"Les colères du Monde", le podcast de Pierre Boussel, votre pause quotidienne dans un monde qui va vite, beaucoup trop vite, prendre le temps d’écouter ses douleurs, ses espoirs et ses bouleversements. Pluggez-vous pour écouter ces colères dispersées sur les cinq continents qui nous alertent et nous émeuvent. Chaque jour, d'une escale à une autre, de colère en colère, soyez à l'écoute de notre monde qui se transforme...
Les Nations Unies ont acheminé 75 000 litres de carburant dans la bande de Gaza, marquant la première livraison depuis plus de quatre mois. Une quantité jugée largement insuffisante face aux besoins critiques du territoire, toujours sous blocus et en proie à une grave crise humanitaire.
Face aux violents incendies qui ravagent la région de Lattaquié, l'Union européenne a déclenché son système satellitaire Copernicus. Ce dispositif d'urgence fournit en temps réel des images destinées à appuyer les autorités syriennes et les équipes de secours dans leurs efforts de gestion de crise. Les feux, attisés par des vents violents et des conditions extrêmes, ont déjà entraîné des milliers de déplacés et détruit de vastes zones forestières.
Un tribunal tunisien a condamné Rached Ghannouchi, chef du parti islamiste Ennahdha et figure centrale de l'opposition, à quatorze ans de prison. Il est jugé coupable de complot contre la sûreté de l'État et d'appartenance à un groupe terroriste. Ce verdict s'inscrit dans une vague de procès visant plusieurs responsables politiques et sécuritaires, sur fond de tensions croissantes entre le pouvoir exécutif et ses opposants.
Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a été reçu lundi 7 juillet 2025 à la Maison Blanche par le président Donald Trump, dans un contexte de discussions indirectes avec le Hamas en vue d'une trêve à Gaza. Entre dîner privé et déclarations sur la souveraineté sécuritaire d'Israël, la rencontre s'est tenue en marge des canaux diplomatiques habituels et a mis en lumière une convergence stratégique sur la gestion du conflit, sans pour autant relancer les discussions sur une solution politique durable.
L'armée israélienne a mené une série de frappes contre les ports de Hodeida, Ras Issa, Salif, et la centrale de Ras Al-Kathib, situés sur la côte ouest du Yémen. Cette opération vise à affaiblir les capacités des rebelles houthis, accusés de tirs réguliers de missiles et de drones contre Israël. En retour, deux projectiles ont été détectés dans la soirée, tirés depuis le territoire yéménite, illustrant l'enracinement croissant du conflit israélo-palestinien dans les équilibres géopolitiques régionaux.
Téhéran a reconnu jeudi l'existence de pourparlers indirects avec Washington, visant à relancer le dialogue diplomatique autour du programme nucléaire iranien. Le ministère iranien des Affaires étrangères appelle les États-Unis à faire preuve de sincérité, tout en rejetant toute forme de diplomatie utilisée à des fins de manipulation ou de pression psychologique.
L'armée israélienne a officiellement mis fin à l'opération « Gideon » dans la bande de Gaza. Elle entame désormais une nouvelle phase baptisée « Le Lion Posé », avec un double objectif : obtenir la libération des otages encore détenus par le Hamas et provoquer le retrait complet du mouvement islamiste de l'enclave. Selon le ministre de la Défense, Israël Katz, cette stratégie sera poursuivie « sans reculer », marquant une volonté politique d'aboutir à une solution militaire durable dans la région.
Le président américain Donald Trump a déclaré mardi qu'Israël avait accepté les « conditions nécessaires » à une trêve de deux mois dans la bande de Gaza. Cette déclaration intervient alors que des négociations sont en cours avec le Qatar et l'Égypte pour finaliser une proposition visant à mettre fin aux hostilités. Le Hamas n'a pas encore réagi à cette offre.
En réponse aux accusations formulées lors d'une audition au Congrès américain, les autorités afghanes ont fermement rejeté les allégations de présence de groupes terroristes internationaux sur leur territoire. Le porte-parole des Taliban, Zabihullah Mujahid, a assuré que « l'Émirat islamique exerce un contrôle total sur le pays » et n'autorise aucune organisation étrangère à y opérer. Une position qui entre en contradiction avec les rapports de l'ONU et des services occidentaux.
