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La maison construite sur le roc et la maison construite sur le sableMéditation de l'évangile (Mt 7, 21-29) par Monique BaujardChant final : "Mon cœur chantera l'eternel" par le groupe BE WITNESSDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
On commence avec la fin du conclave sur les retraites : François Bayrou n'a pas réussi à trouver un compromis
Voici l'Évangile du jeudi 26 juin 2025 : « La maison ne s'est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc » (Mt 7, 15-20) En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Ce n'est pas en me disant : “Seigneur, Seigneur !” qu'on entrera dans le royaume des Cieux, mais c'est en faisant la volonté de mon Père qui est aux cieux. Ce jour-là, beaucoup me diront : “Seigneur, Seigneur, n'est- ce pas en ton nom que nous avons prophétisé, en ton nom que nous avons expulsé les démons, en ton nom que nous avons fait beaucoup de miracles ?” Alors je leur déclarerai : “Je ne vous ai jamais connus. Écartez- vous de moi, vous qui commettez le mal !” Ainsi, celui qui entend les paroles que je dis là et les met en pratique est comparable à un homme prévoyant qui a construit sa maison sur le roc. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé et se sont abattus sur cette maison ; la maison ne s'est pas écroulée, car elle était fondée sur le roc. Et celui qui entend de moi ces paroles sans les mettre en pratique est comparable à un homme insensé qui a construit sa maison sur le sable. La pluie est tombée, les torrents ont dévalé, les vents ont soufflé, ils sont venus battre cette maison ; la maison s'est écroulée, et son écroulement a été complet. » Lorsque Jésus eut terminé ce discours, les foules restèrent frappées de son enseignement, car il les enseignait en homme qui a autorité, et non pas comme leurs scribes. Cet enregistrement est proposé bénévolement pour répandre la Parole de Dieu
On commence avec la fin du conclave sur les retraites : François Bayrou n'a pas réussi à trouver un compromis
durée : 00:20:29 - C'est bon ça, c'est fait en Isère ? - Les godiveaux de la Maison Boudes à La Mure s'invitent au barbecue avec des saveurs locales surprenantes comme le cèpe ou la bière de Sassenage. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Cet été à Sélestat, la Maison du pain d'Alsace a prévu de vous régaler avec des animations très variées. Des ateliers de confection de biscuits, une ambiance conviviale et des visites guidées du musée seront notamment au programme. On en parle avec Anne-Céline, responsable de la partie musée de la Maison du pain d'Alsace.Renseignements et réservations sur le site maisondupain.alsace.Les interviews sont également à retrouver sur les plateformes Spotify, Deezer, Apple Podcasts, Podcast Addict ou encore Amazon Music.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans ce nouveau rendez-vous de la matinale week-end, Christophe Bordet revient sur l'actualité immobilière. Aujourd'hui, il s'intéresse à la climatisation à domicile.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:43 - Comme personne - Portrait de cette jeune femme qui, après hésitation et des années douloureuses à se réparer, a répondu à un appel lancé par l'artiste Prune Nourry pour poser, nue, pour une série de sculptures destinées à la gare "Saint-Denis-Pleyel" du Grand Paris Express.
Chaque matin, dans Culture Médias, Mathilde Veaux fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, retour sur l'officialisation de Léa Salamé à la tête du journal télévisé, la nouvelle formule de l'émission «la maison des maternelles» et la nouvelle compétition estival d'M6 «la meilleure destination de vacances».Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:04:43 - Comme personne - Portrait de cette jeune femme qui, après hésitation et des années douloureuses à se réparer, a répondu à un appel lancé par l'artiste Prune Nourry pour poser, nue, pour une série de sculptures destinées à la gare "Saint-Denis-Pleyel" du Grand Paris Express.
Chaque matin, dans Culture Médias, Mathilde Veaux fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, retour sur l'officialisation de Léa Salamé à la tête du journal télévisé, la nouvelle formule de l'émission «la maison des maternelles» et la nouvelle compétition estival d'M6 «la meilleure destination de vacances».Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
NOUVEAU : programme audio (ultra accessible) pour anticiper les étapes clés pour concilier grossesse & entrepreneuriat sans sacrifier ni l'un, ni l'autre !✨Bienvenue sur Grossesses d'Entrepreneuses✨Entrepreneuriat au féminin, maternité et passage média – retour sur mon expérience dans l'émission culte de France 2, La Maison des Maternelles ! Je vous raconte en toute transparence comment je me suis préparée et comment j'ai vécu ma 1ère interview télé.Alors mon intention à travers cet épisode hors-série, c'est de vous raconter l'avant-émission ainsi que le tournage puisque au moment où j'enregistre, l'émission n'est pas encore diffusée. Je prévois un deuxième épisode, où je parlerai de la diffusion et puis des retombées de mon passage dans l'émission. J'ai reçu beaucoup de questions par rapport à ce passage dans ce grand média, cet immense média qui est La Maison des Maternelles. Moi-même, après avoir été contactée par les journalistes, et en préparant mon passage, j'avais cherché des retours d'expérience sur internet et je n'en avais pas trouvé.Je me suis dit que ça pouvait éventuellement être utile, mais aussi, pour toutes les entrepreneuses qui m'écoutent, afin de démystifier un petit peu comment ça se passe. Pourquoi pas, vous donnez, vous aussi, l'envie et l'élan de décrocher ce genre d'opportunités pour vos activités respectives.Chapitrage :1:14 Le contexte - où en était mon activité à ce moment-là ?4:50 Comment j'ai décroché une interview dans La Maison des Maternelles ?!10:58 Comment je me suis préparée à mon 1er passage télé20:32 Les coulisses du tournage d'une émission France 227:13 Mon vécu de l'interview (et pourquoi j'ai parfois botté en touche !)43:43 : Les rendez-vous à ne pas manquer !Bonne écoute !
