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Na het zware werk van vorige maand met Tarkovski' Stalker was het ditmaal tijd voor wat luchtigs als onze klassieker van de maand en dus kwam Richard op de proppen met de komedie See No Evil, Hear No Evil met Gene Wilder en Richard Pryor in de hoofdrollen. Het plot is simpel met een blinde en een dove die op zoek gaan naar de echte moordenaar voor een misdaad waar zij van worden verdacht maar is een oordeel over de film van Arthur Hiller ook zo simpel? Of kan alleen Richard lachen om dit soort grappen en grollen? Beluister de gehele aflevering via de welbekende podcast-kanalen of bekijk ‘m met beeld via youtube.com/filmerds.
Esta semana el programa se pone las botas de combate, se embadurna en barro existencial y nos lanza a un viaje por cuatro películas que van del caos urbano al apocalipsis musical, pasando por Canadá en modo performance. Abrimos con Warfare, lo nuevo de Alex Garland, que se ha metido de lleno en la guerra real. Irak, 2006, un pelotón en apuros y tensión en tiempo real. Una cinta que respira autenticidad porque parte de su guion está basado en recuerdos reales de un Navy SEAL. Seguimos con Havoc, o como la hemos rebautizado cariñosamente: Estragos. Gareth Evans, el de The Raid, trae una película que es básicamente Tom Hardy dándose contra todo lo que se le pone delante. Corrupción, drogas, mafias y más mamporros que diálogos. Desde ahí viajamos al norte y al surrealismo con Universal Language, una rareza canadiense donde cada personaje habla un idioma distinto y la narrativa se ríe de sí misma, del país y de todos nosotros. ¿Quieres cine raro pero encantador? Aquí lo tienes De ahí nos vamos al teatro donde conoceremos a Lillian Hall, gran estrella de Broadway que luchará por seguir brillando en Movistar+ Y cerramos por todo lo alto, o por todo lo bajo según se mire, con The End, una distopía musical donde Joshua Oppenheimer (sí, el de The Act of Killing) dirige una ópera postapocalíptica sobre el fin del mundo. Búnkers, sal, familias que cantan y una estética que mezcla Tarkovski con Glee. Una locura, de programa. Todo ello como siempre sin spoilers Minutado 00:00 – Introducción y Tertulia con los oyentes con reseñas breves de Black Bag y La Cita 16:40 – Warfare 34:15 – Estragos (Havoc [Netflix] 40:30 – Universal Language (Idioma Universal) [Filmin] 52:00 – The End 1:04:40 – La Gran Lillian Hall [Movistar+] Únete a nuestro grupo de Telegram: https://t.me/PodcastEnSerio Y estamos en Twitter: https://twitter.com/PodcastEnSerio ⌨️Correo: ivodelgadorivero@gmail.com Instagram: https://www.instagram.com/criticoenserio/?hl=en-gb
10e édition des Rendez-vous Cinéma IL EST UNE FOI : célébrer la beauté : Du 30 avril au 4 mai 2025, les Rendez-vous Cinéma IL EST UNE FOI célèbrent leur 10e édition avec un thème central profondément évocateur : la beauté. Ce festival unique, où culture et spiritualité se rencontrent, marque une décennie d'engagement avec un bilan impressionnant : plus de 11'500 spectateurs, 130 films et 80 débats depuis sa création. Pour cette édition anniversaire, le festival propose une programmation riche et variée avec 25 films qui explorent la beauté sous toutes ses facettes : dans l'art, la nature, l'amour, et le quotidien. Parmi les œuvres phares, on retrouve des classiques comme Andreï Rublev de Tarkovski, Sayat Nova de Parajanov, et The Long Day Closes de Terence Davies, chacune offrant une expérience de transcendance et d'émerveillement. En célébrant ce cap symbolique, le festival invite les spectateurs à une réflexion profonde sur la grâce et la simplicité qui élèvent l'âme et apaisent l'esprit. Dans cet épisode, nous échangeons avec Geoffroy de Clavière, délégué général du festival, pour découvrir les coulisses de cette édition exceptionnelle et les messages qu'elle porte.
El académico, escritor y columnista Ricardo Martínez visita el podcast para hablar con Villalobos de una lista que posteó en Facebook a propósito de su último cumpleaños: las 55 películas favoritas de su vida. Miyazaki, Tarkovski y Scola salen al baile, pero también lo hacen Volver al futuro, John Carpenter y una adorada película noventera sobre comer tomates verdes fritos.
En ce début d'été ombrageux, nous vous proposons de faire une pause au gré de la cinéphilie d'Hélène Frappat.Écrivaine-enquêtrice, notre invitée jongle avec la fiction et la philosophie - et le cinéma est l'une des matières premières de son travail. On lui doit récemment l'essai Le gaslighting ou l'art de faire taire les femmes à partir d'un film de Cukor et Trois femmes disparaissent, belle enquête élégiaque autour de la lignée d'actrices Tippi Hedren-Melanie Griffith-Dakota Johnson. Mieux qu'une simple interview, nous vous proposons de remonter le temps au gré des réponses de notre invitée. Car pour elle, tous les films sont liés et, entrelacés ensemble, ils forment le tissu de sa mémoire, allant jusqu'à faire remonter des souvenirs bien enfouis, à l'instar de l'horloge à l'envers de Twixt (F. Coppola)N'ayez crainte et laissez-vous porter par notre invitée, du soleil Sicilien du Parrain à la pluie du film noir Follow me quietly (R. Fleischer). Vous y croiserez aussi la poésie de Tarkovski et la pugnacité d'Erin Brockovich (S. Soderbergh). Et qui sait, vous vous souviendrez peut-être de quelque chose en cours d'écoute ? Nous remercions notre invitée Hélène Frappat ainsi qu'Elodie Imbeau et Pierre Sénechal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I.PORTRAIT 3'29 Une mère au cinéma : Erin Brockovich (S.Soderbergh, 2000) Une langue au cinéma : le russe que parle l'actrice blonde au début du Miroir (A. Tarkovski, 1975) - 5'54 Une détective au cinéma : la jeune journaliste dans Follow Me Quietly (R. Fleischer, 1949) - 12'14 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 18'22 Des films qu'Hélène Frappat a voulu fuir : ceux de Lars Von Trier - 18'22 Un film comme une séance d'hypnose : Le Parrain (F. Coppola, 1972) - 23'5 Un film qui a levé l'amnésie d'enfance d'Hélène Frappat : Twixt (F. Coppola, 2011) - 31'24 Un texte critique qui a changé la cinéphilie d'Hélène Frappat : ceux de Serge Daney sur l'enfance et Les Contrebandiers de Moonfleet - 40'23 III. CINEMA & TRANSMISSION - 48'38Le cinéma comme “affaire de point de vue” (male/female/queer gaze…) : Showgirls (P. Verhoeven, 1995) REFUGES - 54'07Tout film aimé par Hélène Frappat dès le générique EXTRAITS FILMSLe miroir - A. Tarkovski - 1975 - Potemkine FilmsCéline et Julie vont en bateau - J. Rivette - 1974 - Potemkine Films EXTRAITS MUSICAUXRichard Wagner - Tristan und Isolde, Prélude - Cond : W. Furtwangler - ℗ A Warner Classics release, ℗ 1953 Parlophone Records Limited. Remastered 2021 Parlophone Records LimitedNino Rota, Gofather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Par Thomas Lecuyer et Anthony Bekirov. -"SOS Fantômes: La menace de glace" de Gil Kenan. -"Blackbird, blackbird, blackberry" dʹElene Naveriani. Coproduction SSR. -"Nous, les Leroy" de Florent Bernard Conseils : "Tiger Stripes" de Amanda Nell Eu, (autre sortie du jour) "Stalker" (1979) de Andreï Tarkovski, (à voir dans la rétrospective Tarkovski qui dure jusquʹau 30 avril aux Cinéma les Grütli à Genève).
