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Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Attention épisode génial !C'est l'histoire de Karine qui, pendant un voyage en Inde, a eu un coup de foudre pour l'artisanat et le savoir faire local... mais aussi pour Banu, un indien qui lui faisait visiter un atelier. Elle sait que sa vie est là et avec lui. Ainsi est né Kirane. En très gros résumé car les détails sont évidemment dans le podcast !Kirane est une marque de décoration textile, sincère et authentique, engagée et profondément humaine. Vous allez en avoir des frissons en écoutant Karine nous raconter son quotidien, entre beauté et galères. Tout est fabriqué à la main, dans le respect des traditions, avec des matières et des pigments naturels et surtout dans de bonnes conditions (Karine a crée "Villa Kirane" son propre atelier de confection dont Banu est responsable). Ensemble on parle de l'incroyable histoire de Kiranel'importance pour elle d'avoir son propre atelier comment elle concilie le travail local versus les exigences du marché et les ponts entre Jaïpur et Paris ses plus grosses difficultés au quotidien et comment y remédierla fast déco et les faux discours marketing la valeur du fait main les défis écologiques la joie de vivre et des couleurs sa passion pour le dessin et le manque de temps pour le faire la folie des sofa coverla crise et l'avenir l'importance d'avoir des jeunes dans son équipe ses 3 maisons si différentes et bien plus encore !Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Dans cette deuxième partie, on retrouve Giuliano Sperandio au moment où sa vie bascule vraiment dans le métier.C'est un chapitre fait de voyages, d'apprentissages parfois rudes, de rencontres fondatrices et de décisions parfois impulsives — mais toujours guidées par une boussole intérieure très claire : vivre sa vie, pas celle que les autres attendent.On le suit du concours européen au Luxembourg — qu'il gagne presque malgré lui — à Monaco, puis Rome, où il découvre ce qui deviendra sa cuisine : les condiments, les cuissons, les jus, ces « petites touches qui font briller le palais ».On le découvre observateur obsessionnel, mémoriel sur les gestes et les attitudes, mais totalement imperméable à l'idée de reproduire un plat qu'il n'a pas compris.Et puis il y a ces virages qui disent tout de son tempérament :New York et ses cuisines chaotiques, la Suisse, la Grèce avec Nobu, puis ce besoin presque organique d'apprendre les bases françaises, à Paris, quitte à mettre son couple dans la balance.Ce chapitre, c'est le moment où Giuliano se construit un langage : chercher, absorber, décoder, comprendre — et ne jamais faire semblant.Une trajectoire faite « d'envies » plutôt que de plans, de liberté cadrée et d'intuition.Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Chef du Taillevent, à Paris depuis 2021, Giuliano Sperandio est aujourd'hui un profil singulier de la haute cuisine française.Longtemps dans l'ombre de Christophe Pelé, il assoit désormais son univers avec une vivacité et une liberté remarquables — une main fine, précise, inspirée, une agilité qui fait vibrer les murs d'une institution historique.Dans ce premier chapitre consacré à Giuliano Sperandio, on remonte à l'origine de tout.Loin du prestige du Taillevent, loin de la vivacité créative qu'on lui connaît aujourd'hui, il y a un enfant de Ligurie — un petit village de 75 âmes, beaucoup de silence, une tristesse très tôt installée, mais aussi une immense bienveillance. Giuliano raconte sans détour cette enfance marquée par l'absence, la dépression, la nourriture comme refuge et cette première image fondatrice : un petit garçon enfermé dans les toilettes de l'école, qui face à une araignée, écrit sur un bout de papier comme une échapattoire qu'il veut être glacier.On découvre aussi la table de ses grands-parents, seul lieu joyeux, généreux, où les pâtes, les viandes, les desserts rythmaient les week-ends.On parle des difficultés de l'adolescence, de son entrée à l'école hôtelière, du premier stage dans un hôtel réputé “dur”, des carottes qu'on doit éplucher comme on ferait une introspection, de la violence de certains gestes en cuisine, et de la manière dont le jeune Giuliano tente de se construire malgré tout.Cette première partie est un récit puissant, brut, d'une grande sensibilité.Et pour comprendre l'homme et le chef qu'il est devenu, il faut commencer là : dans un village de Ligurie, avec un enfant triste et lumineux à la fois, avec cette force singulière qu'il a de transformer les éprevues et les cicatrices en énergie.Pour découvrir la cuisine de Giuliano Sperandio, c'est par ici !
Chaque vendredi, en bonus du podcast CHEFS D'ENTEPRISE-S. David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent des conseils pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à transformer leur idée en projet solide.Dans cet épisode, une question fréquente : faut-il prendre un expert-comptable dès le début ou attendre d'avoir du chiffre d'affaires ?
Cette semaine dans CHEFS D'ENTREPRISE-S, on reçoit un acteur clé du paysage gastronomique… mais qui n'est ni chef, ni restaurateur : Damien Rodière, directeur général de TheFork France.Un épisode passionnant pour comprendre comment s'est bâtie la plateforme qui accompagne des millions d'utilisateurs et des dizaines de milliers de restaurateurs chaque mois.Damien parle avec précision de la mission de son entreprise — « aider quelqu'un à trouver le bon restaurant, au bon moment » — et de ce que cela implique en termes d'avis, de photos, d'inspiration, de lisibilité et de relation avec les professionnels. Et il raconte aussi ses débuts et la manière dont sa vision et sa mission ont évolués.Il revient aussi sur les débuts parfois hésitants des restaurateurs face aux avis, sur la nécessité de rendre l'information “digeste” et utile, sur l'accompagnement terrain… mais, comme toujours dans CHEFS, on explore aussi l'histoire derrière la fonction.On découvre ainsi un parcours étonnant :un enfant de Dax élevé autour de la table familiale, un jeune homme qui cherche sa voie, qui passe par l'ingénierie, un stage dans les vignes du Nebraska, un autre dans les antennes télécoms, puis la tech, puis le conseil…avant de trouver, presque sans l'avoir anticipé, l'entreprise dans laquelle toutes ses compétences prennent sens : TheFork.Vous passez volontairement des entretiens d'embauche pour jauger de votre envie de garder votre emploi? Lui si et ça fait partie de ces tips de dirigeants pour justement trouver du sens au quotidien...Un échange clair, humain, concret — qui dit beaucoup de la nouvelle génération de dirigeants dans le monde de la food et de la tech !
