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Appréhender les jeux d'ombre, faire saliver en une image, jouer sur les macros de textures… c'est finalement assez naturellement que Léa Gil est devenue une photographe culinaire passionnée. Et aujourd'hui, elle nous emmène dans les coulisses de son métier : celui où l'on capture non pas seulement une assiette, mais une histoire, une émotion, un instant suspendu.Epicurienne de nature, Léa nous raconte ses débuts, les doutes avant de se lancer, la confiance née d'une rencontre, et ce jour où elle a réalisé qu'elle pouvait vivre de sa passion. Entre voyages, lumière naturelle, rencontres de chefs et amour du bien manger, rendez-vous dans un épisode aussi gourmand que photogénique !Au menu de cet épisode :
Dans cet épisode, nous recevons Lucie Moriceau-Chastagner, historienne de l'art et responsable des collections photographiques au Musée de l'Armée. Après un parcours au Service historique de la Défense (SHD), puis à l'Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), elle a rejoint en 2021 le musée de l'Armée.Spécialiste des images de guerre – qu'elles soient historiques ou contemporaines –, elle revient sur son expérience de valorisation de ce patrimoine complexe, entre conservation, recherche et exposition. Lucie nous parle également de la résidence photographique du musée de l'Armée, lancée en 2022, qui ouvre un dialogue entre photographes contemporains et mémoire militaire.Bonne écoute !00:28 – Présentation de Lucie Moriceau-Chastagner : historienne de l'art, responsable des collections photo au Musée de l'Armée, ancienne responsable de la médiation à l'ECPAD.01:23 – Définir la photographie militaire : représentations du fait militaire par militaires, civils, amateurs et studios.08:12 – Début du parcours académique : école du Louvre, recherche et muséologie ; stage à la BNF auprès de Maxime Préaud.17:40 – Premiers travaux au Service historique de la Défense (SHD) : conseil aux chercheurs et constitution de dossiers d'œuvres.22:15 – Articulation SHD / ECPAD : complémentarité entre archives et production audiovisuelle.23:05 – Treize ans à l'ECPAD : évolution du statut, concours et missions documentaires.30:38 – Arrivée au Musée de l'Armée en 2021 et missions de conservatrice des collections photo (plus de 100 000 phototypes).34:34 – Lancement de la résidence photographique du musée de l'Armée en 2022, en lien avec l'exposition Photographie en guerre.39:48 – Constitution du jury et premières candidatures, dont Alice Broyer et Guillaume Herbaut.53:49 – Conseils aux jeunes chercheurs : ouverture disciplinaire, histoire de la photographie et approche critique des images de conflits.55:03 – Exposition Photographie en guerre et acquisitions récentes, notamment de Laurent Van der Stockt.01:02:00 – Travail en réseau et circulation des projets au sein des musées et festivals de photographie.01:03:00 – Invitation à découvrir les collections et la résidence photographique au musée de l'Armée.Site du musée de l'Armée : https://www.musee-armee.fr/accueil.htmlet lien vers la résidence photographique : https://www.musee-armee.fr/minerve-le-musee-de-demain/residence-photographique.htmlLien vers la liste d'attente de ma formation Du projet à l'objet : les bons réflexes pour réussir votre livre photo : https://forms.gle/eG9svk51rrYhhJ7X8Lien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre carrière artistique : https://bit.ly/carriereartistiqueLien vers mon questionnaire pour vous aider à faire un point sur votre projet de livre : https://bit.ly/LVDLPlivrephotoMon site : https://marinelefort.fr/Pour vous inscrire à la newsletter du podcast : https://bit.ly/lesvoixdelaphotonewsletterLe site du podcast : https://lesvoixdelaphoto.fr/Et vous pouvez retrouvez le podcast sur Instagram, Facebook et LinkedIn @lesvoixdelaphoto Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Dans "Une date, une histoire", Philippe Legrand reçoit Yann Arthus-Bertrand. Le photographe ("La Terre vue du ciel") et réalisateur ("Home") rend un hommage ému à son amie, la primatologue Jane Goodall, disparue en 2025.Il raconte comment l'engagement et l'empathie de cette pionnière de l'étude des chimpanzés ont inspiré ses propres travaux, de ses études sur les lions à son nouveau projet "France, un album de famille". Un entretien touchant sur l'héritage d'une icône de l'environnement.