This week, hosts Jim DeRogatis and Greg Kot share some new music that's flying underneath the mainstream radar - buried treasures! They'll also pay tribute to Karl Wallinger and Eric Carmen.Join our Facebook Group: https://bit.ly/3sivr9TBecome a member on Patreon: https://bit.ly/3slWZvcSign up for our newsletter: https://bit.ly/3eEvRnGMake a donation via PayPal: https://bit.ly/3dmt9lUSend us a Voice Memo: Desktop: bit.ly/2RyD5Ah Mobile: sayhi.chat/soundops Featured Songs:Terra Black, "Black Flames of Funeral Fire," All Descend, Self-Released, 2023The Beatles, "With A Little Help From My Friends," Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band, Parlophone, 1967BODEGA, "Tarkovski," Tarkovski (Single), Chrysalis, 2024New Age Healers, "The Spin Out," The Spin Out (Single), Self-Released, 2024Microwave, "Bored of Being Sad," Let's Start Degeneracy, Pure Noise, 2024Itasca, "Imitation of War," Imitation of War, Paradise of Bachelors, 2024Kneecap, "Sick In the Head," Sick In the Head (Single), Heavenly, [PIAS], 2024Mandy, "High School Boyfriend," High School Boyfriend (Single), Exploding in Sound, 2024Burnt Sugar The Arkestra Chamber, "* inna-Lisala-Over-Oakanda," Angels Over Oakanda, self-released, 2021Goat, "Raised by Hills," Medicine, Rocket, 2023Vincent Blackshadow, "I Think Not," I Think Not (Single), Former Priest Productions, 2024Destroy Boys, "Shadow (I'm Breaking Down)," Shadow (I'm Breaking Down) (Single), Hopeless, 2023Instant Crush, "A Cinematic Exit!," A Cinematic Exit! (Single), Share It Music, 2024The Anti-Queens, "Doomed Again," DISENCHANTED, Stomp!, 2024Creation Rebel, "Swiftly (The Right One)," Hostile Environment, On-U Sound, 2023World Party, "Put The Message In The Box," Goodbye Jumbo, Ensign, 1990World Party, "Ship of Fools," Private Revolution, Chrysalis, 1987The Raspberries, "Go All The Way," Raspberries, Capitol, 1972Eric Carmen, "Hungry Eyes," Dirty Dancing: Original Soundtrack from the Vestron Motion Picture, RCA, 1987Led Zeppelin, "Immigrant Song," Led Zeppelin III, Atlantic, 1970See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
Over the long tenure of Sound Opinions, hosts Jim DeRogatis and Greg Kot mentioned Brian Eno countless times. They think it's time to tackle a classic album dissection of his 1974 record Taking Tiger Mountain (By Strategy.) They discuss Eno's career before and since the album, as well as hear a bit of Eno himself from their 2011 interview with him.Join our Facebook Group: https://bit.ly/3sivr9TBecome a member on Patreon: https://bit.ly/3slWZvcSign up for our newsletter: https://bit.ly/3eEvRnGMake a donation via PayPal: https://bit.ly/3dmt9lUSend us a Voice Memo: Desktop: bit.ly/2RyD5Ah Mobile: sayhi.chat/soundops Featured Songs:Brian Eno, "Burning Airlines Give You So Much More," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974The Beatles, "With A Little Help From My Friends," Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band, Parlophone, 1967Roxy Music, "Re-Make/Re-Model," Roxy Music, Island, Reprise, 1972Brian Eno, "Needles in the Camel's Eye," Here Come the Warm Jets, Island, 1974Brian Eno, "Back In Judy's Jungle," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "Mother Whale Eyeless," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Soft Machine, "Priscilla," The Soft Machine, Probe, Command, ABC, 1968Brian Eno, "Put a Straw under Baby," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "China My China," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "The Great Pretender," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "Third Uncle," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "The True Wheel," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "The Fat Lady of Limbourg," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "Taking Tiger Mountain," Taking Tiger Mountain (By Strategy), Island, 1974Brian Eno, "Fullness of Wind," Discreet Music, Obscure, 1975Brian Eno and David Byrne, "Regiment," My Life in the Bush of Ghosts, Sire, E.G., 1981Roxy Music, "Editions of You," For Your Pleasure, Island, Warner Bros., 1973BODEGA, "Tarkovski," Tarkovski (Single), Chrysalis, 2024See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.
NYC-based rock unit Bodega makes artful post-punk songs with brawny, catchy riffs and shouty gang vocals. Their lyrics contain politically-minded and perhaps cheeky commentaries on advertising, technology, pop culture, high art - and how we consume it all; oh- and on gentrification as well. They play cheeky new tunes from the forthcoming album, Our Brand Could Be Yr Life, in-studio. -Caryn Havlik Set list: 1. Tarkovski 2. Shiny New Model 3. City Is Taken Our Brand Could Be Yr Life by BODEGA
¡Bienvenid@s al podcast de Zona Negativa! ¡Bienvenid@s a Guerra de Viñetas! Tres meses después de que una valiente redactora de manga retara a duelo a un vigoroso redactor de la sección de cine, toca el combate de vuelta que decidirá quién de los dos se lleva el gato al agua. Ambos integrantes de la web parecen haber optado por dos obras que nos encogerán el corazón: Es un pájaro... o lo que es lo mismo, una historia de Superman sin El Hombre de acero como protagonista y Solanin, que nada tiene que ver con el clásico de Tarkovski. ¿Queréis saber qué tal ha quedado el asunto? Dadle al Play, no os arrepentiréis. Colaboradores: Laura Calvo, Samuel Secades y Sergio Fernández Atienza. Publicidad: Sergio Fernández Atienza. Portadas: Jordi T. Pardo. Edición: Sergio Fernández Atienza. Suscríbete a nuestro podcast en... iVoox - https://bit.ly/znpivoox Spotify - https://bit.ly/znpspo Apple Podcasts - http://bit.ly/znpapple Google Podcast - http://bit.ly/znpgoogle Y búscanos en tu app de podcast favorita. Música de entrada y salida: "IkouZe ! - acoustic" de Sumashu - https://bit.ly/ZNPintro Música de intermedio: "Sunshine, Lollipops And Rainbows" de Leslie Gore - https://www.youtube.com/watch?v=atY7ymXAcRQ Música de publicidad: "Marcha fúnebre" de Chopin - https://www.youtube.com/watch?v=Eacj1Oz99eQ Para estar al día de todo el mundo del cómic y sus galaxias cercanas, ¡visita Zona Negativa!
Kutlukhan Kutlu ile Hayal Mahmuru'nda güncel konulara, sinema tarihine ve sektöre dair konuşuyoruz.
Hoy vamos a hablar de cine. De cine que se esculpe en el tiempo, como decía Tarkovski. De cine que se queda grabado en tu psique y en tu alma y que ya nunca te abandona. De cine realizado por el que es considerado uno de los directores de culto más importantes de la historia de España, y, desde luego, el más importante de los que viven y siguen trabajando. Porque de nuevo, la actualidad manda en Radio Nadie al Volante, y creo que, por primera vez en la historia de este programa, hacemos dos programas de cine consecutivos. Pero es que cuando un director de la categoría del que vamos a hablar hoy estrena su última película en los cines, en el momento que grabamos este programa, y teniendo en cuenta que su anterior largometraje lo había estrenado en el año 1992, pues tenemos que parar todas las máquinas y llamar a nuestro crítico de cine de cabecera, César Usán, y encender la Linterna Mágica y dedicarle un programa integro a este genio del cine español. Y no solo del cine español, porque de los cuatro largometrajes que ha realizado, dos de ellos están en las listas de las 100 mejores películas de la historia del cine, y no creemos que eso este a la altura de muchos directores de ningún país y de ninguna época. Y es que este autor ha hecho una obra maestra por cada película que ha realizado. Quizá por eso se ha tomado el tiempo y la pausa, el poso y la visión, para realizar cada una de ellas, con el mimo y el cariño que se merece algo que esta hecho para ser inscrito en la eternidad y de paso, para que lo vayamos a ver a una sala de cine. Así que hoy volvemos al lugar donde descubrimos, poco a poco, el mundo, a nuestra más tierna infancia, y se nos abren las casas apartadas de los pueblos donde los anacoretas tratan de lidiar sus cuitas con la vida, mientras sus familias tratan de comprenderlos, mientras que en el cine destartalado de ese pueblo dejado de la mano de Dios, se proyecta la película que nos va a abrir hasta el último reducto de nuestra conciencia. Hablamos del director Víctor Erice. VOTARNOS A MEJOR PODCAST CULTURAL EN ESTE ENLACE https://go.ivoox.com/wv/premios23?p=918893 ENTRADAS PARA EL 17 DE OCTUBRE EN EL TEATRO GOLEM'S DE BARCELONA https://www.atrapalo.com/entradas/radio-n-a-v-los-amores-dificiles-mitos-escritores-y-peliculas_e4900852/
https://notesonfilm1.com/2023/07/14/thinking-aloud-about-film-the-killers-1946-1964/ In the podcast we compare the two films, a noir and a neo-noir, the 46 version made stars of Burt Lancaster and Ava Gardner. We then compare both to the Tarkovski 1956 student version of the film, what they use of Hemingway, and what needed to be invented as background. We discuss why the 1946 continues to fascinate through its Citizen Kane style investigatory structure, its use of music, Woody Bredell's textured, expressive cinematography, and its depiction of a man driven to death by his love of a woman who constantly lies and who the film shows as unknowable.
