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Découvrez le deuxième podcast live de L'Amour de L'art enregistré en public le 6 novembre 2025 avec Jean-Michel Othoniel à Avignon, en partenariat avec la Collection Lambert dans le cadre des Jeudis de la Collection Lambert. À l'occasion de ses expositions Othoniel Cosmos ou les Fantômes de l'Amour à Avignon, Un chant d'amour à la Collection Lambert et New Works à la galerie Perrotin à Paris, Jean-Michel Othoniel s'est entretenu avec le Directeur Artistique et Commissaire d'exposition Stéphane Ibars.Les Jeudis de la Collection Lambert mettent à l'honneur des artistes dans le cadre de discussions ouvertes à tous et à toutes. Intitulées The artist is present elles sont autant d'occasions de rencontre avec les artistes de notre temps. Le podcast L'Amour de l'Art invite des artistes à parler d'autres artistes. Musique, littérature, cinéma, arts visuels, théâtre... Ils et elles nous partagent, de manière très personnelle, leur regard sur ces œuvres qui les fascinent. Le titre L'Amour de l'Art rend hommage à Pierre Bourdieu qui écrivait dans l'ouvrage éponyme « la culture n'est pas un privilège de nature : il suffirait que tous possèdent les moyens d'en prendre possession pour qu'elle appartienne à tous. » Né dans les années 60 à Saint-Étienne, Jean-Michel Othoniel grandit face aux réalités de son environnement industriel. Il a aussi accès à la magnifique collection du Musée d'art moderne de Saint-Étienne. À l'âge de dix ans, il croise le travail du minimaliste américain Robert Morris, une expérience qui le marquera durablement. Dans cet épisode enregistré en public le 6 novembre 2025 à Avignon, Jean-Michel Othoniel s'entretient avec Stéphane Ibars au sujet de l'art minimal qui continue de le fasciner. L'Amour de l'Art est un podcast de la galerie Perrotin Introduction et post production : Vanessa Clairet Stern Interview conduite par : Stéphane Ibars Prise de son, réalisation et sound design : Seb Lascoux Langue : Française Identité graphique : Perrotin Musique : CDM MusicHébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Invité :Bruno Fuligni, historien, pour "Gueules d'assassins - la photographie à l'assaut du crime" chez Mareuil éditions Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes le 24 février 1824, à Toulon. C'est ce jour-là qu'Hercule Florence embarque à bords de la frégate militaire « La Marie-Thérèse », direction le Brésil. Après une traversée de 45 jours, le jeune homme de vingt ans accoste à Rio de Janeiro, alors capitale de l'Empire du Brésil. La première impression est pénible : Hercule déplore l'hypocrisie d'un peuple qui affiche la charité tout en pratiquant l'esclavage. L'année suivante, réalisant son rêve d'exploration, Florence saisit l'opportunité de devenir second dessinateur et homme à tout faire au sein d'une expédition scientifique russe. De retour à Rio, vivant plusieurs mois dans la précarité, l'aventurier se perfectionne dans son art graphique. Puis il contracte un mariage très stratégique épousant les idées libérales de l'époque. On le retrouve dans la province de São Paulo où il va se consacrer à l'invention scientifique, technique et artistique... Hercule Florence est animé par ce qu'il considère comme un devoir civique : « améliorer » le monde. En 1833, il développa un procédé pour fixer des images par l'action de la lumière, c'est lui qui, pour la première fois au monde, parle de "photographie". Il sera aussi à l'origine de ce que l'on appelle, aujourd'hui, la bioacoustique qui permet de révéler la dimension acoustique de la nature. Florence croyait en la grandeur de la science mais aussi aux bienfaits de l'ascension sociale. En cela, il sera déçu, estimant ne pas être reconnu à sa juste valeur. Mais ses talents de « réseauteur » permettront à sa très nombreuse progéniture de jeter des ponts entre l'Europe et le Brésil. Partons sur les traces de celui qui semble être resté un « exilé à l'intérieur », cheminons aux côtés d'Hercule Florence… Avec nous : Thierry Thomas, historien et traducteur de l'ouvrage de l'historienne italienne Chiara Vangelista : « Cartographie migrante – Hercule Florence, de Nice au Brésil » ; éd. IHF (Instituto Hercule Florence). Sujets traités : Hercule Florence : inventeur, photographie ,Brésil, bioacoustique, Chiara Vangelista Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
durée : 00:02:55 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - L'alliance de la sociologie et de la photographie existe. - réalisation : Félicie Faugère
À la Une de la presse, ce lundi 8 décembre, le premier anniversaire de la chute du dictateur syrien Bachar al-Assad. Des inquiétudes sur le sort de l'audiovisuel public en Lituanie. Des fuites au Louvre et un vol dans un musée de Sao Paulo, au Brésil. Et le concours de Super mamie 2026 en France.
