parti aux Etats-Unis, voyage qu'il voulait faire depuis lontemps, Nicolas s'est passionné pour l'univers des cowboys et du rodéo sur fond de paysages typiques de l'Amérique au coeur du Texas d'abord puis du Montana, du Wyoming ou encore du Colorado... Il y a rapporté de belles séries de photos dont une avec un rancher rencontré dans un bar. Situé à Yellowstone, son ranch de 2 500 hectares illustre bien cette immensité américaine. Nicolas retient aussi « le sens de hospitalité américaine car ce rancher a consacré sa journée à ma visite, aux côtés de sa femme et de sa fille, pour me faire visiter les lieux. Ce fut un moment exceptionnel ».Il a aussi gardé un bon souvenir des Texans.Les photos sont subjuguées par le papier d'art que Nicolas utilise, en particulier son préféré, le papier italien, qui embellit les sujets et les couleurs et restituant l'âme de chacune des images de ce photographe qui capture l'authentique. A découvrir dans ses deux magnifiques ouvrages d'ailleurs, Grits et Echos from The Roockies. D'autres œuvres sont aussi à découvrir, d'autres voyages, d'autres clichés, d'autres projets dont Nicolas extrait toujours la substantielle moelle...Retrouvez :Deftom Nicolas Panajou.fr
Dans ce nouvel épisode, je tends mon micro à un homme qui, lui, tend son objectif. Amir Belkhir est un photographe marseillais qui documente les marges, capte l'essentiel et rend visible les invisibles. Son travail est un cri doux : “Regardez-nous comme on est ! » Amir je l'ai découvert par hasard sur Instagram et j'ai été saisie par la beauté de ses clichés ! J'y vois la jeunesse marseillaise, la fierté, la lumière crue et belle de cette ville. J'y vois un oeil précis, sensible et militant même. Marseille a besoin d'artistes comme lui, qui montrent sans trahir. Et nous, on a besoin d'écouter ceux qui voient mieux que nous parfois. Bonne écoute ! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Fondateur du premier établissement lithographique belge important. Nous sommes le 16 septembre 1839, de retour de Paris, où il a découvert un nouveau procédé de photographie, le daguerréo type,un homme passionné, érudit, curieux de tout, réussit la première photographie belge. C'est une vue de la place des barricades, à Bruxelles. Cet homme ingénieux et fantasque, qui fit aussi entrer les musées dans une nouvelle ère, s'intéressa à toutes les nouveautés de son temps et en imagina quelques unes, s'appelle Marcellin Jobard. Marie-Christine Claes , Docteur en histoire de l'art, Responsable de l'infothèque - Département Documentation à l'Institut royal du Patrimoine artistique. Sujets traités : Marcellin Jobard, lithographe, photographe, musée Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nourrie par la littérature et venue à la photographie par l'iconographie, Estelle Decléènne s'est appropriée l'éthique de l'urbex pour mieux se libérer de ses codes. Son extrême sensibilité, sa disponibilité à l'Autre, qu'il soit visible ou invisible, ont fait le reste. Photographe des lieux oubliés, abandonnés — souvent des lieux d'aliénation —, elle donne une matérialité aux traces, au vivant, à la mémoire. Si « ce sont les écrivains qui [lui] ont appris à regarder », c'est bien la puissance poétique de son regard qui redonne leur identité à ses disparus que l'on ne voit pas mais qui sont pourtant omniprésents. Photographe de la contre-archive comme elle se définit elle-même (« Je vais à rebrousse-poil de l'Histoire »), Estelle Decléènne voit le sublime dans le banal et produit des images d'où le sacré émerge sans qu'il soit convoqué. Il entre à pas feutrés comme un rais de lumière d'été à travers des feuillages d'un jardin ombragé.