Juliana, Henrique e Hugo se impuseram o desafio de selecionar seus dez melhores filmes de ficção científica. Algo que iniciou como “preferência” tornou-se uma grande lista de obras essenciais, pelo olhar do Cinefilia & Companhia. Venha acompanhar a formação desta grande seleção, que passa por filmes populares, clássicos, contemporâneos e curiosidades. Nomes como Spielberg, Ridley Scott, Tarkovski e muitos outros são mencionados. Junto a isso, uma excelente explicação da nossa Juliana Varella a respeito do gênero da ficção científica. Não esqueça de comentar o que achou do episódio e mencionar o seu filme de ficção científica favorito. ------------------------------------------------- Entre em contato com o Cinefilia & Companhia, e deixe seus comentários, elogios e opiniões sobre os filmes tratados. E-mail: cinefilia.companhia@gmail.com Instagram: @cinefiliaecompanhia YouTube: https://www.youtube.com/channel/UCN5rLEZLWrqNclWE1KshDVg ------------------------------------------------- Mediação: Hugo Harris Pauta: Henrique Pires, Hugo Harris e Juliana Varella Edição do episódio: Hugo Harris Artes gráficas: Joe Borges Trilha de abertura: JF Borges Coordenação de Comunicação: Juliana Varella Coordenação de Edição e Artes: Henrique Pires Coordenação Geral: Hugo Harris
datum: 15 mei 2023 gast: Jonas Govaerts Vlak nadat we de Tarkovski film Solaris (1972) in een cinema zagen, bespreken we deze en andere films en het nieuwe boek over films van Tarantino.
Recuerdo perfectamente la primera vez que sostuve uno de sus trabajos en mis manos, recuerdo el balcón de mis amigos, mis pies descalzos y el aire fresco de la mañana, el sonido de los pájaros y el silencio del pueblo entre los montes. Recuerdo, sobre todo, sentirme transportado a otro lugar, a otro norte, y la sensación de que alguien me llevaba de la mano mostrándome bosques y gentes que se hacían casi físicos en en el blanco y negro de aquellas páginas. Hoy, en Calle Oscura, Jon Cazenave. En este episodio hablamos de - Crear en casa. - Construir un discurso a través de la fotografía. - La estética al servicio del mensaje. - Polarización y tensión. - La utilidad de lo inútil. - Lentitud y silencio. - Revisar el archivo. - La cultura como una construcción. - Mapas y territorios. - Búsquedas. Y de infinidad de cosas más. Quién nos acompaña Jon nace en San Sebastián en 1978 y estudia Económicas. Tras trabajar 5 años en ese ámbito decide dar un golpe de timón, formándose en Fotografía Documental en Barcelona y consagrando su vida al arte. En sus primeros trabajos aborda la identidad y la memoria con el paisaje siempre de fondo. Poco a poco ese escenario donde suceden la cultura y la historia del hombre se ha ido convirtiendo en el núcleo de su obra. Ha expuesto en instituciones públicas y privadas dentro y fuera de nuestras fronteras, como la Sala Canal de Isabel II, CaixaForum, Tabakalera y la Fundación Museo Jorge Oteiza por mencionar solo algunas salas nacionales y ha participado en numerosos certámenes internacionales como los encuentros de Arles en Francia, la Bienal Internacional de Arte Contemporáneo de América del Sur BIENALSUR en Argentina y PHotoEspaña. Referencias y enlaces Autores y colectivosAlejandro Castellote. - Alejandro Castellote. - Ana Mendieta. - Béla Tarr. - Blank Paper. - Chantal Maillard. - Dani Fleitas. - Eduardo Chillida. - Eloi Gimeno. - Emil Cioran. - Fannie Escoulen. - Festival Veintinueve Trece. (https://veintinuevetrece.com/) - Georgia O´Keeffe - Gonzalo Golpe. - Iñaki Domingo. - Jorge de Oteiza. - José Antonio Artze. - Juanjo Justicia (Underbau). - Julián Barón. (https://jotabarros.com/calle-oscura-julian-baron/) - LUR, Revista Especializada en Fotografía y Cultura Visual. (https://e-lur.net/) - María Santoyo. - Nicolás Combarro. - Paco Elvira. - Paolo Pellegrin. - Pep Bonet. - Rafael Arocha. - Residencia Nautilus. - Takuma Nakahira. - Tarkovski. Trabajos - Galerna, Jon Cazenave. (https://lasalbooks.com/products/galerna-jon-cazenave) - Herri Ixilean, Jon Cazenave. (https://amzn.to/416QiiL) - La Ilusión Documental, Takuma Nakahira. - Walking, One Step at a Time, de Eerling Kagge. (https://amzn.to/3mwF9IU) Jon y lo demás Encontraréis a Jon en su web (https://joncazenave.com/) y en su perfil en Instagram (https://www.instagram.com/joncazenave/), así como en las mejores librerías y salas de exposiciones. Gracias por tu escucha Aquí acaba el cuadragésimo tercer episodio de Calle Oscura. Ojalá hayáis disfrutado de esta charla con Jon tanto como yo. Contadme qué os ha parecido en los comentarios y, si os ha gustado, no olvidéis dejar 5 estrellas, compartir este capítulo en vuestras redes y recomendarlo a vuestra gente. Algo tan sencillo supone una gran diferencia. Antes de la despedida, como siempre, gracias a Ricoh y a su modelo GR3 por apoyar la emisión de Calle Oscura. (https://www.tiendapentaxeros.com/camaras/compactas/ricoh-gr/) Desde aquí, todo mi agradecimiento por acompañarme, por acompañarnos, desde ese otro lado que se siente muy cercano. Volvemos a escucharnos pronto. Hasta entonces… Nos vemos en la calle! Jota.
Nuestro homenaje al maestro en su aniversario. Matthäus-Passion, BWV 244 Zweiter Teil 39. "Erbarme dich" Michael Chance, English Baroque Soloists, John Eliot Gardiner Bach, J.S.: Cantatas & Sacred Masterpieces Das Alte Jahr Vergangen Ist Bwv 614 Kåre Nordstoga J.S.Bach: Organ Works Solaris I + Nostalghia François Couturier, Anja Lechner, Jean-Marc Larché, Jean-Louis Matinier Nostalghia - Song For Tarkovsky Ich Ruf' Zu Dir, Herr Jesu Christ Bwv 639 Kåre Nordstoga J.S.Bach: Organ Works Markus Passion, BWV 247 Chor "Geh, Jesu, geh zu deiner Pein!" (aus BWV 198) Jordi Savall Bach: Markus Passion, BWV 247 Das Orgelbuchlein, BWV 599-644 Ich ruf zu dir, Herr Jesu Christ, BWV 639 Wolfgang Zerer Bach, J.S: Orgelbuchlein, Bwv 599-644 Dream John Cage, Paolo Tarsi, Fauve! Gegen a Rhino dream in a landscape Salve Regina (Arvo Pärt) Estonian Philharmonic Chamber Choir, Paul Hillier, Christopher Bowers-Broadbent Arvo Pärt: Da pacem Escuchar audio
Los hermanos Lumière fueron los padres del cinematógrafo y, sin quererlo, del primer gran susto del séptimo arte. Ocurrió en 1896, cuando proyectaron en un café de París un corto de apenas 40 segundos en que se veía una locomotora acercándose a cámara al llegar a una estación. Según escribió sobre el suceso otro grande del cine, Andréi Tarkovski, “a medida que el tren se acercaba empezó el pánico: la gente saltaba y corría, pensando que el tren se les venía encima”.
