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Chaque jour, Laure Dautriche revient sur les grands moments et événements qui ont marqué notre radio.En 2025, Europe 1 célèbre ses 70 ans. 70 ans d'histoire, de rires, de partages et d'émotions.Pour marquer cet anniversaire, découvrez une collection inédite de podcasts : "70 ans d'Europe 1".Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'invitée Culture est la photographe Oriane Zerah qui vit et travaille en Afghanistan, elle nous fait découvrir dans un pays ravagé par la guerre, la violence et l'oppression des femmes, la passion des hommes pour les fleurs. Oriane Zerah est au micro d'Isabelle Chenu. À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard, présente jusqu'au 12 octobre 2025 le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatimah Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes visages découverts, en tenue traditionnelles, débarrassées de leur burqa, tandis que la française Oriane Zerah nous fait découvrir dans un pays ravagé par la guerre, la violence et l'oppression des femmes, la passion des hommes pour les fleurs.
L'invitée Culture est la photographe Oriane Zerah qui vit et travaille en Afghanistan, elle nous fait découvrir dans un pays ravagé par la guerre, la violence et l'oppression des femmes, la passion des hommes pour les fleurs. Oriane Zerah est au micro d'Isabelle Chenu. À Grasse, dans le sud de la France, le musée Fragonard, présente jusqu'au 12 octobre 2025 le travail de deux femmes photographes sur l'Afghanistan. Fatimah Hossaini, Afghane de naissance et Iranienne de nationalité, a photographié des femmes visages découverts, en tenue traditionnelles, débarrassées de leur burqa, tandis que la française Oriane Zerah nous fait découvrir dans un pays ravagé par la guerre, la violence et l'oppression des femmes, la passion des hommes pour les fleurs.
Une année sans concession.Pas de format.Pas de filtre.Pas de programme à vendre.Des voix. Entières.Pas retouchées.Pas marketées.Des silences qu'on laisse durer.Des regards qu'on devine derrière les mots.Ici, on ne meuble pas le vide.On l'écoute.TOKIO, ce n'est pas un média.C'est un refus.Le refus de parler vite. De parler fort. De parler pour rien.C'est un lieu.Pour ceux qui ne rentrent pas dans les cases.Pour ceux qui doutent, qui cherchent, qui racontent autrement.J'ai lancé ça seul.J'ai tenu seul.Mais je ne suis pas seul.Vous avez écouté. Vous avez relayé. Vous avez compris.Alors on continue.En marge. En ligne directe. En silence parfois.Une année sans concession.Une seule promesse :Ne jamais trahir ce qui nous lie.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Um die Jury des Deutschen Fotobuchpreises 2025 geht es in Episode 221, die zum dritten Mal in Regensburg zusammenkommen wird. In einer zweitägigen Sitzung werden die eingereichten Bücher für die Frankfurter Buchmesse nominiert und die Medaillen vergeben. JuryTeilnehmerinnen 2025: Victor Balko ist Grafikdesigner, spezialisiert auf Buchgestaltung. Nach seinem Studium an der Hochschule für Gestaltung Offenbach, war Mitherausgeber und Gestalter des Fotomagazins »Album«, arbeitete von 2013 bis 2018 bei Steidl in Göttingen und machte sich 2018 selbstständig. Er lebt in Frankfurt am Main. https://victorbalko.com https://www.instagram.com/studiovictorbalko/ - - - Alexa Becker studierte Kunstgeschichte in Heidelberg, arbeitete lange für den Kehrer Verlag, machte zahlreiche Fotobücher, wird seit 2008 regelmäßig als Expertin zu internationalen Portfolio-Reviews eingeladen und arbeitet seit 2020 als freie Beraterin für diverse Fotobuchverlage. Sie lebt in Heidelberg. https://www.alexabecker.de/ https://www.instagram.com/alexa.beckr - - - Dr. Johanna Spanke ist Postdoktorandin am kunstgeschichtlichen Seminar der Universität Hamburg mit einem Forschungsschwerpunkt auf mexikanischer und US-amerikanischer Kunst des 20. Jahrhunderts, Fotografiegeschichte und -theorie sowie »Difficult Heritage«. Sie lebt in Berlin. 2024 erhielt ihr Buch »Photomurals« die Goldmedaille in Kategorie 07 »Fototheorie und Essayistik«. https://www.visual-scepticism.uni-hamburg.de/team/spanke.html https://www.instagram.com/johannaspanke - - - Dr. Peter Pfrunder wurde 1959 in Singapur geboren und wuchs in der Schweiz auf. Er studierte Germanistik, europäische Volksliteratur und englische Literatur in Zürich, Berlin und Montpellier. Er war bis 2024 der Direktor der Fotostiftung Schweiz. Er lebt in der Nähe von Winterthur. https://www.fotostiftung.ch https://www.instagram.com/peterpfrunder - - - Prof. Wiebke Loeper wurde 1972 in Ostberlin geboren, studierte Fotografie in Leipzig an der HGB und ist Meisterschülerin von Joachim Brohm. Seit 2008 ist sie Professorin für Fotografie an der Fachhochschule in Potsdam. Sie lebt in Berlin. https://www.wiebkeloeper.de https://www.instagram.com/wiebkeloeper - - - Frau Kreutler machte zunächst eine Ausbildung zur Fotografin und studierte anschließend Kunstgeschichte in Wien und Dublin. Seit 2003 ist sie Kuratorin im Wien Museum und leitet seit 2008 die Abteilung Digitales Sammlungsmanagement im Wien Museum. Sie lebt in Wien. https://www.wienmuseum.at/person/frauke_kreutler https://www.wienmuseum.at/ https://www.instagram.com/wienmuseum - - - Hans-Michael Koetzle ist bereits seit den 1990er Jahren immer wieder in der Fotobuchjury und Autor zahlreicher Publikationen und Essays über Fotografie. 2022 erhielt er den Kulturpreis der Deutschen Gesellschaft für Photographie. Er lebt in München. https://www.instagram.com/dgph_ev - - - Prof. Dr. Bernd Stiegler war nach seiner Promotion von 1999 bis 2007 Programmleiter »Wissenschaft« im Suhrkamp Verlag. Seit 2007 ist er Professor für Neuere deutsche Literatur mit Schwerpunkt 20. Jahrhundert im medialen Kontext an der Universität Konstanz. https://www.litwiss.uni-konstanz.de/germanistik/personen/personen-a-z/prof-dr-bernd-stiegler/ https://www.instagram.com/unikonstanz - - - Episoden-Cover-Gestaltung: Andy Scholz Episoden-Cover-Foto/Grafik: privat - - - Link zu unserem Newsletter: https://deutscherfotobuchpreis.de/newsletter/ - - - Idee, Produktion, Redaktion, Moderation, Schnitt, Ton, Musik: Andy Scholz Der Podcast ist eine Produktion von STUDIO ANDY SCHOLZ 2020-2025.