Mathieu photographie les animaux du monde entier. Il nous partage ses techniques et ses anecdotes de rencontre face aux animaux de la savane. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard présente le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatima Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes à visages découverts, en tenues traditionnelles et débarrassées de leur burqa, tandis que la Française Oriane Zerah nous fait découvrir la passion des hommes pour les fleurs dans un pays ravagé par la violence. À lire aussiOriane Zerah photographie la passion des fleurs des afghans en régime taliban
À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard présente le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatima Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes à visages découverts, en tenues traditionnelles et débarrassées de leur burqa, tandis que la Française Oriane Zerah nous fait découvrir la passion des hommes pour les fleurs dans un pays ravagé par la violence. À lire aussiOriane Zerah photographie la passion des fleurs des afghans en régime taliban
durée : 00:43:10 - Les Midis de Culture - par : Chloë Cambreling - Nice transforme sa 6ᵉ Biennale des Arts en Biennale des Arts et de l'Océan. Deux artistes y plongent avec force et poésie : Manon Lanjouère, avec "Les Particules : le conte humain d'une eau qui meurt", et Ugo Schiavi, avec "La Zone de Minuit". - réalisation : Laurence Malonda, Thomas Beau, Louise André - invités : Manon Lanjouère Photographe; Hélène Guenin Directrice du MAMAC à Nice; Ugo Schiavi Artiste
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durée : 02:00:58 - Les Matins d'été - par : Astrid de Villaines, Stéphanie Villeneuve, Sarah Masson - . - réalisation : Félicie Faugère
Mon invitée d'aujourd'hui a lu mon livre. Est-ce que vous vous avez lu mon livre ? En tout cas c'est ce qui l'a amené à approfondir ses connaissances et se lancer un peu plus dans la photo de mariage. C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois la photographe de mariage Julien Antoine.Mon interview avec Julie va notamment vous faire découvrir :♦ Quels sont ses doutes pour se lancer vraiment♦ Comment elle a vécu ses premiers mariages♦ Comment elle a été photographe de mariage en tant que prestataire d'une sociétéLes liens de mon invité :https://jkanda.fr/https://www.instagram.com/jkanda.photographe/https://www.facebook.com/jkanda.photographe-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
Depuis Berlin, il veille sur l'héritage d'un photographe qui n'a jamais cessé de troubler le regard.Matthias Harder dirige la Fondation Helmut Newton. Il en est aussi le curateur en chef. Nommé par Helmut quelques mois avant son décès, puis accompagné par le regard de June, il orchestre depuis des années les expositions, les publications, les archives - mais surtout, il façonne une mémoire vivante. Celle de Helmut Newton, bien sûr, mais aussi celle de June Newton, Photographe elle aussi. Plus discrète, mais tout aussi précise, sous le nom d'Alice Springs, elle a construit une œuvre à part entière.On s'est retrouvés à Arles, dans la cuisine de Julia de Bierre, fondatrice de la Galerie Huit. Loin des grandes institutions, on a parlé de photographie, de regard, de pouvoir, de tendresse aussi. Et de cette ligne fine entre fascination et inconfort. Une plongée lucide dans les coulisses de la photographie contemporaine, entre passion, responsabilité et mémoire.Dans cette conversation, nous parlons longuement de ce photographe qui a bousculé les codes, imposé une esthétique aussi radicale qu'irrévérencieuse, tout autant que de la présence fondamentale d'Alice Springs.Un échange amical et généreux. Et cette intimité particulière que seule la radio permet, quand la voix devient le lieu du partage.English version :From Berlin, he watches over the legacy of a photographer who never stopped unsettling the gaze.Matthias Harder is the director and chief curator of the Helmut Newton Foundation. Appointed by Helmut just a few months before his death, and later accompanied by June's sharp eye, he has been curating exhibitions, publications, and archives for years — but above all, he has been shaping a living memory.The memory of Helmut Newton, of course — but also that of June Newton, herself a photographer. More discreet, yet equally precise. Under the name Alice Springs, she built a body of work all her own.We met in Arles, in the kitchen of Julia de Bierre, founder of Galerie Huit. Far from the major institutions, we spoke about photography, about the gaze, about power — and tenderness, too. About that delicate line between fascination and discomfort.A clear-eyed dive into the backstage of contemporary photography, where passion, responsibility and memory intertwine.In this conversation, we speak at length about a photographer who broke all the rules and carved out a style both radical and irreverent — as well as about the essential presence of Alice Springs.A warm, generous exchange. And that special intimacy only radio can offer, when the voice becomes a space for sharing.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il aurait pu sombrer dans toutes les dépendances. Il a choisi la plus rare: celle au flow, ce moment suspendu où tout devient instinct, où la chute devient maîtrise, où l'adrénaline calme au lieu d'exciter. Photographe de luxe la semaine, champion de Wingsuit, le week-end Adrien Devillette transforme le vide intérieur en ligne de fuite, mais pas pour fuir... pour rester en vie. Un épisode en apesanteur entre ciel et terre, où on va voir comment on remplace une redescente, par une bonne grosse chute libre.