LEFT ON OUR OWN, 27min., Hungary, Drama/Art Directed by Akos Kovacs An elderly taxi driver, who happens to be a tireless storyteller, is a man of contradictions: a hopeless romantic and a crude observer of life who has lived through individual hardship and witnessed the despair of others. He doesn't hold back while roaming the streets of Budapest: the route to the destination leads through the labyrinth of his own memories and emotions, which his words conjure. Friends and strangers, cheap décor, lonely buildings, a life-long correspondence that encapsulates a relationship, numbing melodies from an ancient music box all swirl and blend in this film's poetic vision. Sensitive writing and emotional cinematography draws the attention to small details, to personal hopes and everyday tragedies. A hypnotic, haunting and tranquil soundtrack gives eerily gentle force to the old man's tales. https://www.facebook.com/magunkmaradtunk Get to know the filmmaker: I've been something of a film aficionado all my life. I was 16 when I attended a so called ‘youth film club' where all the classic Italian Cinecittá greats were screened, you know, Fellini, Pasolini, Antonioni, the works. Talk about love at first sight. I was thrilled, mesmerized, enchanted and, most of all, intellectually intrigued. My parents were shocked to learn I was not willing to follow the family tradition of attending law school. I respect such Hungarian filmmakers as George Cukor, István Szabó, Lajos Koltai or Vilmos Zsigmond who became Hollywood legends, and love the great Hungarian trailblazing directors who never got their much deserved international break, but are geniuses nonetheless, like Zoltán Huszárik or Károly Makk. They paved the way for aspiring filmmakers like myself. I'm also a big Tarkovski fan, as you might have guessed by our short film's first scenes that are a dedicated hommage to the opening sequence of Stalker. I'm also an avid reader of literature, be it John Updike or Gabriel Garcia Marquez. I couldn't write anything if not for the books that left their marks on me. Without my love for the great Czech author Bohumil Hrabal my taxi driver character surely couldn't have been born. You can sign up for the 7 day free trial at www.wildsound.ca (available on your streaming services and APPS). There is a DAILY film festival to watch, plus a selection of award winning films on the platform. Then it's only $3.99 per month. Subscribe to the podcast: https://twitter.com/wildsoundpod https://www.instagram.com/wildsoundpod/ https://www.facebook.com/wildsoundpod
"Never" - Ilmāra Šlāpina jaunākais dzejoļu krājums dialoga formā aicina iesaistīties sarunā par ES vietu telpā un laikā. Saruna ar Ilmāru Šlāpinu arī par dzeju un dzejniekiem, arī par rīta "playlistēm", Tarkovski un viena un tā paša vārda - 'never' - dažādām nozīmēm. Ilmārs Šlāpins lasa arī savu dzeju. "Strādājot "Satori", man ienāca prātā sakārtot dzejoļu antoloģiju - latviešu dzejnieku dzeju par to, kā ir dzejot. Dzejoļus par pašu dzejošanas procesu. Un es aptaujāju kolēģus un konstatēju, ka latviešu dzejnieki par to īpaši daudz nav rakstījuši. Man tas kaut kā iekrita sirdī, jo vēl no filozofijas studijām es atceros to tēzi, ka filozofija pirmajām kārtām ir domāšana par to, kas tad īsti ir filozofija. Man liekas, ka arī dzejniekam ir ļoti svarīgi rakstīt par to, ko nozīmē rakstīt dzeju. Pašreflektēt, apzināties, likt valodai rakstīt pašai par sevi. Tas man šķiet ļoti interesanti. Kaut kādā laika periodā tapa vairāki dzejoļi, kas izveidoja atsevišķu nodaļu jaunajā krājumā "Dzejas priekšstati"," Kultūras rondo stāsta Ilmārs Šlāpins. Tas par dzeju un dzejošanas procesu, bet pašu grāmatas nosaukumu "never" var izlasīt dažādi. "Es gan neesmu latviešu valodas izrunas speciālists, bet man šķiet, ka arī latviski atšķiras, vai intonācija, vai e burta platums atkarībā no tā, vai mēs sakām pavēles formā, vai stāstījuma izteiksmē," bilst Ilmārs Šlapins. Pavēles izteiksmē "never" izrunā ar pirmo šauro e, stāstījuma izteiksmē - ar plato. Un vēl vārdu var izlasīt angliski un var izlasīt arī krieviski. "Man likās interesanti papētīt, kādās vēl valodās šis vārds ir izlasāms vai uzrakstāms, un, tā kā mans pirmais krājums arī nosaukumu apspēlēja budistu filozofijas terminu sanskritā "Karmabandha", man likās varbūt kādu atsaucīti ielikt arī šeit un uzrakstīt šo nosaukumu "never" ne gluži sanskritā, bet tiem devanagari arī burtiem vai zilbēm, pareizāk sakot, kādā sanskrits parasti tiek pierakstīts," atklāj Ilmārs Šlāpins. "Ja man ir jāpaskaidro šis nosaukums vēl dažādos veidos, tad man šķistu interesants skaidrojums, ka vārds 'never' apzīmē neverificējamus spriedumus. Vai, pareizāk sakot, slēdzienus. Loģikā mēs varam izdalīt verificējamus slēdzienus un neverificējamus, tas ir tādus, kurus nav iespējams pierādīt. Un man šķiet, ka dzejā, dzejnieks runājot, ļoti daudz, ja ne pilnībā visu raksta šādiem ne verificējamiem slēdzieniem. Mēs nevaram nekādi pierādīt, mēs nevaram atrast pietiekami apstākļu kopumu, kas pierādītu to, kas dzejā ir pateikts. Tagad mums atliek tikai ticēt vai neticēt tam."