Israël a lancé l'un des plus vastes ordres d'évacuation depuis le début de la guerre à Gaza, enjoignant des centaines de milliers de civils à fuir plusieurs quartiers du nord de l'enclave. Cette opération précède une intensification attendue des opérations terrestres en direction de la ville de Gaza, où les combats gagnent désormais l'ouest du territoire. Tandis que les zones désignées comme “refuges humanitaires” sont elles-mêmes visées par des frappes, la population civile est confrontée à un nouvel exode massif, sans garanties de sécurité.
Les États-Unis auraient récemment soumis à l'Iran une proposition diplomatique sans précédent. L'idée : financer un programme nucléaire civil non-enrichissant à hauteur de 30 milliards de dollars, via les pays du Golfe. Objectif affiché : contenir les ambitions nucléaires iraniennes tout en évitant une reprise des hostilités militaires dans un contexte post-ceasefire incertain.
Le président de transition syrien, Ahmad al-Sharaa, a confirmé mercredi l'ouverture de négociations indirectes avec Israël. Ces discussions, menées par des médiateurs internationaux, visent à faire cesser les frappes israéliennes dans le sud du pays, notamment dans la région de Quneitra et du Golan. Elles interviennent dans un contexte de tension persistante entre Israël et les groupes pro-iraniens opérant depuis le territoire syrien. Cette initiative diplomatique marque une évolution notable dans un conflit longtemps resté figé.
L'armée israélienne a annoncé la mort de sept soldats, dont un officier, tués lorsque leur véhicule blindé a été détruit par un engin explosif dans le secteur de Khan Younès, au sud de la bande de Gaza. Il s'agit de l'un des bilans les plus lourds pour Tsahal depuis plusieurs semaines, alors que les combats se poursuivent contre les derniers bastions du Hamas.
Malgré l'annonce de Donald Trump d'un cessez-le-feu entre Israël et l'Iran, Téhéran nie tout accord officiel. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Seyed Abbas Araghchi, précise qu'aucune trêve ne sera observée tant que l'agression israélienne ne cesse. Le délai posé par l'Iran est désormais expiré, et de nouvelles frappes font craindre une escalade persistante.
Un kamikaze de l'État islamique a visé l'église Mar Elias, dans l'est de la capitale syrienne. Il a d'abord ouvert le feu, semant la panique parmi les fidèles. Puis il s'est fait exploser. Bilan : 22 morts, 63 blessés. L'attaque s'est produite en pleine célébration religieuse. Environ 150 personnes étaient présentes dans l'église.
Alors que la guerre entre Israël et l'Iran entre dans sa deuxième semaine, les chancelleries européennes tentent d'imposer une voie de désescalade. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, est attendu ce vendredi à Genève pour une rencontre à haut niveau avec ses homologues français, allemand et britannique, en présence de la cheffe de la diplomatie européenne, Kaja Kallas. Objectif : enrayer la spirale militaire et maintenir la perspective d'un dialogue malgré les frappes croisées.
Le président américain Donald Trump a approuvé les plans d'une attaque militaire contre l'Iran, mais retient encore son feu. Selon plusieurs sources issues du renseignement américain, des cibles comme l'installation nucléaire de Fordo sont identifiées et les moyens militaires déployés dans le Golfe sont opérationnels. Tandis que Téhéran refuse toute capitulation, Trump souffle le chaud et le froid, laissant planer l'incertitude stratégique. Cette posture ambiguë maintient la pression sur l'Iran, sans écarter une frappe soudaine dans les heures ou jours à venir.
L'armée israélienne a mené une opération d'envergure contre plusieurs infrastructures stratégiques en Iran. Plus de 50 appareils ont ciblé, entre autres, une usine de centrifugeuses d'uranium à Téhéran, des ateliers de fabrication de missiles sol-sol, l'université militaire Imam Hossein et le site de Khojir, connu pour ses productions balistiques. Une offensive sans précédent, qui marque un tournant dans l'escalade régionale.
Donald Trump a proposé de négocier un cessez-le-feu entre l'Iran et Israël. Une initiative révélée par Emmanuel Macron en marge du G7, alors que les frappes se multiplient et que le risque d'escalade régionale ne cesse de croître.