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Los Angeles, 1990.Les palmiers du Strip, les néons, les excès, les illusions d'Hollywood.C'est là que débute L.A. Artificial, le premier roman d'Hélène Maurice — une plongée dans la jeunesse d'une actrice happée par le mirage californien, entre culture pop, rock alternatif et quête de soi.Hélène Maurice vit dans le Finistère. Elle enseigne l'histoire-géographie, mais c'est la mémoire des sons et des images qui nourrit sa plume. Enfant des nineties, elle porte pourtant en elle toute la culture musicale des années 70 : celle des guitares électriques, des voix libres, d'une époque où la musique cherchait encore à dire quelque chose au monde.Dans cette conversation, on parle de fiction et de mémoire, de transmission et de résistance, de ce que la culture populaire a fait de nous — et de ce que nous pouvons en faire aujourd'hui. On parle aussi de liberté, d'écriture, et du pouvoir des récits quand ils résonnent avec une époque.L.A. Artificial est un roman sur l'artifice et le désir d'authenticité.Et Hélène Maurice, par sa voix et sa culture, nous rappelle que parfois, les histoires les plus lucides naissent au cœur même de l'illusion.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
À la Une de la presse, ce vendredi 24 octobre : des sanctions américaines contre les pétroliers russes Rosneft et Lukoil, des paris illégaux qui secouent la NBA, et un concours de photographie animalière, les Nikon Comedy Wildlife Awards, qui met en lumière les moments les plus cocasses et surprenants du règne animal.
Cette semaine, on vous le cachera pas, ça n'a pas été facile de se rendre au tournage avec le OG du web, Alexandre Champagne.
durée : 00:10:18 - Le Point culture - par : Marie Sorbier - La 16ᵉ édition du festival de photographies Planches Contact vient de débuter à Deauville. Un festival particulier dans le paysage culturel, car son socle repose sur des temps de résidence et des expositions pointues et stimulantes présentées sur des cimaises, mais aussi en extérieur. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Camille Binelli Responsable du pôle photographique aux Franciscaines de Deauville ·; Jonas Tebib Co-directeur de Planches Contact Festival; Lionel Charrier Rédacteur en chef photo du journal Libération, co-directeur du Planches Contact Festival
Mon invité d'aujourd'hui a réussi à très vite progresser en passant par ma formation Le Grand Saut. En 4 ans, il a multiplié son panier moyen par 4. Alors comment a-t-il fait ? Comment va-t-il faire pour augmenter encore son panier moyen ? C'est entre autres ce dont on va parler cette semaine dans ce podcast dans lequel je reçois le photographe de mariage Pierre Cassagne.Mon interview avec Pierre va notamment vous faire découvrir :♦ Comment il gère l'équilibre entre vie perso/pro♦ Comment il compte augmenter son panier moyen♦ Pourquoi et comment il utilise l'IA pour son entrepriseLes liens de mon invitée :https://pierrecassagne.fr/https://www.instagram.com/pierrecassagne-------------------------Lancez-vous dans le grand saut : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/legrandsaut/-------------------------Rejoignez Le Mail, Le compagnon (sympa) du photographe de mariage : https://www.leguideduphotographedemariage.fr/lemail/-------------------------▼ Formez-Vous Gratuitement à la Photographie de Mariage ▼
“Edward Weston” Modernité révéléeà la Maison Européenne de la Photographie, Parisdu 15 octobre 2025 au 25 janvier 2026Entretien avecLaurie Hurwitz,commissaire d'exposition et responsable de la collection vidéos d'artiste de la MEP, co-commissaire de l'exposition,par Anne-Frédérique Fer, à Paris, 14 octobre 2025, durée 19'46,© FranceFineArt.https://francefineart.com/2025/10/19/3655_edward-weston_maison-europeenne-de-la-photographie/Communiqué de presse Commissaires :Simon Baker & Laurie Hurwitz, MEP, ParisPolly Fleury & Hope Kingsley, Wilson Centre for Photography, LondresChargée de production : Elisa Monteillet, MEP, ParisCette exposition a été réalisée avec le soutien du Wilson Centre of Photography sur une idée de Michael Wilson.La MEP présente Modernité révélée, la plus grande exposition dédiée à Edward Weston à Paris depuis près de trente ans. Figure majeure de la modernité photographique, Weston a forgé un langage visuel radicalement novateur, fondé sur la clarté, la rigueur formelle et une exploration approfondie du médium photographique.Conçue à l'initiative de Michael Wilson — fondateur du Wilson Centre for Photography à Londres et l'un