Pour la première fois, CHEFS propose un hors-série : Le Noël des Chefs.Pendant un mois, chaque jeudi, jusqu'à Noël, un grand nom de la gastronomie revient sur ses souvenirs d'enfance, les fêtes, les premiers gestes, ces moments qui ont façonné son rapport au goût… et, bien souvent, sa vocation !Pour ouvrir cette collection, un invité rare, un chef immense : Éric Frechon.Trois étoiles, Meilleur Ouvrier de France, figure majeure de la cuisine française, un chef reconnu mais plutôt discret.Dans cet épisode, il replonge dans sa Normandie natale :• les Noëls en famille, autour des produits simples et frais,• les marchés, le jardin, la cuisine du grand-père,• ce premier « vrai » repas de réveillon qu'il prépare à quinze ans — huîtres chaudes comprises, servies fièrement pour l'occasion,• et cette envie très tôt ancrée : être indépendant, travailler, trouver sa voie.En filigrane, c'est la naissance d'un chef que l'on découvre : l'envie de faire plaisir, le goût du travail, la fierté de bien faire… qui ont contribué à construire un artisan, puis un chef, puis une référence.Un épisode intime, sensible, rare — un retour aux sources qui ouvre magnifiquement cette série dédiée à l'esprit de Noël!Pour retrouver l'univers d'Éric Frechon c'est par ici !
Dans cet épisode, je reçois Elsa Martino, artiste plasticienne pluridisciplinaire. Après un cursus dans le design de mode et le design graphique, et un parcours professionnel dans la direction artistique, elle s'éloigne du digital et passe de l'illustration à la pratique artistique. Pour Elsa, la couleur est un véritable moyen d'expression, elle l'utilise dans son œuvre comme un langage à part entière à travers une palette chromatique qui caractérise l'ADN de ses créations. Au quotidien, elle ne se pose pas de limites en terme de supports et s'exprime sur de multiples surfaces telles que des fresques murales, du textile, des toiles ou encore des installations… Ensemble nous avons parlé de l'influence des années 80/90 sur son style créatif, des nuances de nos souvenirs et du fait d'oser la couleur au quotidien. J'espère que vous apprécierez cet épisode, je vous souhaite une très belle écoute !
Il y a des épisodes qu'on rêve un jour de pouvoir enregistrer et celui-ci en fait partie.Dans CHEFS, vous le savez, on remonte les histoires, on parle de transmission, de cuisines qui se construisent, de brigades qui se soudent…Mais là, on vous embarque au cœur d'un moment fondateur de la gastronomie française contemporaine.Il faut remonter à la fin des années 80, au début des années 90.À cette époque, personne ou presque ne va dîner dans un palace — à moins d'y dormir. Les grandes tables des hôtels ne sont pas encore des destinations gastronomiques.Et puis un jour, l'Hôtel de Crillon confie sa cuisine à un chef nommé Christian Constant.Ce dernier rappelle alors son poulain Yves Camdeborde qui lui présente Éric Frechon, et avec Christophe Felder, ils vont former la bande du Crillon!C'est le début d'une aventure qui va tout changer.Vous allez entendre comment cette équipe s'est formée, comment Christian Constant est allé chercher “des humains avant tout”, des professionnels capables d'affronter une maison vieillissante, aux installations fatiguées, dans un contexte difficile. Yves Camdeborde décrire l'arrivée au Crillon comme “une bouffée d'oxygène”, après une période compliquée à la Tour d'Argent On entend Christophe Felder se souvenir du premier rendez-vous, de “l'accueil franc”, de cette intuition immédiate que “ça allait être aidant, formateur, vivant”. On entend Éric Frechon dire le challenge qui se dressait devant eux.Et puis, il y a la suite : Le travail. L'amitié. La rigueur.Les bières après le service.Le management participatif de Constant, “en avance sur son temps”, disent-ils.Et les plats historiques, le pied de cochon, le maquereau, les gestes canailles qui entrent dans un décor signé Sonia Rykiel, et qui finissent par faire bouger toute la restauration parisienne.Dans cet échange on comprend quelque chose de fondamental : au Crillon, on a inventé une manière de cuisiner sous les dorures et surtout une manière d'être ensemble.Une manière qui a contribué à former une pléiade de chefs :Thierry Breton, Thierry Faucher, Emmanuel Renaut, Jean-François Piège, Jean-François Rouquette, Gilles Marchal…Tous passés par là, tous marqués par cet esprit où “la passion”, “l'exigence”, “la rigueur”, “le respect du client”, “la confiance” ne sont jamais négociables.Dans cet épisode, les quatre racontent : comment ils se sont retrouvés, comment ils ont tenu, comment ils ont évolué, comment ils ne se sont jamais vraiment quittés...C'est un moment rare.Une conversation précieuse, directe, drôle, vraie.Une plongée dans l'histoire, racontée par ceux qui l'ont vécue.Une masterclass de management, de transmission, et d'humilité.Alors je suis très heureux de vous proposer cet épisode.Parce qu'il n'est pas seulement un retour vers une époque mythique.C'est un rappel :que derrière les grandes maisons, il y a des collectifs,que derrière les étoiles, il y a des équipes,que derrière les chefs, il y a des hommes.Bienvenue dans un chapitre clé de la gastronomie française avec la bande du Crillon !
Dans cet épisode de CHEFS, j'accueille un chef dont on parle souvent… mais que l'on entend rarement.Mathieu Pacaud fait partie de ces figures que la gastronomie française cite depuis des années — parfois pour ses réussites, parfois pour ses excès, souvent pour sa filiation — mais dont on connaît finalement très mal la véritable histoire.Né le jour même de l'ouverture de L'Ambroisie, avant ses trois étoiles évidemment, avant même la place des Vosges, il grandit néanmoins collé à un monument : Bernard Pacaud, son père. Un contexte unique, écrasant parfois, qui lui impose très tôt un parcours singulier : commencer au plus bas, prouver chaque geste, travailler sans relâche pour se faire un prénom... "Un enfer..."Dans cet entretien, il revient sans détour sur ce qui l'a construit :la rigueur, l'ambition brute, les années où il fallait se battre pour être reconnu... On entend aussi le virage entrepreneurial, le besoin d'ouvrir, diriger, créer, agrandir son univers… jusqu'à devenir aujourd'hui l'un des chefs les plus actifs et les plus prolifiques de sa génération.Il raconte avec franchise ses maladresses, son tempérament vif, ses choix parfois abrupts, mais aussi la manière dont il cherche désormais un rapport plus apaisé au métier — en homme qui a compris que durer compte davantage que briller.Un échange rare, sans filtre, qui dévoile enfin l'homme derrière le nom, derrière la réputation, derrière les fantasmes.Un chef qui s'est construit seul, contre beaucoup, parfois contre lui-même, et qui avance aujourd'hui avec une vision claire : la liberté, le travail, et l'envie de bâtir.Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Côté Jardin est votre rendez-vous hebdomadaire pour cultiver votre passion pour la nature, que vous ayez la main verte ou non. Nous nous engageons à fournir des informations fiables et des conseils professionnels pour répondre à toutes les questions des jardiniers et jardinières amateurs. Chaque semaine, nos experts et reporters vous proposent des solutions pratiques, des découvertes inspirantes et des rencontres passionnantes pour vous aider à mieux comprendre et apprécier le monde végétal et animal qui nous entoure. Pour appeler nos spécialistes et leur poser des questions, le numéro est le 058 134 0 134.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Depuis 1999, le Prix Liliane Bettencourt pour l'Intelligence de la Main® distingue chaque année ceux qui perpétuent et réinventent les métiers d'art. Le sujet est passionnant, entre maîtrise technique, innovation et gestes ancestraux. Un prix devenu une référence, presque un label d'excellence qui participe largement au rayonnement des artisans d'art, un métier si noble, en France comme à l'étranger. Et aujourd'hui je suis ravie de rencontrer Élodie Michaud et Rebecca Fezard de Hors studio, les lauréates de la catégorie Dialogues (il y a 3 catégories pour ce prix et celle-ci récompense la collaboration entre un artisan d'art et un designer qui ont travaillé sur un prototype ou un objet). Ensemble nous parlons deTufo, la table qu'elles ont imaginé et grâce à laquelle elles ont gagné ce prixle leatherstone©, le matériau qu'elles ont inventé leur métier qui est de développer de nouveaux matériaux à partir de déchets et en quoi les déchets sont les ressources du XXIe siècle ?quels types de déchets elles travaillentleur démarche éco-responsable on parle aussi du temps long et de la patiencedu travail de la main bien sûr la manière de collaborer avec les architectes et décorateurs comment elles ont vécu de Prixet ce que cela va leur apporter comment elles travaillent ensemble depuis 9 ans leur façon de faire un pas de côté dans le monde du designl'idée de combiner héritage et innovation etc. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Nous avons tous en mémoire le souvenir d'une douloureuse migraine d'un vendredi matin de fin novembre, vive réminiscence d'un jeudi soir unique en son genre : celui du beaujolais nouveau. Sans grande surprise, mais sans l'avoir voulu, on se réveille avec l'impression d'avoir avalé un régime de banane, voire de porter une tenaille en guise de couvre-chef. Dans ce nouvel épisode de Parlons Vin, la journaliste Alicia Dorey vous parle de ce savoir-faire ancestral du beaujolais nouveau.Et n'oubliez pas : parlons peu mais Parlons Vin !Vous pouvez écouter cet épisode sur Figaro Radio, le site du Figaro et sur toutes les plateformes d'écoutes.Chronique et rédaction : Alicia DoreyMontage : Antoine Lion-RantyPrise de son : Louis ChabainProduction exécutive : Aude Sérès, rédactrice en chef, pôle audio Le FigaroCoordination de production : Salomé Boulet, pôle audio Le FigaroCommunication : Réseaux sociaux Le FigaroVisuel & habillage : Studio design Le FigaroHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque vendredi, on explore la face business de la gastronomie.Et aujourd'hui, place à un entrepreneur qui bouscule littéralement le marché.Édouard Hausseguy, c'est l'histoire d'un gamin lumineux, élevé en Normandie entre un père prof de golf et une mère très présente, un gamin qui a appris très tôt à naviguer entre tous les milieux sociaux, à parler à tout le monde, à ne pas sacraliser, à foncer. Une enfance joyeuse qui, comme il le dit, lui a permis de conserver cette « joie, cette naïveté, cette légèreté » qui le caractérisent aujourd'hui !Ce qui est fascinant dans son récit, c'est cette trajectoire où rien n'était écrit du côté de la restauration.À 16 ans, il teste déjà l'entrepreneuriat.À 18, il organise des soirées.À 20, il retape des voitures.Puis vient la finance… puis l'envie de s'en échapper.Et un jour, presque par hasard, il tombe sur un restaurateur en galère de clients.Il comprend qu'il y a là un besoin, une faille dans le système, un truc à inventer.Ce sera Hemblem, puis Baracuda, avec cette idée d'utiliser les créateurs de contenus pour remplir les restaurants — et surtout de rendre ça accessible aux petites maisons, à ceux qui n'ont pas les moyens de se payer une agence.C'est ce chemin-là qui va le conduire, quelques années plus tard, à Gruppomimo.Une aventure née « presque par accident » pendant le confinement, quand son futur associé, Benoît, lui propose d'ouvrir un restaurant italien. Édouard accepte et imposer une ligne de conduite :« Toi tu gères, et moi je le remplis. »Le premier restaurant fait explose les compteurs : "un établissement qui faisait 200 000 € par an passe à 220 000 € par mois… uniquement en vente à emporter!"Le reste suivra : des ouvertures qui se succèdent, une croissance remarquable, la structuration d'un groupe et aujourd'hui un développement en France et en Europe.Mais ce que vous allez entendre, ce n'est pas seulement l'histoire d'un business.C'est un état d'esprit.Un entrepreneur qui parle cash, qui parle process, erreurs, rentabilité, stratégie en toute simplicité. Décomplexé quand on l'entend quand il parle à ses équipes, à ses franchisés, à ses pairs.Il explique ses succès sans arrogance, assume ses plantages, et raconte comment on passe de son salon à une entreprise qui vise désormais Londres, Lisbonne, Berlin.Un entrepreneur capable aussi de décrire la restauration comme ce qu'elle est vraiment :15 métiers en un, un univers où la passion ne suffit pas, un secteur où l'on doit comprendre la marge, le food cost, le RH, la logistique, les cycles, les chocs économiques — et il continue d'y croire!Cet épisode, je suis très heureux de vous le proposer.Parce qu'à l'heure où la profession traverse une période difficile, il est précieux d'entendre un jeune entrepreneur dire les choses franchement, expliquer comment il fait, pourquoi il y croit, et ce qu'il faut savoir avant de se lancer, en toute simplicité. Cette simplicité avec laquelle il m'a répondu sur LinkedIn avant de me recevoir chez lui quelques jours plus tard. Je vous laisse maintenant découvrir ce récit – celui d'un entrepreneur de la nouvelle garde, qui redessine les règles du jeu avec son style, sa vision et son enthousiasme contagieux !Bonne écoute.
