Chaque semaine, Nova fait le tri pour vous dans les sorties en salles. S’il n’y a qu’un seul film à voir, c’est celui-là.

Homme mur qui rapetisse, jeune femme qui grandit. Tout est une question d'échelle.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Une tentative de blockbuster de SF française et un classique américain s'inquiètent de la liberté d'expression.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Eloge de l'énergie de la jeunesse ou revisite canine du flasher, les sorties de la semaine ont du chien.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'interview de Jean-Robert Viallet et Alice Odiot, réalisateurs de Stups. A quoi ressemble une audience des soutiers, des petites mains du narco trafic au tribunal de Marseille ? A la fois au constat d'un monde à deux vitesses et à un inattendu petit théâtre de joutes orales. Avec Stups Jean-Robert Viallet et Alice Odiot ont transformé ce face-à-face en exceptionnel huis clos questionnant autant un monde ouvrier parallèle que les déterminismes sociaux. Stups ne voulant surtout pas poser de jugement sur l'administration judiciaires ou les prévenus quand il interroge surtout bien plus que la vérité judiciaire celle de la société actuelle. Le duo de réalisateurs font leur plaidoirie au micro de Nova.Stups, en salles depuis le 1er octobre. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'interview de Claude Charuel et Claude Le Pape, co-réalisateurs de Météors. En France, il existe une zone qu'on appelle la diagonale du vide. Wikipedia indique qu'elle va de la Meuse aux Landes. Le genre d'endroit où il faut se serrer les coudes pour ne pas céder à l'ennui ou à la précarité même si cela peut transformer des potes en boulets. Avec Météors, Hubert Charuel et Claude Le Pape explorent une relation toxique qui empêche de mener à bien des plans sur la comète. Le duo qui était déjà à l'origine de Petit Paysan élargit leur regard sur un territoire de cinéma en combinant les genres, pour une remarquable chronique d'une jeunesse actuelle coincé entre marché du travail et rêves d'ailleurs.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Quand un garagiste iranien cherche justice et que le be bop dévoile les ombres du colonialisme, le cinéma devient archive vivante de la lutte.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans la fureur d'un stade new-yorkais ou sous le fracas de Gaza, deux films transforment l'archive en vertige collectif.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans un État en feu ou au cœur d'une jeunesse en vrille, le chaos devient un cri de cinéma.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans le désert marocain ou dans les lits américains, la fête peut devenir une folie.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'étrange festival garde sa folie intacte. Exit 8, lui, prouve qu'un film minuscule peut devenir une expérience géante. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le film le plus fou de l'année côtoie l'un des plus forts. Dans les deux cas pour un résultat de malade.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Slasher moins neuneu que d'habitude ou découverte d'une cinéaste hollandaise essentielle, la semaine ciné est une belle moisson.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En couple ou à l'Ehpad, tout reste une question de solitude forcée.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Une bonne série B et une épatante biographie relisent l'AmériqueHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Crise familiale ou sociale, du cinéma qui frappe fortHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Au Népal ou dans l'Amérique rurale, la condition féminine reste une fricheHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Souvenirs, souvenirs…Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans les profondeurs de l'âme d'un musicien culte ou les hauteurs d'un acteur provocant, les sorties de la semaine sont sacrément perchées.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Quand la génération start-up se fait tacler par le cinéma suédoisHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Faut-il souffrir pour être célèbre ou belle ? Oui, jurent les sorties de la semaine.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Obsédés par la pop (culture) ou le jazz, les sorties de la semaine ont un sacré tempoHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En Irlande ou au Maroc, on est toujours rattrapé par le bledHébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Faire un film pendant les J.O c'est du sport. Raconter les relations entre Paris et la Province aussi. Rencontre avec Valentine Cadic, réalisatrice du Rendez-vous de l'été - en salles le 11 juin.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Adapter Stephen King ou un obscur roman néerlandais n'est pas une chose facile. En faire des très denses portraits de groupe encore moins.