des plus grands collectionneurs de photographies au monde — l'exposition réunit un ensemble rare de tirages d'époque issus de sa collection, dont plusieurs sont présentés pour la première fois en France. Ces oeuvres offrent un éclairage exceptionnel sur l'évolution du travail de Weston et sur l'émergence d'un modernisme photographique pleinement affirmé.S'étendant sur plus de trois décennies, de 1908 à 1945, le parcours retrace la trajectoire artistique de Weston. Ses premières photographies pictorialistes, réalisées en Californie dans les années 1910 et au début des années 1920, s'inscrivent dans les traditions visuelles du XIXe siècle : flous soigneusement maîtrisés, mises en scène élaborées, et présence de symboles allégoriques. Progressivement, son regard se transforme : les images gagnent en netteté, les compositions s'épurent, et l'accent se porte de plus en plus sur la forme, la surface et la structure. Dès les années 1920, certaines oeuvres tendent vers l'abstraction géométrique — bien que Weston n'ait jamais adopté un style unique. Cette transformation s'opère de manière continue : les motifs se croisent, les techniques évoluent, révélant un artiste en constante recherche, affûtant sans relâche son regard.L'exposition met en lumière les grandes étapes de ce cheminement, notamment son séjour au Mexique, où il collabore étroitement avec Tina Modotti. Ensemble, ils créent des portraits et des nus empreints d'une liberté nouvelle et d'une radicalité inédite. Ces images dialoguent avec ses paysages évocateurs de la côte californienne, autour de Point Lobos et Carmel.Le coeur de l'exposition rassemble ses séries les plus emblématiques : gros plans sensuels de formes naturelles — poivrons, coquillages, fruits et légumes — photographiés avec une intensité presque obsessionnelle ; paysages de dunes et de rochers à Point Lobos et dans la Death Valley ; nus lumineux de Charis Wilson, sa muse et compagne. Weston y révèle la beauté universelle des choses les plus simples, qu'il transforme en formes sculpturales épurées. Portraits, nus, natures mortes et paysages se répondent dans une mise en relation inédite, dévoilant les résonances profondes de son oeuvre. Chez Weston, les formes naturelles prennent souvent des qualités anthropomorphiques subtiles, témoignant de la puissance formelle et de la richesse expressive de son regard.[...] Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
La couleur de l'eau, c'est le titre de l'exposition de Nicolas Floc'h au FAB, le Festival des Arts de Bordeaux qui fête sa dixième édition. Le photographe explore depuis une dizaine d'années les fonds marins et fluviaux pour les traduire en image. Sa série de photographies, réalisée dans la Garonne qui traverse Bordeaux et l'océan où le fleuve se jette, se déploie comme autant de peintures abstraites. Des images qui invitent au rêve et au voyage. Pour aller plus loin : L'exposition La couleur de l'eau – Garonne Océan au FAB de Bordeaux Nicolas Floc'h
La couleur de l'eau, c'est le titre de l'exposition de Nicolas Floc'h au FAB, le Festival des Arts de Bordeaux qui fête sa dixième édition. Le photographe explore depuis une dizaine d'années les fonds marins et fluviaux pour les traduire en image. Sa série de photographies, réalisée dans la Garonne qui traverse Bordeaux et l'océan où le fleuve se jette, se déploie comme autant de peintures abstraites. Des images qui invitent au rêve et au voyage. Pour aller plus loin : L'exposition La couleur de l'eau – Garonne Océan au FAB de Bordeaux Nicolas Floc'h
Les invités Culture sont le photographe Yann Arthus-Bertrand et le géographe et historien Hervé Le Bras. Ils publient un livre d'exception, France, un album de famille (éditions Actes Sud). Il contient 900 photographies de Français, assorties de textes, qui dessinent un portrait de la France des années 2020. Du 20 octobre au 2 novembre 2025, une exposition se tiendra dans les salons d'honneur de l'hôtel de ville de Paris, avec un studio photo. Ils sont au micro d'Isabelle Chenu. À lire aussiYann Arthus-Bertrand, la Terre vue du cœur
Cette semaine, dans le QUIZ, les auditeurs du podcast Faut Pas Pousser les ISO posent leurs questions à nos deux invités : Charles Lacomme et Cédrick Martin.Ce QUIZ est issu de l'épisode S1104 intitulé « Réaliser son premier live stream en vidéo » diffusé en intégralité le 9 octobre 2025.Animateurs / JournalistesCet épisode est co-animé par Arthur Azoulay et Benjamin Favier.
