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On the fifty-fifth episode of the Cinematic Odyssey, Tristen and Max return from hiatus to their shortest episode ever! In it, both discuss thoughts and opinions on Soviet director Mikhail Kalatozov's 1960 adventure film Letter Never Sent, the same director that directed Tristen's top overall film of 2023. Tristen gushes on visual effects and technical capabilities, Max slams a man named Konstantin, and there are plenty of puns to go around.
De retour après une pause bien trop longue avec un film bien trop méconnu : Soy Cuba de Mikhaïl Kalatozov, sorti en 1964. Un film qui se découpe en 4 histoires se déroulant à Cuba sous le régime de Batista et qui illustre les souffrances du peuple cubain. On suit ainsi tour à tour une prostituée appelée Maria, un fermier exproprié nommé Pedro, un étudiant révolté Enrique et pour finir Mariano lui aussi fermier qui rejette la violence révolutionnaire mais qui va dramatiquement subir les conséquences du conflit. L'occasion également de faire place à une formule légérement remaniée et à l'annonce de la fin des formats "carnets". Bonne écoute ! Twitter : https://twitter.com/JournaldeCinema Instagram : https://www.instagram.com/journal_de_cinema/
Plus c'est long, plus c'est bon ? Pour notre premier numéro de l'année 2020, nous revenons sur la question du plan-séquence et plus précisément sur les films tournés (ou qui donnent l'impression d'être tournés) en un seul plan. La démarche représente-t-elle un réel intérêt ? S'agit-il d'un simple exercice de démonstration ? Quels sont les films qui sont parvenus à dépasser la seule idée du challenge technique pour justifier ce dispositif particulier en le mettant au service de ce qu'ils avaient à raconter ? -- DÉFINITION DU PLAN-SÉQUENCE et les plans-séquence qui nous ont marqués (00:01:30) -- LE FILM D'ACTUALITÉ (00:18:02) 1917, Sam Mendes --- LA THÉMATIQUE APPROFONDIE (01:06:25) Les films tournés (ou qui donnent l'impression d'être tournés) en un seul plan LA CORDE, Alfred Hitchcock, 1948 (01:07:15) TIME CODE, Mike Figgis, 2000 (01:17:28) L'ARCHE RUSSE, Alexandre Sokourov, 2002 (01:28:22) BIRDMAN, Alejandro González Iñárritu, 2014 (01:38:20) FISH + CAT, Shahram Mokri, 2013 (01:41:55) VICTORIA, Sebastian Schipper, 2015 (01:50:30) BUSHWICK, Jonathan Milott, Cary Murnion, 2017 (01:54:50) UTOYA, 22 JUILLET, Erik Poppe, 2018 (01:55:48) --- LES CONSEILS (02:07:21) Alex : LA CASA LOBO (Joaquín Cociña, Cristóbal León, 2018) Thomas : Jeu de cartes évolutif MARVEL CHAMPIONS, édité par Fantasy Flight Games Séb : BACURAU (Juliano Dornelles, Kleber Mendonça Filho, 2019) --- RÉFÉRENCES : Autres films évoqués : POLICE FÉDÉRALE LOS ANGELES (William Friedkin, 1985), BREAKING NEWS (Johnnie To, 2004), LA SOIF DU MAL (Orson Welles, 1958), L'HONNEUR DU DRAGON (Prachya Pinkaew, 2006), REVIENS-MOI (Joe Wright, 2007), PROFESSION : REPORTER (Michelangelo Antonioni, 1975), LES AFFRANCHIS (Martin Scorsese, 1990), BOOGIE NIGHTS (Paul Thomas Anderson, 1998), SOY CUBA (Mikhaïl Kalatozov, 1964), A HISTORY OF VIOLENCE (David Cronenberg, 2005), THE REVENANT (Alejandro González Iñárritu, 2015), DUNKIRK (Christopher Nolan, 2017), IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN (Steven Spielberg, 1998), APOCALYPTO (Mel Gibson, 2006), GERRY (Gus van Sant, 2003), LE GENIE DU MAL (Richard Fleischer, 1959), INVASION (Shahram Mokri, 2017), 22 JUILLET (Paul Greengrass, 2018) Musique : Æøå de Kollektivet Titre d'outro : Destruction Babies, Shutoku Mukai Exposed est un podcast animé par l'équipe de www.filmexposure.ch : Sébastien Gerber, Thomas Gerber, Alexandre Rallo.