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Hollywood souffre depuis quelques années maintenant d'un certain manque d'originalité. Il suffit qu'un film soit un carton surprise pour qu'il soit décliné en innombrables suites ou en récits dérivés. Dernière en date de ces franchises déclinées, John Wick, parti d'un petit film de baston, ayant engendré à ce jour trois suites, une minisérie et donc aujourd'hui, Ballerina, un spin-off consacré à un personnage féminin. Le principe est le même autour de sociétés secrètes internationales de tueurs à gages et coups de tatanes survitaminés. Ballerina évite pour autant d'uniquement feuilleter ce cahier des charges pour nourrir un minimum ses marges de sous-intrigues, histoire de trouver un minimum d'intérêt. Si les surprises de l'arbre généalogique de son héroïne ou la vengeance qui la motive ne parviennent pas à émanciper d'un statut de énième avatar du Nikita de Besson, Ballerina pose des pistes inattendues comme celle d'un méchant agissant au nom d'un eugénisme préservant sa lignée jusqu'à créer un village exclusivement peuplé d'assassins. Intéressante aussi cette volonté de renouveler l'arsenal usuel, allant ici d'une pile d'assiettes à un duel au lance-flammes. Sans oublier l'idée d'exfiltrer Ana De Armas, aperçue en espionne au service de Sa Majesté dans le dernier James Bond, pour en faire une mercenaire envoyant chier toutes les règles. Pas de quoi empêcher Ballerina de totalement sortir des clous, mais pour peu que l'on soit client de série B bourrines, celle-ci fait plutôt bien le job et a l'avantage d'un féminisme post #MeToo.À l'inverse, Mountainhead se passe définitivement entre couilles. Celles de quatre magnats de la tech, qui décident de passer un week-end en montagne au moment où la dernière innovation de l'un d'eux plonge la planète dans le chaos. Jesse Armstrong, le créateur de Succession, passe à la réalisation avec cette comédie tordue, mais continue à observer la bulle d'ultrariches complètement déconnectés du monde. Voir ces nababs spéculer sur la suite des évènements pour se faire potentiellement encore plus d'argent ou se comporter comme des étudiants d'école de commerce en fiesta non-stop est à la fois hilarant et flippant parce qu'il devient vite assez crédible d'imaginer sous les traits des personnages, un Elon Musk ou un Mark Zuckerberg. Mountainhead se débarrassant progressivement de sa part de satire pour prendre toujours plus l'apparence d'une prophétie de ce qu'est en train de devenir l'élite américaine à l'ère d'un Trump président : un boys-club neuneu jouant avec l'état comme au Monopoly. La rigolade de départ se coince en travers de la gorge, quand Armstrong annonce clairement qu'on ne pourra bientôt plus changer leurs règles du jeu.Ballerina en salles le 4 juin / Mountainhead sur Max.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Sous la coquille de films pleins comme un oeuf, d'un vétéran et d'un nouveau venu, une mutation s'opère…Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C'est le neuvième jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesVoilà, c'est l'heure de remballer. Cannes, c'est bientôt fini pour cette année. Demain midi, le jury se réunira en conclave pour décider du palmarès décerné le soir même. Pour le moment, la Croisette bruisse donc des pronostics qui seront sans doute déjoués comme l'an dernier lorsque la palme d'or fut remise à la surprise quasi-générale à Anora. Autant donc être prudent avec la boule de cristal et prendre un peu de hauteur sur cette édition. Qu'en retiendra-t-on ? Une compétition de haute volée, supérieure en termes de mise en scène à la précédente, au point d'avoir surplombé voir écrasé des sections parallèles nourries de films recommandables, mais sans révélation majeure ni film marquant. Mais aussi que parmi ceux en lice pour la palme, les trois plus attendus (ceux d'Ari Aster - Eddington-, Julia Ducourneau -Alpha- et Saaed Roustaee – Woman and Child) pour renouveler l'habituel cheptel auront été des opus décevants.À en croire la vox critica, le haut du panier serait composé des films de Kleber Mendonça Filho (L'agent secret), Jafar Panahi (Un simple accident) et Oliver Laxe (Sirat). Du moins jusqu'à la présentation hier soir de Resurrection. Tissage de segments dédiés chacun à un sens, le film de Bi Gan veut surtout renouer avec celui du cinéma dont il fait littéralement son moteur pour une expérience sensorielle aussi virtuose que folle, aux airs de somme et réinvention du 7eme art. Et s'il reste encore deux candidats (Jeunes mères des Frères Dardenne et The mastermind de Kelly Reichardt) a être projeté ce matin, on ne voit pas comment Resurrection pourrait ne pas gravir les plus hautes marches du palmarès. Ou alors cette peu tapageuse 78eme édition tiendrait son seul scandale.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Huitième jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesSurprise lors de la projection, en compétition, d'History of sound : un seul logo de producteur sera apparu en amorce de ce très beau mélo. Jusque-là, les préliminaires de quasiment tous les films montrés avaient habitué à d'interminables litanies de sociétés. On en a compté jusqu'à une douzaine pour Les aigles de la république, amusant thriller parano, voire quasimet une quinzaine pour le plus plombant La disparition de Josef Mengele. Cette profusion n'est pas qu'un point de détail quand elle indique très clairement une difficulté de plus en plus prégnante pour les films d'auteur à boucler leurs budgets, devant désormais aller chercher obole auprès de financeurs de nombreux pays et institutions.En filigrane, c'est la fragilité de l'économie de tout un pan de cinéma qui se manifeste. Elle aura été confortée par un autre pilier fondamental de Cannes, son marché du film. Si ses responsables se sont frottés les mains d'une affluence forte avec plus de 15 000 accrédités, son bilan est à ce stade plus mitigé. Quasiment aucun deal colossal annoncé, si ce n'est celui affolant de la plateforme Mubi qui aurait déboursé 24 millions de dollars pour acquérir les droits de Die, my love, le film rugueux de Lynne Ramsay présenté en compétition, au potentiel public pourtant assez limité. La température du marché étant plutôt tiède, suite aux déclarations surprises d'un Donald Trump voulant appliquer des tarifs douaniers exorbitants