La cinéphilie c’est fini ? Phane Montet et Clément Coucoureux, travaillant avec le cinéma au quotidien (réalisation, programmation), proposent des portraits de cinéastes, vidéastes, critiques, techniciens, programmateurs, exploitants…par le biais des films qu’ils aiment (ou non). Ensemble, ils discu…
La tempête cannoise est à peu près passée, les beaux jours sont à peu près là. Nous profitons donc de cette accalmie pour vous proposer un heure en compagnie de la reine Bonnie Banane ! Chanteuse cinéphile apparue plusieurs fois devant la caméra (chez Bonello et Mandico pour des films, chez Mati Diop ou William Laboury pour des clips), musicienne nourrie par le cinéma, elle nous parle de sa passion pour Prince devant la caméra (Purple Rain) ou dans la BO d'un Spike Lee oublié (Girl 6) mais également de sa voix de cinéma préférée, celle de Jean Negroni dans La Jetée (Chris Marker). Femme de scène, elle nous parle de son costume de cinéma préféré mais également de son besoin de rester spectatrice, puis revient sur ce qu'elle fait du regard des metteurs en scène masculins aujourd'hui. En point d'orgue, elle convoque Anouk Grinberg. Puis elle nous remmène dans la salle de cinéma, refuge ultime en toutes circonstances. Évidemment, au détour de la conversation, Bonnie nous a cité une poignée d'autres pépites. Mais pour les découvrir, il faut écouter ! Nous remercions notre invitée Bonnie Banane ainsi qu'Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire.Nous remercions enfin Hugo Cohen qui par son mix, nous a permis de rendre les pistes à nouveau audibles ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'24 Un costume de cinéma : La bête dans La belle et la bête (J. Cocteau, 1946) Des prostituées au cinéma : le personnage d'Anouk Grinberg dans Mon Homme (B. Blier, 1996) et Girl 6 (S. Lee, 1996) Une voix au cinéma : la voix de Jean Négroni dans La Jetée (Chris Marker, 1962) LE CINEMA DANS TOUS SES ETATS - 21'59 Des films pour se détourner de la tristesse et de l'angoisse mondiales : Woman on top (Fina Torres, 2000) et Matilda (Danny DeVito, 1997) Un film dans lequel Bonnie aimerait évoluer avec autant de fluidité que dans un jeu : La petite sirène (R. Clements, J. Musker, 1990) CARTE BLANCHE - 33'23Sombre (P. Grandrieux, 1998) CINEMA & TRANSMISSION - 40'18 Un film sexy à transmettre aux jeunes générations : Purple Rain (A. Magnoli, 1985) pour ce que dégage Prince à l'écran - 40'18 Un film à envoyer sur une autre planète : Koyaanisqatsi (G. Reggio, 1983) - 45'41 REFUGE - 49'17 Birth (J. Glazer, 2004) La salle de cinéma EXRTAITS La Jetée, Chris Marker, 1962, Argos Films Just the Two of Us – Interprétée par Bill Withers et Grover Washington Jr.Écrite par Bill Withers, Ralph MacDonald et William Salter℗ 1981 Elektra Records / Warner Music Group Purple Rain – Interprétée par Prince and the RevolutionÉcrite et composée par Prince℗ 1984 Warner Bros. RecordsTous droits réservés aux ayants droit Prologue (Birth) · Alexandre DesplatBirth (Original Score)℗ 2004 Warner Bros. Entertainment Inc. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierCollaboration au mixage : Hugo CohenGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour accompagner le vrai retour du printemps mais aussi pour célébrer sa carte blanche à la Cinémathèque Française dans le cadre du programme “Parlons cinéma”, nous avons eu le bonheur de mener une discussion tambour dansant avec Patric Chiha.Cinéaste dont la cinéphilie est née dans les vieilles salles de cinéma de la capitale Autrichienne, il se remémore quelques découvertes adolescentes fondamentales (Paris is Burning, les films de Derek Jarman) et égraine avec nous ses obsessions de spectateurs et de cinéastes (ce qui est la même chose) : la fête, les costumes, l'attente, l'hybridation entre documentaire et fiction…Alors enfilez vos plus beaux costumes et laissez vous guider de la Sicile de Rossellini (Voyage en Italie) jusqu'aux confins de la Russie (D'est) avant de rentrer à la maison (Simone Barbès ou la vertu) Nous remercions notre invité Patric Chiha ainsi que Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'49 Un corps au cinéma : celui d'Ingrid Bergman dans Voyage en Italie (R. Rossellini, 1954) - 4'49 Des costumes au cinéma : les tenues dans Paris is Burning (J. Livingston, 1990) - 7'24 Un décor ou une lumière au cinéma : Edward II et Blue (Derek Jarman) - 12'44 II. LE CINEMA DANS TOUS SES ETATS - 18'51 Une film à voir la nuit : Sleep (Andy Warhol, 1963) Un film de transe : Passage à l'acte (Martin Arnold, 1993) Un film pour apprendre à attendre - Où est la maison de mon ami (A. Kiarostami, 1987) - 26'44 Un film pour rentrer à la maison - Simone Barbès ou la vertu (M-C Treilhou, 1980) - 30'26 CARTE BLANCHE - 35'36D'Est (Chantal Akerman, 1993) CINEMA & TRANSMISSION - 42'57 Un film pour penser l'amour et la solitude : France (B. Dumont, 2021) Un film pour penser l'hybridation documentaire-fiction : Tous les autres s'appellent Ali (R.W Fassbinder, 1974) - 48'09 REFUGELe rayon vert (E. Rohmer, 1986)Pink Flamingos (J. Waters, 1972) EXTRAITS Extrait de "Deep in Vogue (12'' Video Version)" interprété par Malcolm McLaren & The Bootzilla Orchestra, © 1989 Epic Records, tous droits réservés. Extrait audio tiré de "D'est" (1993), un film de Chantal Akerman. © Chantal Akerman Foundation. Tous droits réservés. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Comme tout le monde, la mort de Lynch en ce sordide mois de janvier, alors que brûlait Los Angeles, nous a bouleversés.Mais après avoir re-revu Twin Peaks, après avoir lu plusieurs fois d'affilée l'hommage de Kyle Maclachlan à son ami, après avoir partagé comme tout le monde pléthore d'articles et d'images, et après avoir jalousé une dernière fois les cheveux du bonhomme, nous nous somme dits que nous aussi on pouvait faire quelque chose.En plus de cinq ans, pas mal d'invité•es os sont venus nous raconter leur Lynch (on a tous un Lynch intime et des raisons différentes de l'aimer). On a donc décidé d'entrelacer ces témoignages pour dresser le portrait de cet invité rêvé. Nous remercions nos invités Caroline Champetier, Bertrand Bonello, Helio Pu, Matthieu Macheret, Para One, Pacôme Thiellement, Elodie Imbeau et Rodolphe Cobetto Caravannes pour leurs hommages habités ! L'épisode est dispo au lien en bio et sur toutes les plateformes. Et n'oubliez pas, everyday once a day, give yourself a present ☕️ Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt Extraits Twin Peaks : The red room ambiance - Twin Peaks Sounds - YouTube Angelo Badalamenti explains how he wrote Laura Palmer's Theme - YouTube Twin Peaks © 1990 Lynch/Frost Productions, distribuée par CBS Television Distribution. Tous droits réservés. Twin Peaks: The Return © 2017 Showtime Networks Inc., Lynch/Frost Productions et Rancho Rosa Partnership. Tous droits réservés. Lynch, D. (Réalisateur). (2006). Inland Empire [Film]. Absurda, StudioCanal. Sinnerman © 1965 Philips Records. Interprété par Nina Simone. Tous droits réservés aux ayants droit. I've Told Every Little Star © 1961 Canadian-American Records. Linda Scott Tous droits réservés aux ayants droit.
Pour accompagner le passage à l'heure d'hiver mais aussi pour célébrer sa carte blanche à la Cinémathèque Française, nous avons eu la joie d'accueillir Nine Antico. Elle fait des BD parfois inspirées par le cinéma, elle illustre parfois pour le cinéma (tout le coffret Rohmer de Potemkine c'est elle), et parfois elle fait des films aussi, tout simplement, comme le très rock Playlist avec Sarah Forestier, Laetitia Dosch et une très belle…playlist !Ensemble nous avons parlé de ses premiers émois cinéphiles à chercher du côté de chez Kazan (Un tramway nommé désir, La fièvre dans le sang), des films de son père (des comédies italiennes comme Le Fanfaron) et de quelques films generationnels délicieusement 90s : Buffalo 66 et le très chouette Génération 90 réalisé par Ben Stiller.Elle nous a raconté comment elle avait concocté sa programmation pour la cinémathèque.Ah et on a aussi parlé musique au cinéma ! Nous remercions notre invitée Nine Antico ainsi que Melanie Haoun et Xavier Jamet de la Cinémathèque mais aussi Elodie Imbeau et Pierre Senechal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'06 Un duo au cinéma ? - Thelma & Louise (Ridley Scott, 1991) - 3'06 Une voiture au cinéma ? - La Lancia Aurelia B24 du Fanfaron (Dino Risi, 1962) - 6'36 Un hors-champ/quelque chose de caché au cinéma ? - La sœur, toujours enfermée dans la salle de bain, dans La main de dieu (P. Sorrentino, 2021) - 9'35 II. LE CINÉMA DANS TOUS SES ETATS - 11'38 Nine Antico sur sa carte blanche pour la Cinémathèque Française - 11'38 Des BO galvanisantes : la musique des films de Scorsese - 19'52 Une BD à adapter au cinéma : Love and Rockets (Los bros Hernandez) - 23'33 Le souvenir d'une scène de sexe gênante, drôle mais touchante : Greenberg (N. Baumbach, 2010) - 32'20 CARTE BLANCHE - 36'05La fièvre dans le sang (E. Kazan, 1961) III. CINEMA & TRANSMISSION - 44'34 Le rapport de Nine Antico aux objets de cinéma : VHS, photo, DVD… - 44'34 Les photos découpées des VHS dans la chambre d'ados de Nine Antico - 47'34 REFUGE - 48'37 Génération 90 (Ben Stiller, 1994) BONUS - 55'38La petite maison dans la prairie (1974-1983) EXTRAITS FILMS La fièvre dans le sang - Elia Kazan - Warner Bros Le Fanfaron - Dino Risi - Solaris Distribution Génération 90 - Ben Stiller EXTRAITS MUSICAUX Stayin alive - Bee Gees - RSO Records, actuellement sous licence Universal Music Group Don't let me be misunderstood - Santa Esmeralda - Columbia My Sharona - The Knack - Capitol Records CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour clôturer cette belle saison de podcasts, nous vous proposons quelqu'un qui était présent pour nos 5 ans, sur l'écran et sur la scène du Grand Action : le cinéaste, monteur, affichiste…William Laboury.Dans ses propres films ou pour d'autres, à travers les génériques, les bandes annonces ou les affiches qu'il crée, notre invité aime jouer avec les matières analogiques ou numériques, le grain et le pixel, allant jusqu'à puiser dans cette grande mémoire mondiale qu'est internet.Avide d'expériences plastiques fortes, notre invité a également le goût des idées et des concepts. Ainsi, il nous emmène dans la matrice des sœurs Wachowski, découverte à l'adolescence et aux quatre coins du monde avec le presque jeune Sir Attenborough proposant déjà dans les années 70 de sidérants documentaires scientifiques. Il raconte son goût pour les effets spéciaux liquides comme ceux de James Cameron et rend hommage au Chris Marker joueur de Level Five. Pour l'été, plongez dans le cinéphilie fluide de William Laboury. Allez au cinéma, puis sortez la tête de vos écrans pour regarder la nature (c'est lui qui le dit aussi) ! Bonne écoute, bel été ! Nous remercions notre invité William Laboury ainsi qu'Élodie Imbeau et Pierre Sénéchal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'51 - 19'19 Un frère/une soeur au cinéma : Soy Libre (Laure Portier, 2021) - 3'51 Une couleur : le vert de Matrix (Lana & Lilly Wachowski, 1999) - 8'25 Une entité virtuelle : le pseudopod dans The Abyss (James Cameron, 1989) - 15'53 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 19'19 - 39'09 Un film dont le souvenir s'effrite : Kairo (K. Kurosawa, 2001) - 19'19 Un film qui a nourri le goût de William Laboury pour “les images internet” : Level Five (Chris Marker, 1997) - 25'02 Le rapport de William Laboury à la matière et à la texture des images (numérique, analogique…) - 30'48 CARTE BLANCHE - 39'04Room (Lenny Abrahamson, 2015) CINEMA & TRANSMISSION - 46'47 Un film à envoyer dans l'espace : Life on earth, S01 ep 13 (Sir David Attenborough, 1979) REFUGE - 55'44The Mask (Chuck Russell, 1994) EXTRAITS FILMSThe Matrix Reloaded trailer - Lana & Lilly Wachowski - Warner BrosLevel Five - Chris Marker - Tamasa DistributionLife On Earth, S01 ep 13 : The Compulsive Communicators - David Attenborough, BBCThe Mask - Chuck Russell - Pathé Distribution EXTRAITS MUSICAUXThis will destroy you - The mighty Rio Grande - ℗ 2008 Dark Operative Publishing CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