Le podcast L'Amour de l'Art invite des artistes à parler d'autres artistes. Musique, littérature, cinéma, arts visuels, théâtre... Ils et elles nous partagent, de manière très personnelle, leur regard sur ces œuvres qui les fascinent. Anachronique et hybride, le travail de Laurent Grasso se situe dans une zone d'incertitude, où la science se mesure au sacré, l'invisible questionne l'histoire, le spirituel devient politique. Les films, sculptures, tableaux et photographies de Laurent Grasso cassent les frontières de nos perceptions et de nos connaissances, comme pour mieux questionner le réel. Dans cet épisode, il a choisi de nous parler du réalisateur, scénariste et écrivain Andreï Tarkovski. L'Amour de l'Art est un podcast de la galerie Perrotin L'épisode avec Laurent Grasso a été enregistré le 7 décembre 2022 à l'atelier de l'artiste, Paris Entretien réalisé par Vanessa Clairet Prise de son, réalisation et sound design : Seb Lascoux Langue : Française Identité graphique : Perrotin Musique : CDM Music
La guerre c'est dégueulasse mais ça fait des films stupéfiants. Du moins quand ils osent la regarder en face, ne pas flancher devant ses atrocités. Ceux-là se comptent sur les doigts d'une main. Un décompte qui se réduit quand comme The painted bird, certains ne se contentent pas d'aller au front. Le film de Vaclav Marhoul ne va d'ailleurs quasiment jamais sur le champ de bataille pour suivre un orphelin dans l'Europe de l'Est rurale. La seconde guerre mondiale reste une toile de fond pour cette odyssée façon Rémi sans famille, en plus cruel. Le gamin n'a pas de nom, n'est que le témoin d'une humanité retournée à son animalité. De rencontre en rencontre, sa découverte du monde adulte ne sera que douleurs et sévices. En dépit d'une brutalité au bord du sadisme, même quand il est excessif, The painted bird s'élève pourtant au-dessus de la complaisance. Entre autres par des ambiguïtés, lorsque les personnes les plus rudes avec ce môme sont celles généralement dépeintes comme des victimes de conflit ou à l'inverse, celles qui lui montrent un minimum de compassion portent l'uniforme des bourreaux. De même, si l'ombre de la Shoah enserre ce film, il n'est jamais certain que ce martyr en culotte courte soit juif, mais assurément un enfant instrumentalisé et rejeté, faisant l'apprentissage, psychologique comme physique, de la violence comme seul horizon. Ce, sans quasiment prononcer une phrase de tout le film. Normal, quand il n'y a plus de mots pour relater l'horreur de cette période. Le plus sidérant restant la terrassante beauté plastique de The painted bird, porté par un noir et blanc au delà du sublime, alliance d'ivoire et de charbon, confortant les liens de descendance avec L'enfance d'Ivan, le classique de Tarkovski lui aussi récit d'une enfance massacrée. Au-delà de la difficulté qu'éprouveront certains à supporter la dureté de certaines scènes dans un tel écrin, il pose évidemment la question d'esthétiser la guerre. Mais c'est pour mieux la détourner quand derrière cette fusion dérangeante entre lyrisme et fange, le choix de la bichromie renforce avant tout un propos sans équivoque, donnant aux zones grises de l'espèce humaine, la teinte amère des cendres. En Blu-ray (Spectrum films) Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:41:15 - Fictions / Théâtre et Cie - Journal 1970-1986 est le journal intime du cinéaste soviétique Andreï Tarkovski. Il couvre sa vie et son travail en Union soviétique et la période de son exil en Europe occidentale.
durée : 01:15:21 - Fictions / Théâtre et Cie - Afin de relancer les recherches autour de la planète Solaris, Kris Kelvin, docteur spécialiste de son environnement, rejoint la station spatiale gravitant autour de l'astre aux deux soleils. En arrivant, il apprend que son ami Gibarian, habitant la station, s'est donné la mort.
durée : 01:15:21 - Fictions / Théâtre et Cie - Afin de relancer les recherches autour de la planète Solaris, Kris Kelvin, docteur spécialiste de son environnement, rejoint la station spatiale gravitant autour de l'astre aux deux soleils. En arrivant, il apprend que son ami Gibarian, habitant la station, s'est donné la mort.
durée : 00:41:15 - Fictions / Théâtre et Cie - Journal 1970-1986 est le journal intime du cinéaste soviétique Andreï Tarkovski. Il couvre sa vie et son travail en Union soviétique et la période de son exil en Europe occidentale.
La pasión en la Polonia de posguerra. Un hombre y una mujer, un intelectual y una campesina, dos corazones que lloran porque no pueden encontrarse. Así canta una cría la pieza tradicional polaca, leitmotiv que va sonando en diversas variaciones a lo largo de la historia. Mediante una brillante sucesión de elipsis, el músico y la cantante cruzan sus vidas en diferentes momentos y lugares a ambos lados del telón de acero. Dos personas dañadas por la destrucción de la contienda reciente, y por su propia guerra interior, sin apenas concesiones, a base de besos, alcohol y desplantes. Se aman y no saben hacerlo, una tendencia fatal marca sus destinos. La plasticidad de un blanco y negro excelente, los aires grises de una época uniforme, de un régimen totalitario que modifica las letras de las canciones tradicionales para nombrar las bondades del maravilloso Stalin. Pawlikowski y su operador Lukasz Zal , con quien repetía tras la magnífica "Ida", consiguen el clasicismo del buen cine, el de Fritz Lang, el de Fellini, el de Billy Wilder. Paseamos por las calles lluviosas de París, navegamos por un Sena misterioso, nos tendemos sobre los pastos verdes junto al Vístula, sentimos el olor estanco de una celda del gulag, y, en un monasterio derruido, con un mural desvaído, ojos de icono contemplan la nostalgia de Tarkovski. Un pianista y una cantante en su ceremonia de renuncia, al otro lado se verá todo mejor. Esta noche esperamos en un garito de París… Chari Medina, David Velázquez. Salvador Limón, Raúl Gallego y Zacarías Cotán
El cierre de este ciclo viene con una narración que se ha constituido también en un clásico del género de la ciencia ficción, una novela llevada dos veces al cine, la primera de esas veces en la Unión Soviética, en 1972: Solaris, de Stanislaw Lem. Si bien existió una versión televisiva, también soviética, realizada en 1968, y un remake estadounidense del año 2002, la Solaris de 1972 –dirigida por el aclamado director ruso Andréi Tarkovski– es la versión más famosa, la que en occidente se transformó en película de culto. Avanzamos camino al final de este ciclo ficticio de la mano del Dr. Álvaro Pandiani en otro atrapante programa de Diálogos a contramano.
La conocí en Formentera, allá por 2020, a ella y a su cómplice de laboratorio. Entonces aún trataba de domesticar un laberinto que recientemente, y tras ocho años de trabajo, se ha transfigurado en un libro maravilloso que me ha tenido atrapado, felizmente atrapado, durante semanas. Hace dos años supe que solo era cuestión de tiempo que nuestros caminos volvieran a cruzarse, y es que esto ni siquiera había empezado. Hoy, en Calle Oscura, Camilla De Maffei. En este episodio hablamos de - Empezar tarde. - Amar la complejidad. - Belleza y dolor. - Identidad, territorio y memoria. - Imágenes-puerta. - Formular preguntas. - Trabajo colaborativo. - Curiosidad. - Derribar barreras personales. - Adentrarse en uno mismo al explorar un lugar. Y, qué poco me sorprende esto, de muchas otras cosas que salieron al paso. Quién nos acompaña Camilla nace en 1981 en Cles, una pequeña localidad italiana al borde del Lago di Santa Giustina, en la provincia de Trento. Su trabajo mezcla lo documental y una narrativa personal que en lugar de ilustrar y describir busca interpretar, atribuyendo nuevos significados a los elementos cercanos. Camilla ha mirado sobre todo hacia los Balcanes, explorando y conectando las nociones de identidad, memoria y paisaje. Lleva más de una década enseñando, está especializada en la tutoría de proyectos a largo plazo y es cofundadora, con Eugeni Gay Marín, de El Observatorio, un espacio que definen como un laboratorio didáctico orientado a la fotografía y la narrativa visual. Su trabajo Delta se alzó con el Premio Mallorca de Fotografía Contemporánea y se ha convertido en una exposición y en un libro con Ediciones Anómalas. Pero Camilla lleva desde 2010 acumulando reconocimientos y colgando sus imágenes en las paredes de los festivales más prestigiosos. Referencias y enlaces Autores y colectivos - Eugeni Gay Marín. - Mario Giacomelli. - Michael Ackerman. Trabajos - Delta, Camilla de Maffei. - El Observatorio Creación. (http://www.elobservatoriocreacion.com/) - Stalker, de Tarkovski. Alex y lo demás Podeis encontrar a Camilla en Instagram (https://www.instagram.com/camilla_demaffei/), pero os aconsejo, como siempre, que os paséis por su web (https://camillademaffei.com/), donde podéis ver sus trabajos con la pausa que merecen. Recordad que el libro Delta está disponible en la página de Ediciones Anómalas (https://www.edicionesanomalas.com/en/producto/delta-3/). Gracias por tu escucha Hasta aquí el trigésimo pimer episodio de Calle Oscura, ojalá hayáis disfrutado de esta charla con Camilla tanto como yo. Si ha sido así no olvidéis dejar 5 estrellas, compartir este capítulo en vuestras redes y recomendarlo a vuestra gente. Algo tan tan sencillo supone, en realidad, una gran diferencia. Antes de la despedida, gracias a Ricoh y a su modelo GR3 (https://www.tiendapentaxeros.com/camaras/compactas/ricoh-gr/) por apoyar la emisión de Calle Oscura. Desde aquí, todo mi agradecimiento por acompañarme, por acompañarnos, desde ese otro lado que se siente muy cercano. Volvemos a escucharnos pronto. Hasta entonces… Nos vemos en la calle! Jota.