Aujourd'hui, nous vous proposons un éclairage précieux sur un sujet qui concerne les ateliers qui font ou vont faire face à une phase d'accélération : comment structurer sa croissance quand on est artisan d'art ? Pour cela, nous avons le plaisir d'accueillir : Julien Vermeulen, maître artisan d'art plumassier et fondateur de la Maison Vermeulen. Il travaille depuis plus de 10 ans pour les plus grandes maisons du luxe, de la mode et de la décoration. Et Claire Cantet, fondatrice de Claire Cantet Conseil. Elle accompagne les artisans d'art dans leur structuration et leur stratégie commerciale, avec une approche très concrète, nourrie de ses 20 ans d'expérience dans le secteur du luxe.Si vous voulez approfondir ces prises de conscience et faire grandir votre entreprise, adhérez pour plus d'entraide et de rencontres et plus d'ateliers auprès d'experts ! C'est 59€ par an, vous trouverez toutes les informations sur la page artisansdavenir.fr/adhérerSi vous avez aimé l'épisode, n'oubliez pas les 5 étoiles sur Apple podcast ou Spotify ;)Tous les mois, nous proposons un nouveau thème de discussion, pour éclairer une spécificité de l'artisanat d'art. Nous diffusons l'échange ici, mais si vous voulez poser vos propres questions, inscrivez-vous à l'événement, nous le communiquons via notre newsletter, et nos réseaux sociaux. Enfin, si vous voulez décrypter l'artisanat d'art avec nous, inscrivez-vous à notre newsletter et rejoignez-nous sur les réseaux sociaux @artisansdavenir (Instagram, Facebook, Linkedin).Si vous voulez acheter le livre "Profession artisan d'art" que nous avons écrit, il est disponible dans toutes les librairies et peut se commander depuis notre site internet.Pour nous rejoindre, c'est par ici !
Dans cet épisode exceptionnel, je reçois Ghada Hatem-Gantzer, gynécologue obstétricienne et fondatrice de la Maison des Femmes. Elle revient sur son parcours inspirant, ses combats pour la dignité des femmes, et son engagement contre l'excision, une pratique qu'elle lutte sans relâche à faire reculer. Abonnez-vous à la chaîne ❤️ https://urlr.me/R6dhAM Écoutez Conversations avant la fin du monde sur les plateformes : spotify : https://bit.ly/4hFO6GC apple podcast : https://bit.ly/4hgXdOz deezer : https://bit.ly/4hFyweb amazon music : https://bit.ly/3EvlDVI Suivez nous: instagram : @conversationavantlafindumonde et @julialayani tiktok : @julialayani Prod vidéo, audio, miniature et plein d'autres trucs : Illustre ! Studios https://illustrestudios.com Comment me contacter ? julialayani@gmail.com ❤️Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:59:14 - Être et savoir - par : Louise Tourret - Après le meurtre de Mélanie G., assistante d'éducation à Nogent, Être et savoir interroge la façon dont cet événement résonne à l'école et dans la société. - réalisation : Peire Legras - invités : Marie Rose Moro Pédopsychiatre, directrice de la maison de Solenn, et professeure à l'université Paris-Descartes; Sophie Vénétitay Professeure de SES, secrétaire générale du SNES-FSU (premier syndicat du secondaire); Laurence Thouroude Chercheuse en sciences de l'éducation et formatrice; Loudia Brice Coordinatrice jeunesse référente réussite éducative au centre social La Maison pour Tous du Val d'Argent à Argenteuil
durée : 00:22:31 - En cuisine avec Franck Daumas - À Pont-de-l'Isère, la Famille Chabran cultive depuis 1935 l'art de recevoir et de cuisiner. Michel, Carole et Louis racontent une histoire de transmission, d'amour des produits… et d'évolution parfaitement maîtrisée... Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
J'avais entendu parler de la Maison Yvon & Fira à Carnin, peu après son ouverture par l'une de mes anciennes collègues, intriguée j'avais commencé à suivre les aventures de Margot et Hippolyte. L'année dernière, lors d'un épisode spécial avec Service Compris, César Toulemonde, qui accompagne Margot & Hippolyte m'avait expliqué leur projet. Dans quelques mois, Margot et Hippolyte fêteront les deux ans de leur très beau lieu, c'était l'occasion parfaite pour enregistrer un épisode avec eux, d'autant plus qu'ils se sont dit oui le 14 juin, quelques jours avant la sortie de notre conversation. Tous deux m'ont réservé, lors de ma venue à Carnin, un accueil chaleureux avec de merveilleux cookies, qui sentaient divinement bon et auxquels j'ai réussi à résister pendant tout l'enregistrement. Nous sommes revenus sur leurs parcours, leur projet d'ouvrir un salon de