Dans ce dernier chapitre de l'entretien avec Mathieu Pacaud, on bascule pleinement dans l'autre versant de son histoire : celui de l'entrepreneur.Après les années de formation, les épreuves, les apprentissages et les premières conquêtes, on entre dans le moment où tout s'accélère : la gestion de plusieurs maisons, les projets qui se superposent, les paris architecturaux, les prises de risques financières, les ouvertures, les fermetures… et une capacité rare à encaisser les secousses.Cette troisième partie raconte la transformation d'un cuisinier élevé dans l'exigence en un patron désireux de porter une vision et de l'assumer.On y entend un homme qui a grandi, qui réfléchit plus loin, qui analyse les erreurs du milieu, qui parie sur des modèles plus agiles, plus accessibles, plus en phase avec l'époque.On y entend aussi l'importance des rencontres : Costes, Vigato, Gourcuff… autant de personnages qui jalonnent son parcours et qui font basculer sa trajectoire, jusqu'à l'aventure Apicius.C'est une partie où l'on comprend enfin ce qui l'anime aujourd'hui : le défi, la création, l'adversité même — ce moteur qu'il revendique.Un chapitre essentiel pour comprendre l'homme derrière le chef, et l'entrepreneur derrière le technicien : la dernière ligne droite d'un récit dense, tendu, mouvementé — et profondément honnête.Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Dans cette deuxième partie, l'histoire bascule.On quitte les débuts, les apprentissages et les luttes identitaires pour entrer dans la zone où tout s'accélère, où les portes s'ouvrent… mais où les risques deviennent vertigineux.Après Guichard, après Brifard, après les palaces, il découvre l'ailleurs, les premières responsabilités, la solitude du chef, le travail loin de Paris, puis le retour — un retour à la maison, mais à l'échelon le plus bas — pour reprendre à zéro à L'Ambroisie, face au regard des autres, face au nom qu'il porte, et surtout face à lui-même.Dans cet épisode, il raconte comment il apprend vraiment son métier, assiette après assiette, essai après essai, refus après refus, jusqu'à signer la carte et devenir chef de la maison familiale.Puis tout s'accélère : premières créations, premiers projets entrepreneuriaux, premiers succès, premières étoiles… et les premières secousses.Vous entendrez ce que veut dire, réellement, « se faire un prénom ».Vous entendrez aussi à quel moment naît chez lui l'idée d'entreprise, de vision, d'indépendance.Et surtout, vous comprendrez comment un second souffle peut faire naître toute une trajectoire.Bienvenue dans la partie où l'histoire devient un chemin, où la technique rencontre l'ambition, et où Mathieu Pacaud commence véritablement à avancer…par lui-même.Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Dans ce premier chapitre, on revient à l'origine d'une histoire qui ne ressemble à aucune autre : celle d'un enfant qui grandit au milieu d'une maison qui deviendra l'une des plus grandes tables de France.Mathieu Pacaud arrive dans un monde où la cuisine n'est pas un métier, ni un rêve, mais le décor quotidien.Avec, en face de lui, une figure devenue quasiment mythologique dans le paysage gastronomique français : son père, Bernard Pacaud, chef de L'Ambroisie, place des Vosges, à Paris.Dans l'enfance de Mathieu, il n'y a pas de projection de carrière, pas de discours programmatique, pas de destin écrit.Il y a un environnement ultra-exigeant, une maison qui se transforme peu à peu en référence absolue, et un père dont l'excellence façonne malgré lui l'ombre et la lumière.Il observe, il absorbe, il vit à proximité de la rigueur, des gestes, de la concentration, sans encore imaginer un jour y prendre part.Dans cette première partie, il raconte comment l'univers gastronomique est entré dans sa vie non pas comme un objectif, mais comme une référence évidente.Comment l'enfant, puis l'adolescent, perçoit la grandeur sans y voir un projet, et comment ce terrain d'excellence deviendra plus tard un repère, puis un défi.Un début d'histoire où se joue déjà une question centrale :comment se construire à côté d'un chef admiré par tous, avant même d'avoir choisi de devenir cuisinier soi-même ?Retrouvez l'univers de Mathieu Pacaud, ici !
Dans cet épisode exceptionnel, CHEFS vous emmène au cœur d'une des adresses les plus emblématiques de la gastronomie française, pour découvrir le parcours et l'univers non moins remarquable d'Eugénie Béziat.Cheffe du restaurant L'Espadon, à l'hôtel Ritz Paris, elle s'est imposée avec une cuisine singulière, personnelle, nourrie de ses origines, son histoire, et d'une fibre à la dimension artistique.Son récit éclaire le cheminement d'une femme qui s'est construite loin des projecteurs, avant de trouver sa voie dans la cuisine d'excellence. Elle y raconte son enfance, ses influences, la place de l'art dans son développement, sa vision du métier, les étapes qui l'ont amenée à décrocher une première puis une deuxième étoile, ainsi que la manière dont elle compose aujourd'hui une identité culinaire intime, sensible, et profondément cohérente avec son parcours.Dans cet échange, on découvre comment elle transforme son héritage culturel en langage culinaire, comment elle intègre ce qui la traverse à son travail, et comment elle aborde la singularité dans un lieu chargé d'histoire comme le Ritz, tout en restant fidèle à elle-même.Un épisode rare, inspirant, où le geste, la mémoire, la création et la recherche intérieure se répondent.
Ce dimanche, Côté Jardin vous invite à lever les yeux vers les cèdres majestueux de nos villes avant de vous pencher sur les délicates fleurs blanches de l'hiver. L'émission vous emmène à la rencontre d'autrices passionnées, explore les secrets des vautours et vous donne des astuces pour cuisiner les choux chinois. Comme chaque semaine, Côté Jardin répond à vos questions : nos experts sont présents dimanche entre 6h et 9h au 058 134 0 134 pour cultiver ensemble la passion de la nature, du potager au balcon.
Chaque semaine, en bonus du podcast CHEFS, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent les coulisses de l'entrepreneuriat food.Ce format donne des clés concrètes à toutes celles et ceux qui rêvent d'ouvrir leur restaurant.Cette semaine : Comment bien s'entourer pour ouvrir un restaurant ?Ouvrir un établissement, c'est gérer plus d'une centaine de tâches, à faire au bon moment, avec les bons interlocuteurs, et dans le bon ordre.Et parfois, cela commence par quelqu'un qui coordonne tout.Dans cet épisode, Adrien détaille les 7 alliés clés d'une ouverture réussie :Avocat – pour sécuriser juridiquement le projet et le bail.Expert-comptable – pour fiabiliser les chiffres et la structure financière.Architecte ERP – pour assurer la conformité aux normes (PMR, incendie).Cuisiniste – pour concevoir une cuisine fonctionnelle et aux normes.Banquier / conseiller en financement – pour trouver le bon montage financier.Graphiste / agence de com' – pour travailler l'identité et la marque.Chef de projet ou accompagnateur d'ouverture – pour coordonner, challenger et éviter les oublis coûteux.