durée : 00:02:55 - L'Humeur du matin par Guillaume Erner - par : Guillaume Erner - L'alliance de la sociologie et de la photographie existe. - réalisation : Félicie Faugère
Le journaliste français Patrick Chauvel est dans L'atelier des médias pour un grand entretien. De la guerre du Vietnam à celle menée actuellement par la Russie en Ukraine, il a couvert des dizaines de conflits. Avec Steven Jambot, il revient sur son parcours, l'évolution du métier de reporter de guerre, l'archivage de ses photos au Mémorial de Caen et sa démarche auprès de tous les publics pour raconter la guerre et ses effets. Patrick Chauvel, 76 ans, aime rappeler qu'il est issu d'une famille de « conteurs ». Il a très tôt choisi la voie du reportage, pour vivre les récits qui avaient bercé son enfance. Après un passage formateur à France-Soir, où il a notamment travaillé pour la rubrique Les potins de la commère, une altercation avec Roman Polanski lui a valu d'être renvoyé. Le patron du quotidien, Pierre Lazareff, lui offrit cependant l'argent nécessaire pour s'envoler vers le Vietnam où il arrive juste avant l'offensive du Têt, en 1968. Face au scepticisme de son père qui lui prédisait des difficultés financières et lui rappelait que « la reconnaissance c'est pour les photographes morts », Patrick Chauvel était arrivé à Saïgon muni d'un aller simple. L'évolution du métier et la peur de rater l'histoire Travaillant en argentique avec peu de pellicules, Chauvel a développé une précision extrême, loin de la « gâchette facile » du numérique actuel. L'envoi des films vers Paris était une épreuve logistique, nécessitant parfois de confier les précieux paquets à des passagers d'avion ou même d'utiliser un cheval pour atteindre un point de rapatriement (comme il l'a fait au Salvador). Ce reporter tout terrain a été blessé à de multiples reprises, des cicatrices pour autant d'« incidents de parcours ». Il cite d'ailleurs une phrase de Napoléon : « Se faire blesser ne prouve qu'une chose, c'est qu'on est maladroit ». Son angoisse principale n'est pas la blessure physique, mais de rater l'histoire en étant immobilisé, car « l'histoire qui est importante continue ». Au Vietnam, sa naïveté sur la guerre et ses enjeux s'est brisée lors d'une discussion avec un prisonnier nord-vietnamien francophone, qui lui a exposé l'idéologie de « l'ennemi ». Le rôle de « sentinelle » face au déni Pour Patrick Chauvel, son métier a une dimension essentielle de transmission, car il travaille pour la « mémoire collective » et les livres d'histoire. Son cheval de bataille est de forcer le public à savoir, d'où son titre de « rapporteur de guerre », qu'il a donné à un de ses livres et un documentaire. Concernant les œillères du grand public, il est catégorique : « On ne savait pas, c'est pas recevable du tout. Si vous voulez pas savoir, c'est que vous n'avez pas envie de savoir ». Il considère que les journalistes agissent comme des sentinelles, alertant sur les dangers environnants. Les conflits récents, notamment la guerre menée en Ukraine par la Russie de Vladimir Poutine, ont bouleversé l'approche des terrains où il a tant travaillé. En Ukraine se