Les invités Culture sont le photographe Yann Arthus-Bertrand et le géographe et historien Hervé Le Bras. Ils publient un livre d'exception, France, un album de famille (éditions Actes Sud). Il contient 900 photographies de Français, assorties de textes, qui dessinent un portrait de la France des années 2020. Du 20 octobre au 2 novembre 2025, une exposition se tiendra dans les salons d'honneur de l'hôtel de ville de Paris, avec un studio photo. Ils sont au micro d'Isabelle Chenu. À lire aussiYann Arthus-Bertrand, la Terre vue du cœur
D'Claudia Passeri ass eng jonk, lëtzebuergesch Kënschtlerin, déi an hirer Konscht hir italieenesch Originnen net nëmmen thematiséiert, mee mat lokalen a globale Kontexter novollzéibar mëscht. Zënter 2002 sinn hir Wierker a kulturellen Institutiounen an am ëffentleche Raum an der Belsch, Frankräich, Italien a Lëtzebuerg ausgestallt. Am Joer 2011 krut si den Edward Steichen Award an am Joer 2016 e Fuerschungsstipendium an der Fonderie Darling zu Montreal. 2019 huet si hiert Wierk Aedicula an der Chapelle de la Charité am Kader vun de Rencontres de la Photographie zu Arles presentéiert, kuréiert vun der Danielle Igniti. Am Joer 2022 huet si zwou monumental Installatiounen realiséiert, dorënner P.G.R. – Per Grazia Ricevuta zu Sanem/Belvaux. Nieft hiren eegene kënschtleresche Wierker schafft d'Claudia Passeri reegelméisseg mat Kënschtler a Kulturpraktiker aus verschiddene Beräicher zesummen. Am Joer 2006 huet si zesumme mat der Michèle Walerich de Kuratorieprojet Agence Borderline gegrënnt; Am Joer 2018 huet si zesumme mam Benoît Delzelle de Kollektiv Common Wealth gegrënnt, deen de Bert Theis-Stipendium krut a fir deen si 2019 op eng Kënschtlerresidenz an Italien invitéiert gouf.
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S'engager sur la voie de l'humanité... En ces temps troubles, nous revenons sur des couples qui se sont engagés en faveur de l'universalisme. Quand l'amour est plus fort que la haine... Gerda Taro et Robert Capa ont construit ensemble leurs identités de photographes. Leurs photos racontent les moments les plus difficiles de l'histoire du 20ème siècle. Toujours au plus près de l'action. Toujours prêts à dénoncer les injustices par leurs clichés. Car pour eux, aimer c'est s'indigner. En pleine montée des fascismes en Europe, ils ont brandi leurs appareils photos comme des armes. Un podcast Bababam Originals Ecriture et voix : Alice Deroide Première diffusion : juin 2019 Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices
Relayé par l'archevêché de Malines, un courrier, envoyé aux autorités belges, par les représentants des Etats pontificaux, signale le vol d'un tableau dans une église de Bologne. Ce courrier est accompagné d'un cliché. Prenant la chose au sérieux, les Belges diffusent le cliché dans différentes villes du pays. Cet envoi est le premier usage mentionné dans nos régions du photogramme en matière de sûreté publique. Depuis son apparition l'appareil photographique a saisi des milliers de scènes de crimes et d'accidents, donnant ainsi à comprendre comment la société réagit au malheur. En quoi la photographie a-t-elle révolutionné le travail de la police, de la magistrature, de la médecine légale et l'intérêt du public pour le sang versé ? Invités: Laurence Druez, cheffe de travaux aux Archives de l'Etat, à Liège et Xavier rousseaux, directeur de recherche au FRS-FNRS, professeur à l'UCL. « Scène de crimes – La photographie policière, témoin de l'enquête judiciaire » ; Racine. Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Nous sommes en Normandie, à la fin du mois de juillet 1944, peu après le débarquement. Correspondante du magazine « Vogue », accréditée auprès de l'armée américaine, Lee Miller débarque sur le front. Pendant dix mois, elle va suivre la guerre comme un soldat. Elle porte le treillis et le casque, se nourrit au hasard des combats, boit comme les hommes. « Lee était devenue un GI », témoignera, plus tard, David Scherman, photographe pour « Life magazine » qui se trouve à ses côtés. On la voit aux portes de l'univers concentrationnaire nazi, à Munich aussi où elle se fait photographier dans la baignoire d'Hitler. A Vienne, dans un hôpital qui manque de