Cet épisode est sponsorisé par l'assurance santé animalière LASSIE :Avec le code MORDANT40 j'ai le plaisir de vous offrir 40€ à toute nouvelle inscription !Aujourd'hui dans Mordant j'ai le plaisir de recevoir Mathieu Courdesses, photographe animalier talentueux. Dès l'âge de 8 ans, un voyage inoubliable en Namibie a éveillé en lui un amour profond pour les animaux et les safaris, le virus comme il l'appelle, et ce virus ne l'a jamais quitté depuis.Mathieu a su transformer sa passion en une carrière inspirante, d'étudiant en école de commerce, en passant par guide jusqu'à devenir photographe animalier et fondateur de sa propre maison de production.Dans cet épisode on aborde les défis que représente la photographie animalière, notamment l'obtention des autorisations nécessaires, les réalités financières, les connaissances empiriques versus théoriques.Au fil de la conversation, vous découvrirez comment la photographie peut servir de puissant outil de sensibilisation à la conservation de la nature.Mathieu ne se contente pas de capturer des images à des fins purement esthétiques ; il s'engage également pour protection de la faune sauvage menacée, il fait partie de la nouvelle génération de photographes plus éclairée, plus éthique et plus respectueuse.Avec Mathieu, on a aussi parlé d'écotourisme, de diplomatie environnementale et de la mode de la poudre de rhinocéros.Je vous souhaite une bonne écoute ! -Pour retrouver Mathieu Courdesses :TikTok @mathieu.courdessesInstagram @mathieucourdessesPour commander son dernier livre : Orange&WildPour suivre mon quotidien et celui du podcast :@mathilde_osteoHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Mon invité d'aujourd'hui a réussi très vite à avoir plusieurs mariages et le tout avec un bon panier moyen. À peine deux ans pour atteindre ce niveau. J'ai même dû le ralentir ! C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois le photographe de mariage William Desse.Mon interview avec William va notamment vous faire découvrir :♦ Comment gérer une vie de famille et d'entrepreneur♦ Comment il a appliqué tous les conseils de la formation rapidement♦ Sa vision du grand angle en photo de mariageLes liens de mon invité :https://www.williamdesse.com/https://www.instagram.com/william_desse_photographe/-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
Photojournaliste et portraitiste française, Marie-Laure de Decker a couvert de nombreux conflits armés et assisté aux grands bouleversements sociétaux et politiques de la seconde moitié du XXème siècle. La Maison Européenne de la Photographie à Paris lui consacre une rétrospective. De la guerre du Vietnam, à l'Afrique du Sud post apartheid, des conflits au Yémen et au Tchad, en passant par le Chili de Pinochet, ses photographies font partie de la mémoire du XXè siècle. De ses luttes politiques militaires sociales, Marie-Laure de Decker a été une des plus grandes photojournalistes de son époque en France, une femme engagée, une très grande portraitiste aussi. Qu'elle photographie des stars ou des anonymes, elle saisit toujours la profondeur d'un regard, la douceur d'un sourire, ou l'inquiétude sur un visage. Pour la première fois, une importante rétrospective lui est consacrée à la Maison Européenne de la Photographie. Victoria Aresheva, la commissaire de l'exposition, est l'invitée de Sur le pont des Arts. Marie Laure de Decker, l'image comme engagement est à voir à la Maison Européenne de la Photographie jusqu'au 28 septembre 2025 à Paris. Au programme de l'émission : ► Café polar Catherine Fruchon-Toussaint a rencontré Baudoin Millet, un des co-auteurs de l'édition en Pléiade (Gallimard) de l'intégrale des aventures de Sherlock Holmes, le célèbre personnage créé par Conan Doyle. ► Playlist du jour - Maître Gazonga - Les Jaloux Saboteurs - The Beach Boys - Good Vibrations.