mélangent les combats de tranchées – rappelant la Première Guerre mondiale – et la « guerre des étoiles » menée par les drones. Ces derniers sont désormais responsables de 80 % des pertes sur le front, rappelle Patrick Chauvel, rendant l'accès aux premières lignes extrêmement difficile et dangereux, notamment pour les médias et leurs fixeurs. La transmission aux nouvelles générations Patrick Chauvel a fait don de son fonds gigantesque (480 000 photos, 1 000 heures de films) au Mémorial de Caen pour assurer la pérennité de son œuvre. Il voit dans cette transmission un rôle essentiel auprès des jeunes, notamment à travers des conférences dans les écoles, collèges et prisons. Le journaliste, décoré de la Légion d'honneur en 2025, appelle la jeune génération à ne pas tenir la paix pour acquise. « L'élément naturel de l'homme, c'est la guerre, c'est pas la paix. La paix, c'est un travail, c'est une éducation ». À ce titre, Patrick Chauvel a été sollicité par la Ligue de l'enseignement pour un projet itinérant intitulé « Décrypter la guerre, penser la paix », qui cherche encore des partenaires. Il résume ainsi son rôle et celui de ses confrères : « Les photos qui vont être dans les livres d'histoire sont les nôtres. Nos récits sont dans les livres d'histoire. Et donc il faut absolument qu'on transmette ça. On peut pas garder ça pour nous. » Son message aux aspirants reporters est de ne pas attendre d'être financés, mais d'aller sur le terrain et de s'y installer en optant pour un pseudonyme afin d'être moins exposés.
Depuis deux ans, la ville d'Addis Abeba est en plein bouleversement. Les travaux liés au Corridor Project – un projet de développement urbain d'assainissement de la ville – transforment la capitale en profondeur : des pans entiers de certains quartiers historiques ont même disparu, pour faire place à de nouveaux bâtiments. Mais des initiatives visant à conserver la mémoire de ces endroits voient aussi le jour. De notre correspondante à Addis-Abeba, Le regard de Fraul se perd le long des plaques de tôle verte qui longent un trottoir flambant neuf. Il y a encore deux ans, le quartier de Piassa, en plein centre d'Addis-Abeba, regorgeait de bars où se retrouvait la jeunesse de la ville. « Mes préférés, c'était l'Interlangano et le Channel 5, ce sont les plus connus. On s'est bien amusés : il y avait la fête tous les jours, surtout le week-end. Le Channel 5 était underground, et il passait de la bonne musique reggae. Quand le Corridor Project a commencé, tout a été démoli », confie Fraul. Addis Memories : un projet de mémoire Le projet Corridor a été lancé en 2022 par le gouvernement. Son objectif : moderniser en profondeur la capitale via la construction de nouveaux logements, de pistes cyclables et de parcs. Mais dans certaines zones historiques comme Piassa, cette rénovation à grande échelle a aussi emporté avec elle la mémoire du quartier. Dayala Ashenafi a donc lancé Addis Memories, une plateforme en ligne de collecte de photos souvenirs : « Il s'agit d'un projet de mémoire visant à préserver l'histoire, le lien des habitants avec leur quartier, les souvenirs qu'ils ont créés en famille, avec