Florian, c'est un visage familier chez Gavroche. Adhérent depuis 2017, photographe officiel de la maison, il partage dans cet épisode son parcours d'entraînement avec un emploi du temps décalé.Entre les shootings et les horaires instables, il a appris à faire avec : accepter que toutes les séances ne seront pas parfaites, que certains jours, le corps dit non — et que c'est ok.Ce n'est pas un abandon. C'est une forme de maturité : celle de comprendre qu'on ne vit pas comme un athlète pro, mais qu'on peut quand même progresser.Il nous raconte comment cette lucidité a changé sa façon de s'entraîner, et pourquoi il a choisi Gavroche : ici, pas de culte de la performance à tout prix. Juste une exigence simple : faire de son mieux, régulièrement.Parce qu'au fond, c'est ça le vrai but : construire un corps capable, malgré les contraintes du quotidien. Et continuer à avancer, séance après séance.Venez vous entraîner. Venez comme vous êtes. Mais venez pour progresser.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a une gueule d'ange, il parle bien, et c'est un photographe au talent reconnu. Mais d'après certaines jeunes femmes, ce serait surtout un impitoyable prédateur sexuel.Son nom ? Salim Berrada. Son terrain de chasse ? Les réseaux sociaux et les applis de rencontre. D'après ses déclarations, ce sont plus de 600 jeunes femmes qu'il aurait ainsi rencontrées…Toutes celles qui l'accusent racontent la même histoire : la promesse d'un shooting photo et une soirée qui vire au cauchemar, entre viols et attouchements…Lui crie son innocence. Mais les enquêteurs en sont convaincus : pour attirer ses proies, il avait mis au point un stratagème bien huilé. Lequel ?La réponse dans ce podcast inédit de Chroniques Criminelles, raconté par Jacques Pradel.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:11:06 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de l'exposition "Nous autres, Donna Gottschalk et Hélène Giannecchini avec Carla Williams", présentée au BAL à Paris. Un dialogue entre trois femmes de trois générations, entre trois artistes du queer et du minoritaire, entre photographie, littérature et histoire de l'art. - réalisation : Louise André - invités : Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition ; Stéphane Corréard Editorialiste au Journal des Arts
REDIFF - Mathieu Courdesses, photographe animalier, parcourt le monde pour capturer des images d'animaux sauvages, au péril de sa vie. Son dernier voyage en Afrique du Sud lui a permis de photographier des lions à crinière brune et un oryctérope rare, après des années de recherche! À travers ses récits, il témoigne des dangers rencontrés et de son engagement pour la conservation des espèces menacées. On peut retrouver toutes ses aventures sur sa chaine YouTube. et ses photos dans le livre "Green and Wild" (publié chez Dashbook)Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au programme de l'émission du jour : Mathieu Courdesses, photographe animalier, raconte au micro de Faustine Bollaert ses aventures à travers le monde pour capturer des images exceptionnelles d'animaux sauvages. Entre frayeurs et rencontres insolites, il nous plonge dans un univers fascinant, où chaque cliché raconte une histoire unique!. Le second "héros" s'appelle Youssef. A 20 ans, il est accusé à tort d'un vol à main armée et passe deux ans en prison, malgré des preuves d'innocence ignorées. Après avoir fui la justice, il est finalement condamné à 10 ans avant d'être innocenté en 2009. Aujourd'hui, il se consacre à l'écriture et au théâtre, déterminé à partager son expérience et à reconstruire sa vie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon invité d'aujourd'hui a réussi très vite à avoir plusieurs mariages et le tout avec un bon panier moyen. À peine deux ans pour atteindre ce niveau. J'ai même dû le ralentir ! C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois le photographe de mariage William Desse.Mon interview avec William va notamment vous faire découvrir :♦ Comment gérer une vie de famille et d'entrepreneur♦ Comment il a appliqué tous les conseils de la formation rapidement♦ Sa vision du grand angle en photo de mariageLes liens de mon invité :https://www.williamdesse.com/https://www.instagram.com/william_desse_photographe/-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
durée : 00:04:52 - Comme personne - Après 20 mois sous les bombes, la bande de Gaza est toujours inaccessible aux journalistes internationaux. Mohammed Zaanoun, photographe palestinien, a couvert les six premiers mois de la guerre avant de fuir aux Pays-Bas. Il était invité à l'Assemblée nationale par la France insoumise début juin.
durée : 00:04:52 - Comme personne - Après 20 mois sous les bombes, la bande de Gaza est toujours inaccessible aux journalistes internationaux. Mohammed Zaanoun, photographe palestinien, a couvert les six premiers mois de la guerre avant de fuir aux Pays-Bas. Il était invité à l'Assemblée nationale par la France insoumise début juin.