Photojournaliste et portraitiste française, Marie-Laure de Decker a couvert de nombreux conflits armés et assisté aux grands bouleversements sociétaux et politiques de la seconde moitié du XXème siècle. La Maison Européenne de la Photographie à Paris lui consacre une rétrospective. De la guerre du Vietnam, à l'Afrique du Sud post apartheid, des conflits au Yémen et au Tchad, en passant par le Chili de Pinochet, ses photographies font partie de la mémoire du XXè siècle. De ses luttes politiques militaires sociales, Marie-Laure de Decker a été une des plus grandes photojournalistes de son époque en France, une femme engagée, une très grande portraitiste aussi. Qu'elle photographie des stars ou des anonymes, elle saisit toujours la profondeur d'un regard, la douceur d'un sourire, ou l'inquiétude sur un visage. Pour la première fois, une importante rétrospective lui est consacrée à la Maison Européenne de la Photographie. Victoria Aresheva, la commissaire de l'exposition, est l'invitée de Sur le pont des Arts. Marie Laure de Decker, l'image comme engagement est à voir à la Maison Européenne de la Photographie jusqu'au 28 septembre 2025 à Paris. Au programme de l'émission : ► Café polar Catherine Fruchon-Toussaint a rencontré Baudoin Millet, un des co-auteurs de l'édition en Pléiade (Gallimard) de l'intégrale des aventures de Sherlock Holmes, le célèbre personnage créé par Conan Doyle. ► Playlist du jour - Maître Gazonga - Les Jaloux Saboteurs - The Beach Boys - Good Vibrations.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Sylvie Fodor, Directrice général du CEPIC pour évoquer des sujets clés du cadre juridique et technologique sur la défense du droit d'auteur concernant l'Intelligence artificielle.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Gilles Taquet et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 31 mai 2024.Épisode 2 :Dans ce deuxième épisode consacré à la galerie Roger-Viollet et à son directeur Gilles Taquet, notre invité évoque l'actualité de la galerie. Son activité d'exposition est récente : aussi permet-elle à un public varié de découvrir ses collections. Mais cette facette n'a pas remplacé son activité première : particuliers comme professionnels poussent la porte du magasin pour y acheter des clichés qu'on ne saurait trouver ailleurs.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Isabelle Tessier, Directrice de l'artothèque de Vitré et Coline Miailhe, Directrice Le Bus – espace culturel autour de principes d'exposer la photographie au plus près des publics.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Isabelle-Cécile Le Mée, Chargée de mission pour le pilotage de la recherche sur le patrimoine photographique et Edouard de Saint-Ours, Conservateur des collections photographiques du Musée Guimet autour du statut des photographies dans les collections.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec l'artiste martiniquais, Jordan Beal, pour aborder la situation des photographes dans les territoires d'Outre-mer.
Alors que se tient, à Nice, la conférence des Nations unies sur l'Océan, la photographie maritime est dans l'objectif du musée national de la Marine, à Paris. Comment représenter la mer et les océans, mais aussi ceux qui les peuplent ? Les créatures maritimes, les marins sur leurs bateaux, ceux qui partirent pêcher au péril de leur vie, sur des mers déchaînées et leur vie à bord ?À quelques encablures de la tour Eiffel, La pêche au-delà du cliché propose 130 pièces. Des photographies de bateaux, de pêcheurs, de poissons, de mers et d'océans nous révèlent la vie des communautés de pêcheurs du XIXè au XXè siècle. Quant à l'exposition Jean Gaumy et la mer, elle rassemble plus de 150 photographies, de ce photographe immense.Une œuvre spectaculaire, profondément humaniste, qui explore le monde et les flots, de la Mauritanie à la Gironde.Jean Gaumy et Marion Veyssière, co-commisaire de cette exposition et directrice adjointe du musée de la Marine, sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission :►Reportage Nous partons à présent pour l'Autriche, sur les pas du peintre Egon Schiele. Véritable mythe dans le pays, certains aspects de son œuvre restent toutefois moins connus. C'est le cas des dernières années du peintre, au centre d'une grande exposition au musée Leopold à Vienne. Exposition que notre correspondante Isaure Hiace a visitée pour nous. ► Playlist du jourAngélique Kidjo – Y'é MandjaLémofil et Paul Watson – La folie des hommesBoby Lapointe – La maman des poissons.
Alors que se tient, à Nice, la conférence des Nations unies sur l'Océan, la photographie maritime est dans l'objectif du musée national de la Marine, à Paris. Comment représenter la mer et les océans, mais aussi ceux qui les peuplent ? Les créatures maritimes, les marins sur leurs bateaux, ceux qui partirent pêcher au péril de leur vie, sur des mers déchaînées et leur vie à bord ?À quelques encablures de la tour Eiffel, La pêche au-delà du cliché propose 130 pièces. Des photographies de bateaux, de pêcheurs, de poissons, de mers et d'océans nous révèlent la vie des communautés de pêcheurs du XIXè au XXè siècle. Quant à l'exposition Jean Gaumy et la mer, elle rassemble plus de 150 photographies, de ce photographe immense.Une œuvre spectaculaire, profondément humaniste, qui explore le monde et les flots, de la Mauritanie à la Gironde.Jean Gaumy et Marion Veyssière, co-commisaire de cette exposition et directrice adjointe du musée de la Marine, sont les invités de Sur le pont des arts. Au programme de l'émission :►Reportage Nous partons à présent pour l'Autriche, sur les pas du peintre Egon Schiele. Véritable mythe dans le pays, certains aspects de son œuvre restent toutefois moins connus. C'est le cas des dernières années du peintre, au centre d'une grande exposition au musée Leopold à Vienne. Exposition que notre correspondante Isaure Hiace a visitée pour nous. ► Playlist du jourAngélique Kidjo – Y'é MandjaLémofil et Paul Watson – La folie des hommesBoby Lapointe – La maman des poissons.