leurs enfants et leurs amis. Nous sommes convaincus que les infrastructures et les projets patrimoniaux sont importants, mais il est tout aussi crucial de recueillir la parole des communautés touchées, qui veulent garder tout cela en mémoire. » « Ça me ramène à mon enfance. C'était une très belle époque » Sur le site d'Addis Memories, chacun peut donc envoyer une photo d'un endroit disparu et évoquer ses souvenirs, puis naviguer sur la plateforme et consulter d'autres témoignages, à la manière d'un musée digital. « À Addis-Abeba, il est difficile de trouver quelqu'un qui n'a aucun lien avec ces quartiers, car tout le monde allait à Piassa pour faire du shopping, ou à Kazanchis pour retrouver ses amis… Il y a tellement de souvenirs liés à ces endroits. Nous offrons, je crois, l'opportunité aux gens de s'exprimer », souligne Dayala Ashenafi. À la nuit tombée, les grandes avenues de Piassa sont désormais désertes. Seuls quelques promeneurs profitent de la fraîcheur du soir. Un silence qui tranche avec les souvenirs de Fraul : « Maintenant, quand je retourne à Piassa et que je vois ces avenues, ça me replonge dans mon adolescence. Je revois les rues pleines de monde, de magasins de bijoux, et ça me ramène à mon enfance. C'était une très belle époque. » Le projet Corridor est également déployé dans 58 autres villes du pays. À lire aussiÉthiopie: ces chantiers urbains qui laissent trop souvent de côté les communautés
durée : 00:27:29 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Aujourd'hui, au menu de notre débat critique on parle d'expositions avec "Edward Weston. Modernité révelée" à la Maison Européenne de la Photographie & "Denise Bellon. Un regard vagabond" au musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme - réalisation : Laurence Malonda - invités : Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art; Sarah Ihler-Meyer Critique d'art et commissaire d'exposition
Heiner Blum arbeitet als Künstler in White-Cube-Kontexten, wie auch in sozialen und situativen Zusammenhängen. Im Jahr 2000 gründete er mit Freunden in Offenbach den legendären Club Robert Johnson. Im gleichen Jahr brachte er unter der Ägide des Choreografen William Forsythe den schmalclub im Bockenheimer Depot auf den Weg, der mit der ständigen Neuerfindung kommunikativer Ereignisse die Club-, Kunst- und Theaterlandschaft maßgeblich prägen sollte und zum Blueprint für viele weitere Projekte werden sollte. 2022 entstand mit Und International in Offenbach ein öffentliches Wohnzimmer für die internationalste Stadt der Republik. Unter dem Label Diamant/ Museum Of Urban Culture entstehen seit 2022 immer neue, niederschwellige Projekte zum Thema urbane Kultur. Für sein Schaffen erhielt er unter anderem 1981 den Otto-Steinert-Preis der Deutschen Gesellschaft für Photographie, 1993 den Karl-Ströher-Preis des Museums für Moderne Kunst, Frankfurt und 2025 den Preis der Binding Kulturstiftung. Von 1997-2025 arbeitete er als Professor für Experimentelle Raumkonzepte an der HfG Offenbach. Seine bildnerischen Werke finden sich in zahlreichen privaten und öffentlichen Sammlungen. Heiner Blum lebt und arbeitet in Offenbach am Main.
