Podcast appearances and mentions of emilie hammen

Dans le troisième et dernier volet de cette série consacrée à l'histoire de Lesage, découvrez comment, il y a plus de trente ans, la Maison s'est ouverte aux arts décoratifs et à l'ameublement en créant le département Lesage intérieurs à Paris et l'atelier Vastrakala à Chennai, en Inde. Ce voyage dans le temps s'arrête également en 2011, année marquante où s'opère la passation entre François Lesage et Hubert Barrère, actuel directeur artistique de la Maison. Enfin, cet épisode vous dévoile comment Lesage explore sans cesse de nouveaux horizons créatifs, notamment à travers des collaborations avec des artistes contemporains, pour réinventer la broderie et envisager les 100 prochaines années de créativité et d'excellence. Un podcast produit par Géraldine Sarratia dans le cadre de l'exposition « Lesage, 100 ans de mode et de décoration » à la Galerie du 19M, du 26 septembre au 26 janvier 2025.Avec : Aristide Barraud, artiste ; Hubert Barrère, directeur artistique de Lesage ; Victoire de Brantes, designeuse ; Dominique Dufour, brodeuse et échantillonneuse chez Lesage, Meilleur Ouvrier de France ; Emilie Hammen, chercheuse, directrice de la Chaire CHANEL et le19M des savoir-faire de la mode à l'IFM ; Jean-François Lesage, directeur artistique de Lesage intérieurs ; Bruno Pavlovsky, président de CHANEL SAS et du 19M ; Malavika Shivakumar, co-fondatrice de l'atelier d'excellence Vastrakala et Jeanne Vicérial, artiste.

Ce deuxième épisode vous raconte comment Lesage, face aux crises des années 90, s'est diversifié en créant une école de broderie et un département de création textile, où sont développés les emblématiques tweeds de CHANEL. Découvrez aussi comment Lesage a rejoint l'écosystème des Métiers d'art de CHANEL et assistez à la naissance de la collection Métiers d'art initiée par Karl Lagerfeld en 2002 pour valoriser ces savoir-faire essentiels.Un podcast produit par Géraldine Sarratia dans le cadre de l'exposition « Lesage, 100 ans de mode et de décoration » à la Galerie du 19M, du 26 septembre au 5 janvier 2025.Avec : Laura Arguelles, directrice du département textile de Lesage ; Hubert Barrère, directeur artistique de Lesage ; Emilie Hammen, enseignante et chercheuse ; Jean-François Lesage, petit-fils d'Albert Lesage et directeur artistique de Lesage Intérieurs ; Florence Tavernier, brodeuse ; Murielle Lemoine, directrice Relations Studio et Développement Autre Client de Lesage et Bruno Pavlovsky, président de CHANEL SAS et du 19M.

En 2024, Lesage célèbre un siècle d'excellence au service de la Haute Couture, du prêt-à-porter et de la décoration. Cette illustre Maison de broderie et de tissage, aujourd'hui résidente du 19M, a su traverser les époques, s'ouvrir au textile, s'implanter en Inde et entrer dans l'Histoire.Dans ce premier épisode, de fins connaisseurs de la Maison reviennent sur ses origines et vous racontent comment Lesage a transformé le métier de brodeur, passant d'un simple fournisseur à un partenaire privilégié de la création pour des Maisons légendaires telles que Madeleine Vionnet, Schiaparelli, Saint Laurent, Balmain, Dior, Givenchy et CHANEL.Un podcast produit par Géraldine Sarratia dans le cadre de l'exposition « Lesage, 100 ans de mode et de décoration » à la Galerie du 19M, du 26 septembre au 5 janvier 2025.Avec : Hubert Barrère, directeur artistique de Lesage ; Emilie Hammen, enseignante et chercheuse ; Jean-François Lesage, petit-fils d'Albert Lesage et directeur artistique de Lesage Intérieurs ; Florence Tavernier, brodeuse ; Murielle Lemoine, directrice Relations Studio et Développement Autre Client de Lesage et Bruno Pavlovsky, président de CHANEL SAS et du 19M.

la Galerie du 19M invite Emilie Hammen, directrice de la Chaire CHANEL et le19M des Savoir-Faire de la Mode à mener une Conversation autour la photographie de mode, sa dimension collective et le renouvellement de l'iconographie des métiers d'art, avec Marlène Van de Casteele, enseignante-chercheuse, le photographe Laurent Poleo-Garnier, et Benoît Baume, fondateur de FishEye magazine. Un podcast produit par Géraldine Sarratia dans le cadre de l'exposition “Face à Face” à la Galerie du 19M. (31 août au 02 octobre 2022) la Galerie du 19M invite Emilie Hammen, directrice de la Chaire CHANEL et le19M des Savoir-Faire de la Mode à mener une Conversation autour la photographie de mode, sa dimension collective et le renouvellement de l'iconographie des métiers d'art, avec Marlène Van de Casteele, enseignante-chercheuse, le photographe Laurent Poleo-Garnier, et Benoît Baume, fondateur de FishEye magazine. Un podcast produit par Géraldine Sarratia dans le cadre de l'exposition “Face à Face” à la Galerie du 19M. (31 août au 02 octobre 2022)