Alors que la 3è conférence des Nations unies sur l'Océan se tient à Nice du 9 au 13 juin 2025, il faut plus que jamais écouter, réécouter cette grande voix des océans qu'était Anita Conti. Née à l'aube du XXè siècle, cette pionnière de l'océanographie moderne, également photographe, vidéaste et écrivaine française, a sillonné les mers du monde en quête de sciences, d'images, de mots et surtout d'horizons. Et suivre le sillage d'Anita Conti, c'est instantanément sentir un vent de liberté souffler, charriant avec lui les mots « avant-garde », « poésie » ou « engagement », mêlés aux intonations enjouées, à jamais gravées dans les archives radiophoniques françaises, de celle que l'on surnommait la Dame de la mer. Anita Conti, née Caracotchian, a donc traversé son siècle avec une détermination sans faille, seule femme à bord des bateaux de pêche, que ce soit des chalutiers terre-neuvas dans l'Atlantique Nord ou des pirogues des mers chaudes, pendant ses dix années passées en Afrique de l'Ouest. Tour à tour relieuse d'art, journaliste, scientifique, résistante engagée sur les démineurs en 1939, écrivaine, lanceuse d'alerte sur les dégâts de la surpêche industrielle ou précurseure notamment de l'aquaculture, Anita Conti a inspiré des générations d'enfants de la mer.À ceux qui lui demandaient si elle était un garçon manqué, Anita Conti répondait : « Non, je suis une femme réussie ! » ; une femme qui jusqu'à son dernier souffle, en 1997, à l'âge de 98 ans, va s'attacher à donner une voix aux océans et à ceux qui les peuplent et en vivent… Un reportage de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary, initialement diffusé en février 2025. En savoir plus : - Sur la 3e Conférence des Nations Unies sur l'Océan qui se tient du 9 au 13 juin 2025 à Nice- Sur Les Pêcheries de Fécamp qui avaient imaginé en 2024 l'exposition « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent »- Sur le Fonds Anita Conti conservé par les Archives de Lorient depuis 2003. Il se compose d'archives papier, d'environ 40 000 photographies, des centaines d'objets et d'une bibliothèque de 1 800 ouvrages.- Sur Laurent Girault-Conti, fils adoptif d'Anita qui œuvre, depuis des décennies, à transmettre l'œuvre, la vie et le message d'Anita. Il a notamment publié le très bel ouvrage « Anita Conti et la Bretagne »- Sur les ouvrages d'Anita Conti paru en France aux Éditions Payot. À lire :- « Racleurs d'océans ». Anita Conti. Éd. originale 1953. Petite Bibliothèque Payot 2017- « Géants des mers chaudes ». Anita Conti. Éd. originale 1957. Petite Bibliothèque Payot 2021- « Le carnet Vikings. 70 jours en mer de Barents ». Anita Conti. Éditions Payot 2018- « L'océan, les bêtes et l'homme ou l'ivresse du risque ». Anita Conti. Éditions Payot 2019- « Anita Conti et la Bretagne ». Laurent Girault-Conti. Éditions Filigrane 2021- « Anita Conti ». Catell et Bocquet. Une biographie dessinée parue chez Casterman. 2024- « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent », le catalogue de l'exposition des Pêcheries de Fécamp. 2024.
Alors que la 3è conférence des Nations unies sur l'Océan se tient à Nice du 9 au 13 juin 2025, il faut plus que jamais écouter, réécouter cette grande voix des océans qu'était Anita Conti. Née à l'aube du XXè siècle, cette pionnière de l'océanographie moderne, également photographe, vidéaste et écrivaine française, a sillonné les mers du monde en quête de sciences, d'images, de mots et surtout d'horizons. Et suivre le sillage d'Anita Conti, c'est instantanément sentir un vent de liberté souffler, charriant avec lui les mots « avant-garde », « poésie » ou « engagement », mêlés aux intonations enjouées, à jamais gravées dans les archives radiophoniques françaises, de celle que l'on surnommait la Dame de la mer. Anita Conti, née Caracotchian, a donc traversé son siècle avec une détermination sans faille, seule femme à bord des bateaux de pêche, que ce soit des chalutiers terre-neuvas dans l'Atlantique Nord ou des pirogues des mers chaudes, pendant ses dix années passées en Afrique de l'Ouest. Tour à tour relieuse d'art, journaliste, scientifique, résistante engagée sur les démineurs en 1939, écrivaine, lanceuse d'alerte sur les dégâts de la surpêche industrielle ou précurseure notamment de l'aquaculture, Anita Conti a inspiré des générations d'enfants de la mer.À ceux qui lui demandaient si elle était un garçon manqué, Anita Conti répondait : « Non, je suis une femme réussie ! » ; une femme qui jusqu'à son dernier souffle, en 1997, à l'âge de 98 ans, va s'attacher à donner une voix aux océans et à ceux qui les peuplent et en vivent… Un reportage de Céline Develay-Mazurelle et Laure Allary, initialement diffusé en février 2025. En savoir plus : - Sur la 3e Conférence des Nations Unies sur l'Océan qui se tient du 9 au 13 juin 2025 à Nice- Sur Les Pêcheries de Fécamp qui avaient imaginé en 2024 l'exposition « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent »- Sur le Fonds Anita Conti conservé par les Archives de Lorient depuis 2003. Il se compose d'archives papier, d'environ 40 000 photographies, des centaines d'objets et d'une bibliothèque de 1 800 ouvrages.- Sur Laurent Girault-Conti, fils adoptif d'Anita qui œuvre, depuis des décennies, à transmettre l'œuvre, la vie et le message d'Anita. Il a notamment publié le très bel ouvrage « Anita Conti et la Bretagne »- Sur les ouvrages d'Anita Conti paru en France aux Éditions Payot. À lire :- « Racleurs d'océans ». Anita Conti. Éd. originale 1953. Petite Bibliothèque Payot 2017- « Géants des mers chaudes ». Anita Conti. Éd. originale 1957. Petite Bibliothèque Payot 2021- « Le carnet Vikings. 70 jours en mer de Barents ». Anita Conti. Éditions Payot 2018- « L'océan, les bêtes et l'homme ou l'ivresse du risque ». Anita Conti. Éditions Payot 2019- « Anita Conti et la Bretagne ». Laurent Girault-Conti. Éditions Filigrane 2021- « Anita Conti ». Catell et Bocquet. Une biographie dessinée parue chez Casterman. 2024- « Anita Conti, la Dame aux semelles de vent », le catalogue de l'exposition des Pêcheries de Fécamp. 2024.
