President of Russia from 2000 to 2008 and again since 2012
POPULARITY
Categories
Vladimir Poutine visite une école, un petit garçon curieux aimerait connaitre l'origine des êtres humains et une mère rend visite à ses trois filles et les découvre nues... Découvrez les 3 histoires drôles du jour ! Tous les jours, en podcast, retrouvez une compilation des 3 meilleures blagues de vos Grosses Têtes préférées. Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 15 septembre 2025 - C'est un nouveau test pour la sécurité européenne. Après la Pologne, c'est au tour de la Roumanie de dénoncer une violation de son espace aérien par un drone russe. Samedi dernier, un aéronef russe a survolé l'est du pays pendant près de 50 minutes, provoquant la convocation immédiate de l'ambassadeur russe à Bucarest. La Roumanie devient ainsi le deuxième pays de l'OTAN à signaler la présence d'un drone russe, quelques jours seulement après l'incursion d'une vingtaine d'engins en Pologne.Cette série d'incidents semble clairement destinée à défier l'alliance atlantique, qui, vendredi 12 septembre, a annoncé le lancement de l'opération « Sentinelle orientale ». L'objectif ? Protéger l'espace aérien européen proche de la Russie. Plusieurs pays ont rapidement décidé de renforcer leurs moyens militaires : Paris envoie trois Rafale en Pologne, accompagnés d'une trentaine de personnels. L'Allemagne et le Royaume-Uni mobilisent leurs chasseurs Typhoon. Pour la défense sol-air, les Pays-Bas accélèrent la livraison de deux batteries de missiles Patriot.Mais cette montée en puissance coûte cher et semble mal adaptée pour contrer la menace spécifique des drones russes, souvent « low cost » et difficiles à détecter. Le débat est donc vif en Europe sur la réponse militaire à mettre en œuvre pour dissuader Moscou. D'autant que Vladimir Poutine a décidé de montrer les muscles.Depuis vendredi, la Russie et la Biélorussie ont lancé Zapad 2025, un exercice militaire conjoint d'envergure, mêlant armée de l'air, de terre et de la mer. Ces démonstrations de force inquiètent particulièrement les pays voisins de la Biélorussie, notamment la Pologne, la Lituanie et la Lettonie. Ces derniers ont renforcé leurs dispositifs de sécurité et restreint le trafic aérien dans certaines zones. Varsovie est même allée jusqu'à fermer sa frontière avec la Biélorussie pendant les manœuvres.Ces exercices, organisés tous les quatre ans, prennent cette année une importance particulière. C'est la première édition depuis le début du conflit en Ukraine. En 2021, Zapad avait déjà mobilisé environ 200 000 soldats russes, quelques mois avant l'invasion. Cette fois, la Russie a lancé un missile hypersonique Zircon et prévoit de tester des missiles Orechnik, capables d'atteindre Paris en 20 minutes.L'exercice, qui se déroule en Biélorussie mais aussi sur le territoire russe, dans les mers Baltique et de Barents, est donc particulièrement scruté. LES EXPERTS :- Général Jean-Paul PALOMÉROS - ancien chef d'état-major, et ancien commandant suprême de la transformation de l'OTAN- Régis GENTÉ - Journaliste-spécialiste des questions internationales, auteur de "Notre homme à Washington, Trump dans la main des Russes"- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international - AFP- Nicole BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des Etats-Unis, éditorialiste – Ouest-France
Sous le coup d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, Vladimir Poutine a enchainé les tapis rouges au mois d'août 2025 : il y a d'abord eu cette rencontre en Alaska avec Donald Trump, rencontre très attendue qui finalement n'a débouché sur rien. Aucune avancée vers un cessez-le-feu en Ukraine et d'éventuelles négociations…D'autant qu'en proposant à Volodymyr Zelensky de venir le rencontrer à Moscou, Vladimir Poutine connaissait à l'avance la réponse de son homologue ukrainien Le 31 août 2025, le sommet de l'organisation de la coopération de Shangaï s'est ouvert à Tianjin, dans le nord de la Chine, avec une photo qui a fait le tour du monde : le Russe Poutine, le Chinois Xi et l'Indien Modi. 3 hommes visiblement ravis de ce pied de nez fait aux Occidentaux, États-Unis en tête. Et c'est depuis une place d'honneur en tribune que le président russe a assisté le 3 septembre au défilé militaire organisé par Xi Jinping. Pendant ce temps, l'armée russe n'a cessé de progresser sur le front et elle intensifie ses attaques sur les villes. Dimanche dernier (8 septembre 2025), Moscou a même bombardé le siège du gouvernement à Kiev et lancé quelque 800 drones sur l'Ukraine. Dans la nuit de mardi 9 au mercredi 10 septembre 2025, nouvelle escalade avec une salve de 450 drones et missiles contre l'Ukraine mais surtout l'intrusion de 19 drones présumés russes dans l'espace aérien de la Pologne, pays membre de l'alliance atlantique. Colère de Varsovie et de ses alliés européens qui dénoncent une provocation du Kremlin. Varsovie a mobilisé ses avions et ceux de plusieurs pays de l'OTAN pour faire face à la menace. Au moins 3 des 19 drones sont abattus. Vladimir Poutine a-t-il voulu tester les capacités de réaction de l'OTAN ? Les Européens doivent-ils se préparer à d'autres provocations de Moscou ? Ont-ils les moyens d'aider l'Ukraine à se défendre contre les drones meurtriers ? L'hiver qui approche sera-t-il l'hiver de tous les dangers pour Kiev ? Vladimir Poutine, fort de son impunité, se sent-il intouchable ? 3 invités : - Alexandra Gougeon, maître de conférences à l'Université de Bourgogne , autrice de « Ukraine : de l'indépendance à la guerre », aux éditions Le Cavalier bleu - Cyrille Bret, géopoliticien, expert à l'Institut Montaigne, spécialiste de la Russie et de l'Europe orientale - Guillaume Lasconjarias, historien militaire, professeur associé à Sorbonne Université.