En ce début d'été ombrageux, nous vous proposons de faire une pause au gré de la cinéphilie d'Hélène Frappat.Écrivaine-enquêtrice, notre invitée jongle avec la fiction et la philosophie - et le cinéma est l'une des matières premières de son travail. On lui doit récemment l'essai Le gaslighting ou l'art de faire taire les femmes à partir d'un film de Cukor et Trois femmes disparaissent, belle enquête élégiaque autour de la lignée d'actrices Tippi Hedren-Melanie Griffith-Dakota Johnson. Mieux qu'une simple interview, nous vous proposons de remonter le temps au gré des réponses de notre invitée. Car pour elle, tous les films sont liés et, entrelacés ensemble, ils forment le tissu de sa mémoire, allant jusqu'à faire remonter des souvenirs bien enfouis, à l'instar de l'horloge à l'envers de Twixt (F. Coppola)N'ayez crainte et laissez-vous porter par notre invitée, du soleil Sicilien du Parrain à la pluie du film noir Follow me quietly (R. Fleischer). Vous y croiserez aussi la poésie de Tarkovski et la pugnacité d'Erin Brockovich (S. Soderbergh). Et qui sait, vous vous souviendrez peut-être de quelque chose en cours d'écoute ? Nous remercions notre invitée Hélène Frappat ainsi qu'Elodie Imbeau et Pierre Sénechal sans qui cet entretien n'aurait pu se faire. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I.PORTRAIT 3'29 Une mère au cinéma : Erin Brockovich (S.Soderbergh, 2000) Une langue au cinéma : le russe que parle l'actrice blonde au début du Miroir (A. Tarkovski, 1975) - 5'54 Une détective au cinéma : la jeune journaliste dans Follow Me Quietly (R. Fleischer, 1949) - 12'14 II. CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 18'22 Des films qu'Hélène Frappat a voulu fuir : ceux de Lars Von Trier - 18'22 Un film comme une séance d'hypnose : Le Parrain (F. Coppola, 1972) - 23'5 Un film qui a levé l'amnésie d'enfance d'Hélène Frappat : Twixt (F. Coppola, 2011) - 31'24 Un texte critique qui a changé la cinéphilie d'Hélène Frappat : ceux de Serge Daney sur l'enfance et Les Contrebandiers de Moonfleet - 40'23 III. CINEMA & TRANSMISSION - 48'38Le cinéma comme “affaire de point de vue” (male/female/queer gaze…) : Showgirls (P. Verhoeven, 1995) REFUGES - 54'07Tout film aimé par Hélène Frappat dès le générique EXTRAITS FILMSLe miroir - A. Tarkovski - 1975 - Potemkine FilmsCéline et Julie vont en bateau - J. Rivette - 1974 - Potemkine Films EXTRAITS MUSICAUXRichard Wagner - Tristan und Isolde, Prélude - Cond : W. Furtwangler - ℗ A Warner Classics release, ℗ 1953 Parlophone Records Limited. Remastered 2021 Parlophone Records LimitedNino Rota, Gofather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Paul et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Alors que les beaux jours revenaient, au début du mois d'avril, notre émission fêtait ses 5 ans. Au même moment, Messina Film structure produisant et diffusant des courts métrages nous invitait à programmer des films au Grand Action dans sa programmation Merci le court. L'occasion était trop belle ! Nous avons alors choisi 3 films liés à notre émission :It was on earth that I knew joy, réalisé par Jean-Baptiste de Laugier aka Para One et produit par sixpack France.Hotaru réalisé par William Laboury et produit par La Fémis.Every Heaven in between réalisé par Helio Pu et produit par La Fémis. Puis nous avons invité leurs auteurs à en parler sur scène. Ensemble nous avons parlé de mémoires, de format de cinéma, de vapor wave, et de bien d'autres choses encore… Cet épisode est le souvenir de ce beau moment ✨ Un grand merci à Adrio Guarino de Messina Films pour l'organisation de la séance et au cinéma le Grand Action pour l'accueil. Pour l'occasion, vous pouvez retrouver gratuitement les 3 films aux liens ci-dessous : It was on earth that I knew joy Hotaru Every Heaven in Between Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt EXTRAITS FILMS It was on earth that I knew joy - JB de Laubier - 2009 - Sixpack France Hotaru - W. Laboury - 2015 - La Fémis Every heaven in between - Helio Pu - 2022 - La Fémis CRÉDITSPatreons : un grand merci à Mahaut, Inès, Paul, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierIllustration : Phoebe Eddleston (Bureau for everyday exploration)Graphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouveau format, nous sortons de notre petit studio sous terre pour nous enfermer dans les salles obscures ! Puis en sortant de la salle, nous en discutons au grand jour, en pleine rue, dans un parc ou un café… Pour apporter un peu de recul critique nous mêlons nos subjectivités à une petite revue de presse sur le film. Pour ce premier épisode nous nous sommes laissés aguichés par l'aura “chic et cool” entourant The Sweet East et le bouche à oreille favorable dont jouit le film de Sean Price Williams depuis Cannes 2023.Avec néanmoins quelques questions en tête : est-ce le film indépendant américain que nous n'attendions plus ? Est-ce un film de poseur ? Ayo Ederibi est-elle notre nouveau crush ? Le film est encore un peu à l'affiche ! Bon ciné, bonne écoute ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt Extraits Sean Price Williams, réalisateur de «The Sweet East», et Talia Ryder : «On adore la nature expérimentale des Etats-Unis», Libération, Olivier Lamm, Mars 24 Qui est Talia Ryder, jeune actrice qui porte le film « The Sweet East » ?, Elle, Anouk Sarfati, Mars 24 “The Sweet East”, ou l'art de manier l'humour, Jacky Goldberg, Les Inrockuptibles, Mai 23 Trailer The Sweet East, Potemkine Film CRÉDITSCréation; Animation; production; montage; mixage : Phane Montet & Clément CoucoureuxAvec les voix de : Phoebe Eddleston et Paul RobeinMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoPatreons : un grand merci à Paul, Bernard, Clara, Inès et Mahaut pour leur soutien !
Pour finir l'hiver et nous préparer au printemps, Gabrielle Stemmer nous fait l'honneur d'être notre invitée. Elle monte des films (Coma de B. Bonello, Tout le monde aime Jeanne de Céline Devaux), des clips (ceux de Flavien Berger notamment) et des séries (Split d'Iris Brey). Elle met aussi sa science du montage au service de ses propres films (Clean with me after dark, Femmes sous algorithmes), réalisés à partir d'image des autres, souvent glanées sur internet. Attentive aux images les plus contemporaines, elle nous parle de son goût pour l'hybridation (Reality de T. Satter) et les films la confrontant au malaise (Eût-elle été criminelle de J-G. Périot). Artiste interrogeant le quotidien et le domestique, elle nous parle de l'empreinte durable laissée par le Jeanne Dielman de Chantal Akerman. Puis elle nous emmène dans ses films refuges, ceux dans lesquelles elle se sent à la maison, qu'il s'agisse des classiques hollywoodien des années 40-50 ou de l'entêtant On connaît la chanson d'Alain Resnais. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt PORTRAIT - 3'08 Un geste de cinéma ? La coupe ! - 3'11 Une chambre au cinéma ? La room 237 de Shining (S. Kubrick, 1980) - 6'31 Une scène de danse au cinéma ? Le spectacle de marionnettes de La Double vie de Véronique (K. Kieslowski, 1991) - 10'12 CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17'56 Le rapport de Gabrielle Stemmer aux différents régimes d'images (internet…) et Reality (T. Satter, 2023) - 17'56 Un film vécu à la première personne par Gabrielle Stemmer : Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (C. Akerman, 1975) - 24'09 Un film pour réfléchir au malaise (cringe) : Eût-elle été criminelle (J-G. Périot, 2006) - 30'07 Une série pour rester eveillé·e la nuit : Grey's Anatomy (S. Rimes, 2005) - 35'29 Un (auto)portrait de femmes au cinéma : Notre corps (C. Simon, 2023) - 39'20 CARTE BLANCHE - 43'52La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) REFUGES - 52'13Les classiques hollywoodiens des 40s-50s BONUS : FILM-MAISON - 55'06On connaît la chanson (A. Resnais, 1997) EXTRAITS FILMSThe Shining - S. Kubrick - 1980 - Warner Bros TransatlanticEût-elle été criminelle - J-G Périot - 2006 - Envie de tempête productionLa nuit du chasseur - C. Laughton - 1955 - Carlotta Films EXTRAITS MUSICAUXZbigniew Preisner - Les Marionnettes (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productionsZbigniew Preisner - Van den Budenmayer Concerto in mi mineur (SBI 152) Version de 1798 (from La double vie de Véronique OST) - Preisner productionsPsapp - Cosy in the rocket (Grey's anatomy OST) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Bernard, Clara et Inès pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer notre année de podcasts en beauté, c'est Bertrand Bonello qui ouvre le bal. Alors que sa “Bête” a été lâchée dans les salles il y a quelques semaines, nous nous associons à la Cinémathèque française qui consacre une rétrospective totale au cinéaste du 28 février au 8 mars prochain.Bertrand Bonello fait des films, courts et longs, depuis plus d'une vingtaine d'années. Des films nocturnes, des films peuplés de fêtes mélancoliques et de beaux solitaires.Cinéaste autodidacte, il revisite les classiques qui l'ont nourri, de la Dolce Vita à Vertigo en passant par l'œuvre à laquelle il vient sans cesse se ressourcer et qu'il aime sans réserves : La trilogie du Parrain. Soucieux de la jeunesse, il raconte également l'importance de montrer ces films à la génération de sa fille.Précis lorsqu'il s'agit de partager les films qu'il aime, il nous a raconté bien d'autres choses, que vous pourrez découvrir dans notre nouvel épisode ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt 1. PORTRAIT - 3'56 Une fête au cinéma : La dolce Vita (F. Fellini, 1960) - 3'56 Une lettre au cinéma : La maman et la putain (J. Eustache, 1973) - 8'05 Une bête/un monstre au cinéma : Twin Peaks fire Walk with me (D. Lynch, 1992) - 13'29 2. CONDITIONS DE VISIONAGE, MÉMOIRE & SOMMEIL - 17'35 Le rapport de Bertrand Bonello à la musique de films - 17'35 Le rapport de Bertrand Bonello à la nuit (comme cinéaste et spectateur) - 27'12 Le rapport de Bertrand Bonello au format court - 29'15 CARTE BLANCHE - 36'42La fin du Parrain 1 (F. Coppola, 1972) 3. CINEMA & TRANSMISSION - 41'20Transmettre des “classiques” aux générations futures - 41'20 REFUGE - 46'46La trilogie Le Parrain (F. Coppola, 1972-1990) EXTRAITS MUSICAUXNino Rota, La Dolce Vita, 1960 - C A M CREAZIONI ARTISTICHE M LI S R L, NORD SUD EDIZIONI MUSICALIAngelo Badalamenti, Laura Palmer's Theme (from Twin Peaks) - 1990 Warner Records Inc.Nino Rota, Godfather Waltz (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE)Nino Rota, Godfather Finale (from The Godfather) - SONY ATV HARMONY, SONY MUSIC PUBLISHING (FRANCE) EXTRAITS FILMS/VIDÉOSAngelo Badalamenti explains how he wrote Laura Palmer's theme, Youtube CRÉDITSMerci à Elodie Imbeau, Pierre Sénécal, Xavier Jamet et Mélanie Haoun d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour finir l'année en beauté, nous vous proposons l'une des plus belles moustaches intermittentes du cinéma français de ces dernières années : Christophe Paou !Il est comédien sur les planches et pour les caméras. Il est connu pour son rôle sulfureux dans L'inconnu du lac d'Alain Guiraudie, et ces vingt dernières années, il a aussi joué pour quelques autres grands aventureux du cinéma français, des Frères Larrieu à Jean-Christophe Meurisse en passant par Lucie Borleteau.A cette occasion, Christophe Paou spectateur éclectique et enthousiaste nous a parlé de quelques comédiens qu'il admire, du moustachu Michel Serrault à Peter Sellers, en passant par le premier “monstre” du cinéma muet, Lon Chaney, acteur fétiche du cinéaste Todd Browning. Engagé, il a convoqué quelques films pour « rester vertical » (Eau Argentée, Rue Case-nègres) et quelques remèdes dans ce monde de brutes, de l'amour torride de « L'eau tiède sous un pont rouge » à l'humour burlesque de The Party. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'29 Une moustache de cinéma : celle intermittente de Michel Serrault - 3'29 Des amours au cinéma : De l'eau tiède sous un pont rouge (Shōhei Imamura, 2001); Elephant Man (D. Lynch, 1980) - 6'37 Des paysages au cinéma : la jungle de Tropical Malady (A. Weerasethakul, 2004); l'Arctique d'Atanarjuat (Zacharias Kunuk, 2001); la ville futuriste de Blade Runner (R. Scott, 1982) - 10'29 CONDITIONS DE VISIONNAGE, MEMOIRE ET SOMMEIL - 15'42 Le plaisir d'être déstabilisé au cinéma selon Christophe Paou : Tamala 2010 (T.O.L, kuno, K., 2002) ; Big Man Japan (Hitoshi Matsumoto, 2007) - 15'59 Souvenirs télévisuels de Christophe Paou : Les mystères de l'Ouest; Les enfants du rock - 20'58 Comment l'esprit de certains comédiens accompagne Christophe : Alberto Sordi dans Une vie difficile (Dino Risi, 1961) - 24'53 Des films à voir en bord de lac : The Host (Bong Joon-ho, 2005); Comme un avion (Bruno Podalydès, 2015) CARTE BLANCHE - 32'27L'inconnu (Todd Browning, 1927) TRANSMISSION - 38'05Des films pour rester vertical : Eau argentée (Wiam Simav Bedirxan, Oussama Mohammad, 2014); Rue Cases-Nègres (Euzhan Palcy, 1983) - 38'05 REFUGES - 49'04The Party (Blake Edwards, 1968); Koyaanisqatsi (Godfrey Reggio, 1982) EXTRAITS Rachel's song, Vangelis (Blade Runner (Music From The Original Soundtrack) ℗ 1994 Warner Music UK Ltd The Wild Wild West TV Intro Une vie difficile (Dino Risi) - Les Acacias Eau Argentée (Wiam Simav Bedirxan, Oussama, Mohammad, 2014) - Meteore Film Nothing To Lose (The Party/Soundtrack Version) · Claudine Longet, Henry Mancini - ℗ 1968 A&M Records Koyaanisqatsi · Philip Glass - ℗ 1983 The Island Def Jam Music Group CRÉDITSMerci à Elodie Imbeau d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour commencer cette nouvelle saison, nous accueillons Caroline Champetier, directrice de la photographie connue et reconnue sur les plateaux de tournages (elle a collaboré avec Chantal Akerman, Jean-Luc Godard, Leos Carax, ou encore aujourd'hui avec Wang Bing…) mais aussi dans les laboratoires de restauration de film. C'est notamment grâce à son oeil expert que nous pouvons enfin redécouvrir L'Amour Fou de Jacques Rivette, évènement patrimoine de cette rentrée cinéma rendu possible par les historiques Films du Losange. A cette occasion, Caroline Champetier nous a parlé de technique, certes, mais aussi de lumière, de regard et de la façon dont son plaisir de spectatrice infuse dans son travail. Avec nous, elle évoque entre autres l'oeil acéré de Jane Campion, les noirs de David Lynch, la lumière du directeur de la photographie Vilmos Szigmond et bien sûr, le cinéma de Jacques Rivette. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT 6'55 Un regard au cinéma : celui de Jane Campion - 6'55 Une ombre ou un noir au cinéma : les noirs de David Lynch - 11'15 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 18'04Le souvenir d'une séance spéciale de Stromboli (R. Rossellini, 1950)L'importance de la météo dans le cinéma de Šarūnas Bartas et particulièrement dans Few of us (1996) - 23'21 III. MEMOIRE & SOMMEIL 27'51 Une révélation qui hante Caroline Champetier : la lumière de Vilmos Szigmond dans Le Privé (R. Altman, 1973) - 27'51 Un film qui a tenu Caroline Champetier éveillée “toute une nuit” : Ludwig ou le crépuscule des Dieux (L Visconti, 1973) - 35'46 IV. CINEMA & TRANSMISSION 39'18La restauration de L'amour fou (J. Rivette, 1967) REFUGE 54'29La porte du Paradis (M. Cimino, 1980) EXTRAITSStromboli (R. Rossellini, 1950), Société parisienne de production / Bac Film DistributionThe Long Goodbye (John Williams, 1973)L'amour Fou (J. Rivette, 1967), Les Films du Losange CRÉDITSMerci à Audrey Grimaud (Agence Valeur Absolue) d'avoir rendu cet épisode possible.Patreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans cette pastille exclusive, notre invité, le compositeur Pierre Oberkampf, revient sur la façon dont musique et image s'articulent dans son travail. Pour illustrer son propos il évoque le film d'Agnès Patron L'heure de l'ours dont il a signé la partition et qu'il a même interprété en ciné-concert. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt CRÉDITSMusique : Pierre Oberkampf (Extraits de L'heure de l'ours)Graphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pierre Oberkampf, compositeur et sound designer très prolifique côté courts métrages. Nous lui devons notamment toute l'identité sonore du césarisé “L'heure de l'ours” d'Agnès Patron. Avec nous, il évoque son rapport aux bandes originales et nous raconte son goût pour les compositions risquées voire improvisées, de celles de Jon Brion pour Gondry et Paul Thomas Anderson à la batterie d'Antonio Sanchez pour le Birdman d'Iñárritu. Il égraine aussi quelques uns de ses courts métrages préférés (Nuvole Mani de l'italien Simone Massi, J'entends ton cri de l'argentin Pablo Lamar). Mais surtout, il nous emmène vers des chemins buissonniers de cinéma où l'enfance est toujours présente avec ce qu'elle comporte de jeux, d'aventures (Mud, Moonrise Kingdom) et de violence (There Will be blood, Morse…) Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'44 Des enfants de cinéma : Antoine Doinel dans Les 400 coups (F. Truffaut, 1959); Eli et Oskar dans Morse (T. Alfredson, 2009); Ellis et Neckbone dans Mud (J. Nichols, 2012); Sam et Susie dans Moonrise Kingdom (W. Anderson, 2012) - 4'44 Une atmosphère : celle de Bright Star (J. Campion, 2009) - 9'14 Une violence au cinéma : celle de There Will be blood (P.T Anderson, 2007) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 18'43 Des courts métrages marquants : Nuvole, Mani (S. Massi, 2009); J'entends ton cri (Pablo Lamar, 2010) - 18'43 Des bandes originales pour sauter de son fauteuil : celle de Jon Brion pour Eternal Sunshine of the spotless mind (M. Gondry, 2004); celle d'Antonio Sanchez pour Birdman (A. Iñárritu) - 26'15 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31'52 Un film que Pierre aurait aimé rêver : Eternal Sunshine of the spotless mind (M. Gondry, 2004) CARTE BLANCHE - 36'31 There Will be blood (P.T Anderson, 2007) TRANSMISSION - 45'55 Une bande originale improvisée à faire connaître : celle de Alex Zhang Hungtai pour Godland (H. Palmason, 2022) Un film à transmettre aux adolescents : Two Lovers (J. Gray, 2008) - 49'57 REFUGES - 54'12 Les filmographies d'Aki Kaurismaki et de Wes Anderson EXTRAITSL'heure de l'ours, Pierre OberkampfLes derniers feux, Pt. 1, Pierre OberkampfTheme, Jon Brion (from Eternal Sunshine of the spotless mind), Hollywood records, incTheme from Godland, Alex Zhang Hungtai (Jour2fête) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel Rénier, Pierre OberkampfGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Pascale Faure grande spécialiste du court métrage devant l'éternel, de l'unité des programmes courts et créations de Canal + où elle a travaillé près de 20 ans jusqu'à ses expériences au sein de divers jurys de festivals.Avec nous, elle évoque l'importance de la télévision dans son expérience de spectatrice mais aussi celle de la salle et des festivals. Elle raconte son travail et ses récentes découvertes de dénicheuses de talent (les films de Vincent Fontano ou Noah Coen).Mais surtout, faisant fi des médiums et des formats, notre invitée déroule une cinéphilie joyeuse, parfois fétichiste, allant de Kenneth Anger à Mike Leigh, en passant par Bunuel et les Teletubbies ! Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'49 Une histoire d'amitié au cinéma : les films de Laurel et Hardy Un oeil au cinéma : celui - acéré - de Luis Bunuel - 5'52 Des génériques de films : Les demoiselles de Rochefort (J. Demy, 1967); Les Teletubbies (Anne Wood et Andrew Davenport, 1997) - 8'51 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'14 Un artiste découvert par le biais d'internet : le vidéaste norvégien Jan Hakon Erichsen La place de la télévision dans la cinéphilie de Pascale Faure - 18'20 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 22'59 Des films à ne voir qu'en pleine nuit : The Tribe (M Slaboshpytskiy, 2014); Scorpio Rising (K. Anger, 1963); Le Guerrier silencieux (N Winding-Refn, 2009); It's such a beautiful day (D. Hertzfeld, 2012) CARTE BLANCHE - 33'16L'ouverture de Another Year (Mike Leigh, 2010) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'08 Le secret d'une bonne programmation de courts métrages - 41'08 Quelques jeunes cinéastes à suivre : Noah Coen, Vincent Fontano - 49'20 REFUGES - 53'34 Voyage en Italie (R. Rossellini, 1954) Victoria (J. Triet, 2016) Anna (P Koralnic, 1967) EXTRAITS :Vidéos de Jan Hakon Erichsen, InstagramWipe Out - The Surfaris, UMG (au nom de Geffen)Another Year: Opening Credits (From "Another Year") · Gary Yershon ℗ 2011 Varese Sarabande RecordsArchive INA : Jacques Tati et l'importance du court métrageVictoria, Justine Triet - Le PacteLove Letters, Metronomy - Because Music (au nom de Because Music Ltd.) CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l'occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes Préludes, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à Préludes : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Yolande Zaubermann cinéaste jonglant allègrement avec la fiction (Moi Ivan, toi Abraham) et le documentaire (de Classified People au choc M) a ouvert une porte sur sa cinéphilie alors qu'elle est en montage de son nouveau film.Celle qui a aujourd'hui besoin de découvrir inlassablement de nouveaux films revient avec nous sur quelques oeuvres qui, à tout jamais, l'ont marquée au point parfois de lui apprendre à vivre.Durant notre entretien notre invitée se souvient avec légèreté de l'importance de la nouvelle vague dans sa vie, du choc enfantin de la nuit du chasseur ou de sa récente nuit blanche à visionner Angels in America. Gravité et joie n'étant jamais loin elle convoque également le terrible La vérification de Guerman et le pétillant To be or not to be de Lubitsch. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'39Un amour au cinéma : Les amants crucifiés (K. Mizoguchi, 1954) -Une violence : The Killer inside me (M. Winterbottom, 2010) - 6'51Une langue au cinéma : le Yiddish - 10'25Une première fois : La nuit du chasseur (C. Laughton, 1955) - 13'20 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 15'14Un court métrage marquant : Le roi David (L. Pinell, 2021) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 18'19Un film à ne voir qu'en pleine nuit : la série Angels in America (M. Nichols, 2003)Le rapport de Yolande à la nuit CARTE BLANCHE - 22'41A bout de souffle ‘(JL Godard, 1960) IV. TRANSMISSION - 29'41Un film brouillant les frontières entre documentaire et fiction : La vérification (A. Guerman, 1985) REFUGE - 36'18To be or not to be (E. Lubitsch) EXTRAITS :Le roi David, Lila Pinell - Ecce FilmsAngels in America, main title - Thomas Newman - WMG (au nom de Nonesuch)A bout de souffle, Jean-Luc Godard - Carlotta Films CRÉDITSPréludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme PréludesPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Ça y est, Cinéphiles de notre temps a 4 ans. Pour l'occasion, nous vous proposons non pas 1 mais 2 épisodes en partenariat avec la Plateformes Préludes, une plateforme montrant et restaurant les premiers gestes de cinéma. Nous avons donc rencontré deux cinéastes associées à Préludes : Lora Mure Ravaud et Yolande Zaubermann. Lora Mure Ravaud a récemment marqué les esprit avec Euridice, Euridice, premier beau moyen métrage primé un peu partout, de Locarno à Brive. Attentive aux gestes, aux langues et aux corps comme cinéaste, elle l'est tout autant comme cinéphile. Durant notre entretien, notre invitée exhume quelques perles, comme L'âme soeur, du suisse Fredi Murer ou le doux porno Equation à un inconnu. Elle évoque également deux courts métrages aventureux (First Time et Jukebox) et nous emmène dans sa ville refuge, la cinégénique Rome. Découvrez ici gratuitement de beaux premiers gestes de cinéma : https://preludes.fr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT- 6'33Un amour au cinéma : L'âme soeur (Fredi Murer, 1985) - 6'33Une violence au cinéma : Le mépris (Jean-Luc Godard, 1963) - 11'30Une langue au cinéma : la langue des films de Rohmer - 13'29Une première fois au (dans) un cinéma : le premier fim pornographique en salle, Equation à un inconnu (Francis Savel, 1980) - 16'07 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20'56Un court métrage marquant vu en salle : Juke Box (Ilan Klipper, 2013) III. MEMOIRE ET SOMMEIL - 25'53Un film à ne voir qu'en pleine nuit : La Dolce Vita (F. Fellini, 1960) - 25'53Des inspirations pour penser la pénombre au cinéma : Une femme sous influence (J. Cassavetes, 1974) et Les hauts de Hurlevent (Andrea Arnold, 2011) - 28'39 IV. CARTE BLANCHE - 31'28First Time (the Time for all but sunset - violet) (Nicolaas Schmidt, 2021) V. CINEMA & TRANSMISSION - 36'41Des films abolissant la frontière entre fiction et documentaire : le travail de John Cassavetes REFUGE - 43'12L'italie EXTRAITS :Equation à un inconnu, Francis SavelLa Dolce Vita , Christophe, Jean-Michel Jarre, Francis Dreyfus Music SARL, a BMG CompanyUne femme sous influence, John Cassavetes, Orly Films CRÉDITSPréludes : Merci à Louise Gerbelle et Thomas Carillon de la Plateforme PréludesPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la programmatrice et ancienne directrice du festival international du film d'Amiens, Annouchka de Andrade, également fille de la cinéaste Sarah Maldoror, pionnière du cinéma africain. Notre invitée plonge dans son enfance pour nous raconter ses premiers émois devant les films de Chaplin à la cinémathèque algérienne, son amitié avec le réalisateur Chris Marker, ou encore comment elle a découvert le fabuleux « Napoléon » d'Abel Gance en croyant voir le film d'Akira Kurosawa « Les 7 samouraïs ». Mêlant le cinéma et la Grande Histoire, Annouchka trace les contours d'une cinéphilie internationale, politique, et éminemment joyeuse et généreuse. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 2'33 Des disparitions au cinéma : celle dans Hyènes (Djibril Diop Mambety, 1992), celle de Pier Paolo Pasolini - 2'33 Ce que cela fait d'être "fille de cinéaste" - 5'33 Un lieu de cinéma : L'école de cinéma San Antonio de los Baños à Cuba - 9'35 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'00 La forte impression de découvrir un film jamais vu auparavant : Si j'avais quatre dromadaires (Chris Marker, 1966) - 13'00 Des projections de cinéma rêvées : Une projection au bord du fleuve Magdalena en Colombie / Un ciné-bal de Hair (Milos Forman, 1979) - 19'24 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 24'42 Des films qui se mélangent à la vie d'Annouchka De Andrade : les films de sa mère Sarah Maldoror : Sambizanga (1972) et Des fusils pour Banta CARTE BLANCHE - 34'11 Tosca (Benoît Jacquot, 2001) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 45'19 Des films transmis à Annouchka par sa mère : Napoléon (Abel Gance, 1927) - 45'19 Des héritières de cinéma reprenant les combats de Sarah Maldoror - 48'14 REFUGE - 51'45 Koi Mil Gaya (Rakesh Roshan, 2003) EXTRAITS : Si j'avais quatre dromadaires, Chris Marker Aquarius, Gil MacDermot, Top Pierson, SME (au nom de RCA Records Label) Tosca, Benoît Jacquot - Giacomo Puccini, dirigé par Antonio Pappano Koi Mil Gaya, Alka Yagnik, Udit Narayan, Sangeet Music Pvt. Ltd. CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons l'enseignante-chercheuse, critique et programmatrice Alice Leroy, dont la plume est présente sur internet et dans les kiosques, notamment dans les pages des Cahiers du cinéma ou de Panthere Premiere. Du cinéma le plus expérimental de Stan Brakhage, Daïchi Saïto ou Barbara Rubin, aux séries les plus cultes (« The twilight Zone »), Alice Leroy nous emmène au coeur des films qui ont formé sa cinéphilie, avec précision et passion. Elle évoque la filmographie trop méconnue de la cinéaste Angela Schanelec, celle tous azimuts de Peter Watkins, ou encore celle, refuge, de Jonas Mekas - et ce faisant, elle dresse le portrait d'un cinéma en quête d'utopies. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'55 Des corps au cinéma : Fantomas (Louis Feuillade, 1913) Une foule au cinéma : celle de communards dans La commune (Peter Watkins,2000 ) - 9'47 Des territoires de cinéma : Earth Earth Earth (Daïchi Saito, 2021), Dog Star Man (Stan Brakhage, 1961-1964) - 15'41 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19'24 Des films longtemps fantasmés : Candy Mountain (R. Frank, R. Wurlitzer, 1987), Running on empty (S. Lumet, 1988) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 27'22 Un fantôme de cinéma qui hante Alice : Etienne Gaspard Robertson et ses fantasmagorie au 18è siècle CARTE BLANCHE - 32'50Des places dans des villes (Angela Schanelec, 1997) TRANSMISSION - 41'57 Un film à montrer aux Aliens : La série « La quatrième dimension » (Rod Serling, 1959-64) - 41'57 Un film pour « faire corps ensemble » : Christmas on earth (Barbara Rubin, 1963) - 47'50 REFUGES - 54'01Lost lost lost (1976) et Walden (1968) de Jonas Mekas EXTRAITS Candy Mountain (R. Frank, R. Wurlitzer, 1987) California, Joni Mitchell ; WMG (au nom de Warner Rhino Off Roster-Audio) The Twilight Zone : générique Walden (J. Mekas, 1976); éditions Re:voir CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Helio Pu, monteur, réalisateur, et acteur un petit peu parfois aussi.Avec légèreté et mélancolie, et avec enthousiasme surtout, il nous a évoqué les films qui comptent pour lui comme autant « d'interstices de paradis » (pour reprendre le titre de son dernier film « Every heaven un between »).De l'univers queer adolescent de Gregg Araki à l'univers queer SF des sœurs Wachowski, de la pellicule au glitch numérique, de l'expérimental (Koyaanisqatsi de G. Reggio) au plus mainstream (Spider Man 2 de Sam Raimi), Helio a déroulé une cinéphilie plurielle et inclusive en français, en cantonnais, en anglais, mais aussi en danse et en chansons. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'29Un costume au cinéma : ceux, queer et grunge, des films de Gregg Araki - 3'29Un corps au cinéma : les corps virtuels et fluides de Matrix (Lilly & Lana Wachowski, 1999), le corps chimérique d'Hauru dans Le chateau ambulant (H. Miyazaki, 2004) - 6'22Une langue au cinéma : le cantonnais dans les films de Wong Kar Wai, le français dans J'ai froid, j'ai faim (C. Akerman, 1984) - 11'26 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 16'53Le rapport d'Helio à la pellicule et au numérique + le court-métrage Hotaru (William Laboury, 2015) III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 25'56Une chanson de film qui le hante : Finale de Para One pour Naissance de pieuvres (Céline Sciamma, 2007) - 25'56Des souvenirs d'enfance et d'adolescence dans des films : Nobody knows (Hirokazu Kore-Eda, 2004), Paranoid Park (Gus Van Sant, 2007) - 31'32 CARTE BLANCHE - 35'37L'ouverture dansée de Climax (G. Noé, 2018) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'47Un film à transmettre aux générations passées : Koyaanisqastsi (G. Reggio, 1987)Un film qui a déplacé le regard d'Helio : Everything, everywhere, all at once (les Daniels, 2022) - 46'18 FILMS REFUGES - 53'39Spider Man 2 (Sam Raimi, 200') EXTRAITS J'ai froid, j'ai faim (C. Akerman, 1984) Cerrone, Supernature (instrumental CLIMAX edit), Because Music (au nom de Malligator Préférence) Para One, Finale, Institutes Philip Glass, Koyaanisqatsi, UMG Recordings inc CRÉDITSPatreons : un grand merci à Paul, Corentin, Irène, Dominique, Bernard et Clara pour leur soutien !Musique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Pacôme Thiellement, critique-écrivain-essayiste-cinéaste ou - en un mot - exégète professionnel (la définition de ce mot est dans l'épisode).Tel Colin Maillard, le personnage joué par Jean-Pierre Léaud dans Out 1 (l'un de ses cinéastes de chevet), Pacôme a enquêté avec nous sur sa cinéphilie. Affable et agile, il a convoqué les transes de Zulawski ("Possession"), les ténèbres intérieures de Lynch ("Inland Empire") ou encore la belle amitié de Céline et Julie ("Céline et Julie vont en bateau"). Partant de ce cocktails de références enivrant, il nous a parlé de sa mémoire et de ses habitudes de spectateur nocturne et nous a plongé dans un grand rêve... Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. Portrait – 4'34 Un·e enquêteur·euse au cinéma ? Colin Maillard dans Out 1 (Jacques Rivette, 1971) - 4'34 Une transe au cinéma ? Possession (Andrzej Zulawski, 1981) - 9'38 Un amour au cinéma ? Jamais plus toujours (Yannick Bellon, 1976) - 13'33 II. Circonstances & conditions de visionnage - 18'51 Un film que à projeter lors d'une cérémonie religieuse/païenne/sacrée dans le cinéma abandonné de Charm el-Cheikh ? Fata Morgana (Werner Herzog, 1971) - 18'51 Une salle de prédilection : l'Archipel où se tient le cinéclub de Pacôme Thiellement, “les dimanches de Charm El-Cheikh 22'27 III. Mémoire & Sommeil - 24'50 Existe-t-il un film que vous arrivez à oublier pour toujours le redécouvrir avec un oeil nouveau ? Le monde sur le fil (R.W Fassbinder, 1973) - 24'50 Un film devant lequel vous vous êtes endormi et dont vous auriez rêvé ? L'avant-dernier épisode de la série The Leftovers (D. Lindelof, T. Perrotta, 2014-2017) 30'40 Carte Blanche - 34'49La fin d'Inland Empire (David Lynch, 2006) IV. Cinéma & Transmission - 42'33 Pourquoi internet n'est pas forcément un espace privilégié pour parler de cinéma - 42'33 Le film à transmettre aux générations futures ? After Blue de Bertrand Mandico - 47'42 Film refuge - 51'11Céline et Julie vont en bateau (Jacques Rivette, 1974) EXTRAITS : Out 1, Jacques Rivette (Carlotta Films) Le monde sur le film, R.W Fassbinder (Carlotta Films) Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette (Potemkine Films) Sinnerman, Nina Simone CRÉDITSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la cinéaste Patricia Mazuy, dont le dernier film « Bowling Saturne » est sorti mercredi 26 octobre 2022 au cinéma. Tel un cow boy ou une catcheuse - sortie tout droit d'un de ses films fétiches « Deux filles au tapis » (R. Aldrich) - notre invitée a mené l'entretien avec une énergie brute, sans fioriture. Passant de l'éclatante séquence d'ouverture de « Il était une fois la révolution » (S.Leone) à la douceur et la précision des plans de « Certain Women » (K. Reichardt), en passant par l'humour parfois glaçant des comédies italiennes de Dino Risi et Comencini, Patricia Mazuy fait état d'un cinéma en prise avec le présent, dont l'actualité nous bouleverse, nous questionne et nous tient en haleine, hagard, jusqu'aux dernières minutes. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 5'06Des animaux de cinéma : les tortues et les crocodiles - 5'06Un acte de violence au cinéma : la mort - 6'52Un type de paysage au cinéma : les forêts de feuillus - 8'53 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 10'14Un film à voir au coeur de la nuit : Deux filles au tapis (Robert Aldrich, 1980) - 10'14Patricia Mazuy à propos de l'argentique, du numérique et de la façon de filmer la nuit au cinéma - 12'23 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 15'22Une musique de film qui vous hante : Le bon, la brute et le truand (Ennio Morricone); tout Nino Rota; la chanson du Privé (John Williams) - 15'22Des films pour ne pas s'endormir : les comédies sociales italiennes en général et Le grand embouteillage (L. Comencini, 1979) en particulier - 16'39 IV. CARTE BLANCHE - 20'45L'ouverture d'Il était une fois la révolution (Sergio Leone, 1971) V. CINEMA & TRANSMISSION - 27'48Des westerns à transmettre aux générations futurs : La chevauchée des bannis (André de Toth, 1958); L'homme qui tua Liberty Valance (John Ford, 1962) - 27'48Un film pour "rester vertical" : Certaines femmes (Kelly Reichardt, 2016) REFUGE - 34'50Habemus Papam (Nanni Moretti, 2011) EXTRAITS :Deux filles au tapis (Robert Aldrich, 1981)Il était une fois la révolution (Sergio Leone, 1971), Carlotta Films CRÉDITSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le jeune réalisateur et ami cinéphile Paul Rigoux, auteur du bien nommé film "Rapide", pour évoquer une thématique spéciale au cinéma : celle du temps.Des films à la lenteur magnifique à ceux qui donnent envie de courir vite, des lunettes profilées de la trilogie Matrix au studio d'enregistrement de « Memoria », notre invité nous offre une traversée du temps à travers les films qui ont marqué sa vie. Nous discutons ensemble des films de train, et de la surprenante salle de cinéma que peut constituer un voyage en train, mais aussi de l'importance de la musique dans notre perception du temps au cinéma. Car s'il est bien un moment où le temps se transforme, c'est celui du cinéma, des films et de notre visionnage de ceux- ci. Extraits :« Rapide », Paul Rigoux (production Le Grec, 2022)« Les harmonies Werckmeister », Béla Tarr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'24 Une histoire d'amour rapide/lente : Before Sunrise (R. Linklater, 1995) - 4'24 Des course-poursuites : Mad Max : Fury Road (G. Miller, 2015) / Fais-moi plaisir (E. Mouret, 2009) Un objet rapide : les lunettes de Neo dans Matrix (Lana et Lilly Wachowski, 1999) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'37Un film qui donne envie de courir vite : Annette (Leox Carax, 2021)La perception temporelle des films en fonction de leur mode de visionnage - 16'47De l'importance de voir des films dans le train - 19'53 III. CARTE BLANCHE SPECIALE LENTEUR - 23'36Une séquence magnifiquement longue : l'ouverture des Harmonies Werckmeister (Béla Tarr, 2000)Une séquence que Paul souhaiterait ralentir : la recherche du son dans la salle de mixage de Memoria (A. Weerasethakul, 2021) - 29'48 IV. MUSIQUES - 34'26Une BO qui arrête le temps : I've seen it all de Björk (Dancer in the dark, Lars von Trier, 2000) - 34'26Une BO qui accélère le temps : la musique de Oneothrix point never pour Good Time (Les Frères Safdie, 2017) - 38'11 REFUGE - 41'08Un film où le temps est parfait : Paterson (Jim Jarmusch, 2016) CRÉDITSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons la réalisatrice Dominique Cabrera. L'esprit affuté et enthousiaste, elle nous partage les films qui ont marqué sa cinéphilie et son envie de faire des films, de son enfance bordée par Charlie Chaplin et John Ford, jusqu'à l'âge adulte marqué par d'autres cinéastes, comme l'italien Vittorio de Seta qu'elle a eu la chance de rencontrer. En plongeant dans les méandres de sa mémoire, elle en ressort avec des bouts de son et d'images, notamment des films de Jean Renoir, dont la musicalité des voix l'émerveille. Ce rapport au son et à la musique guide tout son parcours et notre entretien, de Jean Renoir à Jaques Demy en passant par Alain Resnais et Paul Vecchiali, pour faire entendre une vie de cinéaste. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT-5'50 Un visage/regard au cinéma ? Harriet Andersson dans Monika (I. Bergman, 1953) - 5'50 Un immeuble / une maison au cinéma ? La maison qui ne cesse de se transformer, les immeubles, les intérieurs, l'espace du film dans Muriel ou le temps d'un retour (Alain Resnais, 1963); La maison familiale dans les films de Pialat; Les immeubles de Berlin en ruines dans Allemagne année Zéro (R. Rosselini, 1948) - 12'05 Un geste du quotidien au cinéma ? La façon de parler et de bouger des interprètes de Toni (1935) et de Partie de campagne (1946) de Jean Renoir - 21'45 II. MEMOIRE & SOMMEIL - 26'44Enfance et adolescence de la cinéphilie de Dominique Cabrera : de son rapport à la TV à sa découverte de la salle de cinéma. De John Ford à Jean-Luc Godard III. CINEMA & TRANSMISSION - 38'44Un film à transmettre aux générations futures ? Bandits à Orgosolo (Vittorio de Seta, 1961) FILM REFUGE - 46'57Une chambre en ville (Jacques Demy,1982) + Corps à Coeur (Paul Vecchiali, 1979) Archives : La grande illusion, Jean Renoir (Théâtre du temple Distribution); Muriel ou le temps d'un retour, Alain Resnais (Potemkine) REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Charlotte Garson, critique de cinéma et rédactrice en chef adjointe aux Cahiers du Cinéma - et c'est assez important de le noter car c'est la première femme à occuper ce poste depuis la création de ladite revue.A notre micro, elle se confie et s'interroge sur son goût pour le cinéma dit "classique" (de Renoir à Pialat en passant Leo McCarey) et sur la meilleure façon de transmettre ces "chefs-d'oeuvre", à l'écrit, mais aussi à l'oral, dans les salles, au contact des spectateur·ices.Nous avons aussi parlé de son amour pour la critique parlée et pour la radio (média éminemment cinématographique).Et enfin - et surtout - nous avons parlé d'amour tout court sous bien des formes, du trouple de "Sérénade à trois" (Lubitsch) à la romance ultime "Elle et Lui", sans oublier "A nos amours" (Pialat), dont elle n'est jamais revenue. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'58 Une rencontre amoureuse : Sérénade à trois (E. Lubitsch, 1933) - 4'58 Des adolescentes : les trois personnages de De l'influence des rayons Gamma sur le comportement des marguerites (P. Newmann, 1972) - 7'50 Des films avec Cary Grant : Elle et lui, (Leo Mc Carey, 1957) / Les enchaînés (Hitchcock, 1946) - 14'32 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20'08 Un film d'été : A nos amours (M. Pialat, 1983) - 20'08 Un film que Charlotte Garson rêve de (re)voir en salle uniquement : les premiers Capra - 26'16 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 28'51 La mémoire de spectatrice de Charlotte Garson - 28'51 Pourquoi "voir des films se substitue à l'activité de rêver" selon Charlotte Garson - 32'38 CARTE BLANCHE - 34'47La grande illusion (Jean Renoir, 1937) : quand les prisonniers reçoivent une malle de vêtements féminins. IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 42'06 La passion de Charlotte Garson pour la radio et la critique parlée - 42'06 Des films "classiques" à transmettre aux générations futures - 49'06 REFUGE(S) - 59'12 Elle et Lui (Leo McCarey, 1939) + Elle et Lui (Leo McCarey, 1957) REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Pour ce nouvel épisode, nous accueillons Luce Grosjean, distributrice chez Miyu, société de productions de films d'animations, et plus particulièrement de courts métrages d'animation. Evoquant aussi bien les « films de viande » (films en prises de vue réelle) que les films d'animations, Luce nous parle de son amour pour la couleur verte de « Vertigo » (A. Hitchkock), les scènes traumatisantes et les making off de N. Shyamalan dans « Le Sixième sens », et la fluidité du très beau « The Social Network »(D. Fincher) - à consommer surtout en cas de turbulences aériennes. Revenant ensuite à sa cinéphilie adolescente, notre invitée décrit sa première rencontre avec l'inclassable film de C. Marker « Sans Soleil » qui représente cet « endroit vague » où peu d'informations nous sont donnés mais où - si on veut bien l'accepter - le cinéma nous emmène dans un ailleurs perturbant, sublime, et surprenant. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'55 Un geste violent au cinéma ? La séquence de la plaquette de beurre du Dernier Tango à Paris (B. Bertolucci, 1972) - 3'55 Une couleur au cinéma ? Le vert de Vertigo (A. Hitchcock, 1958) - 9'29 Un corps au cinéma ? Celui de Brigitte Bardot, dans le Mépris (J-L Godard, 1963 )- 13'40 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 16'19 Le rapport de Luce à internet comme espace de partage (ou non) 16'19 La découverte d'un cinéaste d'animation sur internet : Nikita Diakur pour son film Ugly - 18'03 Un court métrage qu'il ne faudrait voir qu'en salle ? La chute (B. Labbé, 2018) - 24'45 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 28'46 Des images aux sources de l'engagement féministe de Luce ? - 28'46 Un film venu troublé le sommeil de Luce - Sixième sens (M. Night Shyamalan, 1999) CARTE BLANCHE - 38'05Sans Soleil (Chris Marker, 1983) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 46'41Un film qui vous aiderait à dire : le cinéma d'animation c'est du cinéma, et ce n'est pas que pour les enfants ? Acid Rain (Tomek Popakul, 2019) - 46'41Un film à transmettre aux générations futures ? Souvenir Souvenir (B. Dubois, 2020) - 53'24 REFUGES - 56'01The Social Network (D. Fincher, 2010)Les Demoiselles de Rochefort (J. Demy, 1967) REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément CoucoureuxRemerciements spéciaux : Nolwenn Thivault
Cinéphiles de notre temps est heureux de vous offrir une pastille exclusive !Dans cet épisode bonus, notre dernier invité en date, Vincent Le Port, raconte pourquoi il a tant aimé produire La Tierce des paumés, trilogie documentaire de son ami et monteur Jean-Baptiste Alazard. Pour plus d'infos, n'hésitez pas à vous rendre sur le site de leur société de production Stank : http://stank.fr Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons le réalisateur et producteur Vincent Le Port qui sortait le 23 mars dernier son premier long métrage « Bruno Reidal, Confession d'un meurtrier », film marquant par sa beauté et son horreur. Pour dresser son portrait, nous sommes revenus ensemble sur les films charnières de son adolescence, des « Beaux Gosses » (R. Sattouf) à « Donnie Darko » (Richard Kelly) en passant par l'incroyable « Gerry » (G. Van Sant). Nous avons également parlé de la pellicule, qui l'accompagne autant dans sa fabrication de films que dans ses plaisirs de spectateur, avec les films de Kelly Reichardt et de Vincent Gallo. Notre invité a aussi évoqué son amour des comédies grinçantes, où il y a « quelque chose qui gratte », avec la version anglaise de la série « The Office » (Ricky Gervais, Stephen Merchant) - mais aussi la joie simple d'oeuvres comme le très beau « Rond est le monde » (Olivier Dekegel) ou le très récemment ressorti « Les Onze Fioretti de François d'Assise » (R. Rossellini). Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 6'07 Des adolescents au cinéma : Donnie Darko (Richard Kelly, 2001); Les beaux gosses (R. Sattouf, 2009) - 6'07 Des journaux intimes/confessions : Peau de cochon (Philippe Katerine, 2004); Un homme qui dort (B Queysanne, G Perec, 1974) - 9'56 Une région, un territoire : Le Lot dans Le plein pays (A. Boutet, 2009) - 13'28 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17'44 Le souvenir d'un film en pellicule : The Brown Bunny (V. Gallo, 2003) - 18'07 Un film à voir dans une grotte ou un gouffre : Rond est le monde (O. Dekegel, 2013) - 21'25 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 23'30 Le souvenir d'un film charnière à l'adolescence : Gerry (Gus Van Sant, 2002) - 23'51 Le souvenir d'une BO de film revenant fréquemment en tête : la chanson "Popcorn" (Hot Butter) dans Ma première brasse (Luc Moullet, 1981) - 29'15 CARTE BLANCHE - 33'16Certaines femmes (Kelly Reichardt, 2016) IV. TRANSMISSION - 41'39Un film auquel Vincent voudrait rendre hommage dans son travail : Les onze fiorettis de François d'Assise (R. Rossellini, 1950) - 42'27 REFUGES - 47'25 I…dreaming (Stan Brakhage, 1988) The Office UK (Ricky Gervais, Stephen Merchant, 2001) The Master (Paul Thomas Anderson, 2012)