thé, comment ils ont trouvé ce tiers lieu, et la façon dont la mairie de Carnin, mais également la BGE ou encore Service Compris les ont accompagnés dans l'ouverture de la Maison Yvon Fira. En près de deux ans, ils ont connu une courbe d'expérience incroyable, trouvé leurs clients et réussi à faire vivre la Maison en y mettant leur cœur et leur détermination, tout en étant entouré d'une équipe fidèle. Si vous avez aimé cette conversation et que vous avez envie de soutenir ce travail qu'est la création d'un podcast indépendant, n'hésitez pas à vous abonner sur votre plateforme d'écoute, à le noter, à laisser un commentaire et à le partager autour de vous, c'est par ces actions que le podcast sera visible alors merci à vous ! Maintenant, je laisse la place à cette conversation foisonnante et douce, que j'ai eu la joie d'enregistrer avec Margot et Hippolyte.Bonne écoute ! Les recommandations culturelles de Margot & Hippolyte :Ecouter le podcast Le club des Motivé.e.s par Holybelly studios Leurs recommandations d'invités :Anaïs et Benjamin, les fondateurs de Maison racineJulie Mérouane, Maman bouillonMinea Debruyne, Poterie des WeppesLaurent et Jérémy Wattelier, fondateurs de la Brasserie La DracheHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 14 juin 2025 - Conflit Israël - Iran : un revers pour Trump ?Il appelle l'Iran à « conclure un accord » sur son programme nucléaire « avant qu'il ne reste plus rien ». Donald Trump, en pleines négociations avec Téhéran, réagit prudemment aux récentes frappes israéliennes. La Maison-blanche parle d'« une action unilatérale » de l'Etat hébreu, et rappelle que les Etats-Unis n'étaient « pas impliqués » dans ces attaques.La réplique iranienne ne s'est en tout cas pas fait attendre, avec plusieurs missiles lancés sur Israël, causant des dégâts à Tel-Aviv. Mais cette guerre durera le temps qu'il faut a annoncé Benyamin Netanyahu, qui se félicite d'une « action nécessaire face à une menace existentielle ».De son côté, la communauté internationale joue à l'équilibriste. Si plusieurs leaders comme Macron soutiennent le « droit » de l'Etat hébreu « à se défendre », ils en appellent à la retenue et à la diplomatie.L'Amérique de Trump se retrouve donc face à une nouvelle guerre. Le président américain se voulait pourtant faiseur de paix, et promettait déjà de régler au plus vite deux autres conflits : celui en Ukraine, et celui à Gaza.Pendant ce temps, aux Etats-Unis, la colère monte chez les anti-Trump. Dans un contexte d'émeutes à Los Angeles, ils sont rassemblés dans des centaines de villes ce samedi. Ils protesteront contre les expulsions massives d'immigrés clandestins, mais aussi contre le coûteux défilé militaire qui a lieu aujourd'hui à Washington pour le 250è anniversaire de l'armée... et le 79è du président américain. Face à la contestation, Trump semble reculer sur certains points : il vient notamment de suspendre les raids contre les immigrés dans l'agriculture et l'hôtellerie.Alors, jusqu'où ira le conflit Israël – Iran ? S'agit-il d'un revers pour le président américain ? Trump est-il contraint de reculer sur sa politique anti-immigration ?LES EXPERTS :Vincent HUGEUX - Journaliste indépendant, essayiste, spécialiste les enjeux internationauxPatricia ALLÉMONIÈRE - Grand reporter, spécialiste des questions internationalesANNE TOULOUSE - Journaliste franco-américaineNICOLAS TENZER – Essayiste, spécialiste des relations internationales
Couches, vaisselle et planning de la vie sociale : qui fait quoi dans le couple ? Isaline et Alexandre se lancent dans LE débat qui anime les foyers : le partage des tâches ! Entre celle qui assume une grande partie de la charge mentale de la famille et a parfois du mal à lâcher prise, et celui qui veut bien faire mais peine à anticiper, nos deux jeunes parents vont vite découvrir qu'ils n'ont pas toujours exactement la même version des faits. Ensemble, ils vont décortiquer leurs habitudes et trouver des pistes concrètes pour une répartition du travail domestique plus équitable et fluide. Un épisode plein de rires et de solutions pratiques. Journaliste et animateur : Grégoire Molle Réalisation : Brian Lanni Production : Magali Philip et Juliane Roncoroni
La Maison de banlieue et de l'architecture, lieu culturel associatif situé en banlieue parisienne, nous présente sa nouvelle exposition « Et voilà le travail », une histoire sociale et urbaine du travail sur un territoire né de l'industrialisation.