À l'occasion de sa ressortie par Potemkine, discussion autour de "Quand passent les cigognes" de Mikhaïl Kalatozov, immense mélodrame de la fin des années 50.
Moscou, 1941. Veronika et Boris sont éperdument amoureux. Mais lorsque l’Allemagne envahit la Russie, Boris s’engage et part sur le front. Mark, son cousin, évite l’enrôlement et reste auprès de… See acast.com/privacy for privacy and opt-out information.
Pour cet épisode, nous recevons Aline Ahond, cinéaste aux techniques multiples, ayant aussi bien utilisé la peinture animée sur pellicule ("Carnavallée") que la caméra numérique ("Flèches"), mais également créatrice d'images fixes et de livres pour enfants.Dans cet entretien, cette cinéphile nous parle de la salle de cinéma, et en quoi cela reste, pour elle, un lieu de rendez-vous particulier avec quelques auteurs comptant autant pour ses goûts que dans son travail (de Jane Campion à Kelly Reichardt).Mais elle ne délaisse pas pour autant les autres écrans, notamment le streaming avec la plateforme VOD Mubi, tout en restant fidèle au 35mm, auquel elle est très attachée.Enfin - et surtout, Aline évoque son amour pour des Auteurs tels que Kelly Reichardt ou Werner Herzog, qu'elle estime être le "dernier romantique allemand". 1 - PORTRAIT : 3:57Le souffle, la respiration : Delphine Seyrig dans "Le lys dans la vallée" (M. Cravenne, 1970) - 3:57Un costume : Le masque de Jean Marais dans "La belle et la bête" (J. Cocteau, 1946)- 5:32Une archive de cinéma : un masque de "La règle du jeu" (J. Renoir, 1939) 8:42 2 - CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE : 11:53Un film en salle, en pellicule : "Soy Cuba" (M. Kalatozov, 1964) - 11:53Un film à voir indépendamment de son mode de visionnage : "Le miroir" (A. Tarkovski, 1975) - 17:08Un film à emporter en vacances : "Twin Peaks, the return" (D. Lynch, 2017) - 22:55 3 - CINEMA, MEMOIRE & SOMMEIL : 25:12Un film oublié à l'exception d'un détail : La fin de "La peau douce" vu enfant ((F. Truffaut, 1964) - 25:12-27'37Un film impossible à oublier : "Salo" (P.P Pasolini, 1976)-27:37 CARTE BLANCHE - 31:54"La souffrière" (Werner Herzog, 1977) 4 - CINEMA & TRANSMISSION : 37'34Un film détesté mais recommandé : "Salo" (P.P Pasolini, 1976) - 37:34Des films, ou des auteurs nourrissant une pratique de cinéma : Naomi Kawase, Bilge Ceylan, Jane Campion, Kelly Reichardt, Satyajit Ray, Lucrecia Martel - 41:28 FILM REFUGE - 48:21"La dernière piste" (Kelly Reichardt, 2010)
Pour cet épisode, nous recevons Aline Ahond, cinéaste aux techniques multiples, ayant aussi bien utilisé la peinture animée sur pellicule ("Carnavallée") que la caméra numérique ("Flèches"), mais également créatrice d'images fixes et de livres pour enfants.Dans cet entretien, cette cinéphile nous parle de la salle de cinéma, et en quoi cela reste, pour elle, un lieu de rendez-vous particulier avec quelques auteurs comptant autant pour ses goûts que dans son travail (de Jane Campion à Kelly Reichardt).Mais elle ne délaisse pas pour autant les autres écrans, notamment le streaming avec la plateforme VOD Mubi, tout en restant fidèle au 35mm, auquel elle est très attachée.Enfin - et surtout, Aline évoque son amour pour des Auteurs tels que Kelly Reichardt ou Werner Herzog, qu'elle estime être le "dernier romantique allemand". 1 - PORTRAIT : 3:57Le souffle, la respiration : Delphine Seyrig dans "Le lys dans la vallée" (M. Cravenne, 1970) - 3:57Un costume : Le masque de Jean Marais dans "La belle et la bête" (J. Cocteau, 1946)- 5:32Une archive de cinéma : un masque de "La règle du jeu" (J. Renoir, 1939) 8:42 2 - CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE : 11:53Un film en salle, en pellicule : "Soy Cuba" (M. Kalatozov, 1964) - 11:53Un film à voir indépendamment de son mode de visionnage : "Le miroir" (A. Tarkovski, 1975) - 17:08Un film à emporter en vacances : "Twin Peaks, the return" (D. Lynch, 