C dans l'air du 11 septembre 2025 - Drones russes en Pologne : l'OTAN fait feuDans la nuit du 9 au 10 septembre, dix-neuf drones ont pénétré l'espace aérien polonais, un fait inédit pour un pays membre de l'Alliance atlantique. Des avions de chasse polonais et néerlandais ont été mobilisés et ont traqué les engins jusqu'au petit matin. Un avion-ravitailleur de l'OTAN, un avion-radar italien, ainsi qu'une batterie antiaérienne Patriot allemande ont également été déployés.Au moins trois de ces drones — des Shahed de conception iranienne, désormais produits en Russie — ont été abattus. Cette nuit a pris les allures d'un exercice grandeur nature de défense aérienne de l'OTAN… sauf que ce n'en était pas un. L'un des drones a été retrouvé à seulement 35 kilomètres de la frontière ukrainienne, un autre s'est écrasé à 130 kilomètres de Varsovie, et plusieurs ont percuté des habitations civiles.En Pologne, la population est sous le choc. Le Premier ministre, Donald Tusk, a dénoncé une « provocation » et mis en garde contre le risque d'un « conflit ouvert » avec la Russie. Il a aussitôt appelé à l'activation de l'article 4 du traité de l'Atlantique Nord, qui prévoit des consultations entre alliés en cas de menace pour l'un d'entre eux. Il a également demandé la convocation du Conseil de sécurité des Nations unies ce jeudi, afin de « porter l'attention du monde entier sur cette attaque sans précédent de drones russes ».De son côté, Moscou a nié toute intention hostile, affirmant ne pas avoir visé la Pologne. Le ministère russe de la Défense a dénoncé des « mythes » propagés par Varsovie pour justifier une escalade du conflit en Ukraine. Pourtant, 19 drones, ce n'est pas une erreur isolée. D'où l'hypothèse d'un test délibéré, destiné à jauger les capacités de réaction de l'Otan, des pays européens et des États-Unis.La réponse européenne a été immédiate. Outre la mobilisation de moyens aériens par plusieurs États membres, les représentants des cinq principales puissances européennes — Allemagne, France, Italie, Pologne et Royaume-Uni — se sont réunis mercredi à Londres pour condamner un acte « sans précédent ».Le Conseil de l'Atlantique Nord a modifié, jeudi, le format de sa réunion hebdomadaire, la tenant dans le cadre de l'article 4, comme le réclamait la Pologne. Le secrétaire général de l'OTAN, Mark Rutte, s'est félicité de la rapidité de la réponse alliée face à cette « intrusion dangereuse, intentionnelle ou non », et a adressé un avertissement clair à Moscou : « Nous défendrons chaque centimètre du territoire de l'Otan. »Mais à Kiev, le président Volodymyr Zelensky a regretté le « manque d'action » des dirigeants occidentaux. Il a estimé que la Russie n'avait pas reçu de réponse ferme, qui aurait dû, selon lui, se traduire par des mesures concrètes.Quant à Donald Trump, il a réagi via son réseau Truth Social, dans un message énigmatique, au ton presque désinvolte : « Qu'est-ce qui se passe avec la Russie qui viole l'espace aérien polonais avec des drones ? C'est parti ! », a écrit le président américain.Alors, que s'est-il passé dans le ciel polonais ? Que révèle cette incursion de drones en Pologne ? Vladimir Poutine est-il en train de tester les limites de l'Otan ? Et quelle est la situation en Ukraine ?LES EXPERTS :- Marion Van Renterghem - Grand reporter, chroniqueuse à L'Express, et spécialiste des questions européennes- Gallagher Fenwick - Journaliste, spécialiste des Etats-Unis et des relations internationales- Alain Pirot - Journaliste, documentariste, spécialiste des questions de défense- Isabelle Lasserre - Correspondante diplomatique au Figaro
L'émission 28 minutes du 09/09/2025 Écoles en Ukraine : apprendre sous les bombes La semaine dernière, 4 millions de jeunes Ukrainiens de 6 à 17 ans ont fait leur rentrée scolaire. La moitié d'entre eux vont à l'école tous les jours. Pour les autres, c'est soit uniquement à distance, soit alternativement en visio et en présentiel. Dans l'ouest et le centre du pays, la situation est quasi normale, même si des abris souterrains sont prévus à proximité des établissements. En revanche, dans les régions proches de la Russie ou dans les territoires occupés, la situation est toute autre. La réalisatrice Kateryna Gornestai est allée filmer dans ces écoles souterraines où les élèves étudient entre alertes aériennes et sonneries de la récréation. Pour cette jeune réalisatrice de 36 ans, dont les parents sont enseignants, montrer que des écoles restaient ouvertes en pleine guerre était un acte de résistance. De ces images tournées entre mars 2023 et juin 2024 est né le documentaire “Premières classes” qui sort en salles le 10 septembre. Crise politique et démocratique : le grand soir ou le grand pschitt ? Le gouvernement Bayrou est tombé le soir du 8 septembre après que la confiance de l'Assemblée nationale lui ait été refusée. Emmanuel Macron a annoncé qu'il nommerait un nouveau Premier ministre dans “les tout prochains jours”. À la veille du mouvement de blocage du pays prévu le 10 septembre, cette démission forcée calmera-t-elle la mobilisation, ou va-t-elle au contraire la renforcer ? Le ministre de l'Intérieur a annoncé la mobilisation de 80 000 forces de l'ordre pour faire face au blocage de gares, raffineries, axes de circulation, dépôts de grande distribution… Selon un sondage IPSOS-BVA pour “La Tribune Dimanche”, 46 % des Français soutiennent le mouvement et 28 % y sont opposés. “Bloquons tout”, se voulant apolitique, semble désormais récupéré - selon les notes des services de renseignement - par la France Insoumise et le Nouveau Parti Anticapitaliste ainsi que par des militants de la CGT et de Solidaires. Enfin, Xavier Mauduit revient sur les origines de la démence à corps de Lewy alors qu'une récente étude montre les conséquences de la pollution de l'air sur nos fonctions cérébrales. Marie Bonnisseau, nous parle d'une discussion privée captée entre Vladimir Poutine et Xi Jinping, dans laquelle ils échangent sur le prolongement de la vie et leur quête d'immortalité. 28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 9 septembre 2025 Présentation Élisabeth Quin Production KM, ARTE Radio
durée : 00:58:45 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Après avoir successivement rencontré Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky, Donald Trump affirme pouvoir rétablir la paix. Dans quel cadre et à quel prix pour l'Ukraine et l'Europe ? - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Michel Duclos Diplomate français; Maud Quessard Maître de conférences des universités, directrice du domaine Euratlantique à l'Institut de Recherche Stratégique de l'École Militaire (IRSEM); Julien Malizard Économiste français
Les journalistes et experts de RFI répondent également à vos questions sur l'étrange conversation entre Vladimir Poutine et Xi Jinping sur l'immortalité, sur le potentiel déploiement de troupes européennes en Ukraine et sur les tensions entre les États-Unis et le Venezuela suite à la frappe ordonnée par Donald Trump visant des trafiquants de drogue. Côte d'Ivoire : pourquoi un cyberactiviste proche du PPA-Ci a-t-il été interpellé ? En Côte d'Ivoire, l'interpellation d'un cyberactiviste proche du PPA-CI relance le débat sur la liberté d'expression à l'approche de la présidentielle. Comment les autorités justifient-elles l'arrestation d'Ibrahim Zigui ? Comment le parti de l'ex-président de Laurent Gbagbo réagit-il aux multiples interpellations de ses militants ces derniers mois ? Avec Bineta Diagne, correspondante permanente de RFI à Abidjan. Chine-Russie : dans les coulisses de la discussion inattendue entre Xi Jinping et Vladimir Poutine En marge du défilé militaire de la semaine dernière à Pékin, le président russe et son homologue chinois ont eu une conversation sur l'immortalité. Censés restés privés, les propos ont été captés par la télévision d'État chinoise. Pourquoi avoir diffusé cette discussion ? Faut-il y voir une décision politique ? Comment les deux dirigeants ont-ils réagi à la fuite de cette discussion ? Avec Cléa Broadhurst, correspondante permanente de RFI à Pékin. Guerre en Ukraine : des troupes européennes bientôt déployées ? Réunis la dernière fois à Paris aux côtés du président Zelenski, les Européens se sont dit prêts à « apporter les garanties de sécurité à l'Ukraine ». Concrètement, de quelles garanties est-il question ? Sait-on quels pays pourraient participer au potentiel déploiement de troupes sur le sol ukrainien ? Les États-Unis soutiendront-ils l'envoi de troupes européennes ? Avec Kseniya Zhornokley, journaliste spécialisée pour la rédaction ukrainienne de RFI. Venezuela : vers un déploiement américain ? Après la frappe ordonnée par Donald Trump contre un bateau de trafiquants de drogue au large du Venezuela, le président Nicolas Maduro a annoncé la mobilisation de plus de 4 millions de combattants et s'est dit prêt à la « lutte armée pour la défense du territoire national ». Un déploiement de troupes américaines est-il plausible ? Avec Thomas Posado, maître de conférences en Civilisation latino-américaine contemporaine à l'Université de Rouen et chercheur à l'ERIAC (Équipe de Recherche Interdisciplinaire sur les Aires Culturelles). Auteur de Venezuela : de la Révolution à l'effondrement, aux Presses Universitaires du Midi.