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
durée : 00:04:47 - Comme personne - Photographier la mer permet-il de mieux faire connaître ce grand inconnu qu'est l'océan ? Question posée au photographe de l'agence Magnum Jean Gaumy, peintre officiel de la Marine et vice-président de l'Académie des beaux-arts, qui, durant des décennies, a photographié et filmé les milieux marins. - invités : Jean Gaumy Photographe
durée : 00:28:07 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Le photographe SMITH présente actuellement une partie de son projet "Dami" à la galerie Leica. Prises au cœur des vignes, ces photographies explorent les résonances secrètes du vivant et les ramifications invisibles qui nous relient au monde. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Smith Photographe, cinéaste et plasticien français
Sara est une maman de deux enfants et photographe autodidacte exerçant dans le Var avec pour spécialité les photos de naissance, de famille.Sara vient dans cet épisode vous parler dans une première partie de sa maternité qu'elle a traversé en douceur tant pour sa première naissance de maman que sa deuxième ; même si elle confie avoir cheminer entre les deux sur la physiologie de la naissance notamment. Notre échange s'axe surtout autour de son métier de photographe qu'elle exerce depuis 2012. Une passion du naturel transpire chacune de ses photos qu'elle pense et immortalise avec justesse. Sara revient sur ce nécessaire devoir de représentation lorsqu'on photographie les bébés notamment. "L'image a dans ce cas notamment un devoir de représentation dans le sens où elle fait partie du patrimoine visuel, de l'héritage de la famille. Ces photos de naissance racontent des choses..." (selon ses propres mots).Sara revient sur la photographie qui est un outil parmi d'autres d'ancrage et d'élévation. En ce sens, elle dépeint un autre outil libérateur qu'elle a découvert : le chant. Une autre manière de se libérer du regard de l'Autre notamment que l'on retrouve sur la palette d'outil artistique de Sara !Un épisode simple et doux sur la maternité de Sara et riche en réflexions sur les photos de nos bébés et de celles que l'on voit sur la toile où le bébé est parfois objetisé...Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS !Pour retrouver Sara sur Instagram : @sara.ami.photographePour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:12:35 - L'invité de 7h50 du week-end - Après la mort du photographe franco-brésilien Sebastião Salgado, Alain Genestar, directeur de Polka Magazine, et le journaliste Pierre Haski saluent un homme d'exception, ce samedi sur France Inter.
Merci à Greg d'être venu sur plateau de LEGEND ! Greg Finck est photographe de mariage de luxe depuis 10 ans. Il vient nous raconter ses anecdotes les plus folles. Il a photographié un mariage qui a coûté 60 millions d'euros. Il a travaillé sur le mariage d'un marchand d'arme Bulgare. Il a déjà vu un marié quitter la cérémonie après le discours de sa femme et même des gens louer un “faux père” pour la cérémonie.Visitez son site ➡️ https://www.gregfinck.com/Retrouvez Greg sur Instagram ➡️: https://www.instagram.com/gregfinck/?hl=frAinsi que sur son TikTok ➡️: https://www.tiktok.com/@gregfinckRetrouvez l'interview complète sur YouTube ➡️ https://youtu.be/25ZbLczvDNgPour toutes demandes de partenariats : legend@influxcrew.comRetrouvez-nous sur tous les réseaux LEGEND !Facebook : https://www.facebook.com/legendmediafrInstagram : https://www.instagram.com/legendmedia/TikTok : https://www.tiktok.com/@legendTwitter : https://twitter.com/legendmediafrSnapchat : https://t.snapchat.com/CgEvsbWV Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
En plus des audio sexe, nous accueillons des personnalités qui font vivre l'érotisme. Dans cet épisode inspirant du Son du Désir, nous recevons Léonie Stolberg, photographe passionnée, militante du body positivisme et créatrice d'images puissantes mettant en lumière la beauté des corps dans toute leur diversité.