Les forces américaines stationnées sur la base d'Ain al-Asad, dans l'ouest de l'Irak, ont intercepté plusieurs drones armés. Aucun dégât ni blessé n'est à déplorer. Cette attaque intervient dans un contexte de forte tension régionale, alors que le conflit entre l'Iran et Israël s'intensifie. Washington redoute désormais que ses troupes déployées au Moyen-Orient deviennent des cibles dans un affrontement régional de plus en plus difficile à contenir.
Israël a lancé une série de frappes coordonnées contre des cibles stratégiques en Iran. Si des installations militaires et nucléaires ont été visées, plusieurs zones résidentielles ont également été touchées, faisant craindre un lourd bilan civil.
Accusé de détournement de fonds publics et de contrats douteux pendant son mandat, l'ex-ministre Amin Salam a été interpellé mercredi par les services de renseignement libanais, à l'issue d'une enquête approfondie. Une affaire emblématique des tensions politiques et judiciaires qui secouent Beyrouth.
Le Royaume-Uni a annoncé, le 10 juin, des sanctions ciblant les ministres israéliens Bezalel Smotrich et Itamar Ben-Gvir. Londres les accuse d'avoir encouragé la violence des colons en Cisjordanie et de menacer les perspectives d'un État palestinien, une mesure inédite dans le contexte des tensions croissantes entre Israël et ses partenaires occidentaux.
Le président irakien Abdul Latif Rashid est arrivé en France pour participer à la Conférence des Nations unies sur les océans. Au-delà des enjeux environnementaux, cette visite doit permettre des discussions de haut niveau avec Emmanuel Macron, centrées sur la coopération économique et les investissements bilatéraux entre Bagdad et Paris.
La banlieue sud de Beyrouth a été visée jeudi soir par au moins deux frappes aériennes israéliennes. L'armée israélienne a confirmé avoir ciblé des infrastructures du Hezbollah, en particulier celles liées à son unité aérienne. Ces frappes sont survenues après la diffusion d'avertissements exigeant l'évacuation de plusieurs quartiers, notamment Al-Hadath, Haret Hreik et Burj al-Barajneh, ainsi que du village d'Ain Qana dans le sud du Liban. Cette attaque marque une nouvelle escalade dans le conflit latent entre Israël et le Hezbollah, avec pour la première fois depuis plusieurs années, des frappes en pleine banlieue sud de la capitale libanaise.
Les forces armées yéménites ont revendiqué une attaque par drones contre l'aéroport de Lod, connu sous le nom d'aéroport Ben Gourion, principal hub international d'Israël. Selon le porte-parole militaire à Sanaa, l'opération aurait atteint sa cible avec succès. Une déclaration qui intervient en pleine saison du Hajj et qui s'inscrit, selon les autorités yéménites, dans un cadre de soutien à la population palestinienne de Gaza.
Nouvelle flambée de tensions à la frontière israélo-syrienne. L'armée israélienne a mené plusieurs frappes aériennes contre des cibles dans le sud de la Syrie, en riposte au tir de deux roquettes tombées la veille dans des zones ouvertes du plateau du Golan. Israël tient le président syrien Ahmad al-Sharaa pour « directement responsable » et affirme avoir visé des sites d'armement du régime. Damas dénonce des pertes humaines et matérielles importantes.
Un redéploiement majeur est en cours en Syrie : plus de 500 soldats américains se sont retirés du nord-est du pays ces dernières semaines, selon des sources officielles. Cette réduction des effectifs s'accompagne de la fermeture de plusieurs bases, dans le cadre de la réorganisation des forces américaines sous le commandement de la coalition « Inherent Resolve ». Washington affirme vouloir maintenir des capacités de frappe tout en allégeant son empreinte militaire sur le terrain.
Alors que la guerre à Gaza entre dans un nouveau cycle d'intensification, la situation sur le terrain reste critique. Les négociations indirectes pour un cessez-le-feu, relancées ces derniers jours, peinent à aboutir malgré l'implication directe du Qatar, de l'Égypte et des États-Unis. Sur le plan humanitaire, la situation reste catastrophique, en particulier à Rafah, où les civils tentent d'accéder à une aide limitée sous les frappes. Militairement, Israël poursuit ses opérations dans le sud de l'enclave
L'armée israélienne a ordonné l'évacuation immédiate de plusieurs quartiers du nord de la bande de Gaza, déclarés zones de combat actives. Cette décision intervient alors que les forces israéliennes annoncent une intensification de leurs opérations contre les factions armées palestiniennes dans ces secteurs densément peuplés.