Dans ce nouvel épisode nous fêtons les 3 ans d'existence de Cinéphiles de notre temps et nous n'accueillons pas un mais 15 invité·es. Pour nos trois ans, nous sommes allés à la rencontre de jeunes cinéphiles âgés de 15 à 22 ans qui font partie de l'Autre ciné-club de la cinémathèque française, pour leur demander quel était leur film refuge.Chloé, Eglantine, Felix, Elias, Charlotte, Antonin, Keyvan, Nathan, Vlad, Louise, Marine, Quentin, Clara, Violette et Julie ont joué le jeu de nos entretiens et nous ont révélé un pan de leur cinéphilie à travers la description de leur film-refuge - en revenant sur ce que voulait dire « refuge » pour eux. De La La Land à la filmographie de Jacques Tati, en passant par la saga Doinel et au film d'horreur Tokyo Fist, nos jeunes cinéphiles on traversé tout un pan du cinéma français et international avec beaucoup de passion et de sensibilité. Pour une meilleure compréhension de l'épisode, nous avons rassemblé leur témoignages en 5 grandes thématiques et les avons fait discuter autour de ces thèmes par groupe de 3.Cet épisode a été réalisé avec l'aide précieuse d'Elodie Imbeau et de toute l'équipe du service pédagogique de la Cinémathèque Française. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. COMEDIES - 2'43Louise - film refuge : La famille Tenenbaum (Wes Anderson, 2001)Marine - refuges : Le fabuleux destin d'Amélie Poulain (JP Jeunet, 2001) et Louis de FunèsQuentin - refuges : La La Land (D Chazelle, 2016) et les comédies musicales II. ENFANCES - 18'48Chloé - Refuge : les films de Jacques TatiEglantine - Refuge : Les demoiselles de Rochefort (J Demy, 1967)Félix - Refuge : Hitchcock, Truffaut et plus particulièrement la saga Antoine Doinel III. GRAND SPECTACLE - 33'20Elias - Refuge : Ponyo sur la falaise (H Miyazaki, 2008)Charlotte - Refuge : La La Land (D Chazelle, 2016)Antonin - Refuge : Tokyo Fist (S Tsukamoto, 1995) IV. FILMS-SAGAS - 44'58Nathan - Refuge : la saga Harry PotterKeyvan - Refuge : la saga Pirates des CaraïbesVlad - Refuge : Mad Max 2 : le défi (G. Miller, 1981) V. REFUGES LIÉS AU CONTEXTE DE DECOUVERTE - 55'35Violette - Refuge : L'éternité et un jour (T Angelopoulos, 1998)Julie - Refuge : La saga Antoine Doinel et particulièrement L'amour en fuite (F Truffaut, 1979)Clara - Refuge : Le monde de Charlie (S Chbosky, 2012) REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément CoucoureuxRemerciements spéciaux : Elodie Imbeau et les clubbers de L'Autre Cinéclub de la Cinémathèque Française
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Antoine Barraud, réalisateur de films - notamment du récent Madeleine Collins - mais aussi producteur et fondateur de la société « House on fire », et enfin foisonnant cinéphile pour qui faire et regarder des films relève du même élan.Amateur de cinéma expérimental autant que de gros blockbusters, notre invité fait le grand écart entre les courts métrages sublimes et sulfureux de James Bidgood, et le célèbre mélodrame Kramer contre Kramer (R. Benton) - avec la même passion. Adorateur de la figure du monstre, il dresse un large tableau du cinéma où le monstre n'est jamais loin - de Trouble every Day (C. Denis) à Incassable (N. Shyamalan) - où il est toujours en prise avec le réel, et où l'émotion du cinéma nait précisément de cette friction entre le monstrueux et une certaine réalité, voire banalité, du quotidien. Ce faisant, Antoine Barraud peint le portrait d'une cinéphilie gourmande, politique, joyeuse, sensible, où les films deviennent des véritables choc de vie, où les sublimes mensonges du cinéma deviennent des images résonnant avec une justesse infinie dans nos corps et dans nos esprits. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 8'34 Un mensonge au cinéma : Le cinéma lui-même - 8'34 Une image fixe au cinéma : Le regard-caméra de Silvana Mangano dans Oedipe Roi (Pier Paolo Pasolini, 1967) - 14'30 Des monstres au cinéma : Les monstres “réalistes” de O Fantasma (J P Rodrigues, 2000), Trouble Every Day (Claire Denis, 2001), The Hole (Tsai Ming Liang, 1998) et Incassable (M Night Shyamalan, 2000) - 18'12 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 23'46 Le premier festival de Cannes d'Antoine Barraud (comme spectateur adolescent) - 23'46 Le rapport d'Antoine Barraud à la salle de cinéma. - 26'45 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 31'53 Le fonctionnement de la mémoire cinéphile d'Antoine - 31'53 Un choc cinématographique enfantin fondateur : Greystoke (Hugh Hudson, 1984) - 39'38 CARTE BLANCHE - 45'03 Kramer contre Kramer (R. Benton, 1979) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 51'41 Un film pour faire découvrir le cinéma expérimental : Pink Narcissus (James Bidgood, 1971) REFUGE - 55'52La filmographie de Vincente Minnelli REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Nathalie Richard, actrice devant la caméra et comédienne sur les planches depuis plus de 40 ans, habitant le cinéma français et d'ailleurs à travers plus de 60 films, ayant collaboré avec des cinéastes aussi différents que Jacques Rivette, Bertrand Mandico, Catherine Corsini et Mickael Haneke. Cette cinéphile enthousiaste et généreuse nous plonge dans un cinéma d'antan, entre le Zero de conduite de Vigo, le *Gertrud de Dreyer, ou encore les danses aériennes de Fred Astaire. Elle nous raconte l'enfance d'un cinéma qui l'habite toujours, tel des spectres, en faisant résonner ensemble des films comme **Le Colonel Chabert de René Le Hénaff avec le Memoria* d'A.Weerasethakul, et bien d'autres encore.Enfin, attachée aux voix du cinéma et à la pensée qui y est liée, elle nous parle des voix qui la guident dans son métier d'actrice autant que dans son plaisir de spectatrice - et qui ont marqué d'une manière ou d'une autre l'histoire du cinéma : d'Orson Wells à James Mason, en passant par Ingrid Bergman et Delphine Seyrig. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT – 5'26 Une voix : celles de James Mason, Orson Wells, Ingrid Bergman, Barbara Stanwyck… - 5'26 Deux répliques : “Je suis le colonel Chabert” (“Le colonel Chabert”, R Le Hénaff, 1943), “Nobody is perfect” (“Certains l'aiment chaud”, B Wilder, 1959) - 11'08 Un corps dansant : Fred Astaire - 15'14 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 19'00 Le rapport de Nathalie à la pellicule et au numérique - 19'00 Un film à écouter : Zéro de conduite (Jean Vigo, 1933) - 24'24 III. MEMOIRE & SOMMEIL- 28'17 Un film donnant l'impression d'être dans un rêve : Gertrud (C.T Dreyer, 1964) - 28'17 Un film pour la nuit : Le dernier des hommes (F.W Murnau, 1924) - 34'39 CARTE BLANCHE - 36'09Mirage de la vie (D. Sirk, 1959) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 44'22Des films captant “l'ère du temps” : Memoria (A. Weerasethakul, 2021), Melancholia (Lars von Trier, 2011), Salo (PP Pasolini, 1975), la filmographie de Wang Bing REFUGES - 54'21Les voix des actrices Brigitte Mira et Delphine Seyrig REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierMixage : Hugo CohenGraphisme : Lucie AlvadoCréation, animation, réalisation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Lou Howard, actrice, comédienne de doublage, youtubeuse, et musicienne. Cette cinéphile d'une nouvelle génération nous parle de ses films boussoles qui ont construit son rapport au cinéma, entre les oeuvres de Quentin Tarantino, et notamment les films « Kill Bill », les comédies musicales « La La Land », « A star is Born » et « Dirty Dancing », ou encore le mélancolique film de Tim Burton « Big Fish ».Parmi ces oeuvres qui composent sa cinéphilie, notre invitée revient plus en profondeur sur sa vision du cinéma : comment celle-ci s'est construite à travers différents formats - de la salle de cinéma aux vidéos YouTube, en passant par la série - et comment son métier de comédienne a pu influencer son expérience de spectatrice. Le cinéma est, pour notre invitée (et pour beaucoup on le croit) avant tout un moment privilégié avec une histoire et un travail collectif, qu'il est bon de chérir et de préserver. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 4'08 Une mère au cinéma : Beatrix Kiddo dans Kill Bill (Q. Tarantino, 2003-2004) - 4'36 Une voix : celle de Judy Garland dans A star is born (G. Cukor, 1954) - 7'14 Une couleur : le jaune des costumes dans Kill Bill et La La Land (D. Chazelle, 2016)- 9'56 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 13'52 Un film donnant l'envie de danser : Dirty Dancing (E. Ardolino, 1987) L'impact de YouTube sur la cinéphilie et le travail de Lou - 16'37 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 23'53 Une réplique préférée : la fin de Big Fish (T. Burton, 2003) - 24'16 Une scène que Lou aurait aimé rêver : le combat final de Kill Bill, vol.1 (Q. Tarantino, 2003)- 27'16 CARTE BLANCHE - 32'04La fin de Fleabag (Phoebe Waller Bridge, 2016-2019) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 41'54 Un film détesté à recommander : Blade Runner (R. Scott, 1982)- 42'22 Une bande originale à faire découvrir : Tenacious D in : the pick of destiny (Liam Lynch, 2006)- 48'15 FILM REFUGE - 51'19La trilogie Le Seigneur des Anneaux (Peter Jackson, 2001-2003) en VO et VF REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Etienne Métras, fondateur de la plateforme OutBuster qui met en lumière des films étrangers sortis de nos radars - ou n'y étant jamais entrés. Ce cinéphile explorateur a mis son gout du cinéma au service du numérique et des plateformes pour penser une autre manière de conseiller les films sur internet - qui ne soit pas celle d'un algorithme mais de ceux qu'on apprécie lorsqu'on est en manque de bons films.Du Japon jusqu'à l'Australie, en passant par Cuba, notre invité fait le tour du monde pour nous prouver qu'on peut trouver de merveilleux films partout, et surtout là où on ne s'y attend pas. Parmi ses belles pépites, vous pourrez trouver le beau Being Good de la réalisatrice japonaise Mipo Oh, où le câlin devient un plot twist, mais aussi le jouissif The Raid où l'on découvre une nouvelle forme d'art martial, mais aussi le sublime et douloureux film de Jennifer Kent The Nightingale qui mériterait bien plus que les sifflement qu'il a reçu lors de sa projection à la Mostra de Venise.Tout au long de ce long entretien, Etienne Métras nous décrit avec beaucoup d'humanité et d'humilité, combien l'expérience du cinéma est avant tout un art du ressenti, où l'émotion doit primer devant toute forme de jugement ou d'analyse. Et ce qui est important, c'est que chacun puisse mettre ses propres mots sur cette expérience. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 7'11 Un « bourpif » au cinéma ? The Raid (Gareth Evans, 2011) - 7'11 Un plat au cinéma ? The Chinese Feast (Tsui Hark, 1995) - 13'02 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17'22 Quelques films inédits découverts grâce à internet : Deliver us from evil (Ole Bornedal, 2009), The Nightingale (Jennifer Kent, 2018) - 17'22 Un film à voir entre amis : Cutterhead (“EXIT”, Rasmus Kloster Bro, 2018) - 25'47 III. MÉMOIRE & SOMMEIL - 31'54 L'impact de la VOD sur la cinéphilie d'Etienne Metras CARTE BLANCHE - 40'03 Being good (Mippo O, 2015) IV. CINÉMA & TRANSMISSION - 46'10 Les films à l'origine de Outbuster : Faoreste Caboclo (René Sampaio, 2013), Headhunters (Morten Tyldum, 2013) FILM REFUGE - 54'06Pas de refuge ?Phantom of the paradise (B de Palma, 1974) REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Mathieu Macheret, critique de cinéma pour de nombreux journaux et revues (Le Monde, les Cahiers du cinéma, Trafic, et d'autres…) mais aussi sur les ondes (notamment sur France Culture) et dans de nombreuses conférences. Cinéphile passionné et passionnant, volubile autant dans sa plume que dans sa parole, Mathieu Machette tisse des ponts entre sa pratique de spectateur et sa pratique de critique pour mieux définir ce qu'il considère être la « cinéphilie » : cette histoire affective de partage amoureux de films.Parmi les oeuvres qui jalonnent la vie cinéphilique de notre invité, vous pourrez découvrir le tragique et somptueux film de D.Lynch Twin Peaks. Fire walk with me, mais aussi l'inclassable Sans Soleil de Chris Marker, ou encore le célèbre Vertigo d'Alfred Hitchckok. Mathieu Macheret n'hésite pas à sortir aussi des sentiers battus pour nous parler de son amour de l'alcool au cinéma qui « transforme les personnages » comme il le raconte si bien, mais aussi des pépites trop méconnues du cinéaste Josef Von Sternberg - sur lequel il a d'ailleurs écrit un livre - et notamment son travail sur la lumière qui façonnait ses images de manière si particulière. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 6'09 Une boisson au cinéma : un tord-boyau dans un film de John Ford - 6'09 Une lettre/relation épistolaire : Sans soleil (Chris Marker, 1983) - 11'28 Une lumière au cinéma : celle de Josef von Sternberg dans Les damnés de l'océan (1928) et L'impératrice rouge (1934) - 17'14 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 23'17 Le rapport de Mathieu Macheret aux éditions DVD - 23'17 La place préférée de Mathieu Macheret au cinéma - 28'59 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31'13 La mémoire de critique de cinéma de Mathieu - Un film que Mathieu Macheret aurait aimé halluciner : Twin Peaks Fire walk with me (D. Lynch, 1992) - 34'33 CARTE BLANCHE - 40”46Akira (K. Otomo, 1988) IV. TRANSMISSION - 46'35 Le rapport de Mathieu Macheret à la critique de cinéma - 46'35 Un film impossible à transmettre ? - 51'15 REFUGE - 54'54Vertigo (A. Hitchcock, 1958) REMERCIEMENTSMusique : Gabriel RénierGraphisme : Lucie AlvadoCréation & Animation : Phane Montet & Clément Coucoureux