Christine Bravo est de retour aux "Grosses Têtes". Et elle déjà beaucoup d'histoires à raconter... Retrouvez tous les jours le meilleur des Grosses Têtes en podcast sur RTL.fr et l'application RTL.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mona est en conflit avec sa sœur au sujet du partage de la maison familiale, où elle a vécu toute sa vie. Sa sœur, qui habite à proximité, souhaite obtenir une part de l'héritage, ce qui crée des tensions et des jalousies au sein de la famille. Chaque soir, en direct, Caroline Dublanche accueille les auditeurs pour 2h30 d'échanges et de confidences. Pour participer, contactez l'émission au 09 69 39 10 11 (prix d'un appel local) ou sur parlonsnous@rtl.fr.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Avec Frère Silouane, Samantha et Victor https://www.stjean-esperance.net/
Je comprends maintenant pourquoi je ne suis pas un gambler! Clairement les dés sont pipés et définitivement pas en notre faveur. Est-ce ici que ce termine notre aventure? Allons donc rejoindre nos héros soit : Nuando ‘Cam, le Jedi (Antoine Biron)Feburuum, le Diplômate (Jonathan Papin) Khan, le Mandalorien (Martin Durette) Gem-1, le Droïd (Ian Richards)Et bien sûr Benoit Gagnon comme Maître de Jeu.Bonne partie!
How can a centuries-old art supply company teach us about running a pet care business? This episode draws lessons from La Maison du Pastel in Paris, a 300-year-old handcrafted pastel maker, to explore what it means to build a business rooted in quality and culture. It highlights the importance of prioritizing craft over scale, using thoughtful service offerings to meet specific client needs, and collaborating with clients to create personalized care. The conversation also emphasizes the power of storytelling in marketing and preserving company culture through growth and change. You'll walk away inspired to build a business that's small, intentional, and deeply connected to its clients. Main Topics Craft over scale in pet care Designing services for specific client needs Collaborating with clients for personalized care Storytelling as a marketing tool Preserving business culture through growth Main Takeaway: Our systems and automations should support our care, not replace our presence. In an increasingly digital world, it's easy to lean on automation—but pet care is about connection. Technology should free us to be more present, not less. No app or email can replace the power of a kind word, a gentle touch, or an observant sitter who notices what a pet needs. Stay grounded in the heart of what makes your business special: genuine, hands-on care. That's what clients remember—and why they come back. Links: Check out our Starter Packs See all of our discounts! Check out ProTrainings Code: CPR-petsitterconfessional for 10% off
Le mercredi 21 Mai dernier, l'Équipe de Sortez! s’est armée de son Podtrack à la rencontre de résidents de La Maison Internationale Populaire / La MIP. Depuis le 18 avril 2025, la Maison Internationale Populaire a ouvert ses portes dans d'anciens bâtiments des casernes Beaumont à Tours. Ce lieu autogéré, occupé par un collectif citoyen, […] L'article Rencontre avec un bénévole de La Maison Internationale Populaire est apparu en premier sur Radio Campus Tours - 99.5 FM.
Chaque jour, retrouvez le journal de 19h de la rédaction d'Europe 1 pour faire le tour de l'actu.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Tous les ans, IKEA mène une étude XXL pour mieux comprendre les différents modes de vie des habitants de différents pays pour ensuite adapter leur offre, notamment dans les magasins. Cette année le thème de ce "Life at home report" était la joie à la maison. Et figurez-vous que l'une des grandes conclusions serait que 1/3 des gens ne ressentent pas suffisamment de joie chez eux alors qu'ils en rêvent. Mais qu'est-ce que la joie à la maison ? Par quel biais entre-t-elle ? Comment la créer au quotidien sans tout bouleverser ? C'est ce qu'on va voir avec Enrica Magnalardo responsable France de l'inspiration et de l'aménagement. (Spoiler cuisiner peut tout simplement être une excellente source de joie...)Enrica nous explique ensuite comment cette étude infuse dans les magasins et auprès des clients. L'occasion d'en savoir plus sur leur fonctionnement, leur offre, leurs engagements, leur histoire... Parce que, qu'on y aille ou pas, on connait tous IKEA qui est un acteur incontournable de notre univers déco, mais on ne savait pas tout ça ! Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Leçon de vie pour nos aventuriers, La Maison gagne toujours! Comment perdre l'argent d'un Hutt, je suis sûr qu'il n'y aura pas de répercussion court ou long terme! Un semblant de plan prend forme et est-ce que la chance pourra finalement tournée du coté de nos héros !Allons donc rejoindre nos héros soit : Nuando ‘Cam, le Jedi (Antoine Biron)Feburuum, le Diplômate (Jonathan Papin) Khan, le Mandalorien (Martin Durette) Gem-1, le Droïd (Ian Richards)Et bien sûr Benoit Gagnon comme Maître de Jeu.Bonne partie!