durée : 00:03:46 - Dans les ateliers du père Noel : Emmaüs recycle des centaines de jouets - Pour la première fois, une collecte de jouets est organisée au niveau national. Mais chez Emmaüs à Escalquens (Haute-Garonne), compagnons et bénévoles ont l'habitude de récupérer, trier et revendre les jouets. Cent tonnes sont récupérées chaque année à Toulouse. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S, on explore un parcours qui ne ressemble à aucun autre.Celui de Dimitri Alexopoulos, diplômé de l'ESSEC, passé par la finance et les métiers du conseil, passé par la Banque d'affaires Lazard (!)… avant de tout quitter pour ouvrir PLAKA, une enseigne dédiée à une cuisine grecque artisanale, exigeante et profondément personnelle.Dimitri raconte comment on réapprend un métier quand on vient “d'ailleurs”, comment on quitte le confort d'une carrière balisée prestigieuse pour un projet en apparence plus modeste, où tout est à construire : les recettes, les process, l'équipe, le lieu, l'identité.Il partage ses doutes, ses erreurs, les heures passées à refaire, à comprendre, à apprendre — et la manière dont l'héritage familial, les repas grecs de son enfance, et l'envie de créer une maison sincère l'ont guidé dans cette reconversion.On parle aussi de business, de vision, d'opérations, de routine pour tenir le rythme imposé par l'entrepeneurait, on parle de travail manuel retrouvé…Bref : l'histoire d'un entrepreneur qui a choisi la vérité du produit plutôt que la facilité du concept et qui n'a pas hésité à changé radicalement la trajectoire de sa vie pour s'aligner avec lui même, et les siens!!Encore un néo-restaurateur qui incarne cette nouvelle génération qui arrive dans la gastronomie par passion, avec exigence, et une conscience aiguë des réalités du métier pour lui insuffler une vision et de nouvelles pratiques aussi ;)Pour découvrir Plaka, deux adresses désormais:46 rue Legendre (Paris 17) et 19 rue des martyrs (Paris 9)
Dans cette dernière partie du portrait d'Eugénie Béziat, on entre dans le temps de la construction.Après les apprentissages et les doutes, viennent les choix forts, les premières places de cheffe, la Flibuste à Villefranche-sur-Mer, cette aventure hors du commun qui se conclura par une première étoile, puis l'appel du Ritz, et le saut dans un tout autre univers.La cheffe raconte comment elle a bâti sa confiance, comment elle a su s'affirmer sans rompre, imposer une voix sans hausser le ton.De la Méditerranée à la Place Vendôme, elle continue d'écrire une cuisine d'équilibre, entre rigueur et vibration, entre racines et modernité.Deux fois étoilée, elle signe aujourd'hui une partition unique : un dialogue entre l'Afrique et la France, entre la tradition et la liberté d'un regard neuf.
Dans ce nouvel épisode de CHEFS, la cheffe Eugénie Béziat poursuit le récit de son parcours.Après l'enfance et la découverte du goût, elle raconte ici ses premiers pas dans les cuisines, ses apprentissages, ses doutes et les rencontres qui ont façonné sa manière de cuisiner — de Michel Guérard à Michel Sarran, de la rigueur des grandes maisons à la chaleur des brigades.C'est le récit d'une jeune femme qui entre dans la cuisine comme on entre en art : avec curiosité, exigence et cette conviction qu'« il reste encore tant de choses à inventer ».Une histoire de transmission, de reconnaissance, de construction patiente — où l'on comprend comment s'est forgée la cheffe qui, aujourd'hui, incarne une voix singulière au Ritz Paris.
Dans ce nouvel épisode de CHEFS, David Ordono reçoit Eugénie Béziat, cheffe de L'Espadon au Ritz Paris.Une voix singulière, un parcours rare, et une cuisine remarquable en trait d'union entre ses origines lointaine à la tradition gastronomique française.Car avant la rigueur des brigades et la lumière de la Place Vendôme, il y a eu l'enfance au Gabon, les odeurs, les gestes transmis, et aussi les épreuves et un rapport à la cuisine au départ contrarié...Des premiers repas préparés « pour nourrir sa mère », à la découverte de la cuisine comme un espace d'expression, un lieu où l'on répare, où l'on se cherche, où l'on finit par se trouver pour partager.Dans cette première partie, Eugénie raconte la construction patiente d'une vocation : ses années de doute, ses hésitations, la fascination naissante pour l'art culinaire, le fameux “choc esthétique” devant une revue de cuisine, et cette première rencontre fondatrice avec un chef qui saura allumer la flamme que la cheffe ne laissera plus jamais s'éteindre.Un épisode sur la transmission, le besoin de comprendre d'où l'on vient et la lente émergence d'une identité culinaire.Un portrait sincère et profond, celui d'une cheffe qui avance malgré son talent et la renommée mondiale de son restaurant avance avec humilité.Mais ajoutons aussi avec conscience et poésie, avec une sensibilité au penchant artistique qui nous laisse tout à fait à l'aise avec l'idée d'en parler comme l'une des grandes figures en devenir de notre gastronomie.
Je suis ravi de partager avec vous cette rencontre car on connaît peu, paradoxalement, les personnages médiatiques et je suis ravi de vous faire découvrir l'histoire du chef le plus exposé sur les réseaux sociaux aujourd'hui.Rendez-vous avec Eloi Spinnler !La plupart d'entre vous l'a découvert sur leurs écrans, sur Youtube, harnais de couteaux noué sur le torse, énergie brute, humour potache, millions de vues!! Mais derrière l'image, il y a une trajectoire bien réelle : celle d'un ado qui se met à cuisiner pour son petit frère, d'un garçon timide qui rêve de se déployer sur les planches mais va trouver en cuisine un endroit où apprendre, progresser et s'exprimer.Sept années à Ferrandi, et un passage par des maisons exigeantes et parfois violentes ont permis à Eloi de tracer la ligne de sa cuisine et les valeurs qu'aujourd'hui il prône dans ses cuisines.Car aujourd'hui, Éloi Spinnler dirige trois restaurants — Orgueil, Colère, Envie — et prend position sur des sujets qui lui tiennent à coeur: le gaspillage alimentaire, les violences en cuisine entre autres...Je suis très heureux de vous faire découvrir l'histoire personnelle d'une figure emblématique de notre époque, un fier représentant des cuisiniers de sa génération.Pour découvrir l'univers d'Eloi Spinnler: réservez chez Orgueilou chez Colèreou chez Envie !
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Dans ARCHI COOL un architecte d'intérieur nous raconte un projet qu'il a mené du sol au plafond, sa manière de travailler, ses tips, ses bonnes adresses bref ses partis-pris et son savoir faire pour inspirer autant les pros que les fans de déco.
Chaque vendredi, CHEFS D'ENTREPRISE·S explore la face business de la gastronomie.Avec celles et ceux qui imaginent et façonnent les lieux qui nous font vibrer.Dans cet épisode, Camille Gozé, cofondatrice de Bomayé, nous raconte comment elle a lancé, avec Laurent Kalala, un concept simple et percutant :mettre le burger à la sauce africaine !Des recettes inspirées du poulet yassa, du garba, du mafé ou de l'alloco — une cuisine populaire, décomplexée et savoureuse qui revendique ses racines.Mais derrière les assiettes, il y a surtout une vision : celle d'une nouvelle génération d'entrepreneurs qui investit la restauration avec envie et conviction !Camille parle de chiffres, de rigueur, d'équipe et de plaisir, sans jamais romantiser le métier.Un parcours lucide, inspirant, symptomatique d'une nouvelle vague de food entrepreneurs !Pour découvrir Bomayé, c'est par ici !