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Para One - aka Jean-Baptiste de Laubier - compositeur de musique de films (notamment de ceux de Céline Sciamma), réalisateur (son premier long métrage sort d'ailleurs au cinéma le 20 octobre 2021), mais aussi producteur de musique et DJ.Hanté par la question de la mémoire, du souvenir, de l'oubli, et de comment le cinéma se réapproprie ces problématiques, notre invité n'a eu de cesse de convoquer des films en rapport avec ces thématiques : de la voix off de Sans Soleil (Chris Marker), aux sublimes images du film d'Andreï Tarkovski Le Miroir, tout en passant par l'un des films les plus inconnus de Wim Wenders, Tokyo Ga, forme de déambulation romantique et improbable dans la ville de Tokyo des années 80.En déroulant la fragile bobine de sa mémoire cinéphile, notre invité décrit les films comme de multiples expériences de vie qu'on lierait parfois à notre propre vécu, faisant de nos souvenirs des moments mi réel, mi rêvé. Parmi ces belles expériences, vous trouverez, entre autre, une magnifique description de la scène de danse sous la pluie, au son des tambours, filmée par Naomi Kawase dans son film Shara. Ou encore « la scène du train » du film The Walkover de J.Skolimowski, où le personnage principal saute d'un train lancé à plus de 60km, sans aucun effet spécial - et l'on se demande alors si cette scène a bien été tournée ou si elle n'est que le fruit de notre imagination hallucinée. On en profite pour remercier nos 5 premiers patreons qui nous aident et nous soutiennent financièrement dans notre travail : un grand merci à Paul, Clara, Bernard, Jean-Noel, et Paul ! Votre soutien nous est précieux. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 3'30 Une voix off : Sans soleil (Chris Marker, 1983) Un père de cinéma : Maurice Pialat dans A nos amours (M. Pialat, 1983) Une machine au cinéma : HAL dans 2001, l'Odyssée de l'espace (S. Kubrick, 1968) II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONAGE - 16'46 Une séance ayant mis en transe Para One : Shara (Naomi Kawase, 2003) Le rapport de Para One aux objets de cinéma (DVD, VHS...) III. MEMOIRE & SOMMEIL - 23'20 Le fonctionnement de la mémoire de spectateur de Para One Le son/musique de film hantant Para One : Mulholland Drive (D. Lynch, 2001) CARTE BLANCHE - 33'16 The Walkover (Jerzy Skolimovski, 1965) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 40'31 Un film à transmettre aux générations futures : Akira (アキラ)(Katsuhiro Ōtomo, 1988) La bande-originale que Para One rêverait de recomposer (ou pas) : Le miroir (A. Tarkovski, 1975) FILM REFUGE - 55'31 Tokyo-Ga (Wim Wenders, 1985)
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Clara Benyamin - alias Clara Kane, sur les réseaux - avocate en droit de la propriété intellectuelle spécialisée dans le cinéma et les artistes auteurs, mais aussi productrice de podcasts, talent du CNC, et surtout cinéphile passionnée.Ensemble, nous avons évoqué le cinéma dans tous ses genres, de la comédie romantique (Mister Right) au film d'horreur (Hérédité), en passant - logiquement - par la comédie gothique (La Famille Addams).Clara nous a aussi fait part de son amour pour des curiosités comme Party Monster, film au goût de bonbon rance et de pizza froide, proposant une descente aux enfers tout en couleurs et en costumes dans le milieu queer américain des années 90.Enfin, notre invitée, qui a mis très tôt la cause féministe au coeur de son travail, nous a parlé de ces films qui changent le regard à jamais : les films de Julia Ducourneau, et plus spécifiquement Grave qui transforme des jeunes filles en fleurs en cannibales, ou encore le road-movie Thelma et Louise dont l'énergie libératrice nourrit désormais des générations de cinéphiles. Inscrivez-vous à la newsletter en cliquant sur ce lien : https://forms.gle/HgDMoaPyLd6kxCS48 Pour nous soutenir, rendez-vous sur https://www.patreon.com/cinephilesdnt I. PORTRAIT - 6'46 Une scène de flirt/drague au cinéma : Mister Right (Paco Cabezas, 2015) - 6'46 Un·e justicier·ère au cinéma ? Katniss Everdeen, de la saga Hunger Games (2012-2015) - 10'13 Une famille au cinéma : La Famille Addams (Barry Sonnenfeld, 1991) - 15'51 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 20'42 Un film découvert sur internet et que tu ne peux dissocier de ce contexte ? Uncut Gems (Les frères Safdie, 2019) - 20'42 Un film que tu rêverais de programmer en salle ? Party Monster (Fenton Bailey, Randy Barbato, 2003) - 23'56 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 29'50 Un film que tu souhaiterais oublier ? Phantom of the paradise (Brian de Palma, 1974) “pour le redécouvrir à chaque fois - 29'50 Un film qui t'a maintenu éveillé la nuit tant il te faisait peur ? Hérédité (Ari Aster, 2018) - 35'04 CARTE BLANCHE - 38'58Thelma et Louise (Ridley Scott, 1991) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 44'11 Un film à transmettre aux générations futures ? Nocturama (B. Bonello, 2016) - 44'11 Un film qui t'a ouverte au “female gaze” ? Grave (Julia Ducournau, 2016) - 49'15 REFUGE - 55'09La revanche d'une blonde (Robert Luketic, 2001)
Trailer de présentation du podcast Cinéphiles de notre temps
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Barbara Carlotti, chanteuse, réalisatrice, animatrice radio, créatrice de clips loufoques et de BD musicale - entre autre. Ensemble, nous avons parlé musique au cinéma, sous toutes ses formes : tout d'abord dans les comédies musicales comme celles de Bob Fosse (Sweet Charity - 1966, All that jazz - 1979), ou encore dans le merveilleux film de Brian de Palma Phantom of the Paradise. Nous avons aussi évoqué les chansons qui font plonger les films dans une autre dimension, et leur donne un air d'opéra : parmi d'autres, citons la chanson de Roy Orbinson « In dreams » dans le Blue Velvet de D.Lynch. Et enfin, il y a les musiques qu'on ne peut séparer d'un film, qui font parties de son ADN, et qui l'ancrent dans une époque : nous avons ainsi plongé dans les années 1980 et ses multiples « teen-age movie » emblématiques, notamment dans les films de John Hughes, entre autre.Mais notre invitée ne s'est pas arrêtée là et nous avons discuté ensemble de l'importance de la pellicule, de la puissance des images du rêve, de la nécessité d'avoir des films de Noël, ou encore des films qu'il faudrait - selon elle - envoyer aux extraterrestre pour faire leur connaissance. I. PORTRAIT - 6'03 Des îles de cinéma : La Corse dans Adieu Philippine (J. Rozier, 1962); La Réunion dans Les Garçons sauvages (B. Mandico, 2017); L'île de Vers un destin insolite sur les flots bleus de l'été (L. Wertmüller, 1974) - 6'03 Un maquillage/masque au cinéma : celui de Winslow dans Phantom of the Paradise (B. de Palma, 1974) - 12'29 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 15'00 Une scène dansée : Jane Russell au milieu d'hommes en slip dans Les hommes préfères les blondes (H. Hawks, 1953); La fin de All that Jazz (Bob Fosse, 1979) - 15'00 L'attachement de Barbara à la pellicule - 23'35 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 28'43 Des scènes que Barbara aurait aimé rêver : La belle et la bête (J. Cocteau, 1946); Réalité (Q. Dupieux, 2014) - 28'43 Des chansons qui hantent Barbara : In dreams (Roy Orbison) dans Blue Velvet; Moon River (A. Hepburn) dans Diamants sur canapé; The rhythm of Life par Sammy Davis Jr dans Sweet Charity (Bob Fosse)- 33'25 CARTE BLANCHE - 35'28Opéra (D. Argento, 1987) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 42'52 Des teen movies à destination des ados : Les films de John Hughes (Sixteen Candles, Pretty in Pink); des films d'adolescence tardive : Steak (Q. Dupieux, 2007); Mods (S. Bozon, 2002) - 43'15 Un film à envoyer aux extraterrestres : La planète interdite de Fred McLeod Wilcox (1956) pour la bande son - 48'31 REFUGES - 51'15Les films de John Waters (Cry Baby, Hairspray); Shop around the corner (E. Lubitsch, 1940)
Dans cet épisode, nous recevons Gérald Duchaussoy, responsable entre autres de la section patrimoniale du festival de Cannes (Cannes Classics) et du marché du film classique du festival Lumière. Il est également le co-auteur d’un livre sur le cinéaste italien Mario Bava (Mario Bava, le magicien des couleurs, Gérald Duchaussoy - Romain Vandestichele).Avec lui, nous avons naturellement discuté de festivals et de cinéma de patrimoine - dont une perle rare et envoutante : le film pakistanais « Quand naîtra le jour » (1959). Nous nous sommes arrêtés sur quelques obsessions cinéphiles de Gérald (la cigarette au cinéma, le territoire américain, les cinémas de genre…). Il a convoqué avec un enthousiasme égal des acteurs musclés désormais d’un autre temps (Sylvester Stallone, Arnold Schwarzenegger), l’Amérique des western spaghetti (Mon nom est personne), celle des grands espaces iconique de Superman et celle des road movies du nouvel Hollywood (Easy Rider). Mais aussi - et surtout - du souvenir de ses premières VHS à son métier convoquant tous les cinémas du passé, nous avons parlé de sa mémoire de spectateur et de son fonctionnement. I. PORTRAIT - 6’27 Une cigarette : celle de Brad Pitt dans Fight Club (David Fincher) / Un cigare : celui de Scwarzenegger dans Predator (J Mc Tiernan) Une couleur : la couleur des blés et du ciel dans Superman (Richard Donner, 1978) II. CIRCONSTANCES - 22’ Une découverte enfantine en VHS : Mon nom est personne (T. Valerii, 1973) - 22’ Un film en plein air : Easy Rider (D. Hopper, 1969) sur la plage à Cannes - 27’14 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 31’26 Des films à voir en pleine nuit : The lords of Salem (Rob Zombie, 2012), Maniac (William Lustig, 1980) Le fonctionnement de la mémoire cinéphile de Gérald - 34’24 CARTE BLANCHE - 37’11Le samouraï (JP Melville, 1967) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 46’57 L’un des film que Gérald a préféré montrer en festival : Quand naîtra le jour (A.J. Kardar, 1959) Un film (encore) difficile à montrer aujourd’hui : L’empire des sens (N Oshima, 1976) en version restaurée à Cannes REFUGE ? - 55’35Pourquoi Gérald n’a pas de « film refuge ».Et malgré tout : Rocky (G. Avildsen, 1976)
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Callisto McNulty, traductrice, artiste, réalisatrice, et féministe dont le dernier documentaire Delphine & Carole, Insoumuses nous a donné à voir et à entendre les voix et les combats de Delphine Seyrig, Carole Roussopoulos et leur collectif « Les insoumuses », dans les années 70.Entre passé et présent, archives et vidéos sur internet, Callisto McNulty dévoile une cinéphilie tout en originalité, portée par un véritable « female gaze ». Imprégnée des vidéos des années 70 portant les combats féministes à l’écran, elle évoque la fragilité de ces archives vidéo qu’on ne restaure pas - au contraire des archives cinématographiques - et qui permettent pourtant de redonner une histoire et une vie à des luttes très actuelles. Elle nous a parlé avec une joie égale de films oubliés et rares comme Les Stances à Sophie de Moshé Mizrahi ou Dolores Claiborne de Taylor Hackford, comme de films plus populaires : les comédies musicales de Jacques Demy, les classiques hollywoodiens tels que Grease ou Saturday night Fever, ou encore de du film musical étrange réalisé par Tsai Ming Liang The Hole. I. PORTRAIT - 5'24 Des combats au cinéma : les femmes de Riz Amer (G. de Santi, 1949), celui de Mona dans Sans toit ni loi (A. Varda, 1985) - 5'24 Une voix : celle de Delphine Seyrig - 10'36 Des amitiés féminines : Les petites marguerites (V.Chytilová, 1966); Les stances à Sophie (M. Mizrahi, 1971)- 14'33 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 21'15 La place d'internet et des plateformes dans la cinéphilie de Callisto - 21'52 Un film à voir en famille : Dolores Claiborne (T. Hackford, 1995) - 25'48 III. MEMOIRE & SOMMEIL - 29'30 Le son qui obsède Callisto : la cinégénie de l'ASMR - 30'16 La place des archives dans la cinéphilie et le travail de Callisto - 32'36 CARTE BLANCHE - 38'55 Récréation (C. Simon, 1998) IV. CINEMA & TRANSMISSION - 45'39 Un film à transmettre aux générations futures : Maso et Miso vont en bateau (Ioana Wieder, Nadja Ringart, Carole Roussopoulos, Delphine Seyrig) - 46'02 Un film détesté mais recommandé : Once upon a time...in Hollywood (Q. Tarantino, 2019) - 51'04 REFUGES - 53'29 The Hole (Tsai Ming Liang, 1998) L'une chante, l'autre pas, (A. Varda, 1977)