moyens pour soigner les victimes. Elle en témoignera à sa rédactrice en chef : « Pendant une heure, je regardais un bébé mourir. (…) Il était d'un bleu foncé poussiéreux des nuits viennoises remplies de valses ; de la même couleur que les vêtements rayés des squelettes de Dachau, du même bleu imaginaire que le Danube de Strauss. Je pensais que tous les bébés se ressemblaient, mais c'était les bébés en bonne santé ; il y a beaucoup de visages différents chez les mourants. Ce n'était pas un bébé de deux mois, c'était un gladiateur maigre. Il haletait, se débattait et luttait pour sa vie, et un médecin, et une infirmière et moi étions là impuissant à le regarder. Il n'y avait rien à faire. (…) Ce petit bébé se battait pour son seul bien, la vie, comme si elle pouvait valoir quelque chose, et comme s'il n'y en avait pas un millier d'autres juste là, à la porte de l'hôpital, attendant un lit comme arène pour leur combat perdu d'avance. » Lee Miller, l'égérie du Surréalisme devenue une pionnière du reportage de guerre. Avec nous : Eliane Van den Ende, historienne. Sujets traités : Lee Miller, égérie, surréalisme, pionnière ,du reportage, guerre , Vogue Merci pour votre écoute Un Jour dans l'Histoire, c'est également en direct tous les jours de la semaine de 13h15 à 14h30 sur www.rtbf.be/lapremiere Retrouvez tous les épisodes d'Un Jour dans l'Histoire sur notre plateforme Auvio.be :https://auvio.rtbf.be/emission/5936 Intéressés par l'histoire ? Vous pourriez également aimer nos autres podcasts : L'Histoire Continue: https://audmns.com/kSbpELwL'heure H : https://audmns.com/YagLLiKEt sa version à écouter en famille : La Mini Heure H https://audmns.com/YagLLiKAinsi que nos séries historiques :Chili, le Pays de mes Histoires : https://audmns.com/XHbnevhD-Day : https://audmns.com/JWRdPYIJoséphine Baker : https://audmns.com/wCfhoEwLa folle histoire de l'aviation : https://audmns.com/xAWjyWCLes Jeux Olympiques, l'étonnant miroir de notre Histoire : https://audmns.com/ZEIihzZMarguerite, la Voix d'une Résistante : https://audmns.com/zFDehnENapoléon, le crépuscule de l'Aigle : https://audmns.com/DcdnIUnUn Jour dans le Sport : https://audmns.com/xXlkHMHSous le sable des Pyramides : https://audmns.com/rXfVppvN'oubliez pas de vous y abonner pour ne rien manquer.Et si vous avez apprécié ce podcast, n'hésitez pas à nous donner des étoiles ou des commentaires, cela nous aide à le faire connaître plus largement. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Artiste montante de la scène états-unienne, Mickalene Thomas s'est fait connaître dès les années 1990 pour le regard nouveau et engagé qu'elle porte sur la place des femmes noires dans l'art. Son travail infuse dans les connaissances précises de l'histoire de l'art dont elle réinvente les codes. Pour clore son itinérance internationale, après Los Angeles, Philadelphie et Londres, celle-ci présente jusqu'au 9 novembre son exposition « All About Love » au musée des Abattoirs de Toulouse, dans le sud de la France. Les œuvres et installations de Mickalene Thomas mêlent peinture, photographies, vidéos, et surtout collage. Ses tableaux très colorés représentent les femmes de sa vie : sa mère, ses amies, ses amantes, ainsi que des artistes qu'elle admire. Elle photographie et peint des corps noirs, gros, queers, au regard assuré et à l'érotisme affirmé, manière pour elle de questionner les notions traditionnelles de beauté, de sexualité et de féminité, simplement en donnant à voir sa réalité. Elle représente notamment des femmes en train de se reposer, pour affirmer que les corps noirs ont, eux aussi, droit au repos, aux loisirs et au luxe. « Les systèmes sociaux cherchent à enfermer les femmes noires dans le rôle de servante, estime Mickalene Thomas. On ne nous perçoit pas souvent comme des personnes ayant droit à la joie ou au loisir. Même si nous possédons tout cela, ce n'est pas ce qu'on choisit de mettre en lumière chez nous. Ce qui est mis en avant, au contraire, ce sont nos traumatismes, les services rendus aux patriarches, à l'idéologie de la société blanche. Mon travail s'adresse avant tout aux femmes noires ordinaires qui possèdent toutes ces choses qu'on leur refuse souvent, parce qu'on leur répète