sur les films américains qui seraient tournés à l'étranger, freinant l'ouverture du portefeuille chez beaucoup d'acquéreurs potentiels.Tout aussi inattendu, le virage amorcé par de nombreuses stars, d'Al Pacino à Penélope Cruz en passant par Scarlett Johansson, attendues désormais sur des projets de films indépendants. L'arrivée à bord de ces vedettes bankables risquant de provoquer une inflation des budgets, malvenue dans ce contexte. Il n'est même plus certain qu'un film comme The apprentice, saisissante chronique des jeunes d'années de Trump, montré en compétition l'an dernier, pourrait désormais, au-delà son sujet radioactif, trouver les fonds suffisants pour se concrétiser…Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le septième jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de Cannes : Si Cannes est la Mecque des réalisateurs, le festival aime aussi les acteurs. Surtout quand il s'agit de leur proposer de faire de seconds débuts. Ainsi, c'est dans la bien nommée section Un certain regard que Kristen Stewart et Scarlett Johansson sont venues dévoiler leurs premiers pas derrière la caméra. Dans les deux cas avec des films loin de ceux dans lesquels elles ne sont que comédiennes.Avec The chronology of water, Stewart filme au plus près la dérive d'une victime d'inceste, pour une exploration rude, mais d'une troublante franchise. De son côté Johansson, parvient à rendre solaire le mensonge d'une nonaégénaire s'inventant un passé de rescapée des camps dans Elenaor the great. Opposés dans le ton, ces deux essais réussis se rejoignent dans une mise en scène des plus assurées. L'autoportrait que dresse Raphael Quenard dans I Love Perou est plus funambule. Ce faux-documentaire est à double tranchant, quand Quenard dans son propre rôle s'amuse à y jouer les connards, tirant rapidement sur l'élastique du malaise, jusqu'au risque que ceux qui prendraient ce drôle de film pour un tout à l'ego lui renvoient dans la gueule.Autre mise en abyme, mais pour de vrai, Dites-lui que je l'aime superpose les parcours de Romane Bohringer et Clémentine Autain, toutes deux orphelines de mère alors qu'elles étaient enfants. La première l'avait raconté dans un livre exorcisme, la seconde s'en empare pour essayer de recomposer le puzzle de son identité. Plus qu'une enquête sur le mystère de deux mamans plus borderline que maternelles, ce jumelage troublant se fait très émouvant, quand il progresse d'une quête de résilience réparatrice en processus d'émancipation du chagrin causé par un double mal de mère.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le sixième jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les quatrième et cinquième jours du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le deuxième jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le deuxième jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Premier jour du journal de bord d'Alex Masson au Festival de CannesDistribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Scandale musical ou trip visuel, les sorties de la semaine n'oublient ni le son, ni l'image.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La comédie met en scène une mère indigne, interprêtée par Blanche Gardin, prête à tout pour sauver sa fille dans un monde à peine futuriste. On a discuté avec Giulio Callegari, le réalisateur.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

À une semaine de la grand-messe cannoise, les sorties salles font carême mais organisent un sommet pour prêcher en faveur de leur paroisse.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Si beaucoup de communautés ont été explorées par le cinéma français, il a rarement rendu visite aux tamouls de Paris. En combinant immersion ethnologique et polar, Little Jaffna rénove l'idée d'un cinéma de quartier pour renouer avec l'énergie du cinéma de genre populaire et une pédagogie sur l'identité des tamouls, la guerre des gangs parisiens faisant écho à celle qu'a traversée le Sri Lanka.Lawrence Valin signant décidément un film aussi inespéré qu'inattendu, son récit d'infiltration s'imprégnant aussi des codes du cinéma asiatique ou indien. Un jouissif bouillon de culture aux vertus de Grand Mix qui nécessitait que Nova en parle avec son réalisateur.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

L'histoire de deux points de bascule de l'Histoire, des années 1960 franco-algériennes à une Roumanie de 1989Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Politique des sentiments ou tout court, il n'est jamais simple de faire bouger ses lignes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En école de pilotage Formule 1 ou de mannequin, les sorties de la semaine accélèrent leur regard sur les jeunes femmes.Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Au début des années 2000, Mathyas Lefebure, un publicitaire canadien décide de tout larguer pour s'exiler en provence pour devenir berger. Il en tirera un livre, D'où viens-tu berger ? qui fera sensation au Québec jusqu'à interpeller Sophie Deraspe, une réalisatrice aux films mettant en friction expérience du réel et forces narratives du cinéma. Avec Bergers, cette fois-ci au pluriel, elle retrace l'expérience de Lefebure pour la rendre plus collective, interroge la nécessité mais surtout les difficultés de renouer, dans une époque ou la société de consommation est reine, avec des valeurs terriennes, humaines, pour un film aussi sensoriel qu'existentiel. Entretien avec la réalisatrice Sophie Deraspe, qui raconte à Nova la vraie nature et le chemin pour passer du réel à la fiction. Distribué par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.