Plus de 3 ans après le début de la guerre en Ukraine immédiatement suivi de sanctions économiques internationales, Eco d'ici Eco d'ailleurs dresse le bilan d'une stratégie visant à limiter la capacité de financement de l'effort militaire russe tout en cherchant à épargner les populations civiles. Quelle efficacité ? Quelles limites ? Et quels contournements ? Des sanctions ciblées mais contournées
Plus de 3 ans après le début de la guerre en Ukraine immédiatement suivi de sanctions économiques internationales, Eco d'ici Eco d'ailleurs dresse le bilan d'une stratégie visant à limiter la capacité de financement de l'effort militaire russe tout en cherchant à épargner les populations civiles. Quelle efficacité ? Quelles limites ? Et quels contournements ? Des sanctions ciblées mais contournées
L'émission 28 minutes du 06/09/2025 Ce samedi, Renaud Dély décrypte l'actualité avec le regard international de nos clubistes : Mariam Pirzadeh, rédactrice en chef à France 24, Daniele Zappalà, correspondant du quotidien "Avvenire" et docteur en géopolitique, Richard Werly, correspondant à Paris du quotidien suisse Blick.fr et le dessinateur de presse Pierre Kroll.La France a-t-elle un problème avec la taxation des plus riches ?Taxer les plus riches est devenu l'une des principales lignes de fracture politique. En France, les grandes fortunes et les grandes entreprises paient proportionnellement moins d'impôt que les PME et les contribuables. Cet état de fait avait conforté la proposition de loi du groupe écologiste pour mettre en place la taxe Zucman, qui entend imposer les 1 800 patrimoines les plus élevés à hauteur de 2 %. En juin, le Sénat l'a rejeté, ses détracteurs estimant qu'il allait favoriser l'exil fiscal et un ralentissement de l'économie. Pourtant, le Conseil d'analyse économique, un organisme rattaché au Premier ministre, a rendu des conclusions qui excluent ces conséquences, alors que cette taxe pourrait rapporter entre 15 et 25 milliards d'euros. Cette dichotomie est-elle typiquement française ? La Chine est-elle inarrêtable ?À l'occasion des 80 ans de la capitulation du Japon, le président chinois a organisé un défilé militaire en grandes pompes sur la place Tiananmen, à Pékin. Accompagné de Vladimir Poutine et Kim Jong-Un, le président chinois a profité de cette procession martiale pour affirmer que "la renaissance de la nation chinoise est inarrêtable". Une annonce qui intervient quelques jours après la fin du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai, qui a réuni de nombreux pays asiatiques ainsi que la Russie pour renforcer la coopération entre ces nations. Une séquence diplomatique intense pour la Chine, qui tente ainsi de conforter son leadership face à un camp occidental fragilisé. Ce dernier doit-il se méfier d'une Chine qui se rêve en superpuissance, ou acter qu'elle est un partenaire indispensable dans un monde multipolaire ?Nous recevons Germaine Acogny, chorégraphe et danseuse. La Sénégalaise de 81 ans, figure majeure de la danse contemporaine africaine, présente son spectacle "Joséphine" du 24 au 28 septembre au théâtre des Champs-Elysées, un hommage à Joséphine Baker, figure emblématique de la “Revue nègre"; créée il y a 100 ans. Valérie Brochard s'intéresse à nos chers voisins d'outre-Manche qui ont décidé d'interdire la vente de boissons énergisantes aux moins de 16 ans. L'annonce a été faite par Wes Streeting, le ministre de la Santé, avec l'objectif de protéger les plus jeunes des substance nocives et d'améliorer “leur santé physique et mentale". Olivier Boucreux décerne le titre d'employé de la semaine à Laurent Freixe, éphémère directeur général de Nestlé, licencié pour avoir entretenu "une relation amoureuse non déclarée avec une subordonnée directe". Le géant de l'agroalimentaire, qui avait défrayé la chronique cet été avec l'affaire Nestlé Waters, a justifié cette décision au nom des "valeurs de Nestlé" et de la "bonne gouvernance".Jean-Mathieu Pernin zappe sur la télé allemande où un néonazi condamné à de la prison ferme en 2023 a changé de genre avant son incarcération. Objectif double : bénéficier de conditions de détention plus souples dans un centre pénitentiaire féminin, et faire un pied-de-nez à la loi d'autodétermination de genre allemande, qui permet de changer de genre et de prénom sur simple demande. Natacha Triou s'interroge sur un changement de mode : après le tatouage, voici sa némésis : le détatouage. L'opération consiste à faire disparaître un tatouage à coups de laser. Utile pour faire fi d'erreurs de jeunesse, cette pratique témoigne aussi d'une nouvelle esthétique. Enfin, ne manquez pas Dérive des continents de Benoît Forgeard !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 6 septembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
durée : 00:36:26 - Cultures Monde - par : Julie Gacon, Mélanie Chalandon - Ce mercredi 3 septembre, la Chine a célébré les 80 ans de la capitulation du Japon à l'issue de la Seconde Guerre mondiale par un défilé militaire titanesque sur la place Tiananmen, en présence de plusieurs dirigeants étrangers, dont Vladimir Poutine et Kim Jong-un. - réalisation : Vivian Lecuivre - invités : Juliette Genevaz Maîtresse de conférence en science politique à Lyon 3 et chercheure à l'Institut Français de Recherche sur l'Aie de l'Est; François Bougon Journaliste, responsable du service international de Mediapart
L'actualité qui a retenu l'attention de La Loupe de la semaine, c'est le sommet organisé par Xi Jinping. Le président chinois a réuni autour de lui Vladimir Poutine, Kim Jong-Un, ainsi que de nombreux dirigeants eurasiatiques. Des réunions suivies par un impressionnant défilé militaire, qui avait pour but de montrer la puissance de la Chine, notamment face à l'Occident. Clément Daniez, journaliste au service Monde de L'Express, spécialiste des questions de défense, nous explique l'importance des images envoyées au monde cette semaine. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Ecriture : Charlotte BarisPrésentation : Solène Alifat Montage et réalisation : Jules KrotCrédits : ReutersMusique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy CambourPour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:19:54 - Journal de 12h30 - Au lendemain d'une réunion à Paris consacrée aux garanties de sécurité dans le cadre d'un hypothétique cessez-le-feu, le président russe Vladimir Poutine menace les alliés de Kiev de cibler toute force occidentale déployée en Ukraine.