Mîlâdî takvime göre, İstanbul'un fethinin 569. yıldönümünü idrak ediyoruz. Fethin ruhunu gerçekten idrak edebilmiş durumda mıyız, merak ediyorum doğrusu. Fetih ruhu'nun bu ülkede bir karşılığı var mı, insanları kanatlandırmaya yarar mı, bilmiyorum. Ama Türkiye'nin özellikle seküler aydınlarının fetihle işgali karıştırdıklarını biliyorum. Fetihle işgali karıştıran müslüman bir toplumun aydınının zihni işgal altındadır, iğdiş edilmiştir, diyorum. Bilim, düşünce, sanat, siyaset ve ahlâkta büyük açılımlar, insanlığın önünü açan çığır açıcı atılımlar nasıl gerçekleştirilir? Fetih ruhuyla... Eşyanın hakikatini keşfetme çabasıyla... Eşyanın hakikatini keşfetme çabasını diri tutan kanatlandırıcı bir ruhla ve bu ruhu canlı kılan büyük rüyalarla... Unutmayalım: İddianız yoksa rüya göremezsiniz. Rüyasını göremediğiniz bir iddiayı hayata geçiremezsiniz. Fetih ruhunu ve rüyasını işlediğim bir yazımı, tozunu alarak paylaşıyorum. ÜÇ TARZ-I FETİH Üç tarz-ı fetih'ten ya da fethin üç boyutundan sözedilebilir: Manevî fetih, fikrî fetih ve maddî fetih. Manevî fetih, kalple gerçekleşir. Fikrî fetih, zihnin eseridir. Maddî fetih, kılıcın meyvesidir. Bir kez daha hatırlatmak istiyorum: Bu ülke Batılı emperyalistler tarafından fiilen işgal edilemedi ama zihnen işgal edildi. Bu ülkenin sözümona aydınları celladına âşık edildi. O yüzden bu ülkenin hâs aydınları, ön açacak, ön alacak çilekeş öncü kuşakları, tarihî derinliğinin ve kültürel zenginliğinin eseri kolektif iradesinin temsilcisi yerli entejijansiyası yok. Öncü kuşakları olmayan toplumlar, bugün yaşıyor olabilirler ama yarın bir ânda yok olmaktan kurtulamazlar. Bir Gazâlî'niz, Alparslan'ınız, İbn Arabî'niz, Fatih Sultan Mehmed'iniz, Sinan'ınız, Itrî'niz, Yunus'unuz, Yavuz'unuz ya da bir Eflatun'unuz, Kant'ınız, Bach'ınız, Rafael'iniz, Bruegel'iniz, Beethoven'iniz, Nietzsche'niz, Dostoyevski'niz, Tarkovski'niz varsa, varolduğu için, varolabildiği için varsınız. ZİHİN, KALP VE RUH FÂTİHLERİ: İLİM, İRFAN VE HİKMET FETİHLERİ... Bu öncüler, fikirleriyle, eserleriyle, şahsiyetleriyle yaşıyorsa, sizi de yaşatabiliyorsa, sizin varolduğunuzdan ve yaşadığınızdan sözedebiliriz. Bunlar, bir toplumun medeniyet ruhunu diri ve canlı tutan, yaşayan ve yaşatan öncü kuşakları değil sadece, kurucu ve konumlandırıcı öncü kuşakları: Yönünü ve yörüngesini belirleyen, ruhunu harekete geçiren, geleceğini şekillendiren yol fenerleri. Her medeniyet, öncü kuşakları vasıtasıyla geçmişten nefes alır, geleceğe nefes verir. Bütün diğer medeniyetlerin öncü kuşakları gibi bizim medeniyetimizin öncü kuşakları da birer fâtihtir; fetih ruhuyla nefes alıp veren, medeniyeti yeşerten ve gölgesinde herkesin serinlediği birer çınar. Maddî fetih, kılıçla gerçekleşir ama önce zihinde ve zihinle şekillenir, sonra kalpte ve kalple olgunlaşır, en sonundaysa ruhta ve ruhla gerçeğe dönüşür. Fetih, işgal değildir; kapıların açılmasıdır. Zihin, gönül ve ruh kapılarının canlanması, hayata kavuşması. Aynı şekilde, maddî fetih de toprakların işgali değildir. Toprağa, hakikatin hayat bahşeden elinin değmesi, toprağı sulayacak ötelerden yankılanan bir sesle diriltici bir nefes vermesidir maddî fetih. Toplumları fatihleri ayakta tutar, fatihleri taze hayat sunar, fatihleri yol açar. Zihin, kalp ve ruh fatihleri: İlim, irfan ve hikmet fetihleri. Fetih ruhunu yitiren, yeni fatihler yetiştiremeyen toplum, dengesini yitirir, işgal edilir zamanla.
407. köögilauas on külas kunstnik, arhitekt Raoul Kurvitz ja kultuurikoraldaja Indek Leht. Kõik me teame Tarkovski legendaarset filmi “Stalker”, mis on filmitud toetudes vendade Strugatskite raamatule “Väljasõit rohelisse”. Enamus võtteid tehti Eestis. Et selle filmi sünnist möödub 45 aastat, on põhjust peatuda teose põhiteemal, milleks on “tsoon”. Tsoon on kui pro-apokalüptiline koht planeedil, mille tekkepõhjused pole teada, ent mis võib seal hulkujad tappa. Tsooni on kui postraumaatiline seisund, piiripealne ala, eikellegimaa, vaakum – olukord jne, aga ka kui metamasin… Kurvitz ja Leht tutvustavad filmi võttepaiku, aga räägime ka paljudest teistest geograafilistest kohtadst Eestis, mis meenutavad “tsooni” filmist või on isegi hullemad. Eriti paistab siin silma Ida-Virumaa, aga ka Tallinna lähedased üsna ulmelised tööstusmaastikud. Ühtlasi uurime järgi, mis juhtuks, kui Eestisse ehitada nn. “tsoonidest” omalaadne kett.
Brividi - KLF, PABLO NERUDA, COCTEAU, TWINS, MAHMOOD, BORGES, DUA LIPA, ALDA MERINI, BLANCO, ANNA OXA, UNDERWORLD, TARKOVSKI, LUDOVICO EINAUDI, ADELE, ..MARIA CALLAS and MORE
Brividi - KLF, PABLO NERUDA, COCTEAU, TWINS, MAHMOOD, BORGES, DUA LIPA, ALDA MERINI, BLANCO, ANNA OXA, UNDERWORLD, TARKOVSKI, LUDOVICO EINAUDI, ADELE, ..MARIA CALLAS and MORE
Vene filmilegend Andrei Tarkovski filmis üle 40 aasta tagasi ühe oma tuntuima töö "Stalker".
Amis terriens, bonjour et bienvenue dans la cinquième saison de De 4 à 7 ! 5 saisons, qui l'eût cru ? (Certainement pas Lustucru) En tout cas, maintenant qu'on peut les compter sur les doigts d'une main, le bisou de chef italien a encore plus de saveur.