durée : 00:50:25 - Affaires sensibles - par : Fabrice Drouelle, Franck COGNARD - Aujourd'hui, dans Affaires Sensibles, David Hamilton, photographe et prédateur - réalisé par : Helene Bizieau
durée : 00:29:55 - Les Nuits de France Culture - par : Albane Penaranda - Dans "Agora", Robert Doisneau évoquait son premier appareil, ses années aux usines Renault. Il parlait du mouvement et de l'immobilité, du hasard, de l'attente, de la bonne distance du photographe, du noir et blanc, de la couleur... Il parlait de la photographie comme d'un art funéraire. - réalisation : Virginie Mourthé - invités : Robert Doisneau Photographe
Poursuivre l'exploration de l'art de l'attention avec Reza : « l'attention fait partie intégrale du travail de photographe » La photographie est une histoire d'attention. Une manière de capter l'instant, de saisir la lumière, de révéler l'invisible. Reza Deghati -il signe ses œuvres de son nom d'artiste Reza-, photo-reporter de renom, parcourt le monde depuis des décennies, armé de son objectif et d'un regard habité par l'humanité. Ses images racontent des vies, des résistances, des espoirs, et nous invitent à voir autrement. J'ai été extrêmement émue, et honorée, de recevoir ce grand homme à mon micro. Le regard qu'il porte sur le monde est singulier, comme son parcours et son travail. Son rapport à l'attention est essentiel, engagé et il le partage avec nous avec beaucoup de grâce. J'espère que cette conversation vous touchera autant que moi.Après des études d'architecture, il se spécialise en parallèle pour la photo, discipline pour laquelle il se fait remarquer, et arrêter, très tôt, vers 16 ans et bien avant la révolution islamique Iranienne. Il doit quitter l'Iran dès 1981 car ses photographies gênent, et ne peut pas, depuis, remettre les pieds dans son pays. Mais il parcourt le monde avec son objectif, et ses photographies montrent le chaos de la guerre de ses ravages et du désarroi des êtres humains pris dans la tourmente. L'année 1991 marque le début pour Reza d'une longue et étroite collaboration avec la revue National Geographic. Ses photographies ont fait l'objet de 25 couvertures du magazine. "Je ne suis pas photographe de guerre, je suis correspondant de paix " Dans cet épisode de L'Art de l'Attention, nous parlons de ce que signifie vraiment « regarder » : comment prêter attention au monde, comment raconter une histoire en une seule image, comment témoigner sans trahir. Avec Reza, l'attention devient un engagement, une éthique, une poésie. Quelques citations extraites de notre conversation avec Reza :« L'attention fait partie intégrale du travail de photographe »« J'écris l'histoire des autres, j'essaie de mettre ma photographie au service de l'histoire des autres, qui n'ont pas de voix »,« On va défendre qqchose qu'on aime »,« La photographie est comme une peinture, elle a ses règles aussi.»Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il y a quelques semaines, à l'occasion de l'Université de la Terre, j'ai eu la joie d'animer une conversation entre d'immenses artistes que j'admire profondément : le dessinateur Enki Bilal, le photographe de guerre Reza, le photographe sous marin Laurent Ballesta, la documentariste Anastasia Mikova et le journaliste culturel Adrien Rivierre. C'était un moment de grâce, où la magie de la rencontre était palpable.Je suis heureuse aujourd'hui de vous partager le replay de cet échange, accessible en vidéo sur https://www.youtube.com/@demainnattendpas et en audio sur toutes les plateformes de podcast Demain N'attend Pas Ensemble, on a parlé :du rôle de l‘art dans les temps obscurs que nous traversons, des raisons qui les ont amenés à s'engager, des dangers du digital dans notre rapport au monde et dans notre rapport à la vérité, de leur conviction profonde que le geste de l'artiste tient dans sa capacité à nous relier et à nous émouvoir et que ce n'est pas près d'être substitué par une IA…Installez-vous confortablement et laissez la magie opérer… Vous allez vous régaler !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Pour la première fois depuis 20 ans, le musée Maillol à Paris présente plus de 350 clichés de Robert Doisneau, un maître de la photographie. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", cette rétrospective couvre 50 ans de son travail, incluant photos, objets et archives. L'exposition met en lumière la capacité du photographe à capturer l'extraordinaire dans le quotidien, pour le plus grand plaisir des visiteurs. Du lundi au vendredi, la rédaction de RTL revient sur un fait marquant de l'actualité avec les reporters, les correspondants et les experts de RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le musée Maillol à Paris accueille une rétrospective exceptionnelle de Robert Doisneau, dévoilant plus de 350 clichés du célèbre photographe. Intitulée "Robert Doisneau. Instants Donnés", l'exposition explore 50 ans de l'œuvre de Doisneau, mettant en lumière sa capacité unique à capturer l'extraordinaire dans le quotidien. Ecoutez Laissez-vous tenter - Première avec Laurent Marsick du 18 avril 2025.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Aujourd'hui, Flora Ghebali, Mourad Boudjellal et Charles Consigny débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
L'artiste et photographe malgache Rijasolo expose pour la première fois à Paris à la Fondation H ses photos artistiques. Loin du photojournalisme qu'il pratique depuis 25 ans, le lauréat du concours World Press Photo 2022 de la région Afrique, (avec son reportage « La guerre du Zébu »), nous propose un autre aspect de son travail, plus personnel et plus subjectif. Dans « La nuit porte la lumière », titre de son exposition, Rijasolo explore l'invisible, la nuit vibrante de vie et les contradictions des Malgaches. À lire aussi«La nuit porte la lumière»: le photographe malgache Rijasolo expose à la Fondation H, à ParisÀ lire aussiRijasolo, un oeil insulaire
Cet épisode est un extrait du podcast publié lundi dernier. En moins de 10 minutes, il te permettra de capter les plus beaux messages de l'épisode avec Alexis Rosenfeld.Un extrait qui je l'espère, remplacera Instagram pendant ta pause de 10mn, se retrouvera dans tes oreilles avant de t'endormir, ou à ton réveil pour commencer ta journée dans la joie. Si ce passage te plait et que tu as envie d'en connaître plus sur mon invité de la semaine, l'épisode en entier t'attend chaudement sur Nouvel Œil.
Rendre visible l'invisible : voilà le métier d'Alexis Rosenfeld. Ou plutôt sa passion, devenue sa mission, et puis finalement sa vie. En fait, il est photographe. Mais pas n'importe quel photographe. Un photographe dans un monde féérique, jusqu'au jour où il a compris que l'irréversible existait. A travers ses images, il éveille les consciences face à la dégradation des océans. En 2018, en partenariat avec l'UNESCO, il a initié le projet « 1 OCEAN », qui vise à explorer, comprendre et émerveiller par l'image.Bref, vous l'aurez compris, Alexis plonge dans les eaux du monde pour déceler et relever à la surface les beautés fragiles.Avec lui sur Nouvel Œil, on parle de curiosité, de beauté, et d'océans.J'espère que cette écoute t'aidera à rendre visible l'invisible. Belle écoute ! ☀️ ---Cette saison de podcasts est soutenue par Nouveau Monde, un fonds de dotation qui facilite l'accès à la méditation et à la pleine conscience, en France.Retrouvez ici la Parenthèse Enchantée.Si tu as aimé cet épisode, tu peux le partager, écrire un commentaire dans la description et laisser des étoiles sur ta plateforme d'écoute ! ---
Dans cet épisode, je vous invite à partir à la découverte du travail de Cédric Pollet, un botaniste-photographe pas comme les autres qui nous fait voir les arbres comme on ne les a jamais vu ! S'il existe de nombreux photographes de nature, de forets, d'arbres, Cédric est le premier photographe a avoir dédié tout son travail aux seules écorces d'arbres.Quels sont les arbres qui ont les plus belles écorces ? À quoi servent-elles ? Qu'ont elles à nous apprendre sur les arbres ? Sur le fonctionnement de la vie sur terre ?C'est tout cet écosystème de questionnements et de mystères que Cédric Pollet touche du doigts avec sa pratique depuis 25 ans… et j'essaie dans cet épisode de nous permettre d'entrer dans cet univers botanique fantastique !Des écorces d'arbres, nous en croisons tous les jours et pourtant c'est un sujet encore très peu exploré par les botanistes. Nous sommes à l'aube de belles découvertes, Cédric nous l'explique très bien !Son crédo ? Quand on aime quelque chose, on le protège. À travers ces photos, son but est que nous puissions regarder autrement les arbres, que leur beauté nous touche et que nous les aimions en retour.Depuis l'écorce à bisous, en passant par celle reprenant toutes les couleurs de l'arc en ciel ou encore le retour de savoir-faire ancestraux comme celui du tissage d'écorces de tilleul, voilà un épisode rempli de fabuleuses surprises !Très bonne écoute !—