Elle a rencontré Lamine Yamal, Anthony Edwards, Antoine Dupont ou encore Angèle. Elle a participé à certaines des plus grandes compétitions sportives au monde comme les Jeux Olympiques et ce, dans plusieurs disciplines...Et dis donc, je les vois vos mines incrédules vous dire : « mais c'est qui cette sportive » ?Et bien Florence Pernet fait partie de celles et ceux qui nous font vivre le sport grâce à leurs images. Elle est photographe et vous avez déjà très probablement vibré derrière l'un de ces clichés. Parce que le sport, c'est aussi savoir capturer des moments. Graver des émotions pour l'éternité.Elle fait partie des rares femmes a s'être faite une place dans cet univers encore très masculin, mais elle compte bien montrer que ce n'est pas le genre qui fait le talent. Et que les femmes en ont tout autant.C'est un récit brut au cœur de l'image, au cœur de l'instant. L'histoire d'une femme qui ne s'excuse pas et qui prend la place qu'elle mérite, pour en inspirer d'autres à faire tout autant.DITES CHEEEEESEEEE
Nous nous retrouvons aujourd’hui dans Déclic, quand la conscience s’éveille, avec Maud Weber, photographe multi potentiels, pour parler estime de soi, image de soi, mise en lumière ! Avec son regard sensible, Maud discerne au-delà des apparences, l’authenticité de chacun à la fois pour illustrer des entreprises avec le Photo branding, ou des particuliers avec des accompagnements sur mesure. Elle nous expliquera la différence entre la photo-thérapie et la photo thérapeutique avec comme objectif toujours, de révéler l’authenticité de chacun. Pour aller plus loin: Photographie thérapeutique et photo-thérapie de Priscilla Gissot et Elodie Sueur-Monsenert Editions Eyrolles 2025 Contacts: Maud Weber 06 63 88 54 15 https://www.instagram.com/posersoimaime/ Vanessa Cagnion Hypnose 06 95 16 53 30 Facebook/Insta vanessacagnionhypnose 16, places des justices Angers Playlist : Je ne veux plus mentir > Mathilde La nuit le jour / New Soul > Yael Naim Yael Naim 2007 /
In this episode of PhotoWork with Sasha Wolf, artist, photographer, and filmmaker Tyler Mitchell joins Sasha to discuss his Aperture book, Wish This Was Real. Tyler speaks candidly about learning by doing, the value of taking risks, and the creative rewards that follow. He and Sasha also explore the central role of collaboration in his practice, particularly how that ethos shapes his approach to building tableaux. https://www.tylermitchell.co https://www.tylermitchell.co/books/wish-this-was-real-book Tyler Mitchell (b. 1995, Atlanta, GA) is an artist, photographer, and filmmaker based in Brooklyn. He received a BFA in Film and Television from New York University's Tisch School of the Arts in 2017. Mitchell's work reimagines narratives of Black beauty and desire, embracing history while envisioning fictionalized moments of an aspirational future. His photographs and films present Black life through themes of play, empowerment, and self-determination. Mitchell's work is held in numerous public and private collections, including the Museum of Modern Art, New York; High Museum of Art, Atlanta; Brooklyn Museum; Los Angeles County Museum of Art (LACMA); Museum of Fine Arts, Boston; Smithsonian's National Portrait Gallery, Washington, D.C.; and FOAM Fotografiemuseum, Amsterdam, among others. He has presented exhibitions internationally, including The New Black Vanguard (Aperture Gallery, New York); I Can Make You Feel Good (FOAM, Amsterdam; ICP, New York); Chrysalis (Gagosian, London); Domestic Imaginaries (SCAD Museum of Art, Savannah); and Idyllic Space (High Museum of Art, Atlanta). His European touring exhibition, Wish This Was Real (C/O Berlin, 2024), brought together a decade of work exploring Black beauty, leisure, and imagination, traveling to Helsinki, Lausanne, and concluding at the Maison Européenne de la Photographie, Paris (2025–26). Mitchell's photography has appeared in Aperture, Dazed, i-D, Vogue, Vanity Fair, WSJ, and Zeit Magazin, alongside collaborations with Gucci, Loewe, Ferragamo, and JW Anderson.