2017) - 22:55 3 - CINEMA, MEMOIRE & SOMMEIL : 25:12Un film oublié à l'exception d'un détail : La fin de "La peau douce" vu enfant ((F. Truffaut, 1964) - 25:12-27'37Un film impossible à oublier : "Salo" (P.P Pasolini, 1976)-27:37 CARTE BLANCHE - 31:54"La souffrière" (Werner Herzog, 1977) 4 - CINEMA & TRANSMISSION : 37'34Un film détesté mais recommandé : "Salo" (P.P Pasolini, 1976) - 37:34Des films, ou des auteurs nourrissant une pratique de cinéma : Naomi Kawase, Bilge Ceylan, Jane Campion, Kelly Reichardt, Satyajit Ray, Lucrecia Martel - 41:28 FILM REFUGE - 48:21"La dernière piste" (Kelly Reichardt, 2010)
Matt walks through films by director Mikhail Kalatozov and cinematographer Sergey Urusevskiy. While waxing philosophical about Westerns and the inner landscapes of emotion, Sam treats listeners to a Werner Herzog impression. Matt has a love for landscape films in general but he may have discovered a new favorite. Letter Never Sent (1959) is a recent discovery […]
To mark the centenary of the Russian Revolution Mark Cosgrove, Watershed Cinema Curator and Andrew Kelly, Director Bristol Festival of Ideas, discuss upcoming films and events in May.They talk about the part cinema played in romanticising revolution, the optimism of international socialism, and how some directors making films in a revolutionary context were seeking new forms of audience participation.
Dave Eves joins Martin Kessler for a wildfire fast conversation about filmmaker Mikhail Kalatozov. They brave the elements to marvel at I Am Cuba’s famous long takes, consider the logistics of Letter Never Sent’s forest fire, and look at how The Cranes Are Flying set the bar for self-serious Russian directors. If you survive to the end you’ll hear some strong opinions on arthouse theatre audiences, Hard to Be a God, Blumhouse horror movies, the accents of token straw-man Americans, and of course why “cinema is a lie”. If you have any letters to send, you can reach Dave Eves on Twitter at @CinemaVsDave
Buckle up, things are about to get slow. Lady P welcome Monique “Momo” Morgan in her Flixwise debut, and Flixwise co-producer Martin Kessler, to talk about the second Kenji Mizoguchi entry on the Sight and Sound list, Sansho The Bailiff. They navigate its murky waters in discussing its themes, symbols, and moral quandaries, the role of women in the film, and Mizoguchi’s filmmaking technique. For our second topic we take a long look at long takes. Our panelists discuss different types of long takes and their varying effects. Plus, they figure out exactly how long a take needs to be to achieve ‘long take’ status, and then try to list their top five favourites (Birdman doesn’t make an appearance, we promise).
Última programa de este año 2016, uno en el que volvemos a nuestro reducto particular y solo nos encomiamos al micrófono, Angel y Ricardo (un servidor). Intentaremos dar las claves en este programa de como el plano secuancia influye y magnifica muchas de las grandes propuestas cinematográficas de toda la historia. Y repasamos alguna de las películas más destacadas en este uso de la técnica. A disfrutar y darle al like, el comentario solo si es bueno ;P
Este é o episódio #22, onde Alexandre, Sergio e Fred deixam um pouco de lado o cinema clássico hollywoodiano para se aventurarem em três grande produções do cinema soviético das décadas de 50 e 60: “Quando voam as cegonhas”, “A carta que não se enviou” e “Eu sou Cuba”, três filmes dirigidos por Mikhail Kalatozov e fotografados por Serguei Urusevski. “Cegonhas”, “Carta” e “Cuba” – que batizamos de os três C’s de Kalatozov – são exemplos de grandes filmes produzidos pelo cinema russo que não pertencem ao período da famosa escola de montagem russa, mas que ainda assim possuem incontestáveis qualidades no plano técnico e se apresentam como três ótimos filmes que todos os cinéfilos deveriam conhecer.