Loïs Boisson s'est qualifiée pour les quarts de finale de Roland-Garros 2025 en éliminant en trois sets Jessica Pegula. Un exploit de la part de la Française qui prend la lumière de ce numéro de Court N°1 avec Sarah Pitkowski, Eric Salliot, Anthony Rech et avec la surprise Marion Bartoli.
durée : 00:23:31 - Qui cuisine à la maison ?
En septembre 2025, la Maison des mondes africains ouvrira ses portes à Paris, après un véritable parcours du combattant pour trouver un lieu. À sa tête : Liz Gomis, journaliste et réalisatrice, de caractère bien trempé, qui n'esquive pas les tensions du moment. « C'est l'institution que j'aurais voulu à 20 ans », confie-t-elle. Elle porte ce projet avec force, mémoire et convictions. Rencontre avec une femme bien trempée, portée par un désir de transmission, de réparation, et de dialogue entre les récits afro-diasporiques et l'espace culturel français. RFI : Pour celles et ceux qui ne la connaissent pas encore, qu'est-ce que la Maison des Mondes Africains, la MansA ?Liz Gomis : La MansA, c'est une institution culturelle. C'est également un laboratoire. Nous ne nous inscrivons pas comme un musée puisque nous n'aurons pas de collection d'œuvres d'art ou autres. Nous sommes centrés sur la création contemporaine. Je dirais qu'on a un prisme aussi sur la création numérique et l'audiovisuel, parce que je viens de là. L'idée, c'est de pouvoir monter un centre qui sera pluridisciplinaire et qui croisera aussi bien les arts du spectacle, que la littérature, que le cinéma. MansA, le nom de l'institution, c'est Maison des mondes africains. Quand on dit mondes africains, on parle des Caraïbes, on parle des Amériques – du nord et du sud –, on parle de l'océan Indien et on parle évidemment de la diaspora européenne. Parce que l'idée, c'est justement de croiser ces savoirs. L'idée, c'est aussi de les faire découvrir parfois à un public plus jeune. Ce sera notre mission d'éducation, toujours sous le prisme de la culture, qui permettra, je pense, de permettre à certaines personnes de se libérer un peu de l'exigence – parce qu'on a toujours le sentiment qu'il faut avoir lu Achille Mbembe pour pouvoir rentrer dans ces sujets. Alors qu'en fait, on peut y entrer par différents biais. On peut y entrer par des œuvres d'art – en ce moment, il y a l'exposition au Centre Pompidou, Paris Noir – des moments musicaux, des moments d'expositions. Voilà, ce sera un bouillonnement de culture. Vous faites référence à Achille Mbembe qui est à l'origine de ce projet. Comment le projet a-t-il évolué depuis ce premier jet ? Achille Mbembe, effectivement, est à l'initiative de ce projet. Ensuite, j'ai vite été mise à contribution pour écrire le rapport de préfiguration. Achille est arrivé évidemment avec la philosophie et l'idée du projet, mais ensuite, il fallait transformer cela en un projet tangible. Voilà comment le projet a évolué. Je peux dire que j'y ai mis toutes mes tripes et j'y ai également mis une part de moi parce que, quelque part, la MansA, c'est un peu l'institution que j'attendais lorsque j'avais 20 ans. C'est l'institution qui m'aurait permis, il y a 20 ans, de mieux comprendre qui j'étais en tant que Française dont les parents sont nés sur le continent africain et qui parfois avaient du mal à trouver sa place. Aujourd'hui, j'en ai 24 de plus, donc je ne me pose plus cette question. Mais je sais que c'est une question qui continue de perturber et de questionner de jeunes gens et de jeunes femmes qui sont pleinement français et qui se posent toujours la question de savoir quelle est leur place dans le pays dans lequel ils sont nés. Vous parlez de cette difficulté à trouver sa place. Comment faire entendre cette voix dans une France où les crispations identitaires s'accentuent ? C'est toujours compliqué de monter un projet, en premier lieu. Évidemment, on sait bien que le sujet de l'Afrique et de ses descendants, cela crispe. Mais moi, j'ai juste envie de dire aux Français, ayez de la mémoire. Rappelez-vous qu'à un moment donné, on était content d'avoir les tirailleurs sénégalais. Rappelez-vous qu'on était heureux d'aller