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Para One - aka Jean-Baptiste de Laubier - compositeur de musique de films (notamment de ceux de Céline Sciamma), réalisateur (son premier long métrage sort d'ailleurs au cinéma le 20 octobre 2021), mais aussi producteur de musique et DJ.Hanté par la question de la mémoire, du souvenir, de l'oubli, et de comment le cinéma se réapproprie ces problématiques, notre invité n'a eu de cesse de convoquer des films en rapport avec ces thématiques : de la voix off de Sans Soleil (Chris Marker), aux sublimes images du film d'Andreï Tarkovski Le Miroir, tout en passant par l'un des films les plus inconnus de Wim Wenders, Tokyo Ga, forme de déambulation romantique et improbable dans la ville de Tokyo des années 80.En déroulant la fragile bobine de sa mémoire cinéphile, notre invité décrit les films comme de multiples expériences de vie qu'on lierait parfois à notre propre vécu, faisant de nos souvenirs des moments mi réel, mi rêvé. Parmi ces belles expériences, vous trouverez, entre autre, une magnifique description de la scène de danse sous la pluie, au son des tambours, filmée par Naomi Kawase dans son film Shara. Ou encore « la scène du train » du film The Walkover de J.Skolimowski, où le personnage principal saute d'un train lancé à plus de 60km, sans aucun effet spécial - et l'on se demande alors si cette scène a bien été tournée ou si elle n'est que le fruit de notre imagination hallucinée. On en profite pour remercier nos 5 premiers patreons qui nous aident et nous soutiennent financièrement dans notre travail : un grand merci à Paul, Clara, Bernard, Jean-Noel, et Paul ! Votre soutien nous est précieux. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'30 Une voix off : Sans soleil (Chris Marker, 1983) Un père de cinéma : Maurice Pialat dans A nos amours (M. Pialat, 1983) Une machine au cinéma : HAL dans 2001, l'Odyssée de l'espace (S. Kubrick, 1968) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONAGE - 16'46 Une séance ayant mis en transe Para One : Shara (Naomi Kawase, 2003) Le rapport de Para One aux objets de cinéma (DVD, VHS...) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 23'20 Le fonctionnement de la mémoire de spectateur de Para One Le son/musique de film hantant Para One : Mulholland Drive (D. Lynch, 2001) CARTE BLANCHE - 33'16 The Walkover (Jerzy Skolimovski, 1965) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 40'31 Un film à transmettre aux générations futures : Akira (アキラ)(Katsuhiro Ōtomo, 1988) La bande-originale que Para One rêverait de recomposer (ou pas) : Le miroir (A. Tarkovski, 1975) FILM REFUGE - 55'31 Tokyo-Ga (Wim Wenders, 1985)
Če odpremo katerikoli geografski učbenik, se bomo tam poučili, da sicer 75 odstotkov ozemlja Ruske federacije leži vzhodno od Urala, v Aziji, da pa po drugi strani 75 odstotkov ruskega prebivalstva živi zahodno od velikega gorovja, v Evropi torej. S stališča zemljepisa je okrog vprašanja, ali je Rusija evropska država ali ne, potemtakem mogoče zaznati nekaj nejasnosti, dvoumnosti. In kar velja že za geografijo, dvakrat toliko velja za zgodovino. Zdi se namreč, da preteklost ruskega prostora lahko strnjeno predstavimo kot izmenjavanje obdobij, ko se vzhodnoslovanska velikanka gospodarsko, politično in kulturno tesno navezuje na sočasno dogajanje na zahodu stare celine in nanj tudi sama močno vpliva, ter obdobij, ko je, nasprotno, Rusija videti ne le odrezana od Evrope, ampak od nje tudi radikalno drugačna. Čeprav si, z drugimi besedami, evropske umetnosti in znanosti sploh ni mogoče predstavljati brez izjemnih posameznikov, kot sta pisatelja Dostojevski in Tolstoj, skladatelja Čajkovski in Šostakovič, filmska režiserja Eisenstein in Tarkovski ali znanstvenika Mendelejev in Koroljov, pa so rusko javno, politično in versko življenje, ruski običaji, navade in vrednote ravno dovolj drugačni od tistih na zahodu stare celine, da se celo Rusi sami že zadnje poldrugo stoletje sprašujejo, kam sodijo in kdo pravzaprav so: Evropejci, Azijci ali Evrazijci? In kar velja za Ruse, drži tudi za druge Evropejce: tudi mi si namreč ne znamo odgovoriti, ali Rusija v našo stvarnost posega kot ena izmed najpomembnejših evropskih držav – ali pač kot civilizacija sui generis? - Odgovor na to dilemo smo iskali v tokratnih Glasovih svetov, ko smo pred mikrofonom gostili zgodovinarja, rusista in teologa, dr. Simona Malmenvalla, predavatelja na ljubljanski Teološki fakulteti in na Fakulteti za pravo in poslovne vede pri Katoliškem inštitutu. Oddajo je pripravil Goran Dekleva. foto: Makalu/Pixabay
Segunda temporada de Librero Sonoro. Locutores: *Moisés Villaseñor *Leticia Neria Pistas utilizados: 1- Biblioteca compuesta por Ana Leyva Luna y Amaury Pérez Vega. 2- "Juan Sánchez - Blue Nights" está bajo una licencia Creative Commons (CC BY-NC-SA 3.0) Música promocionada por Breaking Copyright: https://bit.ly/bkc-blue-nights Los podcasts son una iniciativa del programa Pasión por la Lectura del Tecnológico de Monterrey y en ellos participan la comunidad académica, exestudiantes e invitados especiales.
Po koncu hladne vojne se je ruska moč na mednarodnem odru precej zmanjšala. Varšavskega pakta ni nikjer več, rdeča armada se je umaknila daleč na vzhod, nekdanje sovjetske republike so se osamosvojile, številne med njimi – od baltskih držav do Ukrajine in Gruzije – pa se skušajo na vsak način izviti iz moskovske interesne sfere. In če je bil še okoli l. 1980 obseg sovjetskega gospodarstva velik za tretjino ameriškega, je ruska ekonomija danes bistveno manjša, saj dosega, če jo ponovno primerjamo z Združenimi državami, le še slabo desetino ameriške. Pa vendar se zdi, da je strahu pred Rusijo na Zahodu veliko, celo iz leta v leto več. Zakaj? – Najbrž je najprej treba reči, da so ruske besede in poteze seveda še vedno podprte z jedrskimi konicami. Moskva v zadnjih petnajstih letih vodi tudi precej samozavestno mednarodno politiko in se ne pomišlja, kadar presodi, da mora varovati svoje ključne strateške interese, niti vojaško intervenirati – pa naj gre za Gruzijo oziroma Južno Osetijo, za vzhodno Ukrajino ali za Sirijo. In četudi pustimo ob strani vprašanje, ali se je Rusija leta 2016 res vmešala v ameriško predvolilno kampanjo, da bi pomagala Donaldu Trumpu, ne moremo spregledati, da je vsaj zahodna Evropa energetsko de facto močno odvisna od svoje orjaške sosede na vzhodu. Kljub sankcijam, ki jih je Evropska unija uvedla proti Ruski federaciji po aneksiji Krima, je namreč leta 2018 27% vse nafte in kar 41% zemeljskega plina v EU prišlo prav iz Rusije. Realna geostrateška razmerja moči torej v pomembni meri botrujejo napetostim v odnosih med Rusijo in Zahodom. In vendar številni poznavalci pravijo, da v tem kontekstu ne smemo spregledati niti nekaterih kulturno-zgodovinskih dejavnikov. Gre namreč za to, da se ne ena ne druga stran ne znata zares odločiti, ali Rusija pripada širokemu evropskemu kulturno-civilizacijskemu krogu – ali pač predstavlja civilizacijo sui generis. Čeprav si evropske umetnosti in znanosti najbrž sploh ni mogoče predstavljati brez izjemnih posameznikov, kot sta pisatelja Dostojevski in Tolstoj, skladatelja Čajkovski in Šostakovič, filmska režiserja Eisenstein in Tarkovski ali znanstvenika Mendelejev in Koroljov, pa so rusko javno, politično in versko življenje, ruski običaji, navade in vrednote ravno dovolj drugačni od tistih na zahodu stare celine, da se celo Rusi sami že zadnje poldrugo stoletje sprašujejo, kam sodijo in kdo pravzaprav so: Evropejci, Azijci ali Evrazijci? In kar velja za Ruse, drži tudi za druge Evropejce: tudi mi si namreč ne znamo odgovoriti, ali sploh razmišljamo v istih kategorijah kakor Rusi – in je torej pravo, vzajemno razumevanje možno – ali pač ne. In prav tej, kulturno-zgodovinski dimenziji, vpisani v odnose med Rusijo in Zahodom, smo se posvetili v tokratni Intelekti, ko smo pred mikrofonom gostili filozofa dr. Tineta Hribarja, zgodovinarja in teologa dr. Simona Malmenvalla, rusista dr. Blaža Podlesnika in novinarja Miho Lamprehta. Oddajo je pripravil Goran Dekleva. foto: Motorolla (Pixabay)