Dans cette édition :François Bayrou assure que la présidentielle de 2027 n'est pas son objectif actuel et précise qu'il ne sollicite pas un vote de confiance pour préparer un autre acte, alors qu'il risque très probablement de tomber lundi.Les députés écologistes appellent à un gouvernement de toute la gauche pour donner le pouvoir au Parlement, qui se soumettrait à un vote de confiance à l'Assemblée Nationale et renoncerait au 49-3.Une franco-canadienne est décédée dans le déraillement du funiculaire à Lisbonne, un accident qui a fait 16 morts et 5 blessés graves, qualifié de l'une des plus grandes tragédies humaines récentes du pays par le Premier ministre portugais.Vladimir Poutine avertit que toute force occidentale sera une cible légitime pour l'armée russe, après que 26 pays se sont engagés à être présents sur le sol, dans les airs et en mer après un cessez-le-feu entre Kiev et Moscou.Le ministre de l'Intérieur promet la tolérance zéro pour les casseurs à 5 jours de la mobilisation du 10 septembre, alors que les enseignants redoutent des violences et des opérations de sabotage.L'équipe de France de football affronte l'Ukraine ce soir dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2026, avec le sélectionneur Didier Deschamps invité dans l'émission.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Et comme chaque vendredi, RFI en français donne la parole à nos rédactions en langues étrangères pour revenir sur plusieurs thématiques d'actualité. Premier sujet, la démonstration de force, cette grande parade militaire organisée en Chine, à Pékin. C'était mercredi 3 septembre, pour commémorer les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale et la capitulation japonaise. C'était aussi l'occasion pour Xi Jinping, le dirigeant chinois, d'impressionner 26 autres chefs d'État qui étaient invités. Parmi eux, le leader nord-coréen Kim Jong-un, mais aussi Vladimir Poutine. Avec : Kseniya Zhornokley de la rédaction de RFI en ukrainien Rodolphe de Oliveira de la rédaction en portugais Abdoulaye Issa de la rédaction de RFI en Hausa Accident mortel du funiculaire de la Gloria à Lisbonne Le traumatisme des Portugais ne s'estompe pas deux jours après le drame du funiculaire de Lisbonne. L'engin avait alors déraillé rue de la Gloria, dans le centre touristique de la capitale, faisant 16 morts et 25 blessés. Les enquêteurs poursuivent toujours leur travail pour tenter de comprendre comment cet accident a pu se produire. Rodolphe de Oliveira de la rédaction de RFI en portugais nous raconte cette « tragédie » comme l'a qualifiée le maire de Lisbonne. Sud-Est du Nigeria : Amnesty International alerte sur une zone de non-droit Le sud-est du Nigeria transformé en véritable zone de non-droit. Dans un rapport présenté à Lagos, Amnesty International décrit une situation alarmante, marquée par les violences. Abdoulaye Issa de la rédaction Hausa, que contient cette étude ? Ukraine : les 18-22 ans autorisés de nouveau à sortir du territoire L'Ukraine autorise les hommes de 18 à 22 ans à quitter le pays, et ce, en pleine loi martiale. Le gouvernement a pris la décision le 26 août dernier. Cela suscite autant d'espoir que de critiques et ça pose aussi des questions sur l'avenir démographique et économique du pays. Pour en parler, Kseniya Zhornokley de la rédaction de RFI en ukrainien.
durée : 00:19:54 - Journal de 12h30 - Au lendemain d'une réunion à Paris consacrée aux garanties de sécurité dans le cadre d'un hypothétique cessez-le-feu, le président russe Vladimir Poutine menace les alliés de Kiev de cibler toute force occidentale déployée en Ukraine.
La rédactrice en chef du Point Géraldine Woessner et Jean-Marie Colombani, fondateur de Slate.fr, se penchent sur le sommet qui a réunit Vladimir Poutine, Xi Jinping et Narendra Modi. Face à ce nouvel ordre international, comment doit se positionner l'Europe ?Mention légales : Vos données de connexion, dont votre adresse IP, sont traités par Radio Classique, responsable de traitement, sur la base de son intérêt légitime, par l'intermédiaire de son sous-traitant Ausha, à des fins de réalisation de statistiques agréées et de lutte contre la fraude. Ces données sont supprimées en temps réel pour la finalité statistique et sous cinq mois à compter de la collecte à des fins de lutte contre la fraude. Pour plus d'informations sur les traitements réalisés par Radio Classique et exercer vos droits, consultez notre Politique de confidentialité.Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette édition :François Bayrou assure que la présidentielle de 2027 n'est pas son objectif actuel et précise qu'il ne sollicite pas un vote de confiance pour préparer un autre acte, alors qu'il risque très probablement de tomber lundi.Les députés écologistes appellent à un gouvernement de toute la gauche pour donner le pouvoir au Parlement, qui se soumettrait à un vote de confiance à l'Assemblée Nationale et renoncerait au 49-3.Une franco-canadienne est décédée dans le déraillement du funiculaire à Lisbonne, un accident qui a fait 16 morts et 5 blessés graves, qualifié de l'une des plus grandes tragédies humaines récentes du pays par le Premier ministre portugais.Vladimir Poutine avertit que toute force occidentale sera une cible légitime pour l'armée russe, après que 26 pays se sont engagés à être présents sur le sol, dans les airs et en mer après un cessez-le-feu entre Kiev et Moscou.Le ministre de l'Intérieur promet la tolérance zéro pour les casseurs à 5 jours de la mobilisation du 10 septembre, alors que les enseignants redoutent des violences et des opérations de sabotage.L'équipe de France de football affronte l'Ukraine ce soir dans le cadre des qualifications pour la Coupe du Monde 2026, avec le sélectionneur Didier Deschamps invité dans l'émission.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
L'émission 28 minutes du 05/09/2025 Ce vendredi, Renaud Dély décrypte l'actualité en compagnie de nos clubistes : Pierre Jacquemain, directeur de la rédaction de l'hebdomadaire “Politis”, Isabelle Saporta, essayiste et éditorialiste, Julie Graziani, essayiste, ainsi que la dessinatrice de presse Louison.Il n'y a pas d'autre solution que la dissolution ?François Bayrou vit-il ses derniers jours à Matignon ? Difficile de prédire l'avenir mais tout porte à croire, sur la base des déclarations des oppositions politiques, que le Premier ministre n'obtiendra pas la confiance des députés le 8 septembre. Avec la probable démission forcée de l'édile de Pau, Emmanuel Macron aura la lourde tâche de lui désigner un ou une successeur : son cinquième Premier ministre depuis le début de son second mandat en 2022. Les socialistes semblent avoir le vent en poupe, encouragés par le souhait du président de la République que le "socle commun" (Renaissance, MoDem, Horizons, LR) travaille à un compromis avec le parti à la rose. Mais des voix dissonantes s'opposent à une telle alliance. Dans un entretien au “Figaro” publié le 2 septembre, l'ancien chef d'État Nicolas Sarkozy estime que la seule issue est la dissolution de l'Assemblée nationale et considère le RN comme une hypothèse légitime pour l'accès à Matignon estimant qu'il fait partie de “l'arc républicain”. La dissolution peut-être une option ? La meilleure des options ? Avec quelles conséquences ?La Coalition des volontaires pour l'Ukraine peut-elle se passer des États-Unis ?Jeudi 4 septembre, la Coalition des volontaires dont la France fait partie, s'est réunie à Paris et en visioconférence, pour s'engager à soutenir militairement l'Ukraine au sol, en mer ou dans les airs, une fois que la paix avec la Russie serait établie. Cette décision a été saluée par le président ukrainien Volodymyr Zelensky après plus de trois ans d'un conflit. Cette alliance a l'ambition d'arracher des garanties de sécurité auprès des États-Unis. Un objectif dont la finalité demeure incertaine. Donald Trump qui a “promis qu'il se passera quelque chose” si Vladimir Poutine ne répondait pas à ses attentes sur l'Ukraine, n'a pas encore officiellement appuyé les démarches de la Coalition des volontaires. Jusqu'où, alors, les Européens doivent-ils être prêts à aller pour aider l'Ukraine ? Peuvent-ils encore compter sur les États-Unis de Donald Trump ?Nous recevons Mickaël Delis, auteur, comédien et metteur en scène. Après son spectacle “Le Premier Sexe ou la grosse arnaque de la virilité”, il est