Chaque vendredi, David Ordono et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, explorent les dessous de l'entrepreneuriat food et partagent des conseils pratiques pour accompagner celles et ceux qui veulent lancer leur restaurant.Dans cet épisode, une question essentielle : quand et comment créer sa société ?Adrien détaille les étapes et les points clés pour bien démarrer :• Le bon moment pour créer son entreprise selon l'avancée du projet.• Pourquoi il faut anticiper et s'entourer d'un avocat ou d'un expert-comptable.• Les principales formes juridiques (EI, EURL, SARL, SASU, SAS, micro-entreprise) et leurs implications.• Les démarches incontournables : rédaction des statuts, dépôt de capital, ouverture du compte, immatriculation au greffe.• Les erreurs à éviter : choisir un mauvais statut, négliger les clauses ou sous-estimer les délais.
Je suis ravi de partager avec vous cette rencontre car on connaît peu, paradoxalement, les personnages médiatiques et je suis ravi de vous faire découvrir l'histoire du chef le plus exposé sur les réseaux sociaux aujourd'hui.Rendez-vous avec Eloi Spinnler !La plupart d'entre vous l'a découvert sur leurs écrans, sur Youtube, harnais de couteaux noué sur le torse, énergie brute, humour potache, millions de vues!! Mais derrière l'image, il y a une trajectoire bien réelle : celle d'un ado qui se met à cuisiner pour son petit frère, d'un garçon timide qui rêve de se déployer sur les planches mais va trouver en cuisine un endroit où apprendre, progresser et s'exprimer.Sept années à Ferrandi, et un passage par des maisons exigeantes et parfois violentes ont permis à Eloi de tracer la ligne de sa cuisine et les valeurs qu'aujourd'hui il prône dans ses cuisines.Car aujourd'hui, Éloi Spinnler dirige trois restaurants — Orgueil, Colère, Envie — et prend position sur des sujets qui lui tiennent à coeur: le gaspillage alimentaire, les violences en cuisine entre autres...Je suis très heureux de vous faire découvrir l'histoire personnelle d'une figure emblématique de notre époque, un fier représentant des cuisiniers de sa génération.Pour découvrir l'univers d'Eloi Spinnler: réservez chez Orgueilou chez Colèreou chez Envie !
Je suis ravi de partager avec vous cette rencontre car on connaît peu, paradoxalement, les personnages médiatiques et je suis ravi de vous faire découvrir l'histoire du chef le plus exposé sur les réseaux sociaux aujourd'hui.Rendez-vous avec Eloi Spinnler !La plupart d'entre vous l'a découvert sur leurs écrans, sur Youtube, harnais de couteaux noué sur le torse, énergie brute, humour potache, millions de vues!! Mais derrière l'image, il y a une trajectoire bien réelle : celle d'un ado qui se met à cuisiner pour son petit frère, d'un garçon timide qui rêve de se déployer sur les planches mais va trouver en cuisine un endroit où apprendre, progresser et s'exprimer.Sept années à Ferrandi, et un passage par des maisons exigeantes et parfois violentes ont permis à Eloi de tracer la ligne de sa cuisine et les valeurs qu'aujourd'hui il prône dans ses cuisines.Car aujourd'hui, Éloi Spinnler dirige trois restaurants — Orgueil, Colère, Envie — et prend position sur des sujets qui lui tiennent à coeur: le gaspillage alimentaire, les violences en cuisine entre autres...Je suis très heureux de vous faire découvrir l'histoire personnelle d'une figure emblématique de notre époque, un fier représentant des cuisiniers de sa génération.Pour découvrir l'univers d'Eloi Spinnler: réservez chez Orgueilou chez Colèreou chez Envie !
Je suis ravi de partager avec vous cette rencontre car on connaît peu, paradoxalement, les personnages médiatiques et je suis ravi de vous faire découvrir l'histoire du chef le plus exposé sur les réseaux sociaux aujourd'hui.Rendez-vous avec Eloi Spinnler !La plupart d'entre vous l'a découvert sur leurs écrans, sur Youtube, harnais de couteaux noué sur le torse, énergie brute, humour potache, millions de vues!! Mais derrière l'image, il y a une trajectoire bien réelle : celle d'un ado qui se met à cuisiner pour son petit frère, d'un garçon timide qui rêve de se déployer sur les planches mais va trouver en cuisine un endroit où apprendre, progresser et s'exprimer.Sept années à Ferrandi, et un passage par des maisons exigeantes et parfois violentes ont permis à Eloi de tracer la ligne de sa cuisine et les valeurs qu'aujourd'hui il prône dans ses cuisines.Car aujourd'hui, Éloi Spinnler dirige trois restaurants — Orgueil, Colère, Envie — et prend position sur des sujets qui lui tiennent à coeur: le gaspillage alimentaire, les violences en cuisine entre autres...Je suis très heureux de vous faire découvrir l'histoire personnelle d'une figure emblématique de notre époque, un fier représentant des cuisiniers de sa génération.Pour découvrir l'univers d'Eloi Spinnler: réservez chez Orgueilou chez Colèreou chez Envie !
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Aujourd'hui je vous parle d'un nouvel acteur qui vient d'arriver il y a qqs mois dans notre univers : Source Edition, qui réédite fidèlement des pièces iconiques de designers des années 50 à 70. Une maison d'édition unique fondée par une mère et sa fille - Isabelle de Ponfilly et Joséphine Bursacchi - passionnées par le design, l'artisanat et le patrimoine. Mais attention Isabelle dont la carrière dans le monde du design est immense - elle nous la raconte ici bien sûr - le dit dans l'épisode "ce n'est pas parce que Joséphine est ma fille que nous avons crée Source Edition, si elle n'avait pas eu ce niveau d'excellence, je ne sais pas si je me serais lancée..."Ensemble nous parlonsde l'idée de se lancer dans la réédition de mobilier plutôt que la création l'importance de la sauvegarde du patrimoinede Claude Pompidou qui compte bcp dans l'histoire du designde l'engouement des années 70 et de ce que ce style apporte à nos intérieurs comment elles sélectionnent les designers et les meublesles étapes d'une réédition, des archives aux échanges avec les créateurs d'origine du Mobilier National (que je vais interviewer bientôt aussi !)de l'importance d'une fabrication européenne et durable de leur lutre contre la contrefaçon et les copies qui sont si nombreuses de leur duo intergénérationnel et leurs sensibilités différentes de la conjoncture et de leur vision à long terme sur le marché etc. etc.