“Who are today's dandies?”- In this episode, we head back in time to the 19th century with Prof. Emilie Hammen - professor and specialist in fashion historiography and craftsmanship- to learn all about the emergence, development, life and present status of the famous 19th century dandy figure. ◾  “InsideOut” is a podcast series where students interview and exchange with professors and researchers at Institut Français de la Mode. Each episode concentrates on a different issue of the fashion and creative industries. Join “InsideOut”, the fashion conversation from inside our campus out to you. Host: Pauline Miserey (MSc in International Fashion and Luxury management), Podcaster: Emilie Hammen, Recording & Editing: Alice Audrezet; Yannis BENKHALIFA & Josephine LAFAY ◾  FOLLOW US, JOIN IFM COMMUNITY ! Suivez nous et rejoignez notre communauté ! Instagram @ifmparis https://www.instagram.com/ifmparis Facebook @ifmparis https://www.facebook.com/ifmparis TikTok @ifmparis https://www.tiktok.com/@ifmparis Twitter @ifmparis https://twitter.com/IfmParis LinkedIn https://www.linkedin.com/company/institut-francais-de-la-mode/

Since his death in 2008, the impact of designer Yves Saint Laurent on women's fashion remains undimmed. The pea coat, the trench, the trouser suit – many of his designs are now staples of the modern Western woman's wardrobe. So how did this famously shy and retiring man achieve global success? And did his fashion innovations for women shape social change in the 1960s, or were they a response to his times? Bridget Kendall looks back at Saint Laurent's life and legacy with former director of the Yves Saint Laurent Museum, Olivier Flaviano, fashion historian Emilie Hammen and one of Saint Laurent's last assistants, designer Charles Sébline. First broadcast in 2018. (Photo: Yves Saint Laurent, French designer, with two fashion models, Betty Catroux [left] and Loulou de la Falaise, outside his 'Rive Gauche' shop. Credit: John Minihan, Getty Images)

“I didn't like my life, so I created my life,” the French fashion designer, Coco Chanel declared. And what a life it was: from her humble beginnings in an orphanage, Chanel blazed a trail as a fiercely independent woman, rising to become the toast of French high society. She mixed with the artists who defined modernism in the 1920s and ‘30s, and created a fashion empire which today is a multi-billion dollar business that still dominates the luxury clothes and accessories market. The suit, the little black dress and the handbag are just some of the items Chanel shaped in a career which covered much of the 20th century. Luxurious and elegant, but also practical, her designs gave women freedom to move and pursue the kinds of activities which were now opening up as society's barriers were being broken down. But the woman herself was a web of contradictions. While she contributed to the emancipation of rich women, she limited her workers' rights. And controversially, she was involved with a Nazi officer in occupied France during World War II. She even tried to capitalise on Nazi laws to seize back her hugely profitable perfume business, having previously sold the majority shares to a Jewish family. Joining Bridget Kendall to discuss the complex life of Coco Chanel are dress historian Amy de la Haye, author of Chanel: Couture and Industry and professor at the London College of Fashion; fashion historian Emilie Hammen from the Institut Français de la Mode in Paris; and Madelief Hohé, curator of the fashion and costume department at the Gemeentemuseum in The Hague, and the author of Femmes Fatales: Strong Women in Fashion. Image: Coco Chanel Credit: Roger Viollet/Getty Images

Il n’y a jamais eu de dichotomie profonde entre la figure du créateur de génie et celle du marchand. Frédérick Worth et Jacques Doucet étaient des marchands avant d’être des créateurs : le premier vendait du métrage textile, le second était marchand de chemises depuis plusieurs générations. Mais il existe néanmoins une tension récurrente au cœur de l’industrie de la mode : d’un côté la création et l’expérimentation (rupture, intuition, subjectivité), de l’autre le management, les ventes, le marketing et le merchandising (prédiction, analyse des données…). La séparation entre la création et la gestion a gagné du terrain depuis le milieu des années 1990, avec la financiarisation progressive des marques. Aujourd’hui, on ne demande plus aux créateurs de connaître leur marché : ils sont parachutés dans un environnement business pour y insuffler de la créativité et faire de l’image. Derrière eux, les structures industrielles et financières sont savamment orchestrées et on observe une scission de plus en plus évidente entre les deux fonctions (manager et créateur), même si un créateur de mode est comme un « chef d’orchestre » qui doit savoir tout faire même de manière superficielle (coudre, couper, communiquer, savoir ce qui se vend, analyser les chiffres…). Une discussion entre Emilie Hammen (professeur à l'IFM), Johanna Senyk (créatrice de mode, lauréate de l'ANDAM en 2016 avec sa marque Wanda Nylon) et Benjamin Simmenauer (professeur à l'IFM).