Mon invitée d'aujourd'hui ne veut pas qu'on la mette dans une case. Elle met tout en œuvre pour que ça n'arrive pas en gardant son authenticité sans se laisser attraper par les tendances. C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois la photographe de mariage Mégane Perrin.Mon interview avec Megane va notamment vous faire découvrir :♦ Pourquoi elle ne veut pas être dans une "case"♦ Comment et pourquoi elle veut changer de statut♦ Son passé de photographe de presseLes liens de mon invitée :https://meganeperrin.fr/https://www.instagram.com/megane.perrin/https://www.facebook.com/Meganeperrin.mpcommunication/-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
Ce qui frappe chez Antoine Musy, ce n'est pas le décor dans lequel il évolue, mais la manière dont il s'y tient.Antoine partage sa vie entre plusieurs continents. L'Afrique australe, où il patrouille dans des réserves menacées par le braconnage, au contact des communautés rurales pour qui un rhinocéros ou un éléphant n'est jamais un animal “lointain”, mais une présence quotidienne.L'Asie du Sud-Est, où il s'est retrouvé aux côtés des orangs-outans, dans ces forêts où l'on suit les traces entre les racines, et où il a travaillé avec les Dayaks, qui vivent encore au plus près de la jungle.Et puis l'Asie maritime, où il a croisé la route des Bajaos, ces nomades de la mer pour qui la frontière entre l'homme et le vivant n'a jamais été une ligne, mais une respiration.À peine la trentaine, Ranger, formé aux unités anti-braconnage de la Global Conservation Force, il évolue dans des territoires où la lecture du terrain est une condition de survie. Une empreinte, une branche, une direction, chaque détail peut raconter une histoire, ou un danger.Une autre partie de son travail consiste à chercher ce point d'équilibre entre humains et animaux. Comprendre les habitudes, les peurs, les traditions. Discuter avec les communautés d'Afrique australe qui vivent près des corridors de migration. Écouter les pêcheurs et les familles Bajaos qui cohabitent depuis des siècles avec les requins, les tortues, les fonds marins. Observer comment les Dayaks protègent certaines zones sacrées où les orangs-outans trouvent encore refuge.Réconcilier les hommes et le sauvage, c'est aussi ça, son terrain.Et puis il y a ce qu'il transmet. Antoine crée des contenus à partir de ce qu'il vit, non pas pour divertir, mais pour rendre accessible la réalité du terrain : les unités K9, les opérations anti-braconnage, la réhabilitation d'animaux, les tensions entre survie économique et conservation, les victoires minuscules que personne ne filme.Vulgariser sans simplifier. Expliquer sans trahir.Être ranger, ce n'est pas seulement protéger des animaux. C'est défendre un équilibre fragile, faire face à la brutalité du réel, et accepter d'être exposé physiquement, mentalement, moralement.J'ai voulu comprendre ce qui pousse un homme de sa génération à choisir cette voie-là. Vivre dehors, rester vigilant, s'engager sans bruit, et malgré tout raconter, pour que d'autres comprennent.Émission animée avec Laurence Laborie.Enregistré dans une crêperie parisienne et mixée par Studio Revolver.Couverture par Maxime MergaletOn adore vos commentaires, n'hésitez pas à nous écrire.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Radio Ballast est une expression qui fait référence aux rumeurs circulant autour du rail ou du chemin de fer. C'est le titre de l'exposition du photographe franco-ivoirien François-Xavier Gbré à la Fondation Henri-Cartier Bresson jusqu'au 11 janvier. Le projet a aussi remporté le prix de la Fondation Hermès. Durant près d'un an, le photographe a suivi les traces du chemin de fer qui traverse la Côte d'Ivoire à la recherche des traces de l'histoire. Un beau livre paru aux éditions Atelier EXB accompagne l'exposition.
Radio Ballast est une expression qui fait référence aux rumeurs circulant autour du rail ou du chemin de fer. C'est le titre de l'exposition du photographe franco-ivoirien François-Xavier Gbré à la Fondation Henri-Cartier Bresson jusqu'au 11 janvier. Le projet a aussi remporté le prix de la Fondation Hermès. Durant près d'un an, le photographe a suivi les traces du chemin de fer qui traverse la Côte d'Ivoire à la recherche des traces de l'histoire. Un beau livre paru aux éditions Atelier EXB accompagne l'exposition.