voir Joséphine Baker sur scène. Rappelez-vous que Manu Dibango était le directeur musical de la seule émission musicale de l'ORTF, Pulsations, et que le producteur était Gésip Légitimus. Rappelez-vous de tout cela. Je suis juste là pour dire, nous avons une mémoire. Si on fait le choix de se replier en invoquant le fantasme d'une France qui aurait toujours été monochrome, c'est un mensonge que l'on se fait. Ce pays a toujours été un brassage. Tout ce qu'on fait avec MansA, c'est de rappeler les Français à leur histoire. Il ne faudrait pas glisser vers cette voie du repli. Au fond, qu'est-ce que ça nous apporte ? On voit bien les États-Unis en train de se replier. Honnêtement, cela ne donne pas envie, ce qu'on est en train de voir aujourd'hui. Est-ce que c'est cela, la marche du monde ? Je ne crois pas. Comment est financée la Maison des Mondes Africains ?Pour l'instant, c'est financé par la puissance publique. Nous sommes en train de monter notre cellule de mécénat, parce qu'il s'agit aussi d'aller lever des fonds privés. Mais pour le moment, oui, nous sommes financés par la puissance publique. Personnellement, qu'est-ce qui vous porte dans ce projet ? Ce qui me motive, ce sont mes parents. C'est le parcours de mes parents. C'est de se dire qu'une femme qui s'appelle Émilie Mendy, qui est partie de Guinée-Bissau, qui est arrivée au Sénégal à l'âge de douze ans, qui est ensuite arrivée en France à l'âge de 19 ans, qui a fait des ménages et qui s'est battu toute sa vie pour en avoir une, de vie digne, mais aussi pour que ses enfants soient sur un chemin qui soit digne également. Ma motivation, c'est de me dire : « Je ne peux pas décevoir ce parcours. » Ma motivation première, c'est celle-ci, c'est d'abord de rendre hommage à mes parents. La deuxième motivation, c'est que maintenant, je regarde derrière moi et je vois les plus jeunes. Je ne peux pas me dire que ces plus jeunes vivront le même parcours que le mien. Je suis obligé d'être à la hauteur. Voici ce qui me motive tous les matins et qui fait que je me lève et que je me bats pour que cette institution existe parce qu'on a besoin de « role model », de modèles en français. Je ne sais pas si je suis un « role model », mais de voir les stagiaires d'observation qu'on a pu avoir nous renvoyer des messages en nous disant : « J'ai eu 20 sur 20 à mon rapport de stage et c'est grâce à vous, j'aimerais bien faire mon stage de seconde chez vous. » Alors que ce sont des gens qui sont motivés par le football et qui m'ont dit qu'ils n'avaient pas envie d'aller faire un stage dans un club de foot ou à la fédération. Pour moi, ce sont des victoires. Parce que pour une fois, ils se sont dit : « Je fais un stage d'observation et la directrice est une femme d'origine africaine, elle ressemble à ma sœur, elle ressemble à ma mère, elle ressemble à ma tante. En fait, c'est possible. » L'idée est de se dire qu'on a ouvert la porte. On offre un champ des possibles quelque part infini. Moi, à partir de ce moment-là, ma motivation démarre et après, plus rien ne peut m'arrêter. À lire aussiLa Maison des mondes africains a trouvé ses locaux à Paris après des mois de controverses
durée : 00:28:53 - Les gouts d'ici en Gironde
REDIFF - La France a connu Michel Fourniret et Monique Olivier. Mais auparavant; l'Angleterre avait hérité de Fred et Rosemary West. Comme les Français, cet homme et cette femme ont très longtemps échappé aux radars de la police et de la justice. Oubliés et impunis. Comme les Fourniret, ils étaient animés par un même sadisme, le goût de la chasse aux jeunes filles innocentes et des perversions sexuelles hors norme. Retrouvez tous les jours en podcast le décryptage d'un faits divers, d'un crime ou d'une énigme judiciaire par Jean-Alphonse Richard, entouré de spécialistes, et de témoins d'affaires criminelles.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Cet épisode est un extrait de l'épisode 251 : Comment être un parent apaisé ? Les clés avec Thomas D'Ansembourg / Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les Sondages du matin, c'est tous les matins à 6H10 et 8H40.