STRIKE A POD : le podcast piquant et flamboyant consacré au patrimoine vivant et jamais boring de la mode. Pour ce premier épisode "Ariana Grande, nouvelle égérie Hepburnienne chez Givenchy" nous avons invité : Emilie Hammen, historienne de la mode, doctorante et professeure à l’Institut Français de la Mode, Alice Pfeiffer, journaliste de mode, spécialiste de la question du genre, Jean-Jacques Picart, consultant et conseiller en image, et Francisco Terra, directeur artistique de Neith Nyer. INSIDE EP 1 : Hubert de Givenchy a créé sa maison de couture en 1952, à l'âge de 24 ans. "Élégance" est synonyme de ce créateur gentleman dont les clientes se nomment Jacky Kennedy Onassis, Grace Kelly et évidemment Audrey Hepburn, actrice, meilleure amie, muse. Le couturier vend sa maison à LVMH en 1988 et présente sa dernière collection en 1995. Ses successeurs se nomment John Galliano, Alexander McQueen et Riccardo Tisci. Ce dernier révolutionne l'esthétique de la maison pendant douze ans avant de quitter son poste en 2017 pour prendre la tête de la direction artistique de Burberry. Clare Waight Keller quitte alors Chloé pour remplacer Tisci chez Givenchy. En mai 2019, la chanteuse américaine Ariana Grande est annoncée comme le nouveau visage de la maison "a modern muse and the voice of a generation" selon le communiqué de presse. Quelques références cinématographiques, littéraires et musicales : Lire ou relire "Breakfast at Tiffany’s" de Truman Capote (1958) et voir ou revoir son adaptation au cinéma par Blake Edwards (1961) avec Audrey Hepburn dans le rôle-titre de Holly Golightly. Audrey Hepburn a porté des créations Givenchy pour les films “Sabrina” (1954), “Funny Face” (1957), “Love in the Afternoon” (1957), “Paris When it Sizzles” (1964) “How to Steal a Million” (1966), “Charade” (1963) and “Love Among Thieves” (1987). Pour tout connaître sur Audrey Hepburn et perfectionner son anglais, lire « Fifth Avenue, 5 A.M. » de Sam Wasson, Apprendre les paroles par coeur de "7 Rings" (2019) et "Side to Side" (2016), deux chansons d'Ariana Grande (2019)qui évoquent Tiffany's, joaillier de luxe. Et vous, qui auriez-vous imaginé comme muse chez Givenchy ?

Musée Yves Saint Laurent Paris - Rencontre avec Emilie Hammen by Musée Yves Saint Laurent Paris

In the ten years since his death, the impact of designer Yves Saint Laurent on women's fashion remains undimmed. The pea coat, the trench, the trouser suit – many of his designs are now staples of the modern Western woman's wardrobe. So how did this famously shy and retiring man achieve global success? And did his fashion innovations for women shape social change in the 1960s, or were they a response to his times? Bridget Kendall looks back at Saint Laurent's life and legacy with director of the Yves Saint Laurent Museum, Olivier Flaviano, fashion historian Emilie Hammen and one of Saint Laurent's last assistants, designer Charles Sébline. Photo: Yves Saint Laurent, French designer, with two fashion models, Betty Catroux (left) and Loulou de la Falaise, outside his 'Rive Gauche' shop. Credit: John Minihan, Getty Images.

"I like to dress Americans, they have faith, figures and francs" (Charles-Frederick Worth, 1895). Emilie Hammen (doctorante IFM) raconte les grandes dates de l'histoire des relations transatlantiques dans la mode. Depuis l'époque du Gilded Age aux États-Unis (1865- 1901), la haute société de la côte Est des Etats-Unis constitue une clientèle privilégiée de la couture française. Les clientes américaines de la haute couture ont été un modèle historique de la "consommation ostentatoire" théorisée par Thorstein Veblen. Emilie Hammen retrace une histoire riche en influences réciproques, depuis Paul Poiret, considéré comme "the king of fashion" aux Etats-Unis, jusqu'à Eleanor Lambert (1903 2003), qui créa la Fashion Week de New York et organisa Le Grand Divertissement de Versailles en novembre 1973, en passant par Mainbocher, griffe de haute couture fondée à Paris en 1929 et transférée à New York en 1940... On repense à une formule de la Gazette du Bon Ton en 1913 : "la mode, seule industrie française prépondérante aux Etats-Unis".