Dans ce nouvel épisode, nous accueillons Frank Beauvais, cinéphile, cinéaste et grand amateur de musique, dont le dernier film « Ne croyez surtout pas que je hurle » nous avait mis face bien trop tôt à l’impossibilité d’accéder au dehors.Avec lui, nous avons discuté de comment internet a transformé la cinéphilie, a donné accès à des milliers de films et à des évènements de cinéma (des festivals, des projections) à tous, malgré un accès interdit aux salles. Nous avons aussi évoqué le groupe Facebook « La loupe », cet espace d’échange gratuit de films rares et oubliés pour les cinéphiles.Ce portrait tout en grand écart convoque des films résonnant avec notre étrange époque (Jeanne Dielman de Chantal Akerman, et L’homme qui dort de Bernard Queysanne et George Perec ), mais aussi des films qui délivrent, qui font exploser nos horizons resserrés, que ce soit le truculent « They Live » de John Carpenter, ou le très beau « Running on empty » de Sydney Lumet qui nous fait traverser l’Amérique à la recherche de la liberté. I. PORTRAIT - 3'17 Une voix off de cinéma : celle de Ludmila Mikaël dans Un homme qui dort (Bernard Queysanne, Georges Perec, 1974) - 03:17 Une drogue de cinéma : le « scat » de The Faculty (Robert Rodriguez, 1998) - 10:34 Un mère de cinéma : Jeanne Dielman dans Jeanne Dielman, 23, quai du Commerce, 1080 Bruxelles (Chantal Akerman, 1975) - 14:16 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE - 17'55 Voir un film chez soi : quels moments, quel dispositif ? - 17:55 Le rapport conflictuel au support physique (DVD, Blu-ray…) - 22:16 III. Mémoire & sommeil - 28:08 Le fonctionnement de la mémoire de spectateur/cinéphile de Frank CARTE BLANCHE - 32:46 They Live (John Carpenter, 1988) IV. Cinema & Transmission - 42:01 La place croissante d’internet dans la cinéphilie : le groupe Facebook La Loupe comme espace de téléchargement et de partage vertueux. V. Film-refuge/Film-miroir - 52:36 Miroir : James White (Josh Mond, 2015) Refuge : A bout de course (Sidney Lumet, 1988)
Dans ce nouvel épisode nous recevons Lila Meghraoua, journaliste culture pour Usbek & Rica et créatrice du podcast Retrofutur pour ce même média. Cinéphile à la pensée affutée lorsqu’il s’agit de parler cinéma (qu’elle interviewe David Cronenberg ou Rone), elle a évoqué pour nous plusieurs de ses obsessions liées au 7ème art.Que ce soit à travers sa passion pour la voix de l’actrice « durasienne » Delphine Seyrig, son amour pour le jeu de Jean-Pierre Léaud, ou encore le regard qu’elle porte sur le film Répulsion de Polanski, qui semble étrangement actuel en ces temps post #metoo.Elle raconte également sa manière de voir les films - des premiers forums d’échanges secrets à la salle de cinéma, centrale dans sa cinéphilie - et nous emmène dans quelques salles atypiques de Berlin, sa ville d’adoption. I. PORTRAIT 3’52 Langue/voix : Celles de Delphine Seyrig et Jeanne Moreau, actrices “durasiennes” /Le doublage et Feodor Atkine Une ville SF ou une île mystérieuse : Play Time (Jacques Tati, 1967), Les garçons sauvages, (Bertrand Mandico, 2017)- 12’24 Une scène de boîte de nuit : La Grande Belleza, (Paolo Sorrentino) - 19’16 II. CIRCONSTANCES & CONDITIONS DE VISIONNAGE 24’23 Un film découvert en-dehors des réseaux traditionnels : La maman et la putain (Jean Eustache, 1973) 24’23 Des réseaux de partage alternatifs : Freakyflicks et La loupe Les salles de cinéma En Allemagne (Delphi Filmpalast, Astor et Il Kino à Berlin)-34’24 La salle du futur : le mégalo PY1 de Montréal III. MEMOIRE & SOMMEIL - 44’13 Un film-rêve : La chambre interdite (Guy Maddin, 2015) - 44’13 CARTE BLANCHE - 50’42 Répulsion, Polanski, 1965 IV. TRANSMISSION - 59’46 Berlin au cinéma : Oh boy (Jan Ole Gerster, 2012) Un film pour les générations futures : Tomboy (Céline Sciamma, 2011)- 1’03’27 REFUGES - 1’09’13 Baisers volés (Fr. Truffaut, 1968)
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette ultime pastille, Emilie Cauquy, responsable de la collection films de la Cinémathèque Française, sort du cadre domestique et nous emmène chez Mireille, caviste aimant les films et les collectionnant en VHS, pour lui acheter une bouteille et lui offrir une cassette (celle de Jack l’Eventreur avec Klaus Kinski dans le rôle-titre).Lors de cette discussion, elles tissent des liens entre vin et cinéma, allant même jusqu’à se demander ce que serait un vin d’auteur ou un « vin numérique ».Nous remercions Emilie pour cette proposition enivrante.Nous remercions Fanny Courtillot pour la prise de son.Nous remercions Mireille de s’être prêtée au jeu.et n'hésitez pas à passer lui acheter du vin ou discuter cinéma avec elle dans sa cave du 11ème arrondissement Delicatessen.
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette nouvelle pastille, Adeline, travaillant pour la plateforme spécialisée en anime japonais Wakanim, nous raconte comment elle a trouvé refuge dans les séries et n’hésite pas à jeter des ponts entre le récent Jeu de la dame et la narration de certains mangas. En plus d’y cueillir quelques recommandations, vous apprendrez au passage ce qu’est le Nekketsu 熱血. Oeuvres évoquées : Le jeu de la dame, Scott Frank, Allan Scott, 2020 L’attaque des titans, Hajime Isayama, studios WIT et Mappa Battlestar Galactica, 2004
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette nouvelle pastille, Alice Cagnat, assistante réalisatrice de films documentaire et en plein développement de son premier film, nous raconte son quotidien de spectatrice confinée : entre documentaires intimistes, et films de fiction plus spectaculaires, elle entremêle sa vie de cinéphile avec celle de son quotidien, en demande de contacts, de sensible, et d’amour. Oeuvres évoquées : La Face Cachée de l’art américain, François Lévy-Kuentz, 2019 Un été à la Garoupe, François Lévy-Kuentz, 2019 Collection « Il est temps » sur Arte : Alors Heureux.se.s, de Marine Guizy et Nos amours, de Chloé Bruhat, 2020 Sans adieu, de Christophe Agou, 2017 Laurence Anyways, de Xavier Dolan, 2012 Bright Star, de Jane Campion, 2009
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette nouvelle pastille, Barbara Goblot, étudiante en histoire de l’art et du cinéma expatriée à Bologne, dans une Italie sous couvre-feu, évoque son quotidien de spectatrice confinée et ses récentes découvertes, enchâssées comme des poupées russes, du cinéma prévu pour « grand écran » à la vidéo YouTube tout en passant par quelques séries. Oeuvres évoquées : Du côté d’Orouët, Jacques Rozier, 1971 Rock’n’roll high school, Allan Arkush, Joe Dante, 1979 Lola, Jacques Demy, 1961 La famille Tenenbaum, Wes Anderson, 2001 Les films Bollywood et notamment Dilwale Dulhania Le Jayenge, Aditya Chopra, 2006-Parks & Recreation, 2009 (série) Dans leur regard, Ava DuVernay, 2019 La YouTubeuse Micarah Tewers
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette quatrième pastille, c'est Alphi - auteur d'essais vidéo et critique de cinéma sur la chaîne du même nom - qui nous raconte en quoi ce confinement lui a permis d'aborder sa vie de spectateur-cinéphile de façon plus détendue et de revisiter sereinement sa cinéphilie.
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette troisième pastille, c’est Paul Robein, auteur des blogs « Le cinéphile anonyme » et le « Hollywood Rapporteur » qui nous raconte son rapport aux écrans en temps de confinement, et nous parle des films « qui le raccrochent au réel », qui lui rappelle à un aspect essentiel de la vie : la famille. Films évoqués : Ce qui nous lie, C. Klapisch, 2017 Captain Fantastic, Matt Ross, 2016 My beautiful boy, Felix Van Groeningen, 2018 Série : Euphoria, Sam Levinson, 2019
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette seconde pastille, c’est Louise Gerbelle, travaillant autant dans les festivals de cinéma (Cannes Classics...) que pour la diffusion des films sur internet (la plateforme le Cinéma Club), qui nous a laissé un message dans lequel elle évoque la plateforme de la Cinémathèque Henri, quelques séries (anciennes et contemporaines) et quelques refuges. Oeuvres, auteurs, plateformes évoqués : Henri (plateforme de la Cinémathèque Française) Cycle "American Fringe" sur Henri Rétro Nicolas Cage (OCS) Paul Thomas Anderson et notamment Phantom Thread, 2017 Richard Linklater Across the universe, Julie Taymor, 2007
Cinéphiles de notre temps tente, comme tout le monde, de s’adapter au deuxième confinement et de trouver quelques échappatoires durant ces longues semaines d’isolement. Alors que le contexte est pour le moins troublé (de la fermeture des cinémas à une potentielle entrave à la liberté d’informer, en passant par le succès d’un certain film complotiste), nous avons mis en place un « standard imaginaire des cinéphiles en confinement » sur lequel nos invités nous ont laissé un message pour évoquer leur vie de spectateur.ice confiné.e, leurs découvertes récentes et leurs refuges. Pour cette première pastille, c’est Irène Oger, ex-programmatrice, future exploitante de cinéma et fondatrice du collectif Lundi Soir qui nous a laissé un premier message dans lequel elle évoque quelques documentaires nécessaires pour ne pas sombrer dans l’apathie. Oeuvres évoquées : Fuocoammare, par-delà Lampedusa, Gianfranco Rosi, 2016 Overseas, Sung-A Yoon, 2019 La filmographie de Denis Gheerbrant
Dans ce nouvel épisode, nous recevons Marie Losier, cinéaste, mais également ancienne programmatrice à l’Alliance Française de New-York, plasticienne, et désormais professeure à la HEAD de Genève. Dans cet entretien, cette « femme à la caméra », dont la bolex 16mm ne quitte (presque) jamais les mains, nous raconte comment elle en est venue à faire des films et plus particulièrement des portraits, entourée de ses amis. Car amitiés et cinéma semblent pour elle indissociables. Elle évoque aussi son attachement à la pellicule, matière première de ses films et de ses premières émotions de spectatrice. Enfin, cette ancienne programmatrice fait pour nous le grand écart entre le cinéma new-yorkais underground et les « classiques » (français et hollywoodiens) et tisse des liens improbables entre John Water et Marguerite Duras. I. PORTRAIT - 3'32 Un costume au cinéma : un costume d'âne pour 2 personnes - 3'32 Des portraits (que Marie aimerait voir) au cinéma : The Résidents, Jacques Rozier, David Lynch... - 7'11 Des histoires d'amitié au cinéma - 13'28 II. CIRCONSTANCES ET CONDITIONS DE VISIONNAGE - 18'11 De l'importance de la pellicule - 18'11 La météo pour Marie Losier réalisatrice et spectatrice (+ La météo présentée par David Lynch) - 25'19 III. MEMOIRE ET SOMMEIL - 31'35 Un objet du quotidien rappelant un film - 31'35 Des chansons et BO de films : Ennio Morricone; la chanson Wild Girl par Pierre Desprat et Elina Löwensohn (Les garçons sauvages, B. Mandico, 2017) CARTE BLANCHE - 37'51Les petites marguerites, Věra Chytilová, 1966 IV. CINEMA ET TRANSMISSION - 40'42 Des films pour transmettre le New York underground : Flaming Creatures (Jack Smith, 1963), les films de Jonas Mekas, des frères Kuchar et des frères Mailles - 40'42 Des films détestés mais recommandés ? - 50'10 Programmer des films à l'Alliance Française de NY - 50'28 REFUGES - 55'55The Unknown (Tod Browning, 1927); Les petites marguerites (Věra Chytilová, 1966); Twin Peaks S01 et S03 (David Lynch, Mark Frost); Les films d’Arne Sucksdorff