Lors d'une réunion de l'Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) à Bichkek, le ministre russe de la Défense, Andreï Belousov, a mis en garde contre la montée de la menace terroriste en Afghanistan. Selon lui, plus de 20 groupes armés, totalisant environ 15 000 combattants, opèrent actuellement dans le pays et constituent un danger direct pour la sécurité des États d'Asie centrale.
L'ONU s'est dite profondément préoccupée par les images « déchirantes » venues de Gaza, montrant des milliers de Palestiniens prenant d'assaut les centres de distribution alimentaire d'une organisation humanitaire récemment mise en place et soutenue par Israël et les États-Unis. Le Hamas accuse Israël d'utiliser cette initiative humanitaire comme prétexte pour collecter des renseignements biométriques sur les Palestiniens, tandis que les agences onusiennes refusent de collaborer avec cette nouvelle structure.
La Fondation Gaza Relief, une organisation privée soutenue par les États-Unis, a officiellement lancé ses opérations de distribution d'aide alimentaire dans la bande de Gaza. L'arrivée de camions d'aide, prévue pour s'intensifier dans les prochaines 24 heures, marque une tentative américaine de fournir une assistance directe aux civils palestiniens en dehors des canaux onusiens.
Deux frappes aériennes israéliennes ont touché la ville de Gaza. Au moins 24 Palestiniens ont été tués, selon des sources médicales locales. La première frappe a visé l'école Fahmi Al-Jargawi, située dans le centre de Gaza-ville, où étaient abritées des familles déplacées. Les secours ont retrouvé des corps carbonisés dans des salles de classe transformées en abris. Une deuxième frappe, peu avant, a touché une maison dans un autre quartier de la ville. Ces attaques s'inscrivent dans le cadre de l'intensification de l'offensive militaire israélienne dans le nord de l'enclave.
Des pourparlers indirects ont lieu à Rome entre les États-Unis et l'Iran, sous la médiation du sultanat d'Oman. Objectif affiché : relancer le dialogue sur le programme nucléaire iranien, en suspens depuis plusieurs années. Ces négociations, les plus soutenues depuis la rupture de l'accord de Vienne en 2018, achoppent pour l'instant sur la question clé de l'enrichissement d'uranium.
Une fusillade a éclaté à proximité du Musée juif de Washington, D.C., faisant deux victimes parmi le personnel de l'ambassade israélienne. Le tireur, arrêté sur place, aurait crié des slogans pro-palestiniens avant d'ouvrir le feu. L'attaque, qualifiée d'acte antisémite par des responsables israéliens, a immédiatement mobilisé le FBI et les services de sécurité fédéraux. L'émotion est vive dans les milieux diplomatiques et communautaires.
Malgré une réunion tenue au ministère du Transport, les négociations entre les représentants syndicaux des taxis et les autorités tunisiennes ont échoué. En cause : l'absence du ministre et l'absence de réponses concrètes face à une crise sociale et économique qui s'aggrave. Une grève nationale pourrait être annoncée dès jeudi.
À Genève, sous la médiation discrète de l'ONU et avec l'appui de la Suisse, des représentants des deux camps libyens ont entamé de nouvelles discussions pour former un gouvernement d'union. Après des années de divisions entre l'Est et l'Ouest, et plusieurs tentatives avortées de réunification, ce dialogue intervient dans un contexte de blocage institutionnel persistant. Objectif affiché : parvenir à un accord transitoire en vue d'élections nationales. Mais la méfiance reste vive, et les compromis encore fragiles. Le retour à l'unité reste incertain.
L'armée israélienne a accordé, ce lundi, une première autorisation pour l'entrée d'un convoi humanitaire dans la bande de Gaza. Cette décision intervient alors que les combats se poursuivent, notamment à Rafah, et que la situation humanitaire sur le territoire palestinien est jugée critique par les organisations internationales.