à l'affiche de “La fête du slip ou le pipo de la puissance” à la Scala à Paris (du 12 septembre au 31 décembre) dans lequel il démystifie et se joue des imaginaires liés au sexe biologique masculin.Des affrontements ont opposé le 1er septembre une cinquantaine de viticulteurs du département à des fêtards venus participer à une rave-party illégale sur des champs viticoles privés dans l'Aude, abîmés par un incendie cet été. Les gendarmes ont dû être sollicités pour déloger les participants à cette fête. C'est le duel de la semaine de Frédéric Says. Des outrances permanentes et un usage intempestif des réseaux sociaux : c'est le mode de communication de Donald Trump. D'où l'idée depuis quelques semaines du gouverneur démocrate de Californie Gavin Newsom d'aller combattre son adversaire sur son propre terrain. C'est le Point com de Marjorie Adelson. Enfin, ne manquez pas la Une internationale sur la célébration des 80 ans de la victoire chinoise contre le Japon, les photos de la semaine soigneusement sélectionnées par nos invités, ainsi que Le Monde des choses, la nouvelle chronique de David Castello-Lopes !28 minutes est le magazine d'actualité d'ARTE, présenté par Élisabeth Quin du lundi au jeudi à 20h05. Renaud Dély est aux commandes de l'émission le vendredi et le samedi. Ce podcast est coproduit par KM et ARTE Radio. Enregistrement 5 septembre 2025 Présentation Renaud Dély Production KM, ARTE Radio
Donald Trump et Vladimir Poutine forment un étonnant duo : parfois très alignés, et à d'autres moments en totale opposition. À l'image de ce tandem, les liens entre dirigeants russes et américains ont défini les trajectoires des deux pays et du monde, depuis Franklin Roosevelt et Joseph Staline. Depuis la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la guerre froide, La Loupe brosse le portrait de quatre binômes et de leur influence, avec Andrei Kozovoï, professeur à l'Université de Lille, spécialiste des relations internationales, auteur de Les services secrets russes, des tsars à Poutine (Tallandier). Episode 4 : Boris Eltsine et Bill Clinton. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, William J. Clinton Presidential Library, Lumni Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
L'Europe multiplie les initiatives diplomatiques pour soutenir l'Ukraine. Au lendemain d'un dîner à l'Élysée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assisté ce jeudi à Paris à un sommet de la « coalition des volontaires », réunissant principalement des pays européens. Objectif : garantir la sécurité de l'Ukraine à l'issue d'un cessez-le-feu et s'imposer, malgré l'imprévisibilité des États-Unis, face au président russe Vladimir Poutine. Que représente l'aide européenne à l'Ukraine aujourd'hui ? Comment peut-elle évoluer ? Quelle action de l'Europe pour parvenir à la fin de la guerre ? Pour en débattre : Patrick Martin-Genier, enseignant à Sciences Po Paris et à l'Inalco, spécialiste des questions européennes, auteur du livre L'Europe a-t-elle un avenir ? (éditions Studyrama, nouvelle édition à paraitre en janvier 2026 Fabienne Keller, députée européenne Renew Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé à l'institut Jacques Delors À lire aussiLes Européens «prêts» à «apporter les garanties de sécurité à l'Ukraine», déclare Emmanuel Macron
Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky ont réuni à Paris la Coalition des volontaires. Plusieurs pays, dont le Canada et l'Australie, s'accordent sur une feuille de route pour garantir la sécurité de l'Ukraine après-guerre. Moscou rejette toute intervention étrangère, mais les Européens poursuivent leur mobilisation. À l'issue de la réunion, un échange stratégique a eu lieu avec Donald Trump pour tenter de rallier son soutien.
L'Europe multiplie les initiatives diplomatiques pour soutenir l'Ukraine. Au lendemain d'un dîner à l'Élysée, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a assisté ce jeudi à Paris à un sommet de la « coalition des volontaires », réunissant principalement des pays européens. Objectif : garantir la sécurité de l'Ukraine à l'issue d'un cessez-le-feu et s'imposer, malgré l'imprévisibilité des États-Unis, face au président russe Vladimir Poutine. Que représente l'aide européenne à l'Ukraine aujourd'hui ? Comment peut-elle évoluer ? Quelle action de l'Europe pour parvenir à la fin de la guerre ? Pour en débattre : Patrick Martin-Genier, enseignant à Sciences Po Paris et à l'Inalco, spécialiste des questions européennes, auteur du livre L'Europe a-t-elle un avenir ? (éditions Studyrama, nouvelle édition à paraitre en janvier 2026 Fabienne Keller, députée européenne Renew Cyrille Bret, géopoliticien, maître de conférences à Sciences Po Paris, chercheur associé à l'institut Jacques Delors À lire aussiLes Européens «prêts» à «apporter les garanties de sécurité à l'Ukraine», déclare Emmanuel Macron
Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong Un réunis à Pékin - nouvelles règles concernant le dispositif ma prime Renov' - Querelle d'héritage chez les enfants d'Alain Delon
Donald Trump et Vladimir Poutine forment un étonnant duo : parfois très alignés, et à d'autres moments en totale opposition. À l'image de ce tandem, les liens entre dirigeants russes et américains ont défini les trajectoires des deux pays et du monde, depuis Franklin Roosevelt et Joseph Staline. Depuis la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la guerre froide, La Loupe brosse le portrait de quatre binômes et de leur influence, avec Andrei Kozovoï, professeur à l'Université de Lille, spécialiste des relations internationales, auteur de Les services secrets russes, des tsars à Poutine (Tallandier). Episode 3 : Mikhail Gorbatchev et Ronald Reagan. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : C-Span, Bloomberg, Miller Center, INA, Ronald Reagan Presidential Foundation Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Ce mercredi 3 septembre, la rencontre entre Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong-un lors du défilé militaire à Pékin a été abordée par Caroline Loyer dans sa chronique, dans l'émission Good Morning Business, présentée par Laure Closier, sur BFM Business. Retrouvez l'émission du lundi au vendredi et réécoutez la en podcast.
Ce mercredi Xi Jinping a célébré les 80 ans de la victoire chinoise sur le Japon avec un impressionnant défilé militaire sur la place Tiananmen. Vladimir Poutine et Kim Jong Un étaient présents. Dans son discours, le président chinois a insisté sur l'irréversibilité de la renaissance de la Chine. Donald Trump a réagi sur son réseau Truth Social, dénonçant une conspiration contre les États-Unis.
Ecoutez RTL Matin avec Thomas Sotto du 03 septembre 2025.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Donald Trump répète qu'il faut modifier les modalités de vote. Il veut surtout interdire le vote par correspondance. Il l'a déclaré récemment, on ne peut pas avoir une vraie démocratie avec le vote par correspondance. Une méthode corrompue pour le président américain, qui va même jusqu'à citer Vladimir Poutine pour appuyer son propos. Bannir ce système, c'est la lubie du président américain, persuadé de s'être fait voler l'élection de 2020 remportée par Joe Biden. Le principe du vote par correspondance est simple, comme nous l'explique Vincent Souriau, notre correspondant permanent à Washington. Les Américains reçoivent les tracts, les professions de foi et les bulletins à domicile. Au lieu de se rendre dans l'isoloir le jour J, ils cochent la case de leur candidat, mettent le bulletin dans une enveloppe scellée et signée et l'expédient par la poste avant le scrutin. Un système qui irrite le président américain et qui alimente des théories du complot dans le pays. Pour notre invité Olivier Richomme, professeur à l'université Lyon 2 et chercheur au laboratoire Triangle, il n'y a pourtant aucune raison d'avoir des soupçons sur le fonctionnement du vote par correspondance. Une frappe américaine tue 11 « narcoterroristes » en mer Mardi soir, le président américain Donald Trump a annoncé sur son réseau Truth Social que l'armée du pays avait bombardé une embarcation qui transportait des « stupéfiants illégaux à destination des États-Unis », tuant sur le coup onze narcotrafiquants. D'après la Maison Blanche, l'embarcation était partie du Venezuela. Et les images aériennes de la frappe sont partout dans