qu'elles ne devraient même pas les désirer. Mais pourtant le désir est bien là, comme la sensualité est là, mais aussi l'excellence, la joie, l'amour. Toutes ces choses sont là, profondément ancrées dans leur identité », poursuit-elle. Le déjeuner sur l'herbe d'Édouard Manet revisité Toute l'œuvre de Mickalene Thomas célèbre les femmes noires et leur lutte pour occuper les espaces sociaux et artistiques. Le seul espace où elles n'ont pas à se battre devient alors leur foyer. L'artiste crée de grandes installations immersives inspirées des pièces de son enfance qui deviennent des lieux de reprise du pouvoir, de liberté et de communauté. L'artiste raconte : « Un foyer est avant tout un lieu de joie, de réconfort et de sécurité. L'importance de ce lieu est au cœur de mon travail. En fait, peu importe le chaos du monde extérieur, les épreuves auxquelles on doit faire face dehors. Que ce soit mon père ou ma mère, lorsqu'ils sortaient de la maison, ils affrontaient toutes sortes de discriminations liées à la couleur de leur peau. Alors quand ils rentraient, le foyer redevenait un espace de beauté, d'amour, de grâce même. Un lieu où on comprend les difficultés vécues au quotidien, dès le moment où l'on en passe la porte ». Mickalene Thomas revisite également des tableaux classiques de l'histoire de l'art européen, comme Le déjeuner sur l'herbe d'Édouard Manet dans lequel les femmes apparaissent passives et façonnées par le regard masculin. Elle se les réapproprie en y intégrant des femmes affirmées, incarnant un érotisme puissant et libre. « All About Love » invite à repenser nos imaginaires et à célébrer l'amour sous toutes ses formes. À lire aussi«The Color Line», une réévaluation des artistes africains-américains
durée : 00:27:39 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Au menu : bilan, recommandations de nos critiques & focus sur les expositions marquantes de cette 56e édition des Rencontres de la photographie d'Arles avec Letizia Battaglia pour "J'ai toujours cherché la vie" et Agnès Geoffray pour "Elles Obliquent, elles obstinent, elles tempêtent". - réalisation : Laurence Malonda - invités : Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art; Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.
durée : 00:11:41 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - Agnès Geoffray a constitué un saisissant corpus photographique sur les "écoles de préservation", institutions publiques destinées au placement de jeunes filles mineures en France, de la fin du XIXe siècle. L'exposition s'impose comme l'un des temps forts de cette édition. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sally Bonn Maître de conférence en esthétique à l'Université Picardie Jules Verne, auteure, critique d'art et commissaire d'exposition.; Corinne Rondeau Maître de conférences en esthétique et sciences de l'art à l'Université de Nîmes et critique d'art
durée : 00:28:39 - Les Midis de Culture - par : Marie Labory - En Afghanistan, Sandra Calligaro capte la vie qui résiste derrière les rideaux et les fenêtres occultées. - réalisation : Laurence Malonda - invités : Sandra Calligaro Photographe de guerre
Cet épisode est présenté par Squarespace.Vous voulez lancer votre marque, votre projet ou votre portfolio ?Squarespace est l'outil que j'aurais rêvé d'avoir à mes débuts : templates élégants, boutique en ligne intégrée, paiement sécurisé, gestion des stocks, emailing, optimisation SEO… tout en un, sans développeur et sans prise de tête.Essayez 14 jours. -10 % avec le code BOLD → squarespace.com/BOLD
Why has Cleopatra remained such an iconic figure for more than 2,000 years? Arts24 kicks off its new season with a deep dive into the Paris exhibition at the Arab World Institute "The Mystery of Cleopatra", which brings together over 250 artworks exploring the life, reign and enduring legacy of Egypt's last pharaoh. Plus, in Arles, the world-renowned "Rencontres de la Photographie" festival hosts a rare artistic dialogue between Lee Ufan and Michelangelo Pistoletto. FRANCE 24's Louise Dupont sits down with the Italian maestro to talk about collaboration, creativity and crossing cultural boundaries. Don't miss this vibrant start to the new season of arts24!