durée : 00:06:44 - L'invité de "ici Maine" - La 93e édition des 24 heures du Mans débute ce vendredi avec le traditionnel pesage place de la République. Denis Lambert sera présent avec son objectif. Ce photographe professionnel du Maine Libre couvre la course depuis 40 ans. Il nous raconte ses souvenirs et l'évolution de son métier.
Les 17 et 18 juin, le Palais de Tokyo accueillera la 6e édition du Parlement de la Photographie, placée cette année sous le signe d'un anniversaire majeur : le Bicentenaire de la photographie. Intitulé « Bientôt 200 ans, et maintenant ? », l'événement réunira professionnels, artistes et institutions autour de grandes thématiques qui interrogent le présent et l'avenir du médium. En amont de ces deux journées de débats et de réflexions, nous vous proposons de découvrir chaque jour un aperçu des intervenants qui prendront part à cette édition. Aujourd'hui, rencontre avec Amélie Samson du festival Circulation(s) et Anthony Jean de LUM festival, pour nous parler des enjeux des festivals sur les territoires.
Vous aimez notre peau de caste ? Soutenez-nous ! https://www.lenouvelespritpublic.fr/abonnementUne conversation entre Gilles Taquet et Philippe Meyer, enregistrée au studio l'Arrière-boutique le 31 mai 2024.Épisode 1 : Nous recevons pour ce nouveau Bada Gilles Taquet, directeur de la galerie Roger-Viollet. Au cours de ce premier épisode, notre invité expose les débuts de ce qui était auparavant une agence, son histoire singulière et en particulier celle de ses fondateurs, Hélène Roger-Violet et son mari Jean Fischer. Gilles Taquet nous apprend également l'ampleur de la singulière boutique rue de Seine qui détient aujourd'hui plus de six millions de photographies.Chaque semaine, Philippe Meyer anime une conversation d'analyse politique, argumentée et courtoise, sur des thèmes nationaux et internationaux liés à l'actualité. Pour en savoir plus : www.lenouvelespritpublic.frDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'exposition Instants données est à retrouver au musée Maillol, à Paris, une exposition touchante et exhaustive, réalisée en collaboration avec ses deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine, et la société belge Tempora. Au fil de 400 clichés, on redécouvre la capitale française à travers le regard du photographe, comme un souffle d'humanité en noir et blanc. « Le baiser de l'Hôtel de Ville »: deux amoureux s'embrassent devant une terrasse de café, à deux pas de l'Hôtel de Ville de Paris. C'est probablement cette photo qui vous vient en tête lorsque vous entendez le nom de Robert Doisneau, l'un des photographes les plus emblématiques du XXème siècle et du courant humaniste.Pendant plus de 50 ans, Robert Doisneau a arpenté les rues de Paris à la façon de celui qu'il aimait décrire comme « le patient passant » : celui qui attend des heures pour immortaliser ces instants de vie qui laissent les autres indifférents, jusqu'à ce que son appareil photo les rende éternels.Francine Deroudille, l'une des deux filles du photographe – qui a fondé avec sa sœur l'atelier Robert Doisneau , où sont conservées toutes ses photos – est aujourd'hui l'une des commissaires de cette exposition : « On a voulu montrer toute une séquence qui s'appelle "Gravité", où on voit les photos des gens à qui la vie n'a pas fait de cadeaux, explique-t-elle. Que ce soit les prostituées des halles ou des mineurs à Lens qui vivent dans des conditions épouvantables. Robert Doisneau a fait des photos qui peuvent être très dures, mais le regard qu'il porte sur les gens n'est jamais dur. »La solidarité : une valeur chère au cœur de Robert Doisneau. Une solidarité sans distinction, sans hiérarchie. C'est ce que l'on ressent en se baladant dans les allées du musée Maillol. Une exposition de plus de 400 photos, en noir et blanc la plupart du temps, qui représentent des enfants qui jouent dans les rues ou au pied de la tour Eiffel, des amoureux qui dansent un soir de 14 juillet, mais aussi les banlieues parisiennes. Des banlieues dans lesquelles il aimait passer son temps libre, il fut d'ailleurs l'un des premiers à les photographier : Les gens de la banlieue, peut-être parce que le décor sert de repoussoir, je les trouve très attendrissants. La jeunesse en banlieue prend une valeur, un caractère ... « De nos jours, les banlieues sont très photographiées, retrace Francine Deroudille. Au moment où il le faisait, ce n'était pas du tout [le cas]. Tous les objectifs s'étaient détournés de cette photographie sociale. Il va montrer des photographies qui vont pouvoir étayer un propos de révolte sociale. »Connu pour son côté provocateur, Robert Doisneau était aussi un grand conteur. Il n'aimait pas qu'on le réduise à un simple témoin du réel. Et pourtant, Doisneau c'est une histoire de rencontres et de récits de vie. Lorsqu'il rentrait chaque soir, ses filles se souviennent qu'il aimait leur raconter ses aventures parisiennes. Des histoires qui se rejoignent toutes en un point : un regard profondément bienveillant. Un regard qui serait précieux aujourd'hui, comme le souligne sa fille : « Je pense qu'en ce moment où la société est rude et où les rapports des gens sont violents, il aurait été content de représenter la liberté, la fraternité et l'égalité. Ce n'est pas un homme qui cherchait à représenter un message en particulier, mais il y a quand même un message de paix dans son travail. »La désobéissance, c'est la lutte contre l'autorité. Quand des gens représentant l'autorité, la force publique, vous disent 'circulez, il n'y a rien à voir', c'est là qu'il faut impérativement s'arrêter et regarder. C'est là qu'il se passe des choses. ► Une exposition à découvrir jusqu'au 12 octobre 2025 au musée Maillol. À lire aussiLe photographe franco-brésilien Sebastião Salgado est mort à l'âge de 81 ans
Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueDans cet épisode spécial, je (Marine Lefort, l'hôte de ce podcast) passe de l'autre côté du micro. Interviewée par mon compagnon Florian, je reviens sur mon parcours, les projets que je mène en France et au Japon, et l'accompagnement que je propose aux photographes.Je parle aussi de l'évolution du podcast, de mon travail éditorial avec Gallimard, Fisheye, The Eyes, et de mes expériences à la résidence Villa Kujoyama, le festival Kyotographie, l'école des Gobelins ou à les Rencontres de la Photographie à Arles.J'espère que cet échange sincère vous permettra d'en savoir plus sur mes projets à côté de mon podcast Les Voix de la Photo.Bonne écoute !00:00:34 - Introduction de l'épisode spécial avec Florian00:02:51 - Le parcours de Marine jusqu'à un départ au Japon en 202200:04:03 - Travail au Japon : à la résidence Villa Kujoyama (Institut Français) et au festival Kyotographie à Kyoto00:04:40 - Retour en France et nouveaux projets00:05:39 - Collaboration avec des éditeurs (Gallimard, Fisheye et The Eyes) et des photographes00:07:41 - Accompagnements et projets avec des photographes00:12:38 - L'avenir du podcast Les Voix de la PhotoCrédit photo : Samuel KirszenbaumMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphotoLes Voix de la Photo est un podcast produit et réalisé par Marine Lefort. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Je dis “que”, ce n'est pas tout à fait exact, le peintre dont je vais vous parler a aussi peint quelques autres tableaux mais tout à fait anecdotiques dans son oeuvre. Ce peintre est Roman Opałka. Un artiste franco-polonais, qui a donc consacré l'essentiel de sa vie à une œuvre singulière intitulée OPALKA 1965 / 1 – ∞. À partir de 1965, il s'est lancé dans la tâche monumentale de peindre, à la main, une suite ininterrompue de nombres entiers, débutant par le chiffre 1 et visant l'infini.Une œuvre unique et obsessionnelleChaque toile, qu'il appelait un "Détail", mesurait 196 x 135 cm — dimensions correspondant à sa propre taille et à la largeur de la porte de son atelier à Varsovie. Il peignait les nombres en rangées horizontales, de gauche à droite, en utilisant un pinceau n°0 et de la peinture blanche. Initialement, le fond était noir, mais en 1972, Opałka a commencé à ajouter 1 % de blanc supplémentaire à chaque nouvelle toile, rendant progressivement le fond plus clair. Ce processus visait à symboliser le passage du temps et l'approche de la fin, jusqu'à atteindre un "blanc mérité" où les chiffres blancs se fondaient dans le fond blanc, rendant les nombres presque invisibles .Un rituel quotidienAu-delà de la peinture, Opałka a instauré un rituel strict pour documenter le temps :Photographie : À la fin de chaque session de travail, il se photographiait devant la toile en cours, toujours dans les mêmes conditions d'éclairage et d'habillement, créant ainsi une série d'autoportraits montrant les effets du temps sur son visage.Enregistrement vocal : Il enregistrait sa voix en énonçant chaque nombre peint, ajoutant une dimension sonore à son œuvre.Centre PompidouCes pratiques renforçaient la dimension performative et méditative de son travail, transformant son œuvre en une chronique de l'existence humaine face au temps.Une quête vers l'infiniOpałka a poursuivi ce projet pendant 46 ans, jusqu'à sa mort en 2011. Au total, il a réalisé 233 toiles, atteignant le nombre 5 607 249 . Son œuvre est aujourd'hui considérée comme une réflexion profonde sur le temps, la mortalité et la persistance de l'artiste face à l'infini.Une œuvre exposée mondialementLes "Détails" d'Opałka sont présents dans de nombreuses collections publiques et musées à travers le monde, notamment au Centre Pompidou à Paris, au MoMA à New York et au Musée d'Art Moderne de Varsovie. Son travail continue d'inspirer et de susciter des discussions sur la nature du temps et de l'existence humaine. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Sara est une maman de deux enfants et photographe autodidacte exerçant dans le Var avec pour spécialité les photos de naissance, de famille.Sara vient dans cet épisode vous parler dans une première partie de sa maternité qu'elle a traversé en douceur tant pour sa première naissance de maman que sa deuxième ; même si elle confie avoir cheminer entre les deux sur la physiologie de la naissance notamment. Notre échange s'axe surtout autour de son métier de photographe qu'elle exerce depuis 2012. Une passion du naturel transpire chacune de ses photos qu'elle pense et immortalise avec justesse. Sara revient sur ce nécessaire devoir de représentation lorsqu'on photographie les bébés notamment. "L'image a dans ce cas notamment un devoir de représentation dans le sens où elle fait partie du patrimoine visuel, de l'héritage de la famille. Ces photos de naissance racontent des choses..." (selon ses propres mots).Sara revient sur la photographie qui est un outil parmi d'autres d'ancrage et d'élévation. En ce sens, elle dépeint un autre outil libérateur qu'elle a découvert : le chant. Une autre manière de se libérer du regard de l'Autre notamment que l'on retrouve sur la palette d'outil artistique de Sara !Un épisode simple et doux sur la maternité de Sara et riche en réflexions sur les photos de nos bébés et de celles que l'on voit sur la toile où le bébé est parfois objetisé...Je vous souhaite une belle écoute les MaMaS !Pour retrouver Sara sur Instagram : @sara.ami.photographePour retrouver MAM'ELLES sur Instagram : @mamelles_lepodcastSur YOUTUBE et Facebook : MAM'ELLESMon site internet : mamelles.frMa boutique en ligne : Boutique - MAM'ELLES (mamelles.fr)MAM'ELLES est un podcast réalisé par Marion TERTEREAU. Vous pouvez retrouver tous les épisodes sur votre plateforme d'écoute préférée ainsi que sur YouTube. On se retrouve chaque vendredi !Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cet épisode, je reçois Mathilde PARQUET, alias Photilde, photographe spécialisée dans l'avancée en âge. Après une reconversion il y a 4 ans, elle s'est donné une mission : changer les représentations de la vieillesse à travers l'image.Inspirée par le livre La tyrannie du bien-vieillir de Michel Billé et nourrie de son expérience personnelle, elle propose des projets photographiques dans les établissements qui redonnent vie, voix et fierté aux résidents… Et aux professionnels.Mathilde intervient en mode "petite souris" pour capter les gestes du soin, les liens discrets, les sourires, la tendresse. Elle propose aussi des séances de portraits individuels pour booster l'estime de soi des résidents, avec une restitution concrète : expositions, livres photos, calendriers... parfois drôles, souvent touchants, toujours authentiques.Mais au-delà des images, ce sont les effets profonds qui marquent :→ Une meilleure communication avec les familles→ Une valorisation forte des équipes→ Une image plus vraie, plus humaine, de l'EHPAD→ Des vocations chez des jeunes qui découvrent le secteur autrementMathilde raconte des projets portés avec les résidents (et non pour eux), comme ce calendrier participatif, ces portraits en ski ou en maillot, ou encore ces expositions dans les écoles. Elle montre que même dans les unités protégées, la photographie peut être un outil d'expression, de lien et de fierté.Elle partage aussi sa méthodologie : consentement, adaptation, travail sur l'existant, alliance texte-image… Et insiste sur un principe essentiel : laisser la main aux personnes accompagnées, pour qu'elles deviennent actrices de leur propre représentation.Vous pouvez contacter Mathilde sur LinkedIn ou via son site internet : https://photilde.com/Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Poursuivre l'exploration de l'art de l'attention avec Reza : « l'attention fait partie intégrale du travail de photographe » La photographie est une histoire d'attention. Une manière de capter l'instant, de saisir la lumière, de révéler l'invisible. Reza Deghati -il signe ses œuvres de son nom d'artiste Reza-, photo-reporter de renom, parcourt le monde depuis des décennies, armé de son objectif et d'un regard habité par l'humanité. Ses images racontent des vies, des résistances, des espoirs, et nous invitent à voir autrement. J'ai été extrêmement émue, et honorée, de recevoir ce grand homme à mon micro. Le regard qu'il porte sur le monde est singulier, comme son parcours et son travail. Son rapport à l'attention est essentiel, engagé et il le partage avec nous avec beaucoup de grâce. J'espère que cette conversation vous touchera autant que moi.Après des études d'architecture, il se spécialise en parallèle pour la photo, discipline pour laquelle il se fait remarquer, et arrêter, très tôt, vers 16 ans et bien avant la révolution islamique Iranienne. Il doit quitter l'Iran dès 1981 car ses photographies gênent, et ne peut pas, depuis, remettre les pieds dans son pays. Mais il parcourt le monde avec son objectif, et ses photographies montrent le chaos de la guerre de ses ravages et du désarroi des êtres humains pris dans la tourmente. L'année 1991 marque le début pour Reza d'une longue et étroite collaboration avec la revue National Geographic. Ses photographies ont fait l'objet de 25 couvertures du magazine. "Je ne suis pas photographe de guerre, je suis correspondant de paix " Dans cet épisode de L'Art de l'Attention, nous parlons de ce que signifie vraiment « regarder » : comment prêter attention au monde, comment raconter une histoire en une seule image, comment témoigner sans trahir. Avec Reza, l'attention devient un engagement, une éthique, une poésie. Quelques citations extraites de notre conversation avec Reza :« L'attention fait partie intégrale du travail de photographe »« J'écris l'histoire des autres, j'essaie de mettre ma photographie au service de l'histoire des autres, qui n'ont pas de voix »,« On va défendre qqchose qu'on aime »,« La photographie est comme une peinture, elle a ses règles aussi.»Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:58:48 - La Conversation littéraire - par : Mathias Énard - A partir de 1912, Albert Kahn envisage de documenter le monde, au travers de photographies, aujourd'hui archivées dans la collection des Archives de la planète. La collection Fléchette des éditions Sun Sun s'empare de ces images-autochromes qui deviennent sources de récit, roman, poésie... - réalisation : Laure-Hélène Planchet - invités : Maylis de Kerangal Écrivaine.; Adrien Genoudet Directeur de collection, auteur.