Vă invităm să urmăriți un dialog despre volumul „Luminile și umbrele sufletului“ și audiobookul apărut recent în colecția Humanitas Multimedia care conține capitole din carte, într-o selecție și în lectura lui Gabriel Liiceanu. „Cartea aceasta nu vrea să fie altceva decât o călăuză către adevărul despre noi înşine, pe un drum la fel de greu de desluşit ca acela din Călăuza lui Tarkovski. Dar nu de negăsit. Omul este o fiinţă complicată şi ambiguă, dar nu indescifrabilă. Destul de chinuită şi de vulnerabilă, dar nu damnată. Iar sufletul său este în stare să compenseze urâţeniile şi josniciile naturii sale cu neverosimile biruinţe şi elevaţii...“ — PETRU CREȚIA „Am citit câteva capitole din Luminile și umbrele sufletului pentru că îmi e din ce în ce mai dor de Petru Creţia. Omul acesta, care era capabil să coboare în viaţă cât mai jos, pentru a fi sigur că nu are să-i scape nici unul dintre abisurile ei de abjecţie, se ridica cu o nemaipomenită uşurinţă către tot ce era mai pur. Ai fi zis că, pentru a ajunge-n vârf, avea nevoie să bată pe treapta cea mai de jos a căderii. „Jos“- ul îl catapulta. De aceea, tot ce era înalt în el era excesiv. Scria sublim dintr-o urgenţă a compensării. Părea că experimentase toate viciile, pentru a putea vorbi cu competenţă despre virtute. Putea simţi orice şi putea gândi orice. Ştia tot, citise tot.“ — GABRIEL LIICEANU Cartea și audiobookul sunt disponibile în librării, online și pe #Libhumanitas https://www.libhumanitas.ro/luminile-si-umbrele-sufletului-reeditare-petru-cretia-humanitas-2020.html Audiobook https://www.libhumanitas.ro/luminile-si-umbrele-sufletului-audiobook.html Audiobook în format digital https://www.libhumanitas.ro/luminile-si-umbrele-sufletului-audiobook.html
Kutlukhan Kutlu ile Hayal Mahmuru'nda her hafta güncel konulara, sinema tarihine ve sektöre dair konuşuyoruz.
Vingt ans après son décès, le cinéaste Stanley Kubrick continue de fasciner. De ses premiers films à son ultime Eyes Wide Shut, en passant par l'iconique 2001 : l'odyssée de l'espace, le troublant Orange mécanique ou le classique de l'horreur The Shining, le réalisateur s'est imposé comme une figure de premier plan du grand écran, aux côtés des Bergman, Tarkovski et Antonioni de ce monde. L'auteur et critique de cinéma André Caron est venu nous parler de sa passion pour ce personnage hors-norme. Première diffusion le 11 mars 2019 sur les ondes de CHYZ 94,3 (Université Laval)
Obra de rádio arte em que se relaciona fatores diversos para criar uma fusão entre as linguagens artísticas brasileira e russa. Tem em destaque o uso de um poema de Maiakovski e o áudio de filmes de Tarkovski. Roteiro, poemas, edição, voz e violão: Franco Gonçalves Carneiro Orientação: Elton Bruno Pinheiro Disciplina: Introdução à Linguagem Sonora
Episódio 4: Peter Pan não segue Jesus Cristo. Depois de um jingle improvisado, tivemos um episódio em que o Vasco faz uma equipa de futsal com 5 filhos. Discordámos em negatividade, concordámos com Nietzsche e Tarkovski, Nemo ficou em banho-maria e, para acabar, teorias da conspiração... sobre a Disney. --- Send in a voice message: https://anchor.fm/vascofazbarulho-mrdazzle/message
Nihilizm, Nitsşe, Kefli İskəndər, Turgenev, Atalar və Oğullar, Molla Vəli Vidadi, Tarkovski, Stalker, Matrix, Kintsugi.
Hoje é dia de se perder no Brilho, discutir teoria com o amiguinho, citar Tarkovski e não chegar a conclusão concreta no final. Hoje é dia de “Aniquilação” no RdMCast! SEJA UM APOIADOR * Apoie o RdM a produzir mais conteúdo e ganhe recompensas exclusivas! * Acesse: https://apoia.se/rdm * Conheça a Sala dos Apoiadores: http://republicadomedo.com.br/sala-dos-apoiadores/ CITADOS NO PROGRAMA * Crítica Aniquilação: https://bit.ly/2GjGU67 Tem algo para nos contar? Envie um e-mail! contato@republicadomedo.com.br Twitter: @rdmcast Learn more about your ad choices. Visit podcastchoices.com/adchoices
Lestin leggur af stað á miklum hraða laust eftir klukkan fimm. Atli Bollason heldur áfram að fjalla um ,,kúlið" og við sögu í hraðlestinni í dag koma kvikmyndaleikstjórinn Baldvin Z, Svarti pardusinn, valentínusardagurinn, franski heimspekingurinn Michel Foucault, rússneski kvikmyndaleikstjórinn Andrej Tarkovski, Guðrún Gísladóttir og fleiri. Umsjón: Anna Gyða Sigurgísladóttir og Eiríkur Guðmundsson
Para la ocasión os traemos un director, uno de esos grandes maestros que establecieron los cimientos del cine y que han sido imitados, homenajeados y son constante fuente de influencia para el cine moderno, Andrei Tarkovski. Por su parte, en la sección “Giaccomic” mi buen amigo Giacco (de “Hello Friki”) nos trae todas las novedades de la semana y el análisis en profundidad del comic "El Atentado" de Dauvillier y Chapron) con Giacco. En la sección "El verso libre", siguiendo con la línea habitual de canciones con mensaje, os traemos el precioso poema "Nanas de la cebolla" de Miguel Hernández puesto en la voz de Joan Manuel Serrat. Esta semana en la sección “A golpes de realidad” por cuestión de tiempo y por que se dieron una serie de circunstancias que nos limitaron mucho, la sección la hago yo solo. Vamos a tratar de hacerla siempre juntos, lo de esta semana es una excepción. Finalmente en la sección “¿Qué fue de?” viajamos en el tiempo y nos encontramos con el Ejército Rojo y su cuerpo de élite de Francotiradores, compuesto por 1.600 hombres y mujeres, entre la cuales estaba Lyudmila Pavlichenko. Presentación, dirección, edición y montaje: Asier Menéndez Marín Colaborador: Giacco Diseño logo Podcast: Origami Tales (Anais Medina) Diseño logo Canal: Patrick Grau Si queréis formar parte del foro oficial de Facebook (secreto, solo con invitación) entrar en http://www.facebook.com/tobiasenmuth, nos podéis seguir en Twitter @Tobiasenmuth y si queréis estar al día de todo lo que sucede en el mundo del cine, visitar el blog http://tobiasenmuth.blog.com.es/ Nos hemos unido al #PodcastActionDay de @OxfamIntermon en apoyo a #derechoarefugio Entra y ayuda con tu firma http://bit.ly/PAD4REF2 Canal de nuestra musa, la youtuber Miare's Project: https://www.youtube.com/user/AchlysProject Escucha el episodio completo en la app de iVoox, o descubre todo el catálogo de iVoox Originals
En 2016 varias películas emblemáticas celebran 50 años de haberse estrenado. Desde Bergman y el espaguetti western hasta Tarkovski y Virginia Woolf. Erick Estrada y Sergio Huidobro hablan de ellas en este episodio. Learn more about your ad choices. Visit megaphone.fm/adchoices