durée : 00:27:27 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu du débat critique, de la littérature, avec deux romans où les lieux parlent de notre histoire : "Je déménage" de Noël Herpe et "La Maison hantée" de Michèle Audin. - réalisation : Camille Mati - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O
durée : 00:11:28 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Nos critiques discutent de "La maison hantée" de Michèle Audin, un roman-enquête sur les fantômes d'un immeuble strasbourgeois, et particulièrement sur les Malgré-nous qui y vivaient pendant l'occupation allemande. - réalisation : Camille Mati - invités : Johan Faerber Editeur, essayiste, critique littéraire.; Marie Sorbier Productrice du "Point Culture" sur France Culture, et rédactrice en chef de I/O
Aujourd'hui, Barbara Lefebvre, Bruno Poncet et Éléonore Lemaire débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
"Pour pouvoir exercer sa liberté, un enfant doit savoir où sont les limites. La sécurité intérieure naît d'un cadre extérieur cohérent".Que signifie concrètement poser des règles et un cadre à la maison, à la lumière de la pédagogie Montessori ? Cet épisode vous invite à repenser l'équilibre entre liberté et limites, loin des idées reçues.Nous retrouvons Sylvie d'Esclaibes, fondatrice d'écoles Montessori et spécialiste de l'éducation depuis plus de 30 ans.Dans cet épisode, elle déconstruit les stéréotypes sur la pédagogie Montessori, parfois caricaturée comme trop laxiste, et explique pourquoi le cadre est indispensable au développement de l'enfant.Elle aborde des principes clés tels que :✅ Les grands piliers du cadre Montessori à la maison✅ La nécessaire cohérence entre adultes✅ La distinction entre règles négociables et non négociables✅ Des exemples concrets sur le coucher, les repas ou l'autonomie vestimentaire pour intégrer ces principes facilement chez vousAu programme :⇒ Déconstruire les idées reçues⇒ La notion de « liberté dans un cadre » expliquée par Maria Montessori⇒ Les trois piliers d'un cadre Montessori : adulte préparé, environnement structuré, règles adaptées⇒ Adapter la maison : aménagements pratiques pour l'autonomie⇒ La place des règles : cohérence, négociation, ce qui est essentiel ou non-négociable⇒ Gérer les routines et enjeux quotidiens⇒ Comment formuler les règles : positives, claires, constantes⇒ Accompagner les émotions de l'enfant tout en maintenant le cadre⇒ Outils pratiques : tableaux de routines, coin calme, règles illustréesCet épisode nous montre comment instaurer un cadre clair, juste et rassurant à la maison pour permettre à vos enfants de s'épanouir, tout en gardant une posture d'adulte alignée, bienveillante et cohérente ; parce que poser des limites, c'est offrir un repère qui construit l'autodiscipline et la liberté intérieure de l'enfant.
Rencontrez Silexeperience, un passionné de Bitcoin et de minage, qui contribue activement à la démocratisation du home mining, notamment grâce aux Bitaxe : de petits ordinateurs de minage accessibles dès 150 €.Rediffusion de l'émission du 6 mai 2025.
Ce qui suit n'est pas seulement l'histoire d'une famille monstrueuse. Ce n'est pas un simple reportage sur une affaire hors norme. C'est une plongée dans l'aveuglement, dans la faille, profonde, collective. C'est le récit d'une société qui détourne les yeux, d'un système qui abandonne, d'une communauté qui n'écoute pas les silences. Cet épisode raconte le calvaire des treize enfants Turpin, leur évasion, mais surtout : l'après. Et cette question : comment, en 2018, dans une banlieue californienne, treize enfants ont-ils pu être torturés durant des années… sans que personne ne les voie ?
Ce qui suit n'est pas seulement l'histoire d'une famille monstrueuse. Ce n'est pas un simple reportage sur une affaire hors norme. C'est une plongée dans l'aveuglement, dans la faille, profonde, collective. C'est le récit d'une société qui détourne les yeux, d'un système qui abandonne, d'une communauté qui n'écoute pas les silences. Cet épisode raconte le calvaire des treize enfants Turpin, leur évasion, mais surtout : l'après. Et cette question : comment, en 2018, dans une banlieue californienne, treize enfants ont-ils pu être torturés durant des années… sans que personne ne les voie ?Une jeune femme s'avance. C'est Jennifer, l'aînée. Elle tremble, mais elle tient debout. Elle lit une lettre d'une voix douce, brisée, mais droite. « Pendant longtemps, j'ai cru que ce qu'on vivait était normal, qu'il y avait des enfants comme nous dans toutes les familles. On priait, on pleurait, on obéissait. On ne savait pas qu'on pouvait vivre autrement. » Elle a le regard clair. La voix hésitante. Elle respire. « Aujourd'hui, je sais. Mes parents m'ont volé mon enfance, ma jeunesse, ma liberté. Mais, je suis là, debout, libre. Je suis forte. Et je leur pardonne. »
Aujourd'hui, Emmanuel de Villiers, Étienne Liebig et Zohra Bitan débattent de l'actualité autour d'Alain Marschall et Olivier Truchot.
Ce qui suit n'est pas seulement l'histoire d'une famille monstrueuse. Ce n'est pas un simple reportage sur une affaire hors norme. C'est une plongée dans l'aveuglement, dans la faille, profonde, collective. C'est le récit d'une société qui détourne les yeux, d'un système qui abandonne, d'une communauté qui n'écoute pas les silences. Cet épisode raconte le calvaire des treize enfants Turpin, leur évasion, mais surtout : l'après. Et cette question : comment, en 2018, dans une banlieue californienne, treize enfants ont-ils pu être torturés durant des années… sans que personne ne les voie ?Les voisins ? Les proches ? Certains remarquent des choses. Une odeur étrange. Des lumières la nuit. Les enfants étaient « toujours ensemble », « mal habillés », « toujours en rang ». Des fenêtres couvertes. Aucun rire. Jamais un ballon. Jamais un vélo. Jamais un cri de joie. Les voisins disent plus tard qu'ils « trouvaient la famille bizarre ». Ils ont vu, remarqué les enfants maigres. L'odeur étrange. Les rideaux toujours tirés. Mais personne n'a appelé.