la presse du continent sud-américain. Côté vénézuélien, le quotidien Diario 2001 revient sur les propos du gouvernement de Caracas, qui dénonce une vidéo générée par l'intelligence artificielle. Le média péruvien El Comercio titre ce mercredi : « Les États-Unis détruisent une embarcation de "narcoterroristes" qui quittaient le Venezuela » en mettant narcoterroristes entre guillemets, comme de nombreux autres titres de presse. Et en Colombie, le quotidien El Espectador pose une question suite à ces frappes : « Peut-on parler d'un crime en mer ? » Le média colombien nuance la portée et la signification de cette attaque et rappelle que ce genre d'opérations américaines de lutte contre le trafic de drogue est courant dans la région, et qu'il ne date pas de l'ère Trump. Cependant, il ajoute que ces frappes ont eu lieu dans les eaux internationales, des eaux où aucun navire ne peut être attaqué. À lire aussiÉtats-Unis : Trump annonce avoir tué onze trafiquants de drogue dans une frappe au large du Venezuela Deuxième journée du procès de Jair Bolsonaro Avant la plaidoirie de la défense de Jair Bolsonaro qui se tient ce mercredi, le quotidien O Globo rappelle les arguments de ses avocats : « Bolsonaro nie les faits qui lui sont reprochés et a répété que le procès est motivé politiquement. » O Globo relève que le procureur a utilisé les mots de Jair Bolsonaro lui-même dans l'accusation contre l'ancien président. Notamment une déclaration de 2021, dans laquelle il avait prévenu que l'armée serait prête à agir en cas de résultats contestables lors des élections. Le quotidien de Brasilia, le Correio Braziliense, revient sur la portée historique du procès. « Il est impossible d'oublier que l'impunité a un lourd tribut sur la démocratie. » Le journal rappelle qu'après la dictature militaire, le pays a promulgué une loi d'amnistie, qui a empêché toute enquête et poursuite pour les crimes commis pendant des décennies. Enfin, le quotidien Folha de São Paulo souligne une singularité de la première journée d'audience. Le juge en charge du procès, Alexandre de Moraes, a ouvert l'audience avec une déclaration surprenante. Au lieu de commencer en lisant le rapport descriptif de la procédure en cours, il a fait une déclaration que le journal qualifie de politique : « La pacification du pays ne pourra pas se faire impunément. » La décision des juges doit être rendue le 12 septembre. ReportageL'ex-président Jair Bolsonaro jugé pour tentative de coup d'État, un procès historique pour le Brésil Au Honduras, l'affaire du meurtre d'un militant pour l'environnement devant la cour d'assises Le meurtre du militant et conseiller municipal Juan Lopez sera jugé en assises. Il a été tué violemment en septembre 2024, alors qu'il militait pour la mise à l'arrêt d'une mine de fer à ciel ouvert située dans une réserve forestière. Comme le rappelle le quotidien El Heraldo, le procès des trois accusés avait été repoussé plusieurs fois. Le média La Prensa indique qu'après une décision de la justice hondurienne, ils seront désormais jugés pour meurtre et association de malfaiteurs, au détriment de la victime et des droits fondamentaux de la société. La date du procès n'a pas encore été communiquée. L'organisation de défense des droits humains Global Witness rappelle qu'au Honduras la situation des défenseurs de l'environnement est encore très préoccupante. Journal de la 1ère En Martinique, depuis trois nuits, casseurs et forces de l'ordre s'affrontent à Fort-de-France.
La démonstration de force est pour la nuit prochaine en Chine, où Xi Jinping a réuni de nombreux dirigeants hostiles à l'Occident, parmi lesquels Vladimir Poutine. Pékin se prépare à montrer ses plus beaux atours militaires : une grande parade pour marquer les 80 ans de la victoire contre le Japon.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
C dans l'air du 2 septembre 2025 - Xi Jinping, Poutine, Modi : ils font trembler l'Occident Ce sont des images qui en disent long sur l'évolution du monde. Vladimir Poutine, Xi Jinping et Narendra Modi se tenant par la main, tout sourire. Le sommet de Tianjin, près de Pékin, organisé par le président chinois, vient de s'achever, avec sur la photo officielle 26 chefs d'État ou de gouvernement. Parmi eux, les dirigeants russe, biélorusse, indien, iranien, turc, et une vingtaine de leaders eurasiatiques représentant presque la moitié de la population mondiale. Des dirigeants qui ne sont pas d'accord sur tout, mais qui entendent se tenir à distance de l'Occident, et en premier lieu de l'Amérique de Donald Trump.Un front du refus mis en scène avec un objectif : montrer, à l'heure des droits de douane américains et des tensions géostratégiques, qu'un autre modèle international est possible, avec la Chine en son centre.Un peu plus de deux semaines après avoir été reçu en grande pompe par Donald Trump en Alaska, Vladimir Poutine est présent en Chine. Il aura des discussions avec son hôte et grand allié chinois ce mardi à Pékin, après avoir parlé du conflit en Ukraine lundi à Tianjin avec son homologue turc, et du dossier nucléaire avec son homologue iranien. Une rencontre était également à l'agenda ce jour-là avec le Premier ministre indien. Car Narendra Modi, qui est loin d'être le meilleur ami du président chinois, était aussi présent. Il s'agissait en effet de la première visite en Chine du nationaliste hindou depuis 2018.Les deux dirigeants étaient en froid depuis l'affrontement, en 2020, de leurs soldats sur les hauteurs du Ladakh, une région himalayenne contestée, qui avait fait 20 morts du côté indien et un nombre indéterminé du côté chinois. Mais les tarifs douaniers de 50 % récemment imposés aux marchandises indiennes par le président américain ont semble-t-il convaincu le Premier ministre indien de faire baisser la tension avec Xi Jinping.Un dirigeant chinois qui a d'ailleurs débuté son discours inaugural par une charge à peine voilée contre les États-Unis, évoquant la nécessité de s'opposer à la "mentalité de guerre froide et de confrontation de blocs, ainsi qu'aux actes d'intimidation". Au-delà du discours politique, le défilé militaire qui aura lieu mercredi sur la place Tian'anmen, en présence du leader nord-coréen, s'annonce comme une nouvelle démonstration de force. La Chine, dont la flotte dépasse aujourd'hui en nombre celle des États-Unis, entend apparaître comme un rival crédible.Alors, pourquoi cette rencontre entre les dirigeants russe, chinois et indien est-elle si importante ? La politique de Donald Trump est-elle en train de renforcer la Chine ?LES EXPERTS :- Isabelle LASSERRE - Correspondante diplomatique - Le Figaro, spécialiste des questions de stratégie et de géopolitique- Pierre HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - Valérie NIQUET - Spécialiste de l'Asie - Fondation pour la Recherche Stratégique, auteure de L'Indo-Pacifique, nouveau centre du monde - Agatha KRATZ - Economiste, Spécialiste des relations Chine-Union Européenne et Chine- États Unis- Alain BAUER (en duplex des États-Unis) -Professeur de criminologie au CNAM responsable du Pole Sécurité Défense Renseignement
Donald Trump et Vladimir Poutine forment un étonnant duo : parfois très alignés, et à d'autres moments en totale opposition. À l'image de ce tandem, les liens entre dirigeants russes et américains ont défini les trajectoires des deux pays et du monde, depuis Franklin Roosevelt et Joseph Staline. Depuis la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la guerre froide, La Loupe brosse le portrait de quatre binômes et de leur influence, avec Andrei Kozovoï, professeur à l'Université de Lille, spécialiste des relations internationales, auteur de Les services secrets russes, des tsars à Poutine (Tallandier). Episode 2 : Léonid Brejnev et Richard Nixon. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, Radio Canada Archives Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
Xi Jinping et Vladimir Poutine ont affiché leur proximité lors du sommet de l'Organisation de coopération de Shanghai à Tianjin, en Chine. Le président russe a parlé d'une relation à un "niveau sans précédent", Xi Jinping a lui salué une relation de "collaboration stratégique complète" entre les deux pays. Sur le plan économique, ils ont signé un accord pour augmenter les livraisons de gaz à la Chine. Un protocole a aussi été conclu pour construire le gazoduc "Power of Siberia 2".