Above Photograph © Claudio Edinger When it comes to photography, Claudio Edinger has a Midas touch. Equally celebrated for his immersive photo series, the intimacy of his portraits, and his aerial views that conjure a sense of the eternal through selective focus, his compulsion for research drives adjustments to his photographic strategy from one project to the next. In today's show, we unpack the many facets of Claudio's storied career, from his arrival in New York and early documentation of Brooklyn's Hasidic community in the late 1970s to the environmental portraits he made inside Manhattan's infamous Chelsea Hotel, and beyond. Learn the backstory to his fortuitous connection with master portraitist Philippe Halsman, and the influence this had on his photographic vocabulary. We also discuss Claudio's aerial imagery made from helicopters and drones, and debate the slippery slope between noteworthy content, image quality, and resolution. As a longtime disciple of meditation, Claudio's approach to photography is equally influenced by the underlying flow of energy essential to life on this planet, which led him to state, “I'm open to whatever the universe brings my way. But the universe has to conspire in your favor. My whole life has been like that. I've been guided. My intuition brings me to places, and the place drags me into it.” Guest: Claudio Edinger Episode Timeline: 3:03: Claudio's beginnings in photography while studying economics in Sao Paulo, and his first exhibit at the Sao Paulo Museum of Art. 4:55: A move to New York in 1976 and a two-year project on Brooklyn's Hasidic community. 8:42: Connecting with master portrait photographer Philippe Halsman, and how this expanded Claudio's vocabulary as a photographer. 15:35: A move to the Chelsea Hotel and a new photographic strategy to make environmental portraits of the building and its residents. 19:52: The influence of August Sander's work, and Claudio's pursuit of intimacy to create images with universal meaning. 25:22: The organic path of Claudio's photographic approach, and how he developed his selective focus technique. 28:15: Episode Break 29:06: The predictable visual effect of a Hasselblad's square frame, combined with a tripod and flash for portraits of patients in a Brazilian insane asylum. 33:06: Using the same techniques to capture the insanity inside an institution, as well as to photograph the institutionalized insanity of Brazilian Carnival. 37:51: Claudio's assignment work, plus his time as a New York paparazzo and the lessons this taught him. 39:28: Claudio's experience as a war photographer in El Salvador, and the urgency of living connected to war. 43:42: Shifting to a 4x5 Toyo camera to further explore the tilt-shift look of selective focus. 48:57: The shortcomings of large format that forced Claudio to shift to digital and then discover aerial photography. 54:17: Comparing aerial photos from a helicopter with those made from a drone, plus Claudio's thoughts on viewing the world from the point of view of eternity. Guest Bio: Claudio Edinger is one of Brazil's preeminent photographers. After studying economics at Mackenzie University in São Paulo in the early 70s, he turned his attention to photography, and he hasn't stopped since. Edinger moved to New York City in 1976, and during the 20 years he spent in the US, he completed immersive photo essays about the Hasidic community of Brooklyn, the denizens of Manhattan's Chelsea Hotel, and habitués of LA's Venice Beach. He also freelanced for Brazilian and North American publications such as Veja, Time, Life, Rolling Stone, and The New York Times Magazine, among many others. The author of more than twenty books, Edinger's photographs have been collected worldwide and exhibited by institutions such as New York's International Center of Photography, the Los Angeles County Museum of Art, the Maison Europeénne de la Photographie in Paris, and the São Paulo Museum of Art, to name but a few. Edinger has received many honors for his work, including the Ernst Haas Award, the Hasselblad Award, the Higashikawa Award, and the Leica Medal of Excellence, which he received twice. Always seeking new approaches to his work, Edinger has explored a wide range of camera formats and photographic techniques over the course of his career. In 2000, he began working with a large format camera, using selective focus to approximate human vision, and in 2015, he started an exploration of aerial photography—a theme that continues to this day. Stay Connected: Claudio Edinger Website: https://www.claudioedinger.com/ Claudio Edinger Instagram: https://www.instagram.com/claudioedinger/ Claudio Edinger Facebook: https://www.facebook.com/claudio.edinger/ Claudio Edinger Wikipedia page: https://en.wikipedia.org/wiki/Claudio_Edinger Claudio Edinger Chelsea Hotel book: https://www.abbeville.com/collections/just-released/products/the-chelsea-hotel End Credits: Host: Derek Fahsbender Senior Creative Producer: Jill Waterman Senior Technical Producer: Mike Weinstein Executive Producer: Richard Stevens