Ce qui suit n'est pas seulement l'histoire d'une famille monstrueuse. Ce n'est pas un simple reportage sur une affaire hors norme. C'est une plongée dans l'aveuglement, dans la faille, profonde, collective. C'est le récit d'une société qui détourne les yeux, d'un système qui abandonne, d'une communauté qui n'écoute pas les silences. Cet épisode raconte le calvaire des treize enfants Turpin, leur évasion, mais surtout : l'après. Et cette question : comment, en 2018, dans une banlieue californienne, treize enfants ont-ils pu être torturés durant des années… sans que personne ne les voie ?C'est ce silence qui pèse le plus. Les enfants ne demandent rien. Ils ne savent pas qu'ils ont le droit de demander. Personne ne leur a jamais appris à se plaindre. Leur vocabulaire est limité. Ils prononcent des phrases apprises. Des réponses automatiques. « Nous sommes une famille bénie. » ; « Papa dit que Dieu veille sur nous. » ; « On a le droit à un sandwich si on a été sages. » Ils ne regardent pas dans les yeux. Ils baissent la tête. Ils attendent qu'on leur dise quoi faire. Certains n'ont jamais vu un stéthoscope. Un adolescent ignore ce que veut dire « police ». D'autres regardent les agents comme s'ils venaient d'un autre monde. Et c'est peut-être vrai.
Ce qui suit n'est pas seulement l'histoire d'une famille monstrueuse. Ce n'est pas un simple reportage sur une affaire hors norme. C'est une plongée dans l'aveuglement, dans la faille, profonde, collective. C'est le récit d'une société qui détourne les yeux, d'un système qui abandonne, d'une communauté qui n'écoute pas les silences. Cet épisode raconte le calvaire des treize enfants Turpin, leur évasion, mais surtout : l'après. Et cette question : comment, en 2018, dans une banlieue californienne, treize enfants ont-ils pu être torturés durant des années… sans que personne ne les voie ?Pendant ce temps, dans la maison, rien ne bouge. Il est 6 heures du matin. Les voisins dorment encore. Et la maison, elle, dort depuis des années. Ou plutôt : elle s'est refermée. Lentement. Par couches. Jusqu'à devenir étanche au monde. Mais ce matin, elle va s'ouvrir.
Dans cet épisode, on plonge dans les coulisses de la Maison Dior, aussi emblématique que secrète, avec Cordélia de Castellane.Comment naît une collection ? Quelle place laisse-t-on à la spontanéité dans un cadre aussi codifié ? À quoi ressemble son quotidien entre création, archives, essayages d'enfants et mille responsabilités ?L'épisode complet sort lundi matin. En attendant, abonnez-vous pour ne pas le manquer !Vous pouvez consulter notre politique de confidentialité sur https://art19.com/privacy ainsi que la notice de confidentialité de la Californie sur https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Ce qui suit n'est pas seulement l'histoire d'une famille monstrueuse. Ce n'est pas un simple reportage sur une affaire hors norme. C'est une plongée dans l'aveuglement, dans la faille, profonde, collective. C'est le récit d'une société qui détourne les yeux, d'un système qui abandonne, d'une communauté qui n'écoute pas les silences. Cet épisode raconte le calvaire des treize enfants Turpin, leur évasion, mais surtout : l'après. Et cette question : comment, en 2018, dans une banlieue californienne, treize enfants ont-ils pu être torturés durant des années… sans que personne ne les voie ?Il fait noir. Pas seulement dehors. Pas seulement parce qu'il est cinq heures trente du matin, ce dimanche de janvier. Il fait noir dans la rue, oui, mais surtout dans cette maison beige au bout de Muir Woods Road, à Perris, en Californie. Une brume hivernale glisse sur les pelouses des pavillons bien alignés. Le silence est parfait. Ce 14 janvier 2018, deux silhouettes fluettes se faufilent par une fenêtre.
durée : 00:58:12 - Avec philosophie - par : Géraldine Muhlmann, Nassim El Kabli - Dans "Les Damnés de la terre", Fanon décrit la violence de la société coloniale et ses effets sur les colonisés. La violence révolutionnaire est-elle inévitable ? Comment sortir du cercle de la violence et faire "peau neuve" selon les mots de Fanon ? - réalisation : Nicolas Berger - invités : Sonia Dayan-Herzbrun Sociologue et philosophe, professeure émérite à l'Université Paris-Cité, co-directrice de la revue Tumultes; Adler Camilus Docteur en philosophie de l'université Paris 8 et enseignant-chercheur à l'Université d'État d'Haïti