La Chine organise mercredi 3 septembre une immense parade militaire à Pékin pour commémorer le 80e anniversaire de la défaite du Japon et la fin de la Seconde Guerre mondiale. En dévoilant de nouvelles armes et en s'affichant aux côtés de Vladimir Poutine et Kim Jong-un Pékin entend bien défier les États-Unis de Donald Trump.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Il a fait son grand retour aux Etats-Unis. Vendredi 15 août, le président russe, Vladimir Poutine, a posé le pied sur la base américaine d'Anchorage, en Alaska, avant de fouler un long tapis rouge et de s'entretenir en tête à tête avec Donald Trump dans la limousine présidentielle. Cette réhabilitation spectaculaire du maître du Kremlin sur la scène internationale devait être le point d'orgue des efforts diplomatiques entrepris par le locataire de la Maison Blanche sur le dossier ukrainien, au cœur de l'été.Depuis, cependant, les discussions se sont enlisées. Aucun accord de cessez-le-feu n'a encore été trouvé. Et si le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, travaille toujours à obtenir des garanties de sécurité, de concert avec les Européens, Vladimir Poutine n'a en rien infléchi sa position.Que faut-il retenir de toute cette séquence diplomatique ? Pourquoi les différents protagonistes ont-ils subitement accepté de se rencontrer pour discuter ? Et à quelles fins, alors que le peuple ukrainien subit chaque jour les bombardements russes ? Dans cet épisode du podcast « L'Heure du Monde », Sylvie Kauffmann, éditorialiste au Monde, analyse les derniers mouvements diplomatiques sur le front ukrainien.Un épisode de Marion Bothorel. Présentation et rédaction en chef : Jean-Guillaume Santi. Réalisation et musiques : Amandine Robillard. Dans cet épisode : extraits d'une interview d'Emmanuel Macron accordée à LCI, le 19 août ; du direct de France 24 et de la conférence de presse donnée par Donald Trump et Vladimir Poutine à Anchorage, le 15 août ; de la réception de Volodymyr Zelensky à la Maison Blanche, le 28 février.Cet épisode a été diffusé le 2 septembre 2025.---Pour soutenir "L'Heure du Monde" et notre rédaction, abonnez-vous sur abopodcast.lemonde.fr Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d'informations.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Avec le sommet régional de Tianjin et l'imposant défilé militaire prévu mercredi à Pékin, en présence de Vladimir Poutine et d'autres dirigeants non-occidentaux, la Chine de Xi Jinping montre son ambition de se poser en leader d'un « front du refus » de l'Amérique de Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Comment bien gagner une guerre et s'assurer que ce sera la dernière?? Le 2 septembre 1945, Hitler et ses alliés sont vaincus, la guerre est terminée. Mais si la partie militaire du conflit prend fin, comment extraire le poison du nazisme et du fascisme dans ces Etats qui ont mené une guerre totale avec 50 à 80 millions de morts?? Les forces d'occupation alliées victorieuses entreprennent de dénazifier la société allemande et d'établir une société démocratique au Japon. Mettre les vaincus à genoux comme l'avait fait le traité de Versailles en 1919 n'a pas fonctionné - la punition avait même nourri le ressentiment - on tente une autre stratégie. Si «?dénazifier?» est un mot que l'on pensait relégué dans les caves de l'histoire, c'était sans compter sur les capacités de recyclage de l'histoire de nos contemporains. Ce mot est réapparu dans la bouche de Vladimir Poutine, qui lançait sa guerre en Ukraine le 24 février 2022. Avec Emmanuel Droit, directeur de Sciences Po Strasbourg, spécialiste de l'histoire de l'Allemagne, qui a récemment publié : La Dénazification, posthistoire du IIIe Reich (Presses universitaires de France, 2024).
Donald Trump et Vladimir Poutine forment un étonnant duo : parfois très alignés, et à d'autres moments en totale opposition. À l'image de ce tandem, les liens entre dirigeants russes et américains ont défini les trajectoires des deux pays et du monde, depuis Franklin Roosevelt et Joseph Staline. Depuis la Seconde guerre mondiale jusqu'à la fin de la guerre froide, La Loupe brosse le portrait de quatre binômes et de leur influence, avec Andrei Kozovoï, professeur à l'Université de Lille, spécialiste des relations internationales, auteur de Les services secrets russes, des tsars à Poutine (Tallandier). Episode 1 : Nikita Khrouchtchev et John F. Kennedy. Retrouvez tous les détails de l'épisode ici et inscrivez-vous à notre newsletter. L'équipe : Écriture et présentation : Charlotte Baris Montage et réalisation : Jules Krot Crédits : INA, JFK Library, C-Span Musique et habillage : Emmanuel Herschon / Studio Torrent Logo : Jérémy Cambour Pour nous écrire : laloupe@lexpress.fr Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
durée : 00:03:10 - Géopolitique - par : Pierre Haski - Avec le sommet régional de Tianjin et l'imposant défilé militaire prévu mercredi à Pékin, en présence de Vladimir Poutine et d'autres dirigeants non-occidentaux, la Chine de Xi Jinping montre son ambition de se poser en leader d'un « front du refus » de l'Amérique de Trump. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
Au sommet de Shanghai, en Chine, Vladimir Poutine accuse l'Occident d'avoir provoqué la guerre en Ukraine. Pendant ce temps, les frappes russes continuent, faisant deux morts cette nuit dans la région de Zaporijia. La Russie est aussi suspectée d'avoir brouillé le système GPS de l'avion transportant la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, en Bulgarie. L'UE planche sur un plan de sécurité post-conflit en Ukraine, avec un possible soutien des États-Unis.
Dans cette édition :Le Premier ministre entame une semaine chargée avec des consultations et des négociations, notamment avec le Parti communiste et le Rassemblement national.La présidente de la Banque Centrale Européenne, Christine Lagarde, écarte l'intervention du FMI en France mais reconnaît l'impact des crises institutionnelles sur la confiance des marchés.Près de 12 millions d'élèves font leur rentrée scolaire, sauf dans le Var et les Bouches-du-Rhône en raison de la vigilance orange aux orages, et 1 000 foyers sont toujours privés d'électricité dans le Vaucluse.Une nouvelle règle d'interdiction des smartphones est mise en place dans les collèges.Un adolescent de 16 ans est décédé après avoir reçu un coup de couteau dans la banlieue de Lyon.Des détenus de la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil dans le Pas-de-Calais pourraient se joindre à un appel à la grève de la faim pour dénoncer les conditions inhumaines.Des actes de vandalisme antisémites ont été commis à Lyon, avec la profanation de stèles et de monuments.Le président ukrainien Volodymyr Zelensky rencontrera des dirigeants européens à Paris pour discuter des garanties de sécurité pour l'Ukraine.Le président russe Vladimir Poutine a rencontré le président turc Erdogan pour évoquer la guerre en Ukraine.Notre équipe a utilisé un outil d'Intelligence artificielle via les technologies d'Audiomeans© pour accompagner la création de ce contenu écrit.Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
A la tête de la Russie depuis plus de 25 ans, Vladimir Poutine reste une énigme. Marie Mendras, professeure à Sciences Po Paris, décrypte le parcours de cet ex-espion ainsi que le « système Poutine ». Caroline Stevan Réalisation : Colin Kurth Pour en savoir plus : « La guerre permanente. L'ultime stratégie du Kremlin », Marie Mandras, Calmann-Lévy en 2024