Après près d'une décennie de reports, les élections municipales de 2025 marquent un retour partiel à la vie démocratique locale au Liban. Mais loin de refléter un renouveau politique, ce scrutin confirme les clivages communautaires et la stabilité des rapports de force traditionnels. Tandis que les Forces libanaises consolident leur ancrage dans les régions chrétiennes du Nord, le Hezbollah et Amal verrouillent les zones chiites par des victoires souvent obtenues sans opposition. --
Vladimir Poutine ne participera pas à la réunion prévue à Istanbul avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky. En se retirant de la rencontre, le Kremlin envoie un signal clair : Moscou n'entend pas s'engager dans des négociations directes au sommet pour le moment.
Donald Trump a annoncé la levée de toutes les sanctions américaines contre la Syrie. Cette décision fait suite à des discussions tenues à Riyad avec le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane et le président turc Recep Tayyip Erdoğan. Elle marque un tournant majeur dans la politique étrangère des États-Unis au Moyen-Orient. Le président américain a justifié cette décision en déclarant vouloir « donner une chance de grandeur » à la Syrie.
L'assassinat du chef de milice Abdul Ghani al-Kikli, figure centrale de l'Appareil de soutien à la stabilité, a provoqué de violents affrontements dans le sud de Tripoli. En l'espace de quelques heures, plusieurs quartiers de la capitale libyenne ont sombré dans le chaos. Cette nouvelle crise illustre la fragilité persistante de l'équilibre sécuritaire en Libye, où les rivalités entre groupes armés continuent de faire obstacle à toute consolidation étatique.
Les relations diplomatiques entre la France et l'Algérie connaissent une nouvelle phase de tensions. Après une série d'expulsions croisées de diplomates, Alger accuse Paris de manquements répétés aux règles d'accréditation, tandis que neuf consuls algériens attenden :t toujours leur validation par les autorités françaises. Cette crise s'inscrit dans un climat de méfiance persistante entre les deux pays.
Face à l'intensification de l'offensive israélienne sur Rafah, la Jordanie a accueilli, le 8 mai à Amman, une réunion ministérielle arabe en urgence. Le ministère jordanien des Affaires étrangères a confirmé cette rencontre, centrée sur les moyens de pression diplomatique à exercer pour obtenir un cessez-le-feu immédiat dans la bande de Gaza.
Pour la première fois depuis des décennies, la Syrie admet l'existence de discussions indirectes avec Israël. Le président Ahmed al-Sharaa a confirmé que ces échanges, entamés à la mi-avril 2025 avec la médiation des Émirats arabes unis, portent sur des questions de sécurité sensibles. Bien que les deux pays n'entretiennent aucune relation diplomatique officielle, ce dialogue discret vise à réduire les tensions régionales et à instaurer un climat minimal de confiance entre Damas et Jérusalem.
Le président syrien de transition, Ahmed al-Sharaa, est attendu en France à l'invitation du président Emmanuel Macron. Il s'agira de sa première visite en Europe depuis la chute du régime de Bachar al-Assad le 8 décembre 2024. Cette rencontre officielle, organisée à l'Élysée, marque une étape symbolique dans le soutien européen au processus de transition syrien et reflète la volonté de Paris de s'impliquer activement dans la reconstruction politique du pays.
Des avions israéliens ont mené de violents raids aériens sur le port de Hodeidah, à l'ouest du Yémen. Selon des sources locales et des médias affiliés aux Houthis, ces frappes ont visé des infrastructures clés, notamment le port et une usine de ciment. Cette opération intervient en réponse à une attaque revendiquée par les Houthis, qui ont lancé un missile balistique ayant atterri près de l'aéroport Ben Gourion, à Tel Aviv, la veille.
Après l'impact d'un missile balistique lancé depuis le Yémen par les rebelles Houthis sur la zone de l'aéroport Ben Gourion, les autorités israéliennes ont ouvert une enquête approfondie. Le tir n'a pas été intercepté malgré l'activation des systèmes de défense Arrow et THAAD, pourtant parmi les plus avancés au monde.
Israël a mené dans la nuit une frappe aérienne ciblée près du palais présidentiel à Damas. Cette opération intervient dans un contexte de vives tensions confessionnelles en Syrie, notamment dans les régions à majorité druze. Selon l'armée israélienne, cette attaque vise à dissuader le régime syrien de poursuivre les violences contre cette minorité.