Ce mois d'octobre, CHEFS a mis le cap à l'Ouest, direction la BretagneEt dans ce nouveau Talk, on va interroger ce mot qu'on entend souvent (parfois trop) : le terroir !Qu'est-ce que cela veut dire aujourd'hui, quand on cuisine, quand on produit, quand on entreprend ici ?Comment faire vivre une identité sans tomber dans le folklore ?Et surtout, comment garder du sens dans un métier où les équilibres sont de plus en plus fragiles ?Autour de la table :Laura Boit et Baptiste Lavallez, le duo du restaurant "Vivace" à Trébeurden, installés depuis peu et déjà remarqués pour leur cuisine vivante et locale ;Marion Juhel, boulangère-pâtissière et fondatrice de "16h30", une boulangerie rennaise qui incarne une nouvelle génération d'artisans, attentive aux matières premières et aux rythmes humains ;et Olivier Marie, journaliste et rédacteur en chef du guide "Pur Beurre", mais aussi de "Bretons en cuisine" témoin privilégié de la scène gastronomique bretonne !Ensemble, on a parlé d'attachement au territoire, de circuits courts, de collaborations, de solidarité entre métiers, mais aussi de doutes, de contraintes économiques et de l'avenir du modèle breton.Parce que derrière chaque assiette, chaque pain, chaque projet, il y a des femmes et des hommes qui essaient de faire juste, de faire bien, de faire vrai.Un échange sincère et joyeux autour d'un même amour du goût !Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Chaque vendredi, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, explorent les dessous de l'entrepreneuriat food et partagent des conseils pratiques pour accompagner celles et ceux qui veulent lancer leur restaurant.Dans cet épisode, une question essentielle : C'est quoi un bon business plan ?Adrien explique comment construire un business plan solide, à la fois outil de conviction et de pilotage.Il détaille :Les trois grandes parties à structurer : concept, marché, financier.Les chiffres clés à maîtriser : CA prévisionnel, seuil de rentabilité, trésorerie, besoin de financement.L'importance des scénarios réaliste / optimiste / prudent et de la validation par un expert-comptable.Les erreurs à éviter : surestimer le chiffre d'affaires, oublier certaines charges, ou présenter des données sans justificatifs.
À Rennes, dans le restaurant Racines, Virginie Giboire s'est fait une place dans le paysage gastronomique breton.Passée par les grandes maisons parisiennes — Guy Martin, Michel Troisgros, Thierry Marx — elle est revenue sur ses terres pour y cultiver sa propre cuisine : libre, sensible et ancrée dans la saison.Chez elle, pas de plats signatures, pas de recettes figées.Chaque service est un instant nouveau, un dialogue entre le produit, l'émotion et le geste.Sa cuisine respire le bon sens, la sincérité et l'humilité — celle qu'on apprend au contact des producteurs, des équipes et du temps qui passe.Étoilée, discrète, exigeante, Virginie Giboire fait partie de cette génération de cheffes qui redéfinissent la haute gastronomie : humaine, vivante et vraie !
Au bout du bout de la Bretagne, face à l'océan et au phare de la Pointe Saint-Mathieu, Nolwenn Corre tient la barre d'une maison mythique.Fille, petite-fille et sœur de restaurateurs, elle incarne la quatrième génération d'une famille qui, depuis 1954, accueille voyageurs et gourmets dans ce lieu battu par les vents.Enfant, elle grandit derrière le bar, au milieu des équipes, du linge plié et des rires des habitués. Très tôt, la cuisine s'impose comme une évidence.À 12 ans, elle lance un défi à ses parents : « Moi je vais faire mieux que vous, je vais avoir une étoile Michelin. »Promesse tenue...À 28 ans, Nolwenn décroche sa première étoile et inscrit à son tour la maison familiale parmi les grandes tables bretonnes.Aujourd'hui, elle continue d'y faire vivre une cuisine juste, lumineuse, iodée, qui puise sa force dans la mémoire et la mer.Pour découvrir l'univers de Nolwenn Corre, c'est par ici !
Couleurs Foule fait sa rentrée, et on se retrouve pour faire le mini-portrait d'une couleur : le rose !Une famille de nuances qui me tient beaucoup à cœur et qui est d'actualité en ce mois d'octobre où elle est à l'honneur pour Octobre Rose.Composée du rouge et du blanc, le rose garde les traces des symboliques de ces deux couleurs. C'est notamment ce qui en fait une teinte particulièrement ambiguë et riche de sens... Elle pourra au fil des époques être qualifiée d'innocente ou érotique, élégante ou vulgaire, sacrée ou rebelle, politique ou frivole, puissante ou inoffensive. C'est cette multiplicité de significations qui en fait une couleur si fascinante et en constante évolution à travers l'histoire et les cultures, car à travers le monde, le rose n'a pas les mêmes symboliques.Mais alors que cache cette couleur derrière sa tendresse apparente ? Et bien c'est tout l'objet de ce nouvel épisode !Ces portraits colorés ont pour but de vous raconter l'histoire de couleurs connues et mais aussi moins connues, en vous révélant leurs symboliques, anecdotes et secrets
Invités : - Olivier Rondinaud, directeur de Rondinaud - Nicolas Saint-Lô, cofondateur de Xfeet Orthotics - Fabrice Marsella, directeur de la Banque des Startups chez LCL Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Au bout du bout de la Bretagne, face à l'océan et au phare de la Pointe Saint-Mathieu, Nolwenn Corre tient la barre d'une maison mythique.Fille, petite-fille et sœur de restaurateurs, elle incarne la quatrième génération d'une famille qui, depuis 1954, accueille voyageurs et gourmets dans ce lieu battu par les vents.Enfant, elle grandit derrière le bar, au milieu des équipes, du linge plié et des rires des habitués. Très tôt, la cuisine s'impose comme une évidence.À 12 ans, elle lance un défi à ses parents : « Moi je vais faire mieux que vous, je vais avoir une étoile Michelin. »Promesse tenue...À 28 ans, Nolwenn décroche sa première étoile et inscrit à son tour la maison familiale parmi les grandes tables bretonnes.Aujourd'hui, elle continue d'y faire vivre une cuisine juste, lumineuse, iodée, qui puise sa force dans la mémoire et la mer.Pour découvrir l'univers de Nolwenn Corre, c'est par ici !
Au bout du bout de la Bretagne, face à l'océan et au phare de la Pointe Saint-Mathieu, Nolwenn Corre tient la barre d'une maison mythique.Fille, petite-fille et sœur de restaurateurs, elle incarne la quatrième génération d'une famille qui, depuis 1954, accueille voyageurs et gourmets dans ce lieu battu par les vents.Enfant, elle grandit derrière le bar, au milieu des équipes, du linge plié et des rires des habitués. Très tôt, la cuisine s'impose comme une évidence.À 12 ans, elle lance un défi à ses parents : « Moi je vais faire mieux que vous, je vais avoir une étoile Michelin. »Promesse tenue...À 28 ans, Nolwenn décroche sa première étoile et inscrit à son tour la maison familiale parmi les grandes tables bretonnes.Aujourd'hui, elle continue d'y faire vivre une cuisine juste, lumineuse, iodée, qui puise sa force dans la mémoire et la mer.Pour découvrir l'univers de Nolwenn Corre, c'est par ici !