Dans cet épisode, nous recevons Lucie Moriceau-Chastagner, historienne de l'art et responsable des collections photographiques au Musée de l'Armée. Après un parcours au Service historique de la Défense (SHD), puis à l'Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), elle a rejoint en 2021 le musée de l'Armée.Spécialiste des images de guerre – qu'elles soient historiques ou contemporaines –, elle revient sur son expérience de valorisation de ce patrimoine complexe, entre conservation, recherche et exposition. Lucie nous parle également de la résidence photographique du musée de l'Armée, lancée en 2022, qui ouvre un dialogue entre photographes contemporains et mémoire militaire.Bonne écoute !00:28 – Présentation de Lucie Moriceau-Chastagner : historienne de l'art, responsable des collections photo au Musée de l'Armée, ancienne responsable de la médiation à l'ECPAD.01:23 – Définir la photographie militaire : représentations du fait militaire par militaires, civils, amateurs et studios.08:12 – Début du parcours académique : école du Louvre, recherche et muséologie ; stage à la BNF auprès de Maxime Préaud.17:40 – Premiers travaux au Service historique de la Défense (SHD) : conseil aux chercheurs et constitution de dossiers d'œuvres.22:15 – Articulation SHD / ECPAD : complémentarité entre archives et production audiovisuelle.23:05 – Treize ans à l'ECPAD : évolution du statut, concours et missions documentaires.30:38 – Arrivée au Musée de l'Armée en 2021 et missions de conservatrice des collections photo (plus de 100 000 phototypes).34:34 – Lancement de la résidence photographique du musée de l'Armée en 2022, en lien avec l'exposition Photographie en guerre.39:48 – Constitution du jury et premières candidatures, dont Alice Broyer et Guillaume Herbaut.53:49 – Conseils aux jeunes chercheurs : ouverture disciplinaire, histoire de la photographie et approche critique des images de conflits.55:03 – Exposition Photographie en guerre et acquisitions récentes, notamment de Laurent Van der Stockt.01:02:00 – Travail en réseau et circulation des projets au sein des musées et festivals de photographie.01:03:00 – Invitation à découvrir les collections et la résidence photographique au musée de l'Armée.Site du musée de l'Armée : https://www.musee-armee.fr/accueil.htmlet lien vers la résidence photographique : https://www.musee-armee.fr/minerve-le-musee-de-demain/residence-photographique.htmlLien vers la liste d'attente de ma formation Du projet à l'objet : les bons réflexes pour réussir votre livre photo : https://forms.gle/eG9svk51rrYhhJ7X8Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:10:18 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - La 16ᵉ édition du festival de photographies Planches Contact vient de débuter à Deauville. Un festival particulier dans le paysage culturel, car son socle repose sur des temps de résidence et des expositions pointues et stimulantes présentées sur des cimaises, mais aussi en extérieur. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Camille Binelli Responsable du pôle photographique aux Franciscaines de Deauville ·; Jonas Tebib Co-directeur de Planches Contact Festival; Lionel Charrier Rédacteur en chef photo du journal Libération, co-directeur du Planches Contact Festival
Relayé par l'archevêché de Malines, un courrier, envoyé aux autorités belges, par les représentants des Etats pontificaux, signale le vol d'un tableau dans une église de Bologne. Ce courrier est accompagné d'un cliché. Prenant la chose au sérieux, les Belges diffusent le cliché dans différentes villes du pays. Cet envoi est le premier usage mentionné dans nos régions du photogramme en matière de sûreté publique. Depuis son apparition l'appareil photographique a saisi des milliers de scènes de crimes et d'accidents, donnant ainsi à comprendre comment la société réagit au malheur. En quoi la photographie a-t-elle révolutionné le travail de la police, de la magistrature, de la médecine légale et l'intérêt du public pour le sang versé ? Invités: Laurence Druez, cheffe de travaux aux Archives de l'Etat, à Liège et Xavier rousseaux, directeur de recherche au FRS-FNRS, professeur à l'UCL. « Scène de crimes – La photographie policière, témoin de l'enquête judiciaire » ; Racine. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.