Le Premier ministre français est à la Une de l'Express et du Point, qui titre : « la tragédie française ». « En demandant un vote de confiance à l'Assemblée le 8 septembre, François Bayrou met le feu à la rentrée politique. Pendant ce temps, la France se rapproche chaque jour du chaos financier ». Le Point n'est en effet guère optimiste. « Voilà le pays de nouveau plongé dans l'inconnu et saisi de stupeur à l'annonce du rendez-vous du 8 septembre ». Car, sauf imprévu, l'Assemblée ne votera pas la confiance au Premier ministre, auquel l'hebdomadaire ne jette toutefois pas la pierre. « En battant le rappel sur la dérive de nos comptes publics et le fol endettement, François Bayrou a fait œuvre utile. Mais faut-il que survienne un accident majeur pour qu'enfin la France et la classe politique se réveillent ? Une brutale hausse des taux d'intérêt ? Une mise sous tutelle ? » interroge Le Point. L'Express, lui aussi, distribue les bons points au Premier ministre. « François Bayrou dit vrai », assure l'hebdomadaire. « Personne ou presque, ne l'écoute. Tragique issue (…) Le Premier ministre s'inquiète du péril qui menace la France. Un péril sournois, abstrait, mais parfaitement documenté pour qui veut se donner la peine de lire les chiffres : la dette ». Le quinquennat mis en péril La presse du dimanche, elle aussi, s'inquiète, mais elle est moins indulgente avec le Premier ministre. « Nous voilà de nouveau à l'arrêt politique, institutionnel, économique. Pendant combien de semaines encore ? », se désole le Parisien Dimanche, qui n'épargne pas François Bayrou. « S'il a cru qu'il avait trouvé la martingale avec ce vote du 8 septembre, le voilà englué dans ses calculs, à priori ratés… » La Tribune Dimanche, elle, a choisi de mettre Emmanuel Macron, l'air soucieux, en Une. Avec ce titre : « Retour à la case départ. Emmanuel Macron cherche déjà son nouveau premier ministre (…) le chef de l'État va se retrouver en première ligne avec la démission programmée de François Bayrou ». Le Premier ministre que la Tribune Dimanche soupçonne d'agir pour son propre intérêt : « À vouloir cultiver sa stature pour l'Histoire - chuter au nom de la défense de ses valeurs – le Premier ministre sacrifie le présent et met en péril la fin du quinquennat »... estime le journal. « Comment arrêter cette guerre » ? Nous ouvrons à présent le Nouvel Obs, qui s'interroge sur le rôle de l'Europe dans la guerre entre la Russie et l'Ukraine. Le Nouvel Obs qui est allé à la rencontre de Josep Borrell, l'ex-chef de la diplomatie européenne. Interrogé sur la visite des dirigeants européens à Washington, le 18 août dernier, Josep Borrell estime « qu'à travers ce théâtre des chefs de petits pays reçus en audience par le grand Manitou pour le flatter, les Européens ont quand même réussi à empêcher le pire (…) ils ont réussi à imposer le sujet des garanties de sécurité, empêchant pour l'instant de mettre sur la table celui des cessions territoriales ». Pour autant, Josep Borrel ne se berce pas d'illusions. « La vraie question, à laquelle personne n'est capable de répondre (dit-il) c'est de savoir comment arrêter cette guerre. On ne peut pas négocier sous les bombes, et Vladimir Poutine n'arrêtera pas d'attaquer l'Ukraine pour nous faire plaisir ». Pas optimiste non plus, Giuliano da Empoli, l'auteur du Mage du Kremlin, s'exprime ainsi, dans le Point : « ce que je trouve très inquiétant, c'est que pour l'animal de pouvoir qu'est le président russe, la séquence, au fond, n'est pas déplaisante. Même si l'invasion de l'Ukraine ne s'est pas passée comme prévu, il en a fait, trois ans plus tard, un processus qui consolide son pouvoir de l'intérieur. Le fait est que tout processus de paix pourrait, en réalité le gêner », conclut Giuliano da Empoli. Appels au secours En France, l'État est mis en cause dans certains féminicides. « L'État sur le banc des accusés », titre le Point, qui explique : « le service public se voit demander des comptes dans des affaires où les dysfonctionnements ont une issue tragique ». L'hebdomadaire nous raconte ainsi l'histoire de Sandra, assassinée le 2 juillet 2021 par son ex-compagnon. Alors qu'elle avait maintes fois sonné l'alerte et demandé de l'aide. Dans une lettre adressée au Procureur de la République de Bordeaux et au chef de l'état, la jeune femme écrivait ainsi quelques mois avant sa mort : « on me dit devoir attendre que mon ex-conjoint pénètre dans mon domicile pour porter plainte. Est-ce vraiment normal de me faire agresser pour me faire entendre ? On me conseille de faire appel aux forces de l'ordre chaque fois que je me sens en danger. Dois-je appeler tous les jours ? » Les parents de Sandra ont « déposé plainte contre l'état pour faute lourde. » « Les actions de cet ordre restent rares », explique l'hebdomadaire, « mais elles s'accroissent, portées par la prise de conscience collective de l'ampleur des violences conjugales et des mécaniques à l'œuvre dans les féminicides ».
Après les frappes russes meurtrières en Ukraine, l'ONU convoque une réunion d'urgence. À Toulon, Paris et Berlin promettent plus d'aide militaire à Kiev en pleine relance du tandem franco-allemand. En France, rentrée sous tension : François Bayrou sollicitera la confiance des députés le 8 septembre. Une chute du gouvernement n'est pas exclue. Et au Proche-Orient, Israël prépare une offensive sur Gaza, où la famine atteint un point de "rupture" selon l'ONU et 47 otages restent détenus.
durée : 00:36:17 - L'Invité(e) des Matins - par : Guillaume Erner, Yoann Duval - Philippe Sands est au cœur des questions juridiques qui font l'actualité, du tribunal spécial pour juger Vladimir Poutine à la défense de l'Autorité palestinienne. Son livre “38, rue de Londres. De l'impunité, Pinochet et le nazi de Patagonie” (Albin Michel) s'intéresse aux oubliés de Nuremberg. - réalisation : Félicie Faugère - invités : Philippe Sands Avocat et écrivain
durée : 00:14:16 - L'invité d'un jour dans le monde - Vladimir Poutine et Xi Jinping affichent leur axe face à l'occident, mais l'un domine clairement l'autre. Sylvie Bermann, ancienne diplomate en poste entre autres à Pékin et à Moscou, décrypte les liens entre la Russie et la Chine, "un partenariat totalement asymétrique". Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:22 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Vladimir Poutine est attendu ce weekend en Chine pour une visite officielle de 4 jours, son plus long déplacement à l'étranger depuis plus d'une décennie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
durée : 00:38:22 - Le 18/20 · Un jour dans le monde - Vladimir Poutine est attendu ce weekend en Chine pour une visite officielle de 4 jours, son plus long déplacement à l'étranger depuis plus d'une décennie. Vous aimez ce podcast ? Pour écouter tous les autres épisodes sans limite, rendez-vous sur Radio France.
En déplacement à Chișinău, les trois leaders européens, E. Macron, le chancelier allemand F. Merz et le chef de gouvernement polonais D. Tusk, sont venus soutenir la présidente pro-européenne Maïa Sandu, bientôt en campagne pour les élections législatives. Une image forte en symbole alors que le pays fête le 34e anniversaire de son indépendance et un message : celui d'une union face à la menace de Poutine, sur fond de guerre en Ukraine.
L'été a été marqué par une activité diplomatique intense dans le dossier ukrainien. À quelques jours d'intervalle, le président américain Donald Trump a ainsi rencontré son homologue russe Vladimir Poutine puis ukrainien Volodymyr Zelensky, mais les lignes de blocage perdurent et sur le terrain les offensives s'intensifient. Le président ukrainien multiplie les gestes en faveur d'un cessez-le-feu : jusqu'où peut-il aller pour y parvenir ? Doit-il consentir à céder des territoires à la Russie ? Quid de l'avenir de la sécurité dans le pays ? Pour en débattre : Adrien Nonjon, chercheur spécialiste de l'Ukraine, auteur du livre Le régiment Azov – Un nationalisme ukrainien en guerre (éditions du Cerf, 2023) Marianna Perebenesiuk, journaliste franco-ukrainienne Nicolas Tenzer, spécialiste des questions géostratégiques et enseignant à Sciences Po, auteur des livres Fin de la politique des grandes puissances (éditions de l'Observatoire, avril 2025) et Notre guerre : le crime et l'oubli, pour une pensée stratégique (éditions de l'Observatoire, 2024)