Sur les hauteurs de Plouider, petit village du Finistère nord de 1 800 habitants, une grande maison veille sur la baie de Goulven. Elle s'appelle La Butte, et c'est là que Nicolas Conraux a bâti, avec son épouse et son équipe, bien plus qu'un restaurant étoilé : un écosystème vivant, durable et inspirant.Un restaurant gastronomique étoilé, un hôtel, un bistro ouvert 7/7 dès le petit déjeuner, une boulangerie, des jardins...!Dans cet épisode, David Ordono nous emmène à la rencontre d'un chef qui repense tout. Celui qui a pris sur le tard les renes de cet établissement en cuisine a voulu repenser ce lieu d'histoire familial.De la cuisine à l'accueil, de la gestion des ressources à la carte, tout est réfléchi. Mais avant d'avoir opéré cette révolution, il y a eu un long chemin : une enfance passée entre voyages et exil, des années aux Comores marquées par un coup d'État, puis l'internat, la solitude, et enfin la découverte tardive de la cuisine, à 32 ans.Et puis, le choc du Covid. Le moment où tout s'aligne, où tout change. Nicolas Conraux décide alors de faire de La Butte un modèle d'hospitalité durable, une maison ancrée dans le réel, ouverte, qui conjugue exigence et bienveillance, excellence et conscience.C'est l'histoire d'un chef profondément ancré dans sa terre, dans ses valeurs, mais toujours en mouvement.Pour découvrir l'univers de Nicolas Conraux, c'est par ici !
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! New épisodeNew format (oui encore
Bienvenue dans « Ouvrir un restaurant », le format bonus du podcast CHEFS.Chaque vendredi, David et Adrien Pitard, opening planner et fondateur de la société Entrée, partagent leur expérience et leurs conseils pour aider les futur·e·s restaurateur·rice·s à concrétiser leur projet.Après avoir parlé la semaine dernière de la signature du bail et du besoin de financement, cet épisode répond à la question que tout porteur de projet se pose : où trouver l'argent pour ouvrir un restaurant ?Adrien détaille :Les 4 sources principales de financement : apport personnel, prêt bancaire, investisseurs et aides publiques.Les options complémentaires pour les petits budgets : love money, crowdfunding, leasing matériel, location-gérance.Comment construire un montage équilibré selon votre profil, votre timing et votre concept.
Dans cet épisode de CHEFS D'ENTREPRISE-S on grimpe… en haut d'une colline du Finistère, en haut de La Butte, pour rencontrer un chef qui a littéralement pris de la hauteur — dans sa vie, dans son métier, dans sa manière d'entreprendre.Nicolas Conraux n'était pas cuisinier quand il est entré dans la maison de ses beaux parents. Et pourtant, c'est lui qui a décroché une étoile dans cette auberge familiale fondée en 1952, aujourd'hui transformée en une maison vivante aux multiples facettes : table gastronomique, bistrot de village, boulangerie, hôtel de 30 chambres… le tout dirons nous, en pleine conscience, de son environnement.Ce que raconte cet épisode, c'est plus qu'une aventure entrepreneuriale : c'est le récit d'un basculement intérieur. Celui d'un homme qui, en pleine crise du COVID, a décidé de réinventer son rapport à la restauration, de remettre l'humain et le vivant au cœur du projet. Un alignement profond entre ce qu'il est, ce qu'il fait, et ce qu'il veut transmettre. Pour opérer ce virage radical et réorienter le développement de son entreprise, Nicolas Conraux a commencé par lui-même...
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Très contente d'échanger aujourd'hui avec Caroline Petit-Mason, céramiste et entrepreneure. Après plusieurs vies créatives et une première marque de céramique avec Three Seven Paris, il y a qqs mois elle a choisi de repartir de zéro pour créer Saint Pères, une marque artisanale de vaisselle et objets en porcelaine à son image : exigeante, innovante et sensible. Ensemble on va parler de la petite fille qu'elle était et l'importance de sa fratrieses débuts sur les routes américainesl'importance de ralentir nos rythmes de viela différence entre faïence et porcelaineles heures de tutos Youtube pour apprendre le métierêtre une femme dans ce milieul'usure des réseaux sociaux l'importance d'une identité forte l'évolution de son métier sa journée type et l'équilibre pro/persoson associé caché si cultivé les montagnes russes de l'entreprenariat la nécessité du sport pour tenirson nouvel appartement etc.Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
durée : 00:04:02 - Une semaine dans leurs vies - Au cœur du port de Fécamp, se dresse un bâtiment incontournable pour les habitants et les touristes. Le marché aux poissons, tenu par Nathalie Lecanu depuis une vingtaine d'années. Récemment, elle a recruté un jeune venu du milieu de la restauration. Kevin se passionne pour ce nouveau travail. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Dans l'épisode complet, vous pourrez aussi écouter Violaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeMarie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoUn mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Tous les 2 mois, LE CLUB se rassemble pour vous parler déco, design, tendances, conseils pratiques et même transition écologique.Chaque journaliste son thème et sa chronique :DANS CET EXTRAIT Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoDans l'épisode complet, vous pourrez aussi écouter Violaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeEnfin, Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas
durée : 00:09:48 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - La cinquième saison de "Slow Horses" débarque sur Apple TV+. Menés par un Gary Oldman génialement désabusé, les espions ratés du MI5 replongent dans un chaos mêlant humour noir et menace terroriste à Londres. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Charles Bosson Critique de cinéma et vidéaste sur YouTube; Olivier Joyard Critique et réalisateur
Décoration, design, création, savoir-faire, ces mots vous parlent ? Alors vous êtes au bon endroit ! Bienvenue dans LE CLUB, l'émission comme à la radio avec différentes chroniques... déco, design et même transition écologique !Dans cet épisode, Marie Farman, journaliste spécialisée en design qui collabore avec de nombreux magazines, nous parle d'une grande marque américaine qui débarque à Paris... (#suspens) et de tous les event du moment qui montrent à quel point la capitale est toujours un must en matière de design et projets décoViolaine Belle-Croix, rédactrice en chef de Marie Claire Enfants et citoyenne engagée grâce à WITE MEDIA, nous explique l'importance des barrières de biodiversité (un terme un peu compliqué lu comme ça mais en fait tout simple à comprendre rassurez-vous) et les outils à mettre en placeEnfin, Billie Blanket, journaliste déco, autrice et désormais décoratrice d'intérieur, consacre sa chronique aux tendances déco repérées pour cet hiver : matières, style, couleurs, vous saurez tout ! Un mix&match comme on les aime pour une discussion dans la joie et la bonne humeur !Merci bcp Studio Gaïa pour son accueil le jour de l'enregistrement.Et merci à Tikamoon, fidèle partenaire de